Journal officiel de la République française. Lois et décrets
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Journal officiel de la République française. Lois et décrets. 1918/01/10. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.
SOMMAIRE
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OFFICIELLE
Lois.
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Arrêté nommant un délégué dans les fonctions de directeur du service de la justice militaire (page 409). Citations à l'ordre de l'armée (page 409). Inscriptions aux tableaux spéciaux de la Légion d'honneur et de la médaille militaire
(page 409). Décrets et décisions portant mutations, promocomptes des service ervice eL de chèques tions postaux (page cret Infanterie (page 426). !4iUistère Décrats nimmantdes depaix, Vétérinaires militaires (page 427). dejuges la justice. Artillerie (page 428). juges de paix, des supGénie (page confér S de juges îopePUrit l'honorariat de paix, des greffiers, Service de santé (page 428). acceptant à des greffiers et Une démission de greffier Listes de mobilisés maintenus en dehors des unités combattantes (page 428).
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départee les * communes (page 407). ,. ri°rn^Stèr6 lvI' -'s
desfinances.
dFrancesous-gouverneur do la f*tQlllistr 1).ahon et un directeur à l'adwj centrale des finances (page IJt inant rr;nt.le directeur i i
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Ministère de la marina. Décision portant promotions et nominations (directions de travaux) (page 429). Liste des candidats admis à subir les épreuves du deuxième degré du concours pour le grade d'officier de 3e classe des travaux hydrauliques (page 429).
Circulaire modifiant l'instruction du 7 octobre 1912, relative à la constitution et au fonctionnement de la commission mixte consultative pour les questions ouvrières (page 429). des officiers, marins et — relative aux droits(page 430).
autres disparus
Ministère des colonies. Décret étendant au personnel militaire lebénéfice du passage de rapatriement déjà accordé au personnel civil par le décret du
-
avril 1916 (page 433). relatif à l'enregistrement des procès-verbaux de c( 'raventlon dressés en matière postale en Indo-Chine (page 433). 7
Pensions.
— Concession de (page 433).
pensions (guerre)
Nominations à des emplois réservés (page 44u). PARTIE NON
OFFICIELLE
Communiqués relatifs aux opérations militaires (page 440).
Sénat.
Ordre du jour. — Convocation de commissions (page 440). Chambre des députés. — Réponses des ministres aux questions écrites. — Ordre du jour. — Convocation de commissions (page 441). —
Avis, communications et informations. MINISTÈRE DB LA MARINE
Avis relatif au, concours d'admission à l'écolo navale en 1918 (page 445).
s
-
MINISTÈRE DB L'INSTRUCTION PUBLIQUE de l'instruction publique Ministère %e<Hm/eUrdel'administration ET DES BEAUX-ARTS et des beaux-arts. général. des douanes C^ies d'admission à l'école relatif Avis des concours au et 4.07). ",dJOignPage lnédailles les et conférant 1-honationale des beaux-arts (section d'archil'ho- Arrêtés portant promotions de classe dans l'adcentrale (services des beauxministration tecture) et aux écoles régionales d'archi""llbé desbrilnrapporteur des arts) (page 430). tecture (page à la commission desde guerre (page 407). (Page Ministère des travaux publics MINISTÈRE DU COMHBRCB, DE L'INDUSTRIE, tnrnant' inspecteurs des finances et des transports. DES POSTES ET DES TÉLÉGRAPHES, Qbacs(des DES TRANSPORTS MARITIMES elatità entreposeurs spéciaux des Arrêté nommant des membres du comité de Page ET DE LA MARINE MARCHANDE règlement amiable des entreprises de atum) 917 (cr:répartition Mouvement des importations de coton brut et j travaux publics (page 430). de l'emprunt 4 p.100 de soies grèges pendant la deuxième 407). Nominations dans le personnel (page 430). quinzaine de décembre (page 446). de la guerre. Académie des inscriptions et belles-lettres cOnféra. du de Ministère l'industrie, commerce, ! Ïrchpg"0 (page 446). des télégraphes, des postes et oeta Q407) d'honneur au régipolitiques des maritimes sciences transports des morales et (page 446). portantnominations la Légion étrangère — et de la marine marchande. — francaise (page 447). dans la Légion d'hop- Décret portant réglementation du fonctionne- — de médecine (page 447). ment du service des comptes courants et Statistique fJn to^&goerineî11 municipale de la ville de Parif chèques des postaux (page 431). au traitement de la Lé(page 447). tL page 407). ou de la médaille milinommant le directeur des affaires commerciales et industrielles (page 433). Annonces (page 448).
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ae paix de de nommé M. G allas, juge les opérés sivement, retraits au moyen Gr^udri®n''l« CHAMBRES chèques nominatifs émis par les titulaires, (Finistère). te rilplaceentde d Grêlet M. Courtemer (Orne), les lieu leur profit, donnent à virements, et Chambre des députés. Annexes: feuille 108 broise), ancien huissier, en de d'écriture la d'une à perception fixe taxe (cour l'édition complète). (Voir le somM. Hervé, nommé juge de paix au maire des annexes au Journal officiel dix centimes (10 centimes) pour chaque opé- (Orne). Bac, ego ; elic (JeaP' de chaque lundi.) {. °t ration. Hondschoote (Nord), M. (U3U justice de Cette taxe est prélevée sur le compte Jules), greffier de laremplacement (p^ crédité, dans le premier cas, et sur le compte (Puy-de-Dôme), en Co D MoottaU juge à paix nommé bàrd, de débité, dans deux les autres -cas. „neS)J: PARTIE Loire). Art. 6. Le chèque postal n'est pas Saint-André-de-Méoirilles (Jean-Baptiste-Lou^-Ju1'^ ^Bass® gfei gre(ll' mis à la loi du 14 juin 1865 et autres dispo- Rarlatier d'Annot sitions concernant le chèque ordinaire. de la justice dede remplacement paix M. Hermellin, laceIllen i& Art. 7.- L'administration sera responsaLOI portant création d'un service de comptes M (Basses-Alpes), Colmars ble qu'elle des aura reçues pour Gonzague), ancien avoué, en sommes courants et de chèques postaux. nteil être portées au crédit des comptes courants; M. Hoche, décédé. attaV Le Sénat et la Chambre des députés ont elle ne sera pas responsable des retards qui ao;n'eurB (Haute-Garonne), Sintegabelle adopté, pourront se produire dans l'exécution du (Marie-Jean-Samuel-Edmond), dApC e»rA deLe Président de la République promulgue service. parquet de la cour d'appel au décéde. punjjlu^ urRoussille, placement la loi dont la teneur suit : de M. Aucune réclamation ne sera admise conSa su (Cher), plus de trois Châteauneuf-sur-Cher les opérations ayant remplacement Il est institué, sous l'autorité cernant Art. ier. de Fleurier, juge mande, M. date. de des des postes et ans du ministre du commerce, (Cher), Auron dont la démission été acceptée..prapçoisl'] en dans la condition de changement En cas Moreux télégraphes, un service de comptes courants et de chèques postaux dont la gestion civile ou la situation légale du titulaire d'un .Dun-sur-Auron (Cher), M. festant est confiée à l'administration des postes et compte courant, avisdevra en être donné principal clerc d'avoué. Mousffat'' Landes), au bureau détenteur de ce compte. des télégraphes. M. Mucron ilit (Edouard-Georges-Alphonse-Marc), être tenue L'administration pourra ne dirigé illstauanÍj), organisé et Art. 2. — Le service tribunal de première fier pouvant réconséquences responsable des au par l'administration centrale des postes et sulter des modifications qui ne lui auraient Sever, en remplacement de M. 1* des télégraphes est assuré par des bureaux :nS'taflc notifiées: été Sonrre (Côte-d'Or), M. CouJon (J3Cflc0fllf11d8' pas régionaux qui ont pour fonctions de tenir Coulon (Côte-d'Or), M. Seurre lé public Trésor acquis Sera Art. 8. au Baptiste-Alexis), capacitaire en — chèques postaux. les comptes courants de tribunal postal courant solde de compte tout sur de greflier au Les bureaux régionaux sont établis dans «J (Saône-et-Loirc), Loulians faite n'aura été en opération lequel aucune les villes désignées par décret. M. Mouillon, décédé. dix ans. depuis fell d Art. 3. — Peuvent se faire ouvrir des lesquelles dans conditions Art. 9. — Les comptes courants toute personne, associa- fonctionnera le service des comptes cou^jpis^ffl tion, société, maison de commerce et tout rants et chèques postaux, les redevances sceau-Ic décret en date du 5 janvier will j m Par groupement de fait ou de droit dont la pour prestations diverses, ainsi que les sur le rapport du garde des dcs s demande a été agréée par l'administration. mesures d'ordre général destinées à assurer la justice, sont nommés supploan _1 Les personnes et les collectivités dési- l'exécution de la présente loi, seront déter- de paix de 9 rCJfiniaceIlJe ifflo Blois (Loir-et Cher), canton gnées à l'alinéa précédent, qui ont été minées, dans le délai maximum de deux (Louis-Jules-Georges), en deux admises à se faire ouvrir des comptes cou- mois, par un décret rendu sur le rapport du de M. Daudin. Jacql1. rants, effectuent un dépôt de'garantie dont ministre du commerce, de l'industrie, des (Séine-Inférieure), Doudevilîe le montant est fixé par le décret prévu à postes et des télégraphes, des transports fAntoine-Jean), en remplacement acce-Ptéel'article 9. baud, est dont la démission maritimes et de la marine marchande et (Charente-Inférieure/ Des décrets spéciaux déterminent dans sur celui du ministre des iinances. Montendre remplacement quelles conditions des comptes peuvent neaa (Ilenry), en adoptée délibérée présente-loi, et La par décédé. morales J1\ être ouverts à l'Etat, aux personnes (urtl ¡\de, dec (Basses-Alpes\ M. Aude<1 Chambre des députés, la le Sénat et par publics. administratives et aux services Volonne (Basses-Alpes) , M. M.MeY,?r{Oure, loi de l'Etat. remplacement exécutée de comme cent), sera en crédit des compArt. 4. "- Sont portés au lac (Barthélemy-Charles), e n reflipl\®Q\pniellt (Vaucluse), L'Isle-sur-Sorgue Fait à Paris, le 7 janvier 1918. tes courants les versements effectués soit par les titulaires à leur propre compte, soit R. POINCARÉ. M. GIrard, nommé juge de paIX par des tiers et le montant des virements Par le Président de la République p ordonnés par les titulaires d'autres comptes Le ministre du commerce, de l'industrie, Mézidon (Cavados), M. Echavldre Guillaume), courants postaux. en despostes et des télégraphes, est douin, dont démission la débit des comptes Sont portées au coudes transports maritimes Brioude (Haute-Loire), M. M.1 rants postaux les sommes qui font l'objet, marchande, marine de la et remplacement de Ernest), en titulaires des delà
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CLÉMENTEL.
Le ministre des finances, L.-L. KLOTZ.
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(Corse),M-A^ianitfRct3'1' Ç ni(rr cédé. San-Martino-di-Lota çois-André), en remplacement cédé. pifa!. Bordea Est acceptée la démission de Bordea pléantdu du juge de paix de
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MINISTÈRE DE LA JUSTICE
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Pardécretendatedu5janvier*pli»1 rapportdugardedesscea
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Par décret en date du 5 janvier 1918, rendu sur le rapport du garde des sceaux, ministre eelajustice, C8tY8d\, de la justice, sont nommés juges de paix de : CaeILniaCe Sont nommés Marseille (Bouches-du-Rhône), 5e canton, de tribunal civil Greffier du M. Cuvelier, juge de paix de Carpentras (Vau- M. Oudart (René-Célestin), cluse), 2e classe personnelle, en remplacement de M. Crevel, démissionnaire. j de M. Pellegrin, nommé juge au tribunal de : Greffier des juges de paix de rroncdtles):fït: première instance de Marseille. .Sèvres), 1lr Niort (Deux(Philémon-François Bléré (Indre-et-Loire), M. Pardou (OctaveçjP Marie-Désiré), suppléant du juge de paix de M. Bouchand à rf.r Vouvray (Indre-et-Loire), en remplacement de remplacement de M. Bouchand M. Gautier, nommé juge de paix à Vendôme min), son frère, nommé juge de eJi (Loir-et-Cher). Jean-de-Monts (Vendée). Trèves (Gard), M. Redon Vallet (Loire-Inférieure), M. Papin (AlexandreFrançois), ancien huissier, en remplacement de placement de M. Boussineseq,
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cièn7hé elengreffigreffier er honoraire Faubin, M. Estagne(Tarn-et-Garonne). de
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6laJUsticp démission de M. Negretti, gref-
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de Paix de Mont-Saint-Vincent
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vu. accordé à M. Carlos Cas-
MINISTÈRE
Marseille.
DE L'INTÉRIEUR
dtler Par 826 décearrêté duministre d'Etbre1917,
nommé Wide
de l'intérieur en date toeprlsesdetthtderèglement M.Théodore Tissier, conprésident du coamiable des enJavau Publics et des marchés de 14urles. desdepartements et des com-
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lesQ arlee, directeur Vern0, delàRanqVe des fonds au ministère a été nommé second
eptée M.
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sous-goude France, en remplaceSApr.vg»ent, s"crgent, dont la démission a été
teCélir(Aandre-Marie-Paul), teuJ'^uiin
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sous-direccentrale, a été nommé général des fonds, en Luquet, qui a été appelé
Par d Parecret hl. n rappo.ten date du 9 janvier 1918, rendus u du ministre des finances: ellr llor,lonsa gérléral édesdouanes,appeléàd'autres e. aptôe directes douanes,
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, appelé à d'autres nommé directeur général ho-
l directeur lt¡ ministère jndustrie, Iïlarpha^,ransPorts maritimes bai(les été directeur «,qui rerleur remplacement a d'autres fi l"uis~Kdrnond général relr :. ~Martin i.lét.e,à del'adeOllmerCia.\ ean-Ernest)
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des affaires iudlistrielles raphes du au des postes et des énérai et de la M. noinmé Hr\i*a'ies»a de en été appelé it fonchonoraire. ltemUflû IIlOII/Hues (LoUb-Edrnond) halle, ) directeur de l'adeetraileQ et, médailles, admis, Hommé taire valoir ses droits à la été M BoUvier directeur honoraire. II(Jtllen(her elsrniiii-ufactures del'Etat, ingéété
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oiT-^édaiiir'"administration ) , fiti été V'1'emplacementdeM.Mardes mon-
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GEORGES CLEMENCEAU.
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du 28 décembre 1917, ou\'eftGeorges-André) i du ministre des finances
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AFFAIRES ÉTRABfÈRES
te L'exequat 110,
classe, a été nommé inspecteur desfinanees franchi un glacis do 800 mètres, fauché par les mitrailleuses, en-Santerre delreclasse. a conquis à la baïonnette BcIl'Wl'a gardé, malgré un bombardede finances des M. de Fabry, inspecteur intense, ment contre les eiïorts violents et rédans 2e classe en disponibilité, a été réintégré pétés de l'ennemi. l'inspection générale des finances. de la2e classe o En Champagne, devant les monts do Moronvillicrs. le 17 avril 1917, sous les ordres du .» « lieutenant-colonel DURIEZ, puis du commandant DEVILLE, s'est élancé à l'attaque contre Par arrêtés du ministre des finances en date un ennemi résolu, trois fois supérieur en nomdu 20 décembre 1917 bre. Par un combat corps à corps, ininterrompu M. Bellenger (Henry-Jean-Etienne), entrepo- pendant cinq jours et cinq nuits, s'est emparé seur spécial des tabacs de 28 classe à Tours des tranchées du Golfe et du village d'Aube(Indre-et-Loire), a été nommé entreposeur spé- rive. cial des tabacs à Brest (Finistère), en rempla« A Verdun, le 20 août 1917, sous les ordres cement de M. Pierangeli, qui a été appelé à du lieutenant-colonel ROLLET, a enlevé lu village de Cumières et son bois, avec une telle d'autres fonctions. qu'il a dépassé l'objectif final qui lui fougue, M. Roques (Emile-Hippolyte), entreposeur était assigné. S'est ensuite rendu maître do la spécial des tabacs de 28 classe à Bordeaux (Gi- cote de l'Oie et dp Regnéville. ronde), a été nommé entreposeur spécial des Art. 2. — Le ministre de la guerre et le grand tabacs à Tours (Indre-et-Loire), en remplacement de M. Bellenger, qui a été appelé a une chancelier de la Légion d'honneur sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécuautre résidence. tion du présent décret. préposé (Jean-Marie-Benjamin), M. Bazerque Fait à Paris, le 4 décembre 1917. à la vente directe des tabacs de luxe à Bordeaux (Gironde), a été nommé entreposeur R. POINCARR. spécial des tabacs de 2e classe, à la même résiPar le Président de la République dence, remplacement de M. Roques, qui a Le président du conseil, ministre de la guerre, reçu uffe autre destination.
2e
eUrhn ddrulS, sur sa demande, à faire °rairâ à la retraiteet nommé direc-
Erratum au Journal officiel du 8 janvier 1918, arrêtérelatif à la répartition de l'emprunt 4 p. 100 1917 page 334, 2e colonne, 9e ligne, au de 400 à 500 lieu de : « », lire 4 fr. à 500 Il.
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DE LA GUERRE
RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRAJîÇÀISH
Paris, le 3 décembre 1911. Monsieur le Président, J'ai l'honneur de vous proposer l'attribution de la croix de la Légion d'honneur au drapeau laetlégion étrangère du régiment demarche brillants faits en raison des nombreux d'armes accomplis par ce régiment depuis le début des hostilités. Ce corps d'élite est déjà titulaire de la fourragère en soie rouge, acquise par six citations à l'ordre de l'armée. Si vous partagez cette manière de voir, je vous serai reconnaissant de vouloir bien re vêtir de votre signature la projet de décret ci-joint. Veuillez agréer, monsieur le Président, l'hommage de mon respectueux dévouement. Le président du conseil, ministre de la guerre, >
de
:
Vu pour exécution Le grand chancelier de la Légion d'honneur. Gai FLORENTIN.
Par décret du Président de la République en date du 7 janvier191S, rendu sur la proposition du président du conseil, ministre de la guerre. vu ia déclaration du conseil de l'ordre de la Légion d'honneur, portant que les nominations du présentadécret sont faites en conformité des lois, décrets et règlements en vigueur, sont nommés au grade de chevalier de ta Légion d'honneur au titre civil sans traitement Mme veuve SEGUI (Marie}, née BRUGEILLE, infirmière temporaire titulaire des hôpitaux militaires. « Titres exceptionnels Infirmière dévouée, prodiguant ses soins aux blessés militaires depuis le l"r septembre LUI, a été blessée en pansant un malade atteint de septicémie grave a contracté ainsi une infection qui a mis ses jours en danger et a nécessité l'amputation du bras gauche. M. BOSSARD (Ernest-Marie), commissaire central de police, attaché au gouvernement militaire de Paris. « Titrés exceptionnels » a fait preuve au début de la mobilisation et pendant la période qui a précédé la bataille de la Marne, de la plus intelligente initiative, Par son calme, son sang-froid, son attitude courageuse, a donné un bel exemple, assurant partout la surveillance policiÓre, notamment dans les environs d'ouvrages d'art, lorsque des coureurs ennemis en auto étaient signalés. A ensuite, au coursde la guerre, rendu des services exceptionnels dans les recherches dont il fut chargé.
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GEORGES CLEMENCEAU.
RAPPORT Le Président de la Répnblique française, Sur le rapport du président du conseil, ministre de la guerre,
AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE.
Paris, le 6 janvier 1918. Décrète : Monsieur le Président, Art. 1er. — Le drapeau du régiment de mardemander do de vouloit J'ai l'honneur vous décoré la est de croix étrangère la légion che de .——————— bien conférer la croix de chevalier de la Légion la Légion d'honneur de traitement, It application - des d'honneur avec par la régiment, qu'anime haiue de Merveilleux datedu janvier1918,rendu « prescriptions du décret du 8 novembre 1!¡1;, l'ennemi et l'esprit de sacrifice le plus élevé. Ion du ministre des finances: modifié par celui du 27 août 1915, à l'officier les ordres du 1915. mai qualitéderapporteur, Artois, le 9 En sous « dont le nom suit, qui a rendu des services disl'assaut à s'est élancé lieutenant-colonel COT, à la cour des comptes, tingués HSi°nsiinî"-qualité de la campagne actuelle au cours bond, seul enfonçant, d'un blancs, des ouvrages de rapporteur, à la TEYSSONNIEH (Philomen-Hippolyte), capil( Neîitu^UneciP^ir'bution toutes les organisations ennemies, enlevant la de prévue l'article à 11 les Glt d'un JUllet 19lf>, concernant l'établis- cote 140, poussant jusqu'à Carency et Souchez. taine d'infanterie coloniale (réserve) au 21° baseptembre 1915, sous taillon de tirailleurs sénégalais. extraordinaire sur « En Champagne, le 25 commandant ROZET, a conquis ordres du les Si vous approuvez cette proposition, je vous supplémentaires ou l'ouvrage de Wagram, au nord de Souain. du31décembreguerre. 1917 serai reconnaissant de vouloir bien revêtir do les ordres du lieute- votre signature le projet de décret ci-joint. « Le 28 septembre, sous nant-colonel COT, a triomphé d'une organisa1IIlr par Veuillez agréer, monsieur le Président, l'homtion puissante et, poussant jusqu'aux tranchées mage respectueux dévouement. de mon enleles Navarin, M.Moleux,inspecteur des la ferme de bois de a et aux finances en date vés. flnances Le président du conêil, ministre de la guerre, le 4 juillet 1916, sous les GEORGES CLEMENCEAU. « Dans la Somme, ordres du lieutenant-colonel COT, après avoir
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Le Président de la République française, Sur le rapport président du conseil, mi, nistre de la guerre, Vu la loi du 21 juillet 1873, article 40; Vu le décret organique de la Légion d'honneur du 16 mars 1852; Vu les décrets des 8 novembre 1913, et 27 août
du
; Le conseil de l'ordre entendu,
1915
:
Décrète
Art. ler. — Est admis à compter du 9 décembre 1917 au traitement de la croix de chevalier de la Légion d'honneur qui lui a été conférée, l'officier dont le nom suit : TEYSSONNIER (Philomen-IIippolyte), capi-
nont territorial d'infanterie, affecté au grand quartier général (section d'informations), chevalier de la Légion d'honneur au titre civil par décret du 5 juillet 1913 au front depuis les premiers jours de la guerre. Le 9 octobre 1914, comme sous-officier sest offert spontanément à son colonel pour se rendre au fort de Douaumontviolemment bombardé. Nommé officier dans un état-major a, en 1916, au cours de la bataille de Verdun, reçu plusieurs missions l'appelant en première ligne et n'a pas hésité à se porter dans des tranchées très exposées pour mieux suivre le développement des actions et se documenter sur place. Officier d'une haute valeur morale qui; à ses qualités intellectuelles, joint celles d'un soldat. (Croix de guerre.) Art. 2. — Cette croix sera prélevée sur le contingent ordinaire du ministère de la guerre. Art. 3. — Le président du conseil, ministre de la guerre et le grand chancelier dela Légion d'honneur sont chargés chacun en ce qui le concerne de l'exécution du présent décret. Fait à Paris, le 7 janvier 1918.
:
taine d'infanterie coloniale (réserve) au 21e bataillon de tirailleurs sénégalais, chevalier de la Légion d'honneur au titre de la réserve et de l'armée territoriale par décret du 12 juillet 1911 s'esl brillamment distingué au cours des combats des 16 et 17 juin 1916. Quoique douloureusement blessé, a enlevé sa compagnie à l'assaut. Ne s'est laissé évacuer qu'à bout de forPOINCARÉ. R. ces, faisant preuve d'un dévouement absolu et Par la Président de la République d'un mépris complet de la douleur. A déjà été cité. Le président du conseil, ministre de la guerre, GEORGES CLEMENCEAU. Art. 2. — Cette croix sera prélevée sur le contingent ordinaire du ministere de la guerre. Vu pour exécution : Art. 3. — Le président du conseil, ministre de grand Le chancelier de la Légion d'honneur, la guerre, et le grand chancelier de la Légion Gai florentin. d'honneur sont chargés, chacun en ce qui le I—- .l.—..I——— concerne, de l'exécution du présent décret. Fait à Paris, le 7 janvier 1918.
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RAPPORT
R. POINCARÉ.
Par le Président de la République Le président du conseil, ministre de la guerre, GEORGES CLEMENCEAU.
Vu pour exécution Le grand chancelier de la Légion d'honneur, Gai FLORENTIN.
RAPPORT AU PRÉSIDENT DÇ, LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Paris, le 6 janvier 1918.
AU
PRESSENT DZ LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Paris, le 6 janvier 1928. Monsieur le Président, Le général commissaire résident général de la République française au 1..roc m'a demandé de faire admettre au traitement de chevalier de la Légion d'honneur, par application des dispositions du décret du 8 novembre 1913, modifie par celui du 27 août 1915, l'officier dont le nom suit, qui a rendu des services distingués au cours de la campagne actuelle POITOUX (Eugène-Emile-Laurent), capitaine territorial du génie. J'ai, en conséquence, l'honneur de vous demander de vouloir bien conférer la croix de chevalier de la Légion d'honneur avec traitement au capitaine territorial du génie Poitoux. Si vous approuvez cette proposition, je vous serai reconnaissant de vouloir bien revêtir de votre signature le décret ci-joint. Veuillez agréer, monsieur le Président, l'hommage de mon respectueux dévouement. Le président du conseil, ministre de la guerre,
:
chancelier eDgnf ^e» conseil. Art. 3. Le président du CPrésent de la guerre et le grand chargés,duPteseut gion d'honneur sont qui le concerne, de l'exécution
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cret. Fait à Paris, le
7
janvier
1918. R.
POINced.
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Par le Président de la République Suefrt, la de ministre président Le du conseil,
ci
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GEORGES CLEMENCEAU.
Le
grand
Vu pour exécution chancelier de la Légion Gai FLORENTIN.
RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE
fRANC.
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& Paris, le 6 janvier Legénéral commandant enchefIe?efatf* tf!!~ uf Monsieur le Président, chef1~ ¡11 a
Le général commandant endernll"lde
roend$.% du Nord et du Nord-Est m'a la admettre au traitementdes deprescriptiOlIsdu PacelulJ taire, par application i de modifie cret du 8 novembre 1913, je'" le dont 27 août 1915, le militaire g distingués au a rendu des services adactuelle campagne : PETITGOÉXOT(Pierre-François-Ana: le' d" dO rtillerle PETITGUÉOT (Pi erre-Fran ÇOls-di judant-chef territorial au 6e rég.
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campagne.
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5 méd'aujjpîlM,j de J'ai, en conséquence, l'honneur elliptel 1)$ de vouloir bien conférer la a militaire, à avec traitement ce approuvez cetteproposiu"* je^
1" octobre 1917
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Si vous
serai reconnaissant de bien vouloir é"idCJ1t, votre signature le décret ci-joint. deYOgllerr' le Veuillez agréer, monsieur l'hommage de mon respectueux Le président du conseil, ministre de
la
GEORGES CLEMENCEAU.
^ran^a^ c°nSeji) jJ1¡"
Le Président de la République Sur le rapport du président du 852 nistre de la guerre, de et21 aO Vu les décrets organiquesfévrIe; ao*t militaire des 22 janvier et 29 ,)~l et Vu les décrets des 8 novembre 19w
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Monsieur le Président, Le général commandant en chef les armées du Nord et du Nord-Est m'a demandé de faire admettre au traitement de chevalier de la Lé1915 gion d'honneur, par application des dispositions Le conseil de l'ordre entendu, du décret du 8 novembre 1913, modifie par ce1etoelte oc! Décrète lui du 27 août 1915, l'officier dont le nom suit, iriédaillo fllili loi di, qui a rendu des services distingués au cours compter Art. 1er. — Est admis, à de la campagne actuelle : bre 1917, au traitement de la MADELIN(Emile-Marie-Louis),soiis-lieutenant qui lui a été conférée le militaire do GEORGES CLEMENCEAU. suit territorial d'infanterie, affecté au G. Q. G. le),ad" (Pierre-FrancoIS-d"rtiJlerl de '13" PETITGUÉNOT tre de J'ai, en conséquence, l'honneur de vous derég. judant-chef territorial 6° mander de vouloir bien conférer la croix de au Le Président de la République française, médaillé militaire chevalier de la Légion d'honneur, avec traitecampagne, sec*} Sur le rapport du président du conseil, mi- réserve et de l'armée territoriale, ment, au sous-lieutenant Madelin. dego, 31 décembre 1912 : d'abord dans Si vous approuvez,cette proposition, je vous nistre de la guerre, batteriedoSOfaito fon, Vu la loi du 24 juillet 1873, article 40, de munitions, puis dans circonstalices, serai reconnaissant de vouloir bien revêtir de une Vu le décret organique de la Légion d'hon- combattu en Alsace, à Verdun, sur votre signature le décret ci-joint. et n'a cessé, en toutes Veuillez agréer, monsieur le Président, l'hom- neur du 16 mars 1852, ren'mme o, Vu les décrets des 8 novembre et 1913 27 août montre de belles qualités sous le ~'ec~~ mage de mon respectueux dévouement. signalé 1915, s'est particulièrement 1916, soIl Le président du conseil, ministre de la guerre, Le conseil de l'Ordre entendu, servateur, puis comme commandant pardClIle(1Pts. GEORGES CLEMENCEAU. où il a su maintenir le calme Décrète sonnel, malgré de violents prélBlagtltr6 Art. 1er. — Est admis à compter du 31 octo- Une rnÍll/;¡Ofl bre 1917 au traitement de la croix de chevalier Art. 2. — Cette médaille seraconsel la}jég. Le Président de la République française, qui lui a été conférée, contingent ordinaire du ministère de de la Légion d'honneur suit Sur le rapport du président du conseil, l'officier dont le nom Art.3. — Le président du : ce <{\JI ministre de la guerre, de chancelier POITOUX (Eugène-Emile-Laurent), capitaine de la guerre, et le grand Vu la loi du 21 juillet 1873, article 40; chacun chargés, d'honneur sont 4, territorial de du génie, chevalier la Légion décret le Vu organique de la Légion d'honprésent du de l'exécution concerne, et d'honneur de réserve de l'année titre la du 16 1852; neur au mars Fait à Paris, le 7 janvier Vu les décrets des S novembre 1913 et 27 août territoriale, par décret du 11 juillet 1912: offipoitfC-1 cier vigoureux qui a toujours montré une acti1915 R. guerf' vité et un entrain dignes des plus grands Le conseil de l'ordre entendu, République le Président la de Par éloges, S'est dépensé sans compter, depuis la de ministre conseil, président du Le Décrète cessé de donner à sa commobilisation, et n'a CLEMENCEAU. exemple d'allant, pagnie le meilleur d'entrain GEORGES à admis Art. 1er. — Est compter du 3 no- et de exécutioll 14000 réconfortant hommes dans courage, ses Vu pour vembre 1917 au traitement de la croix de che- les moments d pénibles, soutenant leur moral Légion Yalier dé la Légion d'honneur qui lui a été 1 Le grand chancelier de la leur faisant partager foi patriotique. et sa j conférée, l'officier dont le nom suit Gai FLORENTIN. Art. 2. — Cette croix' sera prélevée sur le Emile-Marie-Louis MADELIN sous-lieute- contingent ordinaire du ministère de la guerre.
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d'infanterie ®lC~Paul-Henriterritorial vice-prési-
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VELLARD (André), lieutenant au rég. de marche de spahis marocains le 20 octobre, à
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la tête de deux pelotons, s'est élancé à l'assaut d'une redoute ennemie fortement organisée sous le feu des mitrailleuses et des grenades, a traversé le réseau de fil de fer barbelé, a sauté dans la tranchée, tuant et faisant prisonniers les occupants, s'emparant de deux mitrailleuses
et d'un important butin. ilitaire net SOI,IS-seréta're .1 )Unitl du BROCARD (Alexandre-Félix), sous-lieutenant III' la Seme détaché directeur cabiau exceldirecteurduservice de rég. de marche de spahis marocains d'Etat dp?i de la justice au est lent officier d'avant-garde. Déjà deux fois cité. dans ePlace du sel'VI\'e fonctions de les taè, reconnaissance avec deux hommes et Etant cie la justice en aire SClÍet ~~ice militaire, en en se trouvant subitement face à face avec une ScherdUn de 1. le sous-intendant milid.lln, p•lu^ 1918. Fait cinquantaine d'Autrichiens, cria de toutes ses lUI::'janvier hors hors Iadres. radres. Ii forces Ce cri, répété par les « En avant » deux éclaireurs, fit s'enfuir l'ennemi qui se crut surpris par une attaque en force et permit GEORGES CLEMKNCRAU. d'occuper sans pertes une importante position. -————————— FAVROT (Jean), mie 151, maréchal des logis UstordreCitations au rég. de marche de spahis marocains blessé grièvement à l'épaule, devant les rétit.sm.titMrt;. de l'armée. de fil de fer ennemis, en s'élançant à seaux les noms suivent suivent sont l'assaut d'une redoute, s'est maintenu couracitésàl'ordre lIorl noms geusement sur place et n'a consenti à se rendre à l'ambulance que sur un ordre formel. u l'ég' ct:t;AU(EdlllOnd), pont. Octobre forcé aemarelle IltraînéSes lieutenant-colonel PEZZOLI (Paul), de spahis marocains mie 2524, trompette au rég. le trois escadrons, qui de marche de spahis marocains: pendant les ^eSni^& v'°lents Das«i, ^?tt^ une combats des 19 et 20 octobre, a rempli les ViOl es,Le21octobre,sous un feu DoS rivière enlevé et des PlUs sesl cramponnéauterram fonctions d'agent de liaison dans des condimie. tions fort périlleuses. LeO octobre, sous le Une Puissante contre-attaque en- feu des mitrailleuses, s'est mis debout au moment de l'assaut, a sonné la charge et s'est élancé des premiers sur une redoute forteau l rég. 'ég. de deauteuraVec. chef d'escadron ment défendue et qui a été enlevée de haute marehe de trois de spahis marocains le lutte. deux Urs forti^n Ux escadrons, s'est emparé de redout HAMED BEN HAMADI, mie 137, trompette au 20 octobre, à la tête le 20 ocs'éter,Ùes lncant tl'anehes edelendue a donné l'assaut d'une puis- rég. de marche de spahis marocains tobre, sous le feu des mitrailleuses ennemies, par des réseaux de fils s'est debout mis moment de l'assaut, a et au des mitrailleuses, l'n Uvrage qui été enlevé de haute des Premiers, son fanion à la sonné la charge et s'est élancé des premiers sur une redoute fortement défendue et qui a été enlevée de haute lutte.. ROLLAND(Raymond-Arthur-Anselme), ABDELKADERBEN MILOUD, mie 79, 2e classe, capia,ns entriîn tomK-au tobfg 3ant de marche de spahis au rég. de marche de spahis marocains re'evée?uneVen^douteVfnement glorieusement, le 20 oc- nommé pour sa bravoure. S'est offert pour lévée son escadron à l'assaut aller sous un feu de grenades et de mitrailleuses cisailler les réseaux de fil de fer défentenue qui et été a enBEAUDENOMDE dant une redoute ennemie. Une grenade étant Je ADDENO tombée à ses côtés, l'a froidement écartée et îhelL CaPilainPf)^mmandant a u régmarLAIAZE !eU.10sPahismaIains toujours brillantau s'est remis au travail. (Alphonse-Marie;•
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brillant au Scé luttaes Premino rêtesa enlevé, à la tête de son dès les fortifiées. Le 20, s'est lutte tenun et à l'assaut d'une redoute qui a été enlevée de haute Ch h_"IPPAT (Charles-Antoine), capitaine O manda marche de spahis marocains: ia a NSoi^^n^brp compagnie de mitrailleuses. 1917, aux(0)ratiosqui grave blessure reçue h1A^a;étrèsp^Vement a tenu à prendre part sUions°Us commençaient le 19 octoblessé en se portant feu pour choisir de bonnes mitrailleuses. hALto, PalrOIS leutenant
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sa section à l'assaut ™d'e-Joachim-Robert), nantaurég.demarche lieutede spahis marocains brillamment 90 4teforternson erlt «e.tearPrPousséàJa du 20 octobre, a entraîné i oton à l'assaut l'assaut d'une redéfendue par des mitrailleuIl,tJSSAnD les grenade des défenseurs, a franchées ennemies et prlsonmers. S.NntSMl) G°I?es"Marie"Jac(Iues)' a fait nantaurég.demarche $0ctî>kg-re,s'est?fxilance lieutea.llclotonOutefortement de spahis marocains 4oh des premiers à l'asPeloto tUet tenue, entraînant Par SonPlupart exemple. A enlevé une la ereta«ramené des défenseurs se douze prisonniers. <>N
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mie 639, 2e classe, au rég. de marche de spahis marocains spahi de toute bravoure. Le 20octobre, blessé à la tête en s'élançant à l'assaut d'nne position ennemie a répondu à son chef d'escouade qui lui donnait l'ordre de se faire panser le travail qui est devant nous est plus intéressant que le pansement, et a continué sa course. EMBARECK BEN AHMED, mie 1360, 2e classe aurég.de marche de spahis marocaine. Le premier à l'assaut du 20 octobre. A tué un capitaine autrichien commandant la contreattaque ennemie après avoir été blessé par celui-ci. FOURNIER, mie 2598, 2e classe au rég. de marche de spahis marocains agent de liaison. Le 20 octobre, chargé de porter un ordre à un officier supérieur, au moment où l'attaque allait se déclancher, a demandé la permission de prendre part à l'assaut, en attendant la réponse. S'est élancé un des premiers et a tué (Je sa main un officier ennemi. EMBARECK BEN SMAIN, mie 129,20 classe au rég. de marche de spahis marocains s'est élancé un des premiers à l'assaut d'une redoute ennemie et est tombé blessé dans les réseaux de fils de fer. Resté sur le terrain, a eu l'énergie, la nuit tombée de se traîner jusque dans nos lignes. MOHAMED BEN AHMED, mie 1328, 2e classe au rég. de marche de spahis marocains connu pour sa bravoure. Le 20 octobre, s'est élancé undes premiers à l'assaut d'une redoute fortement tenue, excitant ses camarades par son exemple et sa parole. A sauté dans la tranchée et a tué deux mitrailleurs sur leur pièce. PARENTY (Maurice-Auguste-Henri), capitaine ordre, rég. d'infanterie officier de premier au 175ed'une crânerie et d'une bravoure remarquables. A l'attaque du 20 octobre 1917, a brillamment enlevé le groupe d'assaut qui est arrivé jusqu'à la tranchée ennemie, malgré un feu violent d'artillerie et de mitrailleuses. A AOMAR BEN LALILECIIE,
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été blessé au cours de l'action. Titulaire do quatre citations. Blessé pour la troisième fois. GALLEFE (Emile-Raymond), sous-lieutenant au 1750 rég. dinfanterie officier d'uue bravoure à toute épreuve, a fait l'admiration de tous à l'attaque du 20 ocrohre 1i7, par la crânerie avec laquelle il s'est porté à l'assaut des tranchées ennemies, devançant son peloton do vingt pas et lançant lui-même des grenades Tombé blessé par un éclat d'obus, s'est relevé et a repris la marche en avant. Tué sur la position par des balles de mitrailleuses. BECKER (Paul), sous-lieutenant, (jO compagnie, au 17<)" rég. et d'infanterie: officier d'un calme dans les circonstancourage simple ces les plus difficiles. A con,luit avec maitrise sa section à l'attaque d'un village occupé par l'ennemi, pris sous des feux croisés de mitrailleuses, a entraîné ses hommes et pris pied dans le village en pénétrant à leur tête dans uno des premières maisons qu'il a occupé pendant huit heures. A entretenu c'iez ses hommes l'esprit combattif malgré la violence du feu ennemi, contrebattant sans arrêt les mitrailleuses ennemies, arrêtant par le feu deux contre-attaques, faisant subir des pertes l'ennemi qu'il a ainsi contraint à demeurer sur la défensive. Ne s'est replié le soir que sur ordre. CUILBERT (Emile), caporal, 6° compagnie, au 176e rég. d'infanterie : gradé énergique et intelligent. A pénétré avec une patrouille, malgré un feu intense de mitrailleuses, dans une des premières maisons d'un village occupé par l'ennemi A été blessé à la cuisse et au bras, au moment où il pénétrait dans tlt maison, par une belle qui provoqua l'explosion d'une grenade qu'il tenait à la main. Resté bloqué pendant huit heures, sommairement pansé par un de ses hommes, a réussi à s'échapper le soir et à regagner la ligne tenue par la compagnie en faisant feu lui-même, malgré sa blessure, sur un éclaireur d'une patrouille ennemie qui s'avançait pour le capturer. BREMOND (Daniel), caporal, 6e compagnie, gradé intelligent, au 176e rég. d'infanterie d'un dévouement inlassable, à qui on pouvait tout demander. Toujours volontaire pour les missions périlleuses. Au combat du 20octobre, a conduit avec audace, pendant toute la progression, une patrouille d'a\ant-garde. Dirigeant le tir d'un fusil mitrailleur placé dans une des premières maisons d'un village occupé par l'ennemi, a contrebattu coup pour coup pendant huit heures le tir des mitrailleuses ennemies qui arrêtait- la marche de la compagnie. A contribué d'une façon décisive à arrêter le déclanchement de deux contre-attaques ennemies. Blessé grièvement alors que, dans un moment critique, il prenait lui-même lo fusil mitrailleur en mains, s'est écrié « Je veux rester avec les camarades ». Est mort quelques heures après. PLAZA (Jean), soldat, 66 compagnie, au 176e rég. d'infanterie soldat dévoué, victime de son courage. A reçu une balle en pleine poitrine en faisant le coup de feu, debout, contre des patrouilles ennemies qui cherchaient à encercler la reconnaissance dont il faisait partie, (Ordre du 27 novembre 1917.) JULLIEN (Charles), sous-lieutenant au 58erég. d'infanterie, He compagnie officier du plus grand mérite, sur le front depuis le début de la campagne, s'est toujours fait remarquer par son entrain, son énergie et sa bravoure. Très aimé de ses hommes. A été blessé grièvement par éclats d'obus à l'infirmerie-où il venait d'entrer, à bout de forces et atteint de paluAmputé de la main gauche. A déjà été disme.l'ordre disme. du régiment. cité à (Ordre du 11 novembre 1917.)
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LE RÉGIMENT DE MARCHE DE SPAHIS MAROCAINS : sous le commandement d'un véritable chef, le colonel DUPERTUIS, vient à nouveau de remplir, et au delà, la mission qui lui
était confiée, en escaladant falaises et montagnes défendues par des forces autrichiennes et en leur infligeant des échecs successifs et sanglants bien que seul contre plusieurs bataillons. BUCK (Charles), chef de bataillon de l'infanterie coloniale aux Dardanelles, a dirigé les services du port, sous un bombardement quotidien, avec une bravoure, une activité et une compétence au-dessus de tout éloge. A montré
:
les mêmes qualités militaires an cours des diverses missions qui lui ont été confiées à l'armée d'Orient. S'est acquitté brillamment des tâches les plus délicates, et par son esprit d'inititive et son énergie, a beaucoup contribué à assurer le ravitaillementde l'armée. VERGUET(Louis-Marie-Edmond), capitainedu 4* groupe au 121e rég. d'artillerie lourde commandant de batterie hors pair. N'a cessé de donner à tous l'exemple d'une activité inlassable et d'un absolu mépris du danger. Au cours des combats du 3 au 13 mai 1917, a continué à faire les reconnaissances des positions ennemies, poussant ses observatoires jusque dans les postes d'écoute. CHAPUIS (Maxime),sous-lieutenant du 4*groupe au121*rég. d'artillerie lourde: officierdévoué, belle attitude au feu. Au front depuis février 1915, a rempli des missions périlleuses avec un calme remarquable et un entrain qui ne s'est jamais démenti. Au cours des attaques de la 2e armée serbe, a continué à faire preuve des plus belles qualités militaires. BENOIST (André), commissaire de police de ire classe, adjoint au chef du service de la sûreté du C. A. A. : depuis près de deux ans, en Orient, n'a cessé de se faire remarquer par A été chargé son activité et sa clairvoyance. de missions périlleuses; a tenu des postes difficiles et, en Macédoine, comme en Albanie, a été un aide précieux pour le commandement. FLEUROT (Paul), attaché de lre classe à l'intendance militaire venu, sur sa demande, à l'armée d'Orient d'où il refusa de se laisser évacuer définitivement après une grave maladie, malgré l'avis des médecins. Officier consciencieux, intelligent et actif. Chargé à différentes reprises de missions difficiles, délicates et parfois dangereuses, les a toujours remplies avec beaucoup de dévouement, de sang-froid et d'initiative. (Ordre du 16 novembre 1917.)
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de Californie. Les 30 et 31 juillet, a conquis au Chemin des Dames et dépassé ses objctifs: s'est maintenu dans la tranchée allemande de sans perdre un pouce de terrain, malgré des réactions et des bombardements ennemis continuels. A fait 80 prisonniers et -pris 6 mitrailleuses. Au cours des opérations du 23 au 26 octobre, a, par ses détachements de creutes, décimés par les mitrailleuses et l'artillerie lourde, surpassé encore sa réputation d'héroïsme. Mis à la disposition d'une grande unité voisine, a lutté pendant deux jours, enlevé des carrières et trois lignes de tranchées fortement tenues par la garde prussienne, s'emparant de 100 prisonniers, 12mitrailleuses, 21 minenwerfers lourds et réalisant une avance de 1,500 mètres.
, (Ordre du 2 décembre 1917.) KIRIEFF (Paul), caporal, engagé volontaire
:
au 2e rég. étranger gradé dévoué, remarquable par son endurance, qui a fait preuve, au cours de plusieurs reconnaissances très périlleuses,de la plus grande bravoure. (Ordre du 24 octobre 1917.)
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LE 8° BATAILLON DE CHASSEURS A PIED sous la conduite du commandant DE GRILLEAU, a, le 16 avril 1911, enlevé de haute lutte
plusieurs lignes de tranchées ennemies fortement organisées et âprement défendues, fait deux cents prisonniers, pris huit mitrailleuses, plusieurs engins de tranchées et un important matériel, atteignant à l'heure prescrite tous les objectifs qui lui avaient été fixés. Le 18 avril, malgré des pertes sévères, a résisté victorieusement à des contre-attaques -ennemies précédées d'un violent bombardement et maintenu intégralement le terrain conquis, en infligeant des pertes sérieuses à l'ennemi.
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LE 16e BATAILLON DE CHASSEURS A PIED
sous le commandement de son chef, le chef de bataillon D'AQUIN, a brillamment concouru, le 16 avril 1917, à l'attaque de positions fortement organisées. A repoussé, le 18 avril, une violente contre-attaque allemande. A déployé pendant vingt jours dans l'occupation d'un secteur sont très bombardé des qualités exceptionnelles Les militaires dont les noms suivent d'énergie et d'endurance. cités à l'ordre de l'armée LA COMPAGNIE 6/3 DU 9* RÉGIMENT DU LA 101* BATTERIE DE 58 DU 268e RÉGIMENT GÉNIE compagnie d'élite qui a montré, deD'ARTILLERIE (ancienne 105e batterie de 58 du lantes puis le début de la campagne, les plus bril44* rég. d'artillerie) remarquable unité qui a qualités techniques et militaires. A pris de nouveau fait preuve, pendant les attaques une part très active et très appréciée aux opéd'août et septembre 1917, des plus belles qua- rations de sa division"sur l'Yser, en Argonne, lités d'énergie et de courage sous le feu. Sous en Champagne, à Verdun, sur la Somme etsur l'impulsion de sonchef, le lieutenant CLE- l'Aisne. Dans la guerrede mines commedans MENTEL, véritableentraîneur d'hommes, d'une la guerre de tranchées, a toujours fait preuve bravoure admirable, tout le personnel a con- d'un bel esprit de sacrifice, d'un héroïsme motinué à servir ses canons sous les bombarde- deste, d'une endurance au travail remarquable ments incessants de la plus grande violence et d'une belle crânerie. et rempli jusqu'au bout sa mission avec succès. LA COMPAGNIE 6/53 DU 9eRÉGIMENT DU GROUPE DE BRANCARDIERS DE LA 38e DIVI- GÉNIE: constituée pendant la campagne, a acSION sous la brillante conduite de son ch", quis rapidement une excellentecohésion et de le médecin-major de 2e classe FONVIEILLES, solides qualités techniques qui, jointes à un bel a, en toutes circonstances, donne des marques esprit d abnégation et de sacrifice, ont permis de courage poussées jusqu'à l'abnégation. A au commandement de compter sur elle en assuré, en particulier, dans la période du 24 au toutes circonstances. S'est particulièrement 31 octobre 1916, avec une bravoure provoquant fait remarquer, pendant les offensives de Verl'admiration, l'évacuation des blessés d'une dun, de la Somme et de l'Aisne, par sa persisposition très avancée, surmontant les difficultés tance dans l'effort, son activité et son endulong trajet découvert dans un terrain rance au travail, dans des conditions excessid'un détrempe et bouleversé,,sousun incessant bom- vement pénibles et périlleuses. bardement. (Ordre du 25 novembre 1917.) (Ordre du 29 novembre 1917.) LAMONT (Roberî-Patterson), conducteur àla PARENT, capitaine d'artillerie, faisant fonc- section-groupe T. M. U. 133 conducteur d'un tions d'ingénieur a montré un zèle et une courage et d'une abnégation admirables. Le activité remarquables dans les mesures prises 7octobre 1917, a assuré, dans les conditions les pour le sauvetage d'ouvriers et de soldats an- plus difficiles, un transport de matériel à proxiglais les à la suite d'une émission de gaz faite par mité des premières lignes. Grièvement atteint Allemands dans les mines de N'a pas par l'explosion d'un obus qui lui a enlevé la hésité à descendre lui-même à deux reprises main gauche, a fait l'admiration de ses chefs différentes, les 29 et 30 septembre 1917, au fond et de ses camarades par son calme et son énerdes puits, pour se rendre compte de l'aérage gie, donnant it tous un exemple remarquable de de la mine et des conditions de travail des haute valeur morale. ouvriers, faisant preuve du mépris du danger (Ordre du 26 novembre 1917.) absolu. le plus LE 164e RÉGIMENT D'INFANTERIE magnifi(Ordre du 30 novembre 1917.) que régiment qui a donné, depuis le début de LE 28e BATAILLON DE CHASSEURS A PIED la campagne, les plus beaux exemples d'arbataillon d'attaque, déjà titulaire de la fourra- deur offensive, d'indomptable ténacité et de gère qui, sous le commandement d'un chef noble esprit de discipline, notamment dans Jeune et énergique, le commandant PRU- les sanglants combats d'Ornes en décembre DIIONNE, n'a cessé do se distinguer au cours 1914, etdans la défense opiniâtre de ses poside la bataille de l'Aisne (avril-octobre 1917). tions à Verdun, en février 1916, où, malgré des Amené rapidement, le 3 juin, sous un bom- pertes causées par un bombardement violent bardement intense, a repris d'un seul élan et et continu, il résista jusqu'au bout, défendant conservé les positions dominantes du plateau le terrain pied à pied et contre-attaauant saas,
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cesse avec un entrain bel esprit de sacrifice. (Ordre du 26 novembre 1917.) çomtfj, iant. ROUGY (Pierre), lieutenant, l'escadrille F. 9 : pilote très donner.-gxtjiflPj III1davol/l d'escadrille toujours prêt à les .ei7jul, v-ol en accomplissant lui-même heures plus périlleuses. Compte 110 pardeux joBs dessus des lignes depuis son et # let, attaqué plusieurs fois te-te tenu nemis, leur a brillamment photographIque. accompli sa mission (Augustin), lieutenaf^ilote
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0(lioDffi; à voler par les plus uA5 soIlsailli circonstances les plus périlleuses. Le s'est proposé volontairement pour àsol,sa spéciale très dangereuse, et, grâce -.\Iariet froid, l'a pleinement réussi. DE RUSSEL D'INVAL(Mme) lve1.1 de David religion Marie en sœur dévouement faitdpre, el LlDendail rieure du couvent de a 191,rittraS: -, sieurs reprises d'un froid admirables. Le il octobre cou'pCleJ1181 un violent bombardement de ceexenu tre formé en hôpital, a su. par son OUIV tenir l'ordre et la calme, et, avec concours de ses religieuses, a pu CIlJflnts otf bri 250 malades et blessés et 380 fugiés. religlellt sœtlf d LANGLET (Thérèse) (Ime), en Marie Elma de Sion religieuse au transeet5011 Le 11 octobre 1917, pendant 2eets®, bombardement de ce couvent courog hôpital, s'est distinguée par son ation3eS <jp dévouement. A été grièvement éclat d'obus en pr cédant à malades et des blessés. 1917.) (Ordre du 30 octobre capitaine J*r$. régI dévouerne gjeu|® BÉGUINET (Octave), Cit'Llsle d'infanterie : officier d'un eserfJV'" plaire et d'une grande bravoure. fois pour sa belle attitude devant Blessé très grièvement en assurant de son secteur au cours d'un violes -" eapitIlt e compagnie d'une bravoure exemple ?jrc. ^PÎI»| QUENARDEL (Emile-Léopold),
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bataillon : dirigeait sautéePreinierdans lors d'un coup de mainCOntreUnnnlerunguetteur la tranchée ennemie, tuPérieureecontre-attaque et s'est défendu supéreieure en nombre, assuré immédiate et très ftssuriil'évacuation JfVacuatio11 du prisonnier jusqu'à ce de qu'iltous aIt du prisonnier et de tous 15,Irile8486, 1915,mle rancis-rv.,,?s"îi(!uis)isergent,classe OUI'les an n, bataillonde chasseurs: très brave, toujours volontaire poupp^f, aMaqupin* OU ed.attaque dangereuses. A dirigé ^alt, un lors d'un Sfist^',.sest(Snn^i®lflUement coup de main. ConInéeonqUelorsque très supérieur en défendu et ne que ^TaltEr f sa mission a été terernP?rtant tous ses blessés et en prISonnier. 881,âE(RaoHI),
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sergent-fourrier, engagé voloneelesqU drée de la guerre. Sest particu2®N OeU d. 'StIngUC' bl25au2eOdantlesPar le et l'entrain courage a rempli ses fonctions d'agent du25u28septellibre v'e«sléle28se&,br®>attaques de Champagne ^1v8ej \'ellait desechon 1915. A été grièvement i(> en entrainant à l'assaut sect privée de ses chefs et dont WERNER mirePOU très le commandement. Jean), caporal, mie 43087, au bon gradé. Engagé volonr¡¡rrain la guerre. Aété griève161lt, CoIgentles le 26 septembre ain nqUIs, travaux d'organisation du conquî<! sous un violent bombardeSOus GALABRO (FrançOiS), en fi 0 Sij¡ soldat, mie 21818, au Portatguberre, A été blessé grièvemet engagé volontaire pour la Sabot,le septembre1915. l'attaque du bois
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mle 23109, soldat au ét6eiVeinen? \'OJontagr: excellent légionnatre. EnPour la durée de la guerre. hbflessé, lele l'assaut 9 mai 1915, desposien se à l'aiisaut des posi-
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tt. sous-lieutenant au terie Ctlois tfite deilfaèiîsanouvnr blessé, le 22 septemreOIS à l'épaule droite, au pédeartie lièrement le feu après avoir, Sa l'en sechon, effectué une marche Ii4étrer. îCe ",te
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par troupes ennemies quidifficile venaient
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JAGU(Marcel),
caporal, mie 08694, au 8e rég. de marche de zouaves le 31 octobre 1917, au cours de l'exécution d'un coup de main difficile sur une position ennemie, a fait preuve des superbes qualités d'entrain et de bravoure dont il est coutumier, A engagé avec l'ennemi un vif combat à la grenade, et a fait à lui seul trois prisonniers. DE BODIN DE BOISRENARD (Marie-Georges), lieutenant au 7e rég. de marche de tirailleurs venant d'être décoré pour faits de guerre, a brigué l'honneur d'exécuter avec sa section un coup de main, qu'il avait préparé minutieusement, qu'il a exécuté avec un allant incomparable, et qui lui a permis de ramener trois prisonniers et un nombreux matériel. Blessé à l'œil droit, a conservé le commandement de son détachement. BRISSAUT (Alfred), soldat, mle 12583 à la 10e compagnie du 7e rég. de marche de tirailleurs tirailleur courageux et d'une superbe attitude au feu, toujours volontaire pour les missions périlleuses, s'est fait remarquer pendant un coup de main exécuté dans la nuit du 31 octobre 1917, en cherchant à s'emparer avec une audace merveilleuse d'une mitrailleuse en action, a contribué pour une large part à la capture de trois prisonniers se défendant avec acharnement dans un abri. BARIOL, caporal à la 10e compagnie du 7° rég. de marche de tirailleurs caporal vigoureux et plein d'allant. Blessé dans un coup de main exécuté le 31 octobre 1917, au cours d'un combat à la grenade avec des ennemis se défendant avec acharnement, n'a voulu se laisser évacuer qu'après avoir mis en sécurité à l'arrière, les papiers qu'il avait trouvés et l'ennemi qu'il avait fait prisonnier. MOHAISIED (Ould Miloud), soldat, mle 7856, à la 10e compagnie du 7e rég. de marche de tirailleurs excellent tirailleur d'un allant exceptionnel, s'est fait remarquer au cours d'un coup de main exécuté dans la nuit du 31 octobre 1917, par la crânerie avec laquelle il s'est porté au-devant d'un F. M. qui, par ses tirs, aurait pu nuire à la réussite de l'opération et l'a forcé àse replier. (Ordre du 11 novembre 1917.) REBILLET (Georges), lieutenant au 5e groupe d'artillerie de campagne d'Afrique excellent combattant de batterie. Au front depuis plus de trois ans. S'est partout fait remarquer par une ardeur,une bravoure une conscience digne des plus grands éloges."Tué à son poste de combat le 15 octobre 1917.* DALEAU (Eugène-Mathurin-Julien), sous-lieutenant au 37e rég d'infanterie entraîneur d'hommes remarquable, qui a toujours fait preuve d'un souverain mépris du danger. Grièvement blessé au moment où, pris dans un barrage, il maintenait merveilleusement le calme de sa troupe. RAB1NEAU (Joseph-Maurice), sous-lieutenant au 77e rég. d'infanterie : très belle conduite pendant la campagne de Belgique et, en particulier, au combat de Bièvres,puis à la cote 304 à Verdun, le 7 mai 1916 Au cumbat de cette première journée, fut blessé à l'épaule par éclats d'obus, puis fortement commotionné; enfin, très gravement blessé. par une balle à la cuisse. DEVILLERS (Louis), mle 1024, sergent au 81e rég. territorial d'infanterie très brillant sous-officier, aussi brave que modeste. Véritable entraîneur d'hommes, a été tué le 28 septembre 1917, à son poste de combat, en repoussant un coup de main ennemi. MAROLDT (Louis), caporal, mle 33743, au rég. de marcLe de la légion étrangère excellent gradé, doué des plus belles qualités militaires. Le 14 octobre 1917, au cours d'un bombardement, s'est héroïquement sacrifié pour maintenir le bon ordre dans son escouade qui regagnait son abri est tombé frappé à mort en accomplissant son devoir. PANIER (Xavier-Adrien), soldat, mle 018782, au 232e reg. d'infanterie ; excellent soldat. Grièvement blessé, le 21 octobre 1914, en rejoignant ses camarades montant à l'assaut, après avoir porté son officier mortellement bieSié, au poste de secours. MQUZAY(Charles), soldat, mle 2469, au 77e rég. d'infanterie le 19 juillet 1917, a fait
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preuve de courage au cours des violentes attaques allemandes. Grièvement blessé à son postedecombat. FANDMEYER (Edouard), caporal, mle 41570, au rég. de marche de la légion étrangère excellent gradé, d'une bravoure et d'une énergie remarquables. S'est particulièrement distingué pendant les opérations, en août 1917, au cours desquelles il a étë blessé en entraînant son escouade à l'assaut des positions ennemies. Reversé au front à peine guéri, est tombé glorieusement le 14 octobre 1917. DESMEURAT (Robert), adjudant, mle 2932, au 16° bataillon de chasseurs à pied chef de section d'une très grande valeur. S'est brillamment distingué à l'attaque du 20 août 1917, en entraînant sa section à l'assaut des positions ennemies; a fait une trentaine de prisonniers, dont un officier, au cours du nettoyage des abris ennemis. A été tué le 21 aoùt, sur les positions conquises. (Ordre du 14 novembre 1917.) GÉRARD, chef de bataillon, au 5" rég. du génie a fait preuve des plus belles qualités militaires et techniques dans la direction des chantiers de réoccupation des voies ferrées de la région de la Somme et de l'Aisne. N'a cessé d'être, depuis cette époque, un collaborateur des plus précieux pour les armées dans la zone desquelles il a fait exécuter, en cours de bataille, les travaux de voie ferrée les plus difficiles dans des zones bombardées, obtenant des unités qui lui sont confiées la ponctualité dans l'accomplissement de la tâche, l'entrain et le mépris du danger dont il a fait personnellement preuve. (Ordre du 12 novembre 1917.) ,
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Les militaires dont les noms suivent sont cités à l'ordre de l'armée
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BEURNE (Rémond), caporal au 29e
B.C.P., 4e compagnie, mie 7333 se trouvant en permission et étant témoin de l'atterrissage d'un Zeppelin, est arrivé un des premiers sur les lieux, et par son attitude énergique et décidée du empêché le commandant dirigeable de a mettre le feu au ballon. Déjà cité à l'ordre du bataillon et et de la division. (Ordre du 7 novembre 1917.) BOREL (Louis), adjudant-chef au Se rég. du marche de tirailleurs grièvement blessé, la 23 octobre 1917, au cours de l'attaque, a conservé son commandement et excite ses hommes de la voix et du geste jusqu'au moment où il tomba évanoui. Sous-officier remarquable de bravoure et d'énergie. EL FERDJAN1 BEN EL GIIARBI, caporal au 8e rég. de marche de tirailleurs, Ge compagnie le 2.) octobre 1917, au cours de l'attaque d'une position fortement organisée, s'est élancé l'un des premiers en excitant ses hommes de la voix et du geste, brisant tous les obstacles, ramenant des prisonniers et deux mitrailleuses légères. Blessé grièvement au cours de sa mission '0' CESARINI,(Paul), sous-lieutenant au Se rég. de marche de tirailleurs le 2 octobre 1917, resté seul officier de son unité a rassemblé, malgré la violence des feux de mitrailleuses, les éléments de sa compagnie et les a menés jusqu'à l'objectif, marquant ainsi son ascendant sur ses hommes et contribuant par son action personnelle, au succès final. Officier d'une bravoure et d'un sang-froid admirables, animé du plus haut sentiment du devoir. AiNIEUR BEN BAHRI, soldat au Se rég. do marche de tirailleurs le 23 octobre 1917, après la mort de son caporal, a pris le commandement de son escouade et l'a vigoureusement elltrainée. Recevant l'ordre de détruire une mitrailleuse qui gênait la marche de la compagnie, a manœuvré très intelligemment et est parvenu à la prendre par surprise, capturant les servants. Jeune tirailleur, qui, pour ses débuts au feu, a fait l'admiration de ses camarades par sa bravoure. SAAD BEN SLIMAN, soldat de lre classe au 8e rég. de marche de tirailleurs le 26 octobre 1917, malgré les tirs des mitrailleuses ennemies et le bombardement, a été volontairement et en plein jour, chercher un blessé qui se trouvait à plus de 250 mètres eif avant de
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L'a rapporté sur son dos donnant le nos lignes. plus bel exemple de courage et de ainsi camaraderie. D'ARRAS (F.redéric-Marie-Marcel), sous-lieutenant au 8c rég. de marche de tirailleurs le 23 octobre 1917, a conduit sa section, au cours d'une reconnaissance audacieuse, avec une vigueur et uneénergie qui assurèrent le succès, réduisant de nombreuses mitrailleuses et poussant jusqu'au canal. Officier d'une valeur exceptionnelle, véritable entraîneur d'hommes. Modèle de calme, de sang-froid et de bravoure. BRAIIIM BEN YOUSSEF, sergent au 8e rég. le 23 octobre 1017, de marche de tirailleurs chargé, avec une forte patrouille, de rechercher le contact de l'ennemi, a poussé très loin prisonniers en avant du front, a ramené des et fourni des renseignements qui ont permis d'orienter les reconnaissances du lendemain. Sous-officier très intelligent, très brave, toujours volontaire pour les missions périlleuses. .-, MEFFREY (Albcrt-IIippolyte-Joseph), chef de 4e rég. mixte de zouaves et tirailbataillon au octobre 1917, a brillammentenleurs le 2:1 traîné son bataillon à l'assaut d'uneposition ennemie puissamment tenue par la gardeprussienne. A enlevé, d'un seul élan, plusieurs lignes de tranchées, brisant la résistance opiniâtre dol'adtersaire, infligeant à l'ennemi de lourdes pertes, capturant 400 prisonniers dont plusieurs officiers, des minenwcrfers et des mitrailleuses. DffOMME(Jean-Claude-André), chef de bataillon au 4° rég. mixte de zouaves et tirailleurs le 23 octobre 1917, a brillamment conduit son bataillon à l'attaque de l'objectif qui lui avait été donné, enlevan-tavecun admirable entrain un bois et la moitié d'un village solidement organisés et défendus opiniâtrement par des troupes de la garde prussienne, a fait près de 500 prisonniers dont plusieurs officiers, capturé 10 canons et un important matériel de guerre. CHEVAUX (André-Joseph-Antoinc), sous-lieutenant au4erég.mixtede zouaves et tirailleurs chef de section de mitrailleuses remarquable, plein d'allant et de bravoure, adoré de ses hommes. A rejoint son régiment pour prendre part à l'attaque du 23 octobre 1917, non encore guéri d'une blessure de guerre récente. A été tué par un obus, le 2G octobre, au moment où, en terrain découvert, à 500 mètres de l'ennemi, il procédait à la mise en batterie de ses mitrailleuses. LOYNET (Auguste-Lucien-Raphaël), capitaine au 4° rég. mixte de zouaves et tirailleurs officier d'un entraiu superbe. d'un dévouement absolu. Le 23 octobre 1917, s'est porté à l'attaque des positions ennemies, au milieu des premières vagues d'assaut d'une compagnie dont le capitaine avait été mis hors de combat, exaltant le moral des tirailleurs. A été blessé de deux balles une fois l'objectif atteint, au moment où il surveillait l'organisation de la position ennemie. IIOEMMERLE (Marcel), sous-lieutenant au jeune 46 rég. mixte de zouaves et tirailleurs officier ardent et résolu, ayant une haute conception du devoir militaire. Le 23 octobre 1917, a vigoureusement entraîné sa section à l'attaque des positions ennemies, a fait preuve do la plus louable initiative, en dépassant son objectif afin de réduire un centre de résistance qui gênait la progression des unités voisines. BIGEON (Jul'en), sergent au 4e rég. mixte de zouaves-tiiailleurs: engagé volontaire pour la durée de la guerre à l'âge de cinquante-deux ans, môdèle de toutes les vertus militaires. Le 23 octobre 1917, a vigoureusement entraîné sa demi-section à l'attaque des positions ennemies et a été grièvement blessé d'une balle au bras au moment où il atteignait l'objectif assigné à son unité. DEL.A.COUR (Charles-Alphonse), sous-lieutenantau 4erég.mixte de zouaves tirailleurs officier d'une remarquable énergie et de beaucoup d'allant. Blessé, le 22 octobre, a refusé de se laisser évacuer afin de prendre part à l'attaque du lendemain, le 23 octobre 1917, a enlevé brillamment sa section à l'assaut des tranchées ennemies et blessé une seconde fois dut abandonner son commandement, disant « Je regrette surtout de no pouvoir suivre mon bataillon jusqu'au bout 0.
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MOHAMED BEN AMMER EL MANSOURI, sol-
rég. mixte de zouaves tirailleurs tirailleur d'élite. Le 23 octobre 1917, s'est élancé avec un entrain superbe à l'attaque des positions ennemies, a atteint le premier l'objectif assigné à son unité. Sous la menace d'une contre-attaque, a rallié tous les grenadiers de la demi-section et exhorté ses camarades à lutter jusqu'à la mort pour défendre le terrain conquis. S'est joint ensuite à un autre bataillon pour coopérer à l'attaque du deuxième objectif. AInlED BEN IIASSINE, sergent au 4e rég. mixte de zouaves-tirailleurs sous-officier d'élite, d'un dévouement absolu, d'un courage à toute épreuve. Le 23 octobre 1917, a crânement entraîné sa demi-section à l'attaque des positions ennemies, a été très grièvement blessé dun éclat d'obus, au moment où, sur la position conquise, il prenait les dispositions lesplus judicieuses pour arrêter une contreattaque de grenadiers ennemis. SLIMAN BEN KIIELIFA BSN DAO, soldat au 4e rég. mixte de zouaves-tirailleurs tirailleur d'élite. S'est particulièrement distingué au cours de l'attaque du 23 octobre 1917, en se portant spontanément sur un centre de résistance ennemie,entraînantplusieurs camarades et obligeant à se rendre, par sa fougue et son audace, un groupe d'ennemis commandé par un oflicier. ALIX (Paul-Amédée), chef de bataillon au rég. d'infanterie coloniale du Maroc oflicier de tout premier ordre, aimant passionnément son métier, possédait la confiance absolue de ses supérieurs et de ses inférieurs. Blessé mortellement au moment où il plaçait ses hommes dans la parallèle de départ. LERICIIE (Félix-Charles), ctfpiUine au rég. d'infanterie coloniale du Maroc excellent oflicier. Après avoir préparé dans ses moindres détails l'attaque de sa compagnie, a pris, une heure avant le départ de l'attaque du 23 octobre 1917 et après la mort du commandant, le commandement du bataillon qu'il a conduit à l'attaque avec son calme et sa bravoure habituels. A contribué, dans la plus large mesure, à la prise de plus de 309 prisonniers et d'un dât au
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corgpaPQSitJOD: 311 beau sang-froid et d'une remarquai griséie tO\ltt: Le 23 octobre 1917, a enlevé sa un élan irrésistible à l'assaut lutte achrrI\uttc u ets» 0i a ennemies solidement tenues, 00e développe position nécessaire pour le de"ve,ionir)vpe" hau ment nien* les résistances dans une merci et a enfin conquis de position nécessaire pour le combat. LESTRILLE(Lucien),caporalau're,fd'inW d"!1(j.D'
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terie coloniale du Maroc très bon C 'lIug-frO! 1917, par _r0grcs^.;n« trailleur. Le 23 octobre arrêtaient:ia et son audace, a réduit au nu»»1 ses»s leuses allemandes qui du bataillon en mettant sa j un feu violent et en dirigeant un erge: sur l'ennemi.
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colonial ciueUil au rég. d'infanterie préciPI 23 octobre 1917, s'est hommes sur un groupe énergie, rSAI et, par son audace et son pl'JSOIllpX scCJUgcct'~ à se rendre, faisant ainsi 86 conduisue,•xgljr1 de ensuite le commandement co^hre. ii O-si tiol, privéesde leur chef, les a rédtll a jectif final et a organise 95 £(U"L^ Le avec la plus grande activée. avant, dans un nouveau bond en mettant les autr fuiv silence plusieurs mitrailleuses. elcclCIII .pt un des servants et MaroLLta\e, (Louis-Alphonse), DARDENNE rég. d'infanterie coloniale du c 3OC commandant de compagnie, s'est toujours fait remarquer dai1a" pris attaques auxquelles il a compagniebre 1917, a entraîné sa g, l>J'ctl,cl, d'une gnifique élan, à l'assaut n°' JvJiri'1-1*Lfila énergiquement défendue par importa*'mfltc'.Ul. sienne, l'a enlevée, faisant de nI)aitS sonniers et capturant un ou il Est tombé blessé au momentmarc»4, ordres pour la reprise de la 'J,rllil GLEIZE (Georges), soldat au bi11c»L,™tcoloniale du Maroc: a participé clllrO l'attaque du 23 octobre 1917. 1't1eS Illllr a trouille en avant du bataillon. mitraillé ®|J feu de C\'i gresser malgré \lle,U!aol0111311s. mies et a contribué, par son Toujours joW matériel très considérable.. prisonnier un groupe de 86 J BEAUGEARD (Pierre-Marie), aumônier au rég. enlever 3 mitrailleuses. les patrouilles, les jours d'infanterie coloniale du Maroc: aumônier pour FILLAUDEAU (Elie-Joseph),chef rapporté dallS8 d'un courage et d'une abnégation légendaires tamment préparadaf3:jJ au régiment. A l'attaque du 23octobre 1917, s'est prodigué auprès des blessés, n'hésitant pas à au rég. d'mfanterie coloniale du parcourir le champ de bataille dans tous les 23 octobre 1917, après avoir d£ > c,ril violents Après malgré de tirs barrage. de l'enlèvement sens, plus petits détails, le combat, s'est porté à plusieurs reprises en dirigé l'attaque de son bataillon première ligne, réconfortant la troupe par sa et sa bravoure ordinaires, présence et s'employant de son mieux à l'as- plus de 31) prisonniers, des nun°n 0r sainissement du champ de bataille. de nombreuses LACROIX (Louis-Léon), sous-lieutenant au PICHON (Marius-Léon), lieutenant le 23oc- batterie du 41e rég.d'artillerie ofii g4 'II. rég. d'infanterie coloniale du Maroc Id tête do plus tobre 1917, étant chef de la section de sou à commandant haute valeur,accompagnant bravoure 1ini.utcrJI' la compagnie, l'a brillamment entraînée à bravoure et compétence.A été l'Iltcr¡8'¡fS «p* ill l'assaut malgré un feu violent de l'ennemi. A balle au cœur en ca11 été blessé en s'élançant, avec sa section, sur 23octobre 1917, avec une équip-3 de sors-lieu*?stptJ1t S1^ un groupe de mitrailleurs ennemis qui gênait Stokes. la progression de la compagnie. MOREAU (Eugène-Louis), LEFEBVRE (Louis-Henri); capitaine au rég. 251°rég. d'artillerie officier brava.nllre%A, d'infanteriecoloniale duMaroc : officier d'une tinguéparson entrain et sa il!!,¡, P bravoure éprouvée donnant, en toutes circons- tontes les opérations auxquelles Ilil n)}Í" P'<~ 1916 tances, le plus bel exemple de sang-froid et du en particulier sur ladomine enmes:' mépris du danger.Le 23octobre 1917, entraîné la région de 1917. en 1917, acco1 merveilleusement sa troupe vers les objectifs lement, le 21 octobre assignés, a emporté ceux-ci de haute lutte. une mission périlleusô pour laquelle il S'est prodigué pour reformer son unité et spontanément offert. ijafltJ: t)| Ilà PtiD(Jean-Edmond),lieutenant assurer les liaisons avec les unités voisines. SAVALE ilpri~,,Ji, Très grièvement blessé au cours d'une reconnaissance de liaison, a montré le plus grand batterie du 419 d'artillerie : au cours l' Il. lUi:iSaJ}i," attaques d'octobre paration des troupe, rec.onn'¡3 aSfil exaltant moral de le sa courage, commandement d'une batterie qUiLe BRARD (Théophile-Jean-Marie), sergent au connue et a fait toutes ses anus®*^tt^^ rég. d'infanterie coloniale du Maroc : sous- sous de violents bombardements. oflicier d'un allant et d'une bravoure remar- la progression de l'infanterie, otir * P combat brillamment du servi Quatles. participé s'est A capturé, dont il au 23 un canon prC!!'")1 rétoctobre 1917. Le 20 octobre 1917, afait partie sur 3.. (1; d'une reconnaissance envoyée enavant des au u ROCIIET (Marie),chef d'escadrontOt pro positions conquises. Au moment où la reconpeilj a"t de d'artillerie officier supérieur : naissance était arrêtée par un violent barrage 23oc1ec Jsol sans compter d'artillerie et de mitrailleuses, tenu accom- ordre; s'est dépensé l'attaque. préparation de Le poursuivait mislieutenant qui sa pagner son efficacenlcnt résolument porté èn s'est sion avec une poignée d'hommes. A montré le plus/grand courage au cours de cette patrouille groupe pour agir plus pleine retraite. nemi, en rapportant les renseignements qui est rentrée demandés. Pj (Ordre du 15 novembre 1917.) Cbte!3¡¡'¡)1 dt1 GtRARD (Marie-IIenri-Joseph), ai'ae MENNERAT (Germain), capitaine, au rég. d'infanterie coloniale du Maroc officier d'un taillon au 5,1 génie, directeur des îl
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d'enpreuves les plus grandes de bravoure, train et de résistance. Après s'être signalé particulièrement dans les combats d'août et septembre1914, aux offensives de septembre 1915 ainsi qu'à la bataille de Verdunoù il a tenu pendant trois mois consécutifs sur des positions violemment battues, vient, sous les ordres du chefd'escadron MALRAISON, de prendre une part brillante aux opérations des 23 et 25 octobre 1917. Chargé d'accompagner l'infanterie dans sa progression, s'est deplacé sous le feu une rapidité remarquaavec une maîtrise bles, contribuant ainsi puissamment au succès de l'attaque.
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49e REGIMENT D'ARTILLERIE DE CAMPAGNE sous les ordres des chefs d'escadron DU ROU-
ZIERS et CIIONE, commandants de groupe, a montré, au cours des opérations des 23 et 25 oc-
tobre 1917, les belles qualités d'endurance, d'entrain et de bravoure dont il avait déjà fait preuve al'attaque d.e Craonne (juin-juillet1917). A conopérations, seulesuccès des tribué non au 1'.t\EGnIF.l' du leutenQ dit remarquablement l'exécution de tirs ment .'t par Ganterie "lfint!^ ant.nii'"npl sous les ordres précis pendant la préparation de l'attaque, mais Posiji^atrèsforinnicntPICARD, a enlevé avec aussi en n'hésitant pas, pour appuyer de plus Nvpllenten le 23 octobre 1917, des près l'infanterie, à se porter en avant dans le ?1tusarirèrel.» 0^ organisées. A repris le terrainconquis, malgré le feu intense de l'arâvant V«•eo.hiil-noutandt 'nNn^Progression le 25 dans octobre, bouscu- tillerie ennemie. ennemies, s'emparant nN,ieiTîPaîpp'!na OlllinUadtun Important S''é matériel de guerre. 266E RÉGIMENT D'ARTILLERIE DE CAMPAPI[UX,et GNE: sous les ordres du lieutenant-colonel la foret delaMrvarche le bombardement, les BOUFFARD, a brillamment participé, en mai, piiiin CaPturéuie hNieii et nnp Ylle dans un terrain înaré- juin et juillet 1917, aux opérations du plateau de b,lel'S.Pture tempète de vent et de Craonne. Vient de se distinguer, d'une façon 13 canons et plusde 803 pri- toute particulière, au cours des opérations des Nlï':-^8losni?INFANterie 2-3 et 25 octobre 1917, par la perfection de ses combattive dont il a fait l'ardeur et tirs exéoml68 le 23 octobre preuve, en exécutant, sous le feu, des déplaà¡¡VI'Cd'eXecute colonel FLYE-SALNTE- cements de batteries pour assurer plus efficaremarquablement remarquablement une ma-. cement l'appui direct de l'infanterie. très délicate; aréus.si ?H;iil!,rie,.(-r'- ÎUel'ennemiavaitorganisées TRANCHÉE DU 2E RÉGIDE BATTERIE 101E t J (Iue avait organisées MENT D'ARTILLERIE DE CAMPAGNE vW£ prileslsance Ulle& 1Sel'ennemi désespérée. anacharnée. A capturé plus cienne 124e batterie du 6e R.A.C.) malgréundéfense cité à déjà désespérée. les positions, l'ordre de l'armée pour l'endurance et l'esprit 140eRÉGIMENT fait preuve, SlPliUlieufenaJ;colonel DESTEZJET,aassumé de sacrifice dont elle a toujours de I),I^FANTERIE distinguer, à vient de cours au nouveau, se les C'sion 0sse n«l ?,e l'opération confiée sa or- l'attaque des 23 et 25 octobre 1917.sous les : sous Cie\l,.f.I¡'Ol1(;Tl)Qrs ordres du lieutenant CURIS, en action nuit et L'^x Unant des combats du 23 octobre jour; oubliant les fatigues d'une laborieuse préla!¡xda.ns Un mouvement trèsauda- paration, au cours de laquelle elle avait comennemies, 4iiCePp°Srps's®?ans arrêttrès etatteint boisé défavorable à plètement détruit les organisationsprogression, les îlots de résis- a accompagné l'infanterie dans de l'ennemi, en servant, malgré le feu violent tous et r!!¡'ililleli ,rn"alpe dW22e JleBOu m^euseÔV Drisonnicl's. les feux violents des nids une de ses batteries. A contribué ainsi à réA Prisun important matériel duire un impoftanlnid de mitrailleuses.
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5e BATAILLON DU 288e RÉGIMENT
le 23 octobre 1917, sous le commandement du chef de bataillon LAGOUBIE, après avoir subi deux journées de bombardement intense et un très violent tir de contre-préparation de plusieurs heures, s'est élancé a l'assaut à l'heure fixée, sans se préoccuper de ses lourdes pertes, et s'est emparé de deux lignes de tranchées ennemies, sur lesquelles il s'est maintenu, repoussant les violentes contreattaques des troupes de la garde prussienne. (Ordre du 13 novembre 1917.) TÊTARD (Gaston-Joseph), mie 32595, soldat à la 42e compagnie du 1er rég. de marche de le 28 octobre 1917, au cours de l'atzouaves taque d'un poste ennemi, a réussi, dans une lutte farouche, à dégager ses deux sergents blessés, qui étaient aux prises avec le chef de poste attaqué. A fait ce sous-officier prisonTERIE
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nier et est parvenu, malgré sa résistance, à l'entraîner. A donné à tous le plus bel exemple decourage et de sang-froid. PLÉ (Louis), mie 010217, sergent à la 42e comle pagnie du1errég.de marche de zouaves 28 octobre 1917, au cours d'une opération offensive, a su admirablement amener le demigroupe qu'il commandait jusqu'à deux pas de l'ennemi sans que celui-ci s'en aperçoive. A donné, avec son officier, l'élan à toute la fraction et a largement contribué à la réussite de l'opération, à laquelle, malgré une blessure, tl a tenu à participer jusqu'à ce qu'elle ait été terminée. BAZIN (André-Paul), médecin aide-major de 2e classe,du 10e groupe du 103erég. d'artillerie le 18 août 1917, prévenu qu'un officier lourde s'estprécipité près de observateur était blessé,été blessé par un obus lui pour le secourir et a qui tuait l'officier qu'il achevait de pans.ïr. Malgré sa blessure, a repris aussitôt son service pour donner des soins à des canonniers intoxiqués par les gaz. GORCE (Henri), sous-lieutenant de la 5e comle 20 août pagnie du 105e rég. d'infanterie 1917, s'est particulièrement distingué à l'attaque du bols d'Avocourt a fait, avec sa section, quarante prisonniers,dont deux officiers a réduit une mitrailleuse et a organisé, malgré le bombardement, la position conquise, ce qui lui permettait de repousser dans la soirée une violente contre-attaque. sa MAZUY (Jean-Pauî), mie 12176, 2ecanonnier servant àla 7e batterie du 5e groupe du 111° rëg. d'artillerie lourde a été très grièvement blessé, le 21 septembre 1917, sur la position de 54e RÉGIMENT D'ARTILLERIE DE CAMPAGNE batterie soumise à un tir violent, enallant se(àl'exception du4°groupe, affectéci la 6e division courir spontanément un sous-officier d'un de cavalerie) a pris part brillamment aux autre régiment qui venait d'être blessé. s'est durs combats du début de la campagne PELISSIER (Jean-Julien), mie 13150, soldat à signalé àl'offensive de Champagne ainsi qu'à la la 1re compagniedu462" rég. d'infanterie très bataille de Verdun, où il est resté engagé pen- brave soldat. Blessé trèsgrièvement, le 13 juildant dix mois dans des conditions particulière- let 1915, en repoussant avec sacompagnie une ment difficiles. Vient de donner, les 23 et 25 oc- forte attaque ennemie. tobre 1917, sous les ordres du lieutenant-colonel MERCIER, de nouvelles preuves de son eutrain, DEROSNE (Oscar), mie 8275, soldat à la de son endurance et de la maîtrise de ses ire compagnie du 162* rég. d'infanterie très tJrs, pendant la préparation des attaques. A bon soldat. Blessé très grièvement, le 22 août montré, pendant l'attaque, une ardeur comba- 1914, en accomplissant une patrouille des plus tive-au-dessus de tout éloge, en se déplaçant, périlleuses. sous un feu violent de l'ennemi, pour soutenir DIVOY (Jules), mie<016457, soldat de 1M classa et accompagner de plus près la progression de à la 3e compagnie du 162e rég. d'infanterie l'infanterie. très brave soldat. Blessé très grièvement, le 200c RÉGIMENT D'ARTILLERIE DE CAM- 24 août 1914, au cours .de l'attaque des posidepuis le début de la campagne, n'a tions ennemies. PAGNE cessé de donner partout où on l'a employé, en lieutenant de réserve à la (Raoul), CIIIGARD Champagne, à Verdun et sur l'Aisne, les plus 18e compagnie du 348e rég. d'infanterie a belles preuves d'entrain, de courage et de dé- maintenu son unitésous de violents bombarvouement. Vient de donner, une fois de plus à dements,du14 au 23septembre 1917. Attaqué l'attaque des 23 et 25 octobre 1917,sous les importantes le 24 .septembre, a des forces par ordres du lieutenant-colonel BlCHAHD, un bel luttéavec uns poignée de braves autour de son exemple -de perfection dans le tir, de ténacité poste de combat, entouré par l'ennemi, lui faiet de bravoure. En action, jour et nuit, pen- sant subir de grosses pertes, et grâce dant plus de huit jours de feu,sansdésem- énergie a permis aux réserves d'intervenirson et tirs enne- d'assurer le succès. parer, a continué, malgré de violents mis, à assurer remarquablement sa mission. IIENRY(Jacques-Albert), sous-lieutenant du 8) : sans 83e rég. d'artillerie lourde, observateur de la ESCADRILLE A. R. 8 (ancienne officier dont la valeur intellectuelle 'e D. 1. se laisser abattre par des pertes qu'elle a subies, a montré, en avril et mai 1917, sur et morale s'est affirmée en toutes circonsl'Aisne, en juillet et août, à Saint-Quentin, les tances. A montré dès son entrée dans l'aviaplus belles qualités d'esprit et de sacrifice, tion des aptitudes particulières pour l'observad'énergie et de ténacité. Sous le commande- tion aérienne. D'un courage et d'un sang-froid ment du capitaine KRAEMER, continue lasérie exemplaires, a soutenu maintes fois, contra de ses brillants exploits. Vient de rendre, au des avions ennemis, des combats inégaux, au pardes cours des attaques d'octobre 1917, les plus cours desquels son avion a été atteint grands services aux unités auxquelles elle a balles. Tombé glorieusement en combat la 2octobre 1017. été affectée.
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POISARD (Pierre), adjudant, mie 17853, du 2e groupe d'aviation, pilote à l'escadrille S. 0. 28 : pilote exceptionnel. Toujours calme, résolu
et prêt à faire les reconnaissances les plus audacieuses et les plus difficiles. A donné, pendant deux ans et au cours de six cents heures de vol sur les lignes ennemies, le plus bel exemple de courage et d'abnégation. Tombé glorieusement en combat aérien le 2 octobre 1917.
DALADIER (Gustave-Victorin), mie 822, adju-
tant, du 4* rég. de spahis, pilote à l'escadriile N.93 : pilote habile et audacieux. Chef de patrouille énergique, le 30 octobre 1917, a abattu son quatrième avion ennemi en l'accompagnant dans sa chute jusqu'à 100 mètres du sol.
IIÉRISSON (William-Max-Louis), mie 1893,
hussards, pilote à l'escadrille pilote de chasse qui continue à donner à ses camarades un exemple d'endurance et de bravoure. A abattu, le 22 septembre, son quatrième avion. Charles-Marius), lieutenant au VERN1N 11e rég. de hussards, pilote à l'escadrille N. 75 (G. C. 14) : officier de haute valeur, pilote d'élite, brave et énergique. Par ses renseignements, a rendu les plus grands services. Le 22 septembre, a abattu un avion qui venait survoler une revue de troupe. DESFOURNEAUX (Pierre), sous-lieutenant au
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11e rég. de N. 75 (G. G. 14)
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: nières attaques, s'est particulièrement distin-
rég. de cuirassiers, pilote à l'escadrille N. 78, (G. C. 15) pilote d'élite qui, au cours des derSe
gué en prononçant de nombreuses attaques de drachen avec le plus bel entrain. Le 3 octobre, a abattu son deuxième avion ennemi. CHEVALIER (Edouard), mie 634, brigadier du train des équipages, pilote à l'escadrille N. 97 : excellent pilote, dune conscience et d'un courage au-dessus de tout éloge a soutenu de nombreux combats dont quelques-uns très sévères. Le 17 octobre, au cours d'un engagement, ayant reçu plusieurs blessures graves, a continue néanmoins son service de patrouille. Est tombé, pendant le trajet de retour, mortel-
;
lement atteint.
VANGELEYN (Raphaêl-Jean-Marie), mie 560,
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sergent-major du 84e rég. d'infanterie, mimitrailleur trailleur à l'escadrille F. 465 plein d'allant et d'un courage au-dessus de tout éloge, toujours prilt à prendre l'air pour les missions difficiles. Blessé dans l'infanterie et classé inapte, a, sur sa demande, été affecté dans l'aviation comme mitrailleur. Au cours d'une patrouille de nuit, a été blessé grièvement, est mort des suites de ses blessures. BERTAL(Georges), adjudant pilote à l'escadrille N. 23: jeune pilote de chasse qui a manifesté, dès son arrivée, les plus belles qualités d'habileté et d'audace en abattant un appareil ennemi dans nos lignes,,le 28 mars 1917. IIAY DE SLADE (Henri-Joseph-Marie), mie 1619, lieutenant au 14e rég. de hussards, pilote à l'escadrille N. 86 (G. C. 14 : pilote d'élite dont la valeur et l'audace s'affirment chaque jour. Le 25 septembre 1917, chargé de la protection d'une importante mission, a abattu son quatrième avion ennemi. CASALE(Jean), sous-lieutenant du 8* rég. de chasseurs à cheval, pilote à l'escadrille N. 23 a abattu son huitième et neuvième avions, le 10 mai et le 21 septembre 1917. GOHIER (Félix-Gustave), mie 1456, du 1er r6g. du génie, sergent pilote à l'escadrille N.85: très bon pilote de chasse, ayant toujours montré énormément d'énergie et de hardiesse dans les nombreux combats qu'il a soutenus. Le 17 octobre 1917, a abattu un biplace ennemi dans nos lignes. LAPERGUE (Jacques-Joseph), du 3e rég. d'artillerie à pied, observateur à l'escadrille 227 : officier observateur de haute valeur, énergique et dévoué. Le 16 octobre, au retour d'une mission éloignée, a assuré la conduite de son appareil jusqu'à ce que son pilote, qui s'était trouvé mal, puisse reprendre les commandes. Le 17 octobre, a rempli, dans des conditions dangereuses, une seconde mission à grande distance, pendant laquelle il a abattu un avion ennemi. FAURE (Antoine-Gabriel), mie 1027, du 3erég. fe zouaves, pilote à l'escadrille 227 : pilote de
j
:
grande valeur, énergique et dévoué. Le 16 octobre 1917, bien qu'indisposé par l'altitude, a fait preuve d'une remarquable énergie en reprenant la conduite de son appareil pour exécuter jusqu'au bout une reconnaissance du plus haut intérêt. Le 17 octobre, s'est acquitté dans des conditions dangereuses d'une seconde mission à grande distance au cours de laquelle il a abattu un avion ennemi. mie 451, adjudant du 14e rég. de hussards, pilote à l'escadrille N. 81 (G. C. 15) : sous-officier pilote, remarquable par son énergie et son habileté. A abattu dans nos lignes, le 15 octobre, un avion ennemi, dont le pilote a été fait prisonnier et a remporté ainsi sa troisième vicDE CAZENOVE DE PRADINE(Pierre),
toire.
SIMON (Eugène-Marie), mie 1815,
adjudant
du 8e rég. d'artillerie de campagne, pilote à l'escadrille N. 81 (G. C. 15) : sous-officier aussi modeste que brave et toujours prêt à remplir les missions délicates ou périlleuses. Le 16 octobre. a abattu un de ses adversaires dans nos lignes. GUERIN (Paul), mie 31, sergent, du 163e rég. d'infanterie, pilote à l'escadrille N.81 (G. C. 15) : pilote hardi, qui se distingue par son ardeur et sa ténacité. A abattu, le 16 octobre 1917, un monoplace dans nos lignes. FAIVRE (Henri-Félicien-Pierre), mie 1887, adjudant pilote à l'escadrille F. 25: pilote de bombardement de nuit, remarquable par son ardeur, son sang-froid et son adresse. Dans la nuit du 12 au 13 septembre 1917, a fait sauter un dépôt de munitions dans la région NOUHANT (Lucien-Ernest), mie 5769, sergent du 8e bataillon ne chasseurs à pied, bombardier mitrailleur, escadrille F. 25: bombardier de nuit remarquable par son ardeur, son sangfroid et son adresse, Dans la nuit du 12 au 13 septembre 1917, a fait sauter un dépôt de munitions dans la région DESM1ER (Georges-Marie-Adolphe), capitaine au 50 rég. d'infanterie coloniale officier d'une rare énergie, véritable entraîneur d'hommes a su obtenir de sa compagnie de magnifiques efforts dans des circonstances difficiles. Deux fois grièvement blessé au cours de la campagne. A repoussé, le 6 octobre 1917, une attaque ennemie et, le lendemain dans les tranchées de première ligne, sous un violent bombardement, a trouvé une mort glorieuseen, donnant à sa compagnie un dernier exemple de bravoure et d'abnégation. MEILLOUR (Charles-Marie), sous-lieutenant au 2erég. d'infanterie coloniale: officier modeste et courageux. Au cours d'une forte attaque allemande, a contre-attaqué l'ennemi à la tête d'un petit groupe de grenadiers et a réussi à dégager un poste du régiment voisin que les Allemands allaient prendre à revers. Grièvement blessé au cours de l'action. BOUVIER (François), mie 5 IC 7189, sergent excellent au 5e rég. d'infanterie coloniale chef de demi-section. Le 7 octobre 1917, sous un tir d'artillerie extrêmement violent, a été enseveli et blessé par l'éclatement d'un obus étant parvenu à se dégager, a conservé le commandement de sa demi-section et n'a consenti à être évacué qu'après la fin de l'action. Au front depuis le début de la guerre, a été déjà cité deux fois. LEGROS (René), mie 2 te 10832, soldat de ire classe au 2e rég. d'infanterie coloniale soldat énergique, employé comme coureur, a assuré la liaison entre le chef de bataillon, et son commandant de compagnie, sous un continuel bombardement. Blessé à la tête a refusé de se faire évacuer et ne s'est rendu au poste de secours qu'après la descente de son unité prouvant ainsi son dévouement et son esprit de sacrifice. GRUB1S (Pierre), sous-lieutenant au 2e rég. Colonial, 6'7e B. T. S. : officier plein d'entrain et d'ardeur. Blessé grièvement au moment où, le premier, il se jetait, la grenade à la main, à la rencontre d'un groupe ennemi qui tentait, par surprise, d'enlever le barrage dont il avait la
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garde depuis quelques jours. LE COURSONNOIS, sous-lieutenant au 2e rég. d'infanterie coloniale officier brave et énergique. Le 10 octobre 1917, ayant eu les deux pièces de sa section enterrées et la plupart des hommes tués ou blessés parle bombardement
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2erég.d'infanterie Blesseaug la]3 continué res^o d'une grande bravoure. contre-attaquant, a déchargé bO de sa demi-section. Asaisi
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1917.) RÉIlItîcccSS¡f¡;r:' LA 13e BATTERIE DU 73e G. P. : sous les commandements - ant }f: -l'IJ\'e capitaine VAUCEL, du FORTEAU, aU-.^jil' RIDON et du capitaine
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sous-lieilte,,, c, jes tenaci
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d'une endurance et d'une sous de tout éloge en exécutant, tirs bombardements par obus etmalgré les pertes subies, des cision remarquable.
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TEISSEIRE (Henri-Léon),
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compagnie du 1er le 20 mai 1916, zouaves tions du mont Cornillet, a bravoure et d'une énergie tous. Le 28 octobre 1917, ex.nneii1*,,ritl1'' neJlli,Ibl1 comporté au cours d'un coup de de vive force sur un blockhaus de solides défenses accessoires. de Callso largement à la réussite de cette a nous a procuré deux prisonniers t fée; pertes sérieus.es à l'ennemi. 28
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jj (Roger), sous-lieutenaiu sa Squal1lJle"
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.gjjcat. fI1' ses d'infanterie coloniale occupant tion un point particulièrement entatcw première îitaires ligne, a su, grâce àsur a leP et. à l'ascendant pris illie..aVtotpati~0 mettre ce point à l'abri de ne du nuit nemie ; a, au cours de la bre, repoussé victorieusement i t~ e d'infanterie et a été blessé asse au cours de cette ¡,ourO ranterle d'O THIABAUD (Claude-Emile),
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28g ppl) à la 5e compagnie du 6e rég. à la sP^xparIwiif niale : le 10octobre 1917, les de contre-attaque,s'est élancé par s fauengoP IP secours du premier groupe trailleuses ennemies. A renouvexe avec acharnement, estarrivé s'est noû;„teflui^0V très de la tranchée combat à la grenade, et trement sur la position qu'il a , 01
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a9. ennemie, do (Jean-Baptiste),sou^etja atet p5
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à la lre compagnie du 6e rég. pen CO loniale : officier d'une bravoure maintenu sa section en ligneVlOleade, ine K d sous un bombardement très greune A brillamment repoussé à la qsé U p¡ 1911, trafer Dlessjte nuit du 27 au 28 septembre cbée attaque de l'ennemi sur la énergie compagnie était chargée de son un éclat d'obus, a rejoint pansé; s'était déjà distingué l'Aisne,par son courage, son ua,,8lJlell,
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yaill^jr",, zO t 36757, 7 ZBINDEN (Jean), mie Crde 20 classe au 2e rég. de zouaves Ariiputédu et remarqué pour sa bravoure mleroa.rft¡¡,!lt !Jee
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combattu sous Verdun. BERLIOZ (Etienne-Antoine), ral à la 14* compagnie du 3e rég d tljatl cotffae tirailleurs algériens au cours ennemie sur la première ligne, a
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jUquei grUel éPar un oîî' é al f®ouade tSOmise. dans la tranchée s'est battu avec son unité jusqu'à épuisement HUBERT (Martial-Louis), lieutenant au 7erég. ;Iïré eUe bombardement de-toutes. les munitions et a été grièvement d'artillerie, observateur à l'escadrille HS 215 ré par éclat d'obus l'Aisne officier observateur uncalmeimpressionnant.
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Le bras droit eiu" éciat dobus, a montré calrne dissimulant grandcalme, montré le plus plus grand
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le arles" , rég. de5052. caporal à la d 3e mIe 1SséDatrèssang-froid avecmarche de zouaves * 1 est distingué gr"ans à "batli¡¡l) 'IO)l!S Pitr
plusieurs reles lequel il conduisit rt des SUit levement lusuites dft«ïesblessures. reconnaissancesde nuit, son poste de combat. $ Ul0î(F Srsat0majoi.(^f^s"^ean-Baptiste), capitaine , *
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Ptrcier marche detiraiij^piii^'e, On Un grand Frappéàmortàson poste caractère et d'une avant Plié Pendant plusdonné les plus beaux de trois^mbat. de guerre. FAVIER(André-Marie-Joseph), m le6263, ans
Jfjeftur ûe Caiïipaen« ie à
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du 4erég.d'arco<iratpn pointeur plein 23 octobre tOb'titêlefenleUr maitre habile. Le fovSi?$fe.s'Poitéilr,^pmier, de barrage de sa pièce, vioipnt de l'ennemi. Le 30 ocDropab,eaitdansUn violent sous un eteindre incendie qui un terlasse bSii-»àlalJen).mIe dépôt de munitions. 2eclasseàla/» 11ecOrnPagniie 5 IC 7460, soldat de S^Oettmlale deguetteur des ChOISIl)our du 5e rég.d'infanoccuper un poste ?mijardempni°is plus périlleux, y a été blessé Pf^Ple if0n grave, jours d'occupation, Seslantet aucuneplaintesesadieux souriantetsansaucune en hV7fî«v®„NATa°e^'?116c/11246, aspiran plainte ses adieux à
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ennemie. n?1(i 83i3> brigadierau Xp>élantdan!S-R ervatoireavancé S°1 à tir~s un observatoire avancé tirdp J» Lros calibre, 4 i nf°Us L Un esfl} .A °énténanti^0UrréPai'er b^^N§VaVi| îh^tej.i^otinpi l'afait évacuer ordres, mais a tenu s? n ses Post
les batteries été ainsi un bol exemple d'ablLt"litOil'e,e IOb()n,A
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blessé, le soir, au moment où son bataillon décimé et encerclé par l'ennemi avait achevé sa mission. RAY(Louis), mle 12547, adjudant à la 5e compagnie du 18e rég. d'infanterie le 25 août 1917, sous un bombardement violent sur des positions très récemment conquises, a maintenu le moral de sa section en restant au milieu de Ayant été blessé très grièveses guetteurs.portant ment en se au secours de son capitaine, a refusé de se laisser panser, assurant que des hommes de sa section, atteints par le même obus, méritaient des soins plus urgents. Excellent sous-officier d'une très grande bravoure et d'un dévouement absolu. A.pris part à la plupart des combats où le régiment a été engagé. Décoré de la médailte militaire. VAZEILLE (Philippe), sous-lieutenant à la officier 3e compagnie du 98e rég. d'infanterie très énergique, chef du peloton des grenadiers d'élite de bataillon, s'est élancé avec le plus grand courage à l'assaut des tranchées ennemies. A été grièvement blessé, à deux reprises, en luttant à la grenade contre un ennemi qui s'acharnait sur sa position. SAIIUQUET (Georges-Marie), sous-lieutenant à la 5e compagnie du 105e rég. d'infanterie le 31 octobre 1917, a exécuté avec sa section un coup de main qui lui a permis de ramener deux prisonniers. A fait preuve de sang-froid, de bravoure et d'audace en franchissant par des moyens de fortune des réseaux incomplètement" détruits, fouillant minutieusement la zone qu'il devait explorer. BROUILLAUD (Louis), mie 010178, soldat de 2e classe à la 3e compagnie du 1G2e rég. d'iru fanterie très brave soldat. Blessé grièvement, le 10 mai 1916, en allant à l'attaque des tranchées ennemies. DORBESSAN (Jetn-Joseph), mle 18072, adjudant à la compagnie hors rang du 287e rég. d'infanterie excellent sous-officier. Blessé quatre fois. Déjà cité trois fois pour sa belle attitude au feu, notamment le 1G avril 1917, aux combats de l'Aisiie et du 20 au 26 août 1917, aux combats de Verdun où il a été grièvement blessé. PAIRE (François), mle 017375, soldat de 1" classe à la 23* compagnie du 218e rég. d'infanterie : très brave soldat. A reçu, au cours d'une charge à la baïonnette, une très grave blessure qui lui a entraîné la paralysie du bras. MORTN (Arsène-Ernest-François), sous-lieutenant à la 21e compagnie du 328e rég. d'infanterie a dirigé, avec la plus grande bravoure, malgré le feu des mitrailleuses ennemies, une forte patrouille chargée de reconnaitre la ligne occupée par l'adversaire. A été blessé mortellement dans l'accomplissement de sa mission, le 3 novembre 1917. BLANCHARD (Marcel), lieutenant au 6e rég. de dragons, pilote à l'escadrille C. 11 ; CARDEILIIAC (Pierre), lieutenant au fer rég. éger (cavalerie), observateur à l'escadrille C.11 BOREL (François), mie 212, sergent au lerrég. du génie, mitrailleur à l'escadrille C, 11 : Le 29 octobre 1917, leur missiou terminée, et sur le point de quitter les lignes, sont allés spontanément s'interposer entre un avion français et quatre avions de chasse ennemis qui J'attaquaient. Au cours du combat, ont eu un moteur hors de service, ont abattu un avion en flammes et contraint les trois autres à abandonner la lutte.
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soldat à la bie'squéegr"leveillent d'infanterie brave du 27 aoùt 1914, où c^4MUi^niedîu'^îi par balle. une '-'IId. Cotnp& (:\I.exancJre), 1)6Dalrî.î1' mlell115, aspirant à réa, d'infanterie comOlleiiitnt a rencontré un détaattaqué immédiateV»5N/^Drp adonuria,nsi-e dès le premier troellt, son dernier satroupeetadonnéainsi dejusqu'à le chef plus eliefen enconduisant conduisint bel exemple "IIl't arqUbf}erle e ; s'était déjàconduit de 'r,\h avril dernier à Lermeri1ij! '\n dlel're), COli \Dnj (h. mIe 45. caporal à la Ii \1tu #lUU 4ie rég, ^Ii?'s°ri d'infanterie dans la ao&tre1917-chargé.d'assurer atg!'ièvUn Untres très violent bombardement boiiib~irdeziient cuisse, s'est tramé ^nuPent hé qU!t fnQ,? eplsé, jusqu'au poste de b°niiéèt.emett rmetlre lui-même bien hV^5 le pli qui lui avait important. avait îfû f VAULOGÉ(Robert-Marie-CharlesPICOT DE CornpitACide'Albert) A1 id mle 9035, sergent Jacques), lieutenant au 7e rég. de chasseurs, du rég. d'infanterie alorsque 42ed'une cours le observateur à l'escadrille N. 23: observateur SKthli ?etii9,éner/inementcontre-attaque, maintenue, d'armée de premier ordre, de grande expé^vQs iIWSuSaNthi rience depuis le début de la bataille de Verétaient tués ou tués Ou ^mandement de sa com- dun, a accompli plus de 80 reconnaissances sur l'arrière-front ennemi poussées parfois très fai^fPai'son fi sang-froid et loin le 23 août 1917, a malgré un temps défaCll/î exécuté une reconnaissance lointaine déjàdis- vorable, Vu^-GPnSiiw«onipremiiSïères affaires de Verdun à basse altitude, d'où il est rentré avec un S.\l'G la plus brillante. avion criblé d'éclats d'obus. lae s'e ecoERMAIN DEFOURNEAUX (Pierre), sous-lieutenant au nantuàla6ecom l'empagnie (Georges),sous-lieutemarquer, du Me rég. et d'infante- 8e rég. de cuirassiers, pilote à l'escadrille N. 78 13 14 janvier G. C. 15: brillant pilote de chasse, très énerCOlllbatsqui enrayèrent la gique. Le 16 octobre 1917, abattu son troia Soissons. Le 14 janvier sième avion ennemi. 4528,
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qui, tant à Verdun, a rendu les plus grands services à notre artillerie en accomplissant un grand nombre de réglages. Pour mieux réussir, survolant très fréquemment ses objectifs, d'où nombreux combats aériens. Le 2 octobre, en surveillant les lignes ennemies, a été attaqué par plusieurs avions ennemis ett atteint mor-
tellement.
sous-lieutenant au 272e rég. d'infanterie, observateur à l'escadrille H. 72: ob.crvateur courageux et énergique. Au cours d'u.je mission, l'avion étant attaqué par do nombreux appareils ennemis, a néanmoins accompli sa mission. L'épaule traversée par une balle, n'a consenti à se faire soiçcer qu'après avoir fait son rapport et avoir fait panser son mitrailleur blessé. CONRAUX (Adrien), mle 2388, soldat de lrc chsse au 1er rég. du génie, mitrailleur à l'escadrille R. 72 mitrailleur qui, au cours d'une mission photographique, a soutenu un violent combat contre de nombreux appareils ennemis. Blessé grièvement à la cuisse par combat et une balle explôsible, a continué a permis, par son courage, de remplir la mission commandée. SAINT-MARTIN (Jean-Edmond-Marie), lieutenant au 3e rég. de chasseurs à cheval, observateur à l'escadrille F. 19 : observateur d'une bravoure et d'une conscience au-dessus de tout éloge. A fait de nombreuses reconnaissances photographiques etdes'liaisonsd'infanterie avpc un sang-froid, une énergie et un talent remarquables. Le 20 août 1917, a eu son appareil brisé p:ir un obus au cours d'une mission d'accompagnement d'infanterie, à basse altitude,surla cota 304. Est tombé glorieusement devant nos troupes avec un débris de son avion, lançant ses plans directeurs par dessus bord pour ne pas les laisser à l'ennemi. Mort au champ d'honneur, entouré de l'estime et di l'admiration des fantassins qu'il accompagnait à l'assaut. CARLES (Emile-Jacques-Gabriel), capitaine de l'état-major de la e division d'infanterie coloniale : a participé comme officier d'état-major de la division aux opérations de st'p!embrcdécembre sur la Somme, à celles de marsavrilsur l'Aisne, enfin, récemment, à celles Ce Verdun. A toujours fait preuve, aucoursdo ces circonstances difficiles, du plus haut esprit de devoir. S'est multiplié, jour et nuit, tant pour régler dans tous leurs détails, les mouvements des unités en secteur que pour vérifier sur le terrain, par des reconnaissances souvent périlleuses, l'exécution des ordres donnés, MANDOU (Jean-Julien), mlq 010618, caporal à la 9e compagnie du 11e rég.'d'infanlel'ie: excellant gradé, d'un courage éprouYé. Blessé gravement, le 23 juin 1916, en défendant avec succès, le petit poste confié à sa garde, n'a consenti à se laisser soigner qu'après avoir acquis la certitude que tout danger était écarté. VOILLOT (Louis-Eugène), chef de bataillon, commandant le 1er bataillon du 47e rég. d'inattaque, le6 octobre 1917, avec une fanterie extrême violence par d'importantes forces allemandes, a réussi à enrayer la progression ennemie. A ensuite organisé avec beaucoup do décision une vigoureuse contre-attaque qui a intégralement rétabli notre situation. DECIIAUD (Paul), mle 655, soldat de 2e classe à la 10e compagnie du 408e rég. d'infanterie: excellent soldat, brave et dévoué, ayant toujours eu une très belle attitude au feu. Blessé mortellement, le 31 octobre 1917, à son poste de combat. (Ordre du 14 novembre 1917.) GEGUEN (Charles-Joseph), capitaine à la 24e batterie du 251erég. d'artillerie : toujours au milieu de ses hommes, a réussi à installer sa batterie avec une rapidité remarquable, sur un terrain sans cesse battu par l'artillerie ennemie. Pendant l'attaque, malgré un bombardement violent, a maintenu le calme dans soi* personnel et assuré la précisisn de son tir sans une minute de défaillance. BERNARD (Jean-Louis-Charles), sergent à la compagnie 19/52 du génie excellent sousofficier, calme et énergique, désigné pour le cours des élèves.aspirants, a préféré rester àLsa compagnie sachant qu'elle devait participer à -
ANDRE (Victor),
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une attaque prochaine. A trouvé une mort glorieuse a l'attaque du 23 octobre 1917. DUVAL (Alexandre-Edmond), brigadier au 1er escadron du 68 rég. de chasseurs d'Afrique brigadier d'une bravoure exemplaire. Blessé une première fois en Champagne, dans l'exécution d'un coup de main. Faisant partie d'un détachement de liaison à t'attaque du 23 octobre 1917, a fait courageusement son devoir, aété très grièvement blessé par un obus, TASKIN (Pierre-Louis), sous-lieutenant à la 4e compagnie du 27ehataillon de chasseurs alpins revenu au front après deux blessures du graves, est tombé glorieusement à l'attaque 23 octobre 1917, laissant un admirable souvenir Il'héroisme juvénile et d'ardeur guerrière poussée jusqu'au fanatisme.
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sous-lieutenant au (8e bataillon de chasseurs alpins type superbe d'officier français, d'un courage intrépide, adoré de ses chasseurs et de ses camarades. Mort en héros à quelques mètres d'un ouvrage allemand à l'assaut duquel il entraînait sa section dans un élan passionné. GAUTRON (Georges), sous-lieutenant au officier su68e bataillon de chasseurs alpins perbe. Après avoir maintes fois, au cours dela campagne, soulevé l'admiration de tous par son courage et son audace, a trouvé une mort glorieuse, le 23 octobre 1917, en conduisant, une fois de plus, ses chasseurs à la victoire (Six fois cité.) MALBEC (Francis-Henri), sous-lieutenant au jeune offi68° bataillon de chasseurs alpins cier de la plus haute valeur, d'un courage admirable. Tombé glorieusement pour la France, le 23.octobre 1917, en entraînant, malgré une première blessure, ses grenadiers d'élite, à l'assaut de la seconde ligne défendue par la garde prussienne. (Quatre fois cité.) BRYOIS (Pierre-Henri), sous-lieutenant au 46e bataillon de chasseurs alpins dégagé de toute obligation militaire, s'est engagé à soixante-trois ans dans un bataillon de chasseurs, est revenu au front sur sa demande. A pris part à l'attaque du 23 octobre 1917, où il s'est signalé par son courage. Mort au champ BLAUBLOMME (Jules-Clément),
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d'honneur.
sergent au 2e bataillon territorial de chasseurs alpins: excellent sous-officier, très courageux, ayant toujours donné l'exemple du dévouement et du sang-froid. Tué à la tête de sa demi-section en toute première ligne, le 22 octobre 1917. JAQUOT (Marcel-Henri), sous-lieutenant à la 2° compagnie du 27e bataillon de chasseurs glorieusement tué, le 23 octobre 1917, alpins en enlevant ses chasseurs à l'assaut des positions ennemies, après avoir été pour sa section et pour toute la compagnie, jusqu'à la dernière minute, un modèle émouvant et héroïque, de la plus généreuse acceptation de tous les sacrifices. BRUNON (Raoul-Jean), sergent au 6e bataillon do chasseurs alpins sous-officier d'une bravoure au-dessus de tout éloge et d'un calme admirable. Chargé d'une mission de liaison et de couverture, s'en est acquitté d'une façon parfaite. A été mortellement blessé dans l'accomplissement de son devoir. LAN (Louis-Clément), sous-lieutenant au 468 bataillon de chasseurs alpins: tombé au champ d'honneur après avoir accompli tout son devoir et remonté jusqu'au dernier moment le'moral de ses chasseurs. MONTAGNIER (Léon), sous-lieutenant au 64e bataillon de chasseurs alpins chef d'une section de mitrailleuses, modèle de courage et de sang-froid. Tombé, le 23 octobre 1917, à la tête de sa section après avoir franchi trois tranchées allemandes. ANDRÉ (Paul-Joseph-Robert), capitaine au 64e bataillon de chasseurs alpins: commandant de compagnie de premier ordre, ayant un réel ascendant sur tous ses chasseurs qu'il a brillamment entraînés à l'assaut d'une position, le 23 octobre 1917. Après avoir franchi trois tranchées ennemies, est tombé mortellement atteint dans un combat singulier avec un chef de bataillon allemand. JOLIDON (Daniel-Ferdinand), sous-lieutenant A la 2° compagnie du 58 bataillon de chasseurs DANJOUX (Jean-Baptiste),
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chefde section admirable. Blessé en se portant à l'assaut, est resté à son poste de alpins
combat. A été tué quelques instants après en organisant sa section face à un blockhaus de mitrailleuses. GIRARDIN (Auguste), soldat au 64° bataillon de chasseurs alpins a été blessé au combat du 23 octobre 1917, en s'élançant à l'assaut des positions ennemies refusant de se faire panser, s'élança, à nouveau, en avant, fut blessé une seconde fois et tomba mortellement atteint en portant secours à son sous-officier. VAUTlIIER (Émile-Paul), sous-lieutenant au officier 5e bataillon de chasseurs alpins remarquable d'énergie et d'entrain. A été blessé très grièvement à la tte de son peloton en se portant, le 23 octobre 1917, à l'attaque d'une position fortement organisée. Mort des suites de ses blessures. MASSEY (Ilenri-Hippolyte), sous-lieutenant au 6e bataillon de chasseurs alpins officier d'un sang-froid peu commun et d'un courage éprouvé. Mort en héros pour la France, à la tête de sps chasseurs, dont il avait toute la confiance et toute l'affection, en arrivant sur un objectif qu'il venait d'arracher à la garde prussienne. GUSTON (Fernand-Pierre-Léon), soldat au 64e bataillon de chasseurs alpins aux combats du 23 octobre 1917, entouré par un groupe d'ennemis qui lui faisaient signe de se rendre, a répondu en déchargeant sur eux toutes ses cartouches et a été mortellement frappé. RAYNAL (Antoine-Urbain-Edouard), souslieutenant au 68e bataillon de chasseurs alofficier d'une énergie farouche et d'un pins courage héroïque. Parti comme chasseur au début de la campagne et ayant gagné tous ses grades sur le champ de bataille, a trouvé une mort héroïque, le 23 octobre 1917b après avoir, à la tête de sa section, arraché, à la garde prussienne, une position énerglquement défendue. LEYNIER (Maurice-Alfred), soldat au 64e bainfirmier d'une taillon de chasseurs alpins compagnie de mitrailleuses. Parti à l'assaut avec lespremiers éléments de sa compagnie, n'a cesse, sous le feu ennemi, d'aller de trou d'obus en trou d'obus panser ses camarades avec un calme admirable. Mortellement frappé, au moment où, debout, il exaltait le courage de ses camarades. DELAVY(Jean-Marie), sergent au 68e bataillon de chasseurs alpins sous-officier d'élite, toujours sur la brèche. A trouvé une mort glorieuse au champ d'honneur en entraînant ses chasseurs à l'assaut dans un élan victorieux. CHEVIN (Justin-Céleste), sous-lieutenant au chef de sec64e bataillon de chasseurs alpins tion d'un courage et d'une modestie rares. Héroïquement tombé au cours de l'assaut du 23 octobre 1917, après avoir mené son groupe au delà de la troisième tranchée allemande. FERIAUD (Louis-Jean-Joseph), sous-lieutenant au 68e bataillon de chasseurs alpins officier d'un courage admirable, sur le front depuis le début de la campagne. Frappé glorieusement d'une balle au front, le 23 octobre 1917, en entraînant sa section à l'assaut de positions ennemies fortement défendues.
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SOULAGEON (Jean), sous-lieuie"flcier taillon de chasseurs alpins
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grande d'une modestie et 22 mortellement, octobre l->Wta4uttaqueI11 rare jula3 disposiu prendre à sa section le zouaves>. c0nin}™p UTINET (Antoine-Maurice), leeschef),!dl 4erég.de marche de Sàl'assaurU! 1917, a pris, en pleine attaque, superhe garde UOI de ment d'une section privée ar<jeoriis prena!! side dans unélan superne la entraînée positions élan dans sienne.Aatteintun toussesobjectw. Cb.cil' niateriel militaire»vlUit f°'»cj[ large part à la capture d'un li rable et de nombreux go!" alit section d'élite, médaillé Il à l'ordre, dont la bravoure et gendaires au régiment. marcie: d S logiS d'artlJ\er¡Ssance, 2. u HUTT (Fernand-Emile), rec0nqissaDc;Lil la 288 batterie du 243e rég. d'artil'e UI vembre 1917, pendant uneviolent DD8d'a un ravin soumis à un tir de lorllis,aDa, obus avant blessé à côté 1, leur (tropar et l'aspirant de sa batterie, hombardem eDant les premierssoins, puis traversaevêm85011 la zone soumise au A allant chercher du secours,jusqupos1tfl les brancardiers et portant pitaine sur un brancard serg^Ldeil U4' secours. abrI s°.„nt. Q^sUrf LIBERT (Pierre-Constant), rnO dèle taillon de chasseurs à pied imPtrtébaSfai voure et d'énergie, a exécuté. travail s'estIInl bombardement na été dO sérieusement intoxiqué, a contln et son service sans se"ménager évacuer que sur l'ordre qui lui en (Eugéne-Victor-Léon),dm cotP.) eaoo
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teur, chef du service de santé duq 'il jpia' b mée : par l'habile organisation l'activité. il fS au service de santé, par subOlle coj 01 avec laquelle il conseille ses laquvallcés vaoc& 8 la bravoure constante avec ? urs 0® nellejegot les postes de secours les plusjoll" souci du danger, notamment les bat (23-28 octobre 1917), donne ffi tous les médecins le plus bel exe le ¡Jlel rive à conserver les effectifs dans pl'dela 0ddil'1 état de validité. ROY (Jean-Paul), médecind'une,antétob classe, chef du service de santé 25çCd médecin divisionnaire sion 1vCllatlOII( service de, 1lellresCtlal tinction, a su donner au division, dans les affaires des meUeures queeaOScesJl8 1917, une direction telle,exemp blessés s'est faite dans les payanHétai tions. Donne à tous un ler}e d'activité et de bravoure, conf:,Aiery 50^ sa personne, veillant à tous leS jusqu'aux premières lignessecours, gaiis tionnement des postes de des fatigues ni du danger. tp
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_., soldat STAUB (Albert-Prosper), lacco»rpiisSe< d'infanterie bon et brave blessé, le 18 mai 1915, dans de son devoir, a^-ydapter^ 'nd8.P^jj• VERNE (François-Alexandre), d'une nrurSjf sectlOga 21e compagnie du 319e rég. 27 octobre 1917, au cours S Sectioo les lignes allemandes, a encore Fraccber)6 avccl'ennemi, l'admiration de tous. Enlevant la cris de : « En avant Vivecombatcntf]"V1\ sadeuxièmeligne, est olirdesplrti
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10 grenade, lui infligeant les plus pluS. le section ramené dans A sa CHARRON (François-Jean-Marie), sous-lieute- ROUSSON(Georges-Auguste), l'adversalr 5,1 capo oP caPsCI de nant au 64e bataillon de chasseurs alpins offi- malgré la supériorité aU chasseurs alpins: trèS brapd èle cier plein d'allant et très brave. Tombé héroïROUSSON (Georges-Auguste) , quement, le 23 octobre 1917, à la tête des gre- taillonde nadiers du bataillon, après avoir atteint la intelligent, travailleur. Ayant deuxième tranchée allemande. servant ePIleefl!ÍI a dant sur ses chasseurs, section posit~i'ars~ tous. entraîné A sa CIIEVRIER (Edouard), sous-lieutenant au remarquable à l'assaut des COntdé /Jo< tilé ~fep$il chef de sec- S'est installé dans la tranchée 64e bataillon de chasseurs alpins tion d'une bravoure et d'un calme remar- mortellement blesséenorganisa quables. Héroïquement tombé au cours de ment cette position. .#Ijt 1assaut du 23 octobre 1917, après avoir mené %09 troisième (Êmile-François), tranchée jusqu'à la allesection HOCKAUF sa mande. 11e compagnie du 4e rég. de véritaDeJ)tr4 soilODJ, excellent chef de section, VIOlence,du le LAMAMY (Charles-Anatole-François), sous- d'hommes. A atteint brillament lieutenant au 64e bataillon de chasseurs al- 23 octobre 1S47, malgré la pins chef d'une section de mitrailleuses, d'un nemi.Aététrès grièvement calme et d'un courage éprouvés. Le 23 octobre dirigeait l'organisation du 1917, a brillamment entraîné sa fraction à l'as(René-Emile-pa)dtJ59' BONFILLIOUT saut et a été frappé mortellement en atteignant batterie mécanicien ouvrier 5e objectif. à la son
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1'7urnle canonnierseres-exd'artillerie, et, section demi-fixe dct CoesDlet bravoure soldat. le 27 n a esdev'oir.ti317, dans les circons7
1917.
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Sin"iIa^ieu illfJeITI-Mathieu), Slin tôte adjudant au i,1tX.trièvenlent blessé,gradéle énergique octobre sa section, à l'attaque de h 5>il?e^ maréchal des logis, mie 'eu Il'e ilU reg. 'élé'IHsant 11*l'aie at t ,tranchées, pi'emd'artillerie 'lnitiative : observateur *l*ve^ep intelligent etcouraA
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sl'ande au haut et juin 1917 foiiM Usentiment c?mmandement tlI!!1,
: bravoure et ayant affirmé llilll.QtGaunstances particulièrement diffi*b^rpe belles qualités ses inPeQdrp CtH du devoir. IlimornCItoà de sa bat®WSotl «Neiu soumise depuis plusieurs Ine violent eile était Ct^8ciS^ede en matériel et personnel, son intelligente activité, tous btnRqUi les instants, maintenir luiée Parfaite et assurer tous as ih|® le^Jï'cilleuril ®P°nditions ¡uent dcmantfés. A effectué un Jllii des plus difficiles rapidité, réau Minimum lesdepertes de son
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(Pierre-Paul), lieutenant de
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l'état-major de l'artillerie du C.A.: officier d'un magnifique courage, exemple de devoir, d'abnégation et de modestie. Après avoir forcé l'admiration de ses chefs et de ses subordonnés, en accomplissant avec un courage stoïque et le plus bel entrain les missions les plus dangereuses, notamment en juin 1916, devant Verdun, en avril et mai 1917, devant Craonne, a été mortellement atteint, le 12 novembre 1917, au cours de reconnaissances qu'il effectuait depuis plusieurs jours déjà, avec le beau mépris de la mort, dans une zone fréquemment balayée par le feu de l'ennemi. NOULINS (Désiré-Edouard), mie 9099, du 115° rég. d'infanterie(soldat) : grenadier d'élite, d'un courage et d'un sang-froid remarquables. Le 6 novembre 1917, a contre-attaqué l'ennemi, qui tentait d'aborder nos lignes, avec une fougue etune intrépidité remarquables, et entrainant ses camarades, a poursuivi les Allemands à coups de grenades jusqu'à l'extrême limite de notre barrage. (Ordre du 16 novembre 1917). REGNIER (Jean-Marie-Léon), colonel commandant la e brigade du Maroc officier supérieur d'une rare bravoure et d'une extrême énergie ; s'est distingué d'une façon toute particulière en 1916 lors des combats victorieux autour de Verdun, à Fleury, Douaumont et Louvemont. Vient d'affirmer, de nouveau, les plus belles qualités militaires en dirigeant l'attaque de sa brigade, qui a brillamment enlevé à 1ennemi d'importantes positions. HÉBERT (Jules), soldat à la 5e compagnie du
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rég. d'infanterie modèle de courage autant que de modestie. A toujours fait son devoir, froidement et jusqu'au bout. Blessé grièvement, le 16 janvier 1917, de 26 éclats d'obus au pied, alors qu'il veillait en sentinelle près de son fusil mitrailleur. PANIS (Célestin), soldat à la 3e compagnie du rég. d'infanterie coloniale du Maroc soldat d'un courage éprouvé, ayant toujours montré au feu les plus belles qualités guerrières. Blessé grièvement, le 26 septembre 1915, au 198
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moment de l'assaut.
BARTIIE (Pierre-Georges), soldat à la
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pagnie du rég. d'infanterie coloniale du Maroc jeune soldat engagé pour la durée de la guerre. à combat Blessé très grièvement dans un au117*rég. l'arme blanche, a fait preuve de bravoure. chef, sachant inspirer la plus entière confiance et FARJAS (Louis), soldat au lep bataillon de le maximum de rendement. chasseurs à pied brancardier de grande éner-
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Commandant provisoirement son bataillon dans dos circonstances délicates, a su mener il bien une organisation difficile et a infligé, le 6 novembre 1917, un échec sanglant à des troupes d'élite. -LAGAILLARDIE (Louis), adjudant, mie Rt 2138, du 117e rég. d'infanterie: excellent gradé, intelligent et énergique, qui s'est particulièrement distingué le 6 novembre 1917; commandant uns section affectée à la défense de la première ligne, a demandé, la veille de l'action, à retarder son départ en permission en apprenant qu'une attaque allemande était prévue. Après avoir soigneusement préparé la défense de son secteur, a montré pendant l'action un sang-froid et une bravoure remarquables. A contribué pour une grandepart à l'échec d'une tentative ennemie menée par des troupes d'élite. MAHERAULT Alexandre-Amand), soldat, mie 5716, du 115e rég. d'infanterie fusiliermitrailleur d'un courage et d'une énergie audessus de tout éloge et connaissant merveilleusement l'emploi do son arme. Le 6 novembre 1917, sous un bombardement d'une violence inouïe, apar son tir précis arrêté une troupe d'attaque qui tentait d'aborder nos lignes; s'est élancé ensuite à la poursuite de l'ennemi avec une belle crânerie et lui a occasionné des pertes sérieuses. SOYER (Clément), soldat, mie 05014, du 115e rég. d'infanterie soldat mitrailleur hors ligne, d'une bravoure et d'un dévouement incomparables. Au front depuis le début, déjà blessé deux fois, titulaire de deux citations, s'est distingué à nouveau, le 6 novembre 1917, en se maintenant à sa pièce avec opiniâtreté, sous un feu violent d'artillerie, et a contribué pourune large part à repousser une attaque allemande.
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;blessés s'est dépensé sans compter pour soigner dans la tranchée et n'a abandonné
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les son poste que grièvement touché (31 mars 1916). PRIOLLAUD (Albéric-Constant),
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sergent à la 23e compagnie du 283e rég. d'infanterie jeune sous-officier énergique et d'un courage à toute épreuve, modèle de courage et d'abnégation. A le 23 octobre 1917, après un tir d'anéantissement ennemi de plusieurs heures, pris le commandement d'un groupe d'hommes et les a entraînés, à l'assaut des positions ennemies. sur l'objectif qui lui était assigné. BASSET (Jean-Joseph), sergent à la 7e compagnie du 68e bataillon de chasseurs alpins sousofficier calme et énergique. Le 23 octobre 1917, a été grièvement blessé en entrainant, sous le bombardement, les tirs de mitrailleuses, sa demi-section à l'assaut d'une position ennemie fortement organisée. Modèle de bravoure. DELUZENNE (Charles), sous-lieutenant au 315°rég. d'infanterie officier très énergique. A conduit brillamment, le 2 novembre, une reéonnaissance sur les lignes ennemies. A largement facilité la progression d'un régiment voisin en prenant en liane avec ses mitrailleuses une position ennemie. BRUYÈRE (Germain), adjudant au 149e rég. d'infanterie : chef de section de mitrailleuses, brave et énergique. Au front depuis le début de la guerre. Vient de donner de nouvelles preuves de son courage, le 23 octobre 1917, en entraînant magnifiquement sa section en avant, sous le feu des mitrailleuses ennemies. MEUNIER (Arsène-Albert), sergent au 9le rég. d'infanterie chargé d'un dépôt d'explosifs et d'artifices, a, par sa présence d'esprit et son couiage, évité un grave accident en éloignant lui-même une caisse de cartouches éclairantes atteinte par un obus. Les paupières brûlées, a refusé de se faire évacuer et a continué son service. BONNET (Paul), caporal, au 4e rég. de marche de zouaves: caporal téléphoniste courageux et dévoué. Le 23 octobre 1917, parti en tète des vagues d'assaut de son bataillon, est arrivé l'un des premiers sur l'objectif, y a installé ses appareils sous le feu. A assuré ensuite, pendant sept jours, la liaison téléphonique sous un violent bombardement dans un peste de relai dout il avait sollicité le commandement. MEYER (Jean-Lucien-Ilippolyfe), médecin sous-aide major au 48 bataillon du 4e rég. de marche de zouaves le 23 octobre 1917, suivant au plus près les vagues d'assaut, a relevé et prodigué ses soins aux, blessés sous un violent tir d'artillerie et de mitrailleuses. A établi son poste de secours en première ligne et s'y est dépensé sans compter nuit et jour, faisant l'admiration de tous par son courage et son dévouement. WENDEL (Henri-Jules), sergent au rég. d'infanterie coloniale du Maroc sous-officier très courageux et très énergique. Vient d'en donner de nouvelles preuves, les 23 et 25 octobre 1917, en entraînant sa section à l'assaut sous un violent tir d'artillerie et de mousqueterie ; la 27 octobre, en conduisant brillamment uno reconnaissance périlleuse au cours de laquelle il a pu récolter de précieux renseignements. LORIN (Albert-René-Gaston), sergent au 4e rég. mixte de zouaves tirailleurs : sous-officier très brave. Le 23 octobre 1917, a vigoureusement entraîné sa demi-section à l'attaqua des positions ennemies, au cours de la progression, a fait tomber un centre de résistance, capturant une mitrailleuse, faisant prisonniers un officier et 32 soldats allemands. SALEY (Marcel-Jean), adjudant à la 9e compagnie du 48 rég. de marche de zouaves modèle d'entrain et de dévouement. Le 23 octobre 1917, a entraîné sa section à l'assaut avec un brio incomparable, à travers un tir de barrage des plus violents. Atteint d'un éclat d'obus à la face, est demeuré à son poste, a atteint l'un des premiers l'objectif assigné, y a, capturé, après un dur combat, sept mitrailleurs et deux pièces qu'il a aussitôt tournées contre l'ennemi. TURBOUST (Marcel), sergent au rég. d'infanterie coloniale du Maroc sous-officier mitrailleur d'un allant et d'un courage merveilleux. Chargé, pendant l'attaque du 23 octobre 1917,
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d'une mission de liaison très délicate et très DE LA. BROSSE (Robert), sous-lieutenant à périlleuse, s'en est acquitté d'une façon par- l'A. S 31 chef de char courageux et énergique, faite. A, par ses feux de mitrailleuses, con- a conduit, à découvert, son appareil, remplistribué, pour une large part, à la conquête des sant la mission qui lui était assignée, malgré les obstacles formidables du terrain. A supobjectifs. la primé un nid de mitrailleuses qui arrêtait DEVAUX (Louis-Pierre-Joseph), soldat à la progression de l'infanterie (déjà cité). 4e compagnie de mitrailleuses du 48 rég. de marche de zouaves le 23 octobre 1917, son BALLAND (Adrien), capitaine à l'A. S. 31 ofchefde section et ses gradés ayant été blessés, ficier d'un courage et d'un sang-froid remarAprès s'être rendu compte au cours a pris spontanément le commandement de sa quables. de section, l'a brillamment menée à l'assaut à reconnaissances périlleuses de l'immense travers un violent tir de barrage, aidant à la difficulté de sa mission, a conduit sa batterie capture d'un nombreux matériel et retournant vers l'objectif désigné, a su, par son sang-froid, contre l'ennemi les mitrailleuses"tombées en la sauver d'une destruction complète, l'a ranotre pouvoir. menée indemme, a été blessé au cours de CIIAUCIIARD(Eugène-Sébastien), sergent au l'opération. sous-officier BEGARIE (Michel), lieutenant à l'A. S. 31 le 4e l'ég. de marche de zouaves d'un courage et d'un dévouement exception- 23 octobre 1917,difficiles, nels. Au cours de l'attaque du 23 octobre 1917, tionnellement difficiles, a conduit sa batterie non chef de section ayant été blessé, a pris le sur l'objectif désigné, apportant à l'infanterie commandement de sa section en plein combat, un puissant concours en réduisant deux mil'a brillamment conduite à l'assaut des posi- trailleuses qui arrêtaient sa progression. Blessé tions ennemies, y faisant de nombreux prison- auteurs de l'action. niers. (Ordre du 12 novembre 1917.) BESSON (Benoît-Antoine-Marie), lieutenant4" RÉG, DE MARCHE DE ZOUAVES régiment colonel commandant le 4e rég. de marche de d'élite, déjà cité quatre fois à l'ordre de l'arhaute dont valeur la chef de corps zouaves dont l'élan merveilleux, la vigueur et le morale et morale et militaire s'impose. Son mée, superbe, dignes du chef qui le comaction personnelle, jointe à celle de ses colla- moral mande, ont dominé, une fois encore, la garde borateurs, a été pour une grande part dans le prussienne, battue à Hurtebise. Le 23 ocbeau succès remporté par ses zouaves et tirail- tobre 1917, déjàles ordres du lieutenant-colonel sous leurs les 23, 24, 25 et 26 octobre, contre des BESSON, ayant mission d'enlever plusieurs unités de la garde impériale. lignes malgré un tir violent de contre-prépaDOREY (Daniel-Albert), capitaine au rég. d'in- ration, surgi de ses parallèles de départ, et excellent officier, d'un seul élan, s'est emparé de tous ses objecfanterie coloniale du Maroc intelligent, énergique. Le 23 octobre 1917, adju- tifs, en dépit des tirs de barrage et de midant-major dans un bataillon d'attaque dont trailleuses; les a dépassés le lendemain en presque tous les officiers ont été mis hors de faisant dans les journées des 23, 24 et 25 occombat dès le début de l'affaire, s'est multi- tobre, 600 prisonniers, prenant de nombreuses plié et a grandement contribué à la magni- mitrailleuses et 17 canons. iique réussite de ce bataillon qui a progressé RÉG. 8e régiDE MARCHE DE TIRAILLEURS kilomètres et les demi dans do plus do deux ment indigène de grande valeur ; entraîné au lignes allemandes. moral comme au physique par son chef, le GIRAUD (Ilenri-IIonoré), chef de bataillon au lieutenant-colonel DUFOULON, a, pendant les officier supé- journées des 23, 24 et 25 octobre 1917, sous 4e rég. do marche de zouaves rieur d'une rare valeur. Chargé de conduire, le l'énergique impulsion des chefs de bataillon 23octobre 1917, une attaque, l'a préparée dans MORAND, ROTIIENFLUE et PIDAUT, montré sa ses moindres détails et exécutée comme il fouge habituelle et son mépris absolu du danl'avait conçue, en infligeant un sanglant échec ger. A puissamment contribué à l'enlèvement à la garde impériale. d'une formidable positition, puis des Bois., déroute les bataillons contreil mis de où a en rég. capitaine FOURNIER (Emile), au 75e attaque ennemis. A atteint, avec un entrain excellent commandant de com- admirable, tous d'infanterie objectifs, poursuivant l'enses pagnie. Déjà blessé en Champagne, blessé une nemi au delà inlligeant lourdes lui de grièvement à fois tête unité la de son deuxième nombreux pertes, faisant de prisonniers, prequ'il conduisait à l'attaque du 17 mars 1917. nant 17 canons et un grand nombre de mitrailDUBOIS (Charles), maréchal des logis au leuses. 11° rég. do cuirassiers à pied commandant un 4e RÉG. MIXTE DE ZOUAVES TIRAILLEURS groupe de travailleurs du peloton d'accompa- sous l'énergique commandement du lieutenantgnement des tanks, a été très grièvement colonel VERNOIS, a attaqué le 23 octobre 1917 blessé en dirigeant son équipe, le 23 octobre des positions ennemies puissamment organi1917. Excellent sous-officier ayant donné plu- sées et sur lesquelles la garde prussienne avait sieurs fois des preuves de son courage et de l'ordre de tenir h tout prix. A enlevé, d'un son sang-frotd. splendide élan, plusieurs lignes de tranchées LAPÉYRE (Félix), 6olaat au 11e rég. de cui- solidement défendues, puis manœuvrant avec Tassier à pied chef d'un groupe d'élite de vigueur vers un nouvel objectif en brisant la résistance opiniâtre de l'adversaire, s'est emtanks, le 23 octobre 1917, a assuré son service paré, à après combats plusieurs corps corps, au-dessus do sang-froid et courage un un avec d'un village réalisant ainsi tout éloge. Son char marchant à l'attaque d'un de la moitiéde est plus de trois kilomètres. A fait, nid de mitrailleuses, est resté devant lui pour une avance au cours de sa progessiou, 900 prisonniers dont le guider et a été grièvement blessé. dont 18 officiers des régiments de la garde GRAPPIN (Edmond" aumônier volontaire au prussienne, a capturé 10 canons, 12 minenwerles 23 et 25 oc- fer, 26 mitrailleuses et une grande quantité 11e rég. de cuirassiers à pied tobre 1917, a suivi les troupes d'accompagne- d'armes, de munitions et de matériel. ment d'A. S., marchant avec les vagues d'asRÉG. D'INFANTERIE COLONIALE DU MAROC: saut prodiguant ses soins aux blessés de plu- régiment d'élite sous l'énergique commansieurs unités sous un feu très violent de mitrailleuses et d'artillerie. A donné un exemple dement du lieutenant-coloncl DEBAILLEUL, a, le 23 octobre 1917, par une manœvre audamerveilleux de courage et d'abnégation. cieuse, difficile et remarquablement exécutée, HAINNEVILLE (Eugène), lieutenant à l'A. S. encerclé et enlevé de haute lutte des carrières, 31: officier d'une O.ergie et d'une compé- s'est emparé ensuite de lignes de tranchées tence remarquables qui, au cours des com- que la garde prussienne avait l'ordre de défenbats des 23 et 25 octobpe 1917, dans un elfort dre à tout prix, puis progressant encore, sous intensif de quatre jours et malgré les obstacles un feu violent d'artillerie et de mitrailleuses, sans cesse accumulés, a conduit son char à la sur une profondeur de plus de deux kilomètres poursuite et a détruit une mitrailleuse qui ar- et demi, malgré des pertes sensibles, a atteinl, rêtait notre infanterie, à quatre kilomètres des avec un entrain admirable, tous ses objectifs, lignes. Blessé au cours du eombat. infligeant à l'ennemi de lourdes pertes, captu14 officiers, 10 caprisonniers, dont rant 950 DUFOUR (Emile), sous-lieutenant àl'A"S. 31; nons, dont deux de gros calibre, 36 mitraiofficier d'une bravoure exemplaire, Le 23 octo- leuses matériel de nombreux et guerre. un bre 1917, a conduit son char dans des conditions particulièrement difficiles. N'a pas hésité 1" BATAILLON de TIRAILLEURS SOMALIS à se découvrir pour régler son tir, a canonné sous le commandement du chef de bataillon et mitraillé, jusqu'à redditioncomplète, un BOUET, a participé, le 23 octobre 1917, aux attacentre important de résistance (déjà cité). ques des bataillons du rég. d'infanterie colo-
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lesquels. +riOD0pb^ entre niale du Maroc, triOlOP et a rivaHç$ mêmesd'ardeur avec eux )lPAG les luttes glorieuses. derAijpAG'
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preBliesqUp d'ARTILLERIE 32e RÉGIMENT
régiment d'élite, ayant fait infapt début de la campagne, desavec en o0 joktoutes militaires et réalisé, en dB la liaison la plus intime Lors des opérations d'octobre àl: commandement du chef à c0sO a puissamment contribuétechniq ses grâce à la compétence 095 à nerie de ses officiers, ses sacrifice aa voure et l'esprit de ciers et de gy H D.0de» TRANCHÉE cre 101e BATTERIE DE de après avoirbatterie D'ARTILLERIE pièces plusieurs positions de de écuté chée, a, pendant la période el té igion. plusSA, l'attaque du 23 octobre 1917, pred'auaqt fatiguants et prolongés, avec bataillon. parfaie conscience chéensuite avec plus et la chéensuiteaveclesbataIllonsl'tiers et I J^ urance, des l'infanterie, transportant r e magnifique sant preuve d'une VS, gré les fatigues. TÉLÉGRAPHlQ.^aclf E
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COMPAGNIE 19/2 DU GÉNIE
d'élite, dont les sapeursl'infav^rRO PépafntlcOI de ,joi>' de leurs camaradeslieutenant laPcbé IltJ,ic^ commandement du ré^pa P a" .pïl'ip dépensée sanx compter pour Ia^r^es l'attaque du 23 octobre 1917, a orga de celle-ci avec les premières va ort, fanterie, les a aidées à nettoyer le terrain arrqché à la garde pru egt botif GÉNIE : COMPAGNIE 19/52 DU commandeept mier ordre avec qui l'infanterie etIlpar1p de combattre. Sous letechniques,etaartie taine SCI1ULTZ, a fait preuve de,s du23°°*eiyj, qualités militaires et brillamment à l'attaque gressant avec les premières pl^$ chemin. BRANCARDήS.flS offi aidant à s'ouvrir un S'I
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eclaSse'or ciass®=0r. SOl1} GROUPE DE NAIRES : unité d'élite qui, de son chef, le médecin-major >aps1 19 VIEILLE, assisté du médecin 1re classe MAZAUBEITT, a assure, etaCClafill!
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les 22, 23, 21 mum de temps, extrêmement détrempe a"cW! des évacuations bouleversé, un terrainbombardements
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dB NAIRES: unité d'élite qui, do aiii aide-majo éjat',liali~ son chef le médecin urn tts degtJl PEi'lT, assuré, dans le les 22, 23 et 24 octobre 1917, des sotisdesDû extrêmement difficiles dans un f pi* versé, détrempé et accidente, nts, Maigre bardements incessants. asphyxié des trajets et les obus le sentiment du dévouement 1'1LJ? haute abnégation. commande^ rgh ép.e4 D ,;\Jt RÉG.
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veme de aidant ainsi puissamment s*i!ec°mD'INFANTERIE: nseeteux:journées le 23 octobre 1917,: ducolonel LEVY, après iele4sft,etuntrés de bombardement '«tinrl Plusiof,rs violent *Ih^tt®Uxéecl»I)S SfiPréoccuper tir de contre-prépaheures, s'est lancé à l'assaut « P®ticiessuruS(îuellus de ses pertes de deux lignes de tranchées uPes VIolentes il s'est maintenu, C>t 'lede la18 „! gar<le les v; recontre-attaques des
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sous le commanBERARD, s'est porté à élan 1911, avec une fougue *cWk°Mdp. admirable s'est emparé objectif, malgré la résistance IrQhleiIlOnson L^ofaeiers;«et ennemis, a fait 205 pritl(iu,'eiSmbreux
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'0- u)'ant !fEr. h°rçpi m!TANterte
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tGi duc1nong Passéde gloire. Sous les daees PluSOIIe31 nOlGUES s'est distingué, une ans 1917, en s'emparant, fyru?eupél 'Vf. irrésistible de positions puissamsr plus kilomètresde trois cornlwJ'1Sfl,1'aumhtr pertes en officiers, a bout avec la même ^cespf-î\4^nant tousbrisant toutes les cohésion, Ion .taitini "ïviur(is' &îtvA^0lit les objectifs assipri-sonniers et capturé 19 caquat, 54 mitrailleuses et une de matériel. etaillon e* cir-fL,]O:iDE :
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élan w°ct9bre il a
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CHASSEURS A PIED : Nin«û d'h-i'-^'ces, moral élevé, faisant preuve, gationetd'héroïsme.
r?sduchefl'attaque debataillon bataillon octobre du positions de ^^lessVtruéàl'assautdes nQHrit» DaruleUlssament r44'b"eiix (''1?1S0n organisées et dél'ene^tte4fv^mhpnson,liers-nombreuse, enlevant el tranchées et faisant un SC|i'4^Usîpo"l6,Al'attaque de,bravoure, d'abnêA
2.1
lu.tte
de
tioS^NmïE TERIE
158eRÉG.
de
1), INFAN
régiment s'est régimentqui qui tl4 lere Urs de ta campagne une renommée qUies ubCtifsenantcolonel sa très grande énergie et sa 23 octobre 1917, sous les echrsqUpne. LEFORT, a con!loh'Sressin^ magnifique attaque, tous les Pl'gl'essilul Q uners, avaient été assignés, réalisant 7tdes, do trois kilomètres, capturant ^»UnJ>®rand15 Pièces d'artillerie dont ifiT^riei'r^°mPlété sonsuccès, le25octo-et nombre de mitrailleuses bre1917, MîlJ fliètr^c son succès, le 25 oetaen eahsant tUrérnèt une nouvelle progression Pto5nsdevifengaglements, et l au cours de laquelle il a capp Qellirs plusieurs mitrailleuses. prisonniers 120 mmiit lrailleues. nlitraillêuses.
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s Le D'IFANTERIE: régiment animé elllince, 2POInt de l'esprit de devoir et de tel iltt e acharnée lie tenant-colonel 1917, sous le commanîd^elhri*°Urp j4pin ham
ï.et
RANDIER, a pu,
et avec un élan et RtfPtan«&ti°r?esdesplus grands éloges,
~ndresuccessivementtous engins etd,1¡rds
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objectifs, ses prisonniers, 33 canons, dont un grands nombre de mitrailleuses do tranchée.
Irdt;:LJ.N DE
CHASSEURS A PIED: ï Il¡esure «Us di res du Vient de donner encore une "IIle, esIr orù de
J; fut
valeur. Le 23 octobre 1917, chef de bataillon CLAYEUX, q\¡¡fl1le hlNnt Partir»llerement secteur de la première position bien défendu, rét WtalJrèsnn corps à corps de trois heures, DrenutentIèrement défendu par un badétruit ou fait prit8 canons. dont 10 lourds et DORI'e2 octohria^e%ul0n A complété son sucnouvelle une hi an11^ cours de laquelle 11 a fait, dans ogagements, plusdifférents. de 100 prisonillft^ÏAiquatrecorps
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1-3 au^^rtenan enelïectuant
>Usôusio?DE CIIASSEURS A
:
PIED
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tb Staiii0ri ATïvn?ULD. hors de pair. Le 23 oc'Véu&iieo> atail, fcavcu^efn°u8Ve»une oil A commandement du chef è
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f.-'
emporté de haute C<VtJc^let^rema/Sqfbles' a décision et une assigliés, les objectifs qui lui le 2-u octobre a accompli, 3c°ntl(So coneflntraifol, la délicate mission qui <1111etdnnlers,capturant 21 faisant en ces deux jourdont et de canons, nombreuses mitrailleuses.
a
®20octohre accompli,
:
superbe régiment qui, sous le commandement de son chef, lei lieutenant-colonel LARDANT, a, lors de l'attataque du 23 octobre 1917, enlevé dans un élan irrésistible et et aHt la plus grande bravoure tous les objectifs qui lui étaient assignés. Malgré les défenses extrêmement puissantes accumulées par l'ennemi. S'est emparé de 18 cade nons, d'un matériel important d'artillerie tranchées, de nombreuses mitailleuses et à fait plus de 700 prisonniers. 218
RÉG. D'INFANTERIE
l"
BATAILLON DE CHASSEURS A PIED
:
à nouveau, csrps d'attaque qui vient de montrer sa bravoure et ses qualités manœuvrières. Le 23 octobre 1917, sous les ordres du commandant LE BLEU, a enlevé successivement tous les objectifs qui lui étaient assignés, comprenant une carrière fortement occupée, un bois garni d'artillerie, où l'ennemi a résisté énergiquement, enfin un village. S'est maintenu sur les positions conquises, malgré les contre-attaprisonques. Au COUJS de cette journée a faitapparteniers 7 officiers et plus de 700 hommes nant à trois divisions différentes, dont une de la garde prussienne, pris 18 .canons de campagne, dont 4 lourds, 65 mitrailleuses et un énorme matériel de guerre.
:
43e BATAILLON DE TIRAILLEURS SÉNÉGA-
admirable bataillon indigène, d'un dévouement sans bornes, dont le commandant PAULET, son chef, a su faire une unité de combat de premier ordre. Dans un élan irrésistible, le 23 octobre 1917, a enlevé successivement deux positions puissamment fortifiÚes.. garnies d'un grand nombre de défenseurs, faisant de nombreux prisonniers et s'emparant d'un très important matériel d'artillerie. LAIS
D'ARTILLERIE DE CAMPAGNE: beau régiment, plein de courage et d'allant. En septembre et octobre 1917. sous les ordres dulieutenant-colonel MAIIUT, a, malgré les pertes, apporté à l'infanterie le concours le plus 259e RÉG.
efficace et le plus constant. A porté hardiment ses groupes en avant pour troupes. appuyer à bonne portée la progression de nos 12e REG.
D'ARTILLERIE DE CAMPAGNE:
après avoir tenu, pendant plusieurs mois, un secteur très actif, et avoir été soumis quotidiennement à des tirs réglés, a apporte dans l'exécution des combats d'octobre 1917, une vigueur et un entrain remarquables, grâce militaire et à l'énergie de une haute valeur LEROY, et de son chef, îe lieutenant-colanelainsi qu'à l'ende groupe, ses commandants durance, au dévouement absolu, au moral élevé de tous, a réalisé une préparation aussi complète que possible, et accompagné ensuite d'une façon brillante, les troupes d'attaque, pendant la progiessionavec une exactitude et puissamune précision parfaites. A ainsi aidé ment l'infanterie, à conquérir les objectifs assignés. beau 62e RÉG. D'ARTILLERIE DE CAMPAGNE et brave régiment qui, depuis le début de la campagne et notamment en Alsace, en Artois, à Verdun et sur la Somme, a donné des preuves répétées d'entrain, d'endurance et de bravoure. En septembre et octobre 1917, sous le commandement du lieutenant-colonel I1UIN, dans un important secteur d'attaque, a su, malgré les maintenir l'intégrité du front, appuyer pertes, le fructueux coup de main et, le jour de l'attaque, apporter à l'infanterie un concours particulièrement efficace, contribuant ainsi largement au succès de la division,
à
:
101e BATTERIE DE 58 DU 62e RÉG. D'ARTIL-
LERIE : excellente unité de tranchée, solide et d'une bravoure éclatante. En octobre 1917, sous le commandement du lieutenant GOUTIIIER, malgré des pertes a, par la précision de ses
tirs, puissamment contribué à la destruction des premières lignes ennemies. A accompagné l'infanterie à l'attaque avec des engins de s'est offert volontairement pour ratranchée mener dans nos lignes une partie des canons conquis à l'ennemi. fi Se GROUPE u 120° RÉGIMENT d'ARTILLERIE LOURDE sous les ordres du capitaine FAGET, avancé, pour pouvoir remplir sa mission en vue de l'attaque du 23 octobre 1917, sur un emplacement particulièrement exposé, a, malgré des. circonstances atmosphériques défavorables, exécuté, avec habilité et précision, des tirs de destruction très délicats. A ensuite rendu les plus précieux services à l'infanterie par destirs d'accompagnement d'une grande efficacité.
;
:
:
3e GROUPE du 2858 RÉGIMENT d'ARTILLERIE
unité de premier ordre, instruite, solide et brave. En septembre et octobre 1917, sous les ordres du commandant BUHFIN a occupé une position avancée et malgré les pertes,effectué la destruction des organisations ennemies jusqu'aux lignes les plus éloignées, avec une précision qui a notablement aidé la progression de notre infanterie. (Ordre du 13 novembre 1917.) SCIIWEIGER (Emile), colonel, commandant l'A. D. : dans un secteur d'attaques, a fait de la préparation d'une acticours au preuve, vité inlassable, vérifiant en dépit de violents bombardements, les emplacements et les zones d'action de ses unités, a montré de grandes qualités d'organisation dans l'emploi des batteries placées sous son autorité, par son setion incessante, son impulsion judicieuse, l'appui constant donné à l'infanterie, a permis a l'attaque de progresser avec un minimum de pertes. Au cours de l'action, s'est toujours porté aux points les plus difficiles, faisant preuve de coup d'œil et d'énergie et donnant à tous le plus liel exemple de mépris du danger. GAUDOT (Louis-Marie-IIenri), lieutenant-colonel à l'artillerie divisionnaire de la e division commandant l'artillerie lourde courte d'une division dans un secteur d'attaque, a pu, par une activité incessante, un remarquable esprit de méthode, une coordination étroite de tous les groupes placés sous ses ordres, réaliser des destructions telles que l'infanterie, trouvant la voie frayée au jour de l'assaut, a pu arriver avec des pertes minimes aux objectifs qui lui étaient assignés. FRONIIEIM (Ilenri-Jules), colonel commandant l'A. remarquable commandant d'artillerie divisionnaire. A obtenu d'une nombreuse artillerie mise provisoirement sous ses ordres le maximum de rendement. A su organiser une préparation d'artillerie telle que l'infanterie de la division a atteint ses objectifs,
LOURDE
:
:
D.
les 23 et 25 octobre 1917, dans les conditions les meilleures. A eu tous ses groupements cités à l'ordre de l'armée. BOUTIN (Edouard), soldat à la 15e compagnie du 309e rég. d'infanterie jeune grenadier voltigeur mort en héros. Daus une embuscade allemande en ravitaillant une fraction d'avantposte a donné l'alarme en criant de toutes ses forces:«Attention voilà les BQclles!» A été tué à coups de couteau.
:
1
:
(Jean-Louis),sous-lieutenant au 8erég.de marche de tirailleurs engagé volontaire pour la durée de la guerre, a été mortellemedt blessé le 23octobre 1917. Officier très brave, ardent patriote, animé du plus bel esprit de sacrifice. MADEC (Joseph), lieutenant au 1368 rég. d'inofficier d'une bravoure et d'un sangfanterie froid remarquables, Blessé mortellement, le 4 novembre 1917, à son poste de combat, dans les lignes nouvellement conquises. DECIIAMP (Marcel-Camille), maréchal des logis au 205e rég. d'artillerie, 27e batterie sousofficier d'une bravoure remarquable, n'a cessé de montrer, depuis le début de la campagne, les plus belles qualités militaires comme chef de pièce, éclaireur ou agent de liaison. Mortellement blessé à son poste d'observation le 5 novembre. IIUPIN(Etienne-Marie), soldat à la 25e batterie du 251e rég' d'artillerie bon et brave soldat, mortellement blessé par l'éclatement d'un obus tombé à proximité de la pièce qu'il servait a fait preuve, pendant son évacuation, du moral le plus élevé, donnant à tous le plus bel exemple de l'esprit de sacrifice. BUISSON (Jules-Augustin), soldat an 4e rég. de marche de zouaves agent de liaison d'un courage remarquable. A rendu les plus grands services pendant l'attaque du 23 octobre 1911 et les jours suivants. Mort des suites de ses blessures. SERVAES (Louis-Edmond), sergent à la compagnie 22/53 du 2ie rég. du génie le 3 novembre 1917, accompagnant un officier chargé de la reconnaissance d un cours d'eau au contact de l'ennemi, a fait preuve d'un courage et d'un sang-froid remarquables, en restant à côté de son officier blessé et en le défendant contre une patrouille ennemie qui cherchait à se porter au-devant de la reconnaissance. COUSSON
:
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:
DERLON (André-Jean), sergent
la compagnie 22/53 du 21* rég. du génie : modèle de dévouement, toujoursvolontaire pour les missions dangereuses. Le novembre 1917, au cours d'une reconnaissance de rivière, a fait réparer immédiatement sous le feu des mitrailleuses ennemies, une passerelle mise hors d'usage par l'ennemi. ALEXANDRE (Alfred-César), capitaine au rég. d'infanterie coloniale du Maroc : officier d'un courage à toute épreuve. Au front depuis le début de la campaIH. a toujours rendu les services les plus périeux, en particulier lors do l'attaque du 2o octobre. Commandant un groupe de deux compagnies chargées d'une montré, une mission spéciale et péMeuse, fois de plus, un courage, un calme et une décision lors de pan, contri'uant grandement à la prise de plus de 30!» prisonniers et d'un nombreux matériel de guerre. FN"E (Roger), médeDUCHAMPDELA ïin aide-major de 2* classe au 4e rég. de marche de zouaves jréd du aide-major de naute valeur profe suinm-lle et d'une bravoure sxceptionnelle Au front depuis le début de la guerre, sept foisc té à l'ordre, s'est de nouveau listingué le 23 octobre 1¡1;. a installé son service, malgré un bombardement intense, sur ta position qui veua,l d'être conquise et s'y est prodigué les jours suivants, faisant l'admiration do tous. AVERT(AlfredMarins), sous-lieutenant au 4* rég. mixte de zouaves tirailleurs officier d'une très grande bravoure, sur le front depuis mai 1915, a pris part à toutes les opérations exécutées par le régiment. le 23 octobre 1917, a brillamment enlraiué sa section à l'assaut sous un feu violent d.- mitrailleuses et a progressé sans arrêtjusqu'à l'objectif final, malgré la vive résistance de l'ennemi. PEIN (Louis-Jean-Frallçois), sous-lieutenant au 4e rég. de marche de zouaves officier d'une énergie exceptionnelle resté seul officier de sa compagnie, en a pris le commandement dans des conditions particulièrement difficiles, l'a entraînée à l'assaut et a atteint tous les objectifs qui lui avaient été assignés. A maintenu sa compagnie pendant sept jours sur la position conquise, sous un vioient bombardement, a dirigé lui-même des patrouilles offensives qui ont procuré au commandement des renseignements précieux. DEZOTJ (Jean-Baptiste), sous-lieutenant à la 2° compagnie du rég. d'infanterie coloniale du brillant officier, dont la bravoure égale Maroc le courage. Véritable entraîneur d'hommes. Le 23 octobre 1917, a enlevé de haute lutte, avec sa section, plusieurs abris et un fortin énergiquement défendus, a fait prisonnier un.officier et vingt soldats de la garde. LAURENCY (Jean-Zéphir-Cyrille), lieutenant au 28e rég. d'artillerie officier très compétent et très brave, revenu au front à peine guéri d'une grave intoxication par obus a gaz, s'est distingué par l'énergie et l'habileté avec laquelle il a commandé sa batterie à Hurtebise (août 1917) et (23 octobre 1917), où il a été grièvement blessé. LECA (Jean-François), soldat au 4e rég. mixte de zouaves tirailleurs, 23e compagnie brancardier d'élite. Le 23 octobre 19t7 a vigoureusement entraîné ses camarades, progressant avec les vagues d'assaut du bataillon, relevant nuit et jour les blessés sur la position conquise, a fait preuve dans cette mission obscure et périlleuse de la plus belle force d'âme. FOURNAUD (François), sergent à la 2" compagnie du 4e rég. mixte de zouaves tirailleurs sous-officier d'élite, au front depuis le début de la campagne, le 23 octobre 1917, a fait l'admiration de tous par sa bravoure et son audace, blessé grièvement (pour la troisième fois) au moment où il plantait le fanion do sa compagnie sur la tranchée conquise. AURY (Henri-Laurent), soldat au 4erég. de marche de zouaves excellent mitrailleur, modèle de sang-froid et de bravoure. Le 23 octobre 1917, a pris spontanément, au cours de l'attaque le commandement d'une pièce dont le chef était tombé, s'est ensuite emparé dans un coup de main, audacieusement exécuté en avant de nos lignes, d'une mitrailleuse qu'il a aussitôt mise en action. VASSEUR (Paul-Clément), caporal au ie rég. &
3
a
t;
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de marche de zouaves
caporal téléphoniste d'un inlassable dévouement et d'un brillant courage. Déjà cité huit fois à l'ordre, s'est de nouveau distingué à l'attaque de en établissant et en maintenant sous un feu violent d'artillerie et de mitrailleuses, la ligne reliant la base de départ aux positions conquises. GUIBERT (Georges), sergent au rég. d'infanterie coloniale du Maroc étant chef d'une section, le 23 octobre 1917, a puissamment contribué à la progression du bataillon en réduisant au silence deux mitrailleuses ennemies et en prenant de flanc les défenseurs d'un bois fortement organisé. A fait preuve, pendant la période du 23 au 27 octobre, des plus brillantes
.,
:
qualités militaires.
BERANGER (Elie-Marie-Aimé), colonel, com-
:
mandant l'artillerie divisionnaire de la e division par ses connaissances techniques de premier ordre, son action personnelle et ses reconnaissances sur le terrain, a su imprimer à la masse d'artillerie mise à la disposition de la division une directive et une impulsion tout à fait remarquables. *
:
DE VILLEBOIS-MAREUIL (Radegonde-Gode-
froy), sous-lieutenant au 4e rég. de marche de engagé pour la durée de la guerre à zouaves cinquante ans, a été pendant trois ans, un modèle constant de courage, d'abnégation et de patriotisme. Grièvement blessé, une première fois, est revenu au front incomplètement guéri, dans un régiment d'attaque où il avait sollicité l'honneur de servir. Glorieusement tombé à l'assaut, le 23 octobre 1917, à la tête de ses hommes électrisés par son exemple.
:
DARDANT (Jean-Auguste-Louis), sous-lieutenant au 4° rég. de marche de zouaves com-
cour
? aeeIJant - le commandement d'unecompag»1 eD pW circonstances, notamment au que alors. du octobre 1917, 23 que commandementd'unecompaglle trare pos¡tlODs, canoJl combat, il l'a brillamment conduite 2 caDoD les l'assaut un barrage intense à A allemandes, enlevant de haute lutte
à
prisonniers.
capturant 33
aU soldatau
-
tll'(I11ea\'w (Auguste-Joseph-Emile), DURAND J.®ttaane a; 119 lie rég. de marche de zouaves tir bai,I%lf» à camarades 1917, a entraîné ses par un donné un entrain merveilleux, sousiústaeFt1 d'une rare violence. Est allé - , )c uile pld mitPïwlleurenun point avancé, ,api^uj leP'J mitrailleuses allemandes, d'où il 13 progression des vogues d'sssaut debravoure. bravoure, déjà quatre fois citedévouement, de quatre fois cIté.. rég, efficace. Modèledéjà de
i.5
a
t
i,de
et
hatJto
:
û®..te(W VICARD (Pierre-Albert), capitaine
sang-liroidniar de marche de tirailleurs officier condu:tSéade"iO¡CJlnl leur, d'un courage et d'un quables. A brillamment les 23 et 24 octobre 1917, malgré avoi paSstL grièvement, barages. Blessé s'est laissé évacuer qu'après compagn18. 1115 commandement de sa courant de la situation- coiJ successeur au (Louis-Philippe-Etienne)».
le
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r e
; g(tr rég. de marche de énerci4«3
FOURCHES
tiratUe~
octnl nant au 8e l'attaqu^ mandant de compagnie très remarqj^ieiï1® uncOeS
expérimenté, a conduit à aveleséloe bre 1917 une unité qu'il avait tous dDic préparée. Le 28 octobre, a dirigé It blessé8 de rage et un entrain dignesgrièvemen al 38 ramené une reconnaissance qui a dont 3 officiers. A été sergenta«1?iJ s.ré' cours de cette opération.
:
t?t
(
IIALGAND (Emile-François),
ocipns le24 tu%a priSIIj IJ ajgré son chef de section ayant été 1a commandement de la section et,et,-<,^1* 0'3Pd1 feu très nourri de mitrailleuses, p Blessé ment entrainée à l'attaque. bomhardemen'cente de13eDte au cours d'un violent D appéji voulu se laisser évacuer avant la JOent. deux secteur qui n'eut lieu que dévouent Modèle de courage et de BOUCHER (Maurice-Marie-Joseph), médecin quatre fois cité (Gaston-LUcien-Plerrarcb Jieut à aide-major de 2e classe au 4e rég. de marche de RABALAUD médecin aide-major de haute valeur nant fl;ff. E5Cn zouaves bataillon rég. 5° du se au aY1 professionnelle et d'une bravoure qui fait l'ad- tirailleurs glorieusement tombé miration de tous. Le 23 octobre 1917 s'est dé- balle fnorale,ayRe octobre plein le 23 en sacompagnie cœur pensé sans compter, nuit et jour, sous un feu Inculque uneardeul ses obJ lent officier, d'une valeur haute d'artillerie et ae mitrailleuses des plus violents. sesDjec A assuré les jours suivants le service de son bataillon, puis celui d'une autre unité dont le qui lui a permis d'atteindre tous OUERprfll4 personnel médical avait été mis hors de mandant de compagnie dont le coup d'œil et le sang-froid égalent la bravoure. Au cours de l'attaqpe du 23 octobre 1917, a brillamment entrainé son unité à l'assaut et atteint d'un seul élan les objectifs successifs qui lui étaient assignés. Blessé au cours de l'action, a refusé de se laisser évacuer jusqu'à ce que sa mission ait été intégralement remplie.
:
à demarche
de tirailleurs
0pj tifS" .j
de
l'ordre.
:à
combat.
:
NOIRET (Victorien-Noël-Amédée), soldat au
4' rég. de marche de zouaves zouave téléphoniste d'une incomparable bravoure, modèle d'abnégation et de dévouement. Le 23 octobre 1917, est sorti l'un des premiers de la parallèle de départ, a pris la tête du bataillon d'attaque, est arrivé avant les premières vagues sous un bombardement d'une rare violence au poste qui lui avait été assigné, y a installé et maintenu son appareil malgré un feu des plus meurtriers. SIGNORET (Jean-Baptiste), lieutenant au 4a rég. de marche de zouave officier d'un incomparable dévouement, doué d'une ardeur et d'une volonté remarquables. Le 23 octobre 1917, a *Hs en plein combat le commandement d'une compagnie de mitrailleuses dont le capitaine et trois chefs de section venaient d'être blessés. S'est montré en tous points à la hautenr d'une telle tâche, a pris à la conquête des objectifs assignés à son bataillon la part la plus
:
glorieuse.
:
PAGES (Jules-Augustin), sous-lieutenaut au 48 rég. de marche de zouaves le 23 octobre 1917, a entraîné sa section dans nn élan
1I
lé
cet :
rég.s
RABAII BEN BOU ADILA BEN octobre au 8,q|7, ROUAZI, soldat de po classe
marche de tirailleurs le 23 rgtou des courageument étancé à l'attaque 'un par sUIte d j'9' ennemies. Fait prisonnier avareoadeli dégagé la"relia, offensif de l'ennemi, s'est été désarmé. A combattu seul à li"l-tl'ol est parvenu à rejoindre la vague railleur admirable de courage et de au»Sûtîèr'^6s oCto" SCHREINER (Joseph), sergent marche de tirailleurs: sous-officier déni gfle froid et d'une bravoure hors 1917, a entraîné brillamment sa l'assaut des tranchées ennemies.
nt
d'ab saj pair. 3
Bie
«
son commandement jusqu'à épUlSCI plet de ses forces. a"SeS.ré réel gfltr®ilJ aéricUSCat caporal FONT (Guillaume-Eugène), de tirailieurs le 25 octobre 191'» motiv e0im pertes son escouade causant des l'ennemi et facilitant par son laCO reste de quaIJ. dacieux, la progression du mitraille" gnie arrêtée par le feu des mies. Caporal doué des plus belles militaires, bravoure et sang-froid. (Ordre du 15 novembre 1917.)
:
)
superbe à l'assaut des positions allemandes s'y est maintenu les jours suivants, harcelant sans cesse l'ennemi. Officier d'un courage et 0tPj d'uu dévouement incomparables, dont l'enduta la de le don de ministre soi-môme ont Le président fait, rance, du conseil, fois de une plus, pendant six jours de rudes combats, Vu le décret du 13 août 1914, 1admiration de LÉON (Henri), sous-lieutenant au 4e rég. de Arrête au* ta.ble8 marche de zouaves officier d'une bravoure et d'une énergie remarquables, deux fois blessé Article unique, — Sont inscrits au cours de la campagne, classé dans le ser- spéciaux de la Légion d'honneur (/»Supple.m dont^.Atit-111 viceauxtliaire, est revenu volontairement sur daille militaire, les militaires le front, n'a cessé de s'y distinguer en toutes suivent '11Itnl. !
—
--
r:>
tous.
:
1
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:
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etles,
légion D'iiclnneur Pourofficier. (Pour (pOUr prendre
rie"^é°n)i novembre
Prend bataillo (jranî. ?~^e~^ rang du 25 '>5
: ofticier e detroisn
1917.)
bataillon(active)
chef de Shle^-dWan1®commandant le 2e-bataillon Chlm£ avec son bataillon de 0rtlre. 14 d deco troi.S supérieur de 3¡IrIi!rer i4^ivisi5e n}ê*nie son bataillon de f'ves Ouvrira^dînî lignes de résistance succesdélicate temps le flanc de Cleusss teIUdicieun en cette double et en prenant prenant les formations les Qrgedre orgau.Séesà*rilanceuvré s,Yest?n estinstallé habilement pour f;I)enLSs'y et,penda deux fermes solidement cinoiinn^*S' malgré un bombarré.sistéde mitrailleuses d'n qUe. Pour faite C l^'Eî résisté à toute contrechevalier de la Légion de guerre. Deux citations. :^.;cai°ilr io AII)érie-Prançois-Louis-,Nlaritis), n^l-p leria OrJicier ',eM'une anfieHr on(û.cl,ive) tObl'Iesn'aJ'rèeduorilé au 3-1" rég. dïnfan.^les d'une énergie, d'un ~n'arrêtedans - rares, qu'aucune dif,îilWJ' aeiUrVîn°-son A s>Uccess:voo?®' son élan. I~s 26 et 27 oc»S!'ecietiuV«Sn!,!e bataillon dans deux avec une fougue admiîln e.\(«^'Orinelipo soneîv!n c°mmunieatifs sens tactique. Par sa LIXCPSa fait des difficultés de ter-
t
ede
^ssionon o
eux !
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à
* feutrm desousl'ennemi. lefeudel'ennemi,
faitsdeeVaher
guerre.
de la Légion d'honneur Trois citations.
nril'.
Pour clteralier. p tef.GII rang du 23 novembre 1917.) éllcr,' iJ.I'Ullori d'une teur?aél'OIlar) el¡quo artillerie, sons-lieutenant à titre ^oUr
re
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ep!>ieniSsé£rri,'f-en?en* observateur au d , une armée armée : observarie dp ha8s^<ià'-!? aviafinn°u^ valeur,
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été blessé grièvement, le 16 avril 1917,en s'élan eant avec un entrain magnifique à l'assaut des tranchées allemandes. Une citation. BLANCK (Marcel), sous-lieutenant à titre temporaire (active) à la 9* compagnie du ge rég. d'infanterie officier d'un courage remarquable. A brillamment commandé sa section aux attaques d'avril 1917, devant Moronvilliers. A été très grièvement blessé le 19 avril en organisant la défense de tranchées nouvellement conquises. Une citation. GACON (Abel), mle 674, capitaine (active) commandant la 6* compagnie du 104e rég. d'infanterie: officier d'une haute conscience et d'un brillant courage. A été grièvement blessé à Fleury, le 11 septembre 1916, en procédant à une reconnaissance périlleuse en vue de l'organisation défensive de son secteur TAILLEBOT (Jean-Alexis), sous-lieutenant (réserve) à la 12e compagnie du 91e rég. d'infanterie excellent officier d'un courage superbe et d'une remarquableintrépidité au combat. A été grièvement blessé, le 5 avril 1915, à Maizeray, en entraînant sa section à l'assaut de la tranchée allemande. LEROY (Françis), mle 82, sous-lieutenant (réserve) à la 4® compagnie du 1errég. d'infanterie officier de grande valeur d'une bravoure à toute épreuve, très crâne au feu. Blessé très grièvement au début de la campagne, a obtenu de revenir au front bien qu'imparfaitement guéri. Malgré les souffrances occasionnées par sa blessure ouverte à nouveau, a pris part à toutes les attaques du régiment, donnant à tous un bel exemple d'énergie et de sentiment du devoir. A dû être évacué en septembre 1916, à bout de forces.
:
(Pour prendre jang du 25 septembre 1917.) HUDE (Jean-Serge), mie Rt 672, soldat (active) au 528 rég. d'infanterie coloniale soldat courageux et plein d'allant. A été grièvement blessé, le 26 septembre 1917, dans l'exécution d'un ravitaillement périllleux.
:
(Pour prendre rang du 28 septembre 1917.) KERSAUDY (Raymond-Daniel), mle 01735, soldat (réserve) à la C. II. R. du 53e rég. d'in. fantere coloniale soldat d'un courage magnifique au combat et d'un grand sang-froid devant le danger. Grièvement blessé, le 26 septembre 1917, en faisant bravement son devoir. RIVAL (Marcel-Maurice), mle 10215, soldat (active) au 52e rég. d'infanterie coloniale bon
:
:
et brave soldat, d'une brillante attitude au feu. A été blessé grièvement, le 25 septembre 1917, dans l'accomplissement de son devoir. (Pour prendre rang du 29 septembre 1917.) HILLION (Julien), mle 5926, soldat (territorial) à la 6e compagnie du 53e rég. d'infanterie coloniale excellent soldat, d'un courage à toute épreuve et d'un entrain magnifique au combat. A été grièvement blessé à son poste le 27 septembre 1917. Une blessure antérieure. (Pour prendre rang du 30 septembre 1917.) MALOREY (Albéric), mle 4711, sergent (réserve) à la 28 compagnie de mitrailleuses du 25e rég. d'infanterie très brave sous-officier mitrailleur, modèle d'énergie et de dévouement. S'est constamment distingué au combat, notamment sur la Somme et en Champagne. A été blessé grièvement, le 12 octobre 1917, en faisant son devoir. Une blessure antérieure. (Pour prendre rang du 1er octobre 1917.) MÉDAILLE MILITAIRE CORBEL (Jean-Louis), mle 0342, soldat de lre classe (réserve) a la 98 compagnie du (Pour prendre rang du 5 décembre 1916.) soldat d'une PICFIEREAU (René-Gaston), mle Rt 3357, 2e rég. d'infanterie coloniale accomplie, au front depuis le début canonnier servant (réserve), au 7e groupe du bravoure 1-1c rég. d'artillerie lourde: bon et brave sol- de la guerre. A été blessé grièvement, le 28 septembre 1917, en faisant son devoir. Une dat, d'une belle attitude au feu. Grièvement blessure antérieure. blessé à son poste de combat, le 4 octobre 1916. (Pour prendre rang du 11 octobre 1917.) (Pour prendre rang du 23 décembre 1916.) GRANIER (Joseph-Théophile), mle 6 le 8164, MOHAMED DEN LAIACIII, mle 10384. tirail- soldat (active) à la C. H.B. du 6e rég. d'infanterie leur (active) à la 6e compagnie du 28 rég. de coloniale: soldat courageux et plein d'entrain. tirailleurs de marche très bon soldat, coura- S'est brillamment pendant les attageux et dévoué. S'est brillamment comporté le ques sur la Sommecomporté et sur l'Aisne. A été griè15 décembre 1916, à Verdun, au cours de l'atblessé, le 10 octobre 1917, à son poste taque des lignes allemandes fortement organi- vement sées.-A donné un bel exemple d'énergie et de de combat. Une blessure antérieure. fidélité au devoir en restant à son poste de (Pour prendre rang du 13 octobre 1917.) combat, dans les lignes conquises, malgré une (Louis), mie 010872, soldat (réserve) grave gelure. Évacué le 17 décembre 1916, a été à MERCIER la 6e compagnie du 6" rég. d'infanterie coloamputé d'une jambe. niale: soldat d'un courage superbe et d'un grand sang-froid au feu. Malgré un bombarde(Pour prendre rang du 7 mai 1917.) violence ment d'une grande et les tirs de SAMSON (Joseph), mle Rt 877, zouave (réserve) barrage ennemis, le 11 octobrç sous 1917, a effectué à la 5e compagnie de mitrailleuses du 3e rég. à plusieurs reprises et combat le très bon mitrailleur. ravitaillement grenadesendepleincompagnie. de marche de zouaves A en sa S'est constamment fait remarquer par son été blesssé très grièvement au cours de sa entrain et sa bravoure au feu. Grièvement mission. blessé, le 3 novembre 1917, à son poste de combat. CATY (Eugène-Moïse), mle 69248, soldat (active) à là 10" compagnie du 6* rég. d'infan(Pour prendre rang du 31 juin 1917,) terie coloniale brave soldat. Malgré un bomBENYETTOUMOHAMMED OULD MOHAMMED, bardement intense, assuré sans relâche son mle 13135, tirailleur (active) à la 7e compagnie service de guetteur, donnant ainsi à tous un et d'esprit de sacridu 1errég. de marche de tirailleurs brave ti- bel exemple de sang-froid railleur, animé d'un bel esprit guerrier. A été fice. Grièvement blessé à son poste le 6 ocblessé grièvement, le 5 novembre 1914, à Mai- tobre 1917. son-Blanche, en se portant vaillamment à l'at(Pour prendre rang du 19 octobre 1917.) taque. LANCEREAUX (Charles), mle 228, soldat (ré(Pour prendre rang du 11. septembre 1917.) serve) au 91e rég. d'infanterie très brave brancardier, modèle de dévouement grièvement BARON(François), mle017225, soldat (réserve) blessé à son poste en première ligne le 19 ocà la 2e compagnie du 169e rég. d'infanterie très brave soldat, animé d'un réel esprit de tobre 1917. Une blessure antérieure. Una sacrifice. Le 8 septembre 1917, au cours d'une citation. ; attaque, a été grièvement blessé devant un (Pour prendre rang du 26 octobre 1917.) blockhaus ennemi qu'il s'employait à réduire à GANIER (René), mle 10796, soldat (active) & coups de grenades. Amputation du bras droit. Une blessure antérieure. la 23e compagnie du 297e rég. d'infanterie très bon soldat. A fait courageusement son devoir (Pour prendre rang du 13 septembre 1917^) à l'attaque d'une position ennemie le 23 octoBERGAUD (Jean-François-Marie), soldat (ter- bre 1917. Blessé grièvement au cours du comritorial) à 19e compagnie du 167e rég. d'infante- bat. Amputation du bras rie, mle Rt 1114 : très bon soldat. A été griève(Pour prendre rang du 28 octobre 1917.) ment blessé, le 8 septembre 1917, en se portant courageusement à 1assaut des positions enneDAY (Léon-Michel), mie 10205, maître poinmies sous un violent bombardement. teur (réserve) au 5* rég. d'artillerie de campa-
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gauche.
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soldat modèle, excellent pointeur. Sur le front depuis le début de la campagne, s'est toujours distingué par son courage, son sangfroid et sa superbe attitude au feu. A été très grièvement blessé sur la position de batterie le 27 octobre 1917. Une blessure antérieure. Deux citations. {Pour prendre rang du 29 octobre 1917.) DARRICAU (Henri), sergent (territorial) au excellent sous-officier. A T)lerég.d'infanterie toujours, fait preuve de bravoure et de sangfroid. Blessé grièvement, au cours d'un coup de main en avant des lignes, le 28 octobre 1917. Une citation. GUIOT (Georges-Paul-Marie), soldat (réserve) du 109° rég.d'infanterie : à la 2e compagnie soldat d'une bravoure accomplie. S'est brillamment comporté à l'attaque du25 octobre 1917 au cours de laquelle il a été grièvement blessé. Amputé du bras gauche. (Pour prendre rang du 31 octobre 1917.) BOZALLA-BARAMINO (Auguste-Georges-Marius), mie lit 1806, soldat (active) à la 14e comsoldat courapagnie du 32Ge rég. d'infanterie geux et dévoué. A été grièvement blessé, le 27 octobre 1917, en assurant son service de -guetteur pendant une attaque ennemie. gne
:
:
(Pour prendre rang du lor novembre 1917.) CHABOT (Louis), mie 497, caporal (réserve) à la 11e compagnie du 38e rég. d'infanterie gradé énergique et brave, en campagne depuis le début des hostilités. A toujours eu la plus belle attitude au feu. A été blessé grièvement, le 31 octobre 1917, à son poste de combat. CIIAPUIS (Jean-Louis), mie 675, soldat (réserve) à la 11e compagnie du 38e rég.d'infanterie très bon soldat, d'un dévouement absolu. A été grièvement blessé, le 29 octobre 1917, en accomplissant son service de guetteur dans un poste avancé au cours d'un bombardement
:
:
intense.
ON
:
(Eugène-Antoine), mie 488 Rt, soldat (réserve) à la 11e compagnie du 38e rég. d'infanterie soldat d'un brillant courage, au front depuis le début de campagne. A été. blessé grièvement, le 30 octobre 1917, en travaillant, sous le feu de l'ennemi, à l'organisation des tranchées de première ligne. Une blesLÉONARD
la
sure antérieure. (Pour prendre rang du
novembre 1917.) COLSON (Paul-Camille-Alexancro), mie 14518, soldat (active) à la18e compagniedu 229e rég. d'infanterie : bon et brave soldat, très rine au feu. A été blessé très grièvement à son poste de combat le 2 novembre 1917. (Pour prendre rang du 3 novembre 1917.) ATNANI TAIJAR BEN ATMANE, mie 9716, tirailleur (active) à la 9e compagnie du 98 rég. de marche de tirailleurs algériens excellent soldat, s'étant toujours fait remarquer par sa bravoure et son entrain. Très grièvement blessé, le3 novembre 1917, a supporté ses souffrances, sans une plainte, donnant àses camades un superbe exemple d'énergie et d'abné2
i
:
gation. ROBERT (Dniel), mie 9109, soldat (active) à la soldat 11e compagnie du467« rég. d'infanterie
:
affaires des cavaliers de Couroy et du Chemindes-Dames, par son audace et son entrain, A été grièvement blessé, le 2 novembre 1917, à son poste de combat. Amputation de la jambe droite. (Pour prendre rang du 6 novembre 1917.) GODAL (Victor-Jacques), mie 515, soldat (active) à la 17e compagnie du 319e rég. d'infanterie soldat d'une bravoure exemplaire, le 3 novembre 1917 au cours d'une patrouille pour laquelle il était volontaire, entouré par un groupe important 'd'ennemis, a réussi bien que grièvement blessé à se dégager et à rejoindre nos lignes. Amputé du pied droit. (Pour prendre rang du 7 novembre 1917.) DEPARIS (Louis), mie 17738, tirailleur (active) à la 10e compagnie du 2e rég. de tirailleurs de marche soldat d'une bravoure communicative, le 25 septembre 1915, sous un feu violent de mitrailleuses, s'est courageusement élancé à l'assaut des lignes allemandes fortement organisées. Est tombé grièvement blessé en atteignant la première ligne ennemie. LECOMTE (Emile-Augustü-Désiré), mie 02163, soldat (réserve) à la 19e compagnie du 269e rég. d'infanterie très bon soldat, modèle de courage, de sang-froid et de dévouement. A été blessé grièvement, le 7 novembre 1917, en faisant vaillamment son devoir. Amputé du pied gauche. CRUCIIE (Léon-Parfait), mie 8755, soldat (active) au 115e rég. d'infanterie fusilier mitrailleur d'un dévouement et d'une bravoure remarquables. Le 6 novembre 1917, au cours-d'un coup de main ennemi a, malgré un violent bombardement, assuré le service de sa pièce et a contribué à arrêtai* l'attaque. A été grièvement blessé au cours de l'action. Deuxblessures antérieures. MAUDUIT (Robert-Gabriel-Emile), mie 12475, soldat (active) au 115e rég. d'infanterie soldat mitrailleur d'un courage intrépide, d'un bel exemple pour ses camarades. Le 6 novembre 1917, au cours d'un coup de main ennemi, sa pièce étant soumise à un violent bombardement, a continué à la servir avec calme et sang-froid jusqu'à ce qu'il ait été grièvement blessé. TARIN (Moïse), mie 08774, soldat à la 6e compagnie du 7e rég. d'infanterie coloniale: vaillant grenadier voltigeur. S'est distingué dans les combats, en Champagne, sur la Somme sur l'Aisne. Le 14 octobre 1917, a été grièvement blessé à son poste de guetteur, d'où il continuait à observer l'ennemi malgré un bombardement très violent. Une blessure anté-
:
:
:
:
:
et
rieure.
(Pour prendre rang du 8 novembre 1917.) GOURDEN (Pierre-Joachim), mie 20G (R.A.T.) soldat à la 3e compagnie du 88e rég. territorial très bon soldat qui a fait preuve d'infanterie à maintes reprises au cours de la campagne, de sang-froid, d'énergie et de bravoure. A été blessé grièvement, le 13 octobre 1(J17, au cours d'une liaison périlleuse. SABATIIIÉ (Jean-François-Félix), mie 03557, canonnier servant (réserve) au 1411 rég. d'artilcanonnier courageux, dévoué et d'un lerie grand sang-froid, sous les plus violents bombardements. Au frontdepuis le début de la campagne, a toujours donné leplusbel exemple à ses camarades. A été grièvement blessé, le 7 novembre 1917, sur la position de batterie, en servant sa pièce. GARDIEN (Alphonse-Victor),mie01050, soldat (réserve) à la 3e compagnie du 115e rég. d'infanterie : fusilier mitrailleur d'un dévouement et d'un courage exemplaires. Le 6 novembre 1917, a été grièvement blessé, à son poste de combat, au cours d'un coup de main ennemi, accompagné d'un violent bombardement. Une blessure antérieure. LAGIER (Antoine-Auguste),soldot (active)au soldat très courageux et d'un 319e d'infanterie entier dévouement, plein'd'allant au combat. Aété blessé grièvement, le 6 novembre 1917, en exécutant des travaux dans un secteur
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tdistinglllet soldat (active) à la 2e compgnJe 1.i0i plein tsdUp.aD d'infanterie grenadier dis le1loi et d'entrain. S'est t S'es san,--froid et d'entrtin. sang-froid 25 avril et 5 mai 1917, aux b'e de Vauclerc. A été grièvement gue brevembre 1917, à son poste de oldat j (Pour prendre rang du 10 °P12ré..d'illl: compagnie du i-J» r>mie BÉRENGER (Hippolyte), wteéptf. serve) à la 10e e[ gfjèvejL bravoure terie soldat d'une plein d'allant et d'intrépidité. A blessé, le 7 novembre 1917, en Id8d ment son devoir. 1Sd'io? We0û&, JOLY (Antoine-Marie), mie tive) à la 15* compagnie du 272le1nrioV% rie très bon soldat, d'une belle0novel feu. A été grièvement blessé, 1917, à son poste de combat miense. bombardement (Maurice-Eiigènefcorge^^ dépit d'un enLERNON
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geJ (réserve) à la compagnie telégraP dU sritlce. co&VfL corps d'armée colonial au 8e rega Par coune]ce.. rca chef de section remarquable sacjr;<ri technique et son esprit de une/M des d'établir etde maintenir iM dans 1mod01? téléphoniques importantes violemment unun ortaIl été violemmentbombardée, bombardée,été a tant de bravoure et d'énergie, ¡j¡j personne aux points les soge mieux encourager sa troupe. TrS na mtI 1917, blessé le 11 novembre ^,eSpr< l'exécution de sa mission, plus bel exemple d'abnégation e
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set tà donnai : (levoir.Qil in :
d'un grand courage. A été grièvement blessé, le4 novembre 4917, en exécutant des travaux en première ligne sous un violent bombardement. (Pour prendre rang du 4 novembre 1917.) JORLAND (René), mie 12195, soldat (active) 149e rég. d'infanterie, compagnie de mitrailau leuses : soldat d'un courage superbe. Blessé très grièvement, le 23 octobre 1917, en se portant à l'assaut destranchées ennemies. (Pour prendre rang du 5 novembre 1917.) REDIEN (Henri), mie 14406, soldat (réserve) à la3e compagnie du 35° rég. d'infanterie très bon soldat, toujours plein d'entrain et de courage. S'est fait remarquer dans tous les combats auxquels le régiment a pris part. Blessé grièvement, le 2 novembre 1917, en travaillant violemment bombardé. au réseau protégeant la première ligne. (Pour prendre rang du 9 novembre 1917.) LEMERLE (Louis), mie 15127, soldat (active) à la 6e compagnie du410e rég. d'infanterie MERCADIER (Jean-Marie), mie Rt 370, soldat très brave soldat qui s'est fait remarquer aux (R. A. T.) à un groupe de brancardiers division-
A 1
montre, i'aA
m d'infirmiers naires (8e section vouement plusgran<i®ragc. dal d'un grand mérite plissement de son service, le 1911,ededj nove!nbrertedeS vouement et le plus grand grièvement blessé, le 9 surant le transport des blesses. .(Adrien-Gustave-Marc®le 95 J'eux.
a plusdar
(Paul-icannès), Ilale 11 (Pour prendre du rang
< nt
SYLVESTRE P; (active) à la 14e compagnie du aHOP par satilfac,tioil fanterie très brave soldat, donné à ses chefs entière nO IlPP
Ilt conduite
manière de servir et sa le 10 très grièvement blessé bombardent pendant un violent une attaque ennemie. LETOUT
»;
arpu?
1661g,
(Henri-Augustin), compagn1du
or0îi^^1,eii à
braVOIIm.g1
gent (territorial) à la reiflPL., d'infanterie: sous-officier d'une chctde veilleuse, Le 7 novembre 1917 a qUieL é: courageusement sa mission nombre, trouille en attaquant une 1'0 ennemie, supérieure en hgnt de main nos sur un coup aida! grièvement blessé. JÉGOU (Michel-Joseph), mie tive) à la3e compagnie du lGe bra,.n-jfevl soldat très dévoué et d'une accompagna 1917, a. d'Uu quable. Le 11 novembre coup de main ennemi bombardement, a continuéparfaiuté vice de guetteur avec une A été très grièvement ai) jambe gauche et de la cuisse dlOLt r'g" û2^ GODRET(Albert-Jules), mie etplelll" lei" du lot (réserve) à la 13® compagnie donné fanterie : sous-officier énergique ie"i'ent) train, ayant conduite manière deservir grièvement blessé le 10 novembre be YiÓlcn vioJt,,Jn plus liant à ses hommes le calme et. de courage sous un bardement appuyant une J1118!! Trois citations. compa^n/^0pt du (Auguste-Jean-Marie) CIIAUVEL soldat (réserve) à labon 3e exemplaires. <1 soldat,-du d'infanterie très deF et d'un dévouement t 11 ment intoxiqué, le 11 novembre petit poste où il était demeure violent bombardement. OJM S .;>,fll61lJ_ 'et ss!: d'infanterie mie CIIASTANET(Pierre), dungaflp'{fi serve) au lOJe trailleur d'un courage et un^euupW y toute épreuve. Le 10 puissamment à repousserblesse 000 1 ennemi.A été grièvement de combat. 11e
à
reo' i, roo cf
i blessé,a sa
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etsa attaq0 lr fl
:
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* novembre
rég.
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r^ ^-1' anteri •erih ,û04te tQi(fAfU9« d'unUses
pr
m-e Rt 701, caporal (ac3° compagnie de
î^nfî! taIlt VeiQent
v (POUr jio4.
d'une bravoure exemplaire jioQil~vera feeonhuaissancen épreuve. A été blessé ont,le 22 octobre 1917, en eIfccssures dans le secteur d'atantérieures. 1917.) Une cita-
aGYII)A.LeIlre la 3eG(^^Iari®)» rang du 12 novembre 1917.) terie : très bon soldat, au trèshoCOmpagnie
:
to. 011'.
mie 10879, soldat Si du 169e rég. d'infand'une brillante attitude sondey 11 vembre UCscirconstances. Grièvement 1917, en faisant vaillam6h
L Il a
Nèiliîjltorisoldat riw0n?pagnie tanee) 1éogore-Marie), "mle 07326, soldat "oirlededé\tdune du 1Gge ré&- d'indévoneamentbravoure à toute épreuve. et de la fidélité au deiaUcbde grièvement, le 11 novembre vice d'uncoiit?avec v1 c un 6rand grand sang-froid, de uetteur de ma:n gauche.Uneblessure antéreieur. ennemi son serAmputation de la jambe "I)¡IICliA ierie^i"»cap0r, SUre antérieure. ~5682,caporal(IRaoul-Marie-JoSSPh-Ghislain), 12IlUtde eVoué (réserve) au 147erég. d'infan1ionll.L'ne et brave, front depuis Blessé grièvement le
d
0 de Joir. i^C assUranf e
es
lacaî^Pagne. i
,
au
r7, en faisant vaillamment son
L'fie
eSSure antérieure. Deux cita-
An» d'u Pagne batte(;.lerre-AUred), ,le Pllr!l grandrlque: ? brigadier (réserve). SSuS?!]COUrrlte,S'est I
u
e
1 cr groupe d'artillerie de rièta.!]tIcsa1:¡e.et brigadier téléphoniste assurantlesliaisons
fréquemment signalé 8®ceTntblii son mépris du danger en été avec l'avant l'ayant; été très avec très a b!ess de cours,le10 d'une reconnaisless.i!rePositi?nr» novembre 1917. pb, ^térierieureT,Unecitation. Une ~t~ 115.~-~an),
au
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mie 12525, soldat (réd'undévouement rég.d'infanterie, ll* compagnie a¡!]le6no,sseexcellent grihement soldat mitrailleur, hiit rfilessS OilrdellllernOlDre d'un courage à toute à son poste de comenne acco Pagné 1917, au cours d'un coup de de41enteAmputtion violent bomde la jambe droite. à la Ki24# V'ttQeh/navouresoldat (réserve) soldat N*enNnm^?ni-filïuo à toute épreuve et écUlfl^^destparaVaux grièv,nlert au combat. A été le 12 novembre 1917, en ahq(Et' 8£^pfg|,W'mle-671. en première ligne. t CO 5iHk/^re1Q4-7 soldat (réserve) A rég. d'infanterie bon grièvement blessé, le ': en -continuant à veiller à bombardement violent. (pourPeelldre
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ment blessé à son poste de combat. Deux blessures antérieures. Une citation. CIIALEYER (Jean-Marie). ml3 014433, soldat (territorial), à la 10e compagnie du 15Se rég. d'infanterie bon soldat, très courageux. S'est brillamment comporté au cours de l'attaque du 23 octobre 1917. A été grièvement blessé, le 25 octobre, dans un petit poste avancé, lors de la préparation d'une contre-attaque ennemie. Amputé de la cuisse gauche. (Pour prendre rang du 14 novembre 1917.) CORDONNIER (Pierre-Marie), soldat (active) à la 21e compagnie du 230e rég. d'infanterie: Jeune soldat, très brave au feu. A été grièvement blessé, le 12 novembre 1917, alors qu'il défendait courageusement, à la grenade, un petit poste avancé particulièrement important. RHAMDANE (Abdelkader), tirailleur (active) à la lr* compagnie du 2e rég. de tirailleurs de marche tirailleur brave et énergique, ayant toujours montré les plus belles qualités militaires. Pendant l'occupation d'un secteur soumis à un bombardement continuel et à des tentatives d'incursion ennemies du 3 au 12 octobre 1917, a été d'un bel exemple pour ses camarades en restant courageusement à son poste, malgré une grave gelure des deux pieds qui a nécessité l'évacuation. ROUSSEAU (Joseph), mie 05739, soldat (réserve) à la 5e compagniedu 120* rég. d'infanterie excellent soldat, très courageux, d'une belle attitude au feu en toutes circonstances. A été grièvement blessé, à son poste de guetteur, le 7 novembre 1917. COIGNET (Louis-Fernand), mie 12454, soldat (réserve) à la 21e compagnie du 317e rég. d'insoldat dévoué et brave. Le 14 nofanterie vembre 1917, a été grièvement blessé en allant rechercher, après une attaque, un de ses camarades resté entre les lignes. Une citation. (Pour prendre rang du 15novembre 1917.) FOLLIEX (Arthur-Henri), soldat (réserve) à la 228 compagnie du 230° rég. d'infanterie très bon soldat, qui a donné de nombreuses preuves de son courage et de son mépris du danger. A été grièvement blessé, le 12 novembre 1917, en faisant vaillamment son devoir. Une blessure antérieure. RÉVEILLANT (Marcel-Charles-Joseph), mie 12224, sergent (réserve) à la 22e compagnie du sous-officier d'un bra317e rég. d'infanterie voure accomplie. Le 14 novembre 1917, resté à son poste d'observation, sous un violent tir de barrage, a été grièvement blessé. Deux blessures antérieures. Une citation. GODIN (Michel), soldat (réserve) à la 3e compagniedu 22e rég. d'infanterie très bon soldat, courageux et dévoué. A été grièvement blessé, à son poste de combat, le 25 octobre 1917, sur les positions ennemies conquises par le régiment après un brillant assaut.
que d'une tranchée ennemie.Amputé delà, jambe gauche. GAUTIER (François), mie IC/9371, sergent (réserve) à la 3e compagnie du rég. d'infanterie coloniale du Maroc sous-officier d'un brillant courage. A étéblessé grièvement, le 17 août 1916, en se portant vaillamment à l'attaque du village de Fleury. Une citation. BELALIA SI MOHAMED, tirailleur (réserve) à la 13e compagnie du 5e rég. de tirailleurs bon et brave tirailleur, plein d'entrain au combat. A été blessé grièvement, le 12 septembre 1917, sur la Somme, en s'élançant à l'assaut des organisations allemandes. COSTE (Gabriel-Joseph), mie 017553, soldat (réserve) à la 24e compagnie du 300e rég. d'infanterie : excellent soldat, ayant toujours donné à ses camarades l'exemple du plus beau courage et de la plus belle énergie. Grièvement blessé, le 23 janvier i9iG, dans un poste bomavancé, souvent attaqué et constamment
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bardé.
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LOURADOUR (Jacques), mie 8127, soldat (ac-
tive) à la
compagnie du 638 rég. d'infanterie excellent soldat, modèle de bravoure et d'entrain au combat. A été grièvement blessé, la 4 janvier 1917, au cours d'un ravitaillement périlleux. GARCIN (Edouard-Joseph), mie 17752, tirailleur (active) à la 3° compagnie du 1er rég. de marche de tirailleurs algériens très brave soldat, toujours volontaire pour les missions périlleuses. A été grièvement blessé, le 12 mai 1916, à Verdun, au cours d'une patrouille dangereuse. Amputé de l'avant-bras gauche. BOTELLA (Théodore), mie 10601, caporal (active) à la 3e compagnie du 1er rég. de marche de tirailleurs gradé énergique et courageux. Blessé très grièvement, le 19 avril 1917, au mont Cornillet, au cours d'une reconnaissance audacieuse. Amputation de la cuisse droite. PANTOUX (Gustave), zouave (réserve) à la 9e compagnie du 3e rég. mixte de zouavestirailleurs (bataillon G. du 1er rég. de zouaves) brave soldat, ayant toujours fait preuve de courage et de sang-froid. Le 7 novembre 1917, au cours d'un coup de main ennemi, est parti résolument à la contre-attaque, entraînant des camarades par son exemple. A été blessé très grièvement. Perte de l'œil gauche. PRANEUF (Jean-Baptiste), mie 4644, adjudant (active) à la 6e compagnie du 100e rég. d'infanterie : brillant sous-officier. Le 8 novembre 1917, au cours d'un coup de main, a entraîné superbement son groupe à l'assaut de la tranchée ennemie. Blessé une première fois au départ, n'en a pas moins continué à marcher de l'avant à la tête de sa troupe. Blessé une deuxième fois dans la tranchée ennemie, n'a pas cessé de stimuler ses hommes pendant toute l'opération. Deux blessures antérieures. Une citation. PLATEAU (Alfred-Auguete), mie 6069, canonnier servant (active) à la 4e batterie du 32e rég. d'artillerie excellent soldat, d'un courage et d'un dévouement à toute épreuve. A été blessé grièvement, le* 3 juin 1917, pendant un ravitaillement périlleux. Perte de la vision de l'œil droit. Une citation. DAMONGEOT (Orner-Alexandre-Louis), mie 014937, soldat de lre classe (réserve) à la 24e compagnie du 358e rég. d'infanterie très bon soldat, au front depuis le début de la campagne. A été blessé grièvement, le 30 mars 1917, en coopérant avec une grande bravoure et une rare énergie à la défense d'un barrage. Objet des attaques répétées de l'ennemi. Perte da la vision de l'œil droit. Une blessure antérieure. SABATIER (Jean-Marie), mie 04182, soldat (réserve) à la 20e compagnie du 358e rég, d'infantrès brave soldat. Au front depuis le terie début de la campagne, s'est distingué par son courage et son entrain. Grièvement blessé, le 11 juillet 19L6, à son poste de combat, a fait preuve d'une grande force d'âme en continuant à encourager ses camarades malgré ses souffrances, et d'une belle abnégation en refusantxie se laisser évacuer immédiatement pour n'exposer personne au feu violent da 5e
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(Pour prendre rang du 16 novembre 1917.) (réd'infanFRANÇOIS (Marcel), mie 637 Rt, caporal serve) à la 18* compagnie du 256e rég, terie : excellent gradé, ayant toujours donné le plus bel exemple de courage, d'entrain et de dévouement. Blessé grièvement dans l'exécution d'un service de surveillance aux tranchées, le 15 novembre 1917. Deux blessures antérieures. Une citation. LEFRANÇOIS (Henri-Albert), mie 9853, soldat (réserve) à la 11e compagnie du 30° rég. d'infanterie : bon et brave soldat d'une belle attitude au feu. A été grièvement blessé,' le 23 octobre 1917, au cours d'une attaque. (Pour prendre rang du 23 novembre 1917.) MESSAOUD BEN SOUSSI, mie 9937, tirailleur (active), à la 23e compagnie du 4e rég. mixte de zouaves tirailleurs excellent tirailleur, qui s'est brillamment comporté à l'attaque du 15 décembre 1916, devant Verdun. A fait preuve les jours suivants, d'une remarquable énergie e} d'une grande endurance en restant courageusement à son poste de combat, malgré une gelure grave, qui a nécessité l'amputation partielle des deux pieds. l'ennemi. à (réserve) ARSAC (Régis), mie 2683, zouave la 5e compagnie du 3e rég. de zouaves bon et TRACOL (Henri); mie 018256, sergent (rébrave soldat, très crâne au feu. Blessé griève- serve), à la19e compagnie du 358e rég. d'infanment, le 15 janvier 1915, en se portant à l'atta- terie : excellent sous-officier, d'une bravoure
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accomplie. A été blessé grièvement, le 2 mars 1915, au cours d'une reconnaissance particulièrement difficile et périlleuse. CARIMANTRANT (Jacques), mie18002, zouave (active) à la 9e compagnie du 4e rég. de zouaves : soldat d'un grand courage, d'une brillante attitude au combat. A été blessé grièvement, le 29 mai 1915, à Boesinghe, dans la tranchée de première ligne. CUSTOS (Paul-Agénor), mie 3 IC 1408, soldat (active) à la 4e compagnie du régiment d'infanterie coloniale du Maroc bon soldat, qui a toujours fait courageusement son devoir. A subi l'amputation des deux jambes à la suite d'une gelure grave occasionnée par un séjour prolongé et extrêmement pénible dans une tranchée remplie d'eau. NAVIERRE (Robert), mie 23/76685, soldat (active) à la lre compagnie du rég. d'infanteexcellent soldat, très rie coloniale du Maroc courageux. Blessé grièvement, le 9 juin 1917, pendant le ravitaillement en munitions des unités de première ligne. Perte de la vision de l'œil droit. Une blessure antérieure. iliGIN (Emile-Lucien-Edouard), mie 00803, soidal (territorial) à la lre compagnie du rég. d'infanterie coloniale du Maroc soldat d'un brillant courage. Blessé grièvement à- Ilurtebise, en se portant à l'assaut des positions ennemies, 6 mai 1917, Enucléation de l'œil droit. MATHIEU (Joseph-Emile), mie 014087, soldat (réserve) à la 4e compagnie de mitrailleuses du 358e rég. d'infanterie mitrailleur d'une bravoure à toute épreuve et d'une intrépidité remarquable au combat. A été blessé grièvement le 29 mars 1917, en faisant vaillamment son devoir. Enucléation de l'œil gauche. BOUTON (Pierre), mie 017114, caporal (réserve) à la 24ecompagnie du 358e rég. d'infanterie excellent gradé, au front depuis le début de la t ampagne, Au cours des combats des 28-29 et 80 mars 1917, en Champagne, chargé de la défense d'un barrage sans cesse attaqué par l'ennemi, a montré pendant deux jours et deux nuits une bravoure et une ténacité remarquables, au cours de nombreux combats à la grenade. A été grièvement blessé en combattant. Enucléation de l'œil gauche. PLOIX (Joseph), mie 02885, soldat (territorial) à la 11e compagnie du 172e rég. d'infanterie très bon soldat,ayantfait preuve du plus grand courage dans les combats sur la Somme et sur l'Aisne. Le 14 mai 1917, au Chemin-des-Dames, a été très grièvement blessé au cours d'une contre-attaque. HUGUES (Daniel), mie 016233, soldat (réserve) à la 8e compagnie du 171* rég. d'infanterie soldat brave, dévoué, plein d'entrain et de sang-froid, blessé grièvement, le 5 mai 1917, en se portant bravement à l'assaut des.positions ennemies du Chemin-des-Dames. Perte de la vision de l'œil gauche. LAMBERT (Camille) mie 05602. caporal (territorial) à la 2e compagnie du 688 bataillon de chasseurs: gradé très courageux et énergique, A été très grièvement blessé, le 13 septembre 'j9il, au moment où il entraînait son escouade à l'attaque. ROQUES (Léon), mie 1556, adjudant (territorial) à la 3e compagnie du 80e rég. d'infanterie sous-officier d'une bravoure et d'une énergie remarquables. S'est distingué en maintes circonstances, notamment aux combats de Mesnil-les-Hurlus (Champagne) au cours des.quels il fut grièvement blessé, le 24 mars 1915. MONTAGUT (Jean-Ernest); mie 1614, adjudant (territorial) la 58 compagnie du 15" reg. d'infanterie excellent gradé, brave énergique. A été grièvement nlessé,le novembre 1914, à son poste de combat. Enucléation de
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rég. d'infanterie : excellent soldat, d'une bravoure et d'un sang-froid exemplaires. S'est brillamment comporté à l'attaque du 18 août 1916, à Vaux-Chapitre, "et a été blessé grièvement, le 22 août, à son poste de combat. VEDEL (Marius), mie 4732, sergent (active) à la S. H. R. du 27e bataillon de chasseurs très bon sous-officier, d'un courage et d'un dévouement à toute épreuve. A été très grièvement blessé, le 17 avril 1917, en accomplissant bravement son devoir. Enucléation de l'œil droit. BURGUIÈRES (Louis), mie 3479, sergent (réserve) à la lre compagnie du 27e bataillon de chasseurs excellent sous-officier d'un dévouement et d'un courage remarquables. A été très grièvement blessé, le 19 avril 1916, à niartmannwillerkopf, au cours d'un violent bombardement précédent une attaque allemande. Deux citations. TIIEROND (Joseph), mie 4858, chasseur (active) à la 6e compagnie du 27e bataillon de chasseurs excellent chasseur, dévoué et courageux, toujours volontaire pour les missions périlleuses. A été très grièvement blessé, le 16 juin 1915, à Metzeral en se portant résolument à l'assaut des tranchées ennemies. GIRAL (Georges), mie 6271, caporal fourrier (réserve) à la 3e compagnie du 27e bataillon de chasseurs excellent gradé, dévoué et couratoujours fait preuve de crânerie au geux,A feu. été très grièvement blessé, le 4 septembre 1916. Deux blessures antérieures. Une cita143e
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chasseur (active) à la 2ecompagnie du 27e bataillon de chasseurs jeune chasseur dévoué et brave. A été très grièvement atteint, le 16 avril 1917, en se portant courageusement au secours de plusieurs de ses camarades blessés au cours d'un bombardement violent. Amputé du bras gauche. CIIAMBON (Camille-David), mie 4206, chasseur (réserve) à la 4e compagnie du 27e bataillon de chasseurs excellent chasseur, d'un brillant courage, toujours volontaire pour les missions périlleuses. A été très grièvement blessé, le 19 juin 1915, à Metzeral, à son poste de guetteur. Amputé de la jambe droite. FOLI (Marius), mie 2564, chasseur (réserve) à la 5° compagnie du 27° bataillon de chasseurs bon et brave chasseur, d'une intrépidité remarquable au combat. A été grièvement blessé, le 4 septembre 1916, à Maurepas, en s'élançant à l'assaut d'un fortin allemand. DIIAILLY (Louis-Marie-Jacques), mie 1354 Rt soldat (territorial) à la 218 compagnie du 269e rég. d'infanterie agent de liaison d'un dévouement absolu et d'un grand sang-froid. A courageusement rempli toutes les missions qui lui ont été confiées. Le 20 mars 1917, a été grièvement blessé en assurant la liaison dans des circonstances difficiles et périlleuses. Deux citations. FÉRAUD (Louis-Baptistin), mie 6723,
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l'œilgauche.
BONNEREAU (Armand), mie
01191, soldat compagnie du 360e rég. d'in-
(réserve) àla19e fanterie : soldat très brave et d'un entrain remarquable. Le 9 mai 1915, à Carency, s'est élancé courageusement à l'assaut des positions ennemies et a contribué à la prise d'une mitrailleuse allemande qui gênait la progression de son unité. A été grièvement blessé au cours de cette action. CECCONI (Joseph), mie 04133, soldat de ire classe (réserve) à la 1re compagnie du
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fourrier,mjg6i«jjjfl V compagnie seur (réserve) à la 9e Ion de chasseurs chasseur ailcornbat,
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DEMANGE (Alfred),
d'une bravoure intrépide 1915tdeSpasl jegpo~ grièvement blessé, le 9 mai l'assaut à portant vaillamment se allemandes. (ré chflegrde GANDON (Rémi), mie 2511,batalue tlpr à la lrc compagnie du 115e SCO[1I1¡lIS seurs : chasseur d'élite, d'un le 4 gauclle. A été blessé grièvement d't!ne; sur la Somme, au cours Jam »g&\xcbe' audacieuse. Amputé de la citation. ~!
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cou• e (Joseph-Albert), Sagn'^ chasseurs: la de lre classe (réserve) aai'Co 1916, bataillon de pleind'ardeur bravoure superbe, d'ardeur JACQUOT
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bravoure superbe, plein octobr 116, été blessé grièvement, le5 Rancourt, en se portant seur Amputation du bras gauche.1673, liasse chas "'3 classe(active) MER (Jean-Régis). mie seurs;2ecompagniedeniitraiU"11 c]1 drecnstilncCSb 11916, et d'un bravoure éprouvée ! octobre jgi6, ® froid dans les blessé grièvement, le 2 Raneou poste de combat devant seura tion. (Pierre:'.mle2067;ecgtaiIlO OUrage elé. blcS5 LATAILLADE ritorial) à la 4e compagnie du 1/ brillant s'élanî chasseurs soldatd'un Grièvement dévouement absolu. ¡\1JlpU4, 5 octobre 1916, sur la Somme, en Aulpu l'assaut des tranchées allemandl'avant-bras gauche. Cbas$ssetlr D''it colnpauril0 MESPLEDE (Jean), mie 6128, ire classe (réserve) à la 30e bataillon de chasseurs : sonaJ^,eSSé$ rement remarquer aucomba1 gO ), j bravoure plein defait et d'ardeur.
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(Pour prendre rang du 24 soldat Ïaotb DUMAS (Louis), mie 17643, colirag à la 19e compagnie du 297e rég. très bon soldat, d'un brillant a,,Gliécalo grande intrépidité au ,,8 1917, con» rP,att grièvement, ie 8 juillet ^upu1 la Dames, en s'élançant àl'ennonll. un point menacé par bras gauche. Une citation. MEIGNEN (Clotaire), mie1099.^tai'10! "t1f bataillo tive) à la 2e compagnie du 1200 bué, chasseurs excellent chasseur, voué. S'est particulièrement elle let 1917, au combat du Panthéondj'ssé -ttafljjt grièvement Dames), où il a été tribuant à repousser à une droyittc iJH6 '] nemie. Amputé de la cuisse
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* antérieure. sure (rfé:[:rÍB AUTRET (Guillaume Hervé Casimir-Marie), BRUNEAU (Léon), sergent mie 12683, soldat de lreciasse(active)àla9e pra« d'il rég. 238 compagnie du 510 rég. d'infanterie soldat d'un lrc compagnie du cf1 û" ,TeS, blcsS bre tg à' modèle, sous-officier niale grand courage, plein d'allant au combat et de crânerie au feu. A été blessé grièvement, le 11 admirable. Atteint de deux décembre 1916, devant Bouchavesnes, au cours mière ligne, dans la nuit du Est dt1¡1}I'é d'un violent bombardement. Amputation par- pas voulu se laisser évacuer. ec poste, donnant à ses tielle du pied gauche. bombardement do ; violent, un bel la MARMISSE (Frédéric-Lucien), mie 6926, soldat gie, d'abnégation et de mépris (active) à la 4° compagnie du 15e rég. d'infan- Deux citations. rég, "","JJt dj terie : très brave soldat, blessé grièvement, le MADY (Henri-Marie), mie 448 IogJ 27 octobre 1915, à Tahure, en exécutant avec duBles:se une superbe crânerie un travail particulière- serve) à la 2e compagnie qUI»gri%$ ment dangereux sous un bombardement in- terie excellent sous-officier, sur, fait bravement son devoir. tense. Une blessure antérieure. dans un poste avancé, le 29 DE SAINT-VINCENT-BRASSAC (Alfred-Ar- cléation de l'œil gauche. Une » • mand), mie 5061, caporal (active) à la 4e com- rieure. la 9'il c à}11 p3 pagnie du 15° rég. d'infanterie excellent gradé, (territorla. ) 'gAjil d'infanter^ 1e très courageux et d'un remarquable esprit JAN (Prosper), soldat d'initiative. Le 25 août 1914, à l'attaque d'un pagnie du 136e rég. CdOUlletteb3 uett village a pris le commandement d'un groupe voltigeur d'un entrain et d'un resté sans chef et l'a entraîné en avant avec épreuve. Resté à son poste de t /)ot1l'O/l1 une magnifique ardeur. A été blessé griève- 23 octobre 1917, sous un très ment au cours de l'action. ment. A été grièvement blessé. « log l'œil droit. MOLES (Eugène), mie 4783, soldat de ire classe .feàSi'eSfV maréchal (réserve) à la 9° compagnie du 15e rég. d'inHUMBER (Marcel), fanterie brave soldat, d'une belle attitude au tive) au 136 rég. d'artillerie, pilotaérite, S'I feu en toutes circonstances. A été grièvement Spa83: sous-officier d'un grand blessé, le 20 août 1916, devant Verdun, à son que libéré de toute obligation poste de combat. Amputation de la jambe engagé pour la durée de la droite. tamment fait preuve de
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1I1.if.\Pidité; avion. 29 octobre 1917, rOISleme fit'AN('.«",,eorples),mie Trois citations. UC1¡¡USOll
5e' h et s'engageant e"ant souvent sonbelles avion ? chasse lesplus audace,
91.1 adjudant (réserve) Vn no 31.Clientî pilote à l'escadrille A montré excellent dans gUalilés 1aViation de énergique et plein "Comme dàdns lIotr l'aviation lesplus de belles OUjoursàe,Sang-froidet chasse C. A. :.
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'l'Mp.O Ions. tPoréll ( Charles-Elisé-Saturnin), llnranter:serve) mie 17520, OUtescire eXcellent à. la24e ^ntRirc°nstanrp« compagnie du 2830 rég. e°HbïfitiiSs-PrCipvn™®en gradé, a fait preuve en ^toputé courage et de devouees le 1» avril 1917, en , la tête de homses cuisse gauche. crIe;h",COmpagnie du3:He a
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mie 03380, la 22e compagnie du 363e »M^is,vn*!?'.Atouinmm.? soldat, courageux 0riDoi1.® toté *Ç(ig accompli devoir à la ses chefsBlesséson grièvement à de c NOUGÉ(René-Rémi),mle16235, soldat novembre 1916. Am,'«iïiiVjlic0£^®j)..mle 16235, soldat (acIîill-imires bOmpagnie tue¡rrnrnentsonsOldat, du 363e rég. d'infanmarslent son devoir. ayant toujours fait to" Coursd'un Blessé à son poste de violent bombardement, cPSVOT,., de la jambe gauche. O TfA~ dijen-Aucluste-Louis), mIei889, $Wr!e!''e trC°n (réserve) au 403® rég. JS^^oiîrs soldat, brave énervementblessé, toutes en circonstances vement l'œildroit. bles ses à Ses camarades. camarades, A été grièQ!ott. io avril 191L 1917. Enucléation de
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WrVre 'feetbravesoldat,d'une belle atlifeu n ^ben^e 'Wa uA étkiesse drioi u 5 mai grièvement, au cours 1917. Amputé de la 6"
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l^ile^pfep)'P1® enl ltrni 1.fiot\Sûldat 80115nle du 2582, soldat (R.A.T.) à IUIOailteu-Aété.très 2;:9° grievement rég. d'infanterie: fUeriient estimé de ses chefs pour soncourage et sa belle attixG?rs ^16, au bm-c eUche.que blessé, le des Corbeaux, en repousaUemando. Amputé do la
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devant Juvincourt, a montré le plus en combattant. le 5 novembre 1916, à Saintgrand sang-froid au cours d'une contre-attaque Pierre-Waast. Amputation du bras droit. ennemie, et a été grièvement blessé à son PAJAU (Joseph), mie 3955, chasseur de poste de combat. Enucléation de l'œil gauche. 1" classe (réserve) au6e bataillon de chasseurs Une blessure antérieure. Une citation. compagnie de mitrailleuses : agent de liaison PICHEREAU (René), mie 11589, soldat (active) d'un courage et d'un dévouement à toute à la 6e compagnie du 82e rég. d'infanterie épreuve. Grièvement blessé le 20 avril 1917 en excellent soldat, très brave au feu. S'est parti- assurant son' service d'agent de liaison. Enuculièrement fait remarquer par son entrain au cléation de l'œil gauche. Une citation. cours des combats des 16, 17 et 18 avril 1917, PISSARD (Alexandre-François), mie 2718, serdevant Juvincourt. A été grièvement blessé, le gent-major (réserve) à la 2e compagnie du 29 avril 1917, par bombe d'avion. 6e bataillon de chasseurs sous-officier d'une DESGLANDS (Constant), mie8986, soldat (ac- bravoure accomplie. A été blessé grièvement, tive) à la 9e compagnie du 82e rég. d'infanterie le 8 septembre 1914, à Wassincourt, au cours soldat d'une bravoure à toute épreuve et d'un d'un combat acharné. dévouement absolu. A été blessé grièvement, FOUREL (Victor), mie 5845, chasseur (active) le 15 mars 1917, au cours de travaux exécutés du 27e bataillon de chasen première ligne sous le feu de l'ennemi. à la 4e compagnie seurs : chasseur d'un brillant courage, plein Amputation du bras droit. d'allant au comhat. A été grièvement blessé, MECIIARD (Joseph), mie 1052G, soldat (active) le 4 novembre 1916, à Saint-Pierre Waast, dans à la 10e compagnie du137e rég. d'infanterie: la tronchée de départ. brave soldat, toujours volontaire pour les misARRIBAT (Henri-Léon), mie 7H2, chasseur sions périlleuses. A été grièvement blessé, à à la 6e compagnie du 27° rég. de chasson poste de combat, le 17 décembre 1916, de- (réserve)très bon chasseur dévoué et couravant Verdun. A subi, d'autre part, l'amputation seurs : partielle des deux pieds à la suite de gelures. geux, toujours volontaire pour les missions périlleuses.A été très grièvement blessé le Une blessure antérieure. 19 janvier 1916. à l'Ilartmannweilerkopf, en BRAYER (Paul-Charles), mie 01890, soldat (ré- faisant bravement son devoir. Enucléation de serve) à la 8e compagnie du 76e rég. d'infante- l'œil droit. rie soldat d'une bravoure et d'une énergie reESMIOL (Jean-Bapfiste), mie 4626, chasseur marquables. Quoique blessé grièvement le 18 (aclive) 2e compagnie du 6e bataillon de décembre 1914, a continué avec une belle ab- chasseursà la très bon chasseur courageux et négation à assurer son service de surveillance. dévoué. A été grièvement blessé, le 15 juin Perte de l'œil droit. 1915, à Metzeral, au cours d'une liaison périlLALEVE (Gustave), mie 9597, soldat (active) leuse. à la 17e compagnie du 220* rég. d'infauterie ROBERT (Jean-Léon), mie 6292, chasseur (acgrenadier ayant toujours fait preuve d'un grand tive) à la lre compagnie du 24° bataillon de courage et de sang-froid. Blessé très griève- chasseurs très brave chasseur, d'un dévouement le 16 mars 1917, à son poste de sentinelle ment absolu. A été blessé grièvement, le 18 déau bois le Prêtre. Enucléation de l'œil droit. cembre 1916, à son poste de sentinelle avanRANGUIS (Edouard-Ernest-Eugène), mie 40, cée. Enucléation de l'œil droit. v adjudant (active), à la 10e compagnie du 46e rég. GELLARAT (Louis-Auguste), mie 8^18, chasd'infanterie sous-ofticier du plus grand méseur (active) à la 48 compagnie du 28e batailrite, modèle de bravoure et d'énergie. A été lon de chasseurs à pied: bon et brave chasseur, blessé grièvement, le 22 août 1914, à la tête de d'une belle attitude feu. Blesse très grièveau section s'élançant à l'attaque sa des tran- ment, le 14 juin 1917, à en son poste de combat chées ennemies. Amputé de l'avant-bras gauen faisant vaillamment son devoir. Enucléache. tion de l'œil gauche. LANDIÉ(Alexandre), mie 08372, soldat (ré(Joseph), GUILLEREY mie chasseur (acà serve) la 6e compagnie du 82e rég. d'infan- tive) à la 8e compagnie du 8877, 67e bataillon de terie : excellent soldat, énergique et courageux. chasseurs chasseur d'une bravoure accomplie. A été blessé grièvement, le 13 juillet 1915, en S'est brillamment comporté, le 30 juillet 1;)17, Argonne, en se portant résolument à la contreau Chemin-des-Dames, au cours d'une attaque attaque. Amputé du bras droit. des positions ennemies. A été grièvement PERRETTI (Louis), mie 7117 soldat (territorial) blessé. Enucléation de l'œil droit. à la 26e compagnie du 363e rég. d'infanterie: excel(Pour prendre rang du 25 novembre 1917.) lent soldat, qui s'est fait remarquer en toutes circonstances par son entrain au combat et BOSCUS (Hilaire-Paulin), mie 09628, soldat sang-froid feu. été blessé A grièvement, son au (réserve) à la 58 compagnie du 139e rég. d'inle 19 avril1917, au cours d'une attaque alle- fanterie soldat modèle, très dévoué et couramande. Enucléation de l'œil droit. geux. Blessé très grièvement, le 22 septembre MAUSSANG (François), mie 7183, soldat (ac- 1917, en creusant des parallèles de départ sous tive) à la 2e compagnie du 416e rég. d'infante- le feu de l'ennemi. Une blessure antérieure. rie très brave soldat. S'est brillamment LAVOREL (Louis-Ferdinand), mie 11105, solcomporté à l'attaque de Champagne, le 25 sep- dat (réserve) à la 3e compagnie de mitrailleutembre 1915. A été blessé très grièvement au ses du 139e rég. d'infanterie soldat d'une bracours de l'action. Perte de la vision de l'œil voure commuhicative. A été grièvement blessé, droit. le 4 septembre 1016, à Chaulnes, en se portant RÉGAGNON (Emile), mie 02593 bis, chasseur à l'assaut. Une blessure antérieure. (réserve) à la 2e compagnie du 6e bataillon de DOSGILBERT (Pierre), mie 7017, soldat (terrichasseurs bon et brave chasseur, très dévoué. torial) au 305e reg. d'infanterie brave soldat, A été blessé grièvement, le 4 septembre 1916, d'une belle etlilude au feu. A été grièvement à Maurepas, dans l'exécution d'une mission pé- blessé au combat de Fontenoy, le 8 octobre rilleuse pour laquelle il était volontaire. Une 1914. Amputé de la cuisse gauche. blessure antérieure. CANAVAGGIO (Joseph), sergent (active) att BOISSIN (Benjamin), mie 2558, chasseur (ter- 358 rég. d'infanterie excellent sous-officier, ritorial) à la3e compagnie du 6r bataillon de courageux et dévoué. Grièvement blessé à chasseurs à pied soldat d'un grand mérite. A son poste dans la tranchée de première ligne, été grièvement blessé, le 17 février 1915, dans le 22 octobre 1917. Amputation du bras gaul'accomplissement d'nne mission périlleuse, où che. il fit preuve de courage et d'intrépidité. Perte DELALANDE Jean Baptiste Jules Marie de la vision de l'œil gauche. mie 07779, caporal (réserve) à la 68 compagnie BASSET (Antoine-Louis), MIe 5587, chasseur du 1696 rég. d'infanterie gradé d'un entier (active) à la tre compagnie du 6* bataillon de dévouement, modèle de bravoure et d'entrain. chasseurs chasseur d'une bravoure superbe. A été grièvement blessé, le 14 septembre 1917, A été blessé grièvement, le 4 septembre 1916, à en se portant résolument à la contre-attaque. AClmérpyu, Cléry,té en se portant résolument à l'attaque. Une blessure antérieure. de la jambe gauche. MICHEL (Pons-Fortuné), mie 8346, sergent (active) à la 5e compagnie du 1058 rég. d'infanBILLOT-MORNET (Joseph), mie 4901, chasseur terie (active) à la lre compagnie du 68 bataillon de sous-officier d'une bravoure et d'une chasseurs à pied excellent chasseur, dévoué, énergie exceptionnelles. Le 31 octobre 1917, a brave et plein d'allant. A été grièvement blessé entraîné avec une ardeur auperbe, le groupe 1917,
1917,
en s'élanennemies.
mIe C. 05021, (réserve) à la U8 compagnie soldat, moexcellent et de crânerie. Le 16 avril
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qu'il commandait pour l'exécution d'un coup de main. A capturé lui-même deux prisonniers après avoir entamé avec eux une courte lutte au revolver, a incendié un abri occupé et a montré, dans cette opération, une ardeur et une présence d'esprit remarquables. Une blessure. Une citation. CIIOUVIAC (Joseph), mie 6015, sergent (réserve à la compagnie 8/2 du 4e rég. du génie sous-officier d'un grand mérite a constamment fait preuve pendant son séjour au front, de courage etd'énergie. Blessé grièvement. le. 10 avril 1916, en faisant vaillamment son devoir. Amputation de la jambe gauche. LABEYRIE (Jacques), mie 013880, adjudant (réserve) au 415e rég. d'infanterie,3e compagnie: de mitrailleuses sous-officier d'élite, d'un courage maintes fois éprouvé, plein d'audace et d'activité. A maintenu par son exemple sa section sous les plus violents bombardements à Thiaumont et au Chenois en juillet 1910. A été blessé grièvement, le 16 août191G, à son poste: de combat. DESFORGES (François), mie 11141, soldat (active) à la 2e compagnie du 166° rég. d'infanterie brave sellat qui a toujours fait vaillamment son devoir. A été atteint gravement par le froid dans les tranchées du bois d'Avocourt, en avrit 1917. Désarticulation des orteils. IIUARD (Henri), mie 6128, caporal (réserve) à la 10° compagnie du 4° rég. de marche de zouaves: gradé d'un inlassable dévouement et d'un brillant courage. Le 23 octobre 1917, s'est élancé le premier à l'assaut entraînant ses camarades à travers un tir de barrage d'une extrême violence; a été blessé au cours du combat. Deux blessures antérieures. Sept citations. BOISARD (Auguste), caporal (active) à la ire compagnie du 4e bataillon du rég. d'infanterie coloniale du Maroc très brave gradé. A fait preuve, le 23 octobre 1917, d'un entrain admirable. Blessé, a continué l'attaque et a montré le plus bel esprit de sacrifice en restant sur les positions conquises, encourageant ses hommes jusqu'au moment où une deuxième blessure l'a mis hors de combat. Cinq citations. PICIION (Paul-Aimé), mie 0847G, caporal (réserve) au 4e rég. mixte de zouaves tirailleurs Ge compagnie de mitrailleuses (4e rég. de, zouaves): mitrailleur d'élite, d'une ardeur et d'une bravoure qui font l'admiration de tous. S'est distingué à l'attaque du 23 octobre1917 par son sang-froid et son mépris complet du danger. Brulé pardesgaz vésicants n'a consenti à se faire soigner qu'après la relève. Cinq blessures antérieures. Deux citations, MARTIXOLLE (Jean-Edmond), aspirant (réserve) au 2e bataillon du 8° rég. de marche de tirailleurs: sous-officierde grandevaleur, d'une bravoure exceptionnelle. Le 24 octobre 1917, a entraîné magnifiquement sa section à l'attaque d'un bois forlemcatoccupé l'a enlevé de haute lutte malgré les abattis et les fils de fer, s'emparant de deux mitrailleuses et de onze pièces de canon. Blessé grièvement n'a passé son commandement qu'après.avoir établi sa section au delà de la position conquise. Une citation. AYACÎIE (Joseph), mie 012S28, zouave (territorial) à la 48e compagnie du 3e bis rég. de -marche de zouaves zouave très brave et d'un absolu dévouement. Blessé grièvement, le 19 décembre 1914, à Roclincourt, en se portant en renfort en première ligne. Enucléation de l'œil droit. , DEBARD (Jean-Baptiste), mie 17609, zouave (active) à la 2e compagnie du 3° bisrég. de marche de zouaves très bon soldat brave au feu, împ.-isant le danger. Blessé très grièvement, lo 18 mai 1916, au cours d'une relève, sous un bombardement des plus violent.?. ROGALLE (Henri), mie 018311, zouave de ire classe (réserve) à la 3* compagnie du 3e bis rég. de marche de zouaves soldat d'un brillant courage, très crftnc au feu. A été blessé grièvement en combattant, le 26 avril 1915, près d'Ypres. Amputation du bras gauche. DR1VET (Joseph), mie 4522, maréchal des logis (réserve) à la 6e batterie du 2e rég. d'artillerie de campagne sous-ofQcier d'élite, modèle de bravoure et d'entrain, agent de liaison auprès de l'infanterie, s'est distingué par son Audace et son sang-froid au cours de l'attaque
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du 23 octobre 1917.Relevé le 25, a réclamé l'honneur de repartir pour l'attaque du 25 où, malgré toutes les difficultés, il a maintenu la liaison et a fait des prisonniers. Resté ensuite avec l'infanterie et gravement intoxiqué, le 3 novembre, ne s'est laissé évacuer qu'après avoir passé à son remplaçant sa consigne et les renseignements recueillis. Deux citations. GITTON (René-Henri), mie 011752, canonnier: conducteur (réserve) à la. 20 section de munitions du 1050 rég. d'artillerie lourde conducteur dévoué et brave. A été grièvement blessé, le 15 avril1917, au cours d'un ravitaillement difficile exécuté sous un violent bombardement. Amputé de la jambe gauche. Les promotions et les nominations ci-dessus: comportent l'attribution de la Croix de guerre avec palme. Paris, le 7 janvier 1917.
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GEORGES CLEMENCEAU.
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d'infanterie.. au 11
passe SO au v. d'infanterie), service au55e rég. M. Gearigeon (P.),
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sous-lieutenanaU erjfl,
d'infanterie,passe 438 rég. rég.d sous-lieutenan M. Maillard(G.-E.), territorial d'infanterie, passe au 2 fanterie. nant (fai-salltdu M. Pelîav (II.-M.-M. 86e rég. d'infanterie territoriale vice au 103° rég. d'infanterie j#1 t38' au 233e rég. d'infanterie. sous-lieutenan®u M. Jeaneau (R.-E.), sel-VicP-I%uOICrec. dim»interie*4 d'infanterie (faisant du
terru aU
fanterie), passe au 2088 rég. M. Daussonne (C.), lieutenantdpUasseaU (faisant ysSe au 'd'infanterie territoriale territoriale), 728 rég. d'infanterie ré/1,d rég. d'infanterie. M. Bedel (P.-IL), lieutenant auortnfllllte fanterie (faisant du serviceau d il, reg, 1 terie territoriale), passe au 87e
130e
Armée territoriale.
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bataillonaervice !12':
Crochat (J.), chef de passe (faisant du 'd'infanterie territoriale territoriale;, Par décision ministérielle en date du 2 jan- 326e rég. d'infanterie vier 1918, les mutations ci-après sont pronon- 73e rég. d'infanterie territoriale. 24' cées bataillon Engelhart, M. chef de Réserve. d'infanterie territoriale, passe au fanterie territoriale. 306 M. Despagne (IL-A.), capitaine au 143e rég. M Lambelet, chef de bataillon territorial (faisant du service au 140e rég. d'infanterie territoriale), passe au 362° rég. d'infan- d'infanterie, passe au 102° reg. territoriale. 'Gj MUTATIONS
M.
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terie. ét1. r M. Aubin (E.-E.)>capitaine 3098 passa au Aubin. (E.-E.),capitaine au M. M. Jacquemard (F.-L.-J.), capitaine au 76°rég. du Pa55a d'infanterie territorial, passe au 141" rég. d'in- fanterie territoriale (faisant tcrritrale, rég, 105e d'infanterie fanterie. 123e rég. 1050 M. Lomont (A.-A.-A.), capitaine au 249e rég. ierég.1 capitaine M. Kreher (P.-G.), d'infanterie, passe au 1230 rég. d'infanterie. d'infanterie territoriale, passe M. Frey (J.-L.), lieutenant du 77erég. d'infan- fanterie territoriale. "9' terie territoriale (faisant du service au 87e rég.: M. Couverchel (D.-V.), capitaine d'infanterie territoriale),passe au 4e rég. de, (faisant d d'i.ifanterie territoriale zouaves. 88° 1 troupes coloniales), au passe M.Mellon (J.-P.-C.), lieutenant au 10SC rég. terie territoriale. ser"JC dinfanterie, passse au 93° rég. d'infanterie. "* 3*f n'e eryicj au M. Follot (P.-F.),capitaine territoria M. Ilaumont (P.-C.). lieutenant au 35e rég. fanterie territoriale (faisant du d'infanterie territoriale, passe au 68e rég. d'in- 268e rég. d'infanterie fanterie. territoriale. d'infanterie 95,1 rég. Séjourné (L.-A..), capitaine ^, M. Cuvereau (G.), sous-lieutenant, au 153erég. M. d infanterie, passe au 68e rég. d'infanterie, d'infanterie territoriale, passe au 111" M. Aconin (M.), sous-lieutenant au 3e batail- fanterieterritoriale. aLl Ion de chasseurs à pied, passe au GSe rég. M. Cerviotli(F.-X.), capitaine d'infanterie. d'infanterie territoriae, passe 1 M. Revol, sous-lieutenant au 414e rég. d'infanterie, passe au 90° rég. d'infanterie. M. Benel, capitaine au M. Brams, sous-lieutenant au 233e rég. d'in- territoriale, passe au 7le rég. diinau d'iofl toriale. fanterie, passe au 9Je rég. d'infanterie. r M. Forey (G.), capitaine au M. Lefeuvre (F.), sous-lieutenant au 74e rég. d'infanterie territoriale, passe au 32e rég. d'in- rie territoriale, passe au 138e jJ1 territoriale. fanterie. 92«r élf, M. Escurat (J.-A.), capitaine au M. Martin, sous-lieutenant au 82e rég. d'infanterie, passeau 66e rég. d'infanterie. fanterie territoriale, passe au36" é'" terieterritoriale, M. Fournier (L.-P.).sous-lieutenantau32*règ. d'infanterie territoriale, passe au 166* rég. d'inM. Levy (A.-Il.), capitaine au fanterie. fanterie territoriale, passe au 368 re Crousci^j.jt^ ( $•: M. Guillier (E.), sous-lieutenant au 213e rég. d'infanterio (faisant du service au 23e rég. M. Deselaux de Lescar de d'infanterie), passe au 122e rég. d'infanterie. 0 capitaine au IG. rég. d'infanterie terru"¡ale. iïP M. Izarie (M.),sous-lieutenant au 119a rég. passe au 26. rég. d'infanterie d'infanterie territoriale, passe au 307e rég. M. Tweins (M.-L.), capitaine d'infanterie. fanterie territoriale, passe au 200 rég. $\ terie (P.-E.), sous-lieutenant au M. Bonhomme capitaine, ail 0 126° rég. territorial d'infanterie (faisant du serM. Forestier (A.-l.-F.), vice au 253" rég. d'infanterie), passe au 36e rég. d'infanterie teMitoriale, passe au tOi ^1 ettilt. d'infanterie. fanterieterritoriale.. au 1248 erD, M. Lachèze (P.-A.), sous-lieutenant au 16erég. M. Collignon (G.), capitaine aii d'infanterie territoriale (faisant du service au fanterieterritoriale, passe 1016 rég. d'infanterie territoriale), passe au terie territoriale.. 9g. 74* rég. d'infanterie. au M. Chabeuf (E.-J.), capitaine * M. Martin (G.-L.-J.), sous-lieutenant au 63®rég. fanterie territoriale, passa au 10*® r J31 d'infanterie territoriale, passe au 161e rég. d'in- terie territoriale. tl fanterie. capitaine M.Vachet (P.-M.-J.-B.), M. Bouchiat (11.), sous-lieutenant au 67e rég. taillon territorial de zouaves, passe d'infanterie territoriale, passe au 60° rég. d'in- d'infanterieterritorial. lieutenant,^gl'j G!j fanterie. M. Sajous (Ch,-P.-M.J; M. Roudeillac (E.-A.), sous-lieutenant au d'infanterie (détaché au He groUpe I 113e rég. d'infanterie territoriale (faisant du 82. rég. d'infanterie- territoriale.
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Sous-lieutenant au i6. rég.
d'infanterie territoriale, passe au 26e rég. d'infanterie territoriale. M. Méhu (A.-E.), sous-lieutenant au 57e rég. d'infanterie territoriale (faisant du service au d'infanterie territoriale), passe au 61e rég. d'infanterie 250erég. territoriale. Gie r é ,,,,. M. Gromez (G.), sous-lieutenant au 2a2e rég. d'infanterie territoriale (faisant du service au rég. d'infanterie territoriale), passe au 124e 134e rég. d'infanterie territoriale. M. Pauly (Ch.-M.-T.) sous-lieutenant au 134e rég. d'infanterie territoriale, passe au 124° rég. d'infanterie territoriale. M. Martinetti (P.-A.-M.-R.), sous-lieutenant au 67e rég. d'infanterie territoriale, passe au 43e rég. d'infanterie territoriale. M. Lerouge (A.), sous-lieutenant au USe rég. d'infanterie territoriale, passe au 23e rég. d'infanterie territoriale. M. Senes (E.-B.), sous-lieutenant au ilse rég. d'infanterie territoriale, passe au 23e rég. d'infanterie territoriale. M. Dufour (A.-L.), sous-lieutenant au 76e rég. d'infanterie territoriale, passe au 35e rég. d'infanterie territoriale. M.Roumois(L.-A.),sous-lieutenantau53erég. d'infanterie territoriale (faisant du service au 159e rég. d'infanterie), passe au 35* rég. d'infanterie territoriale. M. Granet (L.), sous-lieutenant au 268e rég. d'infanterie territoriale, passe au 298 rég. d'infanterie territoriale. M. Huyart (Ch.), sous-lieutenant au 67e rég. d'infanterie territoriale, passe au 35e rég. d'infanterie territoriale. M. Mercier (L.-F.), sous-lieutenant au 137e rég. territorial d'infanterie (faisant du service au 88e rég. d'infanterie d'infanterie territoriale), passe au 134erég, territoriale. M. Raquin (F.-A.), sous-lieutenant au 26e rég. d'infanterie territoriale (faisant du service au 37e rég. d'infanterie), passe au 63e rég. d'infanterie territoriale. M. Orion (E.-E.-L.), sous-lieutenant au 88" rég. d'infanterie territoriale (faisant du service au 13lie rég. d'infanterie territoriale), passe au 135e rég, d'infanterie territoriale. M. Givron (A.), sous-lieutenant au 317e rég. d'infanterie, passe au 1336 rég. d'infanterie territoriale. M. Courty(L.), sous-lieutenant au 30ie rég. d'infanterie territoriale, passe au 278 rég. d'infanterie territoriale. M. Cuq (A.), sous-lieutenant au 83e rég. d'infanterie territoriale (faisant du service au. 134" rég. d'infanterie territoriale), passe au 130a rég. d'infanterie territoriale. M. Fossat (J.-L.-J.), sous-lieutenant au 12le rég. d'infanterie territoriale, passe au 101e rég. d'infanterie territoriale. M. Palat (J.), sous-lieutenant au 1er rég. d'infanterie territoriale, passe au He rég. d'infanterie territoriale. M. Pauly (Ch,), sous-lieutenant au 134" rég. d'infanterie territoriale, passe au 121* rég. d'infanterie territoriale. M. Thézolin (S.-II.-Y.), sous-lieutenant au 7.7erég,d'infanterie territoriale, passe au11erég. d'infanterie territoriale. M. Gervoise (A.-R.-A.), sous-lieutenant au 8e rég. d'infanterie territoriale, passe au 138° rég. d'infanterie territoriale. M. Legrand (L.-E.), sous-lieutenant aulG*rég. d'infanterie territoriale, passe au 65e rég. d'infanterie territoriale. M. Sizaret (L.-J.), sous-lieutenant au 16e rég. d'infanterie territoriale, passe au 65" rég. d'infanterie territoriale. M. Delaire (L.), sous-lieutenant au 16" rég. d'infanterie territoriale, passe au 658 rég. d'infanterie territoriale. M. Bajard (L.), sous-lieutenant au 315e rég. d'infanterie territoriale, faisant du service au 9i#rég. d'infanterie territoriale, passeauIIIerég. d'infanterie territoriale. M. Filiol(L.), sous-lieutenant au 94e rég. d'infanterie territoriale, passe au IIIe rég. d'infanterie territoriale.
Bramons (J.-R.), sous-lieutenant au 140. reg.d'infanterie territoriale, passe au 138° rég. territoriale. d'infanterie M.
,o.
Aillet (J-A.), sous-lieutenant au 3iOe rég. d'infanterie territoriale, passe au 133e ré'y. d'inM.
fanterie territoriale. M.Nierveze (P.-M.), sous-lieutenant 340* au rég. d'infanterie territoriale, passe au2ÏGeré"'°*. a' dinfanterie territoriale. M. Baylac (C.-J.), sous-lieutenant au 340e rég. d'infanterie territoriale, passe au 276e rég. d'infanterie territoriale. M. De Beaulaincourt (A.-A.-R.), sous-lieutenant au 17e rég. d'infanterie territoriale, passe au 27ae rég. d'infanterie territoriale. M. Heurtin, sous-lieutenant au 910 rég. d'infanterie territoriale, passe au 19e rég. d'infanterie territoriale. M. Lacote (J.), sous-lieutenant au 91' rég. d'infanterie territoriale, passe au 19e rég. d'infanterie territoriale. M. Aucordonnier, sous-lieutenant au 910 rég. d'infanterie territoriale, passe au 36e rég. d'infanterie territoriale. M. Girondon (E.), sous-lieutenant au 910 rég. d'infanterie territoriale, passe au 36e rég. d'infanterie territoriale. M. Dechaume, sous-lieutenant au 918 rég. d'infanterie territoriale, passe au 3GO rég. d'infanterie territoriale. M. Fretet (J.), sous-lieutenant au 910 rég. d'infanterie territoriale, passe au 368 rég. d'infanterie territoriale. M. Perrière (A.), sous-lieutenant au 9113 rég. d'infanterie terrioriale, passe au 36e rég. d'infanterie territoriale. M. Delage (M.), sous-lieutenant au 91e rég. d'infanterie territoriale, passe au 35e rég. d'infanterie territoriale. M. Lerat (F.-L.), sous-lieutenant au 27e rég. d'infanterie territoriale (faisant du service au Uge rég. d'infanterie territoriale), passe au 1CW rég. d'infanterie territoriale. M. Jean (II.-E.), sous-lieutenant au 13ge rég. d'infanterie territoriale, passe au 27° rég. d'infanterie territoriale.
VÉTÉRINAIRES MILITAIRES MUTATIONS
Armée active.
:
Par décision ministérielle du 4 janvier 1918. est ratifiée la mutation ci-après M. Pradet, vétérinaire-major de 2e classe au 1errég. de chasseurs d'Afrique, est affecté au dépôt commun des 6e et 23e rég. de dragons.
Réserve. Par décision ministérielle du 4 janvier 1918, sont ratifiées les mutations ci-après M. Sérès;vétérinaire aide-major de ire classe à la armée, est affecté au dépôt du 188 escadron du train. M. Tachon.vétérinaireaide-majorde il,classe,
:
®
à la station-magasin de Brétigny, est affecté la place de Juvisy.
,
fi.
vétérinaire aide-major de ire classe, au 242e rég. d'artillerie, est alTectô au 14e rég, de hussards, hôpital vétérinaire de M.
Fauvel
Vernon. M. Boucays, vétérinaire aide-major de 1re classe, au dépôt du 6e rég. d'artillerie, est affecté au dépôt du 38e rég. d'artillerie. M. Pincemin, vétérinaire aide-major de 2* classe, au 148 rég. d'artillerie, est affecté au Ier rég. de chasseurs, hôpital vétérinaire de Châteaudun. M. Thiery, vétérinaire aide-major de 2eclasse, en congé à Tarbes, est affecté au 2e rég. de dragons, hôpital vétérinaire de Bourg. M. Signol. vétérinaire aide-major de 2e classe à titre temporaire, au 8 C. A., est affecté au dépôt du 24e rég. d'artillerie. M. Desjacques, vétérinaire aide-major de
de de s
p
M. Jouanpeau(L.-M.), sous-lie^ s.aPàeU;rvÍrcO A L classe à titre temporaire, au 15? escadron rie coloniale (placé à compter du même jour pjfl M.Jouan:p.eau (L.-M.),Admi.s sous-lIeu a aprv^irzA du train, est affecté au 8e rég. de chasseurs, dans la position de retraite) Godbille (E -F.), en temporaire au 216 rég. de 1al1dé hôpital vétérinaire d'Orléans. service au Tonkin. — Maintenu la disposition teurs de campagne. — des troupes coloniales). lieutenant territorial au 21e reg. (A: dU déo duM. 1erMignolet reg. (E.), sergent ellecrie Armée territoriale. Au grade d'officier d'administration de 2e classe. Affecté à la d'ad^l#Dls trati°:W Par décision ministérielle du 4 janvier 1918, de routesie (Rang du 13 août 1917.) sont ratifiées les mutations ci-après M. Pernot (F.-X.), officier bureau)-o M. l'officier d'administration service de 3e classe 3e classe territorial M. Descarpentris, vétérinaire-major de 2e classe au (4 d'artilierie l'armée territoriale Paquet (J.),de l'inspection taires à l'état-major de à la place de Juvisy, est affecté à la place des forges éeSj de Paris. d'Amiens. , d'administration grade Au d'officier Dans le cadre des officiers d'administration M. Bojoly, vétérinaire-major affectéde 2e classe au 138 escadron du train, est oeti ponts au dépôt du d'artillerie territoriale, contrôleur d'armes Les conducteurs des sergent terri10 (L.-E.), t 4° rég. d'artillerie. rritol'la'ül 3e classe : commandantlestroupfra,?^ifii général franC M. Limouse M. Michaud, vétérinaire aide-major de Au grade d'officier d'administration de 2e classe, Mis lre classe, au 1078 rég. d'artillerie lourde, est 29e du bataillon du génie. contrôleur d'armes. QDaîu® affecté au dépôt du 24e rég. d'artillerie. (A dater du 10 décembre 1917.) fera lui de l'Afrique qui du Nord M. Blanchet, vétérinaire aide-major de 'torÍal,JI t e"'ritorl'ai affectation définitive. M. l'officier d'administration de 2e classe lre classe au e C. A., est affecté au IIIe rég. ^jisp^Lji1,. sergent Mis d'artillerie, contrôleur d'armes (placé à compter bataillon d'artillerie lourde. M. Landesque génie. (P.). troup a fraflC 2C tataillon du génie. MIS fraOC du même jour dans la position de retraite) gj de lre aide-major classe M, Julien, vétérinaire cDaitr0 Montaudouin (E.-H.) du parc d'artillerie de du général commandant les affecté dépôt train, est du escadron au au 18e fera place du lui du Havre, détaché de l'Afrique dans qui d'armée. Nord parc un d'artillerie. du 55° rég. affectation définitive. Le décret du octobre 2 1917, qui en ce conM. Soret vétérinaire aide-major de 2e classe, M. Paquet, compris dans le présent décerne d'armée, quartier général du est .1) au corps cret, est annulé. affecté au dépôt du 1er régiment d'artillerie. SANTé SERVICE DE M. Nouvel, vétérinaire aide-major de 2e classe. à la e brigade d'infanterie terrriloriale, est Par décision ministérielle du 1erjanvier 1918: NOMINATIONS 0Oeil affecté au dépôt du 1er rég. d'artillerie cololrnplé: PCoraire, d niale. M. Perfun (J.-L.), résidant à Vals-les-Bains, 1918, Par décret janvier du 3 réintégré est dans ancien emploi de de jjtrfl son gar- d'administration de 3e classe teiw M. Oulieu, vétérinaire aide-major de 2e classe, titre à titre temporaire, au 3e groupe d'artillerie de dien de batterie delr0 classe du service de du service de sajuté à titre à de l'armée territoriale et affecté au les nomme, été suivent, ont campagne d'Afrique, est place à la disposition l'artillerie noms parc d'artillerie de place de Corse. du service vétérinaire de la 19° région. finitif, dans leur grade actuel savOIr. M. Vergniaux, vétérinaire aide-major de ————— Réserve. 25 classe à titre temporaire, au 2GCe rég. d'ar« tillerie, est affecté au dépôt du 600 rég. d'rail18e GÉNIE (Emile-Sylvain), gl* M. Julidière lerie. (Marie-Lucien-Carnil M. Poirson 4, NOMINATIONS gion. 2e
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d'Orléans. -
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ARTILLERIE
Réserve.
Réserve et armée territoriale. Par décret du Président de la République en date du 25 décembre 1917, rendu sur le rapport du président du conseil, ministre de la guerre, est réintégré dans les cadres de l'artillerie territoriale avec le grade ci-après et, par décision ministérielle du même jour, a reçu l'affectation suivante, savoir
:
grade de capitaine. M. l'ex-capitaine de complément d'artillerie Person (R.), résidant à Paris, 7, rue de Clialigpy. — 59e R. A. Avec le
Par décret du Président de la République en date du 25 décembre 1917, rendu sur le rapport du président du conseil, ministre de la guerre M. le lieutenant de réserve Mouterde (P .-L.-A.), du 5e rég. du génie, passe dans l'arme de l'artillerie et, par décision ministérielle du même jour, est affecté au 93e rég. d'artillerie E. M. de la e armée.
:
Officiers d'administration. Par décret du Président de la Républiques en date du 29 décembre 1917 rendu sur le rapport du président du conseil, ministre de la guerre, sont nommés ou promus aux dates ciaprès et par décision ministérielle du même jour sont maintenus dans leur affectation actuelle, savoir Dans le cadre des officiers d'administration dartillerie territoriale
:
Au grade d'officier d'administration principal.
dater du 31 décembre 1917.) M. l'officier d'administration principal d'artillerie (placé à compter du même jour dans la position de retraite) Fallouey (J-E.), du parc d'artillerie de place d'Alger. (A dater du il novembre 1917.) ld,l'fflcier d'administrationprincipal 4'artiJIe# (A
u
territoriale- GuillalJ Armée (Anne-Marie-Michel-
Léonce),18erégion..
NOMINATIONS ET MUTATIONS
:
1
M. Baunat Par décision inistérielle du 2 janvier 1918, s~ et par application des dispositions contenues (Marie-Joseph-AntoIne, sefl' dans-tacirculaire du 2 décembre 1916, la nomiM. Bergeron nation à titre temporaire ci-après, est ratifiée: général des pensions. régio". M. Bézard (Marc-Joseph), 18e Au grade de sous-lieutenant. M. Chadenet (Joseph-Jean), 15e r®«»^ 5!6/1}/). (A compter du 30 septembre 1917.) ambulance Charles M. (Lucien), , ord. ambulance M, Chevalier (Jean), M. Renvoisé (Ange-Jean-Louis), commis de Nord. M. Delmas (Charles), région du 3e classe de la trésorerie et des postes. Affecté régioll. 13e au 8e rég détaché à l'aéronautique militaire. M. Delorme (Jean-Marie), "/sous.se M. Elgue (Georges), ambulance M. Garnier (IIenri-Charles-Félix)> Par application des articles 1 et 2 de la loi tariat d'Etat de l'administration sous-secréri®*d du 10 août 1917, les officiers dont les noms suivent qui ont servi aux armées comme sousM. Glorieux (Eugène), (DOminique-Lucien), aJ1lbuliJ" lieutenant, à titre temporaire prendront rang du service de santé. dans leur grade actuel à titre définitif aux M. Lasbats régiol,dued dates ci-apres, savoir : dU e-cré^' M. Poirier (Paul-Emmanuel), Dans le grade de sous-lieutenant de réserve. M. Poirson (Jules-Alphonse), sous(Rang du 26 mars 1915.) aJ1.atI d'Etat du service de(Henri-Auguste-J santé. M. Pouer-Dessus M. Membre (Félicien-Joseph-Paul-Sylvain), G. B. D. 131. au 2i* rég. du génie. f M. Saingier (Gervais), (Rang du 24 juillet 1915.) M. Vendenboomgaèrde M. Satre (Frédéric-Félix), au 1er rég. du gène), Madagascar. génie. -O Ji datedO, dl'art. IJ1101 (Rang du 4 décembre 1914.) conformité les Par décision ministérielle, en vier 1918, priseen conformité M. Chèvre (Fernand-François), au 1er rég. du loidu10août1917, Génie. suivent sont maintenus, jusqu'à ¡jD combattants dehors des unités c^af®$iltic0sî\\i en Armée territoriale. Huard (Victor-Albert-Eugène), Isenép11 de bataillon, est chargé d'un Par décret du 3 janvier 1918 rendu par le pO ia pu de représentant auprès du '3 Président de la République sur la proposition du allIé, française dans pays un ministre de la guerre, sont nommés ou prosSe L remplacé. mus dans l'arme du génie aux grades ci-après, Tatur René Claude Edmond savoir : chef de bataillon (service re „„rnpla teur technique du service Au grade d'officier d'administration de 2e classe. d'une armée alliée, n'a pu êtres0uî'^p) classeernP'O,Yto Les conducteurs des ponts et chaussées de Deverin (Lucien-Emile), tenant (service automobile),specire(W 26 classe d'une armée alliée comme M. Tabart (R.-J.-B.), 2e canonnier chauffeur mécanique automobile, n'a pu au 86e rég. dartillerie lourde.-Affecté à l'élatmajor particulier du génie aux armées. 1
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Personneldépendant du ministère de l'armement. «me»»"ON DE L'ARTICLE 7 DB LA LOI DU10AOUT1917. Sont Ont les!ri' nentà.faire éfinitivSSédentaires jusqu'à nouvel ordre dans nomssuivent en qualité d'inaptes ofuciers campagne, les officiers 11 Francill u ajor OIns artllerie àtitre SUIvent: capitan ralid-Pierre-Paul), classe 1906, llâaior lcuher, bupont(Edoua rd-Ernest), définitif, de l'étatS~t de classe 1905, lieutees forKes "e,serve ilà titre définitif, du service de des.
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forges. classe1904,sousclasse
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Journal officiel du 21 décembre Erratum 1917 : page 10450, 3e colonne, 5e ligne, après au grade de lieutenant, ajouter « (Rang du 20 novembre 1917), M. le sous-lieutenant Garnesson (J.-A.), du 120e rég., maintenu »,14e,15e et IGO lignes, rayer « Rang du 20 novembre 1917), M. Garnesson (J.-A,), du 120e rég., main-
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:
:
lieutenant tenu
a titre ,définitif, 1906, du service des
forges.
au
Journal officiel du 13 février 1917: Erratum page 1173, 2e colonne, 23e alinéa, au lieu de : (Jean-Marie), aspirant au 61e rég. d'in« Olivier fanterie, est nommé sous-lieutenant de réserve à titre temporaire au 41e rég, d'infanterie », lire « Ollivier (Jean-Marie), aspirant au 61e rég. d'infanterie, est nommé sous-lieutenant à titre temporaire au 41e rég. d'infanterie (armée active) ».
».
Erratum au Journal officiel du 24 décembre 190-1, sous- 1917 ji,fvicedPJ>°reserve à titreclasse page 10536, 3e colonne, au lieu de : temporaire, du «M. Chamdsiaud (J.-S.), du 57e rég. d'infantees fUulelJ' forges. classe \¡CedJ rie i, lire : « Cliampsiaud». de 2e classe 1E03, officier d'adminisErratum Journal officiel du 28 décembre ce des au il définitif, titre *itie du serser" forces 1917, page 10655, 2e colonne, au lieu de « M. le lieutenant-colonelMichet de Varine (E.-L.-P.), du 264e rég. — 4j5<= rég. », lire Il du 264e rég.
Ire
— 235e
DAPPLIC.ATION
1dliinr8ALOI
DB L'ARTICLE 4 DU 10 AOUT 1917
dans son emploi actuel 6 par l'article fer de ladite loi. OllJlea ildrnhl'U(Gustavo'classe j.la.iedlstratio 3v 1905, officier de classe- du cadre auxides SUbsIstances, cat-11 cr.ii deconsenes, spécialiste enfabriest maintenu dans son lusqu'au l)clettrefV0 1918, pour 28 février 1918, pour f 'mer un remplaçant. Ob¡li8!V!sOire dans emploi actuel d'un son <fe Siie%T'e paragraphe ler Carpl\t e ladite loi. tdisiAIert-Alexandre-JOSePh), iia^lï,inisdes { rabon liail,, subsistances officier de 3e classe du cadre auxilist?611inst-ïTtiall0ns classe 1904, spéciatverhi^ans<J^ mecaniques est main1"1&t8Pour emploi actuel jusqu'au 28 féplaçant. permettre de former un reml'em-
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01 act, , 28février re e
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41lJltlC.\!IO
DU înaPtes Ti0N
——-———-
DB L'ARTICLE 7.
10AOUT 1917, emploi sédentaire de mobilisés à faire campagne 11ésrre-llonoré-Léon Xaier), lieutenant
:
fairecurg,aureconnu service d'infanterie, classe du transit maritime Cherbche
qerforne définitivement inapte par la commission spéciale il IloveedeRennes 0Yenraie dans séance du
l sne.lre
sa bIQUes eeison maintenu dans son emploi de ses connaissances tech-
!lreIlrcel-Simon-RaymOnd), ^toaSt Ae attaché à Hfrites na« «eryir brOl'!b.e classe, classe 1908, retuei6ct ons"sur-Marne, les armées comdPardécision dans de la commission de lelidUlées alix le 8 novemPamtenu
Irede
ferm Bourgeois-G
dans son emploi acen raison des services qu'il
^10n ardin (Yves-Athanase-Paul), l'haiMieraen^' classe
W^ 'tiantser^s.
(Y~-es-Athanase-Paul) offi3e du cadre, auxi-
classe 1905, reconnu dans les armes combattantes, cision Itlll,lons..sunde i fi n la commission ttriai de réforme de rIrne, l'a.is.on dan le 8 novembre 1917, est services Son emploi actuel aux armées qu'il y rend,
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:
>1.
HIHISTÈRE DE LA HARDIE
Par décision ministérielle en date du 7 janvier 1918, ont été promus et nommés dans le personnel technique des directions de travaux (service des constructions navales) : SECTION DES TRAVAUX
remploi d'agent technique principal de jva classe. (Tour ancienneté.) M. Régnier (Joseph-Eugène), agent technique principal de 2e classe a Cherbourg, en remplacement de M. Labbé, agent technique principal de lre classe, retraité le 4 janvier 1918. A
l'emploi d'agent technique principal de 2e classe. (Tour choix, et à défaut de choix, ancienneté.) M. Lebas (Adolphe-Charles-Françoi's), agent technique principal de 3e classe, à Cherbourg, en remplacement de M. Régnier, promu. A
2e ALINEA DE LA LOI
-
rég.
:
l'emploi d'agent technique principal de 3e classe. (Tour choix.) M. Brossard (Auguste-JeanFrançois), agent technique de ire classe à la surveillance, en remplacement de M. Lebas, Á
promu. A
l'emploi d'agent technique de
1re
NOUVELLE FORMATION
l'emploi d'agent technique de
2e
tour (2e liste). M. Gétin (Léon), chefouvriei tôlier, en remplacement de M. Gatto, agent technique de 2e classe, décédé le 30 décembre 2e
1917.
41
Par décision ministérielle du 5 janvier 19Ï8, les candidats dont les noms suivent ont étt admis à subir les épreuves du deuxième degré du concours pour le grade d'officier de 3e classe des travaux hydrauliques MM. Avé (Gabriel-Alexandre-Marie), Coché (Eugène-François). Drouet (Lucien-Alfred). Fichet (Eugène-Victor). Fréminet (Gustave-Albert). Guégan (François-Joachim). Guillemoto (Joseph-Marie). Hervé (Elie-Constant). Hervé (Esprit-Jean). Kériguy (Louis-René). Kunn (Adam-Marius-Ilenri), Laguerre (Jean-Auguste-Robert). Lannou (Maurice-Francis). Loy (René-Arthur). Lucca (Delphin-Marius). Marmottans (Baptistin-Honoré). Morvan (Jean-Louis). Vaudey (Georges-Charles). Les candidats ci-dessus désignés devront se présenter au ministère de la marine, 2, rue Royale (salle de la commission des marchés), le lundi 28 janvier 1918, à deux heures de l'aprèsmidi. Les épreuves auront lieu comme suit : Lundi 28, rédaction sur une affaire de service Mardi 29, rédaction d'un projet simple d'ouvrage d'art ou de bâtiment Mercredi 30 et jours suivants, examens oraux. Le papier, l'encre et les plumes seront fournis aux candidats, mais ceux-ci devront se munir des instruments nécessaires pour la rédaction du projet (planche à dessin, règles, équerres, etc.).
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;
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marine
Le ministre de la * à MM. les vice-amiraux commandant en chef, préfets maritimes à Cherbourg, Brest, Lorient,
Rochefort, Toulon et quatre-établissements. Paris, le 8 janvier 1918. Les titres II et III de l'instruction du 7 octobre 1912 sont modifiés ainsi qu'il suit :
classe.
(Tour ancienneté.) M. Le Dosse (PierreLouis), agent technique de 2° classe à Lorient, en remplacement de M. Brossard, promu. Á
A Rochefort. Se tour (2e liste). M. Gaillard (Louis), chef ouvrier forgeron, en remplacement de M. Griffon, agent technique de 28 classe, retraité le 28 octobre 1917. A Toulon.
classe.
(Tour ancienneté.) M. Gazot (Pierre-LazareCharles), agent technique de 3e classe à Toulon, en remplacement de M. Le Dosse,
promu.
(Tour choix.) M. Commandoux (François), agent technique de 3e classe à Lorient, en remplacement de M. Gatto, agent technique de 2e classe, décédé le 30 décembre 1917. (Tour ancienneté.) M. Fruneau (Henri-Hippopolyte-Sébastien), agent technique de 3eclasse a Indret, en remplacement deM. Griffon, agent technique de2e classe,retraitele20octobre1917.
II. — Composition.
alinéas du paragraphe B (Représentants élus du personnel ouvrier) sont remplacés par les suivants Deux déléguées des ouvrières pour l'ensemble des cinq ports et des établissements d'Indret, Guérigny et Ruelle Un délégué du personnel ouvrier du laboratoire central. Les 4e et
5e
: ;
III. — Mode de désignation des membres de la commission. Le ht alinéa duparagraphe G (Candidatures. de vote) est remplacé par le sui— Bulletins
:
vant L'attention des électeurs doit être appelée sur L'ARTICLE 4 di Lot. LOI !I Maintien mobilisé provisoire visépar l'article nombre de d'ouvriers ou d'ouvrières le noms Qilltie DU 10 , AOUT 1917 de leur catégorie qu'ils doivent porter sur leur bulletin, savoir candidats chefs-ouvriers, deux dans 2ealinéa,deladite loi. emploi emploi actuel d'un actuel son appartenant à un port quelconque de la mélro1Q.llltenOmer-Marie), '* paragra'"ie 1"~ pole ou à l'un des établissement d'Indret, Guérigny ou Ruelle ouvriers immatriculés, deux A l'emploi d'agenttechniquede3e classe. candidats appartenant à l'arsenal ou à l'éta?ibu eQumilitaire,attaché de 2e classe blissement classe 1908, est auxiliaires, quatre candiouvriers Jusel111dusn A Brest. personnellement iudispendats appartenant à un port quelconque de la 30juini9j^nent: emploi actuel actuel de Londres, chef de 3e tour (2e liste). M. Larreur (Joseph), chef métropole ou à l'un des établissements d'Infrançais & Londres, ouvriertourneur,enremplacement M.Labbé, candidates dret, Guérigny ou Ruelle ouvrières, quatre appartenant à un port quelconque agent technique principal de lre classe, retraite de la métropole ou à l'un des établissement 4 janvier 1918. t>I.IC41'lü:NDE
———————
uvJUIn1918
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d'lndrct, Guérigny ou Ruelle. Les électeurs devront mentionner à la suite du nom de chacun des candidats de leur choix l'indication du port ou de l'établissement dans lequel ce candidat est en service. Il n'y a pas lieu de porter les mentions (1titulaireIlet « suppléant Le 5° alinéa paragraphe i) (dépouillement du scrutin) est remplacé par le suivant Les officiers chargés de la direction des opérations du dépouillement du scrutin dressent de ces opérations des procès-verbaux faisant ressortir to Le nombre des électeurs inscrits pour chaque catégorie; 2° Le nombre des votants; 3° Le nombre des voix obtenues par chaque candidat (sans faire de distinction entre les titulaires ou suppléants) ; 4° Le nombre des bulletins blancs ou nuls 5° Les incidents sérieux qui leur auraient été signalés par les agents techniques surveillants des sections de vote et ceux qui se seraient produits au cours du dépouillement du scrutin. Il est ajouté au paragraphe j)(désignation des délégués) un 6e alinéa, ainsi conçu Lorsqu'un délégué suppléant vient à quitter le service par suite de congédiement, retraite, etc., ou est appelé à remplacer un délégué titulaire ayant quitté le service, le candidat ayant eu aux élections le plus grand nombre de voix après ceux qui ont été élus est désigné comme délégué suppléant à la commission mixte. Toutefois, cette disposition n'est valable que jusqu'aux plus prochaines élections.
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CIRCULAIRE
Paris, le 7 janvier 1918. Aux termes des articles 6 du décret du 7 janvier 1938 et 8 du décret du 11 juillet 1908, les droits à la solde d'activité cessent, pour les officiers, marins et autres présents à bord d'un bâtiment disparu en mer, ainsi que pour ceux qui sont disparus individuellement et dont le décès n'a pas été constaté dans le délai de six mois, à compter du 1er jour du septième mois qui suit, soit la date des dernières nouvelles telle qu'elle est flicée par le ministre, pour les premiers, soit la date indiquée par le procèsverbal de disparition pour les hommes disparus individuellement. S'appuyant sur ces dispositions, une circulaire du 11 octobre 1913 [B. 0., p.1392) a stipulé que pendant la durée de leur maintien sur un rôle d'équipage, savoir pendant toute la période comprise entre la date de la disparition présumée ou constatée et celle de la radiation des contrôlas de l'activité par suite de la découverte des corps, du jugement déclaratif de décès ou de l'expiration du délai de six mois, les officiers, marins et autres peuvent avancer en grade ou en classe et prétendre aux augmentations de solde découlant du temps de service
J'ai décidé que ces règles, qui avaient été établies pour les disparus en mer, seront applicables aux disparus à terre et que, par suite, les disparus de tous grades sans distinction, appartenant aux différents corps de la marine seront rayés de l'annuaire à compter du jour défini comme il est indiqué ci-dessus, où cessent leurs droits à la solde d'activité. Pour le ministre et par son ordre Levice-amiral, chargé de la direction des services du cabinet,
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A.TRACOU.
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Erratum au Journalofficiel du 6 janvier 1918, page 285, 2e colonne, au lieu de « Castets (Jean-Marie), enseigne de vaisseau de lre classe auxiliaire », lire « Castets (Jean-Marie), enseigne de vaisseau de lre classe de réserve ». Errata au Journal officiel du 6 janvier
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1918
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Page 285, 2e colonne, inscriptions au tableau spécial de la médaille militaire, au lieu do : « Cornic (Pierre-Marie), de l'équope de sécurité CasIci (Marius-Joseph), 29 mois de campagne dans repos, ni nourriture », lire « Cornic (Pierre-Marie), de l'équipe de sécurité Castel (Marius-Joseph), 39 mois de campagne sans
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ni nourriture..
pods colonne, inscription au tableau En qualité de rapporteurs-adjO111 des eue d'avancement pour capitaine de vaisseau, au MM. Bourquelot, ingénieur en et lire lieu de » Loiseau (Georges-Abel-Elie) chaussées et Pigeaud. ontS des P « Loizeau (Georges-Abel-Elie) •>. C'lcf Pigeaud,ingénieur Page 381, 3e colonne, 35e ligne, au lieu de : «1/oB'3 des « blessures mortelles ou extrêmes g'avesII. 1 Lahaussois,ingénieur en lire « blessures mortelles ou extrêmement et chaussées, ligne, au lieu de: « Le Fort graves » ; 40e et 41*chauffeur. Grenier. (Victor, matelot Dinan 19161, du M. secrétaire, qualité En de Requin lire « Dinan 1961. du Requin ,,',5'l' et 55eligne, au lieu de : « Laziou (René), matelot sans spécialité, Arcachon 33909-1, du JaureguiBoUr<1d î berry lire:«Laziou (René), matelot sans l'administrationréntr?1? M. (Henri), Par arrêté huissier spécialité, 33909-1, du Jaureguiberry 1). du 8 transtC àfaire, à. l'administrahon ministère deinanu, f3'!"® et des Page 385, 1re colonne, 6e ligne, au lieu de : ministère des travaux publics léDéjà bâtiment, le juin 23 cité à l'ordre du à alte5S5de « ports, été admis, sa a sur 1916 », lire « du bâtiment, le 23 juin 1916 ». loir ses droits à la retraite,rartiw vrier 1918 (application de Erratum au Journal officiel du 8 janvier 1918, loi du 9 juin 1853). page 354, 2e colonne, au lieu de : « Liste des étudiants en médecine autorisés à concourir, le 10 janvier 1918, pour l'entrée à l'école prépapm* ratoire de médecine navale de Bordeaux », du date arrêté termes d'un Aux candidats nulitair »gur 1\1. en lire « Liste des étudiants en médecine automécanICl.engarùiedt!' fa le caVjien^ risés à coneourir, le 10 janvier 1918, pour l'en- 1918. à défaut de trée à l'école préparatoire temporale de méde- (Yves-Marie), chauffeur nomme endoseine laselflà tlottant le Havre, a été cine navale de Bordeaux". phare de 4° classe et-attache, pharelacanleIl à département chef gardien, dans le Inférieure, au service du dater du 16 janvier 1018, en po::;te. M. Beaufils, appelé à un autre HISISTÈRE DE L'IMSTRUCTION PUBLIQUE
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Aux termes d'un arrêté en d,atfen surlefeu, (CdB inilitall", le ualite,. Par arrûté du ministre de l'instruction publi- 1918, à défaut de candidats mécanicie chauffeur que et des beaux-arts, en date du 15 décembre (Yves-Marie), nomme été flottant Le Havre, a 1917, les fonctionnaires de l'administration iaa eIl attache, e classe et phare de centrale du ministère de l'instruction publique dB et des beaux-arts (services des beaux-arts), ci- chef-gardien, dan; le Inférieure, au service du phare après désignés, ont été promus terdu 16 janvier 1918, en posle. *M M. Caux, chef de M. Beaufils, appelé à un autre A la classe exceptionnelle bureau. ——————— pnflltJ lier A une classe supérieure MM. Caviole, chef de bureau 8 Colombani, sous-chef Poli, rédacdu Aux arrêtéenendate ~~-{é d'un arrêté termes d'un teur; Tomé, Delavai, commis d'ordre et de Aux termes 16 dll comptabilité Crémona, Hardy, calculateurs 1018, Mme Goux, née- Guehcneuç, ae serVicn) s principaux Torre, expéditionnaire Chrétin, éclusière hors classe et allarhCC, àjvra 40 partement des Côtes-du-Nord, ÍaceIJlCD calculateur. canal d'Ille-et-Rance (poste J10 dater du 16 janvier 1918. en ——————— ——————— Mme Delavigne, décédée.
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Par arrêté du ministre de l'instruction publiM,téporUlre, (Jcal1', que et des beaux-arts, en date du 15 décembre 'nard vÓ' 1917, les agents du service intérieur de l'admiB 1918, arrêté du janvier lagtler Par 8 gu & nistration centrale du ministère de l'instruce a sa cahotage.. Baptiste), capitaine au des beaux-arts (services tion publique et des rempl:cé Stlr3Í' durée la &Aii.ccC1 pour beaux-arts), ci-après désignés, ont été promus à titre temporaire, précédemmentr®®PlaCé, P 5» maître de port de 4e classe à une classe supérieure ganssc partir du 16 janvier 1918, en tr MM. Rigal, Mathieu, Somprou. Hérold, gar- M. Bommeluer, à cono de diens de bureau Geymond, homme d'équipe ; demande, dans la position tement. Mme Marsat, lingère.
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t~.0 du V°?avv "~ne'~f dl Aux termes d'un arrêté arrêté termes d'un Aux maître ine,lie col ———————
IIUISTÈIE DES TRàYiHX PUBUCS ET DES TUISPORTS Aux termes d'un arrêté du 8 janvier 1918,
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Ferlicot (Louis-Marie), BoU'?"mpiacj u'1 1t 'ffiOpt 3e classe à Ilonfleur, passera, en 1Cppeléelid lité, au service du port de à dater du 16 janvier 1918, en peié * de M. Fouques, précédemment M.
autre
destination.djailli *
sont nommés membres du comité consultatif pOtJr' de règlement amiable des entreprises de travaux Eveillard(Antonin-Mare-JOdu-ordeS publics et des marchés de fournitures pour les date clas,SfJr\'icB (cotes; arrêté d'un Aux termes en années 191S et 1919 : ^yonCepK 1918, M. 1hoP1 MM. Alexandre, inspecteur général des ponts et veillant de port à Dahouët jao été nommé, en outre, gardien chaussées 1 091 daterdu 1 à même la et balises phares Schoendoerffer, inspecteur général des du dap, Muette), à feu de la petite ponts et chaussées La remplacement alde vier J918, en Arrivière, conseiller d'Etat Itivoire-Vicat, inspecteur général des ponts la démission est acceptée. et chaussées 1918» Evcgïrd Marlaud (Auguste), ancien vice-président du syndicat professionnel des entrepre- (Antonin-Marie-Joseph),capitaine.uionSj0o' neurs de travaux publics de France. — du arrêté 9 janvier Par Ancien président de section au tribunal (CûIÎtes-du%terduibiiati de commerce de la Seine. a été nommé surveillant de cote M. Alexandre remplira les fonctions de de Dahouët remplacement président du comité pour l'année 1918. vier 1918, en dont la démission est acceptée. Sont attachés au comité pour les années 1918
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Ssident Sur le
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de la République française,
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du ministre du commerce, des postes et des télégraphes, Vu;lldeetdu et de la marine Vu ministre ja tt'éauoa10, l?idl, du 7 janvierdes finances, {9i8, portant 1918, ®hèon P°staux, service de comptes courants cle9deladite et notamment l'arti^escon•nsloi, (^ajls ainsi lesquelles concu :
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ostaux, des comptes courants et dIverses, ii'°°rdree«wrsmi 1 les redevances pour presi;011 ainsi que les mesures destinées à l'exécuassurer le IJans présenteloi loi seront déterminées, Ilncoet dé:délai maximum qu. rendu de deux mois, par J1, un décret rendusur tél erce, sur le rapport du ministre J3^légpai/63' de l'industrie, des postes et m-6 mine des transports maritimes istre* marchande et sur celui du des finances ch taUon:S
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DISPOSITIONS GÉNÉRALES
.," Le 7JatlVierjq?^168 service des comptes couet i'Vier Postaux, créé par la loi du ti^^rce'hindustrie, est ministère rattaché du au maries, i et
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des postes et des transports maritimes et de i r *rvicpjes marchande et prend le titre de chèques postaux ». 2. r.lein orserlceTous les bureaux de poste de de la France continentale, de la principauté de Monaco participent 1 Ostau a,u opérations QsPosta du service des chècllèhWrp bhssernents e lIes des secondaires postes lui'v^tiojj situés en dehors delà métroégalement participer à ces Co8fixîs itesflxéesdans les conditions et dans les téLs^fee Par arrêtés du ministre du t de Industrie, des postes et des NfinpMarchande. transports maritimes et de
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Les comptes courants indivihunttenus déleaux Par des bureaux spéciaux
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même bureau de chèques différents. La demande d'ouverture de
compte doit être déposée ou envoyée au bureau de poste de la résidence du signataire elle peut être aussi remise entre les mains d'un facteur en cours de tournée. La demande, formulée par une personne domiciliée hors du territoire de la France continentale, de la Corse ou de la principauté de Monaco, est adressée au directeur du département dans lequel est situé le bureau de chèques où le compte demandé doit être ouvert. Toute demande doit mentionner les nom et prénoms, ou la raison sociale du signataire, son adresse, sa profession, le bureau de chèques où doit être tenu le compte dont l'ouverture est demandée, et, s'il y a lieu, l'indication de la personne ou des personnes autres que le titulaire du compte, autorisées par lui à signer les chèques tirés au débit de son compte. Une demande distincte doit être présentée pour chacun des comptes à ouvrir au nom d'une même personne. En outre, il doit être produit, pour être mis à l'appui des demandes, un spécimen de la signature habituelle du titulaire du compte courant et de ses représentants autorisés. Les indications fournies à l'origine sont considérées comme valables jusqu'au moment où leur modification a été demandée par les intéressés. L'administration est en droit de requérir, en cas de besoin, un nouveau spéeimen des signatures produites lors de l'ouverture des comptes. Art. 7. — L'administration examine la demande d'ouverture de compte,notamment au point de vue de l'exactitude des déclarations du signataire. Elle en notifie l'acceptation au demandeur en même temps que le numéro d'ordre du compte courant. Des réceptions de cet avis, le titulaire doit effectuer, dans les conditions indiquées ciaprès, pour les versements au crédit des comptes, un dépôt de garantie fixé à 50 fr. par compte. Ce dépôt de garantie est indisponible pour le titulaire du compte courant jusqu'à la clôture de ce compte. A défaut de versement du dépôt de garantie dans le délai d'un mois à dater de la notification faite au signataire, la demande d'ouverture de compte courant est considérée comme nulle et non avenue. L'administration publie une Art. 8. liste des titulaires de comptes courants. Cette liste est livrée à toute personne qui en fait la demande, aux conditions fixées par un arrêté ministériel et déterminées d'après le prix de revient elle peut être consultée gratuitement.par le public dans tous les bureaux de poste.
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poste participant au service des chèques postaux ils sont effectués au moyen de mandats-caTtes. Aucune limite n'est fixée pour le montant des versements opérés dans les bureaux de plein exercice de la métropole. Lorsque le titulaire effectue des versements sur son compte courant, dans un bureau de poste autre que celui de son domicile, il ne bénéficie pas de la taxe spéciale prévue à l'article 5 (3e alinéa) de la loi du 7 janvier 1918. Art. il. — Les facteurs qui desservent des localités ne possédant pas de bureau de poste ou des sections écartées de la commune siège du bureau, sont tenus de recevoir, en cours de tournée, dans les conditions et les limites fixées par l'administration, les versements destinés aux titulaires de comptes courants. Ils perçoivent à leur profit, pour ces opérations, un droit de commission égal à celui qu'ils sont autorisés à recevoir pour les autres opérations du service postal. Art. 12.- Des mandats-cartes en nombre, portant imprimés le nom et lenuméro sous lesquels le compte courant a été ouvert ainsi que le lieu où ce compte est tenu sont fournis au titulaire, sur sa demande, contre remboursement des frais de fabrication et des frais d'impressions supplémentaires qu'il a demandées. Art. 13. — Lorsque, pour une cause quelconque, l'inscription d'une opération n'a pu être faite à un compte courant, soit que,1e titulaire du compte n'ait pas été clairement indiqué sur le mandat-carte, soit que le compte désigné n'existe pas, le mandat est renvoyé au bureau d'origine pour être complété par la partie versante ou lu montant en être remboursé à celle-ci selon le cas. Art. 14. — Les mandats et bons de poste français etles mandats internationaux sont reçus à titre de versement au crédit du compte courant du destinataire sur la production des titres accompagnés d'un bordereau d'envoi établi par le titulaire et adressés par lui, sous pli fermé, au bureau détenteur de son compte. Art. 15. — Les virements sont portés au crédit des comptes courants au vu du bordereau de virement émanant du bureau de chèques où est tenu le compte débité. Aucune limite n'est fixée pour le montant des virements.
-
;
TITRE III CRÉDIT DES COMPTES COURANTS
Art. 9. — Les comptes courants sont cré-
:
dités i0 Du montant des versements effectués, soit par le titulaire, soit par des tiers, à son
;
profit 2' Du montant des virements ordonnés
au profit du titulaire par d'autres titulaires de comptes courants postaux. Aucune limite n'est fixée pour l'actif des comptes courants. Art. 10. — Les versements en numéraire sont acceptés dans tous les bureaux de
TITRE IV DÉBIT DES COMPTES COURANTS
Art.10. — Les opérations portées au débit des comptes courants peuvent pro-
:
de
venir
10 De retraits ordonnés au moyen chèques tirés par le titulaire de compte i soit à son profit, soit au profit de tiers 2° De virements au crédit d'autres comptes courants; 3° De taxes et de redevances pour presta.. tions diverses. Art. 17. — A l'exception des taxes et redevances diverses et, le cas échéant, du montant de l'avoir à rembourser en cas de clôture d'un compte courant, aucune somme ne peut être portée au débit d'un compte qu'au vu d'un chèque postal tira par le titulaire du compte ou par ses repré", sentants auterisés.
;
;
chèque postal peut servir à d'office le compte de tout titulaire qui a métrois catégories d'opérations il porte, sui- connu cette prescription. Aucun mandat n'est établi ou aucun vant le cas, les dénominations ci-après 1° Chèque nominatif, lorsqu'il est émis ordre de virement n'est exécuté lorsque le chèque a été émis pour une somme supépar le titulaire de compte et à son profit; 21 Chèque d'assignation, quand il est tiré rieure à l'avoir net porté en compte. Art. 26. — Les chèques de payement et au profit de tiers 3° de virement, lorsque son montant doit les chèques de virement sont adressés sous être inscrit au crédit d'autres comptes cou- pli fermé ou remis directement au bureau de chèques détenteur du compte courants. Art. 19. — L'administration fournit aux rant. Art. 27. — Le titulaire d'un compte coutitulaires de comptes deux sortes de formula première est destinée à rant postal peut demander par écrit que les de chèques l'émission des chèques nominatifs et des lorsque ses fonds en dépôt atteindront une chèques d'assignation; la seconde est spé- somme qu'il fixe lui-même, le surplus en ciale aux virements. Le nom et le numéro soit viré d'office par le bureau de chèques titulaire désigné. Il ainsi compte d'un ouvert, autre est au compte le lesquels sous miindique, montant sont immême le temps, tenu, est compte en où lieu le ce que primés par les soins du bureau de chèques nimum de ce virement. Art. 28. — Le chèque postal qui n'est pas postaux sur chaque formule. Dans aucun cas, les formulesdestinées suivi d'effet pour une cause quelconque, ne aux chèques de payement (chèques nomi- peut donner lieu à protêt. Il est renvoyé au natifs ou d'assignation) ne doivent être tireur avec toutes explications utiles. utiliséos pour donner des ordres de vireArt. 29. — Le délai de validité du chèque réciproquement, les chèques de vi- postal est uniformément de dix jours. ment rement ne peuvent comporter aucun ordre Ce délai court depuis la date d'émission de payement en espèces. inclusivement jusques et y compris la date Les formules de chèques sont réunies en à laquelle le chèque parvient au bureau de t arncts qui sont livrés aux titulaires sui- chèques. vant un tarif fixé par arrêté ministériel. Au regard de l'administration, le chèque Art. 20. — Le titulaire d'un compte est postal périmé est nul et de nul effet il est seul responsable des conséquences résul- renvoyé au titulaire du compte. Art. 30. — Le chèque nominatif et le tant de l'emploi abusif, de la perte ou de la disparition des formules de chèques qui lui chèque d'assignation ne peuvent dépasser la somme de 100,000 fr. ont été remises par l'administration. Tout chèque nominatif émis pour une Art. 21. — Le chèque postal est signé par faire fr. supérieure à 10,000 doit somme il est jour où du date la porte et le tireur préavis adressé, écrit, d'un l'objet par au émis d'où il est lieu le indique Il tiré. heures, chèques, quarante-huit de bureau laquelle il est la ainsi que somme pour chèque le moins, avant ne parque liêtre au doit indication dernière tiré. Cette vienne à ce bureau. bellée en toutes lettres et en chiffres. chèque le à de même Il est conpour en et les nominatifs chèques Art. 22. — Les plusieurs mandats-cartes au vertir en ou un chèques d'assignations sont transformés en profit de tiers lorsque la somme à payer mandats-cartes par les bureaux de chè- par un même bureau dépasse 10,000 fr. ques. Dans ce cas, l'avis donné au bureau de Art. 23. — Le titulaire d'un compte peut chèques doit faire connaître le ou les buassigner des payements au profit d'une ou reaux de poste dont l'intervention sera dede plusieurs personnes déterminées, soit mandée pour une somme supérieure à en espèces au moyen de la conversion de 10,000 fr. A défaut de préavis, l'administration peut son chèque en un ou plusieurs mandatscartes payables à des bénéficiaires distincts retarder de quarante-huit heures la suite à par un ou plusieurs bureaux de poste, soit donner aux chèques de l'espace. par un ou plusieurs virements; dans ces Art. 31. — Les mandats-cartes du service deux cas, les indications nécessaires doi- des chèques postaux font, de même que les vent être fournies au verso du chèque ou, mandats-cartes ordinaires, l'objet d'une le cas échéant, sur un bordereau descriptif deuxième présentation s'ils ne sont pas annexe portant la signature du titulaire. payés lors de la première présentation au Lorsqu'un chèque postal est assigné en domicile du bénéficiaire. Si le payement payement au profit de plusieurs bénéfi- n'a pu avoir lieu, les mandats sont conserciaires, le tireur est tenu d'établir lui-même vés en instance au bureau de poste jusqu'à les mandats-cartes représentatifs du mon- ce que l'intéressé en réclame le payement tant de ce chèque et de les adresser, en au guichet, ou que le délai de validité en même temps que le chèque correspondant, soit expiré. Faute de payement dans ce au bureau détenteur du compte courant à délai, le montant en est réimputé au compte débiter. du titulaire. Art. 24. — Lorsque les mentions figurant Art. 32. — Le chèque postal peut être assur le chèque postal, sont incomplètes ou signé sur un ou plusieurs bureaux de poste -Illisibles, ou encore lorsque le chèque con- français ne participant pas au service des tient des ratures, surcharges, grattages, mandats-cartes, ainsi que sur les bureaux lavages, etc., l'administration est en droit de poste étrangers, dans les limites et les de retarder ou de ne pas exécuter les or- conditions où fonctionne, avec ces bureaux, dres de payement ou de virement. le service des mandats ordinaires. Les droits et taxes afférents à ces mandats Art. 25. — Le chèque postal ne peut être tiré pour une somme supérieure à l'avoir sont prélevés sur le compte courant du tinet porté au compte, déduction faite du dé- reur. Art. 33. — La responsabilité d'un faux pôt de garantie. L'administration est en droit de clore payement résultant d'indications d'assignaArt. 18. — Le
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tion inexactes ou incomplètes
tireur.
TITRE V
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DÉBIt DE
AVIS DE CRÉDIT ET d'unc0^teco®.
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rant est informé chaque jour Le titulaire
Art. 34.
a des ébit d all qui ont été portées au crédit ou
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avi de son compte. couPes nS crédiLJ Il reçoit, à cet effet, les et versement mandats-cartes de aU passés notificatifs des virements débit de son compte. duino«ntaflt dépit Il reçoit également avis 1 chèques enregistrés chaque jour COOIptereçol, eÿOI' de son chaql" quill%aille d'un titulaire Le Art. 35. gratuitement, à l'issue de ^uront notification de l'avoir netladite,q"rizil-De, ^cVance compte le dernier jour de Art.36. faite Endelioi-s del'avis et Conce"ant déduction des taxes période, liquidées au cours de cette
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couran~ t mis dans les conditions fixées P av;gli^} le titulaire d'un compte courant mander à être informé, par des ou madaires, bi-hebdomadaires SUPP ^nsii® con11 fïmentaiL de l'avoir net porté à son Ces communications donnent lieu aux redevances. suivantes 25 centimes pour l'avis 75 centimes pour
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Le titulaire d'un
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ration écrite datée et signée, bureau de chèques détenteur uncoolptIeo co~ courant. e etSal1t81 sur Ce Tout versement effectué Yergaote, de postérieurement à la clôture ngt, * partie est remboursé d'office à la net Art. 39. — Lorsque le compte en t ledéP , de clôture a été apuré, le montas ayant droit COIDI compte restant l'avoir y en 1 à remboursé garantie, est de de formules qui doit restituer les IfPr"00' restées sans emploi entre ses peut cbèq Art. 40. — L'administration plusieu .rSs cOIDPt go cer d'office la clôture d'un 0 notamment lorsqu'un ou postaux ont été tirés par le provision suffisante.
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marchande est chargé de l'exécution du présent décret qui sera inséré au Journal
TITRE VII
S'terses',
DlSpOSHio^s
DIVERSES
Les correspondances et les dises ditsbu:PlcCesadressées
rj' do
officiel. Fait à Paris, le 9 janvier 1918.
R. POISCARÉ.
titulaires les de par .bureauy ailY bureaux ^UX^^ires decomptes sont de chèques Par le Président de la République: par leset j^rées taxqd'affranciiiisement. Le ministre du commerce, de l'industrie, im Art42delataxed'affranchissement. exonérées des postes et des télégraphes, des transports maritimes es règles des saisies-arrêts et PUblicslOS es.queîltauservice de la marine marchande, et •^licgS'an mains des fonctionnaires CLÉMEXTEL. postala-X.Les des chèques une eploits doivent, pour recevoir 8uite COmpte utIle i l en en ce qui qui concerne ces concerneces dubur etre signifiés chef comptable au RISISTÈRE DES COLONIES COurants. chèques où sont inscrits les Art.43i Art d'un 3 En cas de décès du titulaire com RAPPORT SUrlevS les remboursements sont PRÍSIDBNT DB LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISB AU t,*eVu entre les mains des ayants droit dUndn certificat de p6°^0r^émf la lment aux *a loi U28fl0réalanvn. de délivré propriété Art dispositions de Particle Paris, le 3 janvier 1918. l'article 6 floréal an VII. i'éc^ance Monsieur le Président, Itrt!cieedu Trois mois au plus tard avant l'artleïe9 Le décret du 7 avril 1916 proroge pendant la délai de prescription prévu à guerre actuelle, et durant les six mois qui suirecorn chèques a loi du 7 janvier 1918, le ser- vront la cessation hostilités, le délai imdes }oC0niRian^AUespostaux Postauxavisera, parlettre articles les 31, paragraphes B, C, D, E, parti lettre avisera, par par recomeux Par droitde ayants andée, les titulaires de comptes ou et 34 du décret du 3 juillet 1897 et par l'ardu décret du 8 juin 1906, aux fonctionticle 1er par eux déchéance encourue naires, aux membres de leurs familles et aux Irldiqtlé'dCet Cet avis av^s sera adressé au domicile boursiers visés par ces articles, pour bénéficier 'lerOllt ans les eompe actes et pièces qui se trou- du passage de rapatriement auquel ils peuvent l\n en la Possession du service des prétendre. Or il se trouve, en service dans nos possesou, à défaut du domicile sions heuoilUCOurants procureur d'outre-mer, des officiers, des fonction¡,Ar de la République du naires, employés et agents militaires, qui peul"
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Art.Acompte. Le compte.
vent se trouver dans les conditions visées dans le rapport de présentation du décret du 7 avril ilindustrie, ministre du commerce, de 1916. marchaSPorts des serait équitable J'ai pensé qu'il d'étendre au postes et des télégraphes, Chrgésntlee militaire en service outre-mer, le maritimes et de la marine personnel bénéfice des dispositions appliquées au personchargés ministre des finances sont d0 lu^uUetin i, ^X"cution du présent décret nelSi civil. vous voulez bien admettre cette manière je vous serais reconnaissant de revêtir au Journal officiel et inséré de voir, de votre signature le projet de décret ci-joint, deslois. an à p qui a pour objet de la consacrer. 7 janvier 1918. Veuillez agréer, monsieur le Président, l'homprofond respect. de Plî mon mage POIXCARÉ. R. ePr" e¡nit¡ eSldent Lemini Le ministre des colonies, de la République des du SSlfo». HENRY SIMON. dPOstescommerce, de Vindustrie.
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:
RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Paris, le 31 décembre 1917. Monsieur le Président, Un arrêté pris le 27 juin 1916, en commission permanente du conseil du gouvernement, par le gouverneur général de l'Indo-Chine, a introduit dans la réglementation des droits d'enregistrement spéciale à cette colonie une disposition analogue à celle qui fait l'objet, dans la métropole, do l'article 40 de la loi de finances du 31 mars 1905, relative à l'enregistrement des procès-verbaux de contravention dressés en matière postale. Ce texte ne soulevant de ma part aucune objeciion, j'ai l'honneur de vous prier de vouloir bien revêtir de votre signature le projet da décret ci-joint, qui a pour objet de le rendre applicable en Indo-Chine. Je vous prie d'agréer, monsieur le Président, l'hommage de mon profond respect. Le ministre des colonies, HENRY SIMON.
Le Président do la République française, Sur le rapport du ministre des colonies, Vu les décrets du 20 octobre 1911, portant fixation des pouvoirs du gouvernement général et organisation financière de l'lndo-Chine ; Vu le décret du 3 janvier 1917, approuvant l'arrêté du gouverneur général de l'Indo-Chine en date du 16 avril 1916, portant réglementation de l'enregistrement des actes régis par la loi française,
Décrète Art. 1er. — Est approuvé l'arrêté du gouverneur général de l'Indo-Chine en date du 27 juin 1916, modifiant l'arrêté du 16 avril 1916 qui réglemente l'enregistrement des actes régis par la loi française. Art. 2. — Le ministre des colonies est chargé de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française et inséré au Bulletin des lois et au Bulletin officiel du ministère des colonies. Fait à Paris, le 31 décembre 1917.
:
R. POINCARÉ.
Par le Président de la République Le ministre des colonies,
etdestélégraphes, î»fc de. yansports « maritimes ml
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marine marchande,
CLÉE.:\TEL.
Le ministre des finances,
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L.-L. KLOTZ.
leSUrSi<*6nl *a 1sldenldelaRépubliquefrançaise,
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Le Président de la République française, Vu le décret du 3 juillet 1897, portant règlement sur les déplacements du personnel colonial (notamment les articles 31 et 34) ; Vu les décrets du 6 juillet 1904,8 juin 1906 et 13 juin 1912, modifiant le précédent Vu le décret du 16 octobre 1914, portant dérogation temporaire, pendant la durée de la guerre, à certaines dispositions du décret du
;
HENRY SIMON.
Pensions (guerre). Par décret du 30 décembre 1917, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves dénommées ci-après don.t les maris sont décédés en possession de droits à pension Veuve d'adjudant-chef. PIERRON (Marie-Augustine), veuve ANDRÉ. 700 fr. — Jouissance du 8 mars
:
République française, de Itllld s tran strIe,raPort des duministredueommerce, 3 juillet 1897 rchanSdrts le décret du 7 avril 1916 ; Vu Postes et des télégraphes, Sur le rapport du ministre des colonies, maritimes et de la marine rnailesdéerets Décrète Veuves d'adjudants. du 30 janvier i909 et du l'iiîl^fation Art. 1er. — Les dispositions du décret du à l'organisation de l'ad(Marie-Eugénie), BASSET. GATTET veuve officiers, foncapplicables 1916 sont avril 7 aux Jouissance du 21 octobre centrale du commerce et de tionnaires, employés et agents militaires en 650 fr. — service dans les colonies et pays de protecIOOSS (Henriette-Marie), veuve JOUBLOT. — torat. 650 fr. Jouissance du 28 mai MALFETTES (Emilie-Marie-Françoise), veuve Art. 2. — Le ministre des colonies est chargé 1'1. tel' qui sera pu- ROUSTAT, — Jouiss. du 6 janvier1917. 650fr. décret, l'exécution du présent de M. Fighiera (Roger), auministère franRépublique officiel la Journal de blié sousau to^strig du commerce et de çaise et inséré au Bulletin des lois et au BulVeuves de sergents. ent de Cles colonies. ministère des officiel du letin nommé directeur des affaires j L tiûh Mde olleyj appelé d'autresfoncet industrielles à le 3 janvier 1918. Fait Paris, FAYNET (Yvonne-Eloïse), veuve BONNEAU. remplaceen M BOlley, ¡,¡Arl 550 fr. appelé à d'autres fonc— Jouissance du 18octobre R. poincarb.
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Ports
l'industrie, des ~s'po~des
1917.,.
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d'industrie. tlatrie
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1916.
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ministre du commerce, de postes et des télégraphes, maritimes et de la marine m&rine
1917.:.
:
Par le Président de la République Le ministre des colonies, HENRY SIMOH.
t.J. 1916.
1916.,.
BAZEILLES (Jeanne), veuve CARRÉ. — Jouis* 550fr. sance du 14 octobre
),
BIENVENU (Marguerite-Amélié-Célestine veuve RENAULT. — Jouissance du 6 août 1917
550
fr.
les maris sont décédés en possession de droits à pension:
Veuves de caporaux. MERCURE (Marguerite), veuve DESCHAMPS. 4 septembre 1916.. Jouissance du 450 fr. — ROBIN (Angéline-Joséphine). veuve GARNIER. 450 fr. — Jouissance du 3
,
avri11917,.
1917.
(Marie-Louise),veuveBÉGOU. Jouissancedu25avril 375 fr. MOURIER
Veuve de sergent.
.776
VIELFAURE (Marie-Berthe), veuve ARTIS. — fr. Jouissance du 30 mai 1917
(Augustine-Madeleine), veuve CARTIER. -Jouiss, du 14 juillet 375 fr. EVESQUE (Léontine-Dary), veuve CAUSSIGNAC. — Jouiss. du 27 janvier 1917. 375 fr. LEMERCIER (JulieUe-Augustine), veuve CHARLOT. — Jouiss. du 16 mai 1917. 375 fr. HONORÉ (Albertinc-Camille),veuve CRUVÈS. 375 fr. — Jouissance du 21 avril DUFLOS (Clara-Joséphine-Cabrielle), veuve DESOSSE. — Jouiss. du 18 juin 1917. 375 fr. CHRISTY (Marguerite-Blanche), veuve DELAUNAY. — Jouiss. du 16 avril 1917. 375 fr. LÉTURGIE (Adeline-Clara-Joseph), veuve DEMAREST. Jouiss. du 4 août 1916.. 375 fr. PINEAU(Eulalie-Célestine), veuve DIARD. — Jouissance du 10juillet 375 fr. COUDARD (Marguerite-Julie-Arlrienne), veuve DUMONT. — Jouiss. du 28 janvier 1917. 375 fr. GALIBERT (Marie-Frosine), veuve ENJALBERT. —Jouiss. du 20janvier 1917. 375 fr. MOURAUD (Anne-Marie), veuve GUILLET. — Jouissance du 29 875 fr. ROIIAUT (Marie-Derthe-Aglaé), veuve GUISY. 375 fr. — Jouissance du 13 février BOULBIN (Marie-Catherine), veuve JULOU. 375 fr. — Jouissance du 26 mars 1917 LAGOUCHE (Joséphine-Pauline-Armandine), veuve LEFRANÇOIS. — Jouissance du 26 avril 1017 375 fr. CAVAN (Françoise-Marie), veuve LE JOLIFF. Jouissance du 30 janvier 375 fr. — BlGET (Madeleine), veuve LOGUET. — Jouissance du 14 août 375 fr. OLIVIER (Joséphine-Clémence), veuve LORIOT. — Jouissance du 19 mars 1917. 375 fr. TANCIIOUX (Anne), veuve LUQUIAUD. — Jouissance au 11 juillet 375 fr. LAMBERT (Jeanne), veuve MOUTON. — Jouissance du 14 juillet 375 fr. TRUSSARDI (Georgette-Marie), veuve PEIFFER. — Jouissance du 7 avril 1917. 375 fr. BONNEAU(Marie-Alexandrine), veuve PETIT. Jouissance du 1er mars 375 fr. LONGUET (Jeanne-Mal'ie-Henriette), veuve POULET. -Jouissance du 15 mai 1917. 375 fr. BLOND (Joséphine), veuve RAIMBAULT. — Jouissance du 16 février 375 fr. BURNICTïON (Marie-Séraphine), veuve SARRY. Jouissance du 10 mai 375 fr. JALAGES (Jeanne), veuve SOUBIRON. — Jouissance du 18 avril1917 375 fr. GIRARD1N (Albertine-Alphonsine-Marcelle), veuve SOUBREVILLA. — Jouissance du 13 juin 375 fr. BABUT
1917.
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1917.
Par décret du 30 décembre 1917, sur le rapport du ministre de la guerre il est accordé une pension aux veuves dénommées ci-après dont les maris sont décédés en possession de droits à pension
:
1917. Veuves de
caporaux. T GIORDANO (Joséphine-Dominique), veuve DEHONZlER, — Jouissance du 15 février 450 fr. XAPLACE (Marie-Jeanne), veuve FROMAGET. Jouissance du 15 mars 450 fr.
-
s
1917.
Par décret du 30 décembre 1917, sur le rapport ministre de la guerre,est accordé une dont
î il déjRSMUUéç d
L'administration est en droit de clort
Veuve de gendarme (ex-sergent). CAYOL(Anaîs-Pauline).
Jouissance du 28 mai
1917
veuve RAFFALLI. — 642
•
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GENDARMERIE
Veuvesdesoldats.
fr.
fr.
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( avril » f, du Jouiss. (Adrienine-Juliette-célirla)leu% (Jeanne-Rosalie), 1917
LELO.NG COUCAUD.
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'Il J du
18
1917.
Par décret du 30 décembre 1917, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves dénommées ci-après, dont les maris sont décédés des suites de blessures reçues à l'ennemi
:
1917. Veuve de commandant.
FRANÇOIS(Marguerite-Louise-Charlotte), veuve GOBRÉAU. — Jouissance du 18 avril 2,000 fr.
Veuve de capitaine.
MARCHAL (Marie-Joséphine), veuve JACOB. 1,650fr. — Jouissance du 1er janvier
1917.
fr. 1917.
Veuves de sous-lieutenants.
2
février
-Jouissance
DEMEILLIEIIS. 1917 CONQUES
'1
veuve
Jouissance du
BONNET-BALLON (Marie-Joséphine), veuve GIRARDET. — Jouiss. du 12 mai 1915.. 470 fr. CAZENEUVE (Jeanneton), veuve MAURY, — Jouissance du 22 mars 573 fr.
(r.
vCuv'i l' 5C3[r' Jouisssance duEugénie-Maria-Clémence 8 octobre 1916
BELLENGER
Veuves de gendarmes.
663"'
LABORIE (Mal'ie-Héléne-Léonie), COÀUN1S. — Jouiss. du 19 juin 191J. velave ) tiile-octavie LANDEROIN (N'al en , vetl\'sl (Marie-Charlolle-JeanD '$vel,y»! décembre VEAU. Jouiss. du 6 Jouiss.du 1911 DUBUISSON CIlAUVEAU.(Marie-Anna-Henriette),ve^ CIIAUVEL PIN. Jouissance du 25 mai 1917,.COGEfj" 663Ir. veuve (Marguerite-Louise), TESSIER
'juilfri
, 1915J
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(Germaine-Marie-Jusf! 563
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1er Jouissance duDllqO T.563 JO\JÍ "191611 1 1 1 1 1 11 DELACROIX (Louise), veuve veuveLrpF^ sance du 29 janvier FLOCPrescription interrompue. ggj LE MOING (Marie-Yvonne), 'pftlG' jpppiN'j? Jouissance du 29 mars 563fi
DESPOUY.
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1917. (Victoire-Marie),veuve veuve
1917—•' lJii'.-,------• -
JOUANNY iJ63 16 janvier — Jouissance du (Claudine),veuveMALT. tr. SEGUENOT MAUROIS(Bcrthe-Marie-Julia),veuvc^3 Jouissance du 9 mars
55J
pt51t 1917.1 11 1 ¡)II" avril — LEPRÊTRE (Marie-Joséphine), 191 JIEULES (Elise-Madeleine),veuv 6"frHERBE. Jouissance du 8 octobre RODleil JIEULES (Elise-Madeleine), veuve
Jouissance dn
27
-
Jouissancedu6octobre 1916 SOULINGeÀ56ft
1917 '^3 j avril
FRAYSSE (Rose), veuve
Jouissance du 9 (Anna-Marie-Viçtorin avril LE GUYADEC MAUPOINT(Yvonne-Marie-Louise), veuve LAPlElUŒ. — Jouissance du 1G décembre THOMAS. Jouissance du 12
19161,400
GRUET(Germaine-Caroline),veuvePRADELLE. 1,150 fr. — Jouissance du 6 mai
Par décret du 30 décembre 1917, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves ou orphelins dénommés ciaprès, dont les maris ou pères sont décédés des suites de blessures reçues à l'ennemi ou
:
d'événements de guerre
d'adjudant. LE BEC (Marie-FIorestine-Perrine), veuve HÉRAIID. — Jouiss. du 1er mai 1917.. 975 fr. Veuve
Veuve de sergent. DUBOIS (Marie-Eugénie-Virginie), veuve LEVRAT. — Jouiss. du 24 janvier 1917 825 fr.
Veuves de caporaux. BAILLON (Jeanne-Anna), veuve LAMBIN, — Jouissance du 20 novembre 675 fr. CREFF (Anne-Marie), veuve LE BIIIAN. — Jouissance du 28 juillet 675 fr. MOULET (Clémense-Louise-Adelphine), veuve MOGIS. — Jouiss. du 29 avril 675 fr. DUPONT (Eugénie-Émélie), veuve MONTIZON. 675 fr. — Jouissance du 18 septembre
1915,.
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yAILLÉ(Anna-Philippine), veuve
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1917^yA" l'
— Jouissance du 2 février veUvc 55:1tr. 1!)14. (Nelly-Berthe-Ernestine), bui BIET LÉE. Jotiissance du 2i août Prescription interrompue.
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soldat. de orphelins Veuve et
MERCIER
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(Marie-Augiistine-Jeann0',octo[f( ocotop,"
DESLOGES. Jouissance — 1915 Gabri^'lgiie-jef r!.¡rr. Orphelins DESLOGES : 1° And24 eS gêne; 2° Marie-Germaine; 3° ~~), Jouissance du 7 février 1917
1933" M.
Desloges
tuteur.
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(Marie-Jean-Bap
Veuvesdesoldats.
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..,50 :>V".
1916. HOF
DAVIAU (Jeanne), veuve Jouissance du 20 mai
HH1. 5 le
PINSARD(Marie-Suzanne), veuve — Jouissance du 8 avril
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r3P¡le esaprèS'tslll" te clcideP
Par décret du 30 décembre duministre de la guerre, il îur pension à la veuve dénommée cideo le mari est décédé des suites d'un commandé service veau en 1915. tlff Veuve de lieutenant. 1914. LECAPLAIN(Madeleine-Eugén^'veJ Prescription interrompue. g"JV 20 COURBÉ. du Jouissance FERRANDON (Marie-Josèphe), veuve SEURRE. — Jouissance du 17 novembre 1916. 675 fr. 1916 5utledér4Ppl 1oi
1916.
:
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Veuves de soldats.
Jouisoctobre 1914. fr.
CHAUMONT (Marie), veuve AVEZOU.
sance du 10 Prescription interrompue.
563
PARENT (Marie-Françoise), veuve BROC. —
1914,.
Jouissance du 12 novembre 563 fr. Prescription interrompue. VINCENÏ (Alice), veuve CAILLlt — Jouis563 fr. sance du28avril SOUQUET (Dominiquette), veuve CAMBUS. — Jouissanceulu 2 novembre 563 fr.
1917. 1916
le dénommées °KP Par décret du 30 décembre 1917, 8:res, die:
du ministre de la guerre, il est Pxjflici11^: pension aux veuves les maris sont décédés des suites cilolllipa contagieuses, épidémiques ou coi d'accidents survenus en service
1916. Veuves de caporaux.
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jrtVSP' .¡o ,r (Marie-Joseph),
Jouissance
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-375 fr1915. .0i;) 117. ijuchermars••1915 • - 191-Í., ( , '7 <iu29 f°URNIER. novemhUVebre1915 JouisJouisCocoui (LOUise-Hélène-Jeanne) veuve DIcvÎmesse/T
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fr.
(Antoinette-Eva-Césarinc) veuve MINGAUD. Jouiss. du l" juillet 1916. 563 fr. Veuve. de soldats. ENOCOURT. ^Hélène-Jeanne),veuveDI, VAULTIER fMargucnte Léontine Julienne) LESOURD (Germaine-Emilienne), veuve ARJOUiss. du 19 1915. ayril 450 îr. NOUT. veuve ObMONI. jouissance du 30 septembre fr. 563 Jouiss. du 5 avril 1917 — 1 Fetlues de soldats. GAUTIIIER (Marie-Louise-Pliilomène), veuve VERCIIÈRE (Marie-Vicforine-Julie), veuve juin 563 fr. BELSŒUR.—Jouiss. du 1916. 18 1(Augustine), PASTEL. —Jouissance du 8 juin 1917.. 5G3 fr. PAILLET JUIllet 1915 veuveBLOT.- Jouis" BOUFFIL (Catherine), BERGÊ. Jouisveuve — BERNA BRIONE (Julienne-Marie-Virginie), veuve PES563 fr. juin du 19 fr. sance JouissD (Marie-Benoite) du CHET. — Jouissance du 13 juillet 191G. 563 fr. (Marie-Corentine), OUissance IIÉLIAS BESCOND. CARRlJGE. veuve veuve 13Octobre 1916 SCOLASTIQUE(Armande-Marie), veuve PES563 fr. 375 fr. Jouissance du 19janvier TEL. — Jouissance du 15 juin 191G. 563fr; nInorDuù[Made). BÉ" CHARLOT. WILLEM (Suzanne-Adèle-Marie), veuve veuve t - J^OL'D decerubre iMari^erthe), 1916 MENAIS (Aimée-Marie-Joseph), veuve PLAJouiss. TREMIEUX. du 19 juin 1916.. 563 fr. fr. 375 — ïSa^(Zdu TiElî.— Jouiss. du 13 décembre 1916.. 553fr. LEGAGNOUX Augustine Marie Françoise ), CHOLLET. veuve 1'JOI1.iSsar¡R(Ahne-Anastûsie) THOMAS(Agnés-Emilie-Victorinc),veuve PRA375 fr. r veuve BIARD. — Jouissance du 23 décembre DEN. — Jouissance du 2mai 1917. 563fr. fr. 563 Jouissance du -') janvier 1917, veuve IDIER. ^RGEat-L^arie-Loui.se-Léontine-Rosa), Prescription interrompue. CELÉRIER (Marguerite), veuve ROUZIER.— 3,5- fr. f ï'fpô"•••--Jouissance 563 fr. BOCRASSEAV(Marie-Thérèse-IIenriette).ycuve Jouissance du 30 mars 11 décembre 1916. 563fr. BIl"ET. Jouiss. du riPUoiî nteif°mpue.375 BERTHO (Georgina-Angèle), veuve SALîA— janvier P eu 2 Jouissance du 26 mai (Dahlia-Marie), veuve JIATTON 5:3 îr. BOURREAU. JE.(Berthe, Jouissance du 21 février 563 fr. ROGER (Henriette-Marie-Louise), veuve TES~~Jouissanf«p15octol,re m6" dite Clémence), veuve LESIER. CIIÉRON (Jeanne-Marie), veuve BOUVIER. Jouissance du 13 mai 1917. 503 fri — Ktm.XclE"kirr„r'°Pstance-Victorine,), 875fr. Jouissancedu11 563 fr. PROUVOST (Léonie-Juliette), veuve TIEnCEDELMAS (Célestine), veuve BRU. — Jouis- LIN. — Jouissance du 4 mai 5G3 fr. ifeJ^VllE(\6!'110)' veuve du 6 juin 1915. 375 fr. sance du 30 octobre 563 fr. LAPORTE (Marie-Albertine), veuve TOUTET. 'l\EDE ce du j*,^ÛET a"eJ°Séphine) LAIIOUTA (Jeanne), veuve CARDOUAT. — Jouissance du 13 mars veuve MONTASSIER. 56> fri 10 août 563 fr. 375 fr. Jouissance du 5 juin !Jû PARGNY (Marie-Isabelle.), veuve VEi-ILOËS.: Jouissance du 27 juin DERRIEN (Marie), veuve CAROFF. — JouisMORICE.t;lt)veodnI Ce du 31 563 fr. veuve août 563 fr. sance du 11 juillet CIIANCEL (Marie), veuve VICTOR. JOh JouisveuveOLIVIER.,mMarie-Ernestine-Florentine), ROUDIER (Marthe), veuve CIIOUZEXOUX. — 563 frt — sance du 18 mai 1917 Jouissance du 12 aout Jouissance du 21 avril 1917 563 fr. ',"Irle-Octavie-Lucipnne), lgld.tlLLALTl)- Jouissance G1LLE (Marie-Anne), veuve COFFEC. — 1916 563fr. Par décretdu30 décembre 1917, surierapport veuve Jouissance du 19mars du 11 janvier CAMiNADE (Eléonore-Adélaïde), veuve COL- du ministre de la guerre, il est accordé Ullf , , 1 375 fr. DEFY. —Jouiss. du 1er février 1917. 563 fr. pension aux veuves dénommées ci-après dont les maris sont décédés des suites de blessures J IIARGUINDÉGUY (Catherine), veuve COMPAà l'ennemi reçues lê6,1îe?retdu3nfl'décembre GNET. —Jouiss. du7 janvier 1915563 IlenslOnredelaguerre, 1917, sur le rapport Prescription interrompue. Veuve de sergent. il est accordé une esiru-auxvpii!6 dénommées LESCOTET (Lueienne-IIcnriette), veuve CORci-après dont BONNOIS. — Jouiss. du 4 octobre 1916. 563 fr. sont decédés MERMOUD (Mathilde-Adeline), veuve BEL. — des suites d'accidents en sspenmice Jouissance du août 11 825 fr. SENERET (Gilberte-Berthe).veuve DACIIARD. conmandé : Jouissance du 10 octobre 1915,. 563 fr. — Veuves de soldats. eute BUTIION iGeorgetfe-Eugénie),veuve DEBRAY. de ÏAfin caporal. '1 563 fr. mJo ï -'U \1<'1' J OUiSSiln-C;nane-MariC), BARTIIÈS(Philippine), veuve AZAÏS. Jouis— Jouissance du 1er mars g is s ""Il Qu 17 octobreveuve CHARPIGXY. BARBET (Camille-Juliette), veuve DEFORGE. sancedu4juillet 563 fr. 1915 450 fr. 5'33 fr. — Jouissance du 29 octobre 1916 DUPUITS (Clotilde-Victorine),veuveFRESTE SIMONET (Marie), veuve DUROUX. — Jouis- — Jouissance du 25 février Icuves de soldats. 563 fr. du-29 juillet1916 563 fr. sance LE QUlLTErC (Léonie-Maric), veuve HERY. ^MAliU'^atD,l*le-Joséphine-Auguptine), BEL (Marie), veuve DUTHEIL. — Jouissance — Jouissance du 1er octobre 1915. 563 fr. 6'°"': < 1E. h octobre du2Javril Jouissance Jouissancedu30 du 30 octobre 563 fr. SERK (Anna-Mérina), veuve NOGUÈS. GLANES 3j5fr. — COLRTAT (Lucie-Augustina). Jouissance FLAdu 3 avril 563 fr. veuve du 33 MAT.-Jouiss. du 10 janvier HH7. 563 fr. JACQUEY (Madc-Constancc-Alke), veuve Pardécret du 30décembre 1917, sur le ranpert FORMET. — Jouiss. du 1er mars 1917.. 503 l'r. , «hjVdécdU JI1' du ministre de la il est accordé une penguerre, d' MALLOT (Jeanne), veuve FRADIN. — Jouis- sion SIOI1.ûU veu30 dénommées ci-après, dont les veuves aux 30 décem^e décembre 1917, 1917 janvier L63 Ir. du 6 sance maris sont décédés le rapport des suites de maladies sur Inn¡,¡sx,eU'Ves lagUrre, il est accordé une nOOOUTÉ 'vMarie-Joséphine-Augustine).veuve épidémiques ou d'accident survenus en service denommees te cl-aprl-s dont GAlîRIOX. Jouissance du 21 octobre commandé:. «Ue« is ennemi suites de blessures 503fr. Veuve desergent. ou d'événements de guerre EONED (Marie), veuve GÊNER. — Jouissance MULLER (Marguerite), VCUVCS du 5 juin 1917 563 fr. veuve FOUINETEAU. Jouissance du21 mai de sergents. 550 fr. GEOFFROY (Marthe-Anna), veuve GILDVRD. mai Gi*"3cné®-Euphrasie), Jouissance du 5C3 fr. 2 Jouis,4 — veuveBARVeuve de caporal. juin 1917 BOUCIIET(Marie-Jeanne), veuve IIENIIY. fr. "'J\f:'""JI.'-' q'A (y VOIl.Ge-Addonnc) Jouissance du 3 septembre 1915 563 fr. cru. INCOURT (Marie-Louise), veuve MOTIONCIIAveuve *o4lMi<;ilE VAL. — Jouiss. du 21 novembre 1914 450 fr. du SICOT (Ernestine-Marie-Joseph), 27 HINmai 1917.. vtuve 8i5 fr. ^HiaDot-ïTJouissanSe;Marie-Julie), Prescription.interrompue. GANT. — Jouissance du 2 mai 1917. 563 fr. ^EXG maidulyn 825 DURveuve Sallee 25mai 1U17. 825 fr. MARTIN (Anne-Elise), veuve JULLIAN. — Veuves de aoldatf. As Jouissance du 563 fr. 9 mai 1017. veuveEUTROPE. VSS!ÏUcedut^^He), LUCAS )IariC-Antoinctte), veuve BOUTEVIVIER (Clémentine-Augustine-Aline), veuve 825 frJouissance du 16 juin 1917. 375 fr. LE PLAY. — Jouissance du 10 novembre IOtP. 563 fr. Janvier veuve LETIIEUL. JONNET (C,SIestine-Augustine\veuvcDUVAL. 825 fr.. 1914 septembre Jouissance (Marie-Louise), du DANIEL ROY. 30 LE veuve 375 fr. — — «Wp Izlw kJityorr,..te* J'eU t, dtcaporaux. Prescription interrompue. Jouissance du 10 octobre 563 fr. J \11\OT'r h. LULISSIER Joséphinc-Françoise-Angéliquc), PONCET (Marie-Philomène-Pauline-Louise), "je -"'I (S veuve BÊCIIEJouis- veuve LOBRICIION. — Jouissance du 6 août veuve DUVAL. Jouissance du 12 août — 675 fr 1916 563 fr '1}\Ussa.nce'<trie-LO\lise PrcscriptiQD interrompue. GARNIER. MAUveuve BERNETEAU (Louise-Thérèse), veuve U 4er l.-\s a Ez août LENGLET Mariè,.Mélanie-Rose), veuve GAU1) Sk;, JoJ,Florence-Clémentine), 675 fr. BARET. — Jouiss. du 20 avril 1917. 563 fr. DET. r7,J^uissanoP "Joséphine), ÏT>^S^NE^sance PINEAU.(Marie), veuve MAZELIER. — Jouis— Jouiss. du 21 janvier 1915. 375 Ir. veuve Prescription interrompue. du 7 mai 1917 675 fr. sance du 27 avril 1917 563 fr. io(î-arie-nl T£MATZ (Henriette), veuve MIDON. — Jouisveuve CORDIER (Marie), veuve MOUY. Jouisdu 24 avril1917-- 675fr. sance du 1er — 563 fr. sance du 26 octobre1916 mars 375 tr. MARTIN (Ismérie-Thérèse), veuve MILLON. Ce du15avril , veuve GUILLET. TESSIER.(Marie-Aii£UStine),veuvePUCHAULT. 675 Ir. — Jouissance du 13 avril 563 Ir. Jouissance du 20 janvier 1917 tr.
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PP.ÀD1NES (Marie-Pulchérie), DIÉ. — Jouiss. du 23 novembre
veuve SOLDA1916. 375 fr.
HERMIER (Rosine-Ernestine), veuve LAUSSEDAT. — Jouissance du 20 mars 1917. 825 fr. BONNIEC (Rosalie-Françoise-Yvonne-Marie), veuveLE CALVEZ. — Jouissance du 31 mai
1916..,..,.,.
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BRA DESTHOMAS (Marie), veuve Jouissance du 23 mai BllIZ pp." CIIAUVET (Malvina). veuve
1917".pp.
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( Jouissance du 7 juin .<' BRIAND(Maric-Louise-Josephine;.~ (Alarie-Louise-joséph ntj've BRIAND SAUD. Jouissance du 21 avril
fr. far décret du 30 décembre 1917, sur le rap DUMAIS (Charlotte-Adrienne-Eugénie), veuve port du ministre de la guerre, il est accordé MAILLOT. C. 563(t — Jouissance du juin 825 fr. 4 1917. (Marie-Madeleine), veuve GUESDON une pension aux veuves dénommées ci-après DARD (llermence-Berthe), veuve SEGUIN.— dont les maris sont décédés des suites de Jouissance du 29 septembre 19l'i@--Jouissance du 17 avril 1917 aialadies épidémique ou endémique 825 fr. SE RGEANTinterrompue. (ESPéranCe-JUlicnrttetcl!Jb t!li1:! Prescription { DOUHÉRET (Louise-Lucie), veuve VAILLANT. 14 du leuve de tergcnt. Jouissance Jouissance CANON. du janvier 825 fr. 27 veuve — — Sauf déduction des sommes perçues depuis 1911 LENORMAND (Marguerite-Yvonne), veuve le 27 janvier 1915 veuveC.5J la pension de 550 fr. consur FONClN. — Jouissance du 7 avril 1915. 550 fr. cédée par décret du 15 juillet 1916 et ~;f que la BAILLON (Marie-Julienne), présente annule. Jouissance CHARTRAIN (Louise-Emélie),veuve C 0 Hj du H mars soldat. de 825
-
:
1915.
Veuve
(Julia-Emilie), veuve RIBARDITRE. 315 fr. Jouissance du 7 février 1917
BOBIN —
Par décret du 30 décembre 1917, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension à la veuve dénommée ci-après, dont le mari est décédé dos suites da blessures reçues a l'ennemi: Veuve de sous-lieutenant.
PHILIBERT (Jeanne-Marie), veuve CHAMEAU. —
Jouissance du
11
novembre 191G.. 1,150 fr.
Par décret du 30 décembre 1917. sur le rapport du ministre do la guerre, il est accordé une pension aux veuves dénommées ci-après, dont las maris sont décédés des suites de blessures reçues à l'ennemi ou d'événements de guerre
:
Veuve de commandant. LÉONARDI (Benoîte-Elise), veuve RAVEL. — Jouissance du 26 septembre 2,000 fr.
1915.
.,
Veuves de capitaines.
DESAINTMARTIN
(
Marthe-Joséphine-MarieAugustine), veuve GRANDMAIRE. — Jouis1,850 fr. banco du 23 février 1915 Sauf déduction des sommes perçues depuis le 25 février 1915 sur la pension de 1,233 fr.
concédée par décret du 30 août 1916 etque la présente annule. DUBOIS (Marie-Amélia), veuve MICHEL. — Jouissance du 28 octobre 1,750 fr. BRÉMOND Jeanne-Marie-Pauline), veuve POUTRIN. — Jouissance du 9 septembre
,
1914.
(
1916.
Prescription interrompue.
1,050
fr.
BIZOT (Ilenriette-Sérapliine), veuve HENAUD. 1,400 fr. — Jouissance du 12 mars
1917.
Par décret du 30 décembre 1917, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux veuves dénommées ci-après, dont les maris sont décédés des suites de blessures reçues à l'ennemi ou d'événements de guerre :
d'adjudant.
JOANNON (Marie-Rosalie-Benoîte), veuve RAZY. — Jouiss. du 27 novembre 1916.975 fr. AUDOUARD (Léonie-Marie), veuve RICARD. Jouissance du 24 septembre 975 fr.
-Prescription interrompue.
1914.
veuves de lergents. LANISSON Germaine Augustine - Ámélie), veuve BOUTON. — Jouissance du 16 avril
(
-
1915. 1917
825 fr.
TIIOUMINE (Bernardine.Victorine). veuve DAUPLAIT. — Jouissance du 28 septembre 825
fr.
BERGUEUR (Jeanne-Alphonsine), veuve DESBŒUFS. — Jouiss. du 17 avril 1917. 825 fr. VILLAIN (Alice-Suzanne), veuve DURAND. — Jouissance du 27 goût 625 fr.
1915.
563
rrescriptioninterrompue.
1916. r£
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CIIANU (Marie-Cécile-Elisabeth-Suzanne), veuve NICOLAS. — Jouissance du 29 mars 1917 825 fr.
1916- Il
Jouissance du 10 octobre Tt';~[ — ci veuve GENET (Anna-Barthe-Marie), O.\I!\) LEY. — Jouissance du21 octobre Veuves de caporaux. GOARIN (Séranl¡inc-Marie), veuve UJ, fj,' Jouissance 24 du BICIŒT (Céline-Pierrette), veuve BRUN.— — AVIGNON(Marie-Joseph), veuve Jouissance du 12 mai 075 fr. Jouissanco 31 juiiiet 191û,. du — BOUVET(Fernande-Marie-Louise), veuve COLLO-' &Kj| GAGNiÈRE (Claudia), veuve CHRÉTIEN. — Jouissance du 26 juillet 'GuJ 675 fr. Jouissance du18 mars , t. veuve (Jeanne-Yvonne), LANDUR GUÉRIDON (Marie), veuve DUMONT. — Jouissance du 15 avril 675 fr. Jouissance du 6 septembre COVET, LECLIRE (Angéle), veuve LOISEAU (Suzanne),veuve GARNIER. — CllAl563 pO) 675 fr. satire du 19 avril 1011 Jouissance du 14 avril1917 IIARLÉ (Eiise-Carmeiie), veuve GABORIT (Juliette-Augustine), veuve GERBEAURAIX(J03éphine-Albertine),vc^^ Cil' Jouissance du 2 MAIN. Jouissance du 17 avril1917. 675 fr. r. t, ) vell\ '3 SIRET (Anne), veuve GIRAUD. — Jonissance 1916.• {),.'[;S du 16 mars 675 fr. SENT. — Jouiss. du 10 juillet 1IANOT(Simone-Marie-Louise), veuve &6j{ MA G NIN Marie-Louise-Jeanne-Baptiste septembre GNY. Jouiss. du 1er DE^li(503' RAPIN. Jouissance du janvier 26 veuve — 1917 675 fr. MASSOU (Marguerite), veuve 5 octobre MOULINIER (Jeanne-Marguerite), veuve RI- Jouissance du (Gabriello-IIcnrielle), v0U563" CHARD. — Jouissance du 18mars 1917. 675 fr. ROTTE. FOSSEY — j)B Jouissance du 24 NIVET (Marie-Joséphine-Antonine), veuve (Louise-Renée), vcuV ROBIN. — Jouiss. du 27 avril 675 fr. OURNIE .DV BOURDES. — Jouiss. du 16 mai 1017;,Du veuve (Marie-Madeleine), GARDÈRE Veuves de soldats. D du 21 mai — Jouissance (Augustine-Adrienne), vCr>j 0 BOURAU-TOUYAROU (Maria), veuve ARTICENDRIER avril 1017. — GUELOUVE. — Jouiss. du 9 avril 1917.. 563 fr. FOUR. Jouiss. du 22 — P~~ ROUX (Marie-Célestine), veuve BARBE. — veuve DEGERT (Catherine), Jouissance du 11 août —BRISOUX(Marie-Madeleine),veuveVv Jouissance 1916 563 fr. Jouissance du 8 Prescription interrompue. bui JACQUET (Claudine), veuve BARBIER. — Jouissance du 25 avril 1915 563 fr. GODET (Marie-Eugénie-Blanche). 1915. BARBOT (Marie-Rose). veuve BASLÉ. * avril Jouiss. RODEL. du 19 — — Jouissance du 31 août GL 563 fr. ggj. veuve (Marie-Clémentine), PICY Prescription interrompue. Jouissance du 10 novembre DEBERGUE (Juliette-Esther), veuve BENOIT. 563 fr. — Jouissance du 13 octobre Prescription interrompue. 19,'?':St B(jo 10 ur LONGO (Maria-Ersilia-Paolina), veuve BENOIT. Par décret du 30 décembre 563 fr. port du ministre de la guerre, — Jouissance du 5 avril1917 militaires pension une aux POUCIIOT-ROUGE-BLANC (Camille-Séraphie), après veuve BERNARD-JACQUET. — Jouissance du 12 juin Sergents. 563 fr. rt. d'aIl FRESSEL (Jeanne-Elisabeth), veuve BERRY. HARDY (Ernest), perte de Jouissance du 28 fr. 563 mars — à" bre. —Jouissance du 13 janvier BOUCIIET (Anne-Marie-Françoise), veuve BESRENOUARD (Ange-Marie), NIER, Jouissance du 9 octobre 1916.. 563 fr. membre. f,ivv'IIJJ Jouissance amp«J;tai0„djt — ,n5 BRIEUX(Aurélie-Marie-Joseph), veuve eidt t'on BLOukr. —Jouiss. du 26 avril 1917. 563 fr. SCIIENDORFF (Léon-Emile), 1 du Jouissance NAUDIN (AuréUe-Clotilde-Victorine), veuve membre. ào#iol BIGNAULT. — Jouissance du 21 septembre 1;) de 1916 fr. perte SAYN (Ferdinand-Charles), it, je 1, BREUGNOT (Marie), veuve BONNOT. — Jouis- d'un membre. — Jouissance du 563 fr. sance du 17 novembre Sauf déduction des sommes perçues depuis t le 17 novembre 1914 sur la pension 375 fr. conÍt" Caporaux. cédée par décret du 21 janvier 1916 et que la otlrfll (t,if , présente annule. OU lD 1lV, DEMÊTRE (Isidore), blessures 1918., "lliS)'pc Prescription interrompue. DE JOUX (PrOsPelr_lol Oegfrg Jouissance du 13 janvier — (Jeanne-Marie-Elisabeth), BOUVIER veuve DE LAFOLLYE J°U1 ''m BORDUGE.— Jouiss. du 25 octobre 1916. 563 fr. de l'usage d'un membre. — portedo SERIT (Marthe-Marie-Clémence), veuve BOU- 13 janvier n. DEAU. — Jouissance du 14 août 1916.. 563 fr. LAFONT (Raymond-Louis-Rémy), du 1-1 Il Jouissance jouissaâc , FERRY (Adrienne), veuve BOULLE. — Jouis- l'usage d'un membre. 563 fr. vier 1918 sance du 7 septembre (Philippe),Jtatiol, (f. ROUAULT (Marie-Modeste-Léonie), veuve SCHNEIDER BOUVIER. — Jouissance du 2 mai 1917. 563 fr. membre.-jouiss. du 13 (g*SupPlém
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GUIADER (Marius-Etienne), amputation d'un (Albert-Auguste), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 13 janvier membre.- Jouiss. du 13 janvier 1918. 1,100 fr. VÉRON
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perte de l'usage Jouissance du 13 janvier 11\1e!ll;K (AIPhO;)',' 663 d'un fr. l'usage perte 916.. Jouissance du 13 janvier ond'unERS(Henri-Joseph-Louis), 659 frembre. amputaJouissance du 13 janvier Perf^SnyieHs0sePh-Hyacinthe-François), 750 fr. u erte ^atlvier >^iQioUn de du13janvier membre. — Jouissance tyltàtjl)11918 Inile-Ilenri),amputation d'un 644 fr.
de tion ALLERS 16., -
perte de Jouissance du 13 jan-
VIALETTES (Auguste-François),
Caporaux. FROIDEVAU (Henri), amputation de deux Jouissance du 13 janvier membres.
l'usage d'un membre. — vier VIERSOUS (Julien), perte de l'usage d'un 1,335 fr. membre. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 646fr. GUILLOUËT (Henri-Désiré-Joseph), blessures VINCE (Edmond-Marie), blessures ou infir- ou infirmités. Jouissance du 13 janvier — mités. — Jouissance du 13 janvier 1918. 600 fr. 700 fr. GAILLOT (Elie-Christophe), perte de l'usage MARET (Pierre-Adrien-Augustin), amputation d'un membre. — Jouissance du 13 janvier d'un membre. Jouissance du 13 janvier — 631fr. 900 fr. RESSIWUIER(Gabriel-Achille-Eusèbe-Joseph), REILLES (Ilenri-Léopold), perte de l'usage amputation d'un membre. — Jouissance du d'un membre. Jouissance du 13 janvier — 13 janvier 778 fr. ROZET (Jean-Marie), amputation d'un memROLLES (Augustin-Joachim), perte de l'usage bre. — Jouissance du 13 janvier 1918.. 750 fr. d'un membre. — Jouissance du 13 janvier 819Ir. VEYRE (François-Jean-Marie-Joseph), blessures ou infirmités. — Jouissance du 13 janvier ROUGEMONT (Jules-Gamille), perte de l'usage 1918 600 fr. d'un membre. Jouissance du 13 janvier — BAUPHARD (Jean-Marie), amputation d'un 1918 779 fr. membre. — Jouiss. du 13 janvier 1918.. 750 fr. FERNANDEZ (Vicente-Ramon), amputation Soldats. d'un membre. — jouissance du 13 janvier BECHET (Auguste-Louis), blessures ou infirmités. — Jouissance du 29 mai 1917. 600 fr. RAYNÀUD (Martial), amputation d'un memdéduction des sommes perçues depuis bre.—Jouissance du 13 janvier 1918. 750fr. le Sauf 29 mai 1917 à titre de gratification, TULASN (Eugène-Honoré), amputation DELMONTE (Gabriel-Emile), blessures ou ind'un membre. — Jouisance du 13 janvier firmités. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 600 fr. 750 fr. GALBOIS (Pierre-Marie), amputation d'un amputation d'un membre. membre. Jouiss. du 13 janvier 1918. 750 fr. VICENTE (Joseph), — fr. 13 janvier 1918. 750 du Jouissance — GALESNE(Théophile-Joseph),amputation d'un (Martin-Alphonse), amputation d'un TRONEL 750 fr. membre. Jouiss. du 13 janvier 1918. — membre. — Jouiss. du 13 janvier 1918.. 750 fr. GALLIN (Marin-Emile-Jean), cécité complète. (Joseph-Eugène), perte de l'usage GRENIER Jouissance du 13 janvier 1918. 1,200 fr. — d'un membre. — Jouissance du 13 janvier GARNIER (Alfred-Alphonse-Louis), amputa621 fr. tion d'un membre. Jouissance du 13 janvier — ROUSSEL (Raymond), amputation d'un 750 fr. membre. — Jouiss. du 13 janviec-1918.. 750 fr. GAUTREAU (Fernand-Gaston), amputation TOURNEUX (François-Alexandre), amputation d'un membre. — Jouissance du 13 janvier d'un membre. — Jouissance du 13 janvier 750 fr. 750 fr. GEFFRAY (Pierre-Marie), amputation d'un DUSSERRE (Paul-Marcel), amputation d'un membre. Jouiss. du 13 janvier 1918.. 75U fr. membre. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 750 fr. (Gaston-Henri-Marcel), GIRAUDEAU blessures HENRY (Denis-Auguste), blessures ou infirinfirmités. ou — Jouissance du 5 juin mités. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 600fr. 1917 603 fr. ROMAIN (Jean), perte de l'usage d'un memSauf déduction des sommes perçues depuis bre. — Jouissance du 13 janvier 1918.. 674 fr. le 5 juin 1917 à titre de gratification. IIERPE (Louis-Marie), blessures ou infirmiGODOT (Jean), blessures ou infirmités. — tés. —Jouissance du 13 janvier 1918. 600fr. Jouissance du 13 janvier 600 fr. GUIGNIER (Gabriel), perte de l'usage d'un membre. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 668 fr. Par décret du 30 décembre 1917, surle rapport GUILLEMIN (Jean), cécité complète. Jouisdu ministre de la guerre, il est accordé une sance du 13 janvier 1,200 fr. pension aux militaires dénommés ci-après Pierre-Marie-Armand-Auguste GUILLOUX amputation d'un membre. — Jouissance du Sergent. 13 janvier 750 fr. FAUCONNET (Antonin), blessures ou infirmiGUIONIE (Joseph), amputation d'un membro. tés. — Jouissance du 13 janvier 1918. 800 fr. — Jouissancedu 13 janvier 1918 fr. HATCHI (Adrien-Octave), amputation d'un Soldats. membre. Jouiss. du 13 janvier 1918.. 750 fr. LABUf; (Berthélémy-François), cécité comLIOT (Jean-Louis-Auguste), blessures ou infirmités. —Jouissance du 13 janvier 1918. 600 fr. plète. —Jouiss. du 13 janvier 1918. 1,200 fr. LANDON (Louis), blessures ou infirmités. — COURRET (Jean), perte de l'usage d'un mem600fr. bre. — Jouissancedu 6 janvier 1918. 644fr. Jouissance du 13 janvier LE BARS (Joseph-Marie), amputation d'un ROQUES (Paulin-Léon), perte de l'usage d'un membre. — Jouiss. du 6janvier 1918. 674 fr. membre.- Jouiss. du 13janvier 1918. 750fr. ROUSSET (Henri-Charles), perle de l'usage LE GALL (Xavier), amputation d'un membre. d'un membre.,— Jouissance du 6 janvier —Jouissance du 13 janvier 750 fr. 1918 o' 616 fr. LEGALLOU (Yves-Louis-Marie), amputation HAMMAMOUCHE (Lakdar ben Mohamed ben d'un membre. — Jouissance du 13 janvier Messaoud), amputation d'un membre. — Jouis- 1918 750 fr. 550 fr. sance du 13 janvier LEMBREZ (Léon-Charles-Gaston), amputation DEMBA-SAKO, mie 223, amputation d'un d'un membre. — Jouissance du 13 janvier membre. — Jouiss. du 13 mars 1918 315 fr. 750 fr. LIONNET (Antonin-Léopold-Fridolin), blessuinfirmités. du 13 janvier Jouissance res ou — décembre décret le du 30 Par 1917, sur rap- 1918 600 fr. port du ministre de la guerre, il est accordé LIZION (Joseph), amputation d'un membre. une pension aux militaires dénommés ci750 fr. après — Jouissance du13 janvier Sergents. LOISEAU (Louis-Augusle), amputation d'un -1 (Marcel-Ernest-Paul), GAUTRAT perte de membre. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 750 fr. l'usage d'un membre. — Jouissance du 13 jan-" LOUBÈRE (Jean), amputation d'un membre. vier — Jouissance du 13 janvier 1916. 750 fr.
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DAUDON (Jean), blessures ou Jouissance du 13 janvier
(Eugène-Marie-Joseph), blessures ou infirmités. — Jouissance du 25 juin 1917 600 fr. Sauf déduction des sommes perçues depuis le 25 juin 1917 à titre de gratification. MAUREL (Louis-Marius-Joseph), amputation d'un membre. — Jouissance du 13 janvier MARTIN
FALOURD
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infirmités.
tion d'un membre. — Jouissance du
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1918 GUIMARD (Joseph-Marie), blessures ou infirmités. — Jouissance du 13 juin 600 fr.
i 8lis janvier; 1918.
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complète.—Jouiss. du 13 janvier i» Sauf déduction des sommes perçues depuis ou LACROIX (Louis), blessures le 13 juin 1917 à titre de gratification. Jouissance du 13 complu LUCCIONI (Simon-Noël), perte de l'usage ASSÉMAT (Louis), cécité d'un membre. — Jouissance du 13 janvier sance du 13 janvier 650 fr.
1917.
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PUlLLANDRE (Louis), amputation janvier Jouissance du13 janvier bre. —— 750 fr. bre. Jouissance (Henri-Germain-A»
(Jean-Henri), blessures ou infirmités. — Jouissance du 13 janvier 1918. 600 fr. MAYSSAL (Pierre-François), amputation d'un membre. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 750 fr. MËRE (Maurice), amputation d'un membre. 750.fr. 13 janvier du Jouissance — Par décret du 30 décembre 1917, sur le rapport MIGNON (François), blessures ou infirmités. du ministre de la guerre, il est accordé une 600 fr. pension aux militaires dénommés ci-après — Jouissance du 13 janvier MILAN (Henri Marius), amputation d'un membre. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 750 fr. Caporal. MITTLER (Modeste-Paul), amputation d'un ONILLON (Henri), blessures ou infirmités. — membre. Jouiss. du 13 janvier 1918. 750 fr. Jouissance du 700 fr. 1er juillet 1917 MORIN (Marcellin-Eugène),blessures ou infirmités. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 600 fr. Soldats. MOULIN (Isidore-Armire), blessures ou infirmités. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 6CO fr. deGAUCHER (Marcel-Eugène), perte de l'usage juillet deux membres. Jouissance du 1er — OZOU (Camille-Léon), blessures ou infirmi750 fr. 600 fr. tés. — Jouissance du 13 janvier 1918. ROUSSEAU (Jean-Baptiste), amputation d'un PERRIER (Emile-Félicien), blessures ou infir- membi-e.-Jouiss, du 25 novembre 117 750 fr. mités. - Jouissance du 15 janvier 1918. C00 fr. SERVE (Pierre-Louis-Charles), perte de l'usage Sauf déduction des sommes perçues depuis d'un membre. — Jouissance du 23 octobre le 15 novembre 1915, à litre de gratification. 655 fr. PIMORT (Marcel-Félix-Albert), amputation VARIN (Louis-Eugène-Léon), blessures ou d'un membre. — Jouissance du 13 janvier 750 fr. infirmités. — Jouiss. du 21 juillet 1917. 600 fr. 1918 VIVIEN (Eugène-Marie-Alexandre), perte de POLIGNÉ(Pierre-Marie-Joseph-Amand), blesl'usage d'un membre. — Jouissance du 3 juin intlrmilés. JouIssance 13 jandu sures ou 665 fr. vier DURET (Camille-Lucien), blessures ou infirRIVEREAU (Joseph-Eugène-Marie), perte de l'usage d'un membre. —Jouissance du 13 jan- mités. — Jouiss. du 1erjuillet 1917. 600 fr. 658 fr. COTTEAU (Louis-Marie-Joseph) dit COTTEAU vier DE SIMENCOURT, perte de l'usage d'un memTOUCIIARD (Constant-Gustave), blessures ou bre — Jouissance du 4 février 1917. 638 fr infirmités. — Jouiss. du 20 juillet 1917. 600 fr. SOULIÉ (Jacques-Marie-Ambroise), perte de Sauf déduction des sommes perçues depuis l'usage d'un membre. — Jouissance du ïe20 juillet 1917, à titre de gratification. 646 fr. VAUQUELlN (Jules-Anatole), blessures ou in- 28 octobre 1917 DEGLORIE (Ernest-Lucien), perte de l'usage firmités. — Jouissance du 7 juin 1917. 6X) fr. Sauf déduction des sommes perçues depuis d'un membre. — Jouissance du 30 mars 639 fr. 1917 le 7 juin 1917 à titre de gratification. GRENIER (Joseph-Antoine), blessures ou inFLAUDIAS (Jean-Antoine), cécité complète. 1,200 fr. firmités — Jouissance du 26 août 1917.. 600 fr. Jouissance du 13 janvier CAUMETTE (Marius-Jean), blessures ou infirFREYliOFFER (Joseph-Henri), blessures ou infirmités.— Jouiss. du 13 janvier 1918. 600 fr. mités. — Jouiss. du 11 novembre 1917. 600 fr. FAUGÈRE (Régis-André), perte de l'usage infirmités.— (Louis), blessures LOMBARD ou d'un membre. — Jouissance du 17 juin 600 fr. juillet 1917 Jouissance du 3 fr. Sauf déduction des sommes perçues depuis PATRY (Auguste-Clément), blessures ou infirle 3 juillet 1917, à titre de gratification. mités. — Jouissance du 3juin 1917 600 fr. MAURIN (Aimé-Antoine), amputation d'un membre. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 750 fr. SAUMADE (Luther-Pierre), perte de l'usage Par décret du 33 décembre 1917, sur le rapport d'un membre. — Jouissance du 13 janvier du ministre de la guerre, il est accordé. une pension aux militaires dénommés ci-après GOBERTIER (Frédéric-Eugène-jules), blessuAdjudant. res ou infirmités. — Jouissance du 13 janvier amputation (Gabriel), ESPINE d'un membre. GUILLORIT (Marc), amputation d'un membre. — Jouissance du 13 janvier 1918. 1,3CO fr. 750 fr. Jouissance du 13 janvier GARCIN (Antoine-Pierre-Marie), amputation Sergents. d'un membre. — Jouissance du 13 janvier 750fr. CATTELAIN (Luglien-Pierrc-Joseph), blessuLECOINTRE (Jean-Marie-François), amputa- res ou infirmités. — Jouissance du 14 décem800 fr. tion d'un membre. — Jouissance du 13 janvier bre 1915 Sauf déduction des sommes perçues depuis le 14 décembre 1915 à titre de gratification. LENGAGNE(Albert-Louis-Joseph), amputation DURNÉ (Léon-Célestin-Eugène), amputation d'un membre. — Jouissance du 13 janvier d'un membre. — Jouissance du 13 janvier 1,100 fr. LKSETJR (Bertin-Clément-Paul), amputation NÉROUD (Jean), blessures ou infirmités.— d'un membre. — Jouissance du 13 janvier 800 fr. Jouissance du 13 janvier 1918. POTTIER (Louis-Armand), blessures ou infirPAUTEX (Jules-François), amputation d'un membre. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 750 fr. mités.- Jouissance du 13 janvier 1918. 800 fr. VIGNAUD (Adolphe-Antonin), perte de l'usage FERRAND (Jean-Marie), perte de l'usage Jouissance du 13 janvier d'un membre. — Jouissance du 13 janvier 1d'un membre. MAURET
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Per LACOMBE (Marcelin), Jouissance d'un membre. 27février 1917àdes titresommes dedegia niical11 gHl d' Sauf déduction le février àtitre de de le
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LOMBARD (Aimé-Jean-Baptiste), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 13 janvier PERRON (Charles-Louis-Marie+,.blessures ou infirmités, — Jouiss.du 13 janvier 1918.800 fr.
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d'un membre. — Jouissance du 25juin 1917 626 fr. Saufdéduction des sommes perçues depuis le 25 juin 1917 à titre de gratification. SARCIAUX (François-Marie), perte de l'usage dun membre. — Jouissance du 13 janvier
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13 janvier 054fr. 1918. , , Caporaux. 600 fr. 9mg];Ul9.Sa&efd^?tllUrin-François-Marie), VASSE (Erlmond-Désiré-Gnstun), blessures perte le9aufdédtlèÙ'un (Léon), perte de l'usage d'un ou infirmités. — Jouissance du 13 janvier du 13 FOURNIER membre. Jouissance du membre.—Jouiss. janvier1918.. 790fr. Inai 1917Aordes leai1917 629fr. perte VIALtET l'usage (Antoine-Gilbert), de (Jean-Marie-Augustc), NADAUD amputation depuis sommes perçues titredegratification. Jouissance du 13 janvier d'un membre. — Jouissance du 13 janvier 11'13®T es""Auguste-Marie-Gustave), d'un membre.
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191811nlernN(AchIlle-Louis),
Soldats.
perte de l'usage Jouissance du 13 janvier COUTURIER (bfaximilien-Pernand-Emile), J°uissan„Cedu13janvier1918..750 661Cr. perte de l'usage d'un membre. — Jouissance 651 fr. mem- du 20 janvier MOLLÉ janvier 1918.. 750 Cr. tluti nicm^'Maximin-Clément), ELIE (Charles-Edouard), blessures ou infir1918.. m re. amputa- mités. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 600 fr. Jouissance du 13 janvier ETOILE (Victor-Florentin), blessures ou infir750 frH#^brG)Auguste), mités. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 600 fr. amputation d'un 1918. '•5?slJ^rLT!ul3Jlnvier JACOB (Jean-Marie), perte de l'usage d'un 750 fr. jouissa membre. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 668 fr. nce d'un membre. (Marius), amputation d'un membre. 750fr. —JACOB Jouissancedu 13 janvier 750 fr. înistre JACQUES (Charles-Léon), amputation d'un décret «o:>IOllau.¡ du,30 Jouiss. du 13 janvier 1918. 750 fr. d membre. décembre — p148I,l01, d e laguerre, 1917, sur le rapport JUBAULT (Marcel-Léon), blessures ou infiril est accordé une ai* rnlhliUres 600 fr. mités. — Jouiss. du 13 janvier 1918 dénommés ci-après KERMARREC (François-Marie), amputation Soldats. d'u 1'lIfb (1\1'. d'un membre. — Jouissance du 13 janvier 750 fr. 1918 d'unmembre.-Jouissance ) perte de janvier l'usage amputation d'un (Antoine-Albert), LABORDE , Jouissance du 13 janvier membre. 750 fr. janvier 1918. ST~~ Jouiss. du 13 — , 646 fr. vier TUavtJ^les-Louis-André), SCtr LAURENT (Gaston), perte de l'usage d'un 1918 membre. perte de membre. — Jouiss. du 13 janvier 1218. 6i6 fr. Jouissance 13 du 13 janeCObre. amputation (Julien-Marie-François), LE BAIL mem rnbre* (^athias), JOuiss. d'un membre. — Jouissance du 13 janvier perte de l'usage d'un Mols'er~Gus*duave-Adolphe), 1918 750fr. 13 janvier 1918.. 651 fr, tationd'unmembre. LECOKVAISIER Louis Constant François), ampu13 de l'usage d'un membre. — Jouissance Jouissance du jkn- perte du 13 janvier GAUTIER(Jules-Pierre), LE TELLIER (Georges-Amand), perte de d'un amputation b> ®AU OUISS. ^Gabriel-Marie), l'usage membre. Jouissance du 13 jand'un d,INEA du 13 janvier 1918.. 750 - fr. vier1918 650 fr. d'un ~embr" amputation (Albert-Alfred), perte l'usage LEVIONNOIS de Jouissance du 13 i3 janvier d'un membre. embre,--DJ(J.ean-Pierre), Jouissance du 13 janvier — rAn 643 fr. P¡GtJQAn. amputation d'un OUISS, ète, Ju.(LQUiS-JUleS-Josepl1), MOINE (Auguste-Joseph), perte de l'usage Plètdu Jouis'13janvier du 13 janvier 1918• 1918.750fr. d'un membre. — Jouissance du 13 janvier 651 fr. cécité com- 1918 JOUissa:C1'(Emi!e)..amputation 1,200 fr. MORTAMAIS (Jean),perte de l'usage d'un Jouiss. du 13 janvier 1918.. 659 fr. amputation d'unmembremembre. membre. 750 fr. NURY (Charles-Joseph), blessures ou infirpar écl'el mités. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 600 fr. OURGAUD (Michel), perte de l'usage d'un Densio llistre(jeladécembre guerre, 1917, sur le rapport il est accordé une membre. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 674 fr. auxmiiuMaires dénommés ci-après PELLAS (Laurent-Joseph), blessures ou infirmités. — Jouiss. du 13 janvier 1918 600 fr. .¡,VE1' ul\tIEn. Sergent. FÉRIDY (Célestin-Auguste). amputation d'un tnen:lb membre. Jouissance du 13 janvier t918Illeuib — re.Icrre-Auguste),perte de de l'usage l'usage Jouissance du 13 janvier PETIT (Alfred-Joseph), perte de l'usage d'un 935fr. membre. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 651 fr. i0<UïCl PEYRE (Jean-Paul), perte de l'usage d'un Soldat. On 13 janvier 1918. 660 fr. membre. Jouiss. du iûuiss. — re-ji^^ammed), amputation d'un POUCIIE (Lucien-Alexandre), blessures ou du 13 janvier 1918. 550 fr. infirmités. Jouiss. du 13 janvier 1918. 600 fr. — 'el\s.IIlistre par PRISOT (René), amputation d'un membre. d 750 fr. dp décembre 1917, sur le rapport — Jouissance du 13 janvier pe4sio 1,1 PRUNET (Jean-Louis), perte de l'usage d'un il" est accordé une guerre, '411X mi"iitlaires membre.- Jouiss. du 13 janvier 1918.. 668 fr. dénommés ci-après QUÉMENER (François) amputation d'un .tAPtJ , Sergents. 1918. 750 fr. membre. — Jouiss. du 13 janvier 1ijS tnernhrarhal-Gabriel), RAGOT (Pierre-Jean-Marie), amputation d'un perte de l'usage e. Uo Jouissance du 13 janvier membre. Jouiss, du 13 janvier 1918.. 750fr. '191d'\1Illnrn(ierre-BaPtiste-ROge.r), 918fr. RAMBERT ;(Charles-Pascal), amputation d'un amputa- membre. — Jouissance du 13 janvier Jouissance du13 janvier "S..t. ,.. ROLLAND (Jean-Claude), perte de l'usage 1,100fr.
1918.
fr.
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1918. 1918.,., fr.
, , (Jèim-laric): , , ,, , perte de l'usage 750fr.
1918.
VILLÉMAGNE
d'un membre.
—
Jouissance du
13
janvier
fr.
674
amputation Jouissance du 20 janvier
CIIAMBON (Jean-Pierre-Alexis),
d'un membre.
—
750
CONINX (Jules-Victor), amputation d'un membre.— Jouissance du 20 janvier 1918.. 750 fr. JACQUET (Ferdinand-Joseph-Auguste), ampu-
1918..750fr. 1918659 1918646
tation d'un membre.— Jouissance du 13 janvier
fr. fr.
PASTÔUREL {Œrgues-Alphonse), perte de
l'usage d'un membre. — Jouissance du 13 janvier JACQUES Maurice-Aimé-Léopold), perte do l'usage d'un membre. — Jouissance du 13 janvier RIOU (Louis), amputation d'un membre. — Jouissance du 13 janvier 750 fr. LIBENZI (Amilcar), perte de l'usage d'un membre. Jouiss. du 13 janvier 1918.. 644 fr. POUFFARY (Georges-Julien), amputation d'un membre. — Jouiss. du 13 janvier 1918. 750 fr. NEYRAUD (Hippolyte-Isulore), blessures ou infirmités. Jouiss.du13 janvier1918. 600fr. LABELLE (Jules-Etienne),perte de l'usage d'un membre.— Jouiss. du 13 janvier 1918.. 666 fr. LAFAYE (Gabriel), perte de l'usage d'un membre. JoUiss. du 13 janvier 1918. 663 fr. LEGRIS (Raoul), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 13 janvier 1918.. 639 fr. MIRASSOU ARRIPE (Jean-Baptiste), cécité complète.- Jouiss.du19octobre 1916. 1,200fr. Sauf déduction des sommes perçues depuis le 19 octobre 1916 sur la pension de 975* fr. concédée par décret du 19 octobre 1915 et que la présente annule. EMERY (Bernard-Jean-Benjamin), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 13 janvier
1918.,.
-
-
-
-
fr.
1913610
Par décret du 30 décembre 1917, surle rapport du ministre de la guerre., il est accordé une pension aux militaires dénommés ci-après
:
fr.
Caporal.
1918856
(Louis-Iules-Camille), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 13 janvier LOISEAU
Soldats. QUÉRÉ (Eugène-Marie-Ange-François),amputation d'un membre, JOUIssance du 13 jan750 fr. vier PAGNEUX (Barthélémy-Claude), perte de l'usage d'un membre.- Jouissance du13 janvier 064 fr. YERBAII (Saïd ben Amor ben Saïd), blessures ou infirmités. Jouissance du 13 janvier 1918 450 fr.
1918.; ,
1918. , -
,
,
1918,.
istr,e
:
Par décret du 30 décembre 1917, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une pension aux militaires dénommés ci-après :
918 fr- 1918750fr. 1918.,.,',. bre. 1918. -
-
-
,.,
Sergents. BREBEL (Jean-Marie-François), amputation d'un membre. Jouissance du 20 janvier 1,100 fr. FOULADOUX (Gabriel), amputation d'un membre,-Jouiss. du20janvier1918. 1,100fr.
CHARLES (Aimé-Alphonse-Donat) blessures
, ,,:, ,¡,!!¡ !
Ou infirmités.
,,,,
1918
Jouissance du
t
,2G
janvier 800fr.
8
Caporaux.
1918750
GALVAING (Jacques), amputation d'un membre. — Jouissance du 20 janvier GANTELET (Théophile-Etienne),
perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 20 janvier 1918 668 fr. f917. GAUTHIER (André-Charles), amputation d'un Sauf déduction des sommes perçues depuis le 2 juillet 1917 à titre de gratification. membre. — Jouissance du 20 janvier GRUÉ (Louis-Alexis-Joseph), perte de l'usage GENET(Louis-Joseph), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 20 janvier 778fr. d'un membre. — Jouissance du 20 janvier DU-PAND(Au-uste-joseph), perte de l'usage d'un membre.- — Jouissance du 2 juillet 738 fr.
,
191
651fr.
1918
Soldats. BARBEY (Raphaël-Eugène-Victor), blessures ou infirmités. — Jouissance du 20 janvier
GENTIT (Kléber), amputation d'un membre. 750 fr. — Jouissance du 20 janvier GIRAUDON (Simon) amputation d'un membre. — Jouissance du 20 janvier 1918.. 750 fr. GRAMMOND (Joseph-Lucien-Aimé), amputation d'un membre. — Jouissance du 20 janvier
1918.
750fr. 1918. 1918750fr.
,, 1918 FILS
fr.
1918.
600
BAROCIIET (François-Xavier), amputation d'un membre. — Jouissance au 20 janvier BEAU
(Georges-Prosper), amputation
d'un membre. — Jouissance du 20 janvier
BELLEMAINECONTE (Eugène), amputation d'un membre. — Jouissance du 20 janvier
1913750fr. 1918 BERNARD
7501'1'.
m. 1918fr.
(Louis-Henri), amputation d'un — Jouissance du 20 janvier
I OFFICIEL
fr. 1918750fr. terie.
GALLAND (Joanny), amputation d'un membre. — Jouissance du 20 janvier 1918.. 750 fr.
750
fr.
fr.
GRIZIAUX (Benoît), cécité complète. — Jouissance du 20 janvier 1,200 fr. GUÉRIN (Edmond-Léon-Clément),amputation d'un membre. — Jouissance du 20 janvier
1918.
1918750
GUILLEMPEY (Guillaume), perte de l'usage d'un membre. — Jouissance du 20 janvier
PARTIE NON
étaúoJf
militaires.
rm ~t
COMMUNIQUÉS FRANÇAIS
.-
Communiqués relatifs aux op Communiqués
Paris, le
9
janvier 1918,1*
rj
Activité intermittente d'artiller,
que quel' 11
(1
Lechiffretotaldesprisonnierse9)»
aUdiJ..buil
avons ramenés hier dans n°3 dont un officier dix-huit sous-o effectuée de l'incursion cours Seicheprey, centsoixan
et estde
MureS.
dont un officier et dix-huit be larif8 23 1918, Paris, le 9 janvier de Actions réciproques d'artillerie secte droite de la Meuse, dans les ode dO cote 344 et de Beaumont. n'a oS sur Un coup de main allemand postes de la région de Nomeny m résultat. aucun Journée calme dans l'ensemble.
sM
fr. membre. (Alfred-Octave), amputation d'un membre. janvier Jouissance du 20 — BILLION (Pierre-Marie), amputation d'un 1918 750 fr. membre. — Jouissance du 20 janvier COMMUNIQUÉSBRITANNIQu®S GUYON (Marcel), amputation d'un membre. Jouissance du 20 janvier 750 fr. (ap rès-rnidi)— (Marcel), membre. DnIARD amputation d'un HENRY (Emile-Jean-Baptiste-Albert),amputa 9 janvier 1918 Jouissance du 20 janvier 750 fr. tion d'un membre. — Jouissance du 20 janvier st3det1. poste L'ennemi, qui était parvenu !î!) ,:rr (Joseph-François-Julien), amputa750 fr. tion d'un membre. — Jouissance du 20 janvier JOUBERT(Alexandre), amputation d'un hier soir dans deux de noscl'yrepar 750fr. membre. — Jouissance du 20 janvier au nord de la voie ferrée rejeta H NVATJRE (Jean-Pierre-Christophe),ampu- 1918, 750 if. en a été immédiatement avre„gUCÉJ tation d'un membre. —Jouissance du20 janvier SUCCSI BONNET (Léon-Baptiste), amputation d'un contre-attaque locale. 750fr. membre, deu> M Jouissance du 20 janvier — exécuté Les Canadiens ont BOURGADE (Marie-Alexandre), amputation 1918, 750 fr. d'un membre. Jouissance du 20 janvier BOUDARD (Jean-Pierre-Marie), amputation ce matin, au sud de Loos, un h,5M d'un membre. — Jouissance du 20 janvier qui leur a permis de ramener Activitédesdeuxartilleries,P nP0" 750 fr. BOURLIOT (Antoine), amputation d'un mem- 1918 (,',, bre. — Jouissance du 20 janvier 1918.. 750 fr. 1918 GAYET (Jean), amputation d'un membre. — 9 janvier penf¡5,a 750 fr. BRENELLIËRE (François-Ilenri), amputation Jouissance du 20 janvier de v jptsé Activité des deux BOURDELET(Pierre-Julien-Yictor),amputation d'un membre. — Jouissance du 20 janvier roie 5'85 nombre 750fr. d'un membre. — Jouissance du 20 janvier journée, en un certain enne L'artillerie sud de la Scarpe. CAYZAC (Pierre), amputation d'un membre. BROUSSARD (Henri), blessures ou infirmités. aU Jouissance janvier 750 fr. 20 du 1918.. active également montrée — F^ Jouissance du20 janvier1918.,.. 600 fr. rc6 — d'Ypres. CLUNIAT (Jean), blessures ou infirmités. — le je (Jean-Claude), FRANCHON amputation d'un sur Jouissance du 20 janvier 1918-600 Rien d'important à signaler membre. — Jouissance- du 20 janvier du front. COTTY (Ernest-Charles), amputation d'un membre. — Jouiss. du 20 janvier 1918.. 750 fr. Itlr;1 GERVET (Jean-François), perte de l'usage <)~ COMMUNIQUÉ DE L'ARMEE , DALET (Camille-René), perte de l'usage d'un d'un membre. — Jouissance du 20 janvier 1 membre. — Jouiss. du 20 janvier 1918. 631 fr. 644 fr. d'artiae: dBStJ'1Jt' (8 janvier 1918.) Ilat daoet DÉAL (Claude-Marie), amputation d'un memGILBERT (Jean-Marie), amputation d'un Dans la région de Doiran, tirs bre. — Jouissance du 20 janvier 1918.. 750 fr. membre. — 'Jouissance du 20 janvier par Mtt~ succès tion exécutés fr. 750 avec DELAUNAY (Edgard), blessures ou infirmités. plusieurs lourde britannique (Louis-Claudius), amputation d'un GIGUET 600 fr. sur VIuéodo — Jouissance du 20 janvier membre. — Jouissance du 20 janvier ennemies. allé DELAVALLÉE (Edouard-Georges), amputation 1918 750fr. le front serbe et dans la janvier Sur d'un membre. — Jouissance du 20 BRETON (Emile), blessures ou infirmités.— Haut Skumbi, plusieurs Jouissance du 20 janvier fr. 600 locae1ifCo amputation été dispersées. DUMONTEIL Roger-Fernand), ennemies ont BLONDELET (Gaston), amputation d'un memjanvier Jouissance du 20 d'un membre. — Entre les lacs, une attaque bre. —Jouissance du 20 janvier 1918.. 750 fr. u D Jfm après repoussée été tranchées a (LouisAlexan dre-Arth ur), am pu tation JALADE FABRE (Charles-Auguste-Achille), amputation d'un membre. à grenade la bat Jouissance du janvier 20 — d'un membre. — Jouissance du 20 janvier 750 fr. GENTIANE (Etienne), blessures ou infirmités. FAUCHER (Jean), amputation d'un membre. du Jouissance janvier 20 600 fr. — fr. 750 janvier — Jouissance du 20 SÉNAT BOUILLOT (Lazare), amputation d'un mem FAURÉ (Albert-Jean-Baptiste), amputation bre. —Jouissance du 20 janvier 1918.. 750 fr. d'un membre. — Jouissance du 20 janvier
fr.
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FERRET (Marius-Augustin), amputation d'un
membre.
Jouiss. du 20 janvier 1918. 750 fr. FLOTAT (Jules-Gustave-Auguste), amputation d'un membre. — Jouissance du 20 janvier —
FOUESNEAU (Marcel-Lucien-Casimir), amputation d'un membre. — Jouissance du 20 jan-
(François-Armand),amputation d'un membre. — Jouissance du 20 janvier FOURNIER
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1
1918. t-t.
1918.
reconr^ 6
———————— ——
——————————
Nominations à des emplois réservés.
Par arrêté du ministre du commerce, de l'industrie, des. postes et des télégraphes en datedu.31 décembre 1917, M. Deronzier (Joseph), ex-clairon au 30e régiment d'infanterie, est nommé homme do service temporaire à Grenoble,par application des dispositions de la loi du 17 avril 1916.
ANNÉE
SESSION ORDKïAinB
Ordre du jour du jeudi
-
jan.. ) 10
séance A quinze heures. Installation du bureau définitif.
Fixation de l'ordre du jour.
B
M
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: Jaqueset
session or d jeUdi 10 Lesb'lnalre
Janvier est la 2e de la de l'année 1918. lablesptsportant la date dudit jour et vacette séance
l'rtta
f"il*9ecomprennent
comprennent:
et
Itlpris11'
lesbjii n7 Depuis M. Nègre, jusques et y POUrla38eéSdistribuéscejourserontvalables et
usé UésceJourserontvalables ycoi;Depuis YCOraprjs
M. Gustave Rivet, jusques à,. Thounens. comprisM.Léon Bar
J. Sabaterie, jusques et
'cornciSit y C,ompris -LéDepuis il.
bl.
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tiades VroPositions
ffiis distribution le janvier. ou rapports 11prOJetde loi meQtnatSS établissant des sanc454 rendus pour le ravitailnatiouai. IllentgUbles en
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de loi relatif à l'acquisition en vue de réaliser l'isolebibliothèque de l'Arsenal.
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du jeudi 10 janvier.
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et commission des douanes. douanes. heuresetdemie.-Local LTocal T~smins dela des decommission fer, & quatre à quatre heures
heures. Localdu 3ebuf^ières
de la commission des
relative à la codification des
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DES DÉPUTÉS
v^sUture. - Session ordinaire de 1918. bts INISTIlESAUX REPONSES
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QUESTIONS ECRITES
ET RAVITAILLEMENT In'stre de t taIt,
er les À?Vagriculture et du raviQUestie ents 1943* • r Barthp, Charnbrt
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connaître à M. le président de lui est nécessaire pour 19t11eCnte de la réponse à faire "'lIbre bi-e pDaar 3 posée le 11 déM. député. --In19270.-M.Eugène frrlflïeiw^tè(ioî^a? MTreignier ministre de (Loir-et-
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Phar l5*iitô,danc
toujours aux mêmes tarifs et ne jouissent pas des « gérantes It recrutées parmi les veuves ou des mêmes droits que leurs collègues de l'ar- orphelines des agents, sous-agents ou ouvriers tillerie et de l'aviation relatifs à l'indemnité de tués à l'ennemi ou décédés en activité de serdéplacement et de vie chère. (Questiondu19dé- vice. ne paraît pas possible de déposséder cette catégorie de postulantes des emplois auxcembre 1917.) quels les règlements actuels leur permettent contrôleurs de usines Les des réponse. 2e — l'automobile perçoivent toutes les indemnités de prétendre. allouées aux contrôleurs du service des forges ou de l'aviation. Ces indemnités sont celles FINANCES. qui sont prévues par le décret du 4 octobre 1916 et par la dépêche ministérielle no 31013 4/5 du 19514.— M.Jules Nadi, député, demande à 14 décembre 1917, laquelle abroge les disposiministre des finances: 1° si un payeur tions de la circulaire du 25.novembre 1916, in- M. learmées, marié, dont le traitement civil ansérée au B. 0. P. S. P., page 872. Les pres- aux nuel est de 2,200 fr. et celui de trésorerie 2,800 4/5, précitée, francs, criptions de la dépêche no 31013,décembre a droit à l'indemnité de cherté do vie étant applicables a dater du 1er 1917, les rappels nécessaires ont été faits dans cha- de 540 fr. accordée aux fonctionnaires par ia loi du 5 août 1917 20 dans le cas de la négaque étabissement ressortissant de l'inspection tive, des raisons qui s'y opposent fabrications du service automobile. Les 30 quelles sont lesl'affirmative, dans le cas de par qui cette indemnités ci-dessus se cumulent avec l'indemnité journalière normale pour les contrô- indemnité doit être mandatée. (Question du leurs qui sont détachés ou qui, par suite des 14 décembre 1917). nécessités du service, ne peuvent participer Réponse. — Il doit être fait application, en la aux repas de l'ordinaire. circonstance, du principe posé par l'article 3 de la loi du 5 août 1914, aux termes duquel, si la solde est supérieure au traitement civil, il « mandaté aucun traitement par l'admiCOMMERCE, INDUSTRIE, POSTES ET n'est civile Il, Au titre civil, le payeur dont TÉLÉGRAPHES ET MARINE MAR- ilnistration est question prétendre peut à son traiteCHANDE. ment, 2,200 fr.; au suppément temporaire, 540 Ir.; ensemble 2,740 fr., c'est-à-dire à une somme 19659. — M. Victor Robic, député, de- inférieure à sa solde militaire de 2,800 fr., qui mande à M. le ministre du commerce quelle doit dès lors lui être seule payée. il prendre les compte mesure pour que populations rurales du Morbihan et du Finistère, qui n'ont pu être informées en temps voulu qu'il 19515. —M. Jules Nadi, député, demande à leur était possible, à l'occasion de NoM, d'adresser gratuitement un colis postal aux combat- M. le ministre des finances s'il ne serait tants dont le nom commence par les lettres de pas possible de réduire le nombre de jours da A à K, soient mis à même de profiter de la tournées à effectuer par les inspecteurs des mesure votée par le Parlement. (Question du contributions indirectes, ou de relever leurs indemnités de journées, attendu qu'en raison 21 décembre 1917.) des difficultés de communication et des prix exRéponse. — La loi autorisant l'envoi gratuit cessifs exigés dans les hôtels pour la nourriture de paquets postaux, du 10 au 26 décembre 1917, et le coucher, l'indemnité actuellement allouée, armées, aux mobilises de la zone des a été votée qui ne dépasse pas 6 fr. 25 par jour, no suffit le 7 décembre et promulguée au Journal offi- pas à couvrir les dépenses, qui atteignent 11 et ciel du 8, qui contenait, également, le décret 12fr.,et qu'il faut réaliser 20 jours de tournées fixantles conditions d'application de la me- par mois. (Question du 14 décembre 1917.) sure. Une note, à ce sujet, a été communiquée, Réponse. — Les 20 jours de tournée ne coren même temps, à la presse et des avis ont été aussitôt apposés dans tous les bureaux de respondent pas à 20 journées d'hôtel. Aussi poste. Les populations rurales les plus éloi- bien que les frais aient considérablement auggnées de Paris ayant pu ainsi être prévenues mente, il n'a pas paru, jusqu'à présent, ni que le 10 ou le 11 décembre, au plus tard, des faci- la situation commandât un relèvement des lités accordées par la loi, il a été décidé que, crédits, en raison de la nécessité où l'on s'est seuls, les paquets devant être expédiés les 10 trouvé de parer d'abord à des besoins plus et 11 décembre (initiales A et B) pourraient urgents, ni qu'il fût opportun de réduire le être acceptés, aussi, du 24 au 26, pour le cas nombre des jours de travail, ce qui ne pouroù l'expéditeur n'aurait pas été prévenu en rait se faire qu'au détriment de l'exécution du temps utile. Les termes mêmes de la loi ne service et des intérêts du Trésor. permettaient pas, d'ailleurs, d'autoriser des expéditions gratuites au delà du 26 décembre. 19516. — M. Etienne Rognon, député, demande à M. le ministre des finances: quel 19722. — M. Ferdinand Bougère, député, est le nombre et la classe de mobilisation des expose àM.le ministre du commerce que l'ad- inspecteurs des finances mobilisés 2° quel est ministration des téléphones employant à la le nombre et la classe de mobilisation des memmise en communication des abonnes au télé- bres de la cour des comptes mobilisés. (Quesphone un nombreux personnel, cette situation tion du 14 décembre 1917.) paraît indiquée pour un grand nombre de muRéponse. Le nombre des inspecteurs des tilés de la guerre et lui demande s'il ne juge finances mobilisés est actuellement do 31. Ils à les appeler. (Question de du se répartissent ainsi pas propos y R. A. T. (classes 1891 à 27 décembre 1917.)
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1: A. T. (classes1897 à 1903). 12; R. A. Réponse. — La liste des emplois réservés aux (classe 1904 à 1914.18 2° le nombre des memmilitaires retraités ou réformés no 1 par suite bres de la cour des comptes mobilisés est acde blessures reçues ou d'infirmités contractées tuellement de 50. Ils se répartissent ainsi devant l'ennemi au cours de la guerre actuelle (classes 1881 à 1830, 11 R. A. T. (classes 1891 4 est fixée, en application de le loi du 17 avril 1896), 16; A. T. (classes 1897 à 19J3), 12; R. A. 1919, par le décret du 14 juillet de la même (classes 1904 à 1914), 11. année, complété par celui du 26 février 1917. L'administration des postes et des télégraphes a procédé à l'établissement do cette liste, en ce Etienne 19517. M. Rognon, député, de— qui la concerne, avec le plus large esprit de mande à M. le ministre des quel est bienveillance. Mais les nécessités complexes le nombre des agents des finances, finances des serd'exécution du service, dans les centraux télé- vices centraux, expéditionnaires, rédacteurs et phoniques, nécessités qui exigent un ensemble sous-chefs, mobilisés ailleurs que dans la tréd'aptitudes physiques et de connaissances gé- sorerie aux armées et appartenant aux classes nérales ou professionnelles dont ne pourraient territoriales et réserve de l'armée territoriale. justifier que très exceptionnellement des mu- (Question du 14 décembre 1917.) tilés de la guerre n'ont pas permis d'envisager 4ttlQ:fQ:liT l'utilisation de ces candidats. Ailleurs que dans R¡ponse. — Le nombre des agents de l'admiET FABRICATIONS téléphonique les nistration bureaux le service centraux, centrale des finances, expéditionDEGUERRE assuré est les effectifs mis à la disposition naires, rédacteurs sous-chefs, mobilisés ailpar 19534. Il C harles des receveurs pour l'exécution du service gé- leurs que dans la trésorerie aux armées et ap!l1Il'QdeIl'a. iH es Bernard Bertiard (Seine), dédê- néral incombant à la recette. Ces effectifs partenant aux classes territoriales et réserve de l'arme- (commis ou dames) doivent être à même de de l'armée territoriale est actuellement de 67, II1¡QléiQe. toi de)." ^tè ?n depi,*l00ï°bile, se fait que les contrôleurs participer, lorsqu'il y a lieu, aux différentes soit 2 sous-chefs, 8 rédacteurs et 57 commis doWlneinent faisantpartiedu branches du service. Enfin lo service des cabi- expéditionnaires. et détahÓs, soient nes téléphoniques est généralement assuré par
aucune réponse n'a été ^W°Ps®Ue^n«. àune motion, votée à Un0 session extraordinaire, &\'lta¡Ueri:' de Loir-et-Cher, le 12 noravitaillernBt relative aux réquisitions et î?ri&uiAattVéPondu céréales et farines. Il li^suii^Qss» le 21 novembre résgéancq par le conseil général de Loirdu J2 novembre 1917. queceltte l'eponse D&$BéseocBrtains rninotiers que l'exécution des tnOtiGCales prélèvement du ravitaillement a UK^tét3ii'stous du département les disponisur PuisquOce service fournit aux 0a Marchés nécessaires à l'exécu-
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o®p0{jn*5 ntêtreatio' lieutenant-colonel Girod, Walter, Violette guerre, soit qu'ils relèvent du 19518. M. Etienne Rognon, député, de- et Sixte-Quenin, députés. l'armement. Des instructions mande à M. le ministre des finances quel est sées en vue du payement et
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le nombre et la classe de mobilisation des agents titulaires do son ministère appartenant à la réserve de l'armée active qui sont mis en sursis temporaire ou définitif ou même démobilisés. (Question du 14 décembre 1917.) Réponse. — I.e nombre des agents titulaire* de l'administration centrale des finances appartenant à la réserve do l'armée active (services
18125.— M. François Gouyon, député, de- 19147,—M.Brenier,député,eîp°^c«J mande à M. le ministre de la guerre si, à et
l'exemple de ce qui a été décidé pour les cultivateurs engagés spéciaux, dès vieilles classes mobilisées à la.terre, les instituteurs engagés1 spéciaux des classes 1888 à 1892 ne doivent pas, sur leur demande, être mis en sursis d'office et armé et auxiliaire) qui sont mis en sursis ou détachés à l'école. Question du 9 octobre 1917. démobilisé. est actuellement de 26. Ils se réRéponse. — Réponse affirmative. partissent ainsi - - A. s. X. s. 3 2" 5 Classe 18392. M. signale M. le Mistral, député, à 4 2 6 ministre de la guerre que pendant neuf jours 2 3 5 régiment actif, au repos, a détaché, à 5 kiun 5 7 2 1907 cantonnement, lomètres de fraction son une 2 2 » de quarante hommes pour y exécuter des tra1 1 » vaux agricoles dangereux (moisson d'un ter26 14 12 rain couvert de grenades non éclatées, provenant do l'explosion d'un dépôt de munitions). Ces hommes ont perçu, pendant ces neuf19546. — M. Victor Robic, député, expose jours, la'ration normale, allouée au régiment à M. le ministre des finances .que les entre- territorial qui les a pris en subsistance, alors leurs camarades, au renos, percevaient la; preneurs X. et Y., ont contracté en 1913, avec que le sieur Z. une société de travaux publics, ration forte. 11 lui demande si la différence puis ont fondé avec ce même Z. et des tiers, entre ces deux rations doit être rappelée à avant la déclaration de guerre, une société l'unité intéressée (compagnie) et sous quelle ayant le même objet et enfin ont, forme, en espèces ou en vivres. (Question du, anonymedissout la société anonyme dont tout 18 octobre1917.) en 1917, l'actif et le passif sont repris forfaitairement 2e réponse. — Les hommes détachés ont, en parX. et Y.; et demande comment doit être' effet, reçu, pendant la période envisagée, la raréglée la contribution des bénéfices de guerre tion normale qui, seule, pouvait leur être donnée la 1917, si 1° en ce qui concerne notamment le régiment territorial qui les avait en subpar de déclaration doit être double, l'une au nom tandis demeusistance, camarades, leurs que la liquidation de la société dissoute, l'autre au rés au corps, percevaient la ration forte. Mais nom des cessionnaires; 2° en ce qui concerne il a été alloué à ces hommes, pendant les neuf tant la dernière période de 1917 que l'année jours qu'a duré l'exécution du travail pour lequel 1918, si l'assiette de l'impôt de guerre dû par ils étaient détachés, une indemnité jonrnalière X. et Y. doit être établie par comparaison entre de 1 fr. qui leur permettait de se procurer des les bénéfices totaux de 1917 ou de 1918 et les suppléments de nourriture. Cette indemnité: bénéfices proprcs de ces mêmes industriels an- est très supérieure à la différence entre la térieurement au 2 août 19143. (Question du ration forte et la ration normale, différence 18 décembre 1917). dont il n'y a pas lieu, dans ces conditions d'enRéponse. — Si, dans le courant de l'année visager le rappel. 1917, la société anonyme actuellement dissoute, aussi bien que la société en nom collec18959. — M. Louis Deshayes, député, detif qui lui a succédé, ont réalisé des bénéfices supplémentaires, les représentants respectifs mande à M. le ministre de la guerre pourquoi de ces sociétés sont astreints à souscrire, en les gendarmes R. A. T. de la e légion, affectés 1918, deux déclarations distinctes, en vue de au service de barrage à. Reims, ne bénéficient l'établissement de la contribution extraordi- pas des mêmes indemnités que leurs camanaire sur les bénéfices de guerre. D'autre part, rades, plus jeunes, des deux détachements de bien que pour l'évaluation de son bénéfice nor- la prévôté qui assurent exactement le même la nouvelle société en nom collectif ne service. (Question du 20 novembre 1917.) mal, soit pas. en droit strict, fondée à faire état des Réponse. Il est de règle les allocations que — sociétés qui les deux obtenus résultats par du de pied réservées sont guerre aux personnéanmoins, possible l'ont précédée, il serait de la zone des armées qui appartiennent' dans le cas où l'on se trouverait en présence nels différentes armées constituées, ou font d'une entreprise ayant simplement changé anx de formations placées sous les ordres d'exploitant sans que les conditions d'exploita- partie général des commandants d'armée du ou commodifiées, d'admettre il soit aient été tion qu en chef. C'est conformément à cette tenu compte de la moyenne des bénéfices réa- mandant d'ordre général que les gendarmes R. A. T. lisés dans cette entreprise pendant les exer- règle dont il s'agit, qui relèvent directement du comcices antérieurs aux hostilités. C'est à la com- mandement régional, ne bénéficient pas, mission du premier degré qu'il appartiendra comme les gendarmes prévôtaux, del allocad'apprécier, sauf recours devapt la commission tions du pied de guerre. supérieure, si, dans l'espèce visée par la question, ce mode de procéder est susceptible d'application. 1S071. — M. Pierangéli, député, demander M. le ministre de la guerre pour quelles rai19619. — M. Coyrard, député, demande à sons une différence d'indemnité est établie les mobilisés entre les inspecteurs de la police spéciale, M. le ministre desfinances à la terre doivent être considérés comme auxiliaires, qui ont été mis à la disposition de bénéficiant d'un sursis et assujettis à la taxe la sûreté générale, les uns par le ministre de la guerre, les autres par le ministre de l'armemilitaire. (Question du 20 décembre 1917.) ajoutant qui ont été détachés ment, que ceux Réponse. — La situation des militaires déta- par le ministre da-, la guerre, après concours, chés au service de l'agriculture doit être assi- reçoivent une indemnité de 7 fr., ceux qui ont milée à celle des hommes affectés à des ex- été désignés par le ministro de l'armement, ploitations travailiantpour la défense nationale sans concours, reçoivent une indemnité de dans les conditions prévues par l'article 6 de la 8 fr. par jour. (Question du 22 novembre 1917.) loi du 17 août 1915 et en conséquence la taxe exceptionnelle de guerre leur est applicable fe Réponse. — La différence signalée provient s'ils n'appartiennent pas à la classe 1888. d'une application erronée de la circulaire ministérielle du 16 août 1917, qui fixe à 7 fr. le taux de l'allocation journalière à payer aux militaires détachés en qualité auxiliaires de la sûreté générale, partie sur les: GUERRE fonds du budget de la guerre, partie sur les' M. le ministre de la guerre fait connaître fonds du budget de l'intérieur. Il résulte de à M. le président de la Chambre qu'un délai lui l'entente intervenue entre les trois ministères est nécessaire pour rassembler les éléments de la guerre, de l'intérieur et de l'armement, des réponses à faire aux questions écrites que la somme de 7 fr. représente l'allocation Doa19553,19586,19612,19683 et 19687, journalière globale à laquelle ces militaires ont posées les1S, 19 et 24 décembre i9i7pw MM. le droit, soit qu'ils relèvent du ministère de la
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: 1906. 190:). 190û,.
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1908. 1909.
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uniforme decette allocation.
ministre de la guerre les q iinze a° ancleal ,ni(r tain nombre de mobilisés, oej e% retraitésaprèS l'armée coloniale, camp deservices et.de nombreuses l'anciennete leuf r8 obtenuqla
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niales, qui n'ont pas encore leur if e deP¡¡t militaire au titre de de deLit colonialedes"didatS fectation àannées l'arméeéchoir plusieurs casowXp fl0 d'obtenir cette distinction qu'ils "j moins de titres et dont les notes règles pg O0ii plusélogieuses et lui 55" & viendrait pas d'adopterdes (QuesM mes à l'égard des mobilisés, tout traitement d'exception. t)ar vembre 1917.) -" "mPU='V eS t s 6" Réponse. Ponr le choix qui agi1k faijf.nii est * , les propositions de médailles faveur des militaires dont il le plus grand compte do la mlàl:nièraJs et notamment de ceux accompl, cette mHpr0ièrflf ires aYopi Pir^û(ijèr0,|d% active. Les candidatures des longtemps appartenu à daucienneiij,# l'objet d'une. bienveillance Gandidat§ arrive que les considérationsd'ailtrng edot, dent pasaux auxtitres dent le pas titres que que ^'a?,aiie.En Iè, coupactue la pS ont acquis pendant la guerre cours eO deé4 dange le service aux tranchées, les équilé, les privations endurées au e°^Jts rande,u.1 pagne contre l'Allemagne obtenu,Ves primer desimples annuités rat de paix. Il peut en résulter que6_,and0i deoipf ayant une ancienneté très forrnatio"'del'or 00'oe nayant que peu ou pas servi aux 1"jîaireS ayant servi que dans des w ilitaires "W, rfère. se voyent préférer des 1«0 anciens, mais avant trois ans des unités combattantes.
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19169.—M.RaoulMéquillet,< delag^e-atte'Lef ot
qaatiell mande à M. le ministre JfOrm0 suite à sa question 18255, de Pror[11e lIe dépôt du e r-gimcnt dïnfanterle reprJjO' journalier à un militaire en instance pllslevoyer."dW qu'on s'obstine nepasluinvoyr0®1!P,#' l'allocation (pieds gelés) eiii2jijair®"^«$ et i a droit, qu'il a réclamée à et qu'on tant que ce mutilé de la guerre, SI uno régions envahies, est dansP^icati"11]?'11' plus précaires. (Question du 27 tiOU6 'Ollf 20 Réponse.- Ce militaire a bre, un rappel de trois mois d nalière spéciale, allocation qui loi être payée régulièrement depuis
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dem les r /1.:4 50 lit les faioc,4 député, 19202.- M. Dessein, ministre de la guerre quelles 9^-jeSd^ qui s'opposent à la mise en sursis ravitaillement-jnseféei<> nommé agent répartiteur département de la Haute-Marne, a.iOsé fi de M. le ministre du Journal officiel du 23 août triO",
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1917.) ,.M lit'à etop l'intérêt .(4
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des efferll», Réponse. — Dans lisés, doit êtrefait appel, appel, pour cére lisés, il doit être fonctions d'agent répartiteur detio400 jofl*AP des hommes dégagés de toute taire. Il convient, d'ailleurs, de
fait
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entrerejjapy les répartiteurs seront suppriipes décret du 30 novembre 1917
tion.
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00ditooolit déput" 0 19223. — M. Jacquier,
leS le ministre de la guerre siCO 011" des routes nationales nommés par pflJ!,e®* dO même titre et dans les mêmesde les cantonniers des chemins cocu^»gee9
M.
* dfl (Queston
munication, ne doivent pas, ®B6aot0ww permissions niers, bénéficier des qu'ils sont en même temps qe propriétaires exploitants. vembre 1917,)
Réponse.—Réponsenégatlve»
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19243.-M.Giray,député,maV
ministre de la guerre si uu
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'5cr, r0 etd'é'"elerDt.la profession cultivateur exploitant, de boulanOCalité l la ne sont dans même pas celle il
1IOlang¿eles
tefrrA tlcCUtion que cel qUIfi où «
, exerce la profession de ot CkHaavier dela i?HPculaire ministérielle n° 706 »a été détaché à la terre en t'~)Janv*Ir circulaire ministérielle no 706 .()sUrsis à la 1917,peut demander son détalrcUlair terre soit annulé que ôtre mis pour cOnIrnn,boulanger exécution de la en quiiulPerinettrait P'oilutl0Q ai-dnJ)0ulan!îeri8 k•^3S96 du 16 octobre, n° i>S'•(Q&etfjowtiond« de mener da pair l'exet de sespro-
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novembre 1917.) Réponse négative. 30
tntllistre' 9292 -14, tlasse ^affier, ch?8l9^.vpri«vl
demande à M.le 191elauerre dénuté, res si instituteurs do la sures deguerre dans l'auxiliaire blescemk' Das«»L?Umaladies contractées au pour Ou maadics contractéesau n sUrsis OCham, pourront cem /ôPfo& ° Qti dans ,a r®39I've le 15 dé<»//> ïSls. s pour conrorrnément réclamer leur mise
r, 19li. (Question au précédent établi ')
lieponse Ponte
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décembre
réponse négative.
ï^inf^tradeb» mlQlstrate MOUrier, député, demande M. tulq,ist la guerre PaM?!°i du indu?»ût loi gD servicecombien d'officiers d'adore1917,)COlIlbattantes. l'intendance saisis
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ont été versés dans ci9/7i) o~ (Question du 4 dscem<laserVic$ J^P°nsc rI! esares ouze officiers d'administration 1917,
??dance P l'article 91l
laDSde COtnbattantes ont été versés dans
en exécution des 1er de la loi du 10 août
tefs'-]W.Itaffin-Dugens, dela député,
19476. — M. Eugène Treignier (Loir-etCher), député, demande à M.le ministre de la guerre si, pour mettre un terme aux critiques chaque jour plus nombreuses, il ne convienvoie du drait pas de faire connaître; par Journal officiel, la situation militaire du personnel des cabinets des ministres et des soussecrétaires d'Etat. (Question du 11 décembre
la
1917.)
Réponse. — Aucun homme mobilisé ou mobilisable du service armé ne peut, à un titre quelconque, faire partie du personnel civil du cabinet d'un ministre ou d'pn sous-secrétaire d'Etat. La môme interdiction existe, en ce qui concerne le personnel civil, àl'égard des officiers ou assimilés qui n'auraient pas été reconnus, par la commission de réforme, inaptes à servir aux armées. L'inspection générale des effectifs est chargée do veiller à la stricte observation da cette décision et de redresser les irrégularités qui pourraient être relevées.
député, demande 19553.
Charles Bernard (Seine), à M. le ministre de la guerre si l'on ne pourrait pas payer aux officiers du front l'indemnité de vivres pendant la durée de leur permission, ne touchant môme pendant la durée du voyage que leur solde. M.
(Question du 18 décembre 1917.) Réponse. Pendant la durée de leurs permissions, les officiers perçoivent la totalité de leur solde, calculée en vue do leur permettre, quand ils sont à l'intérieur, de pourvoir & leur subsistance. La loi de finances du 30 décembre 1917 a accordé des crédits pour améliorer la situation pécuniaire des otlciers subalternes. Il ne paraît pas, dès lors, qu'il y ait lieu, quant à présent, de leur allouer l'indemnité de vivres pendant la durée de leurs permissions.
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19322
Ptt. n'ontnutre
demande rC!>i«t;es quelles raiCivil1emniA e l'administration guerre pour Pas{,®85^ étà renvoYés à leurs postes 26sant îaUamerilPnt h0I de l'enInl'I't des Oir"gents classes 1913 et plus anciennes ?6ssi115desf^®^tnbutions du service auxiliaire, alors (Qrernis que directes,du service M,.. classes ^eftoi 1903 et plus jeunes, viennent SUris jusqu'au 30 septembre 1918. dudécembre 1917.)
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maintenus armées deml)aux ?lases
les blessés de guerre et dans enrlûgistrernent service auxiliaire à la lé2a.nt diescontractées à à l'armée, apparttRe,(Qua.n.sleurslelntenusXIlalres d'avant alors que leurs colla guerre, ont été emplois quel que soit leurâge du 4 décembre 1917.)
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19557. — M. Defos, député, demande à M. le ministre de la guerre si les sous-offi-
ciers de réserve ayant servi comme rengagés dans l'armée active, rappelés sous les drapeaux mais restés, sur leur demande, à solde journalière avec haute paye, ont droit, pendant leur permission régulière de détente, même s'ils sont à l'intérieur, à la solde de présence, à la haute paye et à l'indemnité représentative de vivres ainsi que la circulaire ministérielle du 21 février 1915, dernier alinéa du paragraphe 2, semble l'indiquer, en les assimilant aux sousofficiers servant au delà de la durée legale, droit que leur dénient certains directeurs de l'intendance. (Question du 18 décembre 1917.) Réponse. — Réponse affimative s'ils sont admis à la haute paye dancienneté comme ayant servi dans l'armée active au delà de la durée légale, en vertu é'un contrat.
19567.- M.le commandant Josse, député, expose à M. le ministre de la guerre latriste
prérogatives des sous-lieutenants à litre définitif il ne peut, d'ailleurs, être procédé à des nominations au grade de sous-lieuteuaat à titredéfinitif que dans la limite des vacances.
19584. —M. Vandame, député, demande t M. le ministre de la guerre si l'allocation do
à
jour accordée aux permissionnaires mobilisés partir du 1eroctobre 1917 applique non seulement aux permissions de détente, mais aussi aux permissions de compensation.
2 fr. par
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(Questiondu 18 décembre 1917.) Réponse affirmative. Réponse.
Charles Bernard (Seine), dé19602. puté, demande à M. le ministre de la guerre M.
si les engagés de guerre depuis le 22 août 114. qui touchent la haute paye, ont droit à la haute paye d'ancienneté ainsi que tous les légionnaires qui ont trois ans révolus. (Question du 1) décembre 1917.) Réponse. — Les engagés pour la durée de la guerre n'ont droit à la haute paye aucienneté qu'autant qu'ils appartiennent à une classe qui n'est plus soumise aux obligations militaires, ou qu'ils ont servi dans l'armée active au delà de la durée légale en vertu d'un contrat.
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19604. — M. Deguise, député, demande a M. le ministre de la guerre si l'affectation auxusines comme mobilisé comptecomme
temps de mobilisation pour la haute pave, à l'homme rentré aux armees. (Question du 19 décembre 1917.) Réponse. — Le temps passé dans les usiocs de guerre ou de l'industrie privée ne compte pas comme service militaire effectif pour le droit à la haute paye de guerre.
19610. — M. Rochereau, député, demande à M. le ministre de la guerre si un homme
de la classe 1889, exerçant la double profession de cultivateur et de menuisier (profession principale) et détaché à l'agriculturo. peut être mis en sursis illimité au titre de menuisier. (Question du 20 décembre 1917.) Réponse. — Réponse négative.
19646.-K. Goust, député, demandeàM. le ministre de la guerre si ce n'est pas par
erreur qu'on a supprimé l'indemnité de vie chère aux officiers et sous-officiers des troupes
qui ont été envoyées en Italie. (jucstiOil du 21 décembre 1917.) Réponse. — Les troupes envoyées en Italie ont droit aux mêmes allocations et prestations que les personnels du front français, lesquelles ne comportent aucune indemnité de cherté da vie en dehors de celle maintenue,pendant la durée des hostilités, aux personnels de l'armée active — qui en bénéficiaient à la mobilisa-
situation des militaires, incapables de travailler, envoyés en congé de convalescence, et lui demande si, dans un esprit d'équité, il serait va* à leur disposé faire accorder la solde de prétion. .rïde il14.tienne soit environ 1 fr.67 par jour. (Question est la Rognon, député, de- sence, du 18 décembre 1917.) s8i1.ttua de la quelle 1° guerre d'Uri 0 n 10 ?ac»w Ll917'a de C àIe*n sous-officier sous-offleier rengagé dune d'une Réponse. — Le décret du 23 août 1917 accorde 19647. — M. Goust, député, demande à .Ol¡t 1917' qui, à la suite de la loi du Ai. militaires susvisés le droit à la solde de pré- M. le ministre de la guerre si lamesure auaux maiQtenu service armé G. 0. sence pendant leur convalescence, sous la ré- torisant les adjudants et les aspirants à prendre Qsdu 3ation1? dudesj?"s®wétaire combattantes par une serve que l'affection ait été.contractée en ser- les trains commerciaux ne pourrait pas être reforme, ajoutant que, des expli- vice commandé. a4s autres sous-officiers. (Question du étendue aux d'Etat de la guerre 21 décembre 1917.) 21 juillet 1917, il résulte que rflcip,esPect(ipecommissions quaux 19583. — M. Talon, député, demande Réponse. — Réponse négative. — L'extension, de réforme searmées, certains sous- M. le ministre de la guerre si la situation à tous les sous-officiers, de la mesure demantna.,des nt Ur,Sections î>0nr-ûus dOrnrnlsslon les anormalo des sous-lieutenantsmaintenus à dée, aurait pour effet, étant donné le grand 0. de présentés A. réforme ont été qm dans leurarme,que n'estpas titre temporaire depuis plusieurs années ne nombre de bénéficiaires, d'encombrer les trains pourrait pas être définitivement réglée en re- de l'exploitation, dont le nombre est très respuisqu'ils mettant dans leur situation antérieure d'hom- treint, quicirculent déjà à limite de charge et arméec!. campagne, hSOUs. ^s-o^fp^cietressnu2) îiapteà faire cette inaptitude aux armes mes de troupe, comme l'autorise l'article 3 du ne peuvent être dédoublés. «« pas définitive, bien que le décret du 28 octobre 1915, les sous-lieutenants décembre1917. campagne dans à titre temporaire n'ayant pas les qualités nédeintendance. (Question (Q ucs~o~ dM du cessaires pour être titularisés officiers de comfairePonse, L d'intedance. 19651. M.lemargiuisdeMoustier, député, plément, et en mettant les autres dans l'obli- demande à le M. ministre de la guerre si le à nommés officiers gation d'accepter d'être ea, '-Les te\11e S C.O.A. déclarés aptes à titre définitif, ajoutant temps passé dans le service auxiliaire, sous le la durée de la que l'6creseutéCse'd.en le service de l'intendance régime de la loi de 1889, doit entrer en ligne do sujet. point nécessite Orme dan evant mise guerre ce Sont au une 96téOritie définitivement maintenus (Question du 18 décembre compte au même titre que le temps passe 1917.) dans l'ajournement ou 1 exemption pour la ce sens qu'ils n'ont plus à la commission spéciale se réponse. — La nécessité d'une mise au calcul des cinq ans de services exigés des dans* Un délai déterminé. point ne paraît pas s'imposer, les sous-lieute- sous-officiers pour l'obtention de la solde mon. nants à titre temporaire jouissant de toutes les luelle. (Question du 21 décembre 1917). «•s
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Réponse. — Réponse négative. — Conformément aux prescriptions réglementaires, il n'est tenu compte, pour le droit à la solde mensuelle que du temps passé dans les foyers par suite d'appel retardé ou de libération anticipée, pour cause d'ajournement ou de réforme temporaire tous l'empire de la loi de 18&9.
député, deRoux-Costadau, M. — si
19652.
un mande à M. le ministre-de la guerre exempté d'avant la mobilisation, engagé volontaire pour la durée de la guerre, classé dans le service auxiliaire par une commission de réforme aux armées, est considéré comme auxiliaire définitif ou s'il doit subir une deuxième visite pour le devenir. (Question du 21 décembre 1917).
Réponse. — Il n'existe pas d'auxiliaire définitif, en raison des dispositions du 9e alinéa de l'article 3 de la loi du 17 août 1915. Le militaire visé dans la question est simplement dispensé de la contre-visite obligatoire, prévue au bout do 3 mois par l'alinéa 1er du même article.
tion du département de Vaucluse, dont dépend l'arrondissement d'Apt.
19707.
Laurent Eynac, député, -le ministre de la guerre d'examide-
M.
mande à M. ner : 1° s'il serait possible d'affecter aux unités prévotales le moins à l'avant dans la zone des armées les gendarmes les plus âgés, en tenant compte du nombre d'enfants des intéresses 26 si les gendarmes démissionnaires avant leurs quinze années de services et rappelés à l'activité par le décret de mobilisation peuvent espérer voir lé temps écoulé depuis cette date compter comme service effectif en cas de rengagement. (Qucsticn du 26 décembre 1917.) Réponse. — 1° La circulaire du 25 janvier 1916 prescrit que les militaires de la gendarmerie, âgés de plus de quarante-deux ans, mariés ou père de famille, envoyés aux prévôtés, seront, autant que possible, affectés aux unités d'étapes 2° réponse affirmative.
;
;
M. Pain, député, demande à le ministre de la guerre si un gendarme cheval. 19712.
Pugliesi-Conti (Seine), — M. Paul expose à M. le ministre de la
19669.
député, guerre que, lorsqu'un régiment obtient la fourragère, les officiers et hommes de troupe qui sont au dépôt et qui ont été inscrits à un moment donné et pendantune durée quelconque sur les contrôles de ce corps « aux armées» ont droit au port de la fourragère, mais que si ces militaires demandent et obtiennent de retourner au front et sont affectés à un autre régiment, on leur retire cet insigne, tandis que leurs camarades restant au dépôt continuent à la porter, ajoutant que ce retrait est particulièrement injustifié, qu'il s'agit en l'espèce de militaires comptant trente-cinq mois de front qui ont été renvoyés au dépôt, aurégiment comme étant en surnombre, quelques semaines avant que le régiment obtiennent la deuxième
et
citation. (Question du 22 décembre 1917.) Réponse. — La fourragère étant une distinction collective qui fait partie de l'uniforme du corps auquel elle a été conférée, ne peut être conservée à titre individuel que par les militaires remplissant strictement les conditions réglementaires, c'est-à-dire ayant pris part aux faits de guerre visés dans les deux citations. Des ordres ont été donnés pour que les militaires ayant appartenu à des corps titulaires de la fourragère soient, autant que possible, renvoyés au front dans leur corps d'origine.
-
19684. M.LaurentEynac,député, expose à M. le ministre de la guerre que le décret
M.
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profit des leur est naturellement tenu ailitaite vices qu'ils ont rendus préparatIon EI1aont en et clr participant à l'organisation d'honneu ment des sociétés de lescetooe l'obtention de la Légion leursuperieur. d'avancement, il convient, dans tances actuelles, de prendre à »<,uperi®u tt sivement en considération l'exercice des fonctions du grade
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19734. 19734. M. M.Abel AbelLefèvre LefèvrO M. demande à
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ministredp-laguer
l'intérieur, militaire, mobilisé à notamment 5em s'occuper d'affaires, et 5011 tation commerciale, en dehors » (Question du 27 décembre 1917.) Réponse. — Réponse affimative.
;
(Eureerre
SSiOO,11 19735. — M. Abel Lefèvre POlarrn'ssiooididlol demande à M. le ministre de mobilisés a iallt la des i' accordé il 1918, pour sera n compensation aux R. A.T.
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1917.)
normale d'appel de leur classe. w
1
ancien sous-officier d'un corps de troupe qu'il 27 décembre avait quitté depuis moins de trois ans à la-mo1 négative. Réponse. Réponse bilisation, peut, sur sa demande 1° être af— avec fecté son grade à un corps de troupe pour Méquillet,etreSle1 la durée de la guerre, ainsi qu'il a été fait pour » j^giO» les gendarmes à pied 2° passer dans le personM. Raoul 19736. — nel navigant de l'aviation en qualité d'élève- mande à M. de 1915 le ministre 901 1917.) pilote. (Queition du 26 décembre classeuite e{QuestjOf\ cultivateur mobilisé, de la la Répnnse. — La situation déficitaire des effec- dans le service auxiliaire àdroit pas tifs de la gendarmerie ne permet pas d'auto- sures de guerre, n'auraagricoles. riser les militaires qui en font partie à la quit- ou deux permissions e)t'.) sest jjc|est^V ter, le service qui lui incombe, devenant d'ailleurs, de plus en plus chargé. Les gendarmes négative, Réponse. Réponse à pied, détachés dans l'infanterie au début de vice aux armées. S'il est (lOltiofl ireaU la guerre, ont-été, pour cette raison même, régions, il pourra recevoir apphcal; réintégrés dernièrement dans leur arme. tempora culaire du 4 décembre 1917 du 8) sur le détachement vaux agricoles. 19713.— M. Paul Laffont(Ariège), député, expose à M. le ministre de la guerre que cerdan d6 19745. M. Célos, député,pOSSli tains militaires n'ont pu obtenir de permission clsSSi de détenteaprès 16 mois de séjour ininterrompu ministre de la guerre si, fI à l'armée d'Orient, et demande que des ordres l'agriculture, il ne serait pas la" de iii vétérinaire qUi,arl vétérinaires permissions soient les des crire le renvoi soient donnés pour que qU désormais attribuées d'une façon plus régu- et la mise en congé des classes; mesure -analogue à celi" lière. (Question du 26 décembre 1917.) de santé en le service prise par de dificultés transRéponse. — Par suite des médecine. u < les docteurs en cerne port et les nécessités spéciales à l'armée 28 décembre 1917.) k d'Orient, les militaires qui en font partie ne p Réponse. — Réponse négative. peuvent, d'une façon générale, bénéficier de leur permission qu'à leur rapatriement. Aux Ji récentes, ils obtiennent, instructions termes des depu*paSté# deaJlll té à leur retour en France, la compensation d'une eoi déP" 19748. M. Abel Gardey, longue permission de détente, dont la durée guerre u ministre à M. de absence. celle leur à proportionnée de est année danslesunitéOliabatt à services tenantde titre temporaire,
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27décembre1917,) -
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d'administration publique prévu par l'article 4 de la loi du 10 août 1917 sur le recrutement do l'intendance n'a pas encore été pris et que, do ce fait, les officiers et aspirants de l'armée active, blessés, définitivement inaptes à une deCarré-Bonvalet, député, 19727. M. arme combattante, ne peuvent être titularisés mande à M. le ministre de la guerre s'il ne officiers ou nommés dans l'intendance. (Ques- serait pas juste et équitable d'étendre aux R. tion du24 décembre 1917.) A. T. des classes 1896 et plus anciennes convoRéponse. — Le projet de décret visé est ac- qués avant leur classe comme spécialistes, le tuellement soumis à l'examen du conseil bénéfice de la permission de treize jours à titre de compensation et s'ajoutant à la permission d'Etat. de détente, déjà accordée aux R. A. T. des classes 1892 et plus anciennes, convoqués leur classe comme spécialistes. (Question 19704. — M. ErnestFlandin (Calvados), dé- avant puté, demande à M. le ministre de la guerre du27décembre1917.) si les jeunes gens de la classe 1919 seront admis Réponse. — Les nécessités militaires s'oppoa choisir leur arme en s'engageant par devan- sent à l'adoption de la mesure proqosée par cement d'appel. (Question du 26 décembre 1917.) l'honorable député. Répcnse. — Réponse affirmative jusqu'au 30 janvier 1918. 19728.-M. Carré-Bonvalet, député, appelle l'attention de M. le ministre de la guerre 19706. — M. Hubert Rouger, député, de- sur l'exclusion regrettable dont sont victimes mande M. le ministre de la guerre si les nombre d'officiers de complément en matière 150 sursis qu'il a décidé d'accorder dans la zone d'avancement, particulièrement en ce qui condes armées, parmi les R. A. T., à des spécia- cerne ceux qui, avant la guerre, s'occupaient listes de moulins à huile, sont exclusivement activement et avec dévouement des sociétés de réservés à l'arrondissement d'Apt, ou doivent préparation militaire, et luidemande s'il ne seêtre accordés sans distinction à toutes les rait pas de toute justice et de toute équité, de fabriques d'huile de la région méridionale. leur tenir le plus grand compte de la tâche admirable qu'il se sont imposée, en leur per(Question du 26 decembre 1917.) l'accès aux grades supérieurs, au Réponse. — La répartition du contingent des mettant sous-officiers les anciens titre même reque sursitaires visés par l'honorable député a été traités, (Question du 27 déembre 1917.) faite entre les départements de la région mériRéponse.- Les officiers de complément visés dionale par les soins du ministère de l'agriculture, lequel a fixé à vingt le chiffre de la dota- ne sont nullement exclus de l'avancement au
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rapatrié d'Allemagne l'avancer inapte à faire campagne par sures, peut prétendre à août 19 aa l'article 3 de la loi du 10 ternpOllt, nommé lieutenant à titre sous-lieutei
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deux ans de grade de tion du 28 décembre 1917.) Réponse. — Réponse
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19749.—M.Abel Gardey,
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dtJ à M. le ministre de la guerre éV'aée d;IS: combattantWJs i0*11V<| lieutenant à titre temporaire, ticle, etolog effl pour blessures, n'ayant pas une vices dans les unités appliquer de ses a8deC faire campagne par suite susceptible de se voir ~., du loi du 10 août 1917. (Question
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1917.)
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Réponse. — Réponse négative. députd'1J
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19750. — M. Jules Nadi, cas M. le ministre de la guerre le et causedo 09 tuteur de la classe 1908, classé yj
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dans le service auxiliaire à suspetetait «,«, qui a contracté au corps une &Y.t table au sérvice (bronchite déjfti1 l'aurait grissement persistant) qui maladie, ofll Aflnit' m dans le service auxiliaire s'il n'aval tenu à cette catégorie, qui, claré, à cause de cette
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armêes; Ie uteir sa trn, Uih«'^entirrnfi
ajoute que cet dans des conditions absoapPelencsclasses àcelle, où se trouvaient ses drnaQderlu,d'une 1904 à1014 mis en sursis circulaire récente, et lui derrnettre Sj.Pa3 ladite équitable d'étendre les S'anssOnca cet de circulaire de manière à ISd'appel(SQ Instituteur et à ceux qui sont Sis rt ri UestLOn bénéficier d'une mise en sur du 18 décembre 1917.) \,unBurs¡'s d'POII.8e L'intéressé ne peut bénéficier service cmmlSslon s'il ressort du procèsone,des aauxliaire qui l'a maintenu dans Zoneaue3,queet l'a Chlce déclaré inapte à la servieauxriliaireé,ul maintien dans le Ion pecte d'une bronchite susau service depuis la mobllIsa-
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iî>daaSn Girod, 8,17,SUrtquelleslieutenant-colonel à M. le ministre de la conditions la loi du 10 août SUr avaCement des sous-lieutenants,
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5UerreÉ!0n sous-lieutenants prisonniers du 29 décembre 4917). i?P°sitinn<, HéLr)'PnnKse, le n US-Heu te Ions Pourra être fait application seUl' lleeuur a attri ellt de a loi du 10 août 1917 aux eutenant0Lprisonniers de guerre qu'à Seu!a l ,ïîeriton France. A ce moment-là On c Par àUy sera le efft, fixé temps en sur cas Uu kitta apiesdou enéchéant, dans les formaconvalescence (art. 1er) et (art3) à servir dans les unités com-
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Alexandre Varenne, député, *'%),^® ?Ue"8s le ministre de l'instruction Poeronités Ur' Iqus SSUer mesures il compte prenle payement rapide des iidemnités quacerobrde 10,vie equi eère ducs lUX instituteurs IUq„0^Yem^iL2° s'étend du 1er juillet au tunenye e osso,des teressés sil ne serait pas possible Pîsrttendra faittrimestriellement, les ils cembre ontbesoin 1917.) touslesjours.ne leurpermettant SIX mois dont un complémentdont jours. (Que,,ition du~dcdesJllisde»-a£Partip t 18desinderanités du de i" cherté vie, mais juilletde1917, ne ce fertôtra t6mPoraires de traitement qui )'"Dmiftnents alOUC3 t intéressés. Or, ces aux Sont Payes avec le traitement. 3is à.l'avetads I ont pu se produire au début. Payes,ces suppléments seront réguIkg. chaque mois, avec le traite-
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Liste des projets, propositions ou rapports mis en distribution le 10 janvier.
Commission de la législation civile.
par M.Landry, sur le projet de loi concernant le budget ordinaire des services civils de l'exercice 1918 (travail et prévoyance sociale). N° 4045. — Rapport, par M. Emile Bender (Rhône), sur le projet de loi concernant la compétence du président du tribunal en matière de référé. N° 4070. — Rapport, par M. André lIesse, sur le projet do loi concernant le budget ordinaire des services civils de l'exercice 1918 (conventions et garanties d'intérêts). N° 4140. — Projet de loi, modifié par le Sénat, concernant les dommages de guerre. N° 4161. — Proposition de loi de M. Boisneuf concernant l'organisation municipale à la Guadeloupe, à la Martinique et à la Réunion. N° 4166. — Proposition de loi de M. Lavoinne concernant la production des céréales panifiables. N° 4171. — Proposition de loi de M. Mauger concernant les accidents du travail des mutilés de la guerre employés dans l'agriculture. N° 4173. — Allocution de M. Jules Siegfried, président d'âge.
Séance du mercredi 9 janvier.
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tion. actée
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Trilunes. — Depuis M. Méquillet, jusques et Commission des comptes définitifs Monzie. de compris M. y des et économies. Les billets distribués pour le vendredi 11 janvier comprennent Séance du mercredi 9 janvier. Galerie. — Depuis M. Claussat, jusques et y compris M. Crolard. Présents. MM. de Bagneux, Bonniard, Bras, — Tribunes. — Depuis M. Paul Morel, jusques Coyrard, Labroue, Lenoir, Marin (Louis), Mar. et y compris M. Noël. rou, Mauger, Perreau-Pradier, Raynouard.
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N° 4028. — Rapport,
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Commission du budget. Séance du mercredi
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1311 1913; ce payement °ents<'["Uestion été effectué dans plusieurs ^"Pon.^ du SI décembre 191t.) lIIi\i Ion ornentfonds de nécessaires au paye¡r¡té:lgllerntenlr ~sei~ ces instituteurs sont àla disposition des préfets. f0nseiv des retards retard3 provenant de la d'o de l'autorité militaire des aOût la situation des sur idu7août1913. de la loi de recrutement
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Jour du jeudi 10 janvier.
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SEANCE PUBLIQUE PUBLIQUZ
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l'ordre du jour.
seJeudi "dit jour 0^1 °rdin->ire(ie i9l8des janvier en kSrn a.QQI,: M.Cha ,.. rles il Se
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est la 2*de portant billets et valables pour cette séance 10
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M.
Benoist, jusClaude Rajon.
Commission de la marine marchande. Séance du mercredi 9 janvier. Présents. — MM. Guernier, Arago, Ballande, Baudet (Charles), Bergeon, Bienaimé, Boisneuf, Bouisson, Boulanger (Narcisse), Candace, Cazauvieilh, Chaumet, Cuttoli, Défossé (Adolphe), marquis de l'Estourbeillon,Gasparin, Le Bal, (Georges), Le Rouzic, Le Troadec, Nibelle, Pacaud, Salembier, Tournade, Trouin, William
Bertrand.
Commission des postes et télégraphes. Séance du mercredi
Présents. — MM. Peret (Raoul). Marin (Louis), J.-A. Abel (du Var), Albert Grodet, Aldy, Georges Ancel, André Hesse, Aubriot (Paul), Bedouce, Bénazet, Bender (Emile) (Rhône), Bouffandeau, Ceccaldi, Damour (Maurice), Dariac (Adrien), Denais (Joseph), Dubois (Louis) (Seine), Dumont (Charles) (Jura), Gardey (Abel), de Kerguézec, Landry, Môurier, Noël, Piou (Jacques), Raiberti, Siegfried, Simyan, Varenne, Veber (Adrien).
Commission d'administration générale départementale et communale. Scance du mercredi 9 janvier.
Présents. — MM. Louis Andrieux, Bonnevay, Bouctot, Cornudet, Coyrard, Ginoux-Defermon, Goust, Groussau, Jean Hennessy, Magniez, Paul Meunier, de Monti de Rézé, Nibelle, Pierre Perreau-Pradier Philbois, Queuille, Reboul, Arthur Rozier, Sarrazin, Sixte-Quenin, Talon.
Commission de l'armée. Séance du mercredi 9 janvier.
9
janvier. ,
Présents, — MM. Amiard, de Bagneux, Jean Bon, Bouctot, Brunet (Jules), Deshayes, Drivet, Faisant, Gaftier,Joubert-Peyrot, Nadi, PatureauBaronnet, Picard (Camille), Porten, PugliesiConti (Paul), Ribeyre, Sarrazin, William Ber-
trand.
janvier.
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des instituteurs
Présents. — MM. Aldy, Fernand Brun, Charles Leboucq, Leredu, Taul Simon, Adrien Veber, Flayelle, Levasseur, E. Bender.
Convocations du jeudi 10 janvier. Conférence des présidents des grandes commissions et des présidents de groupes (application de l'article 94 du règlement), à deux heures un quart. — Cabinet de M. le président. Commission d'assurance et de prévoyance sociales, à trois heures. — Local du 6° bureau. Commission de la marine de guerre, à trois heures. — Local du 3e bureau. Commission des mines, à trois heures. — Local du4e bureau. Commission de réorganisation économique, à quatre heures. — Local du 5e bureau. Commission de la marine marchande, à deux heures et demie. — Local du 9e bureau. 7
-
AVIS ET COMMUNICATIONS Ministère de la marina. CONCOURS D'ADMISSION A L'ÉCOLE NAVALE BN 1918
Les candidats à l'école navale sont informés que les compositions auront lieu en février 1918, dans les villes ci-après Paris, Cherbourg, Brest, Lorient, Rochefort, Toulon, Saint-Brieuc, Bordeaux, Toulouse, Al-
:
Présents. — MM. Accambray, Albert Thomas, amiral Bienaimé, Bouilloux-Lafont, Bracke, Couesnon, Dalbiez, Deschamps, de l'Estour- ger. Les candidats de Lyon devront se rendre a beillon, Galli, Gaston Dumesnil, Godet, lieutenant-colonel du Ilalgouët, Lachaud, Charles Paris ou Toulon. La visite médicale et les compositions auront Leboucq, Lorimy, Laval, Mignot-Bozérian, Millerand, Ossola, Pasquai, Paul LatTont, colonel lieu aux dates ci-après de Puineuf, Ralfin-Dugens, Rameil, Renaudel, Lundi 4 février. Rognon,Seydoux. 7 heures. — Visite médicale.
:
Mardi5février. 7 heures.- — Composition d'algèbre,
ACADÉMIE DES INSCRIPTIONS d'ana-
ET BELLES-LETTRES
lyse et de trigonométrie, 14 heures. — Composition de physique.
Séance du 4 janvier.
6
7
Mercredi février. heures. — Composition de géométrie ana-
lytique. 14 heures.
decalcul.
—
Dessin suivi de la composition
7 février.
Jeudi
7 heures. — Composition française.
il heures. — Epure.
Vendredi 8 février. 7 heures. — Composition de mécanique. 14 heures. — Thème anglais ou allemand. Les intéressés doivent se munir de tout ce qui est nécessaire pour écrire, calculer et dessiner ; encre, plumes, crayon, compas, carton et planche à dessein,tabla de logarithmes pour la composition de calcul. A Paris, la visite médicale sera passée au ministère de la marine les candidats seront informés à ce moment du local où les compositions seront effectuées. En province, les candidats devront s'adresser dans les ports à l'autorité maritime, à Saint-Brieuc et à Toulouse, à la préfecture, pour connaître le lieu de la visite médicale et celui où seront effectuées les composi-
;
tions.
Aucun avis individuel n'est adressé aux candidats.
Ministère de l'instruction publique et des beaux-arts. Avis relatif au prochain concours d'admission à l'école nationale des beaux-arts (section d'architecture) et aux écoles régionales d'architec-
ture.
Le 16 février 1918, aura lieu, à l'école natio-
nale supérieure des beaux-arts, un concours d'admission à la section d'architecture et aux écoles régionales d'architecture. Le registre des inscriptions sera ouvert au secrétariat de l'école, 17, quai Malaquais, du 14 jarwi3r au 13 février inclus. L'ordre des épreuves est affiché à l'école, où les candidats peuvent en prendre connaissance tous les jours, de dix heures à seize heures, les dimanches et fêtes exceptés. Le programme fixant les conditions du concours est en vente à la librairie Delalain, 115, boulevard Saint-Germain, a Paris. @
Ministère du commerce, de l'industrie, des postes et des télégraphes, dos transports maritimes
et de la marine marchande.
Ilouvement des importations de coton brut et de soies grèges pendant la deuxième quinzaine de décembre 1917 (arrêtés. des 13 août, 21 novembre et 17 décembre 1917). COTON BRUT
fa17. Rappel des quantités importées Du 16 au31 décembre
23.946 balles.
-
au 15 décembre 1917" 106.755 Total des importations du 16 août 1917 au 31 décembre 130.701 balles.
1917. SOIES GRÈGES
décembre 1917. 705auintaux Rappel des qùantités importées au 15 décembre 1917 3.286 — Total des importations du 16 août 1917 au 31 décembre 3.991 quintaux. Du 16 au 31
—
1917.
--
—1."
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PllÉSIDENCÈ DE MM. THOMAS ET HÉRON DE VILLEFOSSE
-
Installation du bureau.
président sortant, M. Antoine Thomas, et ls président entrant, M. Héron de Villefosse, prononcent les allocutions d'usage. Le
Une adresse. M. Héron de Villefosse, — donne lecture
d'une adresse de sir Frédéric G. Kenyon, président de la British Academy qui, au nom des académies de la GrandeBretagne, assure dosa sympathie l'Académie des inscriptions et belles-lettres et l'Institut de France tout entier. Voici le texte de ce document
:
A VAcadémie des inscriptions el belles-lellres. «
Au début d'une nouvelle année, qui
trouve noê patries alliées encore en guerre, la British Academy désire envoyer ses salutations à l'Académie des inscriptions et belles lett»3s, et par ielle à l'Institut de France. Les Académies de Grande-Bretagne et de France représentent la civilisation pour laquelle nos pairies se battent, et maintenant, après trois ans de guerre, nous affirmons de nouveau l'idéal pour lequel nous avons pris les armes. « Notre conviction de la justice de notre cause est inébranlable elle est même intensifiée, à mesure que le temps passe, par les preuves répétées, données par nos ennemis, que, quelque grand que puisse être leur pouvoir matériel, ils ont, comme nation, perdu l'âme qui seule fait que la vie vaut d'être vécue. « Les souffrances des nations etles deuils des individus ont été terribles mais ce sont des sacrifices pour une grande cause, et nous avons la confiance que cela n'aura pas été en vain, parce que nous croyons en un Dieu de justice, qui soutiendra la cause de la liberté, de l'honneur et de labonne foi parmi les « C'est avec la plus profonde sympathie et la plus grande admiration que nous, en Angleterre, avons constaté la fermeté du caractère français et les héroïques exploits de vos armées. Les noms de la Marne et de Verdun sontdéjà des étoiles brillantes dans l'histoire de votre pays,.et, quelles que soient les épreuves qui nous sont réservées dans l'année qui vient, nous avons la confiance que nos patries alliées les domineront toutes et marcheront en avant avec une invincible résolution vers la victoire finale. « Regardant dans l'avenir vers le jour où nous pourrons reprendre le calme labeur de la science, et cette culture spirituelle et intellectuelle qui est l'âme d'une nation, j'ai l'honneur de vous présenter les salutations de la British Academy.
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l'institut franco-hispanique, nuation des fouilles entropflse placement de Bolonia.
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SCIENCES
ACADÉMIE DES morales et politiques.
PRÉSIDENCE DE
MM.
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DE LA BLACHE.
Séance du 5 janvier- !,oce1 d'Eichllreld Le président sortant,M.
à l'installation de M. Vidal de lap,rUO' les fonctions de président en edence
la prenant possession du fauteuil dence, le savant géographe prono Pir cution suivante des *1 messi. eurs„» je5 l'honneu Je remercie, vous « 105et frages qui confèrent me po. siSider sider,cette année,Beauregard, nos séances, de cette année, nos séances-
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notre confrère, M. :xpérle que seraient allés avec votes. Il nous eût apporté, avec de juriste et d'économiste, toujours précieuse de et une maîtrise de parole qui CII l'éclat de nos solennités sante t1 otre es il pérons, pour le pays dont ot dignes serviteurs, rétablissement comme pourde pagnie, que le par/111lp ramènera prochainement secret'^-r0j cot à Mes portent, saflltayeux se « cette place où siégeaitpeine le aVfjrecAii tuel que nous venons de perdre. t quelques fois, m'avait jours à e taiS ru entretenu de cette c0lïliV lSeter je ration, dans laquelle afl'ectu-Gy trouver son assistance diale. Mais que pourrais-je paroles éloquentes qui ont déjà
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regrets v-té!1 qtJ01' ineilleellf tir président ,ntMaf unsor?^nolil « Je ne saurais faire 119 du droit de parler en votre adressant à notre doPor ddj mage qui lui est si justement les graves et multiplesnonoccupatIonDt 'sculelesidlllvri a la charge, il a su [trclllo; tee; à son successeur l'exemple de e11 plus scrupuleuse, mais de temps A0^ communications poy V tirer de ses études et mêmelade granclef,1c de famille des
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c~ avons vivement apprécié Oro historique. Ai-je besoin de les accents dont l'écho Nibrc eil pfiIeelo nous, par lesquels, dans notre 11^5racC nuelle, il saluait, à propos el P cerné par notre Académie, ladaI1* personnification de la dignité ntéCpie p plissement du devoir patriotique-oDoliUqiJ J1113 repris -ray, P l'économie «Puisque, entre l'histoire, si dignement r notre vice-président, c'est à ladOSODdO de remplir l'intérim, elle fera l'express» bUseO' Je dois me borner ici àreprochera bonne volonté; car je ne dois pas is vos moments. Je me dant de ne pas donner jour sion que j'ai souvent recueillie combien, dans l'atmosphère « FRÉDÉRIC Q. KENYOX. il ater Dat "er de respire ici, des sentiments nous ira jet s'entretienne « Président de la British Academy. nos nen^? discrète naissent et « 1er janvier 1918. Il lement des circonstances que IDcseSPoce Voilà sons! trois ans quernnip,esPoit, Commissions diverses. M. Homolle est — nommé directeur du recueil des monuments nos nerfs sont tendus vers le Ife et mémoires Piot, en remplacement de quenouspartageons comme aussi les anxiétés et les « n if M.Collignon, décédé. piay 1'48 Il en résulte, sera L'Académie procède ensuite à la désigna- n'est pas en vain.une.cemmunaui tion des membres de ses diverses commis- vie académique, qUIctiOIl chers 4j0 time. Permettez-moi, mes sions. de m'inspirer de cette pensée Fondation Piot. — Sur le rapport du comte moi un utile réconfort esti#nstanléà^J pour Francis Delaborde, une somme de 4,000 fr. j'ai à remplir. dsl1 018 » 116las prise sur les arrérages de la fondation Piot M. Henri Welschinger est attribuée à M. Pierre Paris, directeur de fonctions de vice-président de la
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habituel, aux d'm. Un lao UvPau dunnorl"sBenoist donne lecture ensuite claIesdURes chapitre de son enquête sur cause ci 'S cial~ économiques et sodan*de laarrondissement lnution de morales la natalité ». Il
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de Redon, cinq com" comGuipry, 1x1®'dit-ilof de Dhi l0sents°n de Lalleu. Ces cadredeOu cinq monograllle-etenquête en cadre Scomrnunes a pris oudes villesdescansuccessivement, pour arrondissements, nes 011 des villes, des cantéserVée.e. lu Unefâcheuse le département (fole!îv<-'ësurprise lui était départe ements. Il venait chercher en Bretagne fl',alltresrneot.s des témoins rteme : il y a trouvé des ViiU-res,mJnioV0Uchésmalades, moins atteints que encore' e .c Cst trre1re0terre l'ille-etToutefois, la Bretagne. Il était française, tei retonm j pas encore en »Ii Sw'S .!\it^ain?tonfnlu' Bret;1gne bretonnante. Il delaProrn Il.t 1(l«amProvinoûfîvL?® ajoute-t-il, de voir si la race, et si le cœur ; an<Tarche comporte autrement que i ,:fontière, i..Le Viue.»
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la rroehainq ACdémie avant de lever tijph eriSfiacement procédera samedi secrétaire perpéde M. Stourm, déteront(ordre les suffrages se pord'pi étique) sur MM. Charles alphlbétique) sur Charle l\fi\I. WaiScIûnger1 Lyon-Caen et Henri
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FRANÇAISE
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Séance du 3 janvier. l'!lÉSIi)E
Lacandidature 'NCEDEdumaréchalJoffre. M. ALEXANDRE RIBOT Séanflidaturedumaréchal
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est nouveau présidée le
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Alexandre par NI. Alexandre directeur •Wu3i en exercice. llte d'une courte lettre, en décembre *ïoijij0ffr!.f 1917, par laquelle le celle, ntPar mort deM.JulesClaPose sa candidature aufaudeM.JulesClamaversK leayantdécidé
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la réception 1 iUllui commission chargée, suiIdi Se(ge,récipiendaire de prendre connaissance du du seradressée k désignée et de la réponse sera a la solennelle, séance i1 vHp* ) prochain. Tout porte à l'électionProchain. du de M. successeur { eio el'. tons dans le courant de féet¡ sera reçu par M. Rifaisaitpartie du bureau lorsdu Claretie.
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CADtlIE
DE MÉDECINE du29décembre M>GEORGES HAYENt
Séance 1
» VT !CR WofPrésid
1917.
DR M. GEORGES V'ICt-PRÉSIDENT
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En répartissant tous les pains en trois bis et grands groupes les painsblancs, les complets, l'expérience a démontréque c'est le pain bis qui est le mieux utilisé par notre organisme et que c'est le pain complet qu'il l'est le moins 3° Le pain bis provenant d'une farine bise de bonne qualité est sain et c'est lui qui convient le mieux aux tubes digestifs normaux, c'est-à-dire de beaucoup les plus nombreux 4° Les pains complets rendent de grands services aux tubes digestifs paresseux dont ils corrigent la constipation en activant le plan musculaire 5° Enfin, les pains blancs, qui ont l'inconvénient de favoriser la constipation par inaction du plan musculaire, peuvent trouver leur indication pour les tubes digestifs naturellement ou pathologiquement trop excitables. Vitalité du bacille paralhyphique B dans les coquillages alimentaires contaminés.D'après les expériences nombreuses auxquelles il s'est livré, M. le docteur Daumézou estime que le bacille paratyphique B, cultivé dans l'eau de mer en concurrence avec une forme de proteus très fréquente dans certains coquillages alimentaires où elle est inoffensive, tend à disparaître mais sa disparition demande un temps trop long pour que l'on puisse escompter une application utilisable dans la pratique des trempages commerciaux. L'antagonisme des deux bactéries n'est pas sensiblement modifié par la substitution de l'eau de mer artificielle à l'eau de mer naturelle, à condition que le milieu ne soit pas trop dénué de matière organique assimilable. En généralisant les résultats ci-dessus, l'origine terrestre ou marine d'une bactérie suffisamment proche de sa souche pourrait peut-être se déduire de l'influence des sels de l'eau de mer sur son développement en concurrence avec un autre germe étalon d'origine certaine. Cicatrisation des brûlures sur les pansements isolants à basede paraffine. — MM. les docteurs Fauré-Fermiot et Pfulb ont été étudier les phénomènes intimes de Clette cicatrisation dans le service et suivant les méthodes du docteur Barthe, de Sandful. Ils en concluent que l'infection des plaies demeure strictement superficielle, grâce au passage leucocytaire continuel qui traverse le tissu granuleux et à la barrière constituée par la fausse membrane de revêtement. Les tissus de néoformation protégés par le pansement paraffiné se développent d'une manière aseptique par le simple jeu des défenses normales de l'organisme et sans l'intervention d'aucune substance antiseptique. Guériscn de la gale, de la teigne et des phtiriases animales par la sulfuration. — M. Raphaël Blanchard communique les résultats d'expériences favorables faites au moyen des appareils à gaz Clayton pour le traitement de la gale, de la teigne et des phtiriases animales dans l'armée. 2°
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A.-J. Martin.
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oie:s;ident ^-président tt, et expftenautfait part du décès de M. le V,Scientiflques (de
INFORMATIONS
nombreux et importants v de ce savant. M Sous le titre de froment us) M ^êsn^IPfess8ur Maurel Toudevant(de l'hygiène
Ville de Paris.
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Lyon), associé natio-
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u P]Pofesseur Maurel
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lieu de 915, moyenne ordinaire de la saison. La fièvre typhoïde a causé 4 décès, au lieu de 1 pendant la semaine précédente (la moyenne est 5). Le nombre des cas nouveaux signalés par les médecins est de 42, au lieu de 23 pendant la semaine précédente (la moyenne est 43). La variole et la varioloïde n'ont causé aucun décès; aucun cas n'a été déclaré par les médecins, comme la semaine précédente (la moyenne est 1). 7 cas de varicelle ont été signalés. La rougeole a causé 1 décès, au lieu de 4 pendant la semaine précédente (lamoyenne est 4). Le nombre des cas nouveaux signalés par les médecins est de 65, au lieu de 34 pendant la semaine précédente (la moyenne est 84). La scarlatine a causé 1 décès, au lieu de0 pendant la semaine précédente (la moyenne est i). Le nombre des cas nouveaux signalés par les médecins est de 83; il s'élevait à 93 pendant la semaine précédente (la moyenne est 75). La coqueluche a causé 2 décès, comme la semaine précédente (la moyenne est 3). La diarrhée infantile a causé 13 décès de 0 à 1 an, comme la semaine précédente (la moyenne est 16). En outre, 16 enfants sont morts de débilité congénitale. Les maladies inflammatoires de l'appareil de la respiration ont causé 117décès, aulieu de 90 pendant la semaine précédente, et au lieu de 173, moyenne ordinaire de la saison. Ce chiffre se décompose ainsi qu'il suit Bronchite aiguë, 5 décès (la moyenne est 9). Bronchite chronique, 16décès (la moyenne est 17). Pneumonie, 22 décès (la moyenne est 33). Autres affections de l'appareil respiratoire, 74 décès (la moyenne est114), dont 24 sont dus à la broncho-pneumonie et 37 à la congestion pulmonaire. La phtisie pulmonaire a causé 166 décès (la moyenne est 165). La méningite tuberculeuse, 9 décès (la moyenne est 15). La méningite simple, 9 décès (la moyenne est 11). Il y a eu 2 décès par méningite cérébrospinale épidémique; 4 cas nouveaux ont été signalés par les médecins. Les tuberculoses, autres que celles qui précèdent, ont causé 13 décès (la moyenne esMO). L'apoplexie et le ramollissement du cerveau ont causé 81 décès (la moyenne est 58). Les maladies organiques du cœur ont causé 64 décès (la moyenne est 78). Le cancer a causé 75 décès (la moyenne est 65). La hernie et l'obstruction intestinale ont causé 8 décès (la moyenne est 9). La cirrhose du foie a causé 8 décès (la moyenne est 10). La néphrite aiguë et la maladie de Bright ont causé 31 décès (la moyenne est 34). Enfin 49 vieillards sont morts de sénilité (la moyenne est 50). Il y a eu 23 morts violentes et 7 suicides. On a célébré à Paris 611 mariages. On a enregistré la naissance de 635 en-. fants viyants ;315 garçons et320 filles), doni 4î9 légitimes et 186 illégitimes. Parmi ces derniers 1 a été reconnu séance tenante. On a déclaré la mise en nourrice de 138 enfants, dont aucun ne sera placé à Paris. Parmi ces enfants 3 seront nourris au sein et 135 recevront une autre alimentation. On a déclaré la naissance de 60 mort-nés, dont 42 légitimes et 18 illégitimes.
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expose les se croit autorisé à con- SERVICE MUNICIPAL DE LA VILLE DE PARIS On froment donné d'autant Le bureau de la statistique a enregistré, Le Directeur des Journaux stéances G. Peycblow* officiels est tageestplus Pll1 élevé nutritives que le blu" blu- pendant la 51e semaine 833 décès, au lieu de 753 pendant la semaine précédente, et au Imprimerie, 31, quai Voltaire, Paris 7v
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EXTRAIT DU COURS AUTHENTIQUE DE LA BOURSE
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ANNONCES -
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Les annonces sont reçues à la SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DES ANNONCES, 8, place de la Bourse,
L'Administration et les Fermiers déclinent toute PRÉFECTURE DU DÉPARTEMENT DE LA SEllE
EMPRUNT
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DE 1SM-1896
tirage effectué 5janvier1918 dontles11premiersont droit aux lots ci-après :
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annon. responsabilité quant à la teneur des
34.149 34.161 34.503 34.550 35.741 35.927 36.300 36.680 37.728 38.735 39.251 39.804 39.860
40.801 40.862 41.448 42.216
42.909
43.141 44.398 44.751 44.766 46.011 46.187 46.811 47.201 47.513 48.170 48.306 48.711 50.437 50.630 51.301
O Voir le tableau des lots.
53.021 53.600 55.144 55.547 56.231 *56.267
56.893 57.148 57.651 58.394 59.421 *59.761
59.849 60.035 60.223 61.064 61.351 61.411 61.565 62.250 62.735 64.192
64.370 64.554 65.311 65.696
66.566
68.633 68.839 68.886 69.074 69.332 69.380
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69.768 71.228 71.650 71.708 73.792 73.997 74.338
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Obligations sorties à des tirages antérieurs jusques et y compris celuidu 5juillet1917 (83e tirage), lesquelles-n'ontpas encore étéprésentées au remboursement et ont cessé de porter intérêt.
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Le payement des lots et le remboursement des obligations sorties sans lot auront lieu, à l'Hôtel de Ville, à partir du 15 février 1918.
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ANNONCES
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1.45
99.9?5
I
ANNONCES
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—
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L'Administration et les Fermiers déclinent toute responsabilité quant 156.540 156.771 156.773 156.835 156.867 156.974 157.096 157.104
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14..721
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ÎÎHkÂ
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21O.7
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à 1*
teneur des annonces. —
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441.569 441.570 441.COi 441.607 441.661 441.671 441.734 441.749 441.782 441.876 441.880 441.901 441.927 441.937 442.011 442.044 442.229 442.236 442.237 442.337 442.339 442.352 442.360 442.392 442.428 442.472 442.574 442.606 442.613 44».6:6 442.731 442.759 442.810 442.834 442.888 442.925 442.944 442.965 442.994 443.096 443.113
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445.087 445.115 445.140 445.162 445.164 445.202 445.263 445.264 445.325 445.334 445.337 445.435 445.458 445.487 445.489 445.535 445.544 445.601 445.607 445.614 445.662 445.674 445.721 445.741 445.758 445.915 445.947 445.971 446.043 446.046 446.126 446.135 446.157 446.176 446.229 446-246 446.247 446.252 446.283 446.289 446.357
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AVIS Un concours est ouvert au ministère du commerce, de l'industrie, des postes et des
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Avis de Vente de Prises maritimes EMPRUNT DE LA
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janvier 1918, à quatorze heures trente, d'amortissementdel'e. il sera procédé à Toulon, service de la solde de a gUije» et des prises (quai de la Consigne), à la vente Le tirage annuel 1 au sur soumissions cachetées, des marchandises prunt de la Nouvelle-Calédonie ci-après le 9 janvier 1918, en séance publiqu tère des colonies. de!J U ,rajts1i18„ 3,000 glaces biseautées ou non, non encaextraitS Les numéros suivants ont t. drées. roue Marbre rouge ou gris veiné (en plaques). remboursaW' Décors (en carton pâte) pour plafonds. 1re SÉRIÉ : 34 obligations Jalousies (en bois) articulées. au 1" mars 0*A Pour tous autres renseignements, s'adresser 210 1.1602.404 3.965 5:6g5 1: au service de la solde et des prises, quai de la 4.121 214 1.473 2.692 Consigne, à Toulon. 5883 4.357 6'071 1." 383 1.842 3.099 L'affiche portant indication des conditions de 4.552 b-u' 781 1.946 3.137 la vente, peut être consultée à l'établissement 4.605 807 2.046 3.849 des Invalides de la marine, à Paris (3, (n-enue 1.051 2.081 3.949 4.807 Octave-Gréard), dans les directions et quartiers obligationsrembourtable* d'inscription maritime, ainsi qu'aux chambres SÉRIE 33 de commerce de Paris et des principales villes du littoral. au 1er septembre Le 17
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M. ROLAND (Charles-Joseph), né à Paris, le 10 décembre 1884, demeurant à Mareuil-sur-
Ailly (Marne), sollicite l'autorisation d'ajouter à son nom celui do « BILLECART », afin de se nommer légalement à l'avenir « ROLANDB1LLECART
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Signé
G. DE BERLY, Référendaire au sceau de France.
DECLARATIONS D'ASSOCIATIONS (Art. 1.' du décret du 16 août 1901.)
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28 décembre 1917. ASSOCIATION CULTUELLE ANExercice et entretien du culte TOINISTE. Objet antoiniste. Sjège 34, rue Vergniaud, Paris.
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EXPOSITION m\ v
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1918. 6-fjj
15 IPONTS ARRIÈRE,
le directeur des services du dépôt central du matériel, 75, boulevard Bruno, à Paris (XIV). Pour tous renseignements, s'adresser môme adresse, les jours ouvrables, do 14 heures à 17 heures, au service de la vérification du matériel Baudot M.
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AVIS
MARINE NATIONALE
50 MOTOCYCLETTES, 20 MOTEURS, 15 CHANGEMENTS DE
Le concours sera clos le 20 janvier 1918. Les offres devront être adressées, pour cette
date, à
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L'Administration et les Fermiers déclinent toute responsabilité quant à la teneur des annonces.
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