Le Messager de l'Ouest. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 080196

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Le Messager de l'Ouest (BelAbbès)

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Le Messager de l'Ouest (Bel-Abbès). 22/05/1894. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.


PREMIÈRE ANNÉE

NU

CINQ Centimes

38 .

Bd-Abbès;le 22 Mai I89i-

.

'•

-

MARDI

22 MAI 1894.

le choléra sévit de nouveau : si de l'époque ; il n'a point, sion de cette guerre impolilique, ils mais nommées i n l'année de la famine. Tout à oublié les sous-ordres ni les petits sont . c s< encore licenciés et réformés c'est le canon allemand gronde sur soldats, celte graine des batailles pour retourner en Algérie sous le. coup c p f territoire français ; les bataillons le ti de 2e Lésion étrangère. sur laquelle tant d'ambitions mai'- titre En 1859 on la signale à Magenta -cdelaLégion sont bientôt sur la Loire. client sans pudeur, sans conscience, DELA (. se liai, de tous côtés, on évacue comme s'ils n'étaient pas les élé- où o le général Espinasse est tué ; On ( Légion Etrangère mp.nts essentiels desgrandes actions. puis en désordre, on se rallie\: sur le Mincio, à Milan , puis Orléans Bourges : une certaine désor-^ Nous avons encore en Algérie à Solférino. Enfin à Paris pour dans c envahit nos cadres. Le partie de l'entrée triomphale ganisation des ouvrages qui traitent des guer- faire f ;: 1 Régiment. Etranger soutient la reLe général du B a rail qui vient res d'Afrique, et le principal est de t l'armée"d'Italie. de l'armée de l'Est dans le de se luxer l'épaule en tombant de sans conteste l'histoire de la Légion En 1862 le 1er Régiment Étran- traite t cheval a publié tout récemment un étrangère par le général Grisot et le ger réunit, tous les ^glorieux débris Doubs. ] <; livre qu'il a intitulé ce Mes souvenirs» lieutenant Goulomhon. de la Légion à Oran et recommence 1871, après quelquesjours deEn c Il doit en posséder en effet, un Les auteurs commencent par si- . l'interminable 1 guerre d'Afrique. les Légionnaires sont, appelés repos, , contingent fort complet et fort, gnaler les nombreux corps étranPour la première fois le choléra au second siège de Paris, font la . curieux: ses souvenirs sont presque gers qui dès les temps reculés de la assaille la Légion ,qui combat les guerre de rues contre la Commune ; , d'Afrique, ' monarchie, ont servi sous le dra-- ;Beni-Snassen. Beaucoup de i noria- et plantent le drapeau sur les Butt.estoute l'histoire de l'année , vieux contemporains, mais pas un instant de défail- Chaumont. ! surtout, de ses peau français non seulement avec lité, lance. généraux, de la conquête morts au-- ardeur, mais avec conviction et. iicl Après cette longueel douloureuse jourd'hui pour Sa plupart mais noni lité.Dans la salle des maréchaux'à Ici.nouvelle transformation,la.Léde î4Yanee, tous les bacampagne pas oubliés. Peu à peu la colonie' Versailles, nous voyons Rantzeau gion devient le 1er llégiment Etrau- taillons .auxiliairesviennent se refor«égarera'-.:"le.,b.-urs; bnsics , et.. los.;. et .Lowendajil. .attester a. .,1a. j'qis.;,.jes .;,;, ger et. après deux, ans d'inaction, Mascara.et la Légion Etranmera villages perpétueront leurs noms..' services rendus et la juste reconnais i envoie deux bataillons au Mexique, gère reprend son nom. On. retrouve dans ces légendess sance de la patrie française. ('1863) sous les ordres du colonel A partir de cette époque -—'('1871) écrites à l'âge de 74 ans avec une' Sans cesse licenciés etsans cesse, -leannigros. On escorte les convois la province d'Onequit plus elle te n'en altère qui correction de style auxiliaires d ans I es terres-cl m 11 d es et 11 n e coin pa- rélbrniés, ces régiments des détachements mais envoie ran, lotique, l'originalité d'interminables succombe nullement gnie toul entière ont passé par anec presque ava, auTonkin où elle rend de brillants . mémoire la dont Carnerone héros 1831, Léde qui fut d'arriver la au'combat le estI tars avant à où tous ces services ; toujours citée dans les rapAlgérie fait d'armes de la populaire pièces de plus brillant fut restée créée Loui.es comme-' gion en cainsous; inflexible bravoure. ports son pour de la dans les moindres villages, le nom qu'elle conserveaujourd'huii pagne ; un contre vingt! Les lièvres 'à 0 n 1 a d éd oubl e en d eu x régi m en ts métropole. et mise à la disposition de l'Espagneï paludéennes s'en mêlent, la moitié, Bugeaud, La ni o ri ci ère, Ghangar-"."' avec son premier colonel Slolfel. de la Légion a disparu. Un contin-. èl. dès ce jour, nous allons les voir nier,Pélissici\ jk'rnelle.Monianban, En 18:i-0 nous la retrouvons for-- gent arrive deBel-Abbès et le Régi-. courir en iivaiisa.nl. o'énergie aux ', Danrèmont. Canrobert, Chanzy, et/ :'!-/ mmL deux régi m in ts, avec Macment Etranger reparaitàiiialaillons- champs de bataille les plus éloignés, d'autres.et encore d'autres que les's Million déjà lieulenanl-colonel, mc-- complets. On est à Puebla, puis ài toujours fidèles à leur serment et. destinées ont séparés du faisceauu lée à toutes les phases de la guerrei Oajacca, à Potosi, à Mexico, par-- dévoués au drapeau de la Erance. Depuis lors la Légion ne connaît algérien, que la guerre a décimés d'Algérie. tout... ' "•s Enfin en 1867 les glorieux débris,s plus d'oisiveté: elle recule nos fronEn 1854: les deux régiments sontt dans les pays les plus divers, les ÏS plus lointains ! en Cri niée.sous les ordres du géné-i- du Résiment Etranger reviennentt tières du Sud et fait presque seule L'auteur, n'a. pas consacré exclu-:i- rai Carbucçia. Ils se distinguent à en Afrique avec le colonel Guilbem.i. la conquête du Dahomey. Ce.sont sivement son livre aux grandes re:- Le poste de Géryville est fondé ; des faits d'armes contemporains que e- la bataille de l'Aima. A la-conclu.

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LES GALANTERIES D'HENRI IV

.'''.••

lit le roi. Toutefois, je vous reprocherai d'avoir dit à votre ami Rohau que cette dame de vos pensées! est mille- fois plus.enchanteresse que Marie de Beauvilliers elle-même. Mille fois .

!

ventre-saint-gris ! vous conviendrez que c'est un i '.;'. ' i Sire, puisqu'il y.a supension d'armes, et que peu lort ! -Rouan est un traître, dit'Bellegarde avec vous daignez laisser les ligueurs en repos, je viens — vou'i demander la. permision d'aller à Cceuvres. embarras ; il m'en rendra raison. Ce serait plutôt-à moi de croiser l'épée accordée,, mon cher . — — Permission vous est Bellegarde, répondit Henri IV qui, assis à une avec vous pour l'honneur de. ma da.ne, repartit table dans son château de Mantes, écrivait à Te roi en souriant. Mais ventre-bleu !- nous ne Marie de" Beauvillers. Car; toutes les fois que : sommes plus au temps de ces preux qui ne perle Béarnais ne s'occupait-ni de guerre ni d'affaires.,;, mettaient aucun .doute sur la beauté supérieure de leurs maîtresses. il s'occupait d'amour. . Merci, Sire, répondit Bellegarde, vous ne — Même al ors qu'ils n'en avaient pas,répliqua. — Bellegarde en reprenant"son aplomb...'Pour moi, pouvez me faire un'plus grand plaisir. : féal ! dit le roi en quit- ' reprit-il, avec tout autre qu'avec le roi, j'imiterais*-' — Tant mieux mon ".. tant la plume et en regardant le vicomte avec volontiers les preux dont vous parlez. finesse... Ah ça ! reprit-il, vous êtes donc bien — Bah ! un duel ne prouve absolument rien à cet égards et le plus petit portrait, pourvu qu'il amoureux, et elle est donc bien belle ? beau rêve Sire, répondit soit ressemblant, en dit bien davantage. — Belle comme un merveilles qu'on ne Bellegarde avec enthousiasme; et je suis amou-' — Il est vraiment des dépeint,jamaisqu'en les affaiblissant. *,'. reux comme un fou. . je C'est très sage, et vous approuve, repar-. -^— La vôtre est-elle donc de ce nombre ? En

vérité., Bellegarde, vous piquez singulièrement ' des yeux bleus d'un brillant à éblouir et d'une

ma curiosité. Voyons

!

dépeignez.:moi votre

merveille. — J"e ne saurais, Sire. —Allez, allez, je sais, moi, que vous décrivez comme un poète — Un poète même resterait au-dessous du modèle. — Un amoureux comme vous aura plus de bonheur. Je vous écoute. — Vous l'exigez ? •—Je l'exige, s'il.le faut. — Eh bien ! Sire, figurez-vous d'abord une blancheur de cygne, une fraîcheur d'enfant, une élégance d'oiseau, une pureté de lignes à désespérer la statuaire grecque, et dix-huit ans. Voilà pour l'ensemble; Pas mal, pas mal, 'murmura le roi qui - T— écoutait d'un air moqueur, en faisant pivoter les deux pouces de ses mains, placées sur son ven..tre légèrement rebondi...'Voyons maintenant.les ' détails. " ' '. blonds d'une nuance — De longs cheveux céleste, encadrant l'ovale le plus harmonieux ;

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douceur qui égale- leur éclat ; un nez d'un dessin suave ; une bouche où semblent se reposer l'enjouement et l'amour, et parfaitement garnie ; l'oreille petite, vive et bien bordée ; la gorge d'une beauté... à faire oublier toutes les autres. — Hein ? plaît-il ? Pardon, Sire, excepté.;. . :— — C'est bon, continuez. . Je n'ai plus q'un mot à dire, c'est que la — ,. taille, les bras, la main, le pied, tout répond à . la tête-et forme un chef-d'oeuvre qu'il est difficile d'admirer impunément. . bien séduisant. N'est-il Voilà portrait un — pas un peu flatté, en. conscience ? l'original vaut mieux — En conscience, Sire, encore. donnez une — Ventre-saint-gris ! vous me furieuse envie de le voir. A-:-el'le un joli nom. l'appelle Ondine. — Depuis son enfance on -'- Charmant! c'est un surnom,,n'est-ce pas ?

(;i Suivre) _.


{orn aujourd'hui des lac*".. Ce cataclysme a appétits, il importe aux Français une ù\ ui certaine impression parmi les formant frappé de terreur tous les survivants qui fuient "*ap véritables de di i les garanties , proléger députes. \( dam toutes les directions. dans constitutionnelles Mais l'ordre du jour ne comporet de défendre Exécution ce ]Emile Henry a été exécuté hier matinal la pas de discussion sur la magisavec un louable acharnement l'indé- tant a** , heures. Plus de 1000 hommes de la Garde heu pendance de la justice, la , de il d de âme tr trature pi s agissait un coup : républicaine répi et autant de gendarmes et agents deJpolice avaient été réunis pour cette opération nation politique contre le parti de et seule base inébranlable de mauvaise n ir qui n'a rien eu d'intéressant. Y. l'Etal. socialiste le et de coutume, des journaux à sensation se coup a porte grâce a c Comme ?",t servi des colonnes de détails hyperboliques La ruade qui est venue frapper l'audace 1'; du ministre et à la capilu- ont à l'avidité de leur clientèle. inopinément en pleine poitrine l'ho- lation il la de la Chambre. —= Laissons fructifier celle victoire norable n Les procureur de la République à Sainl-Nazaire, pour ne s'être pas à la Pyrrhus qui crée de nouveaux inspiré de l'esprit de vindicte du adversaires ii à l'opportunisme. A Soliès-Ponl, on fait une culture a< du cerisier. Cet arbre y Quant à ce qui concerne l'invio- particulière ministère, Pa n ne pouvait passer inaperrécolle donne chaque printemps do une .' 1; labililé . devant la Chambre quelque dé--.. de la ma- abondante et. l'indépendance çue c ai3 dont partie est expédiée en gradée fut-elle ; c'est le député de la gïslralurc, rappelons-nous les tribu- primeur à.Marseille, Lyon et Paris ; pr g g c]eLÎreste sert à faire des confitures el lt auxquelles elle a toujours été le Vienne M. Bazille, — rien de coin- lations > du Kirsch. Pour la cueillette qui ne du e bulle dans notre Algérie, du fait dure nînun avec l.e personnage de Molière, en que trois ou quatre semaines, on grand renfort d'Italiens, d des caprices de l'exécutif aussi bien emploie ?" un qui s'est avisé de revendiquer le — joueurs d'orgue ou marchands de lide l'influence malsaine des ]libre arbitre du magistral. q que par- '„L1 gurines qui considèrent celte .petite Les exemples ne man- vendange comme un délassement anv,e M. Bazille dit simplement d'ex- lemenlaires. " nuel de tradition dans la contrée. ,n quenlpas:il de si récents cellent.es choses. Il se place au point Qi yen a c Celle année ces étrangers ont élé en la citation superflue. devient de c que de l'ordre judiciaire : en |u avec les journaliers du pays, et lutte c vue ., Engageons-nous donc à soutenir la gendarmerie a dû s'interposer. Je crains, dit-il, qu'en volant la deLe sous-préfet de Toulon a l'ail arédifice pierre angulaire de celle tout Messager l'Ouest. de mande « » * en autorisation de poursuites,, trentaine des perturbateurs * ° rêter rc une social, si nécessaire, colonie . à une 14 français qui sont en prison <j( dont. vous ne soyez amenés à sanctionner s J.D. le bon plaisir et les razzia 'ont en ei attendant mieux. c une théorie éminemment regrettable. où Il exisie dans la population un cer1 laissé d'amertume. tanl.de ferments Vous quel administratif f à acte savez tain émoi causé par celle mesure de sec Se ; veux faire allusion : à la mise àia1 L'indépendance et l'inamovibilité rigueur je y\ appliquée à des citoyens du retraite d'office d'un magistral qui a1 deslribunaux doivent, être lepremier pays,qui sont connus pour d'honnêtes P; t i fait devoir en obéissant à su cons-" son gens. d'une République honnête et. ^ ______ gage Tout le monde sait à celte heure cienee et qui, pour cela a élé sans "jla sauvegarde suprême de sa vitalité. avertissement,, frappé par le ministre. M1LITARY que le député Toussaint sera pourJ-DM. Bazille estime que cet acte estt . suivi : la Chambre ayant démenti sa D'après des communications parve' grave et. il a raison. commission devant le spectre de la 1res A à Alger, il y aurait eu rébellion nues Puis, les rappelant, faits comment crise évoquée par le ministre Casis àa Sjfissifa du petit détachement que le sont produits, le député de la1 Y Etranger y entretient' en garnison. se mir Perrier. ; Par ces nuits de printemps, une *2« qui commandait ce poste a foule l anxieuse stationne sur la place L'adjudant .", Nous ne prétendons point résu- Vienne ajoute : contraint de fuir au milieu de la élé e ' la Roquette pour voir guillolliner brousse Un procès-verbal de uendarmerie a,, de j-, et de s'y tenir caché. mer cet événement dont de noml Emile Henry. La police qui cherche ' collègue, M. Un officier supérieur a du se rendre dressé contre notre breux journalistes se sont faits les été ' évidemment des complices, observe sur les lieux. ( Toussaint, qui auraitdil des femmes si à : . Laissons rapsodes. la politique et. physionomies sans succès. ' faites pas a.ltenlion aux insolencess les «Ne plantons nos choux, disent les co- do la gendarmerie !"<v Le journal officiel a donné connaisAvant l'aurore le public, est. au compublic de la nomination du sance au lons fortunés et les bourgeois à larble de l'écrassement mais '"' ' après le ; Noire col lègue a élé arrêté et conduit5 général Rourdioux à la direction des ges cultures. Certainement que tout devant le procureur de la République, lever du soleil, tout se disperse comme ""jdéfenses coloniales. C'est le général Coifl'é qui est appeest bien dans la société pour les et ce magistral, jugeant d'après sail.. un brouillard, el cela recommence 1< à remplacer le général Ferron. lé chaque nuit. après interrogé conscience, avoir les ,s ventres pleins et il est Irèsinulile de Si l'exécution avait lieu à huis-clos, gendarmes, collègue les noire et. toutes ,j. parler pour ceux qui sont vides. Deux anciens colonels de la légion le .projet loi le de deaVaienl assisté à ta., comme nouveau Barbercf el Walringues qui ont"_ , MM. Mais dans les débats relatifs aux personnes qui autrefois le 'P-1' Etranger, scène, ;. considéré qu'il y avait lieu dee mande, toute celle masse de curieux commandé c poursuites, il est. fait allusion à un mettre M. Toussaint, en liberté. croirait, qu'on lui a escamoté son sujet sont désignés dans la réserve : l'un au s '1 19e d'infanterie, l'autre au 3bX échange d'un cadavre quelconqueen acte regrettable et arbitraire qui J'aura's compris que M. le garde des ;s de l'hôpital ou de la morgue. donne la mesure de l'empiétement sceaux, 'aussitôt averti, envoyât, des ,s Le général,Hervé chef du'P> corps, bran depuis trois jours. 11 devra du pouvoir sur les immunités de la instructions au magistrat. Celui-ci, L ''' cest à La police continue a rechercher vai- venir à Bel-Abbès passer une revue géplacé fonction consciencl entre sa sa -,_ ^ magistrature. l'auteur de l'explosion de l'anemenl nérale d'inspection. Peut-être dècideaurait, exécuté tes ordres, ou i ce, ou lU La presse, algérienne non salariée, aurait donné démission. ra-l-il l'exécution des grandes mmioenKléber, 11 en est autrement ài i venue sa vresqui défendu nous ont élé annoncées comme mainte fois l'indépendan"* a Mais il n'en a pas élé ainsi. M. le Liège où le prisonnier Muller a fait. prochaines il y a quinze jours, et qui 1 confession. toute de tribunaux, sa auxquels impo- garde des sceaux, n'a pas envoyé d'insce ses s_ consistent à la mise en contact des 11 a désigné de nombreux complices. d'Oran el de Bel-Abbès fisaient les exigeances comminatoires^ tractions à son subordonné, il l'a mis js garnisons , ^^^: igurant d'un côté un débarquement et 'a de députés et de ministres alliés à d'office à la retraite, et ce dernier n'a de l'autre côté la ! l'attaque du INFORMATIONS . pays, YOf/icicl la appris sentence que par des fonctionnaires dont le dévouede la. voie ferrée et l'a défenprotection qui le frappait. de Bel-Abbès:. se passif bravait, ment toute humilia—t, Quelle est la conséquence d'une ie Espagne tion. semblable mesure '? (l'est, qu'aujourrTRIBUNAUX Le /procès des anarchistes de Barcelone estt C'est en Algérie surtout qu'on ai d'hui, dans tous les parquets de Franterminé. dire sait comment, on peut, être mis à un tribunal — « condam- ce, on as Six ont été condamnés à mort et quatre auxs R assois veUé «les Cr««s pu galères du Roi pour la vie. nez-moi cet homme là, » comme en d'office à la retraite. On écrit de Compiègce : Quant à l'anarchiste Martin Borras, il see M. Bazille adjure ses collègues de jf» confirme qu'il a été tué dans la prison à coupss temps dé guerre un général dit ài En août, un cultivateur des environs avait de bâton ou de massue. fait opérer le battage de ses récoltes par plu,in son piquet : « fusillez moi ce trans-- protester contre les pratiques du .-. , fuge. *>) Et le tribunal obéissait servi- ministre Dubost : Le huitième anniversaire de la naissance du sieurs jeunes gens. Le travail terminé on s'était mis à manger et encore plus à boire. Or, à la été célébré grande Madrid. roi à en pompe a lement. fin du souper, une femme du voisinage qui se Au point de vue de la liberté des ' - . es • • . de la côte atlantique était . Les magistrats intégres, il y enl citoyens, il est écrit dans la loi L, escadre française — que à Cadix le 19 courant. Des officiers sont allés"";s trouvait là, déclara qu'elle donnerait bien cinq .ïe jusqu'à Séville où on leur a fait une bonne ré- francs, si parmi les jeunes gens, il y en avait deux ..a encore! — les magistrats conscien- les procès-verbaux de gendarmerie qui consentissent à lutter et à laire, dans le coscieux qui se sont refusés à cette in- doivent être contrôlés par le procureur ijY ception. tume le plus simple, des cabrioles. Cette proposide la République, chargé de dignité ont été changés de place,, sauve11 y a eu une émeute à Léon, où des soldats tion fut acceptée par deux des assistants, qui :s '' ont été tués. refoulés dans l'oubli, acculés à forcee garder notre liberté à tous, quittèrent immédiatement leurs vêtements et se Eh bien, avec la théorie de M. le livrèrent ainsi, dans la cuisina de la ferme, aune de dégoùs à la démission : ils ont vuL1 Les six condamnés anarchistes de Barcelone .' ' ie garde des sceaux, ce ne sera plus dé,. de pugilat . la galerie. qui-divertit toute sorte [e -été exécutés hier malin. Cette sextuple briser leur avenir, parce que leurr sormais le magistrat qui sera le juge, ont On alla même jusqu'à réveiller des ouvriers exécution a eu lieu dans la prison. 2,'e, avancement, a toujours dépenduLI ce sera le gendarme, qui dormaient pour leur faire savourer ce ,spec"Venezuela d'une association impérieuse devau-j. Esl-il possible d'attenter aussi dijr tacle d'un nouveau genre. Le maître de la ferme Un des grands sinistres du siècle vient d'avoir i- avait d'ailleurs pris soin de iaire apporter sur le l£g lieu dans la république de Venezuela. Un tremlours, qui depuis vingt, ans rongent, reclement à la liberté et à la conscience blement de terre qui fait pendant à celui de 1812, sol une paillasse pour rendre les chutes moins d'un magistrat -i les chairs vives de la'France et la arasé les villes de Mérida, Lagunillas et une le dangereuses. La lutte terminée, les champions Avant de voter, vous vous demanquarantaine de villages de la province de Caracas 111empochèrent les cinq francs promis et chacun poussent à l'anémié. désolation comble. où la derez s'il ne convient pas de briser est au 3er le fut moins quand Au milieu des fluctuations politiLes désastres sont considérables : il y a eu s'en alla satisfait ; mais on i- dans l'oeuf des théories de ce genre. apprit qu'il allait y avoir des poursuites en des affaissements du sol et des populations on [ls Cesjustes observations produisent que aiguillonnées par d'ignobless J-llt entières sont ensevelies sous des amas d'eau, u, police correctionne le pour outrage public à la

tout le mondeconnaît. et sur lesquels il serait superflu d'insister. Impérissable comme monument historique d'une incontestable au•'thenlicite, le livre du général Grisol et du lieutenant. Coulonibon cornme celui du général du Barail, devraient être inséparables de la bibliothèque du soldai africain. Malheureusement Jls ne peuvent trouver place dans un sac dont la profondeur est déjà occupée par le légendaire bâton-de Maréchal. Mais dans une grenade écarlelée qui ne comporte qu'une feuille de carton, nous avons pu réunir en un glorieux faisceau tous les faits d'armes accomplis par la Légion Elrangère, bataillons et régiments, depuis sa formation régulière en 1831 jusqu'à nos jours. On peut se la procurer dès au jourd'iiui à l'imprimerie du

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pudeur. En effet, une information fut suivie, qui eût pour résultat d'amener devant le tribunal les deux athlècjs, l'aimable femme qui, quoique mariée et mère de famille, avait offert la prime du combat, et le fermier qui avait tout a la fois prêté sa cuisine el sa paillasse. A l'audience, le substitut a requis l'anplic.nion . de la loi contre les quatre prévenus. M* Gui!, ces derniers, , ,louzic, . a plaide qu n n y avoue, de avait pas eu de publicité suffisante, et, d'autre part, s'appuyant sur des passages de 'Tclénuique, • il a soutenu qu'il n'y avait pas outrage à la pudeur, puisque dans l'antiquité de pareilles scènes avaient lieu devant des milliers de spectateurs sans que leur pudeur en fut effarouchée. Mais le tribunal n'a pas adopté-ce système renouvelé des Grecs, et il a condamné, soit comme auteurs soit comme complices du délit, les lutteurs chacun à huit jours d'emprisonnément, le fermier à quinze jours, et la provocatrice dé ce divertissement fm-de-siècle à un mois de la même peine, mais — chose assez piquante la loi Bérenger. — avec bénéfice pour tous de (Julransigeanl)

Procès-verbal en a élé adressé aux Sociétés 1' concurrentes. l-'nn( La commission se propose de donner des L courses d'automne, s'élaul trouvée satisfaite du '0.li résiliait de celles-ci.

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de;ses hauts laits qui vient d'avoir lieu à C;i::;i/:y ! de de di: lance du ciief-lieu est le iiw;ii;:i du A c pou sieur b,le' D... où par une hréciie pratiquée au mur des voleurs Ires avisés ont pu s'emparer d'un ",t co'iVe-ibi'i conleuani un tnillierde francs el quel(jiies billets de commerce. L'instruction ne p.irait (,,,, pas pa:- dit-on avoir trouvé jusqu'ici la bonne pisie.

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***>X-;ÎO!.!*':'''«:ÎÈ.

— Deux garçons arabes

, lîel-Abiies ont élé engagés pour l'exposition de de Vienne par un hongrois, qui. les emploiera (u au service de cafés. L'imprésario a également

engagé une lille indigène d'Oran. "%"."3.-; " _;:>?-•:'.•!.

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— La seiï:-:si"e dernière deux

bicyclistes. se sont heurtés au eareloue l'riidou bi. éprouver de cirMes graves ; il vient d'en s.-ii sans 0!; élre aulreinent à Oran où il. Dandine a eu dans ""'." uv,:%. rencontre h; coté droit tan! soit peu meurtri, „• pénétré p:-:r des éclats de verre provenant ei Yd'une Unie i irisée dans sa eiiùïe. En si^n::!:',ii!. ces arci-.lenls nous demandons P'1 la iroisi'-nie ibis tpie la w. toute vitesse » soit \wv.v interdite en viile. '''

Un gui svlvam nous ojïril sa villa... Je m'en souviens, je m'en souviens encore, Ahtis les a ni.mis ne son! j lus là

Asc~iîi--îii. — L'alleiage de il. Louis Maîlci propriétaire aux environs, était confié a un inPestropié, pas tant cependant qu'il ne pni digène r. jouer aux cartes. Ces! pendant celle disirac'jj(

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, hii vain , j évoque une cpoque pre,ane Les souvenirs on: trcu!-!e ma raison, Du fil rompu de la ;>.v.'." Ariane

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B'oBfcîsr. — Dioianchc

»! aoc:!c e! bien ,. s. •e,

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Pour un ma>i jv.isa;! trêve îi l'amour pour gage

<_! mon a.nanl ion! moi dernier beau jour. Sur ce tilleul un ni.! ve:i.:i! d'é'dorc Oui sous le /.'.';:;/ ,'/t'.v -baisers s'envola, tK..(i;/.v eûmes perr je m'en souviens encore.

Mais les oiseaux ne seml plus la.

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1VBelle forci sombre cl consolatrice Rends la sagesse à mon ctvur agile ; 'De mes regrets réprime i'injn.iiec 'Puisions fidèle <; /./ ma ter a lié. :ÀCon bon tgon:; proteste qu'il m'adore, Depuis quinze ans il ne d'il que cctéi :

En vérité, j'aime à le croire encore, SiCnis les amours ne sont plus Va. DUCUU

t

Dans les CommissarkUafj M. Ponticelli, commissaire de police de i"".1-' -c classe à Philippe-ville, est nommé à (Iran, mêème classe ; 'iL' M. Bonnardcl, commissaire de police, de '•'s classe à Alger, est nommé de 21-' classe à l'hilinp-

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lion que le cheval s eniiniiia on ne sait pourquoi el. alla cn'lmler la voilure contre un arbre deel'hôpital où il s'abaliil.. ..rière Aucun accident de personnes à noter.

Les bouts ue:u!n su:: gisent sur le ga^o.:. Anneaux perdus en vain je ÏV.'.T , éplore, De voire ehaiue on retrouver l'cslui ? Je 'voudrais bien vous ressouder encore, Mais le jeu sacré ;;'c:!'j>lus lé:.

j'ai voulu rompre, abandonnant

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— l?ln*vitli?i'& cEn cj«^l>Ve"ios'i. — Celle , bande (|iii fil jadis tant de besogne à Oran, au,..'1j1 rail-elle dénién::gé, ou n'esl-ce c-i'une i!i!.;;.:'.;;u

Je reviens voir Ses sentiers 'enjoins verts El les massifs, où ma foile jeunesse ^i si souvent -vu lu jcnille é. l'envers. Coinjdais.immen: laissant j.nssé le store,

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de sa ,je bête ; mais la police aidant, la vache el les c iiluiis furent réiniéiîrés où ils avaient droit. iilui

Bois de [\Ccudoii Ion! chariiuml d'allégresse

cadrai.

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AU BOIS DE MEUDON

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sait

VBÎ cï? fo«V»st"i3. — Un indigène des BerkoBelch*»: venu pour vendre ip.ielqnes moulons ches Abbés \' i l'ut agréablement surpris de reconnaître "iyj sur le marché une vache qui lui avait été volée. 11 i, eut quelque peine à rentrer dans la possession

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malin, le fis du jardiniuier de Mc ilorlrenil, l'enclos est près la porte du Nord, apei'eiil ;1 dont i i"' ui\ mitilaire pendu à la branche, d'un prunier cl •tout ensau' l.mlé. !1 appela son pore qui vint "' couper la ceinlure. servant de uieud coulant, tandis (. que le jeune homme :d!ail prévenir la .n police. si il. le coniinissaire ilédau aec-oinjavriié de son secrelaiie et d'un inspecteur, vint procéder ' a:.x j. f, preniicrescoostalalions, • ci) attendant l'arrivée ^".; ', niéùc'-iu militaire qu'un légionnaire ^h\ du posio ':l allait prévenir. 'On a d'aiiord ren;anpié que s était • :1 le i champ de lur.erne on se trouve l'arbre n'était pas foulé el que. le soulier ne donnait passage ' qu'a un homme. Après un premier p.m'Tinenl, on transporla v ce. ' i;:;i!'.:;'!r'nix à l'hôpital dans un- étal jiresque ' v désc:-péré. Il portail au cou une entaille -d'où 1 !e sau:- avait aiioniîaninienl coulé. \ On supjioso (pic. ce siddal qui appartient à la .t l".' du ::' du \" rég'uncnl éirangi;r, sous le nom de < (Ire '.'i-r. .iierl, a voulu mettre fin a ses jours eu se jiiMi'faul ; mais ipie la slraiigulation ne s'ei'.i.'c'.'.-aiil poinl assez vile, i! aurait usé de son couteau por.r se, corpee la gorge. Le couteau toul'.'i'i-.is n'a pas élé trouvé. 'hv>.-;; .'o'iierl Sijet prussien âgé de 3ii ans esl né a iè.in'-.rfeld. On ne, le connaissait pas an rég'.r.ienl dont il ni' faisait partie, (nie depuis peu de jours, ii a expiré à l'hôpital à M heures sans avoir repris connaissance. Les médecins prépos:;s a r.'-xaine.n du cadavre ont après l'autopsie coni'in :: in\ siiicîi'iî. ;; I! *'io>: n'est venu jusqu'ici juslifice les présompij lions (l'assassinai tpii courrenl ,lans le public.

peviile ; M. Malignon, commissaire de police de 5" ;>'' classe à Blidah, est nommé de -v classe à Alger. -''• police de disponicommissaire Ivarra, M. en i'bilité, est nommé de fi- classe à Blidah. M. Bigot, commis: aii e de police de n" classe ;s^ à Saint-Arnaud, est nommé de •&<= classe à AïninTémouchcnt, M. Bèbe, secrétaire de police à Sttif, est nommé commissaire de police de O classe;àà Saint-Arnaud. M. Torre, commissaire de police de 0e classe sse nommé commissaire de 0u C'u à Bou-Saâda, est classe à Relizane. "S1-' M. Fournier, commissaire de police de 'j"»1-' classe à Ténès, est nommé de même classeeàà l'Arba. M. Aubert, commissaire de police de "V- classe sse es. à Or'èansv.tlle, est .nommé même classe àTénès, ' 5e M. D.augreaux, commissaire de police de' 5° 3rclasse à l'Arba, est'nommé de même classe à Orléansv.ille. "Nous remarquons parmi les promus M. Ivar•arBel-Abbès où ù il ra ancien secrétaire de police à ons a des parents et des amis., "Nous, lui envoyons nos félicitations. ***"**?

CHRONIQUE LOCALEn HJ

SO'BS«S«\ "BB.1 5»EBÊTJ:çaλ;. —• Nous avons dans I.,,,,. l' df[

un article précédent fié;ri l'esprit de lucre'el de Iriçherie que le jeu avait introduit dans les courses, en dénaturant le caractère moral de leur institution. La Soclc'é hippique de Bel-Abhes dans sa dernière réunion, vient de punir une infraction déloyale aux règlements généraux de

la Société (i'encourr.jemeul. Ellj a prononcé lu disqualification et l'interdielioiï des hippodromes contre mi sieur Coluian de Gueliiia,qui pour la seconde fois, a élé surpris en manoeuvre frauduleuse.

S-JJÏ 3t«>î'«*'.

:

— \J: corps d'un européen in-

connu paraissant d'origine espagnole, a été iléeonverî liier au soir, noyé dans la iîekerra près ! du Camp des spahis. j La viclinie parail âgée de ''i') à 40 ans suivant les premières constatations faites par le docteur I (îiilel.,médecin couimuual ; vu l'état compiel de décoiiiposiiion du cadavre, la mort devait, remonliuV.à plusieurs semaines. La viciline porte des traces de contusions à la iêie et au cou. Une enquête eoniportanl l'autopsie du cadavre, aura lieu aujourd'hui dans le but de délerminer si l'on esl en présence d'un crime où d'un accident.' Le corps ayant élé trouve accroché à des .vacines, il esl possible qu'il ail dérivé depuis le . barrage eq suivant le courant de îa ilélicrra, '

. SsaE's'o^;;'. —~ Nous

apprenons avec v.n légitime regret !:i mort de 1!. Lorel paeenl d'un confrère eu publicité de Bel-Abbés. Le défunt que la rupture d'un anévrisme a pour ainsi dire foudroyé, a payé de sa personne c.;\ 1870 eomniesergeni-iiia'or des tirailleurs.


Le Gérant cc-rH/îe à la somme de Vinsertion n°

Le Gérant,

Vu pour la légalisation de la Signature de M. E. LlOlDOT, Gérant, Sidi-Bel-Abbès, le

.

Le Maire,

189


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