Le Journal Officiel de Madagascar et Dépendances du 05/09/1900

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Journal officiel de Madagascar et dÊpendances Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque Interuniversitaire Cujas


Madagascar. Journal officiel de Madagascar et dépendances. 1900/09/05.

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17# Année. — N. S. — N* 53$

Mercredi, 5 Septembre

JOURNAL

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un dévouement et une énergie de chaque instant. Ils auront l'honneur d'avoir contibué à faire Partie Officielle disparaître de ce pays le mode barbare et onéreux du portageà dos d'homme. ARRÊT'GÉNÉRAL 334TE déterminant les attributions respectives des Il cite plus particulièrement: bureaux du GouvernementGénéral. AI\. Tt MM. nommant M. David, chef de bureau hors cadre du Ministèredes Colonies,aux foncLe colonel Winckel-Mayer, de l'infanterie tions dadjoint au Secrétaire Général du de marine: GouvenlementGénéral. AI\ aEn: nommantdes « Mis à la tête du territoire des Betsimisachefs de bureau du Gouvernement Général. raka du Sud, avec autorité sur tous les services AIl. ÊE concernant ARRÊT^ le service de la presse et des civils et militaires, et mission de pousser actirenseignements. vement les travaux de la route, il a su, grâce à ArrêtéKorganisant le service de la voirie munici- ses éminentes qualités de chef et d'administraà Tamatave. pale A1\ ARRÈT* E installant à Tananarive un réseau confiance aux populations et les teur, inspirer télépho- faire l)' nique privé. participer aux travaux. A imprimé aux 1292(Etat-Major). chantiers une grande activité, tout en mainteCCISION CULAIRE au sujet de l'attribution*dela protection nant dans d'excellentes conditions l'état sanifrançaIse à des étrangers. f'x taire des travailleurs ». MUTATIONS. DOMINATIONS, klTsl Le lieutenant-colonel du génie Strauss, Gl\A}UŒS DEPARIS. directeur du génie et des travaux publics p. i., « qui, après avoir participé a l'exécution des Partie nen OrOeiclle travaux en qualité de chef du génie de Tanaen a assuré la direction technique en narive, OUVXLLES ET INFORMATIONS. — FÊTESDONNÉES A l'absence du directeur titulaire, avec une unité TANANARIVE A L'OCCASION DU RETOUR DU — L'HÔPITAL GOUVERNEUR GÉNÉRAL. DESOA- de vues et une méthode remarquables». — MISSION — REN- Les chefs de bataillon de l'infanterie de VINANDRIANA. JACQUEREZ. — VARIÉTÉS. SEIGNEMENTS ÉCONOMIQUES. chef du district d'Andovomarine Mondon, — — DONSDESSOCIÉREUTER. commandant le cercle de TÉLÉGRAMMES Bremaud, ranto,et — TÉSD'ASSISTANCE.AVIS D'ADJUDICATION Moramanga, les capitaines d'infanterie de maPUBUQUE. rine Sylvestre, adjoint au commandant du territoire, Wemel, chef du district de Beforona, Lapeyre et Salvat, chefs du district cercle d'Ano sibe, Labarsouque, co mma n d an 11e ARTIH OFFICIELLE d'Ambatondrazaka, les administrateurs-adjoints Demortièreet Dubosc-Taret, chefs du district du district de de chef Chessé, Vatomandry, ORDRE GÉNÉRAL 334 UU\Tl!l\loIRIlfEN'I' l des affaires civiles Martin, Mahanoro, l'adjoint b- « qui ont secondé le commandant du territoire Son voyage de retour en Imerina, et ont été ses interprètes intelligents et dévoués ant Générdl a constaté les excellents auprès des populationsM. GouvP cOQstats bten118 depuis quinze mois dans la de bataillon de l'infanterie de chef marine Le la route de Mahatsara à Tanac°nstrnpt 1 ^e e. Leblanc., commandant le cercle de Manjakan« qui a fait procéder à de nombreuses driana, tracée, bien construite, nor- améliorations à la route dans la traversée de ement - men t e ntretentie, la route, dans ses par- sa circonscription ». l'es.thevees, livre un passage facile aux voituLe capitaine du génie Refroigney, chef du res. les automobiles dan leiquels le Gouver« qui, pendant plus de de Moramanga, trajet l'ont aisément »eur eral a effectué le génie ans, a conduit avee une réelle distinction deux sur 70 de la route kilomètres de chantiers les dont les travaux sont conduhon méthodique franA notamment le un exécuté, pour sûr la longueur. garant que partie l'esteà.s est qui chissement des la de Mandraka, malgré gorges terminée. te GConstrUiresera rapidement du climat,un travail du terrain et les difficultés Général une fois de Le il Olveneur tient, son nom restera attachés. sa auquel aux satisfaction officiers remarquable et fonctemolgner hommes de troupe, surveilLes capitaines du génie Caloni et Almand, de troupe, stirveil*et Ctinnaires, hommes la ts , Viriers qui ont participé à ce travail, chefs du génie à Beforona, « qui ont poursuivi t les txecutlOn, rendue difficile par la nature et amélioré l'œuvre de leurs prédécesseurs ». du terrain, l'insalubrité et les te sdues Les capitaines du génie Ferrand, Plourin, climat, ont nécessité de tous Girod, Lévy, Dewulf,Périnet, Belhague,SifSOMMAIRE

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fray; les officiers d'administration du génie Sampré, Durand, Porsain, Kernevès et Ramillon; les conducteurs Vidaud, Zannettiet Mareuit, et les commisAutechaua et Jacquet, « qui ont apporté toute leur énergieetleurintelligence à seconder les chefs du génie dans; l'exécution des travaux et ont fait preuve, en toute circonstance, du plus grand dévouement. Le docteur Lallour, médecin de lre classe de la marine, «qui a assuré le service médical des chantiers avec le plus grand dévouement et obtenu à cet égard les meilleurs résultats H. Les adjudants Lavilledieu, Fracque et Détrie, les sergents Barathon, Seyte, Denogent, Rouhier, Valéry, Moncoucut, Beau, Elouard, Armaing, Mousset, les caporaux Velot, Benard et Louvet, du 2e régiment du génie, le soldat Lampé, de la légion étrangère, le soldat Gladel, du 13®régiment d'infanterie de marine, «auxiliaires dévoués des officiers chefs de chantiers ». Un exemplaire du présent ordre sera remis à chacun des officiers, des conducteurs, commis, sous-officiers et caporaux qui y sont dénommés. Tananarive, leier Septembre 1900. GALLIENI. GOUVERNEMENT ARRÊTÉ fiRNÉRAL déterminant les attributions des bureaux du Gouverrespectives nement Général. Le Général commandant en chef du Corps d'occupation et Gouverneur Général de Madagascar et Dépendances, Vu les décrets des li décembre 1895et 30juillet 1897 4 Yu l'arrêté du 19 novembre 1899, portant réordes bureaux du Secrétariat Général du ganisation GouvernementGénéral de Madagascar et Dépendances; Considérant qu'il ya lieu d'apporter à l'organisation actuelledes bureaux du GouvernementGénéral certaines modificationsreconnues nécessaires ; Sur la proposition du Secrétaire Général, Arrête: ART.Ier. — Les attributions respectives des bureaux du Gouvernement Général de Madagascar et Dépendances sont déterminées ainsi qu'il suit: Cabinet du Secrétaire Général et répartition des corresponEnregistrement dances à l'arrivée, visa des correspondances au départ. Conspil d'administration et conseil du contentieux administratif. Promulgation des lois et décrets. Archives confidentielles.


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1er BUREAU Affaires administratives, politiques et indigènes (A) Préparation du budget de la Colonie. Examen des rôles de perception des impôts et présentation a l'approbation du conseil d'administration. Statistique du recouvrement des impôts. Service judiciaire. — Travaux publics et bâtiments civils, postes, télégraphes et téléphones. — Trésor. — Police et service pénitentiaire. - - Imprimeries officielles. — Service et police sanitaires. — Garde civile indigène. — Gendarmerie. Administration communale. -—Examen des , budgets et comptes municipaux. Affaires politiques et indigènes. — Enseignement. — Cultes. — Recensement. — Personnel administratif indigène. —- Impôts indigènes.— Justice indigène. —Indigénat.— Main-d'œuvre indigène. —Assistance médicale indigène. — Etat civil des indigènes. 20 BUREAU Personnel (B) Personnel des services civils: Tenue des contrôles, visa des ordres de route à l'arrivée et au départ, établissement et visa des billets d'hôpital, transport du personnel. — Demandes d'emplois. — Actes de l'état civil. --- Procédure de naturalisation. — Légalisation des actes dressés dans la Colonie. — Successions vacantes. — Recherches dans l'intérêt des familles. — Exhumations. — Archives.—Bibliothèque. 3e BUREAU Commerce.-- Industrie, —Colonisation (C) Domaines. — Service topographique. — Concessions.— Colonisation militaire. — Mines.-Forêts. — Agriculture. — Jardins d'essais. — Haras. — Chambres de commerce et chambres consultatives.—Ecoles professionnelles.--Poid s et mesures. — Régime monétaire. — Douane, Tarifs douaniers. — Navigation, naufrages, taxes de navigation. — Patentes, licences, permis de séjour. — Demandes en décharges. — Contributions indirectes, régime de l'alcool. — Exequatur des consuls. —Relations avec l'office colonial et L'officenational du commerce extérieur. — Immigration, émigration. 4e BUREAU Comptabilité (D) IreSection. — Finances. — Centralisation et enregistrement des recettes faites par tous les services pour le compte du budget local. Etablissement des ordres de recette. --- Ordonnancement et mandatement de la solde, des délégations et de toutes les dépenses coneernant le budget local. Tenue des livrets et des contrôles de solde, établissement des carnets de solde du personnel partant en congé. Visa des livrets de solde au départ et à l'arrivée. Caisse de retraites locales.. Tenue des comptes de trésorerie (provisions, retenues, pensions, caisse de réserve, primes personnelles des travaux publics, etc.). Régularisation des dépenses faites à l'extérieur de la Colonie pour le compte du budget local. Centralisation et vérification de la comptabilité finances des provinces, du service des douanes et du service des postes et télégraphes. Vérification des comptes de gestion du service des domaines. Apurement des caisses d'avances civiles. Régularisation des opérations faites par les caisses d'avances militaires pour le compte du budget local. Communications avec le trésor pour tout ce

ARRÊTÉ qui concerne la comptabilité, la signature des GOUVERNEMENT GÉNÉRAL pièces envoyées au visa par ce service et les 1 nommant des chefs de bumouvements de fonds. reau du Gouvernement Général. Visas et enregistrement des récépissés délivrés par le trésor. Communication avec les services adminisLe Général commandant en chef du Corps tratifs militaires pour tout ce qui concerne les d'occupation et Gouverneur Général de Madaremboursements au budget colonial (soldes gascar et Dépendances, d'officiers ou militaires détachés, rembourseVu les décrets des 11 décembre 1895et 30 juillet ment des dépenses de transport et dépenses 1891 ; etc.). diverses, Vu l'arrêté en date de ce jour, déterminant leS Examen, de concert avec les bureaux intéres- attributions respectives des bureaux du Gouverné sés, des questions ou des réclamations concer- ment Général de Madagascaret Dépendances ; Sur la proposition du Secrétaire Général, nant la solde et les indemnités accordées ou allouées au personnel et de toutes les questions de comptabilité finances. Arrête: Etablissement des comptes définitifs de l'exercice. ART.l' — M. Hesling, administrateur de 3° 2e section. — Matériel et travaux. — Centra- classe des colonies, est nommé chef du i lisation et vérification des inventaires et pièces bureau; M. Cadet, sous-chef de bureau de 2" classe justificatives des divers services. Vérification, régularisation et envoi au Dé- du corps des comptables, est chargé des fooctions de chef du 2e bureau; partementdes demandes d'approvisionnement à acheter en France et passation des marchés M. Guyon, administrateur de 3" classe des colocauxet adjudications à préparer par le Gou- lonies, est nommé chef du 38 bureau; vernement Général. M. Savary, officier d'administration de i Examen des marchés à soumettre à l'appro- classe du service de l'artillerie, H. C., est nom" bation du Gouverneur Général. mé-chef du 48 bureau. Transmission des demandes d'imprimés. ART.II. --- M. le Secrétaire Général est char" Centralisation et vérification de la comptabilité travaux des différents services techniques gé de l'exécution du présent arrêté. de l'île. Fait à Tananarive, le 1" Septembre 1900. Commissions concernant le matériel (RecenGALLIENIsements, recettes, condamnations, adjudications). Par le GouverneurGénéral : Achat de livres et abonnements. Demandes de transport de matériel. Le Commissaire faisant fonctions de Secrétaire Général, Réception du matériel et des colis destinés aux divers services de la Colonie. LALLIER DU COUDRAY. Tenue des écritures concernant le matériel en service dans les bureaux du Gouvernement Général. Achat et délivrance des fournitures néces- GOUVERNEMENT ARRÊTÉ saires aux bureaux du Gouvernement Général. GÉNÉRAL e d concernant le service ART.II. —M.le Secrétaire Général est chargé la presse et des renseignements. de l'exécution du présent arrêté. Fait à Tananarive, le 1" Septembre 1900. GALLIENI. Le Général commandant en chef du cor Par le Gouverneur Général: d'occupation et Gouverneur Général de Mad Le Commissaire faisant fonctions et Dépendances, gascar de Secrétaire Général, Vu les décrets des il décembre 1895et 30 JUI LALLIER DU COUDRAY. 1897; , 3' Vu l'arrêté du 19 novembre 1899,portnnt re-o«mi^* nisation des bureaux du Secrétariat Général GOUVERNEMENT ARRÊTÉ GÉNÉRAL GouvernementGénéral de Madagascar et Depen' nommant M. David, chef de dances ; Vu l'arrêté en date de ce jouiv déterminantje?le bureau hors cadre du Ministère des Coattributions respectives des bureaux du GO uver, lonies, aux fonctions d'adjoint au Secrénement Général de Madagascaret Dépendances, Génétaire Général du Gouvernement Sur la proposition du Secrétaire Général, ral. Arrête: Le Général commandant en chef du Corps d'occupation et Gouverneur Général de Mada— Le service de la presse et IJr ART. 1er, et gascar Dépendances, Vu les décrets des 11décembre 1895et 30 juillet renseignements, tel qu'il a été constitué rlJ l'arrêté susvisé du 19 novembre, 1897 : rel Vu l'arrêté en date de ce jour, supprimant les directement, jusqu'à nouvel ordre, du GOU" fonctions de chef de division du Secrétariat Géné- neur Générale ral du GouvernementGénéral; ART.II. — M. Julien, administraietir30 Sur la proposition du Secrétaire Général, classe des colonies, reste chargé du servit Arrête: la presse et des renseignements. -é ART.Ier. M. Dayid, chef de bureau hors ART.III. -M. le Secrétaire Général est charg cadre du Ministère desColonies, est adjoint au Secrétaire Général du Gouvernement Général de l'exécution du présent arrêté. de Madagascar et Dépendances. Fait à Tananarive,le 1" Septembre — ART.II. M.le Secrétaire Général est chargé GALUENI. de l'exécution du présent arrêté. Fait à Tananarive, le 1" Septembre 1900. GALLIENI. Par le Gouverneur Général: Par le Gouverneur Général: v Le Commissaire faisant fonctions Le Commissaire faisant fonctions de Secrétaire Général, de Secrétaire Général, LALLIER DU COUDRAY. LALLIERDU COUDRAY.


JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES GOU'VRRNEUENT ARRÊTÉ GÉNÉRAL le service organisant lrie municipale à Tamatave.

de la

Le Général commandant en chef du Corps et Gouverneur Général de MadagaOCCupation et Dépendances, Scar décrets des il décembre 1895et 30 juillet 1897*.'es décisiondu 26 mai 1898,répartissant le serUJa : publics à Tamatave vicpdestravaux perle décret du 2 juin 1899,sur l'organisation du travaux publics; V onel desdu Ministre des Coloniesen date du to j/ Urêté créant une direction des travaux 10iU1i? n*1899' a Madagascar; Vcs Vœuémis par la commissionmunicipale de Tarne 23 juillet 1900; Tamanto dans sa séance dudes travaux d'édilité et l'importance d'asn.slérant alDlssement à exécuter à Tamatave, Arrête: 1 Il est créé à Tamatave un service sPécîT''V— de construction i pour l'exécution des travaux communaux dotés sur les fonds du ou provenant de subventions accogdt,communal par la Colonie. r ees Le chef de ce service prend le titrgT,,ï^ de la commune de titre archltecte-vover Il est placé sous l'autorité immédiate Tamai aye. Goua mJnistrateur-maire et est nommé par le Illi[)yernenrGénéral sur la proposition de l'adaprès avis du chef de la protrateur-maire, et du directeur des travaux publics. AInce III. Le service des bâtiments civils apElT. a la Colonie est placé sous les ortednant chefdu service des ponts et chausopapes r. qUI prend le nom de chef du service des trav Irav,, publics. — Le présent arrêté aura son effet ilART LIV. du septembre prochain. A a e V, MM.le Secrétaire Général, l'administT. UistratHr chef de la province et maire de la de Tamatave, et le directeur des travaIlnepublics sont chargés, chacun en ce qui quilUX 1'2 arrété concerne, de l'exécution du présent Fait à Tamatave, le 16 Août 1900. GALLIENI.

-—G.,,-ARRÊTÉ - vuVE1\N GÉNÉR,&L BilENT à Tananarive installant 14 téléphonique privé.

ART.IV. — Le montant des abonnements est pavable d'avance à la caisse du bureau de poste d'Andohalo par termes trimestriels exigibles: le premier lors de la signature du contrat, les autres dans les 15 jours qui précèdent le commencement de chaque période trimestrielle. ART.V. — Contrairement aux usages établis dans la métropole et afin de favoriser le commerce local, les appareils et accessoires seront fournis gratuitement et les frais de pose et d'installation seront également supportés par la Colonie, ce matériel restant exclusivement la propriété du service local. ART.VI. — Les frais résultant de détériorations qui ne sont pas le fait de l'usage normal des appareils, ainsi que les dépenses provenant d'un changement d'installation seront à la charge du titulaire de l'abonnement. Ces dépenses seront intégralement remboursées à la Colonie, y compris une majoration de 10 0/0 à titre de frais généraux. ART. VII. — Un certain nombre de cabines téléphoniques seront mises à la disposition du public dans l'enceinte de Tananarive. Les communications échangées de ces cabines avec les différents abonnés du réseau serodt taxées au prix de 0 fr. 25 la conversation pour une durée de 3 minutes ou fraction de 3 minutes. ART.VIII. — Les demandes d'abonnement ou de résiliation d'abonnement devront être adressées à M. le sous-inspecteur chef du service des postes et télégraphes à Tananarive. ART.IX. — Pour les dispositions autres que celles énoncées ci-dessus, le décret du 7 septembre i895, les arrêtés du Ministre du Commerce du 20 décembre 1895 et du 28 juillet 1897 sont applicables dans la Colonie. ART.X. — MM. le Secrétaire Général et le sous-inspecteur chef du service des postes et télégraphes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté. Fait à Tananarive, le 22 Août 1900. Pour le Gouverneur Général et par délégation: Le Secrétaire Général, LALLIER DU COUDRAY.

Vu au Contrôle financier, un le 30 juillet 1900. Par le Gouverneur Général: chef du Corps Le Secrétaire Général, d'occupation Lê,Ge,ne,rai etcommandant en chefdu Gouverneur Général de MadagascaUpabon r LALLIER DU COUDRAY. gas et Dépendances, Vules décrets des Ii décembre 1895et 30juillet ETAT-MAJOR DÉCISION 1292 de M. le sous-inspecteur chef du Japport et des télégraphes; SUrla SUI'la es postes du Secrétaire Général, nproposition Le Général commandant en chef du Corps et Gouverneur Général de Madad'occupation Arrête: gascar et Dépendances, Vu l'instruction du 22 février 1900, sur le foncte ep omque privé ART.-1er.Un réseau téléphonique prIve e a àTananarive. tionnementdes commissionsde réforme à MadaestAnT installé Tananarive. a ; La concession d'un poste télépho- gascar --:Vula note-circulaire N* 204, du 7 janvier 1899, ,AHt>J. d>^Ue Priîn1C1^a' est subordonnée au paiement prescrivant de présenter les militaires indigènes Il abnrnement annuel de 400 francs. inaptes au service devant une commission de pas accordé, pour le moment du réforme; U De sera e postes secondaires ou Vula difficultéd'envoyer à Majungaou à TamatvQs supplémentave les militaires stationnés sur la côte sud-est et sur la côte sud-ouest, Le contrat de concession ne peut Aiif> jjj moins d'un an; il commence Décide : Partir enb Pour ter ou du 16 du mois qui suit le Où !1 àpartir IOn Il est créé une cinquième commission de rédu p Installation permet la communicaforme à Madagascar. du rïnoaKavec le reseau. miliaura à examiner les d'une commission année Cette et Lin annement obligatoire de résiliation écrite notifiée au taires de sa circonscription, qui est délimitée déf;ltl t avant l'expiration de la période comme il suit: III COUrs JHlrs "t se renouvelle de trinesTout le territoire du Sud et la province de te en tri e Contrat ent"'nlllgtre par tacite reconduction. Fianarantsoa.

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Cette commission fonctionnera suivant les dispositions de l'instruction du 22 février 1900, et aura son siège à Fianarantsoa. Tananarive, le 17Août 1900. Pour le Général commandant en chefdu Corps d'occupation et Gouverneur Général de Madagascar et Dépendances, Par délégation: Le Chef d'Etat-Major, PRUD'HOMME. GOUVERNEMENT CIRCULAIRE GÉNÉRAL à M.les administrateurs chefs de province et commandants de cercle, au sujet de l'attribution de la protecà des étrangers. tion française MESSIEURS, M. le Ministre des Colonies vient d'appeler mon attention sur les graves inconvénients que présente dans la pratique l'attribution faite à des étrangers de la protection française. En ce qui concerne notamment les sujets du Schah, M. le Ministre des Colonies me fait remarquer que «nous ne pouvons considérer comme négligeable la loi persane qui leur interdit de changer de nationalité sans une autorisation spéciale. Notre ministre en Perse s'est montré préoccupé de la facilité avec laquelle certains négociants persans obtiennent des autorités coloniales une patente de protection et, par suite, des droits dont l'exercice n'est pas sans entraînerdes complications de plus d'un ordre ». Je vous prie en conséquence de faire savoir, le cas échéant, au sujets persans qui solliciteraient une patente de protection, que seul notre représentant à Téhéran a compétence pour la leur accorder. Tananarive,le 24 Août 1900. Pour le Gouverneur Général et par délégation: Le Secrétaire Général, LALLIER DU COUDRAY. EXTRAITS Par arrêtés du 14 août, Razafimandimby, élève de l'école Le Myre de Vilers, non pourvu du certificat d'aptitude à l'enseignement, est nommé, à titre provisoire, instituteur à Ambohimanjaka [cercle d'Anjozorobe]. Rabarijaona Jean, élève de l'école Le Myre de Vilers, pourvu du certificat d'aptitude à l'enseignement, est nommé instituteur officiel de 5eclasse à Ambohidray. Gilbert Rakoto, élève de l'école Le Myre de Vilers, non pourvu du certificat d'aptitude à l'enseignement, est nommé instituteur officiel à Tsiarifarana (cercle de Miarinarivo). Rajaona, instituteur officiel à Ankorona (cercle de Manjakandriana), est nommé professeur assistant à l'école Le Myre de Vilers, en remplacement de Razafiharison. Il recevra un traitement mensuel de 50 francs. Ratovo, élève de l'école Le Myre de Vilers, pourvu du certificat d'aptitude a l'enseignement, est nommé instituteur officiel de 5e classe à Anosiarivo (province de Tananarive). Ralisoa, femme de Ratovo, est pommée maîtresse de couture à Anosiarivo. Elle recevra un traitement mensuel de 7 fr. 50. Rajao, instituteur à Andakana (cercle de Moramanga), est nommé instituteur à Moramanga, en remplacement de Ranaivo, empêché pour cause de maladie.


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JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES

Radaniel est relevé des fonctions d'instituteur provisoire à Inanatonana (province de Betafo). Martin, élève de l'école Le Myre de Vilers, pourvu du certificat d'aptitude à l'enseignement, est nommé instituteur officiel de 58classe à Inanatonana. Rakotomanga, instituteur officiel à Miandrarivo (province de Betafo], est relevé de ses fonctions pour incapacité. Rainikotomanga, élève de l'école Le Myre de Vilers, non pourvu du certificat d'aptitude h l'enseignement, est nommé, à titre provisoire, instituteur à Miandrarivo. Rajaonson, élève de l'école Le Myre de Vilers, pourvu du certificat d'aptitude à l'enseignement, est nommé instituteur officiel de 58 classe à Iasy (cercle d'Ankazobe). Rainizelina, femme de Rajaonson, est nommée maîtresse de couture à Iasy. Rajesy, professeur assistant à l'école Le Myre de Vilers, non pourvu du certificat d'aptitude à l'enseignement, est nommé instituteur à Lakato (territoire des Befèimisaraka du Sud). La démission de Rafara,' aide-coupeuse à l'écolede Fiadanana; est acceptée à compter du 1er août. Ratrimo, élève de l'école Le Myrede Vilers, pourvu du certificat d'aptitude à renseignement, est nommé,insfituteur de 5e classe à Antsatrana (cercle d'Andriamena]. Andrianaivo, instituteur officiel de 58 classe à Ambatolaona, est nommé instituteur de même classe à Anosisoa, en remplacement de Ravelonanosy, nommé à .A.rJiranoma.sina. Ranaivo, élève de l'école Le Myre deVilers, pourvu du certificat d'aptitude à l'enseignement, est nommé instituteur officiel de 5e classe à Maharidaza. , Ranaivo, élève de l'école Le Myre de Vilers, pourvu du certificat d'aptitude à l'enseignement, est nommé instituteur de 5e classe à Sambaina. Rajesy, élève de l'école Le Myre de Vilers, non pourvu ducertificatd'aptitude à l'enseignement, est nommé, à titre provisoire, instituteur officiel à Ambohimalaza (cercle de Manjakandriana),Il recevra un traitement mensuel de 30 francs. Razamita, femme de Rajesy, est nommée maîtresse de couture à Ambohimalaza. Razoely, élève de l'école Le Myre de Vilers, pourvu du certificat, d'aptitude à l'enseignement est nommé instituteur officiel de5e classe à Mangalaza(cercle d'Ambatondrazaka). Ranjavony, femme de Razoely, est nommée maîtresse de couture à Mangalaza. Rantoanina, instituteur officiel de 5e classe à Ambohimarina, est nommé instituteur officiel à la même classe à Ambohibao (cercle de Manjakandriana). Randriambola, élève de l'école Le Myre de Vilers, non pourvu du certificat d'aptitude à l'enseignement, est nommé, à titre provisoire, instituteur à Antotahazo (cercle d'Ankazobe), au traitement mensuel de 30 francs. Razafimbelo, femme de Randriambola, est nommée maîtresse de couture à Antotohazo, aux appointements mensuels de 7 fr. 50. Rajaonarivelo est nommé, à titre provisoire, instituteur-adjoint à Amboniakondro (cercle de Manjakandriana), au traitement mensuel de 20 francs. - Ralison, élève del'école Le Myre de Vilers, pourvu du certificat d'aptitude à l'enseigne" ment, est nommé instituteur officiel de 58 classe à Bakaro, cercle de Manjakandriana.

Ramasomanana, élève de l'école Le Myre de Vilers, pourvu du certificat d'aptitude à renseignement, est nommé instituteur de 5* classe à Maharidaza. Par décision du 15 août, Les bureaux des postes de distribution de Mandialaza et de Beparasy sont supprimés. Par décisions du 16 août, -Le soldat Sounier, détaché au Secrétariat Général, est chargé des traductions pour la langue allemande, en remplacement de M. Cloché, commisdu corps des comptables, qui a obtenu un congé de convalescence. M. Boveil, adjoint de '1- classe des affaires civiles au Secrétariat Général, est affecté à la province de Tananarive-ville pour remplir, auprès deM. l'administrateur-maire, les fonctions d'administrateur-adjoint, en remplacement de M. l'administrateur-adjoint Bertrand, qui a obtenu un congé de convalescence. Par décision locale du 16 août, de M. le commandant du cercle de Manjakandriana, Il a été créé six foires annuelles aux dates et emplacements ci-après: 6 décembre. Anjozorobe , 25 décembre. Amboliitrabiby., 13 décembre. Atltanamaiaza. 6 novembre. Imeridarivo 25 décembre. Aridramasina , décembre.. Amboatany 19 Leur durée est fixée à trois jours, sauf celle d'Anjozorobe, qui sera de deux jours seulement. Par arrêtés du 17 août, La démission de son emploi offerte par Thomas, interprète de 2eclasse du secteur d'Andriamena (cercle de Maevatanana), est acceptée. Raliravakaest nommé interprète de 2" classe du secteur d'Andriamena, en remplacement de TtlOms, démissionnaire. Il jouira de l'indemnité accordée aux interprètes hova servant hors de l'Imerina. La démission de son emploi offerte par RakOlomanga, secrétaire de 30 classe du cercle d'Ambatondrazaka, est acceptée-)' Randriantsilainga est nommé secrétaire de 3* classe, en remplacement de Rakotomanga, démissionnaire. Par décisions du 17 août, Lenommé Rarivo, ex-élève diplômé de l'école Le Myre de Vilers, est nommé écrivain de 5e classe, aux appointements de 300 francs par an. Les indigènes revenant de la Réunion seront logés, pendant leur séjour à Tananarive, par les soins de l'administration et au compte du budget local. Ils recevront individuellement, par les soins de radministrateur-maire de Tananarive, une ration journalière en nature calculée à raison de 0 fr. 50 par jour et par personne, Le nommé Thomassin, débarqué dans la colonie le 18 juin 1900, sera rapatrié de Tamatave à Marseille. Sont affectés : 1° Au Secrétariat Général, ire Division, lar Bureau: M. Wintrebert, adjoint de 2®classe des affaires civiles; 2e Division, 1er Bureau: M.Gilbert-Desvallons, commis de 2° classe : des affaires civiles. 2° A la province de Vohemar:

M. Viguerie, commis de 211classe des affairé civiles. 3° A la province de Fenerive : M. Byasson, adjoint de 2' classe des affaires civiles. 4° A la province de Tamatave : MM. Laporte, administrateur-stagiaire, et Lofl' a des commis de 28 classe guemart, laires civiles. 5° Au district de Mahanoro : M. Merignant, commis de 28 classe des af" faires civiles. 60 A la province de Mananjary: M. Avignon, commis de 211classedes affaIres civiles. 7° A Tulear: M. Chardon, administrateur-stagiaire. Par arrêtés du 18 août, M. Lacombe, sous-officier d'infanter iP, marine, mis en congé renouvelable par llatil torité militaire, est chargé des fonctions de garde principal de 4aclasse de la garde indigeû et affecté à Betafo. M. Monnier, commis de 38 classe du corps des comptables, détaché au service topgr" phique, ancien élève-géomètre, est réintégr6' sur ba demande, dans son précédent eLDplo. 1 Rajohanesa est nommé médecin de l'hôpital indigène d'Anjozorobe. Par décisions du 18 aoât. M. Drimaracci, commis de 2eclasse du. corp, des comptables au Secrétariat Général, e" affecté provisoirement à la province de Tao narive, en remplacement de M. Volpei,coin11® de tre classe de comptabilité, indisponible pou cause de maladie. Sont nommées maîtresses de couture: A Amparafaravola [cercle d'Ambatondrazl: ka], Rasoa, femme de Rajonatrimo, institu16 officiel; A Morarano [cercle d'Ambatondrazaka], ; manandraibe, femme de Rasamoelina, ifiseta teur officiel ; A Anosimbohangy [cercle d'Arnbatonrati" ka], Razaihary, femme deRazatimahelY, lof tuteur officiel.. La nommée Rakotovavy, femme de.RatSlsstl bazafy, est relevée de ses fonctions de maître de couture à Imerimandroso. + CABLOGRAJMS (Agença

DE PARIS

Havas)

Paris, 31 aoMLa situation en Chine est sans CIllailge, <1 ment. Les Etats-Unis seraient d'avis l'on traitât avec Li-Hung-Chang. « *V Paris, 3 septev^re' Le commandant Weber est Pro jv lieutenant-colonel et maintenu à la gascar. p Lord Roberts a proclamé l'annexé Transvaal. 1 de La Russie a proposé aux puissanoe: de rappeler les légations et les trotLpCsle5 Pékin à Tien-Tsin) afin de facili^Lg^ négociations. Les puissances Opposl, la question. L'Angl'eterre seraitexalUplosée à l'évacuation de Pékin.


JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES

PARTIE

NON

NOUVELLES

OFFICIELLE

AVIS Une note

insérée

au Journal

Of-

a°ût5 a,informé civils et Mu les chefs des services chefs de corps, commanMitaires, dants de indéde cercle secteur, pendant et administrateurs chefs de diProvince, qu'ils doivent adresser rectement toute leur correspondance officielle au Général commandant chef et Gouverneur Général (caeb rnet). Les reantérieures, prescriptions 1 ati. à la distinction à complète ablir entre les pièces ayant trait aux affaires civiles et celles concernant les affaires restent militaires en et il importe, vigueur pour la du service, bolille marche qu'elles Ces strictement observées. Sent Pleces devront donc touj ours être sous bordereaux envoyées distincts la mention: «'Secrétariat Pétant « Etat-Majors. ou celle: Ge'lie'rai», AVIS :Bac

d'Antanjona,

sur le Mangoro

bac provisoire ah prévenu qu'un pUblic e st Installé à Antanjona, point où la route de deMav.*. Boro Sara à Tananarive traverse le Manpesant au maximum mille kiloes vitures aux (Poidsb"Ut) seront admises sur ce bac, suivantes: 10 CondlllOnS Les voitures, préalablement dételées, sefont du g. barquées et débarquées par les soins qui aura à se conformer aux indiro.prletaire, de l'agent de l'administration chargé deapons a Manœuvre du bac. 20 InesLes 2o , attelages seront passés dans les mê3 ditions. l'adrna. manœuvre du bac sera assurée par admin:stration. y e rOVlsolrement, il ne sera pas perçu de leurs Y0^tures' leurs attelageset Péage Q péagepourles 5e Le passage sur le bac d'Antanjona n'est et périls de ceux qui en feront eUsage, qu'auxrisques Il ne sera, dans aucun cas, admis e rec l'administration pour les e recoîirs contre du service ou les accideats qui l• l}^rruDtj°n? à -se produire. 60 L lent lieu Que du bac d'Antanjona n'aura j e service s!îCu jour de 6 heures du matin à 6 heu70 du£b°ir. les animaux de selle ou de b es" continueront à passer par le bac a ndakanaUX leur est interdit jusqu'à nOUvelaco r re. ddAntanjona

ET

INFORMATIONS

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concession gratuite d'une terrain sis à Ambohimangakely, province de Tananarive, et mesurant approximativement 21 hectares 32 ares 40 centiares.

Le paquebot Djemnah, venant de France, est arrivé à Majunga le 2 septembre, à 8 heures du matin. Des titres d'occupation provisoire ont été Le courrier des lettres à destination de Ta- délivrés, le 18 août dernier, au R. P. Taïx, en nanarive a été expédié le même jour, à deux vue de la concession onéreuse de terrains sis dans le distrit d'Ilafy, province de Tananarive, heures de l'après-midi. et mesurant respectivement 6 hectares 68 ares ** 65 centiares, et 6 hectares [4 ares 66 cenLe s cours publics de langue malgache, qui tiares. étaient précédemment faits le mardi et le ven** désormais les auront lieu mercredi et dredi, Port de Majunga dans aux mêmes le local haheures, samedi, La goélette Marie-Valentine est arrivée le bituel (province de Tananarive). 29 août, venant de Beïra et Tulear. * » 111 * La distribution des prix aux élèves du colPort de Tamatave a eu Sl-Michel lieu vendredi lège d'Amparibe Le voilier Clémence-Eugénie est arrivé le dernier, 31 août, en présence de M. le Gouverneur Général, de Mgr de Saune, de MM. les 28 août, venant de Mananara et Maroantsetra. Le voilier Marie est parti le 28, à destination colonels Lyautey et Le Camus, de MM. Linard, chef des services administratifs, Estèbe, admi- de Ste-Marie. Le voilier Stella est arrivé le 30, venant de nistrateur-maire de Tananarive, Rasanjy, gouverneur principal de 4'Imerina, et le prince Soanierana. Le vapeur Entre-Rios est parti le 30, à desRamahatra. La musique du 13" de marine prêtait son tination des ports du sud. Le voilier L.-C. est parti le 30, à destination concours à cette solennité. Outre la proclamation des récompenses, dont plusieurs ont de Mananara. Le voilier Bonite est arrivé le 31, venant été offertes par le Général Gallieni et quelques membres de la colonie française, le program- d'Andovoranto. Le voilier Tanjona est parti le 31, à destiname comprenait la représentation d'un drame tion de Foulpointe, Mahambo et Fenerive. historique en trois actes, intitulé Jeanne * d'Arc. Toute l'assistance a été frappée de la *# bonne diction des élèves et de la sûreté avec Port d'Andovoranto laquelle chacun d'eux a rempli son rôle. Le voilier Bonite est parti le 30 août, à des* »* tination de Tamatave. Le voilier Nona-Adèle est arrivé le 1er sepDans la soirée du 5 août dernier, une pirogue, dans laquelle se trouvaieat un sergent de tembre, venant de Tamatave. tirailleurs malgaches et un caporal sénégalais, * a chaviré à une centaine de mètres environ de Port de Vatomandry la jetée d'Hell-Ville [Nosi-Be]. Le vapeur Entre-Rios est arrivé le 30 août, Trois marins de la goëlette Lively, les nom- venant de Tamatave. més Nolepit et Anselme, créoles de la Réunion, * » et Botovao, Malgache, témoins de l'accident, se Situation des lignes télégraphiques. portèrent immédiatement au secours des nauA Journées des 3 et la fer, 2, septembre: sans à non danger, fragés, qu'ils parvinrent, communication est bonne sur toutes les lignes. recueillir dans leur embarcation. ———————————— .———————————— L'administrateur de Nosi-Be a publiquement félicité ces courageux sauveteurs et leur a acFÊTES DONNÉES A TANANARIVE cordé une gratification en récompense de leur à l'occasion du retour dévouement. * DU GOUVERNEUR GÉNÉRAL »» Le paquebot Guadalquivir, des Messageries Maritimes, est arrivé le 30 août à MajunAinsi que l'Officiel de samedi dernier l'avait ga. Ont débarqué: MM. Bonvilet, capitaine; annoncé, le banquet offert au Général Gallieni Lamazière, adjoint des affaires civiles, Vigno- par les colons a eu lieu, à midi, dans la salle du boul, garde principal de la milice, venant de Théâtre municipal, artistement arrangée et déTulear ; Collin, capitaine, Laffaye de Michaux, corée pour la circonstance. Près de deux cents médecin de lre classe, Ferrière, Pierre et Gra- convives assistaient au repas; parmi eux se nier, lieutenants; Pierre, sous-lieutenant; Ni- trouvaient MM. le Secrétaire Général Lallier du colatos, commerçant, venant de Morondava; Coudray, le Procureur Général Girard, le conMazurié, capitaine; Lebeaupin, médecin; Fé- sul de Sa Majesté britannique Porter, MM. les raud, lieutenant: Hackemberger et Séguin, colonels Audéoud, Lyautey, Le Camus, Roques, employés des postes et télégraphes, venant de Prud'homme et les principaux chefs de serMaintirano. vice et collaborateurs du Gouverneur Géné#» ral. Le service de la table a été assuré d'une La Villede Diego, partie le 1er septembre façon irréprochable par M. Martel, à qui l'orgade Majunga, fera escale à Mananjary vers le 11 nisation du banquet avait été confiée, et la cordialité la plus grande a caractérisé la réuseptembre. nion. , » Au milieu du repas, M. Sescau, président de Un titre d'occupation provisoire a été délivré, le i7 août dernier, à M. Jouve, en vue de la la chambre consultative et du comité des


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JOURNAL OFFICRFLLm

JUDA/IASCTN ET DÉPE!VE)A.NC8>

« L'heureuse solution, apportée par vous à « un hommage tout spécial à la presse métrofêtes, a pris la parole au nom des colons et, s'adressant au Gouverneur Général, s'est expri- « d'autres questions tout aussi importantes, « politaine, qui m'a prêté le concours le plus « nous est un sûr garant que celle-là non plus « actif et le plus efficace. Certainement, ellea mé en ces termes: tes « sans nous discuté nos embarrasser ménager « n'est pas de" nature à vous ; projets « MONSIEUR LEGOUVERNEUR GÉNÉRAL, « vous saurez certainement la résoudre à « conseils et les critiques, mais elle a contrIbue « Au nom des colons de Tananarive, réunis « l'entière satisfaction du Gouvernement et « ainsi à éclairer l'opinion. Du reste, elle ses « autour de cette table, je suis heureux de « des colons. « montrée à peu près unanime à me fourOlr « vous renouveler nos souhaits de rcspec« Vous pouvez d'ailleurs compter sur notre « son appui, du jour où, quittant la réserve « tueuse bienvenue et de vous dire toute no- « concours le plus dévoué pour vous aider, « qui m'était imposée, je suis intervenu pour « tre joie de vous voir prendre de nouveau la « si besoin était, dans la tâche ardue que vous « proposer l'itinéraire, les procédés d'exéc« direction effective de la Colonie. « avez à remplir; notre regret est de ne pou- (c tion,etc., qu'une étude attentive m'avait fait « Nous sommes certains que les traditions « voir vous la faciliter autant que nous le ccconsidérer comme les meilleurs et les pla « de constante sollicitude que méritent nos in- « désirerions et, dans cet ordre d'idées, il cc économiques. , « térêts et à laquelle vous nous avez habitués « vous aussi aller « doit reconnaissance :1 M. le Gouverneur Votre Général, appartiendra, « vont être reprises par vous, comme aussi « d'examiner si notre vœu ne pourrait être « quelques hommes, mes collaborateurs de « par vos collaborateurs;, nous en sommes « exaucé, en octroyant à Tananarive une auto- « voués pendant mon premier séjour, et qLlt con « tellement assurés que dans l'accueil enthou- « rité morale « elle n'ont celle dont pour quitté Madagascar que grande que plus éner « siaste qui vous est fait par tous les colons, « — à défendre « dans la tinuer autorité Métropole actuellement, qui nousperjouit « sans distinction de nationalité, nous vous « mettrait de coopérer plus efficacement à la « giquement, par la parole et par la pluine, « prions de voir. en même temps qu'un témoi- « défense des intérêts généraux de la région. « les intérêts de notre colonie. Vous connaisse « gnage de déférente sympathie pour votre « Plusieurs villes de l'île possèdent depuis « leurs noms: les colonels Lyautey et ROqLle, « haute personnalité, l'expression de notre « les commissaires des colonies Lallier dU commission une municipale; « confiance dans la protection que vous ac- «« longtemps nous n'apercevons pltS bien quelle raison « Coudray et Noguès, les administrateurs « corderez à nos entreprises, si intimement « sérieuse l'on peut opposer à notre désir « Guvonet Lacaze, l'inspecteur de l'agriculture les « liées à la prospérité de l'île. D'ubois, commandant le u d'être traités sur le même pied qu'elles. Ce « Prud'homme, « Pénétréde l'absolue nécessité de la créa- « vœu des colons « et Hellot été Nèple. du capitaines a, reste, français « tion rapide d'un'chemin de fer, reliant les « transmis à votre de le devoir « Parmi ces chamla hommes, j'ai par « hauts plateaux à la mer, vous nous disiez, « bre consultative. prédécesseur a ici tout spécialement le lieutenant-colon (f M. le Gouverneur Général, au moment d'aller « Les colons vous remercient, M. le Gouver- « Roques, auquel nous devons, on peut le dire, « prendre en France un repos mérité --.;repos « de vote le « sa a blesser sauf l'honneur fait modestie, avoir de leur neur Général, 'e01 e5 « qui n'a été pour vous, nous le savons, qu'un « il en « son France, ils Pendant leur invitation à ce banquet; séjour prunt. d'accepter « labeur de tous les instants---: « je retournerai « me chargent d'exprimer leur gratitude à M. « constamment resté à Paris, sur la brèche. les « parmi vous, mais seulement après avoir « voir d'aller « le & temps de S. M. Britannique, aux reprépeine le Consul prenant « obtenu les crédits nécessaires |i cette voie de « sentants des missions a vos « siens et se consacrant tout entier a l'ŒJl]\,e religieuses, « pénétration indispensable tl. d'avoir bien voulu se joindre « qu'il avait entreprise. Grâce a son infatÍgabt « collaborateurs, « Votre ténacité a eu raison des nombreux « activité, il a su la mener à bien, discuta0< « à vous. « obstacles placés sur votre route; vous avez de lever vos « répondantk toutes les objections, surmonta.t « Je vous Messieurs, propose, « réussi, malgré tout, à les vaincre et à faire « ainsi « difficultés. C'est toutes les M. Gouverneur le qu'il a a de l'honneur en coupes pa.r « partager vos conrictions par le Gouverne- « du membres aux « sa conviction Puissions-nous le posséder longGénéral. partager « ment et le Parlement; nous vous félicitons « le voe: avant « les a lement et le c'est conquis qu'il souhait, ai-je nous, « de ce succès, emporté de haute lutte, et vous « temps parmi nous formons tous ici. « Aussi, le jour de la bataille définitive, n le de besoin dire, que « exprimons notre vive gratitude pour ce bril« t-il pas eu à employer les derniers argume" Général Gallieni! » « au Messieurs, I( lant résultat, obtenu dans la Métropole, où, « qu'il tenait en réserve pour rallier les in « gràce à votre présence, un de nos principaux Le Général, prenant a son tour la parole, a « cis. Aucun adversaire ne s'est présenté et g M. Sesde à l'allocution « desiderataa ete réalisé. suit comme « vote, pour ainsi dire unanime, a été e DICyé répondu « Maintenant quel'avenir estassuré dece côté, cau: « presque sans discussion. j « noussommes persuadés, d'accord avecl'opi« Le mérite des succès obtenus revient aIJS:, « MESSIEURS,. « nion émise sur ce sujet par la Chambre conc'est-à-dire aux « à vous Messieurs, tous, l'accueil de touché « Je suis profondément « sultative, que vous obtiendrez qu'il soit fait commerçants, planteurs, mineurs^ a une utilisation judicieuse des fonds mis à « que vous avez tenu à faire au représentant «« Ions, activité leur et la Grande Ile, qui, par à son « votre disposition par le Gouvernement; que « du Gouvernement de la République « ont développé les d'initiative,' esprit Ces commandement. de son au siège « sur ces crédits vous consentirez, s'ils sont « retour en qua00 et ont « sources de su, Madagascar que « nécessaires, les sacrifices voulus pour que « témoignages de sympathie prouvent faire à 36 millionS de 18 faire monter «ans, efforts que j'ai pu « la main-d'œuvre indigène ne participe pas « vous appréciez les « chiffre annuel d'affaires. et intérêts de vos la défense y «en France pour « aux nouveaux travaux projetés. , « Je ne saurais non plus terminer cette l'exécution dont des « la réussite c C'est pourquoi il vous paraîtra peut-être projets pour inération sans re-idre la justice qui leur e,.;t e[ à l'avenir liée économique intimement «est dès « prudent d'envisager, aujourd'hui, l'opqui lur « dne aux la indigènes. justice mération sans populations rendre Ile. la Grande Fideles0" de « portunité de l'introduction dans l'île de « et à la prospérité « sans travaillé elles ont soumises, nr. marc puis « Mais laissez-moi vous dire que je sinon « travailleurs étrangers plus robustes; nosro de « der leur sur les chantiers peine «il serait permis de se demander avec appré- « conserver pour moi-même qu'une faible part « sur les concessions de nos colons et on (11' « hension si un nouvel effort aussi long que «de vos éloges. Votre reconnaissance doit aller du k l'essor ainsi contribué « gement 0 Ct la de « l'exigera l'achèvement, seules Gouvernement République les au « surtout par A du a la en valeur mise ce « merce, pays. de des et « ressources du pays, des constructions an- « Française, aux Ministres des Colonies bien «les ont Malgaches également merlte W « noncées, n'entraînerait pas des inconvénients « Finances, au Parlement, aux commissions a notre il et quelques jours, colonie, y de « «tels que ceux-ci ne seraient pas compensés « parlementaires et aux groupes coloniaux la route de la Mandr les suivant « qu'en « par les avantages, indiscutables cependant, « la Chambre et du Sénat, auprès desquels « j'apercevais çà et là au bord du chetn'0 ^sj,t « de la création du chemin de fer. « j'ai toujours trouvé l'accueille plus sympa- « tumuli sous ceux q?l ore reposent lesquels • « Cette main-d'œuvre indigène nous semble « thique et les encouragements les plus prème déf re ne « morts à la pouvais tâche, je de « devoir être exclusivement réservée aux entre- « cieux. Elle doit aller aussi aux Chambres de symP et d'émotion « d'un sentiment « prises des colons et au prompt, achèvement « commerce des grandes villes de France, travailleurs. ces obscurs « pour « des travaux publics d'utilité incontestable, « Paris, Lyon, Marseille, Rouen, Toulouse, et je devoir fait son « a donc monde le Tout les ble toutes à « déjà commencés : nous voulons dire par « aux Sociétés de géographie, et <' lil les deux routes carrossables conduisant à « personnes qui s'intéressent aux questions « puis dire, Messieurs, que c'est cet efl-zealbie a « la mer. Tel est, M. le Gouverneur Général, « coloniales, les suivent et s'emploient à en « d'énergies et de bonnes volontés qui itSPraot en but cherché « le mis d'atteindre rendre dois « le vœu unanime de la Colonie. a hâter la solution. A ce titre, je


JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES confiance dans les destinées de la Colonie; « cest « ge ainsi que le Parlement français a engaQ sans crainte le crédit de la Métropole pour SOutenirnos entreprises et nos efforts. Permettez-moi de répondre maintenant a°x voeux qui m'ont été exprimés par le ( PIésidentec cette réunion. „ Il l'arlons d'abord de la question de la mainœuyre étrangère. Je partage entièrement à «Il e point de vue les idées que M. S8cau vient, Sa bouche autorisée, de nous exposer. de UnPrincipe, c'est la main-d'œuvre étrangère «qUI constrl1ction du « 1 sera Sera utilisée pour Pour la construction « puei?'n de fer; les cahiers des charges ont « été établis en conséquence et les adjudica(( Il alres sauront qu'ils ne peuvent faire état ans^eiu>s prévisions du concours de travailfournis par l'administration «A malgaches e la Colonie, (r; ailleurs, j'ai déjà insisté et j'insisterai encore auprès du Département en vue de pour l'engagement de travailrlégociatiolis « jers à entamer avec les gouvernements erangers. Car. comme vous le savez, Mesla solution de cette importante quesurs, ,<s „ don, comme le prouve un incident récent, ne pas exclusivement de l'administration „ ^-^en^ la « (je Colome, mais d'arrangements diploma« y S toujours longs et compliqués. '( but Vous savez du reste que, dans ce même « dn recrutement de la main-d'œuvre né« ssaire à nos travaux. j'ai chargé les admi« nj? ateurs Guyon et Lacaze d'une mission au lis arriveront Chine, Japon, « aJa'en f( dans quelques jours, m'apportant des I( prn*-* de contrat qui pourront peut-être base aux arrangemebts que nous « avons songé aussi à la main-d'œuvre Nonus « i"'()"e.M. Mac-Millan, vice-consul d'Angle-. CIgoreri Tamatave, a bien voulu m'accompatout récemment jusqu'à Moramanga et * « Soç nos chantiers de la route. Il a pu se « reder compte de la bienveillance témoignée « rendre à Q travailleurs, de l'exactitude apportée « auRasi.errie9^ leurs salaires et des soins en cas de maladie. M. MacMin f(uuian m'a promis sôn concours pour la de nos projets de recrutement de la C( mslte, « main œuvre indienne et je ne crois pas « romper en disant que l'appui de M. Port * d'Angleterre à Tananarive et Pr' er, Consul cette réunion, noussera également Prése a M. Porter habite la colonie depuis « acQui aime connaît en Madagascar, * longbtempsIl les OIns, et je pense que nous pouvons aussi compter sur son bienveillant concours. «u ^iQ1 pourra-t-on réaliser, suivant les in-tl'Onsformelles du Département,l'i mpor* tStIrue de la suppression du régime Ililte réforme, actuei D'ailleurs, D'ailleurs, Messieurs, mades68 Prestations. Messieurs, prestations,. « le venu où une transformation s'irn ment e st IC les moeurs de nos sujets malCIgachosedans et dans la nature de nos rapports Ccavec: Nos administrateurs doivent s'in« eux. de cette nécessité et favoriser par euxmême des naturel popu(I( lationss .ce développement Malgache de 1900 n'est ,, Plus 1896 et dans dix ans il sera Cp. tolit "Utre encore qu'aujourd'hui. Il y a là *« UQe la plus lourde faute comévniution inéluctable ; chercher que puisse à l'arfêtftpes en de matière politique etiple e et c'est peut-être à la méconnais-

« sance de ces principes qu'une nation, autre«fois la première puissance coloniale du mon« de, a dû les revers qu'elle a récemment « éprouvés. Elle a vu ses populations sujettes «faire appel à l'étranger et se soulever avec « ensemble contre son autorité. Dans nos « vieilles colonies françaises, au contraire, les « habitants viennent s'engager dans nos régi« ments et combattent côte à côte avec leurs « camarades européens. « Donc, Messieurs, nous devons envisager à « bref délai la suppression du régime de la « prestation ; l'administrationde lacoloniedon« nera l'exemple et n'emploiera plus pour ,les « travaux publics, et pour les divers services « militaires, que la main-d'œuvre étrangère « obtenue par contrat ou la main-d'œuvre indi« gène volontaire. « En ce qui concerne maintenant la création « d'une commission municipale à Tananarive, « je suis prêt à reprendre l'étude de cette ques« tion et à soumettre un nouveaui projet au « Département, mais je suis forcé de rappeler «ici l'objection qui a été déjà formulée. Elle « résulte de ce fait qu'à Tananarive le budget « desrecettes communales,qui s'élève à 570.000 « francs environ, est alimenté pour 1/8e seu« lement par les Européens et pour les 7 auIl très huitièmes par les indigènes. Au con«traire, à Tamatave, à Diego - Suarez et à « Majunga, la population européenne fournit «à elle seule plus de la moitié des recettes « municipales. Cependant, puisque le désir « vient d'en être exprimé, je me ferai repré« senter le dossier de cette question et le sou« mettrai de nouveau au Département. k Pardonnez-moi, Messieurs, d'avoir retenu «si longuement votre attention. En termi« nant, je lève mon verre en l'honneur de mes « compatriotes de Tananarive, de la colonie «. étrangère de la capitale et aussi des popula« tions indigènes de l'Imerina, qui tous m'ont « préparé il y a quelques jours une réception « revêtant un caractère si grandiose, même « après celles qui m'avaient déjà été faites à « Tamatave, à Diego-Suarez, à Majunga et sur « d'autres points dq l'île. '( La date du 28 août restera pour moi un « souvenir impérissable et la récompense la « plus éclatante pour les modestes services « que j'ai pu rendre à mon pays et à la Colo« nie pendant mon séjour en France». De chaleureux applaudissements ont accueilli aux principaux passages les déclarations du Général fct l'assemblée s'est séparée sous la plus favorable impression. * ** A trois heures, la série des réjonissances était reprise au vélodrome de la place Mahamasina, où le Général arrivait en automobile par la route qui contourne à l'est le lac-d'Anosy. Non seulement la totalité des colons, européens était là présente, mais une foule considérable de Malgaches avait aussitôt envahi les abords extérieurs de la piste afin d'assister aux jeux, dont tous les indigènes se montrent fort amateurs. Les tribunes avaient été très coquettement décorées par le comité des fêtes et la musique du 13e de marine, qui apportait à la réunion le précieux appoint de son concours, donnait, par l'exécution de la Marseillaise, le signal des réjouissances. Le Gouverneur Général, ayant à ses côtés le Président du comité des fêtes, le

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Secrétaire Général, le Procureur Général et le Consul de Sa Majesté Britannique, ainsi qu'une élégante et nombreuse société féminine composée de dames européennes et de quelques dames malgaches, distribuait lui-même les récompenses aux gagnants des courses et des jcpx, Les dispositions du programme de cette fête sportive avaient été arrêtées avec le plus grand soin de façon à donner satisfaction à tous les spectateurs, tant Européens que Malgaches. Le mât de cocagne a, comme toujours, été assailli par une foule de gamins indigènes qui ont tour à tour décroché, qui une montre, qui un vêtement, un parapluie ou un volatile. Les courses en filanjana, celles de porteurs avec une charge de cinquante kilos sur leurs épaules et celles d'indigènes montés sur des échasses ont provoqué cher les amateurs une vive émulation. La note comique était surtout donnée par trois clowns improvisés dont les acrobaties et les tours de force étaient dignes de professionnels. Les vainqueurs des courses et épreuves sportives ont été les suivants: l"Ratsifera ; 2«Ra(juniors mal-) Bicyclettes ( Bicyclettes io(juniors jaona; 3e Razafimagâches: 9.r tours) hazo. Temps: 2e Robinson ; (1er Bicyclettes (seniors malga-Ramj and ra v 0 la. çhes: 10 9' 2". tours) ( Temps : 2e .,. marine; tours) ',' M. Gouesbault, adporal d infanterie il"judant. M. Gaubert, caA cinq heures, la musique clôturait par une retraite cette agréable journée, dont chacun a pu emporter le souvenir le plus durable. Le succès obtenu revient pour une large part à MM.le colonel Prud'homme, président, le Dr Fontoynont, vice-président, l'administrateur Hesling et M. Lecointre, rédacteur en chef de l'Echo de Madagascar, auxquels incombait plus spécialement l'organisation générale des réjouissances, à MM. le capitaine Ferry et l'officier d'administration du génie Maillard, chargés de l'organisation matérielle, enfin à MM. Berger, de Laborderie, Florens Orville fils, Richard, Rieu, Frapart et Rességuier, qui composaient la commission spéciale des tribunes et du jury. »» Le bal donné le soir dans les salons du Cercle français a été le véritable clou des fêtes offertes à l'occasion du retour du Général Gallieni. L'immense succès obtenu par ce bal fait grand honneur à ses organisateurs. Dès neuf heures et demie, le Gouverneur Général, suivi des officiers de son Etat-Major, faisait son entrée dans le grand salon du Cercle français, où il était reçu par le président du comité des fêtes. Toute la colonie européenne était présente, y compris de nombreuses dames aux toilettes rivalisant de grâce et d'élégance. On remarquait entre autres invités les principaux membres de la magistrature, une grande partie desofficiers de la garnison, la plupart des fonctionnaires des administrations civiles de la Colonie, nombre d'étrangers, parmi lesquels M. le Consul britannique et MmePorter, enfin quelques hauts fonctionnaires indigènes de Tananarive et de la province.


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JOURXAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPEXDANCES

La salle du buffet avait été installée sous un cette organisation antérieure à l'occupation vaste vélum dressé dans la cour du cercle et française, quelques renseignements qui sont tout décoré de tentures, de fleurs, de dttssins résumés ci-après. et d'objets d'art. Le bal, très animé, a été coupé vers minuit En 1862, peu de temps après la reconstitupar un intermède musical dû au concours des tion de l'œuvre missionnaire à Madagascar, la artistes du Théâtre municipal. Mmes Mar- London Missionary Society décida la constructhyl et Darmand ont été très chaleureuse- tion d'un hôpital. Aucun établissement de ment applaudies, la première dans la Séré- ce genre n'existait alors dans la Grande Ile et nade d'Olivier Métra, la seconde, dans Les cette création répondait au besoin urgent de vingt-huit jours d'un pinson. MM. Darmand, soulager la misère physiologique des classes Trioque et Lefebvre ont aussi donné à l'assis- pauvres de la population malgache. tance des preuves nouvelles de leur talent. Le premier hôpital fut créé à Analakely vers Les danses ont ensuite repris de plus belle 1864 ; la direction du service médical y fut et le cotillon, conduit avec un très gracieux assurée tout d'abord par le docteur Davidson, entrain par MilesWilson et Baudin, accom- bien connu dans le monde savant par ses repagnées de MM.Groléas et Hallot, ne s'est ter- marquables travaux sur les maladies des pays miné qu'à 7 heures du matin. Les accessoires chauds, et par le docteur Mackie, qui devint du cotillon, confectionnés avec un goût exquis, plus tard le médecin de la reine. Le docteur Davidson resta en fonctions jusqu'en 1876, soiont fait l'admiration de tous. Par une attention des plus délicates, llles Wil- gnant ses malades, formant des médecins et son et Baudin ont offert au Général, dès le com- des infirmières indigènes et composant en mencement du cotillon, la plus belle pièce, un mêmetemps les premiers ouvrages de médegrand plat en bois d'un beau travail, orné d'une cine écrits en langue malgache. le service médiannées tard, plus Tananarive. Quelques magnifique peinture représentant cal fut repris par la Friends Foreign Mission Association qui le confia au docteur Fox, avec L'HOPITAL DE SOl VINANDRIANA Miss Graham, spécialement chargée de la direcJ————— tion des infirmières. D'ailleurs, il devint bientôt de désigner un second docteur, indispensable Transformation.— Organisation Origine.-d'autant que la Société développait l'enseigneactuelle d'infirde médecins et la formation ment pour Dès le lendemain de son retour à Tananamêen et mières poursuivait indigènes qu'elle le Gouverneur Général a tenu à se rendre rive, à l'hôpital de Soavinandriana, qu'il a visité en me temps fa publication d'ouvrages médicaux en langue malgache. détail mercredi dernier dans l'après-midi. était devenu trop étroit; d'Analakely L'hôpital Il a été reçu à son arrivée par M. le docteur les eaux stagnantes qui l'entoud'autre part, Simon, médecin chef de l'hôpital, qui lui a pré- raient le rendaient de en plus insalubre. plus senté son personnel. décida-t-on la construction d'un nouvel Aussi, Après s'être fait rendre compte de la situa- établissement, mieux situé et plus spacieux. tion d'ensembe de cette importante formation Le accorda l'emplamalgache gouvernement sanitaire, il a parcouru les salles de malades, cement nécessaire, mais sous la condition que ainsi que les principales dépendances: phar- la Société renoncerait à ses droits sur les bâtimacie, lingerie, etc, Il s'est arrêté en particu- ments d'Analakely. lier aux cuisines, où il a vérifié la qualité et le L'acte par lequel cette cession fut consentie mode de distribution des aliments. était ainsi libellé: Le Général s'est montré fort satisfait de cette Tananarive, 14 février 1889. visite; elle lui a permis de constater la comdonne à occuper de reine La Madagascar pétence et la sollicitude avec lesquelles M. le par les missions London Missionary Society médecin chef de l'hôpital et le personnel qui et Friends Foreign Mission Association, un lui est adjoint donnent leurs soins à nos ma- terrain sis à l'est d'Anjunahary, au sud d'Antalades et se préoccupent de leur bien-être nambao et mesurant cent vingt-cinq brasses de matériel et moral. longueur sur quatre-vingts brasses de largeur. hôTel qu'il est organisé actuellement et sous Ce terrain sera destiné à l'installation d'uu susLes missions la condition d'y créer encore quelques instal- pital pour les Malgaches. taire sur le dit terrain autre ne visées pourront lations nouvelles, l'hôpital de Soavinandriana ce qui aura rapport a un hôpital. chose que répond au but que s'est proposé le chef de la Les missions L. M. S. et F. F. M.A. prennent Colonie lorsqu'en 1896 il a dû, par suite de à leur charge toutes les dépenses nécessaires à circonstances impérieuses, transformer le régi- la construction; toutefois, le terrain, ainsi que me sous lequel l'établissement avait été placé toutes les installations qui seront faites par les Reine de la la de resteront missions, propriété jusqu'alors. sans qu'elles puissent en réclamer Madagascar, de Soavinandriana a été primitive- aucune indemnité. L'hôpital ment créé par les missions anglaises de Madamissions L. M. S. et F. F. M. A. Dès les que gascar et il convient de rendre hommage à cesseront d'utiliser le terrain pour un hôpital, l'œuvre précédemment entreprise par les mis- toutes les installations faites par elles reviensionnaires de la Friends Foreign Mission Asso- dront à la Reine de Madagascar. La Reine de Madagascar se réserve le droit de ciation et de la London Missionary Society, veut. la ce cour et de bâtiments faire des à qu'elle établis de années déjà qui, longues depuis WŒJOHNSON, Madagascar, avaient groupé leurs efforts pour la création d'hôpitaux destinés aux indigènes Secrétaire de la Médical mission. et pour l'organisation d'un enseignement méL. M. S. J. C. THORNB, F. F. M. A. dical auquel ils admettaient les meilleurs H.F. STANDING, élèves malgaches de leurs écoles. Signé: RAMAROSAONA, M. Kingzett, trésorier de la Friends Foreign employé aux affaires étrangères. Locations de terre, etc. Mission Assosiation a bien voulu fournir sur

Cet acte a été passé et enregistré au bureal1 des affaires étrangères de Madagascar (Tsw zompaniryj. Signé: ANDRIAMIFIDY. Le nouvel hôpital fut construit par la F-F* M. A. et les fonds nécessaires furent recueilllS par souscription. Les frais de construction des immeubles et d'achat du matériel s'élevèrent a 150.000 francs, dépense à laquelle la L. M. S, contribua pour une part. Les plans furent établis et la construction ftit dirigée par M. W. Johnson, de la F. F. M. A,., 11 fut massacré tard avec sa famille qui plus de au début de l'insurrection Arivonimamo, 1896. Les travaux durèrent environ deux ans et l'hôpital, terminé en 1891, fut inauguré soleo' nellement en présence de la reine et du pre' mier ministre. Peu après, les fonds provenaot de la première souscription étant épuisés, on eut recours à la générosité de la population malgache. Cet appel fut entendu et la reioe s'inscrivit en tête de liste pour une somme de 5.000 francs. Ce don fut toutefois considéré comme un remboursement du prix des bâti, a avaient fait retour mentsd'Analakely, qui gouvernement malgache. A cette époque, le service médical etIS confié aux docteurs Fenn et Moss, et à &fIS Byam, comme dame surintendante. L'hôpital contenait quatre grandes' salles les chacune 15 lits environ, dont deux pour Id: hommes et deux pour les femmes. Il conipre nait également des salles de malades payaolt renfermant une douzaine de lits; des salet spécialesétaient aussi affectées aux enfants et au service de la maternité. En cas de neee sité, l'hôpital pouvait recevoir un nOIIlb: beaucoup plus grand de malades. Enfin,d et salles d'enseignement pour les étudiants les infirmières complétaient l'installation- t pavillon spécial pour les maladies cOoB gieuses fut construit par la suite. Í' L'administration et la direction de l"b6Pr. tal appartenaient à la Médical mission, four, nie en partie par la F.F.M.A., en partie Par u L.M.S. Les frais étaient couverts pour les deBr tiers par la F.F.M.A. et pour l'autre tiers P la L.M.S. Vers cette époque, il existait aussi à pa. rive un hôpital norwégien, dirigé par les teurs Borchgrevinck et Tnesen, et un malgache tenu par le docteur Rajona, diS' mé en Europe. Les médecins des trois sements se groupèrent pour former unet3rp9 corp5 enseignant qui, sous le nom de Medical, OO sionary Academy, se donna pour lSS119 d'élever le niveau des études des méde indigènes. L'enseignement étant donné el. tement en langue malgache, il fallut un tra considérable pour la préparation, la rcdac et l'impression des ouvrages. }Ó" Les médecins indigènes, auxquels des diplà, mes furent délivrés avant l'occupation furent çaise, généralement appelés 1M¡"Hie anglais. Cette qualification était en r"ré' inexacte, puisque les diplômes étaientde1 qoi par la Médical missionary Acadeinili, p 1al l.e1105 comprenait des médecins anglais, norweg et malgaches. Au moment où les circonstances aVCieli la transformation de l'établissement deSoavil 3O nandriana en hôpital militaire fraD^sVf st médecins indigènes avaient été diplàieés


JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES ecltcal missionary Academy et un mérne de' nombred'élèves poursuivaient leurs étuVue des examens. desen la durée de son fonctionnement, p a* année a misjion soigné chaque enviedtcal hospitaliséset 12 à 15.000 du -000 malades en outre, elle a créé des dispensairee ors; un certain nombre de villages de saireS Ou des autres provinces. Miss Byam il fo;a très dont les services ont été na.Pr'f.'Ilmes grand nombre d'inrirmières et de dans les familles européennes, qui aPppé Cles 0 prises à domicile. les rs de la prise de Tananarive, l'hôpital serLo vitdp el e rrge à un grand nombre d'Européens ei ,j'j ^nes qui pensaient que les troupes allaient opérer par l'ouest. En fait, paf sa'®esdn fpaQc^ mouvement vers l'est du général Partl'te Whesne' l'établissement se trouva placé dans et dtchon du tir. Les projectiles tirés de part et uautre passaient au-dessus des bâtiments Ou deux tombèrent dans les jardins, et u àprès i prise de Tananarive, les malades et à l'hôpital; furent admis les buSse-* les lançais MiSsB^am> docteurs Wilsoa et Moss leur des soins et, a cette occasion, fUretUrt les à différentes par reprises l'Urent la méMiss reçut Bvam daillel es françaises. distinction qui vint daiiiet e ,a Madagascar, la décoration de la couronne royale s'ajout d'autres encore que lui avaient eS ses reetà services à l'armée d'Egypte. Ver:)1 fi de , 1896, à la suite des opérations Versia fi Q contre les rebelles, la situation saerUreDpnit ai- re duCorp,,d'occupation s'était rapidertleQt ageravée et ne laissait pas de causer de V'Vps in <^ui.^udesau chef de la Colonie. Une llllai nos soldats malades et blessés conti^aienp a ^re soignés à l'hôpital de Soavinandans les conditions d'un contrat intervena. is.' ent le général Duchesne et la Medical le plus grand nombre cession neanmoins, dans l1 être installés a Tananarive même, aré, es Immeubles étroits, incommodes, mal stricten remPlissant aucune des conditions ricte ent in(**spensables qu'on doit trouver l'e P ns toute formation sanitaire. D'auPtart, le nombre de ces asiles improvisés et i Urdisse'nilnatioQdans tous les quartiers de singulièrement le serI'Ce à u^^P'^usûent es l'a a epoquc oil, par suite des maladies, rn.entsPtrlementa et des besoins des détachedu corps médierations 'l'effectif ~"-dessous du minimum restait toujours au indispensable. supépJur nos soldat^, l'arrêté du 15 novembret 896de t" par voie de réquisitio e Ôltal militaire français l'hôpital de q'alorndrl!lna, plus spécialement réservé j usesident aux alades indigènes. D'ailleurs, le ayant fondé quelques jours tiient neral réservé aux Malgaches ô?1!8le 0m. aUParayan,UIÎ^P^al d'Ankadinandriana, ceux-ci etaient quaber même, assurés de se voir contin ',er soi avaient reçus jusque là à nuerles soinsqu'ils tn MêrneternP,,, la création d'une école de étant décidée, on mainte8olt a'Qsi A*^ne a()vera.inl, n l'appropriant au régime de la française, l'ensemble de l'œuvre bllanthrt de la Médical Mission. i16 lIlent même de l'application, la me-

sure prise par le Résident Général souleva quelques difficultés d'ordre administratif et judiciaire, mais elles se trouvèrent bientôt aplanies par l'esprit de conciliation et de courtoisie réciproque qui fut apporté au règlement de l'affaire. Après quelques pourparlers que les représentants de la F. F. M. A. et de la L. M. S. mirent la meilleure bonne volonté à faire aboutir, un accord intervint. Il fut décidé que la question de la réquisition de l'hôpital de Soavinandriana. serait définitivement liquidée, à charge pour la Colonie de payer à la F.F.M.A. la somme représentant la valeur des constructions et du matériel. * *.• Dès la prise de possession de l'hôpital de Soavinandriana par l'autorité militaire française, on se préoccupa d'y apporter les aménagements et agrandissements que sa nouvelle destination rendait indispensables. A cet effet, les services de santé et du génie entrèrent en conférence et établirent un programme d'ensemble dont les travaux, exécutés dans l'ordre d'urgence au fur et à mesure des crédits disponibles, amèneront progressivement l'hôpital à son état d'organisation définitive. Indiquons la situation générale à cet égard en distinguant entre les travaux déjà terminés et ceux qui restent à exécuter. La plus importante des constructions édifiées à l'hôpital de Soavinandriana et même à Tananarive depuis l'occupation française est un grand pavillon pour 80 malades mesurant 72 mètres sur 17 et couvrant avec ses quelques locaux accessoires une superficie de 1.260 mètres carrés. Ce pavillon, dont le projet et l'exécution ont été confiés à MM.le capitaine Ferry et les officiers d'administration d'artillerie et du génie Villiaume, Lamboley et Jacques, a été commencé le 2 mai 1898 et terminé dans les premiers jours d'avril 1899. Outre ce bâtiment, il faut citer: un pavillon d'officiers, un pavilloa pour les malades détenus, une buanderie séchoir, deux magasins centraux du service pharmaceutique, construits et achevés en 1899 et 1900 et l'aménagement de deux pavillons pour logement d'officiers et fonctionnaires du service de santé. Le personnel actuel de l'hôpital comprend: MM. Simon, médecin principal, médecin chef. Mainguy, médecin de pe classe. Lecomte, médecin de 28classe. Kérébel, pharmacien principal, pharmacien chef. Boissière, pharmacien de 2* classe. Legault, pharmacien auxiliaire. Michel, aumônier. 7 sœurs hospitalières de St-Josepil de Cluny. 4 employés civils constituant le personnel comptable. Pour épuiser le programme des travaux des services conférences des cours au projetés de santé et du génie, il est nécessaire d'édifier encore une certain nombre de constructions nouvelles dont les principales sont: 1° Un pavillon pour les femmes et les enfants, avec locaux séparés pour les différentes catégories de malades. Le besoin de cette installation se fait sentir chaque jour davantage depuis que, continu de la population eul'accroissement par en plus difficile de de il devient plus ropéenne, nésoins domicile que à spéciaux les se procurer cessitent les maladies des femmes et des enfants.

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2° Un pavillon spécial d'aliénés. 30 Un pavillon permanent de contagieux. o Une caserne d'infirmiers. 5° Un pavillon pour le logement des sœurs. 6° Un pavillon de convalescents. 7° ..Une chapelle. 8° Une salle définitive d'opérations. 9° Un pavillon pour bains, douches et piscine. En outre, l'installation complète comprendra aussi quelques autres locaux ou aménagements de moindre importance. Ainsi terminé, l'établissement sera entièrement approprié à sa destination définitive et le personnel médical pourra s'y consacrer dans des conditions matérielles bien meilleures qu'autrefois à cette mission de bienfaisance et d'humanité à laquelle s'étaient voués déjà les premiers fondateurs de l'hôpital de Soavinandriana. MISSION JICOIEREZ M. Jacquerez, ingénieur-inspecteur des travaux publics des colonies, a quitté Tananarive avant-hier lundi pour se rendre sur le tracé du chemin de fer. Il passera d'abord au col de Tanifotsy, entre Manjakandriana et Maharidaza, point où la ligne doit se diriger en tunnel sous la route pour rejoindre la vallée de la Hiadiana, à Nosi-Vato. De là, il gagnera Antsahambavy, situé sur un affluent de l'Isahafatra-Sahanjonjona, dont la vallée a servi de guide au tracé pour le franchissement de l'Angavo. M. Jacquerez se rendra ensuite à Ampasimpotsy et visitera le cours de la Sahanjonjona dans la partie épousée par le tracé, où cette rivière coule dans une plaine basse et prend la nom de Morondrano. Parcourant alors le terrain légèrement accidenté qui borde la rive droite de Mangoro, il poursuivra jusqu'à Antanjoana, où le chemin de fer traversera le Mangoro à côté de la route. Après être passé à Moramanga, il gagnera la vallée de la Sahantandra par le col de Tangaina et remontera cette vallée jusqu'au ruisseau d'Analamazoatra. Pendant sa tournée, M. Jacquerez sera accompagné d'officiers ou de fonctionnaires appartenant aux provinces qu'il traversera, ainsi que du lieutenant du génie Rieuneau, qui restera à sa disposition pendant toute la durée de ce voyage. RENSEIGNEMENTS Cercle

ÉCONOMIQUES

d'Analalava

M. le chef de bataillon Pizot, commandant le cercle d'Analalava, communique les renseignements suivants sur la situation commerciale et agricole de sa circonscription pendant le 2' trimestre 1900. Cercle d'Analalava. — Le mouvement maritime du port d'Analalava se traduit pendant le 28 trimestre par les chiffres ci-dessous: 1° A l'entrée: 215 navires, dont i42 battant pavillon français et 73 battant pavillon anglais. Ces bâtiments, jaugeant ensemble 5.507 tonnes, ont débarqué 575.604 kilogrammes de marchandises diverses, soit une augmentation de 76.447 kilogrammes sur le trimestre précédent. *


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20 A la sortie: 210 navires, dont 139 sous pavillon, français et 71 sous pavillon anglais, représentant une jauge totale de 5.482 tonnes et emportant 350.643 kilogrammes de produits divers, soit, sur le 1" trimestre, une diminution de 88.643 kilogrammes. Les importations comprennent les produits ci-après: Riz blanc, provenant de l'intérieur du cercle, valeur locale Ofr.30 le kilo 27.295 kg. Riz en paille, même provenan35.156--ce; valeur locale, 0 fr. 151e kilo. Rafia, même provenance, valeur locale de 0 fr. 6à 0 fr. 85 ie kilo 140.800 — Cire. même provenance, valeur 3.593 — locale de 2 fr. 25 à 2 fr. 50 le kilo Caoutchouc, même provenance, valeur locale de 5 fr. 00 à 5 fr. 50 1.729 le kilo, , , , , , , , Cuirs, même provenance, va9.533 leur locale variable Ecaille de tortues, provenant des différents points de la côte valeur locale de nord-ouest, 87 — 40 fr. à 60 fr. le kilo Bois de construction, provenant de l'intérieur et de Majunga, valeur locale de1 fr. à 3 fr. la — 76.000 pièce. Chaux, provenant de l'intérieur, de Majunga et Nosi-Be, valeur lo16.000 — cale delO fr. à 12 fr. la tonne. Marchandises diverses provenant de Majunga, Nosi-Be et 265.411 Diego-Suarez. TOTAL 575*604 kg. Les exportations ont été alimentées par les produits suivants : > Rafla, à destination de Majunga et Nosi-Be 173.800 kg. Riz en paille, à destination de 29.251 — Majunga et Nosi-Be. Riz blanc, à destination de Ma13.529 junga et Nosi-Be. Cire, à destination de MajungaN et Nosi-Be 7.514,— Caoutchouc, a destination de 4.833Majunga et Nosi-Be,. Cuirs, à destination de Majunga 4.347et Nosi-Be.,. Ecaille de tortue, à destination 390 de Majunga et Nosi-Be Tabac, à destination de Majunga 1.112 — et Nosi-Be Bois, à destination des divers 2.600 — ports de la côte Produits divers, à destination de l'intérieur < 113.267 —

aujourd'hui dans la circonscription un commerçant par soixante habitants. La récolte du riz a été quelque peu inférieure aux prévisions, par suite de la sécheresse. Toutefois, non seulement le rendement suffira aux besoins de la population, mais encore des réserves de paddy ont pu être constituées dans la plupart des villages. Les cultures accessoires, celle de la canne à sucre notamment, ont pris un certain développement. Cercle-annexe de Mandritsara. - Les transactions effectuées pendant le 2e trimestre ont été en augmentation sur celles de la période précédente, notamment à l'exportation. Le trafic a eu pour principal aliment le rafia, la cire et le caoutchouc. Le rafia récolté dans la région de Befandriana figure à l'exportation pour 31.000 kilos. Ce produit est vendu sur le marché d'Antsohy de 0 fr. 40 à 0 fr. 55 le kilo. La cire vient en seconde ligne avec 3.000 kilos. On la récolte plus spécialement dans le secteur de Befandriana; sa valeur locale varie de 2 fr. a 2 fr. 50 le kilo, selon qu'on l'achète à Antsohy ou à Maroantsetra. Le caoutchouc, qui provient en grande partie du secteur de Mandritsara, figure dans le mouvement d'exportation pour un chiffre de 610 kilos; son prix d'achat varie entre 4 fr. 40 et 4 fr. 80 le kilo pris à Antsohy. La vente du gros bétail, qui constituait autrefois la principale ressource du pays, a encore sensiblement baissé au cours de cette période. Pendant le 1er trimestre, l'exportation du bétail avait porté sur un chiffre de 3.113 bœufs; chiffre est tombé pendantle2e trimestre, ce même à 1.471, soit une diminution de 1.642 bœufs. Cette décroissance provient surtout de la concurrence très active faite au bétail de Mandritsara par celui de la Mahajamba et du Boina sur les grands marchés de la région nord-ouest. La situation agricole est sans changement appréciable. Sept lots de colonisation, qui paraissent convenir plus spécialement à des entreprises d'élevage, viennent d'être reconnus au confluent du Mangarahara et de la Sofia, aux sources du Mananara et dans la cuvette d'Amparihy. Cercle-annexe dela Grande Terre. — Le commerce est des plus actifs dans les différents secteurs, surtout dans la basse plaine du Sambirano et la vallée de la Ramena, mais il est presque exclusivement absorbé par les Indiens et les Comoricns. Ces derniers font en général le trafic des étoffes à bon marché, qu'ils échangent souvent à gros bénéfices contre les produits naturels du pays: riz, caoutchouc et cire. Les importations consistent en verroterie, bimbeloterie et spiritueux. Le commerce des bœufs avec Diego-Suarez et TOTAL 350.643 kg. Vohemar s'est considérablement ralenti. L'indiDans son ensemble, le mouvement commer- gène, moins imprévoyant que dansle passé, ne cial du 26 trimestre est sans changement appré- se dessaisit plus voloatiers de ses troupeaux. ciable sur la période précédente; toutefois, il y L'industrie est limitée à la confection de raa augmentation en ce qui concerne les produits banes, de nattes et à la fabrication de quelques naturels, cire et caoutchouc en particulier. La poteries grossières, lesquelles tendent même à vente de certains articles d'importation, tels disparaître depuis l'introduction dans le pays quetissus, toiles imprimées, satinettes et alcools des tissus et ustensiles usuels à bon marché. La récolte du riz faite en juin dernier a été (rhum et absinthe) est des plus actives. La plud'un rendement un peu supérieur aux prévipart de ces produits sont d'origine française. Le nombre des patentables au 1erjuillet s'éle- sions, si bien que des réserves de paddy ont pu vait à 384, chiffre relativement considérable, si être constituées dans tous les villages. on le compare au dernier reensernent, Il y a Les cultures accessoires, canne à sucre, ma-

nioc, patates, maïs, citrouilles, etc., sont « excellent rapport et entrent pour une laiv part dans l'alimentation des indigènes. VARIÉTÉS Notes sur la culture et le commerce de l'amande de coco lei L'étude ci-dessous, qui paraît présenter pour!ité. planteurs de Madagascar un intérêt d ac est extraite du No56 de la Revue des cut coloniales. * » Il ne sera pas sans intérêt d'jndiqur les avantages que peuvent retirer nos colonie, la culture du cocotier, et ceux dont en sa profiter les producteurs de cet articlepourra'^ tachant à donner tous leurs soins a la reco, de l'amande de coco.. Plusieurs de nos colonies qui sont Par lièrement bien placées pour cette prodiletion pourraient trouver dans le développement "i' cette culture un aliment de prospérité C dérable. La réalisation et la vente à bon Pell de la récolte en amandes de coco se feitPei, effet avec la plus extrême facilité sur toilsles principaux marchés du monde et, particule ment a Marseille. '00 Mais il serait important, et c'estla co qui résultera de ces notes, que la cueillette all point de maturité voulue et le séchage di' l'amande du fruit soient faits dans les co" tions de soins et de propreté indispensabit, une bonne utilisation commerciale du prod il Ce soin dans cette culture influence déjà se blement la valeur de l'amande de coco etoe peut manquer, dans la voie de perfer-1 live, ment et de progrès dans l'emploi de l'h11' àre, coco où marche l'industrie actuelle, depl'eo une importance croissante. , ,c Un coup d'œil sur les différents paysPol lt teurs et sur la manière dont les industrie *ft producteurs de ces différents pays tirent rii de ces marchandises ne sera pas sans in pour le commerce de nos colonies.. le Les principaux pays producteurs sont:les îles Philippines, les pays du détroit de MalaocOI les îles de la Sonde, Java, Sumatra,Bor ¡lei' les Célèbes, la majeure partie des îles dLl i ede la les Indes fique, anglaises (Ceylan et c" Malabar); et parmi nos colonies: la Coc j,jp' la Nou"e chine, Nouvelle-Calédonie, les cÓtC Hébrides, le Dahomey et les pays de lataio, de Guinée; enfin, dans tid avenir proc IrjJ,Ii' de Madagascar, oùse font en ce moment 8 des plantations. On peut ajouter encoreles bilr. nies étrangères de Mozambique et de ZaOzbat, Bien que l'on ne puisse pas dire que férences bien sensibles existent dans cedeirllit, 's je qui se trouve partout à peu de chose r même lorsqu'il est soigné de la rnêrnefgÇoc. des différences très sensibles de qualité , e%lb, tent dans les amandes de coco expédiéespar ces différents 1 au différences dues P1 i pays, moins de soin apporté a leur séchage botC leurs manipulations diverses depuis la eot. de la noix de l'arbre jusqu'à ilembartie Les deux principales méthodes de precol, etJe gt tion sont tout d'abord le séchage au feu séchage au soleil. bilW Tandis que certains pays, tels que les oieot pines et Pontianac par exemple, nous en des amandes de coco noirâtres, ayO)3 psr odeur prononcée de fumée et c0p' dont],h,Llé cao' suite une couleur foncée et une rancldl


JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES ta' ,e, donnant aussi un tourteau alimea- colonies du Cap et, dans de moindres proportaireInfàrieur, d'autres pays et particulièretions, les pays du nord de l'Europe. Pour ces emplois spéciaux, l'amande de coco mentCeYlan,la côte de Malabar, l'île de Java tiOusp nv°'ent des amandes de coco blondes, est débarrassée de sa pellicule grise extérieure, l'ierchair blanche, donnant des produits supé- parfaitement desséchée et nettoyée, puis comme huile et comme tourteaux. faciles à des appropriés appareils coupée, par L 1* S3 nîfl>' ou moins fins et en morceaux concevoir, plus de valeur commerciale actuelle - ence dimensions. différentes lamelles de extrêmement grande e[la eté jusqu'à prél'amande de coco, quand elle En cet entre les hautes et état, plus leSpiu Ya toulefoi est de qualité parfaite, ne conserve presque une différence d'enviqualités l'onPa hasses &en ,as4, francs par cent kilos, correspondant aucun arôme sui generis et est souvent em®eiiviP<00/0 de la valeur de l'amande sur ployée en remplacement des fruits de l'amandier. , lesrnarcbéseuropéens. Cet exposé succinct des emplois toujours mais celte différence de valeur doit forcé"lenttendre il augmenter et c'est là un point plus importants et pour ainsi dire illimités de l'intérêt fait voir nos l'amande de coco que serait fort utile croyons qu'il Supleq,in°lls à développer auraient colonies intertropicales coloention de nos producteurs d'une part la production def..savons cette culture, et l'importance qu'il y aurait ear elles à généraliser de bonnes méthodes et pour tend supérieures àaugdequalitéshl anches dansla préparation de la récolte, ainsi que le huiles blanches et parfaitement 6nesr, les nesde"enant par suite de plus en plus recher- vaste champ laissé à l'initiative des industriels s'en'est le débouché dans ces dernières années locaux par le parti qu'ils pourraient tirer sur bles aceru dans des proportions considéra- les lieux de la préparation des plus belles quapeut prévoir aisément une augmen- lités d'amandes de coco. ÍatioeOn e EMILEROCCA. 811SC Vd^eilrPapce se,,l fait des amandes b, ()'alltPtlbles de produire de belles qualités. r"autrePart, dans ces dernières années, un emnou a été découvert pour l'huile de coco TÉLÉGRAMMES REUTER diretCest adaptation aux usages comestibles le 2 Septembre apportés on est à arrivé un laquelle hfects Pur degré le paquebot « Oxus » par bsolude l'huile comestible, et sa fabicatie ouché dansln par conséquent, représentent déjà 11 août. t Aden, 8 le Inonde un chiffre considérable en acSir Buller a traversé le Vaal à BeguiIssertlent constant. il escarmouches; derlyn après quelques il est indispensable se fabricatign, pourcette dirige vers Ermelo. î*v°irdesmari<^es^ecoco parfaitement saines Le colonel Burrough a renforcé la garaussi parfaite que possible, et l'on nison de Coumassie et l'a ravitaillée m peJlalité pourd'une COmpter façon certaine pour le trois mois. Il a infligé deux sérieuses déIrlOIrlellt SUI' les qualités expédiées de faites aux Achantis CeYlan t que de Coumassie, près IlUtl'eR dela côte de Malabar, et sur certains en exécutant de très belles charges à la baïonnette. Le lieutenant Green, du régitPes lots ï^ePti0Qnels qui se rencontrent de Singapour. Les provenances ment des Indes occidentales, f..-aro et quatre (jsaïg0n °Qviennent aussi très bien lors- hommes ont été tués; de trois offiplus, Ce Sont soignées. ciers et 45 hommes ont été blessés. Gen0l,yfU4 marché des usages comestibles 12 août. Aden, celui des huiles extra-blanà ,Cft cvhQatlts'an1 l'déePar Lord Kitchener a livré combat à l'arriètourteauxac-de re-garde de de Wet; lord Methuen lui a "rIe, amsl que aaux prclcrencc di. tncodqualités Parfaites font prévoir à bref aussi livré combat. te^ mnm ent 011 les graines les plus belles 13 août. Aden, et obtiendront par rapau* il mnquer La Chine s'est plainte à M. Delcassé du n dp,Pl graines.de qualités inférieures des retard des Ministres à accepter une escordé' Plt's en Plus élevés. a M. Delcassé te. les Minisrépondu que rl-Petons, i l tous les appartientà keliriotisle ne pouvaient avant que la tres partir de faire de pouvoir cteups He ..®°Prah ne fût la route Chine sûre; complètement bien le soignent et ePéditioIts toition rini'tls séchage prouverait sa sincérité en mettant fin aux les alliés. obstacles que rencontrent Pa lon de eleur récolte. Ors d En dehors de la simple pus-value obtenue Lord Roberts rapporte, le 11 août, que par les quelquessoins indiqués ci-dessus, il lord Methuen a capturé, le 9, six wagons signaler aux producteurs et et deux fusant ri ambulances, puis a rejoint Lord J^nalcr aux producteurs et Kitchener, et que l'ennemi s'enfuit devant '^uc» , els des ®°!0I,ies françaises intertropieux. tûir,n". aux'In glais de Cevianet de la côte de de Sir Buller a occupé Ermelo sans ap oppof, ont de leurs amandesdecoco. coco. bientôt de général sition. Il rejoindra nllt,,e Les Outreles * belles qualités d'huiiie qu'ils extrai- French, qui est arrivé à Carolina. Potexpédient dans le Boërs se sont retirés au nord-est. qu ils cela même avant que ces chefstroom et Zeerust ont été évacués. ^Oh^e entie.prPf en Europe], ils prépa- Sir concentre les forces dispo^infis se trit„P a8sent Carrington coco pour une foule ^nti.atnaadeHftde la d'usages nibles à Mafeking. Le gros de l'armée de h" gand"l'le qui l'emploie de Wet a apparemment échappé aux Andansl'industrie de la confiserie, confiserie, qui nombreux pays, glais. De Wet rejoint probablement De la cUlièrern n It dans de ent l'Amérique, l'Angleterre, les Bey.

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L'Amérique, répondant à la communi- v cation de l'édit désignant Li-Hung-Ghang pour négocier la cessation des hostilités, a catégoriquement à refusé de traiter, moins que la Chine ne se conformât aux demandes qui lui étaient faites. Aden, 14 août. Le général Chaffee rapporte que les alliés sont arrivés le 9 août à Ko-Si-Wu, à mi-chemin de Pékin. Dans sa réponse, l'Amérique exprime le désir de s'entendre avec les puissances, à l'effet de s'abstenir de démonstrations hostiles, mais à condition que la Chine à une partie des troupes de permette secours de se rendre à Pékin pour escorter les étrangers. avant d'évacuer ZeeSir Carrington, rust, a brûlé les provisions. Beaucoup de réfugiés sont arrivés à Vryburg. qui se prépare en vue de résister à une attaque. D'après des nouvelles officielles japonaises et russes au sujet de Yang-Tsun, les Anglais, les Américains, les Russes et les Français et une partie des troupes japonaises s'avancent sur la rive gauche du Peï-Ho. le reste des troupes japonaises était sur la rive droite. Le thermomètre Les fortifications ont à 400° Fahrenheit. été prises d'assaut, après un combat qui a duré trois heures. j Aden, 15 août. officiellement de Paris On annonce à exprimées qu'en raison des craintes diverses reprises par le consul général de France à Shang-Haï, concernant la sécurité de la ville, des mesures seront prises afin de protéger la concession française. L'amiral allemand télégraphie que quatre seront arrinavires de guerre allemands vés dans quelques jours. Lord Roberts rapporte, le 13 août, que le field-cornet de Boshof, avec 182 hommes du comman-rlo de Standerton, se sont rendus à Sir Clery. Il y a eu d'abondantes pluies dans l'Inde. On annonce de Shang-Haï, le 4 août, que les troupes indiennes sont arrivées, en raison des mais n'ont pas débarqué, du vice-roi, cédant à l'inréclamations et russe. fluence des consuls français attend des instrucL'amiral Seymour tions. Deux navires de guerre russes et un navire de guerre français sont arrivés. Suivant les dernières nouvelles venues Elandsriver tiendrait toude Pretoria, jours. Des pertes légères auraient été subies par les Anglais. - Sir Gaselee rapporte que les pertes anétaient d'environ glaises à Pei-Tsang vingt-cinq, et à Yang-Tsun de cinquante. Aden, 16 août. Store est arUn message du'colonel rivé à Mafeking et confirme la nouvelle Sir que les troupes tiennent toujours. Carrington a reçu l'ordre de retourner à Zeerust; le général Hamilton a fait savoir qu'il était nécessaire de secourir le colonel Store. D'après des rumeurs de source chinoise, tes alliés seraient arrivés lundi à Pékin,


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auraient forcé une et secouru les porte de légations le 14 août. On annonce Shang-Haï, à la date du 15 août, qu'à une réunion des consuls, il a été décidé qu'il n'y avait pas lieu de s'opposer au débarquement des Anglais; mais ils ont également déclaré que les autres puissances devraient agir de même. Devant ces déles Anglais ont menacé de clarations. retirer complètement Le leurs troupes. du Times à Shang-Haï correspondant redoutant des rapporte que l'Angleterre, a ordonné complications internationales, du débarquement. l'ajournement De la Rey occupe Kustenburg ; de Wet s'y rend en toute hâte, Aden, 17 août. Sir Buller a fait sa jonction avec le général. French. Les alliés ont capturé Chan-haï-Kouan, après avoir subi de légères pertes. Cinq cents Chinois ont été tués; le reste s'est enfui. A la cour martiale tenue à Pretoria au sujet dela tentative d'enlèvement de Lord d'arRoberts, Cordua, ancien lieutenant tillerie dans l'Etat libre d'Orange, jugé le premier, a reconnu sa culpabilité. Les transports anglais ont quitté ShangHaï, se dirigeant vers le nord. Les troupes sont arrivées à Ko-si-Wu juste à temps pour empêcher l'achèvefaits ment des travaux de canalisation dans le but de dessécher la rivière Peï-Ho, et afin d'arrêter la marche en avant des troupes des alliés. Les alliés sont entrés à Pékin sans opposition le 16 août, et les légations ont été secourues. Aden, 18 août. De Wet, grâce à sa parfaite connaissance du pays, qui lui a permis d'exécuter des marches de nuit, a réussi à échapper à Lord Kitchener, malgré les vigoureux De efforts de celui-ci pour le poursuivre. les ofWet a relaxé tous les prisonniers, ficiers exceptés. deLes troupes anglaises débarqueront main à Shang-Haï. Lord Kitchener a secouru Elandsriver, après une marche forcée. Les détails varient sur la date de l'arrivée des alliés à Pékin. L'amiral japonais rapporte que les alliés ont attaqué la porte est de Pékin, le 15 août, et sont entrés dans la ville dans la soirée, après s'être heurtés à une résistance acharnée ; ils se sont immédiatement portés au secours des légations. Les pertes des Japonais sont de 100, et celles des Chinois de 300 hommes. Aden, 19 août. Les alliés sont entrés à Pékin dans la soirée du 14, après un jour de bombardement. Les Japonais et les Russes étaient au nord du canal de Tung-Chou; les Anglais et les Américains, au sud. Les murailles ont été défendues avec acharnement. Les Japonais ont fait sauter dans la soirée les portes est de la ville tartare; en même temps, les Anglais et les Américains entraient dans la ville chinoise Toutes las par la porte de Tungpein.

sur les légations, troupes ont convergé où les ministres et leur personnel ont été trouvés sains et saufs. Les troupes anglaises ont commencé hier à débarquer à Shang-Haï; en conséquence, les Français ont pris leurs dispositions pour débarquer dans leurs concessions cent cinquante marins. Le correspondant de Reuter à Pretoria rapporte que de Wet a paru devant Commandonek, occupé par le général Baden Powell, et a envoyé un pavillon parlementaire pour demander au général de se rendre. Le général Baden Powell a répondu, en demandant dans quelles conditions de Wet voulait se rendre. Le contre-torpilleur français Framée a été coulé dans une collision qu'il a eu avec le Brennus devant le cap S'-Vincent. Cinquante hommes ont été noyés. Unautre accident s'est produit hier soir sur un pont provisoire à l'Exposition ; il y a eu deux tués et un grand nombre de blessés. M. Edmond Rostand a été fait officier de la Légion d'honneur. -» Aden, 20 août. Sous le prétexte d'une demande de cade Wet a pu savoir que la pitulation, était forte, et garnison à Commandonek il a repris sa marche vers le nord. Il a été immédiatement couvert par le général Baden Powell. L'amiral Bruce rapporte de Che-fou, le 19, qu'on continue à se battre dans les rues à Pékin, dont une partie est en train de brûler. Yung-Su a empêché l'impératrice de partir. Les Chinois font une dernière résistance dans la ville intérieure, que les alliés entourent et bombardent. est parti de Le général de Waldersee Berlin pour la Chine; il a été très acclamé. Le général Grodekoff télégraphie que les Russes ont conquis la rive droite de « l'Amour ». Aden, 21 août. D'après les dernières nouvelles de Pékin, les alliés contournent toujours les terrains chinois du palais impérial. Lia été tué pendant le combat. pin-Ghen officiel chinois de D'après un rapport et l'empereur Shang-Haï, l'impératrice étaient, de par la volonté de Tuan, à 60 milles à l'ouest de Pékin. Lord Roberts rapporte quer le général le 19 Hamilton a occupé Olifantsnek, août, et a pris deux canons Krupp. Six cent trente-quatre Boërs se sont rendus jusqu'ici à Harrismith. le 18 août, que de Wet On rapporte, était à vingt milles de Pretoria et se dirigeait au nord-est ; ce qui prouve qu'il a quitté l'ouest du Transvaal. D'après des nouvelles de source américaine, les Anglais et les Américains sont entrés, le 14 août, par la porte située du côté des légations, après une faible résistance. Les Japonais se sont heurtés, à la porte de l'est, à une sérieuse résistance a duré depuis le matin jusqu'à minuit. qui Un grand nombre de Chinois ont été tués. Le personnel des légations souffrait de la faim.

Aden, 22 aoûtCardua a été reconnu coupable sur les chefs d'accusation. Le jugement tto , 50 ce soit l'affairé ajourné jusqu'à que mise à Lord Roberts. l'M' Baden Powell a 20aoûat, 1 r, de Decorabattu,le Wet et De la Rey" rière-garde o. sont également poursuivis par Hamil*^ L'intention de De Wet est évidemment Buschweldt pour ope marcher jusqu'à une concentration générale avec BOOÓO On rapporte de Tien-Tsin quearti" hommes de troupes chinoises sont P^r. pour Peï-Tsang et 5.000 pour Tung-GJ ce Le télégraphe est coupé. L'amiral Br", de Takou, le 19 août, télégraphie les alliés sont, dit-on, entrés, le 17 atl' dans la cité sacrée. Les vice-rois de ï* kin et du Hou-Nan ont promis de 111 tenir la tranquillité dans le sud de de Chine, à condition que la personne 1 douairière fût respectéel'impératrice Aden, 23 août.,¡ L'amiral Bruce télégraphie le 20 de Takoq, que le "bruit court a battu, le 19, à six milles au sud de 1 ji Tsin. Le général Chaffee télégraphie ore en est possible que l'on combatte core beaucoup autour de Pékin et entre pe8Íe et la côte. D'après une dépêche jap°n, officielle, l'impératrice, l'empereur e ¡1e ministres, escortés par 3.000 hoaIllIotJri troupes, se seraient enfuis quatre J avant la prise de Pékin. sovt Les généraux Frencli et Buller se Vai!' avancés simultanément hier 138(' jusqu à huit milles au nord de nuyk, CiSw3rie Buller a rencontré de la résistance, a subi peu de ro en pertes. Waldersee s'est Le-général de 3 qué hier soir. iS franÇaric Une partie du contingent etec rejoint la colonne et a participé à P 0 de Pékin. L'avant-garde allemandId arrivée le 17. m, Londres, 25aOipi. et ex-roi de Coumassie Prempeh, ef au~ ancien roi de Kokofu, déportés çhelles, ont quitté Sierra-Leone. MADAGASCAR ET DÉPENDANT5 CURATELLE aux successions et biens vacaI1tS AVIS

dl':

Le receveur de l'enregistrement e curateur aux successions Sppfl domaines, vacants, informe les intéressés qu'il hendé comme vacantes les successiolls de: # JJ1' Ie De Laroche de Lapeyrière, déec, le Antsasaka (district de Vatomandy) I 1900. le ye 28 Ballière Joseph, décédé à Tarnatag le1; août 1900. 3° Constant Sainte-Marie, décédea l'bÓpl' <)p'" j de Tamatave le 18 août 1900. a 4° Quétin Philibert, charpentier, Il 5 Tamatave le 23 août 1900.. U5 ¡ri Les créanciers de ces successlOor ICI j priés de déposer au bureau du curate titres et factures. Fait à Tamatave, le 26 r Le Cura/eU' A. LOTA-


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de réception

EXr STANTT itladdatedu la 1..JCI L'KiET 1900 -

et de

répartition Juillet

NOMBREET NATURE des colisreçuspendantle mois dejuillet1900 flanelle., 1 caisse<Jeuxdivers ( Ceintures Papierà lettre.

d'assistance des sociétés des dons — (Place de Majunga) 1900.

SOCIÉTÉSDONATRICES

Union desFemmesde France

4727 reçus

pendant

le mois

de

Cessmau commandant d'armesde CESSIONS CBSSi3n RESTE ancommandant d'armes d e o:s g en magasinau opérées au gg, g CIl S C '2 C; -g CHEF .0:1 MIÎDKCIN 1"AOÛT 1900 .,:'.:! 0:1 o0 <.0 >s G Õ 0 E-< rn .=;::as s a ! £ i. £ I.L I.I. »

* „ 24caaiisssseess) j '8 ^Union des Femmes de France 20 caisses. 5 caissesLait coucentré.Union des Femmes de France. Mîvdoc-^Sociétéde secours aux blessés 4 caisses. ** 5 caisses ux France caissessociété desecoursade Lait l Union des Femmes » '> 3 craiiis«seM 6 lInotis s Li nivrre« s enconcentré « blessés. 12 1 caisse M. le Baron d'Anzers » 1 grandecaissemédicaments en 18cais-UniondesFemmesde , settes » 3 caissesLait condensé., .,., France. UniondesFemmesde France , 20 caissesMédoc.,.,. Comitéde SaintPierre-sur-Dives Il 2 caissesMedocet Champagne.,. Sociétéde secoursaux blessés » » „ 2 caissesLivres , 1 caisseLivres » M. le Barond'Anzers Il 1 caisseLivres. Dondes éditeurs 4» » divers id. » »»»,»»..»

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son intention de soumissionner et ses références. Les références consistent en une note émaCaLONlE: DE MADAGASCAR nant du candidat et énonçant le lieu, la date, la nature et l'importance des travaux qu'il a DIRECTION exécutés, ainsi que les noms, qualités et domiDES TRAVAUX PUBLICS ciles des hommes de l'art sousla direction desfSîIUJCTIOlT DE CHEMIN DE FER quels il les a exécutés. Les certificats délivrés par les hommes de l'art sont joints à la note. Vigile d'Anivorano au Mangoro Le déclaration et les références devront être adressées, un mois au moins avant l'adjudicattRRASSEMENTS ET MAÇONNERIES tion, à l'inspection générale des travaux publics au Ministère des Colonies pour les personnes qui désirent soumissionner en France, EN DEUX LOTS ou au directeur des travaux publics de MadaA!UDlCATI0N la salle des séances de la com- gascar, à Tananarive, pour celles qui désirent In¡ssirls, dans tnissio des marchés, rue Jean-Nicot N° 4bis. à soumissionner à Madagascar. Les déclarations et références déposées en loei**e8 1/2 de l'après-midi, le 19 octobre yOo; France seront examinées par une commission dans les bureaux de la direc- de cinq membres nommée à cet effet par le IQlld narlve, le avaux 19 octobrepublics, à 5 heures 1/2 du Ministre des Colonies. Cette commission, com1900. de l'inspecteur général des travaux puposée blics des colonies, de trois membres du co19 en mité des travaux publics et d'un inspecteur n, °to^re 1900, il sera procédé, atlce PdUbhque,aux endroits et heures indi- des colonies, arrêtera la liste des entrepreneurs qui seront admis à concourir en France. @ Les déclarations et références déposées a Pa" la commission des marchés; commission Madagascar seront examinées par une comn<T Tanai\Par *a commission des marchés qui sera ; nomméeil Ceteffet. mission de trois membres nommés à cet effet oUrni:JUdication en deux lots au rabais, sur par le Gouverneur Général. Cette commission, des travaux de terrasse- composée du directeur des travaux publics, CHCJu etées, 11!8 et <i0niaÇ°nneries du chemin de fer d'un ingénieur ou officier du génie et d'un Cestr tfavaux ano vau Nangoro. fonctionnaire, arrêtera la liste des entrepresont évalués comme suit: neurs qui seront admis à concourir à Madagascar. , ,. 1erlot 21,lot ^filvaux 1 décision dde la 1 commission d, Notification dde la 1.164.000f. 2.051.000f.f. sera faite aux intéressés par le président. ~~n "entreprise ()It}tIles Va nlOtr. teprise t.i64,OOOf, 136.000 269.000 — Forme des soumissions II. 1.300.000 2.320.000 10nn Les soumissions devront être conformes au proviprovl,C¡¡aireellient les rabais fractionnaires modèle ci-après; %oirenement sont interdits; toute fraction de centime seUf^ntdéfiai. 19-°00f' 30-00°f' le cas échéant, comptée pour un centime. tir.. rait. 38.000 60.000 f\ft- ,., Toute soumission qui ne sera pas accompagnée du récépissé de versement du cautionneCONDITIONS PRINCIPALES DE L'ADJUDICATIONment provisoire ou qui ne sera pas conforme au modèle sera déclarée nulle et non avenue. 1. à l'adjudication III. — Envoi des soumissions ti Nni Tâ l'adjudication Nul S'ist concourir aux adjudicaL'ouverture des soumissions des concurrents ad mîîl8-a ne produit une déclaration indiquant admis à soumissionner aura lieu le 19 octobre R.ÊPUBLIQUE FRANÇAISE "IBERTÉ - EGALITÉ - FBATBXNITB

1900, simultanément à Paris, dans la salle des séances de la commission des marchés, Ng4bis, rue Jean-Nicot, à 2 heures et demie de l'aprèsmidi, et à Tananarive, dans les bureaux de la direction des travaux publics, à 5 heures et demie de l'après-midi. Les soumissions, placées sous enveloppes cachetées, pourront être adressées par lettres recommandées ou remises directement avant l'adjudication, soit au président de la commission des marchés N° 4bis, rue Jean-Nicot, Paris, par les personnes ayant déclaré vouloir soumissionner en France, soit au directeur des travaux publics à Tananarive pour celles ayant déclaré vouloir soumissionner à Madagascar. Le délai de réception des soumissions par lettres recommandées cessera la veille de l'adjudication à 5 heures du soir. L'enveloppe extérieure de ces lettres devra indiquer l'entreprise à laquelle se rapporte la soumission et l'enveloppe intérieure portera le nom et l'adresse du soumissionnaire. A la séance d'adjudication, sera déclaré adjudicataire provisoire, sous réserve des résultats obtenus dans l'autre lieu d'adjudication, le soumissionnaire qui aura fait l'offre d'exécuter les travaux aux conditions les plus avantageuses. IV. — Prescriptions spéciales en cas da rabais égaux Si le rabais le plus fort est souscrit par il sera ouvert soumissionnaires, plusieurs séance tenante, par chaque bureau, un nouveau concours, mais entre ces soumissionnaires seulement. Les rabais de cette nouvelle adjudication ne pourront être inférieurs à ceux de la première. toute Ils pourront être faits en centimes; fraction de centime serait, le cas échéant, comptée pour un centime. Si les soumissionnaires se refusaient à faire de nouvelles offres ou si les prix demandés ne différaient pas encore, il serait procédé à un tirage au sort entre ces soumissionnaires. Le résultat de l'adjudication à Paris sera transmis télégraphiquement au Gouverneur Général de Madagascar. En cas de rabais égaux consentis à Paris et à Tananarive par les deux adjudicataires provisoires, il serait procédé à Tananarive à un


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tirage au sort entre ces soumissionnaires dans une séance publique qui se tiendrait le 24 octobre 1900. Il serait procédé de même dans le cas où des rabais égaux seraient offerts à la première adjudication par deux soumissionnaires dans l'un des bureaux et par un soumissionnaire dans l'autre. Les réadjudications n'auront de valeur pour la désignation de l'adjudicataire définitif que si la comparaison des offres faites aux adjudications primitives simultanées n'a pas donné de résultat permettant la désignation de l'adjudicataire. « 7. - Résultat définitifde l'adjudioation Les adjudications et réadjudications sont subordonnées à l'approbation du Gouverneur Général de Madagascar. Si l'adjudicataire n'a pas versé dans le délai prescrit le cautionnement définitif, le montant du cautionnement provisoire est acquis à la Colonie. VI. — Frais à la charge de Tadjudicataire Les adj udicataires versent à la trésorerie le montant des frais du marché. Ces frais, dont l'état sera arrêté par le directeur des travaux publics, comprendront les frais d'expédition du cahier des charges, du bordereau des prix, du détail estimatif et des autres pièces expressément désignées par le cahier des charges, ainsi que du procès-verbal d'adjudication et des droits d'enregistrement tels qu'ils résulteront des lois et règlements en vigueur. VII. — Communication des pièces aux entrepreneurs Les pièces du projet seront communiquées aux entrepreneurs tous les jours, excepte les dimanches et jours fériés: A Tananarive, dans les bureaux du directeur des travaux publics de Madagascar, de 8 heures à il heures du matin et de 2 h. 1/2 à 5 h. 1/2 du soir; A Paris, dans les bureaux de l'inspecteur général des travaux publics des colonies, de 10 heures à midi et de 2 heures à 6 heures du soir. Les pièces du dossier peuvent également être consultées à Tamatave dans les bureaux du chef du service des travaux publics. Un exemplaire des cahiers des charges est également déposé à Majunga dans les bureaux du chef du service des travaux publics. MODÈLE DE SOUMISSION 1 Soussigné (nom, prénoms et demeure) faisant élection de domicile à , après avoir pris connaissance de toutes les pièces du projet des travaux faisant l'objet de l'adjudication du 19 octobre 1900, pour l'exécution des terrase lot du chesements et maçonneries du min de fer d'Anivorano au Mangoro, à soumets et engage exécuter les dits travaux conformément aux conditions du cahier des charges générales et à celles du cahier des charges spéciales à ce lot, et ce, moyennant un rabais de sur les prix portés à la série de prix, d'après laquelle a été établi le détail estimatif s'élevant à la somme de engage en outre, à payer les frais d'impression à cent exemplaires du cahier des charges générales, du cahier des charges spéciales, de la série des prix et du détail estimatif, des procès-verbaux d'ouverture des plis et d'adjudication, de la soumission, ainsi que les frais de timbre et d'enregistrement auxquels la présente soumission pourra donner lieu, si elle est acceptée. 1900. le Fait à (Signature ).

":M_I!!IiiJ RECTIFICATION

Ny mangatakamanambara, fa araka ny faaJ, tarany ny amin'izany fananana tany voalazant dia tSYnusv natao anto-Iavatrolona, ary tsy a(' nan'oion-kafa, na ankehitriny na amin' ny hOlkiti! Nv andro hamaritanaio tany io, dia efa nara'|| M. Ie chef du service topographique amin åina. décembre 1900,amin'ny81amanlaranandrorna ., ttP;1 tøJI. NyMpitahiryny amin'ny fananan LOUSSERT.

Suivant réquisition du 28 juin 1900, N° 1086,M. A. Lota, receveur des domaines, agissant au nom et pour le compte de l'Etat français, a demandé limmatriculation d'une propriété sise au lieu dit Vatobe,district de Mahanoro. Cette propriété, qui a été appelée Flora il, portera le nom de Vmto-omby t c'est par erreur que .! la réquisition porte que le concessionnaire de la RÉQUISITION N*314 dite propriété s'appelle Leymour, alors que c'est Sevmour. Suivant réquisitiondu 18 août 1900, M. le 22 Août1900. Tamatave, receveur des domaines, agissant au. n2:ao»" Marc, | Le Sous-Conservateur dela propriétéfoncière pour le compte de l'Etat français, domiciliéa de à Tamatave, Ié a demandé en l'immatriculation, lantsoa, qua éc'a A. LOTA. a il d'une à propriété laquelle propriétaire, vouloir donner le nom de Tsabalnlangy, oc coogie Ao, dit tant en des rizières situées à Midongy,lieu FANITSIANA uS dramv, province d'Ambositra.. e Araka ny fangatahana tannn*ny 28 juin 1900, Cette propriété, occupant une superficie 0tf® jflgl N* 1086,M.A. Lota, recevenr des domaines, manao hectare quatre-vingt-dix-neuf ares quatreamin' ny anaran' ny Fanjakana Frantsay, nanga- centiares, est limitée : uoe Au Nord,par des terrains domaniauxet par taka ny' anoratana amin' ny bokim-panjakana, ny S tany anankiray ao Vatobe, faritanin' i Mahanoro. rizière à Rainizafy; A l'Est, par la rivière Tsahalalangv; Izany tany izany izavnomena anarana hoe: Flora Au Sud, par des rizières à Rasolamaha; II, dia novanaanarana, ka atao hoe: Vato-Omby, A l'Ouest, par des rizières à Rainizafy. ceI! ny anaran'ny concessionnaire amin' io tanv io dia Le requérant déclare qu'à sa connai. Seymour, fa fahadisoana no nahatonga azy hoe: ssa^ce pi n'existe, sur la dite propriété, aucune Céhariitue'Levmour. aucun droit réel immobilier actuel ou veefdO Toamasina,22 Aout 1900. M. Le a été fixé bornage provisoire par amin' fananana le. C8é; Jef)' Nylefitryny Mpitahiryny ny tany service 9 au octobre 1900, a ao Toamasina, topographique res dumatin. A. LOTA. Le SousConservateurde la propriété à Fianarantsoa, RÉQUISITION N° 1430 ROUSSEL" l, Suivant réquisition du 29 août 1900, dame Raj° zaiavinoro,propriétaire, épousede RazafimananLsoa, N. 314 FANGATAHANA ex-prince des juges, aujourd'hui en exil en l'île de j, la Réunion, domiciliéà Tananarive, quartier Amtiff Noho août tamin' 18 ny fangatahana ny i90 batonakanga,rue de l'Amiral-Pierre,N*17, a demandé Roussel Marc, receveur des domaines, mana tsoBt l'immatriculation,en qualité de propriétaire, d'une an' ny Fanjakana frantsay,moninaao propriété à laquelle elle a déclaré vouloir nangataka ny anoratana amin' nj Rejistry n Fianara donner le nom de maison Delphine, consistant en oaraø1 la no tompon' ny tany izay nami> une maison principale, autre maison servant de jakana, izy anarana hoe: Tsahaiaion3»' (atl' tianynomena cuisine, dépendances et cour situées à Tananarive, sy AndrarnY, ataohoe, tanimbary, ao Midongy, rue de l'Amiral-Pierre quartier Ambatonakanga, tanin' Ambositra. si * n. a~,; Izany tany izany dia misy iray hectareJavsitf Cette propriété, occupant une superficie de amby sivifoloares, valo-polo centiares ny ares soixante-treize centiares soixante-dixquatre arv izaono mamaritra azy: huii décimètres carrés, est limitée: tatli(l1' tan~~ ny dia lavavolo sy Ny Avaratra, ny tany Au Nord, par la propriété de Ramilia; barin-dRainizafy ; A l'Est, par la rue de l'Amiral-Pierre; Ny Atsinanana, dia ny renirano Tsahala:, Au Sud, par les propriétés de Raivo et Rainidia nv tanimbarin-dRavolarnan*' Atsimo, Ny baRona; Nv Andrefana, dfa ny tanimbarin-dRainiz3' A l'Ouest, par les propriétés de Rainikotovaoet Ny mangataka manamhara, fa araka ny 1 Rainisaonina. ny amin' izany tany voalaza izanYànatlaØ anav La requérante déclare qu'à sa connaissance il tarany natao an atavatr' tsy anauajJ olona, olo~a, misy anto-javatr' j ary a~y sur la dite aucune ni n'existe, propriété, charge na ankehitriny na amin'~ny halllJ'; aucun droit réel immobilier actuel ou éventuel. olon-kafa, efa andro hamaritanaio io dia tany Nv a été fixé M. Le bornage provisoire le chef M. fe chef du service nar w par topographique, arn,'! du service topographique au 18 décembre 1900, à octobre i900, amin' ny 8 famantaranan 8 heures du matin. raina. 1 Ø1 Le Conservateurdela propriété foncière, Nylefitryny Mpilahirvny amin' ny fananana LOUSSERT. ao Fianarantsoa, ROUSSEL, : FANGATAHANA N°i430 N*315 RÉQUISITION Noho ny fangatahana tamin' ny 29 août 1900, 1 Razaiavinoro,tompontany,vadin-dRazafimanantsoa, - 18 août osse1900, M. Suivant du réquisition prince taloha, lehiben' ny mpitsara,izay nasesi-tany ¡1I.C! au any Bouroon (la Réunion;ankehitriny, monina ao Marc, receveur des domaines, agissant làfigé Antananarivo, faritanin' Ambatonakanga, lalana pour le compte de l'Etat français. domicil»^ ^ujlt' rue de l'Amiral Pierre, N*17, nangataka nyanora- narantsoa, a demandé l'immatriculation.eD., tana amin' ny Rejistry ny Fanjakana, fa izy no de propriétaire, d'une propriété à laquelle r Ct vouloir donner le nom de BeomW,a ..elj a tompon' ny fananana tany izay nambarany sy tiany claré nomenaanarana hoe: MalllOB Delphine,mlsy trano sistant en des rizières situées à MidongY,* s lehibe iray, trano koa iray [lakozy]arv tokotany sy Ambalabe,province d'Ambositra.. oe Cette propriété, occupant une superfic'e<}ëL ny momba azy, ao Antananarivo, faritanin' Ambahectares vingt-huit ares quarante-trois ce tonakanga, làlana rue de l'Amiral-Pierre N*17. : IJOrll Izany tany izany, dia misy efatra ares sy telo est limitée Ra Au Nord, par des rizières à Ravelo, et amby fito-polo centiares ary valo amby fito-polo : decimetres care ny habeny, ary izao ho faritra Rajemes RalP A des l'Est, rizièresappartenant à par aminy: Rajemes, Rasamy et Raharo ; Ny Avaratra, dia ny tokotanin-dRamilia; Au Sud, par un ruisseau appelé Poroa Ny Atsinanana, dia ny làlana rue de l'AmiralA l'Ouest,par le même ruisseau et des jj Pierre; sllCe Ny Atsimo, dia ny tokotanin-dRaivosy Rainiba- domaniaux. Le requérant déclare qu'à sa connaissaollo nona; la dite propriété,aucune charge Ny Andrefana, dia ny tokotanin-dRainikotovao n'existe,surimmobilieractuel ou éventuel. droit réel sy Rainisaonina. *


JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES RÉQUISITION N. 311 provisoire a étéfixé par M. le chef Se au 10octobre 1900, à 8 "eUrpCs b au ?uservh io matin Suivant réquisition du 20 août 1900,Razafitsalama topographique le de en son nom et Denys, agissant pour compte Le Sous-Conservateur foncière de la propriété son épouse, dame RasoanivoJulia, domicilié à Fiaà Fianarantsoa, narantsoa. a demandé l'immatriculation, en qualité ROUSSEL. de propriétaires indivis, d'une propriété à laquelle il a déclaré vouloir donner le nom de SI.-Marie N" 315 FAXCATAHANA consistant en une maison en construction, cuiM, mmmmrnmmm arbres fruitiers, eucalyptus, maniocs, patates, sine, fff, 18 août 1900, M. rizières, terrain decultures, roches et bassin, situés tamin' fangatahana ny OUSsel an' nW aTc, receveur des domaines, manao ho à Fianarantsoa, quartier Marovato. Cette propriété, occupant une superficie de quato' nvpanj.akana frantsay, monina ao Fianarananoratana amin' ny Rejistry ny tre hectares trente-trois ares soixante-sept centsoa,nangatakany no tompon' ny tanv izay namba- tiares environ, est limitée: izy fatly Fanjakana, fa šana, Mmenaanarana hoe :HcomMiahy, Au Nord, par la propriété dite: Verger et par la ao Midongy, atao hoe, Ambalabe, route de Fianarantsoa à Ambalavao ; aritanin'ry* A l'Est, par les propriétés dites: Verger et SIhan mosltra. hanv tanyIZany dia misv enina hectares sy valo Denis; ares ary telo amhy efa-polo cenbaresj-na Au Sud. par la propriété de Rainiketabao et la ary izao no mamaritra azy : dite: Essling; tiares nyabèny; propriété Rahora 1 A l'Ouest, par la route de Fianarantsoa à AmbaNyAvaratra, dia ny tanimbarin-dRavelo,Rahora lavao. ary Rajems ; Le requérant déclare qu'à sa connaissance il asallJytnanana, dia ny an-dRainipano, Rajemes, sur la dite propriété, aucune charge ni N.,Àt- ryRaharo : n'existe, dia "y Iakandrano atao hoe, Poroa: aucun droit réel immobilieractuel ou éventuel. Nyx io lakandrano io niany sy oy Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef du service topographique au 9 octobre 19|0, à 8 nyAndrefana,dia Jakana. Nymangatakamanambara, faaraka nvfahafanta. heures du matin. voalaza izany,dia tsyIIJISVminIzanyfanananatany la propriétéfoncière Le Sous-Conservateur Je Oh)n-ka'f' nalaoanto-javatr' olona, ary tsy ananan' à Fianarantsoa, ROUSSEL. tr io tany io dia ny efaho naraikivHafa ankehitriny na amin' avy. M.Ieror,ahmaritana u service topog-raphique,amin' ny tryM. N*317 FANGATAHANA 900, amin' ny 8 famantaranandro maalQa,le chef Noho ny fangatahana tamin' ny 20 août i900, ^efitry ny Mpitahiryny amin' ny fanananatany RazatitsalamaDenvs, manao hoazysy ho an-dRaao FianaranhlOa, soanivo Julia vadihy, monina ao Fianarantsoa, nanROUSSEL. --------gatakany anoratanaamin'ny Rejistry ny Fanjakana, fa izy ireo no tompon' ny tany izay nambarany nomena anarana hoe: S"-Mario REQUISITION N*316 II, misy sy tiany S trano iray voaorina, lakozy, hazo mamoa, kininina, Uivant- , 'ISili août 1900, M. Roussel mangahazo, vomanga, tanimbary, tanimholv, vato re rliulition du 18 marce-ceveur des domaines, agissant au nom et arv aobo, ao Fianarantsoa, faritanin' i Marovato. l'Etatfrançais, français, domicilié à tLirUr le o^^1'5a dde lalla.rlItCompte p-l'Etat Izany tany izany dia misy tokony ho efatra hecdemandé l'immatriculation, en tares sy telo amby telo-pofoares aryenina amby propriété-à laquelle enim-polo centiares ny habeny <t ; ary izaono mamari il a eccdlae ri nr°p7e'*a're'^ u ne le nom de nova de tra azy: lq,,e,e,larevouloir donner dia ny tany atao hoe, Verger syny leCornnt'consistant en une maison occupée par Avaratra, Ny du district, cuisine, dépendances, lalambe avy ao Fianarantsoa mankany Ambalavao; ant de milice, magasin et jardin, Ny Atsinanana, dia ny tany nomena anarana uJ tte garde province d'Ambositra. hce, Verger sy Denis; siirhe^s f ànmMt pr i^Hngy, occupant une superficie de quaNy Atslmo, dia ny tanin-dRainiketabaosy ny tany U or ares, soixante-dixcentiares, est limitée: nomena anarana hoe, Essling; la place publique; Ny Andrefana, dia ny lalambe avy ao Fianaranaaï Norri ,Par tsoa mankany Ambalavao. i1Est ar une rue; par un ,chemin ptIblie. Ny mangataka manambara, fa araka ny fahafaBAu Sud ué~ déclareQu'à sa connaissance il tarany ny amin' izany fananana tany voalazaizany, e r érant Wi e»sur ia dite propriété, aucune charge ni diatsymisy natao ant'o-javatr'olona, ary tsy ananan' olon-kafa na ankehitriny na amin' ny ho avy. bOrn reellmmobilier actuel ou éventuel. io tany io diaefa naraikitry bservicpge provisoire a été tué par M.le chef Ny andro hamaritana au 11octobre 1900, à 8 M.le chef du service topographique,amy ny 9 octoe bre 1900,amin' ny 8 famantaranandro' maraina. Le Sous-Conllervateur de la propriétéfoncière Nyletitryny Mpitahiryny amin' ny fanananatany, ao Fianarantsoa, à Fianarantsoa, ROUSSEL. ROUSSEL. ^N'GATAHANANo316 Noho ()110 n" r tamin' ny 18 août 1900, M. all'sSelMarangatahana e des domaines, e manao ho Isony Fan'C, reeveur frantsav, monina ao Fianaranan'nyFanjakana ny anoratana amin' ny Rejistry ny no tompon' ny taHVIzay namFanjakana, fa izynomena anarana hoe: Rova de barany sy tmiainlvl úu dìY trarlOiray ipetrahan ny comman Mindongy, misy dantdudistrict, lakozysy ny mombany ay,commanáóSardé tranon' Miary zaridaina, ao Mímagazav a~y Ba faritace. Ambosltra. ta dongy, faritan' tanv any lia misy telo amby ta-polo WUanjJY ; ary izao no arnìny0 centlares ny habeny dia y tokotaníbe ; tokotanibe; s' , tr '\tsirnony arabe ; Andrefana, dia ny làlana. ilno sv A tnanambara, fa araka ny fahafani?ran!?an8atai7o izany, dia tsv misy >' aminM^,>a!]y tany voalazaanunan' vloo-kafa, natao a to-javaolona, ary tsy OClo chef drnarlna io tany io, dia efa naraikitry amin' nyll ^°bra ttillae re 1900 servce topographique. 1900 > arnlll ny 8 famantaranandro ma-

N*321 RÉQUISITION Suivant réquisition du 16 août 1900, M. Reynaud Léonce, receveur des domaines p. i., agissant au nom et pour le compte de l'Etat français, domicilié à Mananjary, a demandé l'immatriculation, en laquelle qualité de propriétaire, d'unenom propriété à (le ta ftéunion, il a déclaré vouloir donner le consistant en terrains de culture et de pâturage situés près Tsiatosika, province de Mananjary. Cette propriété, occupant une superficie de dix hectares, est limitée: Au Nord, par le lot de colonisationN"20 ; A l'Est, par la rivière Maha; Au Sud, par des terrains domaniaux ; A l'Ouest, par la propriété dite : Mazava. Le requérant déclare qu'à sa connaissance il n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ni aucun droit réel immobilier actuel ou éventuel, autres que ceux résultant d'un titre d'occupation provisoire, à titre onéreux, délivré à M. Payet Florent, le 3 mai 1900,par l'administrateur en chef de Mananjarv. Le bornage provisoire a été fixépar M.le chef du service topographique au 2 novembre 1900, à 8 heures du matin. Le Sous-Conservateur de la propriétéfoncière amin' ny ranananatany ny 40 Pianaya à Fianarantsoa, Ianran boa. ROUSSEL. ROUSSEL.

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FANGATAHANA W 321 Noho ny fangatahana tamin' I6 août 1900,M. aomaines p. i., maReynaud Leonce, receveur desny nao ho an'ny Fanjakana frantsay, monina ao Mananjara, nangataka ny anoratana amin' ny Rejistry ny Fanjakana, fa izy no tompon' ny fananana tany izay nambarany sy tiany nomena anarana hoe: La Réunion, misv tanimbolv ary tany fiandragambiby, ao akaikin' i fisiatosíka."faritanin'i Mananjara. Izany tany izany dia misy folo hectares ny habeny; ary izao no faritra aminy : NyAvaratra, dia nv tany anjara fanorenanam-panjakana N*20: Ny Atsinanana, dia ny renirano Maha ; Ny Atsimo, dia n) tany lavavolo ; Ny Andrefana, dia ny tany atao hoe, Mazava. Ny mangataka manambara, fa araka ny fahafantarany ny amin' iznny tany voalaza izany, dia. tsy misy natao anto-javatr olona, ary tsy ananan' olon-kafa, na ankehitriny na amin*ny ho avy, afa-tsy ny avy amin' ny fanomezan-dàlana vonjy tavanandro hiasa eo, nandoavam-bola,natolotry ny administrateur en chef ao Mananjara ho an' i M. Payet Florent, tamin' ny 3 mai 1900. Ny andro hamaritana io tany io dia efa naraikitry M.le chef du service topographique, amin' ny 2 novembre i900, amin' ny 8 tamantaranandro manuna. Nylefitryny Mpitahiryny amin'ny fanananatany ao Fianaranlsoa, ROUSSEL. RÉQUISITION N* 322 Suivant réquisition du 16 août 1900, M. Reynaud Léonce, receveur des domaines p. i., agissant au nom et pour le compte de l'Etat français, domicilié à Mananjary, a demandé l'immatriculation, en qualité de propriétaire, d'une propriété à laquelle il a déclaré vouloir donner le nom de La Béunion ii, consistant en terrains de culture et de pâturage, situés à Nivondrano, province de Mananjary. Cette propriété, occupant une superficie de sept hectares six ares, est limitée: Au Nord, par le lot de colonisationN*20 ; A l'Est, par les francs-bords duSakatara; Sud, par la propriété : Mazava, et des rizièAu res a divers; A l'Ouest, par des rizières à dizer3 et des terrains domaniaux. Le requérant déclare qu'à sa connaissance il n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ni aucun droit réel immobilieractuel ou éventuel, autres que ceux résultant d'un titre d'occupation provisoire délivré, le 13 août 1900, à M. Payet par l'administrateur en chef de Mananjary. Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef du service topographique au 3 novembre 1900,à 8 heures du matin. Le Sous-Conseryateur de la propriétéfoncière à Fianarantsoa, ROUSSEL. FANGATAHANA No322 Noho nv fangatahaa tamin' ny i6 août 1900, M. Reynaud Léonce, receveur des domaines p. i., manao ho amig' ny Fanjakana frantsay, monina ao Mananjara, nangataka ny anoratana amin' ny Rejistrv ny Fanjakana, fa izy no tompon' ny tany izay nambarany sy tiany nomena anarana hoe: La Reunion II, misy tanimbolv sy fiandrasan' ombv, ao Nivondrano,"faritanin'i Mananjara. Izany tany ilanv dia misy fito hectares sy enina ares nv habeny ; ary izaono faritra aminy : Ny Avaratra, dia ny tany anjara fanorenana zana-panjakana N*20; moron' ny rano Sakatara ; Nv Atsinanana, dianv sy ny Ny Atsimo, dia ny tany atao hoe, Mazava tompo; tanimbary samihafa Ny Andrefana, dia ny tanimbary samihafa tompo sy ny tanv lavavolo. Ny mangataka manambara, fa araka ny fahafantarany nv amin' izany tany voalaza izany, dia tsy misv nataoanto-javatr'olona,ary tsy ananan'olonkafa na ankehitriny na amin' ny ho avy, afatsy ny avy amin'" ny fanomezan-dàtana vonjy tavanandro hiasa eo, natolotry ny administrateur en chef ao Mananjara an'i M.Payet, tamin' nyw 13 aout1900. Ny andro hamaritana io tany io dia efa naraikitry M. le chef du service topographique, amin' ny 3 novembre 1900, amin' ny 8 famantaranandro maraina. Nyleitry ny Mpitahiryny amin'ny fanananatany ao Fianarantsoa, ROUSSEL.


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