Le Messager de l'Ouest. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 120296

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Le Messager de l'Ouest (Bel-Abbès)

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Le Messager de l'Ouest (Bel-Abbès). 12/02/1896. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.


TROISIÈME ANNÉE

CINQ Centimes

— N° 204

MERCREDI

J2 FÉVRIER

JSCG

l'inscription sur les listes électonombre grand répondre à Pour du louanges qui chaulait les pour à un *, intégra- rales. donnons de demandes, nous la baisser il de liasse, sera permis lement, le texte de l'article 14 de L,js dispositions concernant l'affichavoix el de chercher d'autres antien- la loi immii-ipHle du 5 avril 1884 relala libre distribution des bulletins, ge, électode la liste composition tif l.i à nes pour l'avenir. JH.I1 circulaires et professions de foi, les rale : L'infaillibilité n'étant pas de ce réunions p.iblique.s électorales, la comArt. 14. — Les conseillers municimonde, les électeurs uoussauronl. grémunication des listes d'émargement, direct le suffrage (Mus sont par paux matière poursuites, les pénalités cl librement do leur laisser discuter en Franles universel. électeurs Sont tous Les proverbes qui sonl. i;i sagesse législative, sont applicables aux élecde faire leurs intérêts d>; accomplis, notre de vingt, et çais âgés el un an 'les nalions, ei. donl l'immortel Certions municipales. d'incapacité n'étant dans parii d'une faction, journal, le et aucun cas non vantes a l'ail, un ironique abus dans élecapplicables également Sont aux électorale liste loi. La prévu l;v par Don Quichotte ont dans leur prolifi- c'est-à-dire d'un intérêt politique, comprend 1° tous les électeurs qui tions municipales les paragraphes 3 cl : publila mais le grand livre de detlii domicile réel dans la commune 4 de l'article 3 de la loi organique du leur que énuinéralion, celui-ci : ont que, où chacun des électeurs et des ou y h.ibilent depuis six mois au moins; 30 novembre 1875 sur les élections des prophète en son pays. » « Nul n'est éligibles viendront'commeaux cahiers 2° ceux qui y auront été, inscrits au députés. N. D. L. R. — Toutes lettres conA cela rien d'extraordinaire, mais de 1789 qui firent 1798. inscrirenl rôle d'une des quatre contributions nous pouvons compléier ce proverbe leurs réclamations, proclamer leurs directes ou au rôle des prestations en cernant les lu!tires élections qui ne dans résident s;ils naluie, el, pas de ne dans abus services, dénoncer les moins mois seront pas signées lisiblement el ne pou: « encore par ces voirs, les négligences administrati- la commune, auront déclaré vouloir y porieronlpasen oulre la situation de celui des autres. » leurs droits électoraux. — Seexercer Aussi esl-ce pourquoi, estima ni. ves, les complaisances envers les puis- ront également inscrits, l'envoyeur ne seront pas insérées. du termes aux complaisances servir exclusisi sants ces Malgré cela nous laisserons à nos se sonlpro- présent paragraphe, les membres de la que. la presse ne peut vement que le droit el la justice, et duites et les fin de non-recevoir en- famille des mêmes électeurs compris correspondanls, loulcs facultés de dans la. cote de la prestation en nature, l'anonymat s'ils nous le ne mellre sur le pavois que les ser- vers les miséreux ! conserver afots -môme qu'ils if y sont pas perspn- demander]I A chacun selon SAS oeuvres ! vices rendus sans s'occuper,de races,, ; et, nous ne dévoilerons në/ièinefnfportés, et iés habitants qui,'"- • Aux justes les lauriers, la réconde religions et de politiques, doit a leurs noms que si leurs polémiques leur de santé, raison de leur âge on en l'heure où les électeurs seront appe- naissance de leurs conci'.oyens. auront cessé d'être soumis à cet impôt; méfient en cause non des intérêts Aux bateleurs de l'administration 3» ceux qui, en vertu de l'article 2 du mais des personnalités. lés à se prononcer surle passé d'hier, présent d'aujourd'hui el avenir de les sifllels que la claque leur épar- traité du 10 mai '1871, ont, opté pour la nationalité française et déclaré fixer demain, l'aire oeuvre de justice ! gnai jusqu'ici. ! leur résidence dans la commune, conAussi laissant de côté loute idée « Fais ce que dois, advienne que formément à la loi du 19 juin '1871 ; de réclame, toute pensée de lucre et pourra!» 4° ceux qui sont, assujettis à une résiVoilà le thème sur lequel les élec- denee obligatoire dans la. sans croire un seul instant que notre ' commune en (Suite et. Fin) souci devront tabler du poids, puisse d'un journal sans avec teurs qualité, soit de ministres des cultes peser lequel il l'aille compter dans la balan- nom, de la fortune el du passé ! reconnus par l'Etat, soit de fonctionPuis il terminait ainsi : publics. naires hommes qui depuis qu'il Aux des intérêts communaux ; nous ce Seront également inscrits les citoyens n'hésitons pas une seule minute à le sont, non au pouvoir, mais à « la « La criminalité monte de jour transionner en tribune publique, charge] » ont rempli fidèlement leur qui, ne remplissant pas ies conditions en jour et bientôt la balance du d'âge et de résidence ci-dessus indi- mal emportera celle du bien ; près populo mandai, le rendra éligi! des électeurs, chacun des où « vox >->, lors de la formation des listes, de quarante mille condamnalions quées mandat. bles, sera libre de défendre et ses leur les rempliront avant la clôture définiA ceux qui furent, plus soucieux tive. sont prononcées chaque année patprincipes et ses champions. ios tribunaux. A qui adorait une idole hier, il'lui de Y honneur que de la peine, la mêL'absence de la commune résultant « L'indulgence.de ceux-ci permet du service militaire ne portera aucune sera loisible de la brûler demain, si me voix dira : « jEtemum; vole ! » la relever bandits de têie, assuRL. de. bonne édictées ci-dessus atteinte règles aux est aux reconnue son erreur lUd-Ahbès. le 12

Février 18U6

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Messatjer j}e

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Par ELLER Lucien ne se fit pas répéter deux fois, el trois quart d'heures après, le train les era* portait à Sl-Maur. Pendant le trajet, le docteur lui fit coûtes sortes de recommandations. — Je vais vous introduire dans la villa par le jardin, où je vo îs laisserai afin de préparer Caroline à votre vue ; car quoique elle vous attende, je ne répondrai pas du premier moment qui pourrait amener une crise: ou une syncope. Reproduction inleidile.

Vous vous!', (tiendrez dans l'allée centrale en face de la fenêtre, Caroline vous y verra, car j'attirerai son attention de ce côté et lorsqu'elle vous aura reconnu, je vous ferai signe. Alors ainsi graduée, son émotion sera tout aussi forte, mais n'apportera aucun trouble dans son organisme. — Je suivrai à la lettre ce que vous venez de me dire, je saurai patienter, et malgré l'immense bonheur que j'éprouverai à la re-. voir, un sentiment dominera tout, c'est celui d'une profonde reconnaissance envers l'homme généreux, qui prenant en pitié deux malheureux leur permet de se réunir. — Ne parlons pas de cela, soyez heureux, c'est mon voeu le plus cher, soyez patient surtout, patienter c'est souffrir, or souffrir étant la loi de tout ce qui respire, ce mol caractérise particulièrement la souffrance humaine, avoir de la patience c'est donc souffrir en homme, soyez donc patient. le serai docteur, j'ai déjà bien souffert — Je

née -séparail, esl impossible ; ces choses du soyez persuadé ; que jamais au grand jamais coeur ne peuvent se décrire! la plume esl imle souvenir de votre noble conduite ne s'effa- puissante à les retracer, mais chacun de nous dans la vie a éprouvé ne fut-ce qu'un jour, cera de mon coeur ! qui suffisent pour On entrait en gare. Le docteur et Lucien Une heure, ces émotions descendirent el se dirigèrent, vers la maison permettre de dire après « j'ai vécu.» Le docteur qui s'était retiré lorsqu'il avait où Caroline attendait avec une fiévreuse impatience leur arrivée. vu que sa présence n'était plus nécessaire redit joyeuseIls avaient compté la surprendre ; mais joint une heure après el leur les précautions du docteur furent inutiles, ment : car ils avaienl à peine franchi le seuil de la — Allons à table. porte du jardin qu'un cri partant de la maiEt l'on passa à la salle à manger. son retentissait : «. Lucien ! » Le docteur fit honneur au déjeuner, les Tous deux coururent, et trouvèrent Caro- deux jeunesgens le coeur encore trop plein et line étendue raide sur sa chaise longue, la la gorge encore un peu serrée mangèrent du tète renversée en arrière. bout des dents malgré les grondeiies du docDes soins la ranimèrent rapidement, son leur. I premier regard fut pour Lucien agenouillé (A Suivre) près de la chaise, ses bras se tendirent vers lui, tandis qu'un flot de larmes donnait enfin cours à son émotion. Dire le bonheur qu'inonda ces deux êtres si bien faits l'un pour l'autre et que la desti-

je ne sais ce que l'avenir me réserve mais


rés qu'ils son! (Tune peine relative- verdict aflirmalifsur celle question :• ment douce en égard au forfait com« L'accusé est-il coupable d'avoir, mis. dans la journée du...... commis le ' i , . Jusque dans les prisons, où crime d'assassinat sur la personne « pourlant s'excerec une surveillance du gardien D... ? rigoureuse et de tous les instants, le En conséquence les juges applicrime s'étale cynique el. triomphant quant la loi condamnèrent à la peine el si un verdict sévère ne vient sanc- de mort celui dont le bilan peut tionner ces débals il ne serait pas s'écrire ainsi : élonnant que la prochaine session Une boîle' de sardines, huit ans des assises ait encore, un nouveau de correction cinq francs..de tim; crime à juger, crime d'un détenu à bre-poste, cinq ans de prison, et la qui le verdict de la cour aura fait peine de mort pour avoir ou'-lié 'espérer d'échapper au châtiment ce passage de l'Ecriture Sainte, qu'il suprême ! n'avail jamais lu : « Aussi jugeant en votre âme el « Tu ne tueras point ! » conscience cet assassin de vingt ans A. BOURDON. qui, dans une seconde a fait une veuve el. six orphelins, vous prononLA cerez contre lui un verdict impiloble qui débarassera la société d'un de ses membres les plus gangrenés O^IIMtlliv lIMIiilçjikft h el servira-d'exemple salutaire à tous ceux que la loi tient, sous son joug Les sous-officiersreuyayés cl la discipline. formidable el. qui pourlant ne s'a•Lorsque nous avons exposé, dans ces mendent pas el. ne veulent pas s'a- mômes colonnes, nos vues .d'ensemble-muta.situation des sous-officiers, rengagés nous mender. Messieurs, au 'nom de la loi je réclame contre Auslruy la peine capitale !» La parole es! au .défenseur. Dans une plaidoirie qui fut un poème de pitié et de douceur, le jeune stagiaire qui avait, assumé la lourde lâche de défendre l'accusé. •;$saya de faire ressortir l'abandon dans lequel avait vécu son client qui, jeté sur le pavé sans protection, sans instruction, avait.volé.parce qu'il avait faim, el quece polirvaMiu-pieds'de dix ans s'élait. vu cloitrer pendant huit années pour sa première faute el. que pris dans l'engrenage, fatalement il devait un jour finir sur ces bancs! Que la sociéié n'avait peutêtre pas rempli tous ses devoirs envers cet «abandonné à qui les grilles avaient poussées avec lesdenlsel que lancinait la famine. « Messieurs, sans rien vouloir retirer à l'horreur du crime, a son sombre el navrant résultai, un peu de pitié pour celui à qui manqua si jeune les baisers de la mère el la lulelle de la société ! «

celles qu'ils comtnelleni pendant un service Avons-nous songé à as.'uivr leur avearmé, ils sonl punis de la réprimanda du nir '? capitaine ou de la prison. Notre confrère René de Cuers écri... Le sous-officier marié et autorisé à loger vait dans le Colonial : en vilîe peut subir à son domicile les puivOr, comment les traile-t-on ? Leur «. tions de consigne au quartier et de consigne engagement signé, ils sont diiigés sur à la chambré: Nous ne parlons pas de la rétrogradation la Légion étrangère. Et, en route pour el de la cassation, qui ne relèvent, pas de le Tonkin, le Uahomey ou Madagascar! d'autorité du chef de corps el. qui ne sonl Au bout de trois ou cinq ans, ils savent employées qu'autant que tous les autres à peine le Français et ils ne sont pas toujours naturalisés. El on les jette moyens sonl épuisés. Comme on le vo t ions les cas de punitions ^uc le pavé, en France, où ils n'ont ni . sont 1 revus cl réglés ; i's sonl «au diapason» famille, ni amis, T> d_e la faute. • Ce tableau n'a rien d'exagéré. C'est Que veut-on de plus ? une houle pournotre pays ! La France, .Supprimer la répression V des élans.magnanimes pour les Nous ne pensons pas qu'aucun esprit sente qui a soufi'rances les plus lointaines, pour ' préconisera et. défendra celte idée. .La force des douleurs qui lui sont, étrangères, d l'armée, résidé da-:;s la discipline ; le respermet que les fils d'Alsaciens, qui depect, de celle-ci se puise dans la crainte même de la répression ; siippr mer la répressio -, vraient lui être doublement sacrés et c'est enrayer la discipline, c'est tuer l'année. par la solidarité de l'histoire et. par la On avait proposé autrefois la création d'un fraternité des armes, tendent. Ja main tribunal -arbitral pour juger du bien fondé sur son sol qu'ils ont intrépidement d'une punition inlligée. A l'époque de celte choisi comme leur seconde, comme proposition nous l'avons soutenue, comme leur seule pairie. nous le ferions encore, aujourd'hui, parce Et lundis qu'on trouve des places, (;u'il s'agissait de prolég'-r le soldat contre des faveurs à distribuer à foule la clienles abus, provoquas par mille motifs, des cadres inférieurs. Mais alors qu'il s'agit de tèle électorale qui vend ses votes el son mêmes cadres contre les oî'liciers, nous influence, on n'a rien à offrir aux ences . n'avons pas les .mêmes vues. Admettre ce fants ue Metz, de Côlmar et de Strasprincipe serait procl mer la l';iu--st-!é du juge- bourg qui, piiiu- ne pas faire l'exercr e à la prussienne, viennent donner à Ja avions cru avoir indiqué toutes les raisons ment, diminuer le prestige el Pmilorilé. Que l'on fasse aux sous-officiers rengages France leurs tuas, leurs coeurs, leur pour lesquelles nous manquons de rengagés la silualion que nous avons réclamée pour sang.-. ]1 paraît que nous avons été incomplet, puisque nous n'avons pas envisagé la ques- eux, c'est-à-dire que l'on fasse de ce gratte Ce scandale — le pire de tous, car il équivalente silualion à toute tion des punitions. une situation atteinte à la réputation de généporte la civile, d'un homme dans et on verra vie Un de nos doctes confrères militaire estime rosité que notre vieille race gauloise remède étai! celui-là bien le mal et au que qu'elle est la plus grande cause de la répuavait, su jusqu'à ce jour conserver el punitions. l'abolition lies non . gnance pour lé rengagement. mériter. — celle faillite des engageSi vous laisse/, aux caprices personnels un Nous ne sommes pas entiôiemenl de cet libre cours, vous entravez toute action. Dans ments les plus inviolables, celte ingraavis. ' " Sous-le régime-de Portion ance du 2-no- n'importe quelle silualion n'y a-t-il pas'la titude impardonnable doivent être dfvembre 1833-, on aurait pu croire un peu à répression à toute laute '? Tel employé ne noncés à toutes les consciences franl'existence de ce Tait-; alors,, autant- que je remplissant pas son devoir ne subit-il pas de çaises. . .chaque souvienne, supérieur il. .m'en Merci .à notre vaillant confrère qui, en son palron la réprimande, des amendes et le : va son pouvoir un droit .d'infliger, de 'sévères renvoi ? au milieu des% défaillances de l'heure. .'..' ".' punitions. " L'iusque partout ailleurs, l'armée a besoin ! présente, n\')ub.iie pas-la cause des AI-, saçiejiirLorrains.,ces Françaisd'aujour' \^ous"'Vé! i£gvi:.WVà0^ye;';-.%v^ésij-ëO'^at1-.; ,': ; d^.,nin-yens;de i-ép!;e.'«'fln..;. laissons-les lui ,ef. . d'hui,! dé .det'VKiiUv d^-foojéurs. I...:'-. ::'< iïàbiéin'eiïl.'-, oïl-elle i;892, éh'àiigées cliercbons^aiileurs, véi «oui choses est les' bien octohve. , ; (Le Coioj)iafy~: '..""""-' et on peut.dir 'qu'en général l;-i iHsciplhïtvest. la i--.oiufion.de la vonslilulion 'des .cadres par basée sur des principes palemels et bien- le rengagement. !'',<'>i']'nnantis.ini'. VI CTO II. veillants. j ' Voici, du reste, coinmrn! s'exprime l'art- i 312 de ce décret, relativement aux punitions à iulViger aux soûs-olïiciérs. «.'La prirution de sortir du ipturlier après Voici quelles sont les pièces à prol'appel du soir est inlligée aux sous-oflieiers qui font preuve de paresse ou d'ignorance 'NI. Lucien Mille.voye a bien voulu duire pour obienir des passages à- l'instruction, .ou, q.ui renlrenl.au quartier termes, clans In Pairie, gratuits pour l'île de Madagascar. ces appuyer en après l'heure fixée.. dit. ries Alsticiens- Adresser la demande nous avons ce que à M. le Gouinexncliiude aussi Mlle infligée esl. la Légion qui étranLorrains pour à servent, « dans, la remise des pièces el pour légères gère : verneur général de l'Algérie, accom' .irrégularités dans le service On estime que deux mille de ee»s ar- pagnée des pièces suivantes : "« Pour'les fautes de tenue, soif personnel1° Extrait du casier judiciaire ; dents palriol.es échappent chaque, anles, soit, relative à leurs troupes, les sousnée au joug militaire de la Prusse, ils 2" Certificat de bonne vie et officiers sonl punis de la consiyue au tjuurdonnent à tout entiers. Avons-

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nous délivré parle commissaire moeurs, ...... moins, les mesures nécespris, au nous les la discifautes Pour légères contre « où le maire de la commune : rendre m.iins afin de leur saires amer iis sont, punis de la consigne à lu. . Le jury se relue pour délibérer, et pline 3° Une feuille de renseignements le sacrifice qu'ils on fait en s'éloignanl. chambre. dix minutes après, revient, avec un la situation du demandeur, pièce des nés? lieux ils où toujours sont sur "Pour fautes plus les pour entre autres graves, ,,.,(! liei-'.

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Lire

I il»!! {Suite)

Pour le tout, une quantité inomhrable de munitions assorties, de grands magasins que l'on ne parvient pas à vider. La garde devait mourir là, mais lorqu'un seul projectile à la à la mélinile avait mis 24 h m m es hors de combat en en hachant en en déchiquetant quelques-uns, lorsque d'autres avaient dispersés une petite maison, lorsque certains avaient l'ail écrouler des paus de mur et faisaient craindre des explosions de poudrières, en un mot lorsque la cour était jonchée de cadavres, ces vaillants guerriers se sonl sen-

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dans ie dos, le iC 1' Ministre cràigna'nt pour lui el la reine, a l'ait arborer le pavillon blanc, avec la -pensée cèri'aihë de gagner du temps ; mais la'promptitude avec laquelle nos troupes ont pénétré dans"la" ville el' ont fait moins basse sur les"'a'rmés'ei- niuni'liôns, à' démoli l'es'plans'infernaux, que c© vieil hypoérilë réunissait 'dans: s* cervelle-noire. De là, (du palais) on -a-une vue superbe, à perte dfevlie des: vidages;;.'des rizières,: ;des cours d'eau. Au pied aie la villev.au-nord, un •beau et grand lac:avec, au ,miJie:u .un îjot verdoyant abritant de .belles- petites, .constructions. Une bonne el.large digue ..conduit à ce reposoir. -. i _ , de munitions i.. .Détails itoules les caisses ou caissons sont marquées du nom du colo-, nel Seryinlqn.., . Je ne nie suis pas fait, ràppori.er en, Filan:/,ane, .dans ce désarroi, rien n'est encore or.garm'.é-,,}!,fauA acheter 'pour le m ornent,, ces moyens de transport qui coûte'dé 8 à '12 fr. j et comme je ne suis pas sûr de rester ici, -j'attends, avant d'engager la dépense. li froid

septembre. Depuis deux jours on s'occupe à. se Jjourer de victuailles de ioules sortes; on tue des cochons-el. on confëclionne -des boudins el du fromage deicochon.-.; .. • ; ... 10 octobre. :,.,.Les prages et les., pluies commencent. On .parle fortement de nplre .prochain rapatriement. ; nous devons partir d'ici, pour descendre, .le 'I8:auplus tard.. ...Te désespère,.çar je crois que je ne pour., rais,guère me procurer des curiosités du pays qui, sont, assez rares, d'ailleurs. Il faudrait èlre à Tananarive pour •connaître du monde. :' ' 11 octobre. ..l'ai élé à la capitale ce matin.' 11 'V avaii une foule éoisidérable, c'est Vendredi/'jour du grand marché, fous les magasins' sont' ouverts, il y en a.de très beaux lënùs par des indiens malabars oii des créoles, .l'ai été jeter "un coup d'çeil à la résidence, il y;à- un beau luxe princier dans les bureaux et appartements. 8

...

C'est incroyable, ce qu'il y avait de munilions d'artillerie dans les magasins à Tanaparive ; depuis huit jours, plus'dë 300- mulets ne font que transporter des caisses et toujours des caisses marquées en langue anglaise « explosive »... \ 13 ociobrè. Ce matin on a passé 'a visite pour savoir ceux qui ne pourront pas marcher pour desM-cendre. 14 octobre.;, Oa ramasse le courrier pour le bateau du 29. .le terminé mon livre en vous -

gréer etc.

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(FIN)

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établie à la prél'eclure où à la souspréleclure de l'arrondissenn-nl. La demande et les pièces jointes étant adressées au Gouverneur générai, sonl ensuite envoyées par ce haut l'onclionnaire au 3:lésident généra! de Madagascar;'! Tananarivè qui slalue en premier ressort sur la demande pour que solu.ioii défi nilive puisse être donnée par le ministère des Colonies.

bonrs boulanger, les secours apportés immédiatement ont permis de l'éteindre aussitôt.

CHRONIQUE; LOCAU£ ET-REGIONALE

Théâtre

des eaux niolrici s el potables à l'usine des de reîouleiuenl. Canal de décharge, puits clos vannes et delà turbine. Monpui Réunion tant 108.000 IV, cautionnement 7.000 fan ua Une réunion générale des membres- francs. du Syndical National des employés el '. De m u in 13 février, réservoir de réouvriers du chemin de 1er (section de v Moulant 99 000 iiancs, cautionsei serve. Bel-Abbès) aura lieu à l'Ho-lel-de-VilIc, 5 000 IV. Pièces du projet à la nenienl nei le samed. 22 février courant y heures Mairie. ., Ma du , soir. . Troupe Vidal Ordre du Jour : Versement des cotiLa Troupe Vidal nous a donné aux sations ; Questions diverses. arènes, sa quatrième représentation U1( Adjudications devancières un qui comme ses qu a en, Avai.l-lner a eu lieu dans une des immense succès. salles de la mairie, l'adjudication-dcs Favorisée par un temps magnifique travaux pourlaconstruction d'eséizouls. nmlui'.'e a eu de nombreux speccède '" Ct' m 21 soumissionnaires se sonl, présen- lalenrs qui ont applaudis'chaleureusetés ^ et sur l'évaluation de 700.DUO lr., lotis les artistes. nient m ''ils ont, lad. re-peclivemenl les rabais L'aéi'onaute Costa est allé tonifié dans suivants s : .I,i propriété lïasiide, pour la troisième la MM. Bernauer Louis, d'Oran, 13 0|Q; fois. 1 llrossier Jules, de Nice, Il ; Dénias Réveil Irtiis-nous -5 AK'X:s et Pariéli Elisée, de Mascara, Le 12 mars prochain Bel-Abbès re'10 ; l'eyroche Jean el Arffuillièrc Je; uliapliste, d'Oran. 20 ; Bails Henri, d'O- trouvant ses jours de gaieté verra dé0' dans ses rues et sur un itinéraire 'raii, 20 ; Orlola Jules, de ïlenicen, 17 ; liler t'avance, nue cavalcade ! l|' Coen Eugène, d'Oran. 10; Michel Kran- lracé:;i * Vous n'en croyez rien '? Eh bien ç'• as, d'Oran, 0;'l'erradeMichel, d'Oran, pourlant cela est. et ceux qui sonl à la 17 ; Pascaud Raymond, d'Oran. 29 ; P' lète sinil uvi sûr garant du résultai. Brisabois Jules, d'Alg r, 15 ; Dulour !<: M. Tesseire,d'abord, organisera ;rvec Sébastien,deLyon,17; IJéranger Adrien, ;. lonl soir personne! un char de cigariède Monlpezal (Ardèchf). 12 ; Deilaux l< jMarins, de Carrentras (Vauclnse), 1(3 n ou trouera Carmen . res ; M.- Rousseau montera un char sur (Grandchamp Pierre, de Lcvallois-Perprendront place Ions ses artistes. 'l ref (Seine), 1 ; Séguier François e! lequel M. Cinesle iious fera déliter devant P> unond Albert, do' lîéziers, 11 ; Faure Jean, d'Oran, '19 ; l.'essières Charles el. les H veux le Char des Liquorisles. Les bouchers tel. les blanchisseuses Dulbnr Henri, de Sidi-I.îei-Abbès, 17 ; Tlms Louis, de Nice, '17 ; (-larde! Léon, ne " resteront pas en arrière, et nous espermis qu'un uiagniliquo boeuf sera le de Nice, 18. V '.!•.- iriinïel d'a.dmiralion des specM. Pascaud Raymond, ayant l'ait.le poil:l !" plus fort rabais, 2!) Oiq, ce qui l'ail, une l:tateurs. diminution de charges pour i;r=-_viHt'.i-dtî j '

Samedi 8 courant la troupe ue nolie'théâtre municipal nous a donné 7.es Brigands opc'ra-boufiè en 11 ad es musique d'Offenbaoli, au bénéfice de i\l. Gauelly régisseur. Celle pièce a provoquée d'un bout à l'autre un Iranc éclat de rire el l'interpiétalion en était acceptable Le lendemain même représentation, cependant nous devons déclarer qu'elle a été moins courrue.

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Revue Samedi à deux heurts et demie pré-

cises a eu lieu, sur le plateau du village Nègre une revue d'honneur passée par le lieutenant-colonel aux troupes du b-'' Etranger stationnées dons P> •!Abbés, pour la i erni.se nu sergent major Aucel el. aux soldais Vaudenbossdi, Col ma r el Chariot de-la'médaille militaire. A l'issu de ce défilé les troupes massées par section ont opéré un défilé superbe, -comptaii.t-'prés de 2801' lioinrnes. " Celle,fête :!nlli!ai,re:::ï'.iA;qrisé., par un |..20:]:000;'.;vnlé;décS;q>él:adJ!vdi i e iemps;sjiiendide uvab aftii'é une fouie Toiil.èn nous félicilVuif do ce tésirUal. ' s é'noriue sur, le ]'i,lale<-!iî du Village-Nègre. nous ne.Sommes pas sans inquiétude ' ' 'Âec-iiient -sur la valeur des travaux à exécuter; ; 'i-.liei'.'ei' evenaid.de ,vk'Sser,M. Réiny car nos concitoyens sonl encore â inèThibou'a éié vicliii'ië d'un grave acci- me de se l'appeler les résultats de l'anindication du marché couvert, auquel ' denl. Il laissait pendre, sa jainbe en dehors tous les jours on est obligé de faire des ' de la voilure qu'il conduisait quand sou- réparations. D'aussi grand rabais ne devraient ' dain il sent.il. une violente douleur,. la jambe venait d'être prise entre les pas èlre consentis car l'entrepreneur rais de la roue et. cassée net. en celle 'oceuronce esl. obligé d'emSi aucune complication ne surgit ce ployer des matériaux de second ordre que nous espérons le blessé in sera ou des ouvriers à rénumé rai ions exi- a quille pour 50 ou 60jours à garder le lit. gués car nous tenons d'une personne j; |j placée cela bien qu'il dil'l'ies'; pour Procès verbaux ci le à l'entrepreneur, si la rigoureuse 2-J procès verbaux, ont été dressés exécution du cahier des charges esl. par le service de la police municipale exigée, d'arriver à laire face à ses eng; pour différentes 'contraventions sur la ' gemenls. i voie publique du 9 au 12 février. Dans ces conditions, il faudra que la Vols cotumissjou des travaux surveille d'une ,.M.. Redon Georges,' propriétaire, faconabsbluinentséiieuse la façon dont , verni déclarer au.i seront exécnlés les égoùis. ii e Gambella, est. Sous ce rapport nous sommes absocommissariat de police qu'hier malin à la première heure il lui a; été soustraitt lumen!, tranquilles, la municipalité qui dans sa cour une b...iique de vin. de laa possède a sa tète un homme que rien contenance' de quatre-vingt-dix à centt ne pourra influencer, forcera énergilitres. quemenl l'entrepreneur à tenir ses enDes. recherchés sont faites. gagements vis à vis de la-ville et.q-ne nous n'aurons pas une deuxième édiInformation '--:tion du marché couvert qui n'a pas 10 information Une est ouverte contree d'existence et qui aurait absoluans les nommés Lubis, Méderic et Adrien ' besoin d'être abattu et. réédifié, ment ' Médiel, pour outrages à des agents danss le service de leurs fonctions. Hier il février, travaux de canalisation, en ville el dans les faubourgs. Police Mme veuve Bonteinps n'ayant pas Montant 205.000f, Caulionn.emenl9.000. fait ramoner sa cheminée s'est vu dres- francs. Adjudicataire M. Bérenger Adrien, ser procès verbal.. entrepreneur à Monlpezat (Ardèche), Feu de 'cheminée.. avec 23 p. cent de rabais. Hier matin vers 10 heures un feu de Ce soir 12'février, conduite d'amenée cheminée s'est déclaré chez M. Càm"

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Le Irain 2 0. A. correspond au Tlélat avec le train d'Alger, arrivant à 10 h. du soir. Sig à 3 h. 44- du soir. A. correspond 1 e train 4 O au T'élat avec le train qui arrive au LL ' ' .n h. , du . soir. tlélat le . . „ , Relizane correspond à O. train A. 8 train arrive Le avec a 10 au qui

Le Gérant certifié à la somme de

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Sidi-Khaled. . . . . . Si.li-Lhassen. . Arrivée.. 7 . 40 5 40 BEL-ABBES..

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A. correspond uu Tlélat avec le train qui quitte le Sig à G h. duniatin. A. correspond au Tlélat avec le train qui quitte Relizane à5 h 20 cîu matin.

A. correspond au Tlelal avec le tram qui quitte Perregaux a 12 h. 2;J du soir. A correspond au Tlélal avec le train d'Alger. .-

Vu pour la légalisation de la Signature de M. E. ROIDOT, Le Maire. ' .


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