Les Annales coloniales - 06/08/1937. by Président AALEME

Les Annales coloniales

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Le Gabon, ce centenaire Parmi les cinquantenaires, centenaires, biterdencàres, tri-centenaires — la France est une vieille et encore noble Nation — que nous honorons en nos colonies différents points du globe, depuis quelque sur il temps, en est un qui noussera particulièrement cher: le centenaire du Gabon, dans deux ans. On lira par ailleurs les passages d'une lettre que nous a adressée, de Liberville, un adjoint des Services civils en retraite, M. Makaga kogow. Elle est un exemple émouvant de la force de rayonnement de la France. Et nous

DeJérusalem

à Genève via Londres

LE SERVICE DES FRAUDES

AUX COLONIES qui sentaient le suint, et qui étaient une démonstration de la mâle force, s'édifièrent. Avant d'entrer dans la légende, le Gabon pataugea dans la chronique. Il est à peu près sérieux maintenant. Il a fait sa mue, il a refait ses dents. Industrialisé, ayant perdu ses héros, il a gardé des hommes. Comme tout parti politique, dont le temps ronge les ongles et mange la couleur, il s'est embourgeoisé. Mais il ne vit pas mieux pour cela, et son éducation demeure à faire.

RESIDENT de la Com-

mission du Vin aux Le régime des mandats A internationaux Colonies, il faut bien imposés à l'issue de la grande guerre par les que je m'occupe de la grandes puissances à la Syrie,- au Liban et

répression des frau- à l'Irak vient d'être désavoué par ses créades qui est une des teurs et transformé en un régime plus libéral. parties essentielles de voirè en une entière libération. L'Angleterre, poursuivant sa nouvelle pola politique viticole et dans la mère patrie et litique, qui consiste à voir son prestige maindans la France d'ou- tenu par la force des alliances plutôt que de tre-mer. par la terreur de la domination, essaye PalesJ'ai signalé, en son substituer -au. régime du mandat en ne pouvons que donner raison aux arguments temps, le nouvel orga- tine une nouvelle formule comportant à la Cette riche Colonie est encore en effet un développés en faveur de ce pauvre et magnifinisme, institué à Dakar par l'arrêté général du fois trois régimes taudis. La fière devise la République Gabon. que a 22 juillet 1936. Le service est aussitôt entré en que 1° Le découpage de la Palestine en plantée sur son fronton Liberté-égalitésiJ'ai deux Etats juif et arabe ; perdu temps. « — son campagne. Il n'a pas fratemité lui a singulièrement nui. De gnalé 2°L'indépendance de ces deux Etats les obstacles auxquels il devait nécessaire— 3° Le maintien du mandat anglais sur Délaissé, il le fut. Ille demeure. Inlassable- Liberté, elle n'en eut point. D'égalité, de par ment se heurter. Ils ne l'ont pas empêché de les Lieux-Saints. richesse naturelle considémois, possibilités quelques et ses faire de la bonne besogne .: en ment, depuis dix ans, les ergots sur me forêt sa La commission Peel qui suggéré le plan de légende, il alimente par millions les caisses rables, elle ne pouvait en connaître. Et la fra- plus de 280échantillons deproduits divers ont ont Pour établis. été n'avait que le simple droit d'émettre son avis. de la Fédération — aujourd'hui la colonie — ternité l'a injustement ruinée au profit de ses été prélevés, et 70 dossiers de Pour que ce plan soit réalisé pratiquement des premiers sondages, on peut dire que c'est et fait vivre, du navire au vendeur, des milliers sœurs. et légalement il faut d'abord Notre Afrique Equatoriale, bâtie en dépit. la besogne bien menée. d'hommes et de tonnes. Le Gabon a sans doute a). Le consentement de la S. D. N., qui Sur quels produits ont porté ces sondages Sur été, et récemment encore, la dernière de nos du bon sens, groupait quatre colonies, dont tenfréquemment a confié à l'Angleterre la gestion de ce tertous ceux qui paraissent le plus terres d'aventure. Le pays négligé, hostile, el deux très dissemblables, le Gabon et le Tchad, ter l'ingéniosité malsaine des fraudeurs les vins ritoire b) Le consentement des Etats-Unis d'Améqui ne comptait de routes que quelques centai- équilibraient leur budget, et gagnaient de l'ar- ordinaires, les vins à appellation, les vins mouspossibilités, Deux n'étaient des gent. autres Port-Gentil, rique, Libreville, qui, sans faire partie de l'organisme à que à nes de mètres, à les rhums et eaux-de-vie, les vinaigres, mais seux, Moyen-Congo le l'Oubangui. On et Lambaréné, est posé sur l'Equateur comme une se mit en aussi les huiles de table ou comestibles, les huiles de Genève, ont en mains l'engagement forde le Ce fut, d'arachides, les laits frais les beurres, les fari- mel que toute modification au régime du devoir Congo-Océan. La construire pinasse, battant immense Venise forestière. mandat ne peut se faire qu'avec leur agréle Gabon, une raison d'être plongé dans etc.. nes, comme un cœur trop pressé, permettait seule pour Tous de l'Ogooué à la Bilagone, du Remboué aux la misère. ses profits furent dévorés par Je ne m'attarderai pas à relever tous les man- ment; c) L'acceptation des Arabes. lacs, de se rendre d'un point à un autre —' cette voie ferrée, et son argent arraché de se.* quements signalés dans les rapports. Au reste, ils L'acquiescement des juifs peut être solimêmepour quelques kilomètres. Savorgnan de mains. Les quelques millions qui eussent pu ont une ressemblance toute naturelle avec ceux daire d de celui de l'Angleterre. Car si le que vou- sionisme Brazza avait tracé un itinéraire. La France le lui être laissés pour des adductions d'eau — en que l'on constate dans la métropole idée juive, il est incontesest une sibeurre, de le l'eau Port-Gentil recueille dans les vende qu'on à nom citernes, lez-vous sous pénétablement une œuvre anglaise. suivit depuis presque mécaniquement, et faut la conserver pour la saison sèche 1 il de la margarine, et comment voulez-vous brousse et non redoutable Or les Arabes protestent et avec eux tous dans la fort lentement qui tra — qu'on étende le volume des laits si non avec de l'installation de lumière, plus la le les rois, les souverains et les gouvernements pour le mure. Si le forestier depuis quinze ans ne pour à l'eau aussi qu'on vrai recours Il est l'eau a de pays arabes voisins. Les Anglais eux-mêt'était emparé du Gabon, l'Administration, élémentaire aménagement des centres urbains, n'y U enfin, Mais a les beurres. frauder sur impitoyablement refusés. C'est pour- pour mes sont pas d'accord sur l'utilité et la sceptique et prudente, eût continué simplement lui furent nous, surprendre. doive là qui rien de plan. sagesse ce des Nations, et qui lui donnerait tort ? — le Gabon cette occupation sporadique, limitée à quelques quoi — inadmissible, c'est que, dans le plus Ce qui est La Société par l'organe de patiemment à hair le Moyen-Congo. producteur points qués sceau fataltoujours accessibles, et mar- s'employa essentiellement mandats qui est même la commission des siégeant en ce nialedudéterminés le prompt Luttes épiques, souvenirs brûlants, pleins pays d'arachides, les fraudes cette denrée moment, ne lui est pas très favorable. à toute grande œucre colod'huile sur Et d'une sève qui nous émeut aujourd'hui encore retour en France. soient si nombreuses. Sur 19 dossiers constitués, c'est pour ces raisons que le projet anglais Le Gabon dernier refuge du romantisme co- 11 ont donné lieu à des poursuites soit57 semble devoir s'effondrer devant la simple lonial, déshérité, ne sut pas trouver son défen- On ajoute à l'huile d'arachides de l'huile ou de réalité actuelle de la Palestine. Pointilleux, jaloux, bourré de méfiance, la graisse de coco, ou de la graisse de végétaline. nous paraît donc que la question va être Nous ne retracerons pas la légende familière: seur. l'huile complètement a insupportable, il le voulaient nouveau posée, et qu'un nouveau plan supprime rejeta Parfois même on ceux qui entre la grume d'okoumé remise par M. de défendre, contre lui-même, totalement doive être contre le Moyen- d'arachides, et la dénomination est Chavannes au représentant de la compagnie al. Congo tentaculaire Toufik Webhé. abusive. Quelques exemples feront réfléchir- les ensuite. 300.009 mande Woermann, et les quelques Et c'est, après des années, cette plainte candidats délinquants. ) ( tonnes annuellement exportées aujourd'hui, il y émouvante d'un Gabormais' qui Quant aux produits viticoles, ils sont, comme parvient nous les bien tous HONNEURSINSICNES co- d'un Gabonais indigène qui sollicite, avant toujours, les plus effrontément falsifiés. une histoire que connaissent ont 14 ordinaires, de vins prélèvements loniaux. Frustes et rudes, les forestiers du Ga- toute chose, Sur 17 le souvenir du « conquérant déférés à la justice et ont été suivis de 14 été bon ont eu longtemps l'orgueilde leurs fau- soit honoré que il convient, après cent anlois comme condamnations. Ici, c'est pour défaut d'indication ves origines. Ils se sont grisés de cette abno- nées de parfaite et lamentable indifférence 1 titre alcoolique. pour Indication mensongère sphère de bataille, presque d'expédition miliComment laisserions-nous sans échocet ap- ou mouillage on signale fcaptitaire,où ravitillementétaitnul euend. pel Cormmentn'écouterionsnouspointporté Là, c'est pour }usat~f~-~~Memc

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Une conférence des cercles Propagande coloniale s'est tenue au Niger Le voeu de beaucoup de commandants de

cercles est que le gouverneur de leur colonie, au moins une fois par an,les réunisse de telle manière que le contact soit assez étroitement établi, que les doctrines s'affrontent, et se polissent aux feux de l'expérience commune. Beaucoup J'administrateurs,eneffet, quiont une conception de leur métier autre que la stricte conception administrative, qui veulent faire du social et de l' humain, se plaignent de l'isolement moral dans lequel ils sont plongés, et de la parfaite indifférence du chef-lieu à leur endroit. Ils réalisent une œuvre, parfois grande, dans les domaines les plus divers, et presque toujours sans moyens. Qu'ils réussissent, et le mérite leur est enlevé. Qu'ilséchouent, et la responsabilité les accable. Ils vont, dans la nuit. Les résignés acfaire ceptent, quelque et ne font rien. Les ardents veulent chose, et travaillent juqu'à l'instant où l'échec les arrête, condamnés alors qu'ils sont-par leur chef. Il y a des administrateurs qui mériteraient mieux que la favorable recommandation du ahistoires ! » Si la colonisation française « Pas est à ce point médiocre. et sans mystique, c'est la que la crainte logée à tous les postes de hiérarchie, comme le faucon au poing du chasseur, paralyse toutes lesinitiatives, abat tous les enthousiastes, et fabrique en série des conformistes dont le désir forcené est dès lors de vivre à l'abri des regards indiscrets.. Nous avons donc exprimé le vœu que des conférences, régulièrement tenues, sous Vautorité du gouverneur, permettent à tous les cornmandants de cercle de confronter leurs efforts, leurs résultats, leurs buts et d'arrêter des mesures communes, profitables à la politique même de leur colonie. Saluons dans ce sens l'initiative de M. Court, BOUIJemeur du Niger, qui a réuni à Niamey, les 18.. 19 et 20 juin les commandants des Cercles de Maradi, Zinder et Dosso en une oéritable conférence économique durant laquelle ont été traitées toutes les questions concernant la politique alimentaire des Cercles. Le développement des surfaces cultivées en arachide, plants d'assolement, prépare des terres à mil excellentes, mais la culture de cette légamineuse ne doit pas être considérée au point de vueexclusivement industriel. c'est un appoint à la culture de base : le mil, dont les superficies ne doioent,sous aucun prétexte,être diminuées, Tèlles ont été dans les grondés lignes, les diredtcea données aux Commandants de

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Sous ce titre, le bulletin de presse du minislère des Colonies nous gratifie de la pudique note suivante Les Peuples heureux n'ont lias d'histoire Il en est de même pour les Colon. nies ou Groupes de Colonies, qui doivent vivre et prospérer sans publicité tapageuse. Cette publicité rien ne la justifie. il s'agit moins de saveur, pour la Métropole, ce qu'on a l'intention de faire que ce qu'il a été effectivement réalisé. La propagande coloniale pour être vraiment sincère et efficace doit refléter lu vie et l'activité journalière de nos possessions d'C'utre-Mer, sans couronnes de fleurs trop savamment tressées sur les fronts de ceux qui ont la tâclio de diriger cette activité. Sans doute, il est très humain de parler de soi. Si l'on commande, il est plus facile encore de faire exprimer par d'autres ce qu'on peut avoir la pudeur de ne pas dire soi-même, Personne ne s'y trompe. Et celui dont on parle trop lasse inévitablement l'opinion. Il est certain qu'une œuvre ne vaut que par les hommes qui s'y attachent, mais ce n'est pas dans l'action que ceux-ci doivent être encensés. Il faut un certam recul, dans le temps, pour juger sainement d'heureuses rétormes. Les statues sont faites pour les morts, très rarement pour les vivants. La Grande Œuvre Coloniale fut bâtie, pierre à pierre, dans un immense effort. De tous ceux qui y participèrent, de nombreuses personnalités furent distinguées et demeurent. La majorité reste duns l'ombre. Et il est assez curieux de constater que les noms qu'on honore aujourd'hui appartiennent à ceux qui. pour la plupart, fuplus modestes. rent les Colonies réclament des organisateurs Les de tout premier plan, et il faut avouer qu'ils sont, en général, bien choisis. Il ne leur appartient pas de le dire mais de le prouver. Nous avons absorbé avec ravissement ce délicat hors-d'œuvre. Mais nous ne pouvons guère nous arrêter à ses prudentes recommandations : de savoir pour la Métropole; « il s'agit moins ce qu'on a l'intention de faire que ce qu il a été effectivement réalisé. » Ainsi, en notre époque de planisme à outrance, où chacun, sur une route fort rude, chemine nanti de plans, de conceptions, de formules arrêtées. de prograrr,. mes stricts comme le fil du meilleur acier, ill convient de taire ce que les colonies préparent pour servir enfin les intérêts de la Métropole 1 Elles n'ont jamais travaillé que pour ellesmêmes, pour leurs cadres administratifs, pour l'aménagement de leur personnel, pour la sécurité de leur carrière et de leur retraite. C'est donc cela qu'il convient de représenter au peuple nous placerons ainsi en pleine lumière les soins pieux qu'elle a prodigués dans ce sens. Cependant, nous ne jugeons pas, comme ce charmantcommuniqué, que la u grande œuore coloniale soit pour cela bâlie. Elle l'est certes, à peu près à la pérfection. sinon dans son esprit, tout au moins matériellement, au seul point de vue administratif. Hors de cela, c'est une baraque vide, et qui ne sert à rien.

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":.,: c'est pour addttlMrèfrs detlfiic ; aiDeuii, pour Deux lois ont été publiées ce matin dans la résistance physiÀ ce premier point est venu s'ajouter l'imaddition de fuchsine. Quand ^s'agit du vin, le le journal portante questiondes cultures complémentaires Vechamp est vaste, et l|jJraudw$l|B^b«itf. j La^prèmièrti" J lodifie l('.l'a 7 janvier loi du grandeur, c ettesolitude Cette sauvage paret intercalaires qui vont êtrepoussées plus avant Quant aux vins appellafitin,qu'an appelle'' :.1932;tendant assurer sauvegarde de la deux accablante, qui demandaient toutes fois communément « vins fins s et c viùstfoucMs x, production, des bananes dans les colonies, encore que les autre années, afin d'éviter tous d'apotres, les d'athlètes, ou des des âmes corps il va sans dire que beaucoup d'entre eux ont ac- pays de protectorat ou territoires sous man- risques, non pas de disette, mais de geme alielles jorestiers les ont connues et aimées quis leurs titres de noblesse à bon marché. Le dat». mentaire en période de soudure. Les questions Le gouvernement n'a pas encore conçu que pinard le plus vulgaire se pare impudemment de furent leur titre à dominer de toutes leur puisLa seconde supprime la taxe spéciale sur douanières ont fait également l'objet de concitadins, les pasblasons injustifiés sur 8 prélèvements, 3 ont les bananes desséchées farines de bananes férences spéciales en présence du chef du bu- l'occupation de territoires vierges ne requiert sance les bureaucrates, les donné lieu à poursuites, c'est-à-dire 37 crééepar la loidu 7 janvier 1932 et établis- reau économique, assisté du chef du bureau des pas seulement l'envoi de fonctionnaires, et l'efsants. Dans ce pays longtemps en sommeil, fort d'une éducation physiologique et sociale J'entends bien qu'il y a des fraudes plus ou sant un droit dé douane sur ces mêmes pro- douanes. qu'une crainte sacrée avait sauvé en ses saude distinnécessaire qu'il est d'une moins duits. graves, et A rinstant où M. Marius Moutet semble donnée aux peuples protégés, mais qu'il est vages profondeurs, que l'inutilité même le fait L'administration elles. fait, De l'état les bananes frais, entre à sans auprimiticité, guer ce pour désireux d'effectuer, aux Colonies, des réfor- essentiel de mettre parallèlement en valeur, et mise en valeur acaii épargné en sa qu'ailleurs, Là-bas plus régimes espèce de doute. détachées, de provenant en ou cune nos la forêt brusquement fut attaquée et jetée bas. de structure, qui seraient en même temps de viser ainsi à la parfaite balance de la compmes marché, il du colonies, moralisation parle de territoires lorsqu'on la protectorats ou sous mantabilité. Il administre notre maigre économie Du Feman Vaz à la N'Gounié, du lac Anenla taxe spéciale est réduite à 5 centimes, des réformes d'esprit, il conviendrait que l'ini- coloniale dat, fait certains ignorent du faut tenir compte ou que Owendo, du Muni à ghé comme il tiendrait un registre de tiative dugouverneur du Niger fut codifiée, et l'okoumé lac Gotriéf connaissent mal les règles de lamorale commer- par kilogramme. Raoul Monmarson. sous la hache. Des fortunes, d'écrou. Il ne crée rien, n'inspire rien, levée gémit D'autre part, la taxe spéciale de 60 centi- devint une règle générale. Ainsi nos préfets ne ciale. Mais, h cette excuse là, on pourra recourir n'éclaire aucune mystique. Et lui seul peut le de moins en moins, puisque le -service de la ré- mes par kilogramme, instituée par la loi du seraient plus seulement des préfets ils depression se met à la disposition du public, et l'in- 7 janvier 1932 sur les bananes desséchées et viendraient deschefs, dans toute l'acception faire. La Colonie est un Cercle Privé à mage de vite à venir dans ses bureaux chercher les rensei- farines de bananes, est supprimée, et le ta- du terme. An A rif des droits de douane applicable àces proprivilégiés, dans lequel on n'est reçu que sur gnements dont il a besoin, et les conseilsqui peuduits ainsi modifié kgs. Ex. est 85 présentation de sa carte, ou de son carnet de aux 100 vent lui être utiles. Ainsi se créeront peu à peu L'Algérie à l'ordre du jour du tarif, tarif général 0 Fr. tarif Vers un 112 ; et : chèques. Et c'est ainsi, malgré les prudes enles bonnes et salutaires habitudes. Et les conséLe chef de la délégation Lors de la réunion du conseil des ministres, quences de cet assainissement ne seront pas uni- minimum : Fr. 86. seignements de ce communiqué, que nous en Ces deux Jois portent la date du 28 juillet. rendre desIndes Une délégation turque vendredi dernier, à l'Elysée, M. Marx Dor- quement matérielles partout où le sentiment du en va se de encore à attendre que le peuple soit sommes traité d'amitié conclure et Syrie afin c'est beaucoup, quelle que soit la un appelé — en notre siècle où l'Etat tentaculaire -E L'Aga Khan sera nommé Chef de la délé- moy, ministre de l'Intérieur, a fait approuver devoir pénètre, la Syrie, couséTurquie d'alliance la entre et où il fait entrée. la police d'Etat décrets-lois porte des instituant à par son gationdes Indes britanniques à la prochaine signé après le fait tout, règle tout, inspire tout, écrase tout traité franco-turc du quence Mostaganem Sidi-Bel-Abbès Mario Routtan. à et et portant Assemblée de la Société des Nations. règlement du. problème d'Alexandrette et — à mettre en valeur ses propres colonies, subprélèvement, au profit du fonds commun des Sénateur, ancien ministre, entre le président dit Conseil syrien et le gou- ventionnées et entretenues sans qu'il s'en doute Président Groupe du Vitid'Algérie, d'un annuel de contingent douars t La Palestine par ses impôts 1 vernement kémaliste. cole du Sénat, Président 10 sur les revenus spéciaux des douars. de la Commission du Vin Le vignoble tunisien a conservé; son bel asdevant la Commission des Mandats D'autre part, à la suite des incidents qui ont Colonies, Président de aux pect et végétationvigoureuse malgré les Les débats engagés cette semaine à la Com- marqué, ainsi que nous l'avons relaté, la séance la Commission Internatio. quelquessa journées de chaleur de Juin. nale Permanente de la VU mission des Mandats sur la question palesti- du Comité Central de l'Office du Blé, ayant Les avis sont encore partagés iiculture. La sur l'impornienne se poursuivent normalement. Nos lec- à fixer, d'accord avec les représentants du goutance de la future récolte. faiblesse des ailleurs, le sorties, commentaire d'après certains avis, ne permettrait teurs en trouveront par vernement, le prix des blés durs algériens, et ÉLECTIONS, ÉLECTIONS de dépasser pas Wehbé dans le chiffre de 1.400.000 htetode M. Toufik la signature devant la carence des producteurs qui avaient et tous litres, obtenu Van dernier. quitté la salle. M. Georges Monnet, ministre notre rubrique a Terresétrangères Les cépages. table Madeleine, ChasseSignalons que le gouvernement irakien vient de l' Agriculture, a exposé les éléments relatifs las, sont en avance de dix quinze ¡ours," par Jacques Ervédis. Au Liban d'adresser à la S. D. N. une protestation con- àla fixation du blé dur algérien, compte tenu l'exportation des Chasselas bat son plein. La Un arrêté du Haut-Commissaire de France, vendange des cépages-primeurs est commentre le projet de partage. Après avoir rappelé de la récolte, du prix moyen des récoltes dans LA COLONISATION porter dans cet ordre d'idées à notre Empire. les 1911, 1912, des coeffi1913 pris en conformité des vœux qui lui ont été Cie. années pacificateur qu'il a joué de concert avec rôled'Arabie le roi et Et d'abord une question fondamentale: Nos ET L'APPORT DES EUROPEENS Notons, en ce qui concerne le marché des saoudienne et l'iman de Ye- cients de majorations moyens des salaires, des exprimés par certaines personnalités du LiColonies ont-elles besoin de Colons français produits, des charges et de l'indice pondéré du ban, comme d'ailleurs par le Président de la vins, que celui-ci demeure sans grande actiqu'avec l'émir de -Transjordanie, ainsi men, Si l'on veut bien tenir pour des moyens et Si oui, de quelle sorte de Colons et pour quoi République libanaise,. porte de25 à 60 le vité. Le disponible est payé de 10 fr. 25 à auprès des Arabes de Palestine et la responsa- prix de la vie. nombre des députés. 10 fr. 50 le degré avec licence, et de 9 fr. 75 non des fins en soi l'équipement matériel et la faire ? bilité morale qu'il a assumée en leur prometLe conseil des ministres a fixé à 169 francs Que des pays à civilisation primitive comme On se.souviendra' que la Chambre, ingou- à 10 fr. sans licence. mise en valeur d'un pays réputé « neuf » si, tant son aide, le gouvernement de l'Irak affirme le quintal — départ quai port algérien — le vernable, a été dissoute récemment, et que l'Afrique Sur la récolte à venir, les Prix de 10 fr. à autrement dit, l'exploitation est un Noire ou à développement économisalaire et de la Palestine le blé constituerait du dur d'un poids spécifique à prix partage des élections législatives fr. doivent avoir pro- 10 que com25 sont annoncés, selon les délais de non une justification, qu'est-ce en définitive que que retardé comme notre Extrême-Orient aient 1 l'égard de la populationde injuskilos kil. 80 pris 80 999. chainement lieu. retiraismi. entre et pays une la Colonisation ? Répondant avec Labouret besoin pour leur mise en œuvre de départ d'un tice qu'on ne saurait envisager sans les appréLe conseil a fixé en outre le montant des que nous citions déjà au cours d'un précédent apport de Colons Blancs, cela ne fait aucun hensions les plus graves. majorations mensuelles pour prime d'entretien article « la colonisation est avant tout une doute. L'Administration qui organise à sa maLa casquette ? le barème des bonifications En traitant de la question de la minorité, et prise de contact entre peuples différents dont nière la Colonie ne suffit pas à la coloniser il et réfactions à Il avait Certes Mais pensée, 1 généreuse, appliquer de francs fixé cette casquette base 169 la actuelleprix le et l'un,civilisé, prétend guider et transformer y faut des particuliers pour en créer, en déveune sous jui pourrait être arrêtée sur au pour l'autre, de juillet. s' place, le mois humaine. mémoire exprime primitif quant à ses mœurs ou ses mé- lopper ou en gérer les intérêts, en attendant que ment existante sur la masse des autochtones, acquise à nos méthodes. ainsi « Le Gouvernement de l'Irak croit fer- ————————— De son quartiergénéral d'Oran, le Mjmn Bugeaud mement que, si l'on veut assurer aux juifs le l'ordresuivant i C'est donc un conflit entre races et civilisa- thodes et à nos techniques, soit à même d'enrésultats de déclarala bénéfice permanent des tions opposées. « C'est un fait social » puis- treprendre des tâches par ses propresmoyens. gloire. patrie, l'amour l'emporte « Soldats l'amour de la la de chez sur vous de Pareconnaître il article, une tion Balfour, convient qu'il en.doitrésulter en définitive une modifi- dentAinsi que nous l'indiquions dans un précéCroyez que votre général a dû combattre lui-même avant de signer un traité de indivisée, indépendante occupant consacréprécisément à notre action lestine et sa cation dans les coutumes, la moralité et les mopaix avec les Arabes. Soldats ! votre rôle est changé.Au lieu de poursuivre les colonisatrise, européennes. les nations place parmi autres des de vie de l'une des deux parties en prénos Colonies ont donc besoin Nous avions annoncé, vendredi, comme Arabes, vous leur offrirez l'exemple d'un travail plusintellignent. Vous leur enseid'une immigration blanche qui soit surtout me d'ailleurs toute la presse, que M. Carteron, gnerez à faire des routes, à atteler des chevaux, & bâtir des maisons, à semer des ) 1immigration de cadres professionnels. C'est, diprairies, planter le mûrier et Ministre plénipotentiaire, Secrétaire général Pareille oeuvre requiert évidemment la colla- sions-nous, le planteur sur sa plantation, le du Gouvernement tunisien, avaitété appelé à Lorsque nous sommes aujourd'hui traqués certains Algériens, boration étroite du civilisateur et de ses sujets commerçant dans sa boutique.. l'entrepreneur succéder à M. Becq de Fouquières dans les crimes nous coloniaux, collaboration d'àilleurs qui chargent de les accablent les soit tous cette tous nous que sur son chantier, l'artisan dans son atelier, l'arhautes fonctions de Chef du Protocole et UNE NOMINATION lefait de lacontrainte ou qu'elle relève d'une tiste chés, lorsque noussommes,accusés^avobrodieusement d'une dans les écoles d'art créées dans certam. d'Introducteur des Ambassadeurs. adhésion spontanée. détente? expropriée,' spoliée, M. Albert Charton, agrégé de l'Université, population misérable de sans nos Colonies, etc. Dans M. aujourd'hui Annonçons Carteron direcla le problème départements, de Colonisation à il conque Il faut bien que les aspirants coloniaux de inspecteur d'académie des noua,/nou* pouvons nousreporter ordre Bugeaud, et devant vientdoncd'envisager le lui décliné qui ainsioffert. été information inter-colonial poste le la mission quelque branched'activité caractère > ^Algérie 1937 équipée,1certespauvre encore,mais tendue a qu'ils relèvent se teur du service Tunisie'et M. Carteron donc deinspecteur : aux colonisateurs nommé assignés les retourne possibilités documentation; de en comme mettent en effet dans l'idée que l'ère de l' avenVers le mieux-être, nous pouvons nousdemander a été nous avons failli à leridéauc développer chez les Colonisés. conseil de l'instruction publique au ministère; meure chargé du même poste, Délégué à la et ture est finie — que la période héroïque est la tracée. tâche qui ainsi de France Tunisie Résidence générale insnous C'est nommé double point de vue à ce et en que nous nous clôse., et qu'il faut désormais aux Colonies en remplacement de M. Crouzet, Algériens QU?U appartient de Mais c'est sans doute du Gouvernement général tunisien. Secrétaire publique. placerons-Dour é tudier qu'il convient l'instruction aux d'ap- des hommes de rendement olutôt que des homM. pecteur général de ce

cette foret propar fonde comme le mystère du Monde, ce cri d'amour, ce vœu qui ncus grandit, Français, et Obéissant à ce rinous sauve de nous-mêmes diculemaisnécessaire, à ce puéril mais touchant élan, nous fermons un instant notre pensée à ce qui nous entoure, pour la porter sur des paysages familiers, gravés en nous autant que nous vivrons, et nous voyons les rivières et les lacs, les cases et les clairières, l'homme formidable et minuscule, Booué et Achouka, le lac Goleu et la barre des Portugais, les rapides et le lac Azingo et tant de bois, et tant de luttes, et hnt de solitude et tant de nuits ardentes, et déjà tant de morts !

la Société des Nations

officiel. à la

jw..

)

Conseil des Ministres

traité turco-syrien

Belle situation du vignoble tunisien

Comment construire l'Empire

».

L'Edifice humain

)-.-(

M.CARTERON

•>*< An Ministère des Colonies

ne quitte pas la Tunisie

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l'olivier.»

civilisée,

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met d'audace, des hommes de métier plutôt I l'indigène etvivre, d'une aide immédiate, proquedescourtisans de la chance. \x tempe des longée sur-plusieurs années et que rembourseconquistadores ront largementdansl'avenirsespropresréalisaCes cadres professionnels nécessaires à nos tions. Cetteaidefinancière, fournie par ta Médomaines d'outre-mer, la Mère Patrie est, nous tropole (nousinsistons sur ce point) doit se troul'avons dit, en état de les fournir Ces volon- bler d' une .aide médicale. Le colon français taires ne manquent pas — le nombre de nos cM. étant en définitive un produit de choix et un produit droit (outre à l'outillagç) à la meurs. suffirait d'ailleurs à illustrer cette propo- visite rare asoins gratuits du médecin. Ceux et aux sition qu'en dépit de sa situation démographifameux qui d'intelont vécu comme nous sous que, la France a un surcroît de bras et ligences à utiliser dans tous les domaines pos- « ciel du Tropique » et qui ont peut-être vu mourir autour d'eux trop de « Blancs nécessisibles d'activité. comprendront. Est-il admissible que possédant le second teux, nous EmpireColonial du Monde, elle nourrisse sur Quant au reste, nous répéterons que les suggestions précédentes ne sont point du domaine son propre territoire et aux frais de ses contri- de la buables des travailleurs inemployés pour qui pure fantaisie : elles sont dès à présent réalisées et mises en pratique sous l'Equateur cet Empireoffre à la fois les espérances les 1 plus belles et les tâches les plus urgentes ? par les Belges. Jusqu'àpreuve du çontraire Non, évidemment. nous nous refusons à croire que la France aie moins de ressources financières, moins de sens Ici encore, il convient d'incorporer l'Empire des réalités et moins de capacités coloniales qu: de la Nation besoins intérêts comme aux aux petite et vaillante voisine du Nord. les Français comprendront mieux l'intérêt des 5a

UjeonveDtionsIjerabandons 3. M.,Sidj Mohamed

estpassé.

au Maroc

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publiée

MôKàinetf, sultan

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Vie

Affectations Quotidienne

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qui avait quitté Nice pour Marseille le 30 juillet, est arrivée le même soir à Marseilleoùelle s'est embarquée le lendemain matin sur Koatoubia: Le général Noguès, Résident général de France Maroc, était venu de Châtel-Guyon à Marseilleafin de saluer S. M. Sidi Mohamed à son départ de la terre de France. Lundi le Kouioubia a escalé à Tanger, à 1 l'heures du matin. Le Sultan du Maroc aété salué par des- salves des- navires de guerre anglais, italiens et français. S. M. reçu à bcrd le Mendoab. lecorps diplomatique, les autorités civiles et militaires et les corps constitués. Une foule énorme d'indigènes a fait un accueil enthousiaste au chef de la maison marocaine. Le Koutoubia a levé l' ancre à 17 heures, et est arrivé mardi matin à Casablanca. S. M. Sidi Mohamed a regagné Rabat dans le courant de la journée.

Nominations ENA.E.F.

: '¡

M. André Lanata. administrateur de l"C -i DANS LA LEGION D'HONNEUR Nous avons brièvement annoncé; vendredi, classe, retour de congé, a été nommé adjoint la signature de la convention franco-anglaise M. Tixier, inspectuer général de première claschef du département de l'Estuaire, en au élevé à la dignité de grand remplacement de M. Bonin, administrateur de se des colonies a été par laquelle il est mis fin aux capitulations officier. françaises à :,. 3° classe. M. l'aut Oudaille, viticulteur à Ain-Taya (AlCes capitulations avaient été admises et gérie) a été nommé chevalier de la Légion EN INDOCHINE d'honneur par les soins du ministère de l'agrireconnues par un traité signé à Zanzibar le 17 lieutenant du Amédée, 19° Julien le Louis-Philippe M. Léon novembre b 1844 durant qe M. de Peyrimhoff, conserroi culture, entre nov ém re coloniale, valeur des d'infanterie eaux et forêts, en retraite, domicilié Français », et le sultan de Régiment mixte a été à Alger était « empereur,des promu officier. Mascate dépendances. nommé chef du poste de Nha-thuoc. LE CINQUANTENAIRE DE LA MISSION Ce réeime avait été pratiquementabandonne —————————— DES FRERES DU SAINTESPRIT par échange de lettresentre les gouvernements Mgr Grimault, évêque de Sénégambie, a céléfrançais et britannique les 13 et 18 mai 1904. bré dimanche à Thiais. le cinquantenaire de la le gouvernement français ayant accepté alors NOMINATION mission des Frères du Saint-Esprit. la juridiction des tribunaux anglais pour ses M. François Dnurel, élève administrateur, a A TABLE 1 ressortissants à Zanzibar. Il avait de même , été nommé administrateur-adjoint de 3« classe. Le dîner mensuel de CILa Canne à Sucre Lisupprimé la poste française. ————————— bre ———————— travailler. d'y quiréunit premiermardidechaque Colonies lotsauon leur permettra Cet échange de lettres ne portait toutepas Dira-t-on mois les originaires de la Martinique, a eu lieu Dieu merci, la place ne manque pas sous le pour conclure que nous faisons la fois renonciation définitive de la France au mardi au restaurant lA Brune, 42. avenue de la grand soleil de l'Empire ! Nous régime des capitulations à Zanzibar. Cette Motte-Picquet, Paris. part trop belle aux aspirants coloniaux reLA REUNION A Office du Colonat dont L Seulement — et nous insistons sur cette res- ne le croyons pas. nonciation résulte de la nouvelle convention. mission FoureauQuatorze survivants dt ————————— président de la Cour Lamy, Hamel, du André M d'acd'énumérer petit les d'exporter samedi réunis. moyens Tout en faisantdroitaux demandes de la au restaurant du triction — il ne s'agit pas au nous avons tenté nommé Chef du service judi- pavillonsedesont été d'Appel a des l'Algérie l'lie à amicaL Cygnes, en un bonheur, sans sélection, -sans direction et sans tion peut répondre des avantages qu'il accor- Grande-Bretagne à cet égard, l'accord- préanniversaire déjeuner et soutien, tout ce que la Métropole peut compter dera par la sélection préalable des hommes ap- voit, 'enfaveur de nos ressortissants français à M Henri Darsières, conseiller A la Cour d'Apdu Autour Reibel étaient groupés le général pel a été nommé Procureur général. EN INDOCHINE Guilleu, le docteur de désoeuvrements en quête d'aventures ou pelés à bénéficier de son activité. L'enquête Zanzibar, et notamment nos protégés comocaporal Bonjean, le caporal Président llaller qui assista le commandant nommés provisoirement Ont été colonisaaptitudes majorité La professionnelles, les tMmy à ses les capacités riens qui donnent la d'appétits en mal de satisfactions. sur ces ressortisde St-Etienne : M. derniers instance Continuant Châtel, de M. RésiTribunal 1™ du tournées, le sercaporal Ménage. le moments. ses tion, si elle suppose des bénéfices légitimes physiques et la moralité des candidats au dé- sants, un régime parallèle à celui des ressor- dent supérieur André Ferrev; et Procureur de la République gent de Monstur, te général Rondenay, le généTonkin, s'est rendu le au de part, ne doit pas être impossible à organiser. tissants britanniques au Maroc. près le tribunal de 1" instance de St-Denis : ral de Chambrun, Fontensau venu d'Alger, pour ceux qui l'entreprennent, exige aussi leur juillet la de Kiênan, dont 13 dans province M. René Emmanuelli. Simultanément à Paris et à Londres, a été Kleitz venu du Maroc, Leroy venu de Guinée. le part un apport moral, un apport de civi- Nous comprenons très bien (et sommes d'aille Haiphong. port est faicapitaine de Thézillal, des spahis sahariens. ainNation exiger) la sant leurs les premiers à publié hier au soir le texte des accords interveDANS L'INDE lisation. que Le Sud, M. Châtel le 22, si repartant vers que MM. Repiquet, gouverneur général honoles frais de premier établissement, les fonctions pris Il faut que les colons soient, fût-ce inconstitulaire, Falgayrac, M. ses a raire et Bernard. Ninbinh de limitrophe choisis qu'en fonction des Les gouvernementsdes Indes1 britanniques traversait la province d'Appel. Il a été nommé Cour de la Président de ciemment, des éducateurs dans leur partie et colons ne soient CHANGEMENT D'ADRESSE de permettre offrir. Encore une fois de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande ont de l'Annam. qu'ils garanties provisoirement chef du service judiciaire. peuvent appelés qu'ils l'influence à sont exercer Résident D'autre M. Graffeuil, que supépart, s'agit pas La Caisse Nationale des Entrepreneurs de tra. il à quelques favoris maintenant apporté leur adhésion à ces accords. autour d'eux sur l'indigène se traduise finale- dene le Hué juil19 rieur Annam, rentré à est vaux publics de France, d'Algérie et des Colofaire un beau voyage ou de tenter un beau en Il faut retenir des pièces annexes de la conbénéfice dans et, notre ment pour nies (congés payés) a transféré son siège à Paris, pays par un let, après avoir accompagné le Gouverneur la région, par un relèvement matériel dont ils risque. 11 s'agit de créer des métiers et des mé- vention, qui comprend vingt-six articles, un général 21, rue Chapon. tournée dans les provinces de viables. en sa la échange de lettres du revision tiers favorisés. annonçant les premiers à être du HONORARIAT seront reste Ban-mé-Thuot, de Pleiku, de Kontum et penHORS DES CHOUX Il est d'ailleurs une institution de sélection Traité de commerce de 1856, qui feral'objet la Faculté de En résumé, il faut exporter aux Colonies une 'Professeur à Poujol. M. ancien Dalat. dant S.M. l'Impératrice d'Annam a donné heuson court séjour à entre la GrandeMédecine d'Alger, a été nommé Professeur honomain-dooeuvre qualifiée, une main-dœuvre rigoureuse en même temps qu' un organe prati- de très- prochaines discussions reusement le jour à une princesse. La mère et chérifien. On raire de cette Faculté. choisie, et par contre, une main-d'œuvre diri- que d'expérience quant aux climats et à la vie Bretagne et le Gouvernement l'enlant se portent bien. ( > coloniale en général, dont il serait tout à la envisage que le nouveau traité de commerce gée soutenue. CARNET BLANC fois aisé et peu coûteux d'utiliser les services : sera basé sur la réciprocité. Sélection, utilisation. soutien ceci relève c'est D'autres documents ont trait aux privilèges M. Maurice de Mac-Mahon. Duc de Magenta, l'Armée Coloniale. L'Armée qui a fait EN FRANCE essentiellement d'une création inlassablement actuellement officier aviateur au Maroc, épousebénéficient anglaises qui du traifondatrice d'empires et des missions POUR L'A.O.F. le 25 août réclamée par ce journal et que nos voisins bel- ses preuves çomme ra au Château de Sully (Saône-et-LoiMarseille mardi Par Mariette Pacha arrivé à de coloniaux en tous genres, a tement de la nation la plus favorisée sans pourpépinière la de Caraman-Chimay. rc), princiisse comme bénéfice de Peltier, ingénieurs Lons-Depaquit et MM. orges ont d'ores et déjà réalisée au possibilité de recruter, d'acclimater, et de tant être assimilées aux missions françaises. Un matin, a débarqué venant de Beyrouth,. M. dinaires de 3° classe des ponts et chaussées qui la leur Congo un office du CARNET DEDEUIL protocoleréserve aux sujets britanniques l'éga- De Martel, Haut-Commissaire de France en ont souscrit l'engagement de servir six ans aux C'est d'ailleurs sélectionner futurs colons. de Ici encore nous ne pouvons nous égarer dans lité prévue M. Meyre, Président d'honneur de la Fédécolonies, ont été nommés ingénieurs princisont rédigées ses affiches de par l'acte d'Algésiras, en ce qui Syrie et au Liban. les détails d'organisationqui seraient du ressort dans cesens que Marocaine des Mutilés, anciens combatration général des du cadre traclasse, paux de 40 Engagez-vous Rengagez-vous concerne propriétémobilière et immobilière, propagande tants et victimes de la guerre. est mort à Casales affectés plus « colonies être volonté des bonne publics — d'hommes d'Etat de pour en vaux en- dans l'exercice des professions industrielles et comcoloniales 1» blanca lanuiide dimanche lundi. dans troupes A.O.F. Bornons-nous à de compétence. poser core Que s'était engagé en 1908 dans les tabors maroMais si d'ores et déjè l'Armée a compris et merciales, la navigation et le régime fiscal. ) quelques jalons, à émettre quelques Lapalissa—————————— cains de Moulay —————————— lIofid. Civil en 1914. il voulut les partir au front aven les troupes marocaines. EN A.O.F. des quant aux principes de recrutement et dem- réalisé son rôle d'éducatrice aux Colonies, les jeunes Sous-lieutenant, il encadra les troupes qu'il pouvoirs civils n'ont pas suivi plois M. Mahé, Ingénieur en chef adjoint à l'Insn'ont aimait. et les conduisit au feu avec un rare exemple, spéciaux engagés par DANS L'INDE 1° Création dans chaque Colonie d'un Ser- gens, Le 5 mai 1916 devant Verdun, à FleuPublics, général des Travaux de courage. d'oupecteur trouvé d'emplois sur. ces terres pas d'en rie-sous-Douaumont, deux sections contre-attad'Inventaire mission réayant Oice l'A.O.F. débarqué à Cotonou, a gagné le M. Auguste Prosper a été nommé provisoirepour dont on leur avait vanté la grandeur et quèrent. L'une, commandee tre-mer bepar Georges Mercié, les pertorier les ressources, les manques et Haut-Dahcmey par la voie ferrée. Il était ac- ment notaire à Mahé, en remplacement de M. directeur de ta Vigie Marocaine, fait entrevoir les prestigieuses possibilités. Le qui fut tué, Gopalin décédé. soins Lescanne, L'Intérim de M. l'autre Meyre M. dans visite François. Yvon Delbos qui, blessé, désorcompagné par cette Haut-Commandementet les colonels de bonne par (—————————— mais aveugle, passait 26 heures entre les lignes. Travaux publics DahoDirecteur du des 3° Tenue à jour dans chaque Colonie et volonté sont heurtés au mur de l'indifférence i. Durant l'absence de M. Yvon Delbos, mip. Son œuvre de solidarité au Maroc,après la se question, du Dénin-Niger. Il s'est ensuite service du Réseau suite de et en administrative et à l'hostilité intéressée comme aux travaux Affaires Etrangères, des Pamey nistre qui quitté cerguerre, fait que tous ceux qui le connurent por. a de Zinder d'une liste des activités à pourvoir plantations, taines»gens, voire des grandes ~frimes dont 1in- ris Niger, est rendu à monté tent aujourd'hui douloureusement son deuil. et quelque temps, en congé, l'intérim des au ---pour M.Sauvan,quiappartenaitauxjuridictions A LA REUNION industries, artisanat, commerce, transport, etc. térêt est trop souvent de maintenir la Colonie Affaires étrangères assuré par M. Camille Agadez. françaises du Maroc lorsde la création des Trisera Fin juin, et début juillet, le général ViLe Docteur Déramond ayant démissionné de bunaux 3° Adjonction au Service d'Inventaire et à en état d'obscurantisme économique. Chautemps, Président du Conseil. 1913, et qui prit sa retraite il ira en commandant la 3e brigade de l'A.O.F., ses fonctions de chirurgien de l'Hôpital Félix trois ans comme chefduBureau lui subordonné d'un Service d'accueil chargé Faillites de Un OfficeduColonat tel que celui que nous gnon, Guyon, le Docteur Achille Berg a été nommé Casablanca.vient de mourir après des douloureu. —» Dahomey militaires du les formations inspecté leurs demain introuverait nouveaux arrivants d'interroger d' une interrogef" préconisons auraittrouvé et a sur chirurgien titulaire. se maladie.Sous saluons avec émotion notre A fa cofnmîssion d'en Côte de scrupuleux l~~ les plus diriger actifs, de diriger les conséquence ée plus et les et tentions et en c ns uence sur en eux compagnon de Marrakech Dar-Harrabaen 1917, » n' est les lieuxfp.vorab&.à,,l'activité<W*Hs»?,.pro- les-plusindépendants desrecruteurs. qui à la soupe du soir poussait à pleine gorne vers les étoiles de chaude:, chansons. h.: posent' et sontcapables d'exercer peut-être pas encore troptard pour y songer. Les obsèques de M. Rondet-Saint ont été 4° Création d'un fonds de Colonisation dam Les militaires, en tous cas, dont nous croyons célébrées hier matin à Paris, en l'Eglise Saint. EN GUYANE ENSYRIE-LIBAN Ta Métropole destiné à procurer aux émigrés les bien connaître l'opinion sur ce point, sont prêts cier François-de-Sales, de Légiond'honneur, M. Rondet-Soint, grand-offiOù il est question de gros sous ils compris dont de L(! collaborer M. cier à Jean la des ont Audras, vétérinaire-adjoint flion.,* de la 3e reçut les honneurs création à une œuvre Martel ayant quitté' Beyrouth ven- classe, M. de avances d'argent nécessaires à IlIi: détachement *du 218 militaires national. Nous Une d'avances 21- colonial le A.E.F., mis coloniat « régie des service l'intérêt, été congé par en en en a payement sompour plantations, des exploitations minières, des depuis longtemps la il prendra dredi France, congé où drapeau hors cadres affecté el musique. et trois années avec un pour pour en qu'en plaçant tel ou tel de menues dépenses » est constituée au Secrétamétiers, iers, eetc., tc.ë.. dont ils se pro- mes même persuadés L'inhumation a eu lieu à Flivécourt (Somme). Guyane la disposition M. Meyrier, à de l'administration de deux mois, secrétaire commerce!, des mét commerces, général, coloniaux la tête riat général de commission d'enquête aux chefs militaires grands Colol fonds d de C, Ce fon * Nous apprenons la mort de Mme Emile Son. Colonie. la pénitentiaire. de doter o o. nos posent s durant son absencel'intérim du HautTerritoires Colonies, Protectorat préconisons, Pays assurera de du sénateur-maire de Bastia. délégué de Colonat du l'Office veuve de et Nation que nous nisation reviendrait moins cher à la que Cc mmissaire. Tahiti au Conseil Supérieur de la France (TOv de mandat. le minimum temps sous le Fonds de chômage et il serait autrement pro- nousleverrions réaliser dans tre-Mer, lui-même décédé le 9 juin dernier. indispensable Le régisseur recevra, à ce titre, des avanmaximum d'efficacité cet ductif. et IN MEMORIAM Contrairement à ce qui s'est pratiqué jusqu'à outil de notre œuvre ces, dont le maximum est fixé à 3.000 fr. et A MADAGASCAR imputables sur le crédit extraordinaire inscrit au Une souscription organisée par notre confrère présent il convient d'admettre en effet que le Jacques Ervédis. (à suiore.) M. Bouillat, pharmacien-commandant des le Nouvelliste de la Guadeloupe pour l'érection M. Lalande, conducteur des Eloi principal budget la du Conseil de présidence la pour Français qui s'expatrie aux Colonies peut et travaux agricoles en A. 0. F., a été nommé troupes coloniales hors cadres, a été nommé d'un monument à la mémoire de son fondateur, d'enquête dans les d'ou- ingénieur-adjoint commission territoires qu d'argent,. démuni de 3" classe, et demeure en pharmacien-chef la pharmacte de l'hôpital M.Adolphe Lara, est toujours Ofwerte; les fonds même doit être et Voir depuis le a Annales Colonialesles (1) tre-Mer, lui-même le ti juin dernier. principal indigène de Eefelatanana. A O. F. tre-mer. besoin pour débrousser, planter, créer, payer 11 juin.

Zanzibar.

) Visite en leurs Etats

les Administrateurs

Chez

Dans la Magistrature

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nus. j'

»,

I )

Chez les Universitaires

Arrivées

Colonat.

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danslesterritoiresd'outre-mer

——

outre-mer.

EN INDOCHINE Le journal l'Humanité a publié avant-hier lt télégramme suivant : Saigon, 3 août. — De multiples arrestarédacteursdejourtions degérantset lieu. Ils ont été Ind'avoir naux viennent applide

la suite de l'arrestation en Indochine, de MM. Tao et Thou. conseillers municipaux de Saigon, M. Francis Jourdain vient d'adresser une lettre à M. Marins Moutet, lui demandant cr son appui, pour être poursuivi luiA

même devant les tribunaux 0, conformément à la justice que l'auteur d'un délit soit puni M. Tao en même temps que ces complices et Than venant d'être condamnés à deux ans de prison pour des délits de presse dont l'un consisterait à avoir reproduit un article de M. Francis Jourdain paru en octobredernier dans un quotidien parisien.

AMENITES Z.'Eveil du Cameroun que nous avons toujours plaisir à citer parce que son Directeur, Eugène Schneider, est un ancien de la Côte d'Ivoire, et qu'il est depuis trente ans sur ta brèche coloniale, toujours ardent, toujours actif, publie le 8 juin sous le titre Il Com pressions ». l'article suivant

Nous apprenons de la meilleure source. de prenque le ministère des Colonies vient jeté la ont qui dre une série de mesures la de plupart chez consternation nos grands

confrères coloniaux de la métropole. La fusion des deux Dépêches » serait suivie d'autres fusions. On estime, rue Oudinot, qu'il y a beaucoup trop de journaux coloniaux en France, qu'ils font souvent double triple et quadruple emploi ,et quen définitive, les sommes rondelettes qui leur sont allouées pouraient être employées a autre chose. Le dispensateur des - fonds secrets. au.

rait réduit, dans certains cas, de

80 et 90 les subventions, ce qui. pour plusieurs de nos confrères, est un désastre sans précédent, en quelque sorte la fin du monde 1 Jamais ils ne s'étaient trouvés dans la situation de presque tous les journaux des Colonies, qui eux ne touchent pas un sou du Gouvernement servent la cause coloniale officielle. aide sans aucune Aussi ,c'est une petite révolution qui s'annonce dans le monde des journaux coloniaux de France; certains Il quotidiens se préparent à devenir hebdomadaires, et quelques hebdomadaires bi-mensuels. On ne plus de luxueuses éditions spéciales surverra pales yeux pier glacé, qui devaient coûter de la tête Et voici qu'on parle sous le manteau, et même à haute voix, des multiples organismes coloniaux qui eux aussi émargent. Et notre excellent confrère le Courrier Colonial ne craint pas de provoquer des cris d'indignation en écrivant en éditorial 1Est-ce que nous n'avons pas deux fois trop d'organismes tels l'Union Coloniale, l'Institut Colonial,laLigue Maritime et Coloniale. l'Académie des Sciences Coloniales, etc. Deux seraient tout-à-fait suffisants. Mais que deviendraient alors les hommes en mal de présidence, de vice-présidence, de secrétariat général ? .Effectivement, on se le demande « Que 1 deviendraient-ils

•

DE JOURNALISTES

culpés manœuvres subversives en cation du décret du 4 octobre 1927, de violation de la loi de 1881 sur la liberté de la reconpresse applicable à la Cochinchine,etSaigon. d'appel de la de arrêts cour par nue C'est une grave menace pour les journaux indépendants. Signé" : NOl/yen Van Dam. président de l'Amicale des journalistes annamites: Darrigan, président du syndicat de la presse cochinchinoise; Chêne, directeur paysan; Met. ter, directeur d'Agir; Fauquenot. directeur d'Alerte ; Vernier.directeurd'Indochine; Inde, Loye. Ayan. Gouget, Giaccobi, avocats; Padovani, secrétairf de la section S. F. 1. O.

Chez les ingénieurs agricoles

».

» «

» »

Ainsi, pour notre confrère, la presse colo-

niale n'est que la presse de la rue Oudinot 1 le Ministère des Colonies en est le propriétaire Nous en prenons à notre compte, aussi bien pour notre journal que pour notre Revue. Nous voilà bien recompenses,par les confrères que nous défendons, de nos sacri. ficesconsidérables, continus, consentisavec autant de foi que d'acharnement ! Si l'Eveil du Camerounavait, cette fois, un peu moins de hargne, et un peu plus de bon sens, il ferait le total des eugmentations que l'imprimerie et ses annexes ont subies de Ce puis treize mois : au total près de go papier. le le chiffre comprenant l'impression, départ, et l'application des salaires des journalistes et du contrat collectif des employés de Presse. L'éternel slogan des journalistes coloniaux de Paris vendus à l'autorité ou à la capacité financière du Ministère des Colonies, nous ne pensions pas le lire dans /'Eveildu Cameroun. Grand merci 1 Les fonctionnaires que nous sommes n'ont plus qu'à solliciter, du ministre qui les paye, leur intégration dans lès cadres administratifs. An moins aurons-nous"la sécurité desappointements mensuels, de la retraite, des vacances, et mériteterons-nous l'anathème dirigé Par nos confrè-

Chez les pharmaciens

NOUVELLES ARRESTATIONS

Ivoire. — •— INTÉRIM Chez les vétérinaires

-.( les Notaires

Chez les toubibs

Chez

Au Ministère des Affaires étrangères

;

Dans les Tfavaul publics

Déplacements

-.-.

res contre nous, qui travaillons à perte et sans répit, alors qu'ils ne blâment jamais tous ceux qui sont payés, retraites, honorés de loi. sirs, et ne font rien. EN

FAVEUR DESLEGIONNAIRES

Le Cri du Jour a été plus loin que le prince Aage; il y a beaucoup à faire pour les légionnaires, dans un pays qui ne fait pas assez d'enfants et qui a grand besoin de

nouveaux citoyen Quel meilleur apprentissage de la France que des années passées à risquer sa vie pour elle La naturalisation devrait. être acquise d'office à tout ancien légionnaire

M. Louis Thomas, qui fut durant la guerre, constamment volontaire, et dans des corps d'élite, que nous connûmes au Maroc bataillon du 2" étranger, EN TUNISIE lieutenant au prince de souvenirs Aage -du consacre aux Certainesmodifications tl!': textes réglant Danemark, chef de bataillon de la Légion passionné. Un article le régime de la Presse en Tunisie ont été étrangère, un article utile. apportées par un décret signé le 5 juillet Nous voudrions que cet appel soit entendu. 1937. Ces modifications sont les suivantes : Certaines naturalisations,parfournées, « Sera punie d'une peine de deux mois sont moins heureuses, moins dignes, moins & trois ans d'emprisonnement et d'une méritées, que celles sollicitées par deux téamende de 100 à 3.0) fr .toute offense diqualité moins recte ou indirecte par l'un des moyens prévus aux articles 2L et 26 du décret du «J'ai réservé. écrt le prince Aage, pour août 1936 sur la Presse contre S.A. le 6 la placer à la lin de mes souvenirs, une note Ministres, les Princes de sa faBey, ses qui résonne faux dans la marche franche de

la Légion.

« Je l'adresse, avec une requête particulière, à qui ae droit, espérant que justice

;

mille, les Cultes dont l'exercice est autorisé et toute attaque contre les droits et pouvoirs de la République Française en Tunisie ».

pulsion.

« Pourquoi tromper ceux qui vont se rallier la grenade ! En vérité, cesous la flamme defeuille, d'enrôlement ne méfut qui signe sa total pardon de la France qu'il rite-t-il le pas 1; va servir et qu'il veut revoir »

? prince Aageest parfatte-

La plainte du ment justifiée. Nous la transmettons au capitaine d'infanterie de la guerre, Edouard DaJadier, ministre aujourd'hui. de

la Guerre,

Notre- confrère, La Volonté Indochinoise,

de Hanoï, publie d'un correspondantoccasionnel, la suggestion suivante (13-5-37) :

Hanoi.,

Cher Monsieui.

J'ai lu avec intérêt vos « quatre volontés» au sujet du projet de changement des heures de bureau dans l'administration.

;

Lundi à vendredi inclus

De 9 heures à 17 heures, soit 8 heures de présence ininterrompues coupées par un repas de 3/4 d'heur-; pris sur place, soit 7heures 1/4 de travail Samedi de heures il 11 heures 3/i, soit 3 h. 3/4, on aurait ainsi

ainsi

1/4x5 =

7 h.

Samedi

36 h. 1/4 3 h. 3/4

Nous disposerions ainsi des heures froJ. ches du matin pour faire de l'exercice, el serions encore libres le soir assez tôt pour utiliser les dernières heures de jour. En outre, on arriverait au bureau ayant pris un repas léger, mai- normal. au lieu de tra-

à midi avec un simple café comme provision

vaillercommeactuellementde7h.1/2

de calories. Le repos de 3/4 d'heure à midi ou 13 h. se-

rait employé

sera rendue. L'article 31 du décret du 6 août 1936 es', « Voici noire corps d'élite, inutile, de le dire, n'est pas composé que d'anges purs, ainsi modifié Ilse recrute en partie parmi des étrangers, « Sera punie de la même peine la diffade famille très honorable — vi— souvent à raison de leur fonction ou de leur quael qui partent pour le bled vant en France, quelques àraison de leur fonction ou de leur quaafin d'y effacer erreurs de jeu- : lité, envers un ou plusieurs membres du nesse >. Français, un fonctionnaire Gouvernement « Aux bureaux d'enrôlement, on promet public, dépositaire ou agent de l'autoun aux « expulsés une amnis'ie et un pardon publique, rité citoyen chargé temporaire d'un serun pour la fin de leur temps de service. vice d'un mandat public, ou « Confiants, ils s'engagent. Confiants, ils ou permanent, un assesseur ou un témoin, reviennent, cinq ans apres. dans la métror à raison de sa déposition. » pole. pour être ruaement appréhéndés, Le paragraphe 3 de l'article 47 du même emprisonnes de nouveau, puis boutés hors des frontières. décret est ainsi complété « Quelle amère déception, infligée à des » Dans le cas d'injures ou de diffamahommes qui vécurent une existence diffition envers un ou plusieurs membres du cile, souvent héroiqut. sous les plis du draGouvernement français ,1a poursuite aura peau tricolore. Je citerai, entre autres, le lieu soit d'office et à la requête du Parcas d'un Tchécoslovaque qui passa huit anquet, soit la ral, soit à requête du Résident génénées à la Légion qui participa à de mulla de la à du Ministre français requete dans tiples expéditions le Rift. gagna quade Justice. Justice. » tre décorations, dont la croix de guerre des T. 0. E. (Théâtre des Opérations Extérieures). Il avait épotifé une Française et était VIVRE RATIONELLEMENT A LA père de deux,enfants. Eh bien,ce bon soldat subit à son retour à Paris la peine de l'exCOLONIE

Je ne suis pas fonctionnaire, mais comme l'entreprise qui m'emploie adopte toujours les horaires des administrations, la question m'intéresse ainsi qur mes collègues. A mon avis. les meilleures heures de travail seraient le" suivantes :

à une légère collation prise au bureau même. Qu'on ne nous dise pas qu'il serait imposble de travailler pendant les heures chaudes; on n'a pas pius chaud au bureau sous les ventilateurs à 13 h. qu'à 11 h. 3/1; ce qui est pénible, c'est de faire une demi-heure d* de pousse pour rentrer chez soi à midi, recommencer heures après avoir copieusement déjeuné Le système supprimerait la sieste, mais je prétends qu'on s'en porterait mieux et que le rendement serait meilleur.D'ailleurs est en usage à Hong-Kong, Singapore, Colombo. etc., ainsiqu'eh Indochine même dans les Banques de l'Indochine et Franco-Chinoimondesembe féliciter ses où tout C'est pourquoi je souhaite vivement de le voir un jour s'implinter chez nous.Mais que de vieux préjugés et de vieilles habitudes à vaincre J'ajoute que. pour fonctionnaires et agents indigènes, dont un grand nombre habitent en dehors de la ville, très loin du bureau. In suppression d'un aller et retour en pleine chaleur doit être un progrès pnticulièrement intéressant. Je serais heureu\ si vous vouliez bien apporter votre appui à cette suggestion, qui ne présente d'ailleurs rien d, n^irvnu.

à14 !

s'en

les

UN V!E['J( SPORTIF.

LA VISITE A MAHE

M. D'Estnillcnr-Oirmterninea publié dans le Petit Parisien le récit de son raid aérien

surl'Indefrançaise.

LevoiciàMahé(P.P.,4juin)

Toutleconseil municipal est là, et tous les notables. Ils parlent de leur petite ville

et n'en oublient pas pour cela la grande patrie qui les délaisse un peu. Depuis la dépréciation du coprah et de l'huile de palme, depuis le départ desbancs de sardines — un peu brutalement traités d'ailleurs, — les ressources de Mahé ont terriblement diminué. Sa principale production demeure le poivre; elle est d'environ 130 tonnes. Le meilleur client et je plus normal serait évidem« ment la France. iiini- celle-ci achète à l'Indochine. Et que peut faire lu petite Mahé contre la puissante colonie d'Extrême-Orient? Elle est donc oblIgée de vendre une partie de ses stocks à Tellichery, aux Anglais, à un prix qui n'atteint pas la moitié de celui que la métropole paie à l'Annam et au Tonkin. L'accord douanier de juillet 1918, signé à Paris a paralysé à peu près complètement les possibilités, économiques de llohé. Au profit de quels intérêts ? II est permis de se le demander 1 Et cependant, les revendications légitimes que l'on entend ici ne sont point proférées, comme on l'entendrait volontiers ailleurs, sur un ton de menace ou même d'âpreté — et Dieu Mit si elles seraient encouragées par d'autres — mais avec une bonhomie, une compréhension des intérêts et des soucis de la métropole que l'on voudrait voir partager par des possessions plus grandes en territoire et soi-disant plus civilisées.

NAISSANCES Indo-Radio, 36, bd Charner, à Saigon, journal d'informations radiophoniques, parait le samedi,

sur12à16pagesillustrées.

* La Mission catholique de Douala vient de faire paraître le premier numéro d'une petite publication mensuelle destinée aux indigènes, intitulée : « Le Cameroun Catholique Le Rassemblement populaire. feuille hebdodaire, directeur Auguste Elosel. LES CISEAUX D'ANASTASIE. L'Unité Libanaise, journal de parti a été suspendu pendant cinq jours pour avoir publié des articles jugés de nature à trouber l'ordre public. Al Ahali, d'Alep. qui avait déjà eu à subir les rigueurs d'Anustasie vient d'être suspen. du jusqu'à une date indéterminée. Trois journaux de Beyrouth ont été suspen. dus sine ilie : Saout ut Chaab, organe communiste; Chark et Sahikat, quotidiens. Toutefois, leslecteurs libanais ne serontpas privés d'informations :. une récente statistique dénombre 380 publications quotidiennes, hebdo. madaires el semi-hebdomadalres. dont 82 .pa. raissent régulièrement.

JI..

ENCORE ON

[-a l'oix Française, journal hebdomadaire Indépendant,

publié depuis trois ans à Hanoi la direction de M.Emile Tavernier, a cessé sous de paraître, tué, comme d'autres confrères indépendants, par les circonstances économiques.

Afrique duNord37 LES TRAVAILLEURS NORD-AFRICAINS MANIFESTENT DEMAIN A PARIS Le 19 juillet 1.500 nord-africains travaillant danslesindustrieschimiques, étaient rassemblés en un meeting à la Grange-auxBelles. Des orateurs de leurs corporations, du bâtiment et des métaux prirent la parole à cette réunion. Une motion fut votée, qu'une délégation-remit le lendemain àla Présiden-

ceduConseil.

Le directeur du Cabinet deM. Camille Chautemps. promit d'étudier.avec soin toutes ces revendications, d'ailleurs examinées déjà par le Haut Comité méditerranéen. Une délégation de l'Union des Comités de chômeurs était d'autre part reçue le 22 juillet,

parM.AndréFévrier,ministreduTravail

elle a protesté contre lés mesures d'exception qui frappaient, en matière de chômage, les

nord-africains.

L'Union des Syndicats de.la région pari-

sienne a ainsi pensé que les circonstances

étaient propices à l'organisation d'un nouveau meeting. Celui-ci aura lieu demain, à-15 heures, salle Japy. Tous lesb « travailleurs

coloniaux

y sont inviter. Des délégués de

province apporteront aux Parisiens ou BanJieusards le salut des Algériens. Tunisiens et Marocains de toutes les grandes villes de

France.

Une délégation sera constituée à l'issue de <e meeting et se rendra à la Présidence du Conseilafin d'y faire entendre, une nouvelle fois, mais plus pressantes, ses formelles revendications.

ALGÉRIE

MAROC

AU COMITE ALGERIE A. O. F. CEREMONIE A CASABLANCA La Commission des Transports et du TouPOUR LE TRENTENAIRE » risme du Comité Algérie-A. Q. F. a tenu sa Le « trentenaire Il du débarquement des deuxième séance Alger, le 17 juillet, sous troupes françaises à Casablanca a été céléla présidence de M; G. Mercier, président du bré dimanche matin au cimetière d'El Harok ,Conseil supérieur des Chemins de fer algé-

où reposent les premiers français tombés au Au cours de la discussion, M. Mercier a Maroc. A h. 30. le docteur Gieure, président des fait adopter par la réunion plusieurs motions Vieux Marocains èt le commandant Gaign, concernant notamment l'entente à établir vice président, accueillirent personnalités. .entre les Compagnies de navigation et les parmi lesquelles le doyen de la colonie franCompagnies ferroviaires pour l'établissement çaise, M. Philip, l'amiral Vallée, commande billets combinés, etc.; la. création de budant la marine au Maroc,- le général de la reaux de douane à Gao. Zinder et Niamey Baume, commandant la subdivision. MM. pour permettre le transport des colis postaux Courtin, chef de la région des Chaouïa, Sicre, 'à destination du Niger et du Soudan par les vice-président de la commission municipale voies,transsahariennes; le maintien, sinon l'augmentation, des subventions accordées et Bourquet. chef des services municipaux de Casablanca. aux Compagnies transsahariennes de transLe cortège imposant, grossi par les groupeport automobile et le renouvellement des ments patriotiques, rendit devant les deux contrats passés entre elles et les territoires monuments élevés àsela.,mémoire de ceux qui du Sud pour une période minimum de 5 an- tombèrent pour que tricolore flotte aux côtés du drapeau vert les soldats et les maHEUREUSES PERSPECTIVES AU M'ZAB rins. Une minute de silence, qui fut profon- Les décisions prises par M Le Beau, Gou- déiaent émouvante, fut observée. A l'issue de cette cérémonie, trois délégaverneur général de L'Algérie, pour donner à tions anciens Marocains, anciens Cols bleus, : lGhardaïa les ressources eu eau qui lui fai- anciens Légionnaires, ainsi que M. le génésaient défaut,vont transformer complètement ral de La Baume, se sont rendues au cimeila vie dans le grand centre dit M'Zab. tière anglais où une gerbe a été déposée par !. L'Hydraulique-Afrique.adjudicataire, lient l'Amicale des anciens Légionnaires, sur les en effet d'exémier un forage de 418 mètres, tombes des légionnaires tombés en 1907. dont le débit dépasserait déjà 100.000 litresjardin d'été quelques instants plus tard, heure.Ceforageremarquabletémoignede lesAuvieux Marocains se retrouvèrent. Audelà l'excellencedesprocédés Layne. -des morts, lessouvenirssedressèrent. Lecom{'C<l)) ,(it 'd'autant..pLu$promise.à desiVréaliGaign,vice-président de .l'^ssosations fé'fondas que III sécheresse estcette, mandant ciafjo»,;fijijl'liis'tpHqiie dcle événements de aimée à,.Gh"r.¡¡,{ihl; particulièrementdure/ les 1907 avec une netteté et une précision qui font cultures maraîchères .ct lescheptel se res- de discours une page d'histoire. sentent, eneffet, de 'l" disette d'eau. La ré- quison font de son discours une page d'histoire. colte des dattes est médiocre.Si est Cette évocation avait été précédée d'une aldésormais dispensée régulièrement, et en locution du docteur Gieure. Elle fut close abondance, la capitaleduM'Zab va enfin par une allocution de M. Morize délégué à la vivre. Résidence générale. Après quoi, les anciens du Maroc, qui ne retrouvent plus le Maroc qu'ils ont conouis ou connu, dans sonesprit comme dans son UNIFICATION DESTOURIENNE. visage même, se séparèrent, en songeant nue De 17 a 22 heures, mardi, sous la prési- l'échéance fatale commence à décimer leur dence et au domicile du Cheikh Taalbi. à la rangs.

riens.

les

nées.

';\';'"

l'eau

TUNISIE

Une ligue endeuil

devantla"hausseillicite" M. Rondet

Goulette, les comités du Destour et du néoDestour ont tenuune conférence.. La vieille formule s'est au .début assez violemment heurtée à la nouvelle. C'est que la vieille, conservée pure dans l'exil, intransigeante et' violemment nationale-tunisienne, admet difficilement les concessions que la faire pour ne point jeune fut contrainte périr, ou ne pas être comme son aînée, exilée. Mais l'accord se fit. Un 'manifeste a été rédige, qui est adressé au peuple tunisien,et qui, rendant compte de cetaccord, souligne la constitution d'une commission commune aux deux partis. Un -commentaire de cette fusion virtuelle serait inutile. Il semble que le Résident général ait. pris plaisir à jouer avec le feu. Les proscrits sont fort à la mode. De Tunis à Beyrouth, ils rentrent en maîtres, et donnent à penserà leurs fidèles, que le gouvernement français leur a confié la mission de préparer les voies de fa libération nationale, Ils dînent à la table du Résidentgénéral ou du Haut Commissaire. Ce sont les héros, et leurs années d'exil sont inscrites sur le livre d'infamie des gouvernements oppresseurs. .ET ESSAI DE SES GRIFFES PAR LA C.G.T. DE TUNISIE Pour protester contre les incidents de Metbhne, dont nous rendons compte par ailleurs, la C.G.T. de Tunisie a ordonné une grève générale de 24 heures. Cette grève s'est déroulée sans incident. La C.G.T. tunisienne vient de mesurer ses forces. Elle a dénombré sa puissance. Elle recommencera.

: Le Gabon,cecentenaire -Saint est mort et ;

Lesproduitscoloniaux Un des

premiersactes du gouvernementen

prenant le pouvoir a été d'interdire aux prix la possibilité. de s'élever. Le sort d'un Etat

ne devant, en effet, être réglé que par décisions d'Etat, on ne conçoit pas que les prix, fatalement tributaires des frais de fabrication et des lois sociales, puissent malgré cette charge formelle avoir la fantaisie de monter, de leur plein gré, sans ep demander l'autorisation. Après ce veto ~soiconel, le gouvernement s'est aperçu qu'il n'était pas le Dieu souverain, et que ses ukases sous la formidable pression des circonstances — travail au ralenti, production perlée, perte au change sur l'achat des matières premières, aménagement social des travailleurs — risquaient d'être sans effet. Il admet donc partiellement son erreur dans le Journal Officiel du 30 juillet, où un arrêté lève-l'interdit prononcé contre une nomenclature de produits répartis en dix chapitres suivant leur nature. Relevons, parmi ces produits dispensés de toute » autorisation préalable Il susceptibles d'être ainsi librement majorés

M; Rondet-Saint, Directeur général de la Ligue Maritime et Coloniale, est mort presque subitement, dans lanuit de lundi à mardi, à Dieppe, où il avait assisté dans la journée à une manifestation de la Ligue. C'est une figure assez étrange qui disparaît, ayant plié à sa volonté une grande Ligue nationale, faite des aspirations des jeunes Français. Il était parvenu à cristalliser autour de sa personne cette organisation de premier plan, et construisait sa propagande sur un plan un peu différent, sans doute, des buts mêmes de la Ligue en voyageant sans arrêt, à travers le monde, toujours accompagné de Mme Rondet-Saint. Il avait une plume abondante et sa signature flanquait par la presse et par le livre chacun de ses voyages. M. Rondet-Saint, qui avait accédé à une des plus hautes décorations de la République grand-officier de la Légion d'honneur — — laisse derrière soi une trentaine de volumes. Né le 6 août 1863, en Seine-et-Oise, licencié en droit, ancien élève de l'Ecole des Sciences politiques, M. Rondet-Saint était membre de

L'émouvant appel pour Bouet-Willaumetz qu'en 1S96 le Dahomey, 1910 le Cameroun, étaient loin de se comparer au Gabon, sans et le centenaire de 1939 présentement, ses Moyen-Congo Notre Directeur annonce, par ailleurs, lu parler dul'ont dépassé de cent coudées. Quoi lettre que nous avons reçue de M. Makaga voisines Djogoni, adjointdes services civils, eu retrai- donc proposer de mieux pour enrayer le mal, si ce n'est l'autonomiepure et simple? te.au

Gabon. : Par

En voici les passages capitaux

En marge de ce bref résumé, il faudrait avion, Libreville, 22 juillet. noter que le Gabon, qui avait joui d'une Cher Monsieur Monmarson, prospérité inusitée de à1896, a vu son J 'incline penser. que peut-être serez- mouvement commercial1855 s'accentuer à partir vous surpris de recevoir cette correspondance, de cette date puis regresser à. la suite des dictée dans un but de rendre justice à la effets du décret douanier de ISqZ, qui .remmémoire des marins qui, les premiers, décou- plaça le libre-échangisme contre le régime vrirent les côtes du' Gabon et traitèrent avec préférentiel; régime qui. dès lors, eut pour ses chefs; à la propagande à faire à propos conséquence un certain fléchissement provodu Centenaire et une demande d'autonomie qué par la nouvelle charte des sociétés du Gabon. concessionnaires du Congo Français (1898) et La population gabonaise, dans des vœux qui causa du tort aux maisons étrangères (anqu'elle formula et soumit à M. Reste l'année glaises notamment), contraintes de fermer dernière, souhaitait qu'à l'occasion du Cente- leur portes laissé un état de choses naire qu'elle désirait voir célébrer avec éclat, mauvais souvenir dans l'espritayant des indigènes. un monument fût érigé sur une des places Depuis cette époque de déclin (1900 à 1903), de Libreville, en l'honncui île l'amiral Bouet- le pays sut se remettre de ses blessures en Willaumetz. réponse du chef de la Fédé- reprenant nouvelle ascension vers la ration estimant que cette commémoration prospérité,une ascension qui atteignit son apogée pouvait être réprise à une date ultérieure, ne par l'exportation de l'Okoumé de 1926 à viandes, miel et cire. I. —Conserves la satisfit point; raison pour laquelle de- 1928, pendant que la colonie jouissait de son II. Riz. semoules et sous-produits, pommande-t-elle votre concours pour qu'un appel autonomie consistant dans l'.administration quelques grands Conseils supérieurs. Il avait soit lancé mes de terre, manioc et dérivés. en France et à la famille de l'illus- de son territoire avec un budget adéquat, mais 111. — «"ruits conservés et en farine, graimonde. du la moitié parcouru presque tre marin à cet effet; ayant le pressentiment dont seulement une partie des ressources nes et fruits oléagineux.' IV. — Gommes et laques à l'état brut. La Ligue Maritime et Coloniale Française que rien ne semble se préparer pour glorifier douanières et forestières alimentait le budget le centenaire du Gabon, que l'on voudrait général d'alors. Certes, il résines et autres produits résineux exoti- perd actif représentant. plus lui 'Io;'t évident que ce son en laisser se passer inaperçu; les Autorités res- n'eût été cette servitude financière, ques. essence de térébenthine, caoutchouc en le Gabon latex, feuille et crêpe. ponsables redoutant un sévère jugement de la aurait pu connaître une ère de grande prosmédicinales, plantes à pardélaissement le internationale — Plantes presse pour périté en se construisant lui-même des routes, fum. tannantes et tinctoriales. colovictime riches des fut des plus dont une VI. à des bâtiments, tiges et filaments ouvrer. un marché. puis embellir sa — Fruits, nies françaises, sacrifiée sans raison depuis ville malheureusement, libres texautres chanvre, et coton il n'en fut rien Lin, — éclore de faire près quarante ses ans, pour réorganisation de conséquence des décrets tiles végétales, osiers, joncs, rotins, roseaux, de En Tunisie bamboux. autres sœurs de la Fédération, si bien qu'au- 1904 à 1910. A ces constitutions superficielles, Les dockers de Tunis ont déclenché une jourd'hui elle est devenue la dernière à tel malgré Vil. — Produits et déchets divers., sucre un semblant d'autonomie relative, sa Bourse de com- grève, dans la matinée dit 29 juillet, pour point que ni routes bitumées ni marché diene non raffiné (régime de de vassal du Moyen-Congo l'empêmerce). protester contre la présence, dans le port, de ce nom ne lui ontété concédés, à l'excep- situation chait de s'épanouir par suite de cette sorte IX. — Denrées coloniales de consomma- d'un bateau-citerne venu charger du vin, et tion de l'électricité qui illuminera ses rues d'hypothèque qui grevait ses ressources. Détion. — Café en fèves et en pellicules. cacao qui n'a pas besoin de leurs services pour em- cette année et de l'eau potable dont les canacapité dans ses finances par les textes préen fèves .poivre en grains, épices, vanille, barquer puisqu'il suffit de pomper. lisations fonctionnent depuis l'année derle décret du 30 juin 1934 vint mettre cités, Ulé. Lundi après-midi, à Metline, près de Bi- nière, tandis que 15 millions, et au delà. de fin à son existence en le transformant défiserte. des incidents ont éclaté aux chantiers ses ressources annuelles servent à faire vivre nitivement en région dont l'existence et l'évode la marine, occasionnés par une grève du et prospérer Brazzaville (Moyen-Congo), sans lution dépendaient désormais de Brazzaville. personnel des établissements Chauffour-Du- compensation aucune une seule route de péPouvait-on pareille absurdité concevoir mes. Cn camion de sable essayant de péné- nétration vers l'intérieur devant communiContre les tomates marocaines la plus prospère de pour nos colonies du l'ont grévistes chantiers, les dans les le Cameroun Mitzic puis le trer l'Agriculministre de avec quer par le Voici la lettre que Centre Africain, laquelle après avoir été la à coups de pierres. Moyen-Congo vient d'être entamée depuis cadettedu Sénégal alors ture a adressée, le 4 juin dernier, à l'assem- accueilli que. ni la Guinée, Le service d'ordre a invité alors les mani- deux ans à peine, et Dieu sait quelle route! la Côte d'Ivoire, le Moyen-Congo blée permanente des présidents des Chamet ]'Oufestants à évacuer les lieux. Ceux-ci ayant Revenons au Centenaire. Si le ministère bangui-Chari Tchad n'étaient conquis, devebres d'Agriculture protes- refusé, quelques coups de feu Ollt été tirés des Colonies, par la carence ou l'inhabileté nait aujourd'hui la dernière et, « Vous avez bien voulu me saisirdedesvotreen définitive, ré- par le service d'ordre. tations émises par les producteurs n'a depuis rien de représentants, 1889 la parente pauvre! Quel funeste destin que gion en ce Qui concerne les envois de tomates eu Un des grévistes a été tué. On compte plu- fait ses durable Libreville dans les de envià et le sien! provenance du Maroc. blessés. sieurs Interprouu'ainH installations Marine exclues), (les de la connaître accords été convenu dans faire J'ai l'honneur de vous rous De ces conceptions administratives succesqu'il pourrait servir l'occasion du de Centenaire sives, le dévelopement et la pénétration du En Syrie fessionnels du 3 mal dernier auxquels ont parplateforme la France de à essayer ra- Gabon furent contrariés puis retardés au proticipé les producteurs métropolitains. la date Rixes et bagarres sont fréquentes dans le cheter ses fautes passées pour votant un crédit fit du Moyen-Congo et du Haut pays, façon limite de cessation des expéditions marocaines en Hauran, particulièrement dans les villages demeure fixée au 12 juin prochain. l'embellissement de la Ville, la cons- de voir vraiment paradoxale. Jusqu'à cette date, les exportations de tomates de Nessib, Mouchaa, Tihé. Des blessés ont pour truction d'un marché et celle de routes carSi le Congo-Océanvoie impériale d'accès marocaines ne peuvent ttre effectuées que dans dû être transportés dans les hôpitaux de Darossables, deux ans seulement nous séparant sur le Congo, s'imposait, mais qui ne dessert la mesure où les envois algériens n'atteignent pas les quantités maxima prévues au p:an d'harmo- mas. Les gendarmes poursuivent les fauteurs de cetévénement. que le Moyen-Congo et l'Oubangui-Charinisationarrêté deconcertentrelesproducteun de troubles, lesquels tentent souvent de pasl'on les dépenses impépassait Si Tchad. a nécessité une lourde charge finanen revue métropolitains, algériens et inaiocains. riales de souveraineté consacrées au Gabon, cière, aucune raison n'impliquait de suppriEn tout état decause, les expéditionsdu Ma- ser en Palestine afin de leur échapper. roc no pourront dépasser des chiffres strictel'on s'apercevrait que seulement queloues mer d'un trait de plume la malheureuse colomentdéfinis et limités et seront réparties sur En Turquie • édifices tel que l'hôpital élevé en 1S96 (Ma- nie du Gabon, pour en faire une satellite différents ports de destination en vue d'éviter L'insurrection déclenchée dans le district rine), de petites villas de fonctionnaires édi- bonne à contribuer l'accumulation des marchandises sur un marservice des hypothèché déterminé de la Métropole. 1 Tourtakh par quelques chefsassyriens n'est fiées de 1926 à '1931, ainsi que l'installation ques des intérêts desauemprunts d'un chemin de Au surplus, atin de s'assurer que ces envols, nécessairement de minime importance, ne pour- pas encore réprimée, malgré l'importance- de Port-Gentil et quelques bâtiments sco- de fer ne lui profitant aucunement et ne trahommes — de l'armée turque envoyée laires qui n'ont aucune comparaison avec versant pas son territoire, cependant qu'elle ront entraîner une baisse des cours, il a été décidé que le Maroc devra cesser automatiquement 30.000 ligne de contribuait, néanmoins, Lpotif lanification de effet. ceux de Brazzaville, rentrent expéditions auxHalles ses dans le Centrales Paris de- à cet des tomates cas où te.de cours moyen Les inSIttfeés La. maternitérachetée compte. une société commandement de Brazzaville Pointerépression troupes Francs. et de Tes viendrait intérieur ~3CXT la forestière, d'aucune Noire, à selaisser amputerd'une bande de d'exploitation quoique conse nes Danscesconditionsje persuadé tententde les encercler -fe1#«>^boHbthrdemhits beauté, sert toutde-mcme à la satisfaction terrain constituant plus de deux départevous apparaitra. cqmme à moi-même, que ces d'artillerie de des populations. Au point de vue scolaire, ments. campagne et d'aviation. dispositions sont de nature à donner tous apaisements aux vouluvous faire l'interprète auprès de moi. «producteurs dont. bien l'enseignement ne dépasse guère le cours privous avez Signé J. Makaga Djogoni. En mer Egée maire depuis 1920, alors qu'il atteignait un Contre les vins marocains Une certaine agitation se serait manifestée niveau plus élevé au temps de l'AdministraSous ajouterons peu à cet exposé le Le syndicat régional des vignerons de dans les îles italiennes de la mer Egée. tion maritime (écoles confessionnelles). Gabon est à nouveau dote d'un gouverneur. l'Hérault, au cours d'une séance tenue à procédé, ci-dessus, La de l'énumération réforme Luvul est donc annulée, sauf en l'exclusion * italiennes auraient autorités A Les son siège, à Montpellier, a prêté au général Mi- dans le courant de juillet, à de nombreuses de quel avantage a bénéficié le Pays, si ce tes résultats actuels elle a diminué le Gabon Nous ajouterons peu à cet exposé le Gachel une oreille complaisante. Le général arrestations dans les iles de Kalymnos; Leros n'est sa mutilation de colonie à dépendance lon est à nouveau doté d'un gouverneur. La Michel, en effet, a élevé une protestation et Patmos. directe sous l'autorité d'un Gouverneur, à réforme Laval est donc annulée. sauf en ses contre les CI prétentions » du Maroc qui a Après avoir subi des interrogatoires sé- celle de vassal du Moyen-Congo sans moyens résultats actuels elte a diminué le Gabon demandé Pintroduction, en franchise, d'un vères, les suspects, dont plusieurs notables, d'action, niais assujettie à être servie par qui n'est plus rien qu'une terre vassale. important contingent de vin et de la totalité auraient été incarcérés sous l'inculpation d'es- Brazzaville et à coopérer à sa prospérité? Si M. le Ministre des Colonies voulait de sa production en raisins de table. C'estvraiment humiliant lorsqu'on songe pionnage. bien s'en occuper.

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Unémouvant appelde l'Indefrançaise

de vive voix nos renonçants, ces trois listes ont été ramenées gnés par le Gouvernement, dont 2 Européens la ville, et même à Pondichéry dans cer- également appelés à défendre la patrie, étant doléances à M. le Délégué général du Gou- à 2, par décret du 10 septembre 1899 et le descendants d'Européens, 1 brahamanique et taines écoles des filles, jusqu'en novembre donné qu'ils sont dispensés du service milinombre des conseils généraux réduit à 28; i catholique. taire obligatoire par application de l'art. q8 vernement de la République. 1931. de la loi du 31 mars 192S. i" Ire liste comprenant les Européens, les Conseil général représentation totale, 28; Statistique de la population républicain régime le cela Tout sous descendants d'Européens et les renonçants représentation des non castés, néant. A noter, d'autre part ce mouvement de de l'Indefrançaise Ob démocratique réunissant les conditions prévues par l'arrenonciations s'effectue avec une grande lenConseil local représentation totale, 42; représentation des non castés, 1 membre. 1 La population de l'Inde française est de ticle 4, du décret du 10 septembre 1899, Dans notre élément, nous comptons, teur. municipal représentation Conseil totale, Ces conditions sont a) Avoir effectivement Représentation proportionnelle. — Des sièchez les castés, des administrateurs 300.000 habitants environ d'après le dernier comme représentation des castés, membre. de renonciation; 212 non 1 des Services civils, des médecins, des profes- ges nous soient réservés dans chaque Conseil recensement qui date du mois de février. 15 ans Chambre de Commerce représentation to- seurs licenciés, des magistrats, des avocats électif proportionnellement au nombre de nos b) Avoir obtenu un diplôme dans les fade cette population sont des 1936. Les 89 tale, sujets français, parce qu'ils n'ont pas re- cultésdel'Etat;13; représentation des non castés, etdes jeunes gens instruits qui, ne pouvant électeurs, comme cela se fait dans les Indes anglaises. Nous nous permettons de suggérer noncé à leur statut personnel autrement dit tc) Ou avoir occupé pendant 5 ans au 1 membre. pas supporter le mépris, la médisance et la à leurs us et coutumes, malgré la grande fa- moins une fonction administrative Chambre d'Agriculture représentation to- calomnie des castés, se sont expatriés et cette proposition, bien qu'antidémocratique, judiou contre les iniquités des us et cilité que leur accorde la France pour se ciaire (tous les emplois administratifs tale, 24; représentation des non castés, néant servent actuellement les colonies françaises pour nous parer ne coutumes respectés par le Gouvernement convertir en citoyens français, (un simple donnent non plus droit de figurer sur la i" pour Pondichéry et Karikal. comme la Métropole. français. le notaire, le tabellion ou le liste) acte dressé par Assistance Publique, Comité de BienfaiDevoirs accomplis greffier suffit à cet effet. — Arrêté du 6 janEn dehors de ces vœux, nous nous confions d) Ou avoir exercé un mandat électif pen- sance : représentation totale, 12; représentavier 1819): du Gouvernement, convaindant 5 ans ou moins ou obtenu soit une dé- tion des non castés, néant. Pendant la Grande Guerre (1914-18), c'est à l'entière sagesse serions représentés dans tous Lorsdeson,passage Pondichéry, de la population qui sont citoyens coration française soit une médaille d'honque nous Les n Comité consultatif de Jurisprudence qui avons été mobilisés et incorporés cus renous les corps élus quel que soit le mode de repréété remis it M.Justin Godart le mémo-ire ci- français sont composés de neur (la médaille de la victoire n'entre pas présentation totale, 18 représentation des le plus nombreux, tués et blessés le plus sentation qu'envisagerait le gouvernement réhaut dont 9 titulaires et 9 sup- nombreux. dessous, attirantl'attentionde zo Européens et descendants d'Européens, en ligne de compte) et justifier, dans l'un et non castés, néant publicain. l'autre cas, de la connaissance de la langue pléants. chargédemissionsurl'élémentnoncasté au nombre de 1 %; L'horizon s'assombrit à nouveau; si notre française 2°Renonçantscastés, Total représentation totale, 353; repré- patrie est menacée — hypothèse que nous reîle l'Inde. L'exposé d'une situation délicate, ; Conclusion liste fait les sentation des mépris c'est 20 2e castés, comprenant de douloureuse de parfois la renonçants ci est tous encore castés, Renonçants non non ma3. poussons nos y 30 non — '9 inscrits sur la ire nste et les sujets français. En terminant ce court exposé, nous nous ~viirclaplusrespectueuseet Catholiques renonçants et non renonçants, nous qui ferons notre devoir au feu, alors plusdocude non castés compris Et avec les II astreints les castés, qui faisons Depuis cette époque les droits de renon- mahométans, en un mot, toutes les castes que aux ne sont pas mentée.Unne passansavoir un devoir de rendre nos respectueux dans les 89 0/o des sujets français, nojs forqu'ils ne sont pas hommages à quelques rares bienfaiteurs qui de -la population totale de çants sont totalement méconnus. Ce sont ces sans exception sont représentées proportion- mêmes obligations du fait cœur un sentiment .de justice à exercer, et mons les 20 la patrie, se sont penchés généreusement vers ce malindifférents du de droits voulons sort revendiquer aujournellement renonçants, à leur nombre, sauf LA NOTRE. que nous l'ons'étonneraquedepuis retouren l'Indefrançaise. de chez heureux élément la confort de vie jouissent le de d'hui au nom des nôtres tombés sur le Champ tout Est-il admissible que, dans les trois corps France de M:Ji,MinGodart aucunemesure d'honneur.. M. le regretté Gouverneur général Gabriel Historique du droit électoral élus de l'Inde (Conseils général, local, muni- soi. n'aitcléprise.S'aitété,tout moins, Angoulvant cipal), dont les membres sont au nombre de a créé spécialement aux non casLes Corps élus et notre élément portée ù notre Vœux Le gouvernement de la République a bien ;• tés de petites écoles de villages (Chérv) ap282, il yait un seul Conseil local et un seul Ce mémoire porte la signature d'ttn.cOM- youlu, d'un élan très généreux et à titrede électeurs inscrits, nous som- Conseil municipal pour représenter 60.000 les Dans 60.000 « écoles mixtes n. M. le Pour remédier à cet état de choses, nous pelées aujourd'hui l sellier local,M. Babilonne qui a quelques faveur exceptionnelle, donner le droit de mes environ 12.000 soit 1/5 du nombre to- habitants dont 12.000 électeurs, surtout lors- nous faisons, Monsieur le Ministre, un devoir regretté Gouverneur honoraire des Colonies Jiires à faire appel à la France il fut sur vote à toute la population sans exception. tal d'électeurs. que ces deux membres sont élus sur la pre- de soumettre à votre bienveillante attention Jean Lemaire a fait pour la première fois Les électeurs votaient d'abord sur 3 listes: le Iront, durant la guerre, et, si nos souforer des puits dans les villages des non Avec le système de vote actuel, il nous est mière liste par la bienveillance de certains les vœux suivants : castés. M. le Gouverneurdes Colonies Adrien venirs sont exacts, il a été blessé et il porte il ire liste comprenant les Européens et impossible de nous faire représenter aux chefs de partis politiques? la i1* liste. — Les renon- Juvanon Inscription sur les descendants d'Européens a fait ouvrirtoutes les écoles sans la médaille, militaire, M.Maugény, conseilLe tableau annexé donnera une idée de la çants astreints à payer leur impôt de sang, seins des Corps élus. exception enfants des deux sexes depuis à 2°2eliste,lesrenonçants; représentation dans l'Inde française. ler municipal et M. A. Francine, membre soient inscrits sans conditions sur la lro liste. le mois de nos « Une assemblée représentative, pour être novembre 1931. de la Chambre de Commerce, l'ont égale3° 30 liste, tous les sujets français. légitime doit reproduire avec leur proporLa seconde Rétablissement la liste. de 2e également Les Nous leurs méfait" — et coutumes et la bonne fortune de < us avons mentsigné. Chacune de ces 3 catégories d'électeurs tion tous les éléments du corps électoral sans liste prévue par ledécret du 26 février 1884, voir confiée la destinée de l'Inde française Nous formons le vœu que l'opinion publi- devait élire le 1/3 de la représentation dans que les éléments les plus considérables Depuis que le drapeau tricolore flotte sur article II, soit rétablie tout en maintenant entre les mains de M. le Gouverneur actuel que s'en saississe, et appuie le désir si hu. tous les conseils de la colonie (décret du 26 puissent faire disparaître les moindres Il a le sol de l'Inde, le Gouvernement respecte avec ses rigueurs les conditions de l'ar- Crocicchia, qui a réservé un accueil très février 1884, article2). Les électeurs des trois dit Mirabeau. main qu'ilexprime. législation écrite des Hindous des diverses ticle IV du décret du 10 septembre 1899, favorable. Nousnous la avons pleine confiance en ce listes pouvaient, à leur choix, élire des EuLes non castés au nombre de 60.000 qui classes, leurs religions, leurs coutumes tradi- nous donnant accès à la première liste. digne représentant de la France. Aussi son ropéens, des renonçants et des non renon- sont appelés vulgairement paria et offi- tionnelles de familles MEMOIRE REMIS à M. JUSTIN le de de Ces us but Il le « Dans et castes. mouve- succès dans les conflits entre les patrons et ne pas enrayer DELEGUE GENERAL çants tant pour le conseil général que pour ciellement « valanga- Il sont-ils représentés coutumes interdisent, et consentie. le ouvriers nous est une garantie incontestable sciemment renonciation à qui de comptons ment nous le conseil local et le conseil municipal. DU GOUVERNEMENT dans les différents corps élus 60.000 habitants, l'accès des pagodes sans même décret (10 septembre 1899), dans son de son souci pour le relèvement matériel et REPUBLIQUE Le -nombre des conseillers généraux était La devise républicaine « Liberté n, « Ega- exception, réservent un coin déterminé dans dernier paragraphe, édicte qu'une liste spé- moral de notre élément. PAR L' ELEMENT NON CASTE » fixé à 30. Nous, les non castés, comptions à lité H, « Fraternité », est-elle appliquée à ces les églises catholiques. On empêche ceux des ciale pour les renonçants sera créée lorsque Le geste humanitaire que notre gouvernecette époquedesconseillers généraux, locaux 60.000 dont la plupart ont mêlé leur sang à nôtres des aidées de s'habiller décemment et leur nombre aura atteint la moitié de celui [Renonçants et sujets français non castés) ment de la Métropole vient de faire en vous et municipaux, y compris des vice-présidents celui des Français de France sur tous les de se servir de l'eau des puits avoisinant les des non envoyant au milieu de nous pour recueillir Monsieur le Ministre, de conseil et des adjoints aux maires. villages castés. champs de bataille? Or, il y a 37 ans que ce décret a été signé. nos.humbles doléances, nous laisse espérer Ce nous est un1insigne honneur à nous Nos enfants n'étaient pas. admis dans les A cette époque, le législateur n'avait peut- une ère nouvelle de justice et de liberté, Conseil privé 14 ans plus tard, sur l'intervention des représentation totale, 4; l'élément plusopprimé la Société Hin- parlementaires pressés par la masse des non représentation des non castés. néant dési- écoles centrales des communes éloignées de être pas envisagé que les renonçants seraient attendueavec résignation depuis des années. Les résultais de la mission de M. Juslin Godard en Inde française, et en Indochine ne soill pas. encore connus, beaucoup de hauts personnages de là politique, depuis quelques, mois, Ulil. été chargés de missiun. (ju'onl-ils GII, qu'ont-ils retenu, qu'ont-ils fait aboutir ? Ces missions n'étaient sans doute que de.simpleinformation. Quand un homme d'affaires se déplace il arrête une règle nettement la conduite décision, de ses intérêts. Un écrivain, un journaliste, vu Ittàlecill, un homme, quel qu'il soit, ayant un métier et réglant ses actes afin (J'I'.ccrce/' pleinement son métier, réalisent 11 la suite d'un voyage. Il semble qu'il n'en, toit pas de même en ce qui concerne les chargés (le mission politique.

doue, de pouvoir exposer

;

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connaissance.

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DELA « le

renonçants.

jLa- Mer

Aviation 15 aviateurs allemands, 22 anglais, 10 belges, 1 grec, 2 italiens, 1 letton, 2 luxembourgeois, 11 polonais, 3 hollandais, 1 hongrois, 2 portugais, 2 suédois. 3 suisses et 6 tchécoslovaques, se sont envolés de tous les points de l'Europe, à destination du terrain d'Orly, lieu de rendezvous dimanche après-midi, pour le Rallye aérien international organisé à l'occasion de l'Exposi. tion. Une réception a eu lieu en la présence du

ministre de l'Air. Le lendemain, les concurrents ont visité le palais de l'Air,de l'Exposition. où ils ont été reçus parM.Laurent-Eynac, délégué général. Dans l'après-midi, une garden-partie fut organisée au Ctiàtenu de la Malmaison. résidence de Napoléon et de l'Impératrice Joséphine. Le soir, un diner eut lieu dans un restaurant de l'Exposition. Mardi matin les aviateurs ont été reçus l'Aéro-Club de France par M. de La Grande. président et le soir un diner leur fut offert par Mlle Deutsch de la Meurthe. présidente et les membres du « Roland Garros », groupement d'aviation privée de l'Aéro-Club de France et M. de La Grande, président et Ifs membres de l'Aéro-Club de France, au Club du Roland Garros. à Rue.

de là France d'outre-mer

-Le Journalofficiel de- (te matin a publié CONSTITUTIONS décret réglant trois arrêtés et 3 aoùt 1805. — Combat de la frégate La Sémil- un l'orga- B.A.P.C.0., Société Anonyme pour le Commerce lajfler commandantMotard. contreune frégate à) Le^'toncdur9^adin%libi>fet; nEcbte de l'Enseignement Continental et d'Outre-Merune corvette nisation anglaises (Philippines). Neet tionale de la France d'Outre-mer; Société anonyme récemment formée pour le UN NAVIRE S'ECHOUE. modalités du concours d'admis- commerce de toutes matières premières minéra. b) Les les et végétales et de tous produits de fabricasion; Le Maaskerk, navire de la ligne hollandaise Siège à Paris. G, rue Chrisde la côte d'Afrique, s'est échoué hier matin, c) Le programme des cours et le rè- tion de ces matières. ÎUO.OOO francs, en actions Capital tophe-Coloinli. à 10.h. 24, sur un rocher au large du Cap des glement des examens ; souscrites de toutes 200 Ir. en numéraire. PrePalmes (Cap Palmas). d) Et enfin le programme d'auteurs miers administrateurs 111111. Oscar Murguliès, à Les passagers ont été embarqués par les de questions coloniales de français, et slreet; Bernard impérial iiousp. South Londres, moyens du bord, et conduits à terre, le capieuropéennes le langues Paris, m, concours Weinberg, à avenue Henri-Martin: pour taine estimant qu'il peut seulement parvenir niégociant à Easthorn d'admission sections Adrlillr, Georges-E.R. en 1938 dans les à échouer convenablement son navire. Léon WeinWalden Court: (Angleterre), de administratives de l'école. Espérons que les passagers seront plutôt atRichard Oswaklo-Cruz: traub à Paris 10, rue tirés en Côte d'Ivoire, à Tabou, qu'au Libéria. )— - —————————— Blurnberg, à Neuilly-sur-Seine. 39, boulevard du

EPHEMERIDES

tin et Caldwellappartenanttousdeux au dépar-

LE RALLYE AERIEN INTERNATIONAL DE L'EXPOSITIONDE 1937

'-'

l' A travers0°_ les Sociétés

l'Ecole'. 1 Nationale

tement du commerce des EtatsUnis ENFRANCE Le général Denain, inspecteur général des Forces Aériennes d'outre-mer et commandant de la 5e région aérienne, a atterri à Villacoublay avant-hier, mercredi, aux commandes d'un bimoteur Potez 54. Le général Denain demeurera deux mois en France, et se rendra ensuite à Alger pour faire ses adieux, étant atteint par la limite A LA BANNE D'ORDANCHE Au centre national de vol sans moteur de la Banne d'Ordanche que dirige l'ancien commandant de l'Air de l'A. E. F., le commandant Quertiau, 50 élèves sont arrivés le 1er août. Un cinquante et unième s'ajoute là ceux-ci M. Celio, breveté C n* 1, et moniteur de vol à voile du Royal Aéro-Clubd'Egypte.

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d'âge.

UN REQUIN DE 1.0*9 LIVRES

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XXeCONGRÈS SIONISTE

Château.

L'INFLATION Société Française pour le Commerc* avec les Colonies et l'étranger Fils), (Anciens Etablissements David Gradis Le conseil a décidé dans sa séance du 4 aortt d'user de la faculté, que lui confèrent les statuts, d'augmenter le capital de 3 millionsde francs par l'éloission au pair de 12.000 actions de 250 francs. : l'Afrique du Nord Compagnie Coloniale de

(Colaf)

Cette Société dont le siège administratif est à Paris, 21, rue du Ponl-Neuf, porte actuellement. son capital de 2.500.000 fr. à 3.200.000 fr. par l'émission au pair de 1.400 actions de prio-

rité de 50a fr. chacune. TRANSFERT DE SIEGES Gray qui, jusqu'à préromancier Zane Sioniste s'est C'est le Congrès Le XX' liniilée rémardi responsabilité à ouvert société Nouvelle LE « LIEUTENANT-DE-VAISSEAU-PARISIl Compagnie Aérienne France-Algérie sent, avait péché les plus gros espadons et re- à Zurichpar un discours du Dr Weizmann, cemment formée pour l'importation directe de PRET POUR DES ESSAIS Compagnie Générale Aéropostale quins du monde, dans les eaux de Tahiti où, directeur de l'Agence juive pour la Palestine. cafés verts. Siège à Marseille,-'3. rue FrédérlcSUR L'ATLANTIQUE NORD fanatique de la pêche, il a une habitation depuis M. An600.000 fr. Gérant Le siège de ces deux sociétés vient d'être transSur la proposition du Comité, il a le lende- Chevillon.Capital Remis eu état, après son accident d'Amérique. de longues années. féré Gallo. dré au S,rue d'Artois, à Paris. l'hydruvion Latêcoere à Ii moteurs a décollé ses vient d'être battu de 13 Ii-. main élu M..Ussischkin, de Jérusalem, prérecord dernier Son DISSOLUTIONS 40 tonnes lundi pour un vol d'essai et a tenu Auxiliaire de Plantations vres par le Dr. Erik Fischer, consul danois à sident.cours l'air pendant 22. h. 30, avec le commandant Sydney, d'une longue intervention, le Dr Au qui a réussi, nonsans difficulté, à capSociété Coloniale de Gérance et d'Etudes Sous cette dénomination vient d'être consBonnot. Boissy-d'Anglas, pesant 1.049 livres, Une récente assemblée a prononcé la dissolu, qui est le Weizmann a fait l'historique de l'organisa- tituée à Paris, 12, rue une soturer un requin Après un changement de moteurs. il fera plus Elle francs. de cette société anonyme au cade 50.000 squale ayant jamais été pris à la tion sioniste depuis la guerre, et de la Pa- ciété au capital a pour tion anticipée incessament les premiers vols sur la ligne de ligne.gros 5.509.<Hxf le commission et fr., ayant siège à Paris, Zfc, représentation la pilai de objet la arrivé lestine. Etat juif. Il Nord Açores, Saint-Pierretout natul'Atlantique les est en par LA COURSE ISTRES-DAMAS-PARIS tous produits, matières rue de Rivoli.Elle nommécommeliquidateur LES PORTS rellement à la délicate question du partage courlngo concernant et-Miquelon, New-York, avec le commandant premières, marchnndises. Les premiers admi- titulaire M. Ernest du rtouret. à Paris. 16. rue Des quatre avions français engagés, deux se- Bonnot, le capitaine Retourna, t'adjudant-piiote déclaré notamment M. Franet Alger a nistrateurs sont MM. de Flers de Laboulaye, de Varize, et comme liquidateur adjoint Augusteront prêt à temps un Farman. avec un équi- Cassellari, l'adjudant-radio Emont, le premierLa commission anglaise propose un con- Thion de la Chaume et de Yoguë. çois Gouvgou, à Courbevoie, 5, rue Guillaumet, Lanata, Le maître mécanicien Le Morvun, les mécaniciens Le Journal Officiel du 24 juillet a publié un page d'Air-France Nous tingentement de l'émigration june. JSailly. Duff et Vautier ; et un Uloch, avec le lieute- Dessendit. Chapaton et Valler. Cassellari, Emont, décret approuvant la convention passée le 15 Société Française des Produits du Soja nous y OppoS)I)S ouvertement, absolument. nant François, capitaine Laurent, et les sous- Le Morvan et Dessendit ont traversé l'Atlanti- novembre 1935 entre le préfet du département La Séricicole du Congo Société anonyme récemment formée pour la Nous sommes prêts comme toujours à néofficiers Joly. Faure et Béchcr. Les deux autres que respectivement trois fois, neuf fois. une fois d'Alger et le président de la Chambre de Comfabrication de tous Droduilsd'alimentation et Une récente assemblée extraordinaire, tenue gocier avec les Arabes, à condition qu'ils spécialement avions, unAmiol et un Couzinel ne semblent et une fois l'Atlantique Sud. merce d'Alger concédant à ladite chambre l'exfève de à dater la extraits de produits . des a décidé la dissolution anticipée reconnaissent notre droit sur la Palestine. soja.Siège Paris,25,rueduGénéral-Foy.Ca- à Lyon.juillet divers ploitation engins de radoub dans de le M. Jules pas devoir être prOts h la date fixée pour le société.. cette de dernier, du 1" 1.610.000 KM EN SIX ANS La commission anglaise a fait une prodépart le 20 août. Neufs appareils italiens, les d'Alger. port été pital 150.000 fr. en actions de 250 fr. toutes Pruvuz. 50, nie Pierre-Corneiiie, ù Lyon, Tel est le record officiel sans précédents dans position sa actuelle, qui, forme Roumains Papnna et Cantacuzène. l'Anglaiis formes engins comprennent deux -7cs ne ^viCes de raen numéraire. Il a été créé, en outre, nommé liquidateur. rait être disculée. 1 eux conditions nous pa- souscrites Couston et l'équipage américain Mattern-Jones les annales du transport commercial aérien, qui doub, trois cales de carénage et une cale de haliénéficiain-s attribuées en rémunéraparts vient d'être célébré en Angleterre, de l'avion lage. raissent indispensables pour toute diseis- 3So à divers participeront à la course. Union Financière et Agricole Indochinoise desquels ligure de porteurs, au Bien rang 1931. tion Héraclès mis en service en peu poss.i .iilé d'installer Palestine la sion en La concession expirera le 31 décembre 1961 en CINQ AVIONS ITC BOMBARDEMENT Cette Société anonyme. au capital de 100.000 la société Les Aliments de Régime, à Paris, 2a, véhicules de surface, saut quelques navires & même la juif, celle de national trouver foyer et concession d'outillage temps un que administrateurs: REJOIGNENT LE MAROC Premiers francs avant siège à Paris, 28, rue du Mont.vapeur et quelques locomotives ont accompli un blic accordé par le décret du 3 juin 1933. pudeux millions rue du Général-Foy. place Palestine une pour en liquidateur est Bou5. Paris; MM. Ulysse Jarre, rue Gcrvox, à Christian Thabor vient d'être dissoute. Le Venant d'Istres, cinq avions de bombardement exploit semblable. Il nous est d'autant plus juifs. de jeunes décret autorise la chambre de le même MalesEnfin, Marceau, boulevard Paris; 156, Paris. à M. André Dupuy, à • troux, 7, avenue agréable de saluer l'Héraclès que nous avons emprunter d'Alger à de - L. 0. 206 ». quadrimoteurs Gnôme et Rhône, été. Paris. une somme Ussischkin, à et commerce président, M. adverStanislas Quant au lierhes.. Ferrée, industriel. 14. rue sont arrivés hier à MeUnès. après avoir survolé en 1935, son passager sur la ligne des 3.750.000 fr. en vue de couvrir les dépenses d'ou- saire ans. a Fontaine, du plan britannique, c'est-à-dire du par52, négociant, rue Baretzki, la Méditerranée en direction de Tunis et de là, Indes. Compagnie Coloniale de Navigation tillage des engins concédés. tage, affirma tout le littoral de l'Afrique du Nord. JAMAIS TARD QUE VAUT MIEUX La Pelleterie d'outremer Cette sociétéanonyme, au capital de 2 milDunkerque jamais à Le peuple juif le renoncera ses UN VOL FEMININ AUSTRALIE-AFRIQUE ne formée récemment pour de Madagascar, lions, ayant siège à Paris, 9, boulevard HaussEn janvier 30, rentrant un Société anonyme découlant du droits espérances. dit-il, ni brutes, avril 1937 aux Etat des bois importés de équatransformation sol, dans la forêt peaux en : Mrs Harry-Bonnev, la première femme qui a équipage s'écrasait au nuinm, vient d'être dissoute. Le liquidateur est commerce et la nation, mandat. En tant et nous pelleterie que avons Baoulé, Dupleix. 200 t., Chargeurs réunis Dodement: fourrures, On ne reM. Cari Schjellerup, à Paris, 183 bis, rue du confectionnées ou non, tenté de voler d'Australie en Afrique, est arrivée toriale : Roux, Caillol et devons Chargeurs Si droits notre des Paris, 06, Aurillac, 1.313 pays. nous Hut350 réunis: sur t.; t., rue Siège à similaires. Fa ubourg-Poissonnière. tous articles la nuit dernière à Lusaka (Rhodésie du Nord), trouva jamais les aviateurs. combattre, combattrons et vaincrons. de actions Ilutter. nous 500 t., ler; Agen. fr., 100.000 mardi porte nomination d'Hauteville. Capital en Le Journal Officiel de FAILLITES où elle a été l'hôte pour la nuit de la femme Nous ne nous laisserons pas intimider par 100 fr., toutes souscrites en numéraire. Il a été Bois coloniaux en provenance de la Côte Ocd'honneur du gouverneur. au grade de chevalier de la Légion Mlle Ancarnc néoilore). négociante en cafés, avec la citation cidentale d'Afrique. la menace du contingentement de l'émigra- créé en outre, 100 parts de fondateur. Adminisde Gaston-François Dodement, 87, ACCIDENTS EN SERIE d'interdiction de vente des terres. trateurunique M. Henri Joaivet, Paris,51,rue tion ou rue de la République à L>on : J.-C. : M. Lasuivante «Metteur au point, mécanicien naviHaïphong opposons Nous nous mare, s. p. : M. Madignlei. au principe de la créa- Rochechouart. Dix avions militaires et trois colonnes de gant; 16 ans 3 mois de services militaires et do premier semestre l'activité La Société Française de Produits étrangers 1937, le Pendant tion d'un Etat juif ne comprenant qu'une Nantes troupe recherchent dans la brousse du haut pratique professionnelle. Excellent mécanicien a légèrement repris, avec 187 navires sortis pour Meaux, Agricoles. d e d'Industries Société coloniaux (S.O.P.E.C.), société à responsabi. et partie du pays. Soudan égyptien un appareil commercial Jun- navigant, spécialement chargé de la mise au un tonnage de marchandises transportées de Algérie S. A. M. N.A. lité limitée au capital de 100.000 fr. ayant pour Les travaux du Congrès se poursuivront kers, qui était envoyé au Cap et destiné à la point des avions de grand raid. A toujours fait 342.860 tonnes. Le trafic avec le Yunnan deobjet l'imporlatioin et l'exportation de matières objet nouvelle a pour jusqu'à la fin de la semaine prochaine. Cette société anonyme compagnie de navigation aérienne South African preuve des plus belles qualités professionnelles, meure toujours faible. premières, de centrale sucre, avec siège à Paris, ci-devant 124, rue l'exploitation de la fabrique A trouvé la mort le 13 janvier 1930 au cours Airways. villepuis même ville 5, rue Mayran, el Héaumur, à sise Le Havre de la distillerie et de la raffinerie, Pour une raison inconnue. Je pilote de cet d'une tentative de liaison aérienne France-Madaactuellement noy, près de Meaux (Seine-et-Marne) a insi que sans domicile connu. J.-c. » M. avion se trouva contraint d'atterrir. Par radio, gascar et retour. A été cité à l'ordre de la nalton Du 16 au 31 juillet, les chargements de bols agriGuiffart. S. l'exploitation p.: M. de ses rûperies et annexes l'équipage lance aes appels désespérés. Ce n'est le 10 avril 1930.» coloniaux ont été débarqués en provenance de Compagnie Lyonnaise de l'Afrique Equatoriale el Haouch commerciale du cole, industrielle et guère avant plusieurs semaines que les colonla Côte Occidentale d'Afrique 33 tonnes de Française, société (déBirtouta anonyme, 27..quai de la BiHadj, sise commune de Saoula et LIAISONS l'Amstelkerk, 700 du Saint-Louis. 2.700 du Doisnes atteindront les aviateurs. bliothèque, Lyon. J.c.: M. Dargaud. S. p.: des l'exploitation partement d'Alger), ainsi que Un avion de transport de la compagnie Ala Soleil. 1.035 du Dupieux, 703 du Bougainville, Rigot. M. NanFRANCE-INDOCHINE confiseries et chocolateries Thy'#o, sise à Littoria. faisant le service Rome-Addis-Abeba, 1.058 du Saint-Octave, et 945 du Fort-de-Souville. Société Anonyme Marocaine l'Etoile du Foyer, tes-Doulon (Loire-Inférieure). Bouguennec, M. Jean s'est écrasé sui l'aérodrome de Ouadi-Halfa Un jeune homme, Le courrier parti de France le 29 juillet est En provenance de Madagascar. 17 tonnes de paCasablanca J.-c. : M. Colonna. S. p. MM. du à Lefsiège social est établi à Paris, 15, rue (Haute-Egypte), lundi miiin, à 9 h. 30. au arrivé Hanoï le 4/8. lissandre ont été débarquées du Commandant. dont on dit qu'il est journaliste, a été dernièBriand Zévaco. 42.500.000 francs, et Le capital est fixé à moment où cherchait ù atterrir. Les neuf ocLe courrier parti d'Hanoï le 31 est arrivé Mages. rement arrêté en Espagne nationaliste avec Louvre. de 250 francs, sur lesquelles 391 ont Compagnie Française de BlanchimentElectrique actions cupants de l'appareil ..- cinq membres de l'équiCorfoucematin en l'inculpation de de compatriotes, sous un ses (Procédés Crespi et Otto) été souscrites en numéraire et 169.609ont été Le courrier parti de France hier est arpage et quatre passagers — ont été tués. nationaliste chercher l'armée à dans -. savoir d'apport, rémunération semer attribuées L'appareil pris feu après avoir touché une rivé à CastelRosso ce matin à6 en liquidation, société anonyme au capital de 30. le typhus et la maladie du sommeil. On aurait 163589 à la société Fabrique Centrale de Sucre 2 En première fois le sol, et rebondit à 30 m. de haumillions de francs, ayant pour objet, notamAIR-AFRIQUE VIE DES BATIMENTS r trouvé sur les jeunes gens, à ce point de vue, de Meausc, à Paris, 15, rue du Louvre et 6.020 à ment, la création,l'acquisition, teur. l'exploitation en L'avion de la Régie malgache a quitté Elisa- Pris dans un cyclone, un hydravion bimoteur Société des Confiserie el Chocoiaterie Thy'No, France et aux Colonies et en Suisse de toutes usiarsenal bactériologique. la tout Le contre-torpilleur Lion de Marseille venant un 40 en direction de est arrivé Oran Je 2 août. J1 appareillé de Nantes-Doulon. de la ligne Guayanaquil (Equateur)-Cristobnl (Pa- bethvillecemalin 3 à ne pour la production de l'ozone et ses applicace a M. Bouguennec chef d'escadron d'artillerie -à Le d'administration conseil com- tionsau blanchiment de fibres textiles, avec premier se nama) .de la Pan américan Airways, a sombré Broken-Hill. port le même jour destination de Palma. coloniale en retraite,offiçier de la Légion pose de MM. Pierre-Henri Eclancher, ingénieur, siège sociai! à Paris, 3. et 5, BELGIQUE-CONGO en mer des Antilles il trente mille nu nord+ Le torpilleur l'Iphigénie venant d'Oran est d'honneur, rue Portalis. J.-C. ; père de Jean Bouguennec, Georges-Berger, 11 ; Léon-Albert M. Adler. S. prov. : M. Frémont. Paris, est de Cristobal,.avec 11passagers et 3 memconà rue arrivé Tanger août. appareillé de ce L'avion de la .S.A. B.E.N.A. a quitté Stanley- port-lo.rmôine. jOt.lr.-i!..g!:'slinnlionde. Casablanca, darnité iI,m.q¡t Ûar le tribunal de,Pampeltwe,. Estivant, avocat, villa Tardieu, la Condamine, bres d'équinage. Soixante-quatre avions de villehiermatin 30; est EliCompagnie MinièreduHaut-Mëkong l'armée et de la marine des Etats-Unis, deux sabethville à 15 h. 20. repartiarrivématin inconnu, par à Monaco Paul-Louis Camuset, à Reims (Mar- Unjugement vient dé sàn^wioéatj où il est arrivé le lendemain. duduTribunal 'tribuii~ldecommerce de la à ce Bouchon, i nUn é-'j"u'égi René ement conlre-torpilleurs. six sous-marins, deux navires 4 h 45; 11 revient sur Stanleyville ne), rue Jeanne-d'Arc, 22 ; M" André Cherier. Ij&œmseuriiLamaUa*Picquetvenant de Chin- Vorgane Bangui. du dustriel, à la Rivière-Thibouville, commune de Seine, en"date du 12 mkrs,"|fJ<ffl}^heft"étStrde auxiliaires, ont été envoyés en toute hâte à sa Wang-Tâo "ëST arrivé Shan-Kai-Kwan le 3 plainte demande Dans Bouguennec, FRANCE-AMERIQUE M. sa DU SUD Dollot, IndusAndré la Compagnie Minière (Eure) faillite Haut-Mékong Fontaine-la-Soret recherches. De son côté, la Compagnie a envoyé ; août. rechercheras individus qui, triel, à la justice de Il Gilbert, André-Félix capital millions, ayant Le courrier d'Amérique du Sud est arrivé de' 9 10 siège social, à. trois hydravions. Dts épaves furent aperçues. Viète, à Paris, rue au ; + L'aviso colonial Rigault-de-Genouillyvenant abusant de la jeunesse de' enfant, l'ont Slél, Paul Tu(Nord), et Paris, 63. M. Léon Escandoeuvres été mais les passagers et l'équipage sont considérés Buenos-Ayres mercredi ù. 20 h. 30. son ingénieur, à avenue nomme de I-Iunhiné est arrivé il Papeete le 3 août. a Le courrier de France est arrivé du. BourLe pétrolier Loingvenant d'Abadan estar- envoyé en Espagne pnur.c&piétettdu-essaide gault,ingénieur, à Villenoy,près Meaux (Seine- juge-commissaire et M. Mauger,"è Paris, 3, rue comme perdus. * de Savoie, syndic provisoire. A boni se trouvait notamment MM. Rex Mar- bet mercredi à 20 heures. rivé Karachi ',. août.. CAPTURE A LA LIGNE

Comptoirs d'importateurs de cafés

): :

à4h. il

à le2

TTB~]~B~ PROCHE-ORIENT 1937 Par avion,LeCaire,le2août

1937. L'INVESTITURE DE S. M. FAROUK 1 * Yaich Furouk El Awal,Malek Masr » (Vive Farouk Premier, Roi d'Egypte !), ce sont des

mois qui bourdonnent encore aujourd'hui dans mes oi-e'lles. L'Egyptetout entière vécuune semaine royale car depuis le 25 juillet. date du re« tour dans»,SonpaysdujeuneMonarque, fêtes sont commencées. elles continuent aujour-

les

d'hui.Maisl'apothéoseétaitàsoncomble,te

jeudi 29 juillet. Cette date ne restera pas seulement gravée dans la memoire de tous les Egyptiens et des étrangers, habitant l'Egypte,niais aussi dans la plus belle page des Annules du

PaysdesPharaons.

29 juillet, journée solennelle; investiture de S.

M. le Roi Farouk I" et prestation de serment constitutionnel du Souverain devant les repré-

sentantsdelaSatiori.

Ce ne serait pas une exagération si je vous dis que le 29 juillet fut un jour de chômage général dans toute l'Egypte et le Soudan. Faire une description de ce que furent les trois tournées de fête, 29, 30 et 31 juillet, dans toute l'Egypte et particulièrement dans la ville du Caire, serait une chose humainement impossi. ble, dois vous dire seulement que le Caire a dit recevoir plus de 11;0.000 personnes, venues de toutes les grandes villes, de tous les villages, de la Haule el Basse-Egypte, de tous les hameaux, des campements du désert el des confins les plus éloignés du pays. pour applaudir le Souverain bien-aimé et entendre le discours de yahas Pacha à la Chambre en présence du Jeune Roi, majestueuxdans son uniforme de maréchal.

«Soussonrègneheureux»,aditS.E. a el

».

RATIFICATION DU TRAITE TURCO-EGYPTIEN A la suite de la ratification par le Parlement du traité d'Etablissement et de la Convention

II,j'ai

citations ont été échangées entre Wacyf Boutros Ghali Pacha, ministre des Affaires Etrangères de l'Egypte et M. Tewit Rustu Aras, ministre des Affaires Etrangères de Turquie. Dans sa dépéclie, M. Rustu Aras ajoute qu'il

serait particulièrement heureux l'hiver prochain de venir en Em/ple, pays ami, et d'y exprimer de vive voix les vœux de la Turquie pour le bonheur et la prospérité du peuple frère. LES GRANDES CHALEURS Nous passons des journées de grande chaleur. Surtoutcesderniersjours, faitpluschaudau Caire qu'à Kartoum. Le thermomètre enregistre 38% 39", 40" à l'ombre. Et avec les phaleurs commencent aussi les- exodesestivales. M. De' Wilasse, ministre plénipotentiaire de France en Egypte aquitté vendredi Alexandrie, à bord du « Mariette-Pacha desMessageries Maritimes pour passer soncongé en:France, Par le même paquebot-fis} partiaussiM. Alfred Assirconsulgénéral d'Uruguay consul honoraire Le ministre de Belgique M. de l'Ecaille est paraussiencongé. Sontpartis égalementiM^BmiarninSzalatnayStacho, chargé d'affaires de TchécoslOvaquie, Talaat Pacha Barb, sénateur. administrateur délégué de la BanqueMisr; le Général Sir George Weir, commandant en chef des troupes britan-

et d'Espagne.

niques enEgypte. Etla série des départs decelte semaine

;

civile en Espagne

Gatté.

le3

a été

clôturée par le voyage de Sir Miles Lampson,

;

T R.A.N GERES. et-Marne),

guerrebactériologique.

ambassadeur de la Grande-Bretagne en Egypte, Pour éviter de nouvelles évasions, les prisonqui s'est embarquéà Port-Sald pour l'Angle- niers condamnés à plus de cinq ans de travaux

terre. départ

de S. M. le Roi pour Alexandrie a Le été officiellementfixe à jeudi prochain 5 août. Le Président du Conseil et les ministres auront l'honneur de voyagei dans la suite de S. M. Par suite, les ministères se transporteront à Alexandrie à partir de celte date et les bureaux des ministères fonctionneront à Bulkeley dès le samedi 7 août et pendant toute la saison esti. vale. vide la capitale pour toute la saiEt ainsi

son

contre

des.chaleurs.

EN PALESTINE

Pendant que la question palestinienne se trou-

forcés, ont été transférés à la prison de SaintJean-d'Acre. Une bande de quinze brigands armés a atta. qué un camp d'ouvriers de la Compagnie palestinienne d'électricité, près de Naplouse.Après avoir tiré sur le gardien arabe du camp, coupé des fils téléphoniques et mit le feu à une tente. Puis ils s'enfuirent. L'incident semble être la conséquence d'une dispute entre les villageois Compa-, d'Om-es.Sham et les ingénieurs de gnie. Les ouvriers juifs ayant posé des fils sur les terrains appartenant nu village, les habitants vinrent demander également un emploi.' Finalement 24 d'entre eux furent embauchés à titre provisoire. A la suite de l'irruption dans le camp des ouvriers, les autorités ont commencé à percevoir une amende de L. P. 450 qui-avait été imposée au village à la suite d'une affaire de vendetta. La police a arrêté deux fellahs du village d'Ourlha pour avoir commis des dégâts au sépulcre, où reposent les restes d'Eliezer Ben Abaron llacollen, suivant la tradition des Samaritains.

Commission des Mandats à Genève, Arabes et-Juifs ne cessent de manifester ouvertement leur impatience. L'Emir Abdallah prépare un mémoire sur les pourparlers qui ont eu lieu pendant la guerre, entre son père, le roi Hussein du lledjaz et Sir Henri Mac-Mahon. qu adressera incessamment au Gouvernement Britannique. Dans un mémoire de 21 pages, le Comité AraEmile Lambiri. be Suprême demandeprincipalement l'indépendance complète des Arabes, le remplacement du LE CONFLIT PALESTINIEN Mandat par un traité créant un Etat souverain l'arrêt immédiat absolu de Palestine, l'imet en VUDEPARIS migration juive et de la vente du sol aux Juifs. Dans sa critique du plan de partage, le Comité Le rapport de la Commission Royale, Suprême déclare entre autres que la moitié de cluant au partage de la Palestine, provoqueconde la population-chrétienne du pays habiterait le plus en plus le mécontentement général. territoire de l'Etat juif et que la partie nord de En Angleterre, le parti libéral s'élève, aux cetEtatserait habitée.par 171.000.Araùes et 35.000 Communes ,contre l'abandon du mandat, parle d' « humiliation ». Certains hommes d'Etat briLa loi d'exception a été remise en vigueur en tanniques paraissent souhaiter l'échec du proPalestine. Un permis est à' l'auenir exigé pour jet Peel, entraînant une recudescence des troutoute réunion politique ou toute manifestation bles et plaçant ainsi la Palestine sous une corn. d'ordre politique ou religieux, processions, etc. plète domination des forces anglaises. Au Journal Officiel vient de paraître un nouPontre çe danger,arabes vont-ils lescortè- s'unir règlement sur les assemblées veau Désormais, La presse juive de Palestine accueille fales organisateurs devront être vorablement l'idée d'une conclusion d'accords ges. en possession de l'autorisation cinq jours à économiques avec les Arabes. Cesaccords n'apl'avance. porteraient qu'une solution provisoire, autoriseSera considérée comme une assemblée tout raient, par conséquent ,les espoirs des uns et rassemblement de plus de 25 personnes, et com- des autres. me un cortène, tout rassemblement de plus de Ils auraient l'avantage de parer au plus pres12. sé; l'établissement-d'une économie autonome de Le major général A.-P. Wavell a été nommé Palestine. officier général commandant les forces britanniprésent, le mouvement sioniste ne vit Jusqu'à ques en Palestine et Transjordanie, comme suc. que grâce aux subsides de l'étranaer, de mérhe, cesseur du lieutenant-général Sir John Dill. Le Transjordanie n'a puse.passer de l'appui finrnérnlHIaveU avait combattu en France pen. la anglais. nancier (fant la Grande Guerre et a servi dans le corps partage de la Palestine entraînerait la supLe expéditionnaired'Egypte de 1917 à 1920. En 1928, pression.des envois d'argent effectués en vue de il a publié un ouvrage sur « LesCampagnes de la reconstruction de Jérusalem, tout autant que Palestine ». souscriptions, Keren. Kayemeth,Keren Hayesrit>peildaizt. ce temps les actes de-brigandage des sod, et autres fonds continrent. Quant aux Arabes, ils se considèrentlésés par Une patrouille policière a découvert le codadélimitation les repoussant dans des régions une vre gardienarabeau.kilomètre23de désertiques, tendent vers une alliance avec les et route de Jérusalem à Jaffa, près du village voisins. musulmans pays d'Inab. M.JamitMardanbey, an nom gouverneUn arabe de Ramleh a été trouvé mort au inacceptable projet Peel. déclare le syrien, ment fondd'un puits, dans le voisinage de cette ville. Xahas Pacha, circonspecli M . interpellé Plus au Sur frontière nord du District Nord, un cera,déclaré qu'il ne considérait pas égyptien, Sénat tain Tlid llaschara. du village de Bassa, a été de bonne politique$'exprimer ses inten. trouvé, en possessiond'un revolveret- de muni- comme avantd'entreprendre tions vérité, A une action positive tions. Dans une caverne. près d'Arab Zbeidhal, la protestations, citationsde textes police, a découvert un fusil ,un revolver etdes anciens à l'appui. des thèses opposées ne manfaÙrize prisonniers se sont évadés du camppini- quent pas. mais on trouve beaucoup moins réelfes basée de proposition sur cilement une tenlier de Nour-es-Sham dans les montagnes qui s'étendent, entre Toulkarem et Naplouse. La poM. L. ve devant-

Juifs.

•- •r il

En marge de la guerre

Ila

le luxe et la richessedes uni/ormes, pour leurs palais majestueux et pour les fêtes organisées en, l'hollneur de leurs monarques, et, je suis à mdme d'affirmer, que ce que j'ai vu ici en Egypte, pendant celle semaine. a surpassé de beaucoup toutes les autres fêtes, illuminations, décors, etc. Pendant toutes les nuits. du .28 au 3t inclus, la ville du Caire était une véritable {éérie de lumière.Les rues et les monumnts publics, comme aussi les magasins, étabtissements, maisons, privés présentaient un aspect merveilleux. La journée du 29 juillet 1937, restera aussi dans les Annales des Français résidant ou de passage en Egypte. M. De Witasse, ministre plé. nipolentiaire de France en Egypte a remis le matin de cettejournée mémorable à Sa Majesté le Roi Farouk, le Grand Cordon de la Légion d'honneur que le Gouvernementale la République lui a décerné à l'occasion de son investiture. Et ainsi se sont resserrés encore de plus les liens d'amitié entre l'Egypte et la France. DEMISSION DU CABINET EGYPTIEN Le Cabinet se devait de démissionner à la nia. jorité du Roi. Il l'a fait. NahasPacha a été reçu hier en audience par S. Majesté à qui il a sou. mis la démission du Cabinet. Le Président du Cabinet démissionnaire sera reçu. d'après toute probabilité à nouveau, cet après-midi, par le Roi. D'après les bruits qui courent dans les milieux bien informés, il.n'y aura pas de changements ministériels. Nahas Pacha voudrait seulement passer à un ministre le portefeuille de l'Hygiène et conserverait celui de l'Intérieur avec la présidence.

NahasPacha,danssondiscours,l'Egypte acquissaliberté sonindépendance.Sous sur la nationalité, signés entre l'Egypte et la ton règne heureux les capitulations ont été Turquie le 7 avril dernier, des dépêches de féli.

abolies et l'Egypte a parfaitson entière souveraineté et les relations entre les Egyptiens et les étrangers résidant en Egypte ont été établies sur des bases solides et honorables de collaboration fructueuse, sous le régime des loisnationales et du droit commun De mémoire de journaliste dans le ProcheOrient, pareilles fêtes, comme celles qui se déroulèrent ici au Caire, pendant ses jours, n'eujamaisl'Empire lieu. rent 1908, La Otoman fêtait son régime presse, muselée jusqu'alors, constitutionnel. s'était débarrassée des farouches censeurs et à chaque intant naissait à Constantinople un quotidien, une revue, un. satirique. C'est alors que je fis mes débuts dans le journalisme. Que tout ceci est loin J'asislais à toutes les fêtes données par le Sultan Abdul Hamid II, dans son féérique palais de Yildiz, jepris part à la réception à Constantinople de l'e:c.t:;ar Ferdinand de Bulgarle. ae feu le Roi Pierre de Serbie. je suivis l'investiture du Sabre dans la Mosquée d'Eyoub, à Constantinople ,du Sultan Mahomed V. qui avait succédé à son frère Hamid, surnommé le Sultan Rouge, j'étais présent à la cérémonie du premier baisemain du même Sultan dans le magique palais de Dolma-Bagtché, j'ai vu des fêtes organisées en Russie, en Vhonneur du Tzar Nicolas vudes pavoisements etdes illuminations, des arcs de triomphe, etc., dant le vaste Empire' Russe et dans l'Empint Ottoman, deux Empires renommés pour

Marine militaire

à6h.5. à

l'un

munitions.

licelesrechercheactivement --

eljuifs

LA CRISE POLITIQUE SIAMOISE

La désignation par l'assemblée nationale du nouveau conseil de régence est improbable avant le. milieu de la semaine prochaine. Le journal siamois « Nation annonce le conseil de résuivant le prince Naris et les présidents gence Chaophya, Schridhama Dliibes et Chaopya, Wongsa Nooprabat, sous réserve de l'acceptation des intéressés. Samedi ,le Conseil de Régence a retiré sadémission, mais l'Assemblée Nationale, par 47 voix contre 29, a refusé'de prendre en considération celle nouvelle décision, parce que les négociations en vue de la nomination d'un nouveau le point Conseil, mardi. Prince sont sur !e poM, d'aboutir. En effet, Aditya et M.ChaophyaBijayedmardi, dra ont été réélus membres du Conseil de Régence.M. Chaophya Dharmasakdi, élu par l'assemblée comme troisième membre, a différé son acceptation.

:»

EGYPTE Un projet de loi ayant été déposé sur le Bu-

dans un proche reau de la Chambre afin que, avenir, tous les professeurs étrangers, — français. anglais, italiens — soient lemplacés par des égyptiens, le gouvernement 6. déjà pris des mesures dans ce sen-; Des révocations ont été

prononcées, de licenciements effectués. 1 Commentant cette nouvelle, le Temps écrit .Ces décisions coïncident avec la proclamation des résultats des derniers examens, résultats qui fureni déplorables cette année, aussi bien pour le baccalauréat qu'àl'université. En raison des mesures de faveur multipliée par le gouvernement — lois instituant des sessions supplémentaires, diminution sensible du pourcentage des points exigés, pour l'obtention des diplômes, amnistied'étudiants condamnés au cours des. troubles, — le niveaii Intellectuel des étudiants égyptiens. qui depuis l'avènement du Wafd au pouvoir n'ont cessé de consacrer la majeure partie de leur activité à des troubles politiques, se révèle plus bas que jamais. La presse arabe, émue d'une situation devenue déplorable, réclame avec insistance d'énergiques mesures et un.1 transformation, radicale de la politique scolaire du gouverne-

ment.

Un autre projet de Ici prévoit le remplacement des institutrices étrangères. En bref, c'est la

réforme complète du Professorat, qui ne devra plus être à l'avenir exercé que par des Egyptiens. Tous les Etats fraîchement éclos au nationalisme en ont passé par là.

sionistes..

.•i ! du

la quelconque.

possibilités..

G..

SYRIE ET LIBAN Où il est à nouveau question des Druzes L'Emir Hassan el Attrache. chef de la majo-

rité locale. s'est rendu à Damas pour inviter le gouvernement à procéder à la nomination d'un nouveau gouverneur choisi parmi les Druzes, conformément à l'accord intervenu en mai dernier. mandat de l'actuel gouverneur prend fin,

Le en-effet:,'

•--

aujourd'hui.••

Dans les déclarations qu'il a faites, l'Emir "5^,et.^yrache avilit.pjcw.is« q.u';l était ®lWSÇf.$u.gouvernement*'d'exécuter sesvenu engagements. Ilavait ajouté :." Il estimpossiIne.ip4iretfe.qu'il.-adviendi-ait duDjebel si le gouverrtfment n'exécutaitpas. ses,promesses. Abvs ~<Mf?';&n.<;?'~0!():t:f nlors.qll"c ïc-sang drvze

est prêt à couler de nouveau pour réaliser nos revendications.» Les conversations qui ont eu lieu semblent donner toute satisfaction aux deux parties un accord comporte le départ du gouverneur. Nassib Bakri, et la nomination provisoire à sa place d'une personnalité à qui ses attaches avec la famille de l'émir Hassan el Attrache garantiront un accueil sympathique dans leapays druze. Les proscrits Libanais Avant son départ pour la France, M. De Martel, Haut-Commissaire, a reçu à Damas M. Toufik bey Halo Haidar, quilui a demandé d'étendre aux proscrits libanais la mesure cL.' clémence accordée aux proscrits syriens. M. de Martel. cœur innombrable,a promis d'en conféter avec le gouvernement français. Vers l'apaisement en Haute-Diezireh La commission d'enquête sur les incidents d'Hassetclie, dont nous avions annoncé qu'elle avait été retardée par un accident d'automobile à son Président, quitte en ce moment Deir-EzZor pour se rendre sur les lieux mêmes des émeutes. Le conflit qui oppose les Arabes et les chrétiens de celle région au gouvernement libanais semble devoir être réglé par les voies habiles de la conciliation. L'Administrationchoisirait mieux ses représentants, auxqueU serait désormais adjoint un conseiller administratif français. Ce. sont là des suggestions, qui recueillent l'assentiment des intéresses, mais qui n'ont pas été encore officiellement formulées. A la suite des troubles récenls de Haule-Djézi. reh, cinq notabilités, parmi lesquelles l'évêque srriaque-catholique Mgr Houhbi, vont séjourner à Beyrouth, en résidence C. forcée », disent les uns, « volontaire », affirment les autres. Une requête des Kurdes Les Kurdes de Syrie, émus des répressiont exercées en Turquie pour,mater leur soulève

»tt

alaS.D.N.

ment,ontadresséunappel

« Les Kurdes de Syrie sollicitent votre inter vention pour mettre fin à l'horrible terreur tur. que et protéger la minorité kurde en Turquie,

minorité nationale qui a son histoire, sa cullur, et ses droits.

Personnalités Ismaïl Sedky Pacha, ancien président da

Conseil égyptien, a adresse, le 23 juillet, sa

démission de député au président de la ChamVe. Il a déclaré ne pouvoir remplir son mandat do député selon sa conscience après la discussion de son interpellation concernant la défense nationale el.la position politiquede l'Egypte en face de certaines clauses du traité ariglo-égvplien. S È. Talhat pacha Ilarb, président de la Banque Misr animateur de l'économie -natienale eu Egypte, est arrivé avant-hier Paris. Il fut salué àla gare de Lyon par S. E. Mohamed AbduJ-Wahab Pacha, ancien ministre des Finances, el par cerlaines personnalités françaises et égyptiennes. Le Commissariat généra! ./I,e l'Exposition a délégué soit représentant pour accueillir notre

éminenthôtedont

lesnombreusessociétés

industrielles agricoles et nrtisl:quçs participent succès. fi l'Exposition de 1037 avec un éclatant

AL'OFFICIEL MINISTEREDES

A~~T NA M C E'" PARIS

,";

LE MARCHÉDE

COLONIES

Décret modifiant le décret du ô mal 1937,relatif à l'organisation des services de la trésorerie dansles territoires du Arrêté portant admission d'élèves à l'école na. tionale de la France d'outre-mer. bbleau d'avancement des infirmières contracLa liquidation de fin juillet ne s'est elfec.. tuelles régies par le décret du 27 avril 1937. Arrêté portant nominations (inarmièreacoïo- tuée que lelundi 2 août, en raison du fait niales). que le dernier jour du mois précédent tomNominations dans le personnel colonial (rectifi. bait cette année un samedi.L'argent pour catif). la prorogation des engagements a valu au Commerce extérieur des colonies françaises au Parquet 5 1/4 contre 5 1/2 en liquidacours des années 1934, 1935 et 1936. tion du 15 juillet conen Coulisse 9 1/2 Avis de délibération de la commission perma12 1/2 juin. à fin tre nente du conseil de gouvernement de l'Indochine, relatif l'application, dans cette coloLa position au Purquet : En liquidation de nie, du décret du 31 décembre 1936, concernant fin juillet la position Parquet était la suila tarification douanière de certains corps gras vante Acheteurs Rentes, bons et obligaet produits à base de corps gras. Avis de délibération de la commission perma- tions 1.199 millions contre 1.035 millions au nente du conseil du gouvernement de l'Indo- 15 juillet; autres valeurs 1.439 millions conchine. tendant à la suppression, à compter du tre 1.311 millions, soit au total 2.638 mil1er janvier 1938, des droits de douane sur les lions contre'2.340 millions en liquidation au fûts soudés ou non soudés, sertis ou non ser- 15 juillet. tis, etc. en fer; en acier ou en tôle de fer ou d'acier importés pleines de consistants dits Vendeurs, lIentes, bons et obligations roads-oils et brais mous. 132 millions contre 113 autres valeurs Avis relatif à la suppression du tirage prévu 102 millions contre 94, soit 234 millions conpour l'amortissementdu 15 août 1937, des obli- tre 207 millions précédemment. gations 0/0 1926, 7 0/0 1937 émises par le gouvernement général de l'A. E. F. « MINISTERE DE L'INTERIEUR Décret modifiant l'article 38 du code algérien de LA SEANCE DU 4 AOUT

EXPO

LA FIN D'UNE COMEDIE

Mardi, au palais de la Presse, devant quel-

ques curieux, les dix jeunes lilies de la France d'Outre-Mer, qui ont repris le ùaleuu, à partir de mercredi, sont venues faire leurs adieux au Tonkin M. Alex Surchnmps. micro. présentées pas Miss et « Miss » Sénégal, Après Miss France Pays-Bas a terminé à 1.302. Avance de la BANQUES. — Banque de l'Algérie, 5.080 (+ du Kin-San, 12,50 (+ 1); Union Minière du « Miss Guadeloupe, élue 5) modestie Banque déclara son d'Etat de d'Outre-Mer, Banque que Banque de l'Union Parisienne à 468 +13). ; du Maroc, a.WU ; Haut-Katanga, 4.273 (+ 418) avec du Equatoriale des les fait l'Indocliine, 3.:J00 due seulement de l'Afrique élection était que 2155) Banque Mines, Congo Français, au (t- 22) Minière Repli du Suez qui termine à 25.475 215 Occidentaie, 755 (+20) ; Banque de Madagas- 03,50 1604,50); résoudre siècles trois Anlilles, ayant pour Falème-Gambie, 10 (+ 4,50); eu (+ francs). Dans sa dernière réunion le Conseil car, 310 (+ 25) ; Banque; de la Réunion, 2.050 Peyrissac, la formule iles mariages de couleur, ont siml'Jd (+20). d'administration a nommé membres du {— ltW) ; Banque de la Guadeloupe, 2.230 (+ plement été données en exemple aux jeunes VALEURS MALGACHES.— Electricité et Eaux Cette colonies qui s'essayent dans la môme voie. Conseil l'amiral Durand-Viel et 2.900 (+ 150j ; de .\laduh'USCur, 205 vicontc 20) ; Banque de la Martinique, 36); Andavakoera, G4 (+ 2,300 déclaration ingénue nous a laissé rêde Rohan. D'autre part; les recettesencais- Banque de la Guyane, 110); Banque Nossi-Bé, 822 Sucrière de 2) Agricole (— et dût être nous croyicns qu'une élection sées par la Compagnie du Canal Maritime de Paris, 1.300 (+ 7-5) ; Comptoir National d'Es- (— 48j; Colonialedu Bambao, 275 5) Lyon- veur; d'OutreMer, beautés 10 (aile Paris, entre les il 708 (+3) ; Banque de l'Union Parisien- naise de Suez s'élèvent — pour la période du compte, de Madagascar, 7" (—1); Marseillaise de d'abord sélectionnées chez elles. Quelle comédie 460 (+ 40' ; Société Marseillaise de Crédit, ne, 1er janvier au 1eraoût 1937 — à £ 6.612.900 47-1 —5) (+ 130); Nossybeenne d'In- leur a-t-on montée ? S'il était convenu que Société Générale des Colonies, 340 Madagascar, 1.520 255 dustries 3). Agricoles, Guadeloupe fut proclamée, sur una ce qui représentaunemoinsvaluede61.400 (+ 20) .Crédit Foncier COlontal, 194 (+30) ; « Miss livres compardtivënïetit de priricipe. — on pouvait tout seule question péfiode corres- Crédit Foncier Algérie-Tunisie, -438 Chemin INDOCHINOISES. de VALEURS 2) ; Cie bien éviter aussi } unnon, 2.010 800) (+ aux neuf autres. le ridicule pondante de 1936. Algérienne, OVô (+ 34) ; Banque Industrielle de fer d'Indochine et de ; l'Afrique du Nord, 222 (— 20) ; Banque Com- Tramways d'Indochine, 675 (- 5); Eaux et Elec- d'un dérangement inutile, Diverses valeurs françaises de charbon- merciale Ce fut, en somme, une élection bien colodu Maroc, 89 (+ 5) ; Cie Asiatique et tricité d'Indochine, î>S2 (+ 50); Indo-Chinoise parmi lesquelles mentionnerons nous nages, Africaine, 30 Africain, 0,25) ; Crédit Foncier Ouest- d'Electricité, -185 (+10); Charbonnages du niale. M. Maurice de VValerfe. délégué du comité, et le dixième Béthune et Maries ont bénéficié 168 (+ C) ; Crédit Foncier d'indorhine. Tonkin, 3-190 (+40); Along et Dong Dang, 23 terorganisateur du « Concours des Misses d'opérateurs de Région du Nord. 225 (+ 10) ; Banque Franco-Chinoise, 39 75(— (-i- 5); Dong-Trieu, 125,50 (+ 7,50); Tuyenquelques l'audition, nalurellement mina 1 25). Quang, 60 (-;- 14); Eludes et Exploitations Mi- paroles profondes et bien senties,par le prosur Au groupe des Internationales, Bruxelles CANAUX, NAVIGATION, PORTS. Suez, nières en Indochine, 405 (— 10); Minière et blème des ma-iages franco coloniaux, sur lequel Canadian Pacific. recherché Achats RizeMéUHlurgique l'Indochine, de 518 (+ 8); a Cap. 25.475 500), jouissance 23.560 (— 385); fit montre d'une compétence. hiologique. Distilleries de il En ries Indochinoises, 130 V); (+ pour compte néerlandais en Royal Uutch. ptu-ts 21.'Jb0 70) ; Société civile, 6.540 (résumé. les espccr< vivantes s'améliorent Réalisations britanniques en Central Mining 140) ; Messageries Maritime, 48 50 150) ; l'Indochine, 545 (+ 8); Ciments d'Indochine, par croisement, et ne s'améliorent que par 3.140. Montecutini Transatlantique, 50 (+ 3) ; Sud-Atlanlique, ord. 472 (— 38); Indochinoise Forestière des Allumet- croisement. La doctrine du pur sang absolu qui revient de 3.190 6) Union Commerciale Indochinoi- serait 220.50. L'assemblée extraordinaire a ap- 130 ; Uelmos et Veijeux, 450 Clialandage et tes, 128 une doctrine de dépérissement et de mort. Travaux Remorquage Indochine,80 Dragages et Africaine, 40 3) et (+ se Néanmoins il. ne faut se croiser qu'avec beau(— 0 50) ; Naviprouvé l'augmentation de capital de lire 800 en la route.. Publics, d'Indochine, 490 38); Caoutchoucs (+ l'Afrique plus attengation de du Nord, 18l (+18) Frais- 735 coup de prudence et la sélection la M. 1tjuillet. En cette séance les milieux financiers se millions A milliard. En conséquence, il sinet, 750 30); Terres 26); Hnuges, ord. 586 (+ (+ de Waconclut spirituellement Bref, tive. 15) Port de FeLUJaJu,505 (- 4) MINISTERE DES COLONIES sont surtout entretenus de l'Emprunt de sera procédé à l'dmission de 2 millions d'ac- Ports Marocains, ;515 (+ 5) ; fort de Beyrouth,; Cambodge, 073 (+38). leffe. « dans une Exposition qui s'intitule Arts 34. tions, au prix de lire 104, offertes aux ac- 1.151 (-74). AUTRES COLONIES. Salines de Djibouti, et techniques, l'art d'avoir de beaux enfants, et Décret accordant la franchise des droits de consolidation des Bons du Trésor 4,5 tionnaires 2 nouvelles actuels raison de à Officiel août En Journal du 4 effet, le 319 (+ 12); la technique pour garder nos colonies, avaient douane à l'entrée de la France et en Algéa puVALEURS ALGERIENNES. — P. L.M., Gtici(+ 273 (+ 41); Sucreries Coloniales, anciennes, obligation Nickel, de 8 1.025 (+ leur place indiquée ». avec sous- 47) ; Chemin de fer sur routes d'Algérie, ord., Caledonia, 1.200 (+ 65); Le rie au mais en grains originaire des terri- blié un décret, aux termes duquel il va être pour crire l'Anic (Aziende Tout ceci n'est pas sérieux. Il ne reste plus action nouvelle de toires de l'Afrique équatoriale française sou- procédé à une émission de Bons du Trésor une 207 13 50) ; Tramways Algériens, cap., 115 42); Phosphates de l'Océanie, 4M) (+ 37); PoinM. de Waleffe qu'à organiser — comme pour à Nazionale Elec4); mis au régime du bassin conventionnel du à un an d'échéance réservés aux porteurs Idrogenazione COmbustibili). (— 30) ; Tramways d'Oran, 395 (+ 24) Algé- le-à-Pitre, 417 (.+ 25): Savana, 122 à les chevaux — une société d'encouragement tricité Congo. de Beyrouth, 480 (+ 15). d'Eclairage et de Force, 172 (+ 1) ; Gaz 193-i ayant dé. Trésor une idée 4,50 rienne Bons des du que l'amélioration de la race. C'est <% Arrêtés portant promotions (administration Lebon, cap., 1.522 (-- 78) ; Omnium d'AlgérieAFFAIRES FRANÇAISES EN RELATIONS B. B. de remboursement. fins aimablement. posé leurs titres lui suggérons aux nous centrale). Tunisie, 2.199 (+ 339) ; Aguilas, 101 (+ 3) ; AVEC LES COLONIES. — Decauville, 128 (annuel intérêt taux Ces bons porteront au LE PAVILLON DES BEAUX-ARTS 560 .(+ 32); Peugeot, 405 MINISTERE DES PENSIONS 2); En Coulisse, les honneurs la séance Mokta-Et-Hadid,cap., 4.793 (+ 425) ; Ouenza, 7i Citroën,421 de 4 °/. Ils seront émis avec jouissance du 1.500 (+ 235) ; Ouenza (Slé Concess. Mines), Penarroya, (+ 52) Minerais et Métaux, 92 En présence de M. Jean Zay. ministre de Arrêté fixant le nombre des représentants des 5 août 1937 et viendront à échéance le 5 aoùt ont été pour la De Beers ordinaire qui, lar- 975 (+ U); Rhône-Poulenc, Le Ripo115) 1.760 10) Algé1.120 43); (+ Guergour, (+ (+ Nationale et des Beaux-Arts, de M. l'Education : ; pupilles de la nation, de l'enseignement pu- 1938. gement recherchée pour compte du Cap, à rienne de Produits Chimiques, 7J (+ 4) ; Phos- lin, jouissunce, 2.145 (+ 5): Félix Potin, 88 Fernand Chapsal, ministre du Commerce et de blic et privé et des associations philanthropibondi de 2.510 à 2.610, donnant une fois de phates de Constantine, 80); l'Industrie, des commissaires généraux, et d'une 315 (,+ 25) ; Chapeau (+2); Saint-Raphaél-Quinquina. 6.000 Les intérêts seront payés d'avance en to- plus « du fil à retordre »aux échelliers. ques et professionnelles exerçant le patrona affluence de visiteurs, le Pavillon des de Gendarme, 263 (+ 43) ; Domaine de Kérou- Poliet et Chausson, 468. (+ 29) Galeries La- grand Beaux-Arts ge des pupilles de la nation, aux commis. talité au moment de la souscription. Après la très importante étape de hausse lis, cap., 500 ; Vignobles de la Méditerranée, fayette, 40,50 (+ 0,501; Air Liquide, 1.105 (+ a été ouver: vendredi. lions permanentes des offices départementaux, Les échanges à terme n'ont revêtu une qu'elles viennent de parcourir les valeurs 225 (+ 21) ; Vins du Midi et de l'Algérie, 105 fJO): Grands Travaux de Marseille. 414 (+ 33); l'ongle de 1 avenue Rapp et du Quai Situé à des mutilés, combattants, victmes de la guer- certaine ampleur que dans deux ou trois minières sud-africaines éprouvent le besoin Palais, d'Orsay, le (14). Travaux et Industries-Moritimes, G95 10). a un étage, aux plafonds enre et pupilles de la nation d'Algérie. tendance lumineux, génétièrement a été très judicieusement compartiments. Quant à la de souffler. Quoiqu'il en soit an retrouve la VALEURS TUNISIENNES. —Chemins de fer MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE rale elle a été empreinte d'une très légère City Deep à 222 des très nombreuprésentation la construit pour 5), l'East Rand à 434 tunisiens, cap., 404 (+4) ; Tramways de TuET DE LA GUERRE d'art exposées ses œuvres irrégularité. Mais il est indéniable que le 1) la Langlaagte à 127.50 2.50), la nis, 340 (—10) ; Ujebell Diss, 62 50 (+ 14 50); Les colonies françaises sont largement mises Décrets et décisions portant promotions, nomi- 'nombre de valeurs négociées à terme qui ont Randfontein à 365 (- 6) et la Rand Mines à Djebel Ressas, 480 135) ; Uouaria, 655 (+ (+ contribution. Signalons, pour les peintures. à nations, mutations, affectations, admission au terminé en progrès sur mardi a été très 990 120) Tunisie, Exploitations Minières 104 12). Notons ; en SOCIETE DES SERVICES Trois tonkinoises nue- de Inguimberty, Maupar contre une reprise (+ 8) Ouasta et Mesioula, 1.780 (+ 135) cadre de réserve troupes coloniales. fini ; ayant ; à des titres supérieur celui reGeduld. en CONTRACTUELS 20 l'East MESSAGERIES de points de DES resques au voile de Mainssieux : Caravane a 14 juillet. Sidi Bou Aouane, 12 Phosphates de afsa, 815 l'oasis, de Jeanne Tliil, un tunisien de A. RouAjoutons que les marchés anglais, belcul. MARITIMES MINISTERE DES COLONIES Tenue très irrégulière des pétrolifères. (- 5) ; Phosphates de Djebel M'Dilta, 174 (+ btzox, les négressci au lavoir de 1. Bouchnud. Au capital de 60.000.000 de francs ges et hollandais nous ont transmis des in- Tandis 8 Tunisiens, 139 13 50) Phosphates 50 50). (+ ; et une très typique tête de Somati de Louis Hoi. que des demandes locales ont perArrêté fixant les attributions des directions et dications favorables. Société anonyme let. VALEURS MAROCAINES. Chemin de fer mis à la Shell Transport de progresser de services du ministère des colonies en ce qui Parmi les bronzes. l'Homme au serpent de Gadu Maroc, Electrique du Siège social 12, bd de la Madeleine, Paris. 3S5 25) Energie le ( tl'exécution préparation, 755 à 774, la et réalisations britanniques des ; consur- du concerne briel Forestier et un éléphant de Granowsky. iOO 40) Marocaine de DistribuLe Conseil d'administration a l'honneur trôle des programmes d'emprunts dans les venues en fin. de séance ont ramené la tion,Maroc, particulièrement le remarquable. Signalons 450 (+ 35) ; Hou Arfa, 118 (+ 3) ; Su- d'informer messieurs les porteurs d'obligacolonies. poursuivi leur mouvement Mexican Eagle de 126.50 à 121.50. Nos rentes ont de sculpture travail -ur l'ivoire d'une défense perphosphates du Maroc, 530 (- 30) ; Brasseries tions 5 1/2 Décret nommant le secrétaire général de l'Afri- ascensionnel. Tandis que notre 3 1929, que le coupon n° 16, ù d'éléphant entière, représentant perpéune Léda au du Maroc, 215 (- 5) : Moulins du Maghreb, échéance du 1er septembre 1937, •V que équatoriale française. 73,85, 73,55 à mis avancé de noire s'est E.-J. Bachelet. tuel sera cygne, par 50 50 (+ 0 50) ; Chaux et Gments du Maroc, Décret portant nomination du président et des 100 (- 1) Nord Africaine, 260 (+ 20) ; Corn. en paiement à cette date aux taux nets ci- LES ELEVES DE L'ECOLE WILLIAMPONTY, présidents suppléants du tribunal militaire de 4 1/2 1932 tranche A qui avait plongé au Parmi cuprifères juillet les à diverses séries début de la deuxième quinzaine de DE DAKAR, SE FERONT ENTENDRE A PARIS pagnie Générale du Maroc, 425 (+15) ; Com- après Brazzaville, 24 fr. 75 au nominatif. Tableau complémentaire d'avancement du per- 67,75 a atteint le cours de 75,90 donnant lieu d'Union Minière du Haut-Katanga ont pagnie Marocaine. 22S (+5) ; Tabacs du Maroc Au théâtre des Champs-Elysées, les 12 et 1* 23 fr. 30 au porteur. sonnel des services des eaux et forêts dans les à des demandes suivies de primes de 1 Ir. et poursuivi leur impressionnant mouvement 7.500 (+ 10) ; Marocaine Auto Hall, 55 (-3) ; août, les élèves de l'Feole William-Ponty se fe. Compagnie de la Mamora, 22 50 21. Ce paiement aura lieu tant à Paris qu'en ront entendre dans diverses pièces spécifique. colonies autres que l'Indochine. chacune des échéande centimes de 50 pour Tableau complémentaire d'avancement du per- ces d'août et de septembre. AFRIQUE OCCIDENTALE FRANÇAISE, TO- provinceaux caisses des établissements ment Aoliennes.. Au groupe des titres industriels la Hotch- GO; aonnel des services vétérinaires des colonies Deux élèves ont, hier, au pavillon de la PresCAMEROUN, AFRIQUE EQUATORIALE suivants autres aue l'Indochine. Banque de France à 7.150 kiss, dont nous avions souligné l'attrait, FRANÇAISE. — Chemins de fer du Dahomey, Banque Nationale pour le Commerce et se, donné un quart d'heure africain devant le Progrès la de MINISTERE DE LA DEFENSE NATIONALE (+75francs).Agissant par délégation du quand il 11 a quelques semaines elle avait jouissance, 9,50 (+ 1); Chemin de fer de Dakar l'Industrie; Banque de Paris et des Pays- micro: Cette cérémonie intime, si intime qu'elle GUERRE ET DE LA pas été annoncée, permit la présentation Conseilgénéralde Banque, Comité plongé au-dessous de 600, a bondi de.752 à fi Saint-Louis, 1.250 (- 15); Société Commer- Bas Banque de l'Union Parisienne Comp- n'avait nomide bénévole au public qui avait été la troupe promotions, ciale Conseil, du de l'Ouest 447 (— 805, dans séance 21 Africain, 13); Africaine portant Le juilDécrets et décisions sa loir National d'Escompte de Paris Crédit convié. décidé, dans sa réunion du 3 permanent a stage admissions Française, 37; Société Commerciale Indusen nations, affectations, ,a décidé que le dividende de rcMrcfce- trielle de la Côte d'Afrique, 81(— 4): etCommer- Lyonnais Société Générale. août, d'abàisser le taux de l'escompte de 5 let d'activité dans les troupes coloniales. 1936, LE FEU AU PAVILLON DE L'A.O.F. de 65 fr. brut, sera mis en paiement marëtet'P'rcin.37 En outre, ce paiement sera effectué par le à,4 le taux des avancés sur titres de 6 partir eiate. Afrique (15 et 16 juillet.) Equa.tor~aie ,,): CMhires(tt{'J{lndnnktl1931 20 rwrson août Unincendie s'est déoiaré liiérlil'Ile des Cygnes Service des Titres de ia Société, centralisé à 5.% et le taux des avances à39 jours de 55 fr. 25 dIt (+ ---k-HtftfàMTBE DESCOLONIES pourlesactions nominatives (im- 1 pé. 89,50- 0.50):Slinfcha©ul)an£Mv'8?)(— i); au Crédit Foncier d'Algérie et de Tunisie,43, au pavillon de l'A.O.F. Les pompiers de la ca gégouverneur de 15 pul %); 49 fr. -fà'pbur les actions no- Sultanats du Haut-Ouban.shi, 10,25;Plantations rue Cambon à Paris, ainsi du arrêté Décret aoprouyant un dans les di- serne Malar l'ont assezrapidement maîtrisé. que créde minatives (ivipdt24 %), ouverture 35 45 fr. Favorisée par des demandes suivies pour néral de l'A.O.F. portant pour les d'Elima, 331 (+ 30); Cie Française du Haut et verses succursales et agences de cet établis- —————————— Bas Congo, 105 (+0), Cultures et Bannaneraies sement. dits supplémentaires au budget annexe de la compte belge la Banque de Paris et des actions auporteur. circonscription de Dakar et dépendances

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Décret relatif au recrutement et au statut du cadre des assimilés spéciaux indigènes du corpsde santé des troupes coloniales en Indochine. Décret relatif au prélèvement sur les honoraires des notaires et des commissaires priseurs d'Indochine. Décret plaçant dans la position de mission un administrateur des services civils de l'Indochine. MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES Décret modifiant les quantités de produits origjnaires et importés directement de la zone française de l'empire chérifien à admettre en franchise de droits de douane en France et en Algérie du 1" juin 1936 au 31 mai 1937. Décret fixant les quantités de produits originaires et importés directement de la zone française de l'empire chérifien à admettre en franchise de droits de douane en France et en Algérie du lor juin 1937 au 31 mai 1938 (rectificatii). MINISTERE DE L'INTERIEUR

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Décret rendant applicables à l'Algérie les dis. positions réglementaires prises en exécution du livre II, titre II, du code du travail (hy. giène et salubrité des travailleurs). Décret rendant applicables à l'Algérie les dis. positions réglementaires prises en exécution (me. du livre H, titre II, du code du travail salubrité de protection et de générales sures et couchage, du personnel). l'Algérie les disDécret rendant applicables à positions réglementaires prises en exécution du livre II du code du travail hygiène et sécurité des travailleurs). le déDécret rendant applicable à l'Algérie régime relatif 1935 octobre au 30 cret-loi du du repos hebdomadaire et des heures supplémentaires. mo juillet. 386.) L'efficacité de l'Hépascol François est telle MINISTEREDES COLONIES qu'elle se manifeste souvent dès la première Décret réglementant l'admission des citoyens semaine. Aucune contre-indication on peut trançais, des sujets et protégés français et des en donner même aux jeunes enfants. Toutes étrangers en Nouvelle-Calédonie. des lent, pharmacies. Décret nommant un sous-directeur ces militaires au ministère. Décret nommant des chargés de mission. Nomination dans le personnel Tableau complémentaire, d'avancement destn. génieurs météorologistes coloniaux. commis Liste des adjoints des services civils .au. admis généraux principaux de secrétariats France d'outre de l'école de la nationale stage

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quise poésie de ses lumineuses descriptions ceptionnelle. Notre Commission est heureuse de décerner la Médaille Fournier à celte grande arliste. à cette grande Française qui est aussi une géographe très distinguée de paysages d'oulre-mer, son érudition ex-

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la vraie crème, telle qu on dans les châlets, de en trouve cette crème blanche parfumée

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devant laquelle on se retrouve toujours une âme d'enfanfl châlets alpestres sont loin, mQjsvoici,pour accompagner délicieusement la des saveur fruits, des fraises surtout, durant la saison, voici, bien à l'abri dans sa boîte hermétique, la

lie MTRFIT MAROGER « RECIDIVE » CONTRE LES SURVEILLANTS DU BAGNE Poursuivie par 118 surveillants militaires du bagne, pour son reportage sur la Guyane, mais couverte par l'amnistie. MeMireilleMarogcr avait bénéficié de l'incompétence du Tribunal correctionnel, les gardiens condamnés aux dépens. Venant de publier un nouveau livre intitula « Bagne », où elle reprend toutes ses critiques antérieures, Me Mireille Maroger sera-t-elle assignée à nouveau devant la juridiction criminelle

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Malgré une double mutilation de guerre un bras et une jambe — M. Jules 'Aubertin. 'de

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nombreux spécimens acquis par l'Elat au profit des musées Carnavalet, de la Guerre des Colonies, de Marseille, de liocheforl, de Tananarive, de Casablanca, ayant brossé de très beaux dioramas à l'Exposition Coloniale de 1931. Souvent brillamment récompensce, 0/1t.. cier de l'Instruction publique, chevalier de la Légion d'honneur, Mme Frémont a accompli plusieurs missions officielles lointaines, dans le Sud tunisien. à Madagascar, dans le Sud algérien, en Syrie, en Irak (d'où elle rapporta un magnifique moulagt du Lion de Babylone exposé au Louvre), en Perse, au Mont Sinal, en Palestine, en Egyp. te, et en 1935-1936 aux Antilles et à ta

Guyane. On ne compte plus ses conférences faites toujours devant un public d'élite heureux de savourer sa charmante éloquence, l'ex-

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qui Levant, fut en Afrique du Nord, à Madagascar, au aux Antilles, en Guyane, Nous avons reproduit d'elle, il y a deux ans, une aquarelle dans notre numéro illustré sur les Antilles : Aux lies du Salut, Clle liuyalc. La Société de Géographie Commerciale, au sein de laquelle le général Brissaud-Desmailler dépense une si louable activité, u décerné à Mme Frémont la Médaille Fournier 1937, avec 'la mention suivante : Artiste peintre de gran-d talent, explora. trice des pays de lumière où elle est allée recueillir de magnifiques collections de la-

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la C. A. M. 1. A., conseiller municipal d'El-

Biar, commandeur de la Légion d'honneur, conduisait lui-mêmé sa voiture. Le C décembre 1935, entre Inkermann Oran, M. Aubertin

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jetait sa voiture contre un arbre,

et périssait carbonisé. Un passager, M. Henri Zaoui, agent général de M. Aubertin pour l'Oranie, échappait à cet accident. L'autopsie du corps de M. Aubertin fut négative, et les obsèque eurent normalement lieu. Depuis, à la demande de la veuve, une contre-autopsie révéla que M. Aubertin avait été assassiné trois balles furent en effet trouvées dans le cadavre. M. Zaoui, arrêté, a été écroue à la prison civile d'Oran.

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