Le Messager de l'Ouest (Bel-Abbès)
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Le Messager de l'Ouest (Bel-Abbès). 12/03/1895. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.
CINQ Centimes
DEUXIÈME ANNÉE — N" 115
MARDI--12 MARS-iSO;j
ayjCTt3cr-y.e.,'Cjmj>rt*ç.; *-
Bel-Abbès, le 12Mars 1895
nullement mais quand le toutou el dans des conditions moins allévoulut l'approcher, il prononça du chantes à coup sûr. Nous souhaiLE bec et des ailes un geste très expres- tons que le maître de céans y fasse ïlDïïnP "WBIÏÏ UJ'DÎ1? sif qui fit comprendre au petit chien de bonnes receltes, et que noire jarl'ont les semis elles boutures à l'abri l'imprudence irrévérencieuse de sa din public attire de nombreuses et élégantes familles, sans la présence du vent el du froid : c'est là où il prétention. Les vautours sont respectés au desquelles son ombra spectrale ne Le jardin public reverdit à mer- faut nécessairement puiser pour Pérou comme les cigognes le sont donne que de lugubres pensées. veille ; la tempéra!ure variée de ces repiquer en pleine terreJ. D. Dans un peiil. triangle nu et dé- ici. Mais au lieu de vautours royaux derniers jours, a fait pousser des feuilles dans les massifs et diman- pourvu d'ombrage, on a formé une ce sont de simples vautours noirs; INFORMATIONS che, plusieurs familles ont bra- collection botanique propre à l'étu- ils netloyent les villes de toutes les vé les tourbillons de poussière de des classifications. Les spéci- matières organiques et se laissent Ordre du jour de la roule pour y faire une visite mens y sont inscrits et numérales taquiner par les enfants. ALGEH. — Voici l'ordre du jour adressé par Dans volière mais de la municipale, la il des jalons prinlanière dans l'après-midi. pousse ne le général Larchey au XIX* Corps. sur : Depuis l'année dernière, des amé- printemps n'est, pas encore assez reste plus qu'une perdrix et une « Officiers, sous-officiers, caporaux el soldais, liorations sensibles ont été appor- avancée, pour rendre fructueuse une demi-douzaine de moineaux el charPlacé par la confiance du gouvernement à qui n'ont côlé-là. donnerets, l'air de s'y investigation de tées à la partie borlicole en particupas ce la lête du XIXe corps d'année, je prends à dater des bûtes heureux. partie La plus grande trouver lier: des plate-bandes ont été emméde ce jour possession de mon commandement. Les ruisseaux et les cascalelles j nagées avec soin, cl g.ti nies de Heurs de la volière municipale ont dé.le suis heureux cl fier de commander un diverses : il y en a deux ou îrois guerpi. I\ous "n'avons pas aperçu fort -bien entretenus, roulée! des f-ni'jiï d'année dont la réputation est établie de ^réservés.,aux anémones, a n x {u 1 i nés deux cigognes c! un paon qui avaient eaux'très claires qui fuient avec une longue date et dont les traditions se nitlachn;! à de si bridants souvenirs. certaine rapidité: allées les île dans ''n jacy thés. Ces û i ' ;":et:- ' ii 6 K: sont ', ' coutume ces vaguer paraet res ' au ] ic -le mettrai Ions mes soins à le laaiiïiemr à fraîchement râtelées; les revanche, exhibeiildéjà leurs pyramides blan- ges ; mais en tous pro- propres, la hauteur où l'ont placé mes prédécesseurs v\ bancs si la rusticité ches, roses, iiiiacéos, bleues, avec meneurs s'arrêtaient devant l'aigle quant, aux en je compte pour y arriver sur ie c.oucmirs dévoué l'agréable.odeur que l'on «:onuaii. li e! le vautour royal mis en complète fait le charme, ils ne manquent pas de tous. de cet attrait local. « Au quartier général à Alger, ie 7 mars IHilô. y a parmi ces varié lés de jolis spéci- liberté. Ces deux pauvres bêles sont Par haul Général LARC1I1CY ».' le du jardin arrive des poules: à apprivoisées laissent, cependant doubles qui « on comme mens voir un défaut non originaire et elles ne quillent guère les petits ter- une construction nouvelle destinée NOUVELLES qui doit être attribué à î'acclimala- ires en pierre, qui furent si longtemps a-ton dit à servir d'habitation au tation ou à tout autre cause incon- leur calvaire et ne témoignent au- nouveau gardien-chef. MomentanéBrésil Au établi des étalons de la de qui la foule ment on y a nue. Les iiges florifères au lieu de cune appréhension Les événement:; graves se succèdent : oulre qui doivent l'occuper fort Le étail remonte les approche. s'élancer majestueusement au mivautour ne l'insurrection de Pcmambouc que nous avons quelques jours gilieu des feuilles sont rabougries au occupé dimanche à disséquer le que encore. annoncée et un nouveau soulèvement dans RioEniinàving! pas delà volière pres- Grande del Sur, voilà le choléra qui désole la point que les grappes louclienl. à ter- got, de quelqu'animaî, sans s'inquiére par leur base ; ce qui ôle à la ter outre mesure des quolibets qu'abandonnée, on a placé un petit, capitale. Le commerce est sensiblement éprouvé par plante son asnecl gracieux ; ce qui et des railleries de l'entourage; trop petit kiosque lorl élégan! pour i'erapèehe aussi d'enirer dans la quand il eut mené son opération à servir de buvette. Les jours de mu- cet état de choses. Alger bonne lin, il fit quelques pas pour sique et les dimanches de l'été ce confection d'un bouquet. Le Conwrîii est entré avant-hier à Alger veLes tulipes et les anémones ou aller boire au ruisseau. Une demoi- sera bien agréable de trouver là cernant de l'Indo-Chine et rapatriant 702 militairenoncules ne présentent encore selle le chatouilla du bout de son tains rafraîchissements qu'il fallait res de tous grades 308 d'entr'eux appartien; ombrelle, ce dont il ne s'effaroucha aller chercher en dehors du jardin, nent à la Légion étrangère. que des feuilles.
Partout en remontant vers la rue des Jardiniers on voit de frais labourages el. de jeunes planîations d'arbustes. Il y a une serre ou se
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Messager de V Ouest
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LES" POÈMES BRETONS
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PAR
TH. DE LA V1LLEMARQUÉ
PREMIÈRE BRANCHE xv lis passèrent la nuit au château. Et le lendemain l'homme gris et ses compagnons partirent pour la cour d'Arthur': et ils lui rendirent hommage, et il les fit baptiser, et l'homme gris dit à l'empereur que Pérédur les avait vaincus. Et
Arthur donna la vailéc à l'homme gris et à ses compagnons, comme Pérédur l'avait demandé.Et avec "l'agrément d'Arthur, l'homme gris retourna- à la Vallée-Ronde.
mais aucun d'eux ne le reconnut. — D'.où viens-tu, chef ? dit Kai. Le majordome lui adressa cette demande une fois, deux fois, trois fois, sans obtenir de réponse ; et Kai le frappa de sa lance à la cuisse. Mais XVI de peur d'être forcé de parler et de violer sou Pérédur poursuivit sa route le jour suivant ; et il. serment, Pérédur passa sans s'arrêter. traversa un vaste désert où il n'y avuit aucune Alors Gwalmaï parla : habitation, et enfin il trouva une petite maison prends Dieu à témoin, Kai, que tu as — Je toute basse : et il apprit qu'il y avait là un ser- fait une mauvaise action en outrageant de la pent roulé autour d'un anneau d'or, qui ne souf- sorte ce jeune muet. frait pas d'habitant dans le pays à sept milles à El Gwaihmaï s'en retourna à la cour d'Arthur. la ronde. Et Pérédur se rendit au lieu où se trou" Madame, dit-il à Gwennivar, sais-tu quel — de lui, plein battit vait le serpent : il se contre indigne traitement Kai a fait éprouver à un jeune fureur, de colère et de désespoir, le tua, et prit ? Pour l'amour de Dieu et de moi, ordonmuet I l'anneau. ne qu'un chirurgien prenne soin de lui, et je te Et il passa longtemps ainsi sans parler à âme rembourserai la dépense. chrétienne ; et il perdit son teint et sa beauté XVII pour avoir été trop longtemps éloigné de la cour Avant que les messagers fussent revenus, un d'Arthur, et de sa bien-aimée, et de ses compagnons. Et il s'empressait de se rendre à la cour chevalier se présenta dans la prairie en- face du d'Arthur, et dans sors chemin il rencontra la suite palais d'Arthur, défiant tout le monde au comde l'empereur qui remplissait certain message, bat. | Kai à leur tête et Pérédnr les reconnut tous, Et son défi fut accepté, et Pérédur se battit ;
contre lui, et il le vainquit ; et pendant tonte une semaine, il vainquit chaque jour un nouveau champion. Et. comme Arthur et sa Maison se rendaient à l'église, ils virent un chevalier, qui élevait le signal du combat. — Par la vaillance humaine ! dit Arthur, je ne partirai pas d'ici que je n'aie eu mon cheval et mes armes pour châtier ce rustre ! Et les compagnons d'Arthur allèrent lui chercher son cheval et ses armes ; et Pérédur les rencontra comme ils revenaient, et il leur prit le cheval et les armes, et se rendit dans la prairie : et tous ceux qui le virent s'avancer pour combattre le chevalier montèrent sur le toit des maisons, et sur les collines et les hauts lieux, afin de voir le combat.
(A Suivre)
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FAITS DIVERS Le monopole La voracité du gouvernement est expliquée par le vide de son estomac. Partout où il aperçoit quelque chose de saisissable, il se jette dessus comme un famélique. Nous l'avons lait remarquer l'autre jour en signalant son empressement à monopoliser le vaccin anti - diphtérique, exploitation que la nécessité garantit contre toute chance de perte. Aujourd'hui voici ce qui nous est communiqué : M. le gouverneurgénéral de l'Algérie vient de remettre à la caisse du syndicat des vignobles une somme de 26.249 francs reliquat du produit de la taxe de 1893 que le budget général de l'Algérie avait englobé. Ce n'est pas sans des ell'orfs réitérés et l'appui de M. Cambon que la caisse du syndicat des vignobles est parvenue à se l'aire restituer ce qui lui appartient, et à mettre dorénavantcelte taxe appétissante sous l'égide des Conseils généraux.
CHRONIQUE LOCALE ET REGIONALE
nw»niaLr.3K*nratara-gauraydng
théâtre en province où de fréquents changements sont nécessaires pour varier le programme tandis qu'à Paris on joue pendant deux et trois mois tons les soirs la même pièce. Les divers sujets n'ont pas toujours le même répertoire ; il faut s'entendre, se mellre à la portée les uns des autres et faire des coupures ; enfin il faul une mise en scelle el des costumes donl le manque absolu rend certaines représentations impossibles. M. Petit a fait ce qu'il a pu pour notre scène el nous lui souhaitons les meilleurs succès partout où i! ira. Sainedijicomine'nous l'avions annoncé dans notre dernier numéro, a eu lieu devant une salle comble le bénéfice de notre excellent comique M. K«ë3, dans lu Fille du Tambour Major, ou il a remporté dans son rôle de Monlabcrd, un brillant succès. Le plateau a été fructueux pour le bénéficiaire, qui du reste à su mériter celte jusle récom pense. Nous ne voudrions pas laisser passer celle soirée sans adresser des félicitations à tous les artistes, surtout au dernier acte dans Tcnlrèc des Français à Milan, donl le rideau a été levé par trois fois. Dimanche, on a joué en deuxième, les 28 Jours de Clairette, qui peut passer pour une nouveauté ; on doit des félicitations aux ai-listes, surtout à M. Chappe dans le rôle de VsGchonnel, ainsi qu'à Mme Dinally dans celui de 5\Gcholtc ; voir même les figurants qui ont su montrer en scène un entrain exceptionnel. Mardi on donnera la Cil E» eSe lîïsEie Asigml Opéra-Comiqueen 3 actes, au bénéfice de notre sympathique clicfd'orcbeslre M. KEAÇJEBECIti.
jïBïlîïsii-j-. — C'est M. Moingeard aide-major au 1er Etranger, qui est définitivement désigné pour accompagner nos soldats à l'expédition de Madagascar. Nous apprenons de même source la sortie favorable de l'Ecole de Sainl-Maixenl des sousolïiciers du lBr Régiment Etranger dont les noms suivent : William sergent-fourrier, Bord .sergent-major, Merlzveiller adjudant. AVSH. — Le Maire de la Commune de SidiBelwVbbèsà l'honneur d'informer le Public, qu'à dater du 15 Mars courant, les bureaux de la
Mairie seront ouverts
:
Le malin de 7 à 11 heures. Le soir, de 2 à 5 heures.
Ara-ivén «1«* 'JTostliirm.
Hier soir, par le train de 8 heures avec un retard de 2 heures sont arrivés 1(30 hommes du 1" Etranger sons le commandement du capitaine Ballet, et du lieutenant Coville. Ils reviennent du Tonkin el ont débarqué à Alger comme nous l'avons annoncé plus haut. Tous ces militaires paraissent fatigués du voyage, deux ou trois malades ont fait route avec eux ; quelques antres sont restés à l'hôpital d'Alger pour leur rétablissement. —
nommé Taïeb ben Nedja sous l'inculpation de vol d'un rouleau de cordage au préjudice du sieur Garrigou épicier, et le nommé Adda ould .' Khambicbe qui lui à servi de complice pour ce coup,de main.
Le nommé Saïd Mohamed ben Djilali, repris de justice, sous l'inculpation de coups el blessures graves sur la personne de la nommée Nabli Ziuel b'enl Nabli ben Addi el de violences contre la nommée Bédra bent ben Aouada fille de la précédente. Le nommé Kerfis Miloud ben Ghalem sous inculpation de coups et blessures, el mis en étal d'arrestation par l'agent Haddi.
Whé&u-e.. — Depuis quelques jours, sauf ceux de représentation à bénéfice, notre théâtre est en perle et le public se fatigue de voir répéter trop'souvent de vieux clichés comme : Les l^oces de Jeannette, La 'Pelile Mariée, Le Coeur et laSvCàiii, Les Dragons de Vilhrds, Les Mousquetaires au Couvent etc. encore y chcrchc-t-on une basse dont le rôle est tenu au besoin par le baryton. Ce n'est pas à la bonne volonté du directeur 'que nous en avons ; il subit les difficultés du
jSButla^îoH. — Monsieur Villeneuve, le substitut de Bel-Abbès est appelé dans la même qualité à Oran,il est remplacé ici par M. Sabardin actuellement substitut à Sétif — Le 10 au soir à M heures 1]2 une rixe a eu lieu à la maison de tolérance tenue par la dame Yve Charna'y, entre le nommé Canlarel Paul el un militaire du '1er Etranger. Quelques epups de peu d'importance oui été
5ïâx«,
-;•;
échangés. Procès-verbal a été dressé et rapport envoyé à la place. SKoa-w: «langez*.—Nous apprenons que le
sergent Buisset du 1er Etranger, qui avait lente de s'empoisonner il y a quelques jours, pour des molifs que. nous ignorons encore, est en ce moment complètement hors de danger.
KJJrtaaataaKaxcyT3WVt3BW»i-infi.-nnai^m
!* douar commune des ÏNernaï- \ en la dite ville place Carnet, | ment Melab Zertita, sise au l'a met ou deux hectares tren- l'autre, lie; dit Zertita, numéro cent cha ror.nmine du Xessa'.a ! procédé à la vente aux enchères [ te neuf Î ares, quarante-six lien | centiares, . du plan, contecin d'une terre de cinquante-sept j publiquessur licitation, en deux cer 1 d'une contenance totale de hectares quatre cuï pâture, appelée nant sept et I lots séparés, les étrangers ad- f culture nai j dix-sept hectares cent ares \ mis, au plus offrant et dernier Fri; vis soixanFrinetta, d'une superficie tota- vtngt-dix-liuit , ares j vingt-deux centiares d'un [enchérisseur des immeubles le dde trois hectares cinquan- te centiares et joignant: | au , f seul letianl. ! te-neuï 1\ , . ci-après désignés : vingt centiares nord, cent cinquanno , le numéro i te-: ares à l'est, Trik el Centra ; teportant le numéro eentquaran- te-six Ensemble les eom's- 5|! DÉSIGNATION j du plan joignant te-six et te-.< ] au au sud et à l'ouest la Chabat El : tractions y [ nord | Me ne. et sud le numéro cent f Melab. cinquante-trois S Premier cin Lot : à l'est, le che- \ Sexto Le tout ci-après plus a ni-f1 f min dit Trik Taklala : à l'ouest mil _._— j plein en I. désigné. ¥ El Agucr ; la ChabatDalia UNE i »-1«;-.iiMy—>Rii"T-ir-.i .u . — , || r ' ' I1TI llll I'~'iïlir TIT~I ~1 l~l
I
MIIH
dix janvier mil huit cent qua-
tre-vingt-quinze,folio tre quarantesix, s'x case dix-huitième, au droit de soixante-dix-sept centimes. L'adjudicataire devra donc respecter cette location et aura \J droit à la moitié de la récolte dn àan , provenir.
s
a
.
édifiées
OBSERVATION
8
1En ce qui concerne cette de deuxième propriété, Madame Veuve Slrupiékowski et les héritiers de feu T h o m a s Si Slrupiékowski déclarent ici vendre et céder leur lieu et ve place tels qu'ils les ont acquis P': e 1, les possèdent eux-mêmes, et c'est c ( à dire entièrement pour la partie divise et à concurrence ^a de leurs part et portion seulede
UNETERRER
!PpflîlPÎofp piipalp
Secundo DE j) CULTURE, ROCHER L'adjudication aura lieu le j I ET PATURE M ercrecîi dix Avri 1 ! F1 ÏTT\T1? rI^ I? R "|" El Aricha, sise au lieu dit OÏ> |]J 1 ilY'dAÎtjÉl- dite mil huit cent quatre-vingt- |i| sise commune d'Aïn-Trid, can- (^Sidi-Bel-Hadri Si, portant ie nude Sidi-Bel-Abbès, d'une ton quinze, à une heure el de- j DE CULTURE méro quatre-vingt-quinze du | contenance totale de cent m mie de relevée. | vingt-quatre hectares soipl plan d'une contenance de trois ET | xanle-onxc. ares, soixanlequatre-vingt-huit ment h< hectares BROUSSAILLES l'autre partie indipour I quatre centiares entière- dite quai*ante centiares et divise. dit Semara, portant le numéro ares ai JLe futur adjudicataire , On fait savoir à tous ceux | nord les numéros fera jo cinquante-huit du plan, ! joignant I ment défrichée dont quatre cent an ce: donc son affaire personf(3 qu'il appartiendra qu'aux, requatre-vingt-dix-sept de vigne d'i hectares demi et quatre nelle dix-huit et de d'une contenance qi de cette situation des n( quête, poursuite et diligence I vingt-dix-huit, à l'est, le numéplein rapport, plantés sur le hectares quatre-vingt-quabc j vi en et ne pourra les in' vendeurs vc de la dame Barbe ERNST lot 93 ci-après. quatre-vingt-quatorze ; au quiéler qualre-vingtscenno to torzeares rc ro ni les rechercher pour qi propriétaire, demeurant à Aïnla Chabat Taklala et à quelque Elle se compose : joignant tit tiares et n< ; au nord le nord, cause que ce soit, sauf q, Trid veuve en premières noces le numéro quatre vingt-' pour DU LOT DE CULTURE, numéro l'< cinquante-cinq, à l'ouest cent lui le droit de poursuivre nu ,-,, STRUPIÉde M. Thomas vingt-trois, d'une Chabat El Melab, au seize. l'est, l'e la np supersi les tiers copropriétaires, contre c; KOWSHI et en secondes fÊcîe de quarante-cinq becsud le partage ou la licitation des su le chemin dit Trik El GanBAHsieur Arsène du Septimo noces tares. le numéro cent cinquanet tra tr; 1 immeubles demeurés encore n laquelle domicile R1ER, pour DU LOT DE CULTURE, te-neuf, à l'ouest, les numéros te * l'indivision entre, ses audans Sidi-Bel-Abbès dans est élu à I superficie d'une de cinquansoixante cent et n« cent un, ce leurs et les tiers. l'Etude de M° Edmond Gïdix-huit hectares quatrete-cinq el. elle est sise au lieu le KAUD, avoué près le Tribunal vingt-dix DE CULTURE, CACTUS,; PROCÉDURE Djelloul. di Blad El Hadj dit ares. VERGER ET PATURE Civil de première instance, qui DU LOT DE CULTURE, Taklala. numéro cent1 Tertio appelée est constitué et qui continuerai a La vente des dits immeubles d'une vingt-deux, n<» super-; cinquante-troisdu plan, sise aua a été ordonnée par jugement d'occuper pour elle sur la pré- ficie de vingt-un. hectares, «lieu dit Nemaïcha, contenantt .contradictoire rendu à l'audiensente poursuite de vente surr quarante-quatre centiares. 1 .c ^ hectares soixance-publique du Tribunal Civil trente-six licitation. t c ET DU LOT DECULTURE± DE CULTURE joignant ; aua de d Sidi-Bel-Abbès le 27novemquinze et ares Eu présence de : nos six et sept, d'une super-. dite Chaleba, sise au mêmeJ nord, ., la Chabat Taklala ; à l'est;t hbre 1894 enregistré elrégulièrer 3 ficie de trente-neuf hectares5 lieu 1° Le sieur Honoré GRAS jj dit. portant le numéro cent le notifié. ment n j laid Taklala, la réserve de e cultivateur, demeurant à Aïn-- quatre-vingt-un ares, vingt cinquaril.e-;neufdu plan, conteLe cahier des charges dressé Taklala et le numéro centit j l'Ain " ïr-id priSîtanten son nom per-- centiares. deux hectares, soixan- cinquante-cinq M« GIRAUD avoué de la nant n le sud, f par e au ; ( sonnel que pour la validité dee Ensemble la MAISON DE^ te quatre arcsqualre-vingls poursuivante a été c trigonomôtrique numéro0 colicitante point ' , la procédure à l'égard de sonn FERME construite sur le lot centiares Tribunal greffe du déposé et joignant au nord cent au c ,_• c les quatre-vingt-deux, nu( épouse ci-après nommée elA IÏ<> vingt-trois se composant11 et de c Sidi-Bel-Abbès le cinq Mars e à l'est le numéro cent cin- rnéros soixante, cent lL cent, , mil huit centquatre-vingt-quinencore comme tuleur datif dee de : trois pièces, une cuisi-" quante-huit, au sud, le chemin7 soixante-quatre Q le l'ouest, à : £ j le dépôt a été. dénoncé aux Euqène-Mare-Léon STRU-I- ne, une chambre servant1 dit et ze z ^ Trik el Gantra. Chabat Balia El Aguer et le nu- parties intéressées dans les déPIÉKOWSKI enfant rnineuiir de four, un magasin, unee quarante-six. méro cent ' Quarto j lais de la loi. la dame issu de l'union de e écurie, une petite cave, un n Barbe ERNST avec son dé-i- poulailler el trois puits. Octavo UNE A, PRIX MISES STRUfunt mari Thomas
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OBSERVATION
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En conséquence, outre les clauses et conditions insérées [ au cahier des charges déposé greffe de tribunal les enchèau , les dits jour ,res seront reçues ]lieu et heure sur les mises à prix de :
L'adjudicatairen'aura lajouisDE CULTURE 3" DE LABOURS 'à épouse du dit sieur Honora•é sance de la dite propriété qu'à ET BROUSSAILLES d'une contenance de vingtdeux hectares faisant partie GRAS avec lequel elle dee- compter du premier septem- dite El Alkoul sise au lieu dit ie -, I bre prochain (1895), superficie d'une tod'une terre pour les °" meure à Aïn-Trid. T Sidi-El-lIadri c contenant (.paatre a~ Golicitantsayan t M°Edmon«L{j terrains nus ou semés en ce- hectares, , trois ares, soixan- talc de trente-quatre hectaGIRAUD pour avoué consliLJ_ réaies et après la récolte du te centiares portant le nu- res, portant le numéro cent Soixante mille francs, pour raisin pour ceux complantés cinquante-cinq du plan, appe-J en :n e" le premier lot, ci.... 60.000 f. tué. , . du l quatre-vingt-seize , mero t vigne. iée Sidi-El-Bachir, sise au lieu 3U nord, le [e joignant de plan Vingt-huitmille francs, pour présence el Et encore en . au ; : dit Taklala. quatre-vingt-dix-sept numéro jt Lot le deuxième lot, ci. 28.000 f. Deuxième i i°Le sieur Albert GARRÎj_ • à' l'est, le numéro quatre-vingttNono Les frais de vente et d'adjuUNE!AUTRE GOU, négociant, demeurant^à quinze ; au sud, le numéro dication et la remise proporV t i.\; Sidi-Bel-Abbès, pris en qualilité ^ *^^ quarante et la Chabat Taklala, (* tionnelle en sus. a' de tuteur ad-boc du miner à; l'ouest, le numéro cent dix. X. Eugène STRUPiÉKOWSsDE CULTURE du lu le territoire située Fait et rédigé par moi avoué sur Kl sus-nommé, ayant Me LISc, Quinto appelée El-Hadjerat El Metraa" poursuivant, soussigné à SidiNemaïcha, douar des , commune constitui , BONNE pour avoué ^~ Bel-Àbbès le douze mars mil ie Les trois cent quatre-vingtt- defat sise au lieu dit Sidi-Elcommune du Tessala, d'une 2o Le sieur : MONTEES ?t_ huit cent quatre-vingt-quinze. ty~ contenance totale decenthecli_ Hadri, numéro quatre - vingtc- six/neuf cent soixantième indi. TRAND Pi*osper, instituterur tares dix-sept ares, vingtplan du contenant Lnt [t- vis seulement ou quatre hecSigné.: Ed. GIRAUD, > quatorze demeurant à Sidi-Bel-Abbè;'s' deux centiares, d'un seul re S'adresser nl tares cinquante-huit ares, s quatre hectares quatre plus amples pour pris en qualité de subrogé tv tenant. quarante lte douze vingt ares IQ soixante-seize centiares, de 1° à M° Giraud renseignements ET centiares : teur ad-hoc du dit mineur n»E deux terres labourables, Ensemble la MAISON DE s poursuivant avoué ; 2° à Me STRUPÏÉKOWSK' gène Partie des terres composantt *-* FERME édifiée sur cette proo- appelées, l'une, Sidi-Bouselaa_ :. I Lisbonne avoué colicitant ; minl_ louée à propriété est cette N'ayant pas d'avoué const;ti- prié té renfermant une Clianij3_ {fruits sise au lieu dit Moulay Ab~ iima, Tribunal du greffe voir et au Al> yD^ Ibre Bloufa sieurs et aux ie II delkader contenant trois hect-IQ et une grande écurie I où le cahier des charges est [ Zine jusqu'au predallah ben reS de quinze mètres de Ion-1 '»- tares quarante-deux ares, iS' mier septembre mil huit cent Il sera, le Mercredi d: ent déposé. I ts. j quarante centiares, numéro r0 quatre-vingt-quinze aux charAviûl mil huit cent quatrre- gueur avec source et puits, Enregistré à Sidi-Bel-Abbès ,ar| La dite propriété se compose >se ! quatre vingt-six du plan et joimil huit D 1" vingt-quinze à une heure et conditions énoncées en le mars, et ges Jj ' de gnant : au nord la Chabat Sel'audien ; 'e~ un bail sous seings privées en cent quatre-vingt-quinze, folio de relevée demie ice en I f m ara ; à l'est, Trik El Guinreçu quacase n- date du quinze novembre mil des criées du Tribunal civil °-e < Primo , , | touna ; au sud et à l'ouest le huit cent quatre-vingt-quatorze, •ze, tre-vingt-trois centimes. première instance de Sidi-Btelle-| Signé : BILLEREY. 115 le | Sidi-Bel-Abbès, à enregistré cinquante-six, et numéro seulecent indivis Les deux fiers Abbés, au palais de justice sis £ , I 1
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Et Une Terre
PROPRIETE
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