Journal officiel de Madagascar et dÊpendances Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque Interuniversitaire Cujas
Madagascar. Journal officiel de Madagascar et dépendances. 1900/09/19.
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;s^Aimée.
— N. S. — IN0536.
Mercredi 19 Septembre
JOURNAL
1900.
OFFICIEL DE
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MADAGASCAR
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LE JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCAR Paraît les Mercredi et Samedi. On
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à Tananarive, DU NUMÉRO:
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SOMMAIRE ploitation d'une voie navigable dite «canal des à établir le long de la côte est de pangalanes» Partie Offlelellc , Madagascar, entre Tamatave et Andovoranto. — Un numéro du Journal Officiel ART.II. dans la colonie de 'I.!\l\t'liPfOmul¡want Madagas- de f et dépendancesle décret du 20 et Dépendances, portant la date juillet Madagascar un avenant à la conven- du 19 septembre 1900 et contenant le texte du r 00, approuvant 6 octobre 1897, passée entre le dit décret dûment collationné, sera tion déposé des « la Colonies et Compagnie aux greffes des tribunaux de Madagascar et Minioi de Madagascar»pour la construc- Dépendances. ançaise Il Ion et l'exploitation du canal des pangaART.III. — M. le Procureur Général, chef du ianes. la République Française. service judiciaire, est chargé de l'exécution du bt u Président un de avenant à la conventiondu présent arrêté. 6 octobre 1891,passée entre le Ministredes Fait à Tananarive,le 10 Septembre1900. et la y de cc Compagniefrançaise Col Il pour GALLIENI. la constructionet l'exMarioascaT des panalanes. min- du canal Par le Gouverneur Général: au de de l'application Inistérielle l'article68 § 6, dusujet décret du 3 juillet 1897, Le Commissaire des Colonies de Secrétaire Général, sur les indemnités de ffons CI rant rèlement Cifir, et de Réjour. rout LALLIERDUCOUDRAY. des porteurs de filânjana emII au Sujet Par le Gouverneur Général: CI plov par les chefs de province ou de Cercle Le Procureur Général, aux de passeport. "tP, relative de droits GIRARD. la collaboration à fournir a au Sujet officiellesde la Colonie. 1'tIAI'I'S PubhcatlOns MUTATIONS. ^firTsÀ >Nn«i INAT[ONS, RAPPORT 0G»£KS DEPARIS. au Président de la République Française Partie non ornciclle Avls LE PRÉSIDENT, MONSIEUR ET — INFORMATIONS. TERRITOINOUVMLLTS — VARIÉTÉS. — ETATCIVIL Aux termes de la convention passée le 6 nt MILITAIRES. VILLEDE TANANARIVE. — AVIS octobre 1897, entre mon Département et la DE». PUBLfQUE. ICATION Compagnie française de Madagascar et de l'avenant à la dite convention en date du 31 juillet 1899vla construction de la voie navientre Tamatave et gable Andovoranto, dite OFFICIELLE SJÎHTIB Canal des pangalanes, devait être terminée le 1900. 1erjuillet S~T t.titll.(. h: ARRÊTÉ La Compagnie des Messageries françaises de dans la colote de Ma J)romulguant Madagascar, substituée à la Compagnie françaiet Dépendances se de Madagascar par décret du 20 août 1899, le du ç>n^s?ar juillet ayant demandé une prorogation de délai, des 1900, approuvant a i ont été engagés par mon Départeconvention du 6 pourparlers octobre fS97 ant a la Ir 4 Passée entre le Ministre des Co- ment en vue des modifications à apporter aux et ont abouti à la rédacsus-mentionnés actes de tion d'un nouvel avenant COmpagnie française fià 6t la 30 juin le passé la construction et 1900 entre les deux parties en cause. EIPloitCtr, Pour du canal des pangalanes. Cet avenant donne satisfaction à la demande talOn de la compagnie, mais, par contre, lui impose d' eGénéral Le Gén' commandant en chef du Corps des réductions de tarifs pour les matières destiGénéral de Mada- nées à l'exportation. et Gouverneur ^Pationd' nces' p. t89"¡111ea Il étend, en outre, aux transports effectués (Jécrets S de8 11 taU. le décembre1895et 30 juillet pour le compte des entrepreneurs du chemin de etaa fer de Tananarive,les réductions destarifs impodu es artiC|eg 28 décembre 1895 sés du 31 juillet 1899, en ce qui ? l'avenant décretdu par 9 un et8d3uCretdu 1896. concerne les matériaux appartenant à lacolonie. Le projet de décret que j'ai l'honneur de S k A„ A a but à haute sanction votre dans la soumettre colonie pour Est promulgué 1%iolascar ces modifications. le décret du 20 d'approuver ada gasea" et népendances un avenant à la conle Président, Monsieur vous Je d'agréer, & prie Citionh aPPronvVa?1 6o passée entre le Mi- l'hommage de mon profond respect. de des CO)Cobre1897, Le Ministre des Colonies, ilditgasc nIes et la Compagnie Française ar, Pour la construction et l'exALBERT DECRAIS.
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DÉCRET approuvant un avenant à la convention du 6 octobre 1897, passée entre le Ministre des Colonies et la Compagnie française de Madagascar pour la construction et l'exploitation du Canal des Pangalanes. Le Président de la République Française, Vul'article 18 du sénatus-consultedu 3 mai 1854; Vu le décret du 11 novembre 1895, fixant les ; pouvoirs du RésidentGénérai de Madagascar Vu les décrets des 18 décembre 1895 et 9 juin 1896,portant organisation du service judiciaire à Madagascar ; Vules décrets des 3 août 1896et 6 mars 1897, instituantun conseil d'administrationprès le Résident Généralde Madagascar; Vu la loi du 6 août 1896,déclarant coloniefrançaiseMadagascaret ses dépendances ; Vule décret du 16 juillet 1897,sur la propriété foncièreet le domainepublic à Madagascar ; Vule décret du 30 juillet 1897,instituantun Gouverneur Généralde Madagascaret Dépendances ; Vu la invention en date du 6 octobre 1897, passée entre le Ministredes Colonieset la Compagnie françaisede Madagascarpour la construction et l'exploitationd'une voie navigable dite « Canal des Pangalanes», à établirle long de la côte est de Madagascarentre Tamataveet Andovoranto; Vu le décret du 6 octobre 1897,approuvant la convention précitée; Vu l'avenant en date du 31 juillet 1899,à la dite convention : Vu le décret du 19 août 1899,approuvant l'avenant précité; Vu le décret du 20 août 1899, approuvant la substitutionde la Compagniedes Messageriesfrançaises de Madagascara la Compagniefrançaise de Madagascarpour l'exécutionde la convention ; Vu l'extrait du procès-verbal de la séance du conseild'administrationde la compagniedes Messageries françaisesde Madagascar,en date du 16 juin 1900,donnant tous pouvoirsà M. Mirio,administrateur délégué de la dite compagnie, en vue d'adhérer à toutes modificationsà apporter à la conventiondu 6 octobre 1897et à l'avenant du 31 ; juillet 1899sus-visé Sur le rapport du Ministredes Colonies, Décrète: ART.1er. — Est approuvé l'avenant en date du 30 juin 1900, à la convention passée le 6 octobre 1897, entre le Ministre des Colonies et la Compagnie française de Madagascar. ART. II. — Le Ministre des Colonies Fest chargé de l'exécution du présent décret, qui sera inséré aux Journaux Officiels de la République Française et de la colonie de Madagascar. Faità Paris, le 20 Juillet 1900. EMILELOUBET. Par le Président de la République: Le Ministre des Colonies, ALBERT DECRAIS.
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JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES MINISTÈREDES COLONIES 3*Direction.— 3*Bureau
DÉPÊCHE MINISTÉRIELLE au sujet de l'application de l'article 68, § 6, du décret du 3 juillet 1897, portant sur les indemnités de route règlement et de séjour. Paris, te 21 Juillet 1900. MONSIEUR LE GOUVERNEUR GÉNÉRAL, Par lettre du 21 août dernier, vous avez exprimé le désir de voir modifier, en faveur du personnel civil de Madagascar, les dispositions rigoureuses de l'article 68 (paragraphe 6) du décret du 3 juillet 1897, sur les indemnités de déplacement, en vertu duquel une seule indemnité de séjour est attribuée aux fonctionnaires et agents retenus, par ordre, en séjour au port de débarquement dans les colonies, avant de recevoir une destination définitive. Vous faites remarquer qu'en raison du manque de moyens de transport suffisants, les intéressés sont obligés d'attendre, parfois plusieurs semaines, soit à Tamatave, soit à DiegoSuarez et que cette circonstance de force majeure, dont ils ne sont pas responsables, leur impose des dépenses supplémentaires hors de proportion avec leurs ressources. Vous demandez, en conséquence, que la limitation du droit à l'indemnité de séjour soit, par mesure exceptionnelle, portée à quinze jours, dans les cas dont il s'agit. J'ai l'honneur de vous informer que la restriction apportée, dans l'espèce, par l'acte précité de 1897 a eu pour but de supprimer de nombreux abus. Par suite, quel que soit l'intérêt que présente, ace point de vue, la situation actuelle du personnel en cause, la modification proposée par vous ne me paraît pas indiquée. J'estime, en effet, qu'une première dérogation aux dispositions susvisées conduirait le Département à prendre, dans l'avenir, une série de mesures semblables, qui seraient bientôt sollicitées et causeraient une augmentation de dépense fort onéreuse pour les divers budgets. Il convient, d'ailleurs, de remarquer que, dès leur débarquement à Madagascar, les intéressés reçoivent la solde coloniale, ce qui augmente sensiblement leurs ressources; d'autre part, l'amélioration continuelle des voies de communication dans la Grande Ile diminuera progressivement et supprimera complètement, dans un avenir assez rapproché,Jes inconvénients que vous m'avez signalés. Recevez, Monsieur le Gouverneur Général, les assurances de ma considération la plus distinguée. Le Ministre des Colonies, ALBERT DECRAIS.
n'hésiterait pas à laisser les dépenses de cette nature, dont l'irrégularité serait constatée, a la charge de ceux qui les auraient engagées. Ces prescriptions ont provoqué de la part de quelques chefs de circonscriptions administratives certaines observations qui me paraissent devoir être prises en considération. Ils ont fait ressortir que, dans leur région, cette rétribution de Ofr.50 est manifestement insuffisante; qu'elle ne permet pas aux bourjanes d'acheter le riz qui leur est chaque jour nécessaire, et qu'il arrive par suite que nombre d'officiers ou fonctionnaires prennent à leur compte les frais de nourriture de leurs porteurs. En outre, il n'est pas toujours facile de recruter des prestataires aptes au maniement du filanjana et l'on est souvent obligé de les remplacer par des porteurs de profession auxquels il n'est pas possible d'allouer un salaire journalier de Ofr.50. Ces considérations m'ont amené à penser qu'il conviendrait d'apporter quelques tempéraments dans l'application des circulaires précitées. bans revenir sur les dispositions qu'elles édictent, je vous autorise néanmoins, dans les régions où il est reconnu que le salaire de Ofr. 50 par jour alloué aux prestataires est insuffisant, à l'élever proportionnellement, en tenant compte des difficultés de l'existence, sans toutefois dépasser un maximum de 1franc. De plus, s'il vous est impossible de trouver, parmi les prestataires de vos circonscriptions, des porteurs de filanjana, je vous autorise, à titre exceptionnel, à employer des bourjanes de profession. Je vous laisse le soin de fixer vous-mêmes le salaire à attribuer à vos porteurs selon les régions, et en tenant compte des indications qui précèdent; mais je tiens à vous recommander de ne l'augmenter que si la nécessité en est bien démontrée; vous devez avoir, en un mot, le souci de ne pas grever le budget de la Colonie de dépenses qui ne seraient pas entièrementjustifiées. Tananarive, le 22 Août 1900. Pour le Gouverneur Général et par délégation: Le Secrétaire Général, LALLIER DU COUDRAY. Vu au Contrôle financier, le 22 août 1900. GOUVERNEMENT CIRCULAIRE GÉNÉRAL à MM. les administrateurs chefs de province et commandants de aux droits de passecercle, relative port.
MESSIEURS, J'ai eu l'occasion de constater à diverses GOUVERNEMENT CIRCULAIRE GÉNÉRAL reprises que, dans certaines provinces ou cerà MM. les administrateurs cles, les droits de passeport continuaient à être de perçus. chefs de province et commandants Je tiens a vous rappeler que l'arrêté du cerele, au sujet des porteurs de filanjana ou 20 janvier 1900, qui a unifié à 5 francs la taxe employés par les chefs de province de cercle. personnelle, a, en même temps, supprimé, d'une façon formelle, les droits de passeport. L'article 3 de ce texte prévoit que « le livret MESSIEURS, Les circulaires des 8 novembre i898 et 21 « ou la carte individuelle tiendront désormais « lieu de passeport et seront délivrés gratuite1899 ont aux administrateurs janvier prescrit chefs de province et aux commandants de « ment dans toute la Colonie ». Je vous serais donc obligé de vouloir bien cercle de n'employer, dans leurs tournées, comme porteurs de filanjana, que les presta- ne pas perdre de vue ces prescriptions et de taires qui exercent cette profession en temps veillerà ce qu'elles soient strictement observées ordinaire et de ne leur attribuer qu'un salaire dans les circonscriptions que vous administrez. ne dépassant pas Ofr. 50 par jour. Tananarive, le 31 Août 1900. La circulaire du 1er août 1899, en rappelant Le Général commandant en chef du Corps les deux précédentes, a fait connaître que, des d'occupation et Gouverneur Général de Madagascar et Dépendances, , salaires supérieurs au taux fixé ayant été parfois accordés à des porteurs, l'administration GALLIENI.
GOUVERNEMBNT CIRCULAIRE !_" GÉNÉRAL à MM. les chefs de serv-.,4a les administrateurs chefs de pro"IDd et les commandants de territoire â cercle, au sujet de la collaboratlOJl de fournir aux publications officielles la Colonie. MESSIEURS, 5 J'ai déjà eu maintes fois l'occasion de v signaler l'intérêt que j'attache à ce (luejeS publications officielles de la Colonie donlent aux lecteursle plusgrand nombre de re ments susceptibles de faire connaître les'otfre ,offre sources ouavantagesde natures diversesqu notre vaste possession de l'Océan Indien. Ces renseignements, fruits de votre e ae rience personnelle, de vos observations recherches auxquelles vous vous serezOtt filer spécialement attachés, doivent, pour proPfi ier à tous, être méthodiquement recueil11.et classés selon leur nature pour servir en jte à un groupement d'ensemble pouvant être de je à contribution chaque fois qu'il sa»!!-nfoi" aux demandes nombreuses répondre t8[l Int311 affine mations qui, par tous les courriers, Gouvernement Général. I de A cet effet, j'ai décidé que le bureau barge Presse du Gouvernement Général serait obll' de cette centralisation, ainsi que de la Ptfr cation de toutes études ou documents P°van( présenter un caractère réel d'utilité à <lujqitf point de vue que cela soit.. s dc Je vous prie en conséquence, Messleurendre vouloir bien, comme par le passé, repse de votre collaboration au bureau de la predre5 inviter le personnel placé sous vos oreSIciJ m'adresser, par votre intermédiaire, toutes ¡1° 110 études qu'ils seront amenés à traiter s ~,g des sujets dont je vous donne ci-desso succinct relevé: 'téOrO' Histoire, géographie, climatologie, logie, anthropologie, ethnologie, pa]étéor0, \oloie. botanique, zoologie, géologie, paleoO icole1 questions économiques, questions questions industrielles, questions de etC<" tae statistiques diverses, itinéraires, touii-néel, re Vous voudrez bien m'accuser, sans réception de la présente circulaire. 1900 Tananarive,le 7 Sep Le Général commandant en chefd¿ra[¡il Gén et Gouverneur d'occupation Madagascar et Dépendances, GALLIENIEXTRAITS
Il, de' 1/i t Par décision locale du 24 août, illCe l'administrateur en chef de la prov Fianarantsoa, de î Benjamin Ramahafaly, Illterprelsoa, 31 flil classe de la province de Fianaran1 nommé écrivain auxiliaire de 3' cla appointements annuels de 900 francs. Vde /';1. A t Par décision locale du 25 aoûfi BeID. l'administrateur de la province 1eér(Jl, approuvée par M. le Gouverneur Gênerdl, Il a été créé dans cette lieu à grandes foires qui auront circonscrlPttfr¡\beqll¡' fer mars, et à Betafo, le 11 juilletAntûc|ja(î année et dureront trois jours. Ai' le 'tf W Par décision locale du 27 août, fe a fe0 de bataillon commandant le cercle , kandriana, dÍrJle, 13 Le sergent-maj or Horry, du eO rP-t' 8.00' ¡teP 'oe' coogé d'infanterie de mis en congé fo oct de marine, mis cooctl dant sa libération, remplira les d'économe à la léproserie de Soavloa.
JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DEPENDANCES Par décision du 29 août, t nommés' Rambelosaonina, Toto et RazaDapjj sont nommés écrivains auxiliaires de te ldy attachés au service des domaines, au Ife annuel de 480 francs. Il ment Sont affectés, savoir: "S au bureau de Mananjary, T°Htoa?bï0saonina au bureau de au Diego-Suarez et Razanapidy Toto reau de Fianarantsoa. locale du 1tT septembre, (k Wdécision ?'it¡a,l administrateur de la province de Miaapprouvée Par M. le Gouverneur Gérinirivo, néral, été créé a, quatre foires annuelles dans ll tiendront à MiaDeux se rinariclrconscription. et 20 deux à décembre, iinapj avr'^ les 1er mai et fer novembre. Leurd Iarina uree sera de trois jours. Par décision du 4 septembre, }{ 4ecÎaGalhan Justin, commissaire de police de à Tananarive, est appelé à continuer ses sessess sesSeVlfes à Majunga, en remplacement de commissaire principal en congé, qui r enoit, cevra une destination ultérieure. Par arrêté du 5 septembre, jj "anPalu! conducteur de tre classe des traest nommé architecte-voyer de la coorubhcs, une de Tamatave. Par décisions du 5 septembre, commis des postes et télégraphes à 'l'anaatp, ana rive, est nommé receveur à Ambaton-à drazak ai en rmplacement de M. Trey, appelé tontini,6r('S services à Tananarive. de son emploi offerte par le télégraelssionde 2e classe Radana est acceptée. ^élégP,ste if aVrippIcation de l'art. VII de l'arrêté du aucun emploi ne pourra plus lui 1898, avri.l oOie.orcte dans les divers serviçesde la Conie. adjoint de 2e classe des affaires •3ePiirl,as» est affecté au Gouvernement Général, bUr au }f écrivain de 2e classe des affaires ~i~ Cd"iieourges, lstl'ictpr Service a Vohemar, est affecté au des Betsimi(Territoire ist etdundovoranto 8afaka Suri). légioocaporal Baillard et le soldat Kock, de la sont todétachés au service Pograprangère, pour être emplovés provisoireeot aulqUe Uapez bnreau de la circonscription de Diegotnent du service topographi,qUee S t affecté lalre Ramaroson. au bureau de Manjakandriana. La ^ar arrêtés du 6 septembre, de son emploi, offerte par M. ^sol ^ssion a l'école profespotier slonnehContremaître de Tananarive, est acceptée. "AI e Mijç, aVe".|: Etheve et Tricard sont nommés des postes et télégraphes, jJ?* a'res auxaePOintl, rne,nlet,,, ierde 2.400 francs par an, et à Diego-Suarez, 28 à sontaffectés, le M eeIl •pariîiltavp «; le 38 à Andovoranto. sons-officier d'infanterie de al'jlle USctelli, en congé renouvelable par l'autoité (j rnii.f1.1S est chargé des fonctions de gare Militai,ieAde 4e ,,classe de la garde indigène à iPr'ncit>aJ cercledscar et affecté, en cette qualité, au cercle d'Analalava. principal demilice, estchard'huissier près la justice de £ Â^»'ÂfoÏÏi.gapde nkazobe du 6 septembre, Pae décisions mensuels du nommé appointements S G^akav ecrlvain anxiliaire au Secrétariat de 130 à lti0 francs. e*amoP0rîfs hrevet reVet tes de des géomètres candidats au geometre principal auront lieu, pen-
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dant le mois de décembre 1900,au chef-lieu des ET INFORMATIONS subdivisions auquellesseront affectés des agents NOUVELLES autorisés à subir ces épreuves. La date de ces examens et la composition de la commission M. le consul de S. M. Britannique à Tananaseront fixés ultérieurement. rive a informé le Gouvernement Général que les au GouverRazafindramboa, expéditionnaire nement Général, au traitement de 1.080 francs, mesures quarantenaires prises à Aden contre les navires venant de Madagascar avaient cessé est nommé écrivain auxiliaire de 38 classe. Félix Rajaonarivelo et Emmanuel Ramaheri- d'être mises en vigueur à partir du 17 juillet. * son. expéditionnaires au Gouvernement Géné* ral, au traitement annuel de 420 francs, sont La première foire trimestrielle de la provinnommés écrivains auxiliaires de 58 classe, au ce de Tananarive aura lieu le 1er octobre protraitement de 450 francs. chain à Ambohimandry, sous gouvernement d'Ambohipandrano, district d'Ambatolampy. Le champ de foire sera aménagé sur le DE PARIS CmOCRmES sommet du mamelon séparant le village (Agence Havas) d'Ambohimandry du marché de Sabotsy, sur la rive gauche et à 15 minutes de la rivière Paris, 14 septembre, 6 h. 35 soir. Katsaoka. A Chartres, le général Brugère, offrant On s'y rend de Tananarive en quatre heures à environ, par deux routes partant de Fenoarivo un déjeuner aux officiers étrangers, l'occasion des manœuvres, a porté un et passant, l'une à Ambohidava (c'est la moins toast aux camarades de Chine, donnant bonne) et l'autre à Maizinandro, Miadanimeriainsi une nouvelle preuve de la confrana, Tsirangaina et Miarinarivo. Cette dernière ternité des armes. est praticable aux cyclistes sur toute la partie Le lieutenant-colonel Gossot, commancomprise dans le district. dant l'artillerie à Madagascar, est promu De nombreux abris ont été construits pour colonel. les marchands et de grandes provisions de ** fourrage ont été faites, ainsi qu'une canalisation d'eau, afin de permettre à ceux qui amèParis, 15 septembre 6 h. 30 soir. neront des animaux sur le champ de foire de — Le Lourenço-Marquès. président les nourrir les et de abreuver facilement. le Portudes 44, prisonnier Krüger était, La foire d'Ambohimandry durera quatre le court remis aux bruit serait gais; qu'il jours. Anglais. * '* «* M. le colonel Le Camus, commandant le 13e 50 17 6 h. soir. Paris, septembre, d'infanterie de marine, a remis aux régiment — Le président Lourenço-Marquès. samedi 15 septembre, les décorations intéressés, Krüger est autorisé à partir, à la condiaccordées à l'occasion du 14 juillet. La cérétion qu'il aille en Europe. La Hollande monie a eu lieu à la caserne du Palais en lui a offert un bâtiment de guerre pour des troupes en armes et du drapeau présence lui permettre de venir sur son territoire. du 13e régiment. — Pékin. Les ministres ont décidé de Les récipiendaires étaient: ne pas traiter avec la Chine et que les Pour la croix de chevalier dela Légion d'Hondans une négociations se poursuivraient neur: capitale étrangère. M. le capitaine Pichon, de l'infanterie de marine. Pour la médaille militaire : Les adjudants Andrieux, de l'artillerie de maNON OFFICIELLE PARTIE rine; Francou et Fargeoud, de l'infanterie de marine. COLONIEDE MADAGASCAR * ** DIRECTION DES TRAVAUX PUBLICS Depuis quelque temps, des rondes de police sont activement faites la nuit dans les divers de la ville, en vue de mettre un quartiers AVIS terme aux nombreux vols dont on avait à se C'est ainsi qu'une rafle opérée sur pluplaindre. du Cap d'Ambre Allumage du phare sieurs points, le 15 septembre courant, a amené MM. les navigateurs sont informés que le l'arrestation de dix-sept individus inculpés de phare du Cap d'Ambre sera allumé à la date vagabondage. Procès-verbal a été dressé condu Ie' octobre 1900. tre six d'entre eux; les autres ont été remis Le phare dit du Cap d'Ambre est situé sur le en liberté. * point culminant du cap André par 460 56' 45" ** de longitude, 11° 57'20" de latitude [ces latitude et longitude étant relevées sur la carte N° 4953]. Le 13 septembre au soir, un incendie qui Il éclaire l'horizon entre le S. 67° O. et le aurait pu prendre de plus grandes proportions, S. 39° E. (en passant par le nord). si des secours rapides n'eussent été organisés Il comprend un appareil de 4e ordre avec par les habitants du quartier, a détruit, à Isolentille catadioptrique, donnant un feu blanc try, la toiture de la cuisine du nommé Rabefaà éclats réguliers de 5 en 5 secondes. nonta. du sol est de La hauteur du foyer au-dessus * ** 33 mètres, et, au-dessus de la haute mer, une est métallique; M. le capitaine Laporte, commandant le démoyenne de 65 mètres. Laàtour sa forme est tronconique la base et cylindri- tachement des à l'Exposition UniMalgaches que à la partie supérieure.
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JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES
verselle, a informé le Gouverneur Général que les récompenses obtenues par la musique au concours qui a eu lieu le 5 août, à LevalloisPerret, étaient exactement les suivantes: Premier prix de lecture à vue [palme en vermeil]. Premier prix d'exécution [palme en vermeil]. Prix de défilé (une médaille en argent). Concours d'honneur [un objet d'art ]. * »** M. le commandant Lavoisot, M., Mme et Me11e Collot et M. Simonnot, coramis principal des contributions indirectes, sont arrivés, ces jours derniers, à Tananarive. * ** Un titre d'occupation provisoire a été délivré, le 7 juin 1899, à M°" Guimbert, en vue de la concession onéreuse d'un terrain sis à FortDauphin, mesurant 11 ares 60 centiares. * ** Un titre d'occupation provisoire a été délivré, le 29 août dernier, au soldat colon Pagès, en vue de la concession gratuite d'un terrain sis à Ambalanirana, province de Tananarive, et mesurant 7 hectares 43 ares 10 centiares. ** Le numéro 195 (26 juillet 1900)des Avis aux Navigateurs publiés par le service hydrographique de la marine fournit les indications suivantes: OCEAN IDEN orientale portugaise Afrique Renseignements sur le balisage de la rivière Pungue (Noticeto Mariners N• 419.Londres, 1909. N° 1305, 1900. — Les renseignements suivants, en date du 31 mai 1900, relatifs à une nouvelle bouée et à un haut-fond à l'entrée de la rivière Pungue sont dus au commandant du navire de guerre anglais Barossa (Voir les avis N031770, de 1898, et 720, de 1900): (a) Une bouée noire surmontée d'un mât et d'une boule a été mouillée à environ 2 milles 1/2 au N.74° E. de la bouée extérieure N° 2 [conique avec mât et boule], pour marquer l'accore sud du haut-fond de 5 mètres. Position approchée: 19° 56' 35" N. -'-,-32° 36'20" E. Ib) Un haut-fond couvert de 4 mètres d'eau a été signalé à 6 encablures environ dans le S. 56° O. de la bouée ci-dessus, sur le relèvement de la pointe Jea, au N. 40°O., à 7 milles 1/10. Nota. — Les bancs et les bouées étant sujets à des changements, il est nécessaire de connaître la localité pour entrer. .Carte N° 4510: instructions N° 805, pages 180,7 181. * Le numéro200 (21 juillet 1900) mentionne: 1 INDIEN OCÉAN (côte Est) Afrique Perturbation magnétique dans la baie Delagoa > (Noticeto MarinersNI441.Londres,(S00 No 1335,1900. — Il résulte d'observations récentes qu'une perturbation magnétique locale très grande existe dans différentes parties de la baie Delagoa, la déclinaison à LourençoMarquès, et dans la rivière Espirito Santo [English River] étant, pour 1900, environ 23° 15' N.-O., tandis qu'elle est de 20* 55' à la
pointe Timpson et à l'île Xefina, et de 200 environ seulement à la pointe Gibbon et à l'île des Eléphants. Des observations faites à la mer, à différents caps, semblent également prouver que, au large de cette partie de la côte, la déclinaison est moindre que celle donnée par les cartes, de 1° 30'environ, mais les données suffisantes manquent jusqu'à présent pour qu'on puisse préciser la correction. Carte N° 4983; instructions N° 805, page 127. * ** Port de Tamatave Le voilier Marcelle est arrivé le 8 septembre, venant de Sh-Marie. Le voilier Tanjona est arrivé le 8, venant de Fenerive. Le voilier Mathilde est arrivé le 8, venant de Fenerive. Le voilier Abeille est parti le 8, à destination de Mananara. Le voilier Williams est parti le 8, à destination d'Andovoranto. Le voilier Grenah est arrivé le 9, venant d'Arendal [Norvège] et escales. Le voilier Nona-Adèle est arrivé1 le 10, venant de Vatomandry. Le voilier Stella est parti le 10, à destination de Fenerive. Le voilier L. C. est arrivé le 11, venant de Mananara. Le voilier Berthe est parti le 11, à destination de Mananjary et Farafangana. Le voiiier Bonite est parti le 11, à destination d'Andovoranto. Le voilier Nautilus est parti le 11, à destination de Fenerive. Le vapeur Diego-Suarez est arrivé le 13 septembre, venant de Mananjary. Le voilier Favorite est arrivé le 13, venant d'Andovoranto. Le voilier Williams est arrivé le 13, venant d'Andovoranto. Le voilier Azimo est parti le 13, à destination de Maroantsetra. Le voilier Marcelle est parti le 13, à destination de Fenerive. Le voilier Tanjona est parti le 13, à destination de Manahara et Fenerive. Le voilier L. C. est parti le 13, à destination de Manahara. Le voilier François-de-Mahy est arrivé le 14, venant de Fenerive. Le voilier Clémence-Eugénie est parti le 14, à destination de Fenerive.
* » -Port de Mahanoro Le voilier Bonite est arrivé le 13 septembre, venant de Tamatave.. -* «* Situation des lignes télégraphiques. , 13 Journées des 15, 16,17 et 18 septembe'es, communication est bonne sur toutes les lIgo -TERRITOIRES Territoire
MILITAIRES sakalava
M. le colonel Borbal-Combret, coU" mandant le territoire sakalava, comntl suivants nique les renseignements situation politique de sa circonscnpsur pendant le mois de juin 1900. Cercle-annexe de Morondava. - La tuation politique s'est considérablement roéliorée au cours de cette période. La gro CacIoéavec laquelle le recrutement des pol-telirnSel' cessaires aux mouvements de troupes 0' opéré, témoigne du bon état d'esprit des poP lations. A Mahabo, notamment, la H" c0CC pagnie sénégalaise a pu, lorsqu'elle a quitte, ce se bourj. facilement 200 poste, procurer Des, alors qu'au début de l'année, des convois de 80 porteurs représentaient le maximum ce que la région pouvait fournir. Hy8 don, là un progrès réel qui paraît devoir le êtreattrlrle stt au succès des opérations ayant eu lieu Maharivo, au mois d'avril dernier. M Des tournées d'inspection ont été dans les secteurs du Mangoky et deeffectÇ la ny; partout le pays est calme.. Un seul vol de bœufs s'est produit en mais grâce à la prompte intervention du J P, les voisin, pillards ont pu être rejoints Ç bœufs dérobés restitués à leurs proprie1 tal res, Dans le bas Maharivo, quatre fait leur soumission, restituant lesviJlagesdoot armes les ils étaient détenteurs. - Partout ailleurs, I1Ce. dissidents ont observé la plus grande La sécurité, conséquence de la prodlel pac^caLoêtre peut regardée comme complète ,. moins, il serait encore imprudent desupprl i(l1' les escortes pour les convois de quelq11® ; portance, mais elles peuvent être rédujtegj quatre hommes. ta$t Les impôts indigènes, notamment ladif/i' sans personnelle, continuent à rentrer ellt, culté. Cette taxe et celle du bétail consliï" f d'ailleurs, l'ensemble des redevances dues v » les indigènes du cercle-annexe de Moron" dif' Les écoles officielles installées dans Port d'Andovoranto IeS.,jl férents Le voilier Williams est parti le 11 septembre, postes fonctionnent régulièrerneD en est de même des établissements privés à destination de Tamatave. c * par la mission norvégienne à Morond * Betania, Betelo, Bezezika et Belo-sur-Mer; été Port de Majunga Aucun corps régulier de partisans 1,18 été La goëlette Renée est partie le 14 septembre, constitué jusqu'ici; mais chaque secte»1" à destination de Tulear. sède un contrôle des hommes * susceptl?pér" suivre comme une colonne partisans »» tions et de rendre à cette dernière des difices Port de Vatomandry ser prÍs très appréciables. Ces volontaires onta odle Le voilier Wilhelmine est arrivé le 9 septem- parmi les Sakalaves connaissent MW qui bre, venant de Tamatave. pays et ses habitants; ils pourront être Irsde Le vapeur Diego-Suarez est arrivé le 12 sep- ment employés comme guides, conducte il Tavenant du est sud; tembre, reparti pour bétail et seraient, le cas échéant, en état tirsje , dirail' tirul matave après avoir débarqué 50 tonnes de le coup de feu, tout aussi bien les que marchandises. leurs malgaches.
JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES a ete main-d'œuvre fournie par les prestataires a utilisée presque exclusivement pour les tr me u- d'utilité publique. Le recrutement, ans les régions excentriques, s'est opéré ré s?nsdi.fficulté. Ce fait a son importance, la r bon,?Omh.rede secteurs recouraient pour Première fois à ce genre d'imposition. - La situatio ercle de la Tsiribihina [1]. le fi généraleest sans changement appréciable. de ays est toujours calme; les Sakalaves, pacIls enplus rassurés sur nos intentions confianceetnous témoigP&cifi^es'éprennent Hgjjtc"a(iue jour davantage leur attachement Délité. L'accueil enthousiaste fait au etleur née ndant du territoire, au cours de sa tourla en est preuve. LaInspection, aUjUsoumission de la plupart des chefs parait langareza notamment, '^ui sincère; tivhlSirréductible, fait preuve de zèle et d'acson rôle d'intermédiaire entre le comJnaoJet mandement plUs eet la population indigène est des n'en est dernfrécleux. PPécieux.IlIln'en estmalheureusement malheureusementppas as 010de Havana et d'Ozone. Ces deux Sakala jouissent encore d'un certain prestigt aux* notraut yeux de leurs sujets, font preuve à hotPlégard d'une insigne mauvaise foi et monforce d'inertie complète dans l'exécutioUne de nos ordres. Plusieurs vols de bœufs cOrn n, Conjmî. s Par leurs gens sont même demeurés présent impunis, par suite de la duplijBSq ,tl UnOntIls ont fait preuve. à la été ont suite kabary. duquel Ti grand bases fixée" s les tenu de l'organisation administraà Belo par M. le colonel BorbalCObetc indi,ret, en présence des principaux chefs indigA P°uf nes> qui ont profité de cette circonstance leurs assurances'de dévouePourrnc,uveJer de fidélité à la France. Tous ont reconnulegC étatde avantages que leur procure le nouvel tant alt point de vue de la sées* eUl*ité g-2 qUillitfénéralequ'au pointde vue de leur tranet de leur bien-être. Seuls, lIavanperRonnelle e* zone Ozone s'étaient abstenus de réet la convocation, le premier sous préana poudrà le second sans raison valable; bienPIemaladie, celui-ci s'est enfui d'Ankazoaberavo el}tippns, eûappj Qant l'arrivée du commandant du terrio y Il lOgcette localité. Malgré ces incidents, la situation prépondéque y a ijd'espérer Va être faite à Iangareza, à Tsitakoa, ûlnsi dont la soumischefs principaux sioI}e aux d'effet sur °^llrnent sincère, aura plus LB. que les plus patients kabary. v*0a etf<W OUte la lllté règne presque complètement dans ces attaques Plus de te eirconscription. si fréquentes il y a quelques mois a deu. les COurriers voyagent seuls ou par ; enfin, les Indiens se tux 1 santsinquiété, avec d'importants convois de mart andise 8up les routes autrefois les plus angereu" es et les escortes accordées aux <',¡{J1'°Péen' été fortement réduites. Européens Ce~ ont Ceïcje de ^aintirano. ( — La situation et l'améta téOation ce maIntient satbfaisante, au cours de la période an't"'e'r-6 Maintientsati,,iaisante, et l'amélioration ^nstatée progressant. Les fréquentes tourjdu eesdesh t de district, et la récente visite béesdees ebefs du territoire ont déterminé la i-p n* dAe j frniers de dissidents. la soumission Maintirano, et ans le L Ur et de Neiza, mpanjaka du Tangay iPo^teiza baas Manombo, est venue sanctionner la 6 aoù" la Tsiribihinaa été supprimépar aoûfiÊ 19N.
pacification de cette région. De tous les chefs installés dans le pays avant notre occupation, Morosy, ancien mpanjaka d'Andjia, est le seul qui soit demeuré hostile. Abandonné actuellement de tous ses partisans, il a dû se réfugier dans la forêt de Tangay, où il est même obligé à de fréquents déplacements en vue de dépister nos émissaires. Sa reddition paraît imminente. La sécurité est absolue dans le secteur du Ranobe ; les vols de bœufs, autrefois si nombreux dans le haut Manombao, ont à peu près disparu depuis l'occupation de la Soahanina et du Bemahara et les convois de bourjanes peuvent y circuler sans crainte aujourd'hui. Le sous-secteur de Tamboharano est aussi des plus calmes. Seule, la région d'Ankavandra laisse encore à désirer, par suite du voisinage du Bemahara, où plusieurs petits groupements de pillards ont établi leurs repaires. Le 10 juin, Marobola a tenté d'enlever un troupeau à, Betsasango, mais, poursuivi par un de nos détachements, il a dû abandonner son butin et a perdu, au cours de l'engagement, son plus fidèle lieutenant, Iolava Milanga. C'est du reste la seule agression commise pendant le mois de juin. Par contre, les soumissions ont été nombreuses; les plus importantes sont celles de Renofy, principal chef du Bemahara, qui s'est présenté à Ankavandra le 18 juin; de Tsimony, mpanjaka de Mangarahara, qui a fait sa reddition le 23 juin, au poste deBekopaka, et enfin d'Inandroky, chef de Mahanintsy, village voisin de Mangarahara, qui a déposé les armes le 30 juin. Quelques dissidents réfugiés dans l'Antsingy sont venus également réoccuper leurs anciens villages. Les populations de la région de la Soahanina, tout récemment soumises, paraissent accepter notre occupation sans arrière-pensée et sont animés du meilleur esprit. La réserve sur laquelle se tenaient les Sakalaves, il y a quelques mois à peine, réserve craintive d'ailleurs, a fait place à une confiance presque absolue et leurs chefs viennent souvent rendre compte à l'autorité militaire dont ils relèvent des moindres événements survenus dans leurs villages; tous enfin se soumettent sans récrimination à nos réquisitions, aussi légères, du reste, que possible. Pour maintenir les populations dans ces bonnes dispositions, il est nécessaire de continuer à les traiter avecla plus grande bienveillance. C'est par ce moyen que nous parviendronsà faire disparaître les rivalités qui existent encore entre certaines familles ou certains chefs et les vols de village à village. La réconciliation de Tsikalofa et de Bemiha avec Tsialosy et Lody en est une preuve; elle a concontribué pour une large part à ramener la tranquillité dans leurs états respectifs. M. le colonel Borbal-Combret, qui vient de parcourir une partie du cercle de Maintirano, a pu constater ces heureux résultats et a reçu partout un excellent accueil. Les Makoa se sont montrés particulièrement empressés; il est regrettable que cette population soit aussi peu dense sur la côte ouest, car elle constitue le seul élément laborieux qu'on y rencontre. La main-d'œuvre indigène est assez facile à obtenir lorsqu'il s'agit de travaux n'exigeantpas de longs déplacements, mais les com-
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merçants éprouvent de grandes difficultés lorsqu'il s'agit de recruter des bourjanes pour le transport de leurs marchandises. VARIÉTÉS11 La
Ramie
Des divers traitements
(Suite) en sec et en vert
Le mode de traitement des tiges de la ramie intéresse le cultivateur: le rendement de ses cultures est en réalité subordonné aux exigences de l'industrie et h l'outillage que cette dernière emploie ou met à sa disposition; on comprend donc l'intérêt tout particulier qu'attache le producteur de la matière première -surtout s'il est appelé à en être le préparateur — à la détermination d'un procédé de traitement en sec ou en vert. Dans l'état actuel de la question, Je travail en sec exige la formation presque complète de la tige, ce qui, dans les pays tempérés, ne permettrait guère que deux coupes par an, tandis que dans le traitement en vert une formation moins complète des tiges est suffisante et assure ainsi des coupes plus nombreuses. On appréciera dans l'exposé des deux systèmes de travail le caractère économique de chacun d'eux. Traitement en sec On ne s'explique pas pourquoi tant d'efforts ont été concentrés sur ce mode de travail. Aucune indication antérieure ne le motivait. En effet, les peuples asiatiques, les Chinois notamment, qui utilisent depuis des siècles les orties textiles, ne les ont jamais préparées à l'état sec, comme on traite le chanvre et le lin ; bien au contraire, leurs pratiques consistent dans une décortication à l'état vert absolu, c'est-à-dire dans l'enlèvement de l'écorce sur la tige vivante et encore sur pied. On s'est basé sur un système économique absolument faux en comparant la ramie aij chanvre et au lin et en croyant que l'avantage unique du traitement en sec résidait dans la facilité de conservation de la ramie en meule ou en grenier pour la traiter en temps opportun. Le cultivateur aurait ainsi utilisé la saison hivernale pour procéder à la décortication. en quelque sorte à temps perdu. Envisager la question à ce seul point de vue des usages européens, c'était méconnaître les véritables milieux d'exploitation économiquede cette plante. La France, même dans les parties provençales les plus favorisées par le climat, ne paraît pas avoir une place dans la production d& la ramie, si l'on en juge d'après les nombreuses tentatives qui ont été faites infructueusement. Considérer la ramie comme une exploitation familiale pour nos colonies en général ce serait ne pas se rendre ua compte exact de la situation de leur main-d'œuvre. Ensuite, l'état hygrométrique de l'air ne permettrait pas toujours une dessiccation suffisante de la tige pour obtenir, des procédés mécaniques connus, un bon résultat. L'Indo-Chine seule pourrait fourune nombreuse main-d'œuvre, mais le nir climat se prêterait mal à la conservation en fi) numérosdu ^urnaïm^^8 et 15 te Voirls tembre.
sep-
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meule et à la dessiccation des tiges: là elles doivent être travaillées en vert et en temps opportun. Ainsi donc, dans les véritables pays de culture de la ramie, le séchage de ses tiges, même à un degré relatif, n'est pas possible à l'air libre; le degré hygrométrique de l'atmosphère y est trop élevé et la ramie, mise en tas, abritée ou non, ne tarderait pas à être altérée par une fermentation. D'autre part, la tige ellemême, relativement sèche, est essentiellement hygrométrique, c'est-à-dire qu'elle s'empare rapidement de l'humidité de l'air, ainsi que le démontrent certaines expériences basées sur l'étuvage. Une tige insuffisamment sèche se décortique mal; les cylindres broyeurs ou racleurs, agissant sur une matière molle, spongieuse et élastique, ont un effet atténué, finissent par s'encrasser, et la lanière corticale n'est pas absolument frictionnée, ni même débarrassée des débris ligneux. Ensuite, certains organes des instruments sont sans action sur le revêtement épidermique- en effet, sous l'influence de l'air et en vieillissant l'épiderme brunit, devient plus épais, forme une pellicule dure, cornée et résistant à tout raclage. L'écorce ainsi obtenue est parfois entière; on l'appelle avec raison lanière corticale ou ruban cortical, mais cette lanière sèche, entière ou peu divisée,avec son revêtement épidermique, dit pelliculeux, presque inattaquable, ne cède difficilement ses fibres que sous l'action de bains dissolvants, quelquefois assez intenses pour altérer fortement la qualité de la matière textile. En résumé, et là réside toute la difficulté, en vieillissant et en séchant, une double cause s'oppose à la facile défibration de la matière corticale. D'abord, la consistance dure et presque insoluble de cette pellicule épidermique offre une grande résistance aux actions mécaniques et chimiques et, d'autre part, le collenchyme se concrète sous forme de gomme, exigeant. pour se dissoudre, des bains à une certaine température, toutes opérations longues, coûteuses et nuisibles aux qualités naturelles de la fibre. En faveur du traitement en sec, on a fait une observation qui n'a que de simples apparences de raison et qui tendrait à établir que le travail en sec ou en vert n'influe aucunement sur le nombre de coupes à l'hectare, parce queues industriels qui veulent traiter en sec n'auraient qu'à couper en vert, puis à laisser sécher les ; si tiges avant l'application de leur méthode le traitement est différent, le nombre des coupes reste le même. Il y a là une équivoque qui nécessite une explication. Pour travailler en sec, lés machines exigent des tiges bien formées et régulières en diamètre, permettant, par un réglage général de l'instrument, de séparer avec facilité l'écorce du bois. Or, si l'on coupe avant maturité, les tiges, en séchant, ne sont plus cylindriques; souvent elles s'aplatissent, se contournent et l'instrument n'agit plus uniformément sur toute leur surface. Il s'ensuit, en outre, que la décortication et la défibration de tiges coupées prématurément deviennent plus difficiles en ce sens que l'adhérence des diverses couches de tissus est plus intime par la dessiccation, et provoque des arrachements. Dans une tige de formation presque com-
plète, bien séchée, certaines machines font un bon travail de séparation de l'écorce et du bois, mais ces rubans corticaux ont un épiderme difficilement attaquable par les rouissages chimiques en usage. Il va sans dire que toutes ces objections s'appliquent à la machine comme premier travail, mais qu'elles seraient discutables si le traitement chimique, humide ou gazeux, était l'opération préalable à l'action mécanique suivant certains systèmes nouvellement préconisés. Cependant, ce que l'on sait de ces derniers démontrerait leur efficacité moindre sur les matières sèches. Quoi qu'il en soit, la dessiccation relative de la ramie ne peut s'obtenir que très difficilement, surtout dans les pays degrande production, qui impliquent un climat humide. En outre, cette opération exige de la part du cultivateur des manipulations coûteuses, souvent impraticables s'il faut enlever la récolte et aller l'étendre sur de larges espaces. Quelques auteurs prétendent avec raison que le passage à l'étuve peut seul réduire l'humidité, mais il est évident que ce dernier procédé, qui n'est pas applicable partout, augmente les frais généraux. Cependant, il est certain que les tiges bien formées et absolument sèches se décortiquent ou se broient plus facilement, mais il faut ajouter que si elles n'ont pas subi un traitement préalable, cette dessiccation n'est pas toujours de nature à favoriser le rouissage chimique, tant la matière épidermique s'est durcie. Traitement en vert A l'état frais, les tiges de ramie sont facilement décorticables et les peuples asiatiques n'opèrent pas autrement sur les urticées de cette nature. En effet, aussitôt après la coupe, le décollement de l'écorce d'avec le bois, grâce à l'humidification des tissus, s'obtient aisément sans laisser trop de fibres adhérentes au bois; les Chinois décortiquent même sur pied. Si, dans un grand nombre de cas, la machinerie n'a pas donné des résultats absolument satisfaisants, c'est qu'elle s'est trouvée en présence de tiges relativement vertes, mais ayant déjà perdu une grande partie de leur eau de végétation. Dans l'état actuel de l'outillage, il faut donc traiter les tiges immédiatement après la coupe. Ici se pose une question qui a la plus grande importance pour tous, cultivateurs et industriels. A quelle phase de sa végétation la tige verte doit-elle être coupée? en d'autres termes, qu'entend-on par tige verte? Des expériences récentes démontreraient que c'est peu après la complète élongation de la tige, alors qu'elle est encore herbacée, presque molle et de nature crassulante, quand son écorce est formée, mais non brunie, que la coupe peut être faite. En effet, à la fin de l'élongation, avant l'apparition des yeux aux aisselles des feuilles, les fibres primaires et utilisables sont formées et ont une ténacité suffisante; il ne se formera plus que des couches de fibres secondaires sans utilité. On n'a donc pas intérêt, loin de là, à laisser épaissir l'écorce, durcir son épiderme et augmenter la quantité de bois. Avec le temps, les fibres perdent leur finesse, leur souplesse, leur blancheur, en un mot leurs qualités initiales, et elles sont de plus en plus emprisonnées par l'épiderme durci et le collenchyme,
deux substancesdifficilement attaquables qUJIl" elles vieillissent. éPour atténuer les difficultés industrielles rs sultant de la gangue qui emprisonne les fibree: des pratiques culturales interviennent efficcIl ment; elles consistent, par une planta'» serrée et bien arrosée, à favoriser l'éloog tion rapide des tiges. eL! a Dans une plantation très dense, il y PIes ou point de feuilles à la base de la tige, les ramifications ne se développent pas et Il agents atmosphériques, surtout l'insola" 1j j agissent moins directement sur l'épidermef reste plus tendre et moins constitué. Jil d Dans ces conditions de coupe possible ja ramie dès la fin de l'élongation de la tiget question prend un caractère économique P accentué. En effet, les récoltes deviennents cessives et on peut prévoir 5 coupes par'00 dans les pays tempérés, chauds et à irrig*tj0u assurée, et davantage dans les régions chatt à pluies régulières et abondantes. , od L'emploi des tiges à l'état herbacé dépend donc de la nature du traitement, si ce der f *ra le brutalni n'est ni grossier, si, par ni brutal ni grossier, si, le tr', de certains instruments, le bois est non se ment enlevé, mais que l'écorce est égale » jgj bien grattée et raclée, l'épiderme enlevé, liquides gommeux pressurés et diminue8/ obtiendra une lanière corticale déjà d iviseec d'one et débarrassée nombreux filaments grande proportion de matières inutiles. ln le Cette défibration de la lanière, qui \e5' un raclage énergique, est déjà, pour quclbre uns, une excellente préparation, si la ae. n'est pas énervée, qui facilite le dégomèS Pour empêcher la solidification des ma (113' gommeuses et résineuses et leur transi0 tion au contact de l'air, quelques auteurs , seillent le rouissage chimique des llle l fraîches immédiatement après l'action , machine. i jt1' Mais 0t il est des procédés nouveaux <n1 ui'11 tervertissent l'ordre du travail habit,LIellein,Ct préconisé; une action dissolvante Precefait le travail mécanique. Ainsi, les tiges ver3 et entières seraient préalablement sou ise 5 rouissage chimique ou à l'action d un puis séchées et travaillées mécaniquenoe ; par Le dégommage préalable, par liquide oses il gaz, aurait réduit les gangues go ni me" l'état pulvérulent et la défibration serai1 complète et facile par les broyeuses 0LIajen, teilleuses opérant sur des lanières très s hlÍI En résumé, ces procédés s'appli<ïaen tige verte et n'exigent pas la végétation lieue CI plète pour en retirer de bonnes fibre, gt 85 que soit l'interversion des actes cbinuQ il mécaniques de l'industrie. teot Toutes ces considérations réunies portept!l conclure que le travail en vert est lndUlWtcr lement un traitement plus facile à apP oa, ont celui les fibres en un sec; que que lité supérieure et que le nombre des r des tiges est au moins quadruplé. On ° gair rait donc trop insister sur les conseq paf économiques du travail en vert dans le:otde chauds, surtout si la fin de l'accroisse la tige en hauteur est un état de gdiqtJet suffisante, comme tout semble 'illdiqocf, pour permettre l'extraction de bonne® (jfcff' Or, dans les pays chauds, la ramie SOL, toi;e, à des pluies ou à des irrigations rCDs tige: peut produire, entre 35 et 45 jours, (A de lm60 environ de hauteur.
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ETAT
CIVIL
DE LA
VILLE
DE
TANANARIVE
mois
d'août
1900
du
Statistique
AGE
RELEVÉ GÉNÉRAL I
DÉSIGNATION z--
CI! 7« "S «
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DES DÉCÉDÉS DÉSIGNATION
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Mort-nés 39 39 Mort-nés » d' an, , , , , M. d'un » Moins De 1 an à 3 ans 85 De 4 ans à 10 ans 1 ans à 20 ans 79 De 11 De 21 ans à 40 ans. 75 De41 ans a 60 ans. 33 De 61 ans et au delà.. 44 -
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de cinq membres nommée à cet effet par le Ministre des Colonies. Cette commission, comde l'inspecteur général des travaux puposée blics des colonies, de trois membres du comité des travaux publics et d'un inspecteur des colonies, arrêtera la liste des entrepreneurs qui seront admis à concourir en France. Les déclarations et références déposées à Madagascar seront examinées par une commission de trois membres nommés à cet effet par le Gouverneur Général. Cette commission, composée du directeur des travaux publics, d'un ingénieur ou officier du génie et d'un fonctionnaire, arrêtera la liste des entrepreneurs qui seront admis à concourir à Madagascar. 1 décision 1 commission Notification de d la d, d la de sera faite aux intéressés par le président. II. — Forme des soumissions Les soumissions devront être conformes au modèle ci-après; les rabais fractionnaires sont interdits; toute fraction de centime serait. le cas échéant, comptée pour un centime. Toute soumission qui ne sera pas accompagnée du récépissé de versement du cautionnement provisoire ou qui ne sera pas conforme au modèle sera déclarée nulle et non avenue.
III. — Envoi des soumissions des soumissions des concurrents L'ouverture — — — — — des décès. Coqueluche, 5. Phtisie pulmonaire,7. Cancers,1. Méningitessimples,2. allses à soumissionner aura lieu le 19 octobre admis — — — Maladies 5. d e 5 . 14. Bronchites, Diarrhee, cœur, Pneumonie, b ronchopneumonie, d vsenterie,Ie,1.:—Débilitécongénitale, —Syphilis,1.—Sénilité,4.— Paludisme, 1900, simultanément à Paris, dans la salle des 2. 3. péritonites p uerpérales, —Rrir FIèvreet - Mort-nésou accouchements avant terme,23.—Autrescauses(lemort,3. la commission des marchés, N° 4^ séances de Oblppe, 18. — Lesnaissancesindigènesont été plus faiblesau cours de cette périodeque pendant le ltlois dervations. à 2 heures et demie de l'aprèsrue Jean-Nicot, au lieude : mois l a assez r este élevée. toutefois, 190] toujours moyenne LaJUIllet [154 égaleà celledesmois précédents ; l'épidémiede grippeen est le principalfacmidi, et à Tananarive, dans les bureaux de la surrortalitéest sensiblement aux affec- direction des travaux publics, à 5 heures et quele nombre dedécès imputable onsri out chezles Yieillards,Il convient n éanmoins deremarquer est quelquepeu inférieurà celui constatépendantl moisde juillet 131cas au lieude 47) et qu'en demie de l'après-midi. e't se sont tous durantla ce d'affirmer tions g rippales presque produits permet première qui q uel'épidémie quinzaine ; SUr leca Les soumissions, placées sous enveloppes Les pOintde disparaitre. Part provenantd'accouchements avant termesontaussi très élevéset doiventêtre imputéspour la plu- cachetées, pourront être adressées par lettres aàladecès la syph, ilis. , recommandées ou remises directement avant l'adjudication, soit au président de la commission des marchés, Nit4£*s,rue Jean-Nicot, Paris, par les personnes ayant déclaré vouloir soumissionner en France, soit au directeur des RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ces travaux sont évalués comme suit: travaux publics à Tananarive pour celles ayant LIBRRTÉ-EGALITÉFRATERNITÉ 1eTlot 2elot déclaré vouloir soumissionner à Madagascar. Travaux à l'entreprise 1.164.000f. 2.051.000f. Le délai de réception des soumissions par 136.000 269.000 Sommesà valoir. lettres Recommandées cessera la veille de l'adc0. [DE MADAGASCAR judication à 5 heures du soir. L'enveloppe ex1.300.000 2.320.000 TOTAL. térieure de ces lettres devra indiquer l'entreDIRECTIONDES TRAVAUXPUBLICS prise a laquelle se rapporte la soumission et Cautionnement provil'enveloppe intérieure portera le nom et l'asoire 19.000 f. 30.000f. dresse du soumissionnaire. Cautionnement définicons'rnUC'rION DE CHEMIN DE FER A la séance d'adjudication, sera déclaré 38.000 tif. , 60.000 adjudicataire provisoire, sous réserve des résultats obtenus dans l'autre lieu d'adjudicaPRINCIPALES DE L'ADJUDJÏCATIOH CONDITIONS tion, le soumissionnaire qui aura fait l'offre d'Anivorano au Mangoro d'exécuter les travaux aux conditions les plus T 10 Admission à l'adjudication avantageuses. Ossements ET maçonneries — Prescriptions IV. spéciales en cas de Nul n'est admis à concourir aux adjudicarabais égaux tions, s'il ne produit une déclaration indiquant EN DEUX LOTS Si le rabais le plus fort est souscrit par son intention de soumissionner et ses référenABDICATION la salle des séances de la com- ces. il sera ouvert * soumissionnaires, dans plusieurs rue Jean-Nicot N° 4bis. à Les références consistent en une note éma- séance tenante, par chaque bureau, un nouveau marchés, 900. 8 1/2 de l'après-midi. le 19 octobre et énonçant le lieu, la date, concours, mais entre ces soumissionnaires candidat du nant des 0. la nature et l'importance des travaux qu'il Il seulement. dans les bnreaux de la direc- exécutés, ainsi que les noms, qualités et domiLes rabais de cette nouvelle adjudication ne Il de arlVe, M® t'ou d esiotravaux publics, à 5 heures 1/2 du ciles des hommes de l'art sous la direction des- pourront être inférieurs à ceux de la première. octobre 1900. Ils pourront être faits en centimes; toute quels il les a exécutés. Les certificats délivrés par les hommes de fraction de centime serait, le cas échéant, l'art sont joints à la note. comptée pour un centime. Si les soumissionnaires se refusaient à faire 1900, il sera procédé, en Le déclaration et les références devront être aux endroits et heures indi- adressées, un mois au moins avant l'adjudica- de nouvelles offres ou si les prix demandés Le quesci,PdUbhque, A 19 8 octobre S ; tion, à l'inspection générale des travaux pu- ne différaient pas encore, il serait procédé à les des commission des Colonies Ministère blicsau marchés; pour per- un tirage au sort entre ces soumissionnaires. À V\ r ar la commission qui sera sonnes qui désirent soumissionner en France, Le résultat de l'adjudication à Paris sera aQanar* ou au directeur des travaux publics de Mada- transmis télégraphiquement au Gouverneur en deux lots au rabais, sur gascar, à Tananarive, pour celles qui désirent Général de Madagascar. issi^ o n En cas de rabais égaux consentis à Paris et eQtset nJ cachetées, des travaux de terrasse- soumissionner à Madagascar. Les déclarations et références déposées en à Tananarive par les deux adjudicataires prol\Qivora e aumaçonneries du chemin de fer no Mangoro. France seront examinées par une commission visoires, il serait procédé à Tananarive à un
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tirage au sort entre ces soumissionnaires dans une séance publique qui se tiendrait le 24 octobre 1900. Il serait procédé de même dans le cas où des rabais égaux seraient offerts à la première adjudication par deux soumissionnaires dans l'un des bureaux et par un soumissionnaire dans l'autre. Les réadjudications n'auront de valeur pour la désignation de l'adjudicataire définitif que si la comparaison des offres faites aux adjudications primitives simultanées n'a pas donné de résultat permettant la désignation de l'adjudicataire. 7. - Résultat définitifde l'adjudication Les adjudications et réadjudications sont subordonnées à l'approbation du Gouverneur Général de Madagascar. Si l'adjudicataire n'a pas versé dans le délai prescrit le cautionnement définitif, le montant du cautionnement provisoire est acquis à la Colonie. 71. — Frais à la charge de l'adjudicataire Les adjudicataires versent à la trésorerie le montant des frais du marché. Ces frais, dont l'état sera arrêté par le directeur des travaux publics, comprendront les frais d'expédition du cahier des charges, du bordereau des prix, du détail estimatif et des autres pièces expressément désignées par le cahier des charges, ainsi que du procès-verbal d'adjudication et des droits d'enregistrement tels qu'ils résulteront des lois et règlements en vigueur. VIl. — Communication des pièces aux entrepreneurs Les pièces du projet seront communiquées aux entrepreneurs tous les jours, excepte les dimanches et jours fériés: A Tananarive, dans les bureaux du directeur des travaux publics de Madagascar, de 8 heures à 11 heures du matin et de 2 h. 1/2 à 5 h. 1/2 du soir; A Paris, dans les bureaux de l'inspecteur des travaux publics des colonies, de 10 général heures à midi et de 2 heures à 6 heures du soir. Les pièces du dossier peuvent également être consultées à Tamatave dans les bureaux du chef du service des travaux publics. Un exemplaire des cahiers des charges est également déposé à Majunga dans les bureaux du chef du service des travaux publics. MODÈLE DE SOUMISSION Soussigné (nom, prénoms et demeure) faisant élection de domicile à , après avoir pris connaissance de toutes les pièces du projet. des travaux faisant l'objet de l'adjudication du 19 octobre 1900,pour l'exécution des terrase lot du chesements et maçonneries du min de fer d'Anivorano au Mangoro, soumets et à engage exécuter les dits travaux conformément aux conditions du cahier des charges générales et à celles du cahier des charges spéciales à ce lot, et ce, moyennant un rabais de sur les prix portés à la série de prix, d'après laquelle a été établi le détail estimatif s'élevant à la somme de engage en outre, à payer les frais d'impression à cent exemplaires du cahier des charges générales, du cahier des charges spéciales, de la série des prix et du détail estimatif, des procès-verbaux d'ouverture des plis et d'adjudication, de la soumission, ainsi que les frais de timbre et d'enregistrement auxquels la présente soumission pourra donner lieu, si elle est acceptée. Fait à le 1900. (Signature). .:,
THÉATRE Samedi 22
1
MUNICIPAL
Septembre
1900
PLETJB-DE-THÉ en troisactes, Opéra-boufle de DURUet CHIVOT, musiquede LECOCQ. Dimanche 83 réd.uits à. prix LA
PÉRICHOLE
Izanvtanv izany dia misy telo hectares sy ~ß. efa-polo amby fito-polo ares ary vajo amby tiares ny habeny; ary izaotio faritra aminy: , oy Ny Avaratra, dia ny fefiloha; 01 sy Ny Atsinanana, dia ny tanin-dRajaboany nanumy; Ny Atsimo, dia ny fefilohan'Ikopa ; Ny Andrefana,dia ny tanin--<!Rainisoanoro'hafall' Ny mangataka manamhara, fa araka ny fa.tsX tarany ny amin' izany tany voalaza izany,ana dlanap misy natao anto-javatr' olona, ary tsy olon-kafa, na ankehitrinyna amin' ny ho ar* r- J Ny andro hamaritanaio tany io dia efaamtn nr:81 M. le chef du service topocraphique nka' janvier iOI, amin' ny 10 famantarananaro raina. , fananan amin' ny NyMpitahiryny LOUSSERT
MADAGASCAR ET DÉPENDANCES RÉQUISITION N*1437 Suivant réquisition du i4 septembre f900i : Ramiadana,propriétaire,épouse de Randrian apde a domiciliéeà Borbona, secteur d'tlafy, de de AVIS l'immatriculation,en qualité de propriétaire, e a elle à d'une moitié laquelle coo" Le receveur de l'enregistrement et des domai- vouloir donnerpropriété le nom de Caprieleu*,o il, cog, nes, curateur aux successions et biens vacants, sistant en une maison d'habitation, cinq..c ri; et informe les intéressés qu'il a appréhendé, cour, tombeau, terrain planté d'arbres frultlebohj. comme vacantes, les successions des sieurs Ah de lilas, le tout entouré de murs, situesa a Bô 1 et Ah Bo II, décédé, l'un le 29 août trimanjaka, secteur du dit, province de rive. 1900 et l'autre le 3 septembre 1900. de Cettepropriété, occupantunesupcrficie Les créanciers de ces successions sont priés hectares est limitée : neuf ares, de déposer au bureau du curateur leurs titres Au Nord,par la propriété de RainizanabeIO; et factures. A l'Est, par des tombeauxà divers; de II1aniol Fait à Tamatave,le 9 Septembre 1900. Au Sud et à l'Ouest, par des terrains »anio^« à divers. appartenant Le Curateur, CC l, fil La requérante déclare qu'à sa connalssan e aucune LOTA. n'existe, sur la dite propriété, c"4Ve n ou actuel immobilier droit réel aucun v cfjdft 1* Le bornage provisoire a été fixépar M.1900, J® 3 au service janvier topographique mm îwhi: 'I heuresdu matin. ne la propriété 6 Le Conservateur No1436 LOUSSERT RÉQUISITION CURATELLE aux successions et biens vacants
Suivant réquisition du 13 septembre 1900: 1" No1437 FANGATAHANA Rainiantoandro,cultivateur: 2' son épouse dame Rasoanantoanina:30dame Ratoandro,propriétaire, rTI þre épouse de Rabezezika: 4° dame Ravaomiadana, Noho ny fansatahana tamin' ny 14 sepnte^! veuve de Rabetsitonta,tous domiciliés 1900, Mill. Ramiadana, tompontany, vadlO propriétaire, £ a Ambohidroa,secteur d'Ambohidratrimo,ont de- driantsilavo, monina ao Borbona,secteu , n'll;l! jran mandé l'irnmhtriculation,en qualitéde propriétaires nangataka ny anoratana amtn' ny Rejistry n taP. indivis, d'une propriété à laquelle ils ont déclaré jakana, fa izy no tompon' ny antsasakyn nos. vouloir donner le nom de Fivelomna* ny lompo- izav nambarany sy tiany nomena anaanatraOO ny H, consistant en rizières, terrains de semis, Capricicusc II. misy trano fitoerana Ifar: na* terrains plantés de joncs et de chaumes et promon- kely, dimy tokotany, fasana,tany VO:1VO o}.f!" ó' d'Ambohisitués à district voahodidin-tambono, Anframiarana, toire, mamoasy voandelaka ana droa, secteur d'Ambohidratrimo, province de Ta- bohitrimanjaka,secteur-n'io voalaza aoarafl3w !ii s' nanarive. e de Tananarive. sy y province Cette propriété, occupant une superficie de trois izany dia misy roa hectares tany Izany hectares soixante-douze ares quarante-huit cen- ares nv habenv, ary izao no faritra amis. tiares, est limitée: Avaratra; diany tanin-dRainizanaLe Ny sa Au Nord, par une digue : olona fasan' dia ny Atsinanana, Ny _ltlfJØ A l'Est, par les propriétés de Rajaboany et con- tompo '01'" sorts: NyAtsimosy ny Andrefana,dla flY tanJfl , Au Sud, par la digue de l'Ikopa: sam'ihafatompo voavoly mangahazo. ,5v< A l'Ouest.par les propriétés de Rainisoanoro. araka fa manambara, dia Nymangataka n Les requérants déclarent qu'à leur connaissanceil tarany ny amin'izany tany voalaza>za -''an*0 n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ri misy natao anto-javatr' olona,ary tsY"a~y. Í' aucun droit réel immobilier actuel ou éventuel. olon-kafa,na ankehitriny na amin nyH1Oavypa' * i' Le bornage provisoirea été fixé par M.le chef du hamaritana io tanyio qia l11itl. Nvandro service topographiqueau 2 janvier 1901,à 8 heures kitry M.le chef du service topograplllQue dCO ø8 du matin. famantaranan I tall' 1(901,amin' ny 10 3janyier Le Conservateur de la propriétéfoncière, raina. NyMpitahiryny àmin alla LOUSSERT. NyMpitahiry ny amin .ny»»" FANGATAHANA N* i436 N*1438 j. RÉQUISITION Noho nv tfangatahana tamin' ny 13 septembre e i Rasoa1900 : io Rainiantoandro, mpamboly gOO, ; 2° 14 du 1900, ae Suivant réquisition septembre de nantoanina vadiny : 3° Ratoandro,tompon-tany,va- Rainimanantenasoa, cultivateur, époux ép0!^' din-dRabezezika : 4" Ravaomiadnna,tompon-tany, Ramaria ; 2° Rainizafinllravao,cultivatetir, qg00 (le novinadin-dRabetsitonta;izy rehetra ireo monina cultivateur, 3* Rajaonina, Ranjavelo : ao Ambohidroa,sec.teur-n' Ambohidratrimo, niara- 4" Rainidafv,cultivateur, époux de la c l'a.'re. prfV Fanamin' anoratana ny ny Rejistry ny nangataka Rasoamanandriana, 58 dame f,, o; namireo no fa izay jakana, izy tompon' ny tany P, dena! 6* j célibataire, Radafy, évangeliste, epo - ge' baranv sy tiany nomena anaranahoe: FlvelomaD' nomana tous, domiciliés a Ambob'rriatricu^^ ny tompony ii, misy tanimbry, tan'nketsa, tany d'Ambohidratrimo,ont demandé fide Andramiazozoro herana voavoly ary tahjona,ao sv indivis, ll^,|° Pnenû» ~0'" de en propriétaires u le qualité rana, faritanin'Afnbohidroa,secteur-n' Ambohidra- à donner déclaré vouloir ils ont laquelle trimo, province-n' Antananarivo.
JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES consistant en rizières et promontoire t::!aAhO. nosibe,district d'Ambohimanandrav,secsituas h AA de Tananarive. Cett mbohidratrimo, province une superficie de deux hectarePropriété, occupant nviro es quarante-cinq ares soixante-seizecentiares ft-estiimitée: et à l'Est, par des digues; or une petite digue et un ruisseau; Aar Lesuest, par une petite d'gue. LespoUe-randéclarentqu'a leur connaissanceil ^existp Surréel dite propriété, aucune charge ni droIt aUCUn diteimmobilier proprlpté, actuel aucuneou charge éventuel, ni Lebo e, SIr laprovisoire a été fixé par M. le chef Lebornige au 7 1901 à a 10 1901, > tOIoraphique janvier Janv'er heures duservice du matm. Le Conservateurde la propriétéfoncière, F' LOUSSERT. FANGATAHANA N*1438 fangatahanatamin' nv 14septembre 1900: Not, o mpamboly, vadin-Raraaria; 1°Raìo^nantenasoa' 2°lljZhndravao, mpamboly, vadin-dRanjavelo ; mpamboly, tsy manara-badv; 4' Rai3°Rajaonina, 5* Rasoavadin-Rasoarojo, ; n^•afv mpamboly' 6" ?^ndr'ana\tonipon-tanv, tsy manam-bady;ireo izy evanj&lista, vadin-dRamanomana, «adarv c secteurn' Ambohidratrimo, 'ara'naao Ambohidroa, anoratana amin' ny R ny ny Rejistrv ranjakangatak izay Fanjakana,fa IZVireo no tompon' ny tany nambaranysy tiany nomenaanarana hoe: TMrmao Anosibe, tanjona, tanimbarv sy rano,misyAmbohimanandrav,secteur-n' Ambohifatrirno Antananarivo. Izanv proyince-n' hectares dia ho roa tokony misy Izanytanyizany poioy ambyefa-polo ares ary enina amby fito"HinvnP°locenrtIares ny habeny; ary izao no faritra NyA Atsinanana, dia ny fefiloha ; Ats'ratra sy ny fefiloha lahindrano ; sv NyAndrnof kely ny nv dla c'ia ny tetìlohakcly. NYAndrefana, fa araka ny fahatanb3 a nvmanarribara. t Jfany Tn,•n' Izany fananana tany voalaza izany, anaanto-javatr' olona, ary tsy )2 n-t! na\}'olon-kS natao na ankehitriny na amin' ny 110avy. y anda a, h io tany io diaefanaraikitryM. v chefrp hamaritana service topographique amin' nv 7 lia!chef i O amin' ny 10 famantaranandro maalnn. aina. , -------
NyMpitahiryny amin'ny fanananatany, LOUSsERT.
N-1125 RÉQUISITION SUiva l' l du 4 septembre 1900, M. A. ota, reorequisition domaines, agissant au nom et DOur le ceveur des bnleonr^«Pte de l'Etat français, domicilié à TaiJwkr \'e,„ demandé l'immatriculltion, en qualité de VOUloir Ire, d'une propriété à laquelle il a déclaré toir donner le nom de i.utécia, consistant en à Tamatave,rue de l'Artillerie. imrrain K«rL®^u® aresqUaPropléte,occupant une superficie de trois environ, est limitée: îrpc^^eatrpV!-n^,'onze c entiares le terrain du Dr Chevreau; AA11Norri,f par le terrain de la Mission Sùd anglicane; 1 la °uestP n. , rue de l'Artillerie; AuSud, parla n' re : par larue de la Batterie. déclare qu'à sa connaissance il e' propriété, aucune charge ni Wî, 11sur droit réel la dite irnm°bilieractuel ou éventuel, aufrr t?Ueceiiv f 1: un bail emphytéotique consenti aux droits duquel l'Etat "'nR,dr' lamampapdry duU,Tller se rouve substitué en faveur de M. C. à Tamatave,pour une le dè tailla, demeurant d barn 0 g -Cinqans renouvelable. a été fixé par M. le chef provisoire hherViceate duRerv, tee matin toPPRrlpliique au 27 octobre 1900,à 8 LeSous'Conserva.t!!ur à Tamatave,dela propriétéfoncière LOTA. --FANGATAHANA N. 1125 tamin' nv 1900, ny 4 septembre, t90ß, Noho fangatahana tamin' rec M.A.Lny ota, tla. a. nyanrantsay, monina ao Toamasina, nanga!?^ tivanoratanL, a^m' ny ftejfstry ny FanjakaS~y? ornpon ny fananana baranySvno tom tanv izay namta baranysytiany nomena anarana hoe: iint^eia, nv1&làamm' Toamaaiaa, 1S»^Stjn >>4tyraf«30 Toarnasina' amin' ny r 1 erle.
iraika Izanv tany izany dia misy telo ares syizao no amby sivi-folo centiares ny habeny ; ary faritra aminv: ; Ny Avaratra, dia nv tanin' i Docteur Chevreau Missionanglikana; Ny Atsinanana, dia'nytanin' nyde Ny Atsimo, dia ny lalanarueruedeI'Artillerie; Ny Andrefana, dia ny lilana fa arakala Batterie. ny tahafanNv mangataka manambara, izany,dia tsy misy taran) ny amin'izanytany voalazaananan' olon-kafa, natao anto-javatr' olona, ary tsy na ankehitriny na amin' ny ho avy, afa-tsy ny voalaza ambany,Yanofana mahnritra nataon-dRainanho amin' driamampandrytamin' iM.CiiarlesMeunier ny dimy ambv roa-polo taona, izay lovan' ny Fanjakana français. Nvandro hamaritana io tanv io dia era naraikitrv M. Ie chef du service topographique, amin' ny 27 octobre 1900,amin' ny 8 famantaianandro maraina. Nylefitryny Mpitahiryny amin'ny fanananatany ao Toamasina, LOTA. N*1127 REQUISITION Suivantréquisition du 6 septembre 1900,Diovana, domiciliéeàlvondro fAmbodifaho). a demandé l'immatriculation, en qualité de propriétaire, d'une propriété à laquelle elle a déclaré vouloirdonner le nom de Ambodiaviavy, consistant en un terrain bâti situé à Ambodifaho,district d'Ivondro. Cette propriété, occupant une superficie de cinquante hectares environ, est limitée: Au Nord, par un terrain domanial ; A l'Est et au Sud, par le terrain Alphoase ; A l'Ouest, par le terrain de Inivo. La requérante déclare qu'à sa connaissance il n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ni aucun droit réel immobilieractuel ou éventuel. Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef du service topographique au 5 novembre 1900,à 10 heures du matin. de la propriétéfoncière Le Sous-Conservateur à Tamatave, LOTA. N" 1127 FANGATAIIANA
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Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef du service topographique au 8 novembre 1900,à 10 heures du matin. Le Sous-Conservateur de la propriétéfoncière à Tamatave, 1 LOTA. ,
FANGATAHANA N. 1128
Noho ny fangatahana tamin' ny6 septembre 1900, M.Emmanuel Ducasse,monina ao Ivondrona. nangataka ny anoratana amin' nv Rejistry ny Fanjakana, fa izy no tompon'ny tany izay nambarany sy tiany nomena anarana hoe: Ajaeeio, misy trano sy tokotany, ao amin' ny faritanin'Ivondrona. Izany tany izany dia misy dimam-polo amby zato hectares ny habeny ; ary Izao no faritra aminy: Ny Avaratra, dia nv tokotanin' i Jules Maromiandra; Ny Atsinanana,dia ny an' i Alphonse ; Ny Atsimo, dia ny tendrombohitra Mangazona; 'Ny Andrefana, dia ny arabe. Ny mangataka manambara, fa araka ny fahafantarany ny amin' izany tany voalaza izany, dia tsy misy nataoanto-javatrolona, ary tsy*ananan' olonkafa, naankehitriny naamin' ny ho avy. Nyandro hamaritana io tanyio diaefanaraikitry M. Ie chef du service topographique, amin' ny 8 novembre 1900,amin' ny 10famantaranandromaraina. Nylefitryny Mpitahiryny amID'ny fanananatany ao Toamasina, LOTA. N- 1129 RÉQUISITION Suivant réquisitiondu 6 septembre 1900,Christine Inivo, domiciliée à Tamatave, route du Nouveau marché, a demandé l'immatriculation,en qualité de d'une propriété à laquelle elle a déclapropriétaire, ré vouloir donner le nom de Mi-olean,consistant en un terrain bâti situé à Vatakanga, district d'Ivondro. Cette propriété, occupant une superficie de cinquante hectares environ, est limitée: Au Nord, par le terrain Sihitra; A l'Est, par les terrains Lehova et Alphonse ; Au Sud, par le terrain Ducasse ; A l'Ouest, par le terrain Jules. La requérante déclare qu'à sa connaissance il n'existe,, sur la dite propriété, aucune charge ni aucun droit réel immobilier actuel ou éventuel. Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef du service topographique au 13 novembre 1900,à 10 heures du matin. Le Sous-Conservateur de la propriétéfoncière à Tamatave, LOTA.
Noho ny tangatahana tamin' ny 6 septembre 1900, Diovana,monina ao Ivondrona, Ambodifaho, nangataka nv anoratana amin' ny Rej'stry ny Fanjakana, fa izy no tompon' ny tany izaynambaranysy tiany nomena anarana hoe": Ambodiaviavy, tokotany, ao Ambodifaho,faritanin' Ivondrona. Izany tany izany dia misy dimam-polo hectares ; ary izao no faritra aminy : nv Iiabenv ; 'Nv Avaratra,"dia ny tanim-panjakana Ny Atsinanana sy ny Atsimo, dia ny tanin' i Alphonse; Ny Andrefana, dia ny tanin' Inivo, Ny mangatakamanambara, fa araka ny fahafantaranynyamin' izanyfanananatany voalaza izany, dia tsy misv natao anto-javatr' olona, ary tsy ananan' olon-kafa, na ankehitriny na amm' ny ho avy. FANGATAHANA N*1129 Nv andro hamaritana io tany io dia efa naraikitrv M. Ie chef du service topographique, amin' ny a novembre 1900,amin' ny 10 famantaranandromaNoho ny fangatahana tamin' ny 6 septembre raina. Christine Inivo, monina ao Toamasina,(route 1900, Nylefitryny Mpitahiryny amin' ny fanananatany du nouveau march6) nangataka ny anoratana amin' aoToamasina, fa izy no tompon' ny Rejistry nv Fanjakana, ny LOTA. tany izay nambarany sy tiany nomena anaranahoe: st-;'can, tokotony misy trano, ao Vatakanga, faritanin' Ivondrona. Izany tany izany dia misy tokony ho dimamRÉQUISITION N. H28 polo hectares ny habeny; ary izao no faritra aminy : dia ny tanin"i Sihitra ; Avaratra, Ny M. 6 Emdu 1900, septembre Suivant réquisition dia ny tanin' i Lehovasy Alfonse; Atsinanana, Nv à a demandé domicilié Ivondro, manuel Ducasse, dia tanin' Atsimo, ny Ny i Dijcasse; d'une de l'immatriculation,en qualité propriétaire, dia ny tanin' I Jules. Andrefana, Ny donner vouloir le il a déclaré propriété à laquelleconsistant en un terrain bâti fa araka ny fahafanmanambara, mangataka Ny Ajaeeio, nom de voalazaizany, dia tsy misy amin' i zanytany tarany ny d'Ivondro. district le situé dans ananan' olori-kafa, nataoanto-javatrolona, tsy ary de une cent superficie Cette propriété, occupant na amin' na ankehitriny ny ho avy. limitée : est environ, hectares cinquante andro hamaritanaio tany io, dia efa naraikitry Ny de dite Marola Jules, Au Nord, par propriété M. le chef du service topographique, amin' nyf3 miandra; novembre amin' 10 1900, ny famantaranandro mala ; A l'Est, par propriétéAlphuonse raina. dite ; une Mangazona montagne Au Sud, par A l'Ouest,par la grande route. amin*ny fanananatany Nylefitryny ny Mpitahiry il ao Toamasina, Le requérant déclare qu'à sa connaissance n'existe, sur la dite propriété, aucune chargeni LOTA. actuel ou éventuel. o aucun droit réel immobilier
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JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES RÉQUISITION N*1130
Suivant réquisition du 6 septembre 1900, M. François-Eugène Bonnet, commerçant, domiciliéà Tamatave, rue du Commerce, a demandé l'immatriculation, en qualité de propriétaire, d'une propriété à laquelle il a déclaré vouloir donner le nom de Hobert, consistant en un terrain nu situé à Tamatave,dans l'ancien Zoma. Cette propriété, occupant une superficie de vingt ares, est limitée: Au Nord, par la rivière Ranonandriana ; A l'Est, par la propriété MonSouci ; Au Sud, par le terrain à Mil.Leka; A l'Ouest, par la propriété Echeberi.* Le requérant déclare qu'à sa connaissance il n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ni aucun droit réel immobilier actuel ou éventuel. Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef du service topographique au 15 novembre 1900,à 8 heures du matin. LeSous-Conservateur de la propriétéfoncière à Tamatave, LOTA.
Izany tany izany dia misv tokony ho roa ares sy enim-polo centiares ny habeny, ary izao no faritra aminy: Ny Avaratra, dia ny liklanarue de l'Artillerie; Ny Atsinanana, dia ny tanin' i Lalouette; Ny Atsimo, dia ny lakandrano Ranonandriana ; Ny Andrefana, dia ny làla-kelytsy manana anarana. Ny mangataka manambara fa araka ny fahafantarany ny amin' izany tany voalaza izany, * dia tsy misy natao anto-javatr' olona, ary tsy ananan' olon-kafa, na ankehitriny na amin' ny ho avy. Ny andro hamaritana io tanv io, dia efa naraikitry M. le chef du service topographique amtn' ny n novembre 1900, amin' ny 8 famantaranandro maraina. NylefitrynyMpitahiryny amin'ny fanananatany aOToamasina, LOTA.
Le bornage provisoire a été fixé par M. leCIIÍ du service topographique au 1" novembre i990, 8 heuresdu matin. Le Sous-Conservateur dela propriétéConlne à Tamatave, LOTA LOTÀ. FANGATAHANA No 1133
Noho ny fangatahana tamin' ny 22 aoûit 190®' Rainilevaosy Rasoavadiny,mpivarotra, izy nma ao Andevoranto, avenue A, niara-nanga' ny anoratanaamin' ny Rejistry ny FanjakanànY izyireo no tompon' ny tany izaynambaranvsylyfly nomena anarana hoe: Ambodivoangy. tokota ao Andovoranto,avenue A.. nyi Izany tany izany dia misy valo ares ny haDny; arv izao no faritra aminv: NyAvaratra,dia Rainitasv; na, anaran3, dia lalana Ny Atsinanana, ny tsv misy Atsimo,dia ny lalanaN' 2 bis; Ny RÉQUISITION N' 1132 , Ny Andrefana, dia ny lalana avenue A. Ny mangataka manambara, fa araka ny *a mp Suivant réquisition du 22août 1900, Rainilahady amin' ireo tany voalaza ireo, ny et Vavy, son épouse, commerçants, tous deux do- tarany diatsyWjisy 0 on natao olona, ananan' anto-javatr' arv tsy miciliés à Andovoranto, avenue A ont demandé na ankehitriny na amin' nvho avy. FANGATAHANA N- ii30 'ilrY l'immatriculation,en qualité de propriétaires indiandro hamaritana io tany io, dia efa vis, d'une propriété à laquelle ilsont déclarévouloir M.Ny nara'1* Ie chef du service topographique !,' nom donner le de consistant en un Sahaomby. amin novembre amin' 8 Nohony fangatahanatamin' ny 6 septembre 1900, terrain bâti situé à Andovoranto, avenue A. 1900, nv famantaranandro rama. M. Françòis-Eugène Bonnet, mpivarotra, monina Cette une de deux tall! taw occupant superficie ao Toamasina, lalana rue du Commerce, nangata- ares, estpropriété, amin' ny f~nsm~'a NyleËtry Ny ny MpitaLhiry limitée : ny ka ny anoratana amin' ny Rejistrv ny Fanjakana, lefitrynao y Toamasina, Mpitahirynyamin'nyfanan*0. Au le sieur d'Unienville Nord, ; par fa izy no tompon' ny tany izay nambarany sv tiany LOTAA l'avenue A l'Est, ; par nomena anarana hoe: Hubert, misy tany fotsiny, Au Sud, par le sieur Rainiboto; ao Toamasina lAnjoma talohal. A la rivière l'Ouest, par Ranomainty. Izany tany izany dia misy roa-polo ares ny haLes requérants déclarent qu'à leur connaissance il RÉQUISITION N° 1135 izao no faritra : beny ; ary aminv sur la dite aucune ni n'existe, charge propriété, nssOS Ny Avaratra, dia ny reniranoRanonandrJana ; droit aucun réel immobilier actuel ou éventuel. Suivant du il réquisition septembre t90dO'forall' Ny Atsinanana, diany tokotanin' i Mon Souci; Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef et Rambavy, toutes deux domiciliéesà An° n ell i tanin' Mil. Atsimo, Leka ; Ny diany du service au 19 novembre 1900,à to, avenue A, ont demandé l'immatriculatioqeg topographique dia tanin' i Echebert. Andrefana, Ny nv 8 heures du matin. qualité de propriétaires indivises, d'une proP de fa araka Ny mangataka manambara, ny fahafanle no'<'yy elles ont déclaré vouloir donner laquelle Le Sous-Conservateur dela amin' fananana foncière voalaza tarany ny propriété izany tany izany, Mahasoa, consistant en un terrain bâti situe dia tsy misy natao anto-javatr' olona, ary tsy anaà Tamatave, dovoranto avenue A. 110 tf" , nan' olon-kara,na ankehitriny na amin' ny ho avy, de Ae LOTA. Cette propriété, occupant une superfici, e andro hamaritana io io dia efa Ny naraikitrv tany are quatre-vingt centiares, est limitee: M. le chef du service topographique amin' ny i5 Au Nord, par le sieur Rainimanana; novembre i900, amin' ny 8 iamantaranandro maFANGATAHANA N*1132 A l'Est, par l'avenue A ; raina. Au Sud, par le sieur Vahazapaza; in' ny fananaaatany Nylefitryny Mpitahiryny am A l'Ouest, par la rivière Ranomaintv. Nohony fangatahana tamin' ny 22 août 1900, Bllcel! ao Toamasina. Les ireo requérantes déclarentqu'àleur connais^e j I sy Vavy vadiny, mpivarotra, izy I Rainilahadv LOTA. monina ao" Andovoranto,avenue A, niara-nanga- n'existe, sur !a dite propriété, aucune cj?%%{$' taka ny anoratana amin' nv Rejistry ny Fanjakana, aueun droit réel immobilier actuel ou M Le fa izy ireo no tompon' ny tany izay nambarany sy a provisoire été fixé par ^ NM131 bornage RÉQUISITION tiany nomena anarana hoe : Sahaomby, tokotany du service topographique au 12 novembre heures du matin..ri misy trano, ao Andovoranto,avenue A. a* on Suivant réquisition du 8 septembre 1900, M. f Izany tany izany dia misy roa ares ny habeny; Le Sous-Conservateur de la propriété Herschell Chauvin, négociant, agissant au nom et arv izao no faritra aminv : à Tamatave, dia M. comme mandataire de M". Veuve Léon Laloute, d'Unienville ; Ny Avaratra, LOTA LOTA. domicilié à Tamatave, rue de la Gendarmerie, a Ny Atsinanana, dia ny làlana avenue A; demandé l'immatriculation,en qualité de propriéNy Atsimo,dia Rainiboto; taire, d'une propriété à laquelle il a déclaré vouFANGATAHANA NoH35 Ny AndrefaHa.dia ny renirano Ranomainty. loir donner le nom de viiia des camélias, conNy mangataka manambara, fa araka ny fahafan{90ðl sistant en un terrain bàti situé à Tamatave, rue de tarany, ny amin' izany tany voalaza izany, dia tsy Nohony fangatahanatamin'ny 11 septembr^yO' natao l'Artillerie. anto-javatr' olona, ary tsy ananan' olon- Rasoa sy Rambavy, izy ireo monina ao misy allO" Cette propriété, occupant une superficie de deux kafa, na ankehitriny na amy ny ho avy. y làlana avenue A., niara-nanataka ny ireD ranto, 60 Nv andro ares centiares environ, est limitée: hamaritana io tanyio, dia efa naraikitry ratana amin' ny Rejistry ny Fanjakana, W M. fe chef du service topographiciue,ho amin' ny no Au Nord, par la rue de l'Artillerie; fa tr sy ny tompon' nambarany tany izav 19 novembre i900, amin' ny 8 famantaranandro mena anarana hoe: A l'Est, par le terrain Lalouette ; tiajgy m tokotany Mahnaoa, maraina. lO Au Sud, par le canal Ranonandriana ; no ao Andovoranto, làlana avenue A. alo-pO A l'Ouest, par une ruelle sans nom. Nylefitryny Mpitahiryny amin'ny fanananatany Izany tany izany, dia misy irav aresyyan1 vaio-r Le requérant déclare qu'à sa connaissance il centiares ny habenv, ary izao ho faritra ao Toamasina, n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ni dia ny an-dRainimanana; Ny Avaratra, LOTA. aucun droit réel immobilieractuel ou éventuel. dia ny lalana avenueA.» Ny Atsinanana, Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef dia ny an' i Vahazapaza; 'otv, Atsimo, Ny du service topographique au 17 novembre 1900, à r' dia ny renirano Ny Andrefana, 8 heures du matin. Ranomairtv,' ny /jJjtjiaa'Jw N*1133 RÉQUISITION Ny mangataka manambara, fa araka j * LeSous-Conservateur de la propriétéfoncière taranynyamin'izany tany voalaza izan^ Jo, à Tamatave, Suivant réquisition du 22 août 1900,M.Rainilevao misynataoanto-javatr'olona,ary tsy ananaii'w LOTA. ankehitrinv na amin' nv ho avvet Rasoa, son épouse, commerçants, tous deux do- kafa na nLj> miciliésà Andovoranto, avenue A, ont demandé M.Ny andro hamantana io tany io dia e'a rai^Jj? le chef du service topographique l'immatriculation.en qualité de propriétaires indiaw novembre amin' 8 famantaranan FANGATAHANA NoH3i i900, ny vis, d'une propriété à laquelle ils ont déclaré vou- naf ~~f leir donner le nom de Ambodfroangy, consistant nanamin' ny fana 1 lefitrynyMpitahiryny Ny en un A. terrain situé à .bâti avenue Andovoranto, Nohony fangatahana tamin' ny 8 septembre 1900, ao Toamasina, Cette de huit une T~f~' propriété, occupant superficie M. Herschel Chauvin, mpivarotra, manao amin' ny est limitée: maha-masoivohon' i Ma. Veuve Léon Laloute azy, ares, Au le sieur Rainitasv Nord, par : lalana moninaao Toamasina, de la Gendar[rue A l'Est, par une avenue sans nom; anoratana amin' merie], cangataka ny ny Rejistry RÉQUISITION N*1136 Au la 2 rue N' Sud, bis ; par t, ny Fanjakana, fa izy no tompon' tany izav namA l'Ouest, par l'avenue A. R barany sy tiany nomena hoe: villa dex Caménae, 1900, Les Suivant du déclarent il 23 août leur connaissance requérants qu'à réquisition SayeOt) rD' tokotany misytrano, ao Toamasina, làlana rue de n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ni l'Artillerie. p ana,commerçant,domiciliéà aucun droit réel immobilieractuel ou éventuel. demandé l'immatriculation,Andovorantoen qua 1
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MmeRakalo, épouse V, SidemNy andro hamaritana io tany io, dia efa naraikiRequérante : try M. le chef du service tooographique, amin' ny bron. 9 novembre 1900,amin' ny 8 famantaranandromaLe bornage provisoire a eu lieu le 26 juillet rajna. 1900. ny Mpitahiryny amin'ny fanananatany Nylefitry N9 252 F Réquisition aoToamasina, LOTA. Propriété dite: Fitsarana, sise à Midongy, province d'Ambositra. M. Johannes Einrem, pasteur. Requérant : N*1139 RÉQUISITION Le bornage provisoire a eu lieu le 20 juillet 1900. Suivant réquisition du 22 août1900, Rainizanabelo Ne 44 N Réquisition et Rafara, son épouse, commerçants, tous deux domiciliésà Andovoranto, avenue A, ont demandé Propriété dite: Le Progrès, sise à Ambodil'immatriculation,en qualité de propriétaires indi- voanio, province de Nosi-Be. M. Gaston Paul, époux de dame vis, d'une propriété à laquelle ilsont déclaré vouloir Requérant': donner le nom de Antsampanimaha*o il, con- Dijoux Marie-Anastasie. sistant en un terrain situé à Andovoranto, avenue Le bornage provisoire a eu lieu le 16 juin A. Cette propriété, occupant une superficie de cinq 1900. ares trente centiares, est limitée: Réquisition NG1232 FANGATAHANA N- 1136 Au Nord, par la rue N' 3; dite: Joinville, sise à Avaratr' AlaPropriété A une avenue sans l'Est, par nom; tamin' 23 aout angatahana t900, district de Bongatsara, sous-gouverneny t\alni Y robia, Au le sieur Sud, par Rainisoangita; )àlananana, mpivarotra, monina ao Andovoranto, ment d'Alasora, province de Tananarive. A A. l'avenue l'Ouest, par anoratana amin' A, nangatak.i ny ny MM. Ramanambahoaka et Raodéclarent Les leur connaissanceil requérants Requérants : qu'à fa no ejistr venue Fanjakana, izy tompon' ny tany n'existe, sur la dite !laynY y aucune charge ni belina. propriété, sv nomena anarana hoe: tiany "lao:batany droit réel immobilieractuel ou éventuel. Le bornage provisoire a eu lieu le 21 août fanto misy trano, ao Andovo- aucun Le a été fixé M. le chef 1900. provisoire par bornage l&i Bna»tokotanv Aa aVenue du service au 3 novembre à 8 1900, topographique are dia izany misy iray sy valo-polo heures du matin. NG46 N tany Réquisition hanv ary izao no faritra aminy:: centiares ny habenv, NyAvara' diii ny lalana avenue N*4 ; Le Sous-Conservateur dela propriétéfoncière Propriété dite: Avenir, sise à Nosi-Be, lieu dit Tsimarmar. à Tamatave, flyAtoinanana' dla' nv lalana aveune A. ; LOTA. y Ato'jH dia ny Rasoa ; Requérante: MmePervillé Clémence, veuve de Honoré Defaud. Nyndefana, dia nv renirano Ranopiinty. manambara, fa araka ny'fahafana eu lien le 6 juillet tllranngat;]ka Le bornage provisoire amin' izany tanyvoalazaizany. dia tsy FANGATAHANA N"1139 1900. taranyny ananan anto-javatr' olona, ary tsy N° 1363 Réquisition na amin' ho Noho 22 août Raitamin' Oloñ-kal aona ankehitrinv ny 1900, ny fanjjatahana avy. ny ,.flyanj Ny Nosi-Zato V, sise à NosiArdrahamaritana io tany 10, dia efa narai- nizanabelosy Rafara vadiny, mpivarotra, izy ireo, Jdite : Propriété ny14 n' J,e chefdu service topographique, amin' monina ao Andovoranto, lalana avenue A. manga- Zato, province de Tananarive. tnarainavembrei900, a.min' ny 8 famantaranandro taka ny anoratana amin' ny Rejistryny Fanjakana, Requérant: M. le receveur des domaines de fa izy ireo no tompon' ny tany izay nambarany sy Tananarive, pour l'Etat français. Nylefitryny Mpitahiryn"- amin'ny fanananatany tiany nomena anarana hoe: intsampanimnhazo, Le bornage provisoire a eu lieu le 2 août ao Toamasina, tokotany misy trano, ao Andovoranto avenue A. lzanytanyvízany dia misy dimy ares sy telo-polo 1900. • LOTA. centiares ny habeny; arv izao no faritra aminy: Réquisition N° 310 D '-----Ny Avaratra, dia nv lalana N*3; Propriété dite: Réserver, sise à la Montagne dia*lalanatsymisy anarana; Atsinanana, Ny N" 1137 RÉQUISITION d'Ambre. Ny Atsimo, diany an-dRainisoangita: M. le receveur des domaines de Ny Andrefana, dia ny lalana avenue A. Requérant : Rainiboto et Ny mangatakamanambara, fa araka ny fahafan- Diego, pour l'Etat français. ne réquisition du 22 août t900, épouse, commerçants, tous deux tarany ny amin' ireo fananana tany voalaza ireo, Sn a eu lieu le 27 juin Le bornage provisoire (avenueA), ont demandé dia tsymisv natao anto-javatr'olona, ary tsy ana- 1900. ,dorn-iclliésa Andovorante, 'II d'ur¡culalton,en qualité de propriétaires indi- nan'o'lon-ka fa, na ankelutriny na amin' ny ho avy. Na 1179 Réquisition à ils ontdéclaré vou4 io dia efa Propriété andro hamaritana laquelle io, tany naraikitry tOlrdone Ny ant ener le nom de Ambonieronana, consis- M. Ie chef du service topographique amin' ny 3 dite: Anglars, sise à Tananarive, Propriété f" en )n terrain bâti situé à Andovoranto, novembre1900,amin'ny8 famantaranandromaraina. quartier Ankazotokana. Cette amin' ny fanananatany M. le receveur des domaines de lefitrynyMpitahiry ny Ny Requérant : de un une superficie areqUaEropiété,occupant ao Toamasina, l'Etat français. Tananarive, pour ,n £ t centiares, est limitée: LOTA. Le bornage provisoire a eu lieu le 10 août sieur Rainilahady; Al'Est' Par parle A; 1900. AuEst ar l'avenue la rue N94: --'AuSud N9 219 D Réquisition la rivière Rainomainty. AVIS DE CLOTUHES DE BORNAGES UeIt, ar reàiip ants déclare qu'à leur connaissance il Propriété dite: Jeanson, sise à Sakaramy. dite propriété, aucune chargeni M. le receveur des domaines de Requérant : Un*'ste, sn i N°351 D d e bo 1 reel immohilier actuel ou éventuel. l'Etat français. Réquisition Diego, pour hf»,borna provisoire a été fixé par M. le chef a lieu le 8 eu octobre Le bornage provisoire dite : du sise au Propriété Camp Sakaramy, du 8ervicp tA Fa^h^ueau 9 noveml)re1900> 8 1899. Sakaramy. N*231 D Réquisition M.le receveur des domaines de la propriétéfoncièpe Requérant: LeSàOUI'-Conservateur de Tamatave, Propriété dite: La Carcassonnaise, sise à Diego, pour l'Etat français. Le bornage provisoire a eu lieu le 10 août Antsirane, rue Colbert. LOTA. 1900. François. Requérant: M. Cassignol a eu lieu le 7 octobre Lebornage provisoire N°362D Réquisition FANGATAHANA N. 1137 1899. dite: Vasanga, sise à Antsirane. No361 D Propriété Réquisition MmeVasanga. Illbotos Y fngatahana tamin' ny 22 août 1900, RaiRequérante: dite: Villa Taormina, sise à AnaPropriété oninaYRaInlsambanavadiny,mpivarotra'izy ireo le 16 a eu lieu août Le bornage provisoire avenue A, makia, territoire de Diego-Suarez. nangataka 1900. ny > ao *"?0v°ranto, ny M. le receveur des domaines de no to , ny Rejistrv ny Fanjakana, fa f5°ratana Requérant : izuireo S ny Rejistryny nambarany fa l'Etat français. Réquisition N° 1011 T Diego pour tiany nomenaanarana hoe: Ambonlerenan*. a eu lieu le 22 août Le à sise bornage provisoire dite : Tamatave, ao Tsivagamy, Propriété Andovorantol f avenue A, tokotanymisy trano, 1900. dia d'Anzoma. are sy volo-polo quartier iray Centiytanv hlZllny, misy Le dernier délai pour former les oppositions centiaresnyhabeny;ary izao no faritra aminy : Requérante : MmeRakalo, épouse V. Sidemaux dites réquisitions d'immatriculation est YAtsi a ra, dla Ralnilahady; bron. A; a en lieu le 19 juillet de deux mois à partir du jour de la présente ASv i A.tSinada,dia, lalana Le ny avenue provisoire bornage N' 4:; NyAndr la ny 1900. publication. a nv renirano Ranomaintv. Ny ma.nerana. T 1013 N• fa araka nv fahafanmanambara, Réquisition Le Chef du service topographique, ^raL^aneatair^ o y tlla nyamin lzany fanananatany voafaza izany, à rue sise dite : Tamatave, Akama, Propriété P. ant°-.iavatr' anaanolon-i? olona, tsy BOURDIER. ary °n-kafa (natao na ankehitrinÿ na amin' ny ho avy. de la Gendarmerie. propriété à laquelle i! a déclaré ÔIi d'une nom de Ambodimiana, consisnner terrain le bâtisitué à Andovoranto,avenue A. t ell" occupant une superficie de un elle ro riété centiares, est limitée: "vinSt A KNndj'Par l'avenue N' 4: AuSSci par l'avenue A; Sud, par B lasoa par rivière Ranomaintv. v déclare qu'à sa connaissance il requérant la dite propriété, aucune charge ni - réel immobilier actuel ou éventuel. ulexiste, Ur Leb 01 provisoire a été fixé par M.le chef du Lehnr novembre 1900, à 8 heures neuresd aupogrphique matin. au 14 Le Sous-Conservateur de la propriétéfoncière à Tamatave, LOTA .,
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