Le Messager de l'Ouest (Bel-Abbès)
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Le Messager de l'Ouest (Bel-Abbès). 04/01/1896. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.
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TROISIÈME ANNÉE — N° 193
Bel-Abbès, le 4
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CINQ Centimes
Pour le Drapeau !
d'audace
Essaient d'arrêter leur élan. j quittent leurs outils, croyant tenir en face Ils Un ennemi toujours fuvanl, Oubliant la fat:gue aux accents de la charge Ils balayent en un clein d'oeil. Les Hovas altérés qui reprennent le large, La rage au coeur et l'âme en deuil !
DÉDIÉ AUX RAPATRIÉS DE MADAGASCAR DES REGIMENTS ETRANGERS
1
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En avant tant pis pour qui tombe ! La mort n'est, rien vive la tombe ! Quand le pays on soit vivant.
Le bruit de leurs exploits s'en va jusqu'en Emyrne Troubler la Reine et son conseil' Que voit lous ses guerriers que la terreur domine Chercher l'ombre et fuir le soleil ! ]
Paul DÉHOULÈDIS
I
Tananarive est prise, et le jour qui la dompte Apporte à nos pauvres soldais La gloire ei le repos ! Mais il faut qu'on se compte 0 mes amis comptons tout bas ! Là-bas dans la graud'lle où Ion Drapeau frissonne Où chante clair le coq Gaulois /
ils s'en vont lbi.i d'ici, soutenir par les armes, L'honneur sacré du nom français ! Ils partent fiers joyeux, sans crainte, sans alarmes, Assurés qu'ils ont du succès !
Combien restent couchés hélas! sans que personne Ail piaulé sur eux une croix ! Combien de l'Océan, les sombres étendues Recellenl-clles de soldats ? Qui vous rassemblera chères tôles perdues
Ne sont-ils pas enfants chéris de la victoire ! El dans les plis de leur drapeau On lit en lettres d'or plus d'un litre de gloire, Dont la mort leur lait un manteau Qunnn le sort des combats les couche dans la.,
Pour vous qui sonnera le glas ! Au jour où le Très-Haut à votre inorl propice Ouvrant les portes de l'élernité, Dira : « Venez martyrs, car votre sacrifice A celle heure vous esl compté !
(lombe
Pour le long et dernier sommeil
4 JANVIER 18C6
:hommes,
ce que les indignations publiques poursuivent, c'est le règne de l'argent!
Pourquoi ? Parce que les contre-poids sociaux qui devraient lui être opposés ( ayant cessé d'exister, l'argent est aujourd'hui le maître, c'est à dire , celui qui commande et veut être
Abraham esl riche! il esl puissant, j il a des comptoirs dans loules les villes et des navires dans lous les ^ ports; il règle lé commerce, commande à l'industrie,, les peuples sonl ' ses tributaires et les princes ses obéi. vassaux ; il arrête toutes les guerres, Olez l'homme... le Juif... vain pailélève ou abaisse l'escompte univer- Ialif, vaine raison le règne de l'ar: sel! gent subsiste, Sa Majesté l'Argent fait les traités La grande machine capitaliste-est moulée, cl comme nous le disions de commerce, élève ou abaisse les dans le veau d'or elle fonctionne, droits de douane sans se soucier des broie, lue, viole suivant ses fantai- résultais qui peuvent advenir, pour le contribuable. sies et ses caprices du jour. Sa Majesté l'Argent fait les lâches Il se passe un phénomène étranles Irai 1res ; toutes les religions, el des Plus de après cent ans que ge. les races en ont fournis à prix loules insiilué la>religion uniont penseurs verselle de la tolérance; plus de cent d'argent. Dix colonnes du journal ne nous la révolution après que a proans clamé le dogme de l'égalité des fa- suffiraient pas pour le démontrer. Partant, là où l'égoïsme personmilles humaines; nous voyons des populations affiliées, reprendre con- nel n'a pas détaché toutes les fibres tre les Juifs les traditions du moyen- morales, une lâche impuissance s'est emparée des âmes et des consqui plus la àge, et, ce est grave que poussée des masses, des gouverne- ciences11 n'y a plus de public pour les ments rester impassibles devant ces ' fureurs; des savants, des moralistes, idées, le niveau moral a effroyablebaissé. ment, le principe des docpar en consacrer Rien ne parait possible ni même trines. souhaitable, toutes les tentatives qui Est-ce contre une religion? Estont pour bul, de secouer le règne de ce contre une race que selévenl ces Majesté l'Argent rencontre, invasa excommunications scientifiques et riablement objection : celle ces débordements populaires ? « Inutile on ne réussirait pas ! » L'accord des deux faits serait, inexTout n'en n'a-l-il pas été toujours plicable. de même ? Le monde ne vit il pas de Derrière la croyance, derrière lesi compensations et d'équivalences, la ^
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Ils construisent tous les chemins !
,Puis, lorsque les llovas, qu'étonne tant
Où vont-ils res soldats à l'allure martiale, En babil; bleus et casques blancs, Qu'accompagne au départ la marche triomphale Des cuivres aux sons éclatants, Légionnaires chevronnés, tioupiers imberbes. Mais à coup sûr coeurs dé héros, Le courage se lit sur ces mines superbes Qu'.(!!)6j'£ueillisent vos bravos ?
La Majesté
l Majunga, départ au bul : Tananarive ! De La pioche ou le fusil er. mains Spartiates nouveaux que l'espérance avive
Janvier 1896
SAMEDI
!
Chacun de ces vaillants sait que lorsqu'il suc--
combe, '
Arrosant de son sang vermeil La lerre à conquérir, où le sol à défendre
Tranquillement pourra dormir 1 C'i- la Patrie en deuil en bonne et tendre nièie, Sait en garder le souvenir ! , Ta vieille Légion, ô ma Fiance chérie, Stoïquement,, sans peur, Pendant des mois entiers à prodigué sa vie Son sang le plus pur'le meilleur !
Aussi c'est pourquoi, France, à l'heure solennelle Où les vivants sonl de retour
Tresse-leur de Les mains la couronne immortelle, Que lu leur dois dans Ion amour ! Mais pleure
!
pleure aussi
!
ô
bonne et tendre
[mère ! Sur ceux qui sont morts vaillamment Pour empêcher un jour qu'une main téméraire Arrête ta marche en avant !
A. BOURDON. '
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,
2
Feuilleton du « Messager de
V
Ouest,»
Par ELLER t
Je passais la journée à Ville d'Avray, et je débarquais à Paris le même soir à 10 heures. Je venais à peine de m'installer dans l'intérieur d'un fiacre, que poussant un cri, je passais brusquement la tête par la portière en criant au cocher : , — Cocher, ventre â terre jusqu'au jardin de Luxembourg, côté gauche, vingt francs du pourboire ! Le cocher cingla son cheval et partit d'un trait.. Reproduction interdite.
Je venais de me rappeler ces enfants du jardin, et je .me demandais avec anxiélé si je n'allais pas arriver trop tard. La marche du cocher me semblait d'une lenteur désespérante ; enfin je finis par apercevoir l'angle gauche, formé par la grille du Luxembourg, et à la rue du même nom j'ouvris la portière et debout sur le marchepied, j'attendis fiévreusement que la voilure qui rasait le trottoir me déposât en face du bosquet où j'avais entendu la veille ce que j'ai raconté plus haut. Tout à coup l'ombre du bosquet fut rayée d'un éclair sinistre, puis un gran 1 cri, la masse d'un corps tombant sur le galet du chemin, un adieu suprême lancé dans l'espace, puis une autre,- puis le silence. Je me précipitais comme un fou dans la direction du logement où se trouvaient le gardien de nuit, le poste de police et j'appelais au secours. Le brigadier, suivi de deux hommes portant chacun un falot, m'accompagnèrentjusqu'aux lieux où ce drame venait de s'accom-
plir, et dont, je me sentais un peu le complice, ayant oublié complètement ces malheureux, par suite de mon voyage à Ville d'Àvray. Mon cocher se trouvait déjà près du cou-
ple qui gisait à lerre couvert de sang. Jeune et vigoureux, il avait escaladé la grille, trouvant le moyen plus expéditif que celui que j'avais employé. — Rien à faire pour la jeune fille, nous dit-il en nous voyant arriver, elle est morte et bien morte. Quant à l'autre, et il désignait le corps de l'homme, il n'en vaut guère mieux, il râle. Deux autres hommes étaient allés l'un à la recherche d'un médecin, l'autre chez le pharmacien le plus proche, qu'il avait trouvé encore ouvert, il n'était pas minuit.
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L'arrivée du médecin, confirma les dires du cocher, le corps de la jeune fille transporté d'abord au poste du Luxembourg, fut une heure plus tard expédié à la Morgue. L'homme respirant à peine el dont l'état
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jugé désespéré par le médecin, fut transporté à Saint-Louis. La convalescence, car il guérit, fut longue et nous allons profiter de la situation établie par les faits énoncés plus haut, pour jeter un regard en arrière et dire ce qu'était celle qui repose maintenant sur les dall-'S de la Morgue, ou tant d'exislances heureuses, brisées tout à coup par la destinée, viennent s'échouer chaque jour, n'ayant plus même de nom qu'un numéro, sinistre et terrible égalité pour tous ! Caroline Lavigne fille d'un gros commerçant de la rue Montmartre, avaitdix huit ans lorsque dans la maison de son père, fut présenté par un ami, un jeune homme à l'aspect doux, sérieux, aux cheveux noirs, naturellement bouclés aux yeux noirs également, qu'il tenait presque toujours baissés comme s'il eut craint qu'on n'y pu lire ce que renfermait un front vaste et présentant tous les symptômes d'une grande puissance de conception et de pensée. (A Suivre)
somme, des biens nVl-elle pas toujours été au total égale à celle des ^ le tno.lc change, . nche hier, . maux, misérable aujouruVlnii, la proportion et toujours gardée et ne peut-être changée. Bralima, Yichnoil, Jupiter, Allait ou Jésus sont les dieux in-exlrêmis de toute la fourmîllière humain.?., qui ne s'incline, qui n'use sesgenoux, qui ne supplie e! qui ne pleure, qui ne lue et qui no vole, qui ne se vend el qui ne se lai! acheier que par et pour sa Yiajuste l'Argent. •
Les conseils régimenlaires furent obligés de rejeler les demandes de sousofiieiers dévoués, nyanlfamoiu de leur 01 métier, alin de maintenir à 24.000 le n nrmbre des sous-ofliciers, alors que " la loi en autorisait formellement 27.000. « Celle manière de procéder amena uun profond découragement diez les' sous-officiers. En voici la preuve : à la s* fin de 1893 il y avait 22 200 sous-ofliciers rengagés.-Le 25 juillet îS3C3 on réc duisit d de i00 IV. les " gratifications annuelles. Ce.fut le coup de grâce. Les n sous-ofliciei s se voyaient ainsi privés paiiiellemenl du bien-èliv auquel ils ,;
pendant pi ce temps, acquis non seulela connaissance pratique du serment m vice qui lui est indispensable, mais enV1 core une inslruclion théorique suffiCl saille si pour être en étal d'instruire el t'! commander les autres. de C'est seulement dans des cas li'és ' rares, el en laveur d'individus qui font r; preuve d'une intelligence et de facultés P exceptionnelles, qu'on se départit de e: h règle de trois ans de service exigés la être promu sous-ofticier. pour P De pies, des dispositions spéciales ont. été pri.-es eu. faveur des s sous-ofliciers qui ont accompli ces s d douze ans de service. A toutes les Sociétés e ou compagnies particulières qui -sse fondent en Allemagne, à lous les élablissements, f fabriques, chemin de 1er. ele, et-l rigoureusement imposée, par ^ 'l'acte de concession, l'obliga'ion de résserver un certain nombre déplaces aux anciens sous-ofliciers De temps à autre !l ces compagnie-; doivent donner avis au Mililair WvchenbîaU, des vacances qui 'viennent à se produire dans leur pers^ sonnet Aussi est-il impossible, * lorsque ou voyage en Allemagne, de n'être pas frappé du grand nombre. e'individus à tournure militaire qu'on rencontre sur les chemins de fer ou .ullenrs, connue conducteurs, gardes, aie: Ce sonl lous, eu elïel, d'anciens
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Le compte ouvert à chaque déposant ne 11G peut dépasser 1500 francs. Les comp-
tes qui dépassent ce chiffre ne peuvent pas être l'objet de versements nouveaux ps et devront être ramenés à la limite du maximum dans un délai de cinq ans à m partir du Ie1'jauvier,1890. Pr A partir de la même dais le montant total des versements dans le courant ^(J d'une même année ne pourra dépasser .., -1500 francs (loi du 20 juillet -1895). '*'
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Les anciens de la Léylon élaienl é accoutumés. '\(En '1891, leur nombre était, de Sous ce titre une société amicale esl 21.-000. Il tombe à 20.000 on janvier en e formation à Bel-Abbès. I -7 J8U5. à-19.000 en juillet 18J5. C'esl-àA.B. Celle ville qui compledans loules les dire c que de lo(Jl à 1895, le nombre b branches des sous-oiïicii-'i's diminue de 5.000. Or de son administration, de son [nous sommes loin des 08.000 sous-ofli.j, industrie LA el de son commerce de nomciers rengagés de l'armée allemande. , breux soldais ayant passé cinq, dix ou (O WH% * s Un tiers à peine des sous-olficiers K quinze q ans à la Légion. Etrangère verra comptant, quinze ans de service-obiiencertainement neuf des emplois civils auxquels ils ont avec.plaisir se grouper c de pur la loi. tiroil i , tous ces anciens semleurs qui lous ou Le ri'iKjriijciiwiil. dea sous-ofjiciers devant « D'après la sialisque de '1894 sur tous ont soutenu les armes à 1: presque -1.509 demandes.--77'J ont, été admises la (Jliambre. t main dans nos différentes colonie? le la la commission déclassement.. Sur par (.S((?'•) -drapeau . les 798 qui n'ont pas été classées, 205 de la France où son iiemeur c A. la suite de lu- loi île 1855, l'armée ontélé rejelées pour insufiisanee d'insel c nos intérêts font porté. compl.nl 23 000 sous-officiers rengagés Iruciioi) ou mauvaiseconduitedes eausur'32 000. Aussi espérons-nous voir celte noudidals, el 533 parce que le nombre des sons-officiers. I.a législation nouvelle fil descendre demandes surpassait celui des vacanvelle société prendre un rapide "essor * De son côté, le gouvernement a pris; des mesures directes pour faciliter le ces chilires à : ces d'emploi. qu'elle esl des sympa'hies de assurée de l'armée sous-oflirecrutement En 1873, 5.005- rengagements dont en ^ « Donc533sous-ofiieiersontélé obli. Presse du monde, militaire la et. cornOutre ciers. les privilèges importants 2.80(3 sous-ofliciers ; gés ou-de eommissioimer ou de centrer al. t En i874, 7.73-8 rengagements dont dans la vie civile en attendant l'emploi concédés, à ceux qui servent en cetteï merci qu'on leur doil. .l'admet que ceux-là qualité pendant un temps déterminé,' 3.9U4 sous-ofliciers ; 'i'oidés les adhésions qui ne, seront . il écoles créé de des sous-ofliciers, a soient placés à la lin de l'année ; si les F.n 1875, o.GOO .•e.'igagenvnls donl ,'. provisoires seront reçues jusqu'à. que ' destinées recevoir à à former les et nouvelles demandes ontélé aussi nomb\30i sous-ofliciers. candidats au grade de sous-ofiieier. nouvel ordre au Café do Provence de 2 breuses, i elles atteindront" de total un Le 31 décembre 1875 une nouvelle loi 1.000 Dans presque toutes less à; 5 heures les dimanches et jeudis sur environ auxquelles nous ne pour« l'ul. volée qui accordait un certain nomcasernes, 'lés sousMillicicrs ont i\na~ la présentation des étals"'de-'services bre d'emplois civils aux rengagés ; ou rez satisfaire. Enfin, on avait promis aux sous-ofli-' chamrjre particulière, chambre quii des postulants ou-de loules rièees eût encore un résullal. négatif. ' toutefois n'est formée généralement en ciers chambre 'garnie d'un mobiune -1880, 1882 et 1887 voient apparaître mince cloison disposéee tenant lieu. (pie par une lier spécial, bien modeste doute de nouvelles lois, qui lire ni. s'élever sans de leur lil. Les fcAdwabeln\ tout autour mais leur qui donnait, de un peu Soirée Uc Gala, les morues piainlos des chefs de corps' j cou- et laochmeislcr seuls ont toujours un ] IV.:ri..; or. la moitié à peine des rengagés et des généraux que par le passé. | o'nt'ce mobilier logement spécial et qui, très sonvenl'} M. T'astide, maire -de'.noire- ville. spécial.. .; est fortin exirè-'". avait bien fait les i.a. lu: du 18 mars '188!) fui vol.ee. I disposé meublé'd'vue et choses pour celle ,* Voiia les causer qui ont. réduit à' armement xohjnêé. {Bapitôri /'armée alAvec olb.vnous entrons dans fi ne- pé--; ?ii-r -\: dix-neul: njilte'..k; nombre de ^ous-ofli- ;£ soir.ééen fhonneur de'-nôs-'M-t^iioclies^'-'-v. ' ylcmande par le géuér.u i.)aron de-..K.;uirinde nouvelle dont les résultais ontt Ciers. rengagés.. >>' '.} " :_!.bars. .-.= de 'i'J:aat-'u).ijor'russe.) »La fae.ade dii Ihéàlrë :'h-àwil janiais'' été exposés à !a tribune de luChanibie, On pensait qu'après ce langage la ' Que de choses nous, aurions encore' i elle profusion de ; litmiéres et mie au fours de la discussion du budget. ' Chambre eu ' e l'éjugemil, qu'elle rejelese l'étal dire ués sous-ofliciers ena de drapeaux et présentait tin aspect^ a sur « Si l'on avait ienu les engagements 30.5.000 s tait h'S qu'on lui Ira demande celle loi u dit le lieutenant-colonel dail de retrancher as le chapitre des Allemagne'?' j féerique. sur -• ;. 3 Gérin, on n'aurait, pas à déplorer-le vi- rengagements. Continuons à détruire notre armée: e Le Voyage en (.inné > a eié un tri- " de des cadres, La prime de l'engage-~ le faisons. A l'heure où :,il îïohs comme omplie poiur toute la houpe d" M. Pu- ' une grau le majorité le crédit àI faudra lui demander le suprême effort ment était diminué, m .is les grnlili- <:,lèA. refusé. Vl On a voulu (pie le coup' ^ ' nous l'aurons tuée cal.ions annuelles éiaien! portées deb fil, et nosVapalriés qui avaient été si '100 a 200 francs et le droit, dis anciens d'assommoir fui. formidable. longtemps' à la peine, ont é'.é pour Nous regretterons alors, mais il seii'i Triste satisfaction, ma Cou que ceilee sous-ofliciers aux emplois civils était, trop lard. L'oeuvre vanda'.e aecom(gielques heures à la joie. ra ide saerilier la défense nationale inscrit, dans la loi. pourr plie, il lestera aux hommes de coem- le ' laisser le gâchis el, le désordres régnerv souvenir du passé, le désespoir du prél^'interniède, annonce.et auquel se, Alors les demandes affilièrent.. « _ autre pari. ': prèle si heureusement, celle pièce a été Bien que les conseils régimenlaires se sent. ' e Si nous avions la place disponible, montrassent 1res difficiles, en avrilil ' 'un succès pour-MM. Slorfo. qui; ;' nousVlCTOPi. Commandant. 1801 il y avait 2L0Û0sous-o!ïïcicrs ren- nous nous ferions un devoir dé con,_ a donné la Sérénade du F ave ehanduire _ gagés, cliiiïre approchant de bien près lecteurs dans budgets les nos ? CHRONIQUE"LOCALE" son qu'Eugène 13 n il et cliauta dans ies >s des militaires celui de 27.000 prévu par la loi. autres puissances. Ils y de Paris, au bénéfice des Grou' rues verraient ailleurs la partout, plus La (pie commission du budget, effrayée ,!! « ET REGIONALE grande sollicitude acquise est pes du Corps Expéditionnaire. des lourds sacrifiées imposés à l'Etal, aux mol (lestes, mais précieux servileurs, quee intervint el. ferma radicalement la liste Burger. a obtenu un franc éclat .^ Caisse d'Kparfjiie îa les sous-ofliciers sonl. rengagés. des rengagements. ,!e n'ai pas à juger la de de troupiers, rire nos avec une lyQue conduite des membres de celle comde passe-l-i! l'autre côté du se II A partir du \<-r Janvier 1895 la Caisse !_ se rolienne et Itoussetière, jeûne barytoa Rbiu mission, soucieux avant. I.oul. de l'éco? nr. d'avenir, qui ne refuse jamais sou gramie des deniers de l'Elu!.. Mais on ,.a Nul ne peut être nommé sous-ofli- d'Epargne servira à ses déposants un 2 fr. 50 p. 0/o (décret du 27 cieux concours quand il.s'agit d'ieuvie intérêt de commis là une lourde faute qui est. le cier s'il n'a servi au. moin trois ans ls p'rinl de départ de la crise actuelle. dans un corps de troupes, el s'il n'a, de charité ou dé reconnaissance. a, octobre -1895). •
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plus immenses et nombreux. Des prairies spiendides où passent beaucoup de troupeaux de Ixeufs, de moutons, de chèvres, dé co-
dions.
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Les-habitations regorgent de volailles de loules sortes. Pas ou presque pas d'habitants ; on les voit fuir par centaines. Les maisons deviennent de plus en plus (Suite} jolies On-dirait des chalets suisses,-en voyant ces constructions légères, avec varandahs, .le ne me rappelle plus combien de l'ois pignons, cheminées, persiennes, pigeonniers nous avons passé dans l'eau depuis Andriba, etc. e fouies dans des bosquets de bois ou au moins cent fois; aussi je suis enrhumé au d'arbres de tous genres. point de ne pouvoir parler. On y trouve des meubles style nouveau, Le pays a encore changé, d'aspect. Les des ', verres, des bouteilles ; voir même des groupes S'habita ions sonl tellement, nom-. ' i caves dont on n'a put vérifier le contenu, breux, tellement raj.)proches que le pays res- taule de temps. A chaque.instant un temple; semble à une immense ville dont les maisons3 protestant avec son immense clocheton. en hameaux semblent avoir été jelés par ci1 On voit des pêchers, des orangers, des'>' par là, par un caprice du hasard. abricotiers, des amendiers. L'es roses, des liMon appréciation première sur la paresse5 las. Des mures; des cacaoueltes etc elc. des'Hovas'ne se justifie pas au plus. Less I Des iardins eolaaers. des petite radis roië° .-... champs de cullrre deviennent <'Jo plus enil i! ges, des pauue>.. en un mot, oii '.rouve-pres•
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que de tout. Mais nous ne faisons que passer, car il est expressément défendu de piller. Je crois que celte partie de l'île peut rivaliser avec beaucoup de sites spiendides de France ou d'Europe. La terre est très fertile et tout doit pouvoir : être semé, planté et récolté; . Nous faisons séjour aujourd'hui. Le groupe de réserva (1er bataillon du.203"'et un bataillon mixte de la marine, 2 compagnies Haoussas et 2 compagnies infanterie de marine) est arrivée et doit enfin participer la marche en avant de demain. On présume que la journée sera chaude. D'après les renseignements des prisonniers, les Ho vas sont décidés à défendre le terrain en avant de Tananarive, pied à pied, et la ville elle-même jusqu'à la dernière exlrémile. Il y a eu des félicitations et un bel ordre général pour notre bataillon. îii-y a i blessés d?. ma compagnieét 3 dans les avH.res. ' "; »
Devant Tananaiive le 28 septembre
Pour commencer ': Tananarive est prise depuis le 30, à 4 heures du soir. Nous sommes les maîtres. Le 28, ma compagnie ainsi, que la. première formaient l'arrière-gardedu gros convoi.
heures du malin, nous nous sommes mis en marche. La 2e compagnie (la mienne) à l'arrière. A 11
partir beaucoup de soi-disant habitants sont venus de tous les côtés ramasser toutes sortes de choses sur les Au moment de
lieux du bivouac.
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(.1 Sllivi\')
Promotions, Décorations"" '
Le Trouvère, morceau Irès-diffi-
Graines Potagères
là- 3 ans 1|2 Térésa Alniira 10 ans : Joséta Herlàs Epouse Rpblès 37 ans ; José Ruiz 30 nandes na ai1 : Charles Carpineni 65 ans : Marie Chouans Epouse Bureau 34 ans ; Louis Gusso 2 meau m an 1|2 ; François Mau-u 11 rr.os : Francisco ans
ciie quand il est sorti du cadre où il j La garnisons de Bel-Abbès, vient d'être doit'se chanter, a été d'une belle en- l'objet, p0] à l'occasion du l 01' Janvier 18116. de volée el nous félicitons sincèrement M. nombreuses décorations et promotions donl noi M. C.éronimo ESP1NOSAS négociant Morin de l'élève qu'il a formé. voi le détail : voici Marché Couvert, a l'honneur d'inau 1 Le 3 ans : Jos^fj Andiêo 13 ans lp2 ; eolonel Blanc, commandantd'armes de Moncada Mademoiselle de Liège, -gracieuseM former sa noiubreuse clienlèle qu'il Be Bel-Abbès, lô esl nommé commandeur delà. Séiérina SiezûO ans José Asc^ncio Si ans; tient à ment costumé, nous a dit une poésie disposition un grand assorsa *-e; Légion d'Honneur. Nous félicitons bien vive'1 indigène. nés -p, Pérez Guillem: el l.a->rv morts de circonstance qui, malgré l'èmoliôn ; timent de de distinction du 2e le colonel ment cette ™c bien légitime dont elle a fait preuve, Mariages GRAINES FRAICHES Spahis lequel, depuis de longues années ^p avec applaudie la été frénétiquement par a Rafat-l Beliran et Maria Ruiz ; la population entretient les relaiions les plus salle entière. de lei" choix et cordiales, donl la vie mi'itaire partiJai'.let élé Joséphine el Louis Cognier ; a et Une magnifique couronne a été offer- co culièrement brillante. plantations, fleurs, légumes, etc., Pedro Esciapez et Blanca Caudela. pour te aux artistes après le A duo des Le commandant P.abaud, du Bataillon et. à des Prix Modérés S'ub!! cations aveux» chaulé par Mme Noël el M. Etranger £( de Madagascar, esl promu officier Laborde, sans oublier les bouquets de de la Légion d'Honneur. Franc"s."o Maci.ci e: Maria Vid ;î ; fallu lel qu'il tailles de poids telles et Sont nommés cli valiers : les capitaines a Mxlul F.s.H»iio .t Fr.uicisc.i Gnr. Lt du 1e Etranger ; L;issibil e, Irésoriér venir au secours de .Mme Noël qui suc- Leray. comb dt sous le faix. di 2* Spahis ; et f'errai, du bataillon Elrandu "t de Madagascar: le lieuleiianl V.enFréah,l 'Jfomm.e toute, excellente soirée qui i uer i du 2,: Spahis. [ de tous, car Gl restera dans le souvenir -.elle est l'oeuvre d'un patriote — j'ai: ? Sont.décorésde la médaille militaire: 1°'' Etranger, l'adjudant Vandemboscb, nommé M. Llastirjp — qui savait trou- le Au sergent-major Ancel. les sergouls Massard, CIGARETTES ET ver dans M. Petit, et' son excellente "Wurtz, -^ Kari ; le caporal Merygers ; les soliroupe, un concours aussi dévoué que3 dais d, Larrivèe, Kollmar, Van Buren, Chariot, précieux pour donner quelques heu- Paquet, p. ' Mademoiselle Suzanne VÂLLOUY, à revenaient d'illusions qui à t ceux Au Bataillon Etranger de Madagascar, les res qu'elle public le d'informer l'honneur d'assumer sous un climel meurtrier laX caporaux Kirmser, Wirlen ; les soldats Hi c; Madame de tabac de pris le bureau a b "Woehllp. Woe.brel. lourde eiglorieuse lâche de maintenirr bo!d, , ROQUEFÈRE, silué rue GamEmile Au 1K Spahis : le cavalier Mohamed ben haut et ternie le drapeau de la France.;. N«21, bella. L Laredj. terminons le meilleur, Nous par Mademoiselle Suzanne VALLOUY se c'est-à-dire par la musique'du 1^'Etrani* * clientèle nouvelle recommande à commandant Coville, l' Le du Etranger, sa rivale "sa en'Algérie. qui ira pas ger e promu lieutenant-colonel. par des marchandises de Ie'- choix, :_• est Elle s'est fait entendre"dans la WalnLe capitaine Verraux, du lur Etranger, et sans cessj renouvellées. rie, 1er morceaux de la musique dee chef de bataillon au 54-- de Ligne. Wagner, qui a résonné sous la voûte. eest. nommé Le lieutenant Burel, adjoint an Tréso— de noire lhéâlre>:lnuliie de dire.qu'elle rier du 1"-'!' Etranger, est nommé''capitaine SÏDi-BEL-ABBÈS au / DE COMMUNE -applaudie, ainsi chaudement élé que -.corps. a - . c partitions. dans les autres Le lieutenant Talion, du baUillou Etranger Nous adressons nos sincères félicita-, i- de c Madagascar, esl nommé ca Haine au 1er lions de sou chef éminent M. Pqrsch, 'j Tirailleurs, à Blidab. "Le lieutenant Rosanel, du Bataillon de r's" — Nous l'appelons à nos 'lecteurs" ï est admis au titre français. •Q Madagascar, que ce soir aura lieu avec le «Maître' Toules nos félicitations aux nouveaux pro-' de Chapelle» et « ikvydée » ' la soirée ÎQ comique ' ' ie musau bénéfice'.du .sympathique ..,.' Hcctificàtion ; .;:; MICHEL. ,•:.. . Une omission regrettable s'est produite à. Nous soiïmies. persuadés... que. n.o$; 3S . dernier tirage.:•. notre ' eonciXqyens'": qui, cértes-foni-tous ap,.: ,>_ Lors de l'arrivée des rapatriés de, Madagas,|' iirécié.danslpus les rôles'sous lesquels des couronnes offertes par léoutre en car, ..^.. le'' n'oublieront présenté s'est il pas diiî'érenles corporations il faut mentionner 1896"L'ANNÉE" chemin du ihéàtre ce soii" afin de cloiiFOUR n-- celle de la Fraternelle " • ^ société dé aym« », ii- . nastique. ner à cet, excellent artiste un témoi' ra ' gnage de sympaihie qui lui conférera Chevalier de la Sidi-Bel-Ab!:ès, de ' Coninnine la Mïiirc de Le ;: droit de cité. ' ; ;: - : Léiiion d .1 loiineur, porte à la connaissance des Enlrepeneurs de travaux Après le rire les larmes : publics qu'il sera procédé,, dans une des salles de la Mairie, aux dates A la fêle defe cheminots c'est l'infor>rsoumissions cachetées, rabais, Saumon saute l'adjudication fixées ci-dessous, à sur i au tuné Scliali, un légionnaire, qui .se lue ne d'adducet; d'assaiisissenieisi, des dislincls, travaux 9 lois des:branches bien frais, Coupez du en..petites coupant Iranen pour orner er en sainnon !la mairie, hier soir.c'esf encore un lé- ' çhet minces dites escrlopes ; n'y laissez pas dele lion d'eau. gionnaire qui' tombe de la deuxième ne peau ; parez ces tranches en rond el applaiisse» I ÉVALUÉS COMME IL SUIT : SONT TRAVAUX CES galerie sur la plate-forme extérieure Ite les avec la lame d'un couteau trempée dans de l'eau froide ; faites fondre du beurre dans une et qui se fend la te le. — i y, S POMMIÏS. MONTANT 11 est vraiment malheureux qu'à toute lie casseiole à sauter, plac<.z-y les escalopes les MONTANT ÎJA'IICS des à val«.ir îles 1-1KUUES % DÉSIGNATION D12S TllAVAUX el- unes à côté des autres ; salez, poivrez et sautezgailé la 'fatalité- veut qu'il se môle queld,lS ciiiilionncincnls ci.nipriscs eiilr<:priscs -iiljii(lictiHnn« ~ larmes. cuilleles. Mettez dans casserole quelques ques une y . ___.__™ Nous espérons que cet accident n'au_____ __ IU- rées de bon bouillon réduit : laites chauffer : ra pas de suites mortelles el que le ajoutez le beurre qui a servi à sauter les escalo10 Février 5 heures t Conslni' lion d'iiii réseau d'é700.000!'. 00 58.2!'.) f. 25 25.0001.00 soldat..Marchand, la victime de cet actC- pes et le jus qu'elles ont rendu, puis du persil g()Ills cident, en sera quitte seulement pour )Ur haché et blanchi, un peu de muscade râpée et 2 Canul d'ameiice des eaux d'eRéservé quelques jours de repos. du jus*de citron, liez la sauce avec des jaunes aouls aux eliamns (l'épanf.05 3.000 T. 00 ;;io-e 6S.O00f.CO ".
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d'oeuL et versez-la sur les escalopes bien égouttées et dressées en couronne sur un plat.
M.DiUnianft-propriélaireau faubourg jrg Négrier, a été victime d'un vol de la. EtalICivil de Bel-Abbès part de légionnaires. Les coupables retrouvés sont à ,la 95 janvier du 27 décembre 2 98 au disposition de l'autorité militaire qui a ' Naissances '--.'' ouvert"une enquête.
"Correctionnelle
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Jean Keller ; Joaquin Puerta: ; Elisa Santa Ma*rla ; Antonio Santiago; Michel Dombusch ; José Garriga ; Antone Bordonado ; Nessim Ben Moucha ; Joseph Juan ; José Ruiz : Elie Amouyal ; Eugénie San.chez ; Ernestine lîed'os ; Francisco Cano ; Camille Larroque ;• Aicha Amsa. lem.
buDans sa séance, du 2 janvier le fribumal-correctionnel; séant à. Bel-Abfiès ,s aa prononcé les condamnations suivanan_ tes. François Pierre Louis, pour contra-: tra,_ vention à.un arrêté d'expulsion. 15 Deces „, jours de prison. Dolorés Capel 36 heures ; Lucien Expert .4-2 ' Reguig Mustafaben el Habib, pour ans ; Francisco Beltra 68 ans ; Pedro ZampraSl outrages publics à la pudeur, 25 francs ans ; Mariana Garcia 5 mois ; José Bustos 35 d'amende. ans ; Eugénie Pirot Epouse Michaud 23 ans : à Seva Raphaël et Lqpez Frasquito José Rodriguez 2 ans ; Zéphir Hubert 49 ans ; ' 16 francs d'amende chacun et dégradaIda- Francisco Egea 6 ans : Joséphine Lirick 18 mois; tion d'objets publics. Joseph Blasco 62 ans ; Josef Bautista 2 mois : Blanc -Gonnet Louis (> rnois de prison Mercedes Palanzuela 23' ans Célestin Bouché ÎSOII j. 5ii ti;;. ;''-r-lieiTe *\'u::mBàu Gf) ans ; NiévèsGontanour grivellerie.
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3 Galerie de caplage.
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Canalisation en ville el dans 205.000f. 00 Hi.093 f. 88 les faubourgs'.
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j 12 Février 2 heures
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d'amenée des eaux motrices et potables à l'usine de reloulemenl. — -, Canal de décharge, puils des vannes cl de là turbine. 1G8.0Q01.00 15..G0IC19 99.ODOf.O0 8.796 1.20 13 FéviLr 2 heures 8 Réscrvoirde rése.vc. . . . Réservé 9 Gonslruclion.delavbirs, abreuvoirs, chalets de nécessité dans la ville et les faubourgs .34.600 f,00. 3.147 C10 7 Conduite
7.000 f. 00 5.00ÛCOÛ
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1.500C00
Les Enlrepeneurs pourront prendre connaissance des dossiers tous les jours non fériés, dans les bureaux de M. l'Architecte Communal, à la Mairie. Bel-Abbès, le 24 Décembre 1895. Le Maire, i91,v'' .'"I-.'.-:;..... ;..;','..':,".', BASTXiJE.