Le Messager de l'Ouest (Bel-Abbès)
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Le Messager de l'Ouest (Bel-Abbès). 01/02/1896. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.
TROISIÈME ANNÉE —
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CINQ Centimes
SAMEDI
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6
Bel-Abbès, le i™ Février 1896
concours de la musique de son ré- Morin, le sympathique professeur, sonl réservés à ceux qui tout à l'heugiment dans toutes les occasions où sera entendu, que nos musiciens re donneront à la société la terrible civils dont bon nombre sortent de la quittance au nom du coupable ! elle serait nécessaire. Le théâtre lui même ne pourrait musique du 1er Etranger — superbe Perrière ces sièges, un grand avoir lieu si les nombreux artistes école — viendront se ranger sous Christ, à l'heure de l'ultime consuinà la Légion n'é- la bannière qu'agile en ce moment malun est éploie ses bras ! Amère trouvent que se M. Morin, le professeur de musitaient mis à contribution pour as- M. Morin et qui, ncus l'espérons, ironie, c'est au nom d'un Dieu de • que si avantageusement connu de di'sla première occasion, le succès de nos représenta- trouvera Pardon de Charité, c'est sous et surer tous nos concitoyens, dont l'élève. tions. dès le premier concours, et les ap- l'égide de son sacrifice, de mystisa d'une M. Bousselière, a été l'objet plaudissements de nos concitoyens que légende, c'est au nom de celui Bella militaire, Sans musique subvention accordée par le conseil les palmes el médailles des jurys qui a dit « Aimez-vous les et Abbès ville fermée à toutes est une : uns les municipal de Bel-Abbès pour lui compétents, présidant ces agappes autres » que les hommes vont se les les distractions, à tous ouverte permettre de suivre les cours du phoniques. l'heure impitoyables sy m à ! filles montrer ennuis, l'unitout inepties de et aux Conservatoire de Paris et. qui s'est Toutes les adhésions sont reçues formité. l'ail entendre déjà dans maints conchez. M. Morin, professeur de muLe père, un maçon, vient de conperle de Mékerra. certaineLa la certs de charité, et cela à notre gransique, faubourg Thiers. duire au champ de navels la phtisiles géographes visitée de satisfaction, M. Morin, dis-je, fait ment par un A. BOUUDON. j que qui fut sa femme ! jour soleil, les de beau dont appel nombreux garanaux un pressant Le caboulot reçut à la sortie du musiciens de Bel-Abbès-afin défor- tissaient les plantations superbes des ! Mascara, Prudon de cimetière les compagnons qui ont et sont, musique civile. rues mer une suivi lé convoi, el les demi-sliers et El n'esl-eepasétrange qu'en France partis enthousiasmés et ont p-celaverdure, , les ronds de saucissons remettent desiocalilésde4 à 5000 ha bi ta nls pos- mé Bel-Abbès un oasis de un peu de coeur au ventre à tous sèdent des musiques qui dans les une ville de prédilection, une perTout ee je ne suis quoi qui n'est plus ;le la vie, Qui: ne peut expliquer nulle philosophie. ces gens qui ne compreiinnenl, et nombreux concours orphéoniques le ! dont l'entier sheniu- el i'ilntnnliUiLé visiteursavaient Mais si les mêmes ne cherchent pas à-comprendre, le ISévèle le néant dans sa ililVoruiitë : syvenl. tenir une place honorable, et l.a mort terrible problème de l'au-de-là/ souffles leurs exposé crânes 20.000 Bel-Abbès qui aux compte que A. HANHlliU. Seul, un gamin, un enfant de dix âmes, n'a pas cet élément, accessoire brûlants des jours de sirocos, s'ils Une foule houleuse et hôte, comobligée de toute fêle, de tout ban- avaient senti comme nous, l'affole- me toutes les foules, stationne devant, ans, lelils de la morte, refuse de quet, de toute assemblée auxquels ment moral où nous nous débattons les portes du Palais de Justice en- prendre aucune nourriture el se président la mutualité, la bienfaisan- dans.l'irrespirable almosphèrede ces core fermées. tamponne les yeux avec un énorme, . compris quelle jours-là, ils auraient, ' ayant tout autre pour cause Le Palais de Justice, une grange mouchoir qu'il ne peut, fourrer ce, ou dans ses petites poches el qu'il a dû but : le progrès dans sa marche in- mélancolie, quel ennui, suintent des accolée à !a mairie. cessante vers l'idéal, but de l'huma- longues journées, et combien nous Les portes s'ouvrent, la l'Qule qui garder à la main depuis le départ aspirons aux heures crépusculaires vient chercher là de la maison mortuaire ! nité ! émotion malune les beau ciel scintillent en notre, : -Certes nous possédons une admi- où saine, féroce,'se précipite. rable.-musique:-militaire que nomInnombrableslueurs étoiles qui poudrez Un silence relatif s'établit ;'l'huDix mois se sont écoulés depuis De voire subie d'or les chemins azurés. bre de régiments de France seraient main troupeau se sent saisi d'une ce triste jour ! L'enfant à quia manVoilà notre -seul délassement, crainte irraisonnée, instinctive, en qué les caresses maternelles a passé (lers d'avoir à leur tète. présence de la ta!;-le recouverte d'un de longues journées à traîner sur Mais quelle, que soit la bienveil- notre unique distraction ! Aussi est-ce pourquoi nous som- tapis vert, comme foules celles des les grandes voies de la capitale, le lance du colonel, du 1er Etranger, il ne lui est pas possible d'assurer le mes persuadés que i'appel de M. jeux de hazard, el où trois sièges. père n'ayant pas le lem\ps de s'en
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10 Fetâlleàon du « Messager de l'Ouest,
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école des amours faciles, deviner les terribles résultats qu'aurait pour elle et pour moi cette liaison. Aussi est-ce la tète perdue, sans savoir ce que je dois faire que je viens vous
trouver.
Par ELLER
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Par un entraînement, il est Vrai, mais irrésisfib'e je suis devenu un fauteur de désordre, un être exécré ; j'ai trahi la confiance que Ton avait en moi, mais je le jure devant Dieu, aucun bas calcul, aucune ambition ne se sont mêlés à mon amour ; j'aime de toutes les forces de mon âme celle qui s'est donnée à moi dans un moment où la passion a parlé plus fort que la raison. Je suis coupable c'est vrai, mais pouvais-je à l'avance, moi naïf qui n'ai été à aucune Reproduction interdite. :
Médecin de l'âme autant que du corps vous pourrez peut-être me dire ce que j'ai à faire. Cette fuite devant le danger, devant l'épouvantable résultat me semble une lâcheté. ces cinq mille francs, prix de ma disparition, me brûlent, ils me semblent un odieux
non sens. Rien ne pourra m'arracher du coeur l'image adorée de Mlle Beaudoin, et plutôt la mort que la vie sans elle ! Il est impossible que tout soit fini, que tout" un passé d'amour croule sous une ttlle infortune. Que pense la j.auvre malheureuse devant la colère paternelle ? Je ne puis la quitter ainsi, et je viens vous demander à vous, qui serez à partir de ce jour appelé trop souvent, hélas près d'elle à la voir, à l'entendre la I décision de son père n'est peut-être pas ir-
révocable, et ce que le temps, ce grand berceur de toutes les douleurs humaines amènera peut-être quelques changements dans la détermination de celui qui fut mon juge et qui dans sa colère oublia que je fus son fils pendant si longtemps.
Je veux la revoir dul:i! m'en coûter la vie, et je compte sur vous cher docleur pour le lui dire, pour ramener dans son coeur meurtri l'espérance et qui sait, peut-être aussi, changer la détermination prise par son père. Aux supplications du malheureux Lucien, le docteur qui le voyait .dans un état de surexcitation et de désespérance tache à comprendre, usa pour le rassurer de toutes les ressources que son espril et son coeur purent lui fournir en celle occurence. — Mon ami,.lui dit-il, sans considérer Tac lion dont vous vous êtes rendu coupable envers votre patron, dont la colère et la décision sont parfaitement explicables, je ne puis m'em pêcher à mon tour, je ne puis m "empêcher de blâmer celui qui n'a pas su respecter
l'hôte qui lui avait ouvert sa maison et donné une place à son foyer. Cependant je ne puis m'empêcher de déplorer l'extrême et rigoureuse décision qu'il a prise à votre égard et sans pouvoir vous assurer du succès, je ferai tout ce qui dépendra de moi pour le faire revenir sur cet arrêt qui semule sans appel, qui brise votre coeur et celui de sa fille. Non loin d'ici, rue des Si-Pères, je possède un ancien pied de terre où je donnais avant mon mariage des consultations gratuites ; je vous l'offre pendant quelques jours, c'est-àdire jusqu'à ce que je puisse venir vous rapporter des nouvelles, qui, j'espère, change-
ront votre situation présente. (A
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221, 222,223 du code de justice de M. Paschal Groussel, dispeii- articles ai occuper (armée do terre) 298, 299. 300 re s en temps de paix, pour les hommes militaire se soir au logis. (a de mer). qui feront, la preuve de leur instruction (armée Le mâle vînt à rencontrer la le- i militaire. .33° De M. Bayile lendanl à créer » nielle. les régiments d'infanterie un enid; 16-de M. Legludie, mobilier pour dans les ofliciers des bureaux de l'inlendan- ploi 1, ; p d'adjudant premier secrétaire du A partir de ce jour, il réintègre le L'armée au Parlement service trésorier. habillement, ti (subsistances, ce, c dela mère, logis el le lit où expira militaires) la- loi '• -'.: '" dësanfôieLhôpilaux 34u De M. Léveillé relative aux obliC nouveldes le témoin vient, (Suite el Fin) amours 1(3 mars 1892 sur l'administration du militaires des étudiants en droit. c gations „ les ! Tannée et celle'du -1 or juillet. 1889, / Projets cl propositions de lois sou- de IV. c 35° De M. César Laine concernant santé. de aulonomiedu mis à la commission de l'armée. portant corps j L'enfant gêne dans les instants où ,h service militaire aux colonies de la le ... 17° de M. Cochin, exlensionaux ele1° De M. André Caslelin : situation r Guadeloupe et delà Martinique. les baisers qui sentent l'alcool laisde" l'école de physique el de chimie membres du des de ves > temps ® eu guerre Quoique déjà bien longue celte liste sent aux lèvres le temps de parler. Parlement soumis '23 de T^rticle de Paris iusdustriel de i aux obligations min'est épuises ; nous y reviendrons On cause de régulariser la situation, lilaires. " pas 1889. '15 juillet du loi de la j d dans noire prochaine semaine. mais le gosse gène ! '18° de M. René Viviani, modliieation 2- Modification à l'article 57 de la loi Commandant VICTOR. 15 juil13 loi du de la Tari. § l,:r du de 13 mars 1875. ( c — Si lu veux, dit la femme, reu- du 1889 el à abaisser de 10 ans à 5 ans " let j maria3 loi du disposions de In T.d. des l'enfant, je 13" consens au voyer | EXPLOSIF la durée de Tengagenieul contracté par .UNNOUVEL réquisition., 1877 relative juillet aux i ge, mais à celle seule condition. les jeunes gens visés par ce paragramilitaires. phe. El. la brute à qui la chaleur du lit. relative TassimiM. Bazille, 4° De à Les expériences île tir au canon avec obus 200 du l'article ^Modification de donne ton les les lâchetés, consent/ luliou, | chargés d'un nouve explosif que le «Petit au point de vue militaire, des c militaire. justice externes de l'Ecolenalionale des code de Journal» a annoncées le -1(5 courant ont été Et. les Lorilleux, les Mes-bolies élèves \ 20° de M. Lepex, réduction à sept an- f^ îles hier, de l'Ecole supéPonts chaussées, el grande ville en escadre de réserve, à bord du qui pullulent dans la des mines eldes élèves de l'E<o- nées de l'engagement décennal des cuirassé rieure ( « Amiral-Duperré », où se trouvaient assistent au mariage. le.des mines de Si-Etienne, aux élèves membres de l'enseignement. réunis MM. les vice amiraux Cavelier de CuPour la circonstance on a habillé de 2'1" de M. Odilon Burrol, pour modi- verville, l'Ecole centrale .des arts et manufaccommandant celle force navale, > , lier le paragraphe 3 de Tari 21 de la loi Brown de neuf reniant, qui, tout joyeux, tures. ] de Colsioun. préfet maritime, plu5° De M. de la Noue el. plusieurs de du ï5 juillet 1889 sur le recrutement. généraux, M. le contre-amiral Fouroublie pour la première fois el. la sieurs , militai22» Administration des soes-direo- nie!les pensions collègues, les officiers-élèves de l'Ecole supéet sur ses i les fut mère qui el morte sa pauvre IJ comptables des haras el rieure de guerre navale. blessures inlirmités de litre à el agents leurs, ou res la remplacée à coups de celle qui l'a les pensions des veuves et des or- depuis d'étalons dans la nomenclatusur Les tirs dirigés contre les batteries déclastable el. au lit sur lequel elle expira, phelins. re du tableau B annexé à ht loi du 15 sées de l'île du Levant ont été d'une précision et prend sa part de la fêle et se grise. 0» de M. Pierre Richard, pour la li- juillet-1889. remarquable. Les résulials obtenus avec le On l'a fait boire! Assimilation (M. Escauyé) au point nouvel explosif sont extraordinaires. Je me mite d'âge des officiers de l'armée de de vue militaire, des élèves de l'Ecole I borne à dire- que la mélmile n'est que de la Il est tard, el dans l'atmosphère terre. coloniale qui suivent les cours du com- poudre à coléde ce nouvel explosif. Duval Thonion, De MM. Orsal, 7° et grivoises les éclatent, surchargé où dont la situaélèves missariat, aux bataillons de chasseurs à -relative aux chansons des convives, l'enfant s'ention est régie part Tari 29 de la loi du 15 LES PRECAIITÎOI DE LA RUSSIE pied. dort ! juillet 1889. 8- De M. le général Riu et plusieurs de 2i"dc M. Plichon, pourmodiîier Tari tendant rendre applicollègues, à ses Une très curieuse: nouvelle arrive de Sain '.1889. 15 juillet, loi 21 du la de cable aux élèves de TEcuie supérieure, .11 est deux heures du malin; réPètersbourg, £<ife::.?ée au RDJCS. 2i> M. Loyer, concernant la taxe mitEcolo nationale des mines, de dos ; veillé brusquement, ri se voit, seul ! Le budget actuel dé la .marine- russe, qui ' li luire. de •!'Ecole des mi-l'unis et- chaussées., , .est.de 575 millions,, sera..>Vgmenl.é.-'vchaiîiûié.:/<i.i. Le garçon qui a'sërv! au banquet nes, de t'F.co'!'«r!o.r. finies de;Si-Etienne20^"'])e.'M".' le général tuug'pdur'Tip--; année-.d''ù'\-deniir:iniU'ion'de.'.:r6u-biès âesèule^.noriuMe ^nnériéure. l'arl'Ecoie de de2 In et de de piicati-en du service lui remet vingt sous pai-l » ans. fin de pouvoir réjxrudre ùla construction de, il -novembre. loi du 1.8021 la de, ticle 2/c Modilicaiion de, l'art. 48 de la lui chaque son père et 'le mol a la -porte !. naiirenu- navire anglais par la cons<)• De M. C-.'iulre, roi-rive à la. modidu '13 mars 1875 pour la eonslilulion truction d'un navire de mêm.c force. russe H est nuit, nuit noire ! Hébété fiealion de l'art. 35, 2" al. 2,: par la loii des cadres et elTeclifs.de' l'armée active Dans-ces conditions, le rêve de lord Bere:reniant absorbé, l'alcool 1889 la militaire, '15 juillet madu taxe Tannée territoriale. de el par sur font, souhaitant devoir à l'Angleterre « un chinalement se dirige droit devantt 10. de M.Mai mettant., révision de laiJ 28" De M .de Mahy pour l'organisationI nombre de vaisseaux égal à celui de toutes loi du 10 mars 1882 des cadres des mélui. de l'instruction militaire .préparatoire. les Hottes réunies », risque fort de n'être ja:_ decins el phanmaciens militaires et luù 29° De M. Bazille pour les pensions s mais réalisé. 11 l'ait froid ! Sous l'auvent d'une situation des médecins militaires. proportionnelles des officiers d'iufun-'" Et que deviennent aussi, si la nouvelle du continue l'abandonné cochère porte 'Jl(!deM. Goujon, reconstitution et 'f terie, de cavalerie, d"arlillerie et duII Times se confirme, d'autres espérances tile somme interrompu. organisation des ateliers- régimenlaires 'S génie. rées d'un sac voisin, montrant l'Angleterre Le jour se lève ; mourant, de froid] des corps de troupes. 30e De M. Unies Boche pour modifier ir tout près de voir la Russie l'aider, de concert -12- de M. le général Jung, surTélal <t | la loi du 15 juillet '1889 sur le recruteil quitte la porte el. va au hasard, ;- avec la France, dans ses projets d'absorption des officiers. is d s droits de certains de ses rivaux ? ment à l'égard des jeunes Français qui • rappeler exactement ce sans se '13- de M. de îMonlforl, .constitution m établis hors de France, en Europe, Car enfin on peut difficilement entrevoir. s'est passe la veille. fâ 31° De M. le génér.d Jung invitant le dans la loi des cadres du 25 juillet. 1893 1° que l'ambition manifestée par la. Russie, de A. BOURDON. d'un régiment étranger de cavalerie el gouvernement à l'aire étudier l'action >n suivre pas à pas l'Angleterre dans ses noud'un bataillon étranger d'artillerie. des pouvoirs publics en temps de guerr- veaux armements, n'ait été inspirée que par Sïrivre) (A li- re. 14- de M. Michelin, assurer la publile désir de mettre, te cas échéant, beaucoup 32" De M. V. Leydet pour l'applicacité des actes de l'autorité concernant ni. a- de bateaux au service de S. M., la reine Vie-. tion des circonstances atténuantes aux le service militaire. toria !-.' IX ' R. "..' et,
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ne rentrant pas chaque
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Semaine Militaire
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Beaucoup de ma reliés couverts avec de^ I ne peut pas entrer, il y a une nuée de servi| teurs qui se bousculent et des premiers sepailloUes. crétaires, des princes, des hautes personnages A mi-côte de la ville, vers l'est (notre côte d'attaque) il y a une formidabl barricade sont assis sous une vérandali, au-dessous du. formée d'un mur de 4 mètres d'épaisseur mur d'enceinte, fument et causent sans doute avec embrasure* pour canons derrière, on' a des événements récents et........ de la pluie trouvé une quantité énorme de défenseurs et du beau temps, par ci, par là, une sentinelle française (infanterie de marine) se protués ou blessés par nos canons. Sans artillerie nous aurions pu nous fouil- mène gravement. (Suite]. Voilà une gr nde « huile », un monsieur ler i our monter à l'assaut. A. environ 600 mètres du palais,- commence une'arge rue vêtu à l'européenne, 'e lambua(vilement jeté canivaux. ou enroulé autour du corps à la f .çon d'un Le type des boni nies est beaucoup plus pavée avec j Nous voilà arrivés à cette fameuse tour burnous) riche, négligemment reposé sur les général ils sont beau, les cheveux crépus, en les livres, un ancien temple sans épaules, coiffé d'une casquette de 4 fr. 45 parlent dont robustes. très doute, sans toiture (quelques vertiges seule- du bazar, passe dédaigneusement ayant à ses On en rencontre, qui ont le type juif, d'ail- ment) tout en pierres de l ille supporté par trousses une dizaine de marécageux, tout le rapacité. leurs beaucoup en ont la monde se découvre sur son passage (les gens -16 ou 18 colonnes en pierres de 70 pu 80 Ce qui frappe, c'est la quantité de volailles centimètres de .diamètre. .L'ensemble, est ordinaires se découvrent en saluaii', tous les de tous genres, il-y en a à foison, aussi les triste, les pierres rongées par. la. marche du- militaires, principalement les-'officiers et gra. pioupious ne mangent plus que de cela. dés. 11 est probable que ses politesses, cessetemps. Voilà, à droite le palais du premier minis- ront peu à peu), je m'informe : un hovas.me Partout, à tous les coins de rues, des proclamations au peuple, celle du général en chef tre, un enchevêtrement de bâtiments en bri- répond en assez bon français que c'est le ;• prince...... un tel. (Il faut éternuer pour dire et celle du gouvernement malgache, le tout ques ou pierres avec, au milieu, le bâtiment, principal surmonté d'un dôme en verre,-oni le nom.) imprimé en Hovas ou Malgache.
Lettre
le
Mpsir
_
En face, mais plus bas, un joli petit château style nouveau, habité sans doute par des personnages du sang royal, on aperçoit des stores de toutes nuances et d'une grande richesse. Dans le bas, dans un grand quarlier'de la ; ville, au milieu de belles habitations,.domine une grande et belle bâtisse, comme un bel hôtel du faubourg St-Germain, surmonté du; drapeaux français, c'est la résidençs. ;
J'aperçois beaucoup de femmes Hovas,,! agenouillées sur un escalier monumental conduisant à une grande-maison',je monte, je pénètre ; je suis dans un temple anglican-, 'très bien tenu, très propre, avec de belles pein' tures parlant du Christ. (A
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Tiial ie lreInstance /
Troupe Vidal
Chez Moiiserrat
Demain la troupe Vidal, empêchée 1 Pour retenir el captiver sa clientèle, M. Monserrat n'épargne rien, pai le mauvais temps de dimanche derpar nie .donnera sa représentation hebdoEn h plus de Texcellenl oi'cheslre que nier, Dans le courant de février el aux dales suivantes le Tribunal Civil sera possède l'établissement, nous devons madaire. " ma pos appelé à délibérer et à statuer sur les unc persuadés que le pumention Unité spéciale à Mile Bel- . Nous ï sommes une ail'aires ci-dessous : bl'n privé diiuancl e de ce spectacle se la*" exeelleiile chanteuse qu'applaudis- bl.ic la, ' A uclience du 4 février sent chaque.soir tous les habitués du rendra en foule aux arènes pour aprei Havn,' avoué Lisbonne,' contre Ché- café -;' pla plaudir l'audacieux capitaine Costa et calt.- Monserrat.. :': reau, avoué Giraud. Avec -t dégels'éléments le succès ne les excellents artistes de la troupe ViTourreau, avoué Giraud, contre époux peut da que couronner les intelligents ef- dal. Serres, avoué Lisbonne. forts ,. „ du propriétaire del'élablissemehl. ThéîUre Lemanissier ès-qualité, - avoué Gi,', ' Il :Ayïs ..-'' Nous , en son.temps, le avons dcnn.e ; raud, contre Pirol, avoué Lisbonne. rendu de Boccace, joué sur notermes' d'un arrêté de M. le.Gou- compte Aux co * Molina, avoué Giraud, contre Pirol, mardi 28 janvier au bénéfice scène Général 18 Janvier ICii date ire du verneur vei en Lisbonne. avoué 1896, igc lesurnumé.examen Mine el, M. Vincent. de un pour RoGuirand, avoué Pilron, contre rarial des. Contributions Diverses sera Noire troupe théâtrale s'est rendue r*i i Weissemdenjer. cheforl et ouvert, ou aux; Glieïs-lieux.des trois dépar- àa Mostaganein le jeudi 30, où elle a ; Gonnel, avoué Guirand, conlre Fau- ,lemenls Algériens, îe ,lundi 9 Mars pro- donné Gillette de Narbonne, où l'allure t|r, . Lisbonne. avoué re, c|]; chain, -:. de Madame Noël noire garçonnière ga ; Audience du 11. février Au Villajjc Nècjre obtenu un franc première c.anleuse a pr Sireygeol et aulres, avoué Lisbonne, Si la propreté et la salubrité étaient s' s" ccè.s et les Moslaganémois ont été contre Félix et consorts Perret, avoués surpris de la parfaite bannies la terre, ce n'est agréablement du de au reste Guirand et Lisbonne. de celle pièce. exécution qui leur le Village-Nègre certes ex ce pas Administrateur du Télagh, avoué Oiserviraient d'asile pourrions où et se nous ràud, conlre San an es el aulres, avoué le les iei retrouver. Lisbonne. La Paie des Chevriers, dans sa pre- { de Cerdan, avoué Giraud, conlre Demar!l droite, mière de de venant coupure en chy, avoue Guirand. Taballoir,.' possède supei'be bourj] V un \ Consorts Valency, avoué Lisbonne, biei' qui, sous les reliefs du soleil laisse il n< Aknin, avoué Giraud. conlre justiciable de l'insli- '.; u Merlo, avoué Guirand, conlre Crédit mouler une buée 1; a lut Pasteur à lous égards. lu ,,roncier, . Lisbonne. . avoue délions qui que ce soit de pou- ; q1 Nous Audience du 18 parcourir cette rue (?) du Village ' si. voir V(. vve Laroche, avoue Guirana-, conlre -., Nègre el d'en sortir indemne. -; Vve Reynaud, avoué Lisbonne. 1! en est. de même des angles de la Comptoir d'Escompte, avoué Liisbon- . delà Mosquée, du boulevard 2- nrue . ne, contre succession Tavehél, avoué Spahis ç. el de la rue Bérançer, où s'éla- <Tl Guirand. ,e llent ,. sans vergogne delarges plaques, de :H.hachc, avoue -Lisbonne, conlre bboue ,< liquide, qu'augmentent des dé- c] . !',:• -ard, avoue Guirand. tri de , toutes et. sortes lus nous nous., LU-ï-ddani., avoué Lisbonne, conlre demandons-. (t., non sansanxiéié --,ce. ,-, .ianjD^tj^aVOné.iJwiramt...-..;.-.' :. • .'.- '::-(qi-ui-sora h) service; sanitaire aT'hçuro '''i il lem, avoué- Lisbonne. ; contre" .• ,,'ooù le remuement :dés feri;ès saturées',"',. . .•.."''.ui;:<, avoue- ituirand. -d des , eaux ménagères ol pluvieuses,' .'t;--.j;:j'ië,avoué Gnirand, contre époux nous m'armera dune recrudescence de Lieriîa!., avoué Lisbonne. , r délétères beau nuire que, sov Tabariy lits, avoué Giraud-, contre\ vapeur? consciencieusement pen- . -leil , pompera t. succession Tavenel. et Gamboh, avouéé danl les grands travaux d assainisse-, o c Guirand. ment. Audience du 25. ' , Espérons que la Camargue que guèl- . Mauduech, avoué Giraud, conlre leront certainement. Tédililé ton le fraîLisbonne. Mauduecb, avoué consorts de l'urne électorale aidée de Aknin, avoué Giraud, contre Colinan, che sortie la faculté-n'augmentera pas les passaLisbonne. avoué de la barque à Caron. gers ~ ° ' Emsallem,avouéGiraud,conlre époux ix , Mnlalionp Cadiergues, avoué Lisbonne. Nous lisons avec plaisir au Journal Chollet, avoué Lisbonne; contre Vve ,'e i- Ofjiciel les propositions suivantes : Macabiau Linerat et aulres. avoué Gi( Pour le grade de Chevalier de la raud. Ripert, avoué Giraud, contre cou"". Légion ] d'Honneur, MM. les chefs de sorls OEuf et autres, avoué Lisbonne jbataillon Oblingre, détaché au Tonkin 11 T et Alix -, M. le capilaine Dumoulin ; M'. CHRONIQUE le lieule/ianl Met, détaché au Tonkin. -' ET REGIONALE Pour la médaille militaire, Clerc, sergent ; Gurbillon, sergent ; Caspan, Correctionnelle Priou, sergent ; Meyer, caposergent ; 20 du le , Dans sa séance 'courant ral ; Guyoïi, soldat ; Verdenberg, soltribunal correctionnel a prononcé les dal. condamnations suivantes : félicitations, Toutes sincères nos Serrano Jean 1 mois de prison pour nr Au marché abus de confiance et escroquerie. Hier vers 9heures du matin heure où Moulet José-25 francs d'amende pour mr le marché est sillonné non" seulement port d'armes prohibées. Dèîlagh Boubekerlôfrancsd'amende ide par les chalands mais par un nombre considérable de flâneurs, une daine en pour le même motif. Ren Tebra ben Ali 6 jours de prison quête de provisions a failli être renver>onet 16 francs d'amende par défaut pour ; iur ;sée par un arabe porteur d'un lourd chargement, récidive d'ivresse. : Ne pourrait-on pas si..cela esl possiGanicio François 50 francs d'amende ide ible assigner à l'arrivée des marchaiipour coups-et blessures. , Lapoullain Joseph 3 mois de prison àon dises une heure, plus propice soit par exemple de 6 à 7 heures lematin et de par défaut pour vol. Garri Mariano 50 d'amende pour ou- 4 à 5 heures le soir, on-'éviterait ainsi . les craintes d'accidenls non seulement à agent. trages l'a- pour les personnes circulant dans le Yamoun Kada Roudia 18 francs d'a;ent" marché, mais aussi pour' les porteurs mende pour injures publiques à agent" d'administration publique. gênés par le vé-el-vient de la foule.
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Le train 2 O. A. correspond au'Tlélat avec le train d'Alger, arrivant, à 10 h. du soir. Le train 4 O. A. correspond au T'.élat avec le train qui arrive au Sig à 3 b. 44 du soir. Le train 6*0. A. correspond au Tlélat avec le train qui arrive à Relizane à 10 h. du soir.
Le Gérant certifie à la somme de
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VOYAUKCRS-MIXTICS
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Oued-Cliouly 3 GO 2 70! -1 95 Lamoricière 4- 00 3 45! 2 55 Aïn-Teilout 5 80 4 35; 3 20 Taliaman ^p! 7 .j^ 5 3 9-, TA131A
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correspond au Tlélat avec le train qui quitte le Sig à 0 h. du matin. correspond au Tlélat avec le train qui quitte Relizane àô b. 20 du malin. correspond au Tlélat avec le train qui quitte Perrégaux à 12 h. 25 du soir. correspond au Tlélat avec le train a'Alger.
Vu pour la légalisation de la Signature de M. E. ROIDOT, Le Maire,