Le Messager de l'Ouest. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 130297

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Le Messager de l'Ouest. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 1897/02/13.

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,-%

// — N° 3OE

ANNÉE

QUATRIÈME

le 13 Février

Bel-Abbès, Commune&

181)7

nous allons faire passer quête que aussi brièvement sous que possible les yeux de nos lecteurs pour leur bien montrer que nos sympathiques

Entrepreneurs

élail conmunicipal mercredi dernier, voqué d'urgente, en séance à l'elfel extraordinaire, d'examiner un projet de modification au contrat de MM. Dénias et Parictdes travaux de la li, entrepreneurs de de la conduite galerie caplageel

conseillers ont été dans cette affaire roulés tel un chapeau d'Auvergnat. Voici {Tabord un résumé du rappoi t. • C'est M. Lishonnequi parle : « A la suite de difficultés nomet d'ordre de service breuses, plus

d'amenée des eaux motrices ne éleva loire. nous le donnions Comme

nombreux

Le

conseil

à l'usi-

à prévoir dans noire dernier il numéro, n'a pas été question un seul instant, ordre du de cet jour, à la dernière réunion du conseil. s'esl borné, Tout lecture, après la le de commission par rapporteur des travaux,

d'un

rapport

djs

mieux au parlant,

élablisr-tteeiltirqtieTnéntvole d'un crédit de 2800 fr. pour le de travaux paiement entrepris par une de la commune, après prise possession

d'un

illégale

chantier

des

entrepreneurs. ne nous Le. rapport ayant pas clair sur'certains paru suffisamment . points, et ne pouvant comprendre la absolument cerlaicommune, que tinedesesdroils,consenlilà payera tre de transaction une somme queld'ordinairesemonlre conque,elltqni si parcimonieuse,à un entrepreneur, et cela seulement éviter un pour ; nous nous procès long cl coûteux sommes livrés à une enquête et tout la commission des comme travaux, sur les lieux. nous sommes rendus Ce sont

12

l'es : ésnltats

Feuilleton

de celle

en-

du Messager du l'Ouest

Mh@Mm&>%

encore

dont

M ML les En-

Un

d'inertie beau

jour cependant,-samedi déon lente une dernière dernier, marche de es Messieurs et auprès celte fois ils donnent signe de vie. , Entre des éboulemenls s'étemps | lant produits sur divers points de la éboulemenls tranchée, que le rapporteur ments

met

sur

le compte d'événela commune dut.

imprévus, des matériaux acheter tion el déclarer la mise tous les travaux. Cependant la

pour

municipalité, commission des

de construcen régie de

éviter un procès, api es avis de la travaux,

l'ait

des

poutres et par laquelle la cartomancienne avait disparue la veille aux yeux de Marcel et de ses compagnons, mademoiselle Hévélia

-' '

arabe

(Suite)

Ce n'était partout que haillons, oripeaux sordides ; partout des travaux grossiers;, des dépeignés, des femmes aux bras, nus, des hommes débraillés ; lé désenchantement, l'envers du ciinquanl.

cheveux

Près d'eux, une des vieilles femmes plus déguenillée que jamais, lavait du linge dans un baquet. La jeune bohémienne l'aidait sans doute dans celte besogne qu'elle venait d'intercar rompre pour causer avec le conducteur, ses bras nus et ses mains éLaienl encore couvertes de mousse savonneuse.

qui la séparait du las de

Elle:avait quitté son costume de parade ; •les pieds nus, les br s nus, la têle nue, elle n'avait pour vêlement qu'une vieille.camiso-

Propriété du Messager de l'Ouest. — Reproduction interdite.

le, un jupon déchiré sur lequel elle avait lié un sac de grosse toile en guisë de tablier. ,

Près de la voiture de mademoiselle lia, dans relte.ruelle

flévé-.

entre eux el la commune! élé aulrem?-nl édifié. "f Voici en réalité sont comment survenus les incidents entre la comet commune el les entrepreneurs ment ces derniers la cause expliquent

échangée il aurait

inexplicable.

que nocs: avons vu au début de cette histoire conduire

légende

sont loin de entrepreneurs ! prétendre que cela se soit ainsi passé ' si le Conseil municipal et avait pris connaissance de la correspondance

Sommation, sigiîificatioivpi'oeèsverbal dé constat par le Commissaire de police, rien n'émeut les entrepreneurs. On se heurte chez eux à une

elle-même causait avec l'homme

d'une

Les

MM. Demas et Parie!li et d'exécuter des travaux éviter des urgents pour éboulemenls manqui ne peuvent quer de se produire.

force

SAMEDI

aux ende conciliation | propositions Itrepreneurs. Ces Messieurs çl reacceptent les Iravaux, sous condition | prennent I toutefois que la commune prendra à; sa charge 2.800 IV- de irais. »

neliennenlaucun trepreneurs compse voit un beau jour te, la commune dans l'obligation de prendre possession des chantiers, de abandonnés,

la voilure sur la roule d'Alsace.

Traduction

Centimes

CINQ

du conflit. « Comme le d'ordres

complémentd'unekyrielde service plus ou moins

inutiles et auxquels ils ne prirent même pas la peine de répondre, MM. Bernas et Pariëilî recevaient a là date du 27 janvier une lettre dernier, recommandée les kjs mesures prendre ac iverlvurs Le môme parait. d:une el. commençait En deçà de la distribution

avisant d'avoir à nécessaires pour

travaux. s'emjour, la commune de leur chantier paitie les Iravaux suivants: la vanne régulatrice de des eaux, les entre-

avaient laissé un matelas d'environ 2 mètres de larse trouvait le geur ; sous ce matelas devait venir se ractuyeau auquel corder la conduite, tuyeau qui déle matelas d'environ 0,50 passait centimètres. Ce matelas enlevé, sans nécessité, de la commune mil par les ouvriers preneurs de terre

à découvert

deux

barbacanes,

c'est-

à-dire

deux

43

FÉVRIER

!<SI.7

ouvertures

laissées dans la maçonnerie l'écoulement pour et il s'en suivit que ces des. eaux eaux retenues jusqu'alors par le malelass écoulèrent dans la tranchée à el minèrent leur base les terres de celle-ci ; d'où éboulemenls sur certains points. Là est la seule cause

successifs des éboule-

et menls, disa'enlles entrepreneurs, la commune doit en être rendu resNous ne pouvons ponsable. supporter les conséquences fâcheuses d'un travail nous n'aurions, que jamais ordonnés' o:i mus avait consulté ». En réponse à la prise de possession, une mise en régie qui. constituait arbitraire el non conforme à l'art. 35 du cahier des charges, les entrepreneurs suspendirent alors un de leur chantier laisser pour opérer la commune comme elle l'en 1endail. leurs inCependant pour garantir térêts ils adressèrent un mémoire au Conseil de Préferlure et demanla dèrent nomination d'un expert. Cet expert, M. Gaudry d'Oran, devait arriver mardi à Bel-Abbès, ordre. lorsqu'il reçut contre La commune, .comprenant que les entrepreneurs étaient à prêls aller jusqu'au bout en demandant la résiliation de leur contrat et de forts un proposa C'est-alors •arrangement. que MM. Parietli eL Demas demandèrent : 1* A. ce que les lieux fussent remis dans l'état où ils étaient à la prise de possession par la commune/;.' dommages-intérêts,

leur

2' A ce que mus les frais nécessites par la transformation du boise-" 'i -..'' ;. .

— Il reviendra *?demandait l'ho_mrrj.e.. — Ce soir, disait la femme ; il m'a donné ~ L'homme avec qui elle causait et qui de vingt francs hier. ! v. — Qu'est-ce qu'il l'adii ? conducteur pour les voyages, passait magné-v.-;-.:.[ — Qu'il m'aimait, et la femme rit en regartiseur devant le public, ne laissait voir de;sa.d dant l'homme. personne que deux yeux brillants et une bar'~ ' be noire, tout le reste disparaissant sous des -- Il est jeune f — Oui, vingt ou vingt-cinq ans. haillons sordides et un- chapeau espagnol à Le regard de l'homme jeta un éclair. larges bords. — Rhamsâa. dit-il d'une voix sourde, ton Il écoulait attentivement ce que disait la Moisson teint avait le même éclat, ses yeux le môme feu-.

bohémienne.

Parfois lous deux riaient, l'homme semblait donner.un ordre.'

puis

Ils parlaient celle langue bâlanle, mélangée d'arabe el de turc en usage chez^les Tziganes. Cette langue a emprunté quelque chose à tous les dialectes : l'Espagi ol,J'Italien, l'Allemand, s'y heurtent à l'Arabe.' ; Voilà ce que disaient entre eux l'homme et la bohémienne

: "'.

coeur est à moi, par le grand coplile ne l'ou— blie pas ! -. ' —:.Pauvre seigneurlu es jaloux !'je ne sais pas seulement si ce jeune homme a les yeux bleus ou noirs ! (À-Suivre)',.


1blissement d'une disposition, 1i soutenue deniers ont partiel s contre toutes les calamités de la tranchée de . leurs bons nient mal conditionné pai paient ^ de ans antérieure au traité de quarante J dont l'adversité naturelle dr< à de plus amples explications. fussent peut acca; droit supportés par la commane Francfort. j bler de pauvres 3' Que les matériaux de construcDe tout ce litige il y a quelqu'un gens, sauterelles, «. Voire Commission en oulre, opine, <, mévente des lès le en résiroco, tion achetés récoltes, les responsabilipou,r compte qu doit supporter qui ou législatives ou que des mesures, colons de ce village se. croyaient ; tés ou les entregie fussent payés par la commune tés, est-ce la"commune £ devront être j administratives, prises s sauvés le fisc et les domaines fit ce l pr C'est ce qui a été accepté avoir lorsque Tous ,pour assurer, dans la plus laige mesupreneurs? prétendent sont ces conditions.qui ont été soura; f plus impitoyables que tout le teste, raison. } compatible avec la raison d'Etat, re la ^ vinrent les ruiner à jamais en exidu Conseil. mises à l'approbation înaturalisation alsaIl y a cependant un fait certain des légionnaires le paiement immédiat de cerà savoir maintenant si ce Rckle e geant < à respiration de leur ne s'élaii pas c'e c'est ciens-lorrains, q.ue si la commune I taines redevances crédit de 2.800 fij. est aussi large- -' re ' service. qui ne pouvaient fautive elle n'aurait reconnue pas (que très modestement contribuer à ment suffisant qu'on a bien voulu le ac lui im« Elle ' signalera sur ce les conditions d'ailleurs, accepté qu'on 1 ' du budget, dire. l'équilibre un point aux pouvoirs compétents, ;: pc posait. \. , ./ A notre avis non. En effet nous d'avance tous Tous les immeubles précédent qui légitime illusoirement Ce sont doncles contribuables.qur sur lus lieux: mêdécrets ou lois inlerveconstater < qui pourraient confiés à ces travailleurs avons-pu acharnés et une fois de plus et cela se paieront nir dans cet ordre d'idées. En effet, , mes: n'ont certainement probes, qui pas re renouvellera jour où ils se jusqu'au la guerre de Crià 3 fr. = 2400 Napoléon Itt, après 1- 800 planches ( vont être démérité, prochainement :de la ' j lasseront de voir les intérêts la Légion Etranniée, pourréeompenser 900 :: J2id50 madrieiis à 6 fr! .= vendus à l'encan. cc coaimune d'aussi singulière gérés services gère des admirables par elle 3" 400 m. cubes de terre Voilà à quoi se résume ra l'aide et la ~ façon. rendu à à à Sébasl'Aima, Inkermann, 600 enlevés ou à enlever à 1,50 E. DOMERGUE. de l'administration en Alprotection en masse officiers, topool, naturalisa = '--' sous-officiers el soldats de deux régigérie. Soit 3.900 ,: *&';J-l'-' ments étrangers. Par ainsi, Messieurs Voilà l'oeuvre colonisatrice com.n-.fr.iêi l'on, .ajoute à ce .chiffre la déLa comme la création d'unités tactiLégion pour me on la en France. Si le comprend la mise en ; pense,, que nécessitera el les Alsaciens Lorrains ques exclusivement composéesd'Als.ilaisse ce % gouvernement .s'accomplir le replalieux, .c'est-à-dire ;élàtdes l'instrument eiens-Lorrains, légal pour crime de lès,-colonisalion se sera sur une loncement desluyeaux leur naturalisation est également forgé d'administration de la ( Le Conseil toute simplement écoeurant. le paiegueur de 55 mètres environ, davu.nce depuis 1856, c'est-à-dire de« Fédération des Sociétés Alsacienment du personnel E.D. employé poulpuis 40 ans, anticipant de quinze ans ] nes-Lorraines de France et des Col'enlèvement ies-travaux sur le traité de Francfort. » autres--que lonies » s'est occupé dans sa derniè'_ on peutaugdes terres déjà évalué, Nous approuvons le re réunion de la question des Alsaentièrement BOITE AUX LETTRES f. en v'i ion ladépense, ment eï déL500 . comité de son mais nous soldats initialive, à.la Légion i I ciens-Lorrains "ce.qui donne lejoli chiffre de 5.400 f.. ,. fort de désoulevée dans le Petit /, \ craignons que la -crainte Boukanèfis, le 11 février 189"/. Etrangère, : El qui peut encore assurer qu'il ne\' à n'arrête les tris'.es S Journal. plaire Monsieur le Directeur, rAllemage sera pas dépassé ! ministres nous ^ .opportunistes qui Les injures n'ont jamais tenu lieu d'arguAprès avoir constaté que le nom- r on le voit nous sommes s Comme :• ,. mcnls et je ne suivrai pas, par respect pour gouvernent. atteint à la Lé' des engagements bien loin des 2800 francs voles parr bre vos lecteurs, le triste homme à qui Tex-<>ar-J ne brillent Alsaciens-LorCesgensdà pas par la.j « gion, pour le.î seuls la commune. de des eaux doit sa mésaventure sur le terrain bravoure. la plu-il le 45 pour cent : que alors a-l-on induit lee rains ;, Pourquoi qui lui est commun avec les champignons. il de ces volontaires sont '" La fédération des Sociétés Also1 pari engagés -le nie contenterai de répondre ceci : le .. : conseil en erreur ? ( à il est demandé ê des adolescents ciennes-Lorraines tqui comprend vingtgude des t>aux a été mis u la porte ^par le . =,'.-, Tout cela ne se scraii pas ainsi ,j ' un effort, lei .doivent .subir., ir. syndicat le 3! janvier dernier et.sa démission rible, qui : sept,sociétés. enn . "nasse si'on avait réuni le conseil -, j esl'dîUôë du 1,!r lévrier, . . ''' -.-i:"..;r;.:--.-;i, '-. ' OuU:; ;- f'Ellè des cruelles'épreuves;au-Toiiikin el si on lui avaii coinj. peuLdbne préléiidre. parler. !;i, séance privée t Au conclure.;... .-•;*. public.de. 'a à tel point, que la au nom de lamajoriié de ses comde celle a C_ f- à; Madagascar, le dossier .v^.muiïiquétpul Veuille/.-.agréer, elc. mortalité est la énorme, Fédération, V ont •s si les entrepreneurs patriotes qui opté. Un renseigné. >=,. .faire et surtout ' ' fi-n à ce sort mellre intolérable, pour ?* -, , , , lui pourir . avaient été appelés devant les Allemands, dil ceci : taules les explications né£_ qui réjouit donner COMMENT miCOLÔÏNÎSË E '; LOCALE CUnONIQUE Ml La Fédération .émet l'avis qu'il soit cessaires. EN ALGÉRIE ET REGIONALE des uniiivilleses créé dans la Légion Etrangère Cela se fait dans les autres ~ t. is lactiques où nos jeunes frères, à leur ur 7~7 ~. ne fait-on pas de même à 1-a saisie pourquoi (îiiii villan:; le Mercuriale arrivée au métier er corps, apprennent Bel-Abbès? u ''•-' Là où armes, mais où ils ne soient pas, n'en trenlnL .des Blé tendre : 21 fr. 75, on craint une -les. enlrepreneurs Le fait suivant est tellement, n. indébut de leur carrière, livrés en ^ dès le K baisse dans le courant de cette semaine. a le municipal pas, un conseiller a du nous|)S croyable, que -sa-véracité à une mort fatale. proie Blé dur : 23 à 23 fr. 50. droit et le devoir d'entrer. être aflirmée de nos os par plusieurs a Elle considère donc qu'il suffirait ., Avoines : manquent,complètement les es . Le mandat ; confrères, que lui confient pour que nous y ayonsIKs 3ri . pour mettre nos jeunes frères à 1 abri en 12 fr. 75. . ras pour lui paierait. électeurs ne consiste ajouté foi. de certaines lâcheuses.es promiscuités : ti à 14 fr. 25 d'un Il ne s'agit ni plus ni moins que Orges ; très fermeà écouter l]C la, lecture rappertA*- comme aussi de fatigues au-dessuslUS. ' ment tenus.: ; la plupart du temps'Ps de la saisie à la requête du fisc, du -j'(I une ;ne de leurs forces, de leur appliquer technique,fi,-)t. Maïs : 14 francs. 1 sans sivoir 3'f .sur ordre et de voler dès longtemps ;isdans le dépar-JPvillage de Richelieu, réglementation préexisPois chien.es : 16 fr. à '16 fr. 50; i'éleinenlde Constantine. un cr/éct'il plus on moinsns S/!; pourquoi lante, par où nul ne sérail en droiL d'éle rétatalever le moin.Ire grief contre Les contribuables une lutte, courageusement ml Fèves : 16 fr. qui tui Après iiUîirngôrtânl.

>:;.,.12.,.„Feuilleton du Messager de l'Ouest

Birir

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DÉXO

Ulysse

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' '': , ^Heureusement pour lui, le petitsous-lieutenant cassant et qui croyait descendre de la '

Quand es peu commode supérieur revint au régiment, Prosper était déjà caporal et avait rour capitaine un brave homme sorti

mour.

grossière liaisons de garnison ; il soutenait de lTnne foi que la meilleure né vaut rien, jugeant d'après ces connaissances de hasard

Son capitaine le voyant | aie, allangui, le fit un jour appeler et lui demanda la cause

qu'il avait-eu dans sa vie de-solilat. Pourtant, coinme. c'était un ho.unie-de, coeiir, il

des rangf, voyant dans ses soldats des compagnons d'armes, et qui s'était piis d'amitié

de'ce changements dont service se ressentait quoique le sergent en fil ; Prosper, inca-

consola Pro'spi-r, et sans lui en souiller mot,.-sans crier gare, il tomba une; après-midi

à se

pable de dissimulation ne fit qu'un bond en ;'apprenant la nouvelle.

dans le puiaiblë apparièinënt de XI'",C'Carton, à:qui il révéla-s^ns phrases toul èë (lu'il savait. Ah ! il n'y était;pas allé par quatre che-

pour le jeune

;.;.; -:'PAH^ :

'"[ 2.'.".

ri

1 la compagnie par une maladie qui; le cloua à l'hôpital pendant huit mois.

m

cuisse de Jupiter parce que son grand-père avait acheté un ancien donmaine seigneural dont il avait pris le nom, fut obligé de quitter (1) Reproduction de la Correspondance de la Presse.

réengager gent.

homme

qu'il poussait après l'avoir tait nommer

ser-

Prosper se serait peut-être laissé convaincre si un jour, à la prorhedade, contré Louise-Garlon dont il était tombé amoureux. Vous voyez que j'abrège et je vous dis en bloc les choses (grosso modo), vous laissant deviner l'inévitable el adorabb crise que le sergent dut subir depuis les émotions de la rebcpiitrè," jusqu'aux nuits sans sommeil en passant par les agitations, les tourments, les

fièvres ; toutes ces souff.-anccs qui sont les précurseurs et les avant-courriers de l'a-

— Amoureux ! lu es amoureux ! ' V-Oui, mon capitaine. — Mais tu n'y penses pas ? — Au contraire, je ne feis que ça nuit e\

mins, il a ait avait agi suiva«'iti:s règles de . la marche accélérée, sans ambiges nr pré min'aires. (A Suivre).- -

jour. Eh bien le voilà propre continua le militaire qui avait une opinion toute faite sur la femme qu'il ne connaissait pas et qu'il n'avait entrevue que de bien loin, à travers de

__

»'

'

y.'—'t~-, '.-'


Union

des

Femmes

de France

Mme la Vice-Présidente du Comité de l'a Union des Femmes de France », nous prie d'annoncer que pour des le bal de W Union » raisons majeures, devait avoir lieu le samedi 20 du qui courant au mercredi 24 du est.renvoyé " même mo's.

ranl la clôture ran des listes électorales, lisl< listes alors arrêtées par le qui seront les règles Préfet *'re et publiées d'ap'.ès Pre prescrites par la loi sur les élections la date mu L'an été indiquant municipales. àa laquelle ' les électeurs seront convoclu" ne sera publié qu'ultérieurement. qués '*Ce n'est donc pas avant fin mars au avoir lieu les que pourront pluslôl ele élections.

Cerdan Manuel, coups et blessures, C 25 fr. 1 d'amende. IFerrer d'une carManuel, ouverture rièi sans autorisation, îière '100 fr. d'amende.

notre climat rendait plus facile, les a nolr< relal relativement des fatigues et préservés nom nombreux d'une désagrément campaSouhaitons gne pas très commode. nous reviennent à peu près inqu'il qu'ils lacl' une fois la guerre si tacts, terminée, elle se termine.

La nouvelle pièce de 5 francs , - . ,...,, , , *, Voici la description du projet de M. „Rot Caisse nationale dYîparfjne des y, acceplé par le Ministère ,. D'un finances pour les pièces d'argent. O effectuées dans le déparexcellente Mesure Opérations -.....' .. col sur l'horizon les lem tement d'Oran pendant le mois de jancôté, qu'éclairent réunion du conseil -, A la dernière Un peu d'eau S.Y.P. du une soleil vier 1897. levant, pr< premiers rayons M. A. Perrin, a demandé à municipal, sei semeuse marche fière et allègre. Son 1 de la rue Un ce que les tranchées ouvertes sur la groupe de négociants ycl.^ Yer.-emenls reçus de 2128 déposunls, rionl 458 br; bras relient un sac de 1 P'' Prudon est venu dans, nos no nouveaux grauche rempli .. 205.487.00 bureaux, voie publique, tussent protégées pur de son bras elle lance les ua dans la nous droit, gn grains, journée d'hie-, pour prier • -dés- cordes ou des madriers et à ce que ,,em Remboursements à 1195 d,-pose semences à et le vent son de pleines s;) doul 1GG solde. ^* d';êlre poignées, .. 188.006.73 l'autorité un interprète auprès qui-de-; sanls, les -agents de veillent j pour peu du matin se joue aux draperies de sa dr d'obtenir le au moins droit,.afin passage sérieusement À la stricte plus applica^jXC' Excédent des Remboursements... 77.420.27 ro robe. Sa lêle gracieusement coiffée du lois par juur du tonneau municide deux tion de l'article du. cahier des charges == bt: et phrygien, de condéversait si boum est.superbe Pa pal, qui en Avril dernier yafférant. fit fiance el de volonté. Ti sur nos routes une eau ao abondamment M. le Maire reconnaissant le bien État Civil de Beï-Àbbès autour d'une s'enAu D" bienfaisante. lorche, revers, de fondé de ce voeu, a promis le prendre du 9 au11 Février 1897 rc roule une branche de laurier. C'est sur Serait-ce parce que celte année il n'y en considération el de donner des orNaissances' en petit ce revers que sera insciile, qu'on nous dres en conséquence. . a pas de période électorale A Abraham la valeur de la pièce : cinq Azoulay ; Prosper Darlii ; Ange ce a oublié, nous ont, avec jusle caractères, raison, Gette ibcsnre s'imposait depuis longMa Mallet Blas Mas ; Emilia Salazar. ; Moïse ; IV francs. Le chiffre et la lettre F seront \ ^ fait observer ces Messieurs. . temps. : ;,:. Kal l'on Carmen Torrès ; Marguerite Sauva; inférieure de la S( séparés par l'exlrèinité Choses Militaires Jardin Public geot ; .leanne Bolella ; Dolorès Er rique' ; ; torche. fJo. é Cazorlo ;'Cécile ' M. le lieutenant-colonel de Vialar Strupiéeliowski ; Marie Nous avons constaté avec plaisir' I Prison Civile pa, Pavia Mohamed a( détaché en Turquie ; Mahdjoub. actuellement prende Jardin qu'on réparait l'entourage date du 25 d dra dans le -commandePar décret ministériel'eii Décès quelques jours le côlé Public et tout particulièrement n ment du 2U il a été non> M. auquel ji janvier 1S97, Champagne, gardienEnfin ! Spahis, ] 05 ans ; Isabelle Roil.iguez Longeant la route de TIemeen. BarkaFegboul 10classe à Bel-Abbès, est admis le 9 n mé c chefde-l paru à l'officiel par décret 25 Mieux vaut lard que jamais. Ep Epouse, Mula, ' ans.; ïorHjman .mort né -, valoir ses droits Février. s sur sa demande à faire Kli Khiar mort né. ., nous sommes au Jardin Puisque ~~ : à la retraite, après 30 ans de service | ™: ne le quittons pas sans féliciter Public, du général Suivant les instructions" 14 ans d'Algérie. ^ de et A/1 présence M. Berger, avec plein qui continue du 1er ^ la commission Musique Billot, chargée de dresEtranger Inutile d'ajouter que M. Champagne succès les Iravaux d'embellissement. PROGRAMME ser la liste de classement des sousse lise parmi nous dans sa "propriété, ' --.'-.--Au printemps le Jardin, Du -14 Février 1897 prochain c ofiicîè'rè . pour des emplois proposés clos route du Tessala. Champagne, "-délaissé depuis quelques années, deliste c civils, va établir une nouvelleNos félicitations. L; P.oherlsau La .'..... Sellenik ''-"'viendra sûrement le lieu, de promenade \. pour le de ...l'année semestre | premier '-( Tiovatelles Les ":- favori de nos Nominations administratives" (ouv.)....... Duprato •-''• concitoyens. j 1897. . PJ Brune el. blonde i. F;Uisf (valse):... en date Par arrêté gouvernemental Ira du ,l!'r au 5 mars ; , Cette listeparai Musique Lucie de Lammermoor-.^ .'.. Doiiizelii ' du 8 février courant, M. Varnier, notre :-.- ,\Jeud.j la musique du-P-r r ,Jprochain. dernier, Le régiment qui passeïi'1.."'.": 'Eitenberg est élevé à sous-préfet .D'autre les; 'sympathique part, le ministre informe Place Carnol. son j i^-.-Ktmwgei" ..a ..donij.é. Le Ohï'file Musique, son grajfe. coiuinandants de coins'd'armée qtf'il'y r une classe supérieure;de audition de 4 à 5 heures; au lieu de 3 itx ;< ! '-.' ."'"'... ." ' "'•'• "..'.-' '.-.•>:" "" SALÔMIÎZ -; de;la,Méj," ';Ï;MI. MjiiflO'L admjnmlniteni;• '\' a! Hou'.Vd'o'uK'xtr'. -yh.;.'concours-' suppléa;,':: 4 heures comme .précédemment,. de 5 5Ô0 ^ souF-oHieiers candi- . ,. kerra est. promu au traileinënt L'avis de la mairie, nous 'faisant con-"'_.; •menJaire pouf les francs surveillant t (hors classe). ji de setgenl ce changement, ne nous est . dats à l'emploi naître h'iériVoilà deux avancements'bien çd.des èlnb!isseJ dans la soirée.--C'est ,. des prisons militaires "•".."'"parvenu que tell lés notre ne auxquels population peut. en raison va,. des :'. le seul motil pour lequel nous n'avons • tnei.ls.pénitentiaires -- r manquer d'applaudir. canees a prévoir. pu en faire part à nos lecteurs dans Nos plus sincères félicitations. noire numéro de mercredi. Au sujet de l'armée de coloniale, S Les Décadents Noces de Cana : ' l'Eveil de très'; judicieuses reproduit Les Décadents de Paris, ' dont nous Radical A sur ; 1! est assez rare de voir dans celle e du les,s h/crien. réllexions, avons annoncé la venue, dans un de >. 'l'eau bue avec plaisir, surtout 3l ressources certaine-i saison que l'on pourrait nos précédents débuteront numéros, | ;-. mont tirer d'un soldai, devenu colon celte eau est celle de la Mélorsque demain dimanche chez Cartigny. ji kerra. d'un lopin de terre oùu par l'attribution ne nos . Nous { pouvons qu'engager ' : et. ses intérèls. ce qui s'est produit it il fixerait ses.affections C'est cependant à à assister leurs concitoyens repré- | serait certainement d?s"^ Ce moyen au grand étonnemenl de le jeudi dernier, senlalions instructives et amusantes. | '"' En intéressant: "le solplus efficaces. quelques, spectateurs: l Au Théâtre de ce jour-là, un cimion>n dal au sol dont on lui confie la défense L'après-midi Ce soir Le Petit Moujick opérette noude reeon a beaucoup de vin-se rendait'ut plus de chance chargé de bordelaises velle au bénéfice de M. Gardon, 2e 1èdoubler son courage d'abord, et aussi;si à là ferme Saget, lorsqu'arrivé à quel-1nor. M. Cardon a bien mérité des abonnaturelle de celte teirere en 2n li productivité ques mètres du pont, actuellement tout de la ma'ur in; nés de notre salle el île tout, le public, construction, qui doit donner accès à qui demande avant 1•-' d'oeuvré humiùne. par la bonne volonté qu'il a toujours ]a dite-ferme, le véhicule s'engagea ea mis à remplir consciencieusement les éCorrection nelie _..; dans un étroit sentier longeant la Mélui étaient dévolus. rôles qui kerra. A certain moment un éboule-e" Dans son audience du 10 février '1897, )7 Aussi espérons-nous que tous les ment s'étah't produit, le camion chaviraira le tribunal correctionnel de Bel-Abbès ig ' ' diUelanti assidûment notre les condamnations suivanm-. fréquentant la rivière les bordeïai-ai_ a prononcé projètânCdâhs tes : ; ï:: théâtre rie l'oublieront pas au plateau. ••ses 1que-le choc'fil-éclater; Maazôuz homicide rn~ Ahmed, parMm•Maladies des yeux Et levin desuivre te.co.urs de l'eau. 3 mois de prison, 50 francs ICS ,prudence, indi,' -•: , -Qu.nous affirme que quelques Le docteur Germaix, lauréat de l'Aca; on /d'amande. boire un, bon ;. .. vidus en profitèrent.pour démie de Médecine de Paris, îésident à ' .-; El Diilali ben Khélifa, ' détention d'arnrJ mèaeet ne trouvèrei.t le . coup qu'ils pas . Alger,' 6 rue Colbert, sera de passage à mes, O.joui's de prison, 16 fr. d'amende. . lange trop mauvais. ': Bel-Abbès, ' Hôtel Continental, les 20 et erBarrieux sans perEtienne, chasse I Il a aucun accident de A VENDRE i'-. n'y cependant , 21 février, 1 25 fr. d'amende et confiscation de : mis, à personnes déplorer. A Cuba l'arme. Conseil de Prud'hommes De YAklibar : )ri_ Granado Manuel, vol, 1 mois de pri-. Une Belle Pà*a]>îiété Un dé nos concitoyens nous écrit îi'it son. Une correspondance nous privée perà TIARET,de sise la contenance dd 100 où en est la cré;l'éMarlinez Antonio, abus de confiance,ce, de pour nous demander met d'apprendre que le bataillon hectares environ, dont 7 à 8 hectares ' ir°ation du Conseil de Piudhommes, 1 an de prison, 50 fr..d'amende. proen gi ande partie des Tolède, composé Je vigile:— Jolie Jardin d'agrément un an. jetée depuis bientôt Roblès Pedro et Bonillo Pedro, bleslesvolontaires en AlEspagnols domiciliés — et Belle Prairie. potager. Voici ce que nous pouvons onréponsures 50 fr. d'amendeide réciproques, gérie, n'a pas trop souffert au cours des Pour tous s'adresser dre : chacun (sursis), derniers engagements qui ont mis les (k M. Godefroirenseignements à BOUISSE, Rel-Àbbès, t/arrêté Aiala Maria, épouse pris par le Préfet le 21 ocCaslello, vol,I, 4 troupes royales en contact avec les in^ Marceau, ou sur les lieux à faubourg oumois de prison (sursis). tobre dernier fixe au 28 du mois couLa préparation Cubains,. surgés que "Tiaret aux. initiales J. L, Poste restante, ' ,



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