Le Messager de l'Ouest (Bel-Abbès)
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Le Messager de l'Ouest (Bel-Abbès). 20/12/1895. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.
DEUXIÈME ANNÉE — N°
190
—----.A.
CINQ CentiiBS
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VENDREDI 20 DÉCEMBRE 1895
Nous devons ajouter cependant 1 nemei t que nous lisons dans l'Echo l'Algêrijenvoya au charnier Malgad'Oran, que la municipalité à la tête che, aujmrd'hui décimés, réduits à que q la consigne imposée pour, le dé( des troupes du Chanb de laquelle se trouve l'honorable et l'état I dé squelettes, ayant - laissé un barquement n'a pas été aussi rigoureuse d sympatique M.Coutures,devra s'abs- grand tombre des leurs là-ba,s ne dernagor, ; l'avait annoncée. tenir d'une manifestation populaire pourraient q pas voir se joindre à la qu'on | BOURDON. A. achequi devait témoigner aux rapatriés gloire (b'ils chèrement si ont \ de Madagascar les sentiments palrio- tée, —•———————^^»^—^»™ de l'amour que nos po- = I unpeu •Ce n'est pas sans une certaine tiques admiratifs LA de la population pulaliob .tenaient, en réserve pour et stupeur mêlée d'une tristesse facile oranaise. enattendant leur retour. eux ( à comprendre que lors des rapatrieNoU) nous inclinons. — nousj'a- i « La municipalité a été avisée offiments des premiers soldats revenant cieusement, toute communica- vouonssans comprendre —devant que de Madagascar, que les habitants tion serait interdite le bord, et les dédsions prises en haut lieu et ^ avec d'Alger se sont vus interdire l'accès queles quaisseraient barrés pendant Les médecins militaires.- — Les décorapersuadés,absolument nous sommes tions de l'armée territoriale. auprès de ces pauvres diables que toutes les opérations du débarque- cominî l'Echo d'Oran, que la maniUne histoire bien navrante nous est l'on débarquait dans leur port. ieslalien que réserve lesoranaisà nos contée ment. la presse. A l'occasion toute par ( Ace moment, l'intérêt du Minisla Saint-Eloi, patron des ouvriers en « Les Dames de France elles-mê- chers troupiers, sera—quoique non de ( tère, organisateur d'une expédition mes, ne seront autorisées à assister officielle—digne de ceux en Thon- fer, les maréchaux-ferranls du 12e régii qui restera fameuse dans les annales au débarquement sur le quai qu'en neurde qui elle .d'artillerie, en garnison à Vinment ' aura lieu. obtinrent une permission delà de l'imprévoyance et de l'incurie très petit nombre et munies de leurs cennes, * nuit pour fêter leur patron. Comme * '* administratives, demandait à coque' insignes. ' le pense on but plus que de i'empresse- bien Quand Bel-Abbès à on Rendes choses navrantes connues « Elles ne pourront.distribuer aux mentcyec.lequel les 1 is>- raison, si bien que pour rentrer- au couvrent se -eonv^teseetris. -qu!mr!v(pfeu;- çk<;.y-uv.:;tèS''de;sdùscriptions, quartier,les rues .n'étaient pus. assez ' " démonifesurapublic, et que eelui-eidans un mou- d'Espagne etaveci''aulorisatior> d'un larges. Le malheur voulut que f un des légionnaires bondanrmenl que nos hommes tombât maladroitement ei. se v^ïienl d'indignation, no forçat un 'docteur militaire. » arrivant dans notre ville, seront fit. des contusions internes qui eurent de ses mandataires, député ou sénaDe deux choses 1 une : où, nos en les sympathies dont un dénouement fat.nl. comme on va le . tontes récusa vec de lui demander du teur, compte Malgaches que ramène le Chundervoir. triste spectacle étalé sous ses yeux. nagor, sont dans un état pitoyable, ils sont si digues. Le matin, à l'heure de la visite mé* Aujourd'hui il n'en est plus de et toutes les Dames de France à qui dicale, le blessé sentant des douleurs même, et. nous ne comprenons pas est dévolu, non le monopole de la Cet article était déjà à la coinposi- dons la tète se ht porter malade et se qu'on prenne, alors qu'un débat sur charité, mais une mission à elles 1 tion,lorsque lesjournaux quotidiens rendit à la visite. Le major reconnut à Madagascar — étouffé dans l'oeuf, confiée par toutes leurs concitoyen- d'Oran, sont venus nous apprendre la physionomie du consultant que la il est vrai — nous a appris par la nes, ne seront pas de trop, pour con- l'arrivée du Chandernagor sur la maladie était plutôt impulableà la boisvoix des députés qui y ont pris part, soler ceux que la mort marque du rade de Mers-el-Kébir dans la nuit son et à l'insomnie qu'à toule autre 11 renvoya le maréchal à la cause. ainsi que par celle des journaux de doigt. du 18 au 19, d'où il en parlait au chambre. toutes nuances, les conditions déploOù les convalescents, ainsi qu'on jour pour venir s'attacher au quai Quelques heures après le mal empirables dans lesquelles s'est faite cette les désigne, pourront supporter rait et nécessitait le transport du mode la Transatlantique. — ribond à l'hôpital : il n'y arriva pas, car expédition qui n'a réussie que grâce non sans émotion lamentables compte-rendus Les il les vrai, est — l'endurance de à nos troupes,'à leur ovations enthousiastes de la patrioti- de débarquement se passent de com- chemin faisant il rendit le dernier soupir. . n'ajouterons rien Oran. mentaires, ; .héroïsme et à l'énergique conduite cité qui à nom et nous que Ce fait était-il si isolé qu'on veuille dé.son chef tant de précautions. Quoi! couverts de fleurs à leur à ce qu'en disent le Petit, Africain, bien le croire ? Aussi, c'est avec un profond éion- départ, les superbes bataillons que; le Petit Fanal et l'Echo d'Oran. Nous sommes un des premiers à renBel-Abbès, le 20 Décembre 1895
Semaine Militaire
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(Suite)
visiter un village qui n'est pas brûlé, car ceux qui sont en dehors de la rou•; te sont en général intact;, les hovas n'ont sans doute pas osé s'écarter: de leur chemin. Et l'es habitants n'ont pas tous obéi aux injonctions du &&. Ministre. :!J'étais stupéfait. Le village est entouré d'un .'mur!;en terre de 3 mètres-de hauteur. A l'intèviéur.il y a des améndïersét.cies grenadiers. C.mq'-à.six maisons seulement à 12étages. 'HneV-maison au milieu ou plutôt un hangar : quivdëvàit servir de lieu de réunion sans douté. tJjiéimmense„salle, les murs plâtrés, des . .'••;.:'.Je:-viens de
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——i —1——1M Aujourd'hui départ à 5 h. Ip2 : nous rejoinattes sur le sol, au fond une estrade. Des affiches en caractères latins : parlant de la gnons la 2e brigade qui, contrairement aux g religion protestante. Des bibles imprimés ordres donnés, les noyas ayant été signalés c à Londres etisignéesde missionnaires anglais. et ( le général en chef n'ayant pas voulu laisser Dans les maisons, des chambres vastes, marcher la brigade seule. i 11 y a même eu quelques conps de fusil aux murs plâtrés, avec aux portes des batUne connaissancea, en outre fait tants en bois de chêne, avec moulures, rrio.r- d'échanges. < des feux de salve à 1500 mètres. D'après le? taises, l'art moderne de ta menuiserie. < Le sol en terre battue ou en bois. L'es bot- prisonniers (la 2e brigade en a fait une vingtines à bouts pointus, de nombreuses bou- taine) les hovas sont'complètement désorienteilles vides portant des étiquettes de liqueurs tés et n'osent pas. retourner à Tananarive. Donc, à partir de 8 heures du matin, variées, dénotent que les habitants n'ignorent pas les douceurs et tes bienfaits de la civili- marche d'ensemble de la colonne légère : sation. Des escaliers bien entretenus mènent' arrivée ici à Bâbay à 1 heure de l'après-midi, Le pays change de plus, en plus d'aspect; aux étages. Les balcons en bon état. Mais sur le tout, plane un silence de mort. les villages deviennentinombrables. Partout, Comme culture presque pas de trace. Des sur chaque mamelon, sur chaque hauteur, rizières, du mansoé, des patates. Je crois des groupes de maisons entoui'ées d'un mur que ces gens s'occupent principalement de ou d'un fossé et d'arbres de toutes espèces. l'élevage des bestiaux et que pour lereste ils Dans aucune contrée en Europe il peut y vivent comme tous les peuples orientaux, de avoir autant d'habitationsréunies dans un cadre relativement restreint. Ces groupes ou riz et de.... paresse. Babay le '25 septembre. .hameaux ou villages sont composés, en généLe 24, arrivée à l'étape à 5 heures du soir. ral, de -4 à 10 maisons, dont le style devient ——^^W^IMIM
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de plus en plus propre, élégant, si je peux m'ezprimer ainsi. Toutefois ii y a des villes de 100 à 150 maisons. Mais ces grands centres sont rares. Je crois que chaque groupe d'habitation est peuplé par une seule et unique famille. Cela expliquerait cette quantité incalculable d'abris. Ils sont en général tellement proches l'un de l'autre que les habitants de deux groupes peuvent échanger des politesses sans trop crier. La culture devient aussi plus nombreuse et plus riche. On remarque la plante de l'ananas, de l'aloès, etc, etc.
(A Suivre)
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suit d'une discussion Madame M.... dre hommage au dévouement de notre qu'avant de reconnaître leurs la suite théâtre recevait de Mademoijoi de salle de police. Nousépon- services, il fallait songer à se débarras- de notre servit corps médical militaire sur tes champs 2 jours no de bataille et. dans les hôpitaux. Ce dé- dîmes dîin à" la menace par un retoij à la ser des d< importuns qui venaient rècla- selle Gi l encore .' de Mademoiselle visil le lendemain, comme on ljiense mer une vouement n'est plus le même dans les visite croix pour tel receveur parti- G.... Q lampe en pleine figure et un i une t villes de garnison et dans les infirme- le major culie des finances ou autres. n ne se déjugea pas. Mail heu- entier joli coup de quenottes à la main. ce [ ries régimeuUiires. 11 semble que la vi- reusement, Qu Quand parurent les lois de 188G el reus pour nous, que nos aciers C'est du moins ce que nous apren— alident site quotidienne des malades soif une avaient avai le champ s'étendit et on entreété témoins de notre de 1890 1< les débals en justice de paix. nent n saslifaction . corvée pour les médecins, et, dans ces et surtout qu'ils comprirent qu leur villa vif la possibilité de donner s L'épilogue de ce petit drame — 6 Le chemins conditions, ils se préoccupent peu de médecin forêts, met élail un imbécile ; nos alla- à la douane, aux aux ( franc d'amende et les dépens — prola santé des hommes. ft mes consulter un médecin civil ( nous de fer, mes aux télégraphes et, à l'armée francs suivre un traitement piidanl territoriale par M. le Juge de paix pour (-ûn terri Nous avons connu dans notre régi- dûmes uv.i.-o< sans coin pi uni duc îCb aiuis noncés G qui à son tour -^ Made deu mois ei, tester trois autres mois du député X ou Y, aspirant à la légion Mademoiselle d ment un médecin qui avait la spécia- deux amôre d'iio d'honneur. lité de l'ipéca cl de ÎTiémélique pour sans saii: remonter à cheval. amer ironie du sort — va être obligée ^.' Nous d'écL la caisse de M. le Receveur ! VJ Un toutes les maladies autres que les blésaccident, pareil arriva à un e nos sommes le premier à reconnai- d'éclairer b'e que loules ces catégories ont un qui n'avait pas les nyens lie sures ; pour ces dernières c'était l'eau camarades can Accident droi égal à la considération et aux blanche. Aussi quel beau jeu avaient de de?se l'aire traiter à ses frais, il subit droit IL' dans la .matinée, une voiture Hier Mais, gouvernement. du symnalhies incurie du médecin sYm mi taire. avec lui les tireurs au renard. Comme la même r alleli d'un mulet et contenant une la brosse à astiquer, avec du peu de Quelques Ont mois après le malhlireux dès l'instant, où on peut faire un même attelée a été prise en écharpe au persi poussière, fonctionnait sur une écor- élail élai atteint d'épaucbeinent, de s îov.ie tout ,olU de ces divisions augmentez lechil- personne, décorations, faites une réparti- passage à niveau de Sidi-Lhassen par t're Ire des chure ; avec cela et tutti quanti on en qui le lit réformer. pass < \e train avait pour 15 jours d'infirmerie. Y Peut-on ll0n au prorata de vos effetlils et, dès le \r venant d'Oran. imputer de pareils ils à lion 'or- une commune satisfaction sera ' J8 33., un hasard providentiel, le conPar des médecins '? Que non, lors Nous pouvons citer un fait donl nous l'ignorance à tous. don cjUC[ ducteur n°l savons tous quel est leur jivoir. donnée et le cheval en ont été quilles avons été témoin. Un sous-officier ren- nous H ne faul pas perdre de vueque noire Il gagé vint à être cassé et remis dans La seule ehosedonl ils soient, couables la peur. Quant au tombereau pour ] ariï territoriale comporte d'anciens il a été mis en pièces. Cela se comce! le peu 'de souci qu'ils ont li gé- armée un escadron. On comprend le dégoût c'est qui, n'élant pas dans les conofliciers °'u "éi de la santé de leurs liomnis. qui s'empara de cet homme. Il chercha néral prend du reste. l leurpasde moment dil.ions voulues '] Tous par tous les moyens imaginables, à couceux qui ont été soldat —et (l 1 dans cette au V: Union des Femmes de Francelilres à des oui arme, sage service. Une première fois il jis iis per au se sont nombreux — savent, que uour "'^ cet heure pour roblenf'mn de, la croix. n Madame la Présidente du Comité de plaignit de douleurs dans le côté ; le visiter vis les malades d'un réuiinenl soif celle catégorie, d'olïiciers, l'Union ', de côté celle A. \ py, des Femmes de France de Bel' médecin crut à une pleurésie et lit ap- une un* moyenne de 00 hommes pat jour ' n 0' avons également des gens aux- Abbès, pliquer au -patient un vésicatoire: Après les médecins militaires n'en.puienl nous .^j. vient de recevoir de M le Préà leurs sers'ajouter quels viennent ^.u' mois de séjour l'infirmerie il à obfet d'Oran un mandai de 150 francs, heure, c'est-à-dire une ninute un pat une pas militaires d'éminenls services ci- alloués vices v 1} Uni un congé de 30 jours, pour se ré la- par malade. Comment peuvenl-il» dîapm iî 110 par le Conseil général, à tilre - vils. v*' blir complètement. gnosliqucr de , e subvention, pour secours à affecter gn< avec certitude ? de façon serait-ce ; puis El , pas une :;e Le congé liasse, notre homme revint | Nous } voudrions que M. le miiistree montrer aussi que, le pays sait recon- aux soldats de Madagascar. nK au corps et, après quelques jours de de fie la guerre mil, un frein à celle nsou- nailre les services et les saciilices de3 Comité de Bel-Abbès adresse à M. 1Le " n;1 service, se lit porter malade. Une forte ciance cj;, et, qu'il rappelât, aux inléîessés le]:Préfet et au Conseil général, ses bien le s tous. Lo, lièvre l'avait pincé grâce à J'inlrodue- que qU les médecins militaires orl. auu siir sincères remerciements. VICTOR. Commandant lion au bas des reins d'une gousse litre m, des médecins civils, une m ssion = Avis m d'ail ! ~ à remplir. Qu'à défaut du ment. sent i LOCALE CHRONIQUE Combien d'exemples pr.reils pour- pour J Maire de la Commune de SidiLe guide, les punitions les plussévèp0 \ rions-nous citer'? El plus d'un tjui lira res Bel-Abbôs, Chevalier de la Légion is re. seront infligées, loules les l'ois REGIONALE ET ces lignes y verra revivre des souvenirs (|u'oii d'Honneur d (jn aura à constater celle insoi ciana l'honneur de prévenir les idu régiment, notamment la pipe avec ce éle éleveurs rt> dans les soins de la santé des homeuropéens el indigènes de la 1de la paille en guise de tabac. A nos Abonnés et lecteurs mes. ni< le comité d'achat de la CQ. commune que A. côté de ces exemples de tireurs au partir du l«!r Janvier 1896 le 'e remonte d'Oran, procédera à l'él-Ab* re, t-fi+tl l'otu'.orAni:* rl*'i ti t roc !»•>*£ n t'\t'isttJ.. H-, i'.V^LlO UïUUO u uuiluo *_-no i' *-1 j MESSAGKR DIS L'OUEST paraitra les ÎS bè le dimanche 22 décembre courant bès l'occasion de A l'approche du jour "' n'est malade qui le et. ter : pas reconnu J mercredi el samedi dans la matinée, 3! heures du malin, à des achats de l'an, à 8 de n quelques letc avons nous reçu ( coucher obligé de qui, pour comble, est Le même jour paraîtra un nouveau émanant d'officiers de l'armée terchevaux pour le Sénégal. cp 1res 111 '.' de police. la salle à encore Les auteurs se piaigneni que ft : n ue feuilleton Les sauterelles Au 8" régiment d'artillerie, cela se ritoriale. e décorationsattribuées chaque année passait en 1883 ou JSSi, un homme se, les Les pluies qui ne disconsfinuent pas 14 juillet, soil l'occasion soit à Z du au plaignait de violentes douleurs à l'inlé- *v de tomber depuis 3 jours ont du, espés'égarent de l'an, à droite jour un peu .1° rieur. 11 se lit porter plusieurs fois maELL.KR rons-le, défi ni re complètementles nuées V par rc '-' à gaucho. lade. Une première fois, il fut, reconnu, et de sauierelles qui s'étaient abattues d« L'a question nous parait assez intétéThéâtre exempt de service, la seconde exemptI dans la forèl de D'a'va. pour attirerl'attention de qui rt Jnl de boites ; ce qui voulait, dire ne rêve- ressante Mardi soir, au Ihéàlre, Les Trois 11s droit. de d Sapeurs-Pompiers nez pas demain. Plusieurs jours se pas-._ Chapeaux, lever de rii-i_ comme avec, Une loi du 1(> décembre 1880 al.lrisèrenlei le malheureux canonnier soufLe Lendemain. deau Dans leur dernière réunion, les sa' annuellement, l'armée bunit. à terri loD frait toujours ; comme il préférait cou,. peurs-pompiers de notre ville, ont déP les artistes d'officier, 24 Tous exception, 8 croix qui i„i riale chevalier de ier sans ] cher dans son lit que sur la planche, Uil cidé à l'unanimité la création d'une 20"médai"lles militaires « pour servi•vi- ont à pris deux c et spectacles, part e ces es t supportait tant bien que ma! sa don.,_ caisse de prévoyance, ce dont nous les militaires dans les conditions déet bonne montré beaucoup de c volonces c ont ( )n_ leur. Un sous-ol'Iieier de sa ballerie, ^ félicitons sincèrement. f( ll par le décret organique sur ié | et son compatriote, frappé de son dé- terminées ;r>2 la !: légion d'honneur du l(j mars '1832. périssemenl l'interrogea sur son étal ,,i La finesse de la comédie d'Henné.u ° « Le Petit Africain » ie_ On s'apperçol bien vile que cenombre de santé. La réponse alla jusqu'aux [x quin oui demande à des artistes dont Dans le numéro du 19 courant, M. ont récompenser insuffisant la ni pour oieilles du capitaine qui n'hésita pas à était t sel- les directeurs louchent, d'énormes subub- Paul Bidaine rédacteur au dit journal^ I véritables services 1 les les recom3m_ que îr en entretenir le major. Ce dernier de longues éludes -, , être ilre aa bien voulu, ainsi que nous en avions pour j vendons, mandations donl trop souvent , i on I lion péc al use T. d o n na u n e con s u la e a u m a- i s le désir, s'occuper de la So1 pareille circonstance. Une seconde nde livrée,à l'appréciation du public, se- manifesté l_. en lade et, après l'ansculal.ion, le lit ad-. ( raildifiiclemenf mieux renduesur noLre de Secours aux Militaires colociété )Lre c 1 mettre d'uryence à l'hôpital. Le surlenn_ loi, — il août 1890 — éleva de 8 à-. 20 dé croix d'olïiafli- scène, aussi ne nous plaignons pas trop rop niaux. i demain de son entrée dans cet établis' de 24 à ô0 le nombre s_ et :hel Nous sommes.certains que sa voix si el de chevaliers, el une troisième, me, et disons en passant que M, Michel sèment le malheureux.rendait le der' .r- eiers 12 décembre 1892, accordait 2 croix<; de -(un travailleur consciencieux)"a amené ené autorisée, nier soupir. ; sera entendue par le comité commandeurs pour les ofliciers supéipé- sur les lèvres des spectateurs un soufêles données dernièrementà Oran. ou- des Autre exemple, qui nous est person1 n_ rieursrire de très bon aloi dans le rôles de Nous adressons à M. Paul Bidaine, nel. Nous fûmes emballé un jour par iar Nous ne croyons pas interpréter, iler, Eugène Sylvestre. nos plus sincères remerciements. un jeune cheval dont nous faisions le dressage. Jelé contre la porte du maen ia- autrement qu'il le convient, ces loiss cn Un bon point également à MM. GaConsigne qu'elles devaient comprendre disant elnège, notre jambe fut prise entre la selne ne'.lv, Emmanuel et Honoré, dont les La cantine d'Antonio Pérez, située le et la porte. Sur le moment, comme erve rôles" dans cette pièce sont ne que les officiels de l'armée de réserve diffi'im_ Boulevard du Nord, où deux Zouaves assez territoriale dehors des de fonc' la douleur Cela arrive toujours, en oncne se ou ciles à remplir pour que nous nous IOUS s'élaient enivrés est consignée pour un fit pas sentir, mais quand il s'est agi de tionnaires. montrions satisfaits de leurs efforts, smois à la troupe de la garnison. mettre pied à terre, la jambe n'en vou3UOr on a trouvé moyen de les rendre ndre Demain samedi 21 courant, le Grand and lait plus ; un de nos camarades reconon_ boiteuse et voici comment. A côté (1PS des Ampliation duisit, le cheval à l'écurie, tandis que lue régiments de l'armée de réserve ett de Mogol, opéra-bouffe d'Audran. A propos de l'incendie qui a détruit deux autres nous remontaient à la la territoriale, il y a les sections des Théâtre en Ville une. petite baraque sur la route d'Oran, chambre. Le lendemain, nous nous 3US douanes, les sections de forestiers, la sV • la d'une discussion, Madame A suite lame nous compléterons les renseignements appuyé deux rendîmes à ta visil?, sur 2ux télégraphie el les chemins de fer. Les ^•', recevait de Madmoiselle Giraud raud déjà donnés ainsi qu'il suit : bâtons. Nous racontâmes notre acci"C!~ deux premiers, les douanes et. les foresoresLe premier, sur le théâtre du sinistre dent au major, qui nous mît exemptl de tiers, ont été traités toujours de lr^s très ma.... allons bon ! que vient faire dans Dau- fut un légionnairedont nous regrettons site bas par le ministère donl ils relèvent. bottes. Le jour suivant nouvelle visite vent, cette-bagarre le roman d'Alphonse Dau. det de ne pouvoir donner le matricule, du ? ami, très demain, siIl était surtout les doualouadans Ne revenez pas mon rare, 1 .le me reprends : je disais donc qu'à, qu'à. nom deLallemand, de la 20e compagnie :orés, nés, de trouver des capitaines décorés, non vous aurez une consullation. ,
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du 1er El ranger. Nous le recommandons tout spécialement à la bienveillance de M. le Commandant d'Armes, el de son chef direct, M. le colonel de Yillebois de Mareuil. Le rapport de police en cette affaire (oubli regrettable) ne mentionne pas un simple ouvrier, rémouleur de profession, qui sans hésiter se précipita au milieu oes jiammes et sauva au risque de sa vie, l'enfant du propriétaire de la baraque incendiée ; loules nos félicitations à ce courageux citoyen qui mériterait bien à notre avis un témoignage de satisfaction de la pari des autorités.
Et rennes Nos lecteurs et nos leclrices apprendront avec plaisir qu'à l'occasion du jour de l'an, la maison de librairie E. Roidol possède un grand assortiment d'objets utiles ou agréables qui seront vendus à des prix extraordinaires de bon marché.. Aussi engageons-nous vivement nos lecteurs et lectricesà visiter les étalages des magasins de la librairie E. Roidof.
Vol Deux légionnaires ont été arrêté hier
au soir sous l'inculpation d'avoir pénétré vers 7 he-resl|2 dans la baraque, du nommé Sempré Diego, marchand forain, sur la place Carnol, el lui avoir soustrait un caban, ainsi qu'une, certaine quantité de gâteaux. A ce propos tous les méfaits commis Bienvenue sont attribués à des légionnaires. C'est avec un vif sentiment de plaisir Nous voudrions bien une fois pour foules que ces boucs émissaires ne que nous apprenons à nos lecteurs que soit mis en cause qu'à bon escient. M. Gabriel Perrin, docteur eu médecine Adjudication est venu s'installer parmi nous, rue Aujourd'hui à 3 heures a eu lieu Prudon, maison Lévy. à rilôlel-de-Vile l'adjudication des Enfant de Bèl-Abbès, M. Perrin de la imprimés, articles de bureaux, etc., faire pendant 3 ans pour la Manie de Faculté d'Alger, fit ses preuves lors àBel-Abbès. M. La venue a été déclaré de la dernière épidémie cholérique qui adjudicataire. sévit dans ce département, et nous n'aTentative d'assassinat vons pas besoin de lui prédire le sucHier vers quatre heures de l'aprèscès qui l'allend parmi ses concitoyens. midi le nommé Marche Couvert a laissé tomber une'vitre sur le sieur Morales Nous souhailons au docteur Gabriel vendeur de légumes, d'une hauleur de Perrin une cordiale bienvenue. 15 mètres.
2" Une allocation pour l'oeuvre de N'ayant as réussi à assouvir sa vengeance le (t. Marché Concerta ce matin Saiul Vincent de Paul : 01 fr. 85. renouvelé son allenlal en essayant 3" Une allocution pour le bureau de d'assomnr le même vendeur à coups Bienfaisance: 01 fr. 80. de brique; A tous, nous disons encore une fois: . Merci pour les Pauvres ! Les piècs à convictions sont dans Vive la Légion ! nos bureax. Vive l'armée La juslL inlorme. Pour la commission. Ineidol Yiqnal Veïti-Gomcz Le Président L'incidGl qui s'est produit entre MM. E. ERÉZOULS Vignal eljGomez s'est, arrangé à l'aPour nos légionnaires miable. | Suite des sommes recueillies par le M. Goiez en présence de MM. I.eva- Messager de l'Ouest : -; Sept anli-juils3,50 ; Conchy, facteur, • vasseur o Bourdon, pour M. Vignal MM. Dubc et Biseh le représentant a 1 fr. ; A l'Hirondelle 1 fr. ; un pauvre déclaré rgrelter les paroles pronon- garçon de café 0,50. cées par l;i, lors de sa discussion avec Total ' 0.0(1 ? Total antérieur '.'. 113.00 M. YignaiVelli el reconnaître la parTotal définitif L19.00 faite honètelé de ce Monsieur. Tout es bien qui finit bien.
Fèt du faubourg Thiers La concussion de la fêle du faubourg 'Fliiers nas adresse la lettre suivante :
LaCoiimission remercie les personnes qui oit, bien voulu concourra' à la célébra!ich de la fêle du 15 septembre, y>
oernier. Toutesdépenses payées, il restait en caisse me somme disponible de cent qualre-vngl-cinq francs, soixante cinq centimes, qui a été répartie comme suit : 1° Uneallocation pour les chers rapatriés dî Madagascar : (32 Ir. 00.
NOUVELLE MARCHE DES TRAINS
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SERVICE D'HIVER (du 16 Octobre au 30 Avril) TRAINS S'ÉLOIGNANT D'ORAN
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Le train. 2 O". A. correspond au Tlélal avec le train d'Alger, arrivant à 10 h. du soir. Le train 4 O. A. correspond au Tlélal avec le train qui arrive au-Sig à 3 h. 44 du soir. Le train 6 O. A. correspond au Tlélal avec te train qui arrive à Relizane à 10 h. du soirLe Gérant certifie à la somme de
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TRAINS S'ÉLOIGNANT DE
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Le train 1 O. A. correspond au Tlélat avec le train qui quille le Sig à 6 h. du matin. Le train 5 O. A. correspond au Tlélat avec le train qui quitte Relizaneà5h. 20du malin,
Le train 7 O A. correspond au Tlélat avec le train qui quille Perrégaux à_12 h. 25 du soir. Le train 9 O. A. correspond au Tlélal avec le train d'Alger.
U Imprimeur-Gérant, E. ROIDOT.
Vu pour la légalisation de la Signature de M.
Le Maire,
E. ROIDOT,