Le Messager de l'Ouest. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 1894/04/17.
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PREMIÈRE
Bel'Âbbès.ïe
LA Des
— N° 29
ANNÉE
17
Avril
CINQ
aux intérêts dire dans locaux, vienne une assemblée régionale quelconque
1894-
ce que vous dési«je désapprouve dans l'oeuf une rez,» pour étouffer revendication ? justement exprimée Non assurément : celte provoca-
VOIX
Conseils
Généraux
tion Le dernier voeu de notre Conseil oranais «tendantà ce que le général une attitude gouvernement prenne plus ferme qui dissipe l'équivoque existant décladepuis les dernières rations fait le tour ministérielles,» de la
Il métropolitaine. radicaux répété par les journaux censuré feuilles soumises. par les presse
Ceci
nous
remémore
le
Centimes
voeu
est et du
Conseil de Bel-Abbés, municipal demandant, rm président Ounot de ne pas gracier si légèromeisl des asdont Je JlagTïinl. délit ne laissassins se aucune à [équivoque. prise On prétend dans les arcanes gouvernementales étouffer la voix du ces voeux, de nulpeuple en frappant lité ; mais ea ne ies empècho pas de faire écho ; le dernier voeu du Conseil a été conforme à général d'Alger celui de noire et plu-' département
en possible coûterait cher à l'intrus, Amérique ne peut empêcher même sous nôtre le voeu manifesté bâtarde législation de prendre son par la population qui,
si
elle
était
essor. est préfectorale L'approbation la comme bénédiction épiscopale. on n'en a besoin on s'en Quand pas -a-eu raison passe. Le préfet d'Oran de se tenir sur la réserve car il ne sait, pas plus que nous ce que les tade l'esprit nouveau vont quineries
hension h< de toutes les bombes que ai anarchistes dont la dernière est se d'avoir une toute autre soupçonnée
si sité, pour éviter il a été convenu n: ment procéderait
oi origine. Il ne
si successives faut
e de créer explosifs.segardera d diinenta au gouvernement
vigilante
toutes
les »
conquêtes
du
ront
pinières trie-
une Ré-
fermer la bouche au peupublique ? ple, et. au nom de quelle autorité Est-il suffisant mandataire i qu'un * du ministère absolument étranger
MÉLODIES du
Les
assemblées
départementales,
communales et , en ont plus d'apré- -
Ï.3ÎS
eet que -nous ne buvons que de l'eau claire dans une coupe couronnée de myrte vtrt ! — Oh ! quel réveil ! murmura Marguerite en
Capitaine
cachant son visage entre ses mains, < — Non, ma bonne Marguerite ; quelle leçon ! fit Marie en l'embrassant.
{Suite) II — Permettez ! est-ce que vous partageriez — Ah çà, mais le bonhomme Millier se fait l'erreur de ces jeunes filles romanesques qui 1bien attendre ; il m'avait cependant promis de 1 faire visiter sa propriété, continua le capitaine me croient sérieusement que les poètes ne vivent < se levant. Sa propriété ! comme ce mot-là que d'atmosphère et de rosée ? A un certain en . . . vous a des allures de Môndor ! il a trois chaînes point de vue, cela peut être une nourriture trèsde montre sur un gros ventre, des lunettes d3or substantielle ; mais généralement, nous préférons de bons biftecks arrosés de vin vieux, et cela et des bas chinés. Ma foi, vive la propriété pour n'empêche pas de composer son petit Chant du manger, boire et dormir, et ne plus commettre soir après boire, ou son grand duo d'amour entre de nocturnes en fa mineur ! Allons, ma future deux pipes, au contraire. cousine, donnez-moi le bras et servez-moi de — Est-ce bien lui que j'entends ? soupira guide ; ma charmante fiancée ne sera pas jalouse, en se de Marie. allez. Quand le bonhomme Muller nous aura Marguerite rapprochant — Au contraire, insista Wolfram, car un montré ses espaliers, ses dindons, ses canards homme à jeun ne saurait sérieusement composer et ses plants d'asperges, nous lui demanderons les Farfadets ou 1eRetour du marin. Ah ! ah ! et q'il nous fasse voir par le trou de la serrure les les bourgeois qui s'imaginent que nous portons vieux écus qu'il compte donner à sa divine une lyre en sautoir comme au temps d'Orphée, Ij nièce. •'
'
pacifiquement
discu-
conforme point et cause dans • promises 1< masses populaires les de méplus et ccontentement d'inquiétude que lle. jeu inutilement des prolongé L bombes
et des
n'est
pétards. J. D.
INFORMATIONS.
|! ! ji
dans l'autre. d'en rire, si cette On serait.capable entorse à la loi n'était un précédent dont vont s'autoriser toutes les con-
Le préfet s'est empressé bien ende faire des réserves. Les tendu, manifestations contre nou«'l'esprit veau » se font jour dans presque ; tous les conseils généraux.
voeu
1; gouvernent. la Tout cela a aux réformes
probablement
nistratifs.
un
choc redoutable le gouverneque par des réformes
( dominés
grégations par l'Etat
émis
de Tours a général tendant à appliquer l'article 7 de la loi
un
Au lieu de cela nous le voyons ti travail sournois entrepris par les n réactionnaires et les cléricaux, saper n notre. devenue République impuiss: sante la des par complicité gens qui
desimpequi nous
sa ; et, pour bien afficher il a réouvert les portes de produire... victoire, Le Conseil général du Gard à NiiiAbbaye de Solesmes aux Bénédicmes s'exprime ainsi : I tins, ! comme si l'article 7 de la loi • •' «.-Considérant'. •-u!'lescovigré}!;aiioi'is',non-..autorisées q-ue-Ios- aiîoyenp < attendent du gouvernement les réétait lettre morte. et si Ces bienheureux formes promises depuis pères vont «loue longd<" leur lila fabrication temps ; émet le voeu qu'il abandonreprendre < occune cette politique de recul et sauvequeur, qui fait leur principale dans cette vie et qu'ils boiferme et garde par une politique pation
et
1894.
le tées.
a soutiré récemment milpresqu'un 1; lion sa police. Le pour augmenter î ministère en les menaçant de la verte les a complètement j: poudre
rigoureusement, sur les congrégations.
dans
l'intérêt
ppéril social, spectre rouge, de notre éépoque. La bourgeoisie qui déserte 1( réunions les cafés et théàpubliques, i.i de la terreur des 1res, sous l'empire
parti-républicain. Le conseil
Ça se corse Comment prétendre
oublier
pas les doublés des q qu'ont opportunistes cl du Panama, à entretenir chèquards d dans la population la crainte du
sieurs Conseils de France généraux l'ont répété. Celui de la Corse est allé plus de voter un loin, il vient, M. blâme contre le préfet, lui-même en raison de ses actes admiLutaud !
MARDI 17 AVRIL
Vl:/&/~^"J
Noire
rel igieuses non reconnues leurs taupour reintégrer leur indusen y rétablissant,
est si peu en harlégislation avec nos moeurs etsi inféodée ,
monie aux us et coutumes que la
des
révision de la Devant une s'impose.
monarchies constitution telle néces-
— Oh ! c'en est trop, s'écria Marguerite d'une voix étranglée par la colère et la honte. v< — Viens-tu avec nous ? dit Marie en passant s( bras sous celui du capitaine. son — Non ! lit Marguerite en se laissant tomber sl un fauteuil et en se iaisant un-' rempart des sur f< feuillets d'un paravent pour pleurer tout a son . a aise. . — Au revoir, mademoiselle Marguerite ! cria encore Wolfram sur le seuil de la porte. En route, c cousine ! Vous le voyez, dit-il gaiement en e entraînant Marie, tous mes boulets ont si bien porté qu'il vient de se déclarer une voie d'eau a bord. — Ah ! c'est .affreux ! murmura Marguerite i sanglotant ; cet homme n'a pas de coeur. en Non, jamais je "n'oserai dire à Fabrice ce qui vient de se passer ; et"'"cependant il faut qu'il le ! car ce mariage est impossible à présent. « sache, En ce moment,Marguerite aperçut dans la réflexion du miroir accroché en face d'elle son ' cousin qui venait d'entrer. Fabrice était - pâle et défait, et sur ses^trails,
:
•
Etats-Uni» New-York, I ') Avril. d'un t'tiin . .Attdfjue (un: iki bii^nuds. --.Hier ;soir, cintj brigands sont montés sur uv, train < une région voisine de rOklahanna. Deux dans ' d'entreeux se porteront ;.ur le foui'!;iin ;m>: valeurs et mirent le »arde en joue avec ici"rs revolvers. Le garde, sans se laisser intimider, fit feu et une véritable fusillade s'ensuivit. Pendant ce temps, les trois autres brigands se dirigèrent vers la locomotive pour attaquer le mécanicien et le chauffeur. Ceux-ci en tuèrent un et blessèrent les autres. Le troisième fut capturé. Les deux voleurs du lourgon aux valeurs disparurent. La police est à leur poursuite. Les wagons sont criblés de balles. Brésil La guerre civile semble parvenue à son terme. L'amiral Mcllo chef des insurgés n'ayant pu réussir à se maintenir dans la province de RioGrande, à débarqué sur le territoire de l'Urugay où il a du opérer son désarmement. L'état de siège n'en continue pas moins à dd'ordinaire si calmes, se peignaient l'ègirement . , e la douleur. et Le jeune fermier déposa sur la table la carabine cqu'il portait sous le bras, et, après en avoir renou^ velé l'amorce avec un sourire qui glaça le. coeur L Marguerite, il alla s'asseoir devant le'clav.ecin. de T Debout et immobile contre la muraille, la jeune f fille ne perdait pas un seul de ses mouvements. . Fabrice posa les deux mains sur le .clavier : s lèvres agitées par un tremblement nerveux ses s'ouvrirent, lentement, et il chanta, d'une voix douce- et triste comme une prière le premier du lied, que Wolfram avait chanté avant couplet . lui. Marguerite appuya son mouchoir sur ses lèvres pour étouffer le cri qui allait s'élancer de son coeur. Cette voix, elle la reconnaissait : c'était bien celle qu'elle avait entendue sur la grève le jour où elle allait mourir. Bientôt le chant devint si faible qu'il n'arriva plus à l'oreille de Marguerite que comme un écho lointain. Quand Fabrice eut. achevé la dernière strophe, il se .leva et se dirigea vers la
Rio-Janeiro où l'on redoute l'esprit vindicatif du président Paixoto. Le commerce est languissant ; l'inquiétude générale. Le ministère a démissionné. Espagne La commission d'examen des traités de corn--. merce poursuit son enquête auprès des notables de l'industrie et du commerce. Les viticulteurs espagnols attaquent le projet de traité provisoire avec la France. ;.>r;Lestroubles ont cessé à Valence ; un millier 'de pèlerins sont arrivés à Rome, venant de la Péninsule,: sous la conduite de l'archevêque de Sêville. .
BÉATITUDE
.
« Deiis uobis hax otia 'fecil ! >>Chacun de nos illustres députés 1 lpeut s'applili cet heureux même bâillement, tu quer ,' , sa sans connaître, un mot de latin, car ,' , ,. . cC est t une locution qui court, les dielion. ; , na naires : ' mais généralement mal Ira. , clL duile. On la trouve mieux paraphrasée dans ,,,,,.
Quelques journaux manifestent une certaine inquiétude sur la solvabilité du Maroc ; iîs affirment que l'indemnité accordée à l'Espagne ne . .. compense pas les frais de l'expédition de MeliHa'. . Le . gouverneur de Valence est destitué pour imprévoyance et inertie en présence des troubles. Marine La commission d'enquête qui a procédé à Toulon s'est réunie à Paris le 15 courant. Son rapport constate le désordre qui" règne dans les dépôts d'approvisionnements tous entamés ; rien n'est préparé pour un armement précipité. Les torpilleurs sont en partie inutilisés. Le fameux Magenta dont il a été tant question, est un vieux fond sur le retour duquel personne ne compte. Les autres cuirassés dont la moyenne de mar-" ché n'arrivé qu'aux deux tiers de celle de nos5 paquebots, sont considérés comme ruineux ett. désastreux.. Le chiffre du gâchis maritime est stupéfiant. -". .' Pension, proportionnelle Par une initiative de M. le général Mercier dont les ayant droit lui seront sans doute reconnàfcsàtàiisy-IeConseil d'Etat a été amenéàstatuer ,le plus prômptement possible sur la requête dess sous-officiers ayant servi la France au titre indigèïic,' pu au. titre" étranger, auxquels jusqu'àà présent^ Je ministère;ii'accordait aucune pension" déjre'traite proportionnelle^ . Un grand nombre d'anciens soldats de l'armée d'Afrique sont intéressés à la solution. .Le.ministère de la guerre, désire que cettee question du droit à la retraite proportionnelle, si particulièrement intéressante pour -l'armée .^ d'Afrique, soit tranchée dès les plus prochaines;s séances-du Conseil d'Etat. Les militaires en Algérie, qui se croient des .•s droits à faire valoir, feront donc bien d'adresser -•r leur requête au bureau de l'administration cenitrale de la guerre sans plus tarder, afin de pro)_ fiter des bonnes dispositions de l'autorité supé~~ rieure à leur égard. Chine Shanghaï, 10 Avril. Les missionnaires français de Si-Ngan-Fon, ont été chassés par la population et leur maison Jn incendiée. La légation réclame ses prêtres qui ui sont emprisonnés. La dépêche ne dit pas pouru-
« Ah ! qu'il est doux « Quand tout s'agite
de ne rien faire. autour de nous.
Si vous savez par coeur comme je n'en ,i( doute pas, ce petit opéra. classique, vous voir un esclave- couché croyez SI sur une nate adressant une ode à la fainéantise ? tq Eh ! bien non, c'est un député qui S( roule sur le boulingrin se de parsemé en se répétant avec attenp; pâquerettes, d drissement ce demi vers de Virgile 40 jours que cela dure i Mais la campagne" est si verdoyante „en avril ! Voilà
«Ah! qu'il estdoux
dene
rien
faire! »
Au fait, les honoraires courent lou! : ji J°urs D'ailleurs le ministère ne demande tout seul. ypas mieux que de gouverner r lui donne l'occasion de dire qu'il Ça ' est éreiiilé de travail.
du^Vivent les vacances, et qu'elles ren longtemps rent !. est magnifique; les Ici, la campagne, aamandiers, m les pêchers sont en fleurs, el mon et : le parisien collègue qui m'écn que le înaronnier crit du vingt mars a n'a pas voulu fleurir parce qu'il cr£ craint qu'on ne le prit pour une feuil, le avancée ! Voilà : il s'amuse le misérable à des cal calembours en attendant l'ouverture de Chambres. des misère de déQuelle ! sosoeuvrement Parlons de la campagne, à la bonne heure ne on y flaire la violette, ; comme 'a la ! l'accacia, primevère Ce serait à dégoûter de la députalion tic si... Basf ! oublions les affaires sérieuses. i Dcus nohis lune- otia fecil. Et voilà
40 jours
_ /-.
que ça dure !... DUCRU
Agricole
Correspondance Monsieur
le Directeur
du Messager de l'Ouest
•.CORPS Voici enfin bon point au re y est pour Il s'agit de
FRANCS
l'occasion
de donner un si le ministèministère, chose. quelque dans chal'organisation d'une que régiment petite troupe d'hommes choisis dans les rangs parmi les meilleurs soldats, qui seront les marches et les chargés d'éclairer en de afin campements temps guerre, d'éviter les surprises que noire néglinative a rendues si gence fréquentes dans la dernière guerre. " Ces petits corps auront une grande liberté inilktle et une certaine franchise comme leur nom l'indique; en de le service sera moins paix, temps y de corvées el d'exercices surchargé ; on conçoit que l'emploi n'aura que rarement de vacances et qu'il sera surtout recherché les meilleurs sujets. par Ces corps francs nous rappellent les en éclaireurs Enfants perdus employés et aux postes avancés dans les tranct chées au siège de Sébastopol qui, à dt demi enterrés dans des trous ou agene un rocher, un pan de nouillés derrière m tiraient avec des carabines de mur, V Vincennes aux embrasures de l'ennemi et tuaient les canonniers russes sur jG leurs pièces.
,1e vous prie de vouloir bien, communi niquer à vos lecteurs par la voix de' V( votre ces quelques journal, lignes que S'ils avaient possédé des chassepots, :,. dans ma dernière cor" j'avais promises je service de l'artillerie le eût été impossur la question des enrespondance sj sible chez les assiégés. :^& grais. ces petits corps d'élite Aujourd'hui va ! C'est à remplir ses po. Farceur, de nombreux Degrands propriétaires, C( de soldats encomposés parfaitement ches, à placer ses neveux racliitiques 1 colons c, se plaignent du dépérissement u traînés à rendre de grands sonlappelés f les parents et à charge, qu'il emploie ! des j naturelles et artificielles, e utiles services el être prairies ; ils ne peuvent son temps ; ce laps de temps si court - ; Ceci aux francs ne m'étonne e rien comparés en tireurs rj point : on a l'habitu' en' moyenne à neuf niois, une - de limité, d delà de dont le rj ici de compter 1870, guerre courage, beaucoup trop sur de grossesse ^ témérité même ont été stérilisés la l période quoi ! ' par Ty excellence du sol et sur l'influence " le d'éducation militaire et de Nous antres dut manque représentants peu,-, de la tempeplus ou moins favorable c Leur héroïsme n'a guère discipline. nous avons le temps de faire des '• :,.rature; En France ] pie, et en Belgique, les s servi les allemands et à qu'à agacer de père de famille. ] placements i cul c. fivaleurs ne -demandent pas ton, motifs à leur.ipurnir.des représailles? à nos noms dans,la On.lient haute 3: jji _ i-envers ijours à la terre ce qu'elle est suscepliles non-combattants,-ou-à e.xeu, fumisterie '1: .; on. nous imprime -en-. tête:î: 'ble sans lui avancer ce! séries de'-produire f él l'incendie des pillages villages des conseils d'administration où nous s dont c elle "a besoin. Les champs de.'• qu'ils t d'une si odieuse pratiquaient ! n'avons jamais mis - -les *pieds, ' et oni : itrèfle, de luzerne et de sainfoin sont ' ffaçon. * nous témoigne combien on apprécie 2 chaulés c ou plâtrés ce chaque année, On nous fait connaître d'Oran que" notre c ne sait point faire en Algérie où1 le complaisance par des actions ? qu'on a fait \ général Boilard les prendre ' tibérées. ] choux et le plâtre sont cependant 1 mesures la , nécessaires la formation pour Décidément notre ' charge vaut univ- d'un < très abordable. i d'un dans sa diviprix rapide corps franc, ' ministère. Rien n'empêche de les utiliser cornssion, et qu'il est tout à tenir disposé aux a i car c'est sous ce fifia ires publiques, < celle-ci au niveau militaire des mieux Quant ; peuli ! me amendements < de France. on y est ou on n'y est pas ! I et non sous celui d'engrais tre faut t entraînées qu'il J Ceux serAu surplus on peut voter iles s'en seront Le choix des hommes ne lui sera par prodésigner. qui a vis une fois pourront constater le béi difficile: les régiments qu'il pas curafion, par téléphone.-.. ! la. main et la Légion il faut que le progrès surtout s'ilil sous étrangère serve à quel-I- nélice qu'ils en tireront ' tant de soldats comptent intelligents :s'agit de prairie arfilicielle. que chose. 'et valeureux, former une que pour n est confuse ; il v a Quand il s'est agi de la vigne on ïx Enfin, l'actualité le demie d'éclaireurs,' gécompagnie de réclames en faveur une loi contre la presse, un mouve- 5_ fait beaucoup néral pourrait les faire tirer presque de produits ment vers les restaurations, plus ou .moins chimiques, '' et des;s au 'sort. -- . année ; enn bombardements payés par on ne saitil, dont l'effet ne dure qu'une confusion ! Belgique et dans le nord dé la France quoi. qui. Quelle, valeur des engrais, on de où l'on connaitla caleçon Trop recherche les .chiffons de laine et de table. ;.mais j . entre la carabine et le coeur de me faire fermier ; je veux dire que je place mes cs Un amusant procès s'est1,;engagé hier devant cuir, de bourre et d'os, principalement le fonds sur la ct terre comme suis l'artiste,-il y--avait Marguerite, Marguerite ferme, que, je I1S . le tribunal de commerce du Havre. des houblons, parce pour la culture "r visage.rayonnant d'une joie céleste et le bras plus riche-que toi, plus fort que toi, meilleur ces résidus onl une décomposition Une jeune actrice, Mlle Marie Gabriel, avait étendu. ...... buveur et plus grand chasseur que toi, ton excel- que lente qui peut durer six ou sept ans. été frappée d'une amende de 100 francs par la lent onclent m'a accepté en ton lieu et place,' «'Non, dit-elle avec force, non, vous ne mourI directrice du Grand-Théâtre, sous prétexte qu'en En Algérie ifs devraient être emplorez pas,=Fabrice.; .car je vous aime. » et cela avec enthousiasme. remplissant le rôle de Phryné, elle s'était servie, — Mais ma-soiur?... mais ma cousine?... . Un cri douloureux s'échappa des lèvres de Faet alors enfouis yés pour le vignoble sous le péplum, d'un pantalon rose bouffant, au -— Sois-tranquille, j'ai paré atout : Mlle Marie rie à 30 et 35 centimètres de profondeur; brg;,è, .,;,.,> lieu du classique maillot, ce qui était, paraît-il, « Non, vousTie mourrez pas, car je sais mainteet Mme Fabrice d'Eisbach seront les seules les dans cette condition, ils lui conserved'un effet disgracieux ! nant votre secret, Fabrice ; c'est vous qui m'avez héritières de. ton oncle. humidité raient une certaine pendant Mlle Marie Gabriel refuse de payer ..celte —^Ainsi Fabrice est libre de. reprendre son 011 les sauvée ;.c'est vous seul qui êtes l'auteur de ces " temps secs de l'été. amende. "-;] véritable nom ? dit Marguerite avec joie. chefs-d'oeuvre.. . \ ; Le ramassage de ces débris de peaus— afin d'éclairer leur, Les juges consulaires, . -—Oh. ! taisezr-vous, Marguerite, taisez-vous, D'autant mieux que les oeuvres posthumes ies série, chapeaux, vêtements, souliers, dit le malheureux d'une voix suppliante ; si mon du capitaine Wolfram sont épuisées. religion dans cet. épineux débat, ont nommé deviendrait une ressourguenilles, os, — un expert qui n'est autre que le chef d'orchestre, Mais toi, que me demanderas-tu pour te pnçlevvo.us entendait, ce serait, la ruine et la , aussitôt ce malheureux pour quelques jriiiièfe pour ma. soeur.et p.our.vqus. . sacrifier ainsi, à mon bonheur. ? l'expert devra dire si, de la salle, le spectateur de fumier serait — Allons donc ! s'écria Wolfram en apparaisque.ee genre employé peut être offusqué par la substitution du pantalon -^7,Moi, ,d,i.t Wolfram en prenant la main de . devront les réles vignerons qui rose au maillot rose, sous le péplum de la belle sant sur le seuil de.la porte ; est-ce que l'on dit Marguerite et celle .de Fabrice, je demandee àjj par ' clans les traits de charrues a ans de ces chosçs-là quand on vingt et du génie être le parrain de ton ^premier enfant, comme me . pandre Phryné. s'ils labourent ce ouïes à revendre ? Tu m'avais ernprunté mon nom été le de tes oeuvres Mais com.ne il est évident que le chef d'orpar moyen, j'ai parrain premières ; et, sans me prévenir ;. moi je viens de prendre ta quand mon filleul nous fera passer des nuits enferrer à 30 et 35 centimètres s'ils rits chestre ne peut désavouer sa directrice, il est les ; cultivent . à la main. bien entendu que Mlle Gabriel a perdu d'avance. place ici.sans te crier gare. blanches, je le bercerai en lui chantant les; — Que veux-tu dire ?. ..,.; " mélodies du Wolfram. ; capitaine X'..., ... ; ''\ w^Jcrveùx -.-dire,quc.je., quitte la.marine pour;
lOLUest en ordre, et passe la revue de chaque tout ("est surtout un succès de fou rire que loul le PTC un falot à la main. monde wagc wagon (el même les familles) peuvent aller apLe Commandant de bataillon ordonne au plaudir. Pour nous à Algériens qui vivons c ,an.'. de sonner l'appel pour le recensement clairon L'interprétation est excellente, el la troupe l'abri des grands mouvements polilides hommes manquants par les officiers comSimon Maurice n'eu est plus à compter ses n.. ques, le premier jour de mai n'a d'iriman mandants de compagnie, et leur signalement à succès en France. 11en sera de même en Algéîluence que sur nos souvenirs d'enracontées h police la du train. rie el nul doute que le publie ne se rende en lance, ou des légendes par , pi les vieux immigrés qui furent les pères L, Lorsque tous les officiers sont réunis,.M. le loule au théâtre pour applaudir les artistes qui de noire population virile. aujourd'hui •' nCou 1 J Commandant, lait observer à chaque chef de nous apportent cet éclat de gailé parisienne !. Le 1er mai dans nos départements foicompagnie'de s'assurer que chaque homme, a était une fête du printemps Si«Ve£=»l«ërîe. — Au moment de mettre sous français ; tout ce lui et n'ait rien oublié dans qu'il faut, on construisait des « mais » espèces presse, nous avons le regret d'apprendre la mort son d'autels en verdure autour wagon. desquels de la petite fillclle de noire ami le docteur Gillel, m1 on entassait U second.rappel, et Messieurs les officiers Un les fleurs de la saison ; enlevée à l'âge de deux ans par la diphtérie à les habitants riches y posaient des leur place dans leur wagon. rCpr reprennent l'amour de sa famille. des bibelots ralapis, y suspendaient L Lors de l'opération du débarquement, M. le Nous présentons aux parents désolés nos sinres ou précieux. Lieutenant-Colonel Bertrand, fait sonner la cères sentiments de condoléance. de toutes tes L'Eglise qui profite mai marche du régiment et chaque chef de compaoccasions d'établir sa prééminence, ne AETfslaïïwïs. —Le nommé Smir Abd-el- pt en grande §nu fait descendre ses hommes avee armes et . gnie manquait pas de s'y rendre et les alligne sur le quai delà gare ; il Kader ould Smir faisant l'objet d'un mandat bag; pompe et d'en tirer prolit et gloire. bagages, 0lJ . ordonne que les compagnies soient formées au d'amener de M. le .luge d'Instruction de BelQue venaient faire là tant de familles on ne saurait je dire,-si son de la gare. sortir Abbès, pour complicité de faux et de vol a été endimanchées, ' ce n'était de prestance mis en étal d'arrestation avant-hier, el écroué d'y rivaliser 'cCe simulacre d'embarquement el de débar— avec des familles voisines. A la vérité quement a duré près d'une heure 1/2. A 10 à la prison civile. la fête des fleurs et du printemps se ^ heures moins 1/i cette manoeuvre intéressante terminait Els'lea-és au jps«i*eju0ti. — Le nommé toujours par un bal champêI] Iré et ça devenait une sorte, de foire Pa!' la rapidité et l'ordre parfait de son exécupar Héllin Michel pour avoir soustrait 19 sacs neufs f" aux en âge tioi était terminée. tion mariages que personne du magasin du sieur, Charles représentant de la de plaire n'eût voulu manquer. j Aussi félicitons-nous Messieurs les officiers et maison Cauvin Yvose d'Oran. blanche était la fleur ieu braves soldats du spectacle très curieux etL leurs L'aubépine Les nommés Ourad Pou Médine ould Abdelchoisie de préférence pour faii'e l'artl(\, apprécié qu'ils nous ont procuré. liés Uader ould Galnir dit Patata et Kalfa ben Ali ben ceau de l'autel ; son usage était si gé— Samedi, vers les Gheures 1/2 du matin un' néral que le nom de «Mai » lui est. resMedjaëd, tous deux repris de justice, pour scanJei deuxième simuh.cre à eu lieu, nos soldats ainsi1 dale el voies de fait tée ; de sorte que dans de nombreux envers le nommé Tories de la vieille France on ne villages qû< leurs chefs se sont surpassés, "car à 8 heures3 François. que connaît toi était terminé. tout . plus le vrai nom de l'aubépi. Le nommé M'Iiamed ould Djiiloul Madani pour = ne dont les haies sont formées. vol d'un billet de 20 francs au préjudice du I Dans les villes de France, le l1-1' Mai i LOCALE v„°„ nommé Abdelkader ould Kada Klouche. a pris une signification CHRONIQUE et politique alarmante. La date a remplacé-la .fêle :. — A défaut dua Xraisa'cïes CasEaîSes. A Bit (tlace. — Un rapport a été envoyé à - V les événements ont fait oupolitiques de plaisir projeté pour desservir notree la place contre.un militaire du 2e Spahis qui a blier l'es réjouissances du printemps : train '.'' remis à l'année prochaine, laa . dégainé '"1 hippodrome, dii et causé du scandale dans la rue Gamnous arrivent avec déjà les journaux des signes précurseurs de l'inquiétude Cu des Chemins de fer de l'Ouest-Algérien se C""-' e bella. lx de cette journée générale fatidique. d'établir tin train léger pour le serviceL p(propose Infractions.— Quatorze infractions aux chez nous de promeneurs entre Tlemcen el les Cascades's des Puisque règne une Iran.' . de et aux arrêtés municipaux règlements police :"" quillité qi.e rien ne menace ; nous inr]c deSal-Sar. ! i 01 ont l'ail d'autant de Il l'objet procès-verbaux. à courir y items nos chers concitoyens train de plaisir aurait lieu les dimanches et • Ce 3t" —— : ce jour la à la campagne à y faire le ï'eurï'îère; fériés pendant tout l'été à partir.du G Mai.. i. —-Seplcliiéiis noii réclamés à J0 jours Mai, et le soir à danser autour. !«' la fourrière ont élé abattus.-' I n Nous Ibis la mise en ; marchete ; présumons qu'une C'est très pratique et point du tout ai alarmant. "DU CHU adoptée, on pourrait le pousser le inatiq et le ' OJijels trouves. — On livret de canlon-«n jusqu'à Bel-Abbès. Avecla pression acquise, : , ! soir i,i[-Inieivà. été-trouvé sur la voie publique. Ilesl dé; . quelques coups de chauffe ne seraient point un'' an ;bureau duCommissàire.de police. • "!: iposé /EXERCICE D'EMBAEUDEMEMT 'z • l surcroît île bien onéreux et "kf recette" e dépense ' Un livret militaire au nom de Joseph Alexan-—: s' s'en trouverait sensiblement ' augmentée'. , .d aussi trouvé ;sur la.voie publique a été dédre Vendredi à 8 heures 1/4 du soir a cu lieu à.1 Pour les Bel-Abbésiens ce serait une partie dé : 1 _ posé au coinniissnrial. ; !a gare, un simulacre d'embarquement effectué^ .,] des plaisir plus allrayanles. — Le sieur Martine/. Joseph hou- < par 1144hommes du ic bataillon du 1" EtranAttsiiiiié. , l»«Iis jjouvn&r. Une La de di. journée à leur M. le Lieutenant-Colonel tète, 1 ger ayant langer demeurant au camp des spahis, est ven manche peut être considérée comme la première Bertrand^ i: au bureau de police déclarer -qu'hier vers 1 nu * . es . Un grand nombre de curieux suivaient la co- .du. printemps. Aucune autre depuis Pâques 8 heures 1[2 du soir, eu se rendant à son .domin ayant pu nous montrer que du- brouillard, de lonne ou l'attendaient devant la gare. il à été accosté par deux légionnaires qui, la pluie el des crains de grêle où lé soleil sem- cile, ' , A l'arrivée des compagnies, le chef de bataillonn ;i lui avoir demandé l'heure, lui oui volé sa b blait tomber par morceaux. Tout à coup' les les après ' Nouvel, commande par file à gauche, pour quee i montre en argent,, humidités de la saison hivernale se prolongées î> i les hommes se mettent en marche vers le quai u Un rapport a été l'ail à ce sujel et transmis à sont et la clarté (lu ciel est devenue ne . . dissipées de la gare. lii place. —: sous l'éternelle voule d'un bleu eu ' Les soldats se placent sur le quai, sur quatree , resplendissante TenSatïve Av. miii-îeta. — Le sieur le limpide rangs. Le commandant, fait signe au clairon de Notre population s'est aussitôt dispersée à ];i la ;Ccmhrai boulanger à Tassin à lenlé dans un acsonner en avant. Ce qui signifie que chaque .'ces de folie de mellre fin à ses jours en voulant campagne dans; les fermes et les villages delàj compagnie formée, doit prendre place dans les :s'empoisonner. région. De jolies familles sont allé voir le jardin jr wagons qui leur sont désignés par leurs chefs 11a été transporté d'urgence à l'hôpital de 1<r_ t public, négligé des promeneurs depuis si long' ' ' : de file. "'"' ^l-A'mês. Au premier coup de langue, les hommes se temps.-Quelques autres ont visité le cimetière on tout le monde est attiré par quelques pieux souAvis. — Le Maire de la Commune de Sidirangent dans les voitures ; la durée de cet emvenirs. Là aussi la nature est vivaee et ensoleilBel-Abbés, Chevalier de la Légion d'Honneur, barquement n'excède pas 3 minutes. arbres se couvrent de lée; les les (leurs ' verdure, ' a l'honneur d'informer ses concitoyens que les Le train se composait de 32 wagons pour les es leurs alvéoles à ce rayon de soleil qui matrices rompent et d'un les officiers. supplémentaires des patentes du 1e tri- A hommes, wagon pour , dure les des mausolées sous pointes lesquels mestre '1893 et \" trimestre -189-1resteront déLe délai d'embarquement étant terminé, le tant d'absents...... dorment Lieutenant-Colonel Bertrand, fait sonner hâlle'eposées à la Mairie (Bureau du Secrétariat) du 1-1 { avons CttvrrsjMmcIaiiee. —-.Nous reçu- au .23 avril courant où les intéressés pourront là. Ce qui signifie, que chaque sergent, ou capooes de M. L...., une lettre par trop personnelle pour en prendre connaissance et consigner Leurs obral, commandant sa voiture^ laisse descendre les " '' . ' en donner là reproduction-: non pas qu'elle ne servations s'il y a lieu. hommes, pour aller se rafraîchir ou vaguer. ^ Un piquet'd'ordre du train commandé par un Qn soit ra.lionelle mais parce qu'elle met en cause - "Ville tte — universelle et lliyon. Exposition lieutenant fait attention à ce que le service de des personnes tout à fait étrangères à notre réConcours J894. Nous rappelons à nos lecteurs convoi soit assuré. ; gion. qu'à l'occasion de l'Exposition qui va s'ouvrir. Le sergent dé police passe l'inspection des les ï'Saéàïi-e. — On nous annonce pour Jeudi 19 du 29 Avrilau 1er Novembre, différents Concours )é, - Avril une représentation extraordinaire dénuée wagons pour s'assurer que tout est bien fermé, et Congrès auront-lieu pendant cette période. et-,qu'il n'y a point-à craindre d'accident, par une troupe parisienne sous la direction de M. Les principales'Fêtes seront : "~: Le Commandant 'u- Simon Maurice, ex-directeur de plusieurs théâtres de'bataillon, fait alors sonConcours de Tir en juillet ner l'ordre de rappel en voiture pour les homM- de la Capitale. -.Concours de Gymnastique.. 13 et 11 Mai. " mes descendus à.- terre.' Le spectacle se composera l" des Trois Grand Concours international de Musique , 12 " Le. lieutenant-Colonel: Bertrand fait ensuite !'te Sultanes Août. en 3 la ; J3.eti4actes de Comédi pièce ers Française où elle obtient encore un très vi' sonner la halte, pour que Messieurs les officiers Les Sociétés (membres participants et Honoet soldats se dirigent vers le buffet afin de •c-e se succès. raires) qui voudront'bien honorer ces fêtes de faire distribuer des vivres et du vin; le défilé filé \ ?» De "La Fille à Papa" Comédie- leur présence pourront bénéficier des larges s'effectue sans incident. concessions de voyage accordées parles chemins Bouffe en 3 actes, dans laquelle on retrouve l'an' Une sonnerie d'un coup *de langue, rappelle elle cienne. note de celle vieille-el joyeuse maison ;de fer et h navigation. Elles sont aussi assurées tous les hommes à leur voiture. du palais-Royal. C'est de plus, une pièce saine de trouver dans la seconde Ville de France, le ~" - . alors de s'assure bataillon, L'adjudant que que et honnête. plus amical et le plus sympathique accueil. LE
PREMIER
MAI