Le Journal Officiel de Madagascar et Dépendances du 10/10/1900

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Journal officiel de Madagascar et dÊpendances Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque Interuniversitaire Cujas


Madagascar. Journal officiel de Madagascar et dépendances. 1900/10/10.

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née.

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N. S. — N* 542.

Mercredi 10 Octobre 1900.

OFFICIEL

JOURNAL IDE

MADAGASCAR ABONNEMENTS: ~w. an Sa Un six 20Ir. 8 Mfr. 12fi. an Su ^P*Ile®Etranger •25 "111 Ir. 13111 : • »jf. 15 fr. l• S;sass--l

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Vu la lettre de M. l'administrateur en chef de la SOMMAIRE province de Fenerive, faisant savoir qu'à la date du 30 juillet 1900,M iCourau n'a pas encore comPartie Officielle mencé les travaux d'installation de son parc et n'a la redevance annuelle; E——— pas payé rapPortant l'arrêté local du 24 décembre Sur le rapport de M. le chef des services admià établirun parc nistratifs ; 1898,autorisant M. Courau a huîtres à Mahambo. Le conseil d'administrationentendu, "1" A. RRÊté l'arrêté du 2 mars 1900,concéapportant Arrête: ant à M.Kaczoroski un terrain sis à Ta"l\1t!-r. ¡; atave, àà lala pointe Hastie. — ART.IER. L'arrêté local du 24 décembre caisse de reserve la somme de VP 909-265fr. n, provenant de l'excédent des 1898 est et demeure rapporté. M. Courau est les dépenses de l'exercice 1899. déchu du permis d'exploitation qui en faisait .\!\l\i1't ^îé recettes s ur rapportant l'arrête du 29 mai 1900,étnblis- l'objet. uniforme de 0 fr. 20 pour la — MM. le Secrétaire Général, le Sn.t un prix ART. II. cteltvrancedes médicamentsaux indigènes chef des services administratifs, le chef du A d'un certificat d'indigence. A l'on Pourvus service des domaines et l'administrateur en ouverture d'un crédit supplémenfrtant de 6-157francs à la chef de la de Fenerive sont M. de chargés, province disposition lalre fi du service des harns. chacun en ce qui le concerne, de l'exécution Nlef d'une feuillede du présent arrêté. prp-SC-rivant l'étal)lissement pour tous les déplacements des route Fait à Tananarive,le 13Septembre 1900. agentsdu service topographique donnant horaires de travail GALLIENI. droit àa desdes indemnités m, IRFau sufrais de séjour. Vu au Contrôle financier, ~r,WE ie du changement de résidence ausujet 15 1900. le 0.'1 septembre 80 dl, service des txin mines. DÉCISION 80du Par le Gouverneur Général: MUTATIONS. EXTRAITS,NOMINATION AMME DEPARIS. Le Commissaire des Colonies ffons de Secrétaire Général, b Partie non Officielle LALLIER DU COUDRAY. h.^VELI,ESINFOR!t[ATIONS. — FÊTEFRANCO-MALLe Commissaire chef des ET — NOTIONS services administratifs, ACHE A LEVALLOIS-PRRET, SOWV RES SURLESSOINSA DONNER AUX LINARD. F,CONOMIQUES,\1aEVUX.-RENSEIGNEIENTS DETANANARIVE. DE8, DESe- EV.TC',VIL GOUVERNEMENT ARRÊTÉ — AVIS V. s SOCIÉTÉS D'ASSISTANCE. GÉNÉRAL du 2 l'arrêté 'PUULIQUE. ^S==;UDICATION rapportant à M. Kaczoroski mars 1900, concédant à la Pointe un terrain sis à Tamatave, Hastie. PARTIE OFFICIELLE Général commandant en chef du Corps Le 'O''I\!iP:MP:'l' ARRÊTÉ et Gouverneur Général de Madad'occupation GNÉl\L l'arrêté local du gascar et Dépendances, 24 dêcA\- -rapportant b. 30 il décembre 1895et des décrets Vules autorisant M. Coujuillet à 1898, 'u étavi. 1897 ; à huîtres à Maparc h 4ïHbo. U3a Vu le décret du 16 juillet 1897, sur le domaine ; public à Madagascar Vu l'arrêté local du 2 mars 1900, concédant, a lte C, à M. Tamatave, Kaczoroski, colon en chef du titre commandant provisoire, à Corps ga<^énéni el Gouverneur Général de Mada- un terrain sis dans cette, localité,à la Pointe Hastie, akar et et D ilScal' en vue de la des zone la sur géométriques, pas ependances, es d HA de bains; établissement d'un création Rtl; <>aec U 8 des 11 décembre 1895et 30 juillet Vu la lettre de M.le receveur des domaines de savoir Tamatave,en date du a juillet 1900,faisant l<!d0maine que M.Kaczoroskiest décedéen cette ville,le 19mai et que sa successionest tombée en deshérenM 1900, 1898,autorisant C6 i ecïcal a< 24 décembre à établir un parc à de M. le chef des services admiMahambo, désiessu i On le Sur rapport à l'est du dit village et nistratifs; '(&é surle récif situé de 4- Récif; Le conseil d'administrationentendu, qllees s°usli a"«on; 3 et 4 de l'arrêté précité, stipulant que Vule les articles Arrête: devra payer une.rede.vnce eètre de ion f et commencer immédiatefrancs trava ann " elle 1900 est et 2 mars du IS 'Ilis L'arrêté 1er. ART. du devra parc, qui envalux d Installation enynlllur dans le délai d'un an; demeure rapporté; le terrain y concédé fait

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retour au domaine public dans les conditions du décret du 16 juillet 1897. ART.II. - MM.le Secrétaire Général, le chef des services administratifs, le chef du service des domaines et l'administrateur en chef de la province de Tamatave sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté. Fait à Tananarive,le 13 Septembre i900. GALLIENI. Vu au Contrôle financier, le 15 septembre 1900. Par le Gouverneur Général : Le Commissaire des Colonies ffons de Secrétaire Général, LALLIER DU * COUDRAY. Le Commissaire chef des services administratifs, LINARD. GOUVERNKMENT ARRÊTÉ GÉNÉRAL versant à la caisse de réserve la somme dg 909.265 fr. 17, provenant de l'excédent des recettes sur 1899. les dépenses de l'exercice Le Général commandant en chef du Corps d'occupation et Gouverneur Général de Madagascar et Dépendances, Vules décrets des11 décembre 1895 et 30 juillet 1897 régime Vule ; décret du 20novembre 1882,sur le réime financierdescolonies; Considérantque, quoique le compte définitifde l'exercice 1899ne soit pas établi, les écritures de l'ordonnateur du budget local et celles du trésod'être arrêtées, il est dès mainrier-payeur venantconnaître exactement le chiffre tenant possible de desopérations; financière de l'exercicequi fait Vu la situation ressortir: -Recettes ,~o.-~ ! A.,!I! F.. 00 82 fr. 14.985.154 65 Dépenses.14.075.889, 909.265fr. 17 Soit un excédent de recettes de. ; Sur la propositiondu Secrétaire General Sousreserve de l'approbationdu compte définitif en conseil d'administration, Arrête: —La somme de neuf cent neuf mille ART.IOR. deux cent soixante-cinq francs dix-sept centimes, formant l'excédent de recette du Budget local de l'exercice 1899, sera versée au compte « Caisse de réserve du service local», par application des dispositions de l'article 98 du décret du 20 novembre 1882. ART.II. — MM.le Secrétaire Général, ordonnateur, et le trésorier-payeur sont chargés,


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JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES

chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté. Fait à Tananarive, le 14 Septembre 1900. GALLIENI. Vu au Contrôle financier, le 10 septembre 1900. Par le Gouverneur Général: Le Commissaire ffons de Secrétaire Général, LALLIER DU COUDRAY. GOUTRRNEMRNT ARRÊTÉ GÉNÉRAL l'arrêté du 29 rapportant mai 1900, établissant un prix uniforme de 0 fr. 20 pour la délivrance des médicaments aux indigènes non pourvus d'un certificat d'indigence. Le Général commandant en chef du Corps d'occupation et Gouverneur Général de Madagascar et Dépendances, Vu les décrets des il décembre 1895et 30 juillet 1897; Vul'arrêté du 29 mai 1900,relatif au remboursement, par les malades non munis d'un certificat d'indigence, du prix, au taux uniforme de 0 fr. 20, des médicaments délivrés par l'hôpital indigène .de Tananarive ; Considérant que l'application de cet arrêté a eu pour effet de faire diminuer considérablement le nombre des consultationsjournalières, et qu'il y a lieu dès lors de rapporter cette décision; ,Sur la proposition du directeur de l'hôpital indigène, Arrête: ART.Ier. — L'arrêté du 29 mai 1900, établissant un prix uniforme de 0 fr. 20 pour la délivrance des médicaments aux indigènes non munis d'iiïi certificat d'indigence est rapporté. Les médicaments seront, comme précédemment, délivrés à titre gratuit. ART.II. — MM.le Secrétaire Général, le directeur de l'hôpital indigène sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté. Fait à Tananarive, le 19 Septembre 1900. Par le Gouverneur Général: Le Commissaire des Colonies ffons de Secrétaire Général, LALLIER DU COUDRAY. Vuau Contrôle ifnancier, le 15 septembre 1900, Par le Gouverneur Général Le Commissaire ffons de Secrétaire Général, LALLIER DU COUDRAY. GOUVERNEMENTARRÊTÉ GÉNÉRAL ouverture d'un portant crédit supplémentaire de 6.157 francs à la disposition de M. le chef du service des haras.

chapitre XVII (haras) du budget local de l'exercice courant, pour servir à l'entretien des jumenterie ART.II. - MM.le Secrétaire Général, ordonnateur, et le chef du service vétérinaire sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté. Fait à Tananarive. le 20 Septembre 1900. Pour le Gouverneur Général: Le Commissaire des Colonies ffons de Secrétaire Général, LALLIER DU COUDRAY. Vu IU Contrôle financier, !e 15 septembre 1900. Par le Gouverneur Général: Le CommÜsoire des Colonies ffons de Secrétaire Général, LALLIER DU COUDRAY. GOUVERNEMENT DÉCISION GÉNÉRAL l'établissement prescrivant d'une feuille de route pour tous les du service des agents déplacements donnant droit à des intopographique demnités horaires de travail ou à des frais de séjour. Le Général commandant en chef du Corps d'occupation et Gouverneur Général de Madagascar et Dépendances, Vules décrets des 11 décembre 1895et 30juillet 1900; Vu les arrêtés des 28 et 30 mars 1899,réorganisant le service tooographique; Attendu qu'il est nécessaire d'assurer la vérification et le contrôle de mémoires de frais de déplacement présentés par les agents du service topographique; Sur la proposition du chef du service topographique, Décide: ART.Ier. — Les agents du service topographique de tout grade, ayant à exécuter des opérations leur donnant droit à des indemnités horaires de travail ou à des frais de séjour, devront être munis d'une feuille de route. ART.II. — La feuille de route sera visée au départ et à l'arrivée par le chef de la province ou son délégué, pour les géomètres, chefs de circonscription, et par le chef de circonscription pour les agents placés sous ses ordres. ART.III. — Tout décompte bis ou mémoire de frais de déplacement, auquel ne sera pas jointe la feuille de route du géomètre, sera refusé par le chef de service. ART. IV. — MM. le Secrétaire Général, les chefs de province et commandants de cercle, et le chef du service topographique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution de la présente décision. Tananarive, le 25 Septembre 1900. GALLIENI.

GOUVERNEMENT CIRCULAIRE Le Général commandant en chef du Corps GÉNÉRAL les administrateurs MM. à et Gouverneur Général Madade d'occupation ae et commandants de chefs et province gascar Dépendances, de résiVu les décrets des 11décembre 1895et 30 juillet cercle, au sujet du changement dence des indigènes. 1891; Vul'augmentation de personnel des haras, pendant l'exercice courant, et la nécessité d'assurer MESSIEURS, le service de la monte, ainsi que la nourriture des animauxappartenant au service local; Les changements de domicile des indigènes, Sur la proposition du Secrétaire Général, assez fréquents dans certaines régions, ont attiré l'attention de quelques administrateurs, Arrête: chefs de province ou commandants de cercle, ART.IER.— Un crédit supplémentaire de six qui m'ont signalé les inconvénients que paraismille cent cinquante-sept francs est ouvert au sent occasionner ces déplacements et m'ont

demandé de leur faire connaître quelles vaient être en cette matière la ligne de condu. à adopter et les mesures à prendre le cas ec' ant. J'ai l'honneur de vous informer que lesil, se epni laissés de libres digènes doivent être cer et de fixer leur résidence dans les regldci qu'ils choisissent eux-mêmes. Apporter eO entraves dans leurs déplacements, ce serait effet, aller à rencontre du développemnt o nomique de la Colonie, car il est bien cer[10 que les indigènes ne réaliseront jamais al, progrès au point de vue agricole, industrIe001 commercial dans des réions qu'ils ( a , d'habiter des eux. Il y ser contraints d'habiter maigre régions qu'ils 1 t'è em lieu de leur laisser en l'espèce une libert.é. el'Í' L'adoption de cette règle occasionnera qui ce en difficultés tant demment quelques if concerne la surveillance générale à exererbJi" les populations, que les opérations d'ela Ír¡I' 1il' des sement des rôles et du recouvrement pôts. '005 Pour assurer dans les meilleures la surveillance générale, il Ya possibles les indigènes qu'ils peuvent se[f, d'informer placer à leur gré, à la condition expresset ,? fois de prévenir au préalable Vautorite p, et dé faire viser leurs livrets. De cettefaÇop. les chefs de circonscriptions seront régu's je ment tenus au courant des pérégrinatio° leurs administrés et ils pourront, dès jç. 1g81.,4i, suivre dans leur nouvelle résidence e,tJoj' gnalerk leurs collègues; au besoin, J'appl. aux contrevenants du code de l'indig lltj.oil 29 et 30) les rappelerait à l'observation r" reuse de cette règle. , 13ce' Quant aux difficultés résultant des ePtÍoo ments des indigènes et relatives aux oper tio d'établissement des rôles et du r~' tivre des impôts, il est indispensable, rec pour Ie; - blf soudre, d'adopter les solutions suivantes la Pourles impôts fonciers, les cotri daDIt" doivent être portés sur les rôles de la cljnj' cription dans laquelle se trouvent lei: ji1'1 meubles, et ils doivent acquitter ceSlie ,, sott dans cette circonscription. quelque & &. deleur résidence. otrÍ' 2° Pour les impôts qui atteignent le ntri buable dans sa personne, c'est-à-dire 1^rVjt'' personnelle, la taxe d'exonération du ta* militaire, l'impôt sur les célibataires, la e Il,1 des léproseries, il doit figurersur les 13 te. la province dans laquelle il a fixe s sè,je d~'de. dence, et non dans celle où il PO biens fonciers, à moins toutefois que ceS l1C111, circonscriptions se confondent. é fc,' Dans le c~is cas d'indigèneq changeant »freccfifl d'indigènes eliangeant Jtl ment de domicile, la question est Pltis te et sa solution exige que vous ne perd); dO [1 pas de vue les termes de la circulalresser, mars dernier, vous prescrivant Gouvernement Général, Pour ]e {Ir nOc"s il;, Gouvernement Général, le DOvele et au plus tard, les rôles despour impôts 1xes voie vous met, similées, ce qui par Cet d'r' quence, dans l'obligation d'achevern e eol rêter ces rôles à une date à peu epi - près le 1er etle 15 octobre. .rC'C, Cr' Cette règle étant strictement 0^servé<V les rôles étant rendus exécutoires à c0rïip,^ du 1erjanvier de l'année à laquelle s sIIÍYÍr( ja l'égard y a lieu d'adopter la méthodegli^i*v 1 r, qucmment.. scriPtjo Tout indigène qui change de circonsC'f # après le 1erjanvier pour aller sefi*erjfjiPVjjr autre province n'en doit pas moins ecoosrei personnels dans la première de cesC'ruonserlf, tions sur les rôles de laquelle il a e!Ci dOIpll' le chef de cette unité adiiiinistrnti" do, mettre en demeure d'acquitter eSr (8ft, tions avant de l'autoriser à se déplace il du Codede l'indigénat). /JotOf tiototio, Si l'indigène n'a pas ollicité cette


JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES 1100 ;—;— et lionetS'il a qtiitté la province sans prévenir il appartient au chef de la a^e> circoncription de signaler cette infraction à l'adojj n,stpateur ou au commandant du cercle de l'intéressé, afin de llnlstrateur ou au commandant du cercle qUed nOlVelie résidence prises pour que ce dernies dispositions soient an paiement de ses taxes. pas T°utn j.cHaPPeau contraire, résiduIndIgène, qui change de esle !" ce rès l'achèvement des rôles et avant ses impôts dé l'année suiVantedoit vante s la nouvelle province où il fixe son dans ce cas, d'aviser de cetteVOu aparlient, criptiutahm le chef de cette dernière rit-consles mesures nécessaires e cOrnrnndqlll prend ans l'hypothèse précédente. Co TelW sont les règles qu'il convient de suivrellr assnrep le recouvrement régulier libres de Se dé ts, tout en laissant les les indigènes indigèneslibres Pourplacer à leur gré. produise des résultats satisfainecelt il méthode est indispensable que vos sant.s, fonclio ternentnnalresindigènes vous tiennent striccourant des changements de résideocedan Vos administrés et que vous leur ùOOnie effet a et donniez ils devrontdes instructions précises se conformer rigoureuernent ~e~~ e s ent. J de[aO.IS serais obligé de m'&ccuser réception lesente circulaire. Tananarive,le 24 Septembre 1900. ,-e r Gé d'o -rteral commandant en chef du Corps et Gouverneur Général- de J.tadupation agascar et Dépendances, GALLIENI. b8 tll\'tC!: Mill,,

DÉCISION

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iip l, des articles 8 et suivants du dPar parapplication décretdu17juillet 1896, réglementant la remétaux l'exploitation de l'or, des che et et des pierres précieuses, les vallées 5hPe.cieux et de ses affluents vont être Ouranomandeva a L'AnJertes l'exploitation publique. Siiina rnOmandeva est un affluent de la u'la, 0 se Jette dans le Ranomainty[Haut [Haut Mananiary]. de la r$fy*'03'?8' définie, qui fait partie ainsi définie,estCfni fait dans partielesdeattril,a brO\'i¡dddeu placée Ambositra, le commissaire des mines d'Ambutl, ositra ons ouverte à l'exploita*définitivement lque le 4 novembre 1900. Tananarive,le 4 Octobre 1900. Le Capitaine du génie, chef du service des mines, MOUNEYRES. EXTRAITS A déçût 1311, dit 6septembre (Etat-Major), Par décision Le L'rsonnel d'artillftrie de marinedésigné à la disposition de M. le lieu~est mis d'i service du génie oS l^vaux H Jeteur pUblics, pour assurer le service ~destravaux dans lala place place ^eetdps ^«travaux publics dans ajunga. "Cret, rapitaine d'artillerie de marine, nommé chef de la chefferie du génie à Majunga par décision 26i, dut6 juillet 1900. Gros ? d'artillerie de marine. iochetPltalOe Niochet, garde de tre classe, conducteur ne travaux. Br de 3e classe, comptable. r°ux garde > Maréchal des logis, pour faire onctions de garde stagiaire 'Ilipe,t COmptable. t Piron, canonniers.

En attendant l'arrivée dans la colonie de M. le garde d'artillerie Bronner, M.le garde comptable de 3e classe Mathey assurera, en même temps, la comptabilité du service de l'artillerie et du service du génie. Par décision 1312,du 6 septembre [Etat-Major], M. le capitaine d'artillerie de marine Ducret, nommé chef du génie à Majunga, cesse de remplir les fonctions de sous-directeur d'artillerie dans cette place. M. le capitaine d'artillerie de marine Ducret et le personnel d'artillerie placé sous ses ordres, pour être détaché au service du génie dans la de Majunga, relèveront directement de M. place le lieutenant-colonel directeur du génie. M. le capitaine d'artillerie de marine Naudet est nommé sous-directeur d'artillerie à Majunga. Les bureaux du chef du génie et du sous-directeur d'artillerie resteront placés dans le local actuel.

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Par décisions du 21 septembre, M. le géomètre Chaix, rentrant de congé, est affecté, en qualité de chef de circonscription, au bureau du service topographique de FortDauphin. Rakoto est nommé sous-gouverneur de 58 classe du district d'Anosibe [territoire des Betsimisaraka du Snd], en remplacement de Ralaimandiny, décédé. Par décision du 23 septembre, M. Troup, caporal à la 4e compagnie du bataillon étranger, est chargé des fonctions d'huissier près la justice de paix de Fort-Dauphin. Par arrêté du 24 septembre, M. Louiton Auguste, caporal d'infanterie de marine, détaché au service des postes et télégraphes depuis plus de deux ans, est nommé commis local de 59 classe pour compter du 2 octobre 1900, date de sa libération du service militaire et est affecté au bureau de Mandritsara. Par arrêté du 11 septembre (Etat-Major), Par arrêté du 25 septembre, M. le sous-lieutenant Dubedat, du 13° régiLa démission de son emploi offerte par Rament d'infanterie de marine, est placé hors casecrétaire de 28 classe de la prokotomanga, dres et nommé officier-adjoint à M. le com- vince de Miarinarivo, est acceptée. mandant du cercle-annexe d'Ambatondrazaka, Par arrêté du 26 septembre, (Etat-Major), en remplacement de M. le capitaine Legou, apLa caisse deBenjavilo est supprimée à comppelé à d'autres fonctions. ter du 1er octobre 1900. Par arrêté du 12 septembre (Etat-Major), L'encaisse initiale de la caisse de fonds M. le capitaine Savv, de la lre compagnie du d'avances de Mdintirano est portée de 80.000 2e régiment de tirailleurs malgaches, est placé à 120.000francs. hors cadres et nommé officier-adjoint à M. le Par décision!333,du 27 septembref Etat-Major), lieutenant-colonel commandant le Territoire M. le commandant Goudard, chef du génie du Sud, en remplacement de M. le lieutenant est nommé chef du district de d'Anivorano, Chat, décédé. Fetraomby (Territoire des Betsimisaraka du Par décisions du 20 septembre, Sud). décision du 27 Par septembre, du Randrianjafy, élève-géomètre stagiaire Une permission de trente jours, pour se service topographique, est affecté à Vatomanà la est rendre accordée à M. Enaut, Réunion, dry; du du tribunal de i" secrétaire insparquet Rakoto Michel, élève-géomètre stagiaire du tance de Tamatave. service topographique, est affecté à Diegoinstituteur officiel de SoaviRakotomanga, Suarez; de Tananarive), est relevé de manjaka (province Ratiarson, élève-géomètre stagiaire du ser- ses fonctions pour incapacité. vice topographique, est affecté à Majunga; instituteur à Soamiadana, Ramananandro, Rakoto Pierre, élève-géomètre stagiaire du est nommé instituteur à Soavimanjaka (proservice topographique, est affecté à Tulear. vince de Tananarive). Les sieurs: Ramarohetra, instituteur officiel de 5* classe, est nommé, en la même qualité, instituteur à Randriamialy Philibert; Soamiadana (province de Tananarive). Razafimandimby; Razafilalao ; Rakotomanga, élève de l'école Le Myre de Razafindratovo; Vilers, non pourvu du certificat d'aptitude à Rakotoamboa; l'enseignement, est nommé, à titre provisoire, Ravelojaona ; instituteur à Miarinarivo (cercle d'AmbatonRamamonjisoa; drazaka) Rafaralahy; La démission de son emploi offerte par le Randriamanga; nommé Razaka, garde-meuble de l'hôtel de Rakotomalala; M. le directeur du Contrôle Financier, est acRanaivo François; ceptée. Ramampanjaka Par décision du 28 décembre, sont nommés auxiliaires du service topograLa démission de son emploi offerte par le phique. nommé Rakoto Pierre, élève-géomètre stagiaire, est acceptée. Par arrêtés du 21 septembre, <> • d'infanterie de ancien M. Verdeil, caporal marine, est nommé écrivain de 28classe des DE CABLOGRAMME PARIS 21 du septembre, affaires civiles, pour compter (Agence Havas) et est affecté à Vatomandry. Ratsimiseta, assesseur au tribunal indigène Paris, 6 octobre, 6 h. 30 soir. du 28 degré de la province de Tananarive, est licencié de ses fonctions à partir du 1eroctobre Une circulaire du général André modifie 1900. du mariage des officiers, les conditions Rabesihanaka, sous-gouverneur de 48 classe en supprimant la dot de la fiancée. de la province de Tananarive, est licencié de — Le président LoarençoMarquez. 1900. ltr octobre à du ses fonctions partir sur un croiseur Kriiger s'embarquera Roofferte La démission de son emploi par hollandais et ira établir sa résidence à civil de au tribunal Tamatave, main, interprète Bruxelles. est acceptée.


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PARTIE NOUVELLES

JOURNALOFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES

NON ET

OFFICIELLE INFORMATIONS

livré, le 5 septembre 1900, à M.Pilot Debienne, colon à Majunga, en vue de la concession onéreuse d'un terrain mesurant approximativement 224 hectares, situé à Ampazana, province de Majunga. •« Un titre d'occupation provisoire a été délivré, le 12 septembre 1900, à M. Robin, en vue de la concession onéreuse d'un terrain, sis sur le Manampotsy, district de Vatomandry, et mesurant 895 hectares. ** Un titre d'occupation provisoire a été délivré, le 18 septembre 1900, à M. Massé, colon à Mandroseza, en vue de la concession d'Ambohibato (province de Tananarive, mesurant 4 hectares 15 ares. ')S • »«• Le paquebot-poste Yang-Tsé, venant. de France, est arrivé à Tamatave le 7 octobre, à 6 h. 30' du matin. Ce navire s'est mis en quarantaine et n'a pas pris de passagers pour Maurice et La Réunion. * »# Port de Tamatave Les voiliers Tanjona, à destination de Fenerive, et Favorite, à destination de Vatomandry, sont partis le 2 octobre. Le voilier Stella, venant de Fenerive, est arrivé le 3. Le paquebot Natal et le voilier Alcyon sont partis le 4, le premier pour Diego-Suarez, le second pour Fenerive. Le vapeur Amiral-Aube, venant du Havre, et le voilier François-de-Jlahy, venant d'Andovoranto, sont arrivés le 5. Les voiliers Furet et Clémence-Eugénie sont partis le même jour, à destination de Mananara. * • Port d'Andovoranto Le voilier Favorite, venant de Tamatave, est arrivé le 3 octobre. * • Port de Vatomandry Le voilier Favorite, venant de Tamatave et d'Andovoranto, est arrivé le 5 octobre. +# Port de Mananjary Le voilier Wilhelmine est parti le 4 octobre, à destination de l'île Maurice. ** Port de Fort-Dauphin Le vapeur portugais Carnavon, venant de Maurice, est arrivé le 22 septembre. Il est reparti le même jonr à destination de LourençoMarquez. •* Situation des lignes télégraphiques: Journées des 6, 7 et 8 octobre: la communication est bonne sur toutes les lignes. 10

Par télégramme en date du 4 octobre 1900, le Consul de France à Maurice vient d'informer le Gouvernement Général que, du13 au 26 septembre, trente-sept cas de peste ont été constatés dans l'île, et que vingt-six ont eu une issue fatale. * •* Par suite du départ de M. Henry Oswald, consul d'Allemagne à Tamatave, la gestion intérimaire du consulat a été confiée à M. Emile Oehlerking. * •* Le Général a adressé à M. le capitaine Labarsouque, de 1er régiment de tirailleurs malgaches, commandant de l'ancien cercle d'Ambatondrazaka, passé sous le régime de l'administration civile, à la date du 1er octobre, ses plus vives félicitations pour les résultats obtenus par lui. Grâce au zèle, à l'énergie et à la sagacité déployés par le capitaine Labarsouque dans ses fonctions de commandant de cercle, ca'te région, longtemps troublée par les actes de rapine des « tontakely», jouit aujourd'hui d'une sécurité complète. * *« M. l'administrateur de lre classe des colonies Compérat a quitté Tananarive, le 5 octobre, pour aller prendre possession, à Ambatondrazaka, de son nouveau poste. * **• Un service régulier de transport entre Djibouti et Aden et les différents ports de la Mer Rouge vient d'être créé par la compagnie de l'Afrique orientale. Il a été inauguré, le 2 septembre dernier, par le vapeur Binger. «» Un incendie, qui a éclaté pendant la nuit du 3 octobre, a en partie détruit le village de Mahela, situé sur la ligne d'étapes. Trente-huit cases ont été brûlées, dont plusieurs appartenant à des commerçants chinois et hova. * •* Un incendie s'est déclaré samedi, vers sept heures du soir, dans une case malgache située à Antsinanan' Anjoma. Deux légionnaires détachés comme secrétaires au Gouvernement Général, les soldats. Magne et Boudot, ainsi que des militaires employés aux subsistances, ont réussi, après trois quarts d'heure d'efforts, a enrayer le sinistre, qui menaçait de s'étendre aux habitations voisines. * *» Une charge renfermant 30 kilogrammes de riz, trouvée le 3 octobre à Antsakamaina, a été déposée au poste d'Ambohimalaza, où son propriétaire peut la faire retirer. * FÊTE FRANCO-MALGACHE * A LEVALLOIS-PERRET Un titre d'occupation provisoire a été délivré, le 9 août dernier, à M. Bonar Lionel, en Une information, parue au Journal Officiel vue de la concession onéreuse d'un terrain, sis du 15 a mentionné les succès remseptembre, dans le district de Mahanoro, au lieu dit Amla musique du Gouvernement Généportés par bodihara-Mahanoro, et mesurant 4 ares 25cen- ral de Madagascar au concours du 5 août, à tiares. Levallois-Perret. 1 * •• La municipalité de cette commune avait, Un Ititre d'occupation provisoire a été dé- depuis, ouvert une souscription, en vue de

décerner aux musiciens une bannière, dont la remise officielle a eu lieu le 26 août dernier. '0 Une fête, annoncée aux habitants par o d'affiches, a complété cette intéressante Cém,, monie. Le programme comprenait tout d'abor s l'exécution d'un défilé qui s'est effectué da. les principales rues de Levallois-Perret, et a. ont les quel pris part sapeurs-pompiers; 13 société musicale l'Harmonie; la Tricolore;"t Patriote; les Vétérans des armées de lerfe demer; la Joyeuse pédale; la Musique lna ; les Sans-Souci. gâche; le Vélo-club la Au moment de procéderà la remise bannière, M.Trézel, membre du conseil gcneral a prononcé l'allocution suivante: MESDAMES, MESSIEURS, « Je suis heureux de l'honneur qui m'a é « réservé de saluer, au nom d'un grand no « bre des habitants de Levallois-Perret, l'e*^ « lente musique du Gouvernement Généra « Madagascar, à laquelle tout récemment0®' j , « commune décernait les prix qu'elle aval « justement mérités aij concours. aO' « L'hommage que nous lui adressons sa, n jourd'hui revient pour une bonne être « chef distingué, M. Lamy, qui peutpar « satisfait du plein succès de ses efforts. et « En vous fêtant aujourd'hui, Messieurs^^ « en vous décernant, au nom de tous DOS Co « citoyens, un souvenir dû à votre taeni' « nous avons voulu aussi applaudir aux JJ1aoJ' « tiques résultats obtenus par le brillant re, « dat, par l'administrateur désormais IIIilSpoS « dont le nom est en ce moment sur « lèvres: le Général Gallieni. oe « Nous ne pouvons pas, en effet, oublier que « c'est à lui que nous devons la C « denotre grande colonie africaine; Je Ieet « parler de cette conquête purement mor^,e £t « pacifique, quoique conduite avec énerg'.jj, el la de « qui a tant fait pour le triomphe « sation.. gpt « C'est donc en souvenir de votre elaoce « Gouverneur Général, et en reconnalSoooS « des quelques heures charmantes q110ses « avons passées à vos côtés, que nous v0u$ « prions d'accepter ce témoignage de la sy V de « thie et de l'admiration des patriotes « vallois. reolS • « Vous pourrez ainsi prouver à vos paaoce « et à vos amis de la Grande Ile que la Fraoce « sait reconnaître les efforts de ceux qll1gljc « vaillent à la grandeur de son nom et al.1 « cès de la civilisation. t deS « Je termine, Messieurs, en adres, rS' « remerciements à M. le CommissaIre e « position de Madagascar et à tous ses eClleJ tiel « borateurs ici présents, pour le bon « qu'ils ont fait aux démarches de notre «« ainsi qu'à M.Baron, qui en a été le. P qo" ^ii'* J. ner JLlS « ainsi à mener réussi en teur etqu'à a si bien qui qui M.Baron, « bout le projet qu'il avait conçu. « Honneur au Général Gallieni! « Vive la République Française1 « Vive Madagascar ! » 'te eOSOI s'est M. le maire de Levallois-Perret exprimé en ces termes: « MESSIEURS, eO JI « Lorsque le comité Franco MalgaC^ « personne deM. Baron, un enfantde Voie « commune, que vous connaissez ble e*


JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES

«- ——i.— habité la *t, a, Pendant plusieurs années, grande Ile afdcaine est venu demander à la munici« Daiv ^e Levallois-Perret de décerner une CIl'annlere aux musiciens de Madagascar, dans «h y nce'n^e de cet hôtel de ville, nous avons un sentiment de réel plaisir. t!proU\'é * enMRieurs les Malgaches, vous n'êtes pas, il effet, des amis ordinaires. Les liens qui vous unissent à la France sont assez forts « « Pour que nous puissions vous considérer * rne 'n edes frères, comme des enfants d'une nation. mA «4(deest à ce titre que je vous salue au seuil la maison commune. vous remettons cette bannière, MalCI; Nous « gacu comme un symbole de l'amitié indis« ga qui vous lie à la France, comme un « rage de vos succès futurs dans les paciques «lxes de l'art musical auxquelles vous prenrezpal't, « NoUsvous demandons, au nom du Comité «quj yous a condnits ici, au nom de nos * ne pas oublier, quand vous condoyens,de vous, la France qui vous protège ; ez chez Ilqu'il n'yait pas un seul hameau, une seule Où l'on n'aime la France. M «inaj?,?» 1(Ceyoilà Cequ'il faut dire à vos enfants. Voilà * Ce que Vaus leur direz, nous en sommes tout votre cœur. rs a « v;'.p Madagascar 1 *la République Française! Vie Levallois-Perret ! » ces deux harangues, couvertes d'apP^ès LinnéISsernentstrès chaleureux, la fête a conSociété colombophile de Levalloiste l>erpeta^r°c®.dé un grand lâcher de pigeons. IV a proédé à à colombophitc de LevalloisPuis V*n d'honneur a été offert aux memUtésdes diverses sociétés, ainsi qu'aux notabilités présentes. Un grand concert, donné de 8 h. 1/2 Enfin nernenurs u soir par la musique du Gouvere 1'110General de Madagascar, dans le square JOUrné lel-de-ville, a clos cette mémorable et la t,e, dontM. Lamy, le sympathique chef, qu'il conduit avec tant de distincr fanfa.re tion, ont tous les honneurs. «.. NOTIONS

SOMMAIRES SUR LES

A DONNER AUX CHEVAUX SOINS où les grandes voies de péAll rn()"lent côtes est et ouest sont sur le POin,des QùDo'late ouvertes à la circulation et **Jes mOYensde locomotion et de trans. port Pourront)sur une plus grande échelle Pleernr le passé, être utilisés pour le dédBs voyageurs et celui des al'ehen il n'est pas douteux que le val n„ marchandises, ilbles ne oit appelé à rendre de véricomme animal de s spi. VlCes' soit comme animal de monture. Olt à Tananarivesur les circulant de On peut voir Pelages déja hOltlteseu des environs, et la race des nîçi ef dans le pays fournit, a Ilimatés d'nten11*' un contingent appréciable j les qualités de résistance table, au pays ne Gantâti&les *eson qualités taKi de sont résistance pas discu-

En outre, l'extension donnée à l'élevage du cheval, tant par la création à Ampasika d'une station de remonte que par les primes délivrées aux propriétaires de juments qui les font saillir par les étalons du Gouvernement, permet d'espérer que utile nombre des équidés actuellement lisables sera certainement doublé et même triplé en quelques années. Il n'était donc pas sans intérêt de donner ici quelques conseils sur les soins à donner aux chevaux, sur la façon de les nourrir et de les loger. Les notions sommaires qui suivent sont dues à M. le vétérinaire en second Rey, chef du service à Tananarive et directeur du haras d'Ampasika. Les soins à donner au cheval concernent: a. — Sa nourriture ; b. — Son habitation ; c. — Sa propreté. Nourriture. -Elle doit se composer d'herbe verte ou séchée (fourrages) et de grains ou tubercules. C'est à tort que les indigènes qui possèdent des chevaux ne leur donnent comme aliment que l'herbe de la prairie. Cette herbe seule est insuffisante pour faire de bons chevaux, aptes à rendre des services appréciables. Les chevaux des environs de Tananarive seraient plus vigoureux, si on ajoutait, à l'herbe qu'ils mangent au pâturage, deux kilos de paddy ou de maïs, soit quatre litres environ de ces denrées par jour. Il y aurait tout intérêt aussi à faire consommer aux animaux, lorsque le grain coûte cher, du manioc ou des patates, denrées en général peu chères, et abondantes. Trois kilos de manioc ou patates sont le maximum de la ration journalière d'un cheval malgache. Il serait bon, en outre, que les Malgaches se prémunissent, pendant la saison des pluies, contre la pénurie fourragère qui accompagne cette saison. Dans ce but, chaque éleveur devrait constituer des réserves fourragères, en transformant en foin sec l'herbe verte, qui pousse avec vigueur, au moment où les pluies sont abondantes.. L'époque où le fourrage ainsi récolté est de meilleure qaalité est celle où les plantes commencent à former leurs fruits, c'est-à-dire un mois environ avant la fin des ondées. En Imerina, c'est le mois de mars qui est l'époque la plus convenable pour la récolte du fourrage. Cette herbe, après avoir été bien séchée au soleil, serait conservée en gros tas ou meules à proximité des villages, où chaque jour les la ration nécesviendraient prendre indigènes saire à leurs animaux. Il faut évaluer cette ration à 4 kilos de foin par jour pour un cheval malgache, mangeant, en outre, 2 kilos de grains ou de tubercules. La ration journalière d'un cheval astreint à travailler doit donc, selon nous, être de: 4 kilos Foin. , — 2 maïs. ou Paddy ou encore: 4 kilos Foin • • • 3 Manioc ou patates

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Pour se rendre compte de la différence qui existe entre un cheval malgache nourri d'herbe seulement, et le même cheval mangeant du grain, il suffit de voir les chevaux achetés aux indigènes par les Européens. Quelque temps après que l'Européen en a fait l'acquisition, le cheval malgache a complètement changé d'aspect. Au lieu de l'apparence triste et misérable qu'il avait au moment de l'achat, avec son poil terne et sa démarche chancelante, ce même cheval a repris une physionomie éveillée, son œil est brillant, le poil luisant et sa démarche assurée; enfin, il est, à un bien plus haut degré, utilisable par son cavalier. Il y a donc avantage à bien nourrir les chevaux, et il est absolument exact de répéter, à cette occasion, que: « Si bien nourrir coûte cher, mal nourrir coûte encore plus cher ». Un cheval, bien nourri et bien soigné, se vendra toujours de 2 à 300 francs plus cher qu'un animal qui a été négligé. Les juments pleines, et celles qui ont mis bas et nourrissent, ont plus particulièrement besoin d'être bien nourries. Il est évident que la gestation et l'allaitement épuisent les femelles et qu'une bonne nourriture leur est indispensable pour réparer les pertes qu'elles subissent et fournir à leurs poulains:un lait à la fois nourrissant et abondant. Nous ne saurions donc trop recommander aux Malgaches de ne pas hésiter à donner à leurs juments de bonne herbe en quantité, ainsi que du grain. Les poulains deviendront plus robustes, prendront plus de taille, et le propriétaire les vendra évidemment bien plus cher que si, par suite du manque ou de l'insuffisance de la nourriture, il les a laissés s'affaiblir et devenir chétifs. Pour se convaincre de l'influence de la nourriture sur les jeunes chevaux, les éleveurs n'ont qu'à observer la différence qui existe entre les poulains nés au haras de la Colonie, à Ampasika, il y a une année, et ceux nés, à la même époque, dans un des villages des environs de Tananarive. Les premiers sont de la taille de chevaux malgaches âgés de trois ans, alors que les autres sont bien plus petits. C'est à la bonne nourriture qu'il faut, en grande partie, attribuer cette différence entre des animaux de même âge. Ces poulains devant être vendus, il est à désirer, s'ils sont achetés par des Malgaches, que ceux-ci sachent bien qde, s'ils ne continuent pas à bien les nourrir, leurs animaux dépériront fatalement. Breuvage. — Il faut se garder de faire boire les animaux dans les mares, où l'eau est croupissante; cette eau peut donner naissance à des maladies et causer la mort des chevaux. On fera boire, de préférence, les chevaux aux eaux courantes des rivières, ainsi que dans les mares oùl'eau se renouvelle, parce qu'elle pro. vient d'une source voisine. Habitation. — Il est nécessaire que les chevaux soient protégés contre les intempéries. Pour cela, il est bon de les loger, à la fin de la journée, sous des abris qui leur tiennent lieu.d'écuries. Ces abris peuvent être construits à peu de frais. Quatre murs d'argile avec toit en herana ou en bozaka constituent une écurie convenable.


JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES — rf) On peut, sans inconvénient, laisser ouvert, mortdu cheval. Même alors que ce veraquatique Eaux-de-vie. 4.771 3.430 j en toute saison, le côté opposé au vent. 5.908 1.668 ne s'accrocherait qu'aux membres du cheval, Tissus de coton. 4.480 3.375 rf) Il faut se garder de réunir un trop grand il serait à redouter, parce qu'il lui enlèverait Machines et outils. Articles de ménage. 2.013 oe 1.534 nombre de chevaux dans des écuries trop une certaine quantité de sang et l'affaiblirait. 438 Sucre. 843 étroites et complètement fermées. Le manque a (If 365 820 Légumes. d'espace empêche les chevaux de dormir la Vins et liqueurs, chamnuit et de se reposer. RENSEIGNEMENTS ÉCONOMIQUES * 688 oe 675 pagne. Les femelles pleines seront, autant que posAccordéons 230 792 sible, séparées des autres, et on leur donnera de Madagascar Sainte-Marie La répartition des importations par un espace plus grand, si l'on ne veut les exponance donne les chiffres suivants: ser à des avortements et à des pertes. Il en pru I I est de cette La vie commerciale dépendance Poids sera de même pour celles qui ont des pouValeur dimifaible. Les bien importations France. lains, lesquels, lorsque l'entassement des ani- toujours 36.688 Ko. 34.232fr. à l'aud'un semestre très sensiblement nuent Hollande. 88 maux est trop grand, sont exposés à toutes 151 à la de la due diminution baisse est cette 3 tre; 2 sortes d'accidents. Amérique. attirée dans les localités Russie indigène, population 750 1.580 En beaucoup de villages, les maisons en de Diego-Suarez et de Tamaimportantes plus 13 jjj 54 ruines pourraient constituer des écuries conAngleterre. tave. 265 82 Chine. venables, après quelques réparations insigniIl semblerait, au premier examen des chif- Allemaj:tne. 792 , 230 fiantes. tendance a ont une les fres. exportations que Toutes ces importations ont été faites La pratique de renfermer, la nuit venue, les rafia provient Il n'en est rien. Le se relever. et proviennent des chevaux sous des abris, ne peut être que propavillon français n'a été à Sainte-Marie suivants: et la Grande Terre de pO I s t fitable à leur santé et à l'amélioration de la aux girofles, c'est la récolte transit. Quant qu'en Poids race. et de pareilles récol- Ma.rseille. a 1899 été de exportée, qui 36.474K" Soins de propreté. — Sans exiger des indi- tes de 75à 80tonnes ne se renouvellent que tous 735 La 2.250 Réunion. Val#f 35.5381^1 QJI gènes qu'ils donnent à leurs chevaux les soins les trois ans. La dernière, celle de 1896, avait Il a été exporté 101.327 kil. de de propreté que les Européens savent donner même donné 100 tonnes. De ce côté encore, il produtt marchandises valant 74.626 fr. Ces aux leurs, il serait désirable que le cheval le café lieu de ne a donc s'illusionner; dllt t é5 pas n'y coos malgache fût plus proprement tenu qu'il ne donne rien ou presque rien; seul, le girofle sont beaucoup plus élevés que ceux d la 1899 semestrielle de l'est à l'ordinaire.. moyenne pour (PO IJ est main-d'œuvre maisla insuffisante, 13.202 rendbien, 13.330 fr.), par Suite Un torchon de paille tressée suffit pour net- et les cours en kil.; valeur, sont avilis. Europe en instants un cheval a quelques toyer qui Du 1er janvier au 30 juin, il est entré 41 l'exportation àde la récolte presqueunentl5 IJ elle seule, donne pâturé, la journée durant, dans un marécage et navires, dont 27 battant pavillon français, jau- girofle, qui, poid50 1 74.678 kil. 508 fr.; et une valeur de 54. souvent cette couvert de est, pour raison, qui coe ensemble 25.384 tonneaux, montés par geant en outre, de tenir compte d'une augrÍ boue. vient, 283 hommes 1.540 ayant débarqué d'équipage, tation fictive, donnée parle transitaS,e"*rjei La boue humide collée aux poils empêche anglais, jaugeant de 25.446 kilos de rafla valant 17.254 r ji passagers,etl4battantpavillon tout repos par le froid qu'elle occasionne. Les ensemble 248 tonneaux, montés par 76 hommes d~ de 25.446 l'on chiffres rafia des valant totaux 17.254 défalque kilosces de jeunes enfants inoccupés dans les villages d'équipage, et ayant débarqué 15 passagers. obtCpor à la des on retombe ordinaire à être dressés moyenne pourraient nettoyer les chevaux Pendant la même période, il est sorti 41 navi- tatio ns de Ste-Marie. à leur rentrée à l'écurie. Ce serait là un moyen battant 27 dont français, jaugeant pavillon res, de les intéresser aux chevaux, qu'ils aime- ensemble 25.384 tonneaux, montés par 1.540 Les -produits exportés ont été: ff. SUI) ..t raient peu à peu et auxquels ils prendraient hommes Girofle 74.678 k01 embarqué 341 pasayant d'équipage, 5. 5t 1 l'habitude de donner des soins, tout comme Rafla. 25.446 et 14 battant pavillon anglais, jaugeant 11- 254 sagers, ils ont celle de leur porter la ration. Quelques ensemble 248 tonneaux, montés par 76 hommes Café. 743 1.480 suffiraient le plus souvent à Vanille. soins de propreté 25 1 embarqué passager. d'équipage, ayant 1.010 Crin aux chevaux les éviter 25 dépilations, les excovégétal. Des 41 navires entrés, 21 jaugeant 11.900 10 riations qui dégénèrent en plaies par le pru- tonneaux venaient de Tamatave, 2 jaugeant 35 BOIS. 300 10 rit qu'elles occasionnent. Ces plaies diminuent tonneaux venaient de Soanierana, 8 jaugeant Peaux sèches. 90 g* du en le la valeur rendant hideux et 13.503tonneaux venaient de Diego-Suarez, 3 Ecailles de tortue. 5 cheval, Volailles. 22 repoussant. Quelquefois, elles le rendent ma- jaugeant 61 tonneaux venaient de Maroan-:. lade et causent même sa mort. destinations Les se fi' répartissent de 126 tonneaux venaient 6 tsetra, aiOS80 jaugeant La Réunion (café). 743 Il faut éviter de laisser pâturer les animaux Fenerive, et 1 jaugeant 7 tonneaux venait de K*» Marseille. 100.584 aux endroits où l'on sait que se trouvent des Mananara. 7,3.sO Toutes ces exportations se sont faiteS Des 41 navires sortis, 4 jaugeant 87 t* étaient tiques. Ces parasites, qui s'attachent aux animaux et se nourrissent de leur sang, les affai- a destination de Fandrarazana, 11 jaugeant pavillon français. IJéei blissent. 13.463 t* étaient a destination de Tamatave, 8 L'agriculture est de plus en plus aband^jjt! Les tiques occasionnent quelquefois une mala- jaugeant 11.608 tx étaient à destination de Diego- la population mâle a baissé considérable die particulière, caractérisée par la formation de Snarez, 5 jaugeant 106 tx étaient à destination les bras manquent. Depuis 1888, la P°P%0^f nombreux petits abcès, qui peuvent entraîner, de Mananara, 6 jaugeant 122 t* étaient à desti- a diminué de 50 8/0environ, de 7.809 à3*9001e par l'anémie qu'elles provoquent, la mort de nation de Soanierana, 2 jaugeant 52 tx étaient c'est à peine si l'on trouverait en ce $ l'animal. Pour débarrasser les chevaux des ti- à destination d'Antanambe, 5 jaugeant 94 ton- 8 à 900 hommes valides ayant de 16 à Un certain nombresont emplovés sur le* P.$ ques, il suffit d'appliquer sur les insectes une neaux étaient à destination de Maroantsetra. seule goutte d'essence de térébenthine, de benPendant la même période, il a été importé à tions des Européens, d'autres cxplolten g rJ!! l zine ou d'huile; les tiques, sous l'influence de Sainte-Marie 50.734 kilos de marchandises va- mêmes des terrains leur appartenant; êC l'un de ces produits, se détachent et tombent à lant 37.473 fr. 08. Ces chiffres sont notable- de majorité se livre exclusivement à la Péc Pour les indigènes, le travail de la errlldrOl terre. Il faut alors prendre soin de les recueillir ment inférieurs 11ceux de la moyenne semespour les brûler, afin d'empêcher leurs œufs trielle del'année 1899,quisont: poids: 73.266ki- qu'un pis aller, auquel ils ne se r®s^ait°{ d'éclore dans le sol; on arrive ainsi à détruire los; valeur: 49.312 francs. jamais, tant qu'ils trouveront dessala' j l* munérateurs à Diego-Suarez et à Tama en une seule fois les tiques adultes et leur Les principaux produits importés ont été: p~" nombreuse progéniture. les Valeur Poids Quelques-uns, plus intelligents, e%F lor, Il faut aussi éviter avec soin de mener les Farine et blé. 10.340Kos 4.620fr. 00 tent des plantations de girofle, de caféldg animaux boire ou pâturer dans les endroits Pommes de terre. 647 50 vanille. Il convient même de leur rendécolt 2.844 connus pour renfermer des sangsues. En s'in- Huile d'olive. 924 00 justice que,sur 80 tonnes de girofle réel p 1.287 troduisant dans les narines ou la bouche, les Vins ordinaires. 13.825 6.282 00 en 1899, la presque totalité a été fout 780 00 les plantations d'indigènes. 2.037 sangsues peuvent, par l'asphyxie, entraîner la 8iire et cidre. 4868


JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES tiepIndustrie est nulle à St8-Marie.Les charpenrns, for:rons, menuisiers ont, depuis longqUItté la dépendance, qui ne leur offrait 'InsPs, Plusaucune ressource, pour aller s'établir sur corerandeTerre. Pour que l'industrie fût en1885prospère, comme elle l'était de 1860 à il faudrait que la petite île se '885Sl,rt°nt, tepeuplat. qu'elle reprît l'importance qu'elle autrefois, La population émigrée ne reavait qu'en partie, l'importance de jadis ne Seretra elle était due à des circonsplus ; seretrltivera la conquête de la ontdisparu depuis Gr ul rre. à Ste-Marie. de mines pas Uoo e Xiste e seule forêl de quelques hectares sur la %te» t4te Kalalao, qui appartient à la commune trouve du caoutchouc en si petite et p 0Q «Wf qu'il n'est pas exploitable. >^^J^qu'il n'est pas exploitable. VARIÉTÉS"1 e orme de la syntaxe et l'orthographe (suite et lin, ADJECTIF 4c de l'adjectif. — Dans la locution se liti1'ecOrd fa\rer0f le, on tolérera l'accord de l'adjectif. Ex.: de..,. forte, fortes forts, lort, tit., Chf construit avec plusieurs substansuit plusieurs adjectif qualificatif un s degenres différents, on tolérera touJOUrs qUe l'adjectif soit construit au masculin jours soit du substantif le le que genre IusViquel les.VO. ISin.x: Appartements et chambres meutir le 0n tolérera aussi l'accord avec le substanrapproché. Ex.: Un courage et une fOinovUlS Nu,demi,feu lf aVe le - On tolérera l'accord de ces substantif qu'ils précèdent. Ex.: Rd jeet NUou n.s ie s, une demiou demieheure (sans — On tolérera la réucomposés. Il)n(tel sdeux mots constitutifs en un seul mdt q!!ltorm S eglegénrasonféminin et son pluriel d'après la ,ea*"*é$ ~nées,nouveaunées courtvêtu.courtvêtuc, courtAlalr tues, etc. des composés qui désignent -t ces v^Hcesadiectlfs devenus, par suite d'une ellipse, de veritable: ant traitera cCOOltne d Substantifs invariables, on les 'rntnrfp SP°'s invariables. Ex.: Des robes bleu d'eau, ete., etc., de même qu'on dit des tqbits 1'11 habitsmarron, II¡ tici68 passés invariables. —Actuelle.t, les c"°^''es Part'cipes approuvé, attendu, ci-inclus, non compris, y compris, ôté, PIJ.,SSè, S'l(eæcep.té, uel ils 0se: vu, placés avant le substantif aurestent invariables. Excepté to*«''*segdv.ioiato' classé parmi les prépositions. On Oérera 3 facultatif pour ces participes, Vj ra T acord aPPlication de règles différentes, suiant mols sont placés au commencement es la proposition, suivant, que OU ^ans ie0rPs deou n'est pas déterminé. Ex.: Ci -t'~ o~ st t Jomtes lespièces demandées tsans ou joi?lt ci et le vous participe);je Oieci JO,eQtre fr e. tOléOIntolauci jointe copic de la pièce. même liberté pour l'adjectif rra e ou francfie de port une lettre. r^oir i> oJ On permettra d'écrire indiffé8:ent, aIr. tlil'itUell;ellea l'air douxoudouce, spirituel ou la connaissance d'une pas n n exiRera e sens subtile, suivant l'accord de difference de mot air ou avec le mot désignant l'adjectif avec le s°ntip "i °nt °n indique1,air' — Vingt, cent. La proC^tifs aufûéraux. s~ille nociation datis certains cas la règle fil * oir le °urnalOfficiel du 6 octobre.

actuelle, qui donne un pluriel à ces deux mots, quand ils sont multipliés par un autre nombre. Ontolérera le pluriel de vingt et de cent même lorsque ces mots sont suivis d'un autre adjectif numéral. Ex.: Quatre vingt ou quatre vingts dix hommes - quatre cent ou quatre cents trente hommes. Le trait d'union ne sera pas exigé entre le mot désignant les unités et le mot désignantles dizaines. Ex. : Dix sept. Dansla désignationdu millésime,on tolérera mille au lieu de mil, comme dans l'expression d'un nombre. Ex.: L'an mil huit cent quatre vingt dix ou l'an mille huit cents quatre vingts dix. INDÉFINIS ADJECTIFS DÉMONSTRATIFS, ET PRONOMS Ce. — On tolérera la réunion des particules ci et là avec le pronomqui les précède, sans exiger qu'on distingue qu'est ceci, qu'est cela de qu'est ce ci, qu'est ce là. — On tolérera la suppression du trait d'union dans ces constructions. Même. — Après un substantifou un pronom au pluriel, on tolérera l'accord de même au pluriel, et on n'exigera pas de trait d'union entre mêmeet le pronom. Ex. : Nousmêmes,les dieux mêmes. Tout. — On tolérera l'accord du mot tout aussi bien devant les adjectifs féminins commençantpar une voyelle ou par une h muette que devant les adjectifs féminins commençant par une consonne ou par une h aspirée Ex.: Des personnes tout heureuses ou toutes heui-euses l'assemblée tout entière ou toute entière. Devant un nom de ville, on tolérera l'accord du mot tout avec le nompropre, sans chercher à établir une différence un peu subtile entre des constructions comme tout Rome et toute Rome. On ne comptera pas de faute non plus à ceux qui écriront différemment,en faisant parler une femme,je suis tout à vous ou je suis toute à vous. Lorsque tout est employé avec le sens indéfini de chaque, on tolérera indifféremmentla construction au singulier ou au pluriel du mot tout et du substantif qu'il accompagne. Ex. : Des marchandises de toute sorte ou toutes sortes; — la sottise est de tout (tous) temps et de tout (tous) pays. Aucun. — Avec une négationon tolérera l'emploi de ce mot aussi bien au plurielqu'au singulier. Ex. : Ne faire aucun projet ou aucuns projets. Chacun. — Lorsque ce pronom est construit après le verbe et se rapporte à un mot pluriel sujet ou complément, on tolérera indifféremment, après chacun, le possessif son, sa, ses ou le possessif leur, leurs. Ex. : Ils sont sortis chacun de son côté ou de leur côté; — remettre des livres chacun à sa place ou à leur place. VERBE Verbes composés. — On tolérera la suppression de l'apostrophe et du trait d'union dans les verbes composés. Ex. : Entrouvrir, entrecroiser. Trait d'union. - On tolérera l'absence de trait d'union entre le yerbe et le pronom sujet placé après le verbe. Ex. : Est il? Différence du sujet apparent et du sujet réel. — Ex. : Sa maladie sont des vapeurs. Il n'y a pas lieu d'enseigner de règles pour des constructions semblables, dont l'emploi ne peut être étudié utilement que dans la lecture et l'explication des textes. C'est une question de style et non de grammaire, qui ne saurait figurer ni dans les exercices éiémentaire" ni dans les examens. Accord du verbe précédé de plusieurs sujets non unis par la conjonction et. — Si les sujets ne sont pas résumés par un mot indéfini tel que la contout, rien, chacun, on tolérera toujours sa struction duverbe au pluriel. Ex.: Sa bonté, douceur le font admirer. Accord du verbe précédé de plusieurs sujets au singulier unis par ni, comme, avec, ainsi que et autres looutions équivalentes. — On tolérera toujours le verbe au pluriel. Ex.: Ni la douceur ni la force n'y peuvent rien ou n'y la santé comme la fortune demanrien peut

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dent à être ménagées ou demande à être ménagée; - le général avec quelquesofficiers,sont sortis ou est sorti du camp ; le chat, ainsi que le tigre, sont des carnivores ou est un carnivore. Accord du verbe quand le sujet est un nom collectif. — Toutes les fois que le collectif est accompagnéd'un complément au pluriel, on tolérera l'accord du verbe avec le complément. Ex.: Un peu de connaissances suffit ou suffisent. Accord du verbe quand le sujet est plus d'un. — L'usage actuel étant de construire le verbe au singulier avec le sujet plus d'un, on tolérera la construction du verbe au singulier, même lorsque plus d'un est suivi d'un complément au pluriel. Ex. : Plus'd'un de ces hommesétait ou étaientà plaindre. Accord du verbe précédé de un de ceux (une de celles)qui. — Dans quels cas le verbe de la propositionrelative doit-il être construit au pluriel, et dans quels cas au singulier ? C'estune délicatesse de langage qu'on n'essayera pas d'introduire dans les exercices élémentaires ni dans les examens. C'est, ce sont. — Comme il règne un grande diversité d'usage relativement à l'emploi régulier de c'est et de ce sont, et que les meilleurs auteurs ont employé c'est pour annoncer un substantif au pluriel ou un pronom de la troisième personne au pluriel, on tolérera dans tous les cas l'emploi de c'est au lieu de ce sont. Ex.: C'estou ce sont des montagnes et des précipices. Concordance ou correspondance des temps.— On tolérera le présent du subjonctif au lieu de l'imparfait dans les propositions subordonnées dépendant de propositions,dont le verbeest au conditionnel. Ex.: Il faudrait qu'il vienne ou qu'il vint. PARTICIPE Participe présent et adjectif verbal. — Il convient de s'en tenir à la règle générale, d'après laquelle on distingue le participe de l'adjectif, en ce que le premier indique l'action et le second l'état. Il suffit que les élèves et les candidats fassent preuve de bon sens dans les cas douteux. On devra éviter avec soin.les subtilités dans les exercices. Ex: Des sauvages vivent errant ou trrants dans les bois. Participe passé. — L1 règle d'accord enseignée actuellement à propos du participe passé construit avec l'auxiliaireavoir a toujours été plus ou moins contestée par les écrivains et par les grammairiens. Peu à peu, elle s'est compliquée de plus en plus; les exceptions sont devenues de plus en plus nombreuses, suivant la forme du complémentqui précède le participe, suivant que le même verbe est employéau sens propre ou au sens figuré, suivant que d'autres verbes accompagnent le participe. En outre, elle tombeen désuétude. Il parait inutile de s'obstiner à maintenir artificiellement une règle qui n'est qu'une cause d'embarras dans l'enseignement, qui ne sert à ri en pour le développement de l'intelligence et qui rend très dificile l'étude du français aux étrangers. Il n'y a rien à changer à la règle, d'après laquelle le participe passé, construit comme épithète, doit s'accorder avec le mot qualifié,et, construit comme attribut avec le verbe être ou un verbe intransitif, doit s'accorder avec le sujet. Ex.: Des fruits gâtés; —ils sont tombés; — elles sont tombées. Pour le participe passé construit avec l'auxiliaire avoir, on tolérera qu'il reste invariable dans tous les cas où on prescrit aujourd'hui de le faire accorder avec le complément. Ex.: Les livres que j'ai lu ou lus; — les fleurs qu'elles ont cueilli ou cueillies: — la peine que j'ai pris ou prise. Pour le participe passé des verbes réfléchis, on tolérera aussi qu'il reste invariable dans tous les cas où on prescrit aujourd'hui de le faire accorder. Ex.: Elles se sont tu ou tuess les coups que nous nous sommesdonné ou donnés. ADVERBE Ne dans les propositions subordonnées. L'emploide cette négation dans un très grand nombre de propositions subordonnées donne lieu à des règles compliquées, difficiles,abusives, souvent en


JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES iJr 11 .»-——-m ancien élève,b Un jeune homme,français, contradiction avec l'usage des écrivains les plus que. Ex.: A moins qu'on accorde le pardon ou veté de l'Ecole coloniale [section commercé qu'on n'accorde le pardon. classiques. OBSERVATION Sans faire de règles différentes suivant 411eles possédant une bonne instruction, désire trOpe Il conviendra dans les examensde ne pas compter ver une situation à Madagascar, soit dans Dt propositions dont elles dépendent sont affirmatives ou négativesou interrogatives, on tolérera la sup- commefautes graves celles qui ne prouvent riencon- maison de commerce, soit dans une entrepr. LI' pression de la négation ne dans les propositions tre l'intettigenceet le véritablesavoir des candidats, agricole ou industrielle. subordonnées dépendant de verbes oude locutions mais qui prouvent seulement l'ignorance de quelPour tous renseignements, prière de voir que finesse ou de quelque subtilité grammaticale. loir bien s'adresser à M. Victor Martin, à rlé signifiant: Empêcher,détendre, éviter que, etc. Ex. : Défen- Ainsi, notamment, il conviendra de compter très (Puv-de-Dôme) ou au Gouvernement Ge" dre qu'on vienne ou qu'on ne vienne. légèrement : 1*les fautes portant sur les substan- (3* Bureau). Craindre, désespérer, avoir peur, de peur que, tifs qui changent de genre suivant qu'ils sont emetc. Ex.: De peur qu'il aille ou qu'il n'aille. ployés au sens abstrait ou au sens concret, tels que Douter, contester, nier que, etc. Ex.: Je ne doute aide, gardp, manœuvre, etc., ou qui changent légètrouver un etJ1ploi désireraient D Deux f frères d" cu,.~int"' tels sens en de rement de vraie. ou ne soit que soit vraie genre, la chose changeant à Madg3Sso pas que une dans privée entreprise Il tient à peu, il ne tient pas à, il faut que, couple, merci, reldche, etc.; 2. les fautes relatives L'aîné, âgé de 25 ans, ancien sous-officIer, s^()(t etc. Ex.: Il ne tient pas à moi que cela se fasse au pluriel spécial de certains substantifs, particu- de l'Ecole industrielle de Lille; le second lièrement dans les langues techniques, tels que de 22 ou ne se fasse. d'infanterie, ancien ans, caporal du On tolérera de même la suppression de cette né- aïeuls et aïeux, ciels et cieux, œils et yeux, tra- ni du diplôme de l'Ecole de commerce esljp etc.; 39 les fautes relatives à vre. gation après les comparatifs et les mots indiquant vails et travaux, de l'article ou à l'emGoll une comparaison au : autre, autrement que, etc. Ex. : l'emploi ou à la suppression S'adresser pour renseignements L'année a été meilleure qu'on l'espérait ou qu'on ploi de prépositions différentes devant les noms nement Général [3* bureau]. ne l'espérait; les résultats sont autres qu'on le propres masculins désignant des pays. Ex.: Aller en Danemark, en Portugal, mais aller au Japon, croyait ou qu'on ne le croyait. De même après les locutions à moins que, avant au Brésil. 'd.pt Une jeune fille, âgée de 24 ans, PoSf®u* une bonne instruction, désirerait troov r i}p) CIVIL DE LA VILLE DE TANANARIVE ETAT emploi à Tananarive,soit comme caissière daoi, e une maison de commerce, soit comme selle de magasin. de mois 1900 du an septembre Statistique Prière de s'adresser à MeUaMarie Argloi chez M. Joseph Malvin, 19, avenue Sadi-Céprc AGE DES DÉCÉDÉS Valence [Drômej, ou au Gouvernement RELEVÉ GÉNÉRAL ral (3*bureau). .--en en :z s H g M c" DESIGNATION DÉSIGNATION AVIS DE CLOTURES DE BORNAGES ,. g= '33 '85 a: oM ow K z111ii — — !1 Réquisition N* 1016 T fe, » » Mort-nés ., 29 14 Ta*119 à sise dite : Mariages, Pain-Bénit, Propriété » » Moinsd'unan. » 15 j rue de l'Artillerie. Di vorces , r » De iana3 ans. » 53 13 M. Rodriguez Auguste, P Adoptions, reconnaissances Requérant: à 10 » » De4 ans ans. » 9 d'enfants. Delacre Rejets Lucien-Chapple. 3 De11 ans a 20 ans. » 72 8 le lieu a eu Le bornage provisoire 21 à 40 De ans ï 75 ans. l 16 N. san aIS arçons.» ces (hlles 1900. De 41 ans à 60 ans. » 44 t 9 hommes. » De 61ans et au delà. , » 44 23 femmes,. Réquisition N° 1064 T t$ accou, mort-nésou à sise Emile dite : II, Tanlat r Propriété s chements avant D' ueces du Commerce. rue 14 terme » M. Prosper-Anthony Requérent: » 5 DLJpre, d TOTAUX. 1 107 [ \étrangers 30 000 gociant.. { 3l le Lè bornage provisoire a eu lieu 1900. 'tiOr. — — — — 2 . Phtisie décès. 5 . 2. des Causes Tuberculose, Coqueluche, pulmonaire, simple, Méningite — Le dernier délai pour former les opp?*f — — — du cœur,6. —Bronchite,8. — et bronchopneumonie, 30. Diarrhée, 4. —Paralysie,2. Maladies Pneumonie, 800 8. —Syphilis,8. — Sénilité,1. Paludisme,1. Grippe,6. — Mort-nésou accouchements avant aux dites dysenterie, réquisitions d'immatritulaUoéseO 11. la P mort, terme,14.—Autrescauses"e de du à mois deux de jour partir Observations. —Lanatalitéest restéestationnairependantle moisde septembre. elleest imputableen grandepartie à publication. La mortalitéest quelquepeu supérieureà celledu mois précédent ,tJt ; desix mois,décimela populationindigène contre,un seuldécèsdûà cette qui,depuisprès ; par d egrippe l'épidémie Le Chefdu service topographiq affectiona été enregistréchezles Européens.A signalerune légèrerecrudescenced'affectionsgastro-intestinales aux premièreschaleurset, peut-êtreaussi, à la grippe. qu'il fautattribuer P. BOURDIgll dusà l'infectionsyphilitiquedes parents). Lesmort-néssont toujoursnombreux(14cas, vraisemblablement 4870

ETAT

de réception

et de répartition entre le service sociétés d'assistance

DISTRIBUTIONS

de Tamatave

o.

des dons I

GASJrl RESTE EN MA au 900 J 190 l,~-~' lorSKPTRMBR® ** teille' « Uniondes Femmesde France 3 bouteillesBanyuls 0e9 2 caisses Banyuls et 3caissesde Champs id. 1 caissede tabaaC * 250paquetsde "'bue' 200paquetsde tabac id. 150paquets tabac 40 id. CIB? id. 2245 ceinturesde bouteilles flanelleMédoc 2» bouteilles Me 0 ell8 de flan 80ceintures id. id. 1 caisselivres divers • * id. » divers 4jeuxet enveloppes feuilles » id. 10 96 crayons,porte-plumeet 700 plumes,.5 flacons d'encre '• o. 10 10 jeux diver" jeoXdlVe id. t id'.1 — SOCIÉTÉS DONATRICES au personnelembarquéou -à l'infirmerieddee garnison DÉBARQUÉ

..-.. EXISTANT AUlorAOUT1900

3 caissesBanyuls. , ,.,. 3 id. de Champagne..,.,.,. 3 id. de tabac(40paquetscigarettes) 24bouteillesde Médoc.,.,. 125ceinturesde Oanelle.,.,. 1 caisselivresdivers.,.,. ,., 4 jeux divers,.,.,.,.,.,.,.,., Fournituresd'écriture. 10 Jeux tO jeux divers,.,.,.,., divers

de santé et le commandant d'armes reçus pendant le mois d'août 1900

-


JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES RÉPUBLIQUE FRANÇAISE — EGALITÉ— FRATERNITÉ LIBERTÉ COLONIE

DE

MADAGASCAR

DESTRAVAUXPUBLICS DIRECTION * tour' de 2.400 tonnes de chaux hydrauIi nltur ."ecessaires pour la constructIon du cue enUn de fer d'Anivorano au Mangoro. dc\dJ'Ud' ans 1 Icatlon en deux lots à Tananarive, lreaux de la direction des travaux ^e :a Polies 9 heures du matin, le 22 octobre '900, 1900, il sera procédé, en 0(?tobre séancepublique aux henre et endroit ci-dessus, sera nommée eept, commission qui qui sera nomméeà àcetcet * la „ émi.ssion en deux lots ARa^i"dicati°n égaux, au rabais !a et j'811r soumissions cachetées, de la fOurnit llen1te de2.400 tonnes de chaux hydraulila du construction pour okenéeSA'RES de fer d'Anivorano au Mangoro. de principales l'adjudication ,Nnl *i0ns être admis à prendre part a np. ra et s'il n'a été t^c'a'em snes* par le directeur des ^Ux«e!?î. autorisé Français travaux t~ publics. adresflonurrents devront, en conséquence, hdreSsPr "116 àdemande au directeur des traTananarive, à qui elle devra i,. ,,csfition jours au moins avant l'ad l'adjtidicaj udicaChaql à sa deChaqueconcurent devra joindre fois.(J de l'annéesa courante; qualité de Fran3e nepièce Un constatant constatant que sa marque t certi icat une administration de l'Etat ou r le 't dir deParistravaux publics fera connaîC^iS ^l1r des ïM-Sadéci<10? hJ°n, San e aux concurrents avant l'adjuditenu d'indiquer le motif de adn¡i,ans ou du IOn rejet. Soumissions Les peuvent être: ^Ss'°ns hJ°,A(]rg'et8 Par lettres recommandées au delnl t d'l bllre,,, d'adjudication, de manière la veille de l'adjuItion enlr au plus tard j par les soumissionnaires ou leurs Ie bureau, en séance publiS ,Ii l'hants Sur ? eo\,el1refixée Pour J'adjndication. 1 * envoln^esdudevrontporter la suscription: 22 octobre 1900. Fourniture Challt hIdon concurrents à annexera sa soujo n lni s 1°L'autorisation de coneotirir délivrée par réoénLl^lVanx constatant P,lblicf î a le versement e cautin provisoire d'une somme nt detbjll Pfranc Pour chacun des deux lots. indiquera le lieu de paiement ^iib On P~ «îotirnissionnaire. [Ce choix ne choi1 par iesdans1 Crqne. sur l'une des caisses étafon^iie y Colonie]. Lnr8qtleilnditidieition aura été approuvée les adjudicataires f-Ur ^®népal» Vij)». cautionnementsproviprovirai- t convpf'e,,rs cautionnements POUrchacnn des deux lots. ancs aux entrepredes pièces Cation eses neurs pièces cesdummarché seront communiquées

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aux entrepreneurs tous les jours, excepté les informe les intéressés qu'il a appréhendé, dimanches et jours fériés: comme vacante, la succession du sieur Dans les bureaux du directeur des travaux Chactas Joseph, décédé, le 6 juillet 1900, à publics de Madagascar, de 8 heures èi11 heures Maevatanana. du matin, et de 2 heures 1/2 à 5 heures 1/2 du Les créanciers de cette succession sont priés soir. de déposer au bureau du curateur leurs titres A Tamatavect à Majunga,aux mêmes heures, et factures. et dans les bureaux des chefs du service des le 14 1900. Majunga, Septembre dans ces deux travaux publics places. A Arivorano, aux mêmes heures et dans les Le Curateurp. i., bureaux de la chefferie du chemin de fer. DESCOTTES. Modèle de soumission Le receveur de l'enregistrement et des doSoumission maines, curateur aux successions et biens va1" lot ou 28lot cants, informe les intéressés qu'il a appréhendé, Je soussigné [nom, prénoms]., demeurant comme vacante, la succession de Philogène me soumets et m'engage envers Louis, décédé,le 12juillet 1900, à Ambodimanà le Gouverneur Général de Madagascar et Dé- ga (district de Vatomandry). Les créanciers de cette succession sont pries pendances, agissant au nom de la Colonie, à fournir et à livrer à mes risques et périls, dans de au bureau du curateur leurs titres déposer à les magasins du service des travaux publics, et factures. Andovoranto, dans les délais et conditions Tananarive,le 22 Septembre 1900. déterminés par le cahier des conditions particulières, approuvé le i7 septembre 1900 parle Le Curateurp. t., Gouverneur Général, la quantité de i.200 tonA. LOTA. nes de chaux hydraulique, fourniture, faisant l'objet du premier lot [ou du deuxième lot] de francs l'adjudication, moyennant le prix de. ---"AIL_ a~ centimes la tonne [poids net]. Le paiement de mes livraisons aura lieu à.. N*1457 RÉQUISITION La chaux proviendra de l'usine de .et la marque suivante: .[indiquer Suivantréquisition du 13 juillet 1900, M. GarnierMouton.administrateurde 3' classe, chef de la proportera la marque]. vince de Betafo, agissant au nom et pour le Fait à. le de l'Etat français, domiciliéà Betafo, à la compte [Signature]. résidence, a demandé l'immatriculation. en qualité de propriétaire, d'une propriété à laquelle il a déclaré vouloir donner le nom de i*o cimetière, AVIS consistant en terrain enclos par un mur situé à Betafo. Le capitaine chef du génie de Tananarive Cette propriété, occupantune superficie de deux ou menuisiers ares quarante-trois centiares, est limitée; demande dix charpentiers Au Nord, par la propriété Raininonv ; indigènes pour aller travailler à Beforona; A l'Est, par la propriété Raininony et la prochantiers les rfowsepourFianarantsoaet s £ ;rpour priété.Ranoarivelo; de l'hôpital de Soavinandriana. la Au Rainivahonoro; Sud, par propriété à à se invités Les candidats sont présenter A l'Ouest,parl'ancienne route d'Inanatonana. la chefferiedu génie (Ambatomiangara) tous Le requérant déclare qu'à sa connaissance il les jours, de 7 heures à 11 heures et de 1 heu- n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ni re à 5 heures et demie, sauf le dimanche, pour aucun droit réel immobilier actuel ou éventuel. été fixé par M. le chef soumettre leurs références et faire arrêter leurs duLe bornage provisoire a au service topographique 19 novembre 1900,à conditions d'engagement. Le salaire journalier sera de 2 à 5 francs, 8 heures du matin. LeConservateur dela propriétéfoncière, suivant les aptitudes professionnelles, pour ceux qui désirent allerà Beforona. LOUSSERT. MM. les entrepreneurs qui pourraient fournir tout ou partie de cette main-d'œuvre peuFANGATAHANA N*1457 vent présenter au chef du génie leurs propositions par écrit. Nohony fangatahana tamin' ny i3 juillet i900, Le capitaine chef du génie de Tananarive M. Garnier-Mouton,administrates de 3* classe, de Betato, manao ho an' nv demande cinquante maçons, dont deux mal- chet de la province monina ao Betafo,ao amin' ny rrantsav, travailaller Fanjakana tres-maçons indigènes, pour anoratana Résldence. amin' nangataka ny ny Re, er à Fianarantsoa. fa izy no tompon' ny tany jistry ny Fanjakana, à à se Les candidats sont invités présenter nomena anarana hoe : tlanv nambarany sy izay la chefferie du génie (Ambatomiangaral tous I,c Cimetierej misy tany voahodidin-tamboho, les jours, de 7 heures à 11 heures et de 1 heure ao Betafo. Izanv tany izany dia misy roa ares sy telo ambv à 5 heures et demie, sauf le dimanche, pour soumettre leurs références et faire arrêter leurs efa-polo centiares ny habeny ; arv izao no faritra aminv: conditions d'engagement. dia ny tanin-dRaininony; Ny Avaratra, fourMM.les entrepreneurs qui pourraient dia RanoaNy Atsinanana, ny tanin-Raininonysy main-d'œuvre de cette peu- rivelo; nir tout ou partie vent présenter au chef du génie leurs proposiNy Atsimo, dia ny tanin Rainivaonoro; Ny Andrefana,dia ny lalana avy any Inanatonations par écrit. tana taloha. Ny mangatakamanambara.fa araka ny fahafanDÉPENDANCES ET MADAGASCAR tarany nyamin' izany fananana tany voalazaizany, dia tsy misy natao anto-javatr'olona, ary tsy anaCURATELLE nan'olon-kafa,na ankehitrinv na amin' nv ho avv. andro hamaritana io io dia riaraikitr' t tany vacants biens et Ny successions aux M. le chef du service topographiqueamin' nv i9 novembre 1900, amin' ny 8 famantaranandro'maAVIS raina. amin'ny fanananatany, Ny Mpitahiry ny domaiet des de Le receveur l'enregistrement LOUSSERT. nes, curateur aux successions et biens vacants,


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, N-1458 RÉQUISITION

JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DEPENDANCES Izany tany izany dia misy dimy ares ny habenv; arvizaono faritra aminy: Ny Avaratra, dia ny tanim-panjakana ; Ny Atsinanana, dirt trano iray an' i M.Cussa; Ny Atsimo.dia lalana sy tanim-panjakana; My Andrefana, dia ny lalana rue du capitaine Honschoëse. fa araka ny fahafanNy mangataka manambara, taranv nyamin'izany fananana tany voalaza izany, dia tsy misv natao anto-javatr' olona, ary tsy ananan' olon-kàfa,na ankehitriny na amin' ny ho avy. Ny andro hamaritana lotariyio, dia efa naraikitry M. fe chef du service topographique, amin' ny 26 novembre 1900,amin' ny 8 tamantaranandromaraina. , NyMpitahiryny amin'ny fanananatany, LOUSSERT.

Au Nord, par les cases appartenant aux Razafindrabeet Kanjoana ; A l'Est, par propriété de M. Cledère; -~ Au Sud, par les cases appartenant auxfi Rasoamiaranalyet Ravaoet un groupe de ! a cases; A l'Ouest,par la rue du Capi tain e-Honsch Le requérant déclare qu'a sa connais^g n'existe, sur la dite propriété, aucune c aucun droit réel immobilieractuel ou éventa) Le bornage provisoire a été fixé par M.J du service topographique au 30novembre heures du matin. Jj Le Conservateur de la propriété. LOUSSGH

Suivant réquisition du 13 juillet 1900,M.GarnierMouton, administrateur de 3' classe, chef de la province de Betafo, agissant au nom et pour le à la, compte de al'Etat français, domiciliéà Betafo, résidence, demandé l'immatriculation,en qualité de propriétaire, d'une propriété à laquelle il a déclaré vouloirdonner le nom de i/Eenrie, consistant en bâtiment servant d'écurie située à Betafo. Cette propriété, occupant une superficie de un are cinquante centiares, est limitée: Au Nord, à l'Est et au Sud, par des terrains domaniaux ; Au Sud-Ouest,par la maison de Rasoarivony ; A l'Ouest, par un terrain domanial. Le requérant déclare qu'à sa connaissance il FANGATAHANA N" 1461 1n'existe, sur la dite propriété, aucune chaire ni aucun droit réel immobilier actuel ou éventuel. Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef Noho nv fangatahana tamm' ny 16 mai w N °1460 RÉQUISITION du service topographique au 21 novembre 1900,à 8 Garnier-Mouton,administrateur de 3' claS heuresdu matin. la province de Betato, manao ho an' oil Suivant réquisition du 16 mai 1900,M. Garnier- de LaConservateurde la propriétéfoncière, Mouton,administrateurde 3*classe, chef de la pro- kana frantsay, monina ao Betafo, nana anoratana amin'ny Rejistry ny Fanjakanf vince de au nomet le Betafo, agissant pour compte LOUSSERT. tompon' ny tany izay nambarany sy tias de l'Etat-français, domicilié à Betafo, a demandé no anaranahoe: Tranoinaizina,toKotaflj l'immatriculation, en qualité de propriétaire, d'une mena tranomaizinairay, trano kely fiambenan'nyjj à il a déclaré vouloir donner le propriété laquelle FANGATAHANA N*1458 nom de nova, consistant en une maison, trojs peti- lakozy ary magazav, ao Izanytanyizanydia misy sivy ares sy^,3 tes cases et jardin d'agrément planté d'arbres, situés Noho ny fangatahana tamin' ny13 juillet 19G0, à Betafo. polo centiares ny habenv; ary izao n M. Garnier-Mouton, administrateur de 3* classe, * Cette propriété, occupant une superficie de vingt- aminy: NyAvaratra, dia ny- tranon-dRazafindrab®9J Betafo. chef de la province de Betafo, manao ho an' ny et-un ares quarante-cinq centiares, est limitée: ao Betafo, ao amin' ny joana; , Au Nord, par la rue du Lieutenant-Déjoux; Fanjakana frantsay, monina Ny Atsinanana.dia ny tanin'iM. Crederen Restdence, nangataka ny anoratana amin' ny Rejis: A l'Est, par une rue et recole officielle; Ny Atsimo, dia ny tranon-dRasoamiarajjJ try ny Fanjakana, fa izy no tompon' ny tany izay Au Sud, par une allée plantée d'arbres; nambarany sy tianv nomena anarana hoe: I/ECUA l'Ouest,par la maison des passagers et une Ravaoary trano madinidinika; Ny Andrefana, dia ny làlana rue du Ca rle; misy tranon-tsoavaly, ao Betafo. maison d'habitation appartenant à l'Etat. Izany tany izany dia misy iray are sy dimam-polo Le requérant déclare qu'à sa connaissance il Honschoëte. centiares nv habeny Ny mangatakamanambara, fa araka ny A ; arv Izaono faritra aminy : sur la dite propriété, aucune charge ni n'existe, ranynyamin'Izanvfanananatany voalazalZ Ny Avaratra sy ny Atsinanana ary ny Atsimo, aucun droit réel immobilieractuel ou éventuel. dia ny tanim-panjakana anto-javatr' olona, ary tsy "a ; Le bornageprovisoire a été fixé par M. le chef du tsy misy natao na ankehitriny na amin ny Jl NyAtsimo-Andrefana, dia ny tranon-dRasoari- service topographiqueau 28 novembre 1900,à 8 olon-kat'a, Ny andro hamaritana io tany io dia efa H vony; heures du matin. try M. le chef du service topographique, Ny Andrefana, dia ny tanimpanjakana, LeConservateur dela propriétéfoncière, 30novembre 1900,amin' ny 8 famantaraoan Ny mangataka manambara, fa araka ny fahatanraina. tarany ny amin' izany tany voalaza izany, dia tsy LOUSSERT. NyMpitahiryny amin' ny fanana^B mtsv natao-anto-javatr'olona, ary tsy ananan' olonkafa,naankehitriny na amin' ny hoavy. LOUSSEi N* 1460 FANGATAHANA Nvandro hamaritana io tany io, daefa naraikitry -M. le chef du service topographique, amin' ny 21 novembre i900, amin' ny 8 famantaranandromaraiNoho ny fangatahana tamin' ny 16 mai 1900,M. RÉQUISITION N-1462 j na. Garnier-Mouton,administrateur de 3* classe, chef Suivant réquisition du 16 mai 1900,M; NyMpitahiryny amin'ny fanananatany, de la province de Betafo, manao ho an' ny Fanjakana frantsay, monina ao Betafo, nangataka ny Mouton,administrateur de 3° classe, .agl LOUSSERT. anoratana amin' ny Rejigtry ny Fanjakana, fa izy nom et pour le compte de l'Etat français,4jjfl no tompon'ny tany izay nambarany sy tíany no- à Betafo, a demandé l'immatriculation, mena anarana hoe: Hova, misy trano lehibe iray, de propriétaire, d'une propriété à laquelle N ° i459 RÉQUISITION trano telo madinika ary tanim-boninkazlovoavoly claré vouloir donner4e nom de Déjoui, c&M hazo, ao Betafo. en une maison d'habitation,une cuisine, de Suivant réquisition du 16 mai 1900,M. GarnierIzany tany izany dia misy iraika amby roa-polo ces, unjardin d'agrément plantédequelque Mouton,administrateur de 3»classe, chef de la pro- aressy dimy amby efa-polo. centiares ny habeny; situés à Betafo. N vince de Betafo,agissant au nom et pour le compte ary izao no faritra aminv: Cette propriété, occupant une superficiea de l'Etat, français, domicilié à Betafo, a demandé Ny Avaratra, dia ny i&lana rue du Lieutenant ares trente centiares, est limitée: l'immatriculation, en qualité de propriétaire, d'une Déjoux; Au Nord, par une rue la séparant deS Ny Atsinanana, dia ny lalana ary ny sekolim- des fonctionnaires indigènes propriété à laquelle il a déclaré vouloir donner le Jfl ; nom de lakarina. consistant en un bâtiment ser- panjakana: A l'Est, par la case du nommé Rambo vant de bureaux, situé à Betafo. Ny Atsimo. dia ny arabe voavolv hazo; terrain appartenant à l'Etat Andrefana, dia ny tranom-båhiny ary tranomoccupant une superficie de cinq Au Sud, par la rue du Lieutenant-Dejotu H Ny Cetteestpropriété, ares, limitée: A l'Ouest,par la rue du CapitaineHoosÇ panjakana fitoerana. Au Nord, par une propriété appartenant à l'Etat; Le requérant déclare quà sa conoa Ny mangataka manambara fa araka ny fahafanA l'Est, par une case appartenant à M. Cussa; tarany ny amin'izanyfanananatany voalazaizany, n'existe, sur la dite propriété, aucune QMj Au Sud, par une rue et une propriété appartenant dia tsy misynataoanto-javatr'olona, ary tsyananah' aucun droit réel immobilier actuel Ou à l'Etat; olon-kafa, na ankehitriny na amin' ny ho avy. Le bornàge provisoire a été fixé par JU' A l'Ouest, par la rue du Capitaine-Honschoëtte naraikitry service topographique au 3 décembre~M ; Ny andro hamaritana io tany io dia efaamin' Le requérant déclare qu'à sa connaissance il M. le chef du service topographique ny 28 heures du matin. , masur 8 la dite propriété, aucune charge ni novembre 1900,amin' ny famantaranandro n'existe, Le Conservateurdela pr.pri aucun droit réel immobilier actuel .ou éventuel. raina. LOU Le bornae provisoire a été fixé par M. le chef fananana amin' n y tany Mpitahiry ny Ny ( au du service xopographique 26 novembre 1900,à LOUSSERT. 8 heures du matin. FANGATAHANANo1462 jj Le Conservateurde la propriétéfoncière, N* 1461 REQUISITION Noho ny fangatahana tamin' ny 16 1J1 LOUSSERT. Garnier-Mouton,administrateur de 3' f Suivant réquisition du 16 mai 1900, M. Garnier- de la province de Betafo, manao ho afl jS Mouton, administrateur de 3*classe, chef de la pro- kana frantsay, monina ao Betafo, nn N*i459 FANGATAHANA vince de Detafo,agissant au nom et pour le compte anoratana amin' ny Rejistry ny Fanjak de l'Etat français, domicilié à Betafo, a demandé no tompon' ny tany izay nambarany J Noho ny fangatahana tamm' ny i6 mai 1900, l'immatriculation, en qualité de propriétaire, d'une mena anarana hoe: Dejoux, misy M. Garnier-Mouton, administrateur de 3* classe, propriété à laquelle il a déclaré vouloir donner le rana, lakozy syny momba tranbOr azy, taniJU 0 «hef de la province de Betafo, manao ho an' ny nom de Trooomalzlna, consistant en une maison kazo ao hazo., Betafo. voavoly monina ao Fanjakana frantsav, Betafo, nangataka servant de prison, une case servant de poste de dia misy enina aressY Izany tany izany, ny anoratana amin' ny Rejistry ny Fanjakana, fa police, une cuisine, un magasin et cour situés à centiafes ny habeny,ary izao no faritrMfflj izy no tompon'ny fanananatany nay nambarany Betafo. dia lalàna Ny Avaratra, ny manelan sy tiany nomena anarana hoe: lakarina. misy de neuf amin' ny birao fanaovan-draharaha mom Cette une propriété, superficie occupant trano natao birao, ao Betafo. ares cinquante centiares, est limitée : ra-tany; 4


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dia ny tranon-dRainibozy ary nv compte de l'Etat français, domicilié à Betafo, a N° 1067 T Réquisition ptianana, demandé l'immatriculation, en qualité de proAkimo, dia ny lalaua rue du lieutenant Dé- priétaire, d'une propriété à laquelle il a déclaré Propriété dite: Aswat, sise à Tamatave, rue JOui. d la Gendarmerie. vouloir donner le nom de iionsehoëte, consistant de un rue une Ialàna dit du en maison d'habitation, cuisine, jardin Requérant : M.Ibrahim Mamode Lokhat, pour ny capitaine 8clretana, d'agrément, une petite plantation d'arbres, situés à Ismael Mamode Issey. fa araka nv fahafan- Betato. man&mbara, Le Sm a eu lieu le 7 septembornage provisoire 4ia fananana une de tanvrnal'r;-ata.k Cette propriété, occupant v aInln Izany tany voafaza Izany, superficie sept bre 1900. natao anto-javatr' olona, ary tsy ana- ares vingt centiares, est limitée: i?N,0'lon-kL na f c na amin' ny ho avv. Au Nord, par la rue du Capitaine-Honschoëte; No 1396 a afa, ankehitriny Réquisition Ny dro haInaritana io tany io, dia cfa naraikiA l'Est, par une rue conduisant aurova et reliant dite: Charleville, sise à AndramPropriété du service toooraphique amin' :unin' et du Lieutenant les rues du ny Capitaine-Honschoëie tryM.le c hef service topographique bontany, cercle-annexe d'Ankazobe. na. l'e 1900,amin' ny 8 famantaranandroma- Déjoux ; M. le receveur des domaines Requérant: Au Sud, par une place, la case Cussa et les bude Tananarive, pour l'Etat NyMpitahiryny amin'ny fanananatany, reaux des fonctionnaires indigènes; A l'Ouest, par la rue du Capitaine-Honschoëte. Le bornage provisoire a français. eu heu le 21 août LOUSSERT. Le requérant déclare qu'a sa connaissance il 1900. "--n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ni aucun droit réel immobilier actuel ou éventuel. Réquisition Na 345 D RÉQUISITIOii N*1463 Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef Propriété dite: Les Docks, sise à Antsirane. ------du service topographiqueau 7 décembre 1900, à 8 Suiv M. Charles Octave, inspecteur Requérant : du 16 mai M. Garnierheures du matin. 1900, Suivantréquisition des Messageries Maritimes, pour la dite 3' de chef deia classe, proLeConservateur compaï;%nd'arw^î?l-strateur au nom de la propriétéfoncière, et pour le compte gnie. agissant l' Etat 0, LOUSSERT. domicilié à Betafo, a demandé Le bornage provisoire a eu lieu le 4 août en qualité de propriétaire, d'une 1900. français, Inirnat"(ulation, il a déclaré vouloir donner le No1464 Qrnde. aquelte FANGATAjflANA ny mpltsabo. consistant en maison Réquisition Na 349 D <iv *pttn° case servant de logement aux domeses QUesn,. Noho ny fangatahana tamin' ny 16 mai 1900, M. Propriété dite: Joseph-Amélie, sise à Antsiplantation Garnier-Mouton,administrateur" de 3' classe, chef rane. tues a Betafo, res Su!n.s potager et d'agrément, Jrette de la province de Betalo, manao ho an' ny FanjaM. Fussien Turpin. Requérant: une treize occupant superficie d e kana frantsay, monina ao Betafo, nangataka ny e Le bornage provisoire a eu lieu le 27 août , anoratana amin' ny Rejistrv ny Fanjakana, fa izy 1900. par la maison la Hazafintsoa. propriété no tompon' ny fananana tany izay namharanv sy iQanrind, place où se trouve un tombeau tiany nomena anarana hoe : nouaehoCto, misy .Iène,ga, Une N° 1411 Réquisition Qdi,l,e, ''l'E n la trano fifeerana, trano lakozy, tanim-boninkazo sy Propriété du nommé hakotomanga Propriété dite: Rizière de la Milice, sise à : Au Sudpar une hazo manirv, ao Betato. rue la séparant d'une propriété dia misy fito ares sy roa-polo Ankazobe, cercle-annexe d'Ankazobe. 'JP:trtena'nfar na. pp, Izany tany izany Jésuites, consistant en centiares ny habeny ; ary izao no faritra aminy: M. Killiani, capitaine d'artillee école aux Requérant : un tombeau indigène; rie de marine, commandant le cercle-annexe dia lalana du rue Hons>in»ec°iePfUnÇ pépinière, Avaratra, ny Capitaine Ny Jf ''0uest n1 fossé la séparant d'un terrain sur choëte; d'Ankazobe, pour l'Etat français. eEl re ouve un tombeau indigène. lalana an-drova mankanv Le NyAtsinanana, diany a eu lieu le 6 septembornage provisoire déclare sa connaissance il q"evireQué-af qu'à amin lalana rue du Honssy mitohv ny Capitaine bre 1900. aucune ni propriété, charge [Uri droit dite immobilier actuel ou éventuel. choëte sy Lieutenant, Déjoux; ^roit r' , 1 dia ny toerana iray sy ny tranon' i Atsimo, N° 612 M Ny Réquisition h a été fixé M. le chef du iLo"u°rna.ro par ên»8 ^rovisoire Cussa ary ny biraon' ny mpanaoraharaha malagasy; au 5 dite : décembre 8 àa queau Propriété sise à 1900, service dutopographique MaevaMaevatanana, dia lalana rue du Andrefana, Ny ny capitaine matfn tanana. Honschoëte. M. Guilgot Victor-EdouardLe Conservateur Requérant: de la propriétéfoncière, Ny mangataka manambara, fa araka ny fahafantaranynyamin'izany fanananatanyvoalaza izany,dia Adolphe.. LOUSSERT. Le bornage provisoire a eu lieu le 18 juillet tsy misy natao anto-javatr' olona, ary tsy ananan' olon-kalana ankehitriny na amin' ny ho avy. 1900. andro hamaritana io tany io dia efa naraikitry Ny N. 1463 M.le chef du service topographique amin' ny 7 deRéquisition N° 1403 Q^v°h°FANGATAHANA cembre 1900.amin' ny 8 famantaranandro maraina: dite: Bllgnll, sise à Arivonimamo. Propriété tamin' 16 mai 1900. M. ny Nohony angatahana NyMpitahiryny amin'ny fanananatany, Requérant: M. Homassel Charles, commanadministrateur de 3. classe, chef dant aa PI'OVilou, LOUSSERT. le district d'Arivonimamo, pour l'Etat de manao ho an' Betafo, ny anopror~nce Fanjamo¡~a ao Betafo, nan~ataka ~y français. Le bornage provisoire a eu lieu le 3 septem~Frantsay ny Rejistry ny Faujakana, fa izy AVIS DE CLOTURES DE BORNAGES nobre nambarany 1900. izy sy tiany ianaamnl :!,. y Tranon' ny nipitsaho. misy oe ~anarana N° 1341 trano :wa Htoeran' Réquisition iray, jray ny tranofitoerana N° 213 F Réquisition hazo tanirn-bonínkazo Sy sy halO aflana sy lanim-boninkazosy dite: Paradis 11, sise à Tananarive, Propriété Hif' tanin' Retafoana dite: Solitude, sise à Benanarema- quartier d'Ankazotokana. Izanyao Propriété ar",Sydirn IZany,dia misy telo ambin' ny folo nanara, province de Farafangana. M. Razafimahefa et son épose RaRequérant : centiares ny haneny; M. le receveur des domaines de vaonarivo. Requérant: : ;lao no arlta aby fito-polo aminy Ilin:AVaral l'Etat français. dia Mananjary, pour Le bornage provisoire a eu lieu le 4 septemny tranon-dRazafintsoa, ny i:asyd,ftalìrina, Le bornage provisoire a eu lieu le 10 juillet bre 1900. lasana malaizay misy Va. ^Sy •"t!1..,,'ritib n-a sytoerana V* ta- i900. dia ny tanin-dRakotomanga; Réquisition N° 1139 k Réquisition N°241 F làlåna mampiavaka azy amin' dite: Lac d'Anosy, sise à TananaPropriété de dite : Résidence sise Loholoka, PPPropriété Jésuites, ary misy trano "Ya.ry ,ny•RR. l11' rive, quartier d'Anosy. de à Loholoka, Mananjary. ; province , Nv»rvfan<vL malao-asv M. Je receveur des domaines de Requérant : día dia M. le receveur des domaines de nv r Ny ny aka ny ; hadv mampísa mampisaraka ay azy f h S&n~? tanv Requérant: l'Etat Tananarive, pour fasan' français. l'Etat misy ny malagasy. français. Mananjary,pour bornage provisoire a eu lieu le 12 juillet f 'ntav^aaffaj.!. Le bornage provisoire a eu lieu le 27 juin 1900. tin a aymanambara, fa araka ny fahaLe ttp yI' <liatsv ar:nin' izany fananana tanv voalaza 1900. aa, Ylmlsy natao anto-javatf' olona, ary M N° 396 ()¡ ,nanall' Ne 1330 Réquisition Réquisition y. na na amin' k0aVvnan' 6luom n"kafPa, ankehitriny ny dite: Camp des Manguiers, sise à Propriété dite: Jérusalem, sise à TananajjJlyadro h Propriété io tanvio, dia efa naraikitry Majunga. rive, quartier d'Antanimena. Nyandro "fe d amarit.ana 5 Made MmeHaveloarivony, épouse de M. le ny Ducret, Requérant : capitaine 1900 » Requérant : amin' %ia • v,?e topographique amin' many 8 famantaranandro Randriantseheno Emmanuel. junga, pour l'Etat français. Le bornage provisoire a eu lieu le 27 août Le bornage provisoire a eu lieu le 13juillet Ny Mpitahiryny amin'ny fanananatany, 1900. 1900. LOUSSERT. Le dernier délai pour former les Réquisition NI 397 M oppositions aux ditcs. à Maréquisitions d'immatriculation est Propriété dite: Hôpital militaire, sise de deux mois à partir du jour de la RÉQUISITION N*1464 junga. présente Made M. publication. le capitaine Ducret, Requérant: 8 l'Etat français. du î6 mai M. Garnierpour \() iVnt 1900, junga, Le du service Suivant Chef Ince réquisition 10 août a eu lieu le de Le bornage provisoire topographique, , nom etdepourla P. BOURDIER. etfo, classe, élglsant au chef 1900. .3" le


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DEUXIÈME RÉSOLUTION L'Assemblée générale a réglé de la manière suivante les conditions dans lesquelles devait s'exercer le droit de préférence réservé par l'article 12 des statuts aux actionnaires anciens pour la souscription des nouvelles actions. Un avis inséré dans les journaux le Petit Phare et le NouAugmentation du Capital social et modification aux Statuts velliste a donné aux actionnaires 1. — Suivant procès-verbal du anciens un délai de 8 jours pour conseil d'administration de la So- faire connaître leur intention de profiter de ce droit de. préférence, ciété Anonyme des Comptoirs Nord-Est de Madagascar, le con- et si dans ce délai les actionnaires seil d'administration, dans sa n'avaient pas usé de cette faculté, séancedu 14mars 1900,a proposé: le conseil d'administration pouvait alors recueillir les souscriptions' 1° Que le Capital social fût augà la Société. d'étrangers menté de 250.000fraDes; TROISIÈME RÉSOLUTION 2° Que le premier inventaire social fût dressé seulement le 31déL'Assembée a approuvé la décicembre 1900, et que M. Menoreau sion du Conseil de ne pas procéfût maintenu dans ses fonctions der à un inventaire avant le 31 déde commissaire aux écritures juscembre 1900, en stipulant que cet inventaire porterait sur tout le qu'à la réunion de la première Assemblée générale ordinaire; temps écoulé entre la constitution de la Société et cette date. , 3° Que les, Actionnaires actuels eussent leur droit de préférence Qu'en conséquence, la première Assemblée générale ordinaire se réservé par l'article 12 des Statuts dans un délai de 8 jours et que, réunirait seulement au mois de mai 1901, pour délibérer sur les passé ce délai, il pût êtrç recueilli des souscriptions étrangères à la comptes du premier exercice. Société. Enfin, l'Assemblée a maintenu dans ses fonctions de II. — Suivant délibération de M.Menoreau commissaire aux écritures jusqu'à l'Assemblée générale extraordiréunion de la la première Assemnaire des Actionnaires de la Société blée ordinaire. générale Nord-Est Anonyme,des Comptoirs Ces trois résolutions ont été de Madagascar, tenue au Siège à l'unanimité. adoptées 14 mars il a le été social 1900, Une copie certifiée conforme de pris les résolutions suivantes: chacune des délibérations du ConPREMIÈRE RÉSOLUTION seil d'administration et de l'AsL'Assemblée générale a décidé semblée générale extraordinaire de la Société est quele Capital de la Société, le- des actionnaires à annexée la minute d'un acte de était actuellement de 2M.000 quel francs, serait augmenté de 250.000 déclaration de souscription et de francs par l'émission au pair de versement dressé par MoClavier et M. Nauleau, notaires à Nantes, le 500 actions de 500 francs chacune 12 mai 1900 (leditMe Clavier subset que par suite le Capital serait tituant illeLouis Gaucher, notaire à porté à 505.000francs. momentanément absent); Que le montant des actions Nantes, chacune de a ces été enrecopies serait moitié nouvelles payable gistrée à Nantes le 22 mai 1900, lors de la souscription et le surfo 31, Cil17 et 18, par M. Feillet, aux et dans les proplus a 3 fr. 75 chacune qui perçu pour époques à le conseil fixer par portions d'administration et que ces actions d'elles. seraient soumises à toutes les dis- Déclaration de SouscripIII. positions statulaires. tion et de Versement Le Conseil d'administration a Suivant acte reçu par MesClavier été autorisé à recueillir les sousNauleau, notaires à Nantes, le criptions des nouvelles actions, à et recevoir les versements, à faire la 12 mai 1900 (ledit MeCalvier substituant MeLouis Gaucher, momendéclaration notariée des souscriptanément absent) : tions et des versements et à rem1° M. Fernand Saunier, indusplir toutes les formalités nécessaires pour la régularisation de triel, demeurant à Chantenay, rue de la Ville-en-Bois; cette augmentation de capital. Société Anonyme tes Comptoirs Nord-Est ÙBMADAGASCAR Ayant son siège à Nantes, rue de Flandres, 6, dont les statuts ont été établis par MesBoulay et Nauleau, notaires à Nantes, le 14juin 1899.

~E:T~T

2° M. Refie, Fleury, armateur, demeurant à Nantes, rue Cam, bronne, 9; 3e M. Pierre-Ferdinand Barthélémy, négociant, demeurant à Nantes, rue Dugommier. « Tous trois agissant en qualité « d'administrateurs de la Société « anonyme des Comptoirs Nord« Est de Madagascar. Ont déclaré que les 500 actions nouvelles dé la Société à émettre contre espèces, à raison de 500 francs par chaque action, avaient été entièrement souscrites et que chaque souscripteuravait versé une somme égale à la moitié du montant des actions par lui souscrites, soit au total: 125.000francs. Ils ont représenté, pour l'annexer, la liste nominative des souscripteurs aux 500 actions nouvelles s'élevant à un capital de 250.000 francs, et portant par suite le capital social à une somme de 505.000francs. Cette liste contient les noms, prénoms, qualités et demeures de chacun des sousçripteufs à ces actions nouvelles, avec le nombre des actions souscrites, ainsi que l'état des versements effectués par chacun des seuscripteurs. IV. — Extrait de la délibération de l'Assemblée Génerale des actionnaires. Suivant une délibération en date du 29 mai 1900, dont une copie certifiée par le Président du Conseil d'administration a été déposée au rang des minutes de M* Gaucher, notaire à Nantes, le 14 juin 1900, enregistré à Nantes, le 20 juin suivant, folio 81, case 10, par. M. Feillet, aux droits de 3 fr. 75, L'Assemblée générale extraordinaire des actionnaires de la Société anonyme des Comptoirs NordEst de Madagascar a pris les résolutions suivantes: PREMIÈRE RÉSOLUTION L'Assemblée, après vérification, a reconnu la sincérité de la déclaration faite par le Conseil d'administration, aux termes de l'acte sus-énoncé, du 12 mai 1900, de la souscription des 500actions nouvelles de 500 francs chacune, représentant l'augmentation de capital de 250.000francs, autorisé par l'Assemblée générale du 14 mars 1900, et du versernentde la première moitié sur chacune de ces actions. En conséquence, cette augmentation a été définitivement réalisée et le capital social, qui était de

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255.000francs, a été élevéà 50 francs. DEUXIÈME RÉSOLUTION L'Assemblée a décidé que ira suite de l'augmentation du call jj 1 la rédaction des articles 6 et statuts serait aussi [podjfiêerJI ART. 6. — Le fonds d est fixé à 505.000 francs, ill 255.000 francs formant le caP" originaire et 250.000 francs,t tant de l'augmentation résdit, des décisions de l' Assemblel nérale des 14 mars et 29 rnlOS Il est diviséen 1.010 actOIi 500 francs chacune, dix jJ ayant été attribuées à M. brolJ en représentation de son il est resté 1.000 actions à ~N contre espèces. >| — Chacune 3 ART. 7. 1.010 actions donne dro distinction à une part égaH les bénéfices et dans l'a prjl du fonds social. TROISIÈME RÉSOLUTIOSB L'Assemblée générale autorisé M. Barthélémy, administrateurs de la Soc passer personnellement d prises"et des marchés aVC ciété,à condition que, cba née, il fût rendu compte semblée générale ordl l'exactitude de ces entrep marchés. Toutes ces résolutions u votées à l'unanimité. Une copie certifiée cooW la délibération du Conseil« nistration du 14 mars 19 procès-verbal de l'Assern neràle extraordinaire des naires du 14 mars 1900, dition de la déclaration 4 nistrateurs concernant la w tion de la totalité des 50 nouvelles et du verserIJ chaque souscripteur d'uDeJ égale à la moitié du mOu actions nouvelles par 1 crites, une copie certifiée C de la délibération de l'AS générale extraordinaire àeSM naires du 29 mai 1900. fl Et la liste dûment cer souscripteurs aux aC*,l0j velles, contenant les DO et dernc noms,qualités chacun d'eux. Ont été déposées à cb Greffes du Tribunal de Co de Nantes et de la Justice du 5e canton de Nantes, 1900. Jm Pour extrait gB Louis GAD

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