Courrier de Tlemcen
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Courrier de Tlemcen. 1861-1924. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.
Trento-cinquièiB* année. —
BOURSE DE PARIS 2 Août 1895.
Dernier Cours au Comptant r\ Trois pour cent... 102 10 P- °/0 amortis.100 80 frcxrnp Trois RENTE 107 oo Tr(jis 1/3 p 0/Q 00 00 V Dernier emprunt
Madagascar Les nouvelles de la vaillante petite phalange que nous avons envoyée à Madagascar,nous arrivent, peu fréquemment. Le général Duchesne doit avoir des raisons majeures pour nous laisser aussi longtemps dans l'incertitude, mais comme notre confiance en lui est complète nous ne songeons .pas h nous en -plaindre., Une dépêche en date du 18 Juillet nous donne des détails sur le combat de Mévatanana. Disons d'abord que nous n'avons pas eu de blessés malgré le tir très-régulier des Hovas ; ajoutons qu'ils se battent fort bien et que s'ils étaient aussi tenaces que courageux, nous aurions fort à faire pour arriver à Tananarive. Les résultats brillants de la journée du 9 Juillet, nous les devons d'abord à l'effroi causé par nos obus à mélinite, puis au peu
TARIÉTÉS> « — —
Vieilles Anecdotes Le Maréchal de Colinot. — Un jour, le Maréchal dé Catinat se promenait dans sa terre en réfléchissant, comme s'était sa coutume. Un jeune fat l'aborde le chapeau sur la tête, tandis que Catinat î'écoûtait le chapeau à la main, et lui dit : Bonhomme, je ne sais à qui est cette terre, mais tu peux dire au seigneur que je me suis donné la permission d'y chasser. » Des paysans qui n'étaient pas loin riaient aux éclats. Le jeune chasseur leur demande d'un ton insolent de quoi ils rient? — «De l'insolence avec laquellevous parlez
N* 1800
(ALGÉRIE)
d'entêtement ou de fermeté de l'ennemi qui se bat merveilleusement mais se lasse très-vite de se battre. Nos troupes, pleines d'entrain, se sont disputé l'honneur d'arborer le drapeau sur les hauteurs du Rouve. Le bataillon de chasseurs à pied était désigné, paraît-il, mais l'élan des vieilles troupes de la légion étrangère a dépassé toutes prévisions, et lorsque le général Metzinger donna l'ordre de hisser nos couleurs, trois drapeaux ou fanions tricolores flottaient déjà; les légionnaires lesavaient arborés. L'élan a été ce qu'il devait être ; tirailleurs, chasseurs et légionnaires, grimpant par des sentiers ..de «chèvres,> sont arrivés presque simultanément, et, grâce à la rapidité de l'attaque, n'ont pas souffert de l'énergie de la défense. ,
Nous occupons actuellement la région de for, mais nos braves considèrent sans émotion ces blocs de quartz, et gouaillent volontiers les quelques travailleurs qui s'obstinent à. extraire des pépites trop peu nombreuses. La santé des hommes en marche est excellente ; nous ne pouvons en dire autant de ceux qui, stationnaires, nous paraissent résiau maréchal de Catinat. » Il retourne aussitôt le chapeau fort bas et s'excuse auprès du Maréchal sur ce qu'il ne le connaissaitpas. M Jen'è vois pas, dit Catinat, — qu'il soit besoin de connaître quelqu'un à qui l'on parle pour lui ôter son chapeau ! Et il lui tourna le dos 1 # # .#
Le CurêÀrlotio,—. Il y a longtemps que Ton a dit que la meil-
leure recommandation était l'argent : c'est ce que fit bien sentir un jourà ses amis Arlotto, curé italien célèbre par ses bons mots et ses plaisantes réparties. Ce Curé s'embarquant pour un ; voyage, fut prié par plusieurs de
Vendredi, 2 Août 1895.
der trop longtemps dans la région insalubre. On a tort de nous dire que la fièvre qui les atteint est sans grand danger. Nous la connaissons cette fièvre qui vous glace d'abord, vous inonde de sueurs ensuite et yous laisse inerte, incapable de toute oeuvre matérielle, et découragé jusqu'à ce que la mort qui en est la conséquence presque inévitable vous délivre des souffrances intolérables qu'elle engendre. Nous croyons pouvoir nous permettre une légers critique. Cjonïjmen-tl'absence d'eau, ex po-r se-t-il le commandementà n'expédier les'troupes que par bataillon •. unique?
Est-ce qu'il n'y a pas en rade de Majunga vingt-cinq navires immobilisés, impuissants ? Ils ont leur provision d'eau, je suppose ! Ne pourraient-ils en céder une partie? Nous disons oui ! car ils se muniraient assez rapidement pour n'éprouveraueunesouffrance. Aux combattants nous envoyons un bon souvenir de France ; aux malades nos sympathies.
L. R.
ses amis de leur faire diverses emplette au pays où il allait. Ils lui en
donnèrent des mémoires, mais il n'y en eu qu'un qui s'avisa de joindre l'argent nécessaire pour payer ce qu'il demandait. Le Curé employa cet argent de son ami conformément à son mémoire et n'acheta rien pour les autres. Lorsqu'il fut de retour, ils vinrent tous chez lui pour y recevoir leurs emplettes, etArlotto leur dit: « Messieurs lorsque je fus embarqué, je mis tous vos mémoires sur le pont delà galère, à dessein de les ranger par ordre ; mais il s'éleva un vent qui les emporta tous, dans la mer, ainsi je n'ai pu më souvenir de ce qu'ils contenaient.» Cependant lui dit l'un d'entre
ECHOS DE PARTOUT —«o»—
Appel des
Réservistes en
Sont convoqués en 1895 par voie d'affiches : Du lundi 23septembre au dimanche 20 octobre : Les réservistes du Contingent A Igérien de ta classe 1890, appartenant aux armes de l'infanterie, d'artillerie et du Génie. Tous les réservistes des régiments de zouaves sans exception rejoindront la portion princ;pale de leur régiment (Alger-Oran Constantine . Seront convoqués en 1895 par ordre d^'«ppels individuels : Du" lundi 26 août au dimanche 22 septembre 1 1" Les hommes du contingent français de la classe 1891 dispensés de l'article 23 de la loi du 15 juillet 1889 ; 2° Les hommes du contingent français de la classe 1891 dispensés, des articles 21 et 22 de la loi du 15 juillet 18891 Les; hommes du contingent algérien de la classe 1891. A des époques variables indiquées sur leurs ordres d'appel : Une partie des réservistes du Contingent français appartenant aux clases 1884, 1885, 1888 et 1889 suivant les indications portées sur leurs livrets. A l'époque fixée par le général commandant la divibioli d'occupation de Tunise : Lus réservistes du contingent algérien et ceux du contingent françaisdes classes désignées par la présente affiche, résidant ou domiciliés en Tunisie. Du lundi 23 septembre au dimanche .20 octobre: Les médecins auxiliaires de réserves ; les ajournés de 1894. Avis. — Tout homme ayant reçu un ordre d'appel doit se conformer aux prescriptions de cet ordre quelle que
eux vous avez apporté des étoffes à un Tel ? — 11 est vrai répliqua le Curé,' mais c'est qu'il avait enveloppédans son mémoire un nombre de ducats dont le poids em pêeha le vent de l'emporter avec les vôtres, qui étaient plus légers, ce qui a fait que je ne me suis souvenu que de ce qu'il m'a demandé. #
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Le lieu de mort des Ancêtres. matelot Un était près de s'em— barquer sur un vaisseau qui partait pour lés Indes. Un bourgeois qui se croyait apparemment plus sage que ce marin, lui dit : — Mon ami, où ton père est-il mort? —'Dans un naufrage répondit le matelot.
Le Courrier de Tlemceii
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École des Jeunes filles to bon citoyen d'adresser quelques tout soit la catégorie à laquelle il apparf Dirigée par Madame Gourcïer lient. paroles d'encouragement b( bonnes 1 aux (Suite). Prix Distribution, des j 1 Les hommes qui auront été convolauréats du Suffrage universel. ja i classé primaire. -- 30 Première .1. individuels d'appels ordrea qués par j élèves êi Nous verrons jusqu'à quel point : Mlles Julie Koubi, 13 fois avant la convocation normale de leur 1 Marguerite Seignon, 10 f. nommée* n inhérentes le les belles à répondreaux unité n'auront pas à promesses, conM. Biava,i2 f. n. M. Garidôu, 9 n n. steeple doivent vocations de la dite affiché. honorifique^ chase ci ce *- a. B, Havard, 8 f. n. Snra Acha'L à suivre Exemple è prises au sérieux. être ~ décret . ."• ehë, 6 f, n. Tala Touati, 6 f. il. Es-" % de la forlune Si tous les favorisés Les Médersâs. — Le qui Chouraqui, 4 f. n. L. Giannolij tîier félicitons sinattendant, En nous J réorganiG-... donné M. l'exemple la suivaient vient de paraître relatif à par 3 f. n. J. Roussel, 3 f* n. Eugénie Durréélecde Soipteur M. diminuecèrement article les sa bientôt "des dispose, c A... Méjdersas sation pauvres 3 f. n, pont, I _ '' I dans forte proportion. tion, raient l 2, que les Musulmans qui se présenet M. Pointeau de son légitime une 45 classe primaire. Deuxième j I lui de établi chez dans M. G... A... — admis être ces un lent pour un a succès. s élèves É I : Mlles Louise Botella, 9 fois bureau de bienfaisance. Le Dim^nétablissements doivent justifier du L. Pérelti, 10 f. n. M. Hîtiinommée. ' che, vous voyez les pauvres de toutes certificat d'études primaires élémen- I | ^ger, & f. n-. -Marie Benichou, 6 F. n, les nationalités, chercher des bons laites et subir un examen d'entrée. Eldin, 6 f. n. Mathilde BouLouise * bienfaiteur. le de bénissant pains, Les examens d'admission auront i gnol, 7 f. n. Berthe Chancogne, 7 f. 1 * Au nom des pauvres, M. G... A... lieu, cette année, dans les premiers L'électricité ] L. Pl'ammajou, 7 f. n. J. Duffau, IK Merci. ' jours d'octobre. La date et les centres 8f, n. Jeanne Camors, 7 f. n. Anna A signaler Nous venons de recevoir des rend'examens seront ultérieurement fiBenidiou, 5f. n. C. Chrislmann 6 f. seignements très intéressants d'une On demande la réparation des esxés, ainsi que les conditions d'âge et L. Front y, 5 f. ni F. Beiisôussen, n. du officielle, moins si î:Ja nature des épreuves. la place dés Victoires caliers de non source, pour 5f. n. Adèle Berge, 5 f. n. J. Gnédet, très autorisée. éviter des malheurs. E. Tihay. Aï. n. E. Génès, Âï'.n. L'éclairage électrique ne sera pas Avis à qui de droit. 4 f. n. M. Garidou, 4- f. n. Marie Ponabsolument terminé le 15 Août proce», 4 f. u. | chain, jour de l'Assomption reeen- 1l Incendies fête légale, mais il fera jJ Troisième classe, 45 élèves. — le quarlierdu Train des C'est Equicomme Inue Résultats du Scrutin de Dimanche dernier. I son apparition sur plusieurs points Mlles Berthe Landemaine, 11 fois militaires qui commence à pages -de la ville et dans les établissements nommée, Ramouna Amssllem, 9f. donner l'alarme. Avant-hier, vers 1 * où les appareils seront en état d'agir. Tlemcen {Î9* Circonscription) : heure du malin, le feu se déclarait n. L. Lévy, 10 f. n. Sada Amsellem, "Electeurs inscrits, 1308 ; Votants, i 9 f. n. Kemra Amsellem, 11 f. n. cette occasion, l'Harmonie Tlemdans un magasin contenant de la Aïchu Btnnroi.ss, 7f. n. Eslher Bers 841 ; Suffrages exprimés, 837 ; Fau- j cenienne se fera entendre sur une de paille et du fourrage. En quelques I K«moun, 81'. n. Noëlle Moine, 7 f. n. minutes, la pompe de l'Artillerie a nos places publiques. Avec une telle queux, 318 ; Soi pleur, 518 (Elu.) combinaison, les oreilles participeII Fortunée Darmon, 5 f. n. Cécile Confait cesser toute crainte. I Nemours {21* Circonscription.) des yeux. A 1 heure 21, les assistants parmi j treras, 5 f. n. Adèle Fournier, 4 f. n. 1 ront à la fêle Ont obtenu : Viviani,158; Pointeau, etc. elc. lesquels se trouvait M. Tedesohi, Fête de Bréa 242 (Elu) maire de Tlemcen, avec les officiers Quatrième classe — 60 élèves : 11 paraît que ce ne sera pas Ell'Artillerie du de Train des équiet Mlies Madeleine Roussel, prix d'honKalâa qui ouvrira la série des fêles, Nous recevons, avec prière de les insérer, pages ont pu se retirer sans avoir à 10 fois nommée, Delphine les lettres de remerciements suivantes : de villages pour l'an de grâce 1895.j neur, redouter une i éprise du sinisire. 9 f. n. Denise Blanc, 6 f. n. Jean, mis Bréa colons de sont Les se eu circonscription 10' Electeurs la de Auoe •'• Rose La font. 8 f. n. Edmée Ballaguy, mouvement, et c'est, leur j<»1 petitI Hiers, vers midi, l'agent de police Chers Concitoyens,8 f. n Madeleine Parédès, 6 f. u. centre qui arrive bon premier. Ce que3 ., Pages empoignait la corne d'alarme Muge Gaillard, 5 f. n. Marie MauTon s'amuse la-dedans ! La dislancee Jeyiens vous remercier del'honneur nier, 7 f. n. Ascension Gonzalès, 5 el le pas gymnastique. En effet, un n'est pas précisément longue, et laa que vous m'avez fait.en me renouvef. n. Julie Rogès. 4 f. n. Louise Chatas de paille de maïs venait de prentable est toujours bien mise chez M.[. lant le mandat de Conseiller général. dre feu, s:ins cause apparente, dans bunce.3 f. n. Oletle Harmelle, 4 f. n. Sylvain. Le vin du crû réclame dess D'accord avec mes collègues de noboulangerie dépendant de la DEUXIÈME DIVISION — Jeanne Mode d:gnes de une sève gosiers et sa a sa les affaires arrondissement tre pour maison Veuve Lichtenstin, située rue ralti, 8 ibis nommée, L. Christmam, filles, aussi IVfiîles ijeunes verdeur qu'en ; j'espère inté:essent, qui vous i Une Théâtre. du multitude de pér7 f. n. J. Matlei, 4 f. n. J. Domdemandent qu'avenantes, ches it ne associant nos efforts nous arriverons; I marlin, 4 f. n. L. Rollin, 3 f. n. J. sonnes et les pompiers se\ transpordes danseurs lestes et bien il que à de sérieux résultais. I campés. tèrent immédiatement-sur le lieu du Iieiiilz, 4 f. n. B. Petit, 3 f. n. Aimée H. SOIPTEUR sinistre. La pompe avait à peine foncBarisqin, 4 f. n. Emilienne Schmûtz, le Voilù ce que nos braves Colons de \\~\.i:-_lionne que xie commëii<^mwnli^d^nsA :A:p.--3CAni,^ii:t^J^G8tf>4^thï^e!^ de. Bileurs invités olïrent h. Bréa j. Circonscription 21'. delà Electeurs Aux ,j. hen, 4 f. nvÇtc. etc. etc. 7 manche, Lundi et Mardi prochain. "I cendie devenait une fausse alerte, Les dégûts insignifiants sont cou5™Kcldsse pnniàire le Mes chers Concitoyens, 65 élèves: Qui donc aurait le courage de — verts par la compagnie La Providence. Mlles G. Touaty, 12 fois nommée, refuser ? é A une très-belle majorité et malgré Mariage J. Chaibit, 11 f. n. M. Ansalleui 11 m'avezz une pression acharnée, vous Demain, à 4 heures de l'après-mif. n. M. Nornaiis4 f. n. J. Guissan, accordé votre confiance. Merci. [~ la même journée, mais sur Dans di, sera célébré, en l'Eglise de Tlem- I f. n. A. TérintyS f. n. Lucie Ben'i5 point, 2 J'en suis d?autant plus touché quee de ô heures l'aprèsautre un Duchône de Théomariage M. le l cliçu 11 f. n. D. Ansallem 6 f. n. E. cen> entendu faire midi, les Hommes surgissaient, mon nom tout sur n avez vous dore, employédecommerce, avec-MaCliduraqui 7 f. n. etc. patriotij_ civique manifestation et dans bois appartenant à , un a coup une dame Marie-Joséphine Thierry. Sixième classe primaire, 80 élèves. lieu dit Akbol el Youd. l'Etat situé au que. Nous prions les futurs époux et. Mlles Sultana Kemoun, 3 fois Malgré la promptitude des Et maintenant, aux amis commeie — secours j ils leurs familles d'agréer nos souhaits dis nommée, Marie Ferrer 3 f. n. J. je adversaires égarés, les indigènes d'Azelapportés : par aux et sincères félicitations. Ben Sadouir 3 t". n. L. Abi-am, 3 f. boun, Aïn-Douz, Imama, et de lai Tendez-vous loyalement la main; Tribu des Beni-Ournid, on n'a pux il. L. Charbit, 3 f. n. Marie Ben Ouverture de la Chasse :r et joignez-vous à moi pour travailler Le Préfet du département d'Oran, in, se rendre maître du fléau qu'à 63 ! Ghozi, '2 f. n. Marie Achaclie, 3 f. n. de concert au bien de notre chère re heures du soir. Chevalier de là Légion d'Honneur, I Nous croyons devoir répète r qu'on circonscription. iir, Les ravages causés par ce sinistre, Arrête : Louis POINTEAU. dont on ignore les causes, se sont't j n'a pas donné des prix aux élèves La chasse au gibier de passage el el étendus sur une surface de 10 hec-_ Maintenant que les luttes électora*te parce que les crédits affectés à cette >au gibier sédentaire sera ouverte ^ 'dépense sont insuffisants. "tir dans le département d'Oran, à partii tares environ. les sont terminées, il appartient à du Jeudi 15 Août prochain. MM. les Sous-Préfets, Maires, Adtninistrateurs, la Gendarmerie, la Police et lès agents du service forestier sont chargés, chacun eu ce qui le concerne de l'exécution du présent arrêté *
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Chronique locale
Conseil Général
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matelot, comment osez-vous donc vous mettre au lit puisque tous vos L. F. ancêtres y sont morts ?
grand-père ? Et ton —
il allait à la pèche i s'ëComme — levà une tempête si furieuse qu'il lut submergé avec la barque. bis-aïeul ? Et ton — périt aussi dans un navire qui Il — alla se briser contre un éçueil. donc, reprit le bourGomment — geois, ôses-tu te mettre sur mer, puis que tous tes ancêtres y ont pérï.? Il faut q^iie tu sois bien téméraire philosophe, reprit le male M. — telot, faites-moi aussi la grâce de médire où votre père est mort? Fort doucement dans son ht. -—Et vos ancêtres? manière, trèstran^ la même De — jquillement dans leur lit. Eh ! M. le philosophe, reprit le 1
En instance de divorce : -^- Je vous jure, M. le président, que mon mari m'a roué de coups. r^Lui ?.... un manchot ! --Justement, il me battait à bras raccourcis.
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du 2 Août 1895. Prix des Céréales—Cours d*. Tlemcen Blé dur . . Fr. 00^00 à 13.00 . . Blé tendre. . . 16.50 à 17.00; . . à;75 Orge nouvelle. 8.50 a . . . Farine (1" "qualité ) . 00.00- à 26.00 Farine blé dur 19.00 à 20.06 Semoule (1» qualité). 21.50 à 22.05 . Maïs. . • 9.50 à lO.OO . . . .
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CHASSE RÉSEEVÉI Passage Interdit
La chasse est expressément réservée sur la propriété PA.RIÉNTÈ sise à Ouzidàn. Le passage sur cette propriété et sur la routé qui y donne accès est égale^ ment interdit à tous piétons^ cavaliers et voitures. Un garde assermenté est chargé de verbaliser Gontre IQUS Gontrevenants.
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Axwillage : Quelqu'un disait l'autre jour JI une bonne femme de la campagne, qui venait d'enterrer son homme : mari est mort — Comment.11 ! votre sans secours ? n'y avait pas là un médecin ? ; chez nous -^ Ma foi ! non, monsieur nous mouronsnous mêmes.
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Un professeur de musique à son élève : Ce sol doit être émis d'un to» tragique avec des larmes dans la voix. sol pleureur ? dèman— C'est donc un de timidement l'élève !
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Pour rire un brin
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Bulletin commercial
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AVIS AUX CHASSEURS M. VABNCUS, fondé de. pouvoirs deMonsieur le Général Comte de Pitfay, informele public que la chasse est interdite sur la propriété de SidirYoussef> ainsi que sur les terrains situés à Sidi-Snoussi et près de Lamoricière.
• Rectification
Lorsque nous avons rota 14 le succès-- obtenu par le jeune Calderaro à l'examen du brevet de la langue arabe, nous avons omis de nommer son excellent professeur* Nou^ ne surprendrons personne en disant que l'honneur de ce beau résultat revient en grande partie à sou précepteur M. l'Emir Mâhmcud Ghe^ hab qui possède un secret merveilleux pour donner toujours à ses élèves de bons enseignements.
La propreté c'est l'hygiène
Le Courrier de Tlemcea accueilli comme un soulagement par tout lé quartier. Cette dernière can-^ tine surtout ne laisse rien à désirer sous le' rapport du vacarme et de l'impudence des... demo:sel!es. Si tous les propriétaires consciencieux se décidaient à suivre ce bon exemple, on he serait pas si souvent obligé de faire un détour pour éviter un spectacle écoeurant aux femmes et aux jeunes filles. Que sont donc devenus les arrêtés municipaux concernant lès bonnes de cantine qui trônent au comptoir elles -sirènes de bas étage qui s'attablent avec les consommateurs ? On peutife chaque instant les voir occuper un siège qui n'a rien de commun avec
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Etat-civil de Tlemcejii Du 21 Juillet au 1" Août 1895. —- «ô» —
NAISSANCES Giménés Miirie-^Marguerite ; Màklôuf Laïk ; Charbit Semha-Juîie ; Gôhe.n Berthe ; Djôuhaf Soussau ; Sanchez Antoine ; Juda Ghoukrôun ; Fredja Sa-^ doun ; Isaac Touati ; Ésther Aehddou. Musulmans. 15— garçons et 9 filles. PUBICATIONS DE MARIAGE M. El Gliaîi Médioni, commerçant, et
Ainsi que nous l'avons annoncé dans notre dernier numéro, la réouverture des Bains français pour ainsi dire abandonnés depuis longtemps une chaise. a eu lieu hier 1er août, dans l'ancienNe viendra-t-on jamais à bout d'un ne maison Gra nés, devenue la propriétel dévergondage ? té dé M. Gaspard Alamo, ; En disant que l'exploitation de cet En attendant cet heureux jour, établissement de première utilité est nous souhaitons aux nouveaux Bains confiée aux soins de M*"e Theuma, français, à la maison Gaspard Alamo ! bonne chance et longue prospérité. nous sommes certains que la confiance de la population Tlemcenienne est acquise d'avance aux Bains lrançais. ENQUÊTE Lés locaux, le matériel, notamCommodo et Incommoda» de appareils les hydrothérapiques ment Le Maire de la ville de Tlemcen a les remis neuf. D'ailleurs, été à ont l'honneur d'informer Te public qu'une installations f lites par le défunt prode commodo et încommodo enquête " de priétaire-constructeur cet immeu- I est ouverte sur le projet de construhle ne laissaient rien à désirer. Il y bouches et ction de trottoirs avec manquait un peu de bon entretien, branchements d'égouts dans les rues qui, à l'h«ure actuelle, est largement de la Paix, Ximénès et des Ecolesassuré. Le projet ci-dessus visé avec lés lingerie, Quant à la aux fournitures * pièces à l'appui au bureau de la petite inhérentes à ce service extrêmement voirie sera- déposé pendant quinze délicat, à ses menus détails, nous du jours, 6 jusqu'au 20 août inclusive- : pouvons nous reposer sur l'intelliles habitants puisment, pour que de le goût M"1* Theuma. gence et connaissance les prendre sent tous en Notre ville ne possédera qu'un seul jours de 8 à 11 heures le matin et de établissement de bains français, mais 2 à 5 heures le soir. il tiendra son rang. A l'expiration de ce délai, un com# missaire enquêteur, désigné a cet effet # # Nous ne terminerons pas cet artipar M. le Sous Préfet, recevra à la-cle sans remercier sincèrement M. ' mairie pendant huit jours, savoir : Gaspard Alamo du nettoyage qu'il a 1 Les 21,22 et 23 Août, aux heures d'oudéjà préparé. Le congé donné par Iverture des bureaux, les observations lui aux débitants de la pince Mustaqui pourraient être faites sur le dit pha et deia rue de Sidi-Bel-Abbès est projet.;
Dlle Esther Benhamou. M. Duchêne Jules-Théodore, employé de commerce, et Dame Thierry Mane-Joséphine. M. Ravira Miguel, ïaaçon, et Dlle Llorel Franeisea. M. Lehuédé Guignolay-Marie, tailleur de pierres, et Dlle Ferazzini Françoise. M. Moulinier Joseph-Emile-Jean, Brigadier maréchal-ferrant au 2'n• Régiment de Chasseurs d'Afrique, et Dlle Laurent Joséphine. M. Ichoua Médioni, musicien, et Dame Messaouda Charbit. DECES Irène-Ma, Ferrere 4 ans et 1/2 ; Rossi Marie^Louise, 1 an ; Mariera ben Sakoun, 8 mois ; Mendil El Bahr, 70 ans ; Chelomo Lévy, 18 mois ; Nessim Laïk, 90 ans. Musulmans. — 10 hoinm%s, 8 femmes 12 enfants, et 1 mort-né.
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Une nonne digestion est cer-
tainement une excellent chose, quand elle fait défaut, essayez des Pilules Suisses.
Leçons de Musique M. GOUGHOLTZ, ex-chef de fanfare en retraite, a l'honneur d'informer le public qu'il vient de fixer sa résidence à Tlemcen, rue de Lamoricière, et qu'il donnera ù domicile des Leçons de Solfège de tous instruments de Musique
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