Le Journal Officiel de Madagascar et Dépendances du 08/09/1900

Journal officiel de Madagascar et dÊpendances Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque Interuniversitaire Cujas

Madagascar. Journal officiel de Madagascar et dépendances. 1900/09/08.

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Samedi, 8 Septembre

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LE JKHJRYtL OFFICIEL DE SIA9AG13CA1&

On

AVIS Due note insérée au Journal Ofdu 29 août, a informé 5:30, 1 ficlel N° les chefs des services civils et I. chefs de corps, commanuitaires, antSl de de cercle indésecteur, et administrateurs chefs de Pendant qu'ils doivent adresser diévince, toute leur correspondance , rtment au Général commandant 0fplcJ-e^e chef et Gouverneur Général (cabe binet). reantérieures, prescriptions T la distinction rieures, complète re- à latives élVS à à la destinction entre les pièces ayant trait a bhr affaires civiles et celles concerau affaires restent militaires Ht leg et il Vlgueur importe, pour la b du service, qu'elles b0116 marche o"Dservées.

Ces soient Strictement strictement observées. être devront donc toujours eces distincts sous bordereaux envoyées la mention: « Secrétariat rtant celle: « Etat-Maj or ». ou SOMMAlRt Partie Officielle (L Ge,,Ër"k". la coloniede Madagascarà procéder °àlSantà Une troisième émission d'obligations de la RépuËfrantiespar le Gouvernement tique française et à exécuter divers l publics. sant la eoloniede Madagascara emprunter Cne Sornmede 60 millionsde francs pour la de fer de TanaConstruction d'un(-h emin nari Ve à la côte orientale et l'exécutionde lra,Publi^par une caisse d'avances civile SÉ,NOTE té r "Inplaçant de fonds d'avances de Mananjarv. de la caisse S/vce adressée pour informationà M. le ~néral par M. te Gouverneur Sp Gén^p T1"6 commandanten chef du Corps n' cpatJon, au sujet d'une dépêche midu 23 juillet 1900, rappelant la Circulaire du 14 avril1891, et relative aux de matériel faites directement comr68 j>*T*Ui en France MUTATIONS. VBR,°GÏIÀA°NS; DE PARIS.

La présente loi, délibérée et adoptée par le Partie non Officielle Sénat et par la Chambre des Députés. sera — NOUVELLES AVIS.— NÉCROLOGIE. INFORMA-exécutée comme loi de l'Eiat.

ET! — MISSION — nENSEJGNETIONS. VILLIAUME. Fait à Paris, le 5 Mars1900.

— VARIÉTÉS. — Avis MENTS ÉCOOMIQUES. D'ADJUDICATION. EMILELOUBET. Par le Président de la République: Le Ministre des Colonies, DECRAIS. ALBERT PARTIE OFFICIELLE Le Ministre des Finances, ETAT-MAJOR J. CAILLAUX. ORDRE GÉNÉRAL 333 Sur la proposition de M. le colonel commandant le territoire sakalava et en vue de perpétuer a Madagascar le nom des militaires morts pour la Patrie, le Général commandant en chef du Corps d'occupation et Gouverneur Général de Madagascar et Dépendances décide que le poste de Belo sur Tsiribihina recevra la dénomination de Poste Jour net Sergentàla 2e compagnie du bataillon étranger, tué le 2Jfévrier 1900, sur la Tsiribihina.

Tananarive, le 31Août1900.

Le Général commandant en chef du Corps d'occupation et Gouverneur Général de Madagascar et Dépendances, GALLIENT. LOI autorisant la colonie de Madagascar à à une troisième émission procéder d'obligations garanties par le Gouvernement de la République Frandivers travaux çaise et à exécuter publics.

Le Sénat et la Chambre des Députés ont adopté, Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit: ART.Ier. — Est autorisée l'émission, au nom de la colonie de Madagascar et dans les conditions prévues par les lois du 5 avril 1897 et du 6 avril 1898, des 9.000 dernières obligations de 500 francs de l'emprunt de 1897.

ART.JI. — Le produit de cette émission sera consacré aux travaux ci-après: Achèvement de la route de Tamatave à Tananarive 1.600.000 Route de Tananarive à Maevatanana 700.000 400.000 Installation des services civils.

150.000 Lignes télégraphiques.

100.000 Ports de Tamatave et Majunga.

150.000 Phares et balises 500.000 Constructions d'écoles.

Tola!.

3.600.000

LOI à autorisant la colonie de Madagascar une somme de 60 millions emprunter de francs poiljr la construction d'un de fer de Tananarive chemin à la et l'exécution côte orientale de travaux publics.

Le Sénat et la Chambre des Députés ont adopté; Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit: Anl'. Ier. — Le Gouvernement Général de Madagascar et Dépendances est autorisé à réaliser, par voie d'empiunt, une somme de soixante millions de francs (60.000.000 fr.), remboursable en soixante ans an plus et affectée exclusivement à la construction du chemin de fer de Tananarive à Anivoranoet à l'exécution de divers travaux publics.

Les conditions de l'emprunt seront soumises à l'approbation du Ministre des Colonies et du Ministre des Finances.

ART.II. — Sont dès maintenant autorisés ; sur les Tondsde l'emprunt: 1° La construction de la section de la vpie ferrée Anivorano27.000.000 Mangoro 2° L'exécution des travaux ci-après: Phares, balises, amélioration des ports. 2.350.000 4.200.000 Routes.

Lignestélégraphiques. 1.650.000 Travaux d'édilité et d'aiduction d'eaux. 2.500.000 Total.

10.700.000 10.700.000 Le prélèvement pour frais d'émission, de timbre et de dépenses 1.300.000 diverses.

Total..,.

39.000.000 ART.III. — L'ouverture des travaux de chacune des sections de la ligne aura lieu sur la proposition du GouverneurGénéralde Madagascar et Dépendances, en vertu d'un décret rendu sur le rapport du Ministre des Colonies après avis du Ministre des Finances.

4732

JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES

Le rapport à l'appui du décret devra établir: 1° Que les projets définitifs de la section à entreprendre et les projets du contrat relatifs à son exécution ont été approuvés par le Ministre.

2GQue l'évaluation des dépenses des nouveaux ouvrages à entreprendre, augmentée de l'évaluation rectifiée des dépenses des ouvrages déjà exécutés ou en cours d'exécution, ne dépasse pas l'ensemble des allocations prévues par la présente loi.

Ce rapport sera publié au Journal Officiel en même temps que le décret autorisant l'ouverture des travaux.

La réalisation de chacune des différentes parties de l'emprunt à contracter sera autorisée par décret rendu sur la proposition des Ministres des Colonies et des Finances. Le rapportà l'appui fera connaître l'emploi des fonds antérieurs, les noms des parties prenantes des frais de publicité, l'avancement des travaux, les dépenses restant à effectuer et la situation complète du budget de la Colonie.

Il sera publié au Journal Officiel.

L'exploitation de tout ou partie de la ligne désignée pourra être concédee pour une durée limitée par le Gouverneur Général de Madagascar. , Les conventions réglant les conditions de l'exploitation ne deviendrontdéfinitives qu'après avoir été ratifiées par une loi. La ratification devra être demandée dans un délai de six mois à dater du jour de la signature de la convention.

ART.IV. — L'annuité nécessaire pour assurer le service des intérêts et de l'amortissement de l'emprunt autorisé par la présente loi sera inscrite obligatoirement au budget de Madagascar et Dépendances.

Lorsque les recettes de la Colonie ne suffiront pas à couvrir les dépenses obligatoires, il sera suppléé à l'insuffisance par une subvention de l'Etat.

ART.V. --- Tont le matériel destiné à l'exploitation de la ligne et tous les matériaux nécessaires à la construction qui ne se trouveront pas dans le pays devront être, autant que possible, d'origine française et devront être transportés sous pavillon français.

ART. VI. — Les actés susceptibles d'enregistrement auxquels donnera lieu l'exécution des dispositions de la présente loi seront passibles du droit fixe de trois francs (3 fr.).

La présente loi, délibérée et adoptée par le Sénat et par la Chambre des Députés, sera exécutée comme loi de l'Etat.

Fait à Paris, le 14 Avril1900.

EMILELOUBET. Par le Président de la République: Le Ministre des Colonies, ALBERT DECRAIS. Le Ministre des Finances, J. CAILLAUX. GOUVERNEMENT GÉNÉRAL ARRÊTÉ remplaçant par d'avances civile la caisse d'avances de Mananjary.

une caisse de fonds «

Le Général commandant en chef du Corps d'occupation et Gouverneur Général de Madagascar et Dépendances, Vu les décrets des il décembre 1895et 30 juillet 1897 ; Vu l'arrêté du 30 juillet 1898, portant création a une caisse de fonds d'avances à Mananjaryet l'instruction du 25 septembre 1897aux gérants "des caisses de fonds d'avances sur le fonctionnement et la comptabilité de leur service; Vu l'arrêté du 10 octobre 1899,portant création dans diverses provinces, à compter du l" janvier

1900,de caisses d'avances civiles gérées par des agents du corps des comptables du service local; Considérantque les opérations effectuées par la caisse de Mananjary pour le compte du budget localsont supérieures à celles intéressant le budget colonial ; qu'il y a, par suite, intérêt à appliquer pour le fonctionnementde la dite caisse les dispositions de l'arrêté du 10 octobre 1899 et les instructions du 25 novembre de la même année; Sur la proposition de M. le Secrétaire Général, avis de M.le commissaire chef des services après administratifs, Arrête: ART.Ie. — La caisse de fonds d'avances de Mananjary, placée sous le contrôle de M. le commissaire des fonds à Tananarive, sera supprimée à compter du 1er octobre 1900, et remplacée par une caisse d'avances civile administrée par le Secrétaire Général.

ART.II. — Les dispositions de l'arrêté du 10 octobre 1899 et les instructions du 25 novembre de la même année seront appliquées au fonctionnement et la comptabilité de la caisse d'avances civile de Mananjary.

ART. III. — Le comptable gérant aura droit, à compter du 1er octobre 1900, aux indemnités annuelles ci-après prévues pour les caisses d'avances civiles : 600.00 Indemnité de rcsponsabilité.

60.00 Frais de bureau.

ART.IV. — MM. le Secrétaire Général, le commissaire chef des services administratifs et le trésorier-payeur sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.

Fait à Tananarive, le 18 Août 1900.

Pour le Gouverneur Général et par délégation: Le Secrétaire Général, LALLIER DU COUDRAY. Vu au Contrôle financier, le 13 août 1900.

Par le Gouverneur Général: Le Secrétaire Général, LALLIER DU COUDRAY. Vu: Le Commissaire Chef des services administratifs, LINARD. ETAT-MAJOR NOTE DE SERVICE adressée pour information Général par M. le à M. le Secrétaire et commandant Général Gouverneur au sujet en chef du Corps d'occupation, du 23 juild'une dépêche ministérielle du 14 la circulaire let 1900, rappelant avril 1897, et relative aux commandes en Frande matériel faites directement ce.

« dates des 24 janvier et 8 juin 1899 et les « numéros 65 et 478.

«J'ai le regret de constater- que,; malgr « l'insistance du Département, certaines ad: « ministrations coloniales persistent à ne Pa* « tenir compte des dispositions qu'il lInpor« cependant de mettre régulièrement en pra « tique puisqu'elles ont pour but de faciliter, « dans une large mesure, les opération (j K d'achat des approvisionnements de toU « nature demandes à la Métropole. « En conséquence, j'ai l'honneur de vou: « prier de vouloir bien adresser aux différents « services placés sous vos ordres des obsee « vations en ce sens et les inviter, d'toc « façon formelle, à se conformer ponctueIle; « ment, à l'avenir, aux règles tracées par la « circulaire précitée du 14 avril 1897. « Si ces nouvelles recommandations ded, c vaient encore rester sans effet, je meye*j « rais dans l'obligation de suspendre l'eeÍs « tion des demandes non établies d'après « conditions imposées, et d'imputer la les « ponsabilité des retards encourus deres. « chef aux fonctionnaires ou agents qui tH « raient négligé d'exécuter vos instructions« A cette occasion, je crois devoir apper « votre attention sur un mode de proce'Jer « parfois adopté par certains chefs de servicoi « et qui consiste à transmettre directeme0| « des commandes aux titulaires des marchlle « de fournitures à long terme, passés pal, « Département. la « En présence de la clause inscrite danseS « plupart de cc-s contrats, spécifiant Id que « ordres de livraison devront émaner de a.ut « ministration centrale des Colonies, il P' « arriver (le fait s'est déjà produit), que oiS « fournisseurs refusent d'assurer les éuvois « qui leur sont prescrits dans des condltlO « autres que celles prévues à leurs traités. er « D'autre part, il ne faut pas non plus Pdes « dre de vue que les livraisons sur commdne « directes ne sauraient être effectuées d 0c « façon avantageuse et avec toutes les &ar « ties désirables. Lorsque le service cefltral « n'intervient pas, en effet, le matériel °l* « denrées ne sont pas l'objet d'un e%" ails « technique ou d'une recette en qualité ans ( les usines ou magasins avant l'expé iti ( ils ne sont pas pris en charge par les COÏiCLl « tables des ports de transit; enfin, au licti « de bénéficier des prix de fret spéciaux c r « sentis au Département pour le transport ftJ « mer, les envois sont opérés simplement « tarifs ordinaires du commerce, sans P*",-lK « dicedes frais accessoires d'assurance ro,Idérl, la « time et autres qui viennent majorer « pense dans une proportion sensible. ce « Pour ces divers motifs, j'estime qU ce « système irrégulier « salirait donner de d'approvisionneme& bons résultats, taOde ali la de « point de vue des intérêts du trésor qtle, « marche normale et régulière du service*« Je vous serai donc obligé de veiller 5 é « tement à ce qu'il ne soit plus emploY « l'avenir)l.

Le Ministre des Col'0,# A. DECRAlS, Notifié pour information: Tananarive, le 29 Août 1900.

Pour le Général commandant le Corps d'occupation et par délégation: P. O. Le Chef d'Etat-Major, PRUD'HOMME,

Par dépêche N° 566, du 23 juillet 1900 (3e direction, 2e bureau, approvisionnements, etc.), M. le Ministre des Colonies écrit ce qui suit: « A la date du 14 avril 1897, le Département « a adressé aux administrations de toutes nos « possessions d'outre-mer une circulaire con« tenant diverses prescriptions relatives : 1° « au mode d'établissement des demandes de « vivres et de matériel; 2° aux mesures à « prendre en vue d'assurer le @ payement régu« lier des dépenses engagées en France au EXTRAITS ———— « compte des budgets locaux. (ad Par décision locale du 8 août, de f j « Ces prescriptions ont été rappelées, non « seulement dans des communications parti- ministrateur chef de la province de Volt e$t « culières concernant l'exécution de telles ou Le nommé Ramasimanana Ant0illeest as~8~ encore mais 46 « telles demandes déterminées, nommé écrivain auxiliaire indigène de « dans deux circulaires générales portant les au traitement annuel de 75.0francs.

JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES chefr de décision locale du 13 août, de M. le bataillon - commandant le cercle de ~n'UmnaniJak,ancLHana, esakotonizao, médecin indigène à Alarobia, à titre provisoire, médecin de la léprnomé, de ManjaléDp erie auxManankavaly, cercle 50 francs francs aux appointements appointements de de 50 kandriana, par mois.

Par arrêté du 20 août (Etat-Major), 14. le lieutenant Ferrière, hors cadres, est cerrne ofncier-adjoint au commandant du de la Grande-Terre, en remplacerrloannexe cemJ nt de M. le lieutenant Sautel, rapatriable.

Par arrêtés du 20 août, FOtlchard, directrice de l,leltraitement de Mme de Majunga, est porté de rnunicipale francs à 2.400 francs par an.

AI serv: Mayaudon, ancien écrivain auxiliaire des est nommé employé sciy 'es administ.ratifs, au Secrétariat Général, au traitement Ihenhalrede :S.uel 200 francs et affecte en cette qualité ala lilé 2e division [28 bureau]. te OlJrdy,. soldat au J36 régiment d'infanmis en congé par l'autorité terjg de marine, est nommé commis auxiliaire des iiiiiitaj postesfet télégraphes. aux appointements de ancs par an et affecté au bureau de 2.4oo Tanan du 22 juin 1900, qui suspend en Itiierjnaiela déclala faculté de rachat des prestations, est an cercle de Maevatanana à Partli»r - ,d,«15 août.

PartiredapPlicable L1 officier-adjoint du district de tsanga, est licencié pour incapacité. n anana, Offikt?bs.omotra, de Tsaratanana,est nommé classe, en remplacement de 0fficierT--11 Hj-?!-nlde3e licencié.

LaiManga, ^C d'n'linikoto pfficier-adjoint de 3e classe du QrtjOi d'Anjamavo. et Razokiny, officierSOnt éf d 3eSurclasse du district d'Andrianana, place à la 2e classe. sontélevés I(aj> sur place à la 2e classe. de ur classe du secteur 'Ile Zonoro, révoenavava'Ses en remplacement tonctions par arrêté du 5 juin dernier.

Fardé es fonctions de b ClSon locale du 20 août, de M. le chef commandant le cercle de Mani jQkaatalllon ala'ndi-ja,,., de mpikarakara du quartier b nainind "tanari est nomcvo,secteur mplkarakara d'Andramasina, du quartIer de tné rn tsoa, de RazafinanMpla idY, en remplacement de ses fonctions pour manque evoqné aHiHaiorJ atltorite rit et d'énergie. nommé gouverneur III du district P secteur d'Anjozorobe, en te Ohldraondriana, le Cercle. ment de Rainimanga, qui a quitté Re' Il du du Morafeno, gouverneur e. rar,ll,ihy, de Morafcno, gouverneur II zOrobd est Arnbohldraoodriaoa, secteur d'Anjode ses fonctions zorobe, fonclions pour révoqué Ussions .?tt.At Par décisions du 20 août, est affecté à la géomètre, élève elrcor:¡snlr, Les rlPiton de Tananarive. et Ramboa (i^1 Àndriamamonjy de 2e classe da.ns*eleIstriet ers adjoints d'Anosi-Be. du 21 août (Etat-lIfajor) .Par"'*"êté bataillon Cortial, du 3* régitira in commandant le u-^n('Salflis' est nommé au comTSiribihina, de la du cercle de Morondava. ù lent lraftger commandant Taupin, du bataillon commandement du esfmQ e nu au commandement du

Par arrêté du 22 M. le commandant colonial, est nommé cercle d'Analalava, en commandant Pizot.

août [Etat-Major], Lecreux, du régiment au commandement du remplacement de M. le

Par arrêtés du 22 août, Le nommé Ral'inosy. sous-gouverneur de la province de Fianarantsoa, est révoqué de ses fonctions pour ivresse habituelle.

Félix Andrianony, promu 9 honneurs, est nommé sous-gouverneur de 5° classe, en remplacement de Rarinosy. Il touchera en cette qualité une solde annuelle de 900 francs.

Radaniel, ancien sergent de tirailleurs, promu 7 honneurs, est nommé secrétaire de 2e classe, aux appointements de 300 francs par an.

Par décisions du 22 août, M. Mélantois, receveur des postes à Andovoranto, est désigné pour continuer ses servicesàMananjary, en remplacement de M. Cohade, appelé à servir à Andovoranto.

M. Flahaut, surveillant des télégraphes, est désigné pour continuer ses services à Maintirano, en remplacement de M. Seguin, chef d'équique, chargé de l'équipe volante opérant sur la ligne Majunga-Tananarive.

Par décision locale du 22 août, de M. le chef de bataillon commandant le cercle de Manjakandriana, Rainibao est nommé gouverneur madinika 1 de Tsinjoarivo, secteur de Tsinjoarivo, en remplacement de Rainitsaralofy, démissionnaire pour raisons de santé.

Randrianarivo est nommé mpiadidy de Lambamaitso, district d'Ankafotra, secteur de Tsinjoarivo, en remplacement de Rainimiandra, révoqué de ses fonctions pour incapacité.

Rainiboto est nommé mpiadidy d'Andrabiazina, district d'Antsiriribe, secteur de Tsinjoarivo, en remplacement de Rainiketamavo, révoqué de ses fonctions pour incapacité.

Par arrêtés du 23 août, M. Roucayrol, bachelier ès lettres et bachelier ès-sciences, est nommé commis local de 4* classe du service des domaines et affecté, en cette qualité, à Tananarive.

Est rapporté l'arrêté en date du 18 juillet 1900, nommant M. Enaut greffier-notaire p. i. à Tamatave.

M. Fortier, greffier-notaire de la justice de paix a compétence étendue de Fianarantsoa, en remplacement de M. Guevton, en congé, est nommé provisoirement greffier-notaire près le tribunal de lre instance de Tamatave.

M. Ancelin, commis des affaires civiles à Fianarantsoa, est nommé provisoirement greffier-notaire près la justice de paix à compétence étendue de Fianarantsoa, en remplacement de M. Fortier.

Des examens d'admission à l'emploi d'auxiliaire dans le cadre indigène du service topoauront lieu le 10 septembre prographique heures du matin, au bureau du serchain, a 8 vice topographique, à Tananarive.

M. Leclaire, brigadier de gendarmerie, est près la justice chargé des fonctions d'huissier de paix à compétence étendue de Nosi-Be. Par arrêté du 24 août, M. Jacquemin Octave est nommé commis auxiliaire des postes et télégraphes, aux apan, pour pointements de 2.400 francs par compter du 1er septembre 1900, et affecté au bureau de Diego-Suarez.

MM.Bergeret, Copinot, Badieet Mépoint, surveillants stagiaires des télégraphes, sont nom-

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méssurveillants locaux de 5e classe, le premier pour compter du 1er juillet 1900, les autres du 1er septembre 1900.

MM. Maurel et Corvisy sont nommésstagiaires des télégraphes, aux appointements de 2.400 francs par an pour compter du 1er septembre 1900 et affectés: le premier à Tananarive, le second à Diego-Suarez.

Par décision du 24 août, Letélégraphiste Jean-Baptiste, du bureau de Tamatave, est désigné pour continuer ses services au bureau de Tanifotsy.

Le facteur Salama est nommé télégraphiste de 5e classe, pour compter du 1er septembre 1900, et affecté au bureau de Tamatave.

L'élève Lucien Mary est nommé facteur de lre classe, pour compter du 20 août 1900, et affecté au bureau de Tamatave.

Le télégraphiste Jonas, du bureau de Maha, noro, est désigné pour continuer ses services au bureau de Fianarantsoa.

—: CARLOG MME

DE PARIS

(Agence Havas) Paris, 6 septembre.

Le général Frey télégraphie à la date du 24 août que Pékin et ses environs sont calmes, que les habitants reviennent et Il assure en que les villageois travaillent. outre qu'un édit impérial daté de TaiYen-Fou désigne Li-Hung-Chang et trois autres personnages pour négocier la paix. t

PARTIE

NON

OFFICIELLE

AVIS Bac d'Antanjona,

sur le Mangoro

Le public est prévenu qu'un bac provisoire a été installé à Antanjona, point où la route de Mahatsara à Tananarive traverse le Mangoro.

Des voitures pesant au maximum mille kilos lpoids brut) seront admises sur ce bac, aux conditions suivantes: 1° Les voitures, préalablement dételées, seront embarquées et débarquées par les soins du propriétaire, qui aura a se conformer aux indications de l'agent de l'administration chargé de la manœuvre du bac.

20 Les attelages seront passés dans les mêmes conditions.

3° La manœuvre du bac sera assurée par l'administration.

4° Provisoirement, il ne sera pas perçu de péage pour les voitures, leurs attelages et leurs conducteurs.

5° Le passage sur le bac d'Antanjona n'est accordé qu'aux risques et périls de ceux qui en feront usage. Il ne sera, dans aucun cas, admis de recours contre l'administration pour les interruptions du service ou les accideats qui viendraientà se produire.

6° Le service du bac d'Antanjona n'aura lieu que de jour, de 6 heures du matin à 6 heures du soir.

7° Les piétons, les animaux de selle ou de bât, les troupeaux continueront à passer par le bac d'Andakana.

Le bac d'Antanjona leur est interdit jusqu'à nouvel ordre.

4734

JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES NÉCROLOGIE

Le Gouverneur Général de Madagascar et Dépendances a le regret de porter à la connaissance de la Colonie le décès -de M. Denniel (Jean-Marie), en religion Frère Félix, de l'ordre de Saint-Jean-Baptisle de la Salle, subitement enlevé, le 3 septembre, par une grippe infectieuse.

Ne le 7avril 1866 à K'jrzegou, canton de Landivisiau (Finistère), le frère Félix entrait dans l'institut en 1884, à Quimper. Deux ans après, il était envoyé à Madagascar, qu'il n'a pas quitté depuis, et où il a dirigé à Tananarive, pendant les cinq dernières années de sa vie, le quartier Saint-Jean-Baptiste.

La Colonie fait une perle très sensible en la personne du frère Félix, qui fut un maître dévoué et fort aimé de la jeunesse indigène, et de plus un des bons serviteurs de la cause française dans la Grande Ile. ---1) NOUVELLES

ET

INFORMATIONS

Les numéros du Joiii-nal Officiel de la République Française arrivés par le dernier courrier enregistrent ce qui suit : Par décision ministérielle en date du 23juillet, M. le capitaine Chapuy, provenant de l'étatmajor hors cadres à Madagascar, est placé au 89 régiment d'infanterie de marine.

M. le capitaine Maroix, du 1er régiment, est nommé a l'emploi de major de la lre brigade.

M. le chef de bataillon Morel, du 138 régi ment, passe au 1er régiment de tirailleurs malgaches.

M. le lieutenant Boissonnas, du 1er régiment de tirailleurs malgaches, passe à la f08 compagnie du 2° régiment de tirailleurs malgaches.

Par décision ministérielle en date du 1er août, M. Leloutre, chef d'escadron d'artillerie, est autorisé à accomplir une année supplémentaire de séjour dans la Colonie.

Par décret en date du 3 août, M. le capitaine de vaisseau Le Do a été nommé au grade de contre-amiral (ire section du cadre de l'Etat-Major général); en remplacement de M. le contre-amiral Billard, décédé.

Par décision ministérielle en date du 3 août, M. le capitaine Schmit a été placé hors cadres et mis à la disposition du Ministre des Colonies pour servir à Madagascar.

Par décision ministérielle du 8 août 1900, Sont mis à la disposition* de M. le Général commandant en chefles troupes à Madagascar, les officiers ci-après désignés, savoir: MM.les chefs de bataillon Radisson, du j sr régiment, et Lorcho, du 2" régiment, les capitaines Chaptal, du 2e régiment de garnison; Lallemend, du 6* régiment; Demars, du 68régiment; Didrpl, du corps des disciplinaires des colonies; Reitz, du 2e régiment; Nicolay, du 70 régiment; les lieutenants Musotte, du 3e régiment; Pérès, du 28 régiment; Barbazan, du 2' régiment de garnison, et Bloin, du 3e régiment; le sous-lieutenant Lebaud, du 7e régiment.

Ces officiers prendront passage sur le paquebot partant de Marseille le 10 septembre 1900.

M. le capitaine Vacher, du 4Erégiment, et le VIII. — L'Esprit des Malgaches d'après leu1'S lieutenant Dilbufe. du 8e régiment, sont désiproverbes et dictons populaires, par GveVAZAHA. gnés pour servir à l'étaL-major hors-cadres à Madagascar.

IX. -- Relevé des observations météorolOQ1' Ces officiers prendront passage sur le paqueques faites à Tananarive [Observé bot partant de Marseille le 10 septembre 1900. toire d'Ambohidempona') pendant le M. le lieutenant Modest, du 2E régiment de Ier semestre 1900. garnison, est mis à la disposition de M. le GéX. — Positions géographiques et observé néral commandant en chef le Corps d'occupations magnétiques sur la côte ori&1' tion de Madagascar. Il prendra passage sur le tale de Madagascar, par le R- p. paquebot partant de Marseille le 25 août.

COLIN. XL — Bulletin trimestriel. * Par décision du 25 juillet 1900, le Ministre de la Marine a décerné une médaille d'honneur A partir du 8 septembre, le service de J de lre classe en argent aux nommés: presse et des renseignements sera transféré * Kerros(François-Marie), matelot de 1" classe, Antaninarenina, au bâtiment précédemmfI. gabier breveté ; Le Borgne (Vinoc-Mane), ma- occupé par le service des travaux publié, telot de lre classe, sans spécialité, et une mé- (lor étage). * daille d'honneur de 2e classe en argent aux ** nommés: Kermarec (Jean-Louis), matelotde 1re Le paquebot Djemnah, venant de Le Bihan classe, gabier breveté; (Victor-EmFrance bord est arrivé le 2 avait à son qui septembre, matelot de 1" classe, gabier breveté, 47 manuel), passagers, parmi lesquels: embarqués à bord du Nielly, qui, les 7 et 8 Pour Majunga: MM. Guyon et Lacaze,adrt1^ avril dernier, en rade de Lourenço-Marquès M M. et Mm" et Fillon : M. nistrateurs ; (Afrique du sud), se sont jetés tout habillés à MM. Diamanti, Tijoux, Roudier, ; la mer dans des parages infestés de requins, Dandrieu Jablin et Roux; LMon, secours à deux de leurs camarades pour porter Pour Nosi-Be : MM. Dupujs et Delahaye> en danger de se noyer.

Pour Diego-Suarez: MM.Lambert, capitaine Par la même décision, une médaille d'hon.» de powoe, vaisseau; Beat"v, neur de 2e classe en argent a été décernée aux Rivell, enseigne Ducros, Grelot et Douche; nommés : , Pour Tamatave : MM. Lavoisot, Colombain [Dominique], matelot de 3<\classe, chefd. de ; Ernst, capitaine; Froissard, Bij~ sans spécialité; Pupin [Arthur], matelot de 3e bataillon le docteur Brossier; Vergely, administrât^1" classe maître d'hôtel, embarqués à bord du stagiaire; Bronner, garde d'artillerie; Voyro 5 le au JII: Port d'Estaing, qui, juin dernier, des affaires M. Iluré, adjoints civiles ; des Galets (Réunion), se sont jetés tout haet M et M. et Mm" M. Collot, billés à la mer, dans des parages infestés de Prudhomme, M M. et Mm" MM.Bazin, Artieg, Moronegis ; sauver le mousse d'un navire de Bo requins, pour nemaison, Bauchot, Saulnier, gardes prIOd commerce anglais tombé à l'eau. paux de milice; Simonnot, Rembaud, Gr~ »* Simonet, Dupont, Lecler, Mimi,Dupuy, BatauJ M. le consul de France à Maurice fait con- Franceschi, Antomori et Marchand; t t'lPour La Réunion: M. Lamy, garde d'arnaître que depuis le 10 août dernier, 10 nouveaux cas de peste buboniquei dont 7 lerie; M. Marion, religieux; M. et Mill' J° suivis de mort, ont été constatés à Port-Louis. louse ; MM. Isautier, Faure, Vidot et Brunite » La 308 livraison (2e trimestre 1900) de la Le Djemnaha quitté Majunga le 3 sptede Revue «Notes et Explorations» est mise en bre, à 8 heures du matin, à destjnauO(llé Nosi-Be et Diego-Suarez. Se sont ernbarl1 vente aujourd'hui.

M. le sous-coni^ pourFrance, par Diego: Voici le sommaire de ce numéro: saire des colonies et Mme Anquetil; 'ce; I. -- Les Forêts dans les provinces de Ta- Vignoboul, garde principal de la matave et de Fenerive. Leur situa- Hackemberger, commis local des n- gf, pose0[1" c tion et les ressources qu'elles offrent, télégraphes; Palu, pour Tamatave: M. par M.JEANNELLE, garde général des ducteur des travaux publics. forêts. * ** » -II. Notessur Varaignée menavodyde MaLe paquebot Oxus, rentrant en , dagascar et la nocuité de son venin, quitté Tamatave le 3 septembre, à 4 Franc heure par le R. P. CAMBOUÉ.

Ont pris passage sur ce navire: III. -- Pourparlers avec Tsiamponde. chef l'après-midi.$e oM. l e Cap' taine d'une tribu mahafaly, par M.le chef du génie Flourin, 5 sous-officiers et 39 c raux et soldats. de bataillon TOQUENNE. ** , IV. -- Comment les indigènes choisissent leurs stC5 M.le sous-inspecteur chef du service des Peor noms et comment ils en changent, par M. l'administrateur G. JULIEN. et télégraphes a rendu compte au GOLIbi-~r V. -- Tournée dans l'Ambongo, par M. le Général que les travaux de la ligne télegrt, de Diego-Suarez marchent rapidem^^tr que BÉGOT. capitaine Outre la création du bureau d'Ill'e'ritos'ooi'l — VI. La Tradition chez les Bara, par M. le droso, a déjà été annoncée, la P qui capitaine Du BOISDELAVILLERABIL.des poteaux est terminée entre cée ImcrHn:1 e flCe VII. — Notessur l'histoire du Vakinankaratra, et Mandritsara et la pose du fil COlIV^cal^ localite M. la lieutenant JOUANNETAUD. par depuis quelque temps. Cette dernicro

JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES ainsi reliée très prochainement seau

au ré-

tantre Maroantsetra et Mandritsara, la plandes poteaux est faite sur une grande partie tationdl P^ours.

Elel-edlî parcours.

Son passageà Diego-Suarez, M.le. sousEnfin,à ctivpecteu:chefdu service a fait effectuer sur les Points de la côte la répartition du madivers tgfi "e ligne qui vient d'arriver de France; deux équipes qui opèorganisé l'enttntre gaIement une troiVohemar Antsirane et et sièn sera aussi envoyée incessamment par siènle Se„®0|. ns sur Sahambava. vient d'être donnée à l'impulsion qui APrès tout fait espérer que la pose du pre avallx, fil sel'roler reliant Tananarive à Diego-Suarez CotnPlètement terminée avant la saison seja d(e»c s Plues. il » * a obtenu, a avocat Tananarive, LO1\'eau, le23 1900, un permis d'exploiter, pendant 5 ar aout San 1.000 hectares de forêt situés près de Vodivato,cercle de Manjakandriana. * les navigateurs sont informés que le Pha à la date allumé sera d'Ambre Cap du:;r du octobre 1900.

L lepe .phare.dit du Cap d'Ambreest situé sur OInt culminant du Cap André par 46° 56' 45" de longitude 1i0 57' 20" de latitude (ces latitude et sur la étant relevées longitude carteItude carteNO4953). l'horizon entre le S 67° 0 etle S 390 e, c'a^r6 passant par le nord).

390j,^.en lentirnprend un appareil de 4e ordre avec un feu blanc donnant lentiji Catadioptrique, réguliers de 5 en 5 secondes. à écjaf du foyer au-dessus du sol est de Li hSauteur et au-dessus de la haute mer une t))o 33^»,res de 65 Safornlle est mètres. La tour est métallique, queàa ea tronconique à la base et cylindriqUe Partie supérieure. * Port de Tamatave le s \1 T jjÇg °*^ers Alcyon (19 tonneaux), venant de pener".) Furet [23 tonneaux], venant de SoaBettina[22 tonneaux], venant de Manabara.;*' Zlmo (10 tonneaux), venant de Maroantsetrà *$etr , SOntarrivés à Tamatave le 3 septembre. * ** Port de Vatomandry Le Va Entre-Rios est parti le 3 septernbreeur temb re, a destination des ports du sud. des lignes télégraphiques. * : la commuIllcauoesestdes5, 6 et 7 septembre bonne sur toutes les lignes. n ---------

VllLIAUME

MISSION d'administration l'officier Villiaume est acÏi^leiïinnf6 ^'ar^illeric ï l'île v? en mission dans le nord-ouest des iil procède à la recherche fSiserne, Où dont l'existence semEte ats houillers o.ans ces ble Jourd'hui très probable dans ions a étaM. Villiaume reprises, blidesVeISes rapports très intéressants sur ses

a travaux, qui l'ont amené incidemment sur la observations faire de curieuses et la flore anconstitution géologique cienne du pays.

Ces études ont été très appréciées par le monde savant; elles ont donné lieu, en à deux communications qui particulier, ont été faites à l'Académie des Sciences par MM. Douvillé et Zeiller, et que nous reproduisons ci-après:

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sarthacensis, Pholadomya (voisin de Ph. Voltzi et de Ph. ovulum), Pleuromya, Protocardium cf. striatulum, Eopecten (Hinnites auct.) luberculatus, Osirea cf. Beaumonli, ainsi que des dents de Sélaciens. Cette faune appartient encore au Lias supérieur comme celle d'Ambaritelo, mais elle est un peu plus récente, certaines formes ayant des affinités bl-ljociennes incontestables.. des couches !"» En résumé, l'ensemble charbonneuses de la région de Nosi-Be Sur les fossiles recueillis par M. Villiaume vient se placer dans le Lias supérieur, et dans les roches charbonneuses des envi- devrait être rapproché des couches charbonneuses du même âge, qui affleurent rons de Nosi-Be. dans les chaînes du nord de la Perse.

PARM. H. DOUVILLÉ » Ces couches avoir une paraissent assez grande extension dans l'île de Ma« M. Villiaume, garde principal d'artildagascar, comme l'indiquent les fossiles lerie de marine, a été chargé par le analogues, signalés dans la direction du Gouverneur Général de Madagascar d'exsud-ouest par M. Boule. M. Villiaume a si- été également de plorer les gisements frappé de l'analogie que combustible gnalés depuis longtemps sur les bords de présentaient certains moules de Bivalves et dans l'île de avec ceux qu'il avait recueillis dans rne la baie de Pasandava il a envoyé à l'Ecole Nationale Nosi-Be; précédente exploration bien plus au sud, recueillis par des Mines les échantillons près de Beronono, sur les bords de la rilui, et le Ministère des Colonies nous a vière Morondava. Le système des coucomme complément à cet ches de Nosi-Be viendrait ainsi tout nacommuniqué, s'intercaler entre les grès envoi, les cartes et coupes qu'il a dressées turellement et le rapport qui les accompagnait. attribués jusqu'à présent au Trias dans le » De cet ensemble de documents, il sud-ouest de Madagascar, et les calcaires nous paraît résulter que, dans toute cette dans cette fossilifères qui représentent région, le sol est constitué par des alterrégion le Bajocien et le Bathonien. nances de grès et de schistes en couches » D'un autre côté, l'ensemble des couun plongeches explorées dans les environs de Nosipeu inclinées et présentant ment général vers le sud-est. On peut Be paraît constituer le flanc oriental d'un ainsi distinguer trois systèmes de couches, anticlinal, dont l'axe serait marqué par du les affleurements de roches cristallines qui se succèdent assez régulièrement nord-ouest au sud-est : qui ont été signalés dans cette île même; » Un système inférieur formé principale- il est vraisemblable que la région du cap ment de grès blanchâtre, un système moyen Saint-André présente une disposition anacaractérisé par des schistes tendres, noirs, logue. tachant les doigts, présentant des fossiles ma» L'hypothèse, nous avions propoque rins, tandis que des lits minces intercalés sont sée de la continuité d'un pli parallèle à riches en empreintes végétales, et un système du massif central, la falaise occidentale se des dans cousupérieur, développent lequel et qui s'étendrait depuis Beronono jusqu'à ches de calcaire dur, noirâtre, fossilifère. ca» Le système moyen a fourni près d'Ambari- Nosi-Be, prend ainsi un nouveau telo une faune assez riche, dont l'âge liasique ractère et de vraisemde précision a été bien indiqué par M. Villiaume; nous blance ». avons puy reconnaître trois espèces d'Ammo(5 juin 1900). nites très voisines des formes qui, en France, * caractérisent le Lias supérieur: Amm. cf. me*• tallarius Dum., Amm. cf., serpenùnus Rein., Sur les végétaux fossiles recueillis par M. cf.

Dumortieri Thiollière.

Amm. Un Bivalve les gîtes charbonneux du Villiaume dans très répandu dans ces couches, et dont la forde Madagascar. nord-ouest me rappelle un peu celle des Unio, nous a PARM. R. ZEILLER paru se rapprocher en réalité des Gresslya. » Le système supérieur, qui se montre près de Zongoa sous forme de bancs minces assez « M. Villiaume, garde principal d'artilfortement relevés et couronnant les dépôts arénacés de la formation charbonneuse, paraît lerie de marine, chargé par M. le Général des affleuretrès fossilifère. Un fragment d'Ammonite re- Gallieni de l'exploration de la région nordcueilli par M. Villiaumeest identique à Y Amm. ments charbonneux cf. serpenlinus des couches précédentes; cette ouest de Madagascar, a recueilli, tant à du bord occiespèce est accompagnée d'un Spiriferina très Nosi-Be qu'au voisinage abondant et assez variable de forme, qui ne dental et méridional de la baie de Panous paraît pas pouvoir être distingué de l'es- sandava une série (ou Ampasindava) M. Boule, plus pèce signalée précédemment par de fossiles animaux et végéau sud (au sud-est du cap Saint-André), com- importante me également associée à des Ammonites liasi- taux, qu'il a bien voulu envoyer à l'Ecole Nationale des Mines, et dont l'étude a ques. Nous avons reconnu, en outre, Zeilleria

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JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCAREr DÉPENDANCES

H Des graines à contour ovale-lancéolé, » Au point de vue de la déterminatiol1 entourées d'une bordure correspondant vrai- du niveau, les conclusions semblablement à une enveloppe charnue (An- conduit l'examen de cette flore auxqueIle: concorde; de drahinira), semblables a certaines graines du avec celles M. Douvillé a tirées que de l'Inde, Jurassique figurées par 0. Feistmantel l'étude des fossiles animaux, reconnO sous le nom d'Araucarites Imtchensis Ci, mpis offrant en réalité tous les caractères des Cor- par lui pour appartenir au Lias supérieOfi deux ou trois espèces, en effet, peuveo daicarpus houillers. à des types » Un Sphenozamiles comparable au Sphen. être rapportées spécifiqees de soit du Lias Gcylerianus Zigno du Lias du Véronais, mais déjà connus, supérieur à folioles plus étalées et plus obtuses (Amba- l'Europe, soit du Lias de l'Inde; quaIj ritelo). Un fragment de rachis épineux d'Am- aux autres, la plupart se rapprocell baritelo, semble également devoir être rapporté sans pouvoir cependant leur être i^eI1' aux Cycadinées. tifiées, de formes appartenant au Lias 09 » Enfin, de très nombreuses Conifères, savoir: à l'Oolithe inférieure, quelques-unes se^ d'abord deux formes spécifiques de Pagiophyl- lement se montrant espèà des analogues lum, l'une à feuilles dressées, ayant quelque ces de niveaux tandis plus élevés, qll011 analogie avec le Pag. rigidum Pomel (sp.) du Corallien (Zongoa), l'autre rappelant le Pag. constate, d'autre part, certaines affini^,® Le mélangt ZignoiSap. du Lias du Véronais, mais à feuilles avec des types infraliasiques. proportionnellement plus courtes et plus obtu- des espèces, dont plusieurs se retrouvee ses (Ambaritelo) ; un Brachyph/llum, allié à dans presque toutes les localités, atestJ diverses formes jurassiques, notamment au d'ailleurs qu'on a affaire à un lllVaBr. Papareli Sap. de l'Infralias, au Br. Mo- unique, le mode de répartition des ror les reauanum Brongt. du Corallien, et au Br. nepos mes variant seul d'un à l'autre, point du Amberitelo Kimméridien(Andrahinira, Sap. et les Brachyphyllum Equisetum et Nosi-Be), accompagné de petits cônes ovoï- nant à doflj1 * les Andrahinira et Ambaritelo, des encore attachés à des ramules de petit à Nosidiamètre et dont les écailles se terminent en copteris et les Sphenolepidium » Au point de vue botanique, il un écusson quadrangulaire marqué d'une déIl Gc pression transversale tout à fait semblable à pas sans intérêt de constater l'analogls celle qu'on observe chez les Sequoia; mais la de cette flore avec celle qui peuplait 1105 de l'écusson, correspondant régions à la même époque, otservatIé portion supérieure à l'écaille ovulifère, est beaucoup plus déve- qui vient à de celles qui ont l'appui été loppée que la portion inférieure et se termine déjà faites et sur d'autres points 4 en une pointe obtusément aiguë; sauf cette tendent à établir l'uniformité ces cônes tous les preste. présentent particularité, de la flore à l'époque complète caractères de cônes de Séquoiées ; plusieurs juraS Les échantillons recueillis par e formes spécifiques de Sphenolepidium, l'une que. en outre, extrêmement voisine du Sphen. liasinum Kurr Villiaume confirment, didéjà (sp.) du Lias supérieur (Nosi-Be), une autre 4 façon formelle, l'attribution, IféC aux échan0. mais encore Heer, paraissant spécifiquement identique quée par contesta tillons du Lias de l'Inde figurés par Oldham et des Brachyphyllum aux Taxodinées- a Morris (2) sous le nom d'Araucarites (?) gra- fin l'association, reconnue à Andrahinira, cilis (Nosi-Be), une troisième à feuilles très de Goisemblables à des celles graines courtes (Marofototra et Nosi-Be), offrant, dans ,daïtées houillères avec les feuilles ses ramules et ses rameaux, la disposition des vient un arg,ualeilt Yuccites, apporter observe chez de Cudistique qu'on beaucoup des plus sérieux en faveur de rattriP d'ailleurs aussi et pressinées qu'on remarque chez certains Sphenolepidium, notamment chez tion aux Cordaïtées, simplement le Sphen. Choffati Sap. de l'Infracrétacé; un mée dans ces derniers temps, de cePr^S typé Yuccites, longtemps Go fragment de rameau plusieurs fois ramifié, à énigmatiquedes feuilles aiguës, ressemblant aux Cryptomeria sidéré comme appartenant aux Mono (Nosi-Be) ; et enfin un Thuyites à rameaux tylédonés ». , i9 comprimés, à entre-nœuds de 6mmà 7mmde (5 juin 2mmà a sur 3mmde feuilles longueur largenr, latérales à peine saillantes, rappelant quelque peu une espèce inédite du Kimméridien du RENSEIGNEMENTS ÉCONOMIQUES Bugey (Andrahinira et Nosi-Be). » Les Conifères paraissent, d'ailleurs, avoir Province de Nosi-Be joué un rôle important dans la végétation, car elles ont pris une part notable à la constitution M. l'administrateur des charbons de Zongoa chef de la prole' : liattaque de ces les renselg(11i. charbons, qui renferment une proportion appré- de Nosi-Be communique ciable de matières ulmiques immédiatement ments suivants sur la situation éconrIe solubles dans l'ammoniaque, met, en effet, en que de sa circonscription pendant à trachéides libérté de très nombreuses ponc- trimestre (1;Découvertede lignite à Nosi-Beet sur la côte 1900..j occidentale de Madagascar (Annales des Mines, 5' tuation aréolées unisériées, semblables à celles —Noticesur une explorasérie,t. VI,1854,p. 510-516).

Commerce. —Le mouvement comrt1Les Abiéet des des des Taxodinées, à Madagascarpendant l'année 1863, Cupressinées a été assez actif pendant le 2" tiongéologique E. GUILLEMIN t. parM. (ibid,6, série, X, 1866,p.277-319).tinées. trimestreE. ont (2) BUREAU, Sur la première plante fossile rapexportations porté plus particulière de portée Madagascar(Comptes-rendus,t. CXXX,p. sur 1.520 peaux de bœufs 344-348 : 5févrierîaOûi.

(1) FossilFlora of the GondwanaSystem,t. II, part. valeur de 15.600 francs et surreprésenta0' 50 kilogrC()lIe (3i Raciborski,Flora kopalna ogniotrwaluchglinek 2, pl. XIV,fig.6, 7 excl. icon.aliis\.

WO,Ite la environ de vanille Kralwwskzch, de restaient pl. VII, fig. 13,17; pl. VIII, fia. 1, 5, 6, Flora the Gondwana Fossil 1 .1, parti, qui 01 (2) System, » b ; pl. IX,fig. 1, 2 ; pl. XXVI, fig. 1, 2. de 1899, d'une valeur de 3.000 francs. pl. XXXIII,fig.1, 2; pl. XXXV,fig.1, 2. permis de déterminer le niveau des couches explorées. » Des empreintes végétales avaient été observées dans ces depuis longtemps couches: il avait été fait mention d'abord d'empreintes de Conifères, puis de troncs de Sigillaires, et ces gîtes charbonneux avaient été considérés, tantôt comme aux terrains secondaires, appartenant tantôt comme appartenant au vrai terrain houiller U). Mais ce n'est qu'au commencement de cette année que des échantillons en furent envoyés en France et les purent être exactement déterminés : premiers d'entre eux, consistant en tiges d'Equisetum, ont été décrits sous le nom dyEq. Jolyi par M. Bureau, qui les a offrir des signalés comme paraissant affinités triasiques(2), sans pouvoir toutefois en préciser l'âge avec une complète certitude. » Les empreintes recueillies par M. Villiaume proviennent, pour la grande île: d'Ampasimena, à l'entrée nord-ouest de la baie de Pasandava; d'Andrahinira et d'Ambaritelo, sur le bord occidental de cette même baie (ce sont les points les plus riches en empreintes végétales) ; de Zongoa et de Marofototra, au sud-est et au sud de la baie, dans l'intérieur des terres; enfin, pour Nosi-Be, d'Andriana. » J'ai reconnu, parmi elles, les formes suivantes : » Un fragment de penne de Fougère, appartenant au genre jurassique Scleropteris (Ambaritelo) ; de nombreux fragments de frondes d'un Pecopteris cyathoïde (Ambaritelo, Marofototra, et surtout Nosi-Be), qui paraît identifiableau Pec. exilis Phillips, et, en particulier, aux échantillons du Lias supérieur de Cracovie figurés par M. Itaciborski (31. » De très nombreux échantillons d'Equisetum Jolyi Bureau (Andrahinira, Ambaritelo, Marofototra), offrant des tiges, dont la largeur atteint 3011114 et 35mm,avec des feuilles larges de lmm, 2 à lmm,4, au nombre par conséquent d'une cinquantaine dans chaque gaine; les dents, mieux conservées que sur les échantillons rapportés par M. Joly, se montrent longues de 6mm à 12mm, effilées en pointe très aiguë. Ainsi caractérisée, cette espèce se rapproche surtout de l'Eq. veronense Zigno, des couches liasiques du Véronais. » Des feuilles rubanées à nervures parallèles, ressemblant à des feuilles de Cordaïtcs, mais à nervation plus confuse, appartenant au genre Yucciles et rappelant, les unes les Yucc. hetfangensis Sap. de l'Infralias et Yucc. burgundiacus Sap. du Bathonien (Andrahinira), les autres le Yucc. anguslifolius Sap. de l'Infralias (Ampasimena et Andrahinira).

JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCAR'ET DÉPENDANCES es autres produits exportés n'ont fait que tr Dsi.terparNosi-Beet proviennent principalement de la Grande-Terre et de la côte sudde Madagascar. Ce sont: , e rafia, pour unevaleur de—$3.150 fr.

33.100 » Le caoutchouc. écailles de tortue » 18.420 L 16.870» , acire 68 importations, qui consistent surtout en spiritueux et bimbeloterie, ont été, de PlIes, d'un tiers, supérieures à celles de la plu Pér'j e correspondante de l'année dernière.

— La population se livre Aeil-ulture. exclusivement a la culture du riz. La l'sue de ce produit, qui s'annonçait très récolt bell en février et en mars, a eu beaucoup à de la sécheresse pendant le mois d': Ir et le rendement a été, de près d'un d'av , InferIeur aux prévisions. deuelqlles indigènes viennent de demander concessions à litre onéreux, à l'effet de se desl'cr ]iv a la culture de la vanille et du café.

TERRITOIRE DU SUD commandant le ]jeutenant-colonel le Terri•toire du sud communique les rensur la suivants situation éc)gneénts cirOnOIllIque des différents cercles de sa le 2e trimestre pendant 190nscription Cercle

de Tulear ——— D — Le port de Tulear a importé, pexnxnerce. le 2e trimestre 1900, 66.840 kilogrammesant tues de marchandises d'une valeur totale de 80nt. fracs. Les principaux articles importés les f' ls tIssus, les spiritueux, la quincaillerie, alimentaires, les denrées coloniales les,atrlnes etc a exporté 01.498 kilogrammes de été Il Pfod^ij unevaleur valeur de divers représentant une 109,895divers représentant L francs. eXportations se décomposent ainsi qu'il Les Suit ; À-. fr.

15.394 k. valeur 7.738 rodu't lVants. d'anim et dépouilles 4.2484.842 k. rOduaux.

1.640•Matièrp® f la Pêche 9.133 k.

— 2.139ttuiles p ,uresà tailler.. 8.771k. k.600 93.600jets.e,tSucsvégétaux.. 22.362 Objets 335 530Ob LW»fJVeP8 996 k. de l'exportation sur l'importation est nt C e 41.191 francs. subite dans les transactions vient, Cette baisse e4Partie1 audece que le port de Tulear, très peu Point de vue des corn mnnications,a ^v°Hsé ^Privé 'Pendant deux mois de suite, de la ligne COrïlOier6 ^ajunSa-Tulear, le le paquebot paquebotqui qui PasVel le Servjce entre ces deux points n'étant et fait escale si peu de JuiD ayant ternpinuen en Inal, qu'il a été presque impossible lernps tr}a.rchtnrn.erçantsde prendre livraison de leurs tion celles à destinav etarchand' d'embarquer Aue ! extCfIeur. ceux^rfS donnés plus haut, il faut aj outer AUx soit ilenviron ajouter tonl'es donnéspIns haut, faut 80 ?es d ) de m., et 100 têtes de bétail, le Ilt 8de 0 • °ut reprélen*ant une valeur de 26.184 francs. montant des produits qui passent Quanta 1 Ur du cercle, il est assez difficile à par l'intérieur eValuer i f varie entre 25 et 30.000 francs et Port trfic sur les bœufs. ,-tara PortePrincipalement et Tanosy viennent journellement au

marché de Tulear, où les transactions sont nombreuses, quoiqu'elles souffrent beaucoup de la cherté du riz. La sécheresse pendant l'hivernage, et les ravages causés par les sauterelles ont donné des inquiétudes justifiées. Le riz atteint un prix très élevé, et les patates et le manioc ont également augmenté.

Dans l'Isalo et dans les montagnes bordant la Taheza, les indigènes s'adonnent quelque peu au commerce de la soie; les cocons sont vendus à raison de 3 francs les 1.200.

Agriculture. — Les indigènes sont, en général, de médiocres agriculteurs; cependant, depuis que la tranquillité s'est rétablie dans le pays, ils commencent à s'appliquer davantage à la culture de la terre et à l'irrigation de leurs rizières. Ces progrès sont, en particulier, très marqués dans les secteurs tanosy et bara.

La zone côtière et la région du sud ne produisent guère que du maïs, du manioc, des patates et des pois du Cap. Dans le secteur mahafaly, le terrain paraît impropre à la culture. La terre végétale est très rare, et l'eau fait complètement défaut.

Les indigènes en sont le plus souvent réduits à mettre en valeur le lit des ruisseaux, où ils cultivent principalement des patates.

Elevage. — La population en général, et surtout les Bara trouvent dans l'élevage leur principale ressource. Mais les profits qu'ils en retirent sont moindres qu'ils pourraient l'être, s'ils allaient vendre eux-mêmes leurs bestiaux sur les principaux marchés de l'île; ils se contentent, en effet, de les vendre sur place à des commerçants betsileo et ambaniandro, qui réalisent ordinairement de gros bénéfices sur ces transactions.

Actuellement, le secteur bara fournit environ 250 bœufs par mois aux marchés de Fianarantsoa et d'Ihosy.

Les chiffres du recensement ne peuvent donner une idée de la richesse du pays en bétail.

Il faudrait les tripler et même les quadrupler pour approcher de la vérité.

Industrie. — A part la construction de quelques goëlettes et pirogues, l'industrie est à peu près nulle. Quelques tissus fabriqués sur place trouvent difficilement leur écoulement, par suite de l'importation des tissus d'Europe et d'Amérique.

Jardins d'essais. — Des essais d'acclimatement ont été tentés sur le céara et le chanvre de Calcutta, dans les divers jardins du cercle.

Pour le céara, les expériences ont été faites sur deux terrains différents, l'un calcaire, l'autre composé d'humus. Dans le second cas, l'arbuste était plus arborescent, mais le manque de connaissances spéciales ne permet pas de juger de la différence du latex produit.

Quantau chanvrede Calcutta, il a pleinement réussi. Enfin tous les postes possèdent des jardins potagers qui donnent des légumes pendant 4 ou 5 mois de l'année.

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ouverte jusqu'à Benenitz, et le cours de l'Onilahy, navigable pour les grandes pirogues, même pendant la saison sèche, faciliteraient beaucoup la montée des marchandises d'échanges avec un prix de transport bien inférieur à celui qu'elles supportent par la voie de Mananjary.

Actuellement, le trafic des bœufs est assez élevé, mais la plupart des animaux vendus prennent la direction de Fianarantsoa. Les achats se font, en général, par voie d'échange.

Les importations sont très actives, elles portent plus spécialement sur les lamba, les étoffes, les marmites en fonte et la quincaillerie.

Les marchés sont fréquentés assidûment par les Bara; les plus importants sont ceux d'hohibe et d'Ihosy.

— Dans toute la région du Agriculture. sud, les cultures, celles de riz en particulier, ont eu beaucoup à souffrir du passage des sauterelles et de la sécheresse. La deuxième récolte n'a donné que la moitié de son rendement habituel.

Elevage. — Les troupeaux sont très éprouvés par le manque d'eau; la plupart des pâturages qui n'ont pas reçu de pluie depuis près de quatre mois sont desséchés ; les prix de vente du bétail se maintiennent néanmoins.

Un gros bœuf coûte de 80 à 90 francs, et un bœuf moyen de 45 à 60 francs.

Industrie. — Certains produits, tels que la soie de l'isalo, le caoutchouc, que l'on trouve en grande quantité du côté de Benenitza, ne sont pas utilisés jusqu'ici.

Il sera procédé incessamment à des essais d'éducation de vers à soie par la méthode appliquée en Provence. Actuellement, on s'occupe à recueillir des œufs par la ponte des papillons en boîtes, pour essayer l'éclosion en chambre.

Des semis d'ambrevade ont été faits en conséquence. Il pourrait y avoir là pour le pays une source de revenus très importante.

Des écoles professionnelles de menuiserie, charpente, forge, etc. fonctionnent sur plusieurs points. A Betroka, les ateliers occupent une cinquantaine d'ouvriers, tirailleurs, miliciens et même quelques Bara.

Cercle-annexe

de Fort-Dauphin

Commerce. — Pendant le 2e trimestre, les importations se sont élevées à 117.895fr. 10, dont 87.107fr. 75 pour la France, et 3.100 francs pour la Réunion.

Les importations étrangères se décomposent comme suit: Angleterre, 11.447 francs (quincaillerie, tissus, tôles) ; Allemagne, 6.777 francs (quincaillerie, librairie, conserves, beurre, bière) ; Suède, 6.240 francs (menuiserie, allumettes); Hollande, 310 francs (fromages, liqueurs).

Les importations d'origine non justifiée se chiffrent par 2.913 fr. 35; elles portent sur les des Bara Cercle « fromages, les articles de quincaillerie et de Commerce. — Le pays offre de très grandes sellerie.

Dans les chiffres ci-dessus, la France figure ressources en bétail, et des transactions importantes pourraient être entreprises soit avec pour 27.094 fr. 50 de tissus, alors que les provenances cet article ne sont des les bateaux où pour étrangères Chargeurs Fort-Dauphin, Réunis assureraient, d'une façon régulière, que de 2.440 francs seulement, exclusivement fournis par l'Angleterre. soit vers sur orientale, l'Afrique l'exportation Les importations de la Réunion se réduisent Tulear. La route carrossable, nouvellement

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à 2.800 francs de rhum et à 300 francs de sucre.

Les produits locaux exportés de Fort-Dauphin au cours de cette période s'évaluent à 46.386 francs, répartis ainsi qu'il suit: France, 1.688 francs (caoutchouc); Angleterre, 3.700 francs (caoutchouc) ; Allemagne. 8.240francs (caoutchouc, peaux); Lourenço-Marquès, 31.758 francs (boeufs, volatiles).

— Sauf dans la vallée d'AmAgriculture. bolo, les cultures de riz et de maïs ont été détruites par les sauterelles pendant le premier trimestre et au commencement du second.

En outre, une sécheresse, persistante depuis les derniers mois de l'année 1900, a nui considérablement au rendement des cultures secondaires : patates, manioc, etc.

Les indigènes du secteur côtier se sont mis au travail et ont tenté de faire une deuxième récolte dans toutes les rizières irrigables.

Quelques vols de sauterelles sont signalés actuellement dans la vallée d'Ambolo. Ils paraissent revenir du nord vers le sud.

8 VARIÉTÉS La Ramie Situation de sa culture et de son industrie en 1900 L'article ci-après est extrait du N* 56 (5 juillet 1900)de la Revue des cultures coloniales, où il a paru sous la signature de M.Ch. Rivière.

Le présent exposé, qui n'a aucun caractère didactique, n'est qu'une simple mise au point de la question à l'époque actuelle.

Les historiques et les dissertations scientifiques, botaniques, chimiques et mécaniques si souvent reproduites dans les ouvrages spéciaux en ont été rigoureusement éliminés afin de maintenir la présentation de la situation et des faits connus dans la forme la plus pratique.

En n'abordant que l'étude des principales propositions qui arrêtent encore l'emploi de la ramie dans l'industrie textile, où elle paraît devoir prendre avant peu un rôle important, peut-être établira-t-on, à l'aide d'observations précises, les conditions économiques de sa production et de son emploi. »* Depuis une cinquantains d'années l'utilisation de la ramie ou china-grass dans l'industrie, puis la culture de cette urticée sont à l'ordre du jour dans nos colonies, ainsi que dans d'autres pays, notamment dans les Indes anglaises et néerlandaises.

Pendant la guerre américaine de sécession, l'industrie européenne avait recherché cette matière textile dont la production insuffisante et le traitement difficile en arrêtèrent bientôt l'emploi.

Cependant, l'Exposition universelle de 1878 avait donné un nouvel essor à cette question, mais dans cette nouvelle phase la pratique se heurta encore aux difficultés inhérentes àla décortication et à la défibration de la plante.

On pensait devoir résoudre facilement ces problèmes à la suite de l'Exposition universelle de 1889, mais les résultats des concours internationaux ne modifièrent pas l'état latent d'une question qui intéressait cependant tout particulièrement le monde colonial et les pays

par différentes préparations, raclage, rouissaee' e ont fait séchage, etc., quileur perdre une partie de leur gomme.

L'industrie demande donc: 1° Si la culture de la ramie, qui est conne dans un centre sino-asiatique, peut en sortlre s'étendre dans des climats analogues et même plus favorables; 2° Si les procédés manuels des Chinois p®u^ vent être remplacés par des moyens plus in, dustriels, mécaniques et chimiques peu cotJ teux, tout en conservant la qualité de la fib: 3° Enfin si les frais de la culture et de lIn dustrie seraient largement couverts par j valeur du produit, assimilable au cours actU du China-grass ou même supérieure au Prl de ce dernier suivant l'état de préparation de la matière première.

Des espèces de ramie 'n Ondésigneactuellement sous le nom derafl1 deux espèces d'orties textiles, mais surto1 l'urtica nivea, ortie blanche ou china-grassAutrefois on appliquait aux deux principe espèces des termes différents. L'ortie de Chln; urtica nivea, était le China-grass, et 1'0rtl verte, urtica tenacissima des îles de la Soflû1 était connue sous le nom de ramieh ou l'amie.

Maintenant, par le terme ramie, on design en France, l'une et l'autre de ces deux espece cependant différentes.

Non seulement il y a plusieurs espèces d o ties textiles, mais il paraît y avoir des rac offrant une végétation particulière et des acl lités plus ou. moins grandes de défibratl0: Les essais faits dans l'Inde anglaise ont Pr„ senté une telle diversité de résultats, s0 comme culture, soit comme traitement ln é triel, que plusieurs observateurs ont rechrc. si la supériorité permanente du textile chiç ne tenait pas à l'espèce, à la race ou au m"ie, Cette importante question ne semble Pasré, solue, quoique beaucoup de voyageurs, d aé teurs et d'observateurs ne co ntestentpas l'.uo. de l'espèce cultivée par les populations ln 01 chinoises. Cependant, il peut y avoir làtltio erreur préjudiciable pour la question ë®De^t,e vt de de la ramie envisagée au double point agricole et industriel.

11013 Sans nier I influence des climats sm 3it plante cultivée depuis des siècles, on au peut-être tort d'attribuer dans tous les casles changements de faciès et les résultats ®c° iniques différents aux seules variations de g pèce. On pourrait être en présence de place différentes avec leurs caractères Pr0Pres, ce qui le ferait supposer, ce sont les appréciaeiltre, diverses résultant des essais multiples pris un peu partout.

30S Ainsi, il n'est pas rare de voir signaler certaines régions la floraison constante , ramie, dont les tiges ne s'allongent pasî .|jc très fois, cette ortie est à l'état de brouss très ramifiée, impropre au décorticage, pS fois encore, cette plante resterait quelque te sans produire la moindre végétation etc. es Actuellement, la question se pose ainsi: Il a y quelque vingt-cinq ans, ces reina aneS La ramie (China-grass), fournie par les Chiles avaient le trouble chez déjà jeté nois aux manufactureseuropéennes, est insufCu iti vatouo une espèce nl tOot dans la ramie qui voyaient fisante pour leurs besoins; les cours en sont d Hp à et connue de toute antiquité l'abri tout mais souvent élevés. variables, de doute identité sur son ; cependant, ; cependant, Cette matière arrive sur nos marchés à l'état doute sur son identitédeux auteurs avaient espèces Princi.p8, signalé de lanières qui ont été obtenues manuellement les et même conseillé indistinctement lell (t) Les corpsagglutinatifsont été décritspar Frémy: turer des cesontla cutose,la vasculose,et la pectose,qu'il faut dissoudreou précipitersansattaquerla calluiosefibrique. Il est évident que la véritable plante

intertropicaux à la recherche de cultures nouvelles.

Il est évident que la nature toute particulière des matières agglutinatives difficilement solubles qui emprisonnent les fibres dans les couches corticales présente aux traitements mécaniques et chimiques, exigés pour les extraire et les dégommer, des obstacles réels d'ordre technique et économique. De là l'invention de procédés les plus divers qui jetèrent le trouble dans l'esprit du cultivateur et du manufacturier (1).

On en était arrivé à conclure, peut-être logiquement, que puisque la ramie ne se prêtait pas avec facilité à une préparation parfaite et économique, sa place n'était pas particulièrement indiquée dans l'industrie suffisamment alimentée avec les principaux filifères connus, chanvre, lin et coton. En résumé, on n'avait pas besoin d'un textile nouveau, cher, d'utilisation difficile, peut-être égal au lin, mais inférieur à la soie.

Telle était en effet la situation de la ramie, devant l'industrie française tout au moins, tant que la production du chanvre et du lin suffisait à ses besoins.

Mais très sensiblement cette situation s'est modifiée en Europe, puis sur notre territoire ces cultures ont périclité, et en outre on s'est demandé sagement si aucun obstacle ne pourrait un jour entraver dans la Métropole l'emploi du coton que nos possessions coloniales ne produisent pas soit par des causes climatériques, soit par l'insuffisance de la main-d'œuvre.

Les matières textiles, pour des causes diverses, pourraient manquer et déjà la culture du lin et du chanvre disparaît en France malgré les primes offertes et payées, qui se sont élevées à 2.500.000 francs, soit 92 fr. 50 par hectare, pour l'année 1899.

La France devient donc tributaire de l'étranger pour tous les produits filifères employés par ses manufactures et l'on recherche alors si nos colonies, où les cultures productives sont loin d'être précisées, ne pourraient pas fournir aux usines métropolitaines la ramie, qui paraît être désignée comme matière première de grande utilisation.

Des raisons analogues paraissentguider d'autres nations dans la recherche de l'emploi de la ramie. Toute l'agriculture coloniale pense que la pérennité de cette plante et sa facilité de culture permettraient de lutter dans certains cas et pour beaucoup d'articles contre le coton annuel et, d'autre part, les industriels espèrent trouver dans ce textile tout à la fois une solidité et une qualité exceptionnelles.

La situation semble donc se modifier avantageusement du moment que la ramie correspond maintenant à un besoin réel devant lequelles quelques obstacles de défibration complète et facile ne sauraient résister.

Leseul nœud dela question est là: la nécessité et la place de la ramie dans l'industrie textile.

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-

Dois, le China-grass, employé par l'indusanglaise principalement, est une espèce te. t - Piquede grande valeur, qui a sa place marquéedans certains climats, à forme tempérée dans certainsmaisclimats, à forme tempérée en prinon ne saurait poser c: aiIlrnent, cpe qtie cette plante puisse quitter ce milieu pour descendre, sans se modifier, cli j^érique les zones interlropicales chaudes et hudans Mides. se trouve donc en de présence L'ngrictilture différentes, bien. caractérisées et assez Pla à l'heure actuelle pour pouvoir leur ®tud lees un rôle économique en les plaçant as.^îer les véritables milieux à leur convenance. dans Pllt attribuer à l'ignorance de ces données de agricole et climatologique de degéographie rnreux insuccès et des appréciations erroné Ou contradictoires sur la valeur de la l'aes. fa[Ille;,aussi convient-il, sans entrer dans une de les dissertation préciser botanique, dengue dox types, véritables espèces à notre avis, qui PIen servir de base à la plantation et à l'exde la ramie dans les deux grandes lOnes, alton fl r - 1tempérée et chaude.

'-'CIS aellXespèces sont: ca nivea Bœhmeria), ortie blanche, et des Anglais; a'grssvrlica 2" Verte utilis ou tenacissima (Bœhmeria), ou ramieh de Java et de l'archipel ind,le ten. cr Pentes, ainsi que le démontrent les desn'onons sommaires consignées ci-dessous, une végétation de même nature et SOntPas donc destinées à des milieux différents. sont decCe e qll soit, la diversité de détermination urtlcées, on se trouve indubitablement de devant espèces plutôt plutôt que devant deux espèces sence de deux ere-cesri leees, de l'une ou de l'autre. Dans tous lesccaarlete s, le point qui nous intéresse, puisqu'elles les qualités c'est l'utilisation différentes, ont es e ces deux plantes quand elles sont dans leur véritables milieux. L'une vivant dans Chaud es zones tempérées, l'autre dans les zones c'est reconnaître à la ramie en génél'alues, aIre d'extension culturale beaucoup Plus plusune Spande.

(A suivre).

-------FÊTE

MALGACHE donnée place de Mahamasina del a 9 septembre, à l'occa8iott ^ain du ,dl^anche, retour du Gouverneur Général. indigène a tenu, à l'instar de e qiPaOPlO? déjà été fait par la colonie européenne, qui a an Gouverneur Général la satis? liaoifeSler nie. que lui cause son retour dans la Colode fêtes et réjouise d'organisation qui s'était constitué à TanaTlill'h':D M--. à Tamatave du GéIl,él'iildaosdu débarquement iliOnd lheOl, a obtenu en peu de temps l'adhébesde la plupart des districts de l'Imerina.

K0t>de î Plupart dansesdes et districts des divertissements de Hmerina. de lill 'Ie s x,som des aUront auront lieu demain dimanche dans SUrla place de Mahamasina, et l'on près 1 1>f:Ut à cette journée le prédire si aintenant, succès, en raison de la foule conPl rill nt es qui viendront de tous POinde algaches la région pour prendre part à la *a î^estati les alton. tepointsde p le Journal Officiel redont des lus traduction, est d'ailleurs attrlfy01^ attrayants.

re

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PARTIE

à 8 heures Matin, 1. — Rassemblement des habitants des provinces et des cercles à Mahamasina, à 8 heures précises. Organisation de divers jeux. Les commissaires et tous les sous-gouverneurs assureront l'ordre public.

2. — Al heure de l'après-midi. Départ du cortège pour se rendre à la rencontre de &. le Gouverneur Général.

Ordre du cortège : a. - Gouverneurs principaux et adjoints b. — Fonctionnaires de chaque service c. — Lanciers d. — Hommes vêtus de lamba en soie rouge e. -- Tsimando et chanteuses f. — Officiers hova g. — Dames en grande toilette h. -- Musique

he PARTIE 1 Groupement de jeunes filles de Tananarive sur la route d'Amparibe et au passage du Général.

La tête du cortège s'écartera en avant et sera immédiatement remplacée par ces filles, qui seront rangees 6 par 6, et jetteront des fleurs en chantant tout le long de la route jusqu'à Mahamasina.

2 heures à 2 h. 5. — A l'arrivée du Gouverneur Général à la tribune, la musique de la milice jouera la Marseillaise.

2 h. 5 à 2 h. 10. — A l'issue de la Marseillaise commenceront les jeux aux tambours.

2 h. 10 à 2 h. 15. —La musique et les danses des anciens viendront ensuite. Tout le monde sautera sur place en signe de joie.

Des clairons donneront le signal du silence.

2 h. 15 à 2 h. 45,--- Visite du Général aux emplacements occupés par chaque province ou cercle. Cinq minutes à chaque emplacement. Tout le monde pourra chanter ou jouer à son aise, au moment de la visite du Général.

IIIe

PARTIE

2 h. 45. — Retour du Général à la Tribune.

3 h. à 3 h. 15. — Concours des jeunes tilles. Une jeune fille de chaque province sera choisie parmi les plus belles et les meilleures danseuses et parée de bijoux, de perles et de fleurs, et sera suivie de 10 chanteuses.

PRIX : 1" - 5 francs 28 -- 4 » 3' — 3 » 4a — 2 » 58 — 1 » 3 h. 15 à 3 h. 25.--- Courses d'échasses. 2 garçons de chaque province [2 tours de pisle}.

PRIX : 1er --- 5 francs 2e — 2 fr. 50 3 h. 25 à 3 h. 30. — Jeu à la corde. 2 hommes et 2 femmes de chaque province, 20 joueurs de chaque côté.

Chacun sera porteur d'une orange, et tous les fruits seront mis dans une soubides deux groupes qui tirera le plus fort aura la soubique d'oranges. que; celui— Buffet.

3 h. 30 à 3 h. 40.

IVe

PARTIE

3 h. 40 à 3 h. 55. — Danse des anciens. a. — Ambohijafy (Imerina centrale) b. — Danse (Commune de Tananarive) c. — Chant (Société d'Antsahondra) 3 h. 55 à 4 h. 5. — Courses de filanjana à un seul brancard. province (Un demi-tbur de piste).

PRIX : 1'1' — 5 francs 2' —2 fr. 50

Un filanjana complet par

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4 h. 5 à 4 h. 20. — Danses. —Manjakandriana, Ambatolampy, Arivonimamo. 5 minutes pour chaque danse.

4 h. 20 à 4 h. 30. u- Course de cabrioles. 3 hommes pour chaque province (Un demi-tour de piste).

PRIX: 1er — 5 francs 2* —2 fr. 50 4 h. 30 à 4 h. 40. — Course d'hommes costumés en bêtes, avec obstacles. 2 hommes pour chaque province. f PRIX : 1er — 5 francs 2e — 2 fr. 50 4 h. 40 à 4 h. 50. — Danses. Province de Tananarive et commune, 4 h. 50 à 4 h. 55. — Luttes à bras le corps U lutteur pour chaque province).

PRIX:

3 francs

4 h. 55 à 5 h. 15. — Danses malgaches —Manjakandriana, Arivonimamo, Ambatolampy.

5 h. 15 à 5 h. 20. — Orchestre des joueurs de harpes malgaches tvaliha).

5h. 20à 5h. 40. — Danses de tsimando et de lanciers.

5 h. 40 à 6 h. — Quadrille malgache IToamasina) : 8 hommes et 8 dames de chaque province. ciles des hommes de l'art sous la direction desquels il les a exécutés.

Les certificats délivrés par les hommes de l'art sont joints à la note.

DEMADAGASCAR COLONiE Le déclaration et les références devront être DIRECTIONDES TRAVAUXPUBLICS adressées, un mois au moins avant l'adjudication, à l'inspection générale des travaux publics au Ministère des Colonies les pour perCONSTRUCTION DE CHEMIN DE FER. sonnes qui désirent soumissionner en France, ou au directeur des travaux publics de MadaLigne d'Anivorano au Mangoro gascar, à Tananarive, pour celles qui désirent soumissionner à Madagascar.

Les déclarations et références déposées en ET MAÇONNERIES TERRASSEMENTS France seront examinées par une commission de cinq membres nommée à cet effet par le Ministre des Colonies. Cette commission, comADJUDICATION EN DEUX LOTS de l'inspecteur général des travaux paA Paris, dans la salle des séances de la com- posée des colonies, de trois membres du comission des marchés, rue Jean-Nicot N° 4bis. à blics des travaux publics et d'un inspecteur 2 heures 1/2 de l'après-midi, le 19 octobre mité des colonies, arrêtera la liste de? entrepreneurs 1900; admis à seront concourir en France. direcqui bureaux de les la dans A Tananarive, Les déclarations à et références du déposées 5 heures à travaux 1/2 des tion publics, seront examinées par une comMadagascar 1900.

19 le octobre soir, mission de trois membres nommés à cet effet le Gouverneur Général.

Cette commission, par en il sera 19 Le octobre 1900, procédé, du directeur des travaux publics, indicomposée heures et séance publique, aux endroits d'un ingénieur ou officier du génie et d'un qués ci-dessus; arrêtera la liste des entreprefonctionnaire, des commission marches; A Paris, par la admis à neurs seront concourir à Madaqui sera commission la qui A Tananarive, par gascar. nommée à cet effet; la Notification de décision de la commission sur au lots deux rabais, A l'adjudication en sera faite aux intéressés par le président. de terrassetravaux des soumissions cachetées, — Forme des soumissions ments et de maçonneries du chemin de fer II. d'Anivorano au Mangoro.

Les soumissions devront être conformes au Ces travaux sont évalués comme suit: modèle ci-après; les rabais fractionnaires 2elot 1tTlot sont interdits; toute fraction de centime sef. 2.051.000f.

Travaux à l'entreprise 1. 164.000 rait. le cas échéant, comptée pour un centime.

269.000 136.000 Sommes à valoir.

Toute soumission qui ne sera pas accompa1.300.000 2.320.000 gnée du récépissé de versement du cautionneTOTAL. ment provisoire ou qui ne sera pas conforme au modèle sera déclarée nulle et non avenue.

30.000f.

19-OOOf. 30.000f. !9.000f.

Cautionnementprov soire III. — Envoi des soumissions 60.000 38.000 L'ouverture des soumissions des concurrents Cautionnement tu définiadmis à soumissionner aura lieu le 19 octobre DE L'ADJUDICATION1900, simultanément à Paris, dans la salle des PRINCIPALES CONDITIONS séances de la commission des marchés, N° 4bis, rue Jean-Nicot, à 2 heures et demie de io Admission à l'adjudication de la midi, et à Tananarive, dans les bureauxl'aprèsNul n'est admis à concourir aux adjudica- direction des travaux publics, à 5 heures et indiquant demie de l'après-midi. tions s'il ne produit une déclaration Les soumissions, placées sous enveloppes son intention de soumissionner et ses référencachetées, pourront être adressées par lettres ces.

Les références consistent en une note éma- recommandées ou remises directement avant nant du candidat et énonçant le lieu, la date,a l'adjudication, soit au président de la commission des marchés N° 4bis, rue Jean-Nicot, Paris, la nature et l'importance des travaux qu'il et domiles ainsi qualités par les personnes ayant déclaré vouloir souque noms, exécutés, RÉPUBLIQUE FRANÇAISE LIBER TÉ- EGALITÉ - FRATERNITÉ

missionner en France, soit au directeur de travaux publics à Tananarive pour celles ayall déclaré vouloir soumissionner Il Madagascar Le délai de réception des soumissions pa lettres recommandées cessera la veille de 1'3d judication à 5 heures du soir.

L'enveloppe l'eotr eStérieure de ces lettres devra indiquer prise à laquelle se rapporte la soumissionla' l'enveloppe intérieure portera le nom et dresse du soumissionnaire.

A la séance d'adjudication, sera déclare adjudicataire provisoire, sous réserve des résultats obtenus dans l'autre lieu d'adjud:; tion, le soumissionnaire qui aura fait J'O 5 d'exécuter les travaux aux conditions les plu ,avantageuses.

17. — Prescriptions spéciales en Cas rabais égaux Si le rabais le plus fort est souscrit palt plusieurs soumissionnaires, il sera ouvera séance tenante, par chaque bureau, un nouvs concours, mais entre ces soumissionnai seulement. e ve Les rabais de cette nouvelle adjudication, pourront être inférieurs à ceux de la pren)lert; Ils pourront être faits en centimes; toute fraction de centime serait, le cas échea» comptée pour un centime. 're Si les soumissionnaires se refusaient à. faMs de nouvelles offres ou si les prix demo, à ne différaient pas encore, il serait procédé un tirage au sort entre ces soumiss*onaire s» Le résultat de l'adjudication à Paris se transmis télégraphiquement au Gouverne Général de Madagascar..

En cas de rabais égaux consentis à Paris et à Tananarivepar les deux adjudicataires Plo' visoires, il serait procédé a Tananarive aP(][$1 tirage au sort entre ces soumissionnaires leo Qi une séance publique qui se tiendrait octobre 1900.

Oil Il serait procédé de même dans le 0it des rabais egaux seraient offerts à la Prcea°Sj^an,ts adjudication par deux soumissionnaires ire l'un des bureaux et par un soumission dans l'autre. „,ir n Les réadjudications n'auront de valeur pUt la désignation de l'adjudicataire dpfiOlt. qdÍ' si la comparaison des offres faites aux iUpoé cations primitives simultanées n'a pas adj,ajl'a de la de résultat permettant désignation judicataire.

7. - Résultat définitif de l'adjudicgtio'n Les adjudications et réadj tidications 50tIeLit t bordonnées à l'approbation du Gouver Général de Madagascar. délaÍ le Si l'adjudicataire n'a pas versé dans taot la prescrit le cautionnement définitif, le [0.01, àtant du cautionnement provisoire est acquIS Colonie.

71. — Frais à la charge de l'adjudica& le Les adjudicataires versent à la trésorefie montani des frais du marché. dire/:' le Ces frais, dont l'état sera arrêté par diret, , teur des travaux publics, comprendrondll frais d'expédition du cahier des cb3:rge, de* bordereau des prix, du détail estimatIfe af le autres pièces expressément désignées cahier des charges, ainsi que du procès d'adjudication et des droits d'enregi^eU eo, tels qu'ils résulteront des lois et règlelIle vigueur. a,lJ1.

— VII. Communication des pièces entrepreneurs oMs Les pièces du projet seront cornrn,,,iq leS aux entrepreneurs tous les jours, excep r dimanches et jours fériés: A Tananarive, dans les bureaux du I

JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES de de 8 heures publics MADAGASCAR ET DÉPENDANCES à fi h avauxdu matin etMadagascar, de 2 h. 1/2 à 5 h. 1/2 du du Soir heures CURATELLE Kén^aPîS, dans les bureaux de l'inspecteur vacants et biens aux successions des colonies, de 10 helerades travauxpublics heiipp et de 2 heures à 6 heures du soir. à midi du AVIS Les reces à dossier peuvent également être dans les bureaux du cheêféesserviceTamatave des travaux publics.

Le receveur de l'enregistrement et des domaiU LJ cahiers des charges est nes, curateur aux successions et biens vacants, Un exemplaire des déposé à Majunga dans les bureaux informe les intéressés qu'il a appréhendé ductrnent ef du service des travaux publics. comme vacante la succession de la dame Aurélie Adam, décédée le 28 août 1900à Tamatave.

MODÈLE DE SOUMISSION Les créanciers de cette succession sont priés de déposer au bureau du curateur leurs titres fai- et factures. et demeure) prénoms salisig.né (nom, élection , après avoir sant e ectIn de domicile à«t Pris le 30 Août 1900.

Faità Tamatave, de toutes les pièces du projetd connaissance Le Curateur, du is travaux faisant l'objet de l'adjudication l'exécution des terrasA. LOTA. 1900, pour semefCtohre e lot du chedu maçonneries tnia de toin s etfer d'Anivorano au Mangoro, a et engage 80,1 mets les rUts travaux conformément aux çxéem P "l'&..I!!!!iJ du cahier des charges généraleset Ions RÉQUISITION N* 1090 * cahier des charges spéciales eet lot, 'eskcp !n ets ce, moyennant un rabais de Suivant du M. 1900, réquisition 17juillet Dupont les à la série de prix portés prix, Alfred, commerçant, agissant au nom de sa fille d'a,Dr>Sur a été établi le détail estimatif Ilfrida-MargueriteDupont, en qualité d'emphytéote, laquelle s'éleva 1 somme de doraicilié a Andevoranto, a demandé l'immatricuengage en ont la * payer les frais d'impression à lation, au nom des nommés Rasambv, Ratsimamoenoutre, et Ramampo,en qualité de propriétaires, d'une lika du cahier des j génécharges l'ale eernplares il a déclaré vouloir donner le à laquelle propriété des la de charges spéciales, raies 'j cahier nom de Mereare, consistant en une maison d'haprIX et du détail des estimatif, pro- bitation, située à Andevorante,avenue R. cès-ve es d'ouverture des plis et d'adjudicaCette propriété, occupant une superficie de trois llx frais de ares, est limitée: timbre e la soumission, ainsi que les Au Nord, par la rue N*6 ; sOl101i. e.t d'enregistrement auxquels la présente l'avenue C : donner lieu, si elle est A l'Est, Pourra par sot,is SIn accePtée Au Sud, par la propriété dite: Vohimaçina, réFait à le 1900. quisition N*320T ; A l'Ouest, par la propriété dite: l'Hermitage, ré(Signature). quisition N*905.

-----Le requérant déclare qu'à sa connaissance il n'existe, sur !a dite propriété, aucune charge ni '!tte du 13eRégiment d'Infanterie do Marine aucun droit réel immobilieractuel ou éventuel, autres qu'un bail emphytéotique d'une durée de 60 ans en faveur de Mil.Ilfrida Dupontpar les nommés Rasambv, Ratsimamolikaet Ramampo.

PROGRAMME Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef es 9 et jeudi 13 septembre 1900 au 4 octobre 1900,à 8 heudu service topographique anche Place res du matin.

Jean-Laborde,de4 h. 1/2 à5 h. 1/2 de la propriétéfoncière LeSous-Conservateur à Tamatave, Rome Re(Pas SOUvenir de LOTA. MNNEREAU '» MONNEREAU ?doublé) des^es FANGATAHANA N" i090 Moissonneurs.

Y -te LelIetour TJuf ?ur Moissonneurs.L. GREGH ¡40 PANQUETTE lIip-lIip Noho nv fangatahana tamin' nv 17 juillet 1900, PLANQUETTE BRu a [Mazurka] M. Dupont Alfred mpivarotra, manao ho an' nv Le Chef de musique, zanany vavv IIrrida Marguerite Dupont, manao amin' ny maha-mpanofa maharitra azy, monina ao RIPOLL. Andovoranto, nangataka ny anoratana amin' ny --------Rejistry nv Fanjakana, amy ny anaran-dRasamby, sv Ramampo tompon' ny tany izay Ratsimamolika THÉATRE MUNICIPAL nambarany sy tiany nomena anarana hoe: Mercure, misy trano ntoerana, ao Andovoranto,lalana Samaedl 8 Septembre avenue R; Izany tany izany dia misy telo ares ny habeny; LES no faritra aminv : izao arr MOUSQUETAIRES DE LA REINE NT Avaratra, dia ny lalana rue No6; en 3 actes Nv Atsinanana,diany lalana avenue C ; Opéra-comique tany atao hoe: Vohimarina, Ny Atsimo. dia nv T; ^'•ttanche 9 Septembre fangatahana N*320 Ny Andrefana, dia ny tany atao hoe: l'Hermià prix réduits tae, fangatahana N*905. nelilésentatioia fa araka ny fahafanNy mangataka manambara, fananana tany voalaza izany, amin' izany EDGARD tarany ny ET SA BONNE dia tsv misv natao anto-javatr' oiona, ary tsy anaComédieen 1 acte nan' olon-kafa, na ankehitriny na amin' riy ho avv. fanofana maharitra 60 taona tamin' i MU. nv afa-tsy :tt:.

Ilfrida Dupont neken-dRasamhy sy Ratsimamolika --. arv Ramampo. en 1 acte io tany io diaefa OPéra-comique Ny andro namaritana naraikitrv M. Ie chef du service topographique, amin' ny 4 lIardl if Septembre octobre i900, amin' ny 8 famantaranandro maraina.

A ny Mpitahiryny amin'ny fanananatany Nylefitrv BELLE HÉLÈNE ao toamasina, OPéra-bouffe en 3 actes LOTA.

4741 N* 1091 RËQUlSITION

Suivant réquisition du 18juillet 1900,Marie-Eveline Delainé, épouse de M. Alfred Dupont. agissant en qualité d'emphytéote, domiciliéeà Andevoranto, a demandé l'immatriculation, au nom de Drahimanana fils, en qualité de propriétaire, d'une propriété à laquelle elle a déclaré vouloir donner le nom de vénus, consistant en une maison d'habitation, magasin en tôle, cour et dépedances, situés à Audevoranto rue N*7.

Cette propriété, occupant une superficie de dixhuit ares et divisée en deux parcelles, est limitée: 1" Parcelles: Au Nord, par la rue N*7 ; A l'Est, par l'avenue B ; Au Sud, par la Missioncatholique; A l'Ouest, par l'avenue A. 2* Parcelle: Au Nord, par concession Dolphin; A l'Est. par l'avenue D; Au Sud, par la rue N*7 ; A l'Ouest, par l'avenue C. Le requérant déclare qu'à sa connaissanee il n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ni aucun droit réel immobilier actuel ou éventuel, autres qu'un bail emphytéotiqued'une durée de 99 ans consenti en laveur de M*" Marie-Eveline Dupont.

Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef du service topographique au 8 octobre 1900,à 8 heures du matin.

Le Sous-Conservateur de la propriétéfoncière à Tamatave, LOTA. FANGATAHANA N* 1091 Noho ny fangatahana tamin' ny 17 juillet 1900, MariaEveline Delaine, vadin' i M. Alfred Dupont, manaoamin' ny maham-panofamaharitra azy, monina ao Andovoranto,nangataka nv anoratana amin' ny Rejistry nv Fanjakana, fa amin' ny anaran' i Drahimananazanany. ny tany izay nambarany sy tiany nomena anarana hoe: vonu*, misy trano fonenana, magazay fanitso, tokotany sy ny momba azy, ao Andovonnto, rue N. 7.

Izany tany izany dia misy valo ambm' ny folo ares ny habeny, ary mizara roa izy; ary izao no faritra aminy: Voalohany: Ny Avaratra, diany lalana N.1 ; Ny Atsinanana, dia ny làlana avenue B ; Ny Atsimo, dia ny tanin' ny Mission Catholique; Ny Andrefana, dia ny làlana avenue A; Faharoa: Ny Avaratra, dia ny tany concessionDolphin ; Ny Atsinanana, dia làlana avenue D; Ny Atsimo, dia ny lalana rue No1 ; Ny Andrefana, dia nv lalana avenue C. Nymangataka manambara, fa araka ny fahafantarany ny amin' izany tnnanana tany voalazaizany, dia tsy misy natao anto.javatr' olona ary tsv ananan' olon-kafa, na ankehitriny naamiu' nv hoavy, afatsy ny fanofana maharitra 99 taona, nekena tamin' i Mil"MarieEveline Dupont.

Nyandro hamaritana io tany io dia efa naraikitry M. Ie chef du service topographique, amin' ny 8 octobre i900, amin' ny 10 famantaranandro maraina.

Nylefitryny Mpitahiryny amin' ny fananana tany, ao Toamasina, LOTA. N" 1092 RÉQUISITION v

Suivant réquisition du 17 juillet 1900, M. Dupont Alfred, commerçant, agissant en qualité téote et d'héritier de M. Melidor Dupont,d'emphydomicilié à Andevoranto, a demandé l'immatriculation au nom du nommé Ratrimo, en qualité de propriétaire, d'une propriété à laquelle il a déclaré vouloir donner le nom de intarissable, consistant en une maison d'habitation, magasin, r.ases malgaches, de vanille et café situés à Ampaslmanoplantations fotra.

Cette propriété, occupant une superficie de un hectare vingt ares, est limitée: Au Nord, par le village d'Ampasimanolotra : A l'Est, par la rivière Rianila ;

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JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES

Au Sud, par des terrains domaniaux ; A l'Ouest, par des rizières.

Le requérant déclare qu'à sa connaissance il n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ni aucun droit réel immobilier actuel ou éventuel, autres qu'un bail emphytéotiqued'une durée de 20 ans renouvelableconsenti en faveur de M. Melidor Dupont.

Le bornage provisoire a été fixé par M.le chef du service topographique au il octobre 1900, à 8 heures du matin.

LeSous-Conservateur dela propriétéfoncière à Tamatave, LOTA. W 1092 FANGATAHANA Nohony fangatahana tamin' ny i7 juillet 1900, M. Dupont Alfred, mpivarotra, manao amin' ny maha-mpanofamaharitra azy sy mandova an' i M. MelidorDupont,moninaao Andovoranto,nangataka nv anoratana amin'ny Rejistry ny Fanjakana, amin* ny anaran-dRatrimo, tompon' ny fananana tany izay nambaranysy tianv nomenaanarana hoe: Intarløøable, misy'trano fitoerana. magazay, tranon' ny Malagasy,voly vanily ary kafé, ao Ampasimanolotra.

Izanytany izany din misyiray hectare sy roa-polo centiares nvhabeny; ary izao no faritra aminy: NyAvaratra, dia ny tanàna Ampasimanolotra; Nv Atsinanana,dia'ny renirano Rianila; Nv Atsimo,dia ny tanim-panjakana : Ny Andrefana,dia ny horaka (tanimbary).

Ny mangataka manambara, fa araka nv fahatantarany ny amin' izany fananana tany voalazaizany, dia tsv misy natao anto-javatr'olona. ary tsv ananan' olon-kafa.na ankehitriny na amin' hy no avv, afa-tsvny fanofanamaharitra'amin'ny 20 taona, azo havaozina, nekeny tamin' i M. MelidorDupAnt. Nvandro hamaritanaio tany io, da efa naraikitrv M. le chef du service topographique, amin' ny 11 octobre 1900,amin' ny 8 famantaranandro maraina.

Ny lefitrynyMpitahiryny amin'ny fanananatany ao Toamasina, LOTA. RÉQUISITION N*1093 Suivant réquisition du 10 juillet 1900, Rajaona, indigène commerçant, domicilié à Vatomandry, a demandé ]'mmatriculation, en qualité de propriétaire, d'un propriété à laquelle il a déclaré vouloirdonner !e nom de TsiaEompaniry, consistant en un magasin en tôle et une case en pail!e situé à Vatomandry, rue Latour-d'Affaure.

Cette propriété, occupant une superficie de un are vingt-huit centiares environ, est limitée: Au Nord, par la propriété Razava ; A l'Est, par la rue Latour-d'Affaure; Au Sud, par la propriété Razafy: A l'Ouest, par le boulevard.

Le requérant déclare qu'à sa connaissance il n'existe, sur la dite propriété, aucune chargeni aucun droit réel immobilieractuel ou éventuel.

Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef du service topographique au 5 octobre i900, à 8 heures du matin. dela propriétéfoncière Le Sous-Conservateur à Tamatave, LOTA. No1093 FANGATAHANA Noho ny fangatahana tnmlnny 10 juillet 1900, Rajaona, malagasy mpivarotra, monina ao Vatomandrv,nangatatia ny anoratana amin' ny Rejistry tany izay ny Fanjakana, fa izy no tomp:m' ny Tsiaeomanaranahoe: nambaranvsv tianv nomena paniry, misy trano magazay tanitso sy trano fontsy iray, ao Vatomandrv,rue Latour-d'Affaure.

Izany tany izany dia misy tokony ho iray are sy valo amby roa.polo centiares ny habeny; ary izao no faritra aminy: Ny Avaratra, dia ny fanin-dRazava; NyAtsinanana,dianylalanarue Latour-d'Affaure; Ny Atsmo, dia ny tanin-dRazafy: Ny Anùrefana. dia ny lalana Roulevard.

Ny mangataka manambara, fa araka nv fahafantarany ny amin' izany fanananatany voalaza izany, diatsymisy nataoanto-javatr' olona,ary tsy ananah' oIon-kafa, na ankehitriny na amin' hy ho avyj Ny andro hamaritana io tany io dia efa naraik'i-

try M.le chef du service topographiqueamin' ny o octobre i900, amin' ny 8 famantaranandro maraina.

NylefitrynyMpitahiryny amin'nyfanananatany ao Toamasina, LOTA. N*1094 RÉQUISITION Suivant réquisitiondu 10juillet 1900, Ramanana, femme indigène, commerçante, domiciliéeà Vatomandry, a demandé l'immatriculation,en qualitéde propriétaire, d'une propriété à laquelle elle a déclaré vouleir donner Ip.nom de Maaoandre, consistant en une case en tôle situéeà Vatomandrv,rue Latour-d'Affaure.

Cette propriété, occupant une superficie de quatre-vingt-seizecentiares, est limitée: Au par la propriété dite: AmbohitsoaII, Nord,N. 1095; réquisition Al'Est, par la rue Latour-d'Affaure; Au Sud, par la propriété Zafilahy; A l'Ouest, par le boulevard.

La requérante déclare qu'à sa connaissance il n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ni aucun droit réel immobilieractuel ou éventuel.

Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef du service topographique au 8 octobre 1900, à 8 heures du matin.

LeSous-Conservateur dela propriétéfoncière à Tamatave, LOTA. FANGATAHANA N*1094 Noho ny fangatahana tamin' ny 10 juillet 1900, Ramanana, vehivavy malagasy, mpivarotra,monina ao Vatomandrv,nahgataka nv anoratana amin' ny Rejistry ny Fanjakana, fa izy'no tompon' ny tany izay nambaranv sy tianv nomena anarana hoe: Maaoandro, misy trano-fanitso, ao Vatomandry, làlana rue Latour-d'Affaure.

Izany tany izany dia misy enina ambv sivi-folo centiares ny habeny ; ary izao no faritra aminv : Ny Avaratra, dia ny tany atao hoe, Ambohitsoa II, (tanatahana N4i095); NyAtsinanana,dia ny lalanarue Latour-d'Affaure; Ny Atsimo,dia ny tanin' i Zafilahv: Ny Andrefana, dia ny lalana boulevard.

Ny mangataka manambara. fa araka ny fahafantaranyny amin' izanyfanananatanv voalazaizanv,dia tsy misy natao anto-javatr' olona, ary tsv ananan' olon-kafa,na ankehitrinv na amin' ny ho avy.

Ny andro hamaritanaio tany io, dia efanaraikitry M. le chef du service topographique, amin' ny 8 octobre 1900, amin' ny 8 famantaranandro maraina.

Nylefitryny Mpitahiryny amin'ny fanananatany ao Toamasina, LOTA. N' 1095 RÉQUISITION

mandry, lalana rue Latour-d'Affaure,nangatakao. anoratana amin' ny Rejistry ny Fanjakana, fa llnotompon' nytany izav nambarany sy tiany n mena anarana hoe: Ambohitsoa II, misytranoAJ* gazay fanitso sy trano-tontsv iray, ao Vatomnndfr Izany tany izany dia.misy"tokony ho dimy a£, hy sivi-folocentiares ny habeny ; ary izao no fa ritra aminy: Nv Avaratra, dia ny tany Watao hoe : Kelisoa,tan ; gatahana N"691) NyAtsinanana, dia nylalana rue Latour-d'Anaur Ny Atsimo,dia nv tahin-dRamanana: Ny Andrefana, dia ny lalana boulevard. 'l'n.

Nvmangataka manambara, fa araka ny fahatf tarany ny amin' ireo tany voalaza ireo, diatsyJ*11?' natao anto-javatr' olona, ary tsy ananan' olon- a na ankehitriny na amin' ny ho av 'Í Ny andro hamaritanaio tany io dvia.efanaraiK.i" ..v M.le chef du service topographique amin' ny 10 octobre 1900, amin' ny 8 famantaranandro P1 raina. y tall amin' fananana Nylefitryny Mpitahiryny ny ao Toamasina, LOTA. N*1096 RÉQUISITION Suivant réquisition du 20 juillet 1900,M. Dexn tière Georges,administrateur-adjoint, chef du le trict de Vatomandry,agissant au nom et pou le compte de l'Etat français, domiciliéà Valomanflyn en ses bureaux, a demandé t'immatricutation,lie qualité de propriétaire, d'une propriété à laqjelie il a déclaré vouloirdonner le nom de ja nésid®0 de c e de vatomandry, consistant en bâtiment résidence et dépendances situés à VatomandryCette propriété, occupant une superficiede q rante ares cinquante centiares, est limitée: Au Nord, par l'emplacementde la douane; A l'Est, par un boulevard; Au Sud, par le bureau de la résidence; il Al'Ouest, par unerue sans nom.

Le requérant déclare qu'à sa connaissanceni n'existe, sur la dite propriété, aucune charfe aucun droit réel immobilieractuel ou éventuel-fI Le bornage provisoire a été fixé par M. le ca ggf à g du service topographique au 12 octobre 1900, heures du matin.

Le Sous-Conservatfiur dela propriétéronCle à Tamatave, LOTA. FANGATAHANA N' i096 Noho ny fangatahana tamin' ny 20 jullet :hef M.Demortière Georges,administrateur-adjoint. ef du district de Vatomandry, manao ho an' ny 'IlY kanafrantsay, monina ao Vatomandry,ao a{tJ.strY biraony, nangataka ny anoratana amin' nyRea ño tompon' ny Fanjakana, Fanjakana,fafaizy izy no tanyizay tompon'nny y tany namIae..e" barany sy tiany nomena anarana hoe: RedCoy!If de Vatomandry, misy trano la résidence momba azy, ao Vatomandry. g!l1' Izany tany izany dia misyefa-poloares sy dJrjtra polo centiares ny habeny; ary izao no 13 aminy: ne; d0 Ny Avaralra,diany fari-tanvmisv nv la NyAtsinanana,dia ny lalana boulevard ; Ny Atsimo,dia ny birao any nv residence; Ny Andrefana, dia nv lalana.

Ny mangataka manambara fa araka ny tah%afaa' tarany amin' ireo tany voalaza ireo, dia tS) iisy nalao anto-javatr'olona. ary tsy ananan' olo=t-, na ankehitrinyna amin' ny ho ayy. aral' efa andro io tany io, dia Ny hamaritana jnna>rai' M. le chef du service topographiqae araJlIa' kitry 12 octobre 1900,amin'ny8 famataranandroWa L311Y Nylefitryny Mpitahiryny amin' ny fananana aoToamasina, LOT'

Suivantréquisition du 10 juillet 1900,Rabetotnzy, indigène, commerçant, domicilié à Vatomandry, rue Latour-d'Affaure.a demandé l'immatriculation, en qualité de propriétaire, d'une propriété à laquelle il a déclaré vouloir donner le nom de Ambohitsea Il, consistant en un magasin en tôle et une case en paillesitués à Vatomandry.

Cette propriété, occupant une superficie de quatre-vingt-quinzecentiares (environ), est limitée: Au Nord, par la propriétédite: Kelisoa,réquisition N' 691: A l'Est, parla rue Latour-d'Affaure; Au Sud, parla propriété Ramanana; A l'Ouest,par le boulevard.

Le requérant déclare qu'à sa connaissance il n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ni aucun droit réel immobilieractuel ou éventuel.

Le bornage provisoirea été fixé par M.le chef du RËQUISITION N- 1097 service topographiqueau 10 octobre 1900, à 8heuDtJ10r' res du matin.

Suivant réquisition du 20 juillet 1900,M.v1010t: LeSous-Conservateur de la propriétéfoncière tière Georges, administrateur-adjoint.chef Pourje trict de Vatomandry,agissant au nom et à Tamatave, LOTA. compte de l'Etat français, domicilié à VatofJ1* en ses bureaux, a demandé iïmmatricq a qUe qualité de propriétaire, d'une propriété a Ie""fe il a déclaré vouloir donner le nom de 0" n tÔ FANGATAHANA N*1095 consistant en un bâtiment en hois couverta otJ13t1' Noho ny fangatahana tamin' ny 10 juillet 1900, servant de bureau de la résidence, situé a Rabetotozy,malagasy mpivarotra, monina ao Vato- dry.

JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES sUarpJ)rn')p'!®l('occupant une superficiede trcntcAu miléePar : de la résidence; A lw1 l'emplacement Au«,HPa^un boulevard ; une rue sans nom. ud a et l'Ouest, par Le connaissance il Le rot rarît -déclare qu'à sa dite propriété, aucune charge ni la ^'exis'te Sl11, Le b roll réel, immobilier actuel ouéventuel.. a été fixé par M. le chefdu Leh/rJ.i,a8ft provisoire au 15octobre 1900, à 8 heures U du matin. matir).

LeSous-Conservateur dela propriétéfoncière à Tamatave, LOTA. FANG\TAH\NA No 1097

Ny mangataka manambara, fa araka ny fahafanizanv,dia tsy taranv ny amin' izany tany voalaza ananan' olonmisy natao ant.o-Javat"olona, ary tsy kala, na ankehitrinv na arriin'ny ho avy.

Nv andro hamarifana io tanyio dia efa naraikitry Mt le chef du service topographique amin' ny 19 octobre 1900,amin'ny 8 lamantaranandro marama.

NyleStryny Mpitahiryny amin'ny fanananatany ao Toamasina, LOTA. RÉQUISITION N*1099 Suivantréquisition du 20 juillet 1900, M. Demortière Georges, administrateur-adjoint, chef du district de Vatomandrv, agissant au nom et pour le compte de l'Etat français, domiciliéà Vatomandry, en ses bureaux, a demandé l'immatrieulation, en d'une propriété à laquelle qualité de propriétaire, il a déclaré vouloir donner le nom de Kugène n, consistant en un bâtiment en bois couvert en paille situéa Vatomandrv, rue Latour-j'Affaure.

Cette propriété, occupant une superficie de cinq ares (environ), est limitée: Au Nord, par la propriété dite: Atchia,réquisition N*110; Al'Est, par la rue Lntour-d'Affaure; Au Sud et à l'Ouest, par une rue sans not.

Le requérant déclare qu'à sa connaissance il n'existe, sur la dite, propriété, aucune charge ni aucun droit réel immobilier actuel ou éventuel.

Le bornage provisoire a été fixé par M.le chef du service topographique au 22 octobre 1900, à 8 heures du matin.

LeSous-Conservateur de la propriétéfoncière à Tamatave, LOTA.

M. ^ortiA^''anSatahana tamin' ny 20 juillet 1900, flu disll,ereGeore". administrateur-adjoint, chef jakaTla rlct de Valomandrv, manao ho an' ny Fany bir frantsay, moriinaao Vatomandry, ao amin' birann nan?iataka ny anoratana amin' ny Refananana J'strv nv p^J.^kana, faizv r>otompon'ny S' Ua /nan?baiany sv t'any nomenaanarana hoe: **eW.n^sy trano-hazo tato-fanitso natao birao fzan) I'esldenc, ao Vatomandry. dia misy enina amby télo-poo izany aresn anbY ary izao no faritra amiriy : aresnyhabeny ; dia ny misv ny la residence; Nyivap Hiaa' NvA:,'nanana, dia nv lalana boutevard ; drefana, dia nv làlana.

Iàtana.

Andrefana, NyAtsimo sy nv ny An At*;mosy N" Nyman"SataKa manambara, fa arakany fahafan-, (jl:its" n amm izany fanananatany voalaza izanv, anto-javatr' olona, ary tsy anats'v m;fy natao nan'olon-k afa, na ankeliitriny na amin' riy lio avv. t y anrfr p?"atTiaritanaio tanyio, dia efa naraikltopographique, amin' ny try M.le chefduservice 15octobre 1900,amin' ny 8" famantaranandro maNo1099 FANGATAHANA rainay lefitry ny Mpitahiry amin'ny fanananatany ny Noho ny fangatahana tamin' ny 20 juillet 1900,M. ao Toamasina, Demortiere Georges, administrateur-adjoict, chef du LOTA. district de Vatomandry,manao raharahn ho an' ny '-----Fanjakana frantsay, monina ao Vatomandry, amin' anoratana amin' ny Renangataka biraony, ny ny Ne1098 RÉQUISITION tany jistry ny Fanjakana, fa izy no tompon' ny hoe: nomenaanarana tiany t',SUiva.nt izay nambarany sy du 20 juillet 1900, M. Demor- Eugene II. misy trano hazo tafo lontsy, ao Vato* chef du dis- mandry, lalanaRue Latour-d'Affaure. tre Georequisition eorges, administrate ur-adjoint, au nom et pour le dia misy tokonv ho dimy ares agissant Izany izanv e-Pte tanv r,o J'E,tat lançais, domiciliéà Vatomandrv, ny habenyary izaono faritra Pnses P'e de Il rnandr.v, amiriv: a demandé en l'immatriculation, Ilalitédreaux.

Avaratra, dia ny tany atao hoe: Atchia IfanNy oilm''té denroPr-'éta're,d'une propriété à laquelle gatahana N° 110;; donner le nom de Douane, dia lalana RueLatour-d'AffauConSista ree.vouloir Atsinanana, ny Ny c«?5s'stant 'fidry n deux magasins en tôle situés à Vato- re; t Cet,lè' Nv Atsimo sy ny Andrefana, dia lalana. une superficie de fa araka ny fahafanoccupant manambara, rente-tr rOriété, Ny inpangataka trente-tro",êtresvin?t-cinq centiares, est limitée; tarahy nv amin' ireo tany voalaza ireo, diatsy misy dite: Victoria de Vato- natao anto-javatr' oiona/ary tsy ananan' olon-kafa, wuNordar,apropriété na ankehitrinv na amin' ny ho (IVY. Al'ggl requlSltionN"862: Au Sud par Un boulevard ; Ny andro hamaritana iot;iny io dia naraikitry M. propriété dite; Résidence, et une le chef du service topographique amin' ny 22 reA n octobre 1900,amin' ny 8 famantaranandromaraina ¡'Ou nom: amin' ny fanananatany n'o6-reffk'131"une rue sans nom.

Nylefitryny Mpitahiry ny sa connaissance il ao Toamasina, Il eiste Querant déclarequ'à Il su i d'te propriété, aucune charge ni LOTA. te. mm ilier actuel ou éventuel. aucun Le borna droit réel immobilier provisoire a été fixé par M. le chef he4re% rvicge RÉQUISITION Na HOO au 19 octobre 1900, à 8 du oP¡.:raphique matIn. Suivant réquisition du 20juillet 1900,M. DemorLeSous-Conservateur de la propriétéfoncière tière Georges, administrateur-adjoint, chef du disa Tamatave, trict de Vatomandry. agissant au nom et pour le LOTA. compte de l'Etat français, domiciiiéà Vatomandry, en ses bureaux, a demandé l'immatriculation, en de propriétaire, d'une propriété à laquelle qualité FANGATAHANA No i098 il a déclare vouloir donner le nom de Auguste, Nolo consistant en une maisond'habitation et dépendanNoho ny Latour-d'Affaure. fangahana tamin' ny 20 juillet 1900, ces situées à Vatomandrv,rue Cette propriété, occupant une superficie de huit Pa i^rtiipPurges, administrateur adjoint, de Vatomandry, chef du diefe Geores, manao hodJomt, an' nr, ares, est limitée: nyk-anafP,„ admimstrateur Au Nord, par une rue sans nom; ao amin Vatomandry, ^eiic»ra°nv y'moninaao ; ° A l'Est, par la rue Latour-d'Affaure amin' n ny nv anoratana nv Pur,Pr!'!ala,ca Au Sud, par la propriété dite: Louis, réquisition RegistrynyFanjakana,fa izy no tompon' ny tany izay nambaranysy tiany nomena anarana hoe:: N-iioi ; A l'Ouest, par une rue sans nom.

Douane,misymagazay fanifso,ao Vatomandry. il sa connaissance dia déclare telo Le qu'à requérant amby misy telo-polo y dirriVa Izanytanyizany charge ni centiaresriy no firu y roa-poto n'existe, sur la dite propriété, aucune ny habeny , roa-polocentiares habeny ;; actuel ou éventuel. réel immobilier : droit aucun aniiny ary izao y var arltr Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef Victoria de ornandr dla ny fany atao hoe:: Victoría 8 à au 24 octobre 1900, 862 : du service topographique NyAtsinanana fangatahana N° dia heures du matin.

II\,r øtsímóaa, ny ny làlana boulevard; tany atao hoe: résidence, sy de la propriétéfoncière Le Sous-Conservateur : lAAtsirno Tamatave, DvNv er LOTA. ana, dia ny làlana. à

4743 FANGATAHANA No HlJO

Noho ny fangatahana tamin' ny 20 juillet 1900, M. Demortière Georges, administrateur-adjoint, chef du district de Vatomandry, manao ho an' ny Fanjakana frantsay. monina ao VDtomandry,ao amin' ny biraony, riangataka ny anoratana amin' ny Rejistrv ny Fanjakana, fa izy no tompon' ny tany izav nambarany sy tianv nomena anarana hoe: Auguate, misytrano fitoerana sy nv momba azv, ao Vatomandry,lalana rue Latour-d'Affaure.

Izany tany izany dia misv valo ares nv habeny; aminy : ary izao no faritra Ny Avaratra, dia nv laiana: Ny Atsinanana, dianv lalana rue Latour-d'Affaure; Ny Atsimo.dia nv tany atao hoe: Louis, (fanatahanaN0 1101); Ny Andrefana, dia nv lalana.

Ny mangataka manambara, fa araka ny fahafantarany ny amin' izany fananana tanv voalaza izanv, dia tsv misy natao anto-javatr'olona,arv tsy ananan' olon-kafa, na ankehitrinvna amin' nv ho avv.

Ny andro hamaritana io tanviodiaefanaraikitry M. Ie chef du service topographique, amin'ny 24octobre 1900,amin' ny 8 famantaranandro maraina.

Nylefitryny Mpitahiryny amin'ny fanananatany ao Toamasina, LOTA. RÉQUISITION N" 1101 Suivant réquisition du 20 juillet 1900,M. Demortière Georges, administrateur-adjoint, chef du district de Vatomandry, agissant au nom et pour le compte de l'Etat français, domicilié à Vatomandry, en ses bureaux, a demandé l'immatriculation, en de propriétaire, d'une propriété à laquelle qualité il a déclaré vouloir donner le nom de Loua.., consistant en une maison d'habitation et dépendances situées à Vatomandry, rne Latour-d'Affaure.

Cette propriété, occupant une superficie de huit ares environ, est limitée: Au Nord, par la propriété dite: Auguste, réquisition N"1100; A l'Est, par la rue Latour-d'Affaure; Au Sud. par la propriété dite: Eglise, réquisition N"1102; A l'Ouest, par une rue sans nom.

Le requérant déclare qu'à sa connaissance il n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ni aucun droit réel immobilier actuel ou éventuel.

Le bornage provisoire a été fixé par M. le chef du service topographique au 29 octobre 1900,à 8 heuresdu matin.

Le Sous-Conservateur de la propriétéfoncière à Tamatave, LOTA. FANGATAHANA N- 1101 Noho ny fangatahana *amin'ny 20 juillet 1900, M. Demortiere Georges, administrateur-adjoint, chef du district de Votomandry. manao ho an' ny Fanjakana frantsay, monina ao Vatomandry, amin' ny : biraony, nangataka ny anoratana amin' ny Rejistry ny Fanjakana, fa izy no tompon' ny tany izav nambarany SY tiany nomena anarana hoe: i,oiiia, misy trano fitoerana sy ny momba azy, ao Vatomandry, lalana rue Latour-d'Affaure.

Izanytany izany dia misy tokony ho valo ares ny hahenv: arv izao no faritra aminv: Ny Avaratra, dia ny tany atao hoe: Auguste, (fangatahanaNoHOO): NvAtsinanana,dia ny lalanarue Latour-d'Affaure; Ny Atsimo, dia ny tany atao hoe: Eglise, (tangatahanaN 1102); NvAndrefana, dia ny ta!ana.

Nvmangataka manambara, fa araka nv fahafantaranv ny amin' ireo tany voalazaireo,dia tsy misy natao anto-javatr' olona, ary tsy ananan' olon-kafa, na ankehitriny na amin' ny ho avy.

Ny andro hamaritana io tany io, dia efa naraikitrv *M.lechefdu service topographique amin' ny 29 octobre 1900, amin' ny 8 famantaranandro maraina.

Nylefitryny Mpitahiryny amin'ny fanananatany ao Toamaaina, LOTA. N*1102 RÉQUISITION Suivant réquisition du 20 juillet 1900,M. Demortière Geoges,administrateur-adjoint, chef du district

4744

JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DÉPENDANCES

de Vatomandry,agissant au nom et pour le compte de l'Etat français, domiciliéà Vatomandrv, en ses bureaux, a demandé l'immatriculation,en qualité de propriétaire, d'une propriété à laquelle il a déclaré vouloir donner le nom de Ejçiise, consistant en terrain à bâtirsitué à Vatomandry,rue Latour-d'Affaure.

Cettepropriété, occupant une superficiede seize ares, est limitée: Au Nord, par la propriété dite: Louis, réquisiIOnN- 1101 ; A l'Est, par la rue Latour-d'Affaure; Au Sud, par la propriété de M.Brée ; A l'Ouest,par une rue sans nom.

Le requérant déclare qu'à sa connaissance il n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ri aucun droit réel immobilier actuel ou éventuel.

Le bornageprovisoire a été fixépar M.le chef du service topographique au 2 novembre 1900,à 8 heures du matin.

LeSous-Conseryiteur de la propriétéfoncière à Tamatave LOTA.

Ny Avaratra, dia ny tany atao hoe: Jeannette, (fangatahanaN*333) ; Ny Atsinanana, dia nv lalana ; Ny Atsimo,dia ny tariy atao hoe: Jacquette, (fan; gatahana N°334) NyAndrefana,dia ny tany atao hoe: Roget, (fangatahanaN°932).

Ny mangatakamanambara, fa araka ny fahafantaranynv amin'ireo tany voalaza ireo, dia tsy misy natao'anto-javatr olona, ary tsy ananan' olon-kafa, naankehitriny na amin' ny ho avy.

Ny andro hamaritana io tany"io dia naraikitry M.le chef du service topographique, amin' ny 5 novembre 1900,amin' ny 8 famantaranandro maraina.

Nylefitrynv Mpitahiry * ny amin'ny fanananatany ao toamasina, LOTA.

n'existe, sur la dite propriété, aucune charge ,aucun droit réel immobilieractuel ou éventuel. (¡itl1~ Le bornage provisoire a été fixé par M.le cne il a 1900, service topographiqueau 12 novembre heures du matin.

Le Sous-Conservateur dela propriétéIoncl" à Tamatavp, 1 LOTA. N° 1105 FANGATAHANA Nohony fangatahanatamin' ny 20 juillet 1900é1í Demostiere Georges, administrilteur-adjoint,FaO' du district de Vatomandry,manao ho an' nYuiO' ao ® jakana frantsay, moninaao Vatomandry, ny biraony, nangataka ny anoratanaamin'ny * tany try ny Fanjakana,fa izy no tompon' ny : <*,c.11' nambarany sy tiany nomenaanarana hoe az), ao aD dre, misytrano fitoerana sy* ny momba 010 Vatomandry. telo-P Izany tariy izany dia misy roa amby : ares ny habeny; ary izao no faritra aminy Ny Avaratra, dia ny l&lana; Ny Atsinanana, dia ny tany atao hoe: Geoip fangatahana N* 1106; 10\ atao hoe:" Bunga Ny Atsimo, dia ny tany fantahana No783; Ny Andrefana, dia ny tanim-panjakana. ianNymangataka manambara, fa araka nv tsy 'a fi, tarany ny amin' ireo tany voalazaireo, dia natao anto-javatr'olona,ary tsy ananan' olonI. na ankehitriny na amin'ny ho avy.

12 Ny andro hamaritanaio tany iodiaefanaralkltr; Je chef du service topographique, amin' bjj, novembre 1900,amin' y 8 famantaranandro raina. tao< NylefitrynyMpitahiryny amin'ny fananana ao Toamasina, LOTA-

N°1104 RÉQUISITION Suivantréquisitiondu 20 juillet 1909.M. Demortière Georges,administrateur-adjoint,chef du district de Vatomandry, agissant au nom et pour le N01102 FANGATAHANA compte de l'Etat français, domicilié à Vatomandry, bureaux, a demandé l'immatriculation,en Noho ny fangatahana tamin' ny 20 juillet 1900, en ses de qualité propriétaire, d'une propriété à laquelle M. Demortière Georges, administrateur-adjoint, il a déclaré vouloirdonner le nom de Repos, conchef du district de Vatomandrv, manao ho an' ny sistant en cimetière européen situé à Vatomandry. amin' Fanjakanafrantsay,moninaaoVatomandry,ao Cette propriété,occupant une superficiede vingt ny biraony,nangataka ny anoratana amin' ny Re- ares, est limitée : fa no ny tany izay tompon" izy jistrv ny Fanjakana, Au Nord, par la rue du Cimetière ; narnbarany sy tiany nomena anarana hoe: Egiise, A l'Est au Sud et la propriétédite: Frederica, par lalanarue ao lanorenana, Vatomandry, tany misy réquisition, N"604,et les domaines.

Latour-d'Affaure.

A les domaines. l'Ouest, par ambin' folo dia enin' ny Izany tany izany misy Le requérant déclare qu'à sa connaissance il ares nv habeny : ary izaono faritra aminv : aur la dite ni aucune n'existe, propriété, charge atao hoe : dia LOÙiS, fangariy tany Ny Avaratra, aucun droit réel immobilieractuel ou éventuel. tahana N*1101; Le a été fixé M. chef le bornage provisoire par Latour-d'Aflalana rue dia Atsinanana, ny Ny du service topographiqueau 8 novembre 1900,à faure: N° 1106 REQUISITION 8 heures du matin.

Ny Atsimo, dia ny tanin' i M.Brée ; LeSous-Conservateur de la propriétéfoncièie Suivant réquisitiondu 20 juillet 1900, Ny Andrefana,dia ny làlana. à Tamatave, M.. chet fahafanfa araka tière manambara, administrateur-aijoint., Ny mangataka ny Geoges, "u LOTA. pOllf au nom trict de amin'ireo voalaza ireo, misy e. aO' diatsy Vatomandrv, agissant tarany ny tany le compte de l'Etat français, domicilié à natao anto-javatr'olona, ary tsy ananan' olon-kat'a, FANGATAHANA N"1104 na ankehilriny, na amin' ny ho avy.

Vatofna dry, e.nses bureaux, a demandé ilimmatrie ulatiol, io dia efa andro hamaritanaio en de naraikitry tany qualité propriétaire, Ny d'une propriété a. i® Noho tamin' 20 1900 ny fangatahana 2 ny juillet de le il a vouloir donner le nom M. le chef du service topographique, amm' ny déclaré Ge M. Demortière Georges, admiriistratenr-adjoint, marai- chefdu consistant en une maisonsituée à novembre 1900,amin' ny 8 famantaranandro II, di' district de ho vatoJJldan manao an' consistant en une maison située à Vae, Vatomandry, nv il,Cette na. propriété, occupant superficie Vatomandry ao sept ares cinquante centiaresune est 1 nyMpitahiryny amin'ny fanananatany Fanjakana frantsay, monina"ao Nylefitry environ, ao Toamasina, amin'ny biraony, nangatakany anoratana ami"n'::y Au Nord, par une rue sans nom ; ditl!: jjtc: fa no LOTA. Rejistry ny FanJakana, izy tompon' ny tany A l'Est, par les domaines et la propriété, izay nambarany sy tiany nomena anarana hoe": Alexandre, réquisition N*1105; , ¡¡¡si' rell N"1103 Rcpos, misy ny Cimetière eouropéen) tany fanRÉQUISITION Au la dite : Sud, par propriété Bungalow, davenana ao Vatomandrv. tion N- 783; DemorM. Suivant réquisitiondu20juillet 1900, dia misy roa-polo ares ny haIzany izany tany A l'Ouest,par une rue sans nom.. i! chef du ce tière Geroges, administrateur-adjoint, : izao no fantra aminv : beny ary Le requérant déclare qu'à sa corin-lissale au nom et district de Vatomandry,agissant pour lalana*mankany amin'nv n'existe, sur la dite propriété, aucune ny NyAvaratra, d ia à Vatomandomicilié de l'Etat le compte ctia français, fandevenana ; actuel ou aucundroit réel immobilier éventue[, dry, en ses bureaux, a demandé l'immatriculation, Atsinanana dia atao 3 Ny MAtsimo, ny sy ny tany a été fixé Le bornage provisoire par à lad'une de en qualité e00, propriété propriétaire, i hoe : NtanimFrederica, 604, fangatahana sy au 15novembre du service topographique, quelle il a déclaré vouloir donner le nomde Geôle, ; 8 heures du matin. consistant en terrain servant à l'agrandissement de panjakana ncière oCjéie fo Ny Andrefana, diany tanim-panjakana. de la propriété Le Sous-Conservateur la prison situé à Vatomandrv. fa araka ny fahaNy mangataka manambara, à Tamatave, de Cette propriété, occupant'une superficie cinq fantarany ny amin' izany tany voalaza izany, dia LOTAares, est limitée: natao olona, ary tsy ananan' tsy misy anto-javatr' dite: la Au Nord, par propriété Jeannette, réqui- olon-kafa na ankehitriny na amin ny ho avy.

N *1106 FANGATAHANA sition No333; „ andro hamaritanaio tany io, dia efa naraikiNy A l'Est, par une rue sans nom; M.Ie chef du service topographique amin' ny Nohony fangatahanatamin' ny 20juillet 1900èl;ef try dite : la Au Jacquette, réquisi- 8 novembre 1900, amin' ny 8 famantaranandro Demortiere Georges, administrateur adjoint)fe.ll' par propriété 334; tion NSud, maraina. an' du district de manao ho Vatomandry, nIIl'II" A l'Ouest,par la propriété dite Roget, réquisition amin'ny fanananatany iakana frantsay, monina ao Vatomandry,8KJjstr Ny J elltry nyMpitahiry n y N 932. ao Toamasina, amin' anoratana ny biraonv * 0, nangataka ny il sa connaissance déclare Le requérant qu'à LOTA. fa izv no tompon' ny tany IZ!)ee* ny Fanjakana, -JJ, ni aucune sur la dite charge n'existe, propriété, 6earB anarana hoe: nomena sy tiaoy barany aucun droit réel immobilieractuel ouéventuel. trano ao fitoerana, misy Vatomandry.

N" 1105 M. le chef RÉQUISITION Le bornage provisoire a ét fié par fito dia ambin'ny misy tany izany If (L,0 Izany à ao du service topographique au 5 novembre 1900, centiares ny habeny ; ary Suivant du 20 M.Demorsy dimam-polo réquisition 1900, juillet 8 heures du matin. : faritra W tière du dischef aminy Georges, administrateur-adjoint, foncière de la propriété Le Sons-Conservateur H trict de Vatomandry, agissant au nom et pour le Ny Avaratra, dia ny lalana ; Ý à Tamatave, compte de l'Etat français, domiciliéà Vatomandry, Ny Atsinanana, dia ny tanlm-panjakana 5i05II LOTA. en ses bureaux, a demandé l'immatriculation, en tanyatao hoe: Alexandre (fangatahanaN* 0' Ny Atsimo,dia ny tany atao hoc, Bungaio> qualité de propriétaire, d'une propriété à laquelle N*1103 FANGATAHANA il a déclaré vouloirdonner le nom de Alexandre, gatahana N°783; Ny Andrefana,dia ny làlana. l1a(B' Noho ny fangatahana tamin' ny 20 juillet 1900, cousistant en une maison d'habitation et dépenNy mangataka manambara,fa araka ny *!,c0.v M. Demortière Georges, administrateur-adjoint, dances situées à Vatomandry.

Cettepropriété, occupantune superficiede trente- tarany ny amin' ireo fananana tany voalazaceápa chef du district de Vatomandry,manao ho an' nv tsy a 'i natao olona, deux est ary limitée : monina tsy misy anto-javatr' ares, ao vatomandry, a o amin frantsav, Fanjakana ho na na amin' RcAu anoratana amin' rue sans olon-kafa, ny une ankehitrinv Nord, ny par nom ; ny aJ nv biraony, nangataka andro hamaritana A iotanyio, diaefau®1*aikitr,;j Ny l'Est, par la propriété dite: Georges,réquisition tompon' ny tany izay jistrv ny Fanjakana, ta izy no anarana M. le chef du service topographique, aniio,Dy1 hoe: Gedie, N- H06 ; nambaranysy tiany Domena Au Sud, par la propriété dite: Bungalow,réquisi- novembre 1900,amin' ny 8famantaranandro 0(' tany hanitarana ny laritry ny tranomaizina, ao Va- tion t9 na.

N-783; tomandrv. fananapa amin' ny A nyMpitahiry n y Nylefify ares les domaines. dia l'Ouest, dimy ny par misy Izany fasy izany, Le requérant déclare qu'à sa connaissance il LOT Aary izao no faritra aminy : habeny;

JOURNAL OFFICIEL DE MADAGASCARET DEPENDANCES REQUlSITfO. No1107 t:èrlant réquiitJon du 20 juillet 1900, M. Demorchef du dis!rictdeeyrges,admiaistrateur-adjojnt. au nom et pour Ie COlnptatomandry, agissant compte del'Etat françals, domicilii à Vatomandry, enses bureaux,a demandé t'immatriculation, en d'une propriété à laquelle en ses k,. aux'consisil a déclarévouloirdonner le nomde Union, c°~sísbâtir situé à Vatomandry. ,Cetteterrainà Cette °Priete, occupant une superficie de un Ilectare est limitée: ares, AuNocæquante >Par une rue sans nom; AuN0r, 1 Al'p«t par unboulevard; les domaines et la propriété dite: Pr Josephiud, No239; JoseDhinJ Le ( retlu'sition N*239; Le déclare qu'à sa connaissance il Lerequérant I'Oupuf lia^ar domaines. dite propriété, c aucune ccharge ni ilUCun o, rée1 immobilier actuel ou éventuel.

Lebor rOlt duser./Ilage provisoire a été fixé par M. le chef au 19 novembre 1900,à 8 Ufes(uin u r,i uservinoTl0e tnatm.

P°Sraphique Le Sous-Conservateur dela propriétéfoncière à Tamatave, LOTA. FANGATAHANA No1101 tamin' ny 20 juillet i900, '11. e n faoRatahana administrateur-adjoint,chef Georges, dístrict de Vatomandry, manao ho an' ny Fany blrarantsay, monina ao Vatomandry, ao amin' ny 'Ila«^ataka ny anoratana amin' ny RenJvlraon/v jistry fa izv ~o tompon' nv Fan~akana,fa ny tany izay í~y no í~ay Oaniba.r' tiany nomena anarana hoe: aJnion, aranv 'LyanJakana, lZan orenna, ao Vatomandry. misy iray hectare sy dimamJ*anytan'^ di. a ary izao no faritra aminv: Ny Avny habeny; NyAt ratra, dia ny làlana; dia ny lalana boulevard; SfAiff?a?.a'dia ny tanim-panjakana sy ny tany NyAtsimo, ato hoe Josephine, (fangatahana N° 239); dia J&y QianTat Andrefainl any °ytanim-panjakana. tanim-panjakana. taily Nymangataka manambara, fa araka* ny fahafantany voalaza ireo, da tsy misy 1?60 olona, ary tsy ananan' olon-kafa , a. ankeh'ìJ,avatr' 1IYandI flny na amin' ny ho avy.

Nyandrohamaritana io lany io 'diaefa naraikitrv ~~P re 190 serv.ice,toporaphique, amin' ny 19noernbre 1900 > amin ny 8 tamantaranandro maraina. ny Mpitahiryny amin'ny fanananatany l'iyletry 0. Toamasina, LOTA. ----------

DE BORNAGES

N° 639 BORNAGES Réquisition M A VIS CLOTURESDE , DE dite: Sabord 1 sise à la rue E, ,à 4.lla¡"prlele Analalava.

At¡¡jUrant: M.le receveur des domaines de l'Etat français. le ne.PDur 1900, fee provisoire a eu lieu le 29 juillet ; ro r" , RécluisitionNa 640 M Aloa,sise rue de la Loza, aVa à ^Qpri - d'te : CANNET JjeiMcE rue Amlral-Pierre, Tananarive F Ere DE LA PUBLICITÉ DU 6

M. le receveur des domaines de Requérant: Majunga, pour l'Etat français.

Le bornage provisoire a eu lieu le 28 juillet 1900.

Réquisition N° 1050 T Propriété dite: Walworth, sise à Tamatave, rue La Bourdonnais.

Requérant: M. Thomas Pinder Waterhouse, pour M. James Procter.

Le bornage provisoire a eu lieu le 20 août 1900.

Réquisition N° 1017 T Propriété dite: Athénaïs, sise à Tamatave, quartier de l'ancien hôpital militaire.

Requérante: MlleAthénaïs Zavatra.

Le bornage provisoire a eu lieu le 6 août 1900.

Réquisition N° 1042 T Propriété dite: Satrana, sise à Sasaka (Vatomandry).

Requérant: M. Tisso.

Le bornage provisoire a eu lieu le 23 juillet 1900. , Réquisition N° 199 F Propriété dite: Montmartre, sise à Ambalavao, province de Fianarantsoa.

Requérant: M. le receveur des domaines de Fianarantsoa, pour l'Etat français.

Le bornage provisoire a eu lieu le 18mai1900.

Réquisition N° 205 F Propriété dite: Soatanana, sise à Ambohitrandrazana, province de Betsileo.

Requérant: M. Meeg Marlin-Julills, pasteur.

Le bornage provisoire a eu lieu le 25 juin 1900.

Réquisition N° 324 D Propriété dite: L'Oubli, sise à Sambava.

Requérant: M. Georges-Edgard Perrier.

Le bornageprovisoire a eu lieu le 25 mai 1900.

Réquisition N° 1315 Propriété dite: Liberté II, sise à Ambodimita, district d'Ambohimanandray, sous-gouvernement d'Ambohidratrimo, province de Tananarive.

Requérante: MmeRasoanjanahary, épouse de Randrianaivotasy.

Le bornage provisoire a eu lieu le 6 août 1900.

Réquisition N° 1022 T Propriété dite: Marguerite, sise à Ivondro, province de Tamatave.

Requérant: M. Anatole Bocard.

Le bornage provisoire a eu lieu le 13 août 1900.

Réquisition N° 1304 Propriété dite: Barnave, sise à Tananarive, quartier Soanierana.

Requérants : M.Rainikotomanga et son épouse Rasoamieloarivo.

Lé bornage provisoire a eu lieu le 18 août 1900.

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Réquisition 189 F Propriété dite: Saint-Mathieu, sise à Kilony, province de Fianarantsoa.

M. Fontanié Victor-Joseph-MaRequérant: rie.

Le bornage provisoire a eu lieu le 7 avril 1900.

Réquisition 198 F dite : Sainte-Radegonde, sise à Propriété Ambalavao, province de Fianarantsoa.

Requérant: M. le receveur des domaines de Fianarantsoa, pour l'Etat français.

Le bornage provisoire a eu liea le 16 mai 1900.

Réquisition N° 201 F Propriété dite: Marché d'Ambalavao, sise à Ambalavao, province de Fianarantsoa.

Requérant: M. le receveur des domaines de Fianarantsoa, pour l'Etat français.

Le bornage provisoire a eu lieu le 25 mai 1900.

Réquisition No 1318 Propriété dite: Villa Cassive, sise à Ambolotara, district d'Isahafa, sous-gouvernement d'Ambohimanga, province de Tananarive.

M. Rainibemananjara et conRequérant: sorts.

Le bornage provisoire a eu lieu le 13 août 1900.

Réquisition N° 1316 Propriété dite: L'Egalité, sise à Ambodimita, district d'Ambohimanandry, sous-gouvernement d'Ambohidratrimo, province de Tananarive.

Dame Raly, dite Ralimanga, Requérant: épouse de Rainimahatratra.

Le bornage provisoire a eu lieu le 7 août 1900.

Réquisition No1226 Propriété dite: Ambohimena, sise à Ambohipiaro, sous-gouvernement d'Ambohidratrimo, province de Tananarive.

Requérant; M. le receveur des domanies de Tananarive, pour l'Etat français.

Le bornage provisoire a eu lieu le 28 mars 1900.

Réquisition N° 1308 Propriété dite: Mandrifeizay, sise à Ankorondrano, district d'Isoavina, secteur d'Alasora, province de Tananarive.

Requérant: M. Rainijaonary et son épouse, dame Ranosy.

Le bornage provisoire a eu lieu le 24 juillet 1900.

Le dernier délai pour former les oppositions aux dites réquisitions d'immatriculation est de deux mois à partir, du jour de la présente publication.

Le Chef du service topographique, P. BOURDIER.

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EXTRAIT auxarticles55etsuipubliéconformément 'rde vantsdela Loidu 24juillet 1867.

M. Bonnet, de retour D'un acte reçu par M.E. COURTNEYson en Frane, l voyage n otaire à WALKER, public Londres, le vingt-neuf juin mil neufcent. l'honneur de prévemr Il appert que M.SAMUEL PROCTER s'est retiré, à la date du trente juin public qu'il se met anose mil neufcent, de la société commer- veau de au service ciale existant à Londres, 22, Leadeeril nhall Street, et à Madagascar,sous la clients et qu'il s'effoc de saison sociale PROCTER BRO', entre lui et MM.JAMESPROCTER, comme par le passe-sai,, FRÉDÉRICK-WII.LIAM PROCTER,THO- leur donner entière MAS WATERHOUSE PINDER et EDGARD ELDREDJEUNE. faction.

— Toutefois,la dite société n'en contiPérir ---!aille nuera pas moins jusqu'à son terme, AUX a SOURDS. — qUI entre les associés restants, dans les W u(,"ài ldo » *$4 mêmes conditions et sous la même le depar sa les surdité et de bourdonne111^ Tympansartificiels raison sociale PROCTER BRO'. de iflote: Jt1 tut Rictinlson, a remisari:'niit'1 Pour extrait: la sommede 25.000francs, "rlrlq tIc Tamatave,le 30août 1900, les personnessourdesqUITn'ror;lfI,el" moyensdese procurerles 'adre"'ett'c PROCTER BRO' sent les avoir gratuitement.60 L'un des associés, « l'Institut », iiOugcatt T. P. WATERHOUSE. sury, Londres W..