Le Figaro (Paris. 1854)
Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France
Le Figaro (Paris. 1854). 07/06/1931. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.
DIMANCHE
SOMMAIRE DE FIGARO Les Cours, les Ambassades, le Monde Henri Omessa Le visage de et la Ville. Les courses la Corse, Calvi et Ile-Rousse.
PAGE 2.
de lévriers.
PAGE
3.
Le Vatican et le fascisme.
Dernière Heure Gazette des tribunaux. La Conférence du travail et le dumping soviéLes libéraux roumains et le ministique.
Revue de la presse. A l'Exposition coloniale: Le tournoi PAGE 4. G. Claretie Le docteur Laget de football. Nouvelles devant les assises dt l'Hérault. Jean Gaument et Camille Ce .militaires. Echec au roi. Maurice d'Ocagne, de l'Académie PAGE 5. des sciences L'ascension de Piccard et KipBaron Ernest Seillière La morale du fer. tère Jorga.
freudisme. J.E. Blanche Méréville. Les Alguazils Courrier des lettres. Richard PierreFigaro Film. PAGE 6. Bodin Chronique des cinémas de Paris. Star internationale, .^rp Françoise Rosay
Gala cinématographique.
Déplacements et PAGE 7. Les spectacles. villégiatures des abonnés de Figaro. PAGE 8. La Vie sportive.
..LA POLITIQUE
<
.,t,
1 p,
Les
se font
La tence. ^|pg|~
UIE,ECXXO3ST..• 3-4. ItOITID-FQjCîSf ^C Ï3ES
7 JUIN 1951
essais à nos frais,
AUX
BULLETIN DU JOUR
Le nouveau manifeste La
Eloquence
Mangin
du Reich
Aujourd'hui, la mémoire du général. Mangin reçoit une preihière réparatioii officielle et publifidèles, soucieux de que. Tous les cœurs français Tandis que M. Bruning et M. Curtius reçoi- justice et de vérité, anxieux de l'avenir prochain, d'un même souvenir. Ce souvenir vent à Chequers la cordiale hospitalité du palpitent autour resrien au rayonnement de ceux qui retire gouvernement r.e le britannique, ministre l'inoupremier de lui. Les Maunoury auprès plendissent il lequel dans se bliable vainqueur de l'Ourcq allemand publie un manifeste les Humbert, les délidéclare décidé, en tout état de cause, « à les Berthelol, les Maud'huy, ont Cary, Langle de de la charge des réparations, leurs noms gravés au plus profond de notre admivrer l'Allemagne ration et de -notre gratitude. Mais Mangin, lui, devenue intolérable ». de la haine et de Une fois de plus, l'Allemagne renie sa signa- primus inter-pares, eut à souffrir l'évolution de notrop clair dans ture et se dérobe à ses engagements. L'Allema- l'envie. Il voyait temps, à la fois en soldat et en citoyen. Surgne trouve de l'argent pour cautionner le plan tre «somme à; travers les tumultes le champ de bataille préparer pour de guerre sa,reMoscou attade ou la cité il fut le point de rj^ire d'immondesrythme de un posséder plus .e vanche, mais elle affirme ne ques. Combien les heures présentes et le mark pour réparer les torts et les dommages de l'univers nous rendent sensibles sa perte, son t qu'elle a causés. La faute en. est, déclare-t-elle absence et ses leçons• qu'il consacra à la croiavec une magnifique -désinvolture, à« l'évoluA la fin de l'ouvrage tion économique du monde ». Et il y a à Paris sière qu'il fit, en 1921, sur le Jules-Michelet, « autrouve ces lignes^ et à Londres quantité de gobe-mouches pour tour du Continent latin », on sera assurée la paix le Rhin que tomber dans ce panneau «. Ce n'est que sur sont-ils du monde et que se résoudra le problème des réLes malheurs de l'Allemagne Que pendant parations et de la sécurité. Comment ?Par la consauprès de ceux de la France envahie transformatitution d'un Etat autonome et par dépeuplée ? saignée, brûlée, ravagée, quatre ans, tion de l'Allemagne, qui cessera d'être prussienne tel français est que nous et d'apporter ainsi une perpétuelle menace à la Seulement le caractère martyre provinces de nos paix du monde. Certains de nos alliés n'ont pas avons déjà oublié le dévastées. Les Allemands se souviennent encore encore compris l'évidence de cetteellevérité, peutapparaîtra des incendies allumés dans le Palatinat par les être ouvriront-ils les yeux quand événements qui se succésoldats de Turenne il y a trois siècles les Fran- au monde entier ». Les donnent à ces paroles un depuis dix ans çais ont oublié les déportations, les pillages, dèrentlugubrement prophétique. S'adressant « à la les destructions systématiques opérés par les sens jeunesse », le 13 juillet 1922 lors de la distribu-
'
la
Un de nos confrères a ouvert une enquête sur les formes modernes de l'éloquence. Quelle est, demande-t-il, l'influence que peut exercer la radiophonie sur l'art oratoire?'1 Déjà l'éloquence continue ennuyait Pascal. Même discontinue, convenons qu'elle ne divertit guère un nos contemporains. L'auditeur est aujourd'hui qui veut homme occupé, pressé, parfois bousculé, et qui croit comprendre vite. La, prolixité luiest insupportable. Ce qu'il,demande à l'orateur, quand il consent à écouter, c'est de le renseigner d'une manière précise, rapide et complète. Vite et tout. Lé sujet doit être abordé de front, franchement délimité, analysé sans développements- ni fioritures. Comme la musique, la mode ou la poïitesse de notre temps, l'éloquence tend à élaguer tout ce qui n'est pas essentiel. Je vois dans. cette adaptation d'un art traditionnel aux nécessités contemporaines une marqué singulière de vitalité et je ne consens pasà gémir de cette prétendue décadence. Vous Pavouerai-je ? La période cicéronienne me laisse froid et je pense bien qu'aujourd'hui elle risquerait d'assoupir le juge et de compromettre le procès. L'orateur moderne, s'il sait son métier, sera simple, incisif, dépouillé, et finira son discours à la minute, même où
_-i%^>»
tion des prix du lycée Saint-Louis, Mangin s'écriait « Personne dans notre pays ne désire !a guerre, j'en atteste nos quatorze cent mille morts. Toute pantelante encore de ses glorieuses blesest pacifique en sures, la France de la victoirepour sa défense et 1914, elle n'a tiré l'épée que c'est résolument qu'elle l'a remise au fourreau. envers nos descendants. Mais nous devenons Mais devant elle l'agresseur d'hier semble capablee incapables de surmonter cette abominable lé- de nouvelles folies brutales.» C'était avant gèreté qui nous induit à ne vivre que dans la Hitler. Dès 1920, à la fin de l'étude historique minute présente, à sacrifier l'avenir et la péren- Comment finit la guerre, on lit « L'esprit de nité de notre race à notre tranquillité et à nôtre l'Allemagne unitaire n'a pas changé Jet les univerégoïsme. Quels comptes les générations futures sités l'entretiennent avec ferveur leurs pràfesdemanderont-elles à un homme comme M. seurs continuent à enseigner que le Reich doit le monde pour1 le' plus grand bien de Briand de ses concessions'et de ses abandons gouverner ^humanité, que' sa population et sa surproduction sur lesquels il a édifié son prestige éphémère donnent le droit de s'approprier par la guerre Ses avocats nous renvoient à la force des lui des territoires et des marchés nouveaux, que d'ailaujourd'hui le choses, et, comme dit gouverne- leurs elle n'a pas voulu la guerre et n'a pas été ment du Reich lui-même, à l'évolution écono- vaincue, enfin qu'elle se relèvera après ses malmique du monde. Répondons-leur, avec le chan- heurs de 1918 comme après la défaite de 1806 celier Bulow « Les hommes d'Etat qui croient deux conceptions du monde continuent à s'oppo» Et Mangin concluait « L'unité de l'Entente au cours forcé des événements ont toujours ser. précipité les peuples vers les défaites et vers est la meilleure garantie de la paix ». Le Lorrain Charlés-Mar;e-Emmanuel Mangin les catastrophes. Le courage et l'adresse peureste un de nos chefs," La science des armes et la vent améliorer la pire situation » Répondons- logique civique existaient en lui à dose égale. Son parlér Pourquoi Napoléon leur, avec notre « exemple et son enseignement servent toujours, par destin. toujours du destin la politique est le » delà la tombe, le pays auquel donné sa vie et Mais n'avons-nous pas perdu complètement la légué une postérité qui le tradition et l'idée même de la politique. La nôtre Gaëtan Sanvoisin.
Peut-on dire qu'en née d'économie européenne ait donné de grands « apaisements » aux auditeurs ? Loin de là. Certains ont emporté de tout cet effort de collaboration une inquiétude de passants entraînés dans le brouillard au milieu d'un chantier de construction. Genève fabrique en série des comités d'études, essaie des ententes, prépare des organisations, met sur pied des systèmes. Cependant les peuples agités, appauvris bonheur est plus par les crises, se demandent si leur grand et la paix 'mieux assurée qu'au temps où elles les nations ne s'étaient pas mises en Société vivaient alors sans anticipation continuelle, sans essayerie internationale. Ces grandes nouveautés ne seraient-elles pas, par hasard, de l'ordre de celles s'est appelée, depuis l'évacuation de la Ruhr, qu'imaginait le paysan de la fable, mettant la citrouille à la place du gland ? Avons-nous quelque « passivité ». Pour en sortir, il faudrait, il est vrai, échapassurance que le fruit pesant ne tombera sur nous ? à ce faux dogfme, à cette utopie de l'interM. C.-J. Gignoux, qui interrogeait le gouverne- per nationalisme économique avec lequel Allemands ment sur la 'sâuvegarde des intérêts nationaux dans la coopération financière européenne, ne paraît et Bolcheviques ne cessent de nous faire chan1 Il n'est pas si sûr que le salut de l'humapoint en être certain du tout. On connaît la modédifférenciée ration d'esprit et d'opinions du député de la Loire. nité soit là plutôt que dans la vie H a le goût de la litote et de l'euphémisme. Son des nations, forte et limitée à la fois Un hisclair discours n'en produisit que plus d'effet. Il torien rapportait dernièrement un mot capital compatriotes au cours montra là Franée, si peu secondée quand sa mon- de- M. Lloyd George à sesavez voulu les marchés « Vous naie était en péril, toujours prête à venir en aide aux de la guerre nations d'Europe. Mais cet. orateur, par ailleurs si du monde pour les produits de votre industrie bien informé, se demande si nôtre politique en ma- et vous risquez de-mourir de faim dans votre ile tière de créditsaux Etats d'Europe est « cohérente à moitié vide de cultures. Revenez à la terre comment est l'Angleterre a fait fausse route. » Le chômage et bien déterminée ». Il voudrait savoir qui a succédé à la guerre ne confirme-t-il pas résolu le problème des garanties. Il pose cette ques- imprudences laquelle, hélas il a été souvent répondu avec une nouvelle force la parole de M. Lloyd tion, dans les campagnes menées par notre directeur sur George ? N'imitons pas l'Angleterre dans ses LUCIEN Corpechot. la protection de l'épargne « Les emprunteurs ontils au moins tenu leurs engagements antérieurs ? » La France qui, depuis 1922, a dix-huit fois ouLe Brix et Doret à l'assaut des records vert des crédits extérieurs, rencontre-t-elle en échange du pas, attend sinon de la reconnaissance, elle n'en moins des procédés obligeants ? L'hostilité montrée aviateurs Le Les Brix et Doret, pilotant le à ses candidats au conseil d'administration de la dominent Trait-d 'Union, mis à leur disposition par M. FranBanque des règlements internationaux, où s'envoleront d'Istres ce matin dimanles capitaux français, est suggestive. Tous les pro- çois Coty, che, aux premières heures de la journée, si le jets élaborés les uns par-dessus les autres à Genève temps le permet, pour tenter de battre le record rejettent sur notre pays la quasi totalité des charges. du monde de distance en circuit fermé. Quand il s'agira de contrôler les organismes nouLe Trait-d'Union tournera sur le circuit habituel Nîmes-Montpellier. veaux serons-nous évincés encore P.-E. Flandin, M. Le ministre des finances, relui France vaut connaît que « la prospérité de la Le Prix de Diane plus d'envie.que d'admiration» et que contre son or 111. les offensives se succèdent. Cette « ruée vers l'or se dispute cet après-midi à Chantilly français », si fortement dénoncée par l'interpellal'injustice. teur, il ne la nie point. Il en démontre Mais il paraît, malgré son flegme ministériel, aussi Voici venue l'importante journée où, chaque préoccupé de ces choses que l'orateur auquel il hippodrome de Chantilly répond. Le beau château de cartes 'décrit ensuite printemps, le magnifique le système ouvre ses portes à l'occasion du prix de Diane. dont François-Poncet André M. par II est de tradition que là course soit captivante et d'intervention fut fort approuvé par MM. Blum susceptible de donner toujours lieu à un bel imest destiné à contrebattre la menace prévu. C'en est assez pour avoir toute la faveur de et Bedouce de l'union douanier- austro-allemande. Il ne l'em- là foule. Cette année, cependant, il semble que la situapêchera pas mais il ne sera pas sans nous coûter ce plan tion de la favorite soit particulièrement prépondes millions encore on sait les plaintes eue les agricul- dérante. En l'absence de sa compagne d'entraîne« constructif» a soulevées déjà parmi ment, Brulette, qui vient de faire triompher l'élefrais. teurs qui se refusent à en faire les Oaks, Pearl Cap a bien l'air Rien de cela n'est rassurant. II" est vrai que si vage français dans lesune classe ses rivales, pourde toute l'on détourne les yeux de l'économique vers le de dominer Ses solides états de service ne nombreuses. tant allemands à ministres les aperçoit politique, on permettent logiquement que de la considérer des revision la menacé, Young Chequers, le plan comme imbattable. Si elle devait être vaincue développe qui communisme le réclamée, se traités peut-être par une Campasse, une Célerina ou une l'AlleExtrême-Orient, d'une façon effrayante en Circassie, ce ne serait donc, à notre avis, qu'un qui Roumanie la et accident et même un regrettable accident. Pearl magne qui « causeavec Cap est aujourd'hui indiscutablement, la meilcollabore avec les Soviets, etc. du lot. Tout bon sportsman doit souhaiter Les résultats économiques paraissent consolants. leure sa victoire, quand'on les compare,
ter
à
?.
ses obligations
pour haut-parleurr
troupes d'Hindenburg il n'y a pas quinze'ans Et je n'arrive point pour ma part à regarder ce de mémoire comme une vertu 1 Le manque Chambre a entendu vendredi des droit que nous avons d'exiger réparation du orateurs éloquents et pleins de compé- mal qui nous a été fait est en même temps un Le sujet était considérable la devoir, un devoir envers les morts, un devoir
restauration financière européenne et les besoins de l'économie française. Sujet si vaste qu'il parut à tous, interpellateurs et interpellés, dépasser les limites d'un ordre du jour. Quand chaLes micun eut tout dit, on partit sans conclure. nistres, modestes, ne demandèrent nul satisfecit. Ni louange ni blâme. Le débat reste ouvert, à jamais, sur l'infini de l'avenir obscur attendant WSEftexeette Jour-
L'Allemagne se déclare incapable d'exécuter
BILLET BE MINUIT
INVALIDES
gloire de
DIMANCHE 7 JUIN 1951
CHAMES-BLTSÉE5
;
s'arrêtera sa
pensée.
•'••
De cette transformation, la vie moderne toutentière est responsable.Le haut-parleur, la T. S. F.
n'y sont pour rien. Je crois d'ailleurs qu'il faut distinguer avec soin les effets de l'un et de l'autre. ;?*•. --K:V V^V
Le
:ï:.
:
haut-parleur ne rompt pas, il relâche seule-
ment le lien qui unit le public et l'orateur. Celui-ci moins,se trouve est présent, l'auditeur le voit ou, dul'ascendant de sa mêlé à une assemblée qui subit instrument merprésence réelle. Le haut-parleur, imperfections, veilleusement commode malgré ses permet de réunir' des foules dans' là communauté d'un même sentiment ainsi la puissance de la parole se trouve multipliée, mais ce gigantesque portevoix, qui d'ailleurs déforme et souvent trahit; ne modifie pas les règles, éprouvées de l'art oratoire.Elles, sont, au contraire, bouleverséespar la T, S. ¥., dont-le développejaentexercera,j'ejx suis sûr, une action décisive; tous les genres littéraires, depuis la tragédie jusqu'à la conférence, devront se plier à ses exigences/et là humaine, longtemps opprimée par l'écriture, retrouvera peut-être
î.
Un
Le manifeste du gouvernement au peuple allemand, qui a été publié hier matin et auquel nous faisons allusion plus haut et qui sert de préface d'abord que l'esau texte du décret-loi, constate crise économique, poird'une amélioration de la au printemps ne. s'est pas réalisé il déclare que l'Allemagne ne peut se tirer seule des difficultés dont souffrent même les Etats vainqueurs de la
guerre. Les conditions dans lesquelles l'Allemagne avait accepté des engagements internationaux ne se sont à l'écopas maintenues. « Les réparations enlèvent nomie allemande, affaiblie par la guerre et i'inflation, les capitaux dont elle attrait-besoinpour vivre de capitaux signifie et se développer. Le manqueentreprises, chômage, fermeture ou restriction des diminution des revenus 'wticuliers et de ceux de TEtat.» Les réparations diminuent en outre la capacité d'achat de l'Allemagne sur les marchés mondiaux et l'obligent à des mesures de combat dans le domaine du commerce international. Le gouvernement s'élève contre l'accusation formulée contre l'Allemagne de n'avoir pas mis en ordre son budget. Sa situation l'oblige à prendre les mesures contenues dans le présent décret-loi et qui. portent les restrictions budgétaires à 1 milliard 500 millions de marks depuis un an. Ces mesures seront les dernières. € Nous avons fait tous nos efforts, conclut le "manifeste, pour répondre aux engagements résultant de notre défaite. Nous avons recouru également à l'aide de l'étranger. Cela n'est plus pos-
avec elle son originaire primauté. L'homme qui parle au micro est fort intimidé. Au lieu de visages vivants, il n'a devant lui qu'un disque énigmatique, semblable à l'œil inquiétant du Cyclope. S'il n'est pas bien sûr de lui, il fera bien de préparer un texte pour s'y reporter en cas d'alerte. Le son même de sa voix répercuté à travers l'éther jusqu'aux oreilles invisibles partout tendues vers lui risquera, s'il est doué de quelque puissance de rêve, d'ébranler en lui d'émouvantes imaginationsqu'il sera prudent de surveiller et de refréner. Qu'il affermisse son cœur et. sa voix 1 Que articulation soit d'une impeccable netteté 1 son qu'il lui faut, ce sont des phrases courtes, caCe dencées, musicales. Il ne pourra suivre dans lés EN MARGE regards et les attitudes les réactions de son public. La toux, les conversations, le bâillement plus ou moins discret ne lui apporteront plus leurs sévères avertissements et leur invitation salutaire à l'exadoit donc men de conscience. Au micro, l'orateur il n'abordera redoubler de vigilance et de sévérité; 'i'iiii.n&Z Ljii ÙùitlM].. '' -f que les grands thèmes, capables d'émouvoir, de x, :"'On trouve le Buckinghamshire au milieu d'une nature prendre l'auditeur; il s'abstiendra de toute recherrobuste et policée quia les vertus de la Tâce, Quand' "on che de l'effet; fuira l'esprit des mots et constamfaire -<ta» ment fera 'appel aux belles,unanimités nécessaires. a passé Wendover, on n'a plus 'qu'ufleJliêtJê à tournant de la route, Cette éloquence doit être comme une grande peinun chemin plafonné de verdure. A un le. château, montre.sa façade rpse masquée de lierre. Du tur-e styl.e.^Sudot:rde< bonne coupe. -_ encore ses jm “• ,-v- -^ir.offert '•s "La 'littérature de la T. S. F. cherche' hardiment dans formules. Aux jeunes de marcher Il y a dix ans, lord et lady Lee dBtFjtfehaïn ont les voies nouvelles où ils les trouveront. ce château à l'Angleterre, en manière d'action de grâces, pour que .le « Premier s>: anglais puisse Venir: s'y reposer Mestre. Ils ajoutaient qu'il pouvait
sible. Le recours aux dernières forces et aux dernières réserves de toutes les classes de la population donnent au gouvernement allemand le droit et lui fait, vis-à-vis de son peuple, un devoir de proprivaclamer à la face du monde la limite des peuple tions que nous pouvons imposer à notre est atteinte les conditions dans lesquelles le nouveau plan a été adopté se trouvent démenties par l'évolution économique du monde. » Ce plan n'a pas apporté au peuple allemand l'allégement qui lui était promis de l'avis de tous les Intéressés le gouvernement a conscience que la situation économique et financière du Reich l'oblige, de façon impérieuse, à délivrer l'Alleintomagne de la charge des réparations, devenue lérable. L'assainissement économique du monde
''
en dépend également. >
Le texte des décrets-lois suit cette proclamation. des Il est à peine besoin de souligner l'impopularitédéfimesures édictées en apparence pour parer au
cit du budget mais qui trahissent, par leur caractère
l'exaspération l'opinion allemande, soulevée contre le plan Young. Que l'on songe à la fureur des fonctionnaires dont les traitements sont réduits de 4 à 8 /0 des pensionnés de guerre à moins de 30 0/0 d'invalidité, dont les pensions sont supprimées des troupes de la Reichswehr, amputée de 50 millions de marks or dès consommateurs qui voient l'impôt sur le
tardif, l'arrière-pensée de pousser
il continue.
''
'«
fresque. Achille
des fatigues du pouvoir. se gouvernement, eût d'humbles origines faire que le chef du les reppelleràit vieilles traditions et qu'ainsi 'Chequers lui de son pays. Ils ajoutaient aussi cinq millions pour subvenir à l'entretien de ce château et ce domaine de cinq
Le cabinet Rënkiri
cents hectares.
Au bas de la terrasse fleurie de roses blanches s'étend le jardin hollandais. Entre ses dalles où des mousses de couleur amortissent les pas et les regards, rosemary, baume, lavande et marjolaine jettent des teintes et des odeurs légères. Ce parterre :est aussi un pastel. Devant l'autre façade du château s'étend la pelouse classique, d'un vert acide, strictement rasée et coupée de lignes blanches le tennis. Au delà, une allée profonde conduit au verger, et une autre' vers le domaine. Il s'étend à perte de Quand on entre dans le château'on est accueilli par un portrait de Cromwell enfant par Reynolds. Cromwell aussi habita ces lieux, et son souvenir, est partout. Voici dans une vitrine des lettres de sa main une grande écriture brutale où, sans être; graphologue, on démêle facilement les sautes d'humeur dans la bibliothèque dorment les épées à garde d'acier avec lesquelles il faucha ses ennemis « comme du chaume"' fourni par Dieu ». /testament Espérons que cette relique :n'esfpas un des Gains'des'' Rembrandt, politique. Aux murs, entre borough et des Romney, s'alignent les blasons de tous les maîtres successifs de Gheqaers» Le dernier est un simple écu où .sont inscrits ces «lots•: La Nation, 1021.
vue.
On peut repasser toute l'histoire de l'Angleterre en contemplant ces souvenirs qui vont de la vaisselle d'ar-
gent
de
la Grande Armada aux pistolets d'arçon que
portait Napoléon.à Waterloo. Mais, dehors, un paysage
généreux, doux et immuable, enseigne aux hommes la paix des .choses. Les sujets de méditation ne manquent C. pas aux hôtes politiques de Chequers.
J.
9 JUIN LISEZ « L'Ami DES Sports»
MARDI
Directeur PARIS 0,10
FRANTZ-REICHEL.
DEPARTEMENTS -«,16
à
marks par 100 kilos et les huiles minérales frappées de nouveaux droits d'entrée; des chômeurs, dont l'allocation est réduite de 5 0/0 des salaires de tous ordres, assujettis à l'impôt dit de crise, de 1 à 4 0/0 Tout cela pour l'économie aléatoire de 574 millions de marks. goutte d'eau dans le torrent démesurément enflé des dépenses du Reich, qui a obtenu, sucre porté à
Une visite à Chequers
à
manifeste du gouvernement
21
presque sans discussion, le vote des crédits pour le
deuxième cuirassé de poche, la plus coûteuse et
perfectionnée des unités de toutes les marines du inonde,
î
présence de certaines disr reste rêveur en positions de ces décrets-lois, qui allègent les charà ges de l'agriculture limitent la durée du travail 40 heures par semaine fixent à deux mois le terme
L'on
d'existence du syndicat des charbonnages de la Ruhr, ce qui signifie la suspension des livraisons en nature à brève échéance accordent enfin aux chemins de fer du Reich 200 millions de marks de subvention pour des travaux dont le caractère stratégique est camouflé par le prétexte d'assurer des
Jules Renkin vient de constituer, à Bruxelles, commandes aux industries allemandes Mais son enfant, Si nos pacifistes ne savent pas lire entre les un ministère catholique-libéral. n'est pas né sous lignes, ce n'est point faute au Reich d'être clair. laborieusement mis au :monde, d'heureux auspices. Une vie difficle et particulièrement semée d'embûches lui semble d'ores et M.
déjà
promise.
Peut-être favorisera-t-on ses premiers pas et lui permettra-t-on d'atteindre les vacances parlementaires ? Cette trêve, qui pourra lui donner un certain répit apparent, sera cependant bien illusoire. Elle permettra aux difficultés de toutes sortes de s'accumuler, de former. un obstacle infranchissable. Au moment où il croira pouvoir prendre son essor, et se lancer dans la vie, l'enfant de M; Renkin risque fort de se casser le nez. Le Premier belge aura alors abandonné ses illusions tet' laissé aux ronces du chemin son souriant,optimisme. La question des langues et la question militaire, sont voilà le double nœud de toute l'affaire. ;Ge elles qui ont naturellement causé la chute du' cabinet Jaspar. Ce sont elles qui ont donné le plus de difficultés à' M. Renkin dans les négociations qui ont précédé la formation de son ministère. On a déjà dit que le nouveau gouvernement était constitué «sous le signe de l'équivoque, du marchandage et de l'imprécision ». Son chef ne paraît pas, en effet, être parvenu à'^ùne entente franche et nette entre catholiques et libéraux. On le jugera; bien entendu,.à son programme tendances et à ses actes. Mais M. Renkin très flamingantes. Voilà ce qui nous inquiète. Car peut-on dire que tout cela est affaire entre Belges et ne nous regarde pas? Rien de ce qui intéresse actuellement nos amis ne nous est étranger. La question linguistique, c'est la question de la, culture française quant à l'organisation défensive du territoire belge, pouvons-nous, après l'expérience de* 1914, la regardée d'un œil indiffé-
des
rent?
;•-
Premières conversations juin.
Après avoir reçu, ce matin, à l'ambassade d'Allemagne, les membres de la colonie allemande, et avoir suivi, du haut des balcons de l'ambassade donnant sur le Mail, le défilé à cheval du roi George V et des princes royaux se drarendant à la cérémonie annuelle du salut au accompeau de la garde, MM. Bruning et Curtius,fonctionpagnés du baron Plessen, de M. Plpnck, naires de la Wilhelmstrasse, et de l'interprète Schmidt, se sont rendus en automobile à Chehier quers, où les attendaient M. Macdonald, arrivé Foreign d'Etat soir M. Henderson, secrétaire au Office, et M. Graham, président du Board of Trade, 'LONDRES, 6
arrivés ce matin. Lès deux ministres allemands, qui avaient emportéavec eux pas mal de bagages, arrivèrent à Chequers une demi-heure environ avant l'heure du déjeuner, auquel assistèrent, outre les trois ministres anglais et les cinq voyageurs allemands, Mme Henderson et miss Ishel Macdonald, fille ainée du premier ministre. Immédiatement après l'entrée de MM. Bruning et Curtius, les portes de Chequers ont été sulidement cadenassées, afin d'éviter les importuns. Des instructions spéciales ont, en outre, été données au bureau des postes qui assure les communications téléphoniques avec Chequers de ne brancher sur la résidence officielle que les appels strictement personnels, ou émanant des ministres. Pour plus de sécurité, la garde de police autour de la résidence a été triplée. commenLes conversations proprement dites ont ministres cé seulement après le déjeuner, lorsque les britanniques et allemands passèrent au fumoir. On croit savoir que les entretiens ont porté sur-
tout sur la situation financière actuelle en Alle-
magne. Avant l'heure du dîner, M. Macdonald et ses invités ont fait une promenade dans les jardins de la résidence les conversations ont repris peu après le dîner et se poursuivront de nouveau demain matin, après le retour des ministres allemands qui ont exprimé le désir de se rendre en automobile à Ylésbury, à quelques kilomètres de Chequers, pour Î:les assister au service religieux. Il est prévu que ministres allemands quitteront Chequers immédiatement après le déjeuner de demain, de façon à rentrer à Londres vers le début de la soirée. A ce moment le Foreign Office publiera un communiqué officiel laconique sur les conversations. Il avait été primitivement décidé que MM. Bruning et Curtius recevraient les journalistes dimanche soir. 11 semble que es soit à l'instigation du Foreign Office qu'on ait finalement décidé de s'en tenir à un simple communiqué officiel.
Les Cours, les Ambassades, le Monde et la Ville
Mr Gordon, lady Sperment, Mr et lady Olcott, M. et Mme Morlock, sir Walter de Frece, Mr Rhodes, Mr Cars, Mr Woinyurith, Mr Saylord, M. et Mme French, M. et Mme Herbert.
Herbert.
DU TOUQUËT
Gregh, M. Dufy, M. Kœchlin, M. et Mme Roger
Lyon, gnées par MM. A. de Fontenay, de Ch.-A. de Waziers et E. de Quénetain.
La Masselière,
R. N. Coudenhove Kalergi, président central de M. Maurice l'Union paneuropéenné, accompagné de sa famille, se sortie de l'église, le cortège était ainsi compose A la important LL. MM. le Roi et la Reine d'Angleterre ont donné, Naissances Guy de Fontenay et baronne Guy de Fontenay, rendant à Londres où il doit prononcer undescendu baron à à Buckingham Palace, un grand déjeuner auquel assiscomtesse A. de Pitray, comte A. de discours, s'est arrêté au Touquet, où il est Fontenay et de baron Saint-Vincent, Davey, de née Jacques La baronne taient vingt-sept membres de la famille royale. Pitray et baronne de Fontenay, comte G. de Villoutreys l'Hôtel Carlton. fils Bernard. monde au mis heureusement un a S. Exc. le ministre de Roumanie et Mme Cesiano comtesse d'Esclaibes, marquis de Castellane-Majastre et Turckheim, née de Brissac et comPierre Kœchlin et madame, ont donné, dans les salons de la légation, une élégante et générale de La Masselière, duc deCharnacé fils ia leur de naissance faire part de de et marassistaient marquis réception à laquelle entre autres sont heureux de tesse G. de Villoutreys, DE LA Beaucourt, 29 mai. S. Exc. l'ambassadeur de Pologne et Mme de Chla- Paul. quise de Castellane-Majastre, comte de Waziers et compowska, S. Exc. l'ambassadeur du Japon et Mme Yoshitesse, F. de Pitray, baron Auvray et Mme Le Roux, comte .Y .Y JBiçnîaîsance Jehan Aymer de La Chevalerie et comtesse de Waziers, zawa, S. Exe. M. Osusky, ministre de Tchécoslovaquie; XIII. Calvi et Ile-Rousse S. Exe. A. de La Panouse et Mlle E. de Fontenay, S. Exc., le ministre d'Esthonie et Mme Pusta, Le vicomte soirée grand dîner de gala suivi d'une brillante M. Bogdâ'n Morfoff, ministre de Bulgarie S. Exc. M. G. de Fontenay et Mlle G. de Fontenay, M. Lacaze profit lieu au a eu Ritz au M. Guàni, ministre d'Uruguay; S. Exc. M. Mallevillè, artistique et dansante qui et comtesse de Longueau, comte R. de Sesmaisons et Semper fidelis. Ce brevet de fidélité est inscrit, succès a obtenu Ehare de France un aveugles du ministre de Monaco; S. Exe. le ministre de Finlande," des comtesse de Bertier, comte de Bruce et comtesse R. de en toutes lettres, dans les armes de Calvi qui, après et Mme Holma, S. Exc. le ministre du Canada et Mme Sesmaisons, M. de La Masselière et vicomtesse de Bois- Bonifacio, fut longtemps la place la mieux fortifiée L'opinion des Etats-Unis Y de 1 appel personnes à répondu avaient Quatre cents Roy, S. Exc. le ministre d'Irlande, et la comtesse, O'Kelly sard, comte A. de Bertier et Mme Lacaze, comte René de !-Y, Y" ,,YY^ Y Y de l'œuvre, Wall, la déycnjeé vice-présidente Mrs Berry Borne Le Waziers, M. Exe. ministre' de Callagh, S. le de Paraguay et Mme de La Chevalerie et Mlle de L'inscription Civitas Calvi semper fidelis ligure granqêlisalle à manger et dans les Aymer dînaient dans la Vijitavohgs, et Mme Washington La Phys Masselière, Caballero Bedoya, S. Exc. M. de de d'entrée de la CitaLondres, G juin. On mande de et porte de la au-dessus galeries encore de RR. ministre du Siam S. Exe. le ministre de Perse, et Mme au Times Hier a été célébré en l'église Sarat-Honoré d'Eylau delle. Hommage rendu à la brillante défense dé AA. LL. Berry Wall Les Mme étaient invités "de Ala, S. Exc. l'ancien ministre du Pérou et Mme Cornejo, notre 1553, au cours de laquelle les habitants manifesLes conversations de Chequers sont suivies avec baronne de Gaiffier d'Hestroy, comtesse Manzoni, Mrs le Prince et la Princesse Nicolas de Grèce, S. Exc. l'am- le mariage de Mlle Jacqueline Lechartier, fille deLégion Lechartier, officier de la tèrent leur attachement à la cause génoise. Car, le plus grand intérêt à Washington par la presse Edge, comtesse Ehrensvard, Mme de Gama Ochoa, bassadeur des Etats-Unis et Mme Edge, le général Gou- confrèer M, Georges et de Mme Lechartier, avec M. Robert Dupuy il faut bien le dire, Calvi s'était donnée à Gênes et l'opinion publique. Les partisans d'une revision Mme Schumans, Mme Pani, Mme Eric Colban, Mme raud, marquis et marquise de Chambrun, M. Pierre de d'honneur,fils de M. Noël Dupuy d'Angeac, chevalier de en 1278, et Gênes s'était, de son côté, engagée Boncorri- d'Angeac, de la question des dettes redoublentid'activité. Karl Dumont, M. et Mme Félix Francowski, M. et Mme Fouquières, M. et Mrs Myron Taylor,deprincesse Fouquières, Mrs la Légion d'honneur, croix de guerre, et de Mme Dupuy à respecter les statuts de la ville. Ce qu'elle ne L'opinion du monde officiel est que, depuis la Frangulis; Mme de Strautz, le général et Mme Lasson, pagni, Mrs Pavenstedt, M. André fit point, comme de juste. dernière réunion de la Chambre de commerce l'amiral Vedel, Mme Mlle Laval, Mme Guernier, Mme Thomas Henry Simpson, Mrs John Drexel, M. Hude d'Angeac. i et J.-J. r r Jussei mariée M. la La vieille cité ayant, depuis 1789, donné à la Les témoins étaient, pour internationale, rien n'est survenu jusqu'ici qui jus- Léon Bérard, Mme Armand Achille-Fould, Mme Louis Neilso-n, comte et comtesse Costantini, etc. de la Légion France les mêmes preuves de fidélité, ceux qui Après le dîner eut lieu une très belle partie artistique rand, ambassadeur de France, grand-croix tifie un changement d'attitude de la part de l'ad- Rollin, Mme Philippe Berthelot, Mme Jean Hennessy, du Closel, chevalier de la trouvaient cette inscription tendancieuse ou périministration, que les embarras budgétaires préoc- Mme Maurice Carré, comte et comtesse de Manneville, au cours de laquelle on applaudit Mmes France Ver- d'honneur, et M. Bernard pour le mée n'ont qu'à faire abstraction de l'occupation M. An- Légion d'honneur, croix de guerre, son oncle Gagneron, Elisabeth Pasquier, niilat, Marguerite cupent avant tout. François Piétri, Mme Pierre-Etienne Flandin, Mme Mme la Légion d'hon- génoise et à compléter mentalement la devise par et le grand flûtiste René marié le vicomte de Siorac, officier deDupuy Dans les milieux officiels, on a l'impression que Poncet, le ministre plénipotentiaire et Mme Jean Fabre, zàni, de l'Opéra-Comique, d'Angeac, un mot .semper fidelis Gallise. Je me permets d'entrain et neur, croix de guerre, et M. Robert beaucoup ensuite On dansa Le Roy. avec été Charles situation Allemagne la gravité de la exa- M. et Mme Jules Michel, Mme Loucheur, Mme a en cette suggestion parce que j'ai entendu un jour un fut tirée par M. André de Fouquières avec ses oncles. gérée tant en Amérique qu'à l'étranger par ceux Pomaret, Mme Paul Reynaud, Mme Maurice Rouvier, la tombola touriste s'indigner de ce que, depuis un siècle et habituels.. entrain esprit et son son Bois, nouvel Bouilloux-Lafont, du le général qui sont directement intéressés à un examen Mme Leredu, M. demi, cette devise n'eût pas été effacée par les aura lieu, 7 juin dimanche soir Rappelons que ce de la question. L'administration estime que la attaché militaire de Belgique, et Mme du Dois, Mme Jean soins des autorités. Mais, à ce compte, il faudrait bal organisé suivi de au Cercle grand gala le Mlle Interallié, Allemands, Chiappe, Mme Edouard Renard, Hélène Vacaresco, question des réparations est, pour les de succomber aussi gratter les inscriptions romaines de notre vient (Massachusetts) Cambridge A marine impériale la officiers de profit des anciens au une affaire d'ordre intérieur plutôt qu'un pro- Mme Bavelier, M. et Mme Paul Valéry, M. Paul-Boncour, russe qui, pendant Provence et même démolir les arènes de Nîmes Bailey, Irvi-ng astronome Melon connu, M. présidence de la nécessiteux, malades croit Henry et sous blème économique vital e-t mondial. Elle ne comte et -comtesse Clary, prince et princesse recherches en Afrique et quelques autres monuments. L'histoire est l'hispoursuivi des années, plusieurs Grande-Duchesse a Grand-Duc la TI. le et puisse entraî- Ghika, M. André de Fouquières, vicomtesse de Rohan, LL. AA. toire il est sage de savoir s'en accommoder. pas que la chute du cabinet Bruning du on Alexandre Russie. époude M. fait un Mme Girod de l'Ain, et Mme de Laboulaye, comte Calvi, fondée en 12G8, offre aujourd'hui au visiner les graves conséquences dont Mme publié Edward Ce sont deux veuve vantail, et que les industriels allemands ont au- et comtesse de Savigny de Moncorps, comtesse de Au magnifique programme que nous avons apprenons la mort de teur un ensemble assez hétéroclite. inédites qui attractions hier s'ajoutent sensationnelles décédée le de d'honneur, Nathan, Légion fortifiée, juxtaposés: un rocher la chevalier de tant d'intérêt à voir réduire les charges intérieu- Varenne, Mme Béziers, M. Jean Lahovary, prince N. feront de cette fête villes, ou plus exactement deux villagessur belles qui soient don. hôtel plus son Cantacuzène, marquise de Pontoi-Pontcarré, marquise de une des 6 juin, dans sa quatre-vingt-onzième année, en l'un groupe dans l'enceinte res que le fardeau des réparations. lieu Ses obsèques Chasseloup-Laubat, vicomKléber. auront vicomtesse Curial, vicomte et Paris, 23, avenue étroit, des masures branlantes que le soleil calcine En général, les milieux officiels font montre francs au Interallié. domicile Cercle Billetsà 100 demain lundi 8 juin; on se réunira au mor- et que le vent lézarde. L'autre, moderne, s'étend .d'un grand scepticisme en ce qui concerne les tesse de Guichen, marquise de Nicolay, comtesse de Y fera L'inhumation demie, au le Ion." de la marine jusqu'à une délicieuse plage se Robien, marquise de Saint-Chamans, comtesse Alain Cercles <' tuaire à deux heures et u possiblités de l'entrevue de Chequers. d'invilieu cimetière Montmartre. Le présent avis tient Boas de Jouvenel, Mme Lazare Weiller, de sable fin. On se rend compte que l'Angleterre ne saurait Talhouët, Mme a offert, 1 Ùriio·n Tnteràlliéé M. et Mme Perrigot, Mrs Will Gordon, Mme Matza, M. et La Haute-Ville est morne, silencieuse, maussade. Le comité directeur de l'Union Interalliée a offert, tation. Ni fleurs ni couronnes. accepter un ajournement des transferts par l'Alle- Mme entre Jean Lacroix, baron et baronne de Barante, baronne jeudi, un dtnsr suivi d'une réception artistique des plus On nous prie d'annoncer la mort de M. Armand une figure de reître hargneux qui somnole magne, ou faire jouer la clause de l'accord anglo- de Boutrey, M. et Mme Albert Jullien, Mme Le Bleu, bnfràhtes l'honneur S. Exc.l'ambassadeur des Confex. de LaChambre, pieusement. décédé aux deux escarmouches. La Ville-Basse est pittoresque, américain lui permettant d'ajourner ses propres Mme Jubert, M. et Mme Tavernier, Mme Robert Tabouis, Etats-Unis Mm'e\Edge. Aubuis », à Pont-de-Ruan (Indre-et-Loire), le 5 juin animée, curieuse long du quai, large et ensp^ l'administration Mlle Ventura, M. et Mme Dussaud, commandant et;com-; obligations. D'ailleurs, même « l'Académie française, prési- 1931. Le service religieux aura lieu demain lundi 8 juin, leillé, les pêcheurs préparent sans hâte leurs filets MM. Jules Cambon,1' de consentait à rouvrir la question des dettes, elle ne tesse de Ligçieville, Mme Hélène Cesiano, Mme ;O. Vervede' à dix heures et demie, en l'église de Pont-de-Ruan. dent de i'fctajpn Interaîpée* et. Gabriel *Hanotaux, et leurs nasses, tandis que des yachts élégants, pourrait le faire, car l'initiative doit être prise nesco, Mme Marie Arion, baron G. de Grandmaisoh, l'Académie eaux dn France-Améles. nus de la Côte-d'Azur, reflètent dans 'française, président du Comité présent avis tient lieu de faire-part. Le par le congrès. Or, il est extrêmement improba- Mme Etienne Gautier, comte d'Adix, comte de Montfer- rique, 'présidaient le' dîner, auquel assistaient également port leurs lignes aristocratiques. Ce qui attire les ble qu'un groupe important d'hommes politiques rand, M. Félix de Saint-Sauveur, Mme Charléty, Mme 'a ri1 table d'hprïffèùr: Valfkury. étrangers, ce n'est point ce site un- peu sec, -? prenne sur lui une telle initiative à quelques mois Trémolières, M. Capitant, Mme G. de Traz, M. Bruni, S. Exe. lord-' Tyrrell, ambassadeur d'Angleterre Calvi est située dans la partie la moins riante de la de l'élection présidentielle. M. Fabien Sollard, M. Lucien Gaudin, M. G. Plagino, primatiale qui date du Exe. l'ambassadeur Souza HOTES de Chlade Pologne, ni l'église Balagne, et Mme NOS Danïâs,' ambassadeur On admet officieusement aujourd'hui que la sé- M. et Mme C. Robesco, le général Dumitresco, attaché qui du n'a rien de particulièrement seizième siècle, et powska, S. Exc. M. de rieuse accentuation de la menace d'un effondre- militaire de Roumanie, et Mme Dumitresco; M. Jean Brésil; d'Argentine; port original. Mais Calvi est, après l'Ile-Eousse, S. Exe. M. Le Breton, ambassadeur ment financier en Autriche pourrait avoir modifié Gheorghiu, le secrétaire de légation et Mme VallimaParis, à arrivées récemment personnalités Parmi les provençale P.-E. Flandin, ministre des finances; le prince de insulaire le plus rapproché de la côte les vues de l'administration sur la nécessité ur- resco, le commandant et Mme Murarasu, M. Jean Lucu-; 'M. les^jvoyageurs 'Beauvau-Craon, de Fels, le duc de Broglie, le comte nous notons cinq heures de Nice Voilà, pour argument, gente d'une action économique internationale et, delesco, secrétaire de presse, la vicomtesse Au Meurice vice-président de l'Union Interalliée qui craignent la mer, un sérieux cependant, en cas d'un événement du même genre Roy, quelques faire Benoist d'Azy," vice-présidente; de le Philippe S: Exe. M. années, Calvi s'efforce puis duc du accompagnée d'Aoste, en Allemagne, un tel changement d'opinion de- Dans le duchesse ministre du Canada; MM. J.-R. Carter, F. de La Barra, S. A. R. la auprès valoir ? de la gent touristique. Excellente pupossible. meure M. Maurice Despret, président de la blicité, du reste, et qui a porté quelques fruits le de Sillac, P. Peixotto, membres du comité directeur; di Valminuta local d'initiative organise des croisières syndicat S. A. la princesse Achille Murat fera, le mardi la princesse Bassiano, Mme Gabriel Hanotaux, la Compagnie internationale des wagons-lits. comtesse de Fels, Commentaires britanniques année, amènent dans cette vaste baie chaque qui, 9 juin, à seize heures, salle du Vieux-Colombier, une duchesse de La Rochefoucauld, la Mercedes Au de nombreux yachtsmen. Des paquebots rapides conférence sur son voyage en Indochine, avec projection Mme P.-E. Flandin, Mme Philippe Roy, Mme J.-R. Graziela Vi-el-Castel, Rosita et Carter, Mme de Beaufort, la comtesse de Mme Bello et ses nièces, Mlles desservent la région, à la cadence de trois courde film. Lazare palace,– déclaraLudre, Swanson, Mme juin. les Mme Commentant LONDRES, 6 la marquise de riers par semaine. On y trouve, avec unprétendre Gomez, Mlle Teresa Gonzalès. donner Charpentier viennent de Jean M. Mme et à Mme tions faites hier par le chancelier allemand, le dans leur hôtel, Weiller, miss Washington, le ministre du budget et bâtisse qui semble moins du une ou P.-A. de M. et.Mme l'honneur de en I Laszlo, Piétri, le général Gouraud, gouverneur militaire de limes écrit dans son éditorial cette appellation, et qui a même des clients, padîner de trente convives qui réunissait un des hôtels Paris M. Pierre de Fouqulères, chef du Protocole le rait-il, à certaine époque de l'année, « Il n'y a pas de nos jours une seule question M. Petsche, sous-secrétaire d'Etat aux beaux-arts commerciales politiques affaires et modestes où il n'est pas impossible de séjourplus majeure de politique européenne et moins que S. Exc. le général de Vasquez Cobo, ministre de directeur adjoint des Mme de de Laboulaye, le baron passablement, et deux bars américains. Il y les autres la crise économique et le désarmement Colombie le général et Mme Lasson et d'autres per- au Quai d'Orsay et ner met Brook, M. vente d'Amérique; Victor-Hugo, comS Jones, 39 à si, avenue en fait chaud l'été, comme sur tout le littoral insulaire, auxquels le chancelier a faif. particulièrement al- sonnalités de la haute société parisienne et du monde Vitrolles, sous-directeur l'Exposition Etats-Unis à prix des général adjoint sacrifiés à des missaire au- et, l'hiver, il y souffle parfois un mistral assez désaà tous ses rayons des articles lusion qui n'affecte que deux pays. Dans une des arts. MarM. Renard, Mme coloniale; le préfet de la Seine et dessous des cours actuels. Pour enfants, robe en tussor gréable. En somme, à part son histoire, qui s'esmesure toujours croissante, les affaires diplomajuin l'attaché lundi 8 Etats-Unis; donné demain qui être thé devait d'ambassade des Le .conseiller riner, tiques sont traitées collectivement. Les traités imfr. par taille Peignoir tompe peu à peu dans le passé et que les guides fr. naturel, le 65 10 135 cm., l'attaché remis à date Miniscalchi-Erizzo Lebreton, la comtesse est comune naval des Etats-Unis et Mme résument en quelques lignes, Calvi est une petite portants, les gros problèmes du jour sont multi- chez latéraux. de bain tissu éponge uni ou fantaisie, le deux ans, go-fr. et M. Mme Reagan, Mme Etats-Unis ultérieure. mercial des et ville où l'on peut, en passant, et si un détour ne Tout ce qui sera discuté à Chequers. du crêpe, semelle jaune, box Richelieu 25 taille fr. par l'Etat Goff, Mme Virginie de et 5 s'impose pas, s'arrêter quelques heures sans désaThé et musique, mercredi dernier, chez la grande Pell, le sénateur de concernera aussi bien les autres pays que l'Allehommes fr. Pour 69 Schneider, dtti^au Eugène fr. Mme M. James Hyde, 34 Mme et M. et au 27 59 tenant,, zéphyr grément. magne et la Grande-Bretagne. On ne peut pas artiste Magda Tagliafero. On, a. applaudi deux jeunes MM. fr._ Fuilerton, beige, gris, LauAndré Stéphane uni, bleu, Siegfried, 45 col Chemise Morton r*' Y public Mlle Colette prendre de décision finale. Aucun pays ne désire' virtuoses déjà connus du grand •" bain de Philippe Maillot Knecht, fr. naturelle, Marcel Cravate pure soie 15 sanne voir le Reich succomber à ses difficultés il y a Cras, M. Alban Perring. Sentant peut-être combien étaient maigres lés atfibre Iqndon ou Pôrte-habits frv iiïgëû"r,: laine, en vérité un grand désir de lui, venir en aide, mais pure S; Exe. M. de • Souza Dantas, Dans l'assistance a affirmé 'avec ¡Service de traits qu'elle offre au touriste, Calvi havane, 60 cm., 135 fr. Pour la maison à deux conditions la première est que l'Allemagne ambassadeur du Brésil comtesse 'de Chevigné, marautorité qu'elle est la ville natale de Christophe 74 pièces, les jaune, doit faire de son mieux pour tenter da se sauver quise de La Chapelle-Crosville, duchesse de Caylus, bleue dessert, faïence ou mariage de Mlle' -Jacqueline Guérin de Vaux table et Sur une chancelante masure de la rue elle-même d'autres l'autre est. que,-si elle doit compter M. et Mme Albert Roussel,"M>*êtMme Fauchier-Magnan, avec M. Michel de Langre sera célébré le mercredi 375 fr. Lampe de chevet, abat-jour toile rustique, 65 fr.; Colomb. Colombo, dans la haute ville, un comité calvais a la teint, pur et sur l'aide grand pays, il faut qu'elle commence contre-amiral et Mme Jean Cras, Mme Douglas Fitch, 10 juin, à midi, en l'église Saint-Thomas d'Aquin. fil batiste nappe Service de table, fait apposer une plaque portant cette inscription' à être une « bonne européenne ». M. et Mme Francis de Croisset, comtesse Gourgaud du .d'huile « Ici est né, en 1441, Christophe Colomb, immorS. Em. le cardinal Verdier, archevêque de Paris, six serviettes, 135 fr. Savon de Marseille 72 » Le sens de la communauté grandit, comme l'a Taillis, M. et Mme Jacques Ibert, comte et comtesse du talisé par la découverte du Nouveau Monde, alors hier,,en la basilique Sainte-Clotilde, en présence garanti, la barre de 4 kilos environ, 19 francs. dit M. Henderson. Parmi les nations du monde, Boisrouvray, comtesse de Maigret, comte Potuliki, Mme a béni,assistance que Calvi était sous la domination génoise mort des plus brillantes et des plus noml'Allemagne est-elle fidèle à ce principe essentiel ?'? Edmond Barrachin, Mme Charles Pomaret, baronne de d'une lé à Valladolid le 20 mai 1500.» fille S Les beaux La grande inquiétude qu'a suscitée le projet Lallemand, M. Guy de Saint-Rémy, Mlle Alice Raveau, breuses, mariage de Mlle de Simard de Pitray, les déapparition, La thèse par laquelle Calvi revendique l'honneur comte Antoine de Simard de Pitray, Le printemps ayant enfin fait son d'union avec l'Autriche n'est pas due à ce que le générale Piccio, M. Isoard de Theus, Mme Fauchier- du lieutenant-colo'nel est guerre, et de jeuners et les dîners sont servis dans les jardins, parmi d'avoir donné naissance au célèbre navigateur projet était nuisible en lui-même, mais à la façon Delavigne, comte de Saint-Sernin, Mme de Montagnac, officier de la Légion d'honneur, croix lede baron Guy de les fleurs, chez Ritz, aussi bien place Vendôme qu'au sans doute très ingénieuse. Colomb s'appelait en avec dont il était négocié, puis jeté à la face de l'Eu- M. Jean-Gabriel Domergue, M. et Mme Marcel Dupré, la comtesse, née de Sesmaisons, réalité Colombo, et il y eut des Colombo à Calvi. fils du baron de Fontenay, officier de la Légion Griil-Room, 38, rue Cambon. Fontenay, Bertrand, M. Mme Paul M. et Marwicz, laissant mélange de sous-entendre de et baronne rope, ruse un La maison dont il s'agit fut habitée par une famille croix de guerre, conseiller municipal de Paris, et de défi, opposé aux efforts vers l'union euro- Mme Henry Kapferer, Mme Lazar, M. et Mme Filip, d'honneur,général de c» nom, dont un membre se prénommait Crisde la Seine, et de la baronne, née de de celle du aussi péenne que faisait la S. D. N. sous l'égide de M. Mme Landowski, baron André d'Honincthun, M. et conseiller est repos S La saison des tofo et était ou aurait pu se prénommer ainsi Briand. L'Allemagne a-t-elle réellement accepté les Mme Georges Vaudoyer, Mlles Gouin, marquis de Migré, La Grange, et fils adoptif de la comtesse d'Esclaibes votre ameublement.vacances vérifier et garder, nettoyer, Pour navigateur vers le début du quinzième siècle. " Hoere, Mme Mme Haas, M. Singer, Alexandre d'après-guerre, même grandes dans leurs Mme accords sièges, il Il était Génois, puisque Calvi était une ville génoise, Une très belle allocution d'un caractère des plus élevés réparer, s'il y a lieu, vos tapisseries, tapis et lignes ? Ou espère-t-elle toujours bouleverser ces Woog, M. Maurice Imbert, Mme Long de Marliave, faut un spécialiste consciencieux. La seule maison outillée mais il était surtout Corse. Et la preuve en est qu'il prononcée par S. Em. le cardinal Verdier. accords ? Voilà la question qui trouble l'esprit des M. et Mme Pierre Leroi, M. Lazare-Lévy, Mme Maneu- a été Les témoins de la mariée étaient: le marquis de Cas- spécialement pour tous ces travaux Clievalier, 12, rue donna aux terres par lui découvertes des noms qui observateurs étrangers. Toute modification éven- vrier, M. Prunières, Mme Félix Michel, M. Propper, Mme tellane-Majastre évoquent soit des lieux situés dans les environs 30-62). G. de Villoutreys de Bri- Notre-Dame-des-Champs, Paris (Tél. Littré le comte et veut Mme Richard, René Samazeuil, M. M. doit Mlle Rolland, courir désastre, tuelle, si l'on ne et pas au marié: la générale de La Visitez de la de Calvi, soit des saints particulièrement honorés boulevard et ^6, ateliers, 64 vastes être faite sur la base des traités existants, et par Janocopulos, M. et Mme Rhené Bâton, M. Doire, Mme gnac, ses oncles ceux leduduc ses dans l'ile. de Brissac, son cousin. Mission-Marchand,à sa tante, et Courbevoie (Tél. Défense 13-96, consentement mutuel. La visite actuelle sera donc Yvonne Astruc, M. Chrissoveloni, M. Coppola, M. et Masselière, Tout cela serait concluant si, par aHJeurs, ChrisLe service d'honneur était assuré par Mlles de Charutile si elle aide à tirer l'Allemagne de cet état Mme Raymond Charpentier, M. Armand Ferte, M. et nacé, tophe Colomb n'avait précisé dans sein' téktàment Bertier, 17-94, 17-95)et de .Lacaze, Hélène Viviane accompaFernand Mme M. Etienne Gaveau, M. Ferroud, et d'isolement moral dans lequel elle persiste depuis Mme qu'il était né justement à Gênes (in Géïmueiè) et il longtemps, trop apparaît que le grand marin devait connaître assez » De son côté, l'Observer écrit exactement le lieu de sa naissance. On peut toujours lui, Enfin, Je gai et,, soleil est comavec venu discuter, il est vrai, l'authenticité de ce testament. '« Il ne faut pas s'attendre à des décisions convers les plages "our "ftr campagne. l'exode mence Mais, à ce compte, il faudrait reviser des milliers crètes sur des questions qui n'intéressent pas seuune visite Madame, départ, Gjfone Avant .Petit, au votreavenue quoi les humains lement la Grande-Bretagne et l'Allemagne. Les Souvenir sera et des milliers de documents sur Flamme du Triomphe, la de l'Arc s'impose l'Opéra, approximation qu'ils vous discussions de Chequers sont. des préliminaires, ont laborieusement étayé cette Région parisienne. Situationstationnaire. Ciel f%chiverez rtSfflKFâ de intention, en Reims. C. de N. l'U. h. appellent la vérité historique. votre et elles devront ouvrir la voie à une coopération un choix ranimée à 18 30 par éclair cie;, par moments assez belles, averses avec nuageux _J. visite de à _i6 heures, bien définie en vue d'aborder les problèmes graA l'Exposition coloniale judicieux et du goût=le plus raffiné, tout ce qui TemSud-Ouest. modéré du isolés. Vent secteur ves et urgents auxquels il faudra faire face pen- ou orages Vpus.,serg«,u.J.jl,e pouria.mer. En voici un aperçu la Société mutuelle des anciens combattants à ..midi, "Pàscâr Paolv "qui ffiaîmait pas Calvià cause de Maximum stationnaire. pérature francs,. banquet du Syndicat de la presse, coloniale. l; dant et après les six prochains mois à venir.» Pyjama trois 125 2,tons, fine pièçes,,tpile "France. Ciel nuageux' av'è'c éclaircî&i^àssè'z'bèWes ;'K Pyjama cretonne*" fleurie avec chapeau assorti, son attachement aux Génois, créa en 1758, à vingt Le journal fait ressortir, toutefois, que la Grandel'Exposition de journée dernière Cours-la-Reine, Au kilomètres à l'est de la trop fidèle cité, une ville Bretagne ne saurait venir en aide à l'Allemagne quelques averses ou orages locaux. Vent du secteur SudLa 145 francs. toile francs. Robe fil, 150 qui devait attirer sur le bord de la mer. la popuannuelle d'horticulture. en se suicidant elle-même. Nord, variable faible à mo- même, en belle toile/de pur moitié modéré dans la Ouest l|0. fi:apcs, sqie? des montagnes environnantes. Cette ville fut De nouvelles réductions dans les paiements déré dans la moitié Sud. Température stationnaire en Au Salon des Humoristes, visite-conférencesous la lation d'abord appelée Paolivia, du nom de son fondateur, qui nous sont dus ne peuvent pas être effectuées Y vice-président. Vallet, conduite M. de puis Vaux, en souvenir du général de Louis XV, dépens de l'Angleterre seule. Nous ne pouvons toutes régions. aux DE M. J.présidence de j la A Fontenay-aux-Roses,sous puis enfin se désigna elle-même par la couleur des COURSES: pas devenir le bouc émissaire du monde en ce qui Aviation, a) Région parisienne Ciel nuageux H. Rosny aîné, président de l'Académie Goncourt, fête rochers qui arrondissent leur échine fauve en face concerne les dettes de guerre, et nous ne pouvons avec éclaircies par nuages moyens doublés de groupes pasde son port. des roses (départ à 9 h. 45, gare Denfert-Rochereau). pas renoncer à notre part des réparations aux de nuages assez bas, avec averses ou orages. Vent sagers Ile-Rousse est un gros bourg moderne d'environ fermes du plan Young, à moins que la France n'y du secteur Sud-Ouest 35 à 45 kilomètres à l'heure. VisiVersailles, grandes réunion de A eaux. lévriers, dondeux mille âmes grande place plantée de superbes courses de La dixième renonce en proportion. Diane). (prix de Société heures et" organisée par la Chantilly à bilité assez bonne. Courses Sainte-Gemme à platanes, au centre de laquelle se dresse une fonnée à 14 « La question allemande va devenir sans conen France Cologne, Strasbourg chiens d'Encouragement aux courses de b) Vers Londres, Bruxeu.es, taine monumentale surmontée du buste de Paoli en tredit non seulement une question européenne, mais Comme s'est malgré le temps parisienne. déroulée, colonies, marbre blanc. A part cela, et un immense palace dans la région et aux une question d'ordre mondial. C'est l'Amérique qui ne serait pas déplacé sur la Riviera, Ile-Rousse ••;• c) Vers Lyon-Marseille Ciel nuageux par nuages maussade, avec succès. seule qui tient les clefs de la situation, mais le mooffre au visiteur un paysage aimable, mais qui ne En voici les résultats T ment n'est point propice pour quelle s'en serve. élevés et nuages orageux isolés assez bas orages locaux. justifie guère un tel déploiement de splendeurs L'administration de M. Hoover doit faire face à un Vent du secteur Ouest 25 à 35 kilomètres à l'heure. Visihôtelières. Il est vrai que son port est le plus rapPrix. de lI'atdner (Puppies et chiens), internatiolourd déficit financier et il va falloir accroître les bilité bonne. MONTE-CARLO 700 DE mètres plat, Distance proché de la côte française. Et puis, les efforts handicap. nal, si les recetimpôts ceux-ci le seraient davantage touristiques de Calvi empêchaient !le-Rousse. de d'Azur. Belles éclaircies, rares orages. 30.000 francs. Côte juin, le 1" Hôtel, Monte-Carlo Beach du L'ouverture tes européennes arrivaient à cesser. » dormir, et l'hostilité d'antan s'est transformée, sur 1. Territorial, à Mme Première éliminatoire d'été. saison grande la nouvelle de En concluant, l'Observer propose qu'une nou- Vent Sud modéré. étape le plan commercial, en une louable émulation. 3. Tiree, à marque une 2. Muckross, à M. Dastorg Côte basque. Belles éclaircies, rares grains. Vent 0. Jallu absoluvelle et prompte enquête internationale soit faite cadre Avec ce merveilleux hôtel situé dans un Ortiz Linarès 4. Sharpshooter, à M. DrexelM. Allemagne le foncsituation actuelle la et Sud-Ouest sur en modéré. sur ment unique, les estivants, et surtout les sportifs, ont le 47 s. Deuxième éliminatoire Biddle temps Mais, pour ceux qui aiment les vastes panoramas, tionnement actuel du plan Young. Il serait préférendez-vous le plus beau qu'ils pouvaient rêver. il y à Shoelace, lieu de Linarès Ortiz Mme à Paltoquet, 1. rable que cette enquête fût ordonnée sur l'initiative a toute cette Balagne harmonieuse et fertile. promontoire évoquant Parpaillot, décor 3. connaît le Montcabrier L'on de un sur dont Mme la comtesse les oliviers admirables portent encore les de Washington, en réponse à une requête formelle soldats anglais des de mémoire marquis A la à courbe harmonieuse. le Patino M. arrondit 4. Senâtor, Grèce, l'hôtel côtes de Mlle les à sa faite par l'Allemagne elle-même, requête qui serait noms antiques qui différencient leurs feuillages éliminaTroisième Beaurepaire' flots, tandis les mourir viennent temps Sous les fenêtres mêmes s. les Sarrazins, les Génois et les Sabins, trois dynasfaite séparément mais avec la pleine assurance de France et en Belgique morts Sequin, 2. en Pagan marquis Thrifty, toire jour où le petite la tout ties d'arbres qui remontent aux premiers temps au qu'un peu de côté s'ouvre anse sympathie de la Grande-Bretagne, de la France et Dayid-Weill Swilcan, R. Mme à rêvés Pierre à M. des de l'histoire. Les villages sont escarpés et grade l'Italie. se réfugient les canots automobiles, moteurs Sandhurstr Champs des inauà M. comte le Brabant de 4. Le duc Emmet juin. 6 qu'il serait sans doute Bruxelles temps 47 's. Quatrième éliminatoire aquaplanistes. Entourant l'hôtel, la forêt provençale offre cieux, comme Belgodère Belgaudere, et qui gurera dimanche le Mémorial de Ploegsteert, qui a de Verneix plus d'orthographier exact Dans la journée, sous les domine Mme charme et essences, Oefavio Sérail, à ses Guinlé 2. String, son britanniques à M. érigé soldats 1. mémoire des à la été la belle vallée du Fiume-Réginp Saccageur,' Un monument Clemenceau à Strasbourg tombés M me siîr" Roussel 4. Sirdar, rayons du soleil, l'odeur de résine se marie aux effluves tant d'autres bourgs judicieusement disposés cimetière dans le 3. Jallu 0. d'honneur, chanip Le au 1/5. enchantec'est nuit, La 49 genévriers. du thym et. des un s. les gradins de ce noble amphithéâtre. royal Berkshire Regt, qui contient 876 tombes. Les à Mme la comtesse Greffulhe temps regard jette clarté Dastorg. lune à M. clair de 1. Muckross, le lorsque France Finale sa morts noms de en ment et 11.447 hommes altières ou découvre cimes Tolo, les du Grosso du nouveau, l'honen Le premier monument élevé en Alsace en Territorial, 3. marquis Pagan placés Thrifty, pins parasols. ,2. grands les parmi les du fleuve; sur bleue panneaux au sur ou bien repose sur les rives verdoyantes hier matin, en Belgique sont gravés Paltoquet, LinaJallu Ortiz à Mme neur de Clemenceau a été inauguré, 4. O. Mme si bien solarium citer ? Le monument. faudrait-il tandis de Mais ne ce que, là-bas, la Méditerranée scintille pas tout même temps que la première cité policière alsa- les murs, s. 2/5. 47 rès temps fait pour la cure héliothérapique, la vaste piscine avec outremer lamé d'argent au grand soleil de Mescienne. Ce sont d'ailleurs les policiers eux-mêmes 10.000 francs. Bretèche (saplings), de la sidor. Végétation cabines puissante et variée, riches pâtuFRANCO-ITALIENNE admirable plongeoir, la plage de sable et les qui ont fait exécuter le monument devant leur son Distance mètres 300 L'AMITIE rages, vergers abondants, vignes qui produisent un cité, par un jeune sculpteur alsacien, René Hertéliminatoire .1. Simoun, à Mme la ba- olympiques. Première vin léger et capiteux, tout cela fait de la Balagne Et puis, couronnant le tout, il y a le Monte-Carlo Beach le jardin ?el. t> Berkheim 2. Dominatrice, à M. Davidronne de la de Corse. à avaient personnalités tenu nombreuses lui-même, avec son animation, ses thés dansants, ses 3. Gallic, à M. Paul Lebaudy 4. Getter, Pour faciliter certaines combinaisons électorales, L'amiral Descottes-Genon, Weill Tarexte, 6 juin. assister à cette double inauguration. M. Koerberlç, accompagné 1/5. poésie c'est la Mais cela, toute Lebaudy temps déjeuners Paul Mme s. et ses soupers. la Balagne a été récemment incorporée à l'arronde l'attaché naval français, s'est rendu commissaire de police, promoteur du projet, fit à l'Elevage Sympathie, 1. l'Elevage éliminatoire aujourd'hui de Deuxième Monte-Carlo, Contentons-nous marins l'été dissement du à italiens de d'Ajaccio. C'est un peu comme si l'on où reposent les, l'éloge de Clemenceau qui reste pour l'Alsace au cimetière Lévrier Sicambre, du à 2. du' Lévrier décidait que la Touraine et la Champagne font cuirassé Léonard de Vinci, tombés à l'ennemi 4, Gift, à dire l'hôtel du Beach est ouvert. Lévrier !« l'homme le plus célèbre et le plus populaire de l'Elevage du Silhouette, à 3. de la même circonscription. Mais cela, c'est une couronne. Reconnus au déjeuner du Restaurant du Monte-Carlo partie la France, le « père la Victoire », qui nous a il y a déposé 20 s. Lazzaroni temps la baronne des tombes politique, la les de incliné 11 s'est également ou plutôt de la politicaille, et le sur ramenés à la mère-patrie ». du Lévrier.. à l'Elevage Beach Finale Sympathie, 1. Silhouette,'1 voyageur ne saurait s'en soucier. Il se bornera à M. Français morts à Tarente pendant la guerre et sur Remplaçant M. Frey, sous-secretaire d'Etat,féliDominatrice David-Weill 3. M. à 2. cote, Leudker, miss de avait, Mme M. constater que ces deux régions de la Corse ne se Lady Wilmott, miss Potter, et son lesquelles la marine italienne Pierre Roland-Marcel, préfet de Strasbourg, a Simoun, baronne à 4. la Lévrier du et à l'Elevage et l'autre, des I Chapman, lord Michelham, M. Apcar, M. Wilder, M. Lan- ressemblent pas, et qu'elles ont, l'une déposé des couronnes. Les matelots français cité les policiers strasbourgeois, qui ont tenu à pla- italiens 4/5. 19 Berkheim temps de s. incomparables. ravissants des grâces Heethems, aspects et rendaient les I Mme Celli Ugham, Dona Basetti, M. cer leur cité sous le patronage de Clemenceau, samedi dau, lieu le réunion prochaine La aura les Descottes-Genon reçu auMr l'amiral Ensuite a Henri Omesga. Camingham, Mr Thoworth, marquis de Chaulieu, et les a remerciés de leur fidèle attachement à la 13 juin. Les courses commenceront à;14 heures. 1
Les Cours
Hugot,etc.
–M.
M.
LE
Y;
complet.Y
Visage
J**
CORSE
l'île..
l'hôtel.
Sud.
Deuils
Nous
t
nées.
Monde
etc.
< .'
de
enet
si
.nn», i
à
le
S.
le
j.
PETIT CARNET
-n,
Bunau-Varilla.
+"¡" ~¡> Mariages" _Ó
Le
d'Hust.
9
: .,•
.
jardins.
.•
LA JOURNEE
TEMP3 PROBABLE
A
22°.
«
*' 'Y;;L£¥E1ERS
,ii:
LES
•
1.
,
LA 3AI3ON
.
47 3.
-ou
à
Prix
De
à
honneurs.
France retrouvée.
torités à bord du Duqueslie.
.
plat. 20
DERNIERE HEURE
LE VATICAN ET LE FASCISME' L'allocution de la maréchale Douglas Haig devant le bûcher de Jeanne d'Arc
qk4b
GAZETTE DES TRIBUNAUX Le bandit en auto avait volé sa bienfaitrice
juin. Au Vatican, on a 6 l'Agence Havas les déclarareprésentant de
CITÉ DU VATICAN,
Voici le texte de l'allocution prononcée devant le bûcher de Jeanne d'Arc, à Rouen, en présence en auto Camille Colin, l'un des trois bandits des Mères américaines, polonaises et belges, par la de la -« Un journal fasciste vient d'annoncer que, dans maréchale Douglas Haig d assises 16 mai par la cour le condamné processions les Toscane, La paroisses la de quatorze du' Travail libéraux roumains la treizième chamd'émotion que je conduis Seine, a été amené hier devant de la Fête-Dieu se seraient déroulées en dehors de « C'est avec beaucoup répondre d'un vol de correctionnelle l'union des y pour symbolise bre qui données premier contrairement instructions ici le groupe par l'église, aux d Isabelle 13.500 francs au préjudice de sa bienfaitrice, Alm? Y" l'égide Saint-Siège. les mères tous sous de pays, le ministère le dumping soviétique Miogemolle. Après plaidoirie de M" Enriquez, Colin a été affirma- Romée, mère de Jeanne d'Arc. » Voici ce que nous répondons à cette d'Arc ont tion Ou les instructions publiées par l'Osservatore prison avec confusion de » Déjà les Compagnons de Jeanne pouvait commois de six condamné à faire parvenir dans sainte de l'héroïne Romano n'ont pas eu le temps J pris que, seule, peine. dans qui ont de petites cœur les paroisses les et que au nationale l'union tous dans ceux toutes pays nous savons La Conférence du travail, Bucarest, 6 juin. Le parti libérala publié Genève, 6 juin. défense de la bons arrêté été paix. Grâce à Maxime faux la Les Romano de l'Osservatore l'amour bien charité des en et la a cas engagée depuis élections qu'après il la fin des poursuivant la discussion générale note déclarant deux route, ou même il n'est pas à exclure que certains Réal del Sarte, toutes les Mères de France peuvent attitude à l'égard liberté d'action. Son jours sur l'activité du B. I. T., a entendu ce prendra du sa scènes qui ont marqué la fin de l'audience injonctions des se joindre à ce magnifique hommage. Isabelle Les et céder des dû aient devant curés lendemain le établie gouvernement reste celle matin le représentant patronal du Japon, au reles mères, de la cour d'assises de vendredi ont failli reprenmodèle de toutes le Romée effet, est, menaces. en ont présentant gouvernemental de l'Inde, le représen- de la constitution du cabinet Iorga. Il n'existe auélevé sa filleprès dre avec une nouvelle violence. Les avocats relative, tendrement importance car après vit mourir avoir qu'une n'a elle qui, cela Mais » repréétablira l'avenir le modifier et martant ouvrier de la Chine, de l'Autriche, le cune raison de la daxs sa belle jeunesse, au milieu harcelé Delegato de questions auxquelles les affirmations sous d'elle, la sentant gouvernemental de l'Irlande, le représen- l'attitude du parti de l'opposition d'après les ac- les télégrammes, les lettres, acrimonie. a répondu sans toutes les formes qui continuent de parvenir au de tant de peines, comme un beau lis au milieu chand de vinsensuite tant patronal de Yougoslavie et le représentant tes du gouvernement." les témoignages de cinq attestent La entière reçu parfaite et épines. la cour Saint-Siège qui des a et M. Georges Bratiano a déclaré que le résultat fidélité de tout le clergé d'Italie à la personne du prêté serment et qui n'ont patronal de la Suisse, M. Tzaut. n'ont qui forçats, pas à bûcher du colombe prenne » Que la tendre .Ce dernier a prononcé un véritable réquisitoire des élections est un succès décisif pour le parti Souverain Ponife, sont là pour témoigner que touà décliner leur état civil. Ils ont raconté pas celles voix de toutes eu les vol et que de nouveau son contre le dumping soviétique. Il a contesté l'af- libéral présidé par lui, car les voix obtenues sont tes les tentatives faites plu et ne se sont pas fait faute leur qui du membres trêve a égarer nouvelle les ce s'unissent souffert qui pour une Albert ont pour mais firmation contenue dans le rapport de M. égales aux voix obtenues par le parti libéral dans clergé à l'aide de faux renseignements et de faux faire durer le plaisir de n'être pas accuses, d'Arc » serait Jeanne de problème d'après laquelle Thomas, ne ce l'opposition lors des élections de 1926 et 1928 documents ont misérablement échoué. simples témoins. B. I. T. du Bratiano Mercantoni, Poulner, Simonet, du ressort présidé MM. Jean était il quand pas ou Successivement, par plus la prêtres de plus humble des Car, du » M. Tzaut a invoqué le préambule de la partie Vinlila Bratiano. Barrie ont chargé les accuses dont et Campiononi haut le plus l'évêque paroisses jusqu'à lointaine L'OPERA-COMIQUE des pacte DE DIRECTION LA 13 du traité de Versailles et l'article 23 du qu'ils ne seraient pas lâcomplices et la dans dit, resterons ils furent Au Parlement, a-t-il jour lennous réalisé plébiscite qui s'est du placé, le au la S. D. N. sont tradition du parti libéral, à savoir uneetopposidans leur futur pour prétendre que le B. I. T. et chés d'avoir compagnons comme la rélaisse du Pape de la demain autour ne personne qualifies pour s'occuper de la question. voyage à la Guyane. tion loyale sincèrement monarchique, M. Ricou ayant maintenu sa démission de coLe délégué patronal suisse proclame que le tra- serve nécessaire pour un avenir que nous n'esti- rien à désirer. Le fakir est débouté » Nous pouvons garantir que tout le clergé d'Ita- directeur du théâtre de l'Opéra-Comique, M. Mario vail le plus fructeux pour l'Etat soviétique est ce- mons plus très éloigné. lie a montré le même exemple d'absolu dévouement Roustan, ministre ds l'instruction publique et des lui de ses prisonniers. Les conséquences sont grapremière chambre civile, présidée par M. clergé de l'univers tout en- beaux-arts, lui a adressé une lettre dans laquelle Saint-Siège le La voit dans que étrangère, qui au production la se ves pour le procès interté tier. il déclare regretter « que pour des motifs person- Jais, a rendu son jugement danslequel l'obligation de réduire ses prix et de faire face plaidait M Le gouvernement lithuanien nels il ait renoncé à mener à bonne fin l'œuvre par le fakir Tahra bey, pour » On peut désormais le dire et le proclamer au chômage. univer- qu'il avait entreprise » et« qu'il ne croit pas devoir René Idzkowsld, à M. Paul Heuzé et aux Editions protestation été universel, l'émoi été la a a En conclusion, M. Tzaut constate qu'il existe un Pape da le expulse nonce Mes Henry selle, la fidélité a été universelle. s'opposer à ce que le co-directeur de l'Opéra-co- de France, pour lesquels plaidaient » trouble dans la production mondiale résultant des 500.000 francs de Torrès et Maurice Garçon, en L'Osservatore Romano consacre presque toute sa mique reprenne sa liberté d'action ». conditions spéciales du travail en U. R. S. S. et il de Paul à la reproduction des dépêches acceptée de M. Ricou, dommages-intérêts, à la suite -dit livre démission la raison de affirme qu'il est du devoir de l'organisation inEn Bartholoni, première page Riccardo juin. Mgr Kovno, 6 Fakirs, fumistes et C°, et dans lequel Tahra ternationale du travail et de la S. D. N. de s'oc- nonce du Pape, qui avait été prié par le gouver- parvenues au Saint-Père« en témoignage de res- M. Masson reste seul directeur del'Opéra-Comique. Heuzé, sympathie et de solidarité filiale dans les bey estimait que le libre droit de critique de 1 aulités cuper de la situation, pour examiner les possibi- nement de quitter la Lithuanie dans les vingt- pectueuse parmi les circonstances actuelles ». On peut citerCologne, teur avait été outrepassé. d'y porter remède. n < quatre heures, est parti de Kovno en automobile, principales Le tribunal a jugé que le livre de Paul Heuzé de celles de l'archevêque de de Monaco Le prince accompagné de deux membres du parti démocrate l'Action catholique contenait bien des 'diffamations caractérisées conde Munich et des évêques de chrétien. On justifie la mesure d'expulsion prise Léon (Espagne), Berlin, bey, mais que, la prescription étant acTahra Santa-Fé, Detroit, étrangère Marseille, Légion tre la dans honoraire caporal partis nonce collaboration les L'agitation au Maroc dans la zone espagnole avec contre le par sa quise, le requérant était débouté. la Jeunesse catholique d'Athènes, etc. antigouvernementaux. Le gouvernement lithuanien deLe Pape a reçu hier matin Mgr Borgonsini, nonce fait connaître au Vatican qu'il ne considérait en Italie. a Il a distribué aux chefs de sections de la Le prince Louis de Monaco vient d'être nommé sur les incidents d'Annam Les nouvelles qui parviennent plus Mgr Bartholoni comme représentant du Saint- secrétairerie Une enquête CEUTA, 6 Juin. dont de étranger, les médailles bronze 1" régiment d'Etat honoraire du caporal en de la zoné espagnole sont actuellement assez pes- Siège en Lithuanie. Pizzardo l'an IX. à Mgr la grande le dépôt est à Sidi-Bel-Abbès. Le souverain en a Il voulu donner a simistes et on constate une assez nette recrudesmédaille en argent pour témoigner à ce dernier été avisé par le colonel commandant le régiment, Par arrêté du gouverneur génér cence d'activité parmi les tribus, notamment dans Hanoi, G juin. particulière Louis, prince sait le les sentiments toute satisfaction servi. On de il dans lequel que a commision a été désignée pour faire une les Andjeras et Gomaras. ral, la B. R. I. de Conseil du réunion collaboration éclaiUne une fit française, fidèle l'armée qu'il éprouve et qui général de presque est pour sa enquête dans les provinees.ftroublées de l'Annam. Il paraît établi qu'une propagande intense est actuelles. d'Afrimilitaire dans troupes carrière rée dans les circonstances toute nos sa faite dans les milieux indigènes par des éléments Elle est présidée par M. lllor'che, premier président invité à assister dernier, il fut mois de Au mars extrémistes et que l'attitude des troupes de la lé- Bavez &ijuin. • La prochaine séance du conseil que. elle comprend le Une' réunion du Sacré Collège • de la cour d'appel d'Hanoï organisées à diverses furent cérémonies qui Quelques incidents • miaux commandant la brigade de Tong; général Bonnet, gion est-assez équivoque. des règlements inVatican, Banque récente réunion des cardinaux la d'administration de La la centenaire de l'occasion du Sidi-Bél-Abbès à ç§}isidérée au nimes, mais établissant un état d'esprit frondeur, ternationaux aura lieu lundi prochain 8 juin. M. Perroud, président du grand conseil des inte^ est présidence Pape, suite la du comme C'est la étrangère. à légion la fondation de sous rêts économiques de l'Indochine le Tong-Doc en ont encore éclaté tout récemment. D'autre part, précédée très fait symptomatique, si le Pontife régiment étranger séance que 1" colonel du fêtes le Comme d'habitude, cette parce de un sera que ces contre un cerretraite Tonthattram les administrateurs civils on vient d'ouvrir une information les réuprinconsulte parfois cardinaux, il honoraire certains caporal des galons directeurs les de d'envoyer les vient entre ne au d'un de échange vues Dupuy et Chapoulard et le contrôleur général de tain chérif du Riff nommé Ben Aziba et originaire cipaux instituts d'émission. nit jamais Benoît en audience générale. prince Louis. police M. Dioque. La commission commencera ses de Tarout des Ghomaras qui prêchait ouvertement ni Ni X, IX XV, XIII, ni Pie ni Pie Léon ordonnance De son côté, le souverain, par une Le conseil examinera î° les résultats obtenus n'ont jamais convoqué le Sacré Collège la révolte dans les tribus. Le Maghzen et les autotravaux aujourd'hui même. audience princien de officiel la promulguée hier Journal au rités espagnoles ont envoyé de la cavalerie et des ,par.les secours en faveur du Kreditanstalt autri- générale. Pie XI voulu faire une exception à la de a de l'ordre pauté, vient la traversés de les douars éventuelle statuts des nommer grand officierPaul-Frédépelotons de moghaznis dans chien 2° la revision mouvement LA suite anticlérical qui s'est produit du le général de brigade par le'^héffi, mais l'attitude des habitants a été Banque centrale autrichienne 3° l'octroi de cré- en Italie et en Espagne. On apprend aujourd'hui de Saint-Charles ric Rollet, inspecteur de la légion étrangère à Sidiplutôt' HSsfile aux forces régulières, tandis que dits à long terme aux pays qui en ont besoin plusieurs objections avaient fait cardinaux des Bel-Abbès. Mort d'un archevêque l'agitateur n'a pu être arrêté. 4° le bilan de mai de la B. R. I. qui a reçu les plus que l'adresse à politique secrétairerie d'Etat, l'atde la Enfin la contrebande d'armes est très active et importants dépôts enregistrés depuis sa fondation. Mgr Errazuriz, Santiago-du-Chili, 6 juin. tribuant cardinal Pacelli. Celui-ci même avait au de côte la exercée surveillance malgré la nomsur archevêque de Santiago, est décédé. prié le Pape de l'exonérer de sa charge. Le Pape TEXTILE DU LA GREVE breux fusils et de grosses quantités de munitions alors a décidé de convoquer les cardinaux pour Funérailles Vers une conférence internationale continuent à pénétrer dans le bled. objections. parler entendre les les autorisa à liIl Hier matin, ont été Un cotre transportant des armes a pu être saisi CITÉ DU VATICAN, 6 juin. de l'argent problème pour le brement. Les cardinaux Gasparri, Boggiano, Cerprès du Penon de Gomez. Les communistes ont manifesté vendredi après- célébrées à l'église paroissiale de la Cité du Vatiexposèrent retti d'autres leurs cardinal Le et vues. question, mais ceci n'est pas Il serait d'ailleurs d'Espagne midi, à Tourcoing, et provoqué deux incidents. Ils can, les funérailles de Mgr Testoni, chapelainPacelli répondit. Enfin, Pape leur le annonça que ont injurié le commissaire central de police, M. Len- secret de Sa Sainteté. quelques renforts définitif, d'envoyer président Hoover juin. Le 5 modifications des Washington, a seraient & apportees au texte de fant. Leurs cris ont effrayé le cheval d'un garde d'infanterie et d'artillerie afin de remplacer la notifié s'opEtats-Unis des l'adresse Saint-Siège. politique générale Ces déle gouvernement du ne légion dans divers districts plus particulièrement poseraitque à la tenue d'une conférence officieuse cisions furent approuvées à l'unanimité et ainsi la mobile. Celui-ci a été désarçonné et s'est blessé LES FELICITATIONS A M. DOUMER pas travaillés par les éléments hostiles au nouveau assez grièvement. discipline l'argent. Collège problème de fut rétablie Sacré qui le le dans sur gouvernement. Le préfet du Nord, M. Langeron, va tenter une Les fonctionnaires du département d'Etat décla- décida de pratiquer une politique de prudence tant nouvelle médiation. Il a exprimé le désir aux repréLa Fédération radicale rent qu'ils sont prêts à mettre à la disposition de en Italie qu'en Espagne. Versailles, 6 juin. syndidélégués des Consortium et du sentants aux l'aide la conférence les renseignements qu'avec indépendante de Seine-et-Oise, qui s'est réunie hier NOUVELLES DE PARTOUT s'entretenir libres de cégétistes cats eux. et avec d'économistes et d'experts ils ont recueillis sur la la première fois depuis l'élection présidendemain. préfecture la lieu pour à Ces auront entrevues Un Saint-Cyrien déchiqueté par un train A Tourcoing, un patron dissident s'est engagé à tielle, a été unanime pour adresser à M. Paul Douquestion depuis plusieurs mois. réduire le salaire de ses ouvriers pendant un mer, président de la République, ses respectueuses Dé Berlin. Le colonel Woods, président 'de la ne pas Elle se réjouit de voir à la tête de félicitations. demain. Le travail reprenaient ceux-ci le « commission convoquée aux Etats-Unis par le prési cojuin. élèves de l'Ecole 6 de Chateauroux, Les an BOURSE DE NEW-yORK républicain et un patriote éprouvé.» l'Etat proposition. grève cette sident Hoover en vue d'examiner la question du mité de statuera un sur Courtine, Saint-Cyr, rendant de La se au camp Elle a chargé son bureau de présenter cet ordre chômage, a été reçu aujourd'hui par le ministre du dans train pris place qui passait, la avaient un travail, jif. du jour au nouveau président. ,,S4:. w,i-i^ enre- >. i î New- York, :8 Juinv–^ 'Change sur Londres 60 jours, nuit dernière, sous le tunnel de Chabenet. De Mos'àou. La semaine dernière, "oh a Effrayé par le bruit du convoi sous le tunnel, Le Palais de Cristal de Munich 48434 Câbles transfers, 48656-; Changes sur Paris à SALON DES DECORATEURS gistré vingt-six suicides. Ces actes de désespoir vue, 391 9/16 Change sur Berlin, 2372 7/8 145U. S. un cheval, dans un wagon, brisa ses attaches et, 1/8; par la porte ouverte en raison de la chaleur, sauta Atchison Topeka, détruit par un incendie est ont été commis par des ouvriers poussés à cette Liberty 3 1/2 Ohio,1025019/32 3/8 Canadian Pacifie, 26 1/2 Baltimore extrémité par les conditions pénibles de l'exis- Chesapeakeetet Ohio sur le ballast. 5/8' MilwauChicago 34 M. Doumergue, président de la République, 'a vicomm., saint-cyrien de MosRobert Charbonneau, de Le jeune tence. D'autre part, la direction sanitaire 4 5/8 Chicago Rock Island, 29 Erie RailUee sité hier matin le 21' Salon de la Société des artiscomplètement incendie Un s'était la tête qui de 6 juin. le porté à Munich, dans garde a wagon, que le road,comm., Louisville et 1/2 Central, 44 cou publie un rapport duquel il résulteouvriers Illinois 17 1/8 par M. Tardepuis tes décorateurs au Grand Palais. Reçu nombre des maladies nerveuses parmi les Nashville, 63 New-York Central, 78 Norfolk et Wes- l'animal pour le maîtriser, fut entraîné dans le détruit ce matin le Palais de Cristal qui,d'art MM. FolHiriart, de dieu, président de la Société, et Southern vide. Quand le train stoppa, on retrouva à la sortie 1888, abritait les grandes expositions prend des proportions alarmantes. tern, 144 1/2 Pensylvania, 47 Reading, 63 Union vivement Pa- du tunnel le cadavre du saint-cyrien qui avait été Munich. Ce bâtiment, qui était la copie du Palais lot et Rechet, vice-présidents, il a été 30 1/2 Southern Pacific, 75 1/2 LeGuépéou a procédé derniè- Railway, productions De Leningrad. Anaconda Copper, 20 3/4 Calumet et traîné par le train et dont le corps était sectionné de Cristal de Londres, était entièrement construit frappé du renouvellement constant des cific, 152 1/2 rement à l'arrestation de trois vieux journalistes Utah Copper, 100 American Telephone, en trois troncons. 5 7/8 les milieux artistiques on de ces artistes et a conclu qu'il considérait ce SaDans fer. et en en verre À. Hessen, L. Katchko et N. Elkine. Tous trois ont Hecla, American Car et Foundry, 16 British Ame166 3/4 Originaire de Crépy-en-Valois, M. Robert Char- considère l'incendie comme une catastrophe na- lon comme un point de départ. été déportés le premier en Asie-Mineure, les deux rican Tobacco, 16 3/4 U. S. Leather, 5 1/2 General bonneau accomplissait à Saint-Cyr sa dernière an- tionale. Elect., 38 1/2 Bethléhem Stell, 43 1/2 Crucible Stell, autres dans la région de Solovietzk. d'études. Trois mille tableaux auraient été détruits par les Pour les quarts de finale de la Coupe Davis en Europe née U. S. Steel Common, 89 1/4 Royal Dutch, 25 5/8; Des bagarres ont 37 De Francfort-sur-le-Mein. flammes. Une grande partie de ces tableaux n'étaient minerai étranger Argent en barres Shell, 20. gare du départ à éclaté hier la pour 26 1/2. au moment assurés. Les dégâts matériels sont évalués au Affaires totales (titres) 800.000. pas la France d'un transport d'or destiné à l'achat de L'Angletrre triomphe du Sud-Afrique total à plusieurs millions de marks. qu'il nationaux socialistes, croyant devises. Des Vingt pompiers ont été blessés au cours des trapar 5 victoires à zéro s'agissait d'un paiement au titre des réparations, BOURSE DE LONDRES vaux d'extinction. r«* Un banquet a réuni, hier soir, au palais d'OrLa Grande-Bretagne a battu l'Afrique du Sud tentèrent de s'opposer à cette expédition. Il fallut 5 matches à zéro, dans le quart de finale des say, les membres actuels et anciens de l'inspec• par l'intervention de la police pour que le train puisse épreuves de la Coupe Davis (zone européenne). tion générale des finances. M. Piétri, ministre du partir. Escompte hors banque, 2 5/32, de la Londres, 6 juin. ministère Un déjeuner guerre au Les deux dernier matches joués hier à East3/16 Prêts, 0 3/4, 1 1/2 sur Paris, 12427 sur budget, a prononcé un discours. De Bucarest. La délégation chargée de 2Newbourne se sont en effet terminés par la victoire de 48655 sur Berlin, sur Belgique, 349225 «^ Le banquet médical d'Action française aura négocier la, convention commerciale entre ia Rou- 2050 York, Kirby (Sud-Afrique), Rio sur Londres, 3 17/32 Valparaiso sur Lon- lieu le 10 juin 1931, sous la présidence de MM, sur M. Maginot, ministre de la guerre, a offert hier, Perry (Grande-Bretagne) ^-Allemagne partira demain pour Berlin. dres, 3989 manie;esj eji^présidée d'Austin (Brande-BretaArgent Buenos-Aires sur Londres, 3437 3-6, G-4, 6-1, 6-4 et celle des l'honneur déjeuner Saint-Dominique, à salle du par Maurras, la Charles en Daudet Léon et un négorue Elle M. Cezar Popesco. Les Argent 2 mois, 12 5/1Ç Or, comptant, 12 6/16 gne) sur Farquharson 6-2, 5-7, 6-2, 6-3. membres du conseil supérieur de la guerre. corporatif.
fait au tions suivantes
Les
Conférence
et
et le
Jorga
une
re-
:
VIE RELIGIEUSE
r
$tegerwald.i,
°
AU
giât
REVUE P E
ciations commenceront mardi.
restaurant
84/11 3/8.
'1!1 I:}
Les socialistes protestataires ï
et
1;1
:x
.1; ~¡1-i,
Ist
.I»i
A.
F
R,
ES S S -B
la France et l'intérêt national au-dessus des M. Sauerwein se contente'rait de paroles nostal- faire une Allemagneheureuse dans une Europe nouvelle. La visite actuelle des ministres allemands aura été vrai(; combinaisons électorales et des tractations de groupes. gie des méthodes à la Stresemariri. ment utile, si elle contribue à tirer l'Allemagne de cet Inquiétude chez M. Henry Bar1*: (ŒUVRE')' état 'Et il y a ceux qui ferment obstinément les yeux m–1.• 11 d'isolement spirituel où elle est trop longtemps La déclaration des vingt-sept députés socialistesgravité de la situation extérieure pour demeurer invopréoccupés par les intrigues de la politique Nous rappelons, à la veille de Chequers, que Londres, demeurée. hostiles à l'internationalisme qui a l'accueil sym-riablement parlementaire. Voilà qui fera plus pour la paix européenne que d'une part, Berlin, de l'autre, ont affirmé au Quai d'Or< pathique de la presse valoisienne qui voit en allemands anglais et que l'entretien des ministres les sophismes de la revision. II est très vrai qu'il existe un clan de radicauxsay sans doute, des alliés. devait être de pure courtoisie et qu'en aucun cas «il ne acquis aux thèses de M. Blum. tournerait à l'entretien politique». Le QUOTIDIEN applaudit Un conseil Nous ne disons pas que les déclarations de M. Bruning A à Southampton démentent ces assurances. Car, ces assuAinsi ils pensent servir l'intérêt « du parti, du pays, rances, nous ne les prenons pas à la lettre. Nous les de la paix », qui, à leurs yeux, sont inséparables. Si M. Briand a réellement l'intention de se faire Chequers, interprétons, et nous les avons déjà interprétées Il fallait que ces chcses fussent dites. il ne peut rien Il ne se passe rien à Conversations ? Oui. Négociations ? Non. le pèlerin de la paix, on ne saurait le retenir et Les républicains qui repoussent les doctrines sociadéclarations, leurs rappellent Que Londres et Berlin se listes ont besoin de savoir, avant les grandes luttes élec- se passer MM. Bruning et Curtius sont à Londres notre confrère de PARIS-CENTRE, M. Henry Cros, rappeler. leur à les n'ayons ,afiu proclament pas que nous iorales prochaines, ceux qui comme eux ne des touristes de passage. Telles sont du moins les seulement lui indique, avec esprit, la bonne voie nationale, l'indépendance principe de le pas Grand besoin que cet avertissement Il faut le assurances que donnent des feuilles officieuses et et lourdement, Si M. Briand, qui s'est trompé mais acceptent les moyens de la sauvegarder. correspondant du faites à qu'écrit le des fondent confronter qu'elles il promesses avec ce sur avait tant soit peu au cœur l'amour de son pays, REPUBLIQUE parle de l'identité de vues entre Briand. revision croiTAGEBLATT BERLINER :« L'idée de quitterait le Quai d'Orsay et entreprendrait cette 1 les rebelles et le radicalisme sade pour la paix dont il parla au lendemain de son est, du moins en ce qui concerne l'Angleterre, sur cuisant Le PETIT PARISIEN échec de Versailles. Que Renaudel, Paul-Boncour, Frot, Marquet soient sur le point d'entrer dans le domaine de la politique Seulement, ce n'est pas en France qu'il devrait porter Nous avons indiqué hier la portée qu'il fallait attri- pratique. L'entrevue de Chequers n'est pas une ce point, d'accord avec nous, nous n'en sommes pas il ne prêcherait en effet que des la bonne parole la nôtre, sont celles du pays répu- ]buer au voyage en Angleterre de MM. Bruning et Curtius, surpris. Leur pensée,hommes confidents de » Entre les commencement. c'est fin, M. Von Gerlach,lesa eu d'ailAllemand, convertis, et un un gauche qui opposent blicain, de tous ces qui sont arrivés hier matin à Londres. Visite de cour-1 Français reconnaitre que tous criailleries nationalistes leur invincible volonté de paix,toisie, avons-nous dit, et simples conversations au sujetdu chancelier Bruning et ceux de M. Briand, on leurs la loyauté de Rhin, côté du mais de l'autre n'en- desquelles M. Briand a reçu de son collègue, M. Hen-voit qu'il y a un désaccord grave1 sont attachés 'à la paix, mais qui, justement parce qu'ils veulent la paix, voudraient d'où montent, comme hier à Breslau,lesdans une atmostendent pas laisser la route libre à ceux qui derson, lors de leurs entretiens de Genève, des assurances bruits sinistres comparable à celle d'août 1914, phère la guerre. Une voix anglaise satisfaisantes. haine et à la à la appels marche, les légions des en Assurer l'indépendance des peuples, travailler à Une personnalité particulièrement bien renseignée mais portée isolée, haute voix de Une car son revanche. l'union de ces peuples, fonder ainsi la paix définitive seulement confirmé hier cette informa- prestige ne nous a pas vieille incarne la elle grand et notre ministre des est sagesse mais alors seulement, tout Alors démo-tion elle nous a déclaré que des assurances formelles tel est le triple but que doit se proposer mérité de la paix et nous aurait bien crate. Le manifeste des vingt-sept, en le rappelant op- avaient été données dans le même sens au Quai.d'Orsayd'outre-Manche le TIMES déclare que l'Allemagne affaires étrangères portunément, sert la cause de la paix. qu'à deux conditions, l'une, qu'elle le laisserions tranquille. par le représentant du Reich à Paris. sauvera ne se Aucune question politique pouvant intéresser des L'ERE NOUVELLE, si volontiers antisocialiste, fasse d'abord tout ce qu'elle peut pour s'aider elle- Encore faudrait-il que M. Briand allât prêcher et et naturellement la France ne sera discutée même, l'autre que, si elle veut que les autres pays outre-Rhin autre chose que la revision des traités. est en liesse quelconques décisions suite, faire l'objet de par l'aident, il faut qu'elle commence par se montrer Mais alors, vous demanderez-vous, pourquoi restent- pourra, à Londres ou à Chequers. Réalités paneurope bonne Européenne ils ? Pourquoi n'ont-ils pas fait la scission ?, (MATIN) Sauerwein qu'ils Jules parce M. pas pousse C'est ne simple. Oh pour une raison bien Henderson a déclaré il y a deux jours qu'un esprit estiment que le congrès a été dupé et manœuvré, et zble jusque-là et explique qu'on parlera, à Che- deM. communauté est en train de croître parmi les nations L'interpellation de M. C.-J. Gignoux met en cirils nous laissent discrètement entendre que M. Léon quers, « des malheurs des temps principe est-elle fidèle à L'Allemagne monde. du ce reçoivent Blum n'a pas été étranger à l'opération. C'est parce qui été causé culation des vérités fort opportunes qui grand malaise raison La du essentiel ? a Paul motion conditions la dans qu'ils pensent que la ces La première de ces conditions c'est que le Reich cesse par son projet d'union douanière avec l'Autriche n'a l'approbation d'écrivains de partis divers Faure-Zyromski n'exprime nullement la pensée du parti de poursuivre deux l'une la politiques la fois à pour souvent malheuqu'ils consommation intérieure et l'autre pour l'opinion pas été que ce projet fût mauvais en soi, mais que la France ne peu: être le banquier et surtout celle des électeurs. C'est enfin parce extérévélé brusquement négocié, puis été il manière dont tête, rieure. a de l'univers et principalement des nations ont l'intention bien arrêtée de n'en faire qu'àleur reux de mélange et semblait manifester l'Europe, à ruse un congrès. du ukases des le cas échéant, sans nul souci On ne peut en même temps demander à d'autres na-,de défi et s'opposer en esprit aux efforts vers une union qui lui veulent du mal. Ainsi donc la fissure existe. L'emplâtre de M. Léon tions un peuple européenne que la Société des Nations était en train un effort de solidarité et ameuter toutOn M. Charles Maurras (ACTION FRANÇAISE) Blum n'a servi de rien et les motions d'unanimité, ausBriand. peut M. direction de revision traités des contrats. des et la faire la ne de sous pour sitôt reniées, n'ont même pas pu sauver la face. L'Allemagne a-t-elle réellement accepté le règlement pas gagner la confiance du capital étranger si l'on parle Nous avons seulement appris que plus de quatre milgrandes On demandans peut même d'Europe. l'Europe, radicaux ? de la chambarder carte d'après ses les de Et pas ne guerre liards d'argent français ont pris le chemin de l'Allearriver par humanité espère-t-elle le temps consentir tout et Ou bien créanciers de lignes ? der à des par magne. C'est plus fort qu'en 1914 alors si notre sysL'éditorial de Y AMI DU PEUPLE le rappelle op- politique à l'aménagement d'une dette si l'on hurleà en renverser les dispositions ? Voilà les questions qui tème était de refuser à l'ennemi héréditaire l'entrée des observateurs écoles, portunément les des dans esprits meetings, pays les les les toits, dans dans tous posent t;e sur de notre marché financier, nous donnions déjà règlements d'après àofficielle cette les assemblées introduire dans universités et les Pour dans les étrangers. que dans ses alliés autrichiens, turcs et bulgares de quoi fabriCe que nous aurions désiré savoir, dans un intérêt de dette n'est pas une dette, mais un tribut d'origine immo- guerre des modifications, sans occasionner de désastre, canons et les obus par lesquels nous sont reveclarté politique, ce que pense l'aile gauche du parti rale et imposé au peuple allemand par une injuste bru- il faut absolument que ces modifications se fassent sur querlelescapital et l'intérêt de ces « emprunts». valoisien de l'attitude patriotique, donc nettement anti- talité. le consen- nus existants et traités générale des par la base Nous reverrons nos quatre milliards sous la même étroisocialiste, dont M. Herriot nous donne le spectacle récoopérera l'Allemagne Plus intéressés. des tement l'envergure certainement chancelier Bruning pour Le confirment ce a les autres pays en esprit aussi bien que forme, toutes les nouvelles d'Allemagne c'est tement fois, a la mais avec deux politique grande faire eciaià suffit obstination qui une pronostic. nous Il se tait avec une dans la forme, plus il y aura de chances que l'on puisse trop. radicaux de deux sortes ceux présentement Il rer. y a qui placent
la
eux,
Chequers
M.
La
aux
tiers ne
».
confortant.
le
Lautier (HOMME LIBRE), avec vivacité, parle d'une « politique économique' de dupes » M.
Dans tous ces projets visant l'économie internationale, la France n'aura aucun droit à la gratitude des peuples pour lesquels elle se saignera aux quatre veines, puisque son argent sera comme à la Banque des distribué par un orgaRèglements internationaux nisme international où elle n'aura presque rien à dire. Par exemple, on compte sur elle pour payer et on négociations ne le lui a pas caché. Dans les dernières de Genève, tout le monde s'est défilé au moment de laisser tomber une obole dans l'escarcelle. Tout le monde dis-nous merci » dit à la France « Paie! Paie Pour nous séduire, des écrivains, que je ne croyais pas si riches, disent dans leurs journaux qu'il ne s'agit pas d'un sacrifice important. L'un parle de 90 millions parle de 175. Ils n'ont pas pris ces par an. L'autreméprisent) chiffres (qu'ils sous leur bonnet. Quelque
et
attaché de cabinet ministériel s'est hasardé dans cette évaluation qui ne repose sur rien et ne rime absolument à rien. Une indication pour le gouvernement que cet appel général à la prudence
L'Exposition Coloniale
Un témoignage du JOURNAL D'ALSACE ET DE LORRAINE Disons les choses comme elles sont
rien n'est plus différent d'une exposition qu'une autre exposition, et rien n'est plus propre à éveiller, pour ce qui est du volume et de l'intérêt, des idées radicalement fausses. Tel qui pensait, en visitant une exposition ou une foire, se trouver en présence d'une grande chose, tombe dans la déception que peut susciter une kermesse ou une entreprise de second choix. Tel qui partait enthousiaste, revient déçu et découragé. n'attendent certes désagréables Ces surprises bonne foi qui se renpas ceux de nos compatriotes deinternationde de Paris. dront à l'Exposition coloniale Portons-en témoignage ici. Comme d'autres, après d'autres, nous avr-ns fait au bois de Vincennes un petit tour de promenade. Nous revenons de cette première visite émerveillé et
ravi.
n'est pas fini. Il Certes, tout y a encore des platras, des pavillons à terminer. des flaques d'eau de pluie, dépasse en grandeur est fini, ce qui est prêt Mais ce qu'alité l'imagination peut loin, de tout et en ce que, concevoir. La réussite est totale. Le résultat sera considérable, peut et doit contribuer car, vraiment, cette exposition des réalités, des sentiment à donner aux Français le moyens nation de la possibilités et des en ses domaines métropolitain et coloniaux. Miracle et apothéose de Lyautcy
r'i
Notre confrère invite les familles d'Alsace .fqf voyage. Maurice Noël.
LIBRAIRIE
UN TRIPLE EMPOISONNEMENT
docteur Laget devant les assises de Hérault Le
VIENT DE PARAITRE
PUBIS-GUIDE Juin 1931
juin (De notre enooi/é spécial). Montpellier, comme beaucoup de cités du Midi, est une ville de plein air. Il y fait beau, il y fait chaud. On y flâne, et, assis à la terrasse des cafés ` qui orne ou en se promenant autour de la fontaine de l'affaire place de la Comédie, chacun parle Laget. L'opinion publique est très montée contre l'empoisonneur, car c'est ainsi qu'on l'appelle maintenant. J'entendais hier dans la foule une de ces belles voix sonores du Midi s'écrier « Qu'on lui coupe le cou à cet homme. Il a commis trois crimes. Qu'est-ce que je dis trois crimes. Non, quinze, vingt, trente crimes, puisqu'il a chaque MONTPELLIER, 6
l
(AnnuaireFrance-Amérique) vol. relié cuir, 770 p., 142 dessins,4 cartes
1.
LA VIE A PARIS Paris qui reçoit, Paris religieux et social,Paris artiste et intellectuel, Paris 'luis'amuse,
par MM. d'Andigné, de Beaumont, H. Bidou, Billy,
Bucaille, Curnonsky,Daireaux, Ûelage, DeshoirSj Maurice Donnay, Forestier, P. de Fouquières, Fuzier, Louis Gillet, Hallays, Vincent d'Indy, André Lang, F. Laudet, Henri Lavedan, Georges Lecomte, C. Mauclair, E.' Rozt, R. de Vogüé, A. Warnod. Introduction par G. Hanotaux, de l'Académie Française.
II. -L'ANNEE A PARIS
par MM.F.Boschot, R. Dumesnil, A. de Fouquières, Gregh, Pléchaud, de pouvourville. Mme
GUIDE DES RÉGIONS DE FRANCE
III.
Environs de Paris, Alsace, Itinéraires en France. par MM. Emile Pilon et Gabriel de Joubert. Les ÉDITIONS FRANCE-AMÉRIQUE Sous le patronage du Comité France-Amérique PARIS (VIII) 9 et 11, Avenue Victor-Emmanuel Envoi
A
franco
Teconandi des tonte la France
L'EXPOSITION
25 fr.
COLONIALE
LE,TOURNOI DE FOOTBALL
°
Slavla vainqueur du Olub Français Le tournoi de football de l'Exposition coloniale organisé le Racing Club de France,
sous par lecomité de l'Exposition Petit du. et patronage du 10.000 hier après-midi devant Parisien, a débuté spectateurs, sur la pelouse du Vélodrome munici-
pal, spécialement et parfaitement aménagée pour la circonstance. La journée inaugurale, placée sous le patronage de M. Doumergue, président de la République, était présidée par M. Paul Reynaud, ministre des colonies, auprès duquel avaient pris place M. Henry Paté et diverses personnalités du sport et de la politique. Au programme et avant l'ouverture du tournoi figuraient des démonstrations faites par les athlètes coloniaux Sénégalais, Malgaches, Algériens, Marocains, Annamites. Ces démonstrations obtinrent adun légitime succès, et les spectateurs purent l'esprit de magnifiques, dont mirer ces athlètes fait discipline comme les qualités athlétiques ont
sensation.
Le défilé avant comme après la démonstration,
les mouvements d'ensemble ou d'équilibre, les descourses ou les combats à la sagaie, au cours adresse d'une quels les combattants firent preuve et d'une souplesse remarquables, recueillirent les applaudissements unanimes d'une assistance en-
.
thousiaste.
Un aussi brillant début ne pouvait que bien auqui vint gurer de la suite. Le match de football Tchécoslovaquie ensuite, entre les champions de et les champions de France, fut plein d'intérêt et ardemment disputé. En battant par 4 buts à 1 le Club Français, le Slavia de Prague s'est qualifié pour les demi-finales. Cette qualification fut plus difficile qu'on ne l'escomptait généralement, et la victoire ne revint aux visiteurs qu'après une prolongation de 30 minutes. débuts avaient Aussi le Club Français, dont les été difficiles, voire même pénibles, se reprit bien «ans la seconde partie du jeu au point d'inquiéter sérieusement la défense adverse. Mené un moment par 1 à 0, il réussit à égaliser, grâce à Parkes sur coup de pénalisation. il dut Dans la prolongation pourtant, fatigué, trois Tchèques marquèrent autres s'incliner, et les Pue Svoboda de l'œuvre furent et Ceux-ci de buts. marqué le premier but de la partie fut par ce der-
nier.
r
Cet excellent commencement d'un tournoi qui
s'annonce remarquable fait espérer une suite plus brillante encore. Les matches à venir sont tous de qualité on peut donc escompter un très gros succès. La journée d'aujourd'hui verra se dérouler deux rencontres. L'une, à 15 heures, mettra aux prises le Racing Club de France et l'Urania de Genève. L'autre, à 16 h. 45, opposera le R. C. Santander au Wolwerhampton W. F. C. Les prix d'entrée des voitures Le bureau de presse de l'Exposition coloniale communique la note suivante A partir du lundi 8 juin, le prix d'entrée des voitures à l'Exposition coloniale sera fixé comme Suit le matin, à 30 francs le soir, à 40 francs le vendredi toute la journée, à 100 francs. > Les industries du froid Hier matin a eu lieu, sous la présidence de M. Paul Reynaud, ministre des colonies, l'inauguration
«
de la classe
55 B des
industries
coloniale.ç,
du froid,
à l'Expo-
sition Parmi les personnalités qui assistaient à la céré-
-nous avons noté MM. Louis Rollin, minisfre du commerce et de l'industrie André J.-L. Breton, député, président de la classe 55 B des industries du froid Lefebvre-Dibon, président du syndicat général de l'industrie frigorifique de France et des colonies Bertrand-Taquet, président du monie,
groupe de l'alimentation G. Schwob d'Héricourt, président de la section métropolitaine Morain commissaire général adjoint, etc.
;Echec-.<• au
Feuilleton de FIGARO du 7 Juin 1951
".
Roi (11)
IV (Suite)
Notre cacique nous proposa alors, prétexte agréable d'école buissonniere, de nous rendre au jardin public par les Grands Prés au bord de l'eau. Des acclamations accueillirent la proposition, et nous le suivîmes tous, même Mlle Dubreuil, qui gardait son long sourire. Cependant, comme nous ville, le petit nous attardions aux magasins en retournait chez Berteau se détacha timidement il C était bon un Histoire. lui pour repasser son élève, mais craintif et lent dans son travail il ajouta qu'habitant près de M. Dulondal, il saurait
il
allait, car l'idée de maladie peut-être comment plus que la ne nous avait pas abandonnés, d'autantpâle. veille nous l'avions trouvé abattu et Nous flânions entre les sureaux de la rive et ce n'est qu'après un long détour que nous arrivâmes au grand jardin. En bande bruyante, nous l'envahîmes. Il était désert à cette heure. Avant la. flambée du jour, la fraîcheur de la nuit traînait encore sous les marronniers. Les chaises de fer que nous disposâmes de rosée, et l'orgueil de vivre en cercle reluisaient éclatait Après dans le pépiement des moineaux. # des méditations feintes, nous griffonnâarrachées nos « sode cahier mes sur des feuilles commentaires qui cherchaient à
lutionsou être drôles.
des
camarades avaient inventé des accidents fiiirlesques. Un fantaisiste parlait d'une fugue, ce Mes
a
fois donné plusieurs doses ».
Et celui qui parlait ainsi, tout en écoutant les tziganes du café, n'avait point tout à fait tort, car chez l'homme qui empoice qu'il y a de terrible le c'est précisément crime répété le poison sonne versé chaque soir, chaque nuit dans le verre d'eau sûreou dans la tisane, la mort donnée lentement, ment, goutte à goutte les progrès de la maladie que
l'on suit en regardant les yeux qui se creusent, vient.
les chairs qui fondent et la mort qui
ne sait, dans les annales judiciaires. Peut-être, ons'en sert poisons des Borgias. On ne fut-il un des laboratoires que dans les pour des études sur les « ce animaux. Mais, ajoute le docteur Petsche, même suiet de pourrait être un moven de suicide je n'ai pas voulu cide agréable, et c'est pourquoi considérais comme un en donner à Laget, que je homme pas tout à fait normal ». à Et c'est ici que, pour ceux qui s'intéressent et toute spéciale des la mentalité très curieuse déposition du docteur Petsche empoisonneurs, la caractéristique. Laget, nous du-il, va devenirimpulsif, passant d'une idée à une était un autre, faisant tout par saccades. Externe des hôpi-. taux, il ne se présente pas à l'internat, on ne sait pourquoi. frénésie, Un jour il loue un piano et en joue avec puis il abandonne son instrument. Dans camarade Petsche resa chambre d'étudiant, -son de couleur qui servent marque un jour des verres à étudier la 'vision colorée. Ils provenaient du laboratoire où Laget les avait dérobés. Nous disions plus haut que la manie du vol est Laget,'î&ûs le stigmate de l'empoicomme la caractéristique, allons la trouver. Peccasonneur. Chez plus.; dilles, dira le docteur;- Petsche. Non, c'est déjeune dans un restaurant, Laget Un autre jour, camarade Petsche, Laget aperçoit souavec son dain un parapluie qui appartient à une dame en « C'est une train de déjeuner. Laget s'en empare. très sérieux, farce stupide », lui dit Petsche. Mais, amie. » Laget répond « J'en ferai cadeau à mon Peccadille, oui, mais curieuse pour le clinicien. il l'aime, Laget possède un chien. Tout d'abord le caresse,puis un jour il le pend etdans un petit journal d'étudiants on publie une caricature représentant un chien avec la tète de Laget au bout d'une corde.
TAPIS et MEUBLES. la Foire de Paris syaat «fiécoré l'Exposition Horticole
la Foire de T
t>
,f-,
>
il
Si
-
.•
SLïlBe,
SOLDES “«–»,–»
Vapis de Montagnes
BejBÏ SI'GuîEd
#£_ &•& TapiS
t«ill« JiVe«e».
tri» primitif».
'7-X240.2X3, «& &Kr «95^; '.ISS
1375.» Moquette
quslité:
1475.)> 1975.r) 925.» belle reproduction de documents persans, Jacquard, très
J70X24°
14oX2 3T5*>>
,zX3
fcn_belK
28oX38o
1475.» Ï&? dessin moderne gris Passage Moquette Jacquard, “-«*» 0.70, Z7.S>U Lnrceur o.5o, 2 I.» o.6o, 24.» M«X> «»•» 70XH0. *7.5© TapiS jute double 3X4. 2 I O.» 25oX3io. 15O.» aX3- 1O5.» Fau^eU«Scu^pa,iné.X. i6oVa5o 25.» 595.» 495.», Soldés à 295.», 395.»,
face.
bleu. «X«.»
lio «, l'auto, verni, Soldés tn-oir» •*°*r*"
qualité lourde, VelOlirS COton, cuir pour
toutes teintes, le mètre en
tiroir pied » courbé ••
Coussins 8 tiroirs Bureaux ministre chêne chêne verni, b Bureaux «SeMsi-mânistirc verni, un Tables de bureau eS»êne courbé Porte-Chapeaux bois sur Fauteuils de Bureau bois Chaises bois courbé fond pyro
a«"»
150.» >
39» 39.»
NOUVELLES MILITAIRES Davion, 1SC bat. chass.; Fromageau, 20" Daumas, Carabalona, 22° bat. chass. chass. 24e · d luf. Cotton, commandant la 16e bat. Le général de division Broussaud, 3° Cloarec, chass. bat. Wauouier, Laurens, Magherini, Vaggioni, Domartini, Borne, Bronrégion, a été placé dans la section de réserve. di, Paganelli, 141° inf.; Benedetti, Marfaing, 173°im. Le général Dosse commandant la 16° région Le général Dosse, qui succède au général Broussaud Lafond, 27° tir. alg. Bonnet, Sables, 15' mf. Valat, Alas16° région. région, est né a Emdans le commandement de la 16°1871. Il sort de Saint- set,- Larroquc, -80* iuf. Colombie*, Goulesque, Louvet, brun (Hautes-Alpes), le 3 juin Lozi, 81" Anfriani, Baisse, Rouzïes, Cvret appartient à l'arme de l'infanterie. 'Castel, Castel, Dazet, Dieurerégion; en, 1904, 17° d'état-major, .Sous-lieutenant en 1895, breveté Maugieu, Joùaholoii, 14 la déclaration de guerre le trouve capitaine professeur1 fard, région. Mercier, Laval, Joussain, Jean dit PruFontaid'artillerie de 18° au cours de tactique à l'Ecole niaud, Tiffon, 57° inf. Rousse, Saint-Martin, Arcalis. Il est affecté à l'état-major de la 2" armée oit il passeTaian, Buttin, 18° inf. Blin, Sampéro, Guery, Thuillet, 19° corps d'armée. chef de bataillon en novembre 1914. Blessé et fait cheGuillo, Muller, 13' tir. sénég. il 1915, est 19 sect. inf. milit. valier de la Légion d'honneur en février alg. BarRoudil, 15" tir. sénég. Gey, Maurel, 1" tir. Trouiuard, promu lieutenant-colonel en août 1916. 3" tir. alg. Il prend alors le commandement du 160° régiment thelet, 2° tir. alg. Pfirmann, alg.; Dorin, 0e zouav. tir. 7" Quittet, Leiby, d'infanterie et passe en janvier 1917 à l'armée d'Orient 5" tir. alg.; Bichat, Lavergne, chass. bat. 1" WàMbèrt Hé Verfois. 20e région. y est cité deuxsuccessicomme sous-chef d'état-major et1918, GenRolliu, Gérard, il exerce dier,Garniron, 10° bat. chass. Nommé colonel en décembre ÀA* Slaon,,Da£le, chass. bat. 29e Martin, vement les fonctions de chef d'état-major de l'armée lis, Berthaud, Miremont, inf. Terret, Truchot, Rombach, d'Orient et de l'armée de Hongrie. la Liégeois, Maflsuy, Riaucou, 26" Inf. partie de Bourguignon, fait il 1920, février à D'octobre 1919 Ragot, 146" inf. Katz, Specty, Anel, BaMaitreheury, mission du général Niessel dans les Pays baltes. Heitzlcr, Chatrieux, Maurice, Ia8 inf.; Il est ensuite affecté à l'état-major de l'armée comme zin, 153° inf. Didier Ardoin, Briard, Faure, Gaillegue, 170° iuf. chef du bureau des Ecoles, puis chef du 3° bureau. Garde, de la Fruvillier, Lemaire, En 1925 et 1926,comme colonel, puis général de bri- 21 tir. alg. Laugtée, alg. More], tir, 23° Fort, Jcancenellc, gade, il prend, à la tête de l'infanterie de la 2° division, 22" tir. alg. alg. puis comme commandant de la 128° division et de la Jnmmes, Crebessac, Giard. Saulnier, 25° tir. 8° division de marche, une part importante aux opéraBruyant, 63Ô bat. de chars de combatî Levant. fois cité quatre est tions qui se déroulent au Maroc d'honneur. Autard. 17° tir. sénégalais. fait commandeur de la Légion Alleguede, 4" zouaves Renoux, 4* tir. Tunisie. et En du études hautes des Centre 1927, il suit les cours Landrin, 8' tir. sénég. Gantini, Savani, 18' tir, tun. la de commandement militaires et prend en octobre le sénégalais. Maroc. Hafenscher, 4° étrang. Castillc, Deniaud, 53' brigade et la direction de l'école de montagne. Divisionnaire en mars 1929, il est mis en février 1930 Flouquet, Lavessière, 1" zouaves Laval, Foulon, 2' 1" tir. mar.; à la tête de la 27° division. zouaves Larroude, 13° tir. alg. Lapeyre, Le général Dosse est titulaire de huit citations. 2' tir. alg. Sockfel, Lumale, Garoute. 2° tir. maroc. tir. maroc. Viala, 3° Maroc rég. col. du Raud, Menou, Ecole de Saint-Wîaixent Papounet, métropole. la coloniales de Troupes Sont admis à l'Ecole militaire d'infanterie et des 3° inf. Richard, '21° inf. col. Munck, 23° inf. col. chars de combat les candidats dont les noms suivent Gouget, Dcbroas, 4° tir. sénég. de Cabarrus, (région de Barre, 1" division de l'infanterie métropolitaine Caillet, 8° tir. sénég. Duges, 14° tir. sénég. Labrousse, section des services d'état-major; Paris). d'appl. inf. Etienne, sapeurs-pomMortelette, écolesapeurs-pompiers La nouvelle grande tenue de la cavalerie Bouteille, Vitrant, piers Hime, Mue par un souci très louable d'économie pour les Dnfresne, 5e inf. de Belenet, Rolland, Belvèze, Honoré, officiers de cavalerie, la commission supérieure des Moisy, 4!ie infanterie 24' inf. Sirmain, Alix, Dubois, présidée par M. Maginbt, a décidé de SU1P" uniformes' Guy, "23' inf. coloniale Mirabeau, 501e chars de corales tuniques différentes pour les officiers de bat Chantreau, 502" chars de combat504eMédevielle, Se- primer d'autre part, elle maintient chars de com- légère et les autres. Mais, rinct, 503" chars de combat Mathon, couleurs de tunique différentes trois bat Jacob, Dupuy, Michel, Plusquellec, 505" chars de pour cette arme cavalerie métropolitaine, bleu de ciel combat Jeaudey, Laclef, Lambert, Martin-Michiellot, noire, pour la pour les spahis. Humbert, Pessel, 507e chars de pour les chasseurs d'Afrique,deet rougemutations, 506* chars de combat beauleurs C'est-à-dire qu'au cours Marié,509* chars de combat Bailly, 61" bat. combat diftrois tuniques faire faire à chars de combat Guillernier, 503' chars de combat coup d'officiers auront férentes. Tramond, 507* chars de combat. temps encore, Dunlïerque de de Ne pourrait-on pas, pendant qu'il bureau Prost, 1™ région. recr. question, ce qui constiBail, 1" rég. inf. Alizart, Houillon, 43" inf. Verbeke, réduire à deux les couleurs en encore ? tuerait une économie plus grande avoir de discusPour la tunique rouge, il ne peut y 2. région. Bonnaud, Dubos, Maillot, Tellier, 51° inf.; sion il faut la maintenir, comme étant la tenue traCamus, Allin, Le Doujet, Hubert, Manotti, Prim, ditionnelle des 3" région. d ar4 Tétart, Lefrançois, Carré,129" Descamps, 8e inf. Mais, pour la tunique des autres subdivisions Tassaux, inf. mes, quelle couleur convient-il le mieux de retenir^ 39e inf. Aubrun, Desaunettes, Meneboode, Raminf. 117° Soyer, Bruneau, Cessac, le noir des cuirassiers et dragons ou le bleu de ciel 4' région. 7 militaire. prytanée bour, Aillerie, Douprinou, Castagne, des hussards et des chasseurs de France et d Afrique ? iden13' inf. conservés est Grawitz, régiments Lahausse, 5e région. Le nombre des anciens Pasquinelli, Rechaussât, 95e inf. Commarct, Guérinet, 15 noirs contre 15 bleus (nous ne comptons pas tique 131e infanterie. Digonnet, Perreau, le régiment monté de la Légion, qui n'existait pas de chasseurs Canonne, Pajot, 8e bat. 6. région. avant la guerre). Husson, Martin, 16° bat. de chass. Barbeliii, 94' inf. Or, nous souhaiterions le bleu de ciel pour tous les inf.; 151° Lochard, Mouloise, Lickel, 106e inf. Quinchc, régiments autres que les spahis, et ce, pour les motifs Laplanche, Blas, 168. infanterie. suivants Davoine, Rey, 31'hat. de chasseurs 7e région 1" Il serait très regrettable de vêtir de noir les chasLefort, Mathieu, Churlet, Oudot, Oùsset, 21° infanterie; seurs d'Afrique, les couleurs claires étant la caractérisiiOlili Masson, Maria, 35' inf. Try, Bury, JS'eau, Leroux, 60' tique des régiments africains. n'ftyp porté chasseurs régiment d'infanterie. les 2" Jamais les hussards, ni Muller, Ecole militaire préparatoire d'Au- la couleur noire, tandis que, depuis 15 ans, cuirassiers 8° région. Houille, Venot, 27° infanterie; et dragons portent la tenue bleu horizon qui se raptun Goujon, Bernachot, infanterie. Caravel, 134° Saussol, Costcs, proche beaucoup du bleu de ciel. Camp, Lavergne, Ecole militaire d'inf. 9° région. 3° La tunique bleu de ciel romprait la monotonie infanterie. Montfort, 32° Loricr, du sont prévues noires depuis le maréchal des tenues qui Buan, Dieucho, Hamon, Jouan- de Lucasseau, jusqu'au 10' région. dernier sous-lieutenant fonctionFrance Kerleroux, Kerrioux, 41° infanterie; no, Charron, Derrien, Dewitte, Alix, de Buttet, Hubert, Maigrot, 48° infanterie; Elle renforcerait l'esprit de en permettant Foret, Gillot, Raison de Cleuziou, Guizouarn, Jaffré, de4°distinguer,à première vue, touscorps les officiers de caPhilippe, 71' infanterie. des officiers, ^infanterie (à part les boutons, Lemouée, Marochain, Tapie, valerie; Bescond, • •Ils région. cuirassiers auront, ^cn effet, exactement la même 65" infanterie Brin, Chansard, Cornilieu, 137" Jnfant. les '12'" 'région. *De Wulf, Ramaud, 107" infanterie tenue que la ligne). la0"cavalerie compté des uniforOr.' de tout temps, a Briand, Celton, Dailly, Le Ninan, Barthère, Vigouroux, bien avec l'esprit cadrent qui brillants clairs et mes 126" infanterie. Lemaitre, 38e inf. Benoit, 92" infante13° région. 5° Enfin, le choix du bleu de ciel pour les officiers rie Guers, Truffy, 121° infanterie. cet aspect légendaire de Royer de La de cavalerie maintiendrait 11e région. Barada, de La Seiglière, pantalon armée rouge, tunique bleue Bastie, 99e inf. Pollier, Nortier, 159° inf. Huet, 6' notre ancienne vivant de notre drapeau formaient un bat. de chasseurs Clair, 7' bat. de chass. Fouques- et gants blancs Bcucon, 13' bat. de chasseurs Fournet, Navaud, Raoux, France. M. Maginot, si soucieux des intérêts de l'armée, n'auDufond, Guillé, Montfagnon, 6° tir. 5e tir. marocains rait qu'un seul mot à modifier à son futur décret pour marocains Guibert, Girollet, Valot, 28e tir. tunisiens servir à la fois le prestige et l'intérêt des officiers de Schreiber, 14° section de C. 0. A. Tessier, 15° sect. inf. milit. Bastoen, cavalerie. 15» région.
Etat-major général de l'armée
0«
nebleau.
bat. chass.
inf. inf.
il
infanterie. infanterie.
110e
qui nous fit pouffer, tellement c'était peu dans le élait responsable, comme si elle avait fait plus que Je crois, Dieu me pardonne, que je tentai d'établir J de prévoir et d'annoncer le malheur, du respectable M. Dulondal. tempérament Pour comme si un parallèle. Je sentais à travers mes mots ce que I moi, je lus ma réponse avec un sérieux qui elle l'avait apporté avec elle, étant une de ces forces ces comparaisons d'écolier avaient de ridicule et n'était pas joué « M. Dulondal était parti avec les obscures qui déchaînent le mal. de sottement littéraire, mais ces souvenirs classiLes fureurs primitives qui assaillaient les sor- ques, à défaut d'exemples, vécus, venaient au sesiens, loin de cette petite ville sans cœur, pour se mieux cières formèrent autour d'elle le cercle et il s'en cours de ma misérable inexpérience des hommes. faire ailleurs une vie nouvelle, très loin pour fallut de peu qu'on ne lui fît un mauvais parti. C'est que l'amour, me jeta-t-elle avec mépris, penser et mieux aimer ». tellement huUne minute d'inattention pour entourer Berteau est quelque chose de plus cruel que vous ne rêvez. Mes camarades étaient en belle Et elle eut un rire strident il donna à son beau meur qu'ils prirent pour une drôlerie ce qui n'était, qui contait ce qu'il avait appris chez ses parents chuchotait d'eux, ç'avait autour visage une expression démoniaque qui me fit peur, de ma part, qu'une naïveté, et je ris avec les autres. ou qu'on car Nous attendions d'Alice Dubreuil une malice et été, dans le voisinage,, la traînée de poudre, et me déchira. Je crus avoir devant moi l'esprit du mal qui nie quand elle lut avec sa voix calme « Mme Dulon- Mlle Dubreuil s'était éclipsée. et piétine tout ce qu'on respecte, tout ce qui prête dal est partie avec le beau problème » ce fut chez jardin, dans son Dulondal avait M. On aperçu les uns une fusée de rire, chez les autres un haus- assis, accablé, la tête entre les mains. un sens à la vie. Et dans un vertige imbécile, j'allongeai vers elle sement d'épaules. plus jours quelques tard lendemain Est-ce le ou une main crispée comme pour l'étrangler. A l'instant même, le petit Berteau apparut, haAlice ? comprenait rencontrai Elle je que que letant, et la phrase bégayée « Mme Dulondal a l'orage V elle l'examen sur jusqu'à tête était et ne sa filé avec le pion » tomba de ses lèvres nerveuses remit plus les pieds au lycée. Je donnerais d'Alice une idée bien fausse et mots. mêmes près les dans à D'un car, quasiment était peu collective moi ramassée colère La en monstrueuse si je la peignais telle bond, nous fûmes debout et il y eût une confusément, bêtement, je l'avoue, je la rendais qu'elle m'apparut à de rares heures. stupeur. Quelques minutes plus tard il monta bien responsable d'un malheur dans lequel le simple elle tous les changements qui Il y avait en dans les bon qu'elle fût rien. comme des flûtements d'oiseaux moqueurs voulait ne pour sens se font en un jour dans le ciel ou sur l'eau. Je branches « Coucou. » mais cela faisait mal comelle, les lèvres serrées, et il lui m'y droit J'allai à perds un peu et j'aurais été peintre que j'eusse y avait quelque chose fallut du ne pas m'esquiver. me des fausses notes, car il Il cran pour été fort eh peine de fixer son visage ou j'en aude profond blessé en nous. y eut des grimaces avez-vous le savoir avant tout Comment pu rais dessiné'cent ébauches qui n'auraient eu entre de dégoût. C'était comme si chacun, individuelle- monde ? elles aucune ressemblance. ment, était trahi par une femme que nous avions sorcellerie qu'on prête aux gens vient de La Je crois que c'étaient mes boutades, mes consecrètement chérie. Dans un coup de folie mal- leur clairvoyance. Il suffisait d'étudier ces trois tradictions qui crispaient ses traits d'ordinaire pommadé, elle avait re- visages. propre, pour un bellâtre tranquilles et lisses. Des mouvements subits, noncé à toute une vie d'honnêteté, à ses enfants, irrité. Je me tus, comme des remous venus du fond, troublaient à l'homme qui l'aimait, qu'elle paraissait aimer. Le soir était brûlant et sec. Les tilleuls, le long mystérieusement cette surface paisible. Ses yeux Nous étions, pour ainsi dire, témoins d'un des remparts, pendaient en masses grises. Dans la j noirs et profonds qu'éclairait ou voilait tour à crime nous assistions, neufs devant la fatalité, vallée, les toits rouges de Mortemer cuisaient dans tour la lueur des idées ou l'ombre d'autre chose, à l'écroulement terrible du bonheur d'un homme, le brutal soleil. La ville, vue ainsi de haut et de à la façon d'une plaque sensible qui accueille les du soir au matin, et à travers le ridicule de son loin, prenait un air curieux de m'être étrangère. images," jetaient parfois brusquement un éclair malheur nous recevions un choc, comme si le Enfin, dis-je, cassant un silence tendu, en- cruel qui devait jaillird'un rire intérieur; mais bases, chancelé instant sur ses monde avait un fin, il y a l'Honneur. d'ordinaire, ils étaient souriants et d'une limpifit-elle, qu'il n'y eût rien de stable dans les âmes, rien que honneur ? regardant droit Quel me dité charmante. des puissances ténébreuses. dans les yeux. Peut-être sommes-nous tous ainsi. La vie méDubreùil désastre, Mlle de soumilieu Au ce les soucis défigurent Pris de court, acculé presqueà mes retranche- chante, les contradictions, une lirait naturel, vrais visages Clèves. de on y la Princesse ments, de l'exemple je au citai nos eue Nous nous retournâmes sur elle comme si
riait.
et Berbères
Le mbtre carré, 1 59.» et 79-» coloris riche» noué maîu, très telle qualité, lainesjoyeuses 77o.», Soldé Tapis de Sparte à .45O.» ameublement. Le mètre carré. Valeur pour bel i_v. 'nKn. >nntot fKni«r!nnriAnt tout COnî-OFt. 14oX.. ..50X350 ~XQ 350X5 3X35o' 4><5 4X5 350X450 facile à placer,
,.
Psychologie très spéciale, celle de l'empoisonneur. Les médecins qui l'ont étudiée ont presque toujours noté que l'empoisonneur ou l'empoisonneuse était aussi bien souvent un voleur. Mme Lafarge ne s'était-elle pas approprié des bijoux de Bien curieux tout cela. son amie Mme de Leautaud ? C'est une des caracMythomane aussi peut-être, Laget. Des médecins, téristiques de ce genre de crime. Or on le retrouve du front apportent sur une blessure chez Laget. Le public n'y a guère prêté attention, des camarades des détails inquiétants. On est à reçut Laget mais le fait est là pourtant. Lorsque mourut Mme que ou six kilomètres du front. Soudain un coup Pitoiset, la tante de Laget, deux mille francs de cinqfeu. Laget est blessé au pied. Par qui ? Comde rente disparurent c'est le médecin qui les avait ment ? Mystère. On parle d'un espion caché dans pris. Une vieille servante, Mme Cabrol, confie à d'un coup de feu tiré par un un bois. On parle Laget ses économies pour les gérer et les quarante maladroit. parle d'une blessure que Laget se On mille francs de Mme Cabrol disparaissent. faite à lui-même. La balle, en effet, est L'instruction ne semble pas avoir recherché où' serait entrée par la face dorsale du pied et sortie par et comment Laget s'était procuré de l'arsenic, mais ,la face plantaire. Etrange tout cela. Et. Laget a Il était mépour lui ce n'était point très difficile. même dit au docteur Collomb « Je viens de me decin et dentiste. Un dentiste utilise l'acide arsé- blesser » mon revolver. nieux pour détruire les nerfs des dents malades, Laget,avec jusqu'ici, silencieux se lève et, s écrie poison terrible qui agit sur tout l'organisme, si '«-Je "nie cela. » ,1.) o^n-m.aJÏ bien que la pauvre Marie-Louise Laget a encore rêt; à décharge de médiocre intétémoins Quelques et la démarche saccadée et pitoyable de ceux dont lundi on commencera à plaider. le système nerveux est profondément atteint. Elle Êà'get n'a poiWt voulu laisser les jurés quitter de la chance de pouvoir vivre, et elle le doit l'audience sans tHre- quelque chose de plus H s'est aaueuremarquable médecin qui l'a soignée, le docqui, dérouté, déconcerté par l'étrange levé, très rouge, mouchqir à la main, et d'une voix teur Roulleau,Suzanne forte maladie de Laget qui a faite son; désfcs-. assez encore une fois..<que je n'ai pas «,Je tiens à dire mêmes les poir de praticien, a eu, en revoyant qu'on me reproche. » symptômes chez Marie-Louise, l'intuition de l'em- fait" ce Olf Georges Claretie. poisonnement. Il a eu aussi l'autorité nécessaire une clinipour faire transporter la malade dans averti, moins praticien que. Mais s'il eût été un e 1>PIETON~') *(. î~ :JC.Vi..j LE REGIME DU moins curieux de l'étude des maladies, la mort J'. était fatale. A toutes ces charges qui s'accumulent •' contre lui, d'audience en audience et d'heure en '( Chiappe à MM. heure, Laget ne répond rien. « II se défend mal », D'une réponse adressée par M. disait quelqu'un. Peut-être, mais comment se dé- de Puymaigre et d'Andigné, nous extrayons ces fendre ?Par trois fois, sur trois personnes dif- passages férentes, en trouve des quantités effroyables d'arlieu récemment sur les Les accidents qui ont senic, et lui seul les a soignées. Que pourrait-il ré- passages cloutés exigenteu de la part des automobipondre ? L'affaire est sinistre, et cet homme si- listes et des piétons une observation plus stricte lencieux fait peur. des règlements et de la part des services de police Il fait peur par son silence même, car il n'ou- une surveillance incessante. vrira pas la bouche pendant toute l'audience. AcA cet effet, le préfet de police a décidé que, sur coudé sur son bras droit, très rouge, Laget reste où il n'y a pas de gardiens immobile. Ecoute-t-il même ? Mais, après l'au- les points de traversée contrôles seraient fait inopinédes dience dramatique de la veille, celle-ci est assez en uniforme, terne. Des amis, des Barents, des infirmières défi- ment par des agents en civil. De plus, il a invité le président de la Société lent. Sœur Claire, qui était à la clinique, a entendu Marie-Louise Laget dire « Je meurs em- des transports en commun de la région parisienne poisonnée par mon frère », et ajoutant même de- •à donner les instructions les plus fermes pour que automovant son oncle, M. Tourette « Il m'a volée ». les machinistes conduisant des omnibus respectent, en Elle était très lucide, quoique malade, le jour où, kiles ou des voitures de tramways ralentissement règles de les ciconstances, nous dit Mlle Sauveyre, infirmière, elle signa sa toutes plainte contre inconnu qui allait déclencher l'ac- ou d'arrêt imposées, par mesure de sécurité, aux tion publique, et jamais, au grand jamais elle autres véhicules circulant dans le ressort de la préfecture de police. n'avait eu le moindre soupçon sur sa mère. D'autres témoins nous parlent rapidement des .D'autre part, la rapidité des moyens de transdeux femmes de Laget. M. Cosie fut témoin de port actuels et l'activité de la circulation imposcènes de ménage entre Sarah et son mari. Après sent aux piétons l'obligation de ne traverser dér sa mort, il avait ~l'air normalement affecté: Puis sonnais qu'aux passages cloutés du aux" croise-^ épousa Suzanne, La jeune fille l'aimait profondé- ments qui ne possèdent pas encore de passage, ment. Jusqu'au jour où ellejaussi voulut divorcer. mais qui en seront toits prochainement pourvus. C'est alors qu'elle tomba "ëialade, maladie de lanCes points de traversée répondent aux besoins disait-on. gueur, des piétons, auxquels il faut nécessairement donMme Grandjean voyait ses forces décliner. Un ner à tous les croisements le moyen d'aller d'un jour, se sentant mieux, elle voulut aller faire quel- trottoir à l'autre. allées, elle mais les de voitures sont dans put rentrer pas Sur ne ques ces points, les conducteurs passer laisser les piétons, chez elle. Il fallut la porter. tenus de ralentir et de ConsEt après sa mort, Laget, rencontrant M. sauf dans les cas où un agent de service d'ordre lycée Ma du de Béziers, lui dit proviseur tant, règle le passage alterné des piétons et des voi« femme est morte d'une sorte d'empoisonnement, tures. comme sa sœur aînée. Il n'y avait rien à faire ». Enfin au cas où un véhicule et un piéton se Le commissaire de police a fait une enquête trouvent en même temps sur un passage clouté, le sur la vie privée de Laget, Il jouait à la Bourse. piéton a droit à la priorité. Il était souvent « incorrect » avec ses clientes dans son cabinet de dentiste, si bien que quelquesUne déclaration unes ne voulaient pas venir seules se ïah-e soigner et se faisaient accompagner par des amies. De de l'évêque anglican de Gloucester sur la paix plus, il avait une maîtresse, Mme Belus, citée comme témoin, mais qui ne viendra pas. On a enquêté aussi sur la vie privée de MarieDans lettre pastorale adressée à son diocèse, Louise Laget. Elle se promenait quelquefois dans Pévêqueune anglican de Gloucester, expliquant les les rues de Béziers avec un Espagnol. Les uns n'y raisons lesquelles il s'est vu contraint de revoyaient aucun mal, d'autres au contraire jasaient. fuser depour présider plusieurs réunions en faveur de Qu'est-ce que les défenseurs de Laget espèrent la paix, fait des déclarations sensiblement idena en tirer ? évêque Mgr Vauroux, Sagot du tiques à celles de Et la lourde chaleur d'orage règne dans la salle d'Agen, que nous reproduites avant-hier avons surchauffée. Le long de la muraille, dans les tri- à notre Revue de presse. bunes, une frise de jeunes femmes s'évente avec L'évêque de Gloucester dit notamment des éventails de papier. Les jurés s'éventent. Le greffier s'évente. Laget, indifférent, semble dorla Grande-Bretagne et l'Empire britannique mir, pendant qu'au télégraphe, actifs, infatigables, cessent de se défendre, ils risquent de s'exposer à les télégraphistes envoient aux journaux des mil- de graves dangers. En ce qui concerne le maintien liers et des, milliers de de la paix, je ferai toubice qui est en moh pouvoir l'âme de l'empoi- pour y aboutir, mais l'enthousiasme pour la paix Rien ïi'ëst plus mystérieux que sonneur, Le docteur Alicot, médecin neurologue, qui se manifeste dans certaines parties du peuple nous avait dit en quelques mots que Laget était britannique ne Js'est pas répandu très largement responsable. Mais comme l'ancien condisciple de dans le monde. Si nous désirons la paix il faut Laget, le docteur Petsche, aujourd'hui professeur que nous soyons forts et justes..Rien ne peut être, à la Faculté de Montpellier, va projeter plus de accompli sans la puissance. Si au cours d-es années qui ont précédé la guerre nous avions été. prêts en lumière sur cet inquiétant accusé 1 Un jour, après la guerre, Laget a écrit au doc- dépensant une centaine de millions de' plus par teur Petsche pour lui demander du curare. Le an afin de fortifier notre marine, nous aurions prodocteur ne songea nullement que Laget pouvait bablement pu empêcher la guerre d'éclater et nous s'en servir pour empoisonner. On ne connaît point, sauver nous-mêmes et le reste de l'Europe d'une du reste, de cas d'empoisonnement par le curare épouvantable catastrophe. »
mots.
mardi 9 Juin
en
spahis.
naire. cavalier.
grande simplicité, un désir de comprendre, de mieux connaître, d'être naïvement bons, d'aimer. J'ai exagéré ce qu'il y avait de contracté dans cette jeune fille. En tout cas, on sentait en elle plus qu'en nous le besoin d'être autre ou, pour mieux dire, d'être elle-même. Primesautière, gamine, un peu folle, c'était elle qui nous avait incités tant de fois à mystifier les philistins 4e la petite ville. Elle composait des lettres ahurissantes que nous glissions, entre chien et loup, sous leurs portails austères et clos comme leurs
visages rogues. A nul moment elle n'était plus détendue, plus délivrée qu'à l'heure du jeu. Les philosophes du lycée de Mortemer, à cette époque-là, n'étaient d'ailleurs pas si différents de jeunes sauvages qui avaient faim d'idées, mais surtout soif de grand air. Malgré nos expressions graves, nous étions des enfants. En vérité, Alice avait des réactions extraordinaires. La cloche n'avait pas encore fini de son-
ner qu'elle s'envolait pour ainsi dire des abstractions et de la classe. La comparaison n'est pas mais elle est vraie. Il semble d'ailleurs neuve que le besoin de fuir à la manière des oiseaux soit au fond des hommes. Mais je n'ai jamais vu d'envolée pareille.
Elle était dans la cour, bondissante, et entraîné Rapide, elle échappar elle, je la poursuivais.fuyions, du vent dans pait à toute poursuite. Nous jamais n'étaient entre la bouche. Ce nous des par-
ties régulières, mais une improvisation passionnée. Plus le jeu était enfantin, plus nous nous y livrions avec fureur. M. Dulondal, qui faisait les cent pas avec son collègue de mathématiques, nous souriait en passant et j'ai vu plus d'une fois
cet homme grave rattraper au vol et nous relancer la balle, amusé. Jean Gaument et Camille Cé. (A suivre.) Copyright by edition Bernard Grasset, 1931.
LETTRES, THÉÂTRE, SCIENCES ET ARTS L'ASCENSION ET KiPrTJ DE P1CCARD
LAïMORALE
D U
FREUDISME obtenir et
COURRIERJPES LETTRES subir A
propos de Sophie Germain
lettre qu'il contre la « censure » par des révoltes d'un chère aspiration du criminel M, d'Ocagne nous communique une tôt soixanteVienne le vient célébrer à On de p L'exploitaéronautique du professeur Piccard du baron Foy, au sujet de son article sur le reproche de une condamnation Hélas se prennent à sou- aSophie particulier. Dans professeur reçue et Freud type ces cas, anniversaire quinzième du J et de son assistant Kipfer n'a pas; manqué, Germain (Figaro dit 31 mai). Nous en exconscience peut n'être pas la conséquence pirer ces tendres humanitaires, que nous sompeut philosophe la médecin nier 1 l'on que ce enseigne- trayons le passage suivant, visant le père, Ambroiseles où l'heure raison de son caractère audacieux et des périls n'ait ne de éloignés donc chez des mais représenter, mauvais, mes rendu des services à la psychologie hu- d'un acte r pénétré assez François, de la mathématicienne psychanalytiques auront très sérieux qu'il comportait, d'attirer vive-maine. terrorisés Sur-Moi, ments leur adultes enfants constapar intéressant de ou est néanmoins Ambroise-François Germain n'a pas été un des ment l'attention du grand public toutefois,ter dansIlquelles dans la conscience collective moderne sujet avant Le lequel vivent. ils habituel dans l'état disciples voies il au ses Le Germain radicale France. révision de Banque réclame la celle-ci de qui directeurs impression une par une pente toute naturelle, le public l'a sur- point de vue moral, et lesengage que consei've pour alors sans cesse une récents travaux fran1 mon aïeul Jeansystème de répression qui a rempli ce poste en 1800 estfils, criminels Le tout apprécié du point de vue sportif un çais codes je des pense Tout ainsi traduire que ce peut arnerede ceux-ci nous présentent certaines conse qu'un n'eut mon qui la ç -Germain, défendre de Pierre loin vigueur, record battu est aujourd'hui chose de haute sidérations actuellement en suggestives que je voudrais résu- et tout ce que je fais est mauvais qui épousa Mlle ConsJean, favo-' Auguste grand-père, les fait crimes, importance aux yeux de la plupart, des gens s les poursuique société contre ne Il ne faudrait pas croire d'ailleurs, filles, Camille, com(d'où deux quelques mots.' Houdetot affecde mer en J tance d'ordre mobiles doute atteint Piccard et Kipfer ont sans grandes vent nos moralistes 'freudiens, que cet état riser (!) en sollicitant les comtesse Foy, et un fils, L'enfance, Louise, l'âge des exposent-ils, l'Aigle, est de tesse cridevenir plus haute altitude à laquelle un être humain de ma grand'mère, le comte Louis emportées au cours d'appréhension existe chez les seuls enfants tif qui poussent certains êtres àl'entendre passions jumeau frère exaltations, des atmosphère { ex- Germain. Non, un débutant minels, comme nous venons de se soit encore élevé dans notre maltraités parents. leurs viennent par l'émotion, desquelles enpas ne que c Germain, cela est fait pour provoquer l'enthousiasme voir jeter dans cet état d'an- poser. la vie de peut Ce qui a créé la confusion entre ces deux de prévision la se savoir le et combattre ( core foules mais les hardis aéronautes visaient semble pourtant arrivé, achèvent c'est que Jean-Pierre était aussi d'une famille d ormoment imaLe purement représentations des goisse Les entièrement du par l'avenir, s'empare cœur. réalité un tout autre but, de caractère pure-| selon moi, être né avec les réformateurs, de rattacher la notion de jusc'est-à-dire, ginaires dans entravés alors sentiments sont pas ne 1 ment scientifique, sur lequel nombre de dispositions à la névropathie plus mar- tice à une plus pénétrante intelligence des Le premier Congrès international des 1leur élan par le contrôle despotique qu'on acCet faits. Il faut envisager courageusement la nédes hommes. sonnes peuvent ne pas dédaigner d'être quel- quiert le chez quées enfant que commun on s'habitue à quand soi-même d'histoire littéraire comsur actuelles transformer toutes éclairées. les de cessité nos devant moins que peu n'en fuira pas menaMais vivre signifie subir toute une évopremier congrès international du parer. L'ouverture i bien le et même notions justice et On a, à l'occasion de cet événement, la sur sortes toutes sur organisé par la Commission incomplexe qui substituera peu à peu aux ces de son Sur-Moi. Il fuira dansd'autohumilialution littéraire d'histoire délit le criminel, Il stratosphère. maint puisque, la chez de le noncé souvent le mal nom difficultés de l'enfant dans de pratiques d'autopunition, d'histoire littéraire moderne sous le satisfactions et ternationale aux punila d'obtenir de préciser le ce la peut n'être pas inutile de sens Comité International des Sciences société. Or tion, de confession, d'expiation. Il fuira dans ne constitue qu'un moyen l'adulte dans la du famille, celles de patronage accivilisation exploraterme. Au cours de ses importantes évolution, il arrive d'être troublée par la maladie mentale ou même dans la maladie tion ambitionnée Dans notre lieu jeudi dernier dans la grande Historiques à cette cu a sociale par exemple dans la tuberculose, tuelle, tout l'appareil de la répression tions des hautes couches de l'atmosphère des Sciences Hongroise à Bul'Académie physique, de salle divers. incidents mille de devient, pour un individu dont la sensibilité dapest. origine cette très aurait souvent moyen de ballons-sondes, Léon Teisserenc de qui incidents parmi principaux, L'un de ces ces Le congrès a été inauguré par M. Albert Beze2 janvier 1913, membre infantile, une assurance de subir viezy, demeurée Bort (décédé est familiale à la vie la assurément maintenant de remarquerai-je, est Passons perturbateurs, cruautés à reconl'Académie des sciences) a été amené tempéraprésident de l'Académie. M. Baldensperger, la des angoisses, des souffrances ou des produit dans qui l'adapc'est-à-dire sociale l'éducation, appelle vie et qu'on se voyons ce ce à la Sorbonne de Paris, a fait une confénaître que la loi de décroissance de la désirées par lui, car il sait qu'il déclenchera professeur coercitive. l'éducation vie la rejeton de à société, par la faute de leur quelque raire. tation, les parents, rence sur les divergences actuelles en histoire littéture avec l'altitude cesse de s'appliquer à par- sociale paradaptation souvent réalisée au prix L'homme qui a reçu l'éducation, étant habitué, l'action judiciaire en commettant tir d'une certaine hauteur qui, de 7 ou 8 kilo- de moyens coercitifs qui sont éminemment né- nous dit-on, à subir les punitions des siens, crime. Ainsi, l'institution de la justice, loin -1 protéger la société contre Série de Conférences mètres dans les régions arctiques, croit jusque d'être pour arme une briser persiste dans morvie durant des la plupart peur cessaires, une dans « sa cas, pour tendances vers 15 ou 16 kilomètres à l'équateur, en pre- l'irrationnelle volonté de puissance de la vie bide» de l'autorité qui s'exerce maintenant le crime, prépare satisfaction à des L'Association France-Grande-Bretagne organise Freud, mais d'environ selon d'origine, valeur sexuelles nant, pour notre latitude, une j vis-à-vis de lui sous forme de discipline so- (au fond de nouveau cette année une Quinzaine de langue psychaLa petit d'homme animale le dans ». tendan« point), 10 kilomètres. Au delà de cette limite, la temanglaise, qui aura lieu à la Sorbonne dans la selui-même, je ne saurais m'étendre sur ce punir à » ininterromoutre, persiste, j ciale. Il constate la nalyse se en censure que « comprendre pérature de l'air semble rester sensiblement conde moitié de juillet. D'éminents conférenciers puni- ces d'autant plus difficiles à faire à soulagement qu'une la du maîtres conséquence des des parents superpose en ou qu'il a été jusqu'ici impossible d'en parler ob- de langue anglaise feront, en anglais, une série de constante jusqu'à 30 kilomètres au moins, pue angois.se du l'individu, à naturel de apporte précise tempérament vague tion longue sa au précisément': ;eiv. se jectivement et ouvertement Il est donc grand leçons sur la phonétique, la' littérature, l'économie ayant dans nos régions une valeur d'environ punitsmwnoi,.r[ui. châtiment; le il intérieure, autorité et moi, une se L?s personnes désirant société, temps d'opérer une réforme complète de toute politique, les institutions. 55° au-dessous de zéro. C'est à cette couche au substitue à celle des parents, avec, le progrèsrévoltant contre l'éducation contre la et des procédés prendre "part à cette quinzaine sont priées de se psychologie ainsi crime, du atmosphérique, de température à peu près uni- se la que châtiments morale. d'opiles et qu'on nomme la conscience inscrire à l'Association France-Grande-Brefaire car sa révolte lui attirera lui. employés contre forme, que Teisserenc de Bort a donné le nom de l'âgemoyens répression coercition, employés par les nion, ou même les châtiments ^afflictif s et con- de de Or tagne, 1, rue ces était de stratosphère. freudisme le une dit souvent trouver J'ai dans que espère il l'enfant toute Or ceuxréprimer chez crets du code. En raison de l'équilibre de température qui parents afin debrutalement Sur- ci l'allégement des remords sans cause que lui branche nouvelle poussée sur le tronc deux Encore la dédicace. antisociale, le tendance trop maintient, il ne s'y produit pas de mouveIl serait fâcheux que son usage disparût, car les dévelop- fois séculaire du naturisme moderne. Résufâcheusement si sa conscience, les mettre à plus tard continue impose Moi œuvre en ci ments verticaux, ni de condensation, partant à dans l'individu vis-à-vis du Moi. Ce sont, la pée en-fuT par des éducateurs traditionalistes. mons en effet les curieuses propositions qu'on poètes dédicacent souvent leurs livres de Spiriprès point de nuages. peuD'autre pré- vient d'entendre. On devient antisocial par tuelle et galante façon. sera égard à résultat obtenu effrayants, leur Ainsi, le des son plupart du temps, moyens Voici ce qu'écrivit P.-J. Toulet sur un exemplaire exercée préalable part, la vitesse moyenne du vent, qui but étant de justice sous qu'avaient cette l'éducation, voulu celui l'inhide cisément le contraire provoquer, par la terreur, de Comme une fantaisie qu'il adressa à Mme Pielcrbii avec l'altitude jusque vers 10 ou 11 kiloconséquence plus familial, et, toit en concitoyens le encore d'abord, ses et d'obtenir ainsi de lui qu'il réaliser ses parents mèttôs/ décroît ensuite rapidement, comme bition du sujet volonté de puis- lin La codes. l'institution des de tendances ensuite non-recevoir hélas I c'est loin, L'auteur aux oppose une fin de l'ont démontré des études entreprises en divers instinctives transforme ces humaine sous nous, Madame j'ajoua fait ce livre du Moi. L'enfant peut Peut-être les choses se passent-elles de la sance influencesse délétères, envolonté de déM. nôtre le dans particulier, par et, Quand son temps n'était point en pays en arriver à redouter non seu- sorte, concéderai-je, en quelques cas nettement deux doit qu'il terais Passé de vivre i Maurain. chéance sociale au grand détriment de l'humadevient s'offrir qui mais aussi précisément parents, viennent lement morbides, qui ce ses Cette absence d'agitation ainsi que d'écran nité. Supprimez l'éducation, supprimez les coConsla leur l'équivalent des parents, aliénistes dans médecins lui Son temps, et son printemps, d'eux-mêmes bien pour aux le nuageux dans la stratosphère est, comme nature, la eu Aussitôt avez vous des. que Ni la divine ivresse cience. Le reproche de sa conscience s'accom- clientèle et qu'ils ont le tort de généraliser sans l'étude des favorable à partout éminemment' restaurer Que versent les instants pense, de on la prudence en sorte que leur regard se trouble tort lui de « censurer », va immanquablement alors pour pagne de delà De la jeunesse, La France s'est phénomènes qui ont leur origine au ensuite* sur des indi- l'équilibre et le bonheur châtiment, mérité d'avoir sensation une poser vient à il un quand se notre atmosphère, en particulier de ces mys- punition. montrée, jusqu'à présent, la nation du monde évident, Excusez le discours Il trop est en plus vidus normaux. freudisme r peut-être térieux rayons cosmiques, dont l'étude a été accueillante moins au années, la folles sociale De discipline la ces que l'éducation et l'action des parents, effet, Dans nombre de cas, abordée par les Allemands Hess et Kohlhürster, Où f leurs, non plus qu'amours, orthodoxe. Il faut souhaiter qu'elle persiste des plupart la substituée dans s'est leur but cas, conscience qui atteignent celle la de puis N'étaient fanées. d'une part, l'Américain Millikan, de l'autre, dans sa réserve, de nuance ironique, tout en vie seules la permettent sociale elles prévision bonheur, savoir la et la leur ( avec le car par accroître sa connaissance de profitant, rayons qui jouent un rôle essentiel dans les àgrandissants) pour rigide et hommes. Car le livre entrepris peut devenir tellement en commun des observations suffisammanifestations électriques ayant leur siège certaines de l'homme, A l'heure où le soir tombe, ? les nations civilisées, toutes sembler telle, pénal de (ou code impitoyable Le tellement l'iocomils provoquent atmosphère dont viennois. hardi savant dans notre du écrits topiques des mots Ce sont pléterais-je, à des tempéraments névropathi-• poursuivent imperturbablement nos moralistes ment Sur une tombe. nisation. Séllière, rémal fort aujourd'hui Ernest Baron à s'exprimer, donc n'arrive à freudiens, est plus Moi le ques), l'atque Or, ces rayons cosmiques, absorbés par Membre de l'Institut. V Décentralisation la plus · satisfaire qu'à normale n'aboutit réagit bienpuisqu'il digé et façon de développer sol du niveau se mosphère, ne parviennent au Elle est très curieuse l'histoire de. la fondation qu'avec un affaiblissement d'intensité qui y des Rosati de la Thiérache qui viennent de se -.ti rend leur étude à peu près impraticable. Ce de Flangrouper à Hirson sous l'égide des Rosati Henri de l'atmosn'est que dans les hautes régions de. dre et sous le double patronage de MM. phère que l'on peut espérer arriver à en analyRégnier de l'Académie française et Léon Henniquc des inprincipaux d'où l'un propriétés, les ser de l'Académie Goncourt. Le comité de la foire stratosphère. térêts d'une exploration de la commerciale d'Hirson avait eu l'idée de consacrer moinet il Mais cet intérêt n'est pas le seul non (L'on devait nous met- compagnie de jeunes gens et de mondaines, le un stand à l'exposition des travaux artistiques Boissier. princhez jeune » de chat les exilés De même russes, au que succès. à l'artisanat. Cette exposition obtint un vif dre est celui qu'offre l'étude des rayons ultra« caoutchoucs », car nos souliers en reste de la semaine occupés au bureau ou les des dans l'appel du tre éprouvent temps, renouveau faut-il de plus ? Des jeux Des personnalités d'Hirson se réunirent il son violets provenant du soleil, qui participent, eux îles de robes, des Thonnérieux que d'or, essayer à boutons à maroquin mi-mai Néva, la rouge, la convoque resexprimèrent le désir de se consacrer à une sujet de et jours les aussi, à l'ionisation de l'atmosphère, et qui, pirer l'aubépine fleurs, le me bibliothèque d'adresse, pour ruisseau, une parfum des grappes les avait signés !) Là, sur le bord du en plus approfondie des ressources intelrecherche téléphones. absorbés également par cette atmosphère, ne des phono bon pluie, », « un glycines, aux .environs de Paris. Bourg-la- un panier de provisions s'ouvrait la bonne lectuelles et artistiques de la Thiérache. Ils pourpeuvent être soumis à une fructueuse expéri- de l'apéritif, arrivâmes, avant découpait midi Le un villages blancs et tante rogue beurrait des tartines, que nous raient en outre organiser des manifestations (conmentation qu'à de très grandes hauteurs, et, Reine, Longjumeau, Arpajon, terrible, donsonorité de représentations théâtrales), dédes tasses et une bouteille des disques nègres, d'une route d'Orléans froid, tirait conférences, poulet sur la certs, jolis gris, si encore, stratosphère. plus spécialement, dans la' Nous piqueni- naient à croire que l'on fût au music-hall. Uncouvrir de jeunes talents, secourir les artistes nicNanette la de légers, lait d'un tenvert-jaune, ». feuillages Parmi les vace « Un autre genre de recherche de haute imporle ser- concert perpétuel de chants et de jazz accom- mentanément dans l'infortune. Ainsi naquit d'une tout tasses, parenthèse, les Etréchy, vieillot quions style bon maisons de les dres, par tance vise la composition de l'air aux différenbrisé, je sus bien pagne le va-et-vient des invités et de leurs hô-modeste initiative locale un mouvement de décenà porcelaine émerpetit enfant vice de où, (ihamarande, peu peu château de artistique et littéraire dont le portetes altitudes, pour laquelle Laplace, guidé par tralisation sport. de tennis, de Aujoursaint-cloud. sandales, tenue tard c'était lu tous naturelles tes, plus faisait voir des en que roses des idées théoriques, a fait connaître la loi veillé, l'on me parole est une revue nouvelle intitulée La ThiéraSaint-Moritz vénérés à croire pourrait seraient piano vitrines L'hiver, quelles d'hui, dans se ne on treillage d'or tapissant le dos d'un qui publie de vivantes pages, et des poèmes dite « de raréfaction ». En vertu de cette loi, surleunboudoir che, de vient provinciaux ? maison de maître Le bourgeois Touquet. l'été, usuels de nos capitonné de la duchesse de Per- les objets au inspirés du terroir. la proportion des gaz légers contenus dans l'air élevage d'inspecter à allions chasses Beauvais terres labourer son tapisseries de courre, Les ou d'Etampes. ses (.hydrogène, hélium) doit croître rapidement au signy nous y échangées contre étaient noirs avec son régisseur russe la chiens moutons de cavaliers et c'était vendanges, l'époque des Pâques à azote),; A et (oxygène, plus lourds détriment des gaz premiers papiers de tenture. Car déjà l'on maîtresse, de décider du menu avec son chef .Jt Le premier numéro de la Revue des Congrès d'autre part, en raison de la diminution de la un rite familial que de passer une semaine chez les chinois. Toutes les langues sont parlées par qui s'occupera de tous les congrès dont les assises « moderne ». pression, l'air devient de moins en moins res- une grand'tante barbue, à la voix de tonnerre, aimait ouvriers, emplioyés, visiteurs. M. de se tiennent à l'Exposition Coloniale, doit paraître serviteurs, Voyage Napoléon. toucolonel de plus d'un l'on prend de haula pirable à mesure que veuve société poudrée, mus- incessamment. Cette revue est dirigée par M. du Vila brillante Laborde et délicieuses. La porte teur, d'où la nécessité, pour les aviateurs s'éle- jours plein de surprises après la dernière guerre, quée, peu lavée peut-être, qu'il recevait dans la vier de Streel, directeur des congrès à l'Exposition faillit, Méréville s'ouvrait vant à de grandes altitudes, de se munir d'un cochère cloutée, rue de la Juiverie, £us saison des chasses les littérateurs et les ar- Coloniale. Lésais qui je sanatorium. devenir par endormis un parisiens l'oxygène recevoir les duquel circule de Les Alguazils. par convié neveux pour casque à l'intérieur Jusqu'à Bé1931 Hubert-Robert et sauvé. amenaient en l'ont lui tistes revoir à le que produit à cet effet. C'est encore pour cette rai- le long trajet en wagon. Je l'ai retrouvée hier, cette merveille ne surpris de trouver les lambris si nus,) .j conçoit mal* (que On; langer, quand apparles Mais soixante ans. Kipfer ont Piccard telle qu'il les aéronautes et son que y a soit point .classée monument historique.Elle ne les ternes vêtements, si négligés, seraient bienLe septième Après-midi du Livre nacelle l'intérieur de leur ''"dû se calfeutrer à tements qui sentaient le foin et le poulailler i tena)it.de transatlanChâteau, tôt conquis aux nouvelles coutumes sphérique; étanche, pourvue d'appareils pro- un peu, l'escalier à balustres de bois, ont étéressemble à aucun autre combattants Ecrivains des à l'Association le et mais. » démocratique, style construction, life de simple de différents tiques La i genres si « ducteurs d'oxygène, propres à leur assurer ravagés par des locataires, petits artisans. tapissé, les vents coulis interle, carrelage conventionnel et le le militaire, froid d'empjoi, les On croix les air respirable. dont et héros certain retraite du temps modeste un pour un des murs de plusieurs mètres ceptés, toute licence, sauf l'irrespect aux mosait que, lors de leur dramatique atterrissage, trophées décoraient le salon, est devenue unmôïidafn Les salons de l'hôtel Salomon de Rothschild, entre d'épaisseur des'passerelles jetées relient numents du passé. 11, rue Berryer, étaient, hier, transformés en eprapils ne pouvaient plus compter que sur une phalanstère ouvrier. Salades et légumes croisluCar si singulier que ce soit, nos amis du1 toirs. C'était le septième « Après-midi du Livre» heure de libre respiration Situation non moins sent au jardin qu'enbaumaient iris et giroflées, jdeux paliers, des courettes qui donnentà des mière d'en haut à une salle de banquet, Nouveau Monde se sont institués gardiens et de l'Association des Ecrivains combattants. On était poignante que celle qui tenait aux graves dan- Un gros cheval gris, à grelots, attelé à une sortei salles de jeu. Le cadre fastueux qu'élaborèrent conservateurs de nos antiquités nationales me-accueilli par de jolis sourires. Mmes la vicomtesse de charrette, emportait gaiement les enfants gers de l'atterrissage. Buysieulx, la princesse Ghyka, la princesse de Or, sur le point spécial de la composition de vers les sites fameux où l'on goûtait à fombre.des architectes décorateurs tels que François- nacées de ruine. Il semble que sans l'amour inAlcanter de Brahm, la comtesse de Montl'air, l'observation semble en contradiction avec Chamarande, Yeurre, Brunehaut, Méréville. Je Joseph Bélanger et dont Hubert-Robert sur-à génu qu'ils vouent à ce qui en reste, la pioche»l Tokari, cabrier, Robinne, Roland Charmy, Mary Marquet, des démolisseurs accomplirait encore plus deMarie les données de la théorie. Le spectre de l'aurore me demande aujourd'hui combien de temps veilla l'exécution quand il dessinait le parc « Leconte, Jeanne Provost, Mary Glory, Simone i l'anglaise RousJean-Jacques vill'idéal de des domestique » selon l'architecture dans tous seau, polaire, phénomène dont le siège se trouve dans prenait l'expédition à ce domaine entrevivant ravages Maxa, Paillette Pax, Fanny Robiane, MarJarnac, fêtes, des n'en des qu'elle fait. cadre les et des campagnes conçu pour ce les parties les plus reculées de la stratosphère, réputé pour ses cascades, ses lacs un Valmont, Renée Devillers, Suzanne Bianguerite inimaginable j réceptions d'une ampleur par t Pourquoi le mobilier de M. de Laborde, etchetti, Marie Deval, Marie Dubas, Blanche Montel ne comprend les raies ni de l'hélium, ni de l'hy- paysage d'Hubert-Robert, avec son temple denous, rien désormais Cinq ne pourra le remplir. drogène, qui seraient révélatrices de la présence •) 'Amour, ses grottes de coquillages, son « pontétages même les paneaux d'Hubert-Robertexilés à Chi-offraient les livres d'André Maurois, Pierre Beet plusieurs sont quasi impossibles à cago, ne réintégreraient-ils pas, petit à petit, noit, Gaston Rageot, Jean Sarment, Robert Boude ces gaz, et présente en revanche les raies de d'acajou », ses ponts de pierre. Un Trianon se superposent au-dessus de caves la place pour laquelle ils étaient destinés ? Peut- card, Mme de Noailles, André Corthis, Hélène Val'oxygène et de l'azote que les considérations multiplié par mille, un gigantesque joujou de chauffer et de souterrains inexplorés, si ce n'est par les être les tapisseries de l'oncle d'Etampes revien-caresco, Roland Charmy, Paul Chack, lieutenantthéoriques conduisent à faire regarder comme à prince. Weiss, Louis Chaffurin, Henry Champly, rats. Un labyrinthe où se perdent les habitués, dront-elles, par la voie des airs, dans la joliecolonel peu près absents de ces régions. Enigme qui s Une clientèle nombreuse et généreuse se pressait la sous-préfecture de Seine-et-Oise fut voilà maîtres, les serviteurs et que les ce près tout priori, ou comme insoluble, et d'où resapparaît, a autour des comptoirs de Claude Farrère, préaussi d'un banchamps résidence fantastique tilleuls aux du féoles enfance, alors ? Forteresse, château l'habitait Qui Juine de de sous la d'aller encore l'importance étudier, mon sort aux sident de l'association Roland Dorgelès, président n'en dehors, du Vue quier-gentilhomme. on brûlé. métamorphosé l'osier bon été si âge, avait sentait il qui dal grandes altitudes, la composition de l'air au au moyen cours d'honneur, Sacha Guitry et Yvonne Printemps, savammen.t dessin capacité le point la suppute le financier les grâces par en palais de toutes Jacques-Emile Blanche. Emile Moussat, Jean Valmy-Baysse, Henry Bormoyen de prises directes. à cabinet secret, celui d'un plutôt serait ordonné C'est en vue d'élucider ces diverses ques- Laborde, au dix-huitième siècle. Puis la fortune deaux et Mlle Paule Henry Bordeaux, José GerCertaine multiples. tablettes tiroirs, événements aux aux main, Octave Béliard, Jacques Mortane, Colette, tions, sans compter nombre d'autres d'un ca- de Méréville suivit les caprices des bibliothèque poudreuse et écritoire, Rosny ainé, Albert Acremant et Mme Albert Acrepoétique, ractère plus accessoire, que Piccard et Kipfer sociaux après la Révolution. Les innombrables malle les camps, Une saison maréchal ayant appartenu au mant. sont munis des divers appareils, très ingé- œuvres d'art, le mobilier somptueux qui. déco- pourSoubise 'Méréville, à montre que l'on et Et tous ces auteurs aimés du public signaient à nieusement combinés, qui constituaient leur raient plus de cent chambres à coucher, les sa- de décorateurs Artistes des Salon par l'ingéniosité du devis. tour. de stylo des dédicaces où l'esprit français au équipement scientifique. Le dépouillement des lons, les galeries, les dix-neuf escaliers, tout s'en rapprocherait Américains ne redoutent pas fut très belle. On Les Anglais, les se donnait libre cours. La fête Marcel divers enregistrements obtenus, l'analyse des s'éparpilla. Les panneaux d'Hubert-Robert sont Priollet. modernes, sans rien défibien que son animateur est goûts d'adapter « fabricertaines même aux Du Chicago. à Grand d'air prélevés, prendront parc Palais échantillons encore ;s Une saison poétique réunira, au A trois heures, M. Gaston Doumergue, fidèle à ses de maisons perlocl-houses les ou transportés d'Eros, » furent temple « gurer, le Artistes dé- amis des lettres, vint visiter la kermesse. Il fut.reçu des Champs-Elysées, dans le Salon des un certain temps tant qu'il n'y aura pas été ques », difficiles; fût-ce plus les ancien– style en colonne Restent la propriétés voisines. procédé, avec tout le soin que requiert au- dans des corateurs, les mardis 9, 16, 23 et 30 juin, à 16 heu-1- par MM. Claude Farrère, Mario Roustan, ministre de ont sait fait charde Italie, souvent qu'ils ce on jourd'hui la recherche scientifique, aucune con- érigée à la mémoire du capitaine Cook, la lail'instruction publique, Petsche, sous-secrétaire aux res, les amateurs de lyrisme. rébarbatives; florentines villas des clusion ne pourra être formulée. Il faut atten- terie, le moulin de comédie, quelques ponts et mant avec :s Beaux-Arts. Il partit, emportant un grand nombre de Le mardi 9 juin, M. Marins Leblond parlera des ruineuses, sarrasines, citadelles de Provence, les dre le résultat de ces divers-examens pour ju- ces sombres grottes hantées par nymphesi en Poètes nés aux colonies le mardi 16, M. Ary Le- livres rares. H reviendra l'an prochain, car son s'agisil Méréville, Pour sur des perchées blond, Pe l'exotisme dans la Poésie. Le 23 juin,1, âme charitable et son amour des volumes le ramèger du plus ou moins de richesse de la mois- et les naïades de François Boucher, qu'avec sait, sans être linrocs. des Rockfeller, ressour- M. Yvanhoé Rambosson fera une causerie sur Le avec ,e neront à l'hôtel Salomon de Rothschild. son recueillie au cours de cette mémorable moins de terreur que n'en ressentaient les pecastel de la vers réguliér, le vers libre et le poème en prose. Comme chaque année, l'orage fut au programme. exploration aérienne. Mais, quoi qu'il en soit tits garçons venus d'Etampes avec la tante bar- ces très limitées, de ranimerle lerendre confor- Enfin, le 30 juin, M. Julien Maigret traitera de •e L'an dernier, il avait éclaté à deux heures; cette anà cet égard, on n'en doit pas moins, dès main- bue, je retrouve comme si ma dernière excur- Belle au bois dormant, et de lieux. Puis, née, il fut plus gentil, il attendit cinq heures. Mais la Poésie populaire aux colonies. et des Chanson l'aspect La altérer table, peu la alourdis sans Mes était d'hier. Piccard Kipfer d'ausaluer MM. sion sur t et pis tenant, en 1t les visiteurs durent, en hâte, quitter les magnifiToutes ces conférences, de libre accès, seront la tra^e, effa- à peu, l'on choisit quelques beaux meubles aucailloux recouvrent mosaïque de thentiques héros de la science. ?s ques jardins de l'hôtel de la rue Berryer. pué-• theritiques, sobres. Pour y passer du vendredi accompagnées de récitations ou de chants par des semelles de depuis soixante cée nos ans, Jules Laurent» Maurice d'Ocagne, i nombreuse artistes connus. l'année, soir lundi toute au avec une de langues des épaisses plus riles, que « pas de l'Académie des Sciences. .1
en
«
la
»
fèvres.
des en
per-
pro-
au
le
d'Astorg. •
s'y
.
S^EREVIIL-I^E
le
t
|
de
se
voit
FIGARO FILM CHRONIQUE DES CINÉMAS DE PARIS CHAMPS-ELYSÉES
The Gang Buster (P. anglais) High Society. blues (P.
Autour d'une Enquête (P.) –WASHINGTON: PAGODE
LA VOIX POUR TOUS Vous
me rendrez, lecteurs, cette justice que j'évite toujours de vous présenter sous leur angle technique les questions cinématographiques dont je traite ici, et que j'écris beaucoup plus pour les spectateurs que pour les profes-
sionnels.
Vous m'en voudriez cependant s'il vous fallait apprendre par d'autres les grandes nouvelles du cinéma. premier à Et j'ai joie à être le vous faire part d'une découverte sensationnelle et dont les premiers résultats, qu'il m'a été donné de pouvoir contrôler, permettent les plus grands espoirs soutenu par des capipo inventeur français, taux français, vient, après des années d'un travail opiniâtre, de mettre au point un procédé grâce auquel la reproduction des sons entre dès maintenant dans le domaine de la réalisation
•>.
pratique. direz-vous,
Zwei Herzeri in- 3/4 Takt (P. allemand)
Autout d'une enquête (P. franc.)seule et son fracas atteignantl'écranpour y t éclabousser une bataille de souteneurs est-ce ( Des moyens sûrs plus de coinmettre les .ou que cette fumée, ce fracas ne situaient pas l'acjudiciaire. une erreur tion plus que toute parole, est-ce qu'ils n'étaient Si quelque chose peut être reproché à ce beaupas a;appèlés » par le mur lépreux du bouge, film policier, c'est en effet la puérilité des ll'entourage en planches du terrain vague ??.' cédés auxquels a recours l'instruction pour arEt, dans le Million, le bruit innombrable river à la découverte du criminel. Je choisiraid'une partie de rugby n'est-il pas, avant tout certainement l'Allemagne pour théâtre de mon prochain crime. Avec le D' Bienert pour magistrat instructeur, un bouton de manchette d'un bon ami discrètement jeté près du corps de ma victime et le trousseau de clefs du concierge de Figaro, je procurerai à ce juge naïf tous les éléments d'une erreur judiciaire, et l'occasion de faire trancher quelque col innocent sous mes yeux amusés. Avec le juge Bienert, assassiner devient un plaisir, et de tous le moins dangereux. A celle critique près, le film est admirablement conçu, composé avec la sécheresse d'un dossier, exécuté si j'ose employer ce terme tranchant comme un couperet dans un bon
l'interdiction, par notre Chiappe providentiel, de l'Age d'Or, qu'il commit l'erreur d'interpré-
CHAMPS-ELYSÉES
ter, joue ici un rôle de commissaire. Par Robert Ancelin, par Jacques Maury, que vousvous rappelez dans Le Chemin du Paradis. Par Richard-Wilm enfin, qui s'impose à notre attention, à notre approbation aussi, à chaque création nouvelle Pierre-Richard Wilm, Richard-PierreFilm vous salue.
pro-
WASHINGTON
thes.
au Ciel que les futuristes ne fussent jamais plus nébuleux Puis-je, ayant loué chez le grand Pommer ce soin de ne point admettre le facile ef fet, m'étonner qu'il ait repris l'escalier cet escalier déjà tant gravi et qu'on ne saurait plus que
ROBERT ANCELIN
francs. L'invention qui m'a été soumise permet d'obtenir des résultats au moins égaux pour une somme dix fois moins importante. C'est dire que chaque cinéma de village pourra avoir son écran sonore, que nos grandes écoles, que nos lycées, que nos casernes, pourront s'annexer de nouveaux moyens d'enseignement en, langue française ou en langue étrangère. Cette invention, c'est la voix à la portée de tous.
Buster (P. anglais.)
l'écran. •
•
océaniennes.
ANNABELLA
autre, même avant les mots, les cris que pourraient émettre les personnages présents sur l'écran, le vêtement sonore qui convient à la
scène où lefameux veston, comme un ballon, descendre, cet escalier dont la camera monte passe de main en main ? Le film sonore a son bréviaireMélodie du et descend les sept étages avec les acteurs, cet escalier auquel René Clair lui-même, avant- Monde. dernier en date, eut peut-étre tort de ne pas Les vérités de demain y sont en germe. Qu'y a-t-on appris Qu'attend-on ? rester, dans Le Million ? Les cris d'hystérie qu'y pousse Colette Darenquête, feuil, et qui de cette cage d'escalier font une dont il faut louer Autour d'une cage, aux lions, ajoutent-ils beaucoup à la puis-Pommer, Chomette et quelques autres, est resance de la minute ? N'eût?if.,pas été plus sobre, marquablementjoué par Jean Périer, sobre, démoins facile, plus émouvant, 'de faire sortir pouillé, aussi loin dà.Jhéâtre qu'on pouvait .ifru' '» Mlle Darfeuil du champ dès le premier palier^ souhaiter qu'il fût. »t-to laissant (on se serait fait une raison !) et, nous en face de la porte ouverte. derrière laquelle il -y a quelque chose d'affreux et que l'on ne voit pas, de hous faire entendre les cris de « Ils l'ont tuée » dégringolant les étages, leur écho montant jusqu'à nous comme un oiseau fou qui se cogne aux murs ? On considère trop encore le son comme un très jeune enf ant qui ne peut sortir sans l'image, sa gouvernante. Devant une situation donnée, le metteur en scène doit d'abord se demander quelle est l'image qui la résumera le mieux. Puis quel son, quel bruit, quelle voix ou quel silence la ren f orcera davantage. Je ne répéterai jamais trop qu'il n'est pas nécessaire que ce son, cette .voix soient émis sous nos yeux, ni même que le rapport soit direct des images à eux L'espace, le temps appartiennent au réalisateur les meilleurs d'entre eux ne soupçonnent pas encore la f ormidable puissance d'évocation du son utilisé non par un photographe, mais par un psychologue. Que le meilleur des bons le découvre et l'ose
j
Née entre Lisbonne, et Cologne,: dans un train hâtif, qui brûlait les stations, elle n'a jamais Mais comconnu exactement sa nationalité me elle était jolie, petite et brune, elle a choisi celle de « Française », et, pour parachever cet état, montré ses jambes, roulé ses prunelles, fait bouffer ses cheveux, ce qui, tout le monde le sait, l'Américain comme l'Allemand, est l'aspect de toute vraie Française, capricieuse et
ardente.
Elle est donc la Française, « the French girl», celle qui, dans les films de la grande guerre, dit « Mon chéri » à tous les militaires* depuis le trouffion jusqu'au général. qui, d'ailleurs, le dit aussi dans tous les autres films, car cela est vérité trop forte pour qu'on ait à le répéter la « Française » appelle tous les hommes « Mon chéri ». et est
cains de toujours. mais ça toujours. « une femme de Ou je me trompefort (et il m' arrive, heureuwell l'ou know that sement, de me tromper fort, ce qui me permet mauvaise vie. » de: conserver quelques amis) ou ce Jack Oakie Et puis le film parlant est venu.' Beaucoup de; populaire du vedettes américaines l'ont fui, épouvantées. sera avant peu l'artiste le plus « Elle » est restée N'est-elle pas Française ?, Massif, trapu, explosif, il a ce sourire inex- Et n'y aura-t-il pas des versions françaises, où, tinguible, devant l'âpre struggle for, life qui. est son nom-et sa nationalité pourront, être brill'élégance du Yankee, qui est aussi sans, doute, lamment utilisés' Alors !l la plus jolie forme du courage. (celuiAlors. alors, imposée par le manager Le courage et la bonne humeur :deux des qui-sait-tout), dans pour y un film français, portes assises du solide building qu'est Jack interpréter du monde, enun rôle de femme Oakie, garçon américain moderne. Les deux autres assises sont la sentimentalité (dont l'importation récente menace de bouléverser la mèntalité américaine, dans des proportions que je me réserve d'exposer ici quelque jour) la sentimentalité et cette honnêteté quasi.naïve, cette foi en la ligne droite, cette obstination a ignorer le mal et qui vainc le mal déjà, cette simplicité d'esprit qui pourrait bien, avant que d'assurer, comme il fut promis, une place de choix au royaume des cieux,'rester le plus curieux, le plus invraisemblable, mais le plus efficace moyen de se l'assurer sur la terre. Allez voir Jack Oakie Jack Oakie est 0. K.,
/«
film américain.
?.
la louable encore
Plût
The Gang
Une histoire de gansters et de boatlegging qui ne serait ni meilleure ni plus neuve que les autres si elle n'avait pour interprète un Parçon que je vois pour la première fois et qui est le type si parfait, si complet de l'Américain -moyen, de l'homme dans la rue, qu'on trouve un air exotiqueà tous les autres Améri-
lourde atmosphère du sobriété dans leur emploi. 'C"<?.3U quelD'ailleurs, comme tous ceux qui ont du talen t, Erich Pommer a ici l'évident souci d'éliminer supcoûte toute trace trop apparente de ce talent, decltapil'acanthe du mille primer l'effet, le détail joli, teau. C'est ce que signifiait, cher monsieur C. la phrase que vous n'avez pas comprise, dans une de mes chroniques récentes, cette phrase | limpide que vous qualifiâtes de futuriste la colonne est plus pure dont on émonda les acan«•-
Elle fut, à l'époque déjà lointaine des films imànàgëf. par muets, engagéeen Amérique, un vedettes de (celui-qui-sait-tout) à l'affût transi
JO!q¡û.
anglais)
ROXY
rythme, par des artistes excellents. Point de musique, mais tout ce dont les mille cette réalisatioii n'èstr- bruits de la vie et ses silences peuvent alourdir, ûrï'fait~_aèèoiupli2drame.J£?4*>
Mais, me elle pas elle pas dès longtemps u,ri fait accompli? Non, tant qu'elle reste le privilège de ques-uns. L'équipement d'une salle en sonore actuellement de deux cent à trois cent
•STAR INTERNATIONALE.
!•
comme dit Luc Durtain.
Et dites-moi s'il n'évoque pas un building, le building typiquement américain, et dont on peut, par la solidité et l'envergure de sa base, préjuger qu'il dépassera tous les autres, quelque jour.
ROXY-CINÉMA: Zweï Herzen im PAGODE
High
3/4 Takt (P. ail.)
Society blues (P. anglais)
négligeant des scénarios qui ont tout fait pour ça me borner à conseiller aux lecteurs de Figaro, curieux des « autres », de voir l'un après l'autre ce film américain, si américain, et ce film allemand, si allemand. Je crois que rien n'est plus salutaire pour le Français cultivé que de telles confrontations. Que rien n'est plus utile à la compréhension des races, des civilisations et le premier pas à faire'vers la paix universelle n'est-il pas de comprendre les autres et et de s'en faire comprendre ? Loin de me désoler de l'invasion de nos écrans par des films anglo-saxons en anglais, par des films allemands en langue allemande, jeme ré jouis de cette occasion, of f erte à qui ne peut voyager, de juger les peuples presque aussi sûrement qu'il le f erait chez eux. Comparer la technique de Karlweiss ou celle de Janssen à celle de Charles Farrell, confronJe voudrais
JACQUES MAURY
fine, un martyre affreux a commencé pour la charmante enfant
jouée et
Il faut me comprendre, disait-elle au metteur en scène sidéré, « ze zuis Française. mais j'ai-t-un peu perdu l'habitude.je l'ai-z-
un peu-t-oublié.»»
First. j'ai
pas de mémoire. je peux pas apprendre mes « lignes » il y a trop de parEt puis mes mots zont lage dans ces talkies Ainsi « coinllçféd.£)amdifficiles à brononcer Mêmes avantages pour l'enregistrement, qui ter le sex-appeal de Janet Gaynor et la poésie pagne ». « koin de kampagne ». difficile' de Gretlt Theimer, c'est s'en faciliter l'analyse, et puis cet auteur français est si. comment dise fait avec une rapidité et une simplicité qui c'est mieux comprendre aussi la force du char- tes-vous permettent de réduire les frais dans des proporsi. bointilleux tions considérables, tout en utilisant une techme français. « Je penserai-z-à » Tenez, hier, je dis Une opinion n'a de force que celle qu'elle nique supérieure à celles actuellement en usail me fait recommencer ?? On dit, paau lieu de se contenter d'opposer le théâtre vous tient des comparaisons. film projeter scène le Un metteur ge. en pourra cinématographique au théâtre, de choisir, pour Je penserai ha vous » Avec tout raît-il « Quelle gloire retirerait-elle femme de enregistreheure après une son sonore moins d'une d'aul'y combattre, le ring étroit de la scène, qu'il le broubaba du studio.c'est difficile t'amour d'un homme qui n'aurait beaument, c'est-à-dire percevoir les fautes quand les oppose, pas auguignol » de l'homme de théâtre, penserai-i-à vous », ça fait natutant que femmes ? encore les présents, les dépors' artistes sont encore coup connu ,•,•<!>: son « guignol* à lui, qui est l'univers. Au lieu laquelle nulle rel! France La ,•: femme est pour debout!. une d'opposer l'acteur à sa reproduction et la ma• comparaison ne saurait être dangereuse. C'est comme, ils veulent que je sois gaie, » vie la qu'il toute vivant, fasse entrer ODETTE FLORELLE chine Et l'amour de la France, ce ne doit pas être dans ce film. Cette invention va bouleverser l'industrie ci- dans laaumachine. Qu'il ~i. t grte r34'~a9 ~d° partout rappelle pérâueyen'fille un se que m'en' sentiment aveugle, mais réfléchi. Ce ne doit J.la senématographique du monde entier. Par Colette'' Darfeuil en f îllè » D'ailleurs, au fond, je vie est à son ordre, jusque dans le passé2 la Qu'il peut faire venir à son gré de Shanghaï ou perdue que nous aimerons retrouver. pas être seulement une foi, mais bien un juge- maine prochaine, je tourne une Française dans [ Qu'elle soit née en France, c'est notre fierté. du seizième siècle la dimension sonore qui don- Par Florelle que nous aurons, bientôt occa- ment, mais bien une opinion, une préférence un film américain. Là, je suis sûre de moi louer mieux dans l'Opéra de Quat' sous, laissons, procurons aux autres nations, aux et cette fois 10.000 dollars par semaine. Mes sion de celle c'est si l'image vrai à cela fut tant Que ce ne soit pas, comme son sens, nera pour pour peu que M. Paul Ginistij, critique cinéma-. autres races, la libre occasion de les justifier, opérateurs. Mon leadingman. et puis. prol'image d'inventions de chez nous, pour le seul bénéfice qu'appelle logiquement en nous tographique, rappelle à M. Paul Ginisty, direc- de les af f ermir dans nos cœurs. j'exige le contrôle sur les auteurs. C'est ça jetée exprimons de l'étranger, c'est l'espoir que nous On aime la France en connaissance de cause, qui est-z-important. Alors, chéri. What's the teur de la censure, et qui veut bien parfois Qu'il se rappelle ce timide essai de René prendre ici, les yeux tournés vers la finance française. ses avis, qu'on n'écrit rien de bon avec et de toutes tes causes, ou on l'aime mal. hell Clair dans Sous les Toits de Paris, ce train de à effacer. Françoise Rosay. banlieue qui passait dans la salle, sa fumée \pie gomme R. P.-B. Richard Pierre-Bodin. Par Annabella, qui évoque, par son visasage immatériel, tragique et comme marqué d'un étrange destin, l'Annabelle Lee d'Edgar Poe. Par Bill-Bockett qui, en concierge venimeux, effet, a un rôle de Bill-Bockett il y faut, en posséder une bonne bille, et finir par tomber, sur un manche. Par Gaston Modot qui, pour se venger de »
!«
?.
•
»
Je
f.
.'• »
Grand Gala au bénéfice
de la, Presse cinématographique Le jeudi 11 juin prochain, à 20 heures 45, salle Adyard, 4, square Ra^V notre confrère La Griffe Cinématographique (directeur Jean Laffay) organise un grand gala cinématographique au bénéfice
de l'Association professionnelle de la Presse cinématopiaphique. Sélection de films rétrospec'Au programme tifs où l'on verra, à leurs débuts, la plupart de nos vedettes actuelles (speaker Jacques Faure) présentation d'un grand film inédit, récemment tourné en pleinpar Maroc du Sud, à la lisière de la zone dissidente M. Regnault-Sarasin,qui célèbrea pour titre orchestre de Goundafa la Mystérieuse. Le 18 tziganes modernes de René Schmitt exécutera entre chaque projection les plus beaux morceaux de son répertoire. La recette sera intégralement versée à la caisse de secours de l'A.P.P.C. balcon, 10 fr. Prix des places orchestre, 15 On peut dès maintenant prendre les billets, entre 15 et 18 heures (sauf samedi), aux bureaux.de La Griffe Cinématographique, 2d, rue Saint-Georges,
fr.
AU
STUDIO DIAMANT WILLIAM POWELL
ou -par. correspondance,
JACK OAKIE AU WASHINGTON
c4 Speet a es =:=
ZIGZAGS GOURMANDS naissent le succès des Vikings de Montdans -les. pays
parnasse. Cette excursion nordiques a séduit les Parisiens, et les cinquante-neuf variétés de hors-d'œuvre, chauds et froids, servis au bar et aux petites tables, connaissent une foule d'amateurs. Un décor pittoresque fait revivre l'atmosphère norvégienne puissamment évoquée par les artistes qui "ont réalisé cette nouvelle maison des
L'ART ET JLÂJURIOSITÉ
OMNIA-PATHE, Le Masque d'Hollywood. PAGODE (57 bis, rue ds Babylone) Charles Farrell et janet Gaynor dans: High Society Blues (Sam. et dim. à 15 h. et à
h.). Soirée ;â
17
A l'Hôtel Drouot
21 heures. Matinées tous
jours, à 15 heures., esPALAIS-ROCHECHOUART
rue
de
(50, boulevard Fin semaine très animée Sochechouart) Golder. David comédie de M. Edouard Bourdet, avec toute Drouot, avec plusieurs séances particuVictorCINEMA (13. PANTHEON rue DU soir. lièrement intéressantes. sa brillante interprétation du Cousin), à 14 h. 30, 16 h. 30 et à 21 Il. Beaux bijoux, Reaching for the Moon, avec Douglas Falrdesquelles grandes tête Les vedettes et d'ameublement d'art en objets Hérodiade Vikings. nement classique, série verte) Claudie, figurent Max Dearly, Jane Marnac, Félix bank et Bébé Daniels). lundi, 8 heures OPERA mardi, Café. PARAMOUNT, Le Petit Le BonMarigna.fl, les mardi, 7 h. 43 La Farce des Bossusj 9 heures M« Henri. Baudoin, assisté des experts Yseult; de Tristan ot Vavin Danielle Rue Dréan, et Urban, O.udart, B régis, rue dimanche. Karrière maeht Tuileries Vik;ngs, PARNASSE-STUDIO, Dolly Reinach, Charraud, Schœller, Ferai, CaOthello;jeudi,7 h. 45 Tristan heur du Jour; vendredi, 9 heures La Con-"Henry-Laverne,Jeanne -Saint-Bonnet, Rose Nord, du h.' alcools leurs 15: 8 avec avec de Figaro;" "samedi, 2 h. 30: L'Avatroux et Mannheim, a disperseobjets soirs, leurs plats de rennes et de poules de et Yseult; vendredi, 8 heures La Travia- version les des Vignes acclamés n, rtfe (Aut. Carday, qui tous (16e) sont RANELAGH, SansMadame tableaux, 9 heures: grand succès lesbijoux, neige, leurs sandwiches innombrables, te, Prélude dominical; samedi, 8 Heures re, L'Epreuve aujourd'hui dimanche, en ma- 64-44), à heures: actualités spnores d'art, interprètent appartenait a Sans•'Sons les arcades de la rue de Rivoli,. attendent Madame h. 45: dimanche, 2 sièges et meubles, cinquaiite-niSnf Gêne votre La 'Samson et Dalila, Soir de fête; Mo.eador, anglaistitre rose (chaut théâtre fran2., h. tiné2,.à au La Vie L'Arlésienn». 30, en 9 heures Un collier de Mme face aux beaux jardins riches des sonve-' 8 "heures Faust;' lundi, 8 heures: Rigo- Gêne Parisienne,, quiest bien actuellement çais) (J. Gaynor, Ch. Farrell). Vie 529 grains, fut paye pesant perles, Paris élégant le restau-Ariane. nir.s.du d'autrefois, letto, Baçchuset .rnr.. à 14 A Delabofde RocSecltouart) le triomphe formidable. bis, plus (65 le ROXY r rue COMEDIE-FRANÇAISE 152.000 francs un collier de chien comlundi, 8 heures rant des Tuileries vient d'ouvrir ses portes. première exclusi- posé h. 20 30, h. 30 et en de quatorze rangs de perles, 16.800 Et on pense bien qu'un tel baptême n'alla Le Sang de Danton; mardi, 8 heures (abonfrancs intéDeux cœurs, (version valse vité une d'un Variétés. Aujourd'hui en matinée, à à Lafon son caneton », telle est l'en- nement B) Le Sang de Danton; mercredi, une bague platine ornée pas satis une petite fête gastronomique origiiialev en, allemand), texte en grale soirée 53.500 fr. à deux dercarats, 4S, h, de 6 8 solitaire h. et brillant 30, en 2 laquelle M. Velaine, maître de céans m'avait seigne qui, sur le quai Malaquais, à 8. -h. !15-: premier gala classique (1.,100' français. ? Mardi 13.000 francs ri'1^'i"représentations du te Çid, Précieuses Roi. émeraude, «ne nières pro.LUNDI Les une baque fort aimablement convié. Décor luxueux, l'entréede la -ue des Saints-Pères, at- représentation) Wagram) de ROYAL-PATHE (avenue de brillants Pajjiol, Marcel d'oreilles Topaze, de boutons sochain reprise de paire éclairage savant et d'une douceur infinie, tire l'attention des promeneurs. Laissez- dicules; jeudi, 1 h. 45 (abonnement billets THEATRE DE L'ŒIL-DE-PARIS, en soi- avec Chanteur de Séville. Le orné sautoir (Gut. 09-92). ses créateurs. francs 13.500 un tous cadre sympathique et confortable tel nom vcus tenter, le restaurant Delaborde, roses) Arlequin poli par l'amour, L'Avare; STUDIO DES URSULINES, L'Ange bleu litaires, rée La Revue. émeraudes, brillants, cent sept quaDande de Sang failli à Le B) n'a (abonnement dirige Lafon, heures M. S Le Myssa SAINTE-CHAPECLE, en soirée* a 20 h.'30 version française;a 22 h40 pas apparut le restaurant des Tuileries jeudi que pierperles et On son de: Maître vingt et saphirs, ton;: ti.S -5 5 vendredi, ;8 Cent torze une Le l'CEuvre, réputation. roi Saint-Louis. touthéâtre, de. soixantième,. au matin oit nous attendait un déjeuner suc- vieille y retrouve tère du version intégrale allemande (Danton 81une toile de cette saine et bonne cuisinefoie de cœur; samedi, 8 heures Le Sang de Danres diverses, 27.600 francs -S S,' rue' de: Clichy, de son triomphe, La mtknt dont voici le menu .-Cantaloup jours 6tf) Portrait de femme, MARDI Rigaud A quoi rêvent les ton dimanche, 1 h. 45 frappé, -la. Croustade de laitances au, Ries- famille à laquelle s'ajoutent le Folle logis. Aujourd'hui matinée et VSCTOR-HUGO, La Patrouille de l'aube. l'école de ancienne potiches enKien-lupg, Jeunes filles, Le Malade imaginaire; 8 h. VARIETES, en -soirée (reprise) Topaze. soirée. WASHINGTON-PALACE (14, rue M.iKel 6.000 francs deux ling, les noisettes de pré-salé Tuileries, fro- gras des Landes et le fameux caneton, époque de Chine, tabourets, sang préparé devant vous suivant 30 Arlequin poli par l'amour, Aimer. lan), Jack Oakie dans The Gang Buster. porcelaine MERCREDI d'époque ', mages, fraises Melba. Deux plats, on le voit au deux •' francs Ma8.S00 heures;: OPERA-COMIQUE lundi, 8 gastronomique. 21 Théâtre DE Dix-HeurES (Direction Rçsoirée et'c'est fort bien ainsi. Voilà une mode qui toutes les règles de l'art non; mardi, 8 heures (abonnement B):La COMEDIE-FRANÇAISE, en Louis XIV, 10.000 francs quatorze tapre- ser Ferréol). Le spectacle le plus gai. devrait se généraliser pour les déjeuners à 7.000 francs, et Cid, Les Précieu- Aujourd'hui dimanche matinée à de Bohème, Paillasse; mercredi, S h. mier gala classique h. 30. Le Petit àfé quittera l'afifche du théâ- bourets, travail italien, 3 Chicago Inn Vie 'conditions que ces deux Plats soient soignés. la fin du dix-huitième, Werther, Cavalleria ruàticana; jeudi, 1 h. ses ridicules. Location 36, boukvard tre Paramount le 12 juin prochain, après une pendule de Soirée heures. à 10 Ce qui fut le cas aux Tuileries. Excellente La Vie de cadran signé Ridcl, à Paris, 5.300 francs. THEATRE SARAH-BERNHARDT,en mati- de Clichy (Tél. Marcadet 07-48). 45 (abonnement série bleue) achevé triomcarrière absolument avoir une sympathie chaleureuse, l'enidée aussi ce déjeuner au champagne. Ou née La Flamme éternelle (au profit des C'est le triomphe de la cuisine amé- Bohème, Paillasso; 8 heures (abonnement Tableaux anciens et modernes, phale par la Ecrivains' l'Association comsort de table tout guilleret, bravant la ricaine œuvres des Louise; heures vendredi; 8 de B) Manon; justification. Allez 16, l'admiration, l'affluence incesrue meubles et bijoux et thousiasme, ETRANGER. chaleur et l'orage. Comme il fait bon en- Duphot, sa Chicago Inn, et demandez samedi, i.li. 45, matinée de gala au bi'Mié> du public qui l'a applaudi. Tous ceux Me Bignon, assisté des experts Marsuite en sortant des Tuileries, restaurant, faire fice de la' Caisse de retraites Les Bri- ATELIER (Théâtre Michel-Tchêkofr), en Nous sommes heureux d'apprendre les sante de Morgan vous traiteur qui n'ont Chevalier bon Maurice encore au vu pas boutin, Logé et Vcrnhet, a obtenu 29.00Ç d'aller flâner sous les ombrages des Tuile- griller un homard façon de New-'• gonds; 8 h. 15(abonnement B-) Les Con- •Mirée Hamlet. du création étourdissante dans garçon son francs, pour une bague brillant soliLa STUDIO DES CHAMPS-ELYSEES (Ptudio brillants débuts, à l'Opéra de Bucarest, de fies, jardin. et sans supplément de prix 1 York, rôtir un jambon comme à Chi- tes d'Hoffmann; dimanche, 1 h. 45 -Carn'ont qui Albert café Loriflan, de tous ceux Comédie des Mlle Pia Igirosanu, la charmante cantatrice taire 3.050 francs, pour un coffret allemand), en matinée poulet suivant les règles Tosca, Cavalleria rusticana; 8 heures: cago, frire unVous irrésistibles péripéties assisté roumaine que- nous avons entendue à Paris. pas encore aux impru- d'argenterie 5.700 francs, pour une bade dé- men. goûter Bordelais de Maryland. aurez la joieagréable signature l'entraîne auxquelles la brillant solitaire; 7.500 francs, pour Andromaque, lundi, 8 h. 45; R. D. D. ODEON gue SAMEDI couvrir une cuisine saine et plus n'ont léonin, donc d'un un dente contrat heures collier de 110 perles 7.800 francs, Médecin malgré lui; mardi, 9 pourrez arroser des meilleurs Lo matinée divertir Brialler e n que vous chez OPERA-COMIQUE, quelques jours Les platine et brillants, et heures broche se pour pour une mercredi, 9 que nous. Car, on le pense Madame Sans-Gêne de crus qui tade ce film (abonspectacle restera culinaires démonstrations gands. comme 3.000 francs, pour un panneau Poursuivant ses La Sonnette d'alarme; jeudi, 2 h. 15 au n'est Inn Chicago bien, le un enà Paris, pas réussis la plus de des l'un des plus gais gastronomie) et d'Aubusson. pisserie l'O.F.G. (l'Office français de. déjà, droit « sec ». Et sa vogue saison. que dirige avec toute sa compétence de Beaux livres modernes illustrés est k. '4S 49-24). (.Nord ATELIER Croze avait Austin de gourmet le comte En la salle 8, Me Marcel Pognon et Eriek XIV. Ursuhxes. L'Ange bleu. A 14 h. 30 M.AGeorges organisé ces jours derniers un goûter borAndrieux ont adjugé 1.100 (version française) à 16 h. 45 (version inNOUVEAU-THEATRE (Vaug. '17-53). h uuez ~art}uery COMEDIE-FRANÇAISE (Gut. 02-22), delais au Restaurant de Bordeaux, 39, boul. Le Grand Meaulnes, d'Alain tégrale allemande) à 20 h. 30 (version fran- francs, Werther. '^0 du Temple. Ecoutez le programme de ce (Emile-Paul, 1930) 1.150 qui comédie Fournier de son oœur, le célèbre restaurant i h. 45 Le Mettre Marguery, intégrale alle(version çaise) à h. petit goûter servi sur le coup de cinq heures 4S 22 Baudoche, de Barrés (Paris, chez délices YonColette actes de M. Paul Raynal (MM. Marde nos pères est resté en trois Mênle mande). Danton 81-60. de Vaprès-midi le beurre fin libournais, le fit 1-j japon, exemplaire Maurice 1928), l'artiste, Donneaud; Mmes Mary sur spectacle qu'en soirée: à lui-même. Il a conservé ses nel, eauxcaviar de la Gironde, le jambon de Bayonne Bourôux; de fortes suite des Barreau). avec et si la fameuse sole qufit, Henriette FOS-.1ES-BERGERE. à'2 h. 30. A G D 1.310 francs, Les Fleurs du Mal (Vollard, à -la mode des Artigues, les petites tourtiè- belles traditions comédie en vers, MCuic spectafle qu'en soirée actes, deux L'Amiral, en Marguery demeure inimitab!e, la cave CASJNO DE PARIS, a 2 h. 30. 1.550 francs, res Saint-Emilionnaises, la croûte rouge, du 1916), exemplaire japon Jacques Normand (MM. André Bnppt,£^$rot>assadeurs, 2 h 4.Antoine, 2 h. boulevard Bonne-Nouvelle s'enrichit de Dufrej™ïVk PALACE, à 2 h. 30. il les croquettes de Lesparre, le militas giron-, de des Satures, Nymphes dansant avec Crotié, Lafon, Jean Weber, M. 57 l>is, rue de X!:il>yloEic à^linée, o 1)., Bouffes-Parisiene, h. ''ai; 0 meilleures cuvées. exemplaire Boylesve âin.les brioches Dastarac, les macarons dee chaque année desd'affaires 3 NizaivÉPlpi IHÀYOL, heure-3. CONCERT il (Devambez, 1930), >®aie' des Champs-Elysées, 2 h. 45 à des iirix Mmes Andrée de Chauveron,, t¡japon Les déjeuners à 2 h. 30. EIWPIRE-BIUSIC-HALL-CIRQUE, Saint-Emilion, les Montpensier fourrés aux 1.125 Jacques le FataBarreau). Grand -Guignol, 3 liste (Javal et francs, y sont toujours rietto 05-76), ?i 3 heures. fruits et les caramels au chocolat, les bour- très raisonnables LUNE-ROU8SE, 1928), exemh (Gut; Bourdeaux, OPERA-COMIQUE îi 1 h. 43; Madeleine, d gourmets savent y com3 heures. Gymnase, i SejM^^HMjhWjt •2 11. 45; L'HUMOUR, à DE THEATRE (Mmes GarLa Bataille, riches d'huîtres fourrées ou gravettes d'Ar- très suivis. Lesdîners J.000 francs, plaire japon d'Hoffmann 2 ,4iN, fins dans l'atmo- 45: Les Contes Mathunns, 3 des lieino-; LA FOURMl,a!S,nei4çes.><" francs, Farrère 1.100 So1925) cachon. Vins Château des Mauves, Pome- mander (Blaizot, Leïla lien Slbille, de Madeleine 3 ffîyl$^®4»S à 3 cin Frappa, IWtchodière, du houlevard^^r-kjen. h. I sphère (19,'iO), .itrréable 45: DE LA heures. MOULIN CHANSON exemL'Oblat, Dumarir''MM.' Jean ftequ?-.Montparnasse, lieurc;r'NdUVea'trtè»;^y''T[:' 1(j dans In.vprsson intégrale «le de Huysmans rol 24, Saint-Emilion 241 Cordial Médoc, dira, Suzanne a garder veut Marguery Enfin :i CARICATURE, pas 1.000 ne Vieille cure de Cenon, etc.. francs, La Vie de japon plaire José Beckihans,-1"Lo-» Prin, .Hotissel, Sarah-Bernhartit, Palais-Royal, a U, :iû; Cr pour. sa, seule maison les secrets dé' sa çaur, h. 30. foismëli, à 2 IVIECRANO, CiRQUE Maurois et BourAî:émn>. Orch. If..Cohefy, de -« Goûter, petit repas qui résume ïês-' Pay- cave* J h. 3 0; Théâtre de Paris, 2 11. 30; Varié-` ZOO-CSRCUS (forte (les Ternes), 2. h. 30. I' matinéeh 15 h. Soirée à 21 h. deaux, 1928). exemplaire(Javal ses? amis. 9 aussrïà Jl, Uvre, (Uttré '08-31),' 1.000 â japon m'expliqua 2 h. 43: MaODEON provinç àr d'une l'âme sages eet Sam. et dira. perm' de 15 à 19 h. 30 francs '» â^NA-PARK, a 2 h. 30. Vidtorién Sardou ut Stende de Sans-Gène, L'Abbessc de Castro. ki dame Austin de Croze. Lcc: Invalides 12-15 (M° St-François-Xavier) Ambigu, h. a0; Apolio, a_-£eur<-«: ChâGuy Auberge du Vert Galant Emile Moreau (MM. Bonifas, Chamarat, clli.il (illustrations de Malassis), et 400 là dessus je m'en fus diner. :i heiifôs; Cluny, beigner, Comosdia, Raymond-Girard, 30; telet, 2 1). Louis francs, Un royaume, de Dieu, des frères Parzy,. Cailloux, Aubeleau, Sqùinquei, Darras, Geor- 3 heuroj; Déjaiet,2 h. 30; Eldorado, :) heuTharaud (Lapina, 1925), exemplaire sur Baconnet, Mffl^| Œuvre, fttBtliiK'MIWf f jl""1' ueurcs= :l saurait saison rêver en cette hollande. On ne ges :Cusln, Harry-James, B^M(r|npoWé-Saint-reîartin, s h. :i0 ^^sM endroit plus paisible ni plus frais que nter, André Wasley, Roger. Cluirval. CASINO nouvelle 30. PARIS, 1'1 :3ratfeîere, 3 heures; Renaissance,3 heures; DE La bibliothèque de M. P.-V. Stockdu Vert-Galant, posée sur les OEttly, Charpentier, Gautier-Sylla, Jacques! 1930. production revue ite Berry l'Auberge Paris qui remue, Jar-Studio des Champs-Elysées,2 h. i:>; Théâ-totjj 'ûe MM. Henri Varna et Earl Les1le, lEMO»UHEHTK)FiLM PA8lAHîfe^W La vente de cette très intéressante bibords de la Seine, 42, quai des Orfèvres. Dumesnil; Mmoï Colette Adam, SimoneMouThéâtre Deuxdes..Arts, des bliothèque méritait un catalogue plus 30; 2 h. Lily tj-e Laurent-Bissat, que tous les Parisiens nac, Blanche Dars, P. Marinier, Dix-Heures. avee '.roseplilne Uaker. 90 super-vteions. Sei-vanlne, LuThéâtre de heures détaillé Anes, 3 et surtout mieux présenté. M. C'est le rei.dez-vous du Tout-Paris connaissent bien, y continue les tradi- net, G. Duard. T. Dalleynie, Vive le eraueLL BERLEV CONCERT MAYOL, 8 h; 30 Ternes, 2 h. 80 Georges Janine des Théâtre Andrieux, expert de cette vente, Cris- 3 h. 30 Ginôva, Montlaur, de la grande cuisine et du bon cy-Lauirier, aux Champs-Elysées. Au bar, à l'heure tions Madeleine JNu! plein Théâtre en 30; d'ailleurs, et nous le comn'a pas caché Foujane, Eva, Reynal,. L. Théâtre 1932, 2 h. fcMPlRE-IHUSIC-HALL-CIRQUE,a 9 heu- ~rAn ~6fRf apéritive, au thé dans les somptueux accueil. Le calme de ce quartier de la pin, qu'il de la Foire Saint-Germain, 3 b. 30. prenons fort bien, est absolument et se fait Bouchetal). salons, au déjeuner comme aux dîners, Cité règne sur le Vert-Galant Mann; les 6 Ab- IltALC(oUE. ~3~~ rcs-les Barto comiques D'YYEf confection de ce modeste étranger à la Les après le théâtre pour le souper, on re- le complice de notre gourmandise. les vedettes de. la chanson NIRANDE bott Dancers; opuscule, sur papier misérable et sans Berry ses amis. spécialités fameuse, la cave de premier trouve chaque jour Destrey et Davson. Mat. et soir. lundi, au FILM FRANÇAIS PARLANT le moindre attrait quant à sa disposisympathique en Excellente et fine cuisine dans un cadre ordre de cette auberge Marcel Vallée, Larquey, Si- Jeudi, samedi et dimanche. Lefaur, Pauley, soirée nnit Séance 30 et Permanent av. nsicll tion. M. P.-V. Stock, ancien éditeur, uniFOLIES-BERGERE, a S h. 30: L'Usine à élégant et confortable, service impec- font en été Je rendez-vous favori des Héllard. etc.; avec Marie Dubas et mone Prix 10 fr. versellement connu, et j'ajoute, univerBoucot) (Dernière représentation). rolle s, revue nouvelle, 80 tableaux, de li. cable, toutes les traditions du grand gourmets. sellement apprécié, vend donc, non sans Louis I.emàrchMKl. OPERA (Louvre 07-05), à S heures restaurant parisien dans une atmosphèregret, ses livres enrichis de dédicaces Chatham-Volney Lohengrin (Mme Germaine Lubin; M. de PALACE, a 8 h. 30, la nouvelle revue telles sont les raisons au re moderne, 21-49), Heures: (Lab. » et de lettres autographes. « Mes livres, Parade de Femmes, 2 actes, 45 tableaux, Trévl, Mlle Marcello Mnhleu; MM. Marcel .ALBERT-I" succès du Berry que les gens du monde, dit M. Stock dans la note préliminaire anglais'). avec Carlos Gardel et le célèbre clown Journet, Endrèze, Cambon). Orch. M. Fr. The Vulture (en les artistes, les Parisiens de Paris et les parison catalogue, mes La ». qu'il plus *5 79 CHAMP* ELYiEEJ. a 8 AMBIGU (Nord 36-31), 22 RUE ÇUENTiN-BAUCHAPT a écrite pour C'est assurément le coin le Ruhlmann). Frank Plchcll. étrangers ont élu et où ils aiment à se sien 15 14 espéré j'avais m )"i A^ liures, AUAkIC «i VtFP en jouir jusqu'à de Paris. On y rencontre encore au COMEDIE-FRANÇAISE (Gut. 02-22), à Porteuse de pain. LUNE-ROUSSE (58. rue Pigralle (Trtn. rencontrer. Brumnécessités de l'existence et les 8 1 45: mort rue 8 heures Le Sang de Danton, pièce en APOLLO (Trin.P.27-30), à ma bar comme au grill-room do la Volrelâche. 61-92), séparer hélas m'en avant 1 à m'obligent, Meyer). Chez hetessier Daunou et au restaurant de la -e MOULIN DE LA CHANSON, 9 D. 30 en trois actes' (25 tableaux) de M. met (M. Deval,(Thêatre-Club prose, n'est qui Petltel'heure, ce de qui con- Saint-Georges de Bouhélier. Musique et ARLEQUIN pas sans me causer -•' music-hall lyrique. ney, les derniers boulevardiers (devant 3> Comme nous (Ségur 02-21), a 9 15 chagrin. très Scène) vraie cuisine. Lisle). Dalayrac, du gros Après de NOOTAMBULES, un aim la Rouget nt à 9 heures naissent et chœurs (N. si erud.it! honnête homme, gourmet plaignons cet averti Souvenir, que me veux-tu?, nouveau. Ancien chef de cuisine, Un déjeuner au Chatham avec un (MM, Dessonnes, Léon Bernard, Georges les abonnés) hier, vacation lieu Ariane, première eut Letessier vous attend 15, avenue Victor- hors-d'œuvre et une grillade, uu diner Le Roy, Denis d'Inès, Roger Monteaux, un acte de Rose Worms-Barretta. THEATRE DE LA CARICATURE,à S heuGiard, Edouard de Me sous la direction Hugo. 11 a préparé pour vobs des soles au Volney suivant les règles de l'art Jacques Guilhène, Ledoux, Paul Numa, Do- do. Monteverde. Et trois arlequinildes La res Le Coup du lion. Moégaré, de Ruban assisté de M. G. Andrieux. On paya Le Ridragées, de langouste, que les de Botte de ChamDreull, FonTante-Marie, du gratin gastronomique vous prouveront rival, André Bacqué, THEATRE DE L'HUMOUR,' î2, rue 1865. danse en 2.350 francs, un exemplaire unique de le tour de chant, avec des rognons flambés, des volailles à grandes traditions culinaires françaises goult, Lucien Dubosq, M. Le Marchand, zart Une leçon de 49-24), taine, 14 10heures 45 à '8 h, Le Désespéré, de Bloy, sur hollande, et Paul Coll'alsacienne dont il a le secret. Cadre sont restées à l'honneur dans ce quar- Pierre Faubert, Le Goff, Pierre Dux, Jean ATELIER (Nord les chansonniers Rene Dorln des peril vous plaira. aimable et pimpant le restaurant Le. tier de l'élégance et du progrès. line, Yvonne Guillet, le compositeur 'André avec dédicace et clé autographe MartiaelH, Robert VtaaMn, Pierre Lecomte, Comme (UUtt 02-87). un, exemplaire S 8 11. 30, Renaud, Rlvedoùx et la revue Coupg de MiMmes Mary: Marquet, CHATELET sonnages, et li020 francs, Marcel' Dufresne { fessier est une des maisons du. quartier Meiitairs (Èd.Favart, bleus,. idQ Sidonie Bach, etc). des Nlzan, Jeanne §uljy,Marhollande Panache sur de l'Etoile les plus accueillantes où l'on Ducos, Yvonne Rojnée.lher^ay-, Roussel'). nl-Cm:QUE'i»iepRANi?*(trïïflairie manuscrit 23-78V,1, 8 h. 4?: 'La; avec un autograCourteline, 07-76), (Odéon CLUNY è celle" est .toujours assuré de faire un bon remanié. phe 05-76), Pontbiquet. 8 6.: Famille Les 8 RalriatCoatchen CotirrÈ^âs;'<B(jffS la haute ef'-savantê; direcOPERA-COMIQUE (Gut. 8 h. 30 h, Maurice Monda.; à 8 (Trlntte">!i0-12), ï Gare Madeleine COMŒDtA Mathieu, rede Carmen en tault,' jockey buffet de la jongleur.,Berny; le chinois (Mmes nouveau tion patron. Le Andrée. Com- La Dame de chambre. Bill de La Bergenne; Iles et Loyal; M, Cuyer élégance si .raffinée; avec sa présentation), Odette* Ertaud, l'Est, d'une DAUNOU (Louvre 36-74), clôture an- (dernière semaine). Roussel, Lanzone, Frlant,. 'Charles MMj te Boivin Père Ventes d'aujourd'hui Expositions vaste salle confortable et sa parfaite nuelle. et M. Frlgara. Maurice Prin) ;• Orch. annuelle. D'HIVER, clôture et son Lo cuisine, ses repas à prix fixe 9. heures: Le DEJAZET (Arch. 16-80), s 8 ù. 80 Tire CIRQUE à ODEON ZOO-CIRCUS (porte des Ternes), t 8 (Littré 08-31), devenu en est maison EXPOSITIONS .Tous les Parisiens ont connu à Mont- service de grande un rendez-vous très Bonheur du Jour, comédie en quatre actes au flanc. b. 30, formidable spectacle. semaines quelques à 8 h. 18-76). (Botz. 45 martre le fameux restaurantdu Père LUNA-PAR'K, samedis et dimanches atSalle n° 1. Edmond Guiraud (l'auteur et MM. Ro- LeELDORADO HOTEL DROUOT. Point n'est besoin de prendre de M.Clairval, Contrôleur des wagons-lits. seront heureux d'apprendre parisien. BontCharpentier, Boivin, à 9 ù., Tableaux moJours, publique. Cailloux, les tractions et dancing. Tous Exposition dîner Paris-Est où ger aller train 10-34), (Trin. le FONTAINE a saines Briey, pour THEATRE les Lumeublés fils Boivin continuant le Jeanne Janine Pre&'s, objets d'art, Mmes que dernes, gravures, du meilleur goût et fas Laugier, 8 h. 45 Griserie; Mon.ami Philippe. traditions paternelles dirige au 18 de un cadre moderneprix Ginéva. P. Marinier). et sièges, tapisseries. Me Heniu BAUcy les modicité des NOUVEAU-THEATRE(Vaug. 47-63), ne sont pas a la rue Bayen une auberge accueillante la doin, commissaire-priseur; MM. F. Maxvous attenqui surprises moindres y 30 Tosca. 8 h. La poulet Boicélèbre triomphent le où Kann et A. de Boissieu, experts. ŒUVRE (Trin. -42-52), 9 heures: La AMBASSADEURS (Elysées 43-73), il 8 vin et l'émoustillant vin d'Anjou. Salle n' 11. HOTEL DROUOT. Paris-Est a rénove huereusement du logis. Déjeuners à prix fixe à 2U francs, b. 45 Comtesse Maritza, opérette à grand Folle tradition des 37-53) j Objets d'art succès PORTE-SAINT-MARTIN publique. Exposition la(Nord un juste buffets de gare. diners à 25 francs. C'est la bonne vie avec spectacle, de Kalman (Mary Lewis,Roger TERNES DES Lair-DuPORTÇ Orient. Me' Grillon d'Extrême Le 8 h., 45 du,foyer. Bourdin, Janle Marèze, Robert Allard, Mar03-87 Tél. Etoile comme autrefoisGrâce au flls du père grands et bons Maillot. Métro 30: M. Portier. Flagel PÔTINIERE '(Cent. 80-21 J,à 9 h, bbeuil et Aujourd'hui MATINEE à 14 h. 45 Boivin qui se plalt à répéter « A the Derminy et Rognonl). Qui?, opérette. he Lincoln h. 45 8 ANTOINE (Botzaris 21-00), à l'Ouest rien de nouveau. > SOIREE DE GALA à 20 h. 45 Bourrachon, de L. Doillet (Signoret, Margr. RENAISSANCE (NOrd 37-03), 9 heuDEPLACEMENTS ET VILLEGIATURES avec., un Leclerq, Crémieux, Llnlrys, Dock, res Sex-Appeal.CHAMPS-ELYSEES (Elys. Pierry, direction du Douro nouvelle Jean Gazenave formidable programme nouveau a ^ru Berthier). La STUDIO DES donner mieux lui de Chant du berceau. situer Le pour le à ? heures bon Pierre 72-42), DES ABONNES DE FIGARO (Azémar, successeur dorénavant le ATHENEE (Cent. 82-23;, 8h. 45: T.out. spectateur du Cirque a droit rue où il la de se nom ReJack7 de M. F. de Croisset (Jane l'entrée gratuite à I,una-Park Douro ou THEATRE 'DES ARTS (Wagram 86-03) Marconi, trouve. Le joli et lumineux, Montel, Gravey, nouardt, Blanche' devenu le joli et lumineux Henry-Richard, et P. Etchepare). à 8 h. 30 Salomé. M. le baron d'Astafort, à Kerrando. Une clientèle de gourmets qui aime et est doncSoins tuMt yvOINNC \MLLEE "toucuisine attentifs, THEATRE DES (Marc. DEUX-ANES 10Lincoln. 8 que 45-58), d M. Victor Audras, à Evian-lcs-Bains. BOUFFES-PARISIENS (Gut. C'est cuisine. bonne MniA PCDOR-ANoae connait la ce prix extrêmement revue Merry. Rieux G. moâ 9 h. soignée 26), de J. et et jours (DorPausole Roi ROlAY P4AH60~lE du dans M. le colonel comte d'Astorg, à Nérisretenir Les Aventures attirer et b 30 M. Azémar^ a su cCe. devenir célèDE DIX-HEUPES (Marc. 07etaf^-r LaTHEATRE Germaine pt*ece~ Ce restaurant dérés. Pasqiàll, va restaurant, Francèll, ville, On les-Bains. sonréircontre' Saint-Anne. Jacqueline 11, rue chaque qu'il monde Maurlcet, D.u-fy, Dotimcl. Stvry, du IMuleilc refusera 48) il parce Rébre et de Claude Gosset, Mme la baronne d'Ange d'Astre, au jour des hommes Duclo«, Viviane ypolitiques, des Champsdes MONTROUGE, t~ chic clôtura anmaison THEATRE DE ~ft~Mt~M~ seule ~«~ M« /t~ la plaichâteau de Bourdan. Santés.• artistes pour qui les sera gine Paris et Koval). a*nAtui m '< partir à «PSO^HAÎ" nuelle. l'on CHAMPS-ELYSEES (ElyréKHrUNENT m où manger Elysées unique pourra Victor M. Charles Bernard, à COMEDIE DES Chenkine donnera un sirs de la table ont tout leur prix. AzéB«~. b rt~aé~vr~cl~ob 5'~ 02-10). THEATRE DES TERNES (Wagram frafhe, vingt francs. L'Eau citàl juin, de officielles Mlle Bartholoni, à Margencel. sées 72-42), à 8 h. 45 (valentlne mar n'a-t-il pas, en effet, conservé le de chants dramatisés mardi soir 9 repit'spiitiitions du 03-81. 8 h. Elysées Rocheile. T.: 45: Lincoln. TesH. rue Mme Elisabeth Balletta, à ,Saint*Nomla salle Gaveau. Billets à la salle. de M. Drieu La secret des meilleures spécialités béarGrand-Guignol. Cazeneuve, théâtre du Renoir, P. sier, L. Bogaert, J. raises ? C'est là le secret de son succès J) JTHEATRE 1932 (Danton 8(5-37). & 9 h.. Te ftmeours de Louis Jouvet, R. Bouquet). ÉSfcécital M. le comte G. Baroux, au château et comme cette excellente maison n'a piaaa. Anita O'Cîonnell, avec ° de de Bobards. Marchands OT-36) COMEDIE-CAUmARTIN (Louvre I point de succursale, on s'explique la Georges Boskoff, à la. salle TRIANON-LYRiQUE(riofuri» annuelle). = relâche. jouit. M. de Bataille de Sévignac, à BruxeJelle dont v,ogue 10 juin, à (Pleyîl), le '"mercredi bali.t$6'nlpice),ï. SAINT-OERJBAIN Théâtre cn^tein air, Chopin .FOIRE (PIicc -H.¡¡cAUx>lD1S Edouard-vu, clôture annuelle, te». -• -` an h. 1.0 0 heures'.Ait ^prograrrçmÊ Beethoven. Chos| Jàrraud1 t relâçlje.v. FOLIES-VVAGRAM, Mme Alice Berns, à Vittel. ,0;7 f-J,tL~r~O ? -'«*> Chez l'YmaQier de Notre-Dame (Mile J.iillno AUt. pin,Àtc.. Billetsa la salle et chez les éditeurs.' ~¡\ GAITE-LYRiQUE"(Xrch. 29-20), à « h. Bois-le-Roi. Pierre Bellanger, à Vésinét, lord M. au Mmtfj Léo nytofr Dans le verdoyant Les S«UlJrnbanque8V«Mm'eS1îlené#Pafd, tri;- Mlf; Paul. puiozQl, et M. Jacques Bourceret, à Saint-Germaîna d'un lac, sous les frais ombrages d'un 45 est des Parisiens qui viennent ËUso HiBigaray, Schnéevoigt 'Si.çrid -MM. pianiste Deyaux; célèbre", Laplace, Suzanne en-Laye. le. ren- Saint-Près, Bourdeaux (première représenMontparnasse pour danser, il est des parc le restaurant des Ibis estqui le mercredi récital, unique veudonnera M. G. Bault, à un Parisiens les Autun. im.*imi' gourmets qui viennent pour y bien dez-vous de tous tation, Gaveau. Au reprise). heures, salle à à. proBrosse, juin, Antoine Mme et goûter o ville la io manger depuis que Jarraud a ouvert ses lent fuir les bruits de GRAND-GUIGNOL (Trln. 28-34), à 9 6.: M. Jean Boseher, à Croissy-sur-Seine. gramme.: -Chopin, Schumann, Debussy, etc. portes, 47, boulevard de Montparnasse. en repos sans trop s'éloigner tous les La Disparue, L'Opération, Hantise, Hautot, éditeurs. Billets à la salle* et chez les M. Balli, à Saint-Gratien. Chez Jarraud, vous trouverez, en charmes de la campagne. Un frais et père et fils. M. Marcel. Bellcy, au Touquet-ParisL. de Crémone, effet, dans un cadre où le luxe moderne clair pavillon où l'on est sûr de trouver La" QyESTioN^ des 16-15), &9 heures: GYMNASE (Prov. ï^éaPlage. taxes DANS î,bs. n'exclut pas le confort, la grande cuisine une cuisine parfaite et des vins choisis Ma Cousine de Versovle, de M.. Louis Ver- VeÉs. Lt~fr de MM; Une délégation composée M. Borry. à Bernay. Andrée Ter- Max. Maurey, président de l'AssociatiOa des';•' "':'î. comme il n'en est qu'àParis. Le succès se dresse dans la verdure, loin des pousPopesco, Elvire (Mmes neull Champs-Elysées M. des A. Bujardet père, à Royat. TH. connaît Jarraud prouve que le goût sières de la route et du vacarne. des roy MM, Gustave Gallet et Pierre Ste- directeurs que Aur Paris j Raoul vicomte H. de Belleissuc, au. dothéâtres M. le de de de ta bonne cuisine classique est tou- autos. C'est le relais rêvé en ces beaux pben). dier, représentant la. chambre syndicale des maine de Villelaigue. jours en faveur chez nous. jours pour les gourmets qui aux joies MADELEINE (Anjou 07-09), à 9 heu-tournées de France Montcharmont, repréAVALTER M. Maurice Bottrel, à Viroflay. par table ajoutent volontiers le plai- res Faisons un rêve, de Sacha Guitry; la de sentant la Fédération des théâtres de pror M. Maurice Couturier, à Montfort-sufFranco-Italien sir des JUIN U Et une revue, de Sacha Guitry et A. Wtl-vince Risle. Lussiez, du Syndicat français du k-metz (Sacha Guitry, Yvonne Printemps, cinématographe Charles Carlier, à Lestelle. rèprésenM. Delac, Carton). Marcel Simon, Mlle Pauline M. M. du Crest, à Châtel-Guyon. tant la chambre syndicale du cinématoLes Parisiens ont toujours été MATHURINS (Louvre 49-66), a 9 heu- de Mme Gaston Cousin, à Vichy. Hubert Génin, secrétaire général friands de cuisine italienne et le resde William Selby, comédiegraphe Le Secret res Mlle Marie-Louise Carré, à La Mal'Association des directeurs de .théâtre?. taurant de l'avenue Matignon est deI, t«»l Delance, d'après Edgar WalGeorges de chine. France, et plusieurs autres représentants meuré le rendez-vous de tous les gourDumée, à Bourbon-l'Archambault, Mme mets qui goûtent les raviolis, recher(Gut. 63-30), à 9 heures Cette d'associationsde cinématographe, a été préMICHEL M. Dupouv, à Sorbets. chent les chiantis et estiment comme il Vieille Canaille, comédie Fernand No- sentée hier à M. François Piétri, ministre Mies. Déléamont-Marchal, à Leonardsau. Mme et tartes milanaises. se doit polpetines qui zière (M. Maurice de Féraudy et Jean Mar- du budget. Dietrich, à de M. baron le dirige le restauM. Longchamp La délégation, qui était conduite par M. chat). 0,' Athènes), » ENTIÈREMENT ACRICULTEURS M. le docteur Charles Fidelln, au Montfranco-italien (8, rue MatiMICHODIERE (Richelieu 95-23), l'avenue de d'Etat rant à 8 h. Maurice Petsche, sous-secrétaire PARLANT FRANÇAIS aux Incomplet; L'Athlète heures Dore. heures et 9 traditions !Cut<Sm~e~C~CMn~€&~ee~ 116 CHAMP/- £LY/âl7'^ BORDS tiÉ LA SBINBJ 45: Le Sexe faible, de M. Bourdet (Chel- beaux-arts, a attiré l'attention du ministre 3Nosfératu gnon conserve les bonnes maison LES SUR Pierre Florand, à Etang-la-Villc; M. où le vieille rue de de Chrisculinaires cette nécessité de dégrever les Tel, Boucher, Grumbach, Brasseur. la budget du sur Douai) (61, danse. déjeune. ) ARTISTIC-CINEMA 1 Mme la comtesse de Ferrières, au châOn y dîne. les deux cuisines, celle de Paris et celle On 7 spectacles et lui a demandé d'examiner avec ttane. Delyne et Suzanne Dantès). teau de Morionville. Prix «noiéres de Rome, sont également à l'honneur. MOGADOR (Trin. 43-69), à h. 30 La bienveillance le problème qui a déjà fait David l'enftP. AUBERT-PALACB, Les d« Anges M. le vicomte Henry de France, au Chambres;tt cent pour 1.9 week-end, Vie parisienne, de Meilhac, Halévy et Offen. l'objet de plusieurs entretiens entre les château d'ArrvLES CAPUCINES, Arthur. bach (Max Dearly, O'udart, Urban; J. Mar» présentants du spectacle et le ministre des Ites Vikings plus exquis le La dernière berceuse. Endroit M. Léon Glandaz, au château de CAMEO, nâc, Brégis, Corday, J. Salnt-Bonnet). Parlà beaux-arts, avenue de» environ» de Pari» (118. des Boussy-Saint-Antoiue. t CHAMPS ELYSEES MONTPARNASSE (Danton &9-90), Comdélégation a notamment fait observer Champs Elysées) La -sans ''Téléphone 2t' Le Lieutenant H fallait s'y attendre, les VHtings de3 Chicago, pagnie Gaston-Baty, à 0 heures Beau Da- au ministre du budget que l'industrie du Champs-Elysées, rue de Marignan, conARRIVEES A PARIS gène. PUS' tableaux, de spectacle était surchargée d'impôts et nube rouge, actes, trois 5 jncoti!; juin. En cents, • BLES. comédie de, que COLISEE, J6eh de la tune, Ztmmer. juill-, Mise en scène de Gaston C0 par hushel. • Disp:, Bernard les modalités de perception des différentes M. Achard. à M.' Jules Alriq, MI. Andrieu, Mme De63 7/8 00; déc, a!) 7/8; 60 7/8 à sept., Baiy. taxes auxquelles, elle est assujettie donnaient ELECTRIC-AUBERT-PALACE, La Tampon .1: r NOUVEAUTES (Prov. 52-76), à 8 h. 45: lieu nis Bourrageas, Mme Blandin,M. Bloà de. nombreuses "difficultés.Le ministre du capiston. 'juin. Chicago, En 5 AVOINES. Enlevez-moi!, musique, de. Gabaroche (Gacaille, Mine A. Brun, M. le comte Jean avec son collègue des ntin-Bau- cents, par bl. ELYSEE GAUMONT (rue Quentin-Bau2G 5/8; sept., 27 Juill., barochef El, -de Srëus, Gabriel, Marrot, J. a promis d'étudier, « >; ..UNE REVUE ,T. de Beaufort, Mme la comtesse Costa beaux-arts, les diverses revendicationsqui çhart) Diareëll. 29 5/8. 1/8; dec, Deissj Mary iRichard, Préville).» Bastelica, Mlle Suzanne Clerc, Mme de ERMITAGE (Champs-Elysées), matinée et Chicago, 5 juin.' En cents, la comtesse de Chappedelaine, Mme 45-.Y lui étaient soumises -par les délégués. 8 h. 45 à SEIGLES. 02-50), PALAIS-ROYAL (Gut. soirée Lévy et Cie. La viseôsa, dé Rlp (MM. Tramel et Duvallès, Juin., 37 3/4; sept., 39 5/8; Chantel Joncs, M. le comte R. de CosH. FOUES-DRAMATIQ.UES,Le Chien de Bas- par 1/2. j« 43 déc, George,' P. Faivrèf Mmes Loulou Hégoburu. Mme la baronne de Dommartin, La Société des Amis des artises. de l'Opéra keville, Nanouk. Chicago, juin, i En cents, nac, MAIS. 5 Arletty, Laurent et Franconnay). comtesse I. de Diesbach, Mme le 16 juin, .QAUMONT-THEATRE, David Golder. i sept, 53 J/4; Mme laDelnuech, Jùlli-, recevra ses membres adhérentsl'Opéra. 3/8 bl. PIGALLE, clôture annuelle: par Mme la duchesse de Pierre JMPÉRIAL-PATHE, Madame Satan. beurés, dans la rotonde de déc, 47. ';SAiNT-QEORGES (Trud. 63-47), clôture E. Fouque, M. E. de Fernan-N'unez, M. LUTETIA-PATHE, La Patrouille de l'aube. New-York, 5 juin. En Guillebon, M. Gazel, SUCRES. '•'>; annuelle; M. le capitaine de Juill., 120; sept., SARAH-BERNHARDT (ArclJ. 00-70), à Athénée. Pierre ou Jack ? triom. MADELEINE-CINEMA,de midi à 2 h. 30 cents, par 100 lbs. H. Koechlin Mme matin: Big. Nouae. 128; oct., 132; dec;, 136; janv., 138; mai! vaisseau Godfroj-, S h. 30 Les Tribulations d'un Chinoia en phal succès de M. Francis de Croisset, vient duMARIGNY d'Andiran, Mme comtesse Guy de (permanent) Charlle Chaplln 144; mai, 150. Chine, de MM- Cl. Farfère et Ch. Méré, d'atteindre la ioo°, toujours interprété paï Mme la comtesse de Lur-SaluLeusse, En New- York, 5 juin. CAFES. d'jiprès J. yferne (Maurice' Escande, Renée se? incomparables créateurs. Aujourd'hui, dans les Lumières de la Ville. cents, par lbs. Disp.,6 B/1G; juill., 5 92; ces, M. L.ie Lejoindre. M. Henry MailMARIVAUX-PATHE, matinée et sotrôe Dévillers,' Guorg-es Bever). heures. matinéeà comte Robert Palluat 'de 6 06; oct.,6 08; déc, 6 18; janv., lard, M. sept., Salto Mortale (le Saut mortel). 20;mars, mai, THEATRE DE PARIS (Trinité 20-41), a 6 24; G 25. (i Maitre Albert Parent, M.> le Besset, LES MIRACLES (100, rue Réaumur) 8 11. 30 Ces Messieurs de la Santé, trois 15 Aujourd'hui, à heures, 14" h;, 16 h. 45, 21 h. L'Afrique vous parle. En comte J. de Poret, M. Marcel PinchartCOTONS. Gymnase. New-York, 5 juin. actes' 3e P.-A^ Annont (M. Raimu, Mlle Th. 8 60; cour., 8 46; Deny, Mme la baronne G. de Rôuville, ?de Ma Cousine de Varsovie, la MAX-LINDER, Grook Joue son premier cents, par lb.oct., • Disp., Dorny, filërme; Dlona,Guy Derian, Chàr- matinée 8 90;'d(!c, 9 13 à 9 14; Mme Louis Soebor, Mme la vicomtesse sept., 8 81; célèbre comédie de M. Louis Verneuil, avec film parlé. 44; mai, 9 03. d'Ussel, M. plri.l, etc., et Mlle. Lillan Greùze). et Mme Valèrc-Chochod. Elvire Popesco, Andrée Terroy. MM. MOULIN -ROUGE -CINEMA, Le Roi des janv., 9 25; mars, 9 43 à 9 Mmes TRISTAN-BERNARD(Lab. 21-4 9) clôCHAQUE MOIS 15 DÉ PARAISSANT LES ET Stephen, ÊD'TÎON DU FIGARO Gustave Gallet et Pierre resquilleurs. 5 juin. Nouvelle-Orléans. En cents, ture annuelle, 45: Le d'AuteUll) D.ï-ffon; 14, RonirPiM des Chtmpi-Elyxo, PARIS (VU?) (SI, MOZART -PATHE rue juill., 52 par 29; 8 à 8 54; A LA RELIGIEUSEDEUIL IMMEDIAT 8 (Gtiî. lb, Disp., VARIETES 8 09-92), à fi, RÉCITS DE VOYAGE ROMANS D'AVENTURES. -NOUVELLES. front. 11; janv., au déc, 10 à 9 MieHODiÈRE. Un à 9 Soir 8 87 88; a -h> Aujourd'hui, oct., de, Fiers Air CaiUavet, A. de Robert Rot; de 0. 20; Numéro spécimen sur d»ma»»«I« Noir. g. Ruo Tronchot 32. FlacedolaMadetaloe.I-.AJRI» OLYMPIA-CINEMA, 9.-4.4; mai, 9 Blanc et |» Le 9 mars, et Emmanuel Arène (Jeanne Provost, André matinée de le Sexe faible, la ©agniHque
des
SEMAINE DANS LES SUBVENTIONNES LA
visité. •
v
/
••'•
••
(allemand). 9
.
,jl_ Créations et Reprises cette^semaaine
r
s
'
•.
du
•'
«m*
Le
au
battants).
la
mots. La
Un
•
grande.
']'
II
a
matinée
Mtiste-ilaHs |"afoarets et Cirques En matinée
h.
égal
2 Gatté-Lyrique,
i
Gorenf
DANS PARIS
;• 1
:
'
lot.
2 211.
~wau w-â
fr.
|
i
JÂMET GAYNOR CHARLES FARRELL
i r
lj; tés,
en
LA
45;
Et
T.
30.
3'ïèûres.
mm scieiEîï
j!
bluesij ||
t
i
En soirée
aIL
à
air
En
a
ELYSEE-
a
lï. la
^V^'
l'
du
•
ffarfeEst
à
'•
dent.
~E~~
45
-t danclne..
lie
ils
La
à
8
IZOO'CIRCUS
à
et
GAUMONT
a
a
à
MÇ'eWCàfé
à
Lendemains.
~oa Courrier Musical
oenut/
.TRI/TAN BERNARD^
B
ft
i
HORS PARIS
S'ii
.
JEAN PERIER
*-•
||
,t:1.
pANI
~i-
-*£ 's
hx Notes et Informations Gluck).
Blanc."
la-Bretèche.
•:•
'•
Vichy.
.iâr'
Lundi
yeux. VILLBISNTBS La Pergola
1.
lace.
'•
de
i
de
On
•
g*1-* Chopin
r
A
1~
Cinémas
Vampire.
8
re-
Golder.
Marchés commerciaux
.•
POUR LA
JEUNESSMB5-
..•
6ù
à
3/4.;
'>>
57
à
••.•
le
la
xs
|«
à
50.
LA
VIE
SPORTIVE
^:i^0i3'^EORGE-V
J LA VOILE lont 837, soit 17,5 0/0 ont été mis en ajustage. Ces vérifications ont été effectuées sur Le Bol d'Or dà Cercle de la Voile kilomètres en 39.000 de Paris in parcours de les kilomètres pour 1930 et de 27.000 18 Le départ du deuxième Bol d'Or, or' 1931. l'année mois de premiers juatre qu'on espoirs grands et q' Voile de PaÉ sur elle les plus lganisé par le Cercle de la Meulân,- vers augmenta1931, On constate, une kilomètres en 400 escompte que le cap des < a été donné hier; à tition sensible du pourcentage d'appa-; 1ris, de moyenne sera largement dépassé. 18 heures. qu'en mai Angleterre on ne reste pas inac- re-eils exacts. En effet, alors cette En Huit nations participent des appareils épreuve, Aujourd'hui, à 2 heures, courses à Chan-tif, décidé qu'on est à conserver au i! 1930 71 0/0 seulement l'Anglelesquelles parmi tilly. Gagnants de Figaro exacts, en avril 1931, :]terre, l'Allemagne, Belgique, le Brer Royaume-Uni cette suprématie acquise çc;ontrôlés étaientreconnus fonctiond'un 0/0 été 81 51 ont Chérifien, du Chdteau. Louivitesse sur pure, Le Prix tdans le domaine de la silo Cuba et la France. aement normal. après-midi, terre, sur l'eau et dans les airs. ni à l'angle de la rue Pierre-Charronet de l'avenue George-V za.Prix aura lieu «et t L'arrivée d intenpréoccupe Potiphar, Roi de La voiture de Malcolm Campbell sud'Hédouville. M. Louis Rollin se v 18 heures. 1 contrôle. En Baisant vers sifier encore si aussi profondes ce améliorations, bit de TÉLÉPHONE :-ÉLYSÉES Noirmoutiers, Tawdes Ecuries. Prix ;tat des dispositions prises actuellement 1bien que dans les détails mécaniques que ét riz. le mesures, par le service des poids et les formes extérieures, destinées Pi Prix de Diane. Pearl Cap, Campaspe. dans ( nombre des appareils contrôlés mensuelCommanderle, Gous- ài diminuer la résistance de l'air et à ni Prix de Dangu. lement pourra être porté à 2.500, soit pin. jfaire franchir à ce nouveau bolide des le Les étrangersà Henley Prix de Royaumont. Sésia, Vous Seule.vitesses qui devraient approcher, sinon eienviron 30.000 par an. Les inscriptions étrangères pour les Si les mesures envisagées _ppur: les 4§û kilomèmoyenne dépasser, t innées suivantes par le ministère régates de Henley-sur-Tamise viennent aj SAMT-CLOUD 1 chaque A COURSES elles le sont le l«r juin, être réalisées, d'être closes; Pour piloter cette voiture, on ferait c.<commerce peuvent les rameurs d'Angleterre alors que Divo, dont aappareil distributeur d'hydrocarbure français conducteur appel au ila milieu de l'année 1932, ïusqu'au-19 juin pour s'engager. De ces partir duune et qui visesera, 1 réputation n'est plus à. fairedémonsvisité fois par an, Allerésulte que les effort engagements, au moins serait l'homme d'une semblable ijft très gros mands veulent faire Flying Fox NOtfVELLES DU VOLANT Les tration. Conducteur sûr, réunissant les • challenge grand le le pour remporter, qualités exigées" pour la réalisation' d'un d'aujourd'hui comprend a gloj Là journée trophée le plus ancien et le plus Prince Palatine pareil exploit, Divo peut mener à bien automobile réservé épreuyes. régates.rlèquel est nombreuses ces de d vieux de une aussi délicate entreprise qui serait motocyclistes. première classe. à huit rameurs de équipes Débauche de handicaps Prix Flyingle couronnementd'une belle carrière. nA Genève, Grand Prix des voitures ] se d'âge, effet, quatre Fox, handicap pour chevaux ddés voiturettes, qui réuni 44 engagés. En inscrites pour le« germaines grand a Automobile, sur sont 50.000 francs Prix Prince Palatine, Romé, Prix SPORTIF Grand A les Anglais considèrent comme le« Blue DU francs. CARNET 50.000 LE handicap pour 3 ans, 45 réuni Littorio. qui circuit del ]f le a Riband » du Rowiiig Mondial et,-qui Les handicaps sont à la mode. Nulle Varzi, Dreyune équipe celles de inscriptions dont n'a jamais été gagné pard'elles Foo.tball. raison, d'ailleurs, de le regretter, si les A 15 h., à laPiste Mu- j1 ait atdi Vecchio, etc.. allemande, Faggioli, 1?une bien que poids sont toujours ce qu'ils doiventnicipale, deuxième journée du Tournoi fus, de'Haute-Norniandie, en 1914. Circuit A Rouen; teint la demi-finale être, et si certains concurrents ne sontde l'Exposition Coloniale Urania-Ra- concours qui motocycliste, tourisme Les-equipes allemandes engagées dans de cl sévèrecing C. F. et Wolverhampton-Santander. pas continuellement traités plus inscriptions. réuni le«grand le Berliner Club, 60 a > sont Natation. A 15 h., au Stade Nautiment l'honneur Proque d'autres. Prix Flying Fox, la Circuit de arrivée du Kastereen Club, le Menneheimer A Marseille, Mainz' du En des Tourelles, Championnat de vence, vendonné été que Wannse.Club, le Berliner. dont le départ a Club et la se France scolaires. J. jument Kill Lady, dont son écurie kilomètres 900 LesAllemands ont également engagé dredi et qui comprend sert à. sa guise, a couru sa toute meilA 15 h., à la Croix Cate-d Tennis. dans l'épreuve des Stewards (quatreraleure forme. Cela lui a permis de por-lan, Championnat de France des profes- cenA la Châtre, l'A. C. du Centre meurs première classe), une équipe du demi, seurs. ter.victorieusementses 60 kilos etAbyssicôte Course de disputer la Berliner et une du Mannheim. Enfin, un d j Yachting. A 16 h., à Meulan, arrivée fera et de rendre onze livres à The Francfort, est enL'Automobile Club Lorrain sculler. alemand, com- du Bol d'Or du Cercle de la Voile de dddisputer, le 28 juin, nian. Il faut croire que ces deux poids, une épreuve de gagé pour les Diamond Seuils Edward pétiteurs étaient avantagés au Paris. de Lorraine. PauL sur le circuit Mannheim: car ils ont été seuls à l'arrivée. La troi- Pelote basque. A 14 h., au FrontonvvitesseL'A. l'Ouest d'éditer vient de Berlin et de Les C. de équipes quatre lonà pala était Championnat à de'Paris sième, The Trail, de Paris, VOuest-Touriste,comprenant la descrip- sont parmi les meilleures d'Allemagne il gueurs,, la quatrième, Mirande, à neuf. et au grand l'appui, de 98 itine-, et feront certainement une- excellente ti tion, avec cartes àrépartis Ce fut un handicap espacé. dans lesqua-, exhibition à Henley au commencement touristiques raires ri Un peu plus serré fut le Prix Prince de. torze départements de la zone d'action ti Palatine, où l'on vit un instant à la AUTOMOBILE détaille Les Américains seront représentes itinéraire d'un C. 0. et l'A. d de trois concuritirtêlutte, dans la ligne droite, Loire de la .lans le grand ch^aHeniîe par une étiuipe, châteaux ces sur les sont £ rents. Tapinois céda le premier, et Parleur caGrand Prix de l'A. C. F. Pour le à huit rameurs de l'Université d'HaTr, recommandés raires pour thos finit par régler très nettement pré-, qu'ils yard ^çt,' daiîs.'la Thames Cup (huit et l'intérêt pratique En vue du Grand Prix de l'Automo- ractère r Town Talk, dont il recevait cinq kilos par une seconde classe), rameurs 'ùe. bile Club de France oui se courra à sentent. s le circuit de qui n'a pas| et demi. On attendait mieux de Brusamedi, Discuté équipe cle Tabor Acadcmy, sur le 21 juin, on a procédé, plalant, après son excellent début tout près Montlhéry de. Dublin, Grand; le encore régularisé son inscription. près présence PéPark, M. en de Phcenix F Concorde, de la a donné' de Town Talk. Sans doute avait-il été ce d'Irlande des, 1.500 cmc. Dans. les. Dinmmid scuH^4'AHemftftd-p de la commission spor- Prix arrêté depuis lors dans son travail. En rouse, président Vingt-six con- Edward aura fort à" faire contre l'Auset de plusieurs ljlieu à des luttes sévères. tout cas, il a été un des premiers bat- tive, de M. Longuemarre l'épreuve;: Camp? prirent part à départs currents trnlien Pearce, champion olvmpiaue et c coureurs, au tirage au sort des ravitailtus. Sans accabler personne, ajoutons trouve fil en du «.c'iler professinnnel Hir^ Pear fait un mauvais départ et se h bell à l'attribution des stands de qu'AphroditeIII n'a pas été tout spécia- lement. Resultnts c le cJraTÎiDi^n ni^fert!ionnel Frde suite lnflie tout Li "-s. ce Birr\ des novateurs. 11. A pour objet un cénon plus que LTL 1931 1wtt»i le 21 iui"et 1913, sur lement bien montée,bousculé;; moyenne 3 h 24 m 20 mesures prises, Black. nest rd'autres1 1. ..Piiîs,* parmi lèbre Têntatetftw"«f*les! en êtres- dV: Son r espèce. dap.s Tchàng Ti, deux fois HnrtPiï 3 h. 24 m. 5 s., le pà't-ours de P«tneya MortlaUe, en Rétablissement (Ju ser(:c,e de, wagons-salons 2. réglementation milles 76 relative établit 6 64 au la yontiob; <. on tournant. -J. Trariéux. do i[r<$|«îe do 31 Mai ..|?<~°W « Pullman -t, première et deuxième ©Jasse des «inciirréhts éiV piste, mov. 63 milles 8R • T PiT-lner, 3 h. 4. m 0 s dépassement n entra Paris et Le Croisic Po-vr-ce a^^lt rti udemuidé son ins2 m. 15 s., moj 63 milles 83. des Loges (à vendreauxenchères, On sait que le Grand Prix, empruntant 24 Prix i'»n t'-ois ans avant crioti' n à Hcilm k voitures 1.300 mètres). Gédéon, 1. 7:500' fr., le grand circuit routier et les de wagons-salons « Pullles Ohmn nftesJde112S et sa dciindc 1 1 mil xservice Llano (C.-H. Semblât) roulant comme sur la route, c'est-à-dire il le marquis àdeM.M. prunt-re et deuxième ciase, foncn ->\ ut rns c^ "> ti rc bien ou'il fut Sevadjian (C.- Fran- à droite on 2 Mme Seguin, vire piste tionn sur i Piilic Paris que et le Croisic, du alors Koussar, à M. H. B. Leigh (F. lcntru eneit l'est çois) 3. il rm'ni à i'aller du t"" à définir 27 jin septembre, 13 de gauche important était il au à A'acciO Hervé)..(1 long. 1/2, 1 long. 1/2, 5 long.) à voile vol à école de Une cr ii-i' it suis 11 (J "tion^de Pc^PS, septembre, i 2S 11 au retour. au si les concurrents devaient obligatoirede Pari mutuel à 5 francs (unifié). Gagnant Tiic Inn ip.de 115 du 27 juin En ft't 10m1 »wl e^wil'exemple d'Ànc-io, \n ''cttrre La ville on 50. Placés Gédéon, 6 fr. 50; Mme ment doubler à gauche. d'OrUfr. Paris-quai d ctre do'te der i ihtOk les mr i'enis deau 1. septembre. D > irt de en Seguin, 9 fr. 50; Koussar, 7. francs. C'est cette décision qui l'emporta, ag-Nice, Cannes et Bcvvient nr -i e à Nantes à 22 h. 33; <;j\ a 17ue,h. 01), école de vol à voile. L'intir^t fc,ic-c>r<! •("tiiels dni «nnd cln'f'"ir*e ""itla 13 d'une è Crtisic, 0 40. h. 2.600 mè- gravée de cette sanction qu'en cas h 2 le Prix du itanpir (15.000 francs. Marchand peut ne le I ondon on le llnms. Albert De- RUoiu rapide 116 (du 28 juin faute le conducteur coupable serait mis cd'une pareillevoloi"ini--t!on tres) 1. Prytanée, à M. Emile éminema \ri'« est le soléchapper Lewis qui, é M. celui départ du Ci-O'.sic a à au It sepimbn) (C.-H. Semblât) 2. Dorique, hors course, de même que futurs pidonner à 1 iule Fscoublac à 10 .h. 44; aux 10 11 19, Chànler (L. Robson); 3. Alcibiade, à M. licité, s'obstinerait à ne pas livrer le ment ii propre t Arrivée à Paris-qua; Nantes 1S h. 41. à Ed. Jonas (M. Pecqueux) (1 long., 1/2, passage. Si, de prime abord, cette façon 1lotes d'avions le sens de ESCRiME nouvelle école est dirigée par 1 long. 1/2, 1 long.) Cette il est logique, comme cependant, apparaît voir de Location des places à la gare de ParisPari mutuel à 5 francs (unifie). Gagnant Bonnome, assisté de M. 1 où, involontairement l'ingénieur qu n <10ruï, a l'agence de la Compagnie 29 fr. 50. Placés Prytanée, 12 fr. 50; Do- des cas, Ignace Appietto. avoir 1 peut esprit, mauvais Hongrois remportent ne on et d O Lin^ ld bou tvavd des Capucines. rique, 8 francs. sans le pidirigée L'instruction par Disquainverse. sera Championnat sa.bre manœuvre de recours à la le d'Europe a us qucelles de la Compagnie des WaPrix de Caen (10.000 fr., 1.600 mètres). pilotes 1lote Vi;ïouroux, aidé des deux tenant malgré s'en gpns-Lits. tout lifiera-t-on en (F. Les Hongrois ont en'evé les deux ti1. Huchet, à M. A. Schwob Hervé) à la lettre du règlement ? -Ce seraitMinighetti 3 et Santoni. 3. Lvsure, à M. A. Deleau (C.-H. Semblât); initres (équipes et individuel) des chamIl 'convient de louer l'heureuse conducteurs 3. Ëïima, à M- H. I.'Huillier (C. Bouillon) manquer de justice et de logique. pionnats d'Europe da sabre. réalisée à le départ tiative prendront t 3 long., 1 long.) Les (1 long., (Pil- Les Par équipes, l'équipe hongroise croisas-Enigmes Gagnant l'ordre suivant Pari mutuel à 5 francs (unifie). dans Kabos) a faAERIENNES Gerèyitch, NOUVELLES ler, Pètschauer, 14 fr.; Lysure, Huchet; Placés 25 francs. cilement battu l'équipe italienne par 9 2. Scott (Delage) 4. Minoia (Alfa RoECLAIRCISSEMENTS 17. f r..50. anglais l'air de 10. ministère anDon Le Kaye 8. Givaudan meo) 6. a pris la seL'Allemagne victoires à 5: IV. « Nana », roman Horizontalement. Prix Fluinq-Fox (handicap, 50.000 francs, Fagioli 12. Dunfee 14. Monteiro le chef d'escadrille Cayford conde que nonce (1 l'Autriche. place devant (Alfa naturaliste. Guth18. d efl'école à M. S. de chef de Lady, Zola, 2.100 mètres). 1. Kill Campari 16. Dribus (Peugeot) individuel, c'est et le lieutenant Be.tt essaieront » (onc). championnat jamais à le Dans Problème du 7 Juin tard Mieux VI. vaut que mann (W. Sibbritt); 2. The Ahyssinian, « prochain, le volcans Piller, The 22. d'Arnoux l'automne Dreyfus f fectuer, 20. Romeo) prépaà déjà sert Brethès); 3. Hongrie, 3. Le tan champion de et Verticalement. M. A. K. Macomber (R. Londres-Le Cap ou Ceylan. Leur Ivanowsky escale 26. (Peugeot) Servict de luxe extra-rapide pour donc à Ferrant utile 24. être (courte pourrait Semblat) e il les cuirs: (C.-H. qui champion d'Europe, Trajl, à M. L.Hoyt rer son conserve réservoir énorme muni d'un 32. Chiron; appareil L'Eus, Howe sera NEW'YÛRK a ceux qui en font. en parlant. de5. encolure, 3 long., 4 long.)(unifié). Gagnant 28; Divo 30. Lord de titre. chance 36. Sénéchalàl essence,- d'une capacité de plus auaffluent Danube, du rencona Pari mutuel à 5 francs Lady, 12 fr. 50 34. Eminente-Bpurlier finale Voici le classement de la 38. Wimille-Gaupillat Kill 4 4.000 litres, ainsi que d'un système trer sur ses bords le paysan du Danube; Ailée) 40 francs. Placés (Etoile (Hongrie) 2. Kabos (Hon1. Piller 50. destiné Robot OO^ITIE GRftNDE pilote 7. Ra nom du soleil chez les Egyptiens Nuvolari dit The Abyssinian, 10 f. 50; The Tvail, 9 f. Varzi tbmatique t>, 44. 42. t « 40. Birkin Pètschauer (Hongrie) 3. grie) oser), qui savent vol (ceux audacieux Aux l'avion de contrôle « 48. le en (H.); 50.000 46. Biondetti ài assurer (Alfa Roméo) Prix Prince-Palatine (handicap, Parthos, à de Gênes, 12 juin (Allemagne)5. Gereviîch 8. Lia épousa Jacob, qui la 'fortune. » M. sato (Alfa Romeo) d'alléger la tâche de l'aviat?ur. Casmir 1. 50. Grimaldi 52. en (Viiieir.), 12 juin francs, 2.000 mètres). Chevalier); qui; t vue pctiic 7. Gaudini fit.), 6. Ans?lmi (It.) avait vendu à son frère Esaû une ,<ij. ut de Napîes, 13 juin 2. Town Lehoux-Etancelin 19° session de la commission tira. Williams-DuA K Macomber (J. (E. Chancelier); 54. blessure, quantité exigé avait comme de lentilles et malgré le handicap de sa 3. la navigation aérienTalk, à M. H. Randon Çaracciola 60. internationale i i prix tout son héritage. Brisson 11. « A bon 58. sur 56. fleuret de Gibraltar, 15 juin ray Marzi; (Italie). 8. Tapinois, (3/4 Rabbe) (A. Londres. au s'ésf'j terminée à vendredi à Mile J. Davies entendeur, 1 »• R.'D. (Delage). salut ne Williams i CONTE BIArcCfôlViaNO de long., 2 long., 3 long.)(unifié). Gagnant 1 II discours qu'il dans procédé' au tirage Macdonald, M. un également été a AUX 'PIGEÇNS Pari mutuel à 5 francs de Gênes,3 juillet de clôture, a souParthos. 12 fr. 50; au sort-des stapds de ravitaillement a£ prononcé à la séance la RHUME (Villefranche) 3 juill. Nice 41 francs. Placé* ES de FOINS navigation aéPharm. 1lignél'importance de Town Talk, 14 fr.; Tapinois, 12 francs. 4 juillet, ont été affectés comme suit Naples, de rapide, notice. internationa, Guérisori relations les rienne dans Romeo Alfa Commissaires mètres). 2-3. 71, 6 juillet. Boulogne Gibraltar, de 1. i Au Bois de PHx du Saussaq (12.500 fr., 1.500 Saint-Michel, Bd St-Michcl. des a félicité commission la pro5-6.' CaracciolaDon 1 les Pesato-Kaye et (G. DuCandidat, Iran! grès^'tSljMs. AMERIQUE à M. E. DU SUD 1. Mon Mavromich 4. Vendredi 5- iuin,:Grand Handicap Ivanowski 7. Ferrant-Stoff^l 8. Re-i forez) 2. Marimate,à M. P. K. • Salverte 21 sur 21 1. Comte de 11. Dunfee- La vingtième session. aura lieu à Pa- 2. 9-10. Bugatti (M. Florentin); 3. Pour le Roi, à M. E. Mar- pusseau SA'.GE.FEIMH~lt'. r'[!.raE!i.[ëMraiH M. Kube et 3. 21 long., Robillot 20 2 i'our Rio en 11 Jours 1/1 sur mai ris en chand (E..Chancelier) (encolure, Lehoux-Wimille Dun13. Brisson 12. i LilillIL COHSULTAÎIOKS DE • il 5 On wfc de I transportées sur 5. Comte 18 19 Delaporte Bnenos-Afres lettres par en 13 jours long, 1/2). Nombre de a Pari 16. Spidoléine lop 14-15. Maserati18.Scott j Talhouet, Sela 15. Aéropostale 14 mutuel à 5 francs (unifié). Gagnant Compagnie -Mi'.i.FinslHoiii pour sur jtaifhtîiiHnn CONTE VEHDE 1 19. d'Ar-la iGHSliDI! rnn')n>)<r.tiiroiiin<' rOliaflfl Rez-de-chaussée& droite 17. Birkin-Sénéchal Mon Candidat, 13 fr. 36 .fr. 50. Placés 1931 mai 31 25 du maine Howe-Wilau de Gênes, 19 juin noux-Givaudan 20. Lord i France- AiMarimate, 18 Le Tournoi de San Remo 119.198 France-Maroc Monteiro 22. de Nice (Villefr.), 19 juin 21. Grimaldi liams 666 Frnnce'-Espagne troisième 23.422 deuxième série' Résultats des et de Barcelone, 20 juin. • meilleurs médicaments CONCOURS HIPPIQUE Chanpion. journées France A. 0. F. 15.SD3 France-AméIl CONTE VERDE Amérique du Prix de la Société San-Rémoise 1. Le Grand Prix de la F.I.C.M. rique du Sud19.429 Total trou vent 207.039 se la Elle I. de^Gênes, 6 août. Horizontalement. provoque 28.521. JeanLurkin (Beigique), 15 sur 15 iSud-France lie Tournoi de Lyon-Charbonnières Feras U. (Villefranche), 6 août conseil. comNice d'un PHARMACIE de L'Union motocycliste de France a j nomination NORMAL! LA A 2. Rossini et del Gratta, 14 sur 15. III. Pronom; viseur maladroit. Barcelone, 7 août. de engagés des qui réusliste dressé la première un L'aviateur anglais Scott, Poule Fédérale Guastàlla (Italie), me LaSociété hippique de Lyon-CharMultiplié IV. acteur. Eprouvé de un repar Drouot Grand Prix 19, 17 et au 11 sur 12. sit récemment à établir un nouveau bonnières présidée avec une haute appelés à participer rue Agents Centraux dix, signale lafin prochaine d un par Clubs j batdes internationale Angleterre-Australie, amabilité Fédération septennat; la Puglisi, 15 1. S. exquise aérien a Impéria sur Prix récit; cord une pieux compétence etPremier mot d'un LLOYD SABAUDO iFrance) qui se disputera, vol de retour. Il 15 2. Gnorii, 14 sur 15. tu son record pour le vendredi 45 kilomètres en Haute-Bretagne. par M. Jôannès Villard, ayantà ses co- motocyclistes,l'autodrome Parcourt Montlhéry.. soir PARIS, 13, rue Auter de Paris. V, Pronom; Manifestèrent leur préfétés M. de Clavières et Streichenberger, 28 juin, sur comprend vingt-sept Imprimerie de Figaro a, en effet, atterri Frantz-Reicheh noms, une des sept merVI. Il sculpta Cette liste après avoir accompli en onze ] Lympne, 14. Rond-Poiat des Champs-tilysêes rence. Onéra 03-49 a donne jeudi sa première réunion inrentrai S3-fi4 Ancienne moi::<aic. anglais, monde; j LONI1RES 32, du Australie-Angleterre. veilles principaux dont 'les vol coureurs »ktut Haymarket, S.W.I. ternationale. yil." Indique deux d:rections; Désigne un L'Imnrimeur-Qéranl internatio-jours le Relations rapides de Paris 47. Elle fut en tous points réussie, la habitués des grands prix BERLIN den Linden Unter entre Permet à un sot de briller Papier des Papeteries Navarre avec les plages nantaises et la Bretagne prince; température était idéale, l'assistance élé- naux, quelques pilotes belges, une marPréfixe; TENNIS la VIII. poire et le fromage. marque italienne Céleste plantigrade qui eut un loup pour gante et nombreuse, la lutte fut ma- que allemande, une deuxième classe (Première et et père,; ix. Un consul refusa les siens à gnifique entre quelques grandes écuries et de très rares représentants de la zone europiêeiuio «' pour la Pour du 27 juin à partir Rétablissement, écuries loconstruction française. Deux lettres de « Tibère »; son- ppvs c'est t'endroit parisiennes et les excellentes 105 DE GOI.P, /a^ JOUEURS Coupe Davis train 1931, rapide octobre du la de jusqu'au 3 X. II fut conïïk TB W- ELI £T vous.Prix de pension à part, de "B.x,;t\ 70 d'un réseau. On ne peut que regretter l'abstendirectes Initiales Paris-le-Croisic », avec vo. turcs Dé« immense; finalement damné, à fardeau l'industrie porter Tchécoslovaquie Paris-Quimà i représentants de un tion La a dès de Charbonnières HOTEL ET Dans lé Prix première et deuxième classe « 1triomphé signe, dans le titre d'un pamphlet, l'ami de l'Italie par 5 victoires^à Q. per Départ de Paris-quai d'Orsay l'américaine, neuf chevaux parvinrent française qui n'aura, dans cette imà 9 h. 45; XI. Se dit passager d'une romancière. les deux v" ordre. Grande piscine. Golf réputé. minutes de 25 à portante compétition que cinq cou- Après leur triple défaite dans d'une note Souà franchir enIlstrois fait sursauter; (LAC ircnxl.'> qui (LAC de LUCBRîfl!/) BRUSilSEN Ti»,»™», vous SUR double,les Baule-Escoùdans le à Nantes à 15 h. 18; la Tennis. Garasse. arrivée Goyon premiers simples et furent ainsi classes reurs Debaisieux, sur Monet 28 obstacles. tenue publiquement par un futur docteur. le Croise à h. 35. 17 pour, la 17 h. 11; blac à forfait l'équipe des Italiens déclaré ont ex »quo. Fanfan la Tulipe, Diaman- Lemasson, sur Alcyon, et ^(traiq 103)-; Verticalement. Départ de Nantes à 15 h, 42; est participation Castries, Jonghi. Cette de dernière Suivies par des per1. Proféré comte trois Concarneau iine et Albano, au 19 h. Quiberon à arrivée à suite l'Angleterre, à la développesonnes pieuses. cette belle D'autre 2. part égard de insuffisante par des coufélicité vivement Quimper qui fut au k 21 h. 20 h. 18. deuxième reurs épuisés. 3. Phonétiquement eu qualification prola acquis Pichoiserie, années, sa pris, ces dernières double, la directes et ment première de par du Mlle Voitures performance,: et 1.300m. OBERLAND BERNOIS (SUISSE) un méReprésente enlèvement; à céder un 4. ïait victoires à classe Paris-1'e-Ooisie et Paris-Quimper. tal léger.– au comte d'Àuber de Peyrelongue .o. construction motocycliste française. par 3 résultat troudéclaration; S'apune de ce double1- été le sui- i Wagori-reslaararif Poris-le-Croisic. Le Sentenz, à M..P. Lederlin, montée par Il n'y a pas si longtemps, on pose de la lumière. au rayonnement septembre, au 13 du 27 juin b. FarquharsonAccélération, œquo Rosette vait, pour lutter contre la construction vant Perry-Hughes coquetM. H. de Royer redouté exmonté Qualifie -un outrage 5. du. train rapide 115 (première et deuxième tes^ *r-i6.'jMiUJvaÀs clients-pour des ~t par M. britannique, -'bon nombre dès -nôtres Spënce, 8-6, «-4, 6-3. )jt~t >r un .taill.e,u,r. XIV,- à rM. P. Lederlin, Ma)«om de fttftti~ de tout tfi'emfer ordre 'ij c{ane).¡¡ t Domine une» .tombe anonyme Dans -''«'- ? 7-- D£pa!rt de Parisquaid'Orsay à 17: h..15 Flandre orientale. ; Royer, et Tartarine, au comte pour' défendre le pavillon national., H. Vue inCOmp9cab3e'- Pl~('1ne de 8. Donné à un d'Àuber de Peyrelongue 8..Ciboulette, Mais, aujourd'hui, c'est' iinê T carence Bains''de.a.alMjL 17, heures)!; Orléans 18\ h. ,36. la Bar Orchestre KjK/L,f de ;tau lieu •vc.çi'.ijc jSjrlvêe àl'es à Nfis par Sâumilr22 à 20 h. ~5a2n,~ 52 Angers Angers âà violoniste; cultivée "par un plaisantin. c.K' ceux qui, en <• S~"1fi,rà montée ï~ -~int-Germâiri -y} h. coiriplètë "de Terrasse Saint-Seine; -de part la de comte au Gudin de .Vallerin 9. Vol au Vent, fl h. 26; la-Baule-Escoublac un h. 38;Saint-Nazaire 9. Mettras 10. en quarantaine; Parallèle àinvoont donné Prix de pension, depuis Frs::frÏl3S. a M. tant de circonstances, nous et A Salnt-Germâin auteur A Phonétiquement, canal. le 23 0 h. 23; h. 46; leur de M. Lederlin, monté par à:M. P. des preuves de leur savoir lontaire d'un conflit épique; méprisés par Résultats des médailles mensuelles,'Croisic O-hipouvoir. U'U~~ L-i.ü2~ Si, à la clôture, à droits doubles, la dames Le Prix de Lyon intéressa vivement 1» Mme 'J. le, public, il se courut en puissance pro- situation ne s'est pas modifiée, nous Première série A. à une Nouel D. Lavigne 2. Mlle à Montlhéry gressive sur quatre obstacles de 1 mè- assisterons (15), 77 chevaux étrangère. qui Quennouelle' victoire Ce Dix-sept (8), rem. 60. quadruple à 1 ne tre 30 3. Mme G. 79 vinrent au barrage et six d'entre eux sera pas fait pour rehausser notre (9) 81 4. Mlle L. Herman (9), 83 5. Mlle parvinrent à franchir un mur de sal- prestige et le renom de notre indus- M. Lavigne (8), T Mme_-J. zamoggiore à 1 m. 60 et une barre de trie. .1. série B. Première 2. Mme P; SaSpa à 1 m. 70. Ils furent classés preVoici la liste des engagés Salmson (20), 76 P. M. Vent, à Vol au miers ex œquo (17), 82. Classe 175 cmc. Excelsior J. A. P. voye Deuxième Lederlin, monté par M. Henry de Mlle Corbière 1. série. K. W. (Ivan D. Fernihough) C. (E. Loame BohéM. à Royer Caprice, 2. Mme Lengelle (26), De(27), 77 mien, à M. Gudin de Vallerin Zed, à Goor).Classe 250 cnic. Nouel (26), 78 4. Mme Guzzi (Peddy 3. Mme P. Amon II, à MM. Plantier et •Tohnston) M. Balay La tenante Excelsior J. A. P. (L. C. sagnat (26), 82.de Séguin, monté par M. Tourné, et Mou1920 (Mme P. Cani(Graham Rudge-Whitworth Crabtree) monté Guigou, lin sous Touvent, à M> la Géo L. Boudin (X.) vet) et les sept meilleures cartes de W. Walker) par M. Audras. juin médaille de première série de la Excelsior (S. A.'Crabtree). Deux épreuves réservées aux débutants (Stanley 1 Norton sont qualifiées pour' jouer la Coupe complétaient le programme. En voici Classe 350 cmc. F. N. II (Handley W. L.) Woods) lés lauréats. Prix des Habits Rouges Rénier H. Davenport) L'Américain T. Armour gagne 1. Elégant, à MM. Plantier et Séguin, Soyer 1 (L. Rudge-Whitworth (G. E II M. Fakir; (Vélocette) à monté par M. Tourné M. le Championnat ouvert d'Angleterre II Jonghi 1 Jonghi Nott) Boureau II, de Rovira, monté par un joueur américain, T. Arà (X.) Jonghi 111 (X.) F. A. Long- C'estqui capitaine, à M. Audras 4. Amon à Carnousa remporté jeudi, mourle Championnat MM. Plantier et Séguin, monté par M. man (Vélocette). international ouNorton II (J. H. tie, Classe 500 cmc. Tourné 5. Sweep, au comte d'Auber de vert Clairon, à M. Preisat, Simpson)(W. Norton III (Percy Hunt) Pevrelongue Après des débuts particulièrement K. SuHandley) à Dynamie, L. 7. N. 1 F. Audras M. brillants, les joueurs anglais commimonté parmonté Mo,netSimcock) Me 8. A. (E. Ladoux Jap M. M. Gillet, preme (Debaisieuxi par rent de nombreuseserreurs. (C. J. II Soyer Goyon Voilà, à M. Claire. Voici les résultats définitifs MoIII (A. T^ler) Soyer William) 7,3,. 75 77, 71 Prix de la Tour de Salvagny (offiche I (J. Scerwic) Mot°s.a.c.?- 1. T. Armour. (U. S.), 76, 71, 1. Cabine, au lieutenant Bou- tosacoche ciers). (Argentina), Rudge-Whit2. J. Jurado 296 II (C. Dodson) Udine, au lieutenant Metzin74, (Berlin), reau Coquette, P.,Alliss Al- 73, 77 297 3. lieutenant Roux worth III (H. G. Tyrel-Smith) i>.), (U. au G. Sarazen 78 73, 73 298, et au lieute- cyon (Lemasson)'. de Bézieux 4. Rossinante, vétérinaire 75/73 74 5.76, Boureau 5. Focker, au Smith (U. S.), J.^ Farnant Macdonald distributeurs contrôle «Ses appareils sous-lieutenant Lauzete 6. Unifié, au Hl Davies (Walrell (U. S.), 299 7. W. sous-lieutenant de La Simonne 7. Ver Churio XArgentina), 300 9. A. J.M.Lacey Le ministère du commerce commu- lasey), Luisant, au lieutenant du Plantier. (Selsdon Park), 301 Park), A. U Reyor. nique la note 10. H. Cotton (Langley du ministère arrivée au 12, HorDepuis son Lodge),. 302 Havers (Sandy (Argentma), de l'industrie, M. Louisfon et commerce (U. S.), T: Genta Smith d'étendre et d inDivo. et tes records de vitesse Rollin s'est préoccupé (Notts), G. T. Williamspn. Mitchell A. tensifier le contrôle et la .Vérification Faulkner (Bramley), 303 17. \V. G. d'essence. distributeurs (Parkdes appareils (Fulwell), R. A.. Whitçombe Oke environ de 50.000 apces (Saint-Germain), sait que pas On se préoccupe, actuellement, nonhaut • stone), M, Dallemagne 2}. F. Robson pareils sont actuellement installés, sur malheureusement, en (U. S.), 304 car, France, en dans les garages, pour leW. HunterBeach); et qui lies routes l'intérêt comprend pas A. Boomer (Saintlieu on ne Des me- (Cooden automobiles. des Whitçorabe ravitaillement mais démonstration, 23. E. R. s'attache à pareille Cloud), 306 d'autre s'imposaient, genre ce de Park), eh Angleterre et en Australie, de mettresures particulière, à(Meyrick L. Holland (Gerrafds urgence une capable part, avec l'année Seymour, W. T. Twine au point une voiture spéciale où se manifeste lal Cross), M. de grande l'époque plus la 27.J. Kirkde limitas Bickley), 307 les de.recùler (Bromley grande activité touristique. (Chigwell), (U. vitesse et de battre le record du monde ulus B. Hodson S.), Avtc l'aide de voitures automobiles wood Old), établi par Malcolm Campbell avec les Annes Rodaers (St spécialement pour ce contrôle,308 29. P. H. A. .G. Hill), fameux 372 kil. de moyenne horaire équipées et mesures a visité, A. Compston (Coombe poids service des ) le Dayton de E. W. -H. plage piste réalisés sur la appareils dont 799, soit Whitcombe (Crews Hill),33. G. Duncn 1930, 3.832 Beach en Floride. lieu à mise en répa- Kenyon (West Lancs), 309 i=21 0/0, ont donné La voiture de l'Australien Normann can; 312 34: S. Easterbrook (KnoWle), coustrucactuellement, en dernière-Pendant les quatre premiers mois de Mr Lister Hartley (Chislehurst), A. Smith est, présentée l'avons °-' tion. Nous r"aa 1931. 4.742 appareils ont été contrôles, Bo3-er (Nice), 313.
Courses à Chantilly
Trèfle.
la
J
et
de>*
du
'-
45, RUE
PIERRE-CHARRON 69-03
ont
il
i
j et • et•
que
•
trois étapes.
fait
d'Ars.
de
chistera.
iiiiljet.
,-•
le
l
AVIRON
la tres.
Prix
à
et
j
.'i' i s
àv
aI'TÔn
'e mai caur
a
de
I'ti
I'i
In à |u
i
ii*
dOsn
Ajaccio.
a 21 luures
lots
LLOYD SÂBAUDO
•
Pe-
4.
La
qui
TIR
t)
1932..
I
francs.
cales. 1
"» journée.
,•
'
6.
a
-'"
de
j
à
•
•
Les
lettres.
le
Koyer.
0..
1
- i:'M rr\rv
Pasteur.
(X.)
6.
2. ger3.
0.
1 Le
d'Angleterre. 298
d'essence
suivante
On î
ration.
'•
46.
1 FâME
i
WWt~lf
•?..
V
84..
s.
AÂkUrCLd iT I GRAND
il;
77
2.
fc.
~1~
TFtHT
t
t
'~M~Ki'Ah't~i~tM'
Ma~n~,gm~QIltk.