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Filière
from smarthome Electricien+ n°86 - surtension parafoudre - pilotage éclairage - pompe à chaleur
by 3eMedias
Schneider Electric présente deux offres connectées pour le tertiaire et le résidentiel
▼ Wiser Energy Center, le système
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de gestion de l’énergie du logement de demain
Schneider Electric a lancé son nouveau tableau électrique intelligent, Wiser Energy Center, un système complet de gestion de l’énergie pour les logements résidentiels. Cette innovation au cœur de l’écosystème Wiser permet de contrôler depuis un seul endroit tous les besoins en énergie des appareils connectés à l’aide de l’intelligence artificielle, transformant ainsi les maisons connectées en maisons connectées responsables. Wiser Energy Center marque une étape majeure vers la mise en œuvre de maisons autosuffisantes à énergie positive et permet aux consommateurs de choisir directement une énergie durable. Wiser Energy Center propose une gestion innovante de l’énergie. Cette solution «grid-to-plug» réunit les sources issues du réseau, de la production photovoltaïque, de l’alimentation de secours et les charges, pompe à chaleur, chauffe-eau, IRVE dans un système de gestion d’énergie intelligent. Le tableau gère les charges légères à élevées, le chauffage, la production d’eau chaude, la pompe de piscine et les appareils tels que congélateurs et lave-linge dans deux modes : charges critiques et charges normales. Chaque fois que cela est possible, le système privilégie l’énergie durable en veillant à ce que les appareils les plus énergivores, tels que les véhicules électriques, consomment en majorité de l’électricité provenant des sources d’énergie solaire de la maison. Pour cela, le tableau électrique Wiser Energy Center tient compte de multiples facteurs tels que l’heure, la météo, le tarif d’électricité de l’abonné et les habitudes de consommation.
▼ Renforcer
la sécurité des installations avec le capteur PowerLogic HeatTag
Le nouveau capteur PowerLogic HeatTag de Schneider Electric permet, grâce à sa technologie de détection innovante, d’assurer la prévention des incendies dans les tableaux électriques.
La nouvelle génération de disjoncteurs ComPacT avec boîtier moulé arbore un nouveau design et propose des accessoires plug-andplay modulaires pour étendre les capacités de surveillance qu’offre cette nouvelle gamme. ▼ PrismaSeT Active, une armoire dotée
d’une connectivité native au cloud
La nouvelle armoire électrique basse tension PrismaSeT Active de Schneider Electric est la première du marché dotée d’une connectivité cloud intégrée. Elle est conçue pour faciliter l’envoi de données vers une application smartphone simple à utiliser sans connaissance informatique particulière, grâce à une passerelle LoRaWAN intégrée directement dans le toit de l’armoire ou du coffret. Ainsi, le tableau électrique donne accès instantanément à des alertes en cas d’anomalies, à l’analyse des consommations d’énergie, aux courbes et tendances remontées par les capteurs, et permet de faciliter la gestion et la maintenance des bâtiments avec l’application mobile EcoStruxureTM Facility Expert. L’architecture ouverte de l’application permet aussi d’exploiter les données via d’autres systèmes informatiques grâce à des interfaces ouvertes (API).
EMMANUEL GRAVIER, PRÉSIDENT DE LA FFIE
Reconduit en octobre dernier à la tête de la Fédération française des intégrateurs électriciens, Emmanuel Gravier représente et défend les intérêts des 6 800 entreprises adhérentes, soit la moitié des salariés et 50 % du chiffre d’affaires généré par le secteur. Le président de la FFIE commente pour Électricien+ les bons résultats 2021 de la filière, portée par un contexte législatif favorable, et les efforts nécessaires pour intégrer dans son offre les dernières innovations technologiques.
Électricien+ : Les Rencontres FFIE qui devaient avoir lieu en janvier ont été reportées au 15 juin 2022 pour raisons sanitaires. Quels seront les thèmes phares de ces rencontres ?
Emmanuel Gravier – Nous avons effectivement été obligés de décaler nos rencontres, qui ont lieu tous les deux ans, car nous préférons les tenir en présentiel. Nous nous sommes interrogés pour la visio, et finalement, s’agissant d’un moment fort sur le plan prospectif et de l’animation de toute la fédération, nous avons préféré réunir environ 200 personnes, à la fois des adhérents et des personnes de la filière, qui ne se voient pas très souvent. C’est là que les intégrateurs apportent leur
pierre à l’édifice et à la réflexion générale. Nous sommes fiers, les électriciens, les intégrateurs d’être à l’initiative de ces rencontres et de ce carrefour de réflexion, avec une projection sur l’avenir. Les titres de ces rencontres sont Électricité et Digital, c’est-à-dire l’alliance entre l’électrification, qui contribue beaucoup à la décarbonation, et le digital, qui contribue à l’efficacité opérationnelle des entreprises et qui apporte plus d’intelligence dans l’énergie consommée. Il y a en permanence deux aspects concernant les innovations technologiques numériques : d’une part, le digital en tant que moyen d’être plus efficace avec les portables et autres technologies connectées, et d’autre part son intégration dans les installations électriques modernes, dans les bâtiments tertiaires ou les industries. Or, aujourd’hui, le numérique est partout, ce n’est même plus un débat ou une tête de chapitre. L’idée de notre colloque, c’est l’électricité intelligente. Nous voulons surtout aborder l’installation intelligente, et insister auprès des adhérents sur le fait que nous avons de plus en plus d’enjeux télécoms de connectivité, d’interopérabilité, en dehors même d’apporter de l’énergie. Évidemment, derrière, il y a de la donnée, donc une transmission d’informations par rapport à l’énergie et la consommation énergétique classique. Découlant de cela, l’intégrateur d’aujourd’hui s’occupe de produire de l’énergie, avec du solaire, il s’occupe éventuellement de la stocker, avec l’hydrogène. Et il y a toujours besoin d’électricité, en dehors de tout autre aspect. Nous sommes au cœur de ce qui va se passer dans les années qui viennent.
Électricien+ : Avant d’aborder l’avenir, parlons du présent : comment se porte économiquement le métier d’électricien ? Quels problèmes rencontrent vos entreprises adhérentes ?
E. G. – Le métier se porte bien, notamment parce qu’il y a cette «ambiance» de décarbonation – la RE2020, le décret tertiaire, le décret BACS… –, l’aspect décarbonation qui implique l’électrification de tous les procédés et processus. Nous avons des carnets de commandes qui se maintiennent, l’année 2021 a été bonne. Il y a bien sûr des problèmes d’approvisionnement qui commencent à peser un peu, y compris sur notre capacité à tenir les délais. Le problème n’est pas tant le prix que la disponibilité des produits, il commence à y avoir de vraies pénuries. Il y a aussi une tension sur le recrutement de personnel, notamment les études, et sur les personnes Bac+3, Bac+4.
Électricien+ : L’application de la RE2020 a, selon vous, un effet positif sur les carnets de commandes. Le constat vaut-il pour toutes les régions ?
E. G. – Comme je l’ai dit, l’ambiance créée par la décarbonation, la RE2020, les décrets tertiaires et BACS nous portent beaucoup. Maintenant, il faut bien prendre la vague. Il y a des territoires qui en profitent davantage que d’autres. Les grandes villes se portent bien, les périphéries des villes très agréables à vivre sur la façade ouest se portent bien aussi. Et il y a des territoires, par exemple en Bourgogne et dans le centre de la France, qui sont un peu moins en croissance.
Électricien+ : La filière ne risque-t-elle pas de rencontrer des difficultés à répondre aux besoins du marché, faute de disposer parfois des bonnes compétences ?
E. G. – C’est un enjeu majeur qui va sans doute perturber certaines entreprises. On a un problème de «digestion» de toute cette formation et de toute cette technologie nouvelle, qu’il faut s’approprier. Certaines entreprises vont devoir faire une pause pour se réorienter, alors qu’elles ont de gros carnets de commandes. Elles ralentiront leur croissance, forcément. Je sens ce moment venir très vite. D’autre part, la démographie de nos entreprises fait que beaucoup de collaborateurs partent à la retraite. Le remplacement n’est pas si simple, à la fois pour remplacer des personnes vraiment très compétentes sur l’électricité traditionnelle, et pour l’intégration de nouvelles technologies. Cela fait deux enjeux très forts pour ceux qui remplacent les équipes en train de partir. C’est compliqué… Mais la seule chose qui n’est pas compliquée, c’est que nous savons qu’il y a du boulot!
Électricien+ : Cela pourrait d’ailleurs inciter des jeunes à venir dans le métier plutôt que de rester sur des filières saturées…
E. G. – Oui, chez nous, c’est sûr qu’il y a du potentiel! À la fois pour entrer dans la filière, quel que soit le niveau, et pour évoluer. Il y a même de réelles possibilités d’évoluer assez vite, tant sur le plan compétence que salarial. C’est intéressant pour les jeunes.
Électricien+ : Quelles sont les grandes tendances du métier que la FFIE voit comme des opportunités ?
E. G. – Nous sommes vraiment au cœur des évolutions sociétales. Il y a toujours besoin de spécialistes de l’électrification, tant pour apporter le courant que pour gérer la sécurité des installations. Mais à la FFIE, nos entreprises sont aussi à fond, par exemple, sur les bornes de recharge pour véhicules électriques, sur l’autoconsommation et sur tous les aspects énergétiques au sens global, bien sûr. Elles travaillent aussi sur la gestion technique du bâtiment intelligent : nous sommes concentrés sur l’utilisation et la gestion logicielle des capteurs, et sur la gestion logicielle du bâtiment au-delà de la GTB. Il y a un certain nombre d’aspects technologiques qui nous préoccupent fortement aujourd’hui, compte tenu des installations que nous réalisons. Avec le stockage, la gestion technique des bâtiments, le smart building et le bâtiment intelligent connecté,
le bâtiment qui parle… beaucoup de sujets sont couverts par les intégrateurs électriciens. Nous les traitons à travers des groupes de travail ou des commissions. Puis nous faisons un point régulier avec nos adhérents, via le conseil d’administration et les travaux qui sont faits par les commissions, et nous diffusons, ensuite, auprès de nos adhérents.
Électricien+ : Comme beaucoup de métiers du bâtiment, les électriciens sont débordés. Comment faitesvous pour garder le lien et les sortir de leur quotidien pour les projeter dans l’avenir ?
E. G. – Durant toute l’année 2021, nous avons abordé les thèmes classiques. Sur la gestion technique du bâtiment, le PoE (Power over Ethernet) pour passer à la fois de l’énergie et de l’information par le même câble avec toute une installation haut de gamme, les bornes de recharge, l’autoconsommation… tous ces sujets-là, nous les abordons à distance. L’information est disponible sur notre site internet, les personnes qui veulent s’informer avec le site de la FFIE sont super bien informées! C’est pour cela, d’ailleurs, que les rencontres physiques attirent actuellement moins de monde. La pandémie est passée par là. Avec les visios en 15 ou 30 minutes, il est vrai que vous appréhendez un sujet en évitant de prendre un train ou un avion. À Paris par exemple, la FFIE a mis en place son Lab by FFIE, qui montre sur notre site les nouvelles techniques et nouvelles technologies d’installation. C’est vraiment intéressant. Pour les visites, nous accueillons de petits groupes venant de toute la France : ils viennent visiter ce Lab, cela nous permet de leur parler directement, de créer un moment de convivialité, et c’est surtout pour eux l’occasion de découvrir des sujets qui peuvent les intéresser. Nous créons ainsi de l’animation. C’est un enjeu majeur pour les années qui viennent de faire revenir les gens physiquement, alors que nous avons pris un certain confort à nous informer et à échanger à distance.
”Avec le stockage, la gestion technique des bâtiments, le smart building et le bâtiment intelligent connecté, le bâtiment qui parle… beaucoup de sujets sont couverts par les intégrateurs électriciens. ”
Électricien+ : La FFIE pousse ses adhérents à avoir une véritable démarche marketing de l’offre, en s’appuyant notamment sur les apports du numérique. Vos initiatives sont-elles suivies d’effets ?
E. G. – C’est tout le problème de l’innovation technologique. C’est d’abord au chef d’entreprise de s’y intéresser, car il est aussi responsable du développement commercial. Nous pensons qu’il y a une opportunité pour l’intégrateur électricien à aller chercher de nouveaux marchés, en tout cas d’adapter son offre aux évolutions du marché. Sinon, ça se fera sans lui, et il aura un problème de chiffre d’affaires. Suscitons le besoin, l’offre crée la demande. Si nous savons bien vendre nos capacités à faire mieux et à utiliser les nouvelles technologies dans nos installations (même lorsqu’elles sont simples…), nous gardons alors une valeur ajoutée et le client sera content de voir que nous avons apporté une solution à ses problèmes, sur une installation qui dure. Il y a l’installation, la maintenance, peut-être du service avec les capacités de traitement de données pour certaines installations… •
Détecteur de tension
unipolaire sans contact, lumineux, sonore pour 12V à 1000V AC. Conforme à la norme EN 61010-1 / IEC 61326 et est conçu pour la catégorie CAT IV 1 000 VAC. C’est l’outil idéal pour la détection et la localisation de câbles sous tension, coupures de câbles, de fusibles grillés, de lampes défectueuses sur les guirlandes lumineuses et la détection de courant sur câble simple.
CutiX est un cutter à lame de 18 mm avec barre de stabilisation de la lame pour un travail plus rapide et une coupe plus précise. Exercez une pression ciblée à l’arrière de la lame sans risque de blessure, sans flexion ou casse involontaire de la lame. Système de fixation de la lame évitant à la lame de s’échapper ou bien de se retracter pendant l’utilisation.
Les bornes sur rail TOPJOB®S
avec levier offrent plus qu’une simple connexion électrique sécurisée, qu’il s’agisse d’applications industrielles ou d’installations de bâtiments modernes. Pour sections de conducteurs allant de 0,14 à 25 mm², la gamme de bornes sur rail TOPJOB®S à levier présente de nombreux avantages : • Le levier reste ouvert ; les deux mains sont libres pour une connexion rapide et confortable. • La position du levier signale un point de connexion ouvert ou fermé. • Insertion directe possible de conducteur rigide et conducteur souple avec embout d‘extrémité grâce à la connexion
Push-in CAGE
CLAMP® . • Contact sécurisé avec fermeture rapide et simple.
Le fourreau électrique de
protection contre les ondes électriques et électromagnétiques Flearay+ permet de neutraliser 99 % des champs électriques rayonnés 50 Hz dans l’habitat. Il se compose d’une gaine blindée annelée abritant un fil neutre et une phase torsadés ensemble, ainsi qu’un fil de terre et un semiconducteur.
Pince à sertir à crémaillère pour cosses pré-isolées ayant une section de 0,5 à 6 mm². Poignée ergonomique pour éviter les dérapages pendant l'utilisation. Le système de déclenchement du cran de sûreté garantit la fiabilité de la pince. Mâchoires de rechange (SAV). Poids : 550 g. Réf : 241- 35Z.
FILIÈRE
Uniformatic, une success story française
lement français. Les productions de volume sont bien entendu faites dans nos usines en Asie pour des raisons de coûts, mais nous fabriquons aussi, ici en France, des faisceaux de câbles sur mesure pour des industriels qui ont besoin de produits non standards. Nous faisons également de l’assemblage de coffrets en France pour maintenir notre savoir-faire intellectuel et manuel. C’est important que notre entreprise fasse partie du tissu économique local et joue son rôle social. Certes, la main-d’œuvre est plus chère, mais la qualité est meilleure. Comme j’aime à le rappeler, en restant en France, nous assurons nos retraites en conservant les capitaux en France. Concernant le SAV, il est aussi en France et il n’est pas sous-traité. Nous gérons tout. Le client est pris en charge rapidement, les réponses sont quasi instantanées, car nous connaissons la valeur d’un client. Comme nous sommes «petits», pour nous démarquer, il faut que nous soyons meilleurs que les «grands».
Yves Dalbergue a commencé sa carrière dans une toute petite PME pour atteindre, 15 ans plus tard, le comité de direction de DELL. En 2002, changement de cap, il décide de se lancer dans l’entrepreneuriat et rachète Uniformatic, un fabricant français de câbles et connectiques. Bien lui en a pris. En 2021, l’entreprise compte 37 collaborateurs, salariés et agents commerciaux itinérants pour pratiquement 7 millions de chiffre d’affaires alors qu’au début de l’aventure l’entreprise était en cessation de paiement, 1 million de CA et seulement 10 salariés.
Concevoir, fabriquer et maintenir en France : il semble que vos convictions d’entrepreneur soient profondes.
Mes valeurs et mes convictions n’ont pas toujours pu être mises en œuvre au cours des 15 années passées en tant que salarié. En devenant chef d’entreprise, j’ai pu pleinement les appliquer. Je souhaite sincèrement maintenir une production en France, même si l’environnement économique national et les organisations étatiques n’aident pas. Par exemple, les règles européennes en matière d’appel d’offres privilégient très souvent le moins cher. Alors, lorsque vous êtes en France et avez le plus fort taux de prélèvement obligatoire, ce n’est pas évident d’être concurrentiel. Mais, nous avons réussi à mettre en lumière la valeur ajoutée française, expliquer le prix et justifier les performances des produits auprès de nos clients. Les cahiers des charges et la conception des produits se font en France. Les brevets sont éga-
En 2021, vous lanciez l’embase lumineuse ELFI®, une véritable innovation.
C’est cette valeur, d’être proche de nos clients, qui nous pousse chaque instant à être innovant et proactif. Nous avons ainsi conçu, développé
et breveté l’embase, ELFI®, qui permet aux installateurs de gagner jusqu’à 20 % du temps de câblage. Il suffit de repérer la lumière pour repérer le bon câble; plus besoin d’être deux pour tester. Trop souvent, l’installateur ne regarde que le prix du produit sans inclure le coût humain et le temps d’installation. Cette innovation répond à ce besoin. D’ailleurs, les premiers indicateurs montrent qu’ELFI® n’a pas cannibalisé nos embases traditionnelles. Ce modèle est venu compléter la gamme et s’additionner aux ventes. Il s’agit d’une vraie innovation marché. L’entreprise génère un chiffre d’affaires important, mais nous restons proches de nos clients et de la réalité terrain. C’est comme cela que nous avons pu développer ELFI®.
Vous répétez souvent les mots « client » et « écoute client »...
Oui, car c’est le client qui achète. Il faut donc répondre à ses besoins. En échangeant avec les installateurs, nous avons eu la certitude qu’ils avaient besoin de mieux équiper en courant faible le petit tertiaire (magasins, CHR, cabinets médicaux, professions libérales) et le secteur résidentiel, mais ils avaient peu de temps à consacrer à sourcer. Nous avons donc décidé de regrouper dans un kit l’ensemble des composants nécessaires à la constitution d’un réseau informatique et téléphonique sous une seule référence. Il est constitué d’un coffret de brassage 7U, d’un plateau modem, d’un panneau de brassage, de cordons RJ45 catégorie 6A, d’un kit de visserie, d’un bandeau de prise électrique, d’un switch Ethernet offert, mais aussi d’embases ELFI® catégorie 6 A. C’est simple comme idée, mais très efficace. L’installateur n’a qu’une référence à commander pour satisfaire son client et avoir la certitude de disposer d’un produit de qualité, fiable et assemblé en France. En plus, il sait que nos équipes sont en France et disponibles pour échanger avec lui en cas de besoin. •