Le Messager de l'Ouest. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 290196

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Le Messager de l'Ouest (Bel-Abbès)

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Le Messager de l'Ouest (Bel-Abbès). 29/01/1896. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.


V~/cfl

S-G 0 TROISIÈME ANNÉE — N° 1-90

bel-Abbès, te 29 Janvier1 18V6

LE

PÉRIL JAUNE (Suite et Fin)

Pour empêcher que d'Edgard Quinet

la prédiction

ne se réalise, pour 1 arrer le chemin à la horde asiatique el lui démontrer que lioudhu- n'est pas le seul maître de la destinée des humains ; les mesuresà prendre sont extrêmes, comme toutes celles auxquelles on s'astreint devant un péril éminenl. La première, la plus urgente de ces mesures devrait être un ultimatum énergique de toutes les puissances -européennés .ordonnant 4 la Chine d'avoir a désarmer, et à livrer contre espèces ses canons, ses fusils, ses munitions el ses navires ; de ne conserver que les troupes nécessaires à assurer sa propre sécucurilé à l'intérieur : gendarmerie, police, etc. Après l'accomplissement de celte mesure, il faudrait fermer irrémédiablement nos écoles, nos chantiers, nos usines, aux porle-queue du Céleste Empire, afin que !e génie de la race jaune ne. trouve, tôt ou lard, malgré celle tutelle salutaire, un Pill ou un Machiavel qui tenterait de secouer le joug de la vieille Europe ! Prendre à l'égard de tous les Chinois établis à l'étranger de telles me9

Feuilleton du

a.

Messager de VOuest

•»

-'

CINQ Centimes

ssures de précaution, qu'ils ne leur restent plus qu'à réintégrer leur lieu d'origine ! «J Alors parqués chez eux sous la. surveillance sévère des puissances E coalisées, dont, chacune s'attribuerait c droit contrôle sur une partie de un l ce t vaste échiquier, les révoltes ne seraient c pas à craindre, p?.u à peu \l'inlillralion européenne renversant | le problème, amènerait dans ce mi] lieu jusqu'ici presque inaccessible, d'autres idées, d'au 1res moeurs. ( Au grand jour de notre civilisation, le Chinois asservi par plus de soixante siècles d'esclavage verrait enfin se lever pour lui 1ère de la liberlé el comprendrait, que la luiuelle prévoyante el raisonnée de l'Europe vaut mieux pour lui que le gouvernement despotique des mandarins -] chefs de province él du Fils du Ciel.

Que faudrait-il à l'Europe pour résoudre ce problème et conjurer le Péril Jaune, deux à trois cent, mille hommes à peine, pénétrant à la lois par le nord, le sud-ouest et le sudest, tandis que deux ou trois cuirasses de chacune d'elles commanderaient à l'est. Devant ce déploiement de forces indiquant une implacable, volonté que pourraient l'aire les Célestes ? rien ! Encore toul meurtris de leur lutte avec le Japon, ils ne pourraient opposer une longue résistance, pris par les quatre points cardinaux ils seraient infailliblement battus, où

plutôt p se retireraient sans combatli Ire.

Le grand désert de Gobi servirait d lieu de déportation aux rebelles, de ddont les os blanchiraient abandonnés n au mépris delà doctrine de Confi l'ucius, sans aucune sépulture sur ce sol s inclémenl. Une fois cet acte de préservation accompli tranquille pour l'avenir, la a blanche pourra lentement, il r race est e vrai, el prudemment s'annexer c vaste empire. ce C'est la tâche qui lui est dévolue 1l'histoire de l'humanité nous montre des t races disparues et absorbés par d'autres. t N'en n'esl-il pas de même pour 1 la faune ? Combien d'animaux géants dela marche lento,, mais assuré,'vani M ' progressive .de T h u m a n i i é ment , disparus sous l'entassement des on! (

« Voilà pourquoi je ne vous l'envoie pas, voilà pourquoi je vous chasse.

Je vous donne cinq mille francs, qu'intelligent comme vous'l'êtes,- vous saurez faire fructifier, et cela vous permettra d'élever l'enfant qui va naître et qu'un domestique de confiance vous amènera dès qu'il pourra se passer de nourrice. — Vous séparez la mère de l'enfant ? — Oui je séparerai la mère de l'enfant, comme je sépare le séducteur de la malheureuse séduite ! Dans les questions d'honneur a Je suis ambitieux, je veux li fortune ; il faut être impitoyable, je le serai ! l'attendre c'est trop long, l'on verra le moTrois personnes el Dieu connaissent la sij'emploierai arriver, je el yen que pour y se- tuation de ma fille : vous, ledocleur et moi. rai le gendre de M. Beau oin ! Du docteur el de moi je suis sûr, de vous, Eh bien malgré ! tout, dût ma fille en .« mourir, dussé-je mettre le comble à tout, en votre intérêt vous y engage, vous partirez et tairez, le reste me regarde ; j'ai vous vous traduisant vous en justice, malgré le scandale dit allez qui pourrait en résulter, je le ferai sans hési— Monsieur, un mot de grâce ! ter, si je vous revois un seul jour à Paris à partir de celui-ci ; je vous ferais arrêter. — Non allez. El du doigl le négociant montra la porte à Lucien qui dût courber la tête Reproduction interdite. et sortir. «

Par ELLER

MERCREDI

29 JANVIER

18'.

6

LA

Semaine Militaire

L'armée au Parlement Au moment où nos représentants reprennent leurs travaux, il nous a paru intéressant de rechercher quelle était, au 14 janvier 4896, la situation des questions militaires soumises à leur examen. Voici celte longue liste. 1° Propositions et projets de loi à Vétal de rapports SOT le fond 1° de M. Rom me relative aux notaires, officiers ministériels, etc. appelés sous les drapeaux el autorisés à se taire suppléer dans leurs offices ;. 2° modifications, adoptées par le Sénat, de l'article 3 de la loi du 26 janvier, 3 mai et 5 juin 1850, relative aux écoles Polylh.echiqùê et Spéciale militaires..et... à TE-côte Navale de Brest ; 3" modilications, adoptées par le Sénat, des articles 5, 48 el 59 de la loi du siècles ? < 15 juillet 1889 sur le recrutement de Combien de peuples ont succom- de l'armée. ber j sousla marée montante de hordes 4° modifications des articles 03 (paravenues on ne sait, d'où et chassées de graphes 9 et 10) et 68 (paragraphe 10) . leurs lieux d'origine par le besoin de la loi du 15 juillet 1889 sur le rej de l'armée (pensions proporcrulemenf de situation meilleure, trouver une ( ' tionnelles) ; ciel plus plus clément, une terre un 5» : 1" de M. Edouard Lockroy, relaproductive ? tive à la défense des côles ; 2° du mêRuons-nous donc sur ce peuple! me, de la presqu'île du Cotenlin, de la Que son histoire devienne celiedes Coise el. des autres îles du littoral frangrands faunes collectionnésdans nos çais ; 3° de M. Cabard-Danneville, ormusées et que l'on dise de lui dans ganisation de la défense des côtes au de la marine ; les siècles à venir : «Race disparue moyen 6e de M. de Monfort, modification de !» vers l'an l'article 63 de la loi du 19 juillet 1889 autorisant le rengagement des simples A. BOURDON. soldats ; 7°projet sur l'inscription maritime ; * '

Il monta dans sa chambre faire ses malles. Il s'enquil d'une voiture et à la profonde

stupéfaction des autres employés, il quittait la maison ; c'était clair, puisqu'il emportait tout ce qui lui appartenait ; mais { ourquoi partait-il sans dire adieu, sans leur serrer la main ! Mystère profond pour tous les employés, à la lêle desquels i! s"était trouvé pendant si longtemps, qui avaient pour lui une sincère estime et dont les relations avaient toujours été de la plus parfaite cordialité vis à vis de tous. Malgré l'anathème lancé contre lui, malgré l'écroulement de toutes ses espérances, Lucien ne pût de résoudre à exécuter à la j letlre l'ultimatum du père de Caroline. On ne renonce pas facilement à tant de • joies, à tant ee bonheur, qu'une erreur des sens venait si brusquement de renverser. Instinctivement il sentait en ce'docteur qu'il n'avait fait qu'entrevoir au moment où il entrait dans le cabinet du négociant, une

occulte protection, el au lieu de donner au cocher l'ordre de le conduire à la gare Montparnasse, il lui donna l'adresse du docteur. Vingt minutes après le cocher s'arrêtait rue de la Seine. Au premier, le coeur lui battant un peu fort, il sonnait. Aussitôt introduit, à sa figure décomposée, le praticien reconnut Lucien qu'il n'avait lait qu'entrevoir lors de sa dernière visite chez M. Beaudoin : — Monsieur, dans le désarroi d'âme où je me trouve, je viens à vous vous demander quelques conseils. — Parlez mon ami 1 . — Sans appui, sans fortune, ignorant qui je suis, j'ai, par suite d'une protection mystérieuse dont le mocif m'échappe, été recueilli il y a huit ans dans la maison dont je viens d'être chassé.

(A Suivre)

~


de M. Brincard, allocation d'une pension de retraite aux anciens militaires non retraités ; 9° modification aux arlieles 40 el 42 de la loi du 15 j uil let 18S9 (service mi I i8°

taire).;

dde terre et de mer pour faits d'insoude désertion, de rébellion et mission, r d'indiscipline. c 12° De MM. Rose et. Lécheralier, avancement dans la légion d'honneur E faveur des anciens militaires qui < en dû quitter l'armée à la suite .de ont ( 1blessures graves reçues sur le champ bataille. de < . Bozérian, réserve -13° De M. Gaston emplois aux titulaires de la médes ' daille cominéeioralive de Madagascar. III. — Projets et propositions de loi soumis à la commission du budget 1" De M. Bazille, réalisalion d'une .économie de 20 millions environ sur le • budget de la guerre, en transportant certains services à l'hôtel des Invalides. 2» De M. B.izille, désaffectation île certaines casernes et magasins de la guerre-si lues dans l'intérieur de Paris el à les transporter à proximité des fortifications. Commandant VTCTUlî. (A Suivre)

, dé M. Bdzille; tendant, à créer un emploi d'adjudant dans chaque bureau de recrulemenl. < 2° Propositions-de loi à Vélat de rapports sommaires 1° De M. André"; Castelin, révision des lois constitutionnelles dans le but de suspendre le pouvoir légi.Mulif en temps de guerre. ,2» De M. .Edouard Vaillant pour la suppression de l'année permanente par sa transformation progressive en milices nationales sédentaires. 3° De M. Souliet, pour la franchisepostale en faveur des soldais de terre el de mer, réservistes el territoriaux, et leurs familles. 4U De M. Jules Guesde, à réintégration de l'année nalionale dans la nation en lui rendant l'exercice de droit de vole. 5* Des mêmes, mise à la charge de la nation, représentée parles communes, les départements et l'Etat, des familles des réservistes el des lerriloria x pendant les périodes dites des-28 jours el des 13 jours. 6" De M. le général Riu, suppression des zones de servitudes militaires autour des anciennes défenses de Paris, à la démolition partielle du mur dVnceinle et à son remplacement par un canal de navigation et de défense militaire dans la région nord-est de la place. 7» De M. Michelin, ayant pour l'objet : 1» de déclarer inéligibles yi. incapables de remplir les 'emplois civils ou militai ros les étrangers;,naturalisés Français el Ses descendants d'étrangers jusqu'à la quatrième génération ; 2° d'interdire aux dignitaires de l'Etal, aux officiers de l'armée de terre et de mer et ït cerinins fonctionnaires de contracter mariage avec des étrangères, même naturalisées, el des descendantes d'étrangers jusqu'à la quatrième génération. 8° De M. Coûtant, remise grn.iu.ilemenl aux familles qui en l'ont la demande de la dépouille mortelle ries soldats morts sous les drapeaux en temps de paix. 9° De M. Chassaing, suppression des forlilicatioiis et de la zone militaire de Paris. 1(> De M. Toussaint, relative à l'amnistie en faveur des soldats désarmées de terre. 11» De M. Toussaint, relative à l'aninislie en faveur des soldats des armés

•10°

Lettre fielâflagascar

(Suite)

Ambato-Mare, le 5 Octobre Hier soir à 2 heure?, nous sommes.venus ici, dans un village, situé à 3 kilomètres'et demi à l'est de la ville. Les hommes sont logés dans des chambres assez propres, avec, comme ornements, quelques bancs, voir même, quelques armoitoiles d'arraignées. res, et des J'ai une chambre avec une armoire, un lit, milliers de une chaise, un banc, et des puces. On remarque dans lu village, quelques

Il en résultera une multiplication plus nomlui assure une meilleure réussite et un bénéfice b breuse des ferments du lait et une altération plus double de celui des autres. de celui-ci. rapide r La condition fondant entale à remplir quand En définitive, tous les moyens qui favorisent on s'occupe oe laiterie en général et de produc1' maintien de la propreté éloignent la majeure tion du beurre en particulier, c'est d'observer le partout la plus rigoureuse propreté. La réussite, Jparties des ferments, les mauvais particulièreet contrarient le développement de ceux ' dans les diverses industries du lait, est absolu- ment, sont parvenus quand même dans le lait. c ment liée à ce point, car, pour obtenir des pro- qui Nous pouvons donc conclure que la première duits de premier choix, il est nécessaire d'opélègle à suivre, quand on veut bien réussir la rer sur une matière première irréprochable, sur ' fabrication du beurre, est d'observer la plus un lait absolument bon et pur. grande propreté dans le traitement du lait et Dans là fabrication du beurre, du moins ! de la crénie, dans la manipulation du beutre quand on vise à la production d'nne marchandise fine el délicat.-, à arôme développé sans ainsi que dans l'entretien des locaux et des apgoût désagréable, il est encore nécessaire d'être pareils et utensiles de fabrication. P. DORN1C plus minutieux que d.:ns ia tahiication des diIngénieur agroriotiu; verses sortes de fromages, li faut dire qu'il est professeur à l'école de luileriG de Maniïrolk*. aussi plus facile de 1 être. On se rend pas assez compte, dans nos campagnes, de l'iniporian^c <ls la prj.ireié en laiterie, parce qu'on a toujours é;é habitué à ma-.ipuler le beurre ou le lr.it comme to a autre chose et Dans une </are : un train est en pa-Hancc. que l'idée ne vient pas ou ne vient que très raUn compartiment de ce train est occupé rem_nt de changer les habitudes acqu:se--. Comcomme mil : les deux- coins opposés au quai bien de personnes, so:gneuses dans leurs diffé- respectivement par un Russe, reconnaissable rents travaux, ne débutent -elles pas encore au- à ses fourrures el par un Français ; les deux, gui sont du côté du quai sont occupés jourd'hui le beurre entre leurs mains, en le bat- coins adolescent de iô à 16 ans, VauL'MÏ BE FAIRE Dïï BON BEURRE tant à coups redoublés ! Qu'on leur présente des l'un par unjeune nègre africain. Des valises tre par un I spatules, elles n'en voudront pas, d'abord parce I sont empilées sur h; partie libre des banquetqu'elles n'y sont pas habituées, et ensuite parce tes. Sur le quai La fabrication du beurre semble une chose si quelles Américain à grande barbe ignorent quels avantages il y a à les em- blonde cl carréuntt'épuulcs fume un cigare et simple que beaucoup, de personnes, et particu- ployer dans le travail de la motte pour éviter se promène de long en large, tandis qu'un lièrement nos fermières de la campagne, s'éton- précisément Allemand Irapu fume sa grosse pipe-à quelque la main, chaude et quelquefois ques mètres de là, en lisant des affiches. nent qu'il y ait des règles à suivre dans cette fa- mal lavée, soit immédiat le contact ne en avec Survient un Anglais : casquette en drap brication, lu pourtant, combien d'elles ne sa- beurre. et en èteignoir. long manteau de voyage à vent pas faire du bon beurre ! 11 est cependant facile de se rendre compte de carreuii.c. pipe eourle.aux dents, une valise, li suffit, pour s'en convaincre, de jeter les l'effetdela malpropreté dans!» manipulation du à chaque main. Il arrive devant te compartiment, s'arrête, g jette un coup d'oeil, monte, yeux sur les mottes apportées aux jours de grand lait. Les matières qui arrivent, dans ce liquide, salue pas et se plante-devant l'adolescent. ne marebé dans les villes des régions beurrières. particulièrement pendant la traite telles que les L'Anglai*. — l'ûà loue, jeune homme, \ôlcz Quelle diiîérence entre elles el quel écart de débris de paille et de fourrages, les excrémer.ts . vu pooiïssez vô un pea. prix ! Les acheteurs se disputent les unes et dé- de vache desséchés, les poiîs, etc., sont de vrais L'Adolesce.n'. — Mais celte pince rsl à moi. daignent les autres ; celles-ci sont achetées com- nids à microbes, et c'est L'Anglais. — jioustenicnl : levez vô de là par elles que les maubeurre de cuisine et celles-là comme beurre vais microbes, surtout, parviennent dans'le lait. me que j'y iiieS'e moù. ; • '' ' . de table. A la température ordinaire, et surtout entre li0 UAdoUs,wnl{ahurt). —-M«is, Monsieur... D'où vif ni donc cette différence de qualité et 80 degrés centigrades, ces germes, se mulîideux valises cl ' L'Anglais (déposant, ses si avantageuse aux nus, s•-préjudiciable aux -aur, ; plient si rapidement que ler.r npinbre devient, "niella ni .-;« pipe dans sa p-sclte}. -^-Allons très '! Quelle"est 'btenHa, c;usse:;de- cet ciràiù iiifi". ;- prodigiëùx-èt, que, Vivant -atUiép^tis dû Util,..''ils- i'dloitr. jetJilt: îu'intiii'.', ou jv-bn.VC vA. , ,-.,;,, . ' ''L'A'lciesç.en'ii —^Cependant... prix qui fait va.i'i' considérablement le rapporti le transforment en peu dé temps eu'donnant, L'An;/>.<>'»•,: -•• Nô ?V0 ne vôioz JKI-, ? Alors.., du litre de lait et le tevemi net de-chaque vache naissance a divers produits, à divi-r.se* st':b;;'.an(i/ fait mine Ae prendre par les épaula le laitière dans l'année ? qui diminuent-toujours la valeur'. ces en jeune homme- qui se ruai à crier ; à ses r.rh Eh bien ! tout réside dans le savoir-faire deIl ne faut pas croire, en effet,-que .les laits l'Américain se précipite.) là fermière, dans les soins qu'elle apporte auxc caillés ou fortement-acides sont seuls mauvais VA méricain. — Qu'y ;i- t-il ? manipulation du lait et a la fabrication du beurre. pour la production du beurre ; les laits en voie L'Anglais (avec flegme). — Aoh ! rien dé Considérons une même régionou même une d'altération ont également une valeur bien moin- tout, rien dé tout ; je volais simplement premire petit localité. Nous serons tout de s.tile frappéss dre pour la fabrication du beurre que les bons celte coin... ]/A méricain. — Jlais ce coin est occupé par d'une chos-j : c'est qu'il s'y trouvera un produc- laits frais et purs. mon fils, Monsieur, el (le menaçant du geste), qui Une bonne marchandise beaucoup absolument de crème supéteur nécessaire je est a une souffrirai pas... ne rieure à celle de ses voisins ; il vend son beurree pour faire un beurre fin et cette crème ne peut L'Anglais.(sans se troubler). — Aoh ! rout0 fr. 20 à 0 !Y. 30 par kilogramme en plus dee s'obtenir que si l'on traite du lait parfaitement ine vô devez boxer bealiful ! Je voyai ça au geste bon et frais. la moyenne de l'endroit. Cependant il se trouvee de vo ! Alors le petit .garçonne il esta vô '? Les dans les mentes conditions que les voisins, pourr compliments de moà, les compliments de nioà L". propreté doit régner partout. Si l'air de ; il qui la bôi-onp production gentil de la est matière pre-•- l'étable est impur, rempli de miasmes par suite ! Restez dans le coin de vô, ce concerne jeune homme, restez. mière, du lait. Donc, s'il a un produit supérieur,-, d'une ventilation insutfisantc, d'un d'air manque L'Anglais se retourne sans plus de façon, c'est qu'il apporte si upk-ment plus de soins et;t et de; lumière, le nombre des microbes qui toni- el s'adrasanl de propreté dans le traitement de la crème et au nègre : bent dans le lait pendant la traite et son. court :t L'Anglais. — Pooiisse toà, toà. la fabrication de son beurre. séjour à l'étable sesa beaucoup plus considérable Le nègre (riant el découvrant deux superCela, joint à un outillage peut-être plus per- que si l'air est pur et mé.hodiquement renouve- bes rangées de dominos). '-- Li bon nègre l'a fectionné, en tous cas plus proprement ' tenu,i, lé. bon resté dans li bon coin à moi, lu sais ?

DIGNITÉ ANGLAISE

.

beaux bâtiments en -briques et une église, dans laquslle il y » des beaux prie-Dieu. M;is en général l'intérieur ne répond pas à l'extérieur. Il n'y a guère que les habitations des chefs (maires et notables sans doute) qui soient confortables ou bien entretenus à l'intérieur. Les autres ont des escaliers en mauvais état, lès chambres sans portes (la mienne se ferme à clef) des meubles délabrés On est très étonné de trouver une pareille pauvreté quand l'extérieur promet des merveilles. Cela prouverait que les Hovas aiment les trompe-l'oeil. Le colonel habite naturellement le plus beau bâtiment ; on y voit des belles peintures à l'eau sur les murailles, et les meubles sont de premier ordre, tous en bois de chêne ciré. Les ventes de toutes sortes commuent, le lait frais commence à apparaître,'ainsi que de.s étoffes, ce n'est pas trop tôt car je n'ai I plus d'effets, les chemises en lambeaux, les pantalons de flanelle sans fond, les.serviettes

-..,

en lanières ; ah

je pouvais avoir la malle que j'ai aissé à Majunga ainsi que celle qui est restée à Andriba. Les « Fiianzane » marchent grand train , maintenant, à chaque instant on aperçoit un groupe blanc courant au petit trot, au milieu mi-bronzé de haute marque, qui se rait véhiculer de la sort abritant sous un parasol, , précieuse sa personne des rayons solaires. On peut aller à Tananârive avec une permission, les officiers se font, tous ramener en Fiianzane ; demain j'irais également à la capitale à l'occasion du Té Déum qui sera chanté par l'Aumonier pour célébrer notre victoire et en revenant j'essayerai ce genre de loco!

si

.,.'

motion.

,

6 octobre.

Je reviens de la capitale. Mon impression m'est guère favorable aux habitants ou plutôt au gouvern ment ; 1° c'est très fatiguant de visiter .la vide à cause des montées et des descentes et surtout à cause du mauvais état des chemins, appelés pompeusement des

.

rues ; 2u l'entretien delà ville, de l'ensemble, aisse absolument à désirer,soit que les hovas, depuis le début des hostilités, .n'aient rien osé d'entreprendre ou réparer, soit que ce peuple ne songe qu'au présent, à lui, qu'il est très égoïste : toujours est-il que la ville, qui a l'honneur d'abriter une Reine et un l?1Ministre qui règne depuis une trentaine d'années, en Potentat, sur le pays, et dans un délabrement complet. Voici d'ailleurs, par dégrès, au hasard mes notes qui se sont gravées dans ma tête.Les femmes en général laides, lés lèvres lippues ; i as de lignes harmonieuses dans l'ensemble du corps qui est assez 'grossièrerment façonné, elles tressent leurs cheveux d'une façon qui sa rapproche beaucoup de l'Alsacienne.^

.....-'

(A

Suivrj)


sile ; une récolte de pièces blanches a site L nommé Amidon ben llamed su- fêtes Le fê! données par celle ulile associaréct récompensé tic 'jet'i jet marocain faisant l'objet d'un mandat lion. ces virtuoses dit pavé. De lotis les points de la France et ii en a été de même hier au soir, où d'amener 11 d'aï décerné par le parquet d'Oran ., ont eu lo même succès, ils yC i'Algérie nos Sociétés se préparent él mis en étal d'arreslalion sous fin- de a élé àa venir all'ronler ce tournoi pacifique Chanteurs de Cours nous qu'il- culpalion Les cul d'assassinat. '-• qui H' montrera aux sceptiques a quoi feh demain. Avis aux retardataires. lent, Adjudication sert se l'éducation physique. Vols De nombreuses sections étrangères j Hier à 3 heures, a eu lieu à la Mairie vi l'adjudication de la construction du viendront Dans la nuit du 26 au 27, vers 4 heu- l'a»' L se mesurer avec nos gymKiosque à élever sur la place Carnot; nastes. m res du malin, le gardien de nuit Chou- ^1C Ce sera un spectacle réconfortant la musique Militaire. eL ' kroum David a supris un indigène qui eldeslinéà j-pç, tiful, oh ! be'aliful, le boy de vô ! l'avenir de voir noire jeunesse M. Cliampigneul, menuisier au l'au- pour p( venait de fracturer J cadenas de la un Sur ce, l'Anglais se case comme il] cul au bourg Thiers, a été déclaré adjudica- marcher, qu'elle n'est plus celte jeum D 01 du magasin d'épicerie porte du sie ur taire, milieu du compartiment, el le train pari ; ' 7 p. 0)0. inutile qui rabais de considérait le service 1*1 i i nesse m avec un Moïse Adida, situé à l'angle de "1° la rue voyant que l'Américain el l'Allemand, lui ..militaire comme un supplice. Nous incendie Gai Gambelto . el du boulevard du Nord. fonl grise mine,, il se tourne vers le Russe cl; loin de là ! Le mot temps sommes S( ce Français, qu'il avail semblé ne pas voir jus* Celle nuit vers une heure de malin, «.Patrie» n'est plus j garde de nuit a vainement pourLe un mot sonore. que-là el, poliment., avec son plus gracieux. suivi le incendie éclaté clans le magasin "n a malfaiteur, mais il a cru re- wn Noire jeunesse à compris son devoir sourire : duu sieur Joi'ias Scheiouche épicier connaître lui El le devons à ses dévoués.citoIladj Mazouni, et ori, e en nous L'Anglais. —Volez vô permettre à moi d'of-. La ry. Ryron, maison rue qui dirige nos sociétés de gymginaire de Mazouna (Renault) lequel yens f ir à vô un cigarette ? (au Russe) ? C'èlre dui gir Grâce à la prompte arrivée des se- nastique écoles du devoir et du paMonsieur tabac turque, et pour (s'adressanl au< , es! n est .activement recherché. ces cours les immeubles se rallachanl à irie t| lis me. Français) : Moâ avoir bons cigares en tabac du:i cel incendié ont pu être.préservés. celui Siain. = Dans la nuit de jeudi à vendredi derLe feu pris dans le-magasin d'épiSTICK. (Tableau.)' . nier, nu des malfaiteurs restés inconnus cerie ce où se trouvait 'toute sorte de nia- J __ I se sont inlroduils dans la maison eau- tiè tières inllommables,auraienl pu devenir CHRONIQUE LOCALE ta HiBi lonnière, silué.e au kil. 75.5C0. un véritable danger pour les habitants ET REGIONALE Nos cambrioleurs, dérangés par Far- qui qn demeuraient dans la cour de celle rivée du cantonnier Orny qui avail ou- maison r]\ m; sans le sang-froid des pompiers Rue rT Gambetta, N° 4, Bel-Abbès * faire sortir à temps el par Troupe Vidal vert sa fenêtre, oui pris la fuite sans qui "-R" ont su ve un ur couloir comp'.ètemenl envahi par r'( emporter. Pur suite de l'impossibilité d'aborderi- rien Messieurs NA BON frères, ont les les locataires qui s'v flammes, Iroulis se sont alors rendus chez la veuil aux arènes la représenta lion que devait, l'honneur i de porter à. la connaissan,.,. . vaienf. ' va ,-, ,. donner la troupe Vidal n'a pu avoir vc Cavalier, ir ve -epiciere-, et ont. réussi, des Propriétaires el Négociants ce ( EUuent présents sur les lieux :. quoique dérangés, à emporter une cerlieu. qi se tiennent à leurs dispositions MM. le Commissaire de police el son qu'ils l laine quanlilé de marchandises dont secrélaire Lecca el l'inspecteur de Nous îvgrellons profondément, ce la peso 1-iire en bâli;e la 1 sc ; po- pour ments, fâcheux eonlnMemps qui a privé noire ] pose de papiers, enui ignore la valeur jusqu'à présent. e un |j( Rurkalier. lice etc. population d'un spclaele des plus cap! MM. le Sous-Préfet, le lieutenant de seignes,-vitrerie, )On esl toujours sans nouvelles don- la tivants el nous espérons que le temps |a gendarmerie el sa brigade, le piquet )S PRIX TRÈS'MODÉRÉS , de ht légion, le sergent Ped" n' sur le vol mystérieux accompli d'incendie plu** élément permettra dimanche proj_ nées c' chez M. Tabarly, pharmacien, chain aux amateurs d'exercices sensanrez'et le sapeur Franco arrivés les prea_ Le merveilleux fait toujours partie j| miers n; sur lieux du sinistre ont. organitionnels de se rallrapper et à la troupe Elude de M< RENARD, Notaire 3e de cet autodafé accompli en pleine sés <1 S( les secours puis arrivent successi- | Vidal d'encaisser double recttle. à Sidi-Bel-Abbès veinei'il. MM. Mtuij.-ic'n !ic'j!ei.i:Hit, Uaiils Vl ville de à mètres la gendarmerie. cent -v Théâtre de sous-IieuietKin! la'i''.'mpi'igine, Oui!-Onhrùie bureau, chêne '," massif1# Fra P-.& "f* W" un en Samedi soir la TRA.Y1 ATA, donnée ,t'C le lustre Anlosergeisi-m'âjO:'. I; sergen! désinvolture, (jui la .„_'. avec une prouve . '. nihi'eVles d 5! ve. BÎBW. ÎJ \8 s:i.peilVs Sei^iouro, Bènàmouau bénéfice de Mme Noël, nuire- pre-. h'èfre • pas 'dérangés, et. el l^oniiet-ciàh'ou. ; "• '_.. ' cerl.ilude ; dé par '':..\.niièro:çlïa.aù,4a.soi.avaLhnyïlgr.é/l;e.apry.iir;. '. : ,. .y .i , . : ^3;' sôiftVftès;;0]>lJge .''îi^îfp V'NbuS'devcafsiM'ié'meiilltKi.louîé _"* ADJUDICATION .VOLONiAiRE'""" "': '-, spé- 1 vais temps amené tous les iîdèlès àdmH; ;. . . ".'' justice se-'.perd, conjectures le -il en Pere/Apii sur ciofe ' aii sergent pour attaquer c râleurs de la divetie. mobile qui a l'ait, agir les délinquants. ].)lussùremenl i-" loyer d'iiiceiulie n'a t v' Le T)!MANCm<; 0 KÉVlURlV^ p Sans s'en tenir au plateau qui a pron_ . hésité à pénèlrér ei>. pleines HijU'iiP pas A qui. de '" droit iyyti, à dix heures du matin, duif la somme respectable de 830 fr., r mouchoir mouillé dans la boumes un les nombreuses-gerbes de Heurs qui en l'élude el. par le ministère Le chemin vicinal conduisant au Ro- che. |rn • de M1- P. EN A RD, notaire des lui ont été olferl.es, accompagnées de cher est dans un étal déplorable ; dec ' Grâce à son énergie-.ainsi qu'à celle immeubles ci-après : présents sinon plus sympathiques mais a1^ puis 3 mois aucun curage n'a été l'ailI. de camarades, l'incendie tous .. n'a ses c plus discrets, ont certainement prouvé vti el. dévoré t que le magasin et son contenu, e par suite de l'abondance des demiePremier loi : à Mme Noël en quelle haute estime ne ,res pluies la circulation y esl inter- nos pompiers réussis à rendre ayant, ' se .la '\ | nos habitués du-Théâtre la tenaient. de marche du leu. maître ' rompue. , Jamais l'artiste n'avait détaillé avec Le sergent Pérez n'en n'est pas à son } 'ec Nous appelons l'atleniion du service ". autant'de'lacl le rôle si difficile et si responsable premier acte de courage et sa conduite 'j de choses, si1 pendant sinistre l'a mis-une fois de ' étal cel sur changeant de «Violetla». SISE ce ' : préjudiciable intérêts des habitantss plus, aux }! f; ' Elle a été ce quelle devait être c'esl- 1 en relief. AU FAUBOURG MARCEAU • Rocher. du ( Nous lui adressons nos sincères l'éli- ilii à-dire, fine comédienne, excellente nie de la ville de Sidi-Bel-Abbès, pompiers.îj ainsi cita-lions qu'à les Rixes tous ( diseuse et chanteuse hors ligne,. il élevée d'un rez-de-chaussée \ pendani l'incendie. présents Dimanche, vers 8 heures du soir, à ' Aussi est-ce avec un véritable plaisir isir renfermant dix chambres; cinq A trois heures tout danger avail disque nous enregistrons un si légitime me la suite d'une altercation des plus futi- paru. cuisines, buanderie, cave, greles entre les sieurs Mengual Joseph el succès. nier el cour, le lonl d'une suLes dégàls non encore évalués sont . M. Laborde dans là même soirée r£e Ramon Cerdan, au faubourg Marceau,'.' couverls perficie de 364 mètres carrés par la Compagnie d'Assuran( '' ces 's'est montré à la hauteur de la lâche la Providence. faisant partie du ir 25 (bis) du ene ce dernier a tiré deux coups de pistolet , qui lui était éèhue. M. Vincent, bien jen sur son adversaire sans l'atteindre. plan sur la mise à prix -, Avis , Une femme présente à la discussionn de.( 6.000 fr. en voix, a cependant mon Ire trop de M. Monleils, chef du service des ren. virilité dans le rôle qui lui était dévolu lu;; aurait paraît-il été blessé légèrement)l seignemenls généraux a été désigné malgré cela il a largement contribué Deuxième lot : comme commissaire spécial chargé de Due au Cou. ! l'organisation de la section algérienne Une information ;st ouverte. ' au succès de cette soirée qui comptera era Concours Général Agricole de Paris au parmi les meilleures de la saison. .en 1896. • Le même soir vers 7 heures le nom1_ M. Monleils représentera au concours '."' «La Bel-Abbésienne» Lacoste Joseph, garçon de ferme les exposants algériens qui n'ont pas mé le SISE .Messieurs' Tes Sociétaires de "La de mandataire sur placé, et qui lui chez M. Leduc, route d'Aïn-Trid se AU.'MÊME LIEU ;e Bel-Abbésiènne; sont informés qu'une . adresserontdirectementleurs produits. une rendait la ferme „ conduisant tomn a un assembléegénérale aura lieu le diman'renfermant'plusieurs chambres ._,, ianIl ces'produits à leur arrivée recevra bere.au, lorsqu'arrivé à la descente du . che 2 février prochain, dans le localI ^e de fera, à l'octroi, les démarclies nécèset cour,- ensemble sur lequel la société, pour l'élection de deux i> /saiies, surveillera, pendant la durée eux Ponl du chemin de fer il a fait la renelle est édifiée, d'une conteConcours du la déguslaiion dans la membres du comité, démissionnaires. Qt •" des, contre de quatre espagnols conduisant de 362 mètres carrés nance section des eaux-de-vie vins et répôhet deux chareltes avec lesquels il a eu une /.. ' dra aux demandes de renseignements Les Chanteurs des Cours faisant partie du n- 25.(1er) du discussion parce que ceux-ci ne lui ce-', é-" qui lui seront adressées. .plan-,, sur la mise â prix Venant de Tlemcen, les Chanteurs des ; , . datent la place nécessaire pour son .'.' '/ '" m -" pas >n Cours ont donné un premier concert de. 1.000 fr. ^ert ' ie ': Mon"' '.M'SociÉtts" -de '.'Bymnà&tiinie passage. 11 aurait été alors victime de devant la mairie, lundi dernier à 3 h. leur de voies de fait et violences. part FACILITÉS DE PAIEMENT La somme de 40 fr. 50 qu'ils ont jie_ rede France d'Alqérie et ^es contusions reçues par lui ne cueillie a été versée par eux au .Bureau 'eau sont.pas graves. Il ne connaît pas ses de Bienfaisance. Pour tous renseignements et es La grande manifeslalion patriotique Vers 5 h., le même jour, et dans d.-.. de nos gymnastes français el algériens visiter les lieux, s'adresser à ,s la agresseurs et.ne pourrait les reconnaît soirée, le café Cartigny a reçu leur-vi-. '-vî- ; tre. M« RENARD, notaire. 196 -: sera sans eonlredit une des plus belles L'Anglais (furieux). — Aoh ! •une HQgrti se (léran^'* pas pmir une Englisch ! Slioking ! (il empoigne, le nègre el va te brutaliser lorsque l'Allemand, que la scène précédante avait enlevé à la lecture de ses affiches, saute sur l'Anglais el lui administre une magistrale bourrade.) L'Allemand. — Mein Goll ! Le nègre-il être mon boy el che ne permettrai pas... LAngiais (qui a toisé l'Allemand, el eonle:::planl avec respect sa forte carrure. — Pàâdone. pââ'done, sir ; moà savoir pas... Bea-

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Atelier de Peinture Frères

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MARCHE DES TRAINS SERVICE D'HIVER (du 16 Octobre au 30-Avril) i]

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Arrivée | î)6pai., ;

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TRAINS S' ÉLOIGNANT DE TLEMCEN

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A. correspond au Tlélat avec le train d'Alger, arrivant à 10 h. du soir.

correspond au Tlélat avec le train qui arrive au Sig à 3 h. 44 du soir. 6 0. A. correspond au Tlélat avec le train qui arrive à Relizatie à 10 li. du soir. A.

Le Gérant certifie

à la somme de

^^•lionno

Le train 1 0. A. correspond au Tlélat avec le train qui quitte le Sig à 6 h. du matin. Le train 5 0. A. correspond au Tlélat avec le train qui quitte Relizane à5 h. 20 du matin. Le train 7 0. A. correspond au Tlélat avec le train qui quitte Perrégaux à 12-h. 25 du soir. Lé train 9 0. A. correspond au Tlélat avec le train d'Alger.

V Imprimeur-Gérant, E. ROIDOT.

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Vu pour la légalisation

delà Signature de M, E. ROIDOT,

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Le Maire,


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