Le Messager de l'Ouest. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 1894/05/22.
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PREMIÈRE
ANNÉE
Bd-Abbès;le .
— NU 38
22 Mai
I89i. .
.
•
mp.nts essentiels -^ Nous avons
Etrangère
vient
du B a rail Le général qui en tombant de de se luxer l'épaule un tout récemment cheval a publié ceMes souvenirs» livre qu'il a intitulé Il doit en posséder en effet, un fort et fort, complet contingent ses souvenirs sont presque curieux: de l'année toute l'histoire , d'Afrique, vieux surtout, de ses contemporains, au- de la conquête morts généraux, mais non i pour Sa plupart jourd'hui la colonie ' Peu à peu pas oubliés. , et.. los.;. bnsics «égarera'-.:"le.,b.-urs; leurs noms..' perpétueront villages dans ces légendes s On. retrouve une ' écrites à l'âge de 74 ans avec correction nullement .
de style
qui
n'en
altère -
anec lotique, , l'originalité estI tous ces héros dont la mémoire en Algérie comme -' restée populaire de la'à dans les moindres villages, métropole. Bugeaud, nier,Pélissici\ Danrèmont. d'autres.et destinées
; il n'a ni les
des ouvrages res d'Afrique, sans conteste
point,
sion si s< sont
actions. desgrandes en Algérie encore des guerqui traitent et le principal est
ppour ti titre
'•
-
MARDI
ils guerre impolilique, licenciés et réformés le. retourner en Algérie sous de 2e Lésion étrangère.
de cette encore
En 1859
on la signale o où le général Espinasse sur le à \: puis Mincio, à à Solférino. Enfin f faire
nmais c c'est
non seulement avec peau français ardeur, mais avec conviction et. iicl la salle des maréchaux'à lité.Dans
partie de l'entrée tde l'armée"d'Italie. En 1862 le 1er Régiment <; réunit, tous les ^glorieux ger
! mais lité, lance.
pas un
t traite
avapassé par d'interminables à 1831, où la Létars avant d'arriver sous ; gion fut créée de Loui.es pièces i le nom qu'elle conserveaujourd'hui de l'Espagne ï et mise à la disposition
colonel Slolfel. Ghangar- "."' avec son premier la retrouvons for- jk'rnelle.Monianban, ', En 18:i-0 nous :'!-/ mmL et/ deux MacCanrobert, Chanzy, régi m in ts, avec d'autres encore mc- Million déjà lieulenanl-colonel, que les's ont du faisceau u lée à toutes les phases de la guerre i séparés a décimés "•s d'Algérie. que la guerre 1854: les deux régiments sont t les ordres du géné- ien Cri niée.sous à rai Carbucçia. Ils se distinguent la bataille de l'Aima. A la-conclu- :En
instant
de
gnie succombe presque de Carnerone au'combat fait d'armes plus brillant
et plantent Chaumont.
défail-
en Afrique Le poste
avec de
Géryville
entière fut le qui de la cain-
est
fondé
de
l'Est
dans
le
le drapeau
sur les Butt.es-
A partir de cette époque -—'('1871) d'Oelle nequit te plus la province des détachements ran, mais envoie où elle rend de brillants auTonkin
toul
reviennent Etranger le colonel Guilbem.
l'armée
douloureuse Après cette longueel de î4Yanee, tous les bacampagne taillons .auxiliairesviennent se reforla Etranmera Mascara.et Légion son nom. gère reprend
services
Les lièvres vingt! pagne ; un contre s'en la moitié , mêlent, paludéennes a disparu. de la Légion Un contin- . et le Régi- . gent arrive deBel-Abbès ment Etranger reparaitàiiialaillons On est à Puebla, puis ài complets. à Potosi, à Mexico, Oajacca, par' tout... Enfin en 1867 les glorieux débris, s Résiment
de
deEn 1871, après quelquesjours ,repos, les Légionnaires sont, appelés .au second font la siège de Paris, ,' la Commune de rues contre guerre
Ici.nouvelle gion devient
du
:
sévit de nouveau la famine. Tout
] Doubs.
transformation,la.Lénous Rantzeau le 1er llégiment EtrauVersailles, voyons et .Lowendajil. deux, ans d'inaction, .attester a. .,1a.j'qis.;,.jes .;,;, ger et. après services rendus et la juste reconnais i envoie deux bataillons au Mexique, du colonel sance de la patrie française. ('1863) sous les ordres etsans On escorte les convois Sans cesse licenciés cesse, -leannigros. 11 auxiliaires ans Ies terres-cl m d es et 11n e coin paces régiments d rélbrniés, ont
le choléra
22 MAI 1894.
à l'année de ccoup le canon allemand sur gronde f territoire le ; les bataillons français -cdelaLégion sont bientôt sur la Loire. à Magenta (. est tué ; On se liai, de tous côtés, on évacue ( Orléans en désordre, on se rallieMilan , puis : une certaine désorParis c dans Bourges pour ;: envahit nos cadres. Le triomphale ganisation soutient la re1 Régiment. Etranger
l'histoire de la Légion Étranle Grisot et le débris étrangère par général lieutenant Goulomhon. à Oran et recommence . cde la Légion commencent siLes auteurs 1l'interminable par guerre d'Afrique. les nombreux étranPour la fois le choléra corps première gnaler reculés de la combat les ; la Légion assaille gers qui dès les temps ,qui ont servi sous le dra-; Beni-Snassen. de i noriamonarchie, Beaucoup
La ni o ri ci ère,
algérien, les ÏS divers, dans les pays les plus ! plus lointains n'a. pas consacré exclu- :iL'auteur, reesivement son livre aux grandes
.
Centimes
petits celte des batailles soldats, graine tant d'ambitions mai'sur laquelle client sans pudeur, sans conscience, les élécomme s'ils n'étaient pas
DELA Légion
inommées de l'époque ^ les sous-ordres oublié
CINQ
t i. ;
lit le roi. Toutefois, je vous reprocherai d'avoir vérité., Bellegarde, vous piquez singulièrement ' IV D'HENRI ma curiosité. Voyons ! dépeignez.:moi votre LES GALANTERIES dit à votre ami Rohau que cette dame de vos est millefois pensées! plus.enchanteresse que merveille. — J"ene saurais, Sire. Marie de Beauvilliers . elle-même. Mille fois ! i '.;'. .'''.•• —Allez, allez, je sais, moi, que vous décrivez ventre-saint-gris ! vous conviendrez que c'est un ' i comme un poète Sire, puisqu'il y.a supension d'armes, et que peu lort ! — Un poète même resterait au-dessous du — avec viens -Rouan est un traître, dit'Bellegarde vous daignez laisser les ligueurs en repos, je modèle. embarras ; il m'en rendra raison. ..'"-..' vou'i demander la. permision d'aller à Cceuvres. — Un amoureux comme vous aura plus de . — Ce serait plutôt-à moi de croiser l'épée — Permission vous est accordée,, mon cher bonheur. Je vous écoute. Bellegarde, répondit Henri IV qui, assis à une avec vous pour l'honneur de. ma da.ne, repartit — Vous l'exigez ? Mais nous ne ''•'.'• ventre-bleu !table dans son château de Mantes, écrivait à Te roi en souriant. •—Je l'exige, s'il.le faut. Marie de" Beauvillers. Car; toutes les fois que : sommes plus au temps de ces preux qui ne per— Eh bien ! Sire, figurez-vous d'abord une mettaient aucun sur la beauté ne de ni .doute le Béarnais s'occupait-ni supérieure d'affaires.,;, guerre blancheur de cygne, une fraîcheur d'enfant, une de leurs maîtresses. il s'occupait d'amour. . — — Merci, Sire, répondit Bellegarde, vous ne Même alors qu'ils n'en avaient pas,répliqua. élégance d'oiseau, une pureté de lignes à désesBellegarde en reprenant"son aplomb...'Pour moi, pérer la statuaire grecque, et dix-huit ans. Voilà pouvez me faire un'plus grand plaisir. : — Tant mieux mon féal ! dit le roi en quit- ' reprit-il, avec tout autre qu'avec le roi, j'imiterais*-' pour l'ensemble; ".. - T—Pas mal, pas mal, 'murmura le roi qui tant la plume et en regardant le vicomte avec volontiers les preux dont vous parlez. — Bah ! un duel ne prouve absolument rien écoutait d'un air moqueur, en faisant pivoter les finesse... Ah ça ! reprit-il, vous êtes donc bien donc bien belle ? à cet égards et le plus petit portrait, pourvu qu'il deux pouces de ses mains, placées sur son venamoureux, et elle est — Belle comme un beau rêve Sire, répondit soit ressemblant, en dit bien davantage. ..tre légèrement rebondi...'Voyons maintenant .les ' ' '. — Il est vraiment des merveilles qu'on ne détails. " Bellegarde avec enthousiasme; et je suis amou-' — De longs cheveux blonds d'une nuance reux comme un fou. *,'. . dépeint,jamais qu'en les affaiblissant. — La vôtre est-elle donc de ce nombre ? En céleste, encadrant l'ovale le plus harmonieux ; -^- C'est très sage, et je vous approuve, repar-. -:
ports
citée dans les rap; toujours bravoure. pour son inflexible
0 n 1a d éd oubl e en d eu x régi m en ts nous allons les voir èl. dès ce jour, aux courir en iivaiisa.nl. o'énergie de bataille les plus éloignés, champs fidèles à leur serment et. toujours dévoués
au drapeau
lors Depuis plus d'oisiveté:
de la Erance.
la Légion ne connaît elle recule nos fron-
tières du Sud et fait presque seule la conquête du Dahomey. Ce.sont des faits d'armes contemporains que des yeux bleus d'un brillant à éblouir et d'une douceur qui égale- leur éclat ; un nez d'un dessin suave ; une bouche où semblent se reposer l'enjouement et l'amour, et parfaitement garnie ; l'oreille petite, vive et bien bordée ; la gorge d'une beauté... à faire oublier toutes les autres. — Hein ? plaît-il ? . :— Pardon, Sire, excepté.;. . — C'est bon, continuez. ,. — Je n'ai plus q'un mot à dire, c'est que la . taille, les bras, la main, le pied, tout répond à la tête-et forme un chef-d'oeuvre qu'il est difficile d'admirer impunément. . — Voilà un portrait bien séduisant. N'est-il pas un peu flatté, en. conscience ? — En conscience, Sire, l'original vaut mieux encore. — Ventre-saint-gris ! vous me donnez une furieuse envie de le voir. A-:-el'le un joli nom. — Depuis son enfance on l'appelle Ondine. -'- Charmant! c'est un surnom,,n'est-ce pas ?
_.
(;i Suivre)
tout le mondeconnaît. il serait
superflu
Impérissable
et sur lesquels d'insister.
comme
monument
d'une auincontestable historique le livre du général Grisol •'thenlicite, et du lieutenant. Coulonibon cornme
celui
du général du Barail, devraient être inséparables de la bidu soldai africain. Malbliothèque heureusement trouJls ne peuvent un sac dont la prover place dans fondeur
est déjà bâton-de
le lé-
appétits, ù\ \( véritables
il
importe
aux
Français
de proléger les garanties ce constitutionnelles et de défendre a** un louable acharnement avec l'indéde la justice, âme de la pi pendance n nation
et seule
base
inébranlable
de
Y. l'Etal. La ruade
qui est venue frapper il en pleine poitrine l'hoinopinément n norable de la République procureur à Sainl-Nazaire, pour ne s'être pas ii de l'esprit de vindicte du inspiré n ne pouvait ministère, passer inaper-
une certaine ui les impression parmi i, di députes. Mais l'ordre du jour ne comporla tant pas de discussion sur la magis..,..,,•' , tr trature : il s agissait de d un coup ir mauvaise contre le parti politique se socialiste 1'; l'audace la lation
et le coup du ministre
a porte grâce a et à la capilu-
de la Chambre.
Laissons à la Pyrrhus a< adversaires
fructifier
formant aujourd'hui des lac*"..Ce cataclysme a {orn de terreur tous les survivants "*ap frappé qui fuient dam toutes les directions. dans Exécution ]Emile Henry a été exécuté hier matinal ,heures. heu Plus de 1000 hommes de la Garde et autant de gendarmes et agents répi républicaine de avaient été réunis pour cette opération police deJ qui n'a rien eu d'intéressant. de coutume, des journaux à sensation c Comme ont servi des colonnes de détails hyperboliques ?",t à l'avidité de leur clientèle. —=
celle
victoire
qui crée de nouveaux à l'opportunisme.
Les
cerises
A Soliès-Ponl, on fait une culture du cerisier. Cet arbre y particulière Pa à ce qui concerne l'inviogendaire Quant . .' .. do donne une récolle chaque printemps Mais dans une grenade écarlelée c devant la Chambre dé-- - labililé 1; et. l'indépendance de la maçue quelque ai3 abondante dont partie est expédiée en feuille de fut-elle ; c'est le député de la gïslralurc, les tribuà.Marseille, Lyon et Paris ; pr primeur qui ne comporte qu'une g g gradée rappelons-nous à confitures el le reste sert faire des carton, nous avons pu réunir en un > lt lations elle a toujours été Vienne M. Bazille, — rien de coinauxquelles c]eLÎKirsch. du Pour la cueillette qui ne faisceau tous les faits d'are bulle dans notre Algérie, en du fait du dure n înun avec l.e personnage de Molière, glorieux que trois ou quatre semaines, on un grand renfort — d'Italiens, emploie mes accomplis la Elrand des aussi bien ?" par le caprices de l'exécutif Légion qui s'est avisé de revendiquer de lijoueurs d'orgue ou marchands et régiments, de l'influence des par] libre du magistral. malsaine gère, bataillons depuis arbitre q que '„L1 considèrent celte .petite gurines qui ansa formation en 1831 jus" v,e lemenlaires. Les exemples ne manvendange comme un délassement régulière M. Bazille dit simplement d'ex,n nuel de tradition dans la contrée. a de si récents qu'à nos jours. Qi c cellent.es quenlpas:il yen choses. Il se place au point Celle année ces étrangers ont élé en cque la citation en devient superflue. et On peut se la procurer dès au jour- ., de c vue de l'ordre judiciaire : |u lutte avec les journaliers du pays, la a dû donc à soutenir gendarmerie s'interposer. d'iiui à l'imprimerie du Engageons-nous Je crains, dit-il, qu'en volant la dede Toulon a l'ail arLe sous-préfet * celle de tout édifice pierre * angulaire ° « Messager » de l'Ouest. mande en autorisation de poursuites, , . rc rêter une trentaine des perturbateurs s social, si nécessaire, à une colonie vous ne soyez amenés à sanctionner <j( dont. 14 français qui sont en prison J.D. ei en mieux. attendant une théorie éminemment c où le bon et les razzia 'ont regrettable. plaisir Il exisie dans la population un cer1 Vous savez à quel acte administratif f laissé tanl.de ferments d'amertume. tain émoi causé par celle mesure de je veux faire allusion : à la mise àia 1 et l'inamovibilité L'indépendance y\ à des citoyens du rigueur appliquée ;retraite sec Se d'office d'un magistral 1 Tléiis qui a1 deslribunaux sont connus pour d'honnêtes t doivent, être lepremier P; pays,qui cil " i fait son devoir en obéissant à su cons______ honnête et. gens. gage d'une République ^ cienee et qui, pour cela a élé sans "j Tout le monde sait à celte heure la de sa vitalité. sauvegarde suprême avertissement,, frappé par le ministre. M1LITARY Toussaint sera pourque le député J-Dt M. Bazille estime cet acte est . que suivi : la Chambre sa ayant démenti ' 1res il a D'après des communications parveet. raison. grave commission devant le spectre de la nues à Alger, il y aurait eu rébellion A L'AFFUT Puis, rappelant, comment les faits s crise évoquée àa Sjfissifa du petit détachement Casique le par le ministre ; *2« en se sont le de la 1 entretient' Etranger y garnison. produits, député Par ces nuits de printemps, mir Perrier. une Y commandait ce poste a L'adjudant qui Vienne : l foule anxieuse stationne sur la .", ajoute 1place Nous ne prétendons résupoint e contraint élé de fuir au milieu de la ' de la voir Roquette pour guillolliner Un procès-verbal de ""' uendarmerie a,, j-, brousse et de s'y tenir caché. mer cet événement dont de noml' Emile ' Henry. La police qui cherche été dressé contre notre collègue, M. Un officier supérieur a du se rendre breux journalistes se sont faits les . ( évidemment des complices, observe si les lieux. sur auraitdil à des femmes : Laissons la politique et. Toussaint, qui rapsodes. ' les sans succès. physionomies «Ne faites pas a.ltenlion aux insolences s Le journal officiel a donné connaisnos choux, disent les coAvant l'aurore le public, est. au complantons do la gendarmerie !"<v au public de la nomination du '"' sance ' de l'écrassement lons fortunés et les bourgeois à lar; mais après le Noire col lègue a élé arrêté et conduit 5 ble à la direction Rourdioux des général lever du soleil, tout se disperse comme Certainement devant le procureur de la République, ""j défenses coloniales. ges cultures. que tout .. un brouillard, el cela recommence C'est le général Coifl'é qui est appeet ce sa il est bien dans la société les magistral, jugeant d'après pour à Ferron. nuit. 1< lé le général remplacer conscience, après avoir interrogé les,s chaque ventres de pleins et il est Irèsinulile Si l'exécution avait lieu à huis-clos, noire collègue et. toutes les,j. gendarmes, Deux anciens colonels de la légion _ parler pour ceux qui sont vides. comme le nouveau .projet de loi le de, à ta., personnes qui aVaienl assisté MM. Barbercf el Walringues qui ont" Mais dans les débats relatifs aux toute celle masse de curieux autrefois le 'P-1' Etranger, c commandé scène, ;. considéré qu'il y avait lieu dee mande, croirait, qu'on lui a escamoté son sujet il est. fait allusion à un s sont poursuites, mettre M. Toussaint, en liberté. désignés dans la réserve : l'un au '1 19e l'autre au 3bX en d'un cadavre d'infanterie, échange quelconqueacte regrettable et arbitraire J'aura's compris que M. le garde des;s qui de l'hôpital ou de la morgue. donne la mesure de l'empiétement sceaux, 'aussitôt averti, envoyât, des,s chef du'P> Le général,Hervé corps, ' ' ' instructions au magistrat. Celui-ci,L c à bran depuis trois jours. 11 devra est du pouvoir sur les immunités de la La police continue a rechercher vai^ venir à Bel-Abbès passer une revue géplacé entre sa fonction cl sa conscien- -,_ magistrature. nemenl l'auteur de de l'ai nérale Peut-être dècidel'explosion lU d'inspection. ce, ou aurait, exécuté tes ordres, ou La presse, algérienne i ra-l-il des mmioennon salariée, venue 11 en est autrement à i l'exécution grandes Kléber, aurait donné sa démission. "* Muller a fait. vresqui nous ont élé annoncées comme a défendu mainte fois l'indépendanLiège où le prisonnier Mais il n'en a pas élé ainsi. M. le il y a quinze jours, et qui 1 prochaines toute sa confession. ce de ses tribunaux, garde des sceaux, n'a pas envoyé d'ins-s_ consistent à la mise en contact des auxquels impoa désigné de nombreux 11 , complices. tractions à il l'a mis js d'Oran el de Bel-Abbès fison saient les exigeances subordonné, comminatoires ^ ^^^ : garnisonsd'un côté un débarquement et d'office à la retraite, et ce dernier n'a 'a i gurant . de députés et de ministres alliés à l'autre côté la du de l'attaque pays, que par YOf/icicl la sentence appris des fonctionnaires dont le dévouede la. voie ferrée et l'a défenINFORMATIONS ! protection le qui frappait. se de Bel-Abbès:. ment passif bravait, toute humiliad'uneie —t, Quelle est la conséquence Espagne tion. semblable mesure '? (l'est, qu'aujour- rTRIBUNAUX Le des anarchistes de Barcelone estt /procès C'est en Algérie surtout qu'on ai d'hui, dans tous les parquets de Franterminé. — « condamas Six ont été condamnés à mort et quatre auxs R assois veUé «les Cr««s ce, on sait comment, on peut, être mis pu dire à un tribunal du Roi la vie. d'office à la retraite. galères pour nez-moi cet homme On écrit de Compiègce : là, » comme en Quant à l'anarchiste Martin Borras, il see confirme a été tué dans la à s dé un prison En août, un cultivateur des environs avait dit ài M. Bazille adjure ses collègues de jf» qu'il coups temps guerre général , de bâton ou de massue. fait opérer le battage de ses récoltes par pluson piquet : « fusillez moi ce trans- - protester contre les pratiques du in .-. , sieurs jeunes gens. Le travail terminé on s'était Le huitième anniversaire de la naissance du obéissait servi- - ministre Dubost : fuge. *>)Et le tribunal mis à roi a été célébré en grande pompe à Madrid. manger et encore plus à boire. Or, à la - . '• lement. • Au point de vue de la liberté des es , . de la côte ."" fin du souper, une femme du voisinage qui se était L escadre — française atlantique trouvait là, déclara qu'elle donnerait bien cinq Les magistrats il y enl il est écrit dans la loi que intégres, citoyens, à Cadix le 19 courant. Des officiers sont allés • — francs, si parmi les jeunes gens, il y en avait deux ;s ..a encore! les magistrats les procès-verbaux de gendarmerie .ïe conscienjusqu'à Séville où on leur a fait une bonne réqui consentissent à lutter et à laire, dans le cosdoivent être contrôlés par le procureur ijY ception. cieux qui se sont refusés à cette intume le plus simple, des cabrioles. Cette proposide la République, chargé de sauveont été changés 11y a eu une émeute à Léon, où des soldats:s tion fut acceptée par deux des assistants, qui de place, ,'' dignité notre liberté à tous, ont été tués. refoulés dans l'oubli, acculés à force e garder quittèrent immédiatement leurs vêtements et se Eh bien, avec la théorie de M. le dans la cuisina de la ferme, aune,. Les six condamnés anarchistes de Barcelone ie livrèrent ainsi, de dégoùs à la démission .' .' : ils ont vuL1 de garde des sceaux, ce ne sera plus désorte ont -été exécutés hier malin. Cette sextuple [e pugilat qui-divertit toute la galerie. briser leur avenir, parce On alla même jusqu'à réveiller des ouvriers que leur r sormais le magistrat qui sera le juge, 2,'e, exécution a eu lieu dans la prison. avancement, a toujours ce sera le . "Venezuela qui dormaient pour leur faire savourer ce ,specgendarme, dépendu LI Esl-il d'attenter aussi diUn des grands sinistres du siècle vient d'avoir jr tacle d'un nouveau genre. Le maître de la ferme d'une association possible devau- j. impérieuse lieu dans la de Venezuela. Un tremi- avait d'ailleurs pris soin de iaire apporter sur le , reclement à la liberté et à la consciencel£g république lours, qui depuis vingt, ans rongent blement de terre qui fait pendant à celui de 1812, -i sol une paillasse pour rendre les chutes moins d'un magistrat *?' arasé les et le villes de une Mérida, les chairs vives de la'France Lagunillas et la Avant de voter, vous vous deman111- quarantaine de villages de la province de Caracas dangereuses. La lutte terminée, les champions à l'anémié. empochèrent les cinq francs promis et chacun poussent derez s'il ne convient 3er où la désolation est au comble. pas de briser Les désastres sont considérables : il y a eu s'en alla satisfait ; mais on le fut moins quand Au milieu des fluctuations politi- i- dans l'oeuf des théories de ce genre. des affaissements du sol et des populations [ls on apprit qu'il allait y avoir des poursuites en que aiguillonnées s entières sont ensevelies sous des amas Ces J-llt par observations d'ignobles d'eau, u, police correctionne le pour outrage public à la justes produisent occupée par Maréchal.
pudeur. En effet, une information fut suivie, qui eût pour résultat d'amener devant le tribunal les deux athlècjs, l'aimable femme qui, quoique mariée et mère de famille, avait offert la prime du combat, et le fermier qui avait tout a la fois prêté sa cuisine el sa paillasse. A l'audience, le substitut a requis l'anplic.nion . de la loi contre les quatre prévenus. M* Gui!. , ces derniers, , ,.,,„,, ,louzic, avoue, de a plaide qu n n y avait pas eu de publicité suffisante, et, d'autre • part, s'appuyant sur des passages de 'Tclénuique, avait à la il a soutenu qu'il n'y pupas outrage deur, puisque dans l'antiquité de pareilles scènes avaient lieu devant des milliers de spectateurs sans que leur pudeur en fut effarouchée. Mais le tribunal n'a pas adopté-ce système renouvelé des Grecs, et il a condamné, soit comme auteurs soit comme complices du délit, les lutteurs chacun à huit jours d'emprisonnément, le fermier à quinze jours, et la provocatrice dé ce divertissement fm-de-siècle à un mois de la même peine, mais — chose assez piquante — avec bénéfice pour tous de la loi Bérenger. (Julransigeanl)
1' Procès-verbal en a élé adressé aux Sociétés concurrentes. l-'nn( L commission se propose de donner des La courses d'automne, s'élaul trouvée satisfaite du '0.li résiliait de celles-ci.
C émules jle Bracini ont obtenu comme on Ces sait de légitimes triomphes dans la ville d'Oran °" ils où ' ont séjourné près d'un an. _________ —7 U Etal-Civil de Bel-Abbès du 18 au 21 Mai inclus NAISSANCES R Kamon Tories ; Rog^lio Urrutia ; Francisco ^.j;u Martine/ ; Marcel Melka ; Ramon Diez ; Maiie . ""' Cerdan ; Florentina Montoya ; José Campos ; •; hIndigènes. DÉCÈS . Rosalie \, Gomez 40 jours ; Dolores Cories épouse Fe.'nae.dez ][) ans ; Léon Adida i mois : L?c lïtc Etoile A;-;an"3mois ; Ramon Diez ^ jours ; Roj,cr Grecfi 30 ans ; Eugène Pierre Lorel AS)ans ; bert , .1! '*' A indigènes. MARIAGES Henri Lagahe el Jorc-fa limandes ; ; Manuel Manine/. et Tiinidad Canadas. PUBLICATIONS Manuel Gonzalez el Maiia Ferrer; Messaoud Aniou et Zabra Binon ; '. Nicolas BJnéjans et Clara Llinarés ; ; Jean Bouscarv et Rosalie Fourcade. -—
Tïi UJ __
. — \ VBÎ cï? fo«V»st"i3. Un indigène des BerkoI moulons ;"iBelch*»: ches venu vendre ' pour ip.ielqnes \ ' i l'ut agréablement surpris de reconnaître "iyj Abbés sur le marché une vache qui lui avait été volée. i, 11eut quelque peine à rentrer dans la possession ,je csa bête ; mais la police aidant, la vache el les de I iilui furent réiniéiîrés où ils avaient droit. iiluiis — cEn cj«^l>Ve"ios'i. — Celle , , l?ln*vitli?i'& bande (|iii fil jadis tant de besogne à Oran, au,..'1j1 dénién::gé, ou n'esl-ce c-i'une i!i!.;;.:'.;;u rail-elle de;ses hauts laits qui vient d'avoir lieu à C;i::;i/:y! de L c pou de di: lance du ciief-lieu est le iiw;ii;:i du A au mur sieur D... où une hréciie par pratiquée b,le' des voleurs Ires avisés ont pu s'emparer d'un ",t (i co'iVe-ibi'iconleuani un tnillierde francs el quel(,,,, billets de commerce. L'instruction ne p.irait (jiies pa:- dit-on avoir trouvé jusqu'ici la bonne pas - pisie. — Deux garçons arabes ' ***>X-;ÎO!.!*':'''«:ÎÈ. G , A de lîel-Abiies ont élé engagés pour l'exposition (u Vienne par un hongrois, qui. les emploiera de au service de cafés. L'imprésario a également engagé une lille indigène d'Oran. — La seiï:-:si"edernière deux "%"."3.-; . " _;:>?-•:'.•!. DE MEUDON AU BOIS bi. se sont heurtés au eareloue l'riidou bicyclistes s.-ii éprouver de cirMes graves ; il vient d'en sans ] 0!; aulreinent à Oran où il. Dandine a eu dans élre iYunn \Tin\T^ i> IAMX. x I.V./i> o \.AjM.M t; T\TIT Bois de [\CcudoiiIon! chariiuml d'allégresse ""'." uv,:%. rencontre h; coté droit tan! soit peu meurtri, Ses verts reviens voir sentiers Je „• pénétré p:-:r des éclats de verre provenant 'enjoins ei El les massifs, où ma foi le jeunesse Yi.""-%-»'-:-:i ct'*3:t!i0?r.sîc'i?. — Le Préfet du d'une Unie iirisée dans sa eiiùïe. ^i si souvent-vu lu jcnille é. l'envers. iniorme les intéressés que ùj;-\!!"icmcnt En si^n::!:',ii!. ces arci-.lenls nous demandons ?" concours d'Oran l'oblention de bourses aux Coinjdais.immen: laissant j.nssé le store, le p-.-ur 1 , P'1 la iroisi'-nie ibis tpie la w.toute vitesse » soit écoles \wv.v Un gui svlvam nous ojïril sa villa... sera ouvert chaque ' c^ d'Industrie, pratiques ''' interdite en viile. m'en m'en souviens souviens, encore, lundi de à Je je année le premier juillet la prélecture Ahtis les ani.mis ne son! j lus là ^ du \\c\i. Asc~iîi--îii. — L'alleiage de il. Louis Maîlci ]. aux environs, était confié a un in- "j- Ces écoles au nombre de 17 sont réparties n, , Ppropriétaire r vain j évoqueune cpoquepre,ane hii r. en les villes ci-désignées. digène estropié, pas tant cependant qu'il ne pni ij entre Les souvenirs on: trcu!-!ema raison, aux cartes. Ces! pendant celle disirac- Ij jouer Aii'en, Boulogne, rrivillc, Fscarbalin, F'ourDu fil rompu de la ;>.v.'."Ariane 'jj( lion que le cheval s eniiniiia on ne sait pourquoi nl Màvre, l.im 'gc, le- Mans, Montbéliard, m'n;s, Les bouts ue:u!nsu:: gisent sur le ga^o.:. el. alla cn'lmler la voilure contre un arbre dee- vXimes. Rhcims, i-.acn, Rouen, St-Cbamond, en vain ÏV.'.T , Anneaux perdus ..je éplore, rière l'hôpital où il s'abaliil.. jj. St-Diùier, Ls Sauve, Sl-Clienne. De voire ehaiue on retrouver l'cslui ? à Aucun accident de noter. — Au Mivre et à S;-.:lienne, l'école est oupersonnes Je 'voudrais bien vous ressouder encore, aux der.x s-.-:;es. Mais le jeu sacré ;;'c:!'j>lus lé:. verte B'oBfcîsr. — Dioianchc ;ii heures 112 du 11n'esl - malin, le fis du jardiniuier de Mc ilorlrenil, pas 0 ." 'i ':i d'à. \e dans l'avis qui nous . , »! ,. s. ;1 a été transmis. C .t'.e insu. . .,: ce de rédaction se:a /' oiei / cadrai o:: aoc:!c e! bien idont l'enclos est •e, près la porte du Nord, apei'eiil Pour un ma>i jv.isa;! trêve îi l'amour suppléée par les inloi înatiiiis que les prélectures ui\ mitilaire pendu à la branche, d'un prunier cl i"' "' manqueront pas d'accorder aux postulants. •tout ensau' l.mlé. !1 ne j'ai voulu rompre, abandonnant pour gage appela son pore qui vint <_!mon a.nanl ion! moi dernier beau jour. la de . jusqu'à présent nous voyons qu'il s'agit de ceinlure. servant uieud coulant, couper Sur ce tilleul un ni.! ve:i.:i! d'é'dorc (. tandis le homme :d!ail la .n .mineurs ; mais la limite d'âge reste toujours que jeune prévenir Oui sous le /.'.';:;/,'/t'.v-baisers s'envola, si sous-entendue. police. tK..(i;/.v eûmes perr je m'en souviensencore. il. le coniinissaire ilédau aec-oinjavriiéde ' son Mais lesoiseaux ne semlplus la. — Le Préfet du département d'Oran secrelaiie et d'un inspecteur, vint procéder a:.x' j. .AI'JM. intéressés • i'ml'orme les 1Vqu'un concours aura lieu ..,' f,preniicrescoostalalions, ci) attendant l'arrivée ^".; ',du niéùc'-iu militaire ':l 17 décembre prochain, pour l'admisBelle forci sombrecl consolatrice *. (àPaiisie ^h\ qu'un légionnaire posio s • de lnédecins et de pharmaciens diplômés Rends la sagesseà mon ctvur agile ; allait prévenir. 'Ona d'aiiord ren;anpié que\ sion était i de médecins et pharmaciens stagiai'De mes regrets réprime i'injn.iiec .aux :1 emplois lur.erne on se trouve J le champ de l'arbre n'était l'armée. ' res de 'Puisionsfidèle<;/./ materalié. pas foulé el que. le soulier ne donnait passage :ÀConbon tgon:; proteste qu'il m'adore, Les examens commenceront à huit heures du qu'a un homme. Depuis quinze ans il ne d'il que cctéi: v matin à l'école de médecine et de pharmacie Après un premier p.m'Tinenl, on transporla, ' militaire En vérité, j'aime à le croire encore, de Paris. v j ' ce. i;:;i!'.:;'!r'nix à dans unétal ,, l'hôpital jiresque SiCnislesamours ne sont plus Va. Il au cou une entaille -d'oùi Les demandes doivent cire adressées au Minisdésc:-péré. 1!e sau:- avait portail DUCUU aiioniîaninienl coulé. \ tère de la Guerre service de la santé, avant le 1er t On supjioso (pic. ce siddal qui appartient à laa .tdécembre 'liS'al. " l".' du ::' du \" rég'uncnl éirangi;r, sous le nom . Les candidats trouveront les renseignements a < voulu fin a de (Ire '.'i-r. mettre ses .iierl, jours Dans les CommissarkUa fj à la 'prélecture de leur département, nécessaires eu se jiiMi'faul; mais ipie la slraiigulation nee s'ei'.i.'c'.'.-aiilpoinl assez vile, i! aurait usé de son" EE;ï"t':'553£ï»î,i,«v:î.'.— La session des cxnM. Ponticelli, commissaire de police de i"".1-' -c couteau por.r se, corpee la gorge. Le couteau" mens pour le baccalauréat a été fixée par le classe à Philippe-ville, est nommé à (Iran, mêètoul'.'i'i-.isn'a pas élé trouvé. ministre de l'Instruction publique au 10 juillet me classe ; 'hv>.-;; .'o'iierl Sijet prussien âgé de 3ii ans iS tous les départements. pour 'iL' esl né a iè.in'-.rfeld.On ne, le connaissait pas an M. Bonnardcl, commissaire de police, de '•'s classe à Alger, est nommé de 21-'classe à l'hilin:it prég'.r.ienl dont il ni' faisait partie, (nie depuis peu —Un concours B*»sfc'W fi- 'Fi'N3î'---r;s"£!-2»':*«*w. ii a à à M heures sans ]S de ; peviile jours, expiré l'hôpital des Postes et Télégraphes le surnumérariat 5" avoir repris connaissance. Les médecins prépoM. Malignon, commissaire de police de ;>'' ,. pour -''• s:;s a r.'-xaine.n du cadavre ont après l'autopsie classe à Blidah, est nommé de -v classe à Alger. je s'ouvrira dans tous les déparlements de l'Algérie au chei'-iieu les l'éi et ï:'i Juin prochain. l..erM. Ivarra, commissaire de police en disponii'- ;; coni'in :: in\ siiicîi'iî. !I *'io>:n'est venu jusqu'ici juslifice les présompbilité, est nommé de fi- classe à Blidah. p. jeunes gens de T.*.à 5ii ans pourroul y jirendrc M. Bigot, commis: aii e de police de n" classe ;s^ ij lions (l'assassinai tpii courrenl ,lans le public. pai'l. La limite d'âge ci-dessus mentionnée pourra être reculée de deux à trois ans pour les canclasse à Aïnin: à Saint-Arnaud, est nommé de •&<= — S-JJÏ3t«>î'«*'. \J: corps d'un européen iniï- d'abus qui auront lait un service de temps éqniTémouchcnt, est connu paraissant d'origine espagnole, a été ilé/._ \ aient à l'Ela'.. M. Bèbe, secrétaire de police à Sttif, est nommé commissaire de police de O classe;àà eonverî liier au soir, noyé dans la iîekerra près es ! Les candidats devront s'adresser au directeur Saint-Arnaud. des Postes et Télégraphes de leur département du Camp des spahis. j sse M. Torre, commissaire de police de 0e classe ni qui leur fournira la marche à suivre et le proLa viclinie parail âgée de ''i') à 40 ans suivant 0u les premières constatations faites par le docteur à Bou-Saâda, est nommé commissaire de C'u ur I gramme du concours. classe à Relizane. (îiilel.,médecin couimuual ; vu l'état compiel de M. Fournier, commissaire de police de 'j"»1-' "S1-' décoiiiposiiion du cadavre, la mort devait, reclasse à Ténès, est nommé de même classeeàà monliuV.àplusieurs semaines. l'Arba. La viciline porte des traces de contusions à sse la iêie et au cou. M. Aubert, commissaire de police de "V-classe ' à Or'èansv.tlle, est .nommé même classe à Ténès, es. Une enquête eoniportanl l'autopsie du cada5e vre, aura lieu aujourd'hui dans le but de délerM. D.augreaux, commissaire de police de' 5° 3rclasse à l'Arba, est'nommé de même classe à Orminer si l'on esl en présence d'un crime où d'un léansv.ille. accident.' "Nous remarquons parmi les promus M. Ivar•arLe corps ayant élé trouve accroché à des .va- . ra ancien secrétaire de police à Bel-Abbès oùù il cines, il esl possible qu'il ail dérivé depuis le a des parents et des amis., "Nous, lui envoyons ons barrage eq suivant le courant de îa ilélicrra, ' nos félicitations. . —~ ***"**? SsaE's'o^;;'. Nous apprenons avec v.n n légitime regret !:i mort de 1!. Lorel paeenl d'un confrère eu publicité de Bel-Abbés. LOCALE HJ CHRONIQUE Le défunt que la rupture d'un anévrisme a —• SO'BS«S«\"BB.1 I.,,,,. pour ainsi dire foudroyé, a payé de sa personne 5»EBÊTJ:çaλ;.Nous avons dans df[ c.;\ 1870 eomniesergeni-iiia'or des tirailleurs. un article précédent fié;ri l'esprit de lucre'el l' de 1! a depuis occupe le même grade ici dans la ]' Iriçherie que le jeu avait introduit dans les courses, en dénaturant le caractère moral de leur compagnie des sapeurs-ponipiers q.tii ont résolu . institution. La Soclc'é hippique de Bel-Abhes JIÎCS d'assisler à son convoi. • dernière vient de une dans sa réunion, punir 11110 A sa veuve, à la famille Saurai el à noire infraction déloyale aux règlements générauxx llc de confrère Alirol, nous oii'rons nos synipalhiijiies la Société (i'encourr.jemeul. sen!i:::enls de con:'ol::;uiçe. Ellj a prononcé lu disqualification et l'interdielioiï des hippodromes contre mi sieur Coluiann lie de C>Î;--I;«D?.— On nous annonce l'arrivée prola seconde a élé c.liaiiic a Bel-ÂS)!;iâsde !a troupe acrobalique fois, Gueliiia,qui pour surpris pris des frères Teiesr.-Fiesusla. en manoeuvre frauduleuse.
Le Gérant
cc-rH/îe à la somme de Vinsertion n°
Vu pour Le Gérant,
la légalisation
de la Signature Sidi-Bel-Abbès, le
de M. E. LlOlDOT, Gérant, . 189 Le
Maire,