Journal officiel de la République française. Lois et décrets

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Journal officiel de la République française. Lois et décrets. 1919/01/07. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.

Décrets et décisions portant promotions, nominations, affectations MINISTimB DES COLONIES infanterie (page 257). Taux officiel de la piastre en Indo-Chine (par' 270). Cavalerie (page 259). PARTIE Artillerie (page 260}. Annonces (page 271). OFFICIELLE Troupes coloniales (page 261). ^ea affaires étrangères. crott Circulaire accordant une indemnité aux faOta milles des enfants de troupe qui n'ont pu CHAMBRES gine rejoindre les écoles préparatoires par l'ont êtlrovenance quantités de produits d'orientrée suite d'épidémies (page 261). Chambre des députés. Annexes feuille 114 tunisiennes qui pourpn admises a0intréeérance (pourl'éditioncomplète). (Voirlesommairt en franchise à leur Ministère de la marine. des annexes au Journal officiel de cha19(page217). du 1er juin 1918 au I*. lundi.) 9u<Hur que Décret fixant les conditions d'avancement des accordé à des lieutenants de vaisseau blessés de guerre consuls (page 218). dans le cadre de résidence fixe (page 261). !(inistère li»u bècr 8ionLH-h^0minations de — arrêté et décisions portant nominations, proch Port motions, mutations ,d'aptitTieur(page218)Administration centrale (page 262). dans l'ordre de la dltio apt'tude Officiers de marine (page 262). Mi 4peltlale personnel de l'administraAgents techniques (page 262). (page 218). «i'avCm^nt MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES Contrôle de la marine (page 262). tc.I>ortoncentraledu personnel de l'admi-

sommaire

M~~t, qi e

les

..-

l'intérieur.

(Pase*i8)ortant ination 1011 n dans l'adminislra-

Ministère de l'instruction publique et des beaux-arts. cenffraailQe (page 219). Décret approuvant l'élection d'un membre de 15 l'institut de France (page 262). l'arrêté de du 1er juilinc,'oniMcî*i du 17 août par l'arrêté Icsdéonsdeconditions commissaire, de Ministère des travaux publics d'admission aux cialla!'teents police dans et des transports. , ^inIsS»rtLlcle et de commissaire spé- Nominations dans le personnel (page 262). adjoint de la police des fer (page 219). Ministère du commerce, de l'industrie, des postes et des télégraphes, -inistère .bCI' IlUili l'organisation des finances. des transports maritimes t rC!a t" et de la marine marchande. servieIes du personnel des Décret fixant la tàxe des lettres échangées v cédant edesfi,lrieur Permanents du matériel et du avec le Luxembourg (page 263). de l'administration cennnances du

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Icle let1912

à.

(page 219). n'elogement dans les bâtiments

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'ttihisVcPx,

des finances (page 219).

lIiuistère

DOrta becpet

Médailles des postes et des télégraphes (page 263).

Ministère de la reconstitution industrielle. Décision interministérielle rapportant certaines décisions relatives à la répartition des matières (page 268).

de la guerre. darn-let Cpago220). d'une école d'e genrelatif àles la éintégration lesQsét h^ents des sous-officiers Pensions. — Concession de pensions (guerre) i , (page 268). pénitentiaires versés combattantes (page 220): Nominations à des emplois réservés (page 269). 3 et toutzagère t ntlordre u tifQijo corps auxquels la attribuée (page 221). PARTIE NON OFFICIELLE fioQ'd,gux de l'armée (page 227). Avis, communications et informations. ilire (pAonneu!' tableauxspéciaux spéciauxde de laLéLé(pftge237), rtt

hesunités formant aété ,

PARTIE OFFICIELLE

dil

la etde14médaille mili-

MINISTÈRE DES FINANCES

Avis aux exportateurs (page 269).

Le Président de la République française,

Sur les propositions du ministre des affaires étrangères, du ministre des finances, du ministre du commerce et de l'industrie et du ministre de l'agriculture et du ravitaillement, .Vu les lois du 19 juillet 1890, du 1er avril 1914, du 25 novembre 1915, du 22 avril 1916, accordant l'admission en franchise ou des traitements de faveur à certains produits tunisiens à leur entrée en France, Vu notamment l'article 5, paragraphe d, de ladite loi, portant que, chaque année, des décrets du Président de la République, rendus sur la proposition des ministres des affaires étrangères, des finances, du commerce et de l'industrie, de l'agriculture, détermineront, d'après les statistiques officielles fournies par le .ident général da la République à Tunis, les quantités auxquelles s'appliqueront les dispositions des articles 1er, 2 et 3 de ladite loi et les articles 1er de la loi du lfr avril 1914, 1er de la loi du 25 novembre 1915 et ier de. la loi du 22 avril 1916, étendant à l'admission en franchise ou aux traitements défaveur à leur entrée en France des prodri's tunisiens visés dans dans lesdites lois, lof

conditions mises à l'admission en franchise LiHTÉfllEUB BIWSTÈRE DE ou aux traitements de faveur à leur entrée, en France des produits tunisiens auxquels s'appliquent les dispositions des articles 1", Par décret du Président de la République en 2 et 3 de la loi du 19 juillet 1890; date du janvier 1919:au là déclaration du Vu lesstatistiquesfournies -par le rési- conserl de l'ordre en date du 28 décembre 1918 portant queles nominations faites aux termes dent général de France à Tunis,

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classe exceptionnelle.

MM.Mittelhauser,

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Pierre,sous-chefde bureau

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Grivaz. sous-chef de bureau de bureau de de Duguet, sous-chef burelu Daudenarde, sous-chef de

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classe e' c!~ exceptionnelle. d a~ e bureau Roch, sous-chef de classe. classp, If CI ceptionnelle. de Segaut,sous-chef de bureau cait

du présentdécret n'ont rien de contraire aux lois, décrets et règlements en vigueur, sur la Décrète dè l'intérieur proposition du ministre Do fixées, anADt DB qu'il ainsi Art. 1er. — Sont suit, AU D'APTITUDE dans chevalier de Sont nommés grade A LA LISTE ANNEXE les qualités de produits ci-après dénommés, l'ordre national deaula Légion d'honneur DE BUREAU ordre. d'origine et de provenance tunisiennes, qui pour (Inscription président du Mithouard (Adrien-Auguste), M. bnreall admises en franchise à leur pourront municipal conseil de entrée en France du 1" juin 1918 au 31 mai M. Vallon, sous-chef de nllilalCS' Conseiller municipal de Paris depuis 1898 et détaché au ceptionnelic, prévoyance 'Sociales. 1919 dans les conditions (susvisées président de cette Assemblée depuis juin 1914. travail et de la Titresexceptionnels en qualité de président dl1 Pfj llie bureau (:cret Animauxvivants. du conseil mûnicipal de Pasis, de la 2e com.r de décte sous-chef (ravitaillement), mission de membre grade de du et Au tètes. 1.300 aU conformément de comité défense de Paris, s'est toujours ancienneté, sa1.200 Anes et crifié, pendant quatre années de guerre, aux 26 mars 1914). Cadel,rédacteur principal cP' - de 24.000 c sse intérêts de ses concitoyens, montrant aux 50.000 — heures les plus graves le calme nécessaire et le MM. principa 2ec1 c1a' ')e le plus réIléchi. courage rédacteur Renaud, e, 5.000 M. Lamotte (Louis), chirurgien à l'Hôtel-Dieu Peigné, rédacteur Delamare, rédacteur pnn^P clas „e ;c ciass«jr« cl < Gibier vivant ou mort de Beauvais de 2e rédacteur Bidaux, kilogr. 1.500 dede3ecl;lS (sanglier, tortues, A fait l'objet de la citation suivante à l'ordre Se. d1* de principal principe1 le 3e la 2° armée, le juillet 3 1915 (croix de guerre Dortu, rédacteur — avec palme) : Bien que libéré de toute obligarédacteur Astima, Viandes frigorifiées. plaS^i<je3 tion militaire s'est consacré avec la plus louaIsaac, rédacteur de lre pnncJljw ble abnégation traitement blessés hosdes rédacteur Fournier, prlnCIpal Bœufs. 100 équivalant à 1,000 têtes. pitalisés dès le au lasS de de début dans le de la rédacteur Penciolelli, serguerre Moutons. 7501., équivalant à 50,000 — vice d'hôpital qu'il dirigeait et qu'il n'a pas rédacteur lrd jri Chevalier, Porcs. 1401.,équivalant à 2,000 — quitté à l'approche de l'ennemi. S'est dépensé ° priwninal de, Rimoneau,rédacteur Art. 2. Est fixée à la somme de 15 mil- depuis dix mois jusqu'au surmenage, dans la tâche do soigner les blessés et les inBlanchard, classe. rédacteurde classe lions francs, la valeur des quantités double classe. digènes de la ville n'a interrompu son service de produits d'origine et de provenance tu- que vaincu par la maladie. classe. Louvel, rédacteur de 2e 2e nisiennes non dénommés dans les articles Touyeras, rédacteur de Capart, rédacteur de 2e-class»»» 1er et 2 de la loi du 19 juillet 1890 qui, dans les conditions de-eette loi et sous réserve Par décret du Président de la République, en et de d'ordre de commis grade date du janvier Au alphabets 1919, déclarations 4 du des exceptions prévues à son article 4, vu les ordre (établie conseil de l'ordre date du 3 janvier 1919, nar en du 1er juin 1918 au 31 mai 1919, portant pourront, , lase. i" la nomination faite aux termes du que être admises en payant en France, confor- présent décret n'a rien de contraire aux lois, MM. Bardin, expéditionnaire prniwi Dion, expéditionnaire mément aux dispositions de l'article 3 de la décrets et règlements en vigueur sur la proBressolle, expéditionnair",e-eIrecla J8e de position ministre du l'intérieur même loi, les droits les plus favorables de Est nommé grade de chevalier dans les produits similaires l'orétrangers au expéditionnaire perçus sur Dournier, i" dre national de la Légiond'honneur : Frassy expéditionnaireprlllCIP ':11 Art. 3 — Est fixée à 25,000 quintaux, la quantité -, M. Pegoud (Jean-Auguste), commandant le de raisins muscats d'origine et de de classe. 3« expéditionnaire des 're sapeurs-pompiers de Lvon. Succesprovenance tunisiennes qui pourra être ad- corps Lavergne-Burocq, sivement depuis le 1er septembre 1897, sapeur, mise en France du 1er juin 1918 au 31 mai lieutenant et capitaine commandant depuis classe. expéditionnaire de de classe. 550. Mathis, expéditionnaire 1919, avec interruption du 16 septembre 1918 le 17 juillet 1913, le corps des sapeurs-pompiers Mauduit, de prlOC la de ville de Lyon. dans les octobre inclus, conditions ipa.i 31 1918 au 1" Plus de 21 ans de services. de la loi du 25 novembre 1915. Mouloud, expéditionnaire irl Titres exceptionnels cité à l'ordre de la 'nclpal Vn-rinciPa ac Art.4. Les ministres des affaires étran- région par le général gouverneur militaire de expéditionnaire Peuhoat, février le 23 1917, attitude lors Lyon, gères, des finances, du commerce et de pour son l'inguetexpéditionnaire-pivuinlci'P®^ d'une explosion. grave l'industrie, des postes et des télégraphes, des transports maritimes et de la marine classe. marchande, de l'agriculture et du ravitaille"at8 date Par arrêté l'intérieur du ministre de en sont chargés, ment chacun en ce qui le du 6 janvier 1919, en ,,-'eur , arrêté du ministre de Par concerne, de l'exécution du présent décret. d Vu los articles 4, 13, 14 et 15 du décret du du 6 janvier 1919 : é(.ret Fait à Paris, le 31 décembre 1018. 20 de' 23 février modifiés par ceux du 20 décembre de 4, 13, li et 15 articles les Vu 1910 et 2(5 mars 1914 des H. POINGARE. ceux Vu l'article 5 du décret du 4 juillet 1912; 23 février 1937, modifié par }9l2 Vu les listes d'aptitude dressées le 12 dé- cembre 1910 et 26 mars 191.4, Par le Président de la République t 4 drefédesMe du décret du cembre 1918 l'article après 5 avis Vu du conseil des direcLe ministre des affaires étrangères, teurs, conformément aux articles 4,13 et 14 ; Vu le tableau d'avancement STEPHEJI PICHON. Prél'ile Vu les attestations de l'affichage prévu à cembre 1918, après avis du pré"t.¡1¡¡ Le ministre des finances, l'article 15 des listes d'aptitudejau siège de tcurs, conformément à l'article l'afflcha,, aUs de attestations les chaque direction Vu service d'avanceni,e pnt ou L.-L. KLOTZ. a Vu les réclamations formulées conformément l'article 15 du tableau f01'rnél1Ja" Le ministre du commerce, de l'industrie, à l'article 15; de chaque direction ou service ; Oféressé Les réclamants et intéressés dûment entenVu les réclamations formulées 4es postes et des télégraphes, ai appelés; l'article 15, les réclamants dus a ou date des transports maritimes eoOa appelés entendus l'avis du directeurs conseil des ment Vu date ou en des directeurs <i1nrpef5°t,1® du conseil et de la marine marchande, l'avis du 4 janvier 1919: Vu Sur la proposition du directeur du person- 4 janvier 19ia ; CLÉMENTEL. soit proposition du directeur la Sur nel, ainsi' 1'adlj}r' Le ministre de Vagriculture Est définitivement arrêté Sont définitivement arrêtées ainsi qu'il suit et du ravitaillement, les listes d'aptitude du personnel de l'adminis- tableau d'avancement du personne VICTOR BORET. nistration centrale tration centrale

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Paris.

Chevaux. mulets.

Bœufs. ;Ioutons. Chèvres1.000 etc). Volailles8.000

Porcs.

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L'exequatur a été accordé à M. José de Sousa Oliveiro Daun e LorenaRibeiro, vice-consul de Portugal à Melun. L'exequatur a été accordé M.XavierDuprat, Çice-consul d'Espagne à Saint-Gaudens.

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LISTED'APTITUDE TABLEAU D'AVANCEMENT alphabétiqu (établi par ordre Au grade de chef de bureau (établie par ordre d'ancienneté conformément au décret du Chefs de 26 mars 1914). escep1 Présentés pour la classe M. Perrot, sous-chef debureau de classe exceptionnelle. M. Iluot.

burtait.

la on,laBe ciasse:MM. Rocher,

}lour C)1relllsse our -.laSeC 8Sse: MM.Eon,Lemarquant. 1 Coussol,

aoTaillandier.Ardouin,

;

Vu l'arrêté du 17 août 1918 qui a modifié l'article 15 du précédentarrêté

Décrète:

gjujBidault résentés SOUs-chefs Püur de bureau.

Art. 1er. — L'article 15 de l'arrêté duJorluillet 1912, complété par l'arrêté du 17 août 1918, l;i classe exceptionnelle: est modifié ainsi qu'il suit osqUler, Duguet, : POUr Pierre et SeArl; 15. — Le ministre de l'intérieur arrête, d'après les besoins du recrutement, la liste d'admissibilité aux emplois de commissaire de : MM-Estève' Lange. Caste, errier et S\e MM, Canicau, Jocard, La- police et de commissaire spécial de police adjoint de la police des chemins de fer. Les candidats admis sont nommés, au fur et à mesure des besoins, inspecteurs de police AQcnts spéciaux. Pourunealimentation spéciale, élèves commissaires, et invités à suivre pendant trois mois des cours pratiques et professionnels de police spécialement orgae Martinet. 500 fr. : nisés.pour eux. A la fin de ces cours, ils subisont sent leur qui les matières examen un sur Rédacteurs. oUr été enseignées. Ils peuvent, en cas d'insuffioUrllier d'Ifcteurprincipal réd sance, être ajournés et convoqués pour suivre de 2* classe une seconde fois les cours, mais si. après cette période de trois mois, leurs notes sont nouvelle M., Fortldacteur principal de3e classe: eort. Isaac, inférieures à la moyenne, le bénéfice encore 5 hildauxaPart,Cliarau delaTallhède, Letors. de l'admissibilité leur est retiré. Les inspecteurs de police spéciale, élèves î'"icmasTmiv Penciolelli, 1reclasse: MM.Auvray, iC commissaires, ayant subiavec succès l'examen. Vri0Uvel Patronnier de GanM,» d'être dont il vient question, sont nommés Rumen, Saf- commissaires de police suivant les nécessités 2e MM. du service ; ils ne sont définitivement titulariclasse: MM. Breton, sés dans leur emploi qu'après un stage d'un PourVariQG rédac tourteau, Giraud, Séj our- an et sur l'avis favorable du préfet ou du chef de service. Loth, 3e classe Si Tavis du préfet ou du chef de service est MM. de Langenarln. défavorable, le stagiaire peut être immédiatement licencié. Le stage n'est dans tous les mu d'ordre de comptabilité. J boU cas renouvelé que pour une année seulement, l' la ja après laquelle celui, qui a bénéficié de cette :: ÛDscaynCtt cI Va'ltfasclcazalS,exceptionnelle MM. Brun, mesure de bienveillance est définitivement pcel,Zirneitraud,Desvignes, Ory, Dieudonné, Le- remercié s'il n'a pas donné toute satisfaction. Ne sont pas assujettis au stage les candidats Rolland, Pédriolat, OurCo qui ont exercé pendant deux ans au moins d'ordre et de comptabilitéde les fonctions d'inspecteurs de police mobile ou GiaITerrl, Ilorpin. spéciale. Art. 2. — Le directeur de la sûreté générale est chargé de l'exécution du présent arrêté. Pourexpéditionnaireprincipal Fait à Paris, le 6 janvier 1919. l'\,: de 2e classe : ber J. PAMS. j»Q°r!1ar§f^^0nnaire 1

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de lre classe MM. de Ossel. de 2' classe MM. IIer-

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Sténo-dact Y pour

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ographes auxiliaires. 'Z' ,

une uneugOlcntation f de 200 fr.: Que

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—4——————— Ininistrede l'intérieur en date dont l'effet est fixé au 1er jand'avancementdu

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du 3 mai 1916 fixant les condiMe] aUXilucment d'avancementduperf !fa 111»^téri„18 novembre1910,fixant LWSH »m en0(lapfi ^raplie iSt¡téno

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fixant les du concours de !Dracli°ricen auxiliaire à l'admiraie ; liecl:S'erbislon ministérielle approuvant le COncours du 1er mai 1918 et 1tUr sUifnombre candidates ayant subi les Ht ladn Pnr cours et l'arrêté du 10 mai 1918 des admissions à effec•il ce concours; tel b. irlierUcie-Anaïs), du directeur du personnel 'Ct"l Itrlier ,Jltra.llle,l'cele auxiliatre ( hommée sténoest '2*4h à l'administration rJ^tr,lacement indemnité de 1,800 fr. autres fonctions.de Mlle,Manceau, 1910,

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surveillante

de 1,200 à 1,800 fr. par an. Une retenue de 200 fr. sera exercée sur ce salaire lorsque la titulaire de l'emploi sera logée. Dames compteuses auxiliaires et ouvrières professionnelles 3 fr. 50, 4 fr. et 4 fr. 50. Hommes d'équipe 5 fr., 5 fr. 50 et fr. Les avancements dans ce personnel peu-

; :

vent être accordés, après une durée minimum de service dans la catégorie immédiatement inférieure de deux années pour les dames lingères économe et dame compteuse surveillante, ainsi que pour les hommes d'équipe, et de trois années pour les autres agents. Ces avancements ont lieu de la manière suivante 100 fr. par an pour les dames rémunérées par un salaire annuel, 25 fr. par mois pour les agents rémunérés par un salaire mensuel et 50 centimes par jour, pour les agents rémunérés par un salaire journalier. Surveillants des caisses et surveillants de salaire journalier de 2 fr. à 4fr. 50. portes salaire de 2 fr. 50 à 3 fr. par Grooms jour. Art. 3. — Les agents peuvent être admis à bénéficier chaque année d'un congé de quinze jours, sans retenue de salaire. En cas de maladie dûment constatée, les agents peuvent obtenir un congé de trois mois S'ans retenue, suivi d'un autre congé .de trois mois à demi-salaire. Art. 4. — Les contremaîtres, ouvriers, hommes d'équipe non susceptibles d'être nommés gardiens de bureau et les agents du personnel féminin continuent, conformément aux dispositions desdécrets du 1er novembte 1913 et du 31 mars 1915, à être placés sous le régime de la caisse nationale des retraites pour la viellesse, avec prélèvement de 4 ou de 5 p. 100 des salaires MINISTÈRE DES FINANCES et bonification égale de la part de l'Etat. — Les autres agents restent placés sous le Le Président de la République française, régime des retraites ouvrièreSi conformédispositions ment la loi avril de du 5 aux l'article Vu 144 de la loi du 18 juillet1911 1910. la loi Vu de finances du 29 juin 1918, Transitoirement, cinq dames compteuses Surlaproposition duministre desfinances, et ouvrières lingères comprises parmi les vingt-deux dames désignées à l'article 1er, Décrète : mais qui sont actuellement placées sous le Art. 1er. — Le personnel des auxiliaires régime de la loi du 9 juin 1853 seront mainpermanents du matériel et du service inté- tenues sous ce régime en cas de vacanrieur de l'administration centrale des finances, les dames et ouvrières qui seront nommées en leurs lieu et place compteront ces comprend 3 surveillants conducteurs des travaux. dans le personnel auxiliaire et seront, en conséquence, placées sous le régime de la 1 chauffeur gardien de nuit. caisse nationale des retraites pour la vieil9 contremaîtres. lesse. 43 ouvriers professionnels. Art. 5. — Sont abrogées toutes les dispo1 dame lingère économe et 1 dame compsitions antérieures en ce qu'elles auraient teuse surveillante. 20 dames compteuses auxiliaires et ou- de contraire au présent décret. vrières professionnelles. Art. 6. — Le ministre des finances est chargé de l'exécution du présent décret qui 30 hommes d'équipe. 48 surveillants des caisses. sera publié au Journal officiel et inséré au Bulletin des lois. 44 grooms. Fait à Paris,le 31 décembre 1918. Art. 2. — Les taux des salaires de ces agents auxiliaires sont fixés de la manière R. POINCARÉ.

;

Surveillants conducteurs des travaux : 300, 325 et 350 fr. par mois. Chauffeur gardien de nuit 12 fr. par jour. Contremaîtres 8 fr., 8 fr. 50, 9 fr., 9 fr. 50

etlOfr.

: :

Par le Président de la République Le ministre (les finances, L. -L. KLOTZ.

Le Président de la République française, Vu l'article 56 de la loi de finances du

6 fr., 6fr. 50, Ouvriers professionnels dans les départements, février fr., fr. fr. 50, fr., fr. 25 7 8 8 50 et 9 7 1901 ; spécial de police adjoint de Sur laproposition du ministre des finances, Dame lingère économe et dame compteuse

Décrète

Décrète: Art. leP. — Le logement composé de six pièces, laissé vacant dans les bâtiments du ministère des finances par M. Tourot, inspecteur du service intérieur, appelé à d'autres fonctions, est attribué, à titre gratuit, à M. Parnaudeau, son successeur. Art. 2. — Cette concession est révocable de plein droit si les besoins du service

TITRE

BUT DB L'INSTITUTION DB L'ÉCOLB DEGENDARMERIE, SON RECRUTBMENV

Art. ltr, — L'école de gendarmerie, instituée à Versailles, a pour but î 1° De donner aux officiers provenant des corps de troupe de toutes armes, ayant satisfait aux examens d'entrée, les connaissances techniques et pratiques spéciales, ainsi que les méthodes de travail particulières quileursont indispensables pour faire remplir à la gendarl'exigent. merie sa missiou essentielle et de les mettre à Art. 3. — Le ministre de finances est même d'exercer leurs fonctions de commanchargé de l'exécution du présent décret, qui dant d'arrondissement dès leur prise de comsera publié au Journal officiel et inséré au mandement 2e De compléter et perfectionner l'instrucBulletin des lois. tion générale et technique des gradés de l'arme admis après concours comme élèves aspiFait à Paris, le 28 décembre 1918. rants, et de leur donner l'aptitude professionnelle nécessaire R. POINCARÉ. l'unité de docEnfin, tous de donner à 3° Par le Président de la République trine. des finances, Le ministre Elle prend le nom d'école de gendarmerie. * L.-L. KLOTZ. Art. 2. — Des instructions ministérielles fixent, pour chaque catégorie de candidats, les conditions d'admission. Le nombre des admissions est fixé par le ministre d'après le chiffre de vacances à préMINISTÈRE DELA GUERRE voir, et en tenant compte des proportions indiquées aux articles 43 et 44 du décret sur l'organisation et le service de la gendarmerie.

;

RAPPORT AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE PRANCAISJr

Paris, le

décembre 1918.

TITRE III

Mais, en raison des méthodes de travail particulières à la gendarmerie, ils n'acquéraient

GEORGES CLEMENCEAU.

L'école relève directement du mtnistre de la guerre en tout ce qui concerne l'organisation, l'instruction, la discipline et la désignation des instructeurs, et du général gouverneur militaire de Paris,pour les questionsrelatives à l'installation, l'aménagent des locaux et la fourniture au matériel. Elle est placée sous la haute surveillance du général commandant le 1er secteur de gendar-

ment.

;

PERSONEL

ï. Le commandement de l'école esl à un chef d'escadron ayant a l'égard des élèves et du personnel de l'école les mêmes Art, confié

droits qu'un chef de légion. Il a à sa disposition deux capitaines instructeurs el professaurs et un capitaine d'un des corps de troupe montés de la garnison pour les exercices d'équitation. En outre, un personnel secondaire est employé aux divers services intérieurs de l'école et à la tenue des écritures. Un médecin-major, désigné par le général gouverneur de Paris, assure le service sanitaire de récole. TITRE IV INSTRUCTION — DTJRKE DES COURS

;

Art. 5. — Les programmes détaillés de l'instruction sont arrêtés par le ministre le général commandant de secteur en sasure l'applica-

tion.

Art.&—La série des cours réservés aux

offi-

ciers a une dDrée normale de trois mois, celle des aspirants, une durée de sept mois. Tout élève qui, pendant son séjour à l.'écote est reconnu incapable de suivre les coupsauec fruit, peut être, par décision ministérielle, et sur la proposition du commandant de l'école, renvoyé à son corps ou à sa légion. Les dates de commencement et de fin de chaque série de cours sont fixées par le mi-

nistre.

TITRE V Le Président de la République française,

SOBTIS

DISCIPLINE

..tif

cornol"5.1io

Art. 8. ordtlde aO8 classésPui Jceto~ les élèves sont examinés par co» et ministre ul Co désignée(Dans le par q chaque ora4eestsou^ les officiers.) LaHsto grade ~-rade établie en e3 (Dans chaque mérite. f geO définitive .-^1 n6 ministre qui l'arrête ^on class Art. 9. Les officiers une.hon. pas immédiatement nommésunnomi.nnatioM'j'or* merie, sont envoyés dans leur faire unstage jusqu'à des vacances Leséléves-aspira,ntsDOfolitPto. lieu dans la limite défauf dre de Art.10. l'examen défiatdo de stage. A la suite de à 0u>

les

}eS

,t ,aS laPu«p ,

classement. : à aspirants,

sont nommés sous-lieutenams vacances,

t- 'r:,,15Cnta r Vit TITRE GÉNÉRALES m'~'efpr'c~d{te ~t~ DISPOSITIONS

Art. 11.

Des règlements detallfoD

Ofagit

minent lesdispositions deîmsullCtioD. J'école, l'admission des élèves, de intérieur service nistration, le jau yier Art. 12. Le décret du 3guerreuisefaP Art.13. abrogé. Pt ta Le ministre de la qui se décret à de l'exécution du présent .t bliéauJournalofficiel, j 1918. Fait à Paris, le 31 décembre

j 0

, 1\.

ORGANISATION

Monsieur 1J Président, Avant la guerre, les officiers des corps de troupe classés après concours pour être admis dans la gendarmerie attendaient à leur corps d'être nommés. Ce n'est donc qu'après avoir acquis par un travail exclusivement personnel les connaissances techniques indispensables qu'ils se merie. trouvaient placés à la tête d'un arrondisse-

que tardivement la pratique du commandement et du service spécial qui leur étaient confiés. L'état de guerre n'a permis, jusqu'à l'heure actuelle, qu'à un nombre très restreint d'officiers de concourir pour la gendarmerie en raison des modifications récentes apportées aux conditions d'admission, les candidats sont dévenus plus nombreux et il y a lieu de remédier à leur défaut de préparation inévitable, ainsi que de les mettre rapidement à même de remplir leurs fonctions, dès leur prise de commandement. Pour atteindre ce but, it est nécessaire de grouper, dans une école à créer, les officiers des corps de troupe ayant satisfait aux examens préalables, pour leur donner l'instruction technique et pratique indispensable. En outre, les cours de cette même école seraient suivis, dans une série spéciale, par les élèves aspirants, et ainsi serait réalisée, dans recrutés dans des milieux un corps d'officiers si différents, l'unité de doctrine et de méthode nécessaire pour faire remplir à la gendarmerie, dans la plénitude de ses moyens, sa mission essentielle qui est de veiller à la sûreté publique. Si vous approuvez ces propositions, j'ail'honbien revêtir de neur de vous prier de vouloir votre signature le projet de décret ci-joint. Veuillez agréer, monsieur le Président,l'hommage de mon respectueux dévouement. Le président du conseil, ministre de la guerre,

A lafin pB dechaque BXÀMENS

TITRE II

Art. 3.

TITRB VI

République: Ulrf4 Par le Président de la ltJ g de Leprésident du conseil, ministre 4 GEORGES

0------

CLEMENCEAU.

—————————

11\ AcAl

RAPPORT

RÉPUBLIQUE AU PRÉSIDENT DE LA

décembre

1918.

Paris, le 4^. Monsieur le Président, tel reconstituti^ on go~~ Me cadre des Pour permettre la établisseeIldepénl 115 pén était à lamobilisation, du ciers du service des tiaires militaires, il des mesures permettant la q' Ci,provie,, 0% sous-officiers cadre des ce et qui, soit sur leur demande, aUcofl 1917, tion de la loi du 10 août intérètdesSOUS sés dans les unités combattantes des S ti nécessairededataotl la guerre d»"1 Mais, pour sauvegarder les officiers en cause, il est unernpicedesdl à ceux d'entre eux qui ont de® J service le grade de sous-officier, & la n0Ssessl°'gfli le à celui qu'ils avaient dans réintégra en blissements pénitentiaires, aJlCJen Sittlatiop-àC cet emploi lors de leur temps que la conservation de IelllI Il importe de même de réll(,"C la Prételldre inr:ptioO atit' pas été ceux qui, n'ayantnormalement ie^ tion, pouvaient <% fi fait de leur [l1°Wa:nte..ff' avancement du d'avancement de des bleau d'avancement au blissements pénitentiaires col'Inbilttatitcunité versement dans une DPr soumettre ehaulC vouo du l'objet du projet Tel 31

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l'honneur est de bation.

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mage deagréer, monrespectueuxdevou monsieur le Veuillez 11>'"

ministre GEORGES du conseil,CLEMENCEAULeprésident

>TnÇaise'

Le Président de la République Vu la loi du 14 avril 1832 sur cff dans l'armée 1917 fixanti»es marsi.^gng Vu l'ordonnance du 16 de-9 eilig app*»rrLu Vu la loi du 10 août

;

• alj

jflr

tions aux unités combattantes Art.7.—Lesélèves qui se mettraient dansle officiers, sous-officiers et sofdats Sur le rapport du ministre de la guerre, Vu le décret du 20 mai 1903 sur l'orgamsatîen cas d'être exclus de l'école font l'objet d'un à Vanaée active et à la réserve de présidentoO'stll et le service de la gandarmeria; tive ; rapportau ministre. Vu le décret du 3 janvier 1901, portant créale rapport du Ceux qui seraient exclus ne pourront être tJoP d'une école d'aspirants degendarmerie, nistr©d« la guerre, réadmis.

Sur

-, s

Uécrète

llitaire oété versés pendant la pA917.pourone combattantes, soit vode UxqUi application ce service. de la loi du leur demande, être qU.rIOUS"Officitdn Art, ,

iip I\C ! lTlititaS (OUS-?fficiers 'it~~sq'iues etatbhssementsdu service dela pénitentiaires tontalternentesfiltés ïéiQaotîûttfent>sofi?n«»

de-sousofficier,d'unemploi POssession, le grade qu'ilsOceuaie,ntdans leservicedans desétablissecetemploicoHUres,seront supérieur a celui

tcet

emploi emploilëesPodant leurancienneté. réintégrés dans et conserveront dans

e^rés dansl'emploi JUdantaonrémtegrésdansremploI la

tit' et ceux q ommation d'adjudant ?4t»t Pt re avecuneancienneté

remontant à îi gr:dront rEgrre.sans à l'emploi d'adjuceuxqui tem graftm raSfJlVUr ? auront n t été, nommés officiers avoir été adjudants grade d, °fflcier. de leur nomination au lonprorn'lers QrnltsSUr n'ont pas été l'objet IOt bdlansquileur Scrits le tableau d'avancement tiotedsseronttabhssements et qui étaient arme leUr des sousans Ce se Pomus nouvel pénitentiaires mise"ice leur ancienneté dans Hntrenni1^6! emn1i(2\remontera' sansréintégrarappel de lorsde leur sold clGr e,àétait a dIltedela.promotionsans rappel de la ciere, qui du sousoffit itserit Inl médiate ment après cha8 déilstleantlesquels ministérielle fixera les répartitidevront les demandes de rptitjo es SOUS-officiees être formulées, le mode tion et unernan'èOmptabilité l réintégrés dans d'n lces de n( et de surveillance, générale, toutes les condide1 3, LIondu 401 gUerreeprésident Présent décret. 8enta uh£ret,oiiiL*»ra du conseil, ministre qità.Par'que de l'exécution du prépublié au Journal officiel Ki14 lançaise.

s0r e

date

Unp taDleau. Struction

•

ièrb 4t -

tchargé

1S, le 31 décembre 1918. Présidellt de le

R-POINGARÉ. : Quo "Ilbe8lafi

prettlentduconseil,la République ministre de la guerre, CLEMENCEAU.

l\£G(£

auquels

FORMANT CORPS

de oUrapère ibyctc double aux couleurs des a !-e,YLon opY.Peaété d'honneur et de la Croix conférée par le général com^:hnleenaj*%cution les armées du Nord et du ObOItCéde de la circulaire minis11i)

Cltef

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Cttations D., du

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C^AR

février 4918, avec à l'ordre de l'armée régiments et unités. 22

'coelai9sous les mai,sousles ordres lieuordresdu dulieu-

te i

DE LA LÉGION ÉTRANGÈRE

Ositioallemandetrèsfortementretrans'ost ilUemandetrèsfortement retranbOI)<l avecun \ln en toh entraCé élan SuPerbe, gagnant e à l'attaque officiers l'attaque, offleiers en tête, t"li v"etw!Usieur<ukiliomètres Superbe, gàgnant d'un seul ^'Iji-IS(>«n^-V^a1106dedel'ennemi feu terrain,etle malgré et le feu 2»j>*>•)ai^eus(?s'—(Ordredu8sepchée

i'0Icmvivp 17octobre1915,sous

{h ii eïen vchmement

»'WHUaUtés OSit'd.eSllc

d'un

du 20 septembre au

le commandement Idu

eOT, a fait preuve des plus ?sprif',°sacriiiC??'est Courage, d'entrain et d'endu-

sePtebre, avec un admirable tallait lancé à l'assaut d'une \'¡Cl'éesallies, enlever à tout prix et, f dense des mitraili est parvenu jusque, dans les 8 alu l (Ordre du 30 jantu;le

?siti^!K1!

aades. etennemies u s'cst élancé PsSuperbes, 25"s

despo;P!ernbre 1915, à l'as- un entrain avec %<o (Orir.réparant, faisant de nombreux pride plusieurs mitrail,tb:rSO\1s fnergique i-é 'e du 30 janvier 1916.) saut

r, 'Ie lie elI.p"ltellant-colonel

commandement de lie de Uulliet916,d'enleverunCOT, le régimentson de il étrangère, chargé, le eUrQtuns'est village fortement élancé entrainremarquables, à l'attaque lcÉ510n

a conquis le village à la baionneite, brisant la résistance acharnée des Allemands et s'opposant ensuite énergiquement toutes les contreattaques de renforts amenés dans la nuit du 4 au 5 juillet 1916. A fait 750 prisonniers dont 15 officiers et pris des mitrailleuses. — (Ordre du 27 août 1910.) 5° Merveilleux régiment qu'animent la haine de l'ennemi et l'esprit de sacrifice le plus élevé. Le 17 avril, sous les ordres du lieutenant-colonel DURIEZ, s'est élancé à l'attaque contre un ennemi averti et fortement retranché et lui a enlevé ses premières lignes. Arrêté par des mitrailleuses et malgré la disparition de son chef, mortellement touché, a continué l'opération par un combat incessant de jour et de nuit, jusqu'à ce que le but assigné fût atteint. Combattant corps à corps pendant cinq jours et malgré de lourdes pertes et des difficultés considérables de ravitaillement, a enlevé à l'ennemi plus de deux kilomètres carrés de terrain. A forcé, par la vigueur de cette pression continue, les Allemands a évacuer un village fortement organisé, où s'étaient brisées toutes nos attaques depuis plus de deux ans.- (Ordre du 7 mai 1917.) 60 Le 20 août 1917, sous l'énergique impulsion de son chef, le lieutenant-colonel ROLLET, s'est élancé à l'assaut d'un village et d'un bois puissamment organisée. Malgré les difficultés du terrain, les a enlevés avec une telle fougue, qu'en dépit de nos propres barrages, il a dépassé l'objectif final qui lui avait été assigné, à près de 3 kilomètres de son point de départ. Entreprenant aussitôt une nouvelle action, qui n'avait été prévue que pour une date ultérieure et dans une direction toute différente, a fait preuve de ses belles qualités manœuvrières en se rendant maître d'une série de hauteurs, puis d'un village dont l'enlèvement avait coûté précédemment de lourds sacrifices à l'ennemi. A ainsi assuré la possession d'un front de 2 kilom. 503 et la capture de 680 prisonniers, de 8 canons et de nombreuses mitrailleuses. — (Ordre du 20 septembre 1917.) 70 Le 26 avril 1918, sous le commandement du lieutenant-colonel ROLLET, animé d'une indomptable énergie et du plus bel esprit de sacrifice, s'est magnifiquement élancé à l'attaque du bois de Hangard et du plateau au sud de Villers-Bretonneux, remplissant sa mission malgré une résistance opiniâtre de l'ennemi. S'est cramponné ensuite au terrain conquis, résistant successivement à cinq contre-attaques, maintenant intégralement les gains de la journée et contribuant, par son héroïsme, à briser la ruée de l'ennemi. — (Décision du général commandant en chef du 8 juillet 1918.) 8° Magnifique régiment, qui, sous les ordres de son chef, le lieutenant-colonel ROLLET, dans la dure période du 28 mai au 20 juillet 1918, vient de rehausser encore sa répution par sa vaillance, son énergie et sa ténacité. Les 30 et31 mai, a arrêté net la ruée ennemie et maintenu intégralement ses positions. Le 12 juin, avec des effectifs extrêmement réduits, a réussi à briser une attaque ennemie très supérieure en nombre et a causé à l'ennemi des pertes considérables. Le 18 juillet, a enlevé, avec un entrain merveilleux, une succession de positions puissamment fortifiées. A ainsi atteint d'un seul élan son objectif situé à près de quatre kilomètres des premières lignes, capturant plus de 450 prisonniers, 20 canons et un nombre considérable de mitrailleuses et de minenwerfer. Dans la nuit du 19 au 20 juillet, a mis une fois de plus en valeur ses incomparables qualités manœuvrières en débordant par le nord un ravin où l'ennemi avait accumulé de nombreuses défenses, faisant tomber toutes les résistances et réalisant ainsi une avance totale de près de 11 kilomètres. S'est maintenu énergiquement sur la position conquise en dépit des violentes contre-attaques ennemies. — (Décision du général commandant en chef du 27 août 1918.) 9° Régiment d'élite, qui, au cours des opérations du 27 août au 16 septembre 1918, sous le commandement de son remarquable chef, le lieutenant-colonel ROLLET, vient d'affirmer une fois de plus ses hautes qualités militaires. Le 2 septembre, au famué mépris c%ris des feux croisés de mitrailleuses qui fauchent ses vagues d'assaut, il progresse jusqu'à son objectif qu'il atteint et organise il s'y maintient, repoussant de puissantes contre-attaques. Du 3 au

;

septembre, par des combats incessants nuit et jour, dans une atmosphère saturée de gaz, sous de violents bombardements et des rafales de mitrailleuses, pied à pied, à la grenade, il pousse ses lignes en avant, en un effort d'une héroïque constance. Le li septembre, avec une fougue admirable, après douze jours de lutte très dure, il enlève un des saillants réputés inexpugnables de la ligne Ilindenbourg, y cueille plus de 500 prisonniers, des canons et une grande quantité de matériel. — (Décision du général commandant en chef du 27 octobre 1918.) 13

RÉGIMENT D'INFANTERIE COLONIALE DU MAROC

Sous le commandement du lieutenant-colonel LARROQUE, le régiment a mené dans les journées des 17, 18 et 21 décembre, de nombreuses attaques. Il s'y est conduit de la façon la plus glorieuse, sans s'occuper de ses pertes. — (Ordre du 12 janvier 1915.) 2° Sous le commandement de son chef, le lieutenant-colonel REGNIER, a conquis pied à pied, puis dans un magnifique assaut les deux tiers d'un village ruiné très important pour la défense où l'ennemi était formidablement retranché. Un pâté de maisons formant réduit, restait encore aux mains de l'ennemi, le régiment colonial du Maroc qui devait être relevé, a spontanément demandé à rester sur le terrain jusqu'à ce qu'il eut achevé son œuvre. A complété brillamment la conquête du village dans la nuit suivante. A remarquablement organisé la défense des ruines du village dont la conquête a été intégralement maintenue.— (Ordre du 25 août 1916.) 30 Croix de la Légion d'honneur conférée par décret du 13 novembre 1916. (Journal officiel du 16 novembre. 40 Le 15 décembre 1916, sous l'énergique commandement du lieutenant-colonel REGNIER, qui, blessé la veille, avait refusé de se laisser évacuer, a, d'un seul et irrésistible élan, enfoncé les lignes ennemies sur une profondeur de 2 kilomètres, enlevant successivement plusieurs tranchées, deux ouvrages et un village fortifié, capturant 815 prisonniers, dont 20 officiers et prenant ou détruisant 16 canons, 10 canons de tranchée, 23 mitrailleuses et un nombreux matérielde guerre. (Ordre du 1"

août 1917.) 5e Régiment d'élite. "DUS l'énergique commandementdulieutenant-colonel DEBAILLEUL, a, le 23 octobre 1917, par une manœuvre audacieuse, difficile et remarquablement exécutée, encerclé et enlevé de haute lutte les carrières de Bohery s'est emparé ensuite des lignes de tranchées du Chemin-des-Dames que la garde prussienne avait l'ordre de défendre à tout prix puis, pdu'airst,progressant illerie encore sous un feu violent et de mitrailleuses, sur une profondeur de plus de deux kilomètres et demi, malgré des pertes sensibles, a atteint, avec un entrain admirable tous ses objectifs, infligeant à l'ennemi de lourdes pertes, capturant 950 prisonniers dont 14 officiers, 10 canons dont 2 de gros calibre, 36 mitrailleuses et un nombreux matériel de guerre. — (Ordre du 13 novembre 1917.) 60 Régiment d'élite, comptant parmi les meilleurs de l'armée française, le rég. d'infanterie coloniale du Maroc vient d'ajouter, sous le commandement du lieutenant-colonel MODAT, une nouvelle page à sa brillante histoire militaire en enrayant la ruée ennemie sur une partie du front d'une importance capitale. En particulier, le 30 mars 1918, a effectué une contre-attaque audacieuse, magnifiquement réussie, qui a permis de rétablir le front, faisant subir des pertes énormes à l'ennemi et amenant la capture de 785 prisonniers, de 50 mitrailleuses et de plus de 1.000 fusils. — (Ordre du 15 mai 1918.) 7° Splendide régiment dont la valeur et l'entrain sont légendaires. Les 18 et 19 juillet 1918, le rég. colonial du Maroc, renforcé par le bataillon LOYNET, du 8e rég. de tirailleurs, sous l'énergique commandement du lieutenantcolonel MODAT, est parti à l'assaut avec une fougue irrésistible, refoulant l'ennemi sur une profondeur de sept kilomètres, malgré une résistance acharnée, et lui capturant 825 prisonniers dont 19 officiers, 24 canons, 120 mitrailleuses et un nombreux matériel. — (Décision août du général commandant en chef du 27 2

;

1918.)

Régiment d'une Bravoure légendaire, quanime un esprit offensif hors de pair. Sous les ordres du lieutenant-colonel MODAT, vient de -se distinguer au cours des combats des 20, 21, 22 et 23 août 1918, en enlevant dans un magnifique assaut la zone de résistance ennemie qui lui était assignée. Puis, par une manœuvreaudacieuse, brillamment exécutée, a occupé le village constituant son premier objectif et s'y est maintenu en flèche à deux kilomètres du restantde la ligne. Continuant sa progression opiniâtre pendant l'après-midi et les deux journées suivantes, a conquis deux villages et plusieurs bois fortement défendus. A ainsi réalisé une avance totale de quatorze kilomètres, faisant 1,037 prisonniers dont 24 officiers et capturant 20 canons, 8 minenwerfer et 76 mitrailleuses. (Décision du général commandant en chef du 28 septembre 1918.) 90 Au cours d'une progression victorieuse, marquée par quatre jours de combats acharcommandement du lieutenantnés, sous colonel MODAT, a encore surpassé ses précédents exploits. Chargé, le 20 septembre 1918, de la conquête dé Il butte du Mesnil et du plateau de Grateuil, le régiment a successivement engagé, sous les ordres du commandant DOREY, du capitaine ALEXANDRE du commandant MARCAIRE, ses trois bataillons qui,, manœuvrant avec une extrême vigueur, ont progressé sans trêve, tenant tête aux contre-attaques furieuses de l'ennemi, lui infligeant de lourdes pertes et le repoussant au delà du village de Vieux, à plus de il kilomètres de la base de départ. A capture, au cours de cette avance, 934 prisonniers dont 27 officier?, 31 canons, 19 minenwerfer et 189 mitrailleuses. — (Décision du général commandant en chef du 4 novembre 1918.) 80

<$,——————.

RÉGIMENTS ET UNITÉS FORMANT CORPS

auxquels la fourragère aux couleurs du ruban de la Légion d'honneur a été conférée, par le général commandant en chef les armées du Nord et du Nord-Est, en exécution de la circulaire ministérielle no 2156 D. du 22 février 1919, avec l'énoncé des citations à l'ordre de l'armée obtenues par ces régiments et unités. 7e RLGIUENT DE MARCHE DE TIRAILLEURS

cI ./Jin!CI" 1l JIU /{ju !

avant qui allait le placer dans une position assauts ennemis. luttant critique, s'est organisé sur la position et la corp saver une bravoon1 ad conservée jusqu'à relève, malgré toutes les du général commandant en ono contre-attaques ennemies. — {Décision du général commandant en chef du 8 juillet 1918.) 5° Régiment d'attaque de premier ordre qni, pendant les journées du 29 au 31 mai 1918, a soutenu les plus durs combats contre un ennemi nombreux et ardent. Par sa vaillance, son endurance et son esprit de sacrifice, a partout maintenu ses positions, arrêtant net les progrès de l'adversaire et lui infligeant des pertes terribles. Le 18juillet, sous les ordres du lieutenant-colonel MEXSIER, vient encore d'affirmer sa valeur ollensive en se portant à l'attaque avec un entrain remarquable, enlevant, après une marche d'approche de quelques kilomètres, plusieurs points d'appui fortement organisés, capturant de nombreuses pièces de canon, faisant des centaines de prisonniers a atteint, d'un seul élan, l'objectif normal distant de plus de quatre kilomètres de la base de départ. Au cours des journées des 19 et20 juillet, a accentué cette progression en résistant à plusieurs contre-attaques ennemies et en n'abandonnant, malgré leur violence, aucune parcelle du terrain conquis. — (Décision du général commandant en chef du 27 août 1918.) 60 Régiment animé duplushaut esprit offensif. A peine reformé, comprenant un bataillon compose de jeunes indigènes qui n'avaient jamais vu le feu, a. sous les ordres du lieutenant-colonel MENSfEil, été engagé, du 2 au 16 septembre 1918, dans des conditions exceptionnellement dures. Malgré des tirs d'artillerie particulièrement violents, dans une atmosphère saturée de gaz toxiques, a arraché à l'ennemi des positions formidablement garnies de mitrailleuses auxquelles celui-ci se cramponnait désespérement. Opposé aux régiments allemands lesplusréputés, les a bousculés, en leur causant de lourdes pertes et en leur faisant 560 prisonniers dont 3 officiers. A progressé de plus de 7 kilomètres, capturant de nombreuses pièces d'artillerie et un matériel considérable. — (Décision du général commandant en chef du 27 octobre 1918.)

;

———————

RÉGIMENTS ET UNITÉS FORMANT CORPS

1918.)

J01l1

dureteIIlentoUf'

ett !

Pendant seize jours de tr Marne posltlon de vive lrorcc 1 Q et mif plus et des prix rompus au per»fji chassél'adversaire l'ennemi de en retraite, sai gn franchi la enretraIte"saplsion Cr nues, suivi SUiVil'adversaire du l'enn; mip à laP le contact. Sous l'énergique ténacité 4°

« t repoui1 kl von5 ct

lonel SOULE, grâce à sa sistance de ses efforts, a dti on 14 de sur une profondeur mitrailleuses* fDéc^y„Vm méc~hfC 7 capturant 102 prisonniers, r# grand nombre de f général commandant en chef du

- oc

D'lr

1918.)

4le nÉGUIEXT

co100e1 tranchee, [vant le lourdS 1M1 chef, le

malg^ s'est emparé, ant pertes, des trois lignes de 1 f !j mière position ennemie. positiol iouï"s effort, a atteint la deuxième 1°

Sous les ordres de son

BOUFFEZ,

{

°!lHLallenli!!lnrfM

;

qUéltret[ordre n'Ilp1; devant laqueILe son chef a trouve ensuite glorieuse a résisté contre-attaqut conquis.^ tiers à d'incessantes cédé un pouce du terrain iDSril u¡]1tl1t sa' ; 28 janvier 1916). t corne merveille"* oÜle 2°Régiment d'élite circonstance» montre s'est de combat, toujours vaiiijnt"jieLaa, tâche dans toutes les mandement a fait appel à sa du commanderne ïM n.. 16 avril 1917 sous le cO'-"qais de tenant-colonel NIEGER, apenetrau.p^rùfoi>'' veaux titres de gloire en CerleSpo ment dans les puissantes d'enlevélesP°5, mandes, avec un enthousiasme tuosité qui lui permirent de tions sur une profondeur S'est maintenu sur le terrain gl'ièYeen 1017.) privé de chef, cad.eS, Dtre-alt que son et d'une grande partie de ses poussé victorieusement toutes les 11 eDCOl"1 ques de l'ennemi. — (Ordre du gimeiitqui 3° Suipethe Superbe ré régiment ¡ m tous ce jouter un nouveau succès commencemt à avant, 1®-nlpie Ut j\11If remportés depuis le p[g' pie campagne. Se portant en 1918, avec mission d'exécuter une Pf1 SC.tJ lève du balaillon, s'est heurté surPVitB nombre ennemi supérieur un en arrivait infiltré à travers bois et cn«!» M' H~ contact Sous de batteries. au nos et vigoureuse impulsion de son tenant-colonel NIEGER, de tet'àj.viidcjLt l'ennemi avec son bataillon PC,, la liaison avec les unités voisines ¡¡nme JaDt Pl"' ianttroial autres bataillons, a renseigné Il sous bois, menant \>op> le commandement et, P()sltiops, jours un âpre et obstiné combat se"; s;aiV]ant,nt de l'ennemi chassé entièrement l'adversau tetf®1. a réduit par un corps à corps dernières résistances de une profondeur de 3 kilomètres prisonniers ramenant plus de 109mitrailleu, .es dlJ une cinquantaine de c* sion du général commandant en août 1918.) IaPtJ 40 Magnifique régiment dont d Ino{l1pl}d ¡'¡Y Jpiia pendant qualités d'offensive ont, JeCOÍ des 26, 27 et 28 septembre 1918, toutes les résistances ennemies sur fondeur de plus de 9 tl-otll)eldang lieutenant-colonel mandement du formé.P®n a une fois de plus entraîné ses div' une irrésistible charge, les opérations l'échelon avance de Saliscee¡j ouvrant le chemin, manœuvrant des au.?»P1fl»UeS débordant la butte de Tahure, PaIltlia,). toutes les contre-attaques par devalit1951. les l'ennemi velles et infligeant à "élété5,ilà, pertes; s'est distingué à nouveau aballbuitplca:' gnal d'Orfeuil où, par ses efforts ~nn fd" contraint l'ennemi décimé à captujpt3t d jotjf^ de positions, faisant 360 prisonniers mitrailleur.rj0iC" ments d'infanterie différents, op, àriel dont 10 lourds, 131 nons cooaolsr rot et légères, 12 minenwerfer etgénérai un sidérable. — (Décision du dant en chef du 27 octobre 1918). <

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la fourragère aux couleurs du ruban lieutenant- auxquels de la médaille militaire a été contëree, par baïonnette le général commandant en chef les armées entrain superbe les positions avec un enneuit Nord et du Nord-Est, en exécution de la mies, traversant sans s'arrêter quatre lignes circulaire ministérielle n"2l5S D., du22 février successives de tranchées allemandes et ga-1918. avec l'énoncé des citations à l'ordre de gnant quatre kilomètres de terrain. S'y est arméeobtenuespar ces régiments et unité". énergiquement maintenu pendant deux jours, malgré de très violentes contre-attaques et un GGe RKGIMËXT D'INFANTERIE bombardement intensif et ininterrompu de front et d'écharpe. — (Ordre du 16 septembre 1° Sous les ordres du lieutenant-colonel 1915.) PAILLÉ, a enlevé le S mai 1917, une première 2° Sous les ordres du lieutenant-colonel DE position fortifiée devant laquelle plusieurs attaMETZ, le 25 septembre 1915, a brillamment en- ques avaient échoué.Arefoulévictorieusement, levé plusieurs lignes de tranchées allemandes le 10 mai, deux violentes contre-attaques exés'emparant à la baïonnette de plusieurs batte- cutées par des troupes fraîches supérieures ries, prenant de nombreuses mitrailleuses et nombre et achevé, les 22, 23 et 24 mai, la en confaisant un butin considérable. A poursuivi quête de toute la position ennemie en prenant l'ennemi, à travers un terrain particulièrement a l'adversaire, au cours de ces opérations, de difficile, avec un remarquable allant, a atteint nombreux prisonniers, plusieurs mitrailleuses et même dépassé l'objectif qui lui était assi- et lance-bombes. (Ordre du 11 juillet 1917.) (Ordre du 30 janvier 1916.) gné. 20 Sous les ordres du lieutenant-colonel 3° Magnifique régiment qui vient, sous le PAILLÉ, après avoir travaillé sans arrêt pencommandementdu lieutenant-colonel SCHULTZ, dant quinze jours et quinze nuits à l'organisade plus, fois de toute de faire preuve, une sa tion défensive d'un plateau particulièrement valeur offensive. Après une préparation minu- convoité par l'ennemi et battu sans interruptieuse, dans laquelle Français et indigènes ont tion par ses feux, a résisté le 19juillet 1917 à rivalisé d'ardeur, s'est élancé, le 20 août 1917, à une attaque très minutieusement préparée et l'assaut d'une position ennemie puissamment menée par des troupes d'élite (5e division de la fortifiée et où l'existence d'un tunnel exigeait garde). Après avoir reculé momentanément une manœuvre sûre et rapide. S'en est rendu sous cette poussée, a su s'accrocher au terrain maître, obligeant les défenseurs à se rendre et, par des contre-attaques locales, conserver après vingt-quatre heures de lutte, et capturant ou reconquérir les points importants du sec1,100 prisonniers, 13 mitrailleuses, 14 minen- teur. Attaqué une seconde fois, le 22 juillet, a werfer et détruisant 4 canons. — (Ordre du malgré ses pertes et sa fatigue, coopéré avec 20 septembre 1917.) des troupes venues l'appuyer, au maintien de 4° Partiellement engagé les 11 et i2 avril la ligne sur laquelle il s'était accroché le 19. — 1918. sous les ordres du lieutenant-colonel (Ordre du 17 août 1917.) SCHULTZ et ayant subi des pertes sérieuses et 30 Sous la direction du colonel SOULE, a eu de dures fahgues-, s'est néanmoins porté à ses bataillons engagés dans la bataille, le l'attaque, le 2b avril, avec un allant remarqua- 9 juin 1918, dans les circonstances les plus cri60* RÉGIMENTD'INFANTERI® neljC ble, malgré les nombreuses mitrailleuses qui tiques. Accourant au secours d'un régiment s%e$»' 'I1¡'fi! Àj lieutenan T-COJOI, lui étaient opposées. Privé d'une partie de ses menacé dedébordement, a rétabli la situation 1* Sous les ordres du cadres, n'en a pas moinspoursuivison avance. ce jour-là, grâce à son énergie et à 25 aptiTELHAUSER, le s'est élancé, son dans Arrêté par ordre son mouvement en tude à la manoeuvre; le lendemain a brisé les drapeau déployé, à l'assaut das Le 9 mai, sous les ordres du colonel DE METZ, a enlevé à la 1°

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les trois tl'iers,Poes.Plus sitionenlevé ennemie, sous tri#»Poursuivant vioants toii»rses;ahiwtne nsensuite et des plus meurSSar/d'une lourde l'ennemi sur4 kilosurletcrr de 300 prisonniers, s'est et a atteint la M^rrainlin }[llS'x position allemande. S'est maintenu

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que privé do son tierte du (Ordl'e et d'une grande parses Cadres, >J/Wa'dredu et a repoussé victorieuseles contre-attaques del'ennemi. a janvier 1916.) 2° Remarquable régiment àOrir couriretet de de,droits quide s'est [toujours VcUQ.surl«onn?meVient se signaler 01nneuroùà il y avait des risques à gagner, en Champagne, SUperbe k6 ifi^vri. 1917' en enlevant d'uu sonchef, l'impulsionDEPIREY, sous lfnpulsion entraînante trois de :InsisUr le lipm !88up ennemies successives, pénétrant nae8frontennemi profondeur de 4 kilomètres ltâ«?ihi!*depuj,, qui n'avait être enpu plus de deux (Ordre du ans. «8

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:r d'élite, qui s'est toujours montré dignedeson songlorieux NouLtar Conduit une passé. e.tousda le chef, lieutenant-colonel PIREY, vient de se distinguer eIrnse euiuiii ïlpi>s> dans les ot91®-Attaquant encombats de la Montagne et par surprise un "anshtpartbrisenetladepoussée allematlde avec audace dansla PartieçudA ennemi qui se croyait déjà 'o£n?fuisdeV du bois deGourton.Are'* forceunepartiedenotreanMUe?ePosition force une partie de notre anenontrn-î-aPris part à toutes les attaandantIS. delà de Villeau (Décision du général comQ n chet du ornbre 7 octobre 1918.) u rsde lVon)re t l9i«01offensive générale, le 26 %&E seples ordres du colonel ARpidbw sest ito«a*l'assanfj porté d'un irrésistible :J'é enlevérbbile la butte de Tahure. Par une et après un combat acharné. raPidernent liqllôt cette position dont la

l'ennemi N'e

0 Poursuivant était capitale journée. pour le succès de la lesjournéesdes l'ennemi sans répit, dans «1ptcesPositin 27 et 28 septembre, l'a chassé c:ltOInètrure,. successives jusqu'aux hauteurs 8kilomètres,faisant progressant ainsi de plus de tu,a,at5 500 prisonniers dont un audant dnt , régiment et 16 officiers capgo77batteries dont 3 lourdes, 15 pièces iton' *2m!iînîePwerfer, ornrnand 100 mitrailleuses et un matériel. (Décision du général du 27 octobre 1918.)

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REGIMENT D'ARTILLBRIK

rOUjoUr PU¡'sus tonlvisionles 1 on,ansordres <.

du colonel LUCOTTE, otijoursStlI.vi-de facilité la progression de la l'offensive de septembre. A de Vin» terie> lus antedent,lUI très près le mouvement en même sous le feu le tante aii^UsQu'anbCloenstsaecr jus e rogresser a permis, par son aide consàt"elua4de, de 4 kilomètres, deuxièmeposition de s'avanceh,Ilanae de de la deuxième position le PosiAtini1 de Prendre pied dans une partie de leterrain katfilclUes ue3 etennemi. de maintenir intégralement &qUes malgré de violentes contre19 s^b.) 20né — (Ordre du 28 janvier tr&ncs Ur né tU{lentde reche. 'Ollser"sesbelles tout premier ordre, toujours A montré en toutes circonsel'tes malgré qualités d'audace, d'énergie, sQvôr!? des fatigues extrêmes et des lionallarlt Outctoute valeur technique, tout sa Sojîédusoii01 sa souplesse. Hautement péMo^fantfl»- d'appuyer toujours au plus près I0,3nemi lui a permis de barrer la route t!Ol\char à Verdun en février 1916, de le reBouchavesnes.Enfin, 1917,sous Somme; en septembre, au delà de Champagne, le 16 avril en Colol Visi?011Parde® commandement du lieutenanta ouvert le chemin à la diericou{essionfeux puissants et précis, dans IntricoU(Ordre de 3 kilomètres jusqu'à Ber1:1 ft?eé6oS-nt du 31 juillet 1917.) t'it1.Plus d'artillerie d'élite animé de l'esmordant. Pendant la période du »fe0r»nU.Ve, au Sous 4. août 1918, Champagne, a fait en reu le vigoureux commandement de le coloner LIPS. d'une superbe tenue plusbelles iendurance la qualités plus tenace et des ÔUnu1 puissarnrnanoeuvrîères. A puissamOSltionsYec com qUalités manœuvrières. parfaite et intime par sa Infanterie, ses occupations de rapides, ses tirs précis et efficaces et

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ses changements de positions très vivement et très opportunément exécutés, aux opérations qui ont arrêté l'ennemi dans sa marche sur Epernay et l'ont refoulé au nord de la Vesle. — (Décision du général commandant en chef du 27 octobre 1918,) 4° Superbe régiment dartillerie divisionnaire qui vient une fois de plus de faire preuve des plus belles qualités d'offensive. Sous les ordres du colonel LIPS, énergiquement secondé par les chefs d'escadron MASSON, ASTlER et BUZON, a pris la part la plus active et la plus efficace aux combats qui se sont déroulés,. du 26 septembre au 10 octobre 1918, dans la région de Tahure. Par sa liaison toujours étroite avec l'infanterie, par sa progression rapide, malgré les difficultés d'un terrain chaotique, par la précision et l'efficacité de ses tirs, il a appuyé constamment l'infanterie, l'aidant à enlever de haute lutte tout un système fortifié, à pénétrer de plus de 10 kilomètres à l'intérieur des lignes ennemies et à déterminer sa retraite au delà de sa dernière ligne de résistance. — (Décision du général commandant en chef du 27 octobre 1918.) 22e RÉGIMENT D'INFANTERIE

jours avant l'offensive de Verdun, le 5* groupe d'Afrique, sous les ordres dulieutenant-colonel STRICKLER, a pris dos positions avancées non préparées, à peine défilees atix vues des observatoires terrestres, dans un terrain déjà bouleversé et continuellement bombardé, A préparé et exécuté des destructions complètes, malgré de grandes difftcltjiés de liaison d'observation, malgré ses pertes, grâce au courage et à l'abnégation de son personnel, tirant en permanence à découvert de jour sous des rafales d'obusde gros calibre, de nuit sous de violents bombardements d'obus toxiques. A maintenu pendant toute la conquête des différents objectifs par l'infanterie un barrage précis et une liaison permanente avec les premières vagues. A puissamment contribué ainsi à éviter des pertes à l'infanterie, et le terrain conquis, a empêché, par des tirs de destruction rapides et précis, toute réaction de l'ennemi. — (Ordre du 20 septembre 1917.) 30 Sous l'énergique impulsion du lieutenantcolonel STRICKLER, s'est prodigué sans compter dans les nombreuses affaires auxquelles il a pris part depuis quatre mois. A puissamment contribué à enrayer les attaques ennemies du 30 mai 1918 devant Soissons, ne se repliant qu'à la dernière minute, sans laisser un obus aux mains de l'ennemi. Le*12 juin, soumis un bombardement intense, n'a cessé d'appuyer l'infanterie avec tant d'efficacité que la violente attaque ennemie sur Ambleny a été brisée net. Au cours de l'offensive du 18 au 22 juillet, a rivalisé d'ardeur avec l'infanterie pour assurer le succès. Suivant au plus près les vagues d'assaut, en contact étroit avec une troupe, s'est mis en position dans des zones encore violemment battues par les mitrailleuses ennemies. Soumis à de violents bombardements dans la matinée du 20 juillet, a fait, par sa crânerie sous le feu, l'admiration des plus héroïques de nos fantassins. — (Décision du général commandant en chef du 27 août

Dans les attaques exécutées le 25 septembre par les 1er et 3e bataillons, comme dans les combats auxquels il a pris part les jours suivants, le 2e bataillon a recueilli les résultats de ses travaux de préparation minutieux et persévérants et fait paraître dans tout son éclat la valeur guerrière qu'il a acquise sous le commandement du lieutenant-colonel JUSTIN. — (Ordre du 21 octobre 1915.) 2° Sous les ordres du lieutenant-colonel ENGELHART, a brillamment enlevé, le 23 octobre 1917, toute une succession de lignes allemandes fortement organisées et solide ment tenues et a réussi, malgré de violentes contre-attaques, à maintenir l'occupation d'un 1918.) point d'appui qui couvrait la gauche de sa divi40 Magnifique régiment, digne des héroïques sion, contribuant ainsi, par des actions de flanc, à la capture des prisonniers réalisée régiments d'infanterie de la lre division maSous les ordres du lieutenant-colonel par les corps voisins. — (Ordre du 13 novembre rocaine. STRICKLER, s'est une fois de plus dépensé 1917.) compter au cours des opérations du 1er au sans 30 Régiment d'élite, aussi solide dans la dé- 20 septembre 1918 dans le Soissonnais. Pousfensive que brillant dans l'oflensive, déjà cité sant hardiment ses batteries en avant, a puisdeux fois à l'ordre de l'armée. Sous les ordres samment contribué à forcer l'ennemi à la redu lieutenant-colonel TRONYO, après trente traite, tant par l'appui efficace prêté à notre heures de marche presque ininterrompue en infanterie aux heures d'attaque que par la déformation de guerre, est arrivé au contact d'un sorganisation provoquée chez l'adversaire par ennemi qui poursuivait depuis quatre jours les tirs de harcèlement ininterrompus. Le une avance sans arrêt. Dans la zone dont la 14 septembre 1918, par la précision et l'efficadéfense lui a été attribuée, malgré la violence cité de son tir, a largement participé au sucla des attaques ennemies qui se sont succédé cès de l'attaque de lra brigade marocaine, pendant dix jours, pas un pouce de terrain n'a lui permettant de franchir avec des pertes miété cédé. Grâce à la vigueur et à la ténacité des nimes les formidables organisations ennemies éléments en première ligne, ceux en réserve de la ligne Ilindenbourg, de s'emparer du vilont pu être engagés avec succès pour faire des lage d'Allemant et de taire un millier de pricontre-attaques et rétablir la situation des sonniers. Malgré une réaction extrêmement corps voisins attaqués.— (Décision du général violente de l'artillerie allemande, a maintenu commandant en chef du 6 juillet 1918.) jusqu'au moment de sa relève, un groupe & 40 Régiment d'élite. Sous les ordres du lieu- moins de 1,300 mètres des -premières lignes. tenant-colonel TRONYO, au cours de l'offensive Grâce au bon fonctionnement de ses liaisons, commencée le23 septembre 1918, a fait preuve, a toujours, et quel que soit le bombardement donné à notre infanterie l'appui le plus une fois de plus, d'un courage magnifique et subi, d'une endurance admirable. Au travers d'un complet et lui a grandement aidé à repousser terrain couvert de fortifications formidables, les nombreuses et violentes contre-attaques hérissé de mitrailleuses, et défendu par l'en- de la garde prussienne. —(Décision du général nemi avec acharnement, a, par des assauts commandant en chef du 4 novembre 1918.) successifs, refoulé l'ennemi jusqu'à la Py, alliant l'héroïsme à l'art de la manœuvre, cap1" BATAILLON DE CHASSEURS A PIED turant 320 prisonniers dont 8 officiers, 2 canons, 1° Sous le commandement du commandant 8 minenwerfer, 12 fusils antitanks, 80 mitrailleuses, un matériel et des approvisionnements TABOUIS, a brillamment contribué, le 14 ooût succès du combat de Plaine-Saintconsidérables. — (Décision du général com- 1914, au Blaise,au cours duquel il a enlevé à l'ennemi mandant en chef du 4 novembre 1918.) le premier drapeau, ce qui a valu au drapeau de la médaille miattribution chasseurs des 276e RtGIIBST D'ARTILLERIE (anciennement litaire. 1915.) 23 juillet (Ordre du — artillerie de campagne d'Afrique,5e groupe.) 2» Commandé et entraîné par son chef de ba1° Sous les ordres du chef d'escadron LE- taillon, le commandant SOMON, avec une adCLERCQ, a montré pendant les récentes atta- mirable maîtrise, s'est emparé, le 25 mai, d'un fortement allemand très organisé et et de la division endurance ouvrage une une ques énergie à toute épreuve, tirant de jour et de très vaillamment défendu. S'y est maintenu nuit, sans trêve ni repos, violemment pris à trois jours, malgré un bombardement intense partie, le 20 mai, par un tir réglé de gros caet des contre-attaques incessantes. Attaqué df libre, ayant eu le quart du personnel de ses trois côtés par des forces supérieures, a débatteries de tir hors de combat et cinq de ses fendu le terrain pied à pied et est arrivé, malan canons mis hors de service, n'en a pas moins gré des pertes sensibles, à se maintenir continué son tir avec acharnement, allant saillant de l'ouvrage. — (Ordre du 25 juin 1915.1 jusqu'au bout de sa mission. — (Ordre du 3° Corps d'attaque qui vient de montrer 1 18 juin 1916.) nouveau sa bravoure et ses qualités manœit; V Amené dans le secteur d'attaque peu de vriéres. Le 23 octobre 1917, sous les ordres de 1°

commandant LE BLEU, a enlevé successivement tous les objectifs qui lui étaient assignés, comprenant une carrière fortement occupée, un bois garni d'artillerie,où l'ennemi a résisté énergiquement, enfin un village. S'est maintenu sur les positions conquises, malgré les contre-attaques. Au cours de cette journée, a fait prisonniers 7 officiers et plus de 700 hommes appartenant à trois divisions différentes, dont une de la garde, pris 18 canons de campagne dont 4 lourds, 65 mitrailleuses et un énorme matériel de guerre. — (Ordre du J3 novembre 1917.) 40 Bataillon d'élite.- Exalté par l'ardeur méthodique, l'enthousiasme et l'indomptable ténacité de son chef, le commandant LE BLEU a rompu, les 26, 27 et 28 septembre 1918, le front ennemi en Champagne, et réalisé avec une avance de 8 kiloun entrain splendide mètres. Le 26 septembre, place au centre de la ligne d'attaque, s'est engagé à fond, et, dépassant les unités qui l'encadraient, surprenant l'ennemi par son élan, manœuvrant sous le feu comme à l'exercice, a triomphé superbement des résistances les plus énergiques. Au cours de son avance, une déchirure du brouillard ayant découvert devant les chasseurs le sommet d'une des positions dominantes, connue parmi les plus formidablement organisées du front, lo bataillon, galvanisé, s'est jeté à l'assaut, baïonnette haute, et a enlevé la position d'un seul élan, faisant prisonnier le bataillon ennemi qui la défendait et forçant l'admiration de l'adversaire lui-même. Les 27 et 28 septembre, a continué à combattre avec la même ardeur, enlevant tous ses objectifs, capturant en ces trois jours d'assauts plus de bataillon 700 prisonniers dont i chef de et 14officiers, 10 canons de 77, plusieurs minenwerfer, plus de 100 mitrailleuses, ainsi qu'un matériel considérable, munitions, armes, voitures, attelages, etc.

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RÉGIMENTS ET UNITÉS FORMANT CORPS

auxquels la fourragère aux couleurs du ruban de la Croix de guerre a été conférée, par le général commandant en chef les armées du Nord et du Nord-Est, en exécution de la circulaire ministérielle no 2156 D. du 22 février 1918, avec l'énoncé des citations à l'ordre de l'armée obtenuespar ces régiments et unités. 265e HKCMBNT D'INFANTEIHB

Régiment animé d'une ardeur extrème et du plus haut sentiment du devoir. Le 27 mai 1918, sous le commandement du lieutenantcolonel ROSE, placé en pivot des lignes françaises attaquées, s'est d'abord maintenu avec à pluune solidité inébranlable, en flèche,repli sieurs kilomètres en avant. Forcé au par suite du recul général des lignes, ne l'a fait qu'avec une lenteur et une ténacité implacables, continuant à- barrer imperturbablement une grande route à la poussée ennemie ; grâce à son attitude héroïque et à son esprit de sacrifices sans limites, les premiers éléments ennemis ne purent pénétrer que le lendemain dans la ville convoitée. A, ensuite, en prolongeant son effort jusqu'à la fin de la troisième journée de lutte, contenu l'extension des gains ennemis. Ne s'est retiré que par ordre après avoir été relevé, malgré les pertes subies. — (Décision du général commandant en chef du 31 juillet ll1S.) 2° Comprise dans la citation collective ci1°

après La 61e division d'infanterie, comprenant le 265"

rég. d'infanterie et les. entrée dans son le 1916, :

secteur d'attaque, le Il juin comsous 1 mandement de son chef, le général VANDENIŒHG la 61e division a remarquablement organisé les travaux d'approche. Placée au pivot et àla droite dre attaques, elle a enlevé, le 1er juillet 1910, d'un admirable élan, malgré le feu violent de l'ennemi. les objectifs qui lui étaient assignés, faisant plus de 1,000 prisonniers, capturant de nombreux canons et des mitrailleuses. Rentrées dans le secteur après quelques jours de repos, les troupes de cette belle division ont réalisé, dans des conditions très difficiles, des gains importants en une série d'opérations très bien conduites.-(Ordre du 27 août 1916).

Comprise dans la citation collective ciapres La 61° division d'infanterie comorenant le 219e rég. d'infanterie et les entrée dans : son secteur d'attaque le 4 juin 1916, sous le commandement de son chef, le général VANDENBERG, la 61e division a remarquablement organisé les travaux d'approche. Placée au pivot et à la droite des attaques, elle a enlevé, le 1er juillet 1916, d'un admirable élan, malgré le feu violent de l'ennemi, les objectifs qui lui étaient assignés, faisant plus de 1,000 prisonniers; capturant de nombreux canons et des mitrailleuses. Rentrées dans le secteur après quelques jours de repos, les troupes de cette belle division ont réalisé dans des conditions très difficiles,des gains importants en une sésie d'opérations très bien conduites. (Ordre — du 27 août 1916.) 2°

251e RÉGIMENT D'ARTILLERIE 10

Le 27 mai 1918, au moment du déclenche-

ment. de l'offensive allemende, a combattu avec une bravoure et un héroïsme admirables, ses batteries tirant sans interruption, en dépit du feu meurtrier et de la pluie d'obus toxiques auxquels elles étaient soumises. Malgré les pertes éprouvées, ont continué leur tir jusqu'à l'arrivée de l'ennemi, sur les pièces mêmes. A pu faire sauter son matériel pendant que le personnel restant se défendait jusqu'au bout à l'aide de ses grenades, de ses mitrailleuses et de ses mousquetons, sous le commandement du commandant GUGUEN, et du sous-lieutenant GU1LLOT, a poursuivi avec les débris de ses batteries péndant dix jours consécutifs, dans un corps d'armée voisin, sa mission de sacrifice, couvrant les replis successifs de l'infanteris amenant ses avant-trains sous le feu direct des mitrailleuses et ne lâchant pied qu'au contact immédiat des tirailleurs ennemis. — (Décision du général commandant en chef du 31 juillet1913.) 2° Comprise dans la citation collective ci-

après

La 618 division d'infanterie, comprenant le

les.

rég. d'artillerie et : entrée dans son secteur d'attaque le 4 juin 1916, sous lp le commandement de son chef, le général VANDENBERG, la 61e division a remarquablement organisé les travaux d'approche. Placée au pivot et à la droite des attaques, elle a enlevé, le 1er juillet 1916, d'un admirable élan, malgré le feu violent de l'ennemi, les objectifs qui lui étaient assignes, faisant plus de 1,000 prisonsonniers, capturant de nombreux canons et des mitrailleuses. Rentrées dans le secteur aprôs quelques jours de repos. Les troupes de cette belle division ont réalisé dans des conditions très diticiles des gains importants en une série d'opérations très bien conduites.— (Ordre du 27 août 191G.)

251e

compagnie 11/13 (6e rég. du génie). 1° Sous les ordres du capitaine SCIINELL a accompagné l'infanterie pendant l'attaque du 6 juin 1915, a subi de grosses pertes et s'est employée, sous un feu violent, à la destruction de trois canons qui avaient été enlevés à l'ennemi. — (Ordro du 8 juin 1915.) 2° Comprise dans la citation collective ciaprès La 61e division d'infanterie, comprenant la compagnie 11/13 du 6e rég. du génie et entrée dans son secteur d'attaque le 4juin.1916, sous le commandement de son chef, le général V ANDEBERG la 61e division a remarquablement

les.:

J'ennemi, plUanons de malgré de le violent lui feu nombreUl16sBct6\1t faisant qui étaient assignés, danlstroUpesdie prisonniers, capturant quelquesjoursRentrées derepos, ie» troupeS?j! repos, es deScond. des mitrailleuses. dnsortants611 après quelques jours de cette belle division ontréalise, îiUPnrtaot3 tions très difficiles, des gains une série d'opérations très bien (Ordre du 27 août 1916.)

con' -

1° Le 27e

attaqué coP rég. d'infanterie,

27e RÉGIMENT D'iNFANTERlS

hiantset et sur ses deux flancs dont un aWricationS découvert, sous un bombardement lenée inouïe par obus à gazconini inébl"nlabiepresque entièrement privé de dU et de ravitaillement, est reste avaIt JIll urs ment sur la position qu'il quatre garder et, après une lutte de feC; 1" au 5 août 1916, dans laquelle ont pertes considérables, a refoulé filialein (Ordra nemi en lui faisant des prisonniers, pe8u'Va, OC" du 21 septembre 1916.) 2° Régiment d'élite qui vient de faire.^res« septembre manC£lenpr du 30 du au cours des combatsordres lietitena ]lusdequalités 13kiloalè, treseIlnîcom to, tobre, des plus belle sous les ordres du IienensuiPpe, Progressant Progresant d plus fondeur, delaSu'-ppef une lonel SANTINI, à établi, au nord malgrédes pertessérieuses,sous un noÏÏK malgrédespertessérieuses, sous uibresun bombardement par obus de tous par ypérite. A fait 473 prisonniers, ciers, enlevé une pièce de 15 (Qév batterie de 4 pièces de mortiers et une quarantaine de mitrailleuses, jet 110« sion du général commandant en cneii vembre 1918.)

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18e BATAILLON DE CHASSEURS A

et bataillon,à superbebataillon, et superbe

Solide 1° Solide

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ténacité 'f6 rnême®

comman Udldedi:(. et au mordant duquel l'ennemi

cours 5 niitrail

rendn hommage sous le OJPiDifttrflJ chef de bataillon VITAL, a,combats au 1aa*sajra sept (17 jours consécutifs de juillet au 3 août 1918) refoulé profonae sur plus de 30 kilomètres de —s"3sep' 153 prisonniers et conquis 25 lance-bombes et 3 lance-flammes. du général commandant en chef, tembre 1918.) toutgtret lef ^ai} 20 Magnifique bataillon qui, dans circonstances de guerre-, continueleCOdantla P®n les mêmes vertus militaires VITAL, sous dement du commandant 2octobreigts,a^«aliuns* période du 28 septembre au Poriespar son ardeur dans les attaques, l'ennemi positions erleS. à abandonner les solides en lui faisant subir delourde 3canonS A progressé de plus de 5 kilomètres 3 urde. attelée et de «^pP' emparé d'une batterie mitrailleusesL eiu'=jatH de gros calibre, de 31 d'une grande quantité de matériel sonniers. — (Décision du général , en chef, du 27 octobre 1918.)

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69e BATAILLON DE TIRAILLEURS iO

Comprise dans la citation

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sellu.Sdlaiaiset rSr1'31alS 1, dBW

n 69ebataii.o lit

Le 69e bataillon de tirailleurs ,de le : superbe régiment (forme uii:,, taillons organiques et du qualitiés ina??Ïl9virSi,ère, railleurs sénégalais), qui a affirma plus ses remarquables du août ,);'gDS' 1afgeS* 8 au cours des opérations ducorrm-in^a Tll aU* l'Avre, et le 12 septembre 191S, Le 8 août 1918, sous les ordres désesp^ij^rajt BOENNEC, réussi à forcer le vière marécageuse et profonde, commeinfranchissable, s'estenuvCtrà défendue par l'ennemi qui jpp6,1 pHIL¡gatiOP tous ses objectifs. Le 12 septembre les ordres de son chef, le colonel aD"^Qsoj«* donné de nouvelles preuves de son COtll" brillamment temps et de son courage, en même efte habileté, en enlevant lourde dei""J position ennemie justement réputée. de ces deux actions, a infligé do canonsgral1 reS !. à l'ennemi et lui a enlevé six or 1111 trois canons de 77, un canon de 65 légèreg octodif nombre de mitrailleuses lourdes et (Dé20ci$iofl un très abondant matériel. — général commandant en chef

organise-les travaux d'approche. Placée pivot et à la droite des attaques, elle a enau Régiment modèle de discipline, de su- levé, le 1er juillet 1916, d'un admirable élan, 1918.) 219* RÉGIMENT D'INFANTBRIB

perbe bravoure et de dévouement. Lors de la ruée allemande du 27 mai 1918, placé à la garde des lignes avancées, sous le commandement du lieutenonl-colonel LE GALLOIS, s'est cramponné au terrain avec une obstination héroïque, s'est laissé cerner plutôt que de reculer et, entouré de toutes parts depuis quatorze heures, ayant brûlé toutes ses munitions, a résumé sa résolution inébranlable dans le colombogramme suivant « Tout le monde fait son devoir de la façon la plus entière, officiers et soldats. Il ne reste plus que le quart de l'effectif. Vous pouvez venir nous chercher, nous tiendrons encore une demi-journée.—(Décision du général commandant en chef du 31 juillet 1918.)

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COMPAGNE 2/57 DU 3e RÉGIMENT DU GÉNIE

1° Comprise dans la citation collective ci-

après aLa compagnie 2/57 du 3e rég. du génie et la : ont montré le plusbel esprit offensif et l'attitude la plus stoïque sous les feux les plus

prisonLis. meurtriers en maintes circonstances, et nole "fe1918.) comrïlandant en chef du tamment les 11, 12 et 13 juin 1918. Le 23 juillet, à l'attaque d'un village, ont de nouveau afllrmé

le 23 d'ardeur kjjfyjfi 0>î

DE TIRAILLEURS OUl'ecornrn,ademcn SOMALIS

)

du chef de batailoctobre 1917, aux

COlonial srtl ari\'eduMarn ,d,?-aroc, du régiment d'infandanslesmêmesluttes entre lesquels il était avec eux et triomphe glorieuses. (Ordre du

rî^!»i] l917 l'esprit

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du guerrier. Sous Ispâl'estfaitremarquer chef batailde îfdeerifice nn oV?' tr prixent* dans maints 18ltion de sa bravoure et son

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!I11.I\éc l'esdifficileet taNl îutr«s mai au 4 juin, a lutté pertes

nombreuses, sur uvriiw a»ai.t ","Ilrières a réussi à arrêter -

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RÉGIMENT D'ARTILLERIE

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;,IlesJ'CaChaI'nesde l'attaque des orgala région d'A.,défenSaît ses i,joureent trel\tCIIAWrs. Par l'ennemi a, pendes18 au 21 avril 1917, sous rs lels,

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le capitaine MOREL et ilv LIER, combat soutenu le kviidu bdelou c Un acharnement farouche, WsSession

pertes et forçant l'admila légion dont elle ap-

48lesOrdres (Ordre dulimai 1917). t'J,rcl't1\lerieau dusous-lieutenan,t BEGSN^ÏUiilf*iefn?Pr,emie*à tro, malgré hauteur tir univioledes VL*4D?î?

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à hauteur des uni-

de l'infanterie, pour apconstamment soutede bataille, malgré les

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1918? artillerie °1918 commandantennemie. du en chef

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04 ?Qtré îi ePlus 8stoïuê-

dans la citation collective ci-

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du3e rég. du génie, et bel esprit offensif et ! sous les feux les plus clrconstances et notamSbèlleUllVil)13 Juin 1918. Le 23 juillet, à dugc, ^isan* svd'intrépidité ont: de nouveau affirmé S

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avec l'infanterie rain.crsulc.s objectifs et en organiconn V^On?l>om^inement

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sous une pluie de balles des plus violents. commandanten chef du

l *,!>eans la. citation collective cii 1\1 :\&¡¡8 h lil m!-3erég.du génieetla

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du 4 au 9 septembre la direction du comles compagnies 2/7 <AwlLfttenan FRANCEScapitaine PrnoVjAG' ont puissamment {lil380}'esson de la division, Passv, en l'!' a travers le canal du nl'Qe 4JOIlret canal 111, et le de la Somme CLPtoMs^Ues et run* Grâco à un travail 'vkV^lenilemL0vlPlents des 300 innuit, ont exécuté mèet.ponts d'artillerie sous '<Lb>C^Sl»^iUd'euu!f®si <\>VÎÎNr>>ab£ donnant ainsila preuve ténacité et d'une endurétabli de ensuite ^•tortilt tonh, travers caneux et ma\k** Dorits. Jours 1,220 mètres de (Décision du général c4t 4u 1er novembre 4di8.)

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leurs belles qualités d'intrépidité et d'endurance en rivalisant d'audace avec l'infanterie pour se porter sur les objectifs et en organisant le terrain conquis sous une pluie de balles et malgré un bombardement des plus violents, commandant en chef — (Décision du général du 30 septembre 1918.) 21 Citation comprise dans la citation collective ci-après: La compagnie 2/57 du 30 rég. du génie et la : pendant la période du 4 au9 septembre 1918, sous l'impulsion et la direction du commandant MIGUELGORRY, les compagnies 2/57 commandées par le capitaine FRANet CESCOLI et le lieutenant ILLAO, ont puissamment contribué à la progression de la division, en assurant les passages travers le canal du Nord, la Somme, le canal de la Somme et le canal de Saint-Quentin, Grâce à un travail continu de nuit et de jour, ont exécuté 300 mètres de passerelles et ponts d'artillerie sous des bombardements violents et des tirs intenses de mitrailleuses, donnant ainsi la preuve d'un courage, d'une ténacité et d'une endurance remarquables. Ont ensuite rétabli de nombreux exécupassages à travers canaux et marais, tant en vingt jours 1,220 mètres de passerelles et ponts. — (Décision du général commandant en chef du 1er novembre 1918.)

62E RÉGIMENT D'INFANTERIR

1° La 32e division d'infanterie, comprenant le 52e rég. d'infanterie, et les a, le 25septembre 1915, sous la vigoureuse impulsion de son chef, le général BÓUYSSOU, enlevé dans

Remarquablement mis au point par son chef, le lieutenant-colonel DESCHAMPS, est parti à l'attaque, le 26 septembre 1918, avec autant de calme que s'il allait à la manœuvre; a conquis de haute lutte les positions exceptionnellement fortes de la ferme de Navarin, puis, les jours suivants, au nord de la Py, des tranchées où il s'est maintenu malgré les vives contre-attaques ennemies. Pendant quatre jours de durs combats, a réalisé une progression de 7 kilomètres. Jeté de nouveau dans la bataille quatre jours après, a progressé de 7 kilomètres malgré l'opiniâtre résistance adverse, puis s'est emparé des solides organisations ennemies au nord de l'Arnes. Au cours de ces deux périodes de lutte sans répit, a capturé 200 prisonniers, Il canons, de nombreuses mitrailleuses. — (Décision du général commandant en chef du 4 novembre 1918.) 2°

80 GROUPE DU

IIIE

RÉGIMENT D'ARTILLERIE LOURDB

Commandé par le chef d'escadron GAIN (Joseph-Arnaud-Victor), au combat sur tous les points du front depuis le début de la campagne, a pris part aux attaques de Champagne du mois d'août 1915 au 15 janvier 1916, aux batailles de Verdun sur la rive droite et sur la rive gauche, du 15 janvier 1916 au 16 janvier 1917, aux attaques de l'Aisne en avril 1917. Dans cette dernière action, ayant eu sept pièces sur douze mises successivement hors d'état deà tirer, par le feu de l'adversaire, est parvenu accomplir magnifiquement la mission qui lui était donnée d'ouvrir à l'infanterie la brèche dans les organisations ennemies, grâce au dévouement et à la vaillance de tous les canonniers, gradés et officiers, et grâce à l'énergie et au beau caractère et à l'initiative du chef d'escadron GAIN, commandant le groupe, secondé de la manière la plus brillante par le capitaine et le lieutenant GOBLET (René-Gaston), officier orienteur. — (Ordre du 25 avril 1°

1917.)

Sous les ordres du chef d'escadron LAURE, fait preuve, pendant la période de dix-huit a jours de rudes combats du 26 septembre au un superbe élan les positions ennemies fortement organisées sur une profondeur de 4 kilo- 13 octobre 1918, de belles qualités d'allant, mètres, en s'emparant de plusieurs batteries. d'endurance et d'habileté technique. Malgré Pendant deux semaines, au prix d'efforts sou- toutes les difficultés d'une avance rapide en tenus et énergiques, n'a cessé de lutter contre terrain bouleversé, soumis au feu de l'artillerie l'ennemi qui se défendait pied à pied, le re- ennemie, a réussi à assurer à tout instant le foulant sans cesse et faisant chaque jour de maintien de ses liaisons, le fonctionnement nombreux prisonniers. — (Ordre du 25 octobre d'observatoires avancés et son ravitaillement 1915.) en munitions. A pu ainsi être toujours prêt à et confiées étaient lui missions qui les remplir énergique et commandement Sous le 2* donner à l'infanterie, à plusieurs reprises l'apl'âpre volonté de son chef, le lieutenant-colo- pui particuet lignes rapprochés de tirs de nos nel JAVEL, le 62e rég. d'infanterie a, le 26 sep- lièrement efficaces. N'a pu obtenir ce résultembre 1918, conquis de haute lutte les pentes tat tous, effort remarquable de un par que suiouest de la butte de Souain et, les jours canonniers, et sous-officiers officiers, sans vants, les tranchées au nord-est de Sommepy, souci des fatigues, ont rivalisé de zèlequi, et d'ens'y maintenant en flèche malgré les violentes train sans un instant de défaillance. (Décision contre-attaques ennemies. Pendant quatre du général commandant en chef du 4 novemjours de durs combats où il a toujours été en bre 1918.) avant et où il s'est fait remarquer autant par inison ardeur guerrière que par l'intelligente 511 RÉGIMENT D'ARTILLEmB tiative de tous, a progressé de près de 8 kilomètres, pris 5 canons, 7 mincn, 40 mitrailleuses et fait plus de 303 prisonniers, dont 7 officiers. Jeté 1° Comprise dans la citation collective cide nouveau quatre jours après dans la ba- après taille, s'est emparé des organisations du bois La 21e division d'infanterie, comprenant le Sommc-Py, des pentes ouest du Blancde Somme-Pdye : le 7 juin 1915, Mont, puis de l'importante tête de pont de 51e rég. d'artillerie et les a Saint-Etienne-à-Arnes, que l'ennemi, malgré devant la ferme de Toutvent, s'est portée Grâce à superbe. entrain lui l'attaque répétées, n'a un arraavec contre-attaques pu ses et de la troupe, a décher. A, au cours de cette nouvelle période de l'héroïsme des officiersadmirable d'un seul cinqjours de lutte »ans répit, réalisé une pro- passé, avec un brio tranchées, etmalgré un gression de 7 kilomètres, capturé 225 prison- élan, deux lignes de niers, pris pins de 40 mitrailleuses, 7 canons, barrage terrible d'artillerie. — (Ordre du 22 juin abondant matériel. — 1915.) un parc de génie et un (Décision du général commandant en chef du toujours peut lequel Régiment on 2° sur 1918.) novembre 4 Sous compter dans les circonstances difficiles. HOLLANDE, a lieutenant-colonel du ordres les 118e RÉGIMENT D'INFANTERIE 1918, un exemple de dévouedonné, le 27 maid'esprit sacrifice poussé à de et absolu ment comprenant d'infanterie, 1° La 22e division 26 septembre au 9 ocDu limite. extrême le 25 sep. son le 118° rég. d'infanterie et a, particulièsecteur engagé dans un 1918, tobre de impulsion tembre 1915, sous la vigoureuse fait endurance d'une actif, preuve rement a dans enlevé BOUYSSOU, général son chef, le élan exécutant d'un entrain superbe, et inlassable forteennemies positions les un superbe condiles changements de dans position des ki4 de profondeur organisées, ment sur une les plus difficiles et les plus dangereuses, mètres, en s'emparant de plusieurs batteries. tions liaison l'infanterie maintenant perune avec d'efforts prix semaines, souPendant deux aux reconnaisavant poussant manente, ses en lutter de cessé n'a énergiques, et tenus à manière assurer unités, de puis ses pied, à sances, pied défendait qui l'ennemi contre se — une aide constante et efficace. le refoulant sans cesse et faisant chaque jour à l'infanterie du chef commandant général du en (Décision octo25 de nombreux prisonniers. — (Ordre du 4 novembre £t&) bre 19150 2*

les

130E RÉGIMENT D'INFANTKRIK

io Unité de tout premier ordre, sous le commandement du lieutenant-colonel ROUSSEAU, digne chef d'une telle troupe, a affirmé, une fois de plus, ses belles qualités combatives, au cours de dures journées. Soumis à un bombardement d'artillerie de longue durée et d'une vioience inouïe, puis attaqué, sans aucun répit, par des forces puissantes plusieurs fois supérieures en nombre et résolues à percer coûte que coûte, a résisté avec un acharnement et une abnégation héroïques à la poussée de l'ennemi et, par une brillante défense et de furieuses contre-attaques, maintenu dans leur intégralité les positions qu'il avait reçu l'ordre de conserver à tout prix. Déjà cité à l'ordre du corps d'armée. — (Décision du général commandant en chef du 4 août 1918.) 20 Unité d'élite qui vient sous le commandement du lieutenant-colonel ROUSSEAU, de justifier sa valeur éprouvée durant toute la campagne. Jeté brusquement dans la bataille, du 4 au 14 octobre 1918, a attaqué, par deux fois, avec une énergie et une abnégation admirables, la position d'Orfeuil, formidablement organisée et défendue par de nombreuses mitrailleuses, et s'est maintenu sur les positions conquises malgré les pertes sévères en officiers et soldats que subissaient ses différentes unités; oubliant ses fatigues, s'est élancé brillamment ensuite à la poursuite de l'ennemi, l'obligeant, en dépit de sa résistance et malgré de violentes contre-attaques, à précipiter en désordre son repli sur l'Aisne, libérant, en deux journées de combats ininterrompus, une notable partie du territoire et capturant des prisonniers et un important matériel. (Décision du général commandant en chef du 4 no-

vembre 1918.)

230" RÉGIMENT D'INFANTERIE

Depuis plus de quatre mois, au cours de nombreux combats entre Soissons et la forêt de Villers-Cotterets, ainsi que dans le massif de Thioscourt, a fait preuve tour à tour d'opiniâtreté calme dans la défensive et d'ardeur dans l'offensive. Pendant la période du 26 septembre au 9 octobre 1913, sous les ordres du lieutenant-colon.cl LOURDEL, a enlevé de haute lutte et sans arrêt l'ouvrage de la Défaite (main de Massiges), l'ouvrage Rond et l'ouvrage du Calvaire (lignes de Uouconville), le bois de la Malmaison, le Frankfurter Berg et Vaux-IesMouron (position Brunehikl). Donnant droit devant lui, a bousculé l'ennemi, débordé les positions qu'il a contournées et fait tomber. Dans cette progression où il a eu la chance do délivrer de l'occupation de l'ennemi le premier village des Ardennes, a pénétré de -plus de 12 kilomètres dans les lignes ennemies, faisant 1°

prisonniors, capturant 64 mitrailleuses, 3canons, 4 minenwerfer et un matériel considérable. — (Décision du général commandant en chef du 27 octobre 1918.) 2° Unité homogène, assouplie, remarquable d'endurance et de ténacité. Le 14 octobre 1918, sous le commandement du lieutenant-colonel LOURDEL. après dix-huit jours de combats incessants. a forcé de haute lutte le passage de l'Aisne en tète de sa division, sous lesfeux concentrés de l'artillerie et des mitrailleuses ennemies. Le même jour et le jour suivant, s'est portée à quatre kilomètres et demi de la rivière, assurant les gains obtenus et permettant aux unités voisines de faire leurs mouvements et d'achever le succès. S'est heurtée dans cette opération aux troupes les plus réputées de l'adversaire (1er, 2e, 4crég. de la garde, 3ebataillon de chasseurs), les a bousculées, leur capturant 581 prisonniers,8 minenwerfer et 108 mitrailleuses. (Décision du général commandant en chef du 4 novembre 1918.) 500

344e RÉGIMENT D'INFANTERIE

Régiment de braves. A été sous le commandement du lieutenant-colonel CARRON, l'avant-garde de la victoire, au cours de l'offensive qui, en juillet-août 1918, a rejeté l'ennemi au-dela de la Vesle. Est monté à l'assaut de positions redoutables qu'il a, par la manœuvre et par l'élan, arrachées à un adversaire résolu. Sans souffler, a harcelé le repli des Allemands, talonné leur déroute, franchi 20 kilomètres d'obstacles, et passé la Vesle, le premier. Les prisonniers, les mitrailleuses ainsi que les mi1°

1918.).

nenwerfer ont jalonné sa marche. (Décision du général commandant en chef du 23 septembre 2°Au cours de l'offensive de Champagne, en septembre-octobre 1918, a, sous le commandement du lieutenant-colonel CARRON, marché une fois de plus sur le chemin de la victoire en a été le pionnier, franchissant, dans vingt combats, des organisations qui passaient pour inexpugnables, et rejetant pied à pied l'ennemi d'une conquête qu'il tenait depuis quatre ans; s'est emparé de deux villages, a fait deux cents prisonniers,pris un canon, trente mitrailleuses a ouvert la brèche par oùdes troupes nouvelles ont pu s'élancer victorieusement. — (Décision ud général commandant en chef du 4 novembre

;

1918.)

174e RÉGIMENT D'INFANTERIE

Sous l'impulsion du

lieutenant-colonel DUBOIS, chef énergique, brave et d'un remarqnable sang-froid. Au lendemain d'une attaque qui lui avait permis de prendre pied dans un fortin puissamment défendu, a résisté sans perdre un pouce de terrain à plusieurs assauts successifs et violents, précédés d'une formi dable préparation d'artillerie qui avait détruit ses défenses accessoires et nivelé ses tranchées, a fait subir à l'ennemi des pertes sérieuses. S'est toujours distingué par son endurance sagrande bravoure dans les nombreuses affaires auxquelles il a pris part. — (Ordre du 28 mai 1916.) 20 Régiment valeureux, aussi persévérant que mordant. Appelé à participer à l'offensive, après quarante-deux jours consécutifs d'occupation de secteur, a, sous la direction énergique et féconde de son chef, le lieutenant-colonel DE M1SGAULT, mené à deux reprises un combat acharné où il a déployé toutes ses qualités d'audace et de ténacité. Du 26 au 29 septembre 1918, malgré les défensesaccessoires accumulées et le terrain bouleversé par le bombardement depuis quatre ans, a brisé la résistance désespérée de l'ennemi, s'emparant des organisations formidablesde labuttede Souain et de la deuxième position. Ramené aucombat dans la nuit du 2 au 3 octobre, a attaqué le lendemain au jour avec la même ardeur, refoulant l'adversaire à travers un terrain boisé, raviné, parsemé de réseaux, littéralement farci de mitrailleuses, et est parvenu à prendre pied sur la crête d'Orfeuil, à la ferme de Médéah. Au cours de ces quatre journées de bataille acharnée, a progressé de douze kilomètres, s'est emparé de 750 prisonniers, de 21 canons (dont 8 lourds), de nombreux minenwerfer, dont un de 240, de plus de 300 mitrailleuses et de 6 fusils contre tanks.— (Décision du général commandant en chef du 4 novembre 1918.) 1°

CIÛSSBCaSOUSItl 3e BATAILLON DE

é-Ian SUPe !> la TIXIER, 4e bataille éla^Jfd«1[ 1° Pendant la batallln d,?uïîn chef de ordres du l'attaque del'objectif > !iunese¡or s'est porté aSf^ tembre 1916, 1

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intacte, ^aS lents feux de flanc, causant intac8,fort"le traversé avoir bles. Après accroché rnitra,itell-es095e chées, s'est très d'unepositionennemie une bc a,& organisée, garnie deposition, p,o~~ pore tc e&aéi, M~~ est mates. Le lendemain, S'est andio cette à l'assaut de bataillon, denombreux l'attaqueo^c l'heure fixée pour un six mitraitleuses, un dUcé aPl" commandeIIlcna onstitu !a¡tnl -et a continué sa la oosS.te^rf.»Aj baîaillon QUILLIARD, àpeinere^ Pendant la veille. que

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et en et 16 juillet 1918 ;garde lui position dont la s"; du 2 novembre 1918.) trdllScessédee,"aÍ. n'a ïamaiisces3tl la ccr octob d8 nS .t' 20 Fidèle auxvielles c\iej et de mordant qu'il revivre depuis ledébutde 1 r particulièrement distingué,necniDi^ijU^ sous le commandement SOdaceua devant foftn pluj^eesecK mandant QUILLIARD, taquant avec un allant l'attaque. noier5. c, de tout éloge la position jjo, 10r,, arrêtait chée d'Essen qui prlsoill0tl,aic4 deÇ^ .ataill° la progressionétat-major de s'est emparé de plus de 3„J0 un III gÓper ciers dont un de 77, un canon de 105, ge 1916.) (Décision 75 mitrailleuses. mandant en chef du 4

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s'est porté à l'attaque rillammpJnî! dans ordre parfait, un ï*1s'yrofn^lant> la Première ligne ennedeplusdedeuxkilomètres.a—emporte l'objectif énergique progression rn (Ordre du 13 noî,2°AIl Aumoi 018' de juillet 1918 devant Corcy, du ~août ^i«lilai,lammôntCQmbi.attu. avec d'Audïgnela région les unités rattaché, Le 29 août, s'est «luifiT, dre¡¡ fait avec S(1,ichpr de Créey-au-Mont, A preuve, sous bataillon «Lc°Ur<?«I'êi0of» CHRETIEN, d'un elogêb l'assaut et d'un sangtoute la journée, qUelle n hOl1}b Os ûldement il a supporté sans bronCtcnlibr l,ibre. violent et ininterrompu 4 résu énéra COlH,ribué, pour une bonne ion dans cette aiffare. commandant en chef du

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opérations en effectuant en cinq nuits consécu\a.SIléravdesxcirconstances atmosphérique? e3çéctitA il Dans la nuit du10 au A »t' 'Hant Une reconnaissance imporprécieux renseignements. tai^'ÎFt des wH0sepli-Marie-Jean), ( mie 352, tl pilote easii11du 'y?^«fid|Vr'0lte tet21erég. de chasseurs à teui» escadrille V. 109: pilote , de courage, a pris pat-t SÏ'îs lCll U iW, de nuit. V^t» Gratini.ls distingué au cours des WffcriK11 en effectuant dix bombarcin S nuits consécutives malgré atmosphériques très dcfaSv':?'^fl'erltu\es), mie Gii, ad j udant, du t0q"~e, observateur en avion, eX 0 observateur bom., cin el}llit'le plus ~de : "Vt^ nuit.S'est particulièrement de soixante bombarde( VSfoVSicV?1Connaissancc, distingué, 11 au 12 exécutant en mars, reconnaissance,recueillant de recueillant de l V h:Se»réelgnements. S'est distingué au bal'dentes opérations en effectuant de« r^onstances cinq nuits consécuen «bip» atmosphériques 4 téûar-i»-Xemplo constant de cout't, d'hlt(Lou,is),mlo 49GG, sergent, du pilote aviateur à l'escatti e Dou ncc ^Ifp cie eXcellent sous-officier, d'une non et d'une énergie inlassable. I; !,1: SrV aU les missions difficiles. Dans l" 3a)tihl0Jeur' malgré la mauvaise n'a pas hésité à attaMe*t rpi'î6 it 1111 objectif très fortement avec un appareil gravePar Ie feu de l'artillerie vOhK n

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;

spécialementdistingué au cours des missions de l'offensive d'août 1918. ROBERRîNI (Marcel), mie 1392, maréchal des logis du 16erég. de dragons, mitrailleur bom. bardier à l'escadrille V.116: excellent bombardier, modèle de conscience et de dévouement. montrant toujours' un joyeux courage et un entrain parfait. Vient d'exécuter trente-deux: bombardements, volant par tous les temps et souvent deux fois dans la même nuit. PONSON (Charles-Marie), mie 1655, adjudant au 8° rég. d'artillerie, pilote aviateur à l'escadrille V. 125 : adjudant pilote remarquable d« courage et de sang-froid.A exécuté trente-deux: bombardements, depuis le 15 juin, doublant et triplant les expéditions do nuit. S'est particulièrement distingué, le 29 juin, au cours d'una reconnaissance éloignée dans fies lignes cnne pliant mies, et pendant la bataille actuelle, en multi. les bombardements malgré les difficultés ducs aux conditions atmosphériques. GAILLARD (Lucien), mie 107, sergent au 114°rég. d'infanterie,' pilote aviateur a l'escadrille V.109 jeune pilote plein d'entrain et decourage. Vient de se distinguer, au cours -des récentes opérations, en exécutant onze bombardements en cinq nuits consécutives, effectuant jusqu'à trois sorties dans la mémo nuit malgré les circonstances atmosphériques* très défavorables, Exemple de courage et da sang-froid pour ses camarades. A été grièvement contusionné, le 20 août 1918, au retour d'un bombardement effectué en dépit d'un brouillard très opaque. NOIR (Pierre), mie 6337, caporal, du iergroupe d'aérostation, mitrailleur en avion, à l'escadrille V. 109 : excellent bombardier. Aussi modeste que brave, exécute ses missions avec la plus grande conscience. A pris part à quarantecinq bombardements de nuit; s'est particulièrement distingué au cours des récentes opérations, exécutant jusqu'à trois sorties consécutives dans la même nuit. A été blessé dans la nuit du 20 au 21 août en exécutant une importante mission, malgré une brume intense rendant l'expédition très difficile. Deux blessures antérieures. Une citation. BROUET (Félix), mie 14 L., sous-lieutenant, du 2e rég. de hussards, détaché à l'aviation, escadrille Br. 128 : officier d'élite. A pris part àtous les bombardements de l'escadrille depuis qu'il y compte (cinqnante-cinq). eu son appareil fréquemment atteint d'éclats d'obus et do balles au cours de nombreux combats qu'il a soutenus. Le 24 mars, a abattu un avion ennemi. Le 27 mars, son réservoir atteint par les balles de terre, a réussi, par son sang-froid, à atterrir dans nos lignes et à regagner le terrain après une réparation sommaire. La 12 avril, a abattu unavion ennemi. Personnifie la bravoure, le devoir, le sang-froid. BRIAND (Georges], adjudant, du 156* rég. d'infanterie, pilote a l'escadrille Br. 126 excellent pilote, d'un calme et d'un courage à toute épreuve. A effectué plus de quarante bombardements au cours desquels il eut à soutenir souvent de durs combats. S'est particulièrement distingué dans les attaques, à basse altitude, de renforts ennemis. Une citation. Un avion ennemi abattu. ESTIUYER (Eugène), sous-lieutenant, dt% 29;° rég. d'infanterie, observateur en avion, officier observateur à l'escadrille Br. 126 d'un courage et d'un allant exceptionnels. A effectué de nombreux bombardements dans des circonstances souvent défavorables. S'est particulièrement distingué, les 18, 19 et 21juillet, en attaquant, à faible altitude, des renforts ennemis. Deux citations. Un avion ennemi

abattu.

VANmiEGHEM (Emile-Edmond), mie 5416, sous-lieutenant, du 43e rég. d'infanterie, pilote à l'escadrille Br. 135 excellent pilote, remarquable par son courage, son dévouement et son sang-froid. Le 31 mai 1918, a ramené dans nos lignes son appareil désemparé, criblé d'une centaine de balles et denombreux éclats. Le 22 juillet, au cours d'un combat aérien, a abattu un avion de chasse ennemi. MAROT(Louis), adjudant, du 2«groupe d'avis tion, pilote à l'escadrille Spa 37 pilote d'élite,

: plein d'ardeur et d'enthousiasme.

livré de nombreux combats où il n'a cessé d'affirmer sa supériorité. Le 15août, à la suite d'un combat trèsdur, abattu un appareil ennemi,rera-

•

portant ainsi sa deuxième victoire. Deux citalions.

MENARD (Jean-Prudent-Aimé),

lieutenant,

4u 48° rég.d'infanterie, pilote à l'escadrille gjpa 85: excellent pilote de chasse, allant, calme et courageux.Le 12 août 1918 a attaqué et descendu en flammes un biplace ennemi. RIVIÈRE (Jean-Marie-Joannès), adjudant, du 2e groupe d'aviation, mitrailleur en avion à l'escadrille Br. 108 beau soldat, symbolisant le devoir, le courage, la vaillance et ayant les plus belles qualités morales. A accompli les raids de Saarbruchk, Dillingen et a pris part à 106 bombardements. S'est dépensé sans compter depuis mars 1918 dans les attaques à faible altitude des colonnes ennemies,entraînant ses ',camarades par son mépris du danger. Tombé glorieusement, le 11 août 1918, dans un dur combat où son escadrille luttait à un contre

4eux.

-KACITERLIN, sous-lieutenant du 8" rég. d'artillerie, pilote à l'escadrille Br. 117: officier

:hor. pair, a constamment fait preuve d'un courage et d'un sang-froid merveilleux. Toujours aux places les plus exposées, recherche audacieusement le combat. Tombé dans les lignes

ennemies le 11août 1918, à la suite d'un combat aérien au cours duquel il a abattu un avion ennemi après avoir effectué son 101e 'bombardement. Médaillé militaire pour faits de guerre. Deux blessures. Cinq citations dont quatre à l'armée. CAMBRAY(Albert-Félix),adjudant,du21erég. d'infanterie, observateur à l'escadrille Br. 117 : sous-officier observateur d'élite, d'un courage et d'une ardeur inlassables. Depuis mars 1918, pris part à 50 bombardements, lançant à lui seul plus de dix tonnes d'explosifs. S'est distingué tout particulièrement en attaquant des troupes et des convois à très faible altitude. , Au cours de ses missions, a soutenu de nombreux combats très durs. Le 31 mai, a contribué à la chute d'un avion ennemi. Tombé dans les lignes ennemies, le 11 août 1918, après avoir abattu un de ses adversaires. THEVENIN (Alphonse), adjudant-chef, du 21erég. d'artillerie, mitrailleur à l'escadrille Br. III sous-officier modèle àtous lespointsde .vue et mitrailleur hors de pair. Est pour son escadrille un exemple constant par son adresse, son calme courage et son bel esprit de sacrifice. Demandant toujours pour lui la place la plus exposée, a affirmé sa valeur en de maints combats le 3 mai 1918, dans un engagement inégal, a contribué par la justesse de son tir à la chûte de deux avions ennemis; le 4 juin, a abattu un autre avion qui s'est écrasé au sol. Depuis le début de l'offensive allemande, a toujours été égal à lui-même, se dépensant sans compter en trente bombardements du champ de bataille. Une blessure. Quatre citations. GUYOT (Marie-Victor-Gaston), adjudant, du 17e rég. d'infanterie, mitrailleur bombardier avion à l'escadrille Br. 117: observateur en de grande valeur, remarquable par son cran et son adresse. A pris part à toutes les expéditions de sa formation, effectuant, en quatre mois, 42 bombardements. S'est souvent distingué et particulièrement dans les journées du 15 au 22 juillet 1918, effectuant huit bombardements du champ de bataille et mitraillages de convois à faible altitude. Une blessure. Deux citations. BALLAND (Jean-Henri), adjudant, du11erég. d'artillerie, pilote à l'escadrille Br. 127 pilote remarquable par son cran et son allant, était Tombé dans les un modèle pour son escadrille. lignesennemies au cours d'une mission à très basse altitude, le 31 mars 1918. SCHUSTER (Pierre), mie 724, maréchal des logis, du 81e rég. d'artillerie, pilote à l'escadrille Spa. 100 sousofficier dont la bravoure simple et l'énergie étaient un exemple pour Itous. Pilote de grande valeur, avait obtenu en -peu de temps trois victoires. Est tombé glorieusement le 15 juillet 1918, en combattant ,.me patrouille ennemie. CRÉMIEUX (Raymond), sous-lieutenant, du drille 1er grouped'aviation, observateur à l'escaC. 46 officier d'un courage et d'un sangfroid remarquables qui comme observateur ixempli de nombreuses missions au cours desil a fait preuve des plus belles qualités gquelles entrain et d'intelligence. S'est particulièreiment distingué le 15 juilletdans des reeonnailaudacieuses. A été grièvement blessé le

;

Ices

dannur«f pouria le aérien,te

se ,Pîlotés-UD brillant laf{I' 16 juillet dans un accident d'atterrissage. Deux particulièrement pour tlx citations.Troisblessures. éprouvée, est devenusimplicu au cours d'un combat aerlen, nant. de exemplaire dèle !om cours combat MORELD'ARLEUX (Pierre-Albert-Léon), mie Glorieusement d'énergie. (Marie-Joseph-Paul)', à 363, sergent, du 1er groupe d'aviation, pilote à l'escadrille Spa 100 : pilote de tout premier yialteur. Spa88 chefd'escadrilleod. venir-à1^1» ordre, d'une valeur fet d'un entrain exem- drille ROSOY plaires. Constamment volontaire pour toutes 22e rég. de dragons, pilote a Uellbiplace les missions, s'est dépensé sans compter au ew Diplal, devoir, cours des dernières batailles et a soutenu de d'allant et d'esprit de abattu nombreux combats. Le 15 juillet, a abattu avec tête de sa patrouille, a d chasse ennemi pilote, avion de autrq rég. d'infanterie, P110*® a* chavirai11' t nemi. un un PANEL'(Eugène),mi, ««d17ateur (première victoire). de111"15.fai5,1 PLOMION (Emile), mie43,'caporal, du1er groupe 413e d'aviation, pilote à l'escadrille C. 46 : excellent drille Spa 84: jeune pilote jeune pilote, plein d'entrain et de courage. preuve des plus belles août a S'est signalé, dès son arrivée en escadrille, d'adresse et de courage. Le par son ardeur et son adresse.A abattu, le la part décisive dans la 11 août 1918, un avion ennemi en escortant ennemi. te afia deuxième la fois rnar teIJr pour au cours du même vol aviateu 0:;.93 mie P"°t co^d?; NADAT (Jean-Marie), des bombardiers remplissant une mission à Pilo te logis, du 7e rég. de chasseurs, basse altitude, particulièrement difficile. excellent quarante-uitiqDl l'escadrille Br, 128 : NUNGESSER (Charles Eugène Jules Marie), et tenace. Aeffectué toujoursexéeliteb,¡pst' lieutenant, du2e rég.de hussards, pilote, à l'es- ments de jour, qu'il a cadrille Spa, 65: le 14 août, dans une seule une remarquable énergie. sortie, a mis en flammes deux drachens entre un avion ennemi. Une nemis (40e et 41evictoires). son,H.|r )IJ!' jssance NOLLET (Joseph-Roger), mie 6247, brigadier, a aviateur d'infanterie, pilote du remarquable 51e rég. d'artillerie de campagne, pilote à 220 [j,jais5aIce5 officier pilote l'escadrille Spa 63 jeune pilote, remarquable : CO~ et août, ses ligence, bravoure sa d'ardeur et de courage a déjà pris part à plu- niques. Du1er 15 au sieurs combats le 14 août 1918, a été atteint tions atmosphériques très de quatre balles au cours d'un combat et grièfreq^^ p activité d'aviation grosse vement blessé. A réussi, grâce à son sang-froid, quelle il eut à combattre 301 à atterrir à peu de distance en arrière de nos réussi des missions très ~~ot' lignes avec un appareil criblé de balles. àkilomètres la prise de trois cents clicne chez l'ennemi. PLESSIS (Constant-Emmanuel), sous-lieute-. 'Ir1' citations. SERVANTY(Louis),lieutenant, adrîi'nl' adrIJiIl\:.,,) nant, du 7e rég. de chasseurs à cheval, détaché Cinq a l'escadrille Spa 65 : officier d'élite, d'une adSERVANTY (Louis), liatite. mirable bravoure et d'un haut sentiment du tion 12e corps, observateur devoir. S'est dépensé saps compter au cours drille Br. 220: officier donta des dernières opérations, en attaquant à plu- morale, les qualités compétence co alffl de sieurs reprises des drachens, en livrant de ainsi ennealj •,(f! la grande nombreuxcombats et en mitraillant à faible alti- vateurque sont photographe, tude des rassemblements et convois ennemis. éloge. Malgré du ~u ; une aviation Le 13 août 1918, a mis en flammes, à la tête de ¡1lrn¡¡PI,,,,,'¡ réussi, rement dangereuse a sa patrouille, un drachen ennemi, remportant à prendre 350 clichés entre 30 ainsi sa sixième victoire. chez l'ennemi. A rapporté au C?ciellS,.C DELAPORTE (Léon-Elie-Ernest),mie 1187, ser- les renseignements les plus P1 Ji gent, du 2e groupe d'aviation, mitrailleur à d'honneur. Trois citations. ant. ! l'escadrille C. 46 excellent mitrailleur, plein (Marie-Ernest), DUJARRIC de cran, d'adresse et de sang-froid. Toujours obsrvateUlvateu J^ic 58e rég. d'artillerie, volontaire pour les missions de combat. A abattu son deuxième avion ennemi, le 11 août l'escadrilleBr. 220: officier A,;:i'ï ardeur merveilleuse, de la 1918. 16 #avec Lel'ennenll, militaire et morale. photographique» ,,1:1',;; batPl')1 \1:, .co qu'il !lJil" GRILLOT (Jean-Charles), mie 2506, sous-lieu- d'une mission ; jusq11 s°! p~ tenant, du 16e rég. de dragons, pilote à l'esca- trois monoplaces chez drille Spa 159 officier pilote de la plus belle mirable énergie, soutint le énergie morale, ayant une haute conception plus d'heure d'un quart de rejondre noslignes etderaPnPnuo-rjtier5,i CI du devoir. Pendant huit mois passés à l'esca- d'une balle au front, et de atre lignes drille, a livré de nombreux combats où il n'a de rejondre nos ci1 renseignements mandant les cessé de montrer l'exemple. Grâce à son dé"lltC¡1;,: vouement et à son expérience, a rendu les cueillis. Légion d'honneur. QU MESIIOBIAN lourdebsrvateuIJJI: 1; plus grands services en commandant l'esca\¡'t):; drille, plusieurs fois éprouvée par la perte de ^Lpiiietf*;,^1! d'artillerie du rég. 115e chefs. S'est dépensé sans souci aucun d'une ses Br. 220 : santé fléchissante. A bout de forces, a voulu avion à l'escadrille allant nom^rp,ises pourtant faire une patrouille, au cours de la- conscience et d'un jnlpo de quelle il a été contraint d'atterrir, n'ayant, par au 16 août, a réussipoussant ennemi® miracle, perdu connaissance qu'en arrivant au très éloignées, mètres dans les lignes sol. f11; tant les renseignements les P , DOUILLET (Robert), mie 5310. sergent, du S'est particulièrement 3336 rég. d'infanterie, détaché à l'escadrille 14 août, où malgré l'activité photop' ^j^j Spa 77 : blessé deux fois dans l'infanterie, a su mie, il rapporta. des dès son arrivée à l'escadrille S'imposer tous grand intérêt. Quatre citations par son énergie et sa bravoure. Le15 août1918/ Il:' < él¡il', Albert NEUVY (bésiré - dU au cours d'un combat contre sixapfarilsen ryuapt !: ,l,' soncou-j 220 brilla nt et 6e régmie 1554, sergent, du nemis, a réussi, par son habileté à,l'escadrille Br. i0jiîl photograpniQ" a8de.'jn1;-,/ rage à abattre un de ses adversaires qui s'est aviateurmissions de grandes écrasé au sol (première victoire)*. de reconnaissances, valeuraucou'1' breuses photographIque ort^ 1. MANICHON (André-Georges), mie 913, ser- preuves breuses missions longije aU pIl'!':' gent, du 2e groupe d'aviation, pilote aviateur à de reconnaissances dernièrem l'eséadrille à rCCÓ(III',\ Spa 15 : piloteplein d'allant et d'en.., signalé ejicore tout, train. Se signale journellement par sa brayoure.. de la retraite allemande, J,',.. efn!neuji,aiet sa haute conscience du devoir, donnant le; sance à 80 kilomètres chez ~,,~ plusbel.exemple auxjeunes pilotes, nouvelle- moitié de nuit, moitié auprécisdes 1ro C Tf ment arrivés à l'escadrille. Le i5 août 1918, a rapporté au commandement abattu avec deux autres pilotes un avion en- ments particulièrement lCIlapI'111, nemi.

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lieutenant, du 32e rég. de dragons, pilote à l'escadrille 159 officier d'élite d'une grande générosité de cœur et de sentiments admirables. Pilote d'une ardeur et d'une ténacité incomparables. A su, comme chef d'escadrille, s'imposer rapidement par son autorité et son exemple. A maintenu un moral MAZIMANN (Georges),

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J.UtôN,tts préCiedeDment COni¡n"lcesChez l'ennemi et Dins Drécleux.DCU, les rapporII renseignements citatiOns. Une bles-

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par savole mois d'octobre rallee)'tun gr<lndnombre laPrérgde son énergie et à son Uc%sJ,i°cos graphiq,,,, de reconnaislointaines. A montré, mISSIons, S'estl'o¡deetnOtnbreux souvent gênées par avions ennemis, un é> en na?f:« Uiiier 8>!o>en«¥Clltanttro1e"six exemplaires. depuis le mois de arrièredes&aes ennemies. missions loin en tOUt D\'lllteur g,1Wj,^/ 102crille rég, fjjS* Pfem:LUr4 mle 19, maréd'artillerie lourde, bnlÂdev »ensive ^Prenant Br. 127 : pilote de distingué, depuis le 1 Inerg¡\'OIOlitiiire tous les à part du 010litflire Champ de bataille. Toui "'r¡'i6t 2ntaire îe t r¡a e, t a, par son exemple et son f'yégçîTeSeadrJiiin Pls grands Quarante-trois bombarservices en enc des pilotes récemment

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observateur en ql officier observade l'infanterie où oisCitétrois i' tem 5fîUi de fois blessé. S'impose Neil1U aveo il accomplit les misK%libesont et«îU/eUr h! alfonhées. Toujours volontaire, au combat, vient d'exécuquatorze bombardements ^n.<iVliPuaiPn nî?Use depar??i Datlille, attaquant, à la î-e les rassemblements Ils des renseignements pré81 a abattu un avion ennemi

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avec lesquels ila qui lui ont été confiées. b~~ts ÎPbft^!aiïie, mois et demi dix-sept altitude en plein secabattant, le 4 juin 1918, un nos lignes. Deux citatr6'(\J¡':S tosg: d'infndgû.r(l-Gaston). S'nEtRorai lieutenant, du l}"¡Õüherderle, d,eseIdrille commandant l'escadrille d'une très haute vant parfait. réfléchi,unjoI. entrain un courage et une audace Unité A tait, en peu de nombreux m,'M commande, un redoum?bornb de combat. A exécuté de dont à plusieurs' ton?Urs onn:tions de très durs comtête de son unité en sorhvictorieux grâce à son tl1\1111' à Secellent entrainément qu'il 'IN( équipages. a !

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flammes, permettant ainsi au pilote d'en d'iriger la chute dans nos lignes. GAYET (Ernest), mie 403, maréchal des logis, du 5e rég. de chasseurs d'Afrique, mitrailleur en avion à l'escadrille R. 239: mitrailleur d'une grande bravoure et d'un rare sang-froid. Tué glorieusement, le il août 1918, au cours d'un combat inégal contre quinze avions ennemis. RICHER (Marcel-Charles-Pierre), mle 1771, sergent du 878 rég. d'infanterie, observateur mitrailleur en avion à l'escadrille R. 239 : observateur de premier ordre. A fait preuve dans maintes circonstances des plus belles qualités de bravoure et de sang-froid. Le 11 août 1918, attaqué par une patrouille de treize avions ennemis, a soutenu jusqu'à la mort un combat inégal. CRAPEL (Pierre), mie 37, soldat, du 230e rég. d'infanterie, mitrailleur à l'escadrille R. 239 : mitrailleur brave et énergique, toujours volontaire pour les missions dangereuses. Tombé glorieusement, le 11 août 1918, au cours d'une lutte acharnée contre quinze avions ennemis. FLAMEN (Paul-Fernand), mle 4743, brigadier, du 5e rég. de dragons, pilote à l'escadrille R. récemment arrivé en escadrille, a fait 239 preuve dès ses débuts d'un allant remarquable. Tombé glorieusement, le 11 août 1918, au cours d'un combat inégal livré à une patrouille allemande très nombreuse. CASTIOLIA (Jean), mle 2288, sergent, du 1er groupe d'aérostation, pilote à l'escadrille Br. 108 : pilote hors de pair etpleindecrânerie, vingt-six missions de champ de bataille depuis juin 1918. Le 11 août, attaqué par quinze avions abattu l'un d'eux et est rentré au ennemis' a , terrain avec un avion criblé de balles et d'éclats d'obus. résf. DESCIIAMPS (André), adjudant, du 17* pilote d'infanterie, pilote à l'escadrille Br. 120 magnifique d'allant. Prend toujours dans les formations les places les plus exposées. Le 11 août 1918, est venu à l'aide d'une formation attaquée. A abattu un avion ennemi dont une aile s'est détachée (2e victoire). ROBYN (Ilenri-André), mle 509, adjudant, du 106e rég. d'infanterie, pilote aviateur à l'escadrille Br. 108 excellent pilote plein d'allant. Après 150 heures de vol au-dessus de l'ennemi dans le corps d'armée, est passé volontairement dans le bombardement où il a exécuté vingtneuf missions dont une comportant un parcours de 150 kilomètres dans les lignes ennemies, le 17 février 1918. N'a cessé de se distinlal'atmiguer depuis l'offensive de mars 1918 dans taque à faible altitude, à la bombe et à trailleuse, des colonnes ennemies, opérations plusieurs fois au cours desquelles il est rentré avec son avion sérieusement atteint. Le 28 juin 1918, s'est porté très crânement au secours d'un camarade attaqué par l'ennemi et l'a dégagé. Une blessure. Trois citations. FOUAN (Jacques), lieutenant, du 4e rég. de cuirassiers, pilote aviateur à l'escadrille Br. 10S : jeune officier pilote d'un excellent exemple pour l'escadrille par son allant à toute épreuve. A eu son avion sérieusement atteint au cours des derniers bombardements à faible altitude. Le 10 août dernier, a soutenu un durcombat contre vingt avions ennemis, a abattu l'un d'eux et est rentré au terrain avec son appareil criblé deballes. IIENIN (Jean-Marie-Hippolyte), adjudant, du 1er groupe d'aviation, pilote aviateur à l'eseadrille Br. 66: adjudant pilote de grande valeur. Après avoir exécuté de nombreux bombardements de nuit, s'est glorieusement conduit dans la chasse, puis, blessé, est revenu dans le bombardement de jour où, en moins d'un mois, il a exécuté seize bombardements, faisant preuve d'un courage et d'un entrain splendides. Le 11 août 1918, a abattu un appareil

ennemi.

(Edmond-Adolphe), sergent, du 5e rég. decuirassiers, pilote aviateur à l'escadrille Br. 66 : sergent pilote de tout premier 10 août, otl* alienilud. MARTIN(Marcel),mle ordre. Vient de se conduire très brillamment exécutant, en deux bataille, dernière la dans 1192, solda.t de 1re classe, mois,vingt et un bombardements dont la plu1 Sh4(iiil4^^39 1 mitrailleur enavion à part à faible altitude et en plein secteur de ShV lUivfpd'allant. bataille. Le 11 août 1918, a abattu un appareil 1 I1 un combatacharné

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d'escadrilleBr. 108 excellent pilote, plein d'allant, n'a cessé de se distinguer dans tous les bombardements du champ de bataille, depuis son arrivée en escadrille. Le août 1918, a soutenu un dur combat contre quinze avions ennemis, a abattu l'un d'eux et est revenu avec son avion criblé de balles. LUCIANI (Jean), lieutenant, du 102e rég. d'artillerie lourda, pilote eviateur à l'escadrille Rr. 108 venu comme jeune pilote dans la bombardement après s'être très brillamment' conduit comme observateur d'armée et de corps d'armée au cours de nombreuses missions effectuées dans des circonstances souvent périlleuses et difficiles, a exécuté au cours des dernières attaques de nombreux bombardements et mitraillages de tranchées à très faible altitude avec un entrain et un couraga parfaits. Remplit en outre les fonctions d'oflicier do renseignements du groupe avec un. zèle et un dévouement absolus. PIRIO (Georges), mle 2770, caporal à la section des infirmiers coloniaux, pilote aviateur à l'escadrille Br. 108 : très bon pilote de cran et toujours sur la brèche. Le 11 août 1918, au cours d'un combat contre quinze avions ennemis, a abattu l'un d'eux et est parvenu à revenir au terrain malgré que son avion ait été gravement endommagé par les bâties. GALAND (Edmond-Ghislain), maréchal des logis,du9erég.-de cuirassiers, mitrailleur en avion à l'escadrille Br. 120 : mitrailleur d'élitu et excellent tireur. Le 11 août 1918 a abattu un avion dont une aile s'est détachée. Est en toutes circonstances un précieux auxiliaire pour son pilote. FROSSARD (Euchariste), mle 1089, sergent, du 175°rég. d'infanterie, observateur en avion à l'escadrille Br. 108 : très bon observateur. calme et courageux. Le 20 avril 1918, a eu la figure et une main gelées au cours d'un bombardement lointain à grande altitude. La 11 juin, est descendu a 300 mètres d'altitude et à 5 kilomètres dans les lignes pou? mitrailler des colonnes ennemies. Le il août,, attaqué par quinze avions ennemis, a abattu l'un deux-aprés un dur combat. PAILLARD (Marcel-Edouard-Gabriel), mle 2g, Sergent, du 313° rég. d'infanterie, mitrailleur en avion à l'escadrille Br. 111 : excellent mitrailleur, possédant les plus belles qualités d'entrain, de courage et de sang-froid. Au cours des batailles de Picardie et de l'Aisne, a donné sa valeur combative une preuve nouvelle de ardeur toujours plus en exécutant avec une grande les missions les plus difficiles. En plusieurs combats, s'est montré tireur remarquable de précision et de calme ; le 21 juillet, la d'un avion ennemi a contribué à la chute 11 août 1918, en] a abattu un second qui s'est écrasé au sol. MAGUET (Georges), sous-lieutenant, du6e escadron du train des équipagcs,observateur en avion à l'escadrille Br. 108 : observateur hors de pair et sa par son cran, son allant, son adresse trente science. Depuis le 31 mai 1918. a exécuté attaques à la bombe et à faible altitude sur des colonnea ennemies. Le 18 juillet, a contribué comme observateur de tête et, par son tir précis à détruire une passerelle ennemie. La 10 août, attaqué par une patrouille de vingt avions, a abattu un de ses adversaires. DOUVILLE (Louis-Alexandre), mie 3911, maréchal des logis, du 2e rég. de hussards, mitrailleur en avion à l'escadrille Br. 108 : mitrailleur modèle par son cran et son adresse. Continuellement sur la brèche depuis mars 1918, aaepartibadernier. g cipé à vingt-deux opérations de champ avion taille depuis le 21 mai. Le 10 août vingt soutenu un dur combat contre est rentré ait ennemis, a abattu l'un d'eux et balles. terrain avec son avion criblé de (Ordre du 28août 1918.) Michel-Joseph Calixte -IarieJ. GOIFFARD sous-Ueutenant, du 13" bataillon de chasseurs pilote à l'escadrille Spa 154 le 11 août, alpins, accompli un exploit unique, en abattantdans a la même sortie deux monoplaces et un drachen (22e, 23e et 24e victoires). EHRUCU(Jacques-Louiseadjudant, du 12° es cadron du traindes équipages militaires,pilota* détaché à l'escadrille Spa 154 pilote de chassad'une bravoureexceptionnelle. Le 15 septembre avec soa chef de patrouille, a incendié-

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QuatrrOlSMédalllC d'enut's"~-1 pli" trois drachens en moins de cinq minutes, por l'infanterie ennemie. Trois citations anté- il tenait tête à un groupe Médaille tant ainsi à dix-huit le nombre de ses vic- rieures. une reconnaissance. toires. LALOUP(Célestin), mie 11717, soldat à la fois blessé. d'ir, LISLE (Marcel-Henri), mie 3354, caporal, du lrecompagnie du 4e rég. d'infanterie. Agent de taire anglaise. dk 42e trèS é rI': r g. J¡08 sergent. 45erég. d'infanterie. pilote détaché à l'esca- liaison dont le dévouement ne connaît pas de a leUret,loi^ COQUIARD (Lucien),par'son drille Spa 15i : jeune pilote, exemple d'allant limites pendant la bataille. Du 2 au 4 septem- fanterie, pilote à cstréS aU et du devoir ; au cours d'un engagement de bre 1918, a maintenu une liaison excessive- pilote quise signale ceitabas» ,.cj«v patrouille, a réussi àse dégager alors qu'il mont difficile, sur une pente mitraillée, entre voure, a accompli pendant Itt-' oours avait son appareil criblé de balles. Le 14 sep- son commandant de compagnie et sa section. plusieurs missions dont er»n0lfl tembre, avec son chef de patrouille, a incendié Du 4 au 7, au cours d'une avance, n'a pas dans les lignes ennemies deux drachens. cessé, nuit et jour, de porter des ordres sous tude. Attaqué le 13 août avion feux des extrêmement un d'obus violents de mission de achevé réglage,sa par ou NOGUES (Marcel-Maurice-Joseph), sous-lieuabattu uUSSlon. llant¡f!l abattu achevé mission. utetjaD mitrailleuses. S'est offert plusieurs fois tenant, du 107e rég. d'artillerie lourde, pilote tanément spon;; détaché se disto' pour accompagner son commandant à l'escadrille Spa 57 officier d'élite de GARODY (Georges-Léon), QgedisLep compagnie dans la reconnaissance des po- 58e rég. d'artillerie, observateur alliant à des qualités exceptionnelles de pilote sitions avancées; étant tombé pendant eOw une de Sal288 jeune observateur acCoiflP. de chasse, une rare maîtrise de soi, une énerJo^ : ces reconnaissances, sur un important groupe gie incomparable et un ardent esprit combatif. d'Allemands, bravoure Pltl"ou et ardeur h^g nCs jeî, par sa n'a son perdu sang-froid et pas son missioi ré £ Jgpif Le 17 juillet 1918, a attaqué et incendié un dra- est dant les dernières batailles tirant l'ennemi, à échapper parvenu, en sur chen ennemi. Le 15 septembre, a incendié à aaC'jaie®vij$ à très basse altitude dans mains. ses coup sur coup deux drachens; son réservoir Attaqué au cours d'une GSCWIND (Alberi-JulesLouis-Joseph), uessence ayant été percé par une balle, a pu 0i953,sergent à la mie un avion ennemi, l'a abattu et néanmoins, à force de courage et de volonté, 2e compagnie du 4e rég. d'in- mission 1918). sous-lieutenaj (13 août fanterie: sous-officier d'élite, dont les actes de dU 2 ramener son appareil et atterrir au voisinage bravoure l'cscadriH^gal pauralltlC.'q des lignes (10e, 11e et 12e victoires). MEDARD (Félix), ne se comptent plus. Le 5 septembre pilote à 1918, au mépris de la mort, a ramené sous bie duran,AeS. d'infanterie, une signale ^issi^ns CONDEMINE (llenri-Pierre-Théophile), sous- pluie de balles un de ses camarades grièvement nombreus s'est excellent pilote, lieutenant, du 10e rég. de hussards, pilote dé- blessé. Le 6 septembre, pris le repriS'qB mené à et initiative, a commandeson a taché à l'escadrille Spa 154 : excellent pilote de ment d'une demi-section d'assaut qu'il trois rise, contes batailles, les a enchasse, d'une grande bravoure et d'un dévoue- traînée avec une rare vaillance. A réduit des dans lui ont été confiées un souvent difficiles. AttaquéPar ment absolu. Après avoir servi de nombreux nid de résistance qui arrêtait à linoatroul progression, sa mois dans l'infanterie, où il a été grièvement tuant à bout portant plusieurs Allemands d'une'reconnaissance cours dont blessé, est entré comme volontaire dans l'avia- un officier. S'est ensuite énergiquement main- dans les lignes ennemies, tion. Avec sa patrouille, a abattu deux dra- tenu sur la position conquise. abattu 1918). huit avions, en a -chens en flammes, le 22 août et le 7 septem(Fernand-Loms), l'esctlt (11 août accompli mission an!" sa CAVALLIER (Eugène), sous-lieutenant au bre 1918. l'escajr 35e bataillon de tirailleurs sénégalais GARNIER y ^rayid officier LEFEBVRE (Jacques-Henri), sous-lieutenant, aun observateur 26e rég. dragons, de à épreuve. toute courage Chargé, le 5 sepbravtour au 26e bataillon de chasseurs à pied, pilote à tembre 1918, observateur Sal 288 : excellent résistance de faire tomber la des durant -sa l'escadrille Spa 76: pilote d'un rare mérite qui derniers défenseurs de Breuil-sur-Vesle signalé par l,ar nombreuses issioll cODs alé circonstances, s'est se détache d'entre les meilleurs. Le 15 septem- un peloton de tirailleurs sénégalais, avec son initiative. A mené dans bien, à desirCofl»ajic a re- centes batailles, les bre 1918, s'est présenté comme volontaire pour poussé brillamment à la baïonnette e5i ropriges exécuter une mission des plus dangereuses. attaque ennemie qui cherchail à une contre- lui ont été confiées s'opposer à trois Quoique malade, l'a remplie en entier, parà Attaqué son mouvement d'encerclement, a tenu jus- souvent difficiles. courant seul, plus de 200 kilomètres au-des- qu'au reconnaissance Par patr° et d'une septembre aû cours matin et, relevé territoire pour du sus occupé par l'ennemi. Malgré prendre part avec dans ennemies, les lignes compagnie à attaque sa une moteur grippé à 30 kilomètres dans les de la division, s'est son huit avions, en a abattu un lignes allemandes, a pu rentrer, grâce à une avec son peloton. encore brillamment conduit accompli cofll coffi sa mission (11 août énergie et à un sang-froid peu communs, rap16 la, d'infanterie: le craie C ¡t1 B à Soldat t portant des clichés de la plus haute valeur. EUZEEL (Charles-Corml), sous-lieutenant du (Henri-Marcel), RENOT é!l dëugreP ,, 138 rég.d'artillerie, observateur à l'escadrille gnie du 85e rég. LE DANTEC (François), mie 0290, caporal SPA 2 : le 2 septembre 1918, au 1918, a fait preuve d'une rare au d'une cours 61e bataillon de tirailleurs sénégalais bon ca- reconnaissance, a été attaqué par cinq avions beaucourage, assurant rcrssur ul1 poral, brave, ayant beaucoup d'allant, calme et de chasse ennemis leur tenu tête, forcé gur u,,n des blessures, transmission la a l'un a tramai ferme en face du danger. Le 18 septembre d'eux à abandonner le combat dès le début et dont il était chargé en se chef d'un petit poste de première ligne, atta- en a abattu deux kilométré' ca de second. plus de un cours (Jean-Marius-Antom• e„ -*V*ré® ienïil'W que vers quatre heures du matin, par deux GUIMBERTEAU (Lucien), mie 9579, soldat mifron'yc, BOREL groupes ennemis, a donné un bel exemple de trailleur du 44e rég. d'infanterie, mitrailleur à taine adjudant-major au 4e 1 courage, d'énergie et de sang-froid,en diri- l'escadrille BR. 260: jeune mitrailleur, très d'infanterie excellent officier. A pre^ lj geant énergiquement la défense, bien que blessé grièvement au cours de l'action, en brave, très dévoué, toujours volontaire pour le début de la campagne. par"}1a iier aua'\,0ni* montant sur le parapet pour observer les mou- les missions périlleuses. A trouvé une mort toutes surleot 16 Illt circonstances et en chef droiture froide et $olir, alito DraJ'OC vements de l'ennemi, Ne s'est rendu au poste glorieuse, le 2 septembre 1918, dans un combat moments difficiles, des plus de.secoursqu'après la fuite des partis ennemis. inégal contre quatre avions ennemis. chef droiture froide et griè,veniLentle Déjà médaillé militaire. Plusieursblessuréspar Blessébatal0d'uoe P:St esprit de sacrifice, GALAND (Alfred-Charles-René), maréchal des tembre 1918 à la tête du éclats de grenades, dont une-ayant nécessité logis du 3e rég. de hussards, pilote à l'escadrille nait vigoureusement à l'amputation de l'avant-bras droit. » SPA. 2: le 2 septembre 1918, au cours d'une ennemie fortement défendue. ChOyalier ALEXANDRE (Romain-Maurice), mie reconnaissance, a été attaqué par cinq avions antérieures, Trois citations. 9uleerre, 13628 solsoldat au 159e rég. d'infanterie excellent de chasse ennemis, leur a tenu tête, a forcé Légion d'honneur dl dy dat très modeste, a constamment fait preuve l'un d'eux à abandonner le combat dès le dépour faits de ca 93 JV absolu rare conscience et d'un dévouement but et en a abattu un second. CIIOLLET (Daniel), caporal, dans 1accomplissement de son devoir. d'entrai l'escadrille fanterie, pilote à BLOV AC (Armand Emmanuel-Jacques), mie Sestparticulièrement fait remarquer par sa 04910, sergent, du 141e rég. d'infanterie, pilote pilote de chasse, pleinseconde bravoure le 26 juillet 1918 en se portant crânel'attaqu > ga Blessé, la à l'escadrille voure. pour BR. 260: excellent pilote, d'une fanterie nement avec son équipe de F. M. en avant de conscience à bornbardelllle en entraînant élevée et d'un dévouement absolu. la ligne de feu, réussissant à arrêter la prof11' 1917, sous un violent gression de l'ennemi. Grièvement blessé le Toujours volontaire pour les missions péril- dont aviat.i fg d'être les chefs venaient tetliepre0 leuses, a trouvé mort glorieuse, le 6sep- bat. A peine arrivé dans une 4 septembre 1918 à son poste de combat. tembre 1918, dans un combat inégal contre 15 bc le abattu dans lignes, a quatre ses avions ennemis. Deux citations. LE 52e RÉG. D'INFANTERIE COLONIALE biplace ennemi. un commandement éclairé et énergique sous MILLOT(Pierre-Jean-Baptiste), lieutenant, (Ordre du22 septembre 31Btcvy léfS(o du lieutenant-colonel COQUET, a défendu pen- Br. du 11erég. d'artillerie, observateur à l'escadrille chaj rIèffcê il a dant plusieurs jours, avec une ténacité héroï- et 260 observateur de lieutenant FAUGAS (Albert), haute valeur morale d^jd que, la ligne de résistance dont il avaitla militaire, accomplissant toutes ses missions pagnie, du 6e bataillon de d'assaut garde, contre des attaques ennemies très vi- avec une ardeur Infatigable; de du 502e CCiOl) rég. d'artillerie les plus goureuses et renouvelées deux fois par jour grands services à l'artillerie aetrendu ju aU'à Ciift commandant une rageux, l'infanterie à après une violente préparation. A rejeté no- dont il avait toute la Blesseau de débutde d'assaut. Blessé au début 5a 15 tamment une attaque effectuée par trois régi- mort glorieuse, le 6 confiance. A trouvé une d'assaut. combat sa 1918, dans un let 1918, a continué le ments lon. sur une croupe tenue par un seul batail- combat inégal contre septembre mis ment complet des moyens quatre avions A rétabli compromise ennemis. tion. sItuatIon sa droIte sa d'énergiques par SOLIS-Il.etiteriaotlége ..ao! Ide contre-attaques Quatre la à t e.. compromise a sa droite et sa It e. de fQcfà c-ierpti8qvtb u gauche DE BELENET (Olivier), BURLIN (Henri), mie 0336, sergent à la 7e com- 3180 compagnie du 6' bataillon of a pagnie du 56e bataillon de chasseurs à pied LABARRE (Alfred-Paul), mie Jtl iiiet d'assaut : 11710, caporal à du 502e rég. d'infanterie. Gradé rég. sous-officier d'une bravoure légendaire au bad'artillerie detrui^. La 10c compagnie du 4e '13 eSfle du blessé l'action remarquable,toujoursvolontaire taillon où il combat depuis août 1914. Volonau début de d'un courage les missions périlleuses. Envové enpa- taire pour toutes les missions périlleuses V A continué le combat, a pour qu'il trouilles'est trouvéisolé groupequ'il accomplit avec bonheur. Ardent, fanatique au trailleuses ennemies. Blessé Stion le avec deuxième fois, n'a quittéramenéall sa commandait au moment où se déclencaitune combat, blessé trois fois, rejoint toujours son d'assaut qu'après l'avoir bataillon où il accomplit de nouveaux exploits. contre-attaque ennemie. Se servant d'une trailleuse allemande abandonnée, arrêté mi- A eu la main gauche emportée, l'œil gauche ralliement. b.-la a net blessé par une grenade, au moment Où, seul, QiiMÇTA(Joseph), adjudant -

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bardement ininterrompu en obus explosifs et toxiques'ligne, a rempli sa mission de défense de première exécutant ensuite, par ordre, sans perdre un seul canon, sous le feu violent des mitrailleuses ennemies, un repli sur une position d'où il a continué à briser l'offensive 8?l50S'aer!iea5ïe^ (Gabriel) maréchal dévouement assaillants, de ses des grâce au maréchal des logis Io-'yis à officiers et de Après la rupture de hommes. ses b:td'ns?Plrnanfiant de chars lé- l'attaque ennemie, a poussé hardiment des d'artillerie , !, ne d'assaut brai U' sousbatteries de 105 à hauteur des premières lignes cru demi-section de £qrh^ueir«tetré eus1 e pS et dune initiaPl\)Uvc, le 23 juillet 1918, d'infanterie,en continuant à infliger des pertes sévères à l'ennemi en retraite. IIlen initiad'une poitrine,à qlltteSon

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l' àla •conduisant butredl,23juillet1918,blesséau Gravementblessé

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mle dlyision borrih) 4 i. nne î£ blessures.

lagis3.escadrol,du LABORIE (AnIÎ'^SDîf^^uoHen^'atioifîîfrnsive> s'estacquitté 3645, maréchal ii*

$'v1' lfIéren.tes PrencePaUl'

rég. de chasreprises en recondétern l'emplacement de hî?tf?d'uneâ^011remarquable, malvoisine, au vin i'"J i' i»1'n0u,vntsniitr/l ^neuses!'SOSêtiiee!m),^ d'aïii**nl ne bombardement artillerie malet à A rapporté des , plus précis etni."1ère nane sous qu'il feu a en P,~rsoillle sur sur les points à Pas, pour les atteindre, sous le feu 8e

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LE 53° BASÉNÉGALAIS : le

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comprenant le 329" rég. bataillon de tirailleurs ¡l'é 8ChnrnédOdres Une du ,^MC es -u commandant DEd'um ? tllUes.dU18 série de luttes inces!,ie le« î iU6uos » 27 juillet 1918, au combatives; antérieures et les pertes «h''te^r^^alisp , hautes qualités ré. alisé ÎuNjnl^on des Progressions impor> ÎNnL6ïshr'soù ^nIlerr" contre-attaques, s'est replie, l'a 61's, arrêt.A ^t'c*Unn de nombreuses deux deuxcents cents mitrailleuses

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au cours des combats, îNïeJ^IotAnde fait a preuve opposant en à l'infilla Marne, du 16 lutté de pied pied et avec enace pour conqui voulait s'ouvrir un

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dans les cirdifficiles de la ttfte- cilte 'iV de à trois esUn un beli effort fournir moral et phyr"in •N de troupe ont riva" ? ndura V'V%A^t etde courage, aidant 4?^dl?eii-.1lInssIaarmurÏÏnpLnnt!,'du de 1918 dela forêt de Retz et , peeilntarltellede 17 au 21 juillet, la division dans la 0ïUiâtes /,Ve sildd®la Vt?tfii Letlaissai» ?n\re ennemi

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Marne, de Montvoisubissait de nos mains plus §I?j KkVhLUsde150 111itrailleuses.

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REG. D'ARTILLERIE commandement énergiqueW^^MUND, officier su!.'b lut mérite, du capitaine ®8et Uentlc ilants , b *d' Ï!ls S)ée ''cATENOT et

d' kigierniéealiit Par^ «ae allié! à la résistance pendantla *

batailledu lD'intn.. sous un bomS'estmaintenu boni:-

L'ARTILLERIE DE LA 40e DIVISION D'INFAN-

TERIE: sous l'énergique commandement du colonel BERGE, le 40e rég. d'artillerie de campagne, le 5e groupe du 132e rég. d'artillerie lourde, ravitaillés par le P. A. D. 40, ont supporté avec un héroïsme splendide le bombardement infernal de l'ennemi dans la matinée du 15 juillet 1918, tirant sans arrêt, jusqu'à la consommation de toutes les munitions, décrochant lewrs batteries successivement avec un calme superbe et à la dernière extrémité, malgré de violentes rafafes de mitrailleuses ennemies. Installées sur de nouvelles dispositions,

ont tiré pendant trois jours sans arrêt, ravitaillant à plein collier, sans aveu de fatigue, prêtant à l'infanterie un appui efficace et contribuant pour une bonne part à l'arrêt de l'ennemi. BARRE (Henri), mle 1 IC 16052, soldat de lTe classe a la 11e compagnie du 23e rég. d'infanterie coloniale blesse très grièvement, le 11 septembre 1918, en portant un ordre à une compagnie voisine. A fait preuve d'une force de volonté admirable et n'a consenti à se laisser évacuer qu'après avoir remis lui-même l'ordre dont il était porteur à un gradé de la compagnie intéressée. JACQMIN (Robert-Eugène), lieutenant à la compagnie de mitrailleuses du 61e bataillon de chasseurs au cours des dernières opérations, a fait encore l'admiration de tous par son mépris total du danger et la conscience avec laquelle il a accompli toutes les missions qui lui ont été confiées. Blessé d'un éclat d'obus à la jambe, a refusé de se laisser évacuer et est resté à son poste, continuant fi assurer son service, malgré la douleur que lui causait la marche. FOURNEL (Auguste), sous-lieutenant à la 2e compagnie du 408° rég. d'infanterie jeune officier plein d'allant, ayant donné maintes fois des preuves de bravoure et de décision. Le 15 juillet 1918, a porté sa section à ses emplacements de combat sous un violent bombardement et l'y a maintenue plus de quatre heures, résistant sur place jusqu'à encerclement complet. Est parvenu avec un petit groupe à briser l'étreinte ennemie et a continué à combattre avec une rare énergie. ROUSSEAU (Jean-Baptiste), gendarme à cheval de la 11e région, prévôté du Q. G. du 1ercorps d'armée colonial au front depuis le début, n'a jamais voulu bénéficier d'une relève, toujours volontaire pour les missions délicates. Cite deux fois à l'ordre du régiment pour ses qualités militaires. Dans un poste particulièrement difficile, s'est signalé par un zèle, un courage et un esprit de sacrifice absolus pour secourir les blessés et éteindre les incendies provoqués par les obus. Tué à son poste le septemhre 1918, par un obus ennemi. LE 47e RÉG, D'INFANTERIE : superbe régiment qui, sous le commandement du colonel BULIIER, blessé, puis du colonel ZOPFF, a brisé, le 15 juillet 1918, au sud de la Marne, les puissantes attaques de l'ennemi; puis, pendant trois semaines, a talonné les Allemands de la Marne à l'Ardre et de l'Ardre à la Yesle. Après avoir jeté de vive force une tète*ile pont sur la rive droite de la Marne, s'y est cramponné sans que ni les bombardements intenses. attaques de l'infanterie, ni les ni les difficultés de ravitaillement aient pu ébranler un seul instant sa farouche volonté de tenir et de progresser. Toujours à l'avant-garde entre Marne et Vesle, a précipité le recul de l'ennemi, lui arrachant à maintes reprises des prisonniers et un important matériel. LOUYS (Siméon-Henri), mle 0402, sergent au sous-officier hors 7e rég. d'infanterie coloniale de,pair,type de l'homme du devoir. Bien que dispensé par ses fonctions civiles et parson âge de venirau frontl.-atenu à servir comme sergent dans une unité combattante, où il a

toujours vaillamment fait son devoir et prêché l'exemple dans les circonstances les plus dures, En dernier lieu, a été grièvement blessé en s'était ligne, alors que peu de jours auparavant il évadé des mains de l'ennemi qui l'ayait un instant capturé, et avait immédiatement repris le commandement de sa demi-section sur les emplacements de combat. FÉRAUD (Eugène-Jran-Baptiste),général de division, commandant le 1ercorps de cavalerie chef ardent, énergique, sachant faire passer dans ses troupes la belle contiance qui l'anime. Ses brillantes qualités militaires se sont montrées à nouveau, tant en juillet qu'en mai, alors que jeté dans la bataille, en des secteurs où la situation était particulièrement difficile, il est parvenu non seulement à arrêter la progression ennemie, mais encore à passer à l'olfensive et rejeter les Allemands dans la Marne, contribuant puissamment au succès de nos armes. FAUCHE(Ilenri-Gustave-Edmond). chef d'escadrons au 6e rég. de dragons oriicier supérieur d'une haute valeur morale et militaire. Appelé, le 1Gjuillet, dans des circonstances difficiles, à exercer le commandement d'un bataillon de cavaliers pied à terre, a su, en faisant donner à cette unité son plein rendement malgré les tirs incessants de l'ennemi à obus explosifs et toxiques, répondre au mieux aux intentions du commandement. Grièvement blessé au cours de l'action. IIENRIOT(Pol-Gabriel-Léo-n), lieutenant observateur photographe à l'escadrille Spa. 76: officier d'un dévouement et d'une activité remarquables. Commandant une section de photographie aérienne, dont il sait obtenir le maximum de rendement, se rattache volontairement à une escadrille pour y faire des reconnaissances. Vient d'exécuter pendant les dernières offensives, douze missions photographiqueslointaines de la plus haute importance sans accompagnement et dans des secteurs particulièrement actifs. LANCIlAIS (Paul), mle 18778, aspirant à la 5e batterie du 13° rég. d'artillerie jeune aspirant, très brave et très courageux, gravement blessé, alors que, sous un violent bombardement d'artillerie lourde, il circulait à découvert d'un abri à; l'autre pour maintenir le calme parmi les hommes do sa batterie. Voyant son commandant de batterietué à ses côtés, n'a pas voulu, malgré la gravité de sa blessure, abandonner sa batterie sans commandement, est resté à son poste et a dû être évacué sur l'ordre formel de son commandant de groupe. EYRAUD (Virgile-Etienne-Louis), lieutenant à la 5e batterie du 13erég. d'artillerie commandant de batterie de tout premier ordre, d'une bravoure d'un dévouement et d'une énergie au-dessus de tout éloge. Tué le 2 septembre, au milieu de ses hommes, alors que sous un violent bombardement d'artillerie lourde, il allait à découvert d'une pièce à l'autre pour maintenir le calme, donnant ainsi un magnifique exemple de sang-froid et de superbe héroïsme. Trois citations. Deux blessures. IIENRIOT (Gaston), sergent au 4e rég. d'infanterie : sous-officier d'une bravoure remarquable et d'un dévouement absolu. Le 1er septembre 1918, chargé à l'occasion d'un coup de main de nuit, de commander un groupe de nettoyeurs, a montré une hardiesse et un courage exceptionnels dans l'exécution de cette tâche périlleuse. Blessé très grièvement au cours de cette action. (Ordre du 21 septembre 1918.) régiment qui LE 28e REG.D'INFANTERIE s'est distingué au cours dela campagne par son ténacité et son esprit de sacriendurance, 10 août 1918, sous les ordres de son fice. Le lieutenant-colonel LE GOUVELLO, s'est chef, le porté à l'attaque d'une position ennemie fortement organisée et a enlevé d'un seul élan tous les objectifs qui lui avaient été assigns. Exploitant son succès, bousculant l'ennemi et réduisant au passage de nombreux nids de résistance, a réalisé une avance de 12 kilomètres. Poussant sa progression au cours dela nuit, s'est, par une manœuvre audacieuse, emparé d'un point important dont il a capturé la garnison. A continué du 11 au 17 août son avance hardie à travers les lignes ennemies puissamment garnies de mitrailleuses, faisant plus de 200 prisonniers dont 6 officiers et enlevant à

A leuses.

par so ê nom

glitr-i l'ennemi deux canons de lM et un grand nom- sous le feu de l'ennemi. Ses trois groupes se de terrain et facilité, sont déplacés et mis en positions sans se sou- d'un régiment voisin. bre de mitrailleuses. de EmmaDdedragoo: capturé et observatoires qui les domicier sonniers d'être des vus DES JOB E R T Marie régiment naient. Ses tirs ont été exacts, précis et effi- leuses. LE 119e HÉG. D'INFANTERIE <'escadf°,tct, d'élite. Le 10 août 1918, sous les ordres du caces. aveson. leconlC, lieutenant-colonel MALVY, a enlevé d'un seul LE 6e RÉG. D'INFANTERIE : régiment d'élite. Edouard), capitaine au 19 élan tous les objectifs qui lui étaient assignés, les a dépassés, progressant de plus de 10 kilo- Du 10 au 21 août 1918 inclus, sous le comman- chargé de poursuivre ob b® de et journée, s'emparant retraite même puis du nemien mètres dans la suc- dement du lieutenant-colonel SDILON, II tenUe. cessivement de six villages fortement organi- colonel BOUDHORS, a combattu sans interrup- rempli sa mission 11 au 22 août, a encore progressé de tion en première ligne avec un mordant et d'à-propos, malgré un tir sés. Du - 5 kilomètres, enlevant dans uno lutte achar- une ténacité au-dessus de tout éloge, exécu- ques. Est arrivé ainsi à mettre cavaliersjusqu'à l'arrivéewl'jnte11 passage derivièreimportant née trois localités et une position très fortetant une progression de 10 kilomètres à tra- s«s alteleo !'JI ment défendue. A capturé 262 prisonniers, des vers un massif boisé extrêmement difficile, C'apitai" l'demenod6 nombreuses mitrailleuses prisonniers, faisant 263 de et villages, reprenant deux un canons, (Pierre-Anatole), COTTON important matériel. enlevant 10 canons, 9 minenwerfer, 49 mitrailaoût un bOlSdsrésisn, 30 le rég. d'infanterie : leuses et un matériel considérable. RÉG. D'ARTILLERIE beau régiment enlevé LE 22* compagnie, un 1918.) ootobre du (Ordre 3 doiggo, qui s'est déjà illustré à Verdun et au Cheminet conquis par l'ennemi ennemie crit laloi]000, les 5-olidern des-Dames. Sous les ordres du lieutenant-coVIENNOT (Emile-Edouard), colonel comman- étendue danslequeltrès dif/'Loe lonel DE BONNAULT, chef de la plus haute dant l'infanterie divisionnaire 70 : pendant pied à pied. Chargé d attaquer" lesdépit dune.® des maréca valeur morale et professionnelle, vient à nou- vingt-neuf jours d'opérations actives, menées une position 0, un distinguer août 1918, de du 10 27 séparé dont était il en dirigé combat par se le de l'infanterie au répit, a veau en. captur sans appuyant les régiments de sa division, puis du avec un rare sang-froid et un grand sens tac- rivière, a surmonte toutes l'ennemi 2S au 30 août ceux d'une autre division a su, tique. A su obtenir de ses régiments un ren- abordé la position adverse par une liaison étroite de tous les instants avec dement splendide. A largement contribué aux sistance opiniâtre de bataillo. l'infanterie, par le dévouement, l'audace etle succès de la division par son action person- prisonniers. par^ 4e résistances de tous, briser les sang-froid de lieutenant nelle. SALVAT (Antoine), l'ennemi et ouvrir la voie à la" progression de ordreéduCtlon. le pied à (Léon-Henri), de chasseurs PASQUIER chef bataillon de village l'infanterie.' A largement contribué aux succès de poirlarédilotioo du l'ennemi, souslefeude obtenus, notamment le 11 août, en s'engageant commandant le 44e bataillon de chasseurs à l'attaque donnant ses saprooo unité, dirigé pied le septembre emparé, après 3 1918, s'est son et d'attaque les 17 au plus près des bataillons arrealf trois assauts exécutés moins de dix heures, prl rtant pièces en de le avan19 août, par ses concours qui sion. résistance nids de défendu de puissamment du village Genvry par agents de et de observateurs l'el allenll.A[aido cées, de ses ses Après avoir atteint lui faisant 225 prisonliaison poussés en première ligne, et surtout trois bataillons ennemis,pertes dispositions judicieuses de exceptionnellelui causant des niers, par une entente intime et permanente avec ment lourdes en hommes et en matériel. offensif de retour tout l'infanterie. ..nt., nombreux prisonniers et P1 MICHEAU (Armand-Daniel), capitaine au tie\110 LE299*RÉG. D'INFANTERIE: sous les ordres (Marc ci-IIe nri-Ferland), septemvillaget à pied le 3 chasseurs de 44e bataillon unviilâgetpooi.;, qui a lieutenant-colonel VIDAL, de son chef, le VESLIN mjtraaj^ de Genvry, village aOfi iieus® l'attaque du à bre 1918, arle 30 su lui communiquer tout son entrain, après 35 rêté dès le début de la progression par de vio- au 226e rég. d'infanterie Sa^,einmeiltnt jours d'un dur et fatigant secteur de combat, lentes rafales de mitrailleuses sur son flanc, a, d'attaquer avec sa compagnie Darg,uC se lance le 10 août 1918 à l'attaque des posi par de judicieuses dispositions prises sous le samment défendu par des tions allemandes, les enlève dans un élan irré- feu de l'ennemi, réussi à réduire successive- vert par une tranchée .y~-ob~t" ptLiî sistible, refoule pied à pied l'ennemi jusqu'au ment les nids de résistance fortement organi- progressé sur un glacis obltéfV inflltratiOn, 23 août, luttant jour et nuit" toujours en pre- sés qui gênaient inflltrationr eni PJJ1aDt manœuvrant mnuvrant marche. cerné et A obligé par sa premltJroC!>agobalAI' au mière ligne, brisant les contre-attaques des à rendre recul, quatre-vingts de mitrailleuses Allegroupe un se kilomètres Gagnant 13 de fraîches. joeu,z, troupes dix-huit de six mitrailleuses. mands d'encerclein elltdt'oage Daieil, Son objec- sième avec pourvu son accrocb, terrain en profondeur, emportant tranchées et tif atteint, et facilitant par la rendu vain tout retour offensif village lisières des de a vergers, et d'un châle trois villages fortifiés, bois parc fait l'ennemi. A de nombreux prisonniers et sant manœuvre puissamment défenréduits teau organisé en dus, a infligé de grosses pertes à un ennemi pris un important butin. batai1 mt)at. yet voisin. lon Gerrn décidé à se défendre jusqu'à la mort, lui fai(Louis-Joseph-Zacharie), BERGER capitaine olecDe¡\a\Ísell Eugène arrachant lui prisonniers, 145 (Fernand sant fait ré une par une au 114a bataillon de chasseurs alpins comDOUCET 42 mitrailleuses, lui capturant enfin un maté- mandant provisoirement le 11e bataillon de tin), lieutenant au 114e et rnlondl de don et 4 minenriel important, dont 14 canons chasseurs à pied, au cours des attaques du alpins a pris, en cours werfer. 13 au 15 août 1918, a fait preuve de courage, mandement d'une unité lu1 a volonté. Par une manœuvre ha- d'être grièvement blessé, d'énergie .u irie prO|l^t°S et de dlfflcl LE 5e RÉG. DE MARCHE DE TIRAILLEURS bilement conduite, opérant sous bois et dans dans des conditions preïiûn piedpafjrégiment de nouvelle formation qui, pour ses un terrain difficile, soumis à un bombardement vive résistance de l'ennemi, aptOra premières armes, vient de se classer parmi les par obus toxiques, a fa't tomber les résistances plusieurs kilomètres, _ater»ej»P ténacité et son qui entravaient la marche des unités voisines, dans deux villages importantursde meilleurs par sa bravoure, sa esprit de sacrifice. Le 10 août, sous les ordres capturant des prisonniers et s'emparant de dix mitrailleuses et maigre du lieutenant-colonel FOURNIE, a parcouru mitrailleuses et de neuf minenwerfer. lents de l'artillerie ennemiedans un élan superbe plus de 7 kilomètres, et un prisonniers enlevant successivement trois villages et un POIROT (Victor-Eugène-Jean-Baptiste), capi- blessé assez grièvement au bois fortement organisés et vigoureusent dé- taine au 360e rég. d'infanterie le 13 août 1918, gression. 4 septemrrpri5 ant teflaD tÍotoO "'rsUI SU son pef(; IieUl9i8, Pco fendus, franchissant une rivière sur un point a brillamment enlevé sa compagnie à l'assaut (Fernand-Charles), violemment bombardé et prenant possession des positions ennemies fortement défendues et GAZIN du point le plus élevé d'un plateau, clef de la sous les rafalesde mitrailleuses de la plus rég. de dragons le résistance ennemie. Dans une lutte ardente, grande violence. Après avoir atteint les pre- vant l'ennemi sous bois, liVj progresse, les 11et 12 août, de plus de 1,200 mè- miers objectifs, a continué à progresser malgré qu'il a enlevé brillamment tres sur ce plateau, enlevant de haute lutte les les pertes sévères et des difficultés inouïes, ramené dans les lignes. lieutenours aU c a jaL, nt s organisations ennemies et une ferme opiniâ- gagnant du terrain pied à pied, sans arrêt, pene alpins: aU uves (Louis-Emile), PACHE trement défendues et se maintient sur les po- dant plus de trente-six heures. A fait des pripre !fensl" &p¡a ti, chaseurs de tailon jusqu'à et capturé la relève, repoussant sonniers sitions conquises une mitrailleuse. l'ardepr les adr donné récents, bats a contre-attaques. 19 Du 23 août, les eXeiOP toutes au TOCABEN (Jean-Auguste-Georges), capitaine le plus juvénile et de dange.rneDacétlit,l" continue à faire bataille, tomber la rentre dans d'infanterie qu'intoxique plus bCLe 298 rég. 226o le éblatantc. 19 août 1918, -au Bien étan ae d tégt. organisées et fortement atteint des positions commandant bataillon, a brillamment en- pour ses chasseurs, le un malgré des assignés pertes objectifs tous les contréet-aa?" taque d^té^, levé une tranchée fortement tenue, brisant voure etde mépris du asslre r intége"I,d' cruelles. toutes les résistances, capturant une trentaine la gauche du bataillon v_.i:ln^ageScv^Jîi LE254e RÉG. D'ARTILLERIE DE CAMPAGNE : de prisonniers et quelques mitrailleuses. Le vigoureuse une par et deux 21, poussant et conduisant une reconnaissance gager le flanc menacé composé d'unités de provenances diverses, grâce râce offensive audacieuse, a permis l'occupation ment la possession de #^1^. est devenu une unité de premier ordre, ga 13aoûtaJ9l8,U 1918,toe lI:por ler d'une hauteur particulièrement importante. lieutenant à l'impulsion intelligente et hardie qu'il CROSAZ(Albert), grâce BALLI, du lieutenant-colonel au çue FAUVEL (Marie-Joseph-Paul-Henri-Louis), ca- de chasseurs alpins arrêtée, le réslstfIls estPol dévouement, à l'activité et au zèle de tous. pitaine au 226e rég. d'infanterie capitaine adtetJ Ief ejn> étant Du 27 mal au 5 juin 1918, dans la défensive et judant-major, commandant un bataillon. Le du bataillon avant avec qeceucS II°U' nément en dans une retraite ordonnée, les trois groupes 13 août 1918, a enlevé d'un seul bond rmTa» une posi- pour réduire un nid. de du régiment avaient fait preuve d'esprit de tion fortement tenue, gagné plus de deux malgré kilohommes entraîné t?mbeSnûeU^r%i» ses sacrifice en se maintenant jusqu'au dernier mètres de terrain et pris village. A conde l'adversaire. Est effli, moment sur leur positions, d'habileté manœu- servé tousses gains malgréun contre-attaques au moment même où sa ileou vrière et de hardiesse en se déplaçant de jour ennemies et capturé cent les de lereph Pt 0, cinquante prisondéterminer de nait pied le 19aoel en vue des ballons ennemis, en occupant des niers environ et de nombreuses mitrailleuses. LETELLIER(René-Louis), uten3 ot J 6 sec» positions découvertes aux vues de ces mêmes ballons, d'abnégation en supportant, sans se AVRIL (Henri-Pierre-Marie), capitaine au 226e taillon de chasseurs à pf pD'VJ plaindre, des pertes élevées.Vient de montrer les rég. d'infanterie le 13 août 191§, enlevé avec brillamment enlevécontinuan8prJSO 05 m10. ga mêmes belles qualités dans la période offensive son bataillon une position fortement tenue. barrage et, ennemi de plusieurs mitrailleuses$e&.M du 10 au 22 août. Ses reconnaissances et ses Dans les journées qui suivirent, continuant sa s'est emparé d'une douzaine habileJUClit. détachements de liaisons ont opéré avec har- progressioncrée méthode et énergie, a brisé dresse et bravoure dans les lignes avancées et toutes les réCfctances, gagné cinq kilométra suivants, a dirigé très

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sous-lieutenant au 3spni0nKr1918, pied au cours do avec cr allemands danslatranchée ennemie. un boyau, passant d0 et donnant accès ar>ihn„ nrllhcr te Faisant irruption a ouvert aussitôt un viogrenadesur les défenseurs, faisant T\fllant ()I:(e la défense est du village et percu-i^nnu,rer 83 prisonniers et 83 mi-

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de chasseurs alpins ~c j le ï'io.s niesP? demitrailleuses, vi.lla,, dcompagnie se portant à l'attaont les lisières étaient garber \'il1a() entraîne section à a sa rs(freJer an merveilleux. Chargé de netue compagnie commençait pes ennemissupérieurs en présence de group»e d„ es Prisonniers en nombre. A réussi à et à mettre le reste en

^3BEau {^.erre-Henri), sous-lieutenant ItÍir'¡¡entrain: au chasseurs llifs'iv^traînJa à pied le 31 août section enne"Usf.j.'•*prison^lra^° sur les lignes faisant de courage, or;r\ lilen'trtantseclehusementArrêté par des mitrailtilanteshornnles utilisé le terrain, ré-

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bataillon de chasseurs alP'nét :3 merveilleusement sa section '^ivpTint•)Pionniers des 28 et 29 août 1918. A * fa e ïPre w dans un village reconquis dont 3 sous-officiers ?P A su, par une ini^Pan0?enn, tomber une importante enrayant la marche d'une ISlne. 1 e.\N ^18, sS"de'S'IffalPins ^j°Uis^ Vr?0^seutenant îr aÎ) i'~ ~'?ic]1 ssp.i'i aulHe batailS est lono, 1919 à l'attaque des 28 et ir'1^'fis» ellnernes porté en avant avec sa seci rafales violentes de mitrail f bombardement des plus r.1)£ lsalné t', 'la;.,, Un n4=>sage un réseau de fils de fer, ~ssage permettant la prise d'un

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226e

rég. d'infanterie le 13 août 1913, a brillamment entraîné sa section à l'assaut des tranchées ennemies. Le 15, a enlevé un fortin puissamment défendu, tuant trois Allemands et faisant neuf prisonniers. Le 19, a enlevé une nouvelle tranchée fortement occupée. Le 12. poussant une reconnaissance offensive avec sa fougue habituelle, a atteint le premier le sommet du Piémont. LEDRUT (Léon-Alphonso-Amédée). sous-lieutenant au 3600 rég. dinfanterie le 19 août 1918, a entraîné sa section à l'attaque avec un entrain remarquable et, par une manœuvre audacieuse, a mis en fuite une section de mitrailleuses allemandes qui enrayait la progression du bataillon et qui dut abandonner une pièce sur le terrain. DELAFOSSE (Adrien-Charles-Emile), souslieutenant au 360e rég. d'infanterie le 13 août 1918, envoyé en reconnaissance avec sa section, a su, par une manœuvre habile et par une prompte décision, se rendre maître d'un parti ennemi et capturer vingt-six prisonniers dont trois officiers. DANAUX (Auguste-Louis-Edouard), mie 04002, adjudant au 44e bataillon de chassenrs à pied le 19 août 1918, a bravement enlevé sa section à l'attaque. Ayant atteint son objectif, n'a pas hésité à le dépasser après un dur combat dans les boyanx. A capturé une quinzaine de prisonniers et un matériel important. GRANJEAN (Louis-Constant), mie 10522, aspi28 août 1918, rant au 2263 rég. d'infanterie chargé d'assurer la liaison avec une division voisine au cours d'une progression, s'est très bien acquitté de sa tâche malgréles difficultés rencontrées. Le 7 septembre, quoique déjà très fatigué par les reconnaissances qu'il avait dû faire la nuit précédente, est entré en tête de sa section dans le village de Noureuil que la compagnie devait enlever et s'est présenté ensuite comme volontaire pour exécuter une reconnaissance au cours de laquelle il dut traverser des zones violemment battues par l'artillerie adverse et a rapporté à son commandant de compagnie de précieux renseignements. A été blessé par un éclat d'obus en rentrant de sa mission. GOURY (Louis), mie 1075, sergent au 226ejrég. d'infanterie le 7 septembre 1918, chargé de couvrir avec sa section la progression ae la compagnie, sur un parcours de plusieurs kilomètres, s'est acquitté de sa mission délicate d'une façon parfaite, talonnant l'ennemi et gardant le contact avec lui. A atteint son objectif, le canal, malgré le feu de l'artillerie et des mitrailleuses, s'y est maintenu pendant douze heures, permettant la construction de passerelles par le génie. Le 8, a franchi le canal, a participé au nettoyage d'un village et en a assuré la possession. LALANDE (Alexis), mie 07772, sergent au le 29 août 114e bataillon de chasseurs alpins s'est offert pour commander une pa1918,ille 1tr9o1u8, offensive, qui a déterminé les emplacements de mitrailleuses ennemies, puis les a manœuvrées en les débordant. Est tombé mortellement frappé au moment même où l'ennemi lâchait pied. LAROCHE (Léon), mie 12319, sergent au pendant une contre360e rég. d'infanterie attaque ennemie, est monté sur le parapet do la tranchée qu'il occupait pour faire le coup de feu sur l'ennemi avançant par un boyau. Grièvement blessé à son poste de combat, a dit à l'officier et Je vais mourir, mais j'ai fait mon devoir ». ANTY (André-Alexis-Noberl), mie 7498, caporal au 44e bataillon de chasseurs à pied a contribué à repousser une contre-attaque enemie, en abattant un des servants d'une mitrailleuse dont le tir gênait notre défense et en s'emparant audacieusement de cette mitrailleuse qu'il a retournée contre l'ennemi en fuite. ROUSSEAU (Alexandre-Edouard), mie 2151, caporal au 44e bataillon de chasseurs à pied le 3 septembre 1918, à l'attaque du village de a accompagné avec sa pièce les grenadiers de tête de la compagnie d'assaut. A réussi malgré la perte d'un grand nombre de ses servants, à neutraliser par son tir les mitrailleuses ennemies qui gênaient la progression. Débordé par une contre-attaque allemande, a défendu sa pièce avec la plus grande énergie, jusqu'à ce qu'il fût grièvement blessé.

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G.,

THOMAS (Charles), mie 07542, caporal au entraîné 114e bataillon de chasseurs alpins sa demi-section à l'attaque d'un village sous une pluie de balles de mitrailleuses et sous un

bombardement intense. Arrêté par un réseau, l'a fait cisailler sous les feux de mitrailleuses et a contribué ainsi, pour une large part, à la prise d'un village.

(Lucien-IIenri-Joseph), caporal au 44e batailton de chasseurs à pied le 3 septembre 1918, à l'attaque du village de sa section ayant été arrêtée par un nid de mitrailleuses, a spontanément sauté sur le parapet et, sous les rafales, lancé une bordée da grenades sur les mitrailleurs ennemis qui cessèrent le fou. A, par son esprit de décision et de courage, permis à sa section de s'emparer des mitrailleuses. DUCHËNE (Claudius-Eugcnc). mie G506, chasseur de lr* classe au 114e bataillon de chasseurs alpins grenadier. A été, pour toute sa section, un exemple remarquable de bravoure, au cours des combats des 28 et 29 août 1918. Le 29 août, volontaire pour un assaut, s'est élancé sur une mitrailleuse ennemie en action qu'il a réduite au silence, ramenant la pièce et tous les servants prisonniers. DEPLANCIIE (Clément - Auguste Eugène), mie 9080, chasseur de lre classe au 44e bataillon de chasseurs à pied mitrailleur. Le 3 septembre 1918, à l'attaque do Genvry, resté seul avec un chargeur pour servir sa pièce en tête de la compagnie d'assaut, a réussi à arrêter en partie flanc une contre-attaque ennemie. Attaqué da par plusieurs Allemands, sa mitrailleuse lui étant enlevée des mains, a pris immédiatement une mitrailleuse ennemie abandonnée et a continué le combat. A pris part au retour offensif et a réussi à reprendre sa pièce avec un groupe de grenadiers. LAURENT (Roger), mie 9034, chasseur au le 5 septem114e bataillon de chasseurs alpins bre 1918, s'est offert spontanément pour prendre part à une patrouille chargée de garder le contact avec l'ennemi. Blessé une première fois au çours d'une progression, est resté à son poste. A reçu ensuite deux blessures très graves, alors qu'il allait porter des renseignements précieux à son chef de section. SUZANNE (Anatole), mie 649, soldat au brancardier. A fait 360e rég. d'infanterie preuve d'un courage admirable pendant les combats du 13 au 24 août 1918. Sous des feux violents de mitrailleuses et pendant des bombardements intenses, grâce son initiative et à son mépris absolu du danger, a ramené dans nos lignes de nombreux blessés. DUPIN (Jean-Antoine), mie 02082 bis, soldat au le 14 août 1918, parti en 360e rég. d'infanterie tête d'une reconnaissance avec son chef de section, a contribué, par son attitude énergique, se trouvant en face d'un fort parti ennemi, à capturé vingt-six prisonniers dont trois officiers. DUMONT (Antoine-Jean-Marie), mie 20284, soldat au 360e rég, d'infanterie le 19 août 1918, au cours d'une patrouille, se trouvant isolé de son groupe et en présence d'un petit poste allemand, s'est précipité avec un courage et une témérité au-dessus de tout éloge sur l'ennemi, metiant en fuite la moitié du petit poste et ramenant deux prisonniers, VILLAIN (Louis-Marcel), mie 12100, soldat au 114e bataillon de chasseurs alpins au cours d'une progression, sa compagnie étant arrêtée s'est place par- des mitrailleuses ennemies, installé son résolument devant l'une d'elles, a fusil mitrailleur à découvert, au péril de sa vie, contraignant l'ennemi au silence et permettant ainsi de poursuivre l'avance. (Ordre du 25 septembre 1818). BUREAU (Edmond), lieutenant-colonel chef d'état-major de la 2e division d'infanterie chef d'état-major d'une grande valeur, toujours brèche, toujours en éveil, a rendu les sur lagrands services pendant l'offensive du 18 plus au 27 juillet, en se dépensant sans compter pour la réussite des opérations de la division. MENARD

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: énergie, son toutes circonstances par tivité, sens tactique. exécuté breuses reconnaissances en première lignej

IIUGOT-DERVILLE (Alfred), lieutenant 11 l'état-major de la 52* division d'infanterie officier d'état-major se faisant remarquer en

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au cours de l'uno d'elles, par son exacte et intelligente appréciation de la situation générale, a discerné l'opportunité d'une progression ra pide d'un bataillon, qui, réalisée immédiatement, a eu une influence considérable sur la suite des opérations. WIGNIER D'AVESNES(Charles-Adrien), lieutenant à l'état-major de la I. D./2 officier remarquablement bien doué, d'une netteté et d'une précision parfaites, conservant toujours le plus grand sang-froid dans les situations les plus difficiles, et sachant faire acte d'initiative. A secondé de la façon la plus brillante le commandant de l'infanterie divisionnaire Au combat du 22 juillet 1918, la division se trouvant en flèche, au reçu d'un renseignement concernant une tentative d'enveloppement de l'ennemi en l'absence de toute liaison rapide, n'a pas hésité à se porter à cheval aux avantpostes, traversant un plateau dénudé très vIolemment battu par des rafales d'artillerie et de mitrailleuses pour rétablir les liaisons et permettre au commandement d'agir. DEBENEY Victor-Cyrilla-Marie), capitaine à l'état-major de la 47c division d'infanterie exemple pour toute la division, par son esprit de sacrifice et d'abnégation. Pendant les opérations qui ont précédé la bataille du 18 juillet, a effectué dans des conditions très difficiles, une reconnaissance dangereuse surDammard. Pendant la bataille, les 19 et 20 juillet, s'est porté, malgré le bombardement violent, auprès des unités subordonnées pour les mettre au courant sur la situation et des intentions du général commandant la division.

D'ARMAU DE POUYDRAGUIN (Jean-Maric-Ar-

naud), sion d'infanterie capitaine à l'état-major de la 47e diviau cours de la bataille du 18 juillet au 24 juillet, a dirigé lecentre de renseignements de la division. Sans souci du danger, a poussé toujours vers l'avant ses observatoires, se rendant auprès des commandauts d'unités. A obtenu, grâce à son courage personnel, des renseignements précieux, orientant sans cesse et de très près le commandement sur lamarche de combat, BAILLE (Marie-Joseph-Stanislas),colonel, commandant l'infanterie divisionnaire 63 officier supérieur d'une conscience et d'une élévatien de sentiments admirables. Commandant d'une infanterie divisionnaire, a eu sur ses régiments l'influence morale la plus heureuse et, en développant au plus haut point chez ses fantassins l'esprit du devoir, a su obtenir d'eux un remarquable effort pendant quinze dures journées de combat consécutives au cours desquelles ilsontrepoussé l'ennemipendant 20 kilomètres. Donnant l'exemple par sa très grande bravoure personnelle, s'est installé aux points les plus exposés pour mieux diriger l'engagement de ses bataillons. BERAUD-REYNAUD (Charles-François-Biogène), colonel, commandant l'infanterie divisionnaire 33 : aététué à son poste do commanpleine bataille,le25 juillet, alors dement que la division avait déjà pénétré de 20 kilomètres dans lescombats lignes ennemies et brisé les résistances sucen sept jours de cessives de l'ennemi. Modèle de conscience et de bravoure, avait, pendant toute la bataille, parfaitement conduit l'infanterie de la division. DESRIEUXDE LA VILLOUBERT(JeanAnne-Mario-Raoul), capitaine à l'état-major de l'infanterie divisionnaire ./33 : a été tué au poste de commandement de l'infanterie divisionnaire en pleine bataille le 25 juillet 1918. N'avait cessé de rendre depuis le début dela contre-offensive du 18 juillet les plus signalés services, multipliant les reconnaissances en première ligne pour aller jusque sur la ligne de feu chercher les renseignements les plus exacts, se dépensant sans compter pour assurer la transmission des ordres. TREZENEM (Jean-Georges-Emile), capitaine à l'état-major de l'infanterie divisionnaire ./33 ; LASSAIGNE (Gabriel-Louis), lieutenant à l'état-major de l'infanterie divisionnaire ./33 : Ont été tués au poste de commandement en pleine bataille le 25 juillet 1918. N'ont cessé de rendre depuis le début de la contre-offensive du 18 juillet les plus signalés services, multipliant les reconnaissances en première ligne ligne pour aller jusque sur la ligne de feu chercher les renseignements les plus exacts,

se dépensant sans compter pour assurer la transmission des ordres. ANDRADE, chef de bataillon, du 137e rég. d'infanterie, détaché au 398 R. U. S. : attaché à l'état-major d'une division américaine, s'est spontanément porté auprès du commandant dun des régiments de cette division qui s'était engagée a collaboré efficacement à la conduite de cette unité qui s'est merveilleusement battue les 18 et 19 juillet, bien qu'engagée pour la première fois. S'est porté à maintes reprises jusque sur la ligne de tirailleurs, sous des feux violents auprès des commandants de compagnie, faisant preuve en toutes ces circonstances de très belles qualités de sangfroid, de calme, de science militaire. GROS (Georges-Marie), capitaine à l'étatmajor de la 16;8 division d'infanterie officier d'état-major de premier ordre, joignant le coup d'œil à la science, la méthode à la rapidité, le calme à la bravoure. Au cours des opérations offensives exécutées par la division pendant les mois de juin et juillet 1918, a fourni un travail continu de jour et de nuit, assurant en outre la liaison avec les troupes de première ligne malgré toutes les difficultés et sans souci du danger. DE VASSAL-MONTVEIL (Marie-François-Josion seph)d'infanterie capitaine à l'état-major, de la 167e diviofficier d'état-major complet, joignantl'allant de son arme d'origine à une conscience et à une méthode rigoureuses. Pendant les opérations offensives exécutées par la division, en juin et juillet 1918, a, par une action immédiate sur les agents des corps de troupe et par des reconnaissances personnelles persévérantes et audacieuses, réuni un faisceau de renseignements très exacts et précis qu'il a su exploiter avec intelligence et perspicacité. A ainsi contribué, pour une large part, aux succès des opérations. LOUVAT (Léon-Félicien), sous-lieutenant au 10e rég. de tirailleurs algériens officier courageux, donnant toujours l'exemple de l'énergie à ses hommes qu'il entraîne par son audace irrésistible. Le 4 septembre, commandant une section avant-garde de son bataillon, s'est jeté résolument à l'eau avec quelques hommes, mettant en fuite un groupe d'ennemis et permettant l'établissement d'une passerelle. Poussant ensuite énergiquement, est arrivé le premier sur les rives d'un canal fortement occupé, a exécuté des reconnaissances très périlleuses au contact immédiat d'un ennemi fortement retranché et muni de nombreuses mitrailleuses. VÏDEAU (Auguste), sous-lieutenant au lOe rég. de tirailleurs algériens : dans la nuit du 3 au 4 septembre, chargé d'une reconnaissance délicate, l'a menée à bien et a rapporté au

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commandement d'importants renseignements. Le 4, a traversé avant l'organisation des passerelles une rivière battue par les mitrailleuses. Le 5, commandant une section d'avant-garde, chargée do pousser de l'avant et d'essayer d'établir une tête de pont, a progressé avec un entrain et une hardiesse remarquables, a pu maintenir sa section au contact dans des conditions périlleuses, grâce à son ascendant personnel. MALDANT (Claude), sergent au 1Qe rég. de tirailleurs algériens brillant chef de section de mitrailleuses le 4 septembre, chargé avec une section d'infanterie d'établir une tête de pont, a traversé la rivière avec toute sa section par des moyens de fortune; a continué ensuite à progresser, malgré des pertes sévères et a atteint l'objectif le premier avec la section d'avant-garde sans avoir abandonné, malgré un personnel restreint, une seule partie de son matériel. A pu ainsi mettre en batterie, dès son arrivée sur les objectifs du régiment. Blessé le 4 septembre, a néanmoins conservé son commandement. SYLVESTRE (Louis-Eugène), sergent au 10erég. de tirailleurs algériens: sous-officier plein d'entrain,d'un sang-froid et d'une bravoure admirables. Le 4 septembre, commandant une pairouille de pointe et ne trouvant sur aucun point de passage une rivière, s'est élancé résolument il l'eau, entraînant tous ses hommes par son audace. A ainsi permis le passage rapide de tout un bataillon A continué pendant quatre jours de donner à tous l'exemple du courage réfléchi au contact d'un ennemi vigilant.

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des Plï; tirailleur au M» mitrailleur ^-.yant-g81^T leurs algériens hauts sentiments. Le 4restant ndantpiuSftPtraversée d'une rivière, t a néanmoins suivi la section long" trépied et pièce sur le dos fan. te~ngo".i~ 4c*n"itraiHeti"e«ji quatre kilomètres a, de ce pui précieux à cette unité arrêtée canal fortement défendu par des ennemies. 0* v , rec naibafjj au BOURY (Emile), adjudant maintenir contiu gageçli.fl fanterie pour exécuter une vigonCet lia t offensive chargée de Point 1 l'ennemi, a fait franchir un rejetant;iv,ollfcg' %,^ a fortune, yjgotf des de sur moyens mitrai,lleur1'enne111 tête du bataillon d'A. G., à sonbataillond'atteindre auDojot sement les derniers permettant O'rég,! du jour l'objectif assigné.

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à faire a demandéchargée rat Je j-ep,jf5 reconnaissance offensive le contact avec l'ennemi, s'est gêca il a par l'entrain avec lequel ennemis qui de plusieurs mitrailleurs la progression de son unité. d'il!' ! 3éV'Oú'Cllle:r..l rérr. un f* J*0^ei t O' NOIREAUX (Arthur), soldat aucourndueCaet ! fanterie agent de liaison duei remarquable. S'est signalé au j^jgergt fensive, en assurant des liaisons ticulièrement difficiles par le terHH te,,,apt,! le feu de l'artillerie ennemie. d'assftt ti; coO (Maurice-Jean-Baptiste) THOMAS d'artnieri au 40e groupe du 503e rég. onu. co'~ par ayant eu son char incendié d'assurer le t0uS= nué, dans un autre appareilattclgnax mandement de sa batterie, nombrecentJ objectifs, et réduisant de de résistance qui entravaient la j

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l'infanterie.Officier l'infanterie. Officierde degrande grandevaleur. valeurtcrié tûtié

d,infalltet1 commandant COT (Jean), colonel, "jjteS" de commandant apidile divisionnaire 167: une 1rapidite, dg les divisionnaire qui joint à toutes manceuvirlfh<Ws*iti chef le coup d'œil, l'à-propos, offens décision et un sens de la Clignon»ivers^f e pair. Au cours dqs opérations r division, dans le secteur de aréaraico épara let 1918, flairant le décrochage deeséaJisant: a fait arrêter immédiatement la d'artillerie et lancé en avant rPIuS da d'attaque, bousculant l'ennemi et cours de la journée une avance ndaot kilomètres. otroiSJotla colonel, MANGIN (Louis-Emile), D'Ige trois çh.as cPurs l'infanterie divisionnaire /47:24juillet191,9,Ad avant l'attaque, à la tête des q" litésde division, a montré, du 18 au Il"n'Ôlll'ltgo Iii cours des opérations actives, des chef remarquables, donnant impulsion énergique à ses trois signalant, par sa bravoure dont 0, où sa présence était utile. reUve, com colonel, arne918, j BRIARD (Paul-Emile), l'artillerie divisionnaire /16i : a fait ; senS ayant cours des combats au nord 2 julliet0 énergie inlassableofnbreuSI1 25 mai au 8 juin et du 17 au d'une activité remarquable, d'un ^uï» très réel et d'une ny » liaisons sa personne, effectuant des renseignemei qui .m * Bi, Pr, olièt poursuivant avec l'infanterie, relâche, par des reconnaissances gg tirs.,diciqeue l' 1 ligne, la recherche des $tg *10 I ont permis de faciliter par des di* sesidioDordrç?;1I1^ progression des troupes de la leS. obtenir de toute l'artillerie sous dans dartille' maximum de rendement commandant de combat particulièrement déjà montré comme un ordre rie divisionnaire de tout avalilétél~,,,It l'Aisne, de mai à juillet auxiliaire 1917, etpretractéef Il "ffectééela oument novembre à décembre 1917, "Il le commandement un mis sur pied le nouveau division et y avait fait sentir son qualités d'ordre, de méthode, de

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tir

118 endadétruit continut Un de du combat des 18 et nombreuses mitrail"tinué de barrage n'en a pas sa mission. A reçu deux obus 1 i.

dans son char. N'a quitté ce dernierque gravement blessé par le deuxième obus. (Ordre du 2 octobre 1918.) ROLLAND (Wilhem), colonel commandant l'infanterie divisionnaire /74 le 10 août 1918, chargé du commandement d'une colonne mixte, a mené à bien au cours d'une action brillante une manœuve initiale difficile, dont la réussite fut grosse de conséquences pour les opérations engagées. Du 11 au 22 août, avec une activité inlassable et une intelligence remarquable de la situation, a coordonne les efforts des unités de première ligne d'infanterie dans une région extrêmement ardue, et a surmonté victorieusement toutes les difficultés. LOURDEL (Louis-Joseph-Antoine),lieutenantcolonaeol, colonel,ûtcommandant le 230e rég. d'infanterie le 10 1918, a porte son régiment dans un élan superbe à plus de six kilomètres de sa base de départ, enlevant un point d'appui solidement organisé, et traversant une rivière sur un seul point violemment bombardé. Le lendemain, a progressé encore de plus de quatre kilomètres, dans un combat âpre et pénible, et s'est emparé d'un gros village bien défendu. Du 12 au 20 août, par une série d'opérations réduites, mais constamment renouvelées, a gagné les objectifs assignés, maintenant très haut placé, malgré des pertes sévères, le moral de son régiment. GUINTRAND (Pierre-Casimir-Abel), chef de bataillon, au 299e rég. d'infanterie a donné, pendant l'offensive du 10 au 2:3 août 1918, une nouvelle preuve de ses qualités militaires. Par son entrain, son activité, n'a pas laissé un moment de répit à l'adversaire, a profité d'une négligence de l'ennemi, quoique son bataillon eût reçu l'ordre de se reposer, pour progresser et jeter quelques éléments dans une position très importante a permis, par des manœuvres judicieuses, la réduction de plusieurs centres de résistance où l'ennemi s'accrochait MENNETRIER (Joseph), chef de bataillon, au 5e rég, de marche de tirailleurs a brillamment conduit, les 11 et 12 août 1918, une opération délicate, avançant par infiltration dans une position ennemie très solide et très importante dont il s'est emparé. Le 19 août, a entraîné son bataillon avec un beau courage, et, au cours d'une lutte sévère, atteint les objectifs qui lui avaient été assignés. FUSILIER (Eugène), chef de bataillon au 230e rég. d'infanterie a remarquablement entraîné son unité à la poursuite de l'ennemi, du 10 au 23 août 1918. A enlevé de haute lutte un village et un parc fortement organisés. HORNICKER (Maurice-Joseph), capitaine au 5* rég. de marche de tirailleurs brillant officier, ayant commandé son bataillon pendant les opérations du 10 au 22 août 1918 avec allant, mordant et autorité. Les 10 et 11 août, à atteint les objectifs assignés et enlevé une importante position. Le 19, a conduit son unité à l'attaque d'une tranchée formidablement défendue, dont il s'est emparé. LASSÈGUE (René-Jules-Maxime-Guillaume), capitaine au 58 rég. de marche de tirailleurs le 12 août 1918, tous les gradés d'une section ayant été mis hors de combat, s'est magnififluement porté en tête des tirailleurs, les entraînant dans un élan merveilleux à l'assaut d'une importante position ennemie, oti il a trouvé une mort glorieus. FAISAN (Jules-Camille), capitaine au 230e rég. d'infanterie le 11 août 1918, a pris, àl'improviste, le commandement d'un bataillon dont deux chefs venaient successivement d'être blessés grièvement en quelques instants. A mené le combat sans arrêt, du 11 au 15 août, malgré l'usure et la fatigue de sa troupe et l'a fait progresser sans cesse au milieu d un terrain difficile, âprement défendu par l'ennemi. CHATELARD (Charles-Antoine-Edmond), capitaine au 230e rég. d'infanterie pendant les journées du 10 au 20 août 1918, s'est dépensé sans compter, atteignant chaque fois ses objectifs, malgré de grandes difficultés, et les maintenant en dépit de nombreuses contre-

;

tré par infiltration dans les lignes allemandes, avec beaucoup d'audace, et a ramené des prisonniers. Est tombé glorieusement, le 19 août 1918, à la tête de sa compagnie qu'il entraînait à l'assaut. PANTALONI (Jean-Pascal-Etienne), capitaine au 299e rég. d'infanterie pendant la période de combat du 10 au Í22 août 1918, a obtenu de sa compagnie le rendement maximum. Au premier rang de ses hommes, pendant les moments critiques, les a conduits par d'habiles manœuvres à la conquête de plusieurs points importants, capturant des prisonniers et ramenant des mitrailleuses. DROZ DES VILLARS (Antonio), lieutenant au 5e rég, de marche de tirailleurs le 11 août 1918, chargé avec sa compagnie de réduire un nid de mitrailleuses, s'en est approché à moins de 30 mètres, puis l'a enlevé dans un dernier élan. Est tombé glorieusement à la tête de ses tirailleurs, après avoir reçu deux blessures au cours de cette même action. SAVARIT (Aimé), lieutenant au 29ge rég. d'infanterie a pris en plein combat le commandement d'une compagnie. Le 12 août 1918, a su rétablir une situation délicate et conserver le terrain conquis malgré plusieurs contreattaques. Toujours sur la brèche, a largement contribué par son entrain et son ascendant sur ses hommes à l'enlèvement des positions ennemies fortemeut organisées aux abords du

village de Plessier-de-Roye. DECHATRE (Fêlix-Frédéric-Aimé), lieutenant le 12 août 1918, a enau 299e rég. d'artillerie traîné sa compagnie à l'attaque d'une position ennemie avec une énergie remarquable et a réussi, malgré une résistance acharnée, à s'en emparer, faisant de nombreux prisonniers et capturant plusieurs mitrailleuses. BERNE (Emile-Clair), lieutenant au 5e rég. da marche de tirailleurs commandant un groupe franc, le 10 août 1918, s'est montré à la hauteur de sa tâche en entraînant son unité au cours de reconnaissances délicates et périlleuses, faisant tomber des nids de mitrailleuses permettant la progression du régiment audelà d'une rivière et jusqu'à un objectif éloigné. A été blessé au cours de l'action. MANE Albert-Maurice ), lieutenant au 254e rég. d'artillerie de campagne: le 11 août 1918, ayant reçu le commandement d'une batterie d accompagnement d'infanterie, a apporté aux troupes d attaque un appui efficace et constant; sous un bombardement de gros calibre, a contrebattu, à petite distance, les mitrailleuses ennemies sans cesser son tir, malgré des pertés sévères et grâce à d'habiles mesures prises sous le feu avec décision et sang-froid. A été blessé au cours de l'action, JACQUEMIN (Georges), lieutenant au 254e rég. d'artillerie de campagne 19 août 1918, ayant reçu l'ordre de neutraliser des mitrailleuses ennemies par un tir à courte distance, a réussi à amener de jour deux canons à 1,200 mètres des lignes ennemies et a dirigé des tirs très efficaces sur les objectifs qui lui ont été désignés. CHATEAU (Auguste-Léon-Louis), sous-lieutenant au 299e rég. d'infanterie: pendant les combats du 10 au 16 août 1918, à la tète d'un groupe franc, a réussi à occuper le premier tous les objectifs fixés. Le 13 août 1918, s'est emparé de deux mitrailleuses et à fait-dix-huit prisonniers après un combat acharné, ARTHUR(Marcel), sous-lieutenant au 230erég.' d'infanterie le 10 août 1918, commandant un détachement de reconnaissance, a pénétré le premier dans un village encore occupé. A continué sa marché d'avant-garde jusqu'au Matz, qu'il a réussi à franchir avant que l'ennemi ait pu faire sauterles ponts. Les 11 et J2 août, a exécuté des reconnaissances périlleuses, rapportant des renseignements précieux sur les positions allemandes.

(

:le

BOURETTE(Etienne-Louis-François-Camille), sous-lieutenant au 230e rég. d'infanterie ayant

eu son commandant de compagnie blessé et se trouvant seul officier, a exercé le commandeattaques. ment de sa compagnie, du 11 au 22 août, avec PENNATO (Adrien), capitaine au 5e rég. de calme et méthode, faisant toujours preuve d'un marche de tirailleurs : au cours des attaques grand courage, de beaucoup de force d'âme et du 10 au 13 août 1918, a conduit sa compagnie d'un dévouement inlassable le 11 août 1918, avec un entrain et une autorité remarquables. a, par son allant, entraîné brillamment sa Dans la nuit du 10 au 11 en particulier, a péné- compagnie à l'enlèvement de l'écart de Gury.

;

sa pu mitrailleuses. tirailléIfci

RACTIOU (IIenri-Prospcr), sous-lieutenant au blessé, le 11 août, tandis qu'il chargeait sous un vée et l'a maintenue sur feu violent de 299eréir. d'infanterie: s'est particulièrement violent bombardement. J111'letlfS: lr1 Iiloud, distingué au cours des opérations du 10 au ABDELKADER Ben de soldat (Barthélémy), mie 01620, NERVI de marche du reD{ais8rit p 0 2 août 1918; le 11 août, en pénétrant le pre- 1re classe de j0 rég. gent 5e au tirailleurs rég. marche de de 5e au et mier dans les organisations ennemies du pla- milraillcur. bravoure de août preuve combat du 11 Pendant le ainsi les opérations À facilité passae d'u' ne doni" rivière,enIcolk : lors progression teau de Chaudun facilitant la de obus qui commotionné bien que par un du lendemain; le 15, en progressant pied à pied 1918, franc du couvert groupe section, avait mis hors combat toute de a sa 'ont. d'une à la grenade jusqu'à la tranchée des chasseurs; aidé à le facilité A passage refusé de et un se ses camarades a de faira sauter le 19, en repoussant une fotte contre-attaque laisser panser l'ennemi 15août181»»duDeU M chant bel plus le ainsi évacuer, donnant de actions, ennemie. A toujours, au cours ces exemple de sentiment du devoir. ClIASSAIGNE (Gabriel), montré le plus parfait mépris du danger. d'infanterie: Le canonnier 02469, mie (Gustave), BOURRIEAU or.,anisee CALINAUD (Jcan\ sous-lieutenant au 5e rég. à section, tête de sa t lourde d'artillerie do 1388 6e : reg. J au groupe fortement de marche de tirailleurs : le 19 août 1918, amis le 10 août 1918, ennemie belle et contribué sa par a lutte à proximité l'ennemi batterie de pièces après en une ses et emparer parmi calme maintenir le mâle à attitude ses défenseurs pour protéger un mouvement important de camarades lorsque sa batterie était prise à par grande partie des g5Zserg l'unité voisine et a été tué glorieusement au tie fuite. (nobert-Engè!le), m Idant autres en par le feu ennemi. moment où il encourageait ses hommes. ®daDt l ^é » rég. d'infanterie: corom RICHARD mie 441S, ROCIIER (Joanny-Marius), canon- a.u 2993 cornpag'l'-elD'a d PTAUD (Jean-Georges), sergent au 230e rég. infirmier. d'artillerie rég. Le de 25!18 nier ? au la de août main du 12 de d'infanterie: durant les combats coup subi per~~,nter0~~ batterie ayant pertes des 1918, août 10 sa de le 1918, août 10 au 19 se 1918, sa section ayant été par deux fois sur dépensé soicompter sévères, s'est pour sans da dans ses hommes point d'être fait prisonnière, l'a dégagée chaque J{o\'8. L.rr pre blessés le feu violent et évacuer les le pénétre sous gner ramenant A reconnaissance. fois sans perdre un seul homme et de l'artillerie ennemie. village et au parc tout son matériel. SUIiI" chargé d'enlever uneélancé le 02074, canonnier (Joseph), mie YVRARD au Rahar, mie cette oii CIIÉRANTI (Abdelkader), ben s'est gênante, ment corob!condes 8nr téléphoniste. de 254e rég. d'artillerie de campagne tirailSu aU seC de marche rég. de 5e sergent 32:9, s'emparer au réussi à nemi, a beau cessé du plus de faire preuve courage, leuse lourde, après un leurs le 12 août 1918, au cours d'une attaque N'a journée dans la du 11 août 1918, en assurant fusil pris important, sequelques d'àppui point un a trouvé, sur un grenade. A la aU t service sous un feu violent de l'artillerie mitrailleur dont le tireur était blessé, et con- son glorieuse en segrièverncn mort une ennemie. tribué à enrayer une contre-attaque sur le l'\11.,v''t f» de deux de ses hommes llanc de sa compagnie. BOUILIIAC (Léon-Philippe), sous-lieutenant 5722,sergeg début mie (André), DAVID de fait 2308 d'infanterie rég. quapreuve au a front août 1918 COUDERT (Jean-Marie), mie 15187, sergent au lités de commandement pendant la période d'infanterie au le 12 août 16 le tué 5e rég. do marche do tirailleurs été a donné à campagne août, 20 du 10 au 22 août 1918. Le a des plus prix 1918, a vigoureusement entraîné sa fraction chant, revenant au ent exemple bel plus hommes le en ses voisintrouvé S'étant régiment en prendre, après s'être fait enlever au P. S. un liaison avec le dans la tranchéeennemie. Sa tirailleurs ^mitraiWl^ n-ayaB hésité présence d'une force supérieure, n'a pas blessé à la cuisse, l'avait qui grenade éclat de MULLËR (Philippe), lequel dans à entamer un violent corps à corps contact compagnie commandement de au le sa rég. de marche de il a eu l'avantage, grâce à son énergie et à sa de l'ennemi, dans des circonstances critiques. 5e compagnie avant été belle attitude. pilu lSieutf A des évèrcsi» i'e £ pièce, qu'une cours au adjudant 018230, mie au 19 août 1918, servi pendant GIROD (Gérémie), ALAOt1 (Moulaud), mie 16490, sergent au a fait août 1918, d'infanterie le 10 a rég. 2308 pertes le 11 août 5* rég. de marche de tirailleurs des causant pièce, cette Quoique malade, s'est com- nemi et faisant l'admiration de 1918, s'est particulièrement distingué dans un douze prisonniers. des 13 et attaques magnifiquement b31 porté aux dl, contre-attaposte d'une lors énergique, à resté à corps est corps août, 20 son rI!)' août 1918, donnant à ses hommes le plus 15 point 2996 l'enlèvement d'un ennemie, après que au bel exemple d'énergie et de courage. N'a conHERAULT (Casimir), soldat d'appui important. senti à se laisser évacuer qu'au moment de la fanterie : le 12 août 1918, ausouniSa101¡és d'une DESMOLIS (François-Xavier), mie 18209, ser- relève et sur l'ordre de son commandant do aeharné, sa section étantballe aj'Jstefll' ennemie-;, gent au 230" rég. d'infanterie au cours des compagnie. mitrailleuses lent de d'elles aP/ien combats du 10 au 15 août 1918, a contenu une pleceiiDes SOU hors de combat l'une solument vers reg. d in(Joseph), adjudant 299e FEVEZ au violente contre-attaque ennemie, et, son offi- fanterie s'est particulièrement distingué le : la cier avant été tué au cours du combat, a porté 12 août 1918 précipité s'est tireur, sur à l'attaque section couvrir ; a entraîné sa section avant corps son dans volb-illes. pour ramenée en et l'a paré, sa à dégager réussi d'énergie et beaucoup a avec s0ïd»*#(tt qu'il a réussi à faire emporter à l'arriére. mitrailleuses des violent tir pies /Arutafl'% Ç 03Os8 018, un groupe serré de par l'ennemi. Le 13, a fil. «rfrot MERCIER (Lucien), mie CAFFART (Emile), mie 1485, sergent au fait preuve d'initiative pour enlever la carrière le10 camiarades ta il t eeel s#* 299e rég. d'infanterie chargé avec sa demi- Madame, s'est porté résolument en avant sous 230e rég. d'infanterie et a facilité partie d'une équipe de F. M. section de s'emparer d'une tranchée fortement un feu violent de mitrailleuses d'une unité voisine qui ne défendue, s'est élancé à la tête de ses hommes ainsi la progression déboucher d'un boyau. seul 0oï*frtf.«ti après pouvait deux et, ayant danger et mie mépris du ses grand eu le plus avec parc'eiflP continue à le F. M., a pris a réussi a un combat acharné à la grenade, rég. adjudant (Jean-Paul), 299e a DUVERT au fini dont il tuant mitrailleuse tranchée, la a s'emparer de 400 mètres de août 1918, a pénétré le pre",5 le 10 cO d'infanterie adverde plusieurs main de sa propre en.ôOh ses 1910, , malMareuil-Lamotte de (Alphonse), village le dans EMONET mier saires et faisant des prisonniers dont un officier. gré les tirs de mitrailleuses, s'y est maintenu 299rég.d'infanterie: le , aOÙt eIl des BOYÉR (Gaston-Georges), caporal au 299erég. jusqu'à l'arrivée des renforts. Le 15, a fait per- porté à l'assaut d'une tranchée ic. d'infanterie le 19 août 1918, au cours d'une sonnellement plusieurs prisonniers. Le 19, ses camarades et en a chassé 1.*ieutoiia^ les contre-attaque ennemie, a fait mettre sa pièce tous les officiers de sa compagnie étant tom- de grenades. A été chercher des survivants de mitrailleuses le corps de son en batterie en terrain découvert sous un feu bés, a pris le commandement a112glJ"': le¡tr4 violent, sans se départir du plus grand sang- et a pu, grâce à son ascendant moral, rétabir et l'a ramené dans nos lignes.soldélré froid et, par la précision de ses tirs, a contri- l'ordre et maintenir sa troupe sur 'la position la «rj j nétré I,ECONTE(Cho.rJes-Maxime), bué grandement à arrêter l'ennemi. A rem- de combat, malgré la violence du bombarde- d'infanterie le 11 août 1918, a ^° : placé dans ses fonctions le chargeur qui venait ment et les pertes subies. cn" de Caf1Jt' for organisations les mier dans blessures malgré deux et, tué succesd'être leS aspirant 6318, GAZÂlbin-Auguste), mie barrage traversé avoir au un à servir pièce continué main, sa sives ala a clan3 le? août le d'artillerie de 11 12, 254® rég. leuses. Le campagne jusqu'à la fin de l'action. A refusé de se faire 1918, puis, l'ennemi ayant est regt hardiment éÕ batterie ayant progressé commandant de rades, a son évacuer. mis hors de combat, a pris le commandement allemandes, tranchbduscula t\JéSt abando QCr (Adrien-Pierre-Joseph), caporal cette de contre-battue partie unité violemment de au par son une cuper LECOMTE patrouilleur. A assuré l'artillerie ennemie et l'a exercé avec calme et en tête de la contre-attaque, 299e réa. d'infanterie pendant sang-froid. A été grièvement blessé au cours leforçant retlueret materie.ôt constamment le service d'avant-garde et a conde 1 action. deux mitrailleuses et un toute la progression de la compagnie patrouilles, à la LOURDIN(Georges-Antoine),solda i1.JÍ.otJi;9Í' aoa\'e'" différentes de tribué, aspirant mie 21179, 1tit 191 (Sylvain-Marcel), LARVOR cours au plusieurlyr capture de plusieurs mitrailleuses ennemies. chargé d'artillerie rég. 2130 de campagne d'infanterie aucours de au 1, combat après pénétré, un L Le 19 août 1918, a l'infand'assurer la liaison entre l'artillerie et a rapporté deux mitrailleuses. Plessier-de-Roye Otit violent, dans le château du 13 au 20 août 1918, au cours de la pro- n'a pas hésité à sortir mitra;.lieuses, du terie, en grt^v participé à la prise d'une mitrailleuse dont les gression de l'infanterie, dans une région boi- balayé par le feu des servants furent tués ou mis en fuite. sée, sous le feu de l'artillerie et des mitrail- relever son chef de section su obtenir de son personnel IIAMDI DOUCHE (Saïd ben Mohamed), mie leuses ennemies, ad'autres 12 soldat GARCIN (Félix), au maximum fatigues le reconnaissance, voy d aO p* d''être Ig*t rlsw 3340, caporal au 5e rég. demarche de tirail- déjà surmené par 1111 Le t son terie: agent de liaison. le 12 août 1918, a pénétré le premier de rendement et renseigner exactement leurs dune bataille. la fluctuations de cours les e, ilfjitfjdm colonel sur camarade imdans point d'appui avec un un point le camarades sur portant, s'y est maintenu et a fait de sa main (Marcel-Maurice-Gabriel), mie 10221, s'est précipité à son secours, a AVINANT un prisonnier. sergent fourrier au 58 rég. de marche de tirail- agresseurs et sauvé son "99' 1""1#/ aoat à ALI KIIODJA (Ahmed), mie 2109G, tirailleur leurs le 12 août 1918, a entratné ses hommes tude énergique. aU" soldat t de lra classe au 5e rég. de marche de tirait. à l'assaut d'une position allemande fortement 680, mie (Edmond), été UENOT ayant officiers août, intoxiqué, tenu à août 1918, 19 organisée. Le le 10 ses leurs a res- tues Le mitrailleur. d'infanterie combat le plein combat, pris comle donnant continuer blessés, à ligne et en ter en a ou est vpérité, fortement quoique éprouaipsi un bel exemple à ses camarades. A été mandement de sa compagnie fortement

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On. /aison> Lesoldat 12août1918, (Ernest),

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299e rég. d'inau allemande, alors

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s'est &,est

à la compagnie, Spontanément comn^n auprès du comrnala voisine pour le renseiSe mettre aux ,1PrC'loAlndicatinnLo a disposition afin de donhEn es fractions qui avaient S. régOLI sc reporter en arrière. Se (Mohamed),mIe "e 3151, tirailleur au niarrhe 0lGcuPé soii« Il 0 de tirailleurs le 12 août l^'e£réXiiit feu une situation dant ennCOlt Pour renseigner sur la position do Ætenté l'impossible dubàtlJe pour ramener le tué, et n'a cessé ses dubataillon. sur l'ordre formel du commandant lîu?

ln de

i 6 iaine

I!li\)eur .II laU ltlltraillcuauSerég.

ben Ahmad, mie 13855, marche de tirailleurs rlrneet Adonnéde «l'un,\c°ntre-at' le plus bel exemple de nre-attaque 19 août 1918, au cours 1)\I'cc pièceavec sûretéetj1Plu8 4tÏÏ?eé csQrpfA1 ennemie, chargeant sa part mamtenu grande la Plus maîtrise. A à maintenir la

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t, 'l'ailleu<Ahmed

llMANl

3q(¡lit faiUÇUrerUve prau[,erég,ben Boudjeina, mie

144G6,

de marche de tirailleurs cours des combats du 12 août 1/lientnprCOurage demitrailleurs intrépide 'aie"nftilnotro précipitant 9^A0(jn se sur ennemis qui arrêereisi0n et qu'il mit en fuite. S«'tS'demui Admed, mie 14303, tirailleur espre01'Illurcho au do blen tirailleurs: est entré l'un niiersdin erUsé fenùu.Intoxiqué Unpointd'appui important se laisser évacuer, le 12 août 1918, a et a continué le r/\ elrc du

septembre 1918.)

dessceaux. il guerreparministre intérim,de ecrctdu13août1911;

la justice,

: II aLégion de?a»\t - Sont inscrits aux tableaux

;

ArrCle J. ¡Cie 8j)jî

ide

les

Sl)ivpn?1ditailrrpe<

d'honneur et de la mémilitaires dont les noms

LÊGIOX D'HONNEUR.

Pour officier. ({)OUr (Pou I rendre b^ri'Chârles-Félix), 19 août 1918.) rang du capitaine

l on ;s rs : «in!?ier le ¡,t r l¡¡,I\l\leurs

(acrég. de marche de

du 4e PlUs 0depuis <\étéare qualités d'une grande valeur avant début de la campagne ^cont^G eri/m eri^nt blessé ^UtéNl^res.phn de bravoure et d'énerqntér,fe!lreschevaller au cours d'une21 août 1918. Cinq blessures (P0*sde gr>îu,erre. de la Légion d'honneur Sept citations. IPOLLrendre rang du 15 septembre 1918.) (jI,o't1 (acl?rançOiS-Félix-LOUiS), 'IiII\a.nteri iVe),auter erie A»jnî?ler chef de babataillon du 968 belle rég. a~n llie' q~li liènl'égirnIres. supérieur d'une 1'S il fait Preuve des plus belles qualièrement8irnent Ayant pris le commandement des circonstances particu<£ I914 conduit briliamment à a d kuru'vinle>blessé àson grièvement le 22 août poste de combat.

ierdelaLégiond'honneur •

dans A et -

Sreadre ^rai^iSSAOUD, rang du avril 1918.) t, g, sous-lieutenant à titre de mapnh^ ^railleurs dans l'atde r serve) tt d,1 (h

Pour chevalier.

: 4/ait36av-n tir C. la 29

que

à la lr* compagnie du

lvrll 1918,devantVillers-BretonNt»LÎ8«Actioa *v-J?lr onardeur >®s tL^'ièTema^» une de tous en enlevant ptationSi remarquable. de cuisse gauche. a continué à encourager

a su, par SÕn Ónergr,e',lftlpu\ -lui faira obtenir les plus beaux résultats. Après avoir, pendant cinq jours consécutifs, participé aux violentes attaques de son bataillon, a, le 26 août 1918, par une manœuvre habilement conçue et audacieusement exécutée, réussi, sous des feux nourris de mitrailleuses, une progression indispensable à la conservation d'une position importante. Le lendemain, a enlevé de haute lutte un solide nid de résistance ennemi, mettant les défenseurs hors de combat et faisant quatorze prisonniers. Deux blessures. Quatre citations. tions. CUSENIER (Xavier-René-Gustavc), capitaine (Pour prendre rang du 23 août 1918.) à titre temporaire (active) au 172e rég. d'infanMORILIIAS (Claude-Annct), capitaine à titre terie : le 25 août 1918, s'est élancé courageutemporaire (active) à la 2e compagnie de mi- sement à l'assaut des tranchées ennemies fortement défendues par un épais réseau de fil trailleuses du 9e rég. de marche de tirailleurs pendant trois jours d'attaque très durs, a asde fer. Avec un élan irrésistible, a jeté sa suré les fonctions d'adjudant major de son compagnie sur l'ennemi surpris et démoralisé la vigueur de l'attaque. A été grièvement bataillon, simultanément avec le commande- par blessé ment de sa compagnie de mitrailleuses. S'est en tête de son unité au cours de cette dépensé sans compter, traversant fréquem- action. Cinq citations. ment des barrages d'une extrême intensité, (Pour prendre rang du 1er septembre 1918.) pour établir les liaisons et donner des renseignements. Le deuxième jour, a pris spontanéPUHARRÉ (Marc), lieutenant (réserve), à la ment la direction de groupes privés de leurs 5e compagnie du 34" rég. d'infanterie le 9 juin chefs, et, dans un élan irrésistible, les a en- 1918, au cours d'une très violente attaque alletrainés à l'attaque de centres de résistance qui mande, notre ligne menaçant d'être rompue, entravaient la progression. Pendant ces trois a pris le commandement de sa section de réjournées, a fait l'admiration de tous par son serve, l'a enlevée dans une brillante contresang-froid, sa superbe bravoure et a rendu les attaque, a rétabli la situation sur son front et services les plus signalés. Trois blessures. Qua- contribué, dans une large mesure, au succès tre citations. de la contre-offensive d'une unité voisine qui a abouti à la capture de nombreux prisonTIIINCELIN (Marcel), capitaine à titre tempo- niers d'un important matériel. Une blessure. raire (réserve) commandant la 14° compagnie Trois et citatiens. du 1er rég. de marche de zouaves au cours des journées du 20 au 22 août 1918, a conduit (Pour prendre rang du 14 septembre 1918.) sa compagnie au feu, avec un sang-froid et un PHILIPPE (Félix-Marie-Emile), mie Rt 203, courage qui ont fait l'admiration de tous. A pu réduire plusieurs îlots de résistance, avec des lieutenant (active) à la 11e compagnie du pertes relativement légères, grâce aux habiles 123e rég. d'infanterie excellent officier, d'une dispositions qu'il avait prises, et capturer de bravoure admirable. Blessé le 31 mai 1918, a nombreux prisonniers. Blessé, le 20 août, n'a refusé de se faire évacuer et a conservé le consenti à se laisser panser qu'à la fin de l'atta- commandement de sa compagnie. Le 12 juin que. Blessé une deuxième fois, le 21 août, est 1918, un tir violent de torpilles déclenché sur revenu, aussitôt après avoir été pansé, repren- la droite de son unité faisant prévoir une dre sa place à la tète de sa compagnie. A ob- attaque prochaine, s'est porté immédiatement tenu le maxmum d'efforts de ses hommes, sur en pr.emière ligne pour se rendre compte de la lesquels il a acquis un sérieux ascendant, situation et donner des ordres. A été grièvegrâce à sa bravoure et à son esprit d'abnéga- ment blessé pendant que, à genoux sur la tion. Une blessureantérieure. Trois citations. parapet, il surveillait à la jumelle les mouvements l'ennemi. Une blessure antérieure. HOUGUE (F.-J.), sous-lieutenant à titre tem- Quatre de citations. poraire (active) au 1" rég. de .chasseurs à cheval, détaché au 13e rég. de marche de tirail- • JUILLARD (Henri), médecin aide-major do leurs (4e bataillon du 9e rég. pe tirailleurs) lre classe (territorial) au 4e rég. de marche do chargé de réduire la résistance d'une carrière zouaves médecin d'un dévouement et d'une aménagée offensivement par l'ennemi, amené conscience professionnelle au-dessus de tout ses hommes à l'assaut, avec un élan irrésistible éloge. A participé à la plupart des actions annihilant, par la brusquerie de son attaque, offensives dans lesquelles le régiment a été toute résistance sérieuse, et contribuant ainsi engagé et s'y est toujours signalé par son méà la capture de deux cents prisonniers, trois pris du danger, allant jusque sur la ligne de canons de 77, onze mitrailleuses et un matériel feu, prodigner ses soins aux blessés. Renvoyé à l'intérieur, contre son gré, a demandé son considérable. renvoi aux armées. A été blessé grièvement à (Pour prendre rang du 23 août 1918.) son poste le 8 juin 1918. Quatre citations. COSSE (François-Augustin), lieutenant (réLEGRAND (Simon-Léon-André), lieutenant à serve) à la tre compagnie du 29e bataillon de titre temporaire (réserve) au groupe 3/4 du brillant oflicier, d'une bravoure re- 12e rég. de hussards chasseurs engagé volontaire pour marquable et d'un courage que rien ne peut la durée de la guerre, a toujours donné à tous abattre le 22 et le 23 août 1918 a fait preuve du un bel exemple d'énergie et d'entrain. A été plus bel esprit de sacrifices en s'élançant sous blessé grièvement au cours de récents combats. une grèle do balles à l'assaut d'une position Une blessure antérieure. Une citation. ennemie fortement tenue et énergiquement CALMARD (Jean-Joseph), capitaine à titre défendue. A été grièvement blessé, le 23 août. temporaire (réserve) commandant la 158 comUne blessure antérieure. Une citation. commandant pagnie du 2988 rég, d'infanterie de compagnie remarquable par sa ;bravoure, (Pour prendre rang du 2G août 1918.) entrain et son énergie. Ayant dû prendre, son DELESTRE (Louis-Emile-Joseph), capitaine à dès le 21 juillet, en plein combat, le comraan1 titre temporaire active commandant la dement de son bataillon, a, par ses qualités de ire compagnie du 29e bataillon de chasseurs sang-froid et d'activité, obtenu de lui tous les au cours des combats du 3 au 25 août 1918, a efforts qui lui ont été demandés au cours des brillamment conduit son groupement de com- opérations du 21 juillet au 3 août. En particupagnies à l'attaque. Le 24 août, malgré un feu lier, le 2 août, bien que son bataillon, déjà de mitrailleuses extrêmement nourri, a en- éprouvé par quinze jours de combat, se trouvât traîné sa troupe à l'assaut d'une position en- en soutien, a su l'entraîner vigoureusement à nemie fortement défendue, infligeant à l'ad- la poursuite de l'ennemi, sur une profondeur versaire des pertes sérieuses et faisant des de huit kilomètres, capturant un canon de 77. prisonniers. A fait preuve d'un mépris absolu Deux citations. de la mort et a donné, en toutes circonstances, LITRE (Joseph-Marius), sous-lieutenant à tile plus bel exemple de volonté et de bravoure. tre temporaire (réserve) à la 13e compagnie du Une blessure. Cinq citations. 298" rég. d'infanterie officier remarquable LOUSTE (Charles-Henri), lieutenant (réserve) par sa bravoure au feu et son allant. Le 22 juilà la 23e compagnie du 355e rég. d'infanterie let, à la tête de son peloton, a brillamment enofficier d'un courage et d'un sang-froid admi- levé un boqueteau fortement organisé, faisant rables. Ayant pris le commandement d'une dix-huit prisonniers et s'emparant de six micompagnie privée de son chef en plein combat, trailleuses. Ayant pris ensuite le commande (Pour prendre rang du Ii) août 1918.) JARNY (Baptiste-Charles-Alphonse), capitaine a titre temporaire (active), commandant la 10e compagnie du 127e rég. d'infanterie officier d'une haute conscience et d'une valeur confirmée. Le 20 août 1918. a magnifiquement entraîné sa compagnie à l'attaque, devançant sa troupe avec un absolu mépris du danger. A enlevé, qui luiétait au pas de charge, le premier objectif assigné et y a capturé de nombreuxprisonniers. Deux blessures. Trois cita-

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ment de sa compagnie dont le capitaine avait été grièvement blessé, a su obtenir d'elle, par son action personnelle, pendant une période de douze jours de combats, les efforts les plus soutenus, qui lui ont permis d'atteindre tous ses objectifs, de faire de nouveau vingt-sept prisonniers, dont un officier et de capturer une vingtaine de mitrailleuses et un canon de 77. Une citation. CHOPIN (Jean-Marie), lieutenant (active) au officier d'une bravoure 298e rég. d'infanterie et d'un dévouement exceptionnels. A remarquablement dirigé sa compagnie au cours des opérations du 20 au 24 juillet. Bien que blessé le 22 juillet à l'attaque d'un bois fortement occupé, a refusé de se laisser évacuer. A peine pansé, a repris le commandement de sa compagnie, à la tête de laquelle il a été de nouveau grièvement atteint le 24 juillet. Une citation. (Pour prendre rang du 15 septembre 1918.)

BOITVILLE DE FRANSSU

(Pierre), capitaine (réserve), commandant la 236 batterie du 215e rcg. d'artillerie : officier distingué, d'une bravoure remarquable, insouciant du danger, a su inspirer à ses hommesune entière confiance par sa vaillante attitude dans les circonstances blessé grièvement les plus périlleuses. A étéd'un bombardement le 12 juin 1918, au cours sur la position de batterie. Quatre citations. BERGEAUD (Albert), capitaine (active) au 08° bataillon de chasseurs alpins commandant de compagnie de mitrailleuses de tout premier ordre, d'une bravoure merveilleuse, toujours au plus fort du danger, exemple de toutes les énergies dont il anime ses hommes. S'est particulièrement distingué au cours des combats du 12 juillet et du 8 août 1918, se portant sans cesse auprès de ses sections les plus exposées, affirmant ses qualités d'initiative heureuse et hardie et contribuant pour une très grande part au succès des opérations du bataillon. Cinq

citations.

CONQUERE DE MONBRISON (Edouard-nenri),

capitaine à titre temporaire (active), commandant la 3e compagnie du 28e bataillon de chasseurs alpins splendide entraîneur d'hommes, le 8 août 1918, a conduit sa compagnie à l'attaque des positions allemandes avec une maîtrise et une habileté merveilleuses. A réduit, au cours de sa production victorieuse, de nombreux nids de mitrailleuses, capturé un nombre important de prisonniers, pénétré dans une localité et conquis entièrement son objectif après de violents combats. Deux citations. ODRU (René-Eugène), capitaine (active) au 68e bataillon de chasseurs alpins officier d'une rare énergie et d'une superbe vaillance. Au cours de l'attaque du 8 août 1918, une mitrailleuse arrêtant l'élan de sa compagnie, s'est porté en avant de la première vague d'assaut et a mis hors de combat les servants.ennemis. Cinq citations. TISSEYRE (Jacqucs-Antoine-Auguste), capitaine (réserve) au Me bataillon de chasseurs à officier très courageux et de haute vapied leur qui, le 8 août 1918, a entraîné sa compagniei à l'assaut avec un élan admirable. A atteint et dépassé ses objectifs et capturé trente-cinq prisonniers dont deux officiers et neuf mitrailleuses. Trois citations.

a droit.le 1

en prenant part à une contre-attaque. Ampu- quitté de sa mission avec un irar7juinf?:' tation de la main gauche. ment. A été grièvement blessé, leJ dO 1 ce» 1 en transmettant un ordre. (Pour prendre rang du 11 novembre 1915,) j ROUQUET (Jean-Joseph-Léon), mie Rt 1009, février 6 g.IG¡ du (Pour prendre rang soldat (réserve) à la 12e compagnie du 81e rég. aie dtf (Louis-Charles-Joseph) com tULOUGUÉT dinfanterie excellent soldat, qui s'est fait remarquer en toutes circonstances par son cou- soldat (territorial) à la iresoldat, ayant grl".: bon rage et son dévouement. A été blessé griève- 110e rég. d'infanterie 4 1916, autCW devoir, jours fait vaillamment ment, le 23 septembre 1914, à Beaumont, en se son portant vaillamment à l'assaut des lignes en- vement blessé, le 10 septembrepied droit,> rières de Maurepas. Amputé du nemies. 1918.) soldat °S?'d'io{C r (Pour prendre rang du 8 février (Pour prendre rang du 14 avril 1916.) reéàtouta CLOS (Henri-Maurice), mie AISSAT AHMED BEN ALI BEN BENGACEM, courage a toute 34e du (réserve) compagnie à la 3e mie 12229, tirailleur (active) à la 28 compagnie du 9e rég. de marche de tirailleurs (1errég. de terie : agent de liaison d'un PlateaU a« tirailleurs) : excellent tirailleur, très brave. A épreuve, ayant montré, en toute.auAPérilI6Use4 été grièvement blessé, le 22 août 1914, à Char- le plus grand mépris du danger. ^nvériHeU leroi, en s'élançant courageusement à l'assaut ment blessé, le 6 mai 1917, liaison des positions ennemies. Amputé de la cuisse Craonne, au cours d'une gauche. J. Amputation de l'avant-bras droite.

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été

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(Pour prendre rang du 13 octobre 1916.) MOCQUET (Louis-Victor-IIenri), mie 3184, soldat (active) à la 60 compagnie du 8* rég. d'infanterie : engagé volontaire, soldat dévoué et courageux A été grièvement blessé, le 6 mai 1916, en assurant son service de garde dans un poste avancé, soumis à un violent bombardement. Enucléation de l'œil droit. (Pour prendre rang du 8 décembre 1916.) TEMPET (Léon-Louis), mie 012383, soldat (territorial) à la 2e compagnie de mitrailleuses du 33e rég. d'infanterie soldat très brave et dévoué qui a toujours donné entière satisfaction à ses chefs. A été blessé grièvement en faisant courageusement son devoir. Amputation du bras gauche. (Pour prendre rang du 30 décembre 1916,) USSON (Hippolyte), mie 011370, soldat (réserve) à la 11e compagnie du 60e rég. d'infanterie soldat dévoué et très courageux, d'une belle tenue au feu. A été grièvement blessé, le 25 septembre 1915, à l'attaque des retranchements allemands. Amputé de la main gauche.

(Pour prendre rang du 11 mars 1917.) CONTAND (Georges), mie 5532, soldat (réserve) à la 12e compagnie du 10e rég. d'infanterie : bon soldat, dune belle attitude au feu. A été grièvement blessé le 23 mai 1916, à son poste de combat,alors qu'il exécutait des travaux de défense. Perte de la vision de l'œil

gauche.

(Pour prendre rang du 13 mai 1917.) RUCH (Georges), mie 012910, soldat de lre classe (territorial) au 128° rég. d'infanterie soldat très brave et dévoué. A été grièvement blessé le 8 avril 1915, à son poste de combat. Amputé de la jambe droite. (Pour prendre rang du 25 mai 1917.) CAUBRIA (Ernest-Edouard), mie 05778, soldat de lro classe (réserve) à la 11e compagnie du 151e rég. d'infanterie excellent soldat, brave etduplus bel exemple pour ses camarades. A étéblessé grièvement, à son poste de combat, le 11 mai 1915. Perte de la vision de l'œil droit. (Pour prendre rang du 1er septembre 1918.) (Pour prendre rang du 3 août 1917.) DORÉ (Marius-Séraphin), sous-lieutenant à NOURY (Julien-Marie), mie 11142, soldat (rétitre temporaire (réserve) à la lre compagnie serve) à la 2e compagnie de mitrailleuses du du 28e bataillon de chasseurs alpins chef de 70e rég. d'infanterie agent de liaison du plus section magnifique de sang-froid et d'énergie. grand courage. A été blessé grièvement à son Le 8 août 1918, au cours d'une progression ren- poste de combat le 12 mars 1918. due particulièrement difficile par un épais brouillard, s'est dépensé sans compter pour (Pour prendre rang du 4 janvier 1918.) rétablir la liaison entre la compagnie et une GUICHARD (Alfred-Léon), mie 9664, soldat unité voisine. A capturé avec son groupe, une (active) à la 9e compagnie du 34e rég. d'infancinquantaine de prisonniers et deux mitrail- terie: très bon soldat, énergique et couracontribuant leuses, à large part la pour une A été blessé grièvement à son poste de prise d'une importante position. Deux blessures geux. combat, le 6 mai 1917. Perte de l'œil gauche: Quatre citations. (Pour prendre rang du il janvier 1918,) MÉDAILLE MILITAIRE PELLORCE (Jules), mie Rt 832, soldat (territorial) à la 21e compagnie du 330e rég. d'infan(Pour prendre rang du 29 octobre 1915.) terie: très brave soirlat. Pendant les durs comLEMONNIER (Louis-Grégoire), mte 09546, sol- bats du mois de jun Dn, au mont Cornillet, dat (réserve) à la 98 compagnie du 71* rég. chargé d'assurer la liaison avec le régiment d'infanterie soldat très brave et très dévoué. voisin, sous les violents tirs de l'artillerie enA été blessé grièvement, le 9 septembre 1915, nemie, dans un terrain bouleversé, s'est ac-

ant

igis.) jr fserveï (Pour prendre rang du 7 mars soldat d'infanite BOULEGUE (Jean), mie 019493, aj^ea»

à la 9e compagnie du 34e rég. gique et brave soldat, d'une brillante contrefeu. A été très grièvement blessé, le Yrieuro,

ante.urc. àCraonne, pendant qu'il repoussait attaque allemande. Une blessure 1918.) avril (Pour prendre rang du 28sergeilt(résetre) conipaAUCLERC (Louis), mie 1691, dant ul1 tirailleurs,! au 4e rég. de marche de comrnanbatailloJ1 gnie de mitrailleuses au cours sous engagement, le 26 avril 1918, au g0USup en'fV4 section de mitrailleuses de réserve réussl arrêté dans sa progression, a ,on feu intense, son personnel éprouvé. enravei mettre en batterie et a pu d'une compagnie ennemie qui tre-attaquer. Deux citations. 1 (Pour prendre rang du 30 (a lirail" sergent CAPOT (Marcel), mie 1853, la 18e compagniedu 48 rég. de marche un leurs sous-officier énergique et plel les rnoll ^jipa" Le 27 avril 1918, devant Cachy, malgréles la dansdaonch cf violent bombardement, a placé l'attaque, <10 leures conditions sa demi-section l'asrallèle de départ. Pendant commap ayant été blessé, a pris le entraîne6coursdlJ la section et l'a brillamment cjta' saut. A été très grièvement blessé l'attaque. Une blessure antérieure. U" M/Sgcaupr"*' caPO i GUILLAUME (Cliarles-Jeanl,mle s'B~' marche de rai (réserve) au 4e rég. de ^0s'& 1re compagnie de mitrailleuses : conduite superbe au feu. Le 26 avril su'san^ et a: fait remarquer par son courageviOltenlessé re.VJl froid, progressant sous un feu V.00 trailleuses. A été très grièvement antérieu l'action. blessure de Une cours ) 19!:daTlt lois. inal (Pour prendre rang du 1er iei, mai 4479,adJ^^s, RENARD (Lucien-Joseph), mie dangureUSB; (active) au 4° rég. de marche de 6? compagnie de mitrailleuses : du30 1918, delui-même du 30 avril 1918, a de lui-même es flaP. mitr illo entraîné section ment de f sa do f un endroit très périlleux pour mouvez ellt menacé et a ainsi enrayé le l'ennemi. Deux citations. gAPI, IIÍ, de marche de tirailleurs j^rove EL mle 19901, tirailleur (acitive) à la 226 cOrOP agn, BEN MOHAMED BEN BELGACEM du4erég. gnévejjn'e0t,£1 railleur. A été blessé très Hangard-eilcap, 28 avril 1918, à l'attaque de terre, à son poste de combat. f 19i8.). ¡ juin A (Pour prendre rang du 24 e} (ac soldat d'infanterIeürsde: BERTU (Robert), mie 18556, la 3e compagnie du 127e rég. très dévoué et plein d'entrain. Au co^an<v osté journées de juin 1918, a montré PàrIsonp05 courage dans des circonstances à su été grièvement blessé, le 25 juin,

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er; (Joachim-llippolyte-Maut; (Pour prendre rang du 8 juillet règ.i11

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gent (reserve) à la compagnie 6/2 du tête de génie excellent sous-officier d.e et d'une bravoure exemplaires. A ment blessé, le 28 juin 1918, à la

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demi-section quiexécutait mièrelignedans

des travaux en preune région très bombardée,

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16 juillet 1913.) àlacornPagniOmJe**adjudant &

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) (réserve 127» rég. d'infanterie: d'une du bravoure et d'un sang-froid remarquables,quis'est desson distInguépar sa hardesse omplet mépris du dangerau coursdedernières opérations défensives. A P,O'le (If' elIlent blessé, lncillornbilt. 15 juin 1918, à son rendrerang Deux blessures antérieures. (Pour

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13juillet 1913.) "Pel!" ni1'Ill"'"iiieur" rrlCn-Jules-Joscph) f10fla1) m.cIJ-') sap à la compagnie G/2 etd'un ugéflie ulévoucinenttrès bnn sapeur,d'un zèle remarquables, campagne.A tOIl!:t Q, été PomP°rté delà ctéîigrièvem;mt blessé, au cours n.le 17 juil(fou bOTObardé. chevaux d'ungauche. village Amputé du bras rang ûu"20juillet 1013.) (rl';"';¡'cE(ErnilC-JUlicn), ÔI)lf!:lt, coau147e mie 14213, soldat 11Jlllllct jui!in»1'^18 NrgCUx, rég. d'infanterie : excellent A été blessé grièvement, le on se Portant à l'attaque des ennenîies po-

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23 juillet l9iS-) DIGIDIAKITÉ,mle2141,caporal ?','elri)n au VIJI,);'l'lein nd0Vil??®214l,caporal(active) (active) au de braIlleurs VlJli)nî..jr°Pour sénégalais très bon Pr'jl d'allant, toujours et (t. 'Cs.s,"une ÓesOn dangereuses. Au tlaque,missions a conduit son escouade vpma;,(luable OS A été gravement combat. V(P»»'W ranSdedu27 (" l'ollr

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1313.) fn '¡, Ci'l'e"Mari° ) mie Rt 864, soldat COmpagnie. du 42e rég. d'infan15 toi A été grièvement blessé, a^annr, en. se portant, couragcuser'ie (Y, (!Sf!rvo^'!1']rl°s-Picrre), mie5550,brigade3 lignes ennemies.

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Cai'ir>vrnbatterie du 4erég. d'artillleriedecampagne:s'estparticulièrement dis~tingué unevingtaine de braves quiont iJlilllet j'osi'i Irl parmi Un !Ul l?3it,i')n /1,'fen<iMQ flllintoSe'1913, a amener une pièce, jusqu'à 800 mètres d'une avec acharnement, forçant 0r> dft IaL de th)/! ¡JIJ'eIlQ i li,eQni>mmi troupe d'attaque et surpar tant d'audace. Une c.ta-

dier le

•

(foiifpprendre

CORNIER(Claude), rang du 23 juillet1918,) mle Rt 576, 576@ soldat (aclie): r~aclive) D'Illt-toute%les du 9> rég. dinfanterie et dévoué, volontaire îv()DatroUiÍla missions dangereuses. Le élé grièvement blessé au cours

c^1'0 loi ^eux

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POUre. )

(Pourprendrerang A tï1^

du 29 juillet 1918.) n H^ant^b-e) ond-Marcel-Robert), mie 1255, 10e compagnie du 42e rég. bles bon soldat, ayant toujours eu du. au feu. A été grièvement Plltétil iuiiiet1918, 1.tta(lue portant vaillamen se Q brlS des lignes allemandes. Amdroit. (Pour nen<ire

? J®s<î^ terie très Sî-i

rans da 2 aoAt 1918-) 0)a1«1 (Marcel), [v. j¡'\,ra.dé nile 101, caporal (rédu23®rég- d'infante,l^uî11-.*bravcp^mi,a?rVe lei«

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plein d'entrain. été blessé ent,le18 juillet 1918, moment il

(hbarrage

où au des positions ennemies, d'artillerie. rang du 3 août 1918.) 1!!r:-). léon-Albert), mie 6633, soldat (rédu 102° rég. d'infann!l('e.Couransoldat. rl}rtl1la.¡'adennant Le 21 juillet 1918, s'est I:,\ c«minS' à l'assaut-despositions Ij^1,8d^attaaii!î,?' ainsi le plus bel exemple à * été blessé grièvement au 'er.\bt01'rleure.AamPuté du bras droit. Une Une citation. mie Rt 1940, la 10ecompagnie du \1n

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Sous-ofilcier'courageux grièvement le 21 juillet

en portant sa section à l'attaque d'un nid de mitrailleuses ennemies. GARS (Camille), mie 11332, sergent (réserve) à la 3a compagnie du 9àe rég. d'infanterie : sous-officier très dévoué et courageux, volontaire pour toutes les missions périlleuses. A été blességrièvement, le 29 juillet 1918, alors qu'il marchait en tête de sa demi-section pour exécuter un coup de main. Deux citations. (Pour prendre rang du 5 août 1918.) BRUEZ(Léon-Constant-Albert), mie 2164, maréchal des logis (active) au 3e escadron du sous-officier très brave. 11e rég. de chasseurs Pendant la période d'opérations du 13 juillet nomau 5 août 1918, s'est distingué Vlans de avant breuses reconnaissances journalières en de l'infanterie, rapportant de précieux renseignements. En particulier, le 28 juillet, chargé d'assurer la liaison avec les éléments de tête do la division de droite, a reconnu à pied un village et une ferme, passé une rivière sur un arbre et accompli brillamment sa mission. MOURRIER (Remy-Louis), sapeur-mineur (active) à la compagnie 6/2 du 9e rég. du génie très bon sapeur, brave au feu et dévoué. A été grièvement blessé, le 16 juillet 1918, à son poste, au cours d'un violent bombardement. Perte de la vision de l'œil gauche. 1918,

ses camarades pourleur donner le réconfort de son calme et de sa. bonne humeur, et s'est dirigé seul ensuite vers le poste de secours, avec un courage et un sang-froid qui ont fait l'admiration de tous. Une blessure antérieure. (Pour prendre rang du 10 août 1918.) ALI BEN AMOR ZAMMAL, mie 9037,tirailleur (active) au 4e rég. de marche de tirailleurs, 6° compagnie de mitrailleuses pendant la période du 6 au 14 juin 1918, a assuré le ravitaïf* lement en munitions du bataillon sous de très violents bombardements. A été blessé grièvement le 14 juin dans l'accomplissement de sa mission. Une blessure antérieure. GANTIER (André), mie 751, soldat (active) $ très la 10. compagnie du 238 rég. d'infanterie bon et brave soldat. Le 17 juillet 1918, sous uii violent tir de barrage ennemi, est resté à son poste de guetteur où il fut blessé très griève-

ment.

canonnier (territorial) au 2° groupe du 48 rég. d'artillerie de camtéléphoniste territorial toujours volonpagne taire pour les missions les plus périlleuses. La 21 juillet 1918, accompagnant, sur sa demande, un officier observateur en première ligne, est parti avec la vague d'assaut et a franchi de nombreuses fois des barrages d'artillerie et de violents tirs de mitrailleuses pour porter à l'arrière des renseignements de la plus haute im(Pour prendre rang du 7 août 1918.) Une citation. portance. (réserve) soldat (Charles), mie 15577. CHAINE MOUTON (Emile-Auguste), mie 017122, soldat à la 5e compagnie du 23,5 rég. d'infanterie sol85e rég. d'indat courageux et très dévoué. Le 25 juillet 1918, (réserve) à la lre compagnie du s'est distingué est parti à l'attaque avec une ardeur admira- fanterie : soldat courageux qui ble, entraînant ses camarades par son exem- dans toutes les opérations auxquelles le régiple, malgré un violent feu de mitrailleuses ment a pris part depuis juillet 1916. A été blességrièvement à son poste de combat, le ennemies. A été grièvement blessé. 10 août 1918. (active) tirailleur MOMAR YAGUE, mie 3436, de lre classe au 54e bataillon de tirailleurs sé(Pour prendre rang du 11 août 1918.) négalais : tirailleur modèle ayant toujours fait (réserve) 14131, (Albert), mie EYNARD zouave blessé, le Grièvement devoir. bravement son rég. de zouaves 15 juillet 1913, à son poste de combat, a mou- à la 7e compagnie du 3e bis du plus grand courage et d'une belle tréen cescirconstances difficiles un courage zouave feu. Volontaire pour toutes les et uye abnégation remarquables. Perte de l'œil attitude au missions périlleuses. A été blessé grièvement droit. le 2 août 1918, en assurant la liaison avec les FAGES (Emmanuel-Tustin-Urbain), mie 31187, unités voisines, sous un bombardement des soldat (active) à la 5e compagnie du 3" bis rég. plus violents. Deux blessures antérieures. Deux de zouaves très bon soldat, très courageux, citations. d'une belle attitude au feu. A été blessé grièvement, le 4 août 1918, à son poste de combat. (Pour prendre rang du 12 [août 1918.) Une blessure antérieure. Une citation. CHAPLAIN (André), mie 9882, soldat (active) à au. 3° compagnie du 172e rég. d'infanterie la (Pour prendre rang du 9 août 1918.) août 1918 a fait cours des combats du 1er auet3 d'un sang-froid grand d'un courage soldat de 2066, (Nicolas-Robert), mie preuve LOUIS s'est porté notamment, août 3 merveilleux. Le 172e du compagnie (réserve) à la 11e 1re classe à l'attaque d'un village fortement rég.d'infanterie au front depuis le début, n'a résolument l'ennemi. A pris part à un combat défendu qualités par belles des plus de faire cessé preuve l'ennemi, et meurtriers plus des pour de rues volontoujours et de sang-froid de courage, a été très grièvement blessé en accomplissant taire pour les missions périlleuses. Dans les bravement son devoir. Une citation. journées du 1er au 5 août 1918, a assuré des liaisons particulièrement difficiles sans se sou[(Pour prendre rang du 13 août 1918.) cier des tirs de barrage de l'artillerie et des balles de mitrailleuses, contribuant ainsi puisDRUILLET (André-Raphaël), mie 17469, soldat samment à la marche en avant de son ba- (active) à la 9e compagnie du 43° rég. d'infantaillon. Une blessure. Quatre citations. terie soldat plein de courage et de dévoueJ" circonstances. A été gravement toutes ment (réserve) en sergent mie 3034, (Paul-Emile), GOLL 1918. août fois, le la.troisième 12 intoxiqué, d'infanterie du pour rég. 172e à la 7e compagnie s'est élancé, le 1er août 1918, a l'attaque des (Pour prendre rang du 14 août 1918.) positions ennemies dans un élan superbe sans souci du danger, ne songeant qu'à marcher en 2170, soldat (réserve) mie (Marius), PARADIS avant. A dépassé largement le front atteint à la ge compagnie du 16e rég. d'infanterie par sa compagnie, atteignant les batteries en- excellent soldat. A été grièvement blessé, 16 nemies, mettant hors de combat plusieurs ad- 6 août 1918, sur la position de combat. versaires qui lui barraient la route. A réussi à TARRIN (Amédée), mie 15773, soldat'(active) rentrer dans nos lignes, ramenant des prison à la 13e compagnie du 355e rég. d'infanterie niers. Une blessure. Deux citations. A été blessé grièmitrailleur. fusilier excellent BLANCHARD (Frédéric), mie 013815, soldat de vement, le 6 août 1918, au moment où il chan1re classe (réserve) à la 3e compagnie du geait d'emplacement sur sa propre initiative tir, d'efficacité 172e rég. d'infanterie : au front depnis le début son par sur plus obtenir pour de la campagne, a participé à toutes les opéra- un groupe ennemi qui progressait. Une citations dans lesquelles le régiment a été engagé tion. et s'y est toujours fait remarquer par sa bra(Pour prendre rang du15 août 1918.) voure et son dévouement. Pendant les combats du 1er au 4 août 1918, a circulé constamment ROULET (André), mie 703, soldat (active) à la recherche des bataille à la de le champ sur compagnie du tige rég. d'infanterie excel. blessés, sous les tirs de barrage les plus vio- 5e lent soldat dévoué et courageux. A été grièvelents, et a ainsi sauvé nombre de ses cama- ment 1918, blessé, le 13 août en se portant & rades. Quatre citations. l'assaut d'une position fortement organisée. BERNARDI (Mathieu), mie 22/5182, tirailleur MARCHAND (Eugène-Alexandre-Jean), mie (active) au 34° bataillon de tirailleurs sénéga1227, soldat (territorial) à la 6e compagnie du lais au cours du combat du 25 juillet 1913, modèle ayant ayant eu le bras à demi-arraché par un obus 119e rég. d'infanterie: soldat flévoueriient. grand et< du p]us A preuve ennemi qui avait enterré la mitrailleuse qu'il donné maintes lois la servait, est resté quelques instants auprès de courage et du plus Beau

ROCII (Henri), mie 0479,

grièvement blessé le 13 août 1918, en se portant à l'assaut d'une position fortement organisée. BLACIIE (Jules-Elie), mie 16968, soldat (terridu 202e rég. d'infantorial) à la 22e compagnie soldat terie:excellent modèle de discipline et de dévouement, qui en maintes circonstances a fait l'admiration de tous par sa belle attitude blessé grièvement le 11 août au feu. A été 1918, en se portant it l'assaut des lignes ennemies. Une blessure antérieure). Une citation.

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août mis le même jour, hors de J 1918. allemand qui ajustait son comIllall ,acjjver FERMÉ (Auguste), mie Rt 1065, soldat (ac- pagnie. Une blessure. 14856, de mitraillées ravOur0 tive) à la 218 compagnie du 355* rég. d'infanteBECHE (Emile), excellente rie très bon soldat, d'une conduite à la 28 compagnie sang-froi. d* L' &Oet feu. A été blessé le 1er août 1918, à son d'infanterie au sous-officier aye, acqul poste de.ccmbat. égale, merveilleux de Apri"¡J, MANSAROBA CAMARA, tirailleur (active) au 1918, chargé de participer, miss* ^fr#i Périlleuse, reconnaissance 51* bataillon de tirailleurs sénégalais commannddeerinnenuileIràC tio tirail- une 95si, de sa leur brave et dévoué, toujours volontaire pour d'une façon parfaite les missions périlleuses, A été gravement in- suite, sous son chef p .XcieUît.*L Q\\j, de privée d'infanterie son toxiqué le 15 août 1918. (Pour prendre rang du 16 août 1918.) rapporter des renseignements (Joseph-Etienne), sergent (réserve) que blessé, a conservé son OUDIN (Paul-Eugène), mie Rt 1099, soldat (ter- à PRIEURET OS5, (Jean-Baptiste-ÎIippoly^^ 'j0 ï(0J> la 3e du d'infanterie compagnie 85e rég. Une citation. : ritorial) à la 6e compagnie de mitrailleuses du excelient sous-officier, d'un compa^n*" du courage et d'un 355e rég.d'infanterie excellent soldat, coura- sang-froid maintes fois éprouvés. BAZIN n.t,, S'est distin98 geux et dévoué, ayant toujours eu une très gué particulièrement pendant les opérations caporal (réserve) à la partiCUJdtl remarquâme belle attitude au feu. A été blessé grièvement offensives des 3 et 10 août 1918. A été blessé d'infanterie d'infanterte : gradé sang-froid.i-aftaqu0(jli le 5 août 1918 en exécutant un ravitaillement grièvement le 14 août, au cours d'une recon- son courage et son taPDl're# qLleJ(jtlrj5011Jl¡£1 l'a rement distingué au cours, (luI priso^Prô en première ligne. naissance. Amputé d'une cuisse. '5 entrainant 18 août 1918, en JACQUOT (Sylvain-Léon-Joseph'), mie 7885, d trentaine avant, faisant (Pour prendre rang du 19 août 1918.) en une sergent (réserve) à la 4e compagnie du 25e baet prenant une taillon de chasseurs gradé d'un courage auBERTHELOT (Camille-Charles), mie 500, cadessus de tout éloge, qui s'est fait remarquer poral (réserve) à la 6e compagnie de mitrailMONIN (Félix dit 'ept, id consciCIlrait du compagnie par sa brillante conduite au feu, pendant les leuses du 369e rég. d'infanterie (réserve) à latête excellent ca7e deicliaqueilouvellient,aflit en de journée.? du 1er au 5 août 1918. A été griève- poral et de bravoure mopèle mitrailleur terie qui s'est distingué toutes dans ûau»,goû;d0 : ment blessé, le 5 août, tandis qu'il entraînait lesaffaires auxquelles le régiment à pris part, Toujours de chaqueau il 9 Toujours en sa demi-section en avant, pour arrêter une et notamment les 13 et 15 août 1918, où il a preuve d'un mépris total du violente contre-attaque allemande. Une cita- contribué à la conquête d'un objectif particu- des attaques des 18,19 et 20aoùt "es tion. lièrement important. A été grièvement blessé mis personnellement cinq prisonniers. combat et fait six antérieure. du combat. blessure Une au cours BOURGEOIS (Gaston-Camille), mie 8142, caquatre poral (active) à la 5° compagnie du 25e batail- Une citation. lon de chasseurs gradé très courageux qui LUIGI BELLIER (Pierre-Aimé), soldat (territorial) au CD» s'est fait remarquer par sa brillante conduite 950 rég. d'infanterie soldat d'un beau cou- serve) à la 19e compagnie du 8"reg., au feu, pendant les journées du 1er au 5 août rage et d'un grand dévouement. A été grave- de tirailleurs arrêtCLet 4as avancee 1918. A été grièvement blessé, le 5 août, tandis ment intoxiqué dans la nuit du 7 au 8 août d'une reconnaissance une nids qu'il entraînait sa section à l'assaut des posi- 1918, au cours d'un ravitaillement exécuté très difficile où la progression détruisantn^uf conduit opération tions ennemies. Une citation. à obus avec son bombardement violent par sous un gUjtc merveilleux, cran ypérite. un GIROUX (Eugène), sergent (réserve) à la permettant par et m itrailleuses ~c 5e compagnie du 20" bataillon de chasseurs à ayance. la (Pierre), mie 9872, soldat (active) à LEBAY nouvelle et réduction une sous-officier pied très courageux et d'un l^e compagnie du 248° rég. d'infanterie bon sang-froid remarquable. A été blessé griève- soldat, très courageux. A été grièvement blessé ment, le 15 juillet 1918, au moment où il dési- le 11 août 1918, en se portant à l'attaque d'une GUIVARCH (Yves), mie sous-officier ori»i gnait, comme objectif à ses chasseurs, une mitrailleuse qui gênait notre progression. Am- detirailleurs 2e dunaîtrai serve) à la 4e compagnie mitrailleuse ennemie. peux citations. puté du pied droit. Une blessure antérieure. pOSIltc0 de hors d'un-sang-froid audace et Positioo VESLARD (Eugène), mie 01778, caporal (réprendre du 20 août 1918.) (Pour hésité à porter ses pièces en rang de compagnie mitrailleuses à la du lro serve) flanc battre de d'attaque pour (Julien-Alphonse), mie maréHOUVET 06053, gradé d'infanterie et dé93e rég. courageux laquelle bataillona Deutr' devant fortement tenue chal logis rég. ennen rC5si<des 4e escadron du 6e de très grièvement le 15 août voué. A été blessé au P de comprgnie son une 1 1918, dans l'accomplissement d'une mission chasseurs, estafette à l'état-major d'une diviqui détruit les mitrailleuses m avait éjé confiée. Une blessure anté- sion d'infanterie bon et brave sous-officier, ou la de continuation la ainsi mis qui a toujours assuré avec courage et dévouerieure. blessures. Cinq Deux d'estafette. été grièvement ment service A 1\ (Francisque), mie f47',?fn\ (aC t PIGACIIE (Arthur), zouave (territorial) à la blessé son rl'e \d bombe d'avion, le 20 juillet 1918, par VIAL excel- dans l'exercice de ses fonctions. 7* compagnie du 3e bis rég. de zouaves des h jje rég. 3690 compagnie du la 18e lent soldat, dévoué et discipliné, d'un courage montre fait soldat qui cellent (Maurice-Georges-Henri-Marie), a DELORME à toute épreuve. A été blessé grièvement à son et de ou.®fiûUsu'1 de bravoure au moment, poste, le lor août 1918. Deux blessures anté- mie R. 1891, dentiste militaire (réserve) au qualités 20 combats du violents des août le 20 1918, marche de de zouaves 4* rég. rieures. Une citation. grièvement blessé essayaueIJt 8 bataillon médical d'attaque d'un personnel le tir de mitrailleuses, il (Pour prendre rang du 17 août 1918.) étant très réduit, a offert spontanément ses ser- lent fer fils de les à travers un bataillon qu'il seconda du médecin l'assaut. vices MARY(Pierre-Marie-Joseph), mie 22186, solau à l'sa eUt fCtlt porter allait qui section se très grièvement été atteint admirablement. A 8321sa ':1' dat (active) à la 13e compagnie du 355e rég. ml0 (détachereDt p'infanterie : excellent soldat, d'une belle atti- sur le champ de bataille en secourant les blesBADAILLAC (Louis-Antoine), tude au feu. A été blessé grièvement, le 5 août sés. Une citation. (active) au 8erég. du génie d infante 0e dIi portant à l'assaut. blessure 1918, en se Une d'une division anVALLETTE (Eugène), mie 015561, soldat (ter- graphique térieure. le 19 août 1918, de l'entretien d ritorial) à la C. H. R. du 95e rég. d'infanterie accomplissant MUGNEY (Louis), mlo 344G. maître pointeur soldat courageux et dévoué. A été gravement une zone très violemment de combat, le 8 août 1918, blessé grièvement en (réserve) à la 5e batterie du 62° rég. d'artillerie: intoxiqué à son poste excellent soldat, au front depuis le début de la au cours d'un violent bombardement. Deux cernent sa mission. i9i8'9¡9 antérieures. Une citation. blessures fait d'un toujours août preuve y a coucampagne {Louis-Victorin-Emile}, rég. Il() !) 22 du prendre (Pour rang A été grièrrge et d'une énergie exemplaires. DOUMENC (Jean-Philippe), mie 04755, soldat rég.tiIli' poste de combat, à blessé le vement son PÉTORIN (territorial) 202e rég. dinfanterie bon très depUP;t, au du lèy®1 10juillet 1918. Une citation. soldat mitrailleur, brave et plein d'entrain. A (réserve) à la 11° compagnie t à"t, fron sold au BOURSET (Alexandre), mie 03688, soldat (ré- été très grièvement blessé, le 16 août 1918, au fanterie : excellent a* saUtfailété moment où il mettait pièce la en batterie de début a du campagne; 85e rég. sa hors sous rang serve) à la compagnie à portant violent bombardement. 1918, août le 19 et dévoué. se en un A soldat courageux d'infanterie par défendue fortement position d'un travail grièvement cours au été blessé ja»* (Pour prendre du août 21 1918.) leuses. rang bombardement, violent adj. udao, qu'il effectuait sous un le 5 août 1918. PAGNY (Emile), mie 06775, adjudant (réserve) BRON (Dominique), mie 1943, eillcvc sa se''tiL, reg., 8e compagnie du à la l'attaque lui fait réaliser, majgre 2° compagnie du 10° rég. d'infanterie serve) à la 6" sous(Pour prendre rang du 18 août 1918.) officier très courageux et d'un sang-froid remar- de tirailleurs a brillamment dande. nOULÉ (Charles-Louis), mie 018748, sergent quable. Le 20 août 1918, a pris le commande- à progressif (réserve) à la 50 compagnie du 28e rég. d'in- ment de sa compagnie dans des conditions mitrailleuses ennemies et fanterie : très bon gradé, brave au feu. A été particulièrement difficiles et a rétabli la situa- hérissé d'obstacles, une grièvement blessé. le 18 août 1918, en se por- tion compromise. S'est emparé ensuite d'une mètres, faisant une vingtaine de *J ,¡\JJ)ft ennemie de l'assaut mitrailleuse et citations: d'une position ennemie fortetant à ses servants, per- Trois ment défendue. Deux blessures antérieures. mettant ainsi de continuer notre progression. TERAA BOU BEN AMOR Deux blessures. Deux citations. XJne citation. tirailleurs a la IT ifous-0*hie#' mie 430, sergent (active) go* LELANDAIS (Louis-Auguste), mie 015849 B., NIAUDOT (Louis), mie 02304, soldat (réserve) 86 rég, de marche de énergiquement ntrai,î? bravouree„utoi soldat (territorial) à la 6e compagnie du 28e rég. à la 7° compagnie du 10e rég. d'infanterie soldat d'un entrain et d'une GOgi,à d'infanterie excellent soldat, ayant toujours d'une intrépide bravoure, toujours en tête de Le 20 août 1918, a et qui s'est dis- ses camarades, les entraînant par son courage hommes à l'assaut de positions eu une superbe attitudeetau feu au blesse grièvement août été attafendues. A et son ardeur.Au cours de l'attaque du 18 tingué par son courage son énergie aux ques des 10, et 12 août 1918. A été griève- 1918, a, fait sept prisoil4iarg dont un officier.. A

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mIe 013, iià la ra'll™rs "'ai'cheHp/t'? Compagnie hors rang »t' ,UI, malgréSGn brancarilu Ira Cu"Une m niervolontaire. fige a demande à 1i-n <Itit,A-m<5tl«cins ,,J'*dees i0.utes les

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s'est brillamment des 15 et 16 juillet, au de la plus preuve plus profond mépris du

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de combat sur leurs pièces. Une blessure. Trois citations. HARDY (Camille), mle 016957, adjudant (réserve) à la ire compagnie du 1er bataillon de tirailleurs somalis sous-officier mitrailleur d'élite. Le 20 août 1918, a vigoureusement entraîné sa section à l'attaque. La compagnie qu'il était chargé d'appuyer s'étant trouvée, par suite de sa progression rapide complètement isolée, s'est porté audacieusement sur le flanc découvert, lui permettant ainsi de résister pendant plusieurs heures jusqu'au moment où l'intervention de nouveaux éléments eût entraîné la chute de la position ennemie. Une blessure. Deux citations. BEAUVAIS (Fernand-Joseph), mle R. 6, sergent (réserve) à la 18e compagnie du 4e rég. de marche de zouaves sous-officier d'un courage exceptionnel. Commandant une patrouille de pointe dans un terrain boisé, s'est trouvé brusquement en face d'un nid de mitrailleuses L'a résolument attaqué à la grenade, mettant deux servants hors de combat et contraignant les autres à la fuite. Deux blessures. Unecitation. BARBIN (Auguste-Francois-Marie), mle 08567, zouave (réserve) à la 9e compagnie du 4e rég. de marche de zouaves d'un dévouezouave ment et d'un courage à toute épreuve. Le 20 août 1918, s'est élancé avec crânerie sur une barricade occupée par des mitrailleurs ennemis qu'il a contraint à la fuite. Une blessure. Six citations. DILLENSEGER (Paul-Ernest), mle 84, caporal (active) à la 17e compagnie du 4e rég. de marche de zouaves gradé d'une bravoure exemplaire. Le 21 août 1918, malgré la présence de l'ennemi, a traversé une rivière à la nage à la tête d'une patrouille a mis personnellement deux Allemands hors de combat, puis, continuant la progression, a repris le contact avec l'adversaire et rapporté des renseignements précieux sur les points qu'il occupait. Trois blessures. Une citation. TOITOT(Marcel-Julien-Victor), mie 029342, zouave (active) à la 18e compagnie du 4e rég. de marche de zouaves brancardier d'un dévouement et d'un courage au-dessus de tout éloge. A été grièvement atteint, le 21 août 1918, alors que, sous un violent bombardement, il portait secours à un blessé. Trois citations. IIAMEL (Fernand), mie Rt 479, soldat (active) à la 10e compagnie du 42e rég. d'infanterie très bon soldat. A été grièvement blessé, le 18 juillet 1918, en se portant vaillamment à l'attaque des lignes ennemies.

;

(Pour prendre rang du 24 août 1918.) de section demi- LEROUX (Gustave-Arsène), mie 1555, soldat à A été gravement le 13e compagnie du 327e rég. d'infanterie exlt' |f,>K\ son poste de com- cellent soldat, ayant toujours eu une très belle feu. été attitude blessé grièvement à A au ,J¡': Il'"rIe(h ond),canonnier l'attaque du 18 août 1918. Une blessure antéVII'i: cOUa;15oréR' (active) à la rieure. citation. Une ¡,1,é«ftf ¡¡ir été d'artillerie ..SrièvSeniAf* undévouementtéléphoexemIVN.Ors 'V ^WPro» 11Dardement MARCIAUX (Ernest-Léonce), mle Rt 842, solblessé, le 15 juillet dat (active) à la 1ge compagnie du 208° rég. à la réparation des d'infanterie soldat d'une bravoure magnifique, t", 1IVe) violent. Une ci- toujours volontaire pour les missions les plus Anto. ( périlleuses. Au cours d'une attaque, des mitrailleuses ennemies arrêtant la progression de 0199, soldat (réété|!^fanterie Se[JOtar (t, sa compagnie, a réuni quelques camarades et ¡ très bon et les 11¡je, a, par son exemple, entraînés sous un feu blessé le 17 août violent, "àl'attaque d'une pièce dont il a mis d'une position en- les servants hors de combat. Grâce à son iniUril tiative courageuse, a permis le mouvement en n di e avant de son unité et la capture de dix priran8 du 23 août i9i8) sonniers. Une citation. ':"iiiqtl,Ornpagnre), soldat (active) LEROGNON (André-Albert), mle 4760, tirailmarquahi0Té8leur (active) au 4* rég. mixte de zouaves-tirailSang-froid. "Ht(!Qarî^hersur Au cours leurs (ir. compagnie du 8e rég. de tirailleurs) : détaché de sa très brave tirailleur. Le 21 août 1918, étant de 'I|;um une (Je laagnie. mitrailleuse qui surveillance sur la rive gauche d'une rivière et ajusté l"; V,e? irisonni comnn Parun Ut6 4Ht apercevant des mitrailleurs ennemis, a tradeux Allemands, ra- versé la rivière à la nage, a engagé la lutte et et la mitrailIeuse. Una réussi à ramener sept prisonniers et une mitrailleuse. ¡Iill¡) ilglliedtnle121,adjudant à la BRIANSOULET (Joseph-Léon-Gustave), mle er bataillon de(active) tirailleurs 2008, sergent (réserve) au 48 rég. mixte de es iraille ve et dévoué, exer- zouaves-tirailleurs (21e compagnie du 8e rég. de 20 grand ascendant. tirailleurs) : sous-officier merveilleux de sangtôte,i-^ août 1918, voyant froid et d'audace. Chargé d'effectuer une paPar desmitrailleuses, trouille de reconnaissance dans les lignes enporté nemies, s'est acquitté de sa mission d'une fa1oia Servelits ennemis hors parfaite. Ayant pénétré 4ans la tranchée alle-

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mande, s'est trouvé en face d'un CTo;inn ennemi, a abattu d'un coup de pistoletl"orlicier qui commandait ce groupe et a pu rapporter des renseignements utiles pour l'atlilllw. Deux: blessures, Deux citations. MOSBAH BENABDALLAH BEN AMARA.mle 23727, tirailleur (active) au 4° rég. mixte do zouaves-tirailleurs (23e compagnie du 8e rég. de tirailleurs): jeune tirailleur, d'une bravoure exceptionnelle. Le 18-août 1918, détaché comme patrouilleur en avant de la section, arrêté au cours dela progression par feu d'une mitrailleuse ennemie, s'est porté seul en avant réduisant à coups de grenades la mitrailleuse au silence et la capturant, ainsi que trois Allemands. TRINQUIER (Henri-Gabricl-Pilulip), mIe 8555 sergent (réserve) au 4e rég. mixte de zouavestirailleurs, 7e compagnie de mitrailleuses com: battant d'une bravoure éprouvée, qui s'estbrillamment comporté au cours des affairesdu18et du 20 août 1918. S'est résolument porté, avec sa section de mitrailleuses, parmi la vague section d'assaut, d'infanterie, capturant, avec le concours d'une trentaine de prisonune niers et faisant subir à l'ennemi ries pertes importantes. Une blessure. Deux citations. CHABOTHIER(Gustave-Paul), mie 1918, caporal (réserve) à la 9e compagnie du 164e rég. dinfanterie excellent gradé.A été grièvement blessé, le 21 juillet1918, en se portant avec un élan magnifique à l'attaque d'un village solidement tenu par l'ennemi. Une citation. (Pour prendre rang du 25 août 1918.) OSTERTAG (Henri-Charles-Emile), mle 05HIJ., soldat (réserve) à la 9e compagnie du 127e rég. d'infanterie excellent soldat. Le 24 août 1918. est parti bravement à l'attaque d'un fortin vigoureusement défendu et a été grièvement blessé en arrivant sur l'objectif assigné. Deux blessures antérieures. BONDEUX (Louis), mle 7657, soldat (réserve) à la 2e compagnie du 10e rég. d'infanterie bon soldat, qui s'est toujours fait remarquer par son courage et sa belle attitude au feu. A été gravement intoxiqué le 9 août 1918. Une citation. AMET (Charles-Louis), mie Rt 982, zouave (réserve) à la compagnie hors rang du 4° rég. de marche de zouaves agent de liaison plein de courage et de dévouement. S'est faitremarquer en maintes circonstances par son entrain et son mépris du danger. A été blessé très grièvement, le 24 août 1918, dans l'exécution d'une mission sous un violent bombardement. Une blessure antérieure. Cinq citations. LAPEYRE (Gabriel-François), mle 8503. sapeur mineur (active) à la 20 compagnie du 19° bataillon du génie sapeur courageux et dévoué. A été blessé grièvement, le 24 août 1918 au cours de la construction de passerelles. FERHANI BEN MOHAMED CIIALGOUN, mle 2395, caporal (active) au 4e rég. mixte du zouaves-tirailleurs (2S compagnie du 8e rég, de tiraillèurs) excellent gradé, plein d'audace et de sang-froid. S'est particulièrement fait remarquer au cours de la progression du 20 août 1918, engageant le combat avec un groupe de mitrailleuses ennemies, réussissant à ramener deux prisonniers et une mitrailleuse. Trois citations. (Pour prendre rang du 26 août 1918.) caporal BUSSOLIN (Charles-Joseph-Marcel), d'infan(active) à la 6° compagnie du 110° rég. terie : caporal fusilier mitrailleur d'une audace remarquable, faisant l'admiration de tous par son courage. Le 25 août, au cours d'un contreattaque ennemie, a mis son arme en batterie à quelques mètres des Allemands, et par son tir précis et nourri, a contribué largement à enrayer la contre-attaque. Bien que blessé à. deux reprises, a refusé de se laisser évacuer. WAUQUIER (Jules-Auguste), mie 6023, soldat de lr0 classe (réserve) à la 1re compagnie du 110e rég. d'infanterie agent de liaison d'un allant superbe, faisant l'admi ation de ses camarades par son audace et sa bravoure. Lors de l'attaque du 25 août 1918, le brouillard et la fumée empêchant de distinguer les mouvements de 1 ennemi, est parti seul en reconnaissance malgré le bombardement et a fait ouvrir le feu, permettant ainsi d'enrayer l'attaque allemande. Dans la soirée,est reparti en,

patrouille et citations.

a ra

ené deux prisonniers. Deux

DEVEYL- el),inie013034,adjudant (ré-

de l'opération et a capturé une pièce ennemie et ses servants. Deux blessures. Trois citations.

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Amputation du bras gaucne. uuv térieure.

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(Pour prendre rang du 14 septembre 1918.) du compagnie * cra^a^nie du 172e rég. d'infante38 (réserve) à la tf à la serve) été A orh8DCuS soldat. section ferie excellent HOUÉZEG (Thomas-Désiré-Marie), rie : excellent chef desection, énergique et : mie LE brave, s'est distingué dans maints combats. Le 210/13716. soldat (réserve) au 3° rég. dinfante- ment, le 20 juillet 1918, en se août 1918, arrêté par plusieurs mitrailleuses, rie coloniale (détaché au 103e rég dinfanterie) : rageusement, avec sa cuisse9ae s'est porté en avant, a mis lui-même hors de brancardier plein d'entrain et de courage. village. Amputé de la citation. adlU' L. combat une partie des servants, obligeant les Grièvement atteint en se portant en avant sures antérieures. Une dilIljelg s'est à pour relever ses camarades tombés, a fait dant(territorial)àla5-COrDP-l,' co^Rfograo**1' autres à s'enfuir. Dans l'après-midi,hommes, DUBOIS d V,horortiosM i6 nouveau porté en avant avec ses malgré la gravité de sa blessure, d'une dant (territorial) à la 5e preuve, malgré un violent feu de mitrailleuses, don- énergie et d'une abnégation au-dessus de tout raillaet 5 juin l-1 gnen'Lmujdiilt sous-officier d'infanterie nant à tous un magnifique exemple de calme él06e Une citation. entraîneur voure, véritablecontre-attaque, et de mépris du danger. Deux blessures. Deux COGNARD (Léon), mie 366j, soldat (réserve) blessé grièvement, le citations. section à la à la 98 compagnie du 104e rég.dinfanterie sa raIlgbrr joj DELANGE (Louis-Albert), mie 6061, sergent bon soldat, très brave. A été grièvement blessé l'avant-bras droit. Une citation. ,I\ compagniedierd'tlne pleiD jjjjg (réserve) à la 2e compagnie du 25° bataillon de à son poste de combat, le 24 mai 1918, au (André-François), MÉNÉTRET sous-officier d'élite, d'une bravoure mont Kemmel. Perte de la vision de l'œil chasseurs entédl dat (réserve) à la légendaire. Le 20 août 1918, a magnifiquement droit. brancar jUlfi.tnsp'or,sdl 71e rég. d'infanterie : entraîné sa demi-section à l'assaut, chassant GACIIADOAT(Paul), mie 12226, caporal (ac- voure exemplaire. Le 5 viojinte,sral l'ennemi de la position et permettant ainsi la progression de la compagnie. Le 24, progres- tive) à la 1"compagnie du Oie rég. d'infante- champ de bataille, après de bjessé très bon gradé, énergique, actif, dévoué nombreux blessés sous sant sous les obus et les grenades, ca installé rie grièvement grièvement grièvement très et brave. A éti blessé à vant à sonposte de été mitrailleuses, LEFEBVRE (Arthur), miellCji. (actif6 l'accompaobservatoire le chasseur qni son a un gnait ayant été très grièvement atteint, l'a poste de combat, le 23 mai 1918. Enucléation ramenédans nos lignes après avoir rempli sa de l'œil gauche. mission. Deux citations. dera\!IlD. BERARD (Jean-Marie), mie 7566, caporal à la 6e compagnie du 71, été A dévoué. (active) la à 2e compagnie du 44° rég. d'in- et brave soldat très (Pour prendre rang du 27 août 1918.) la fanterie : excellent gradé, modèle d'entrain et vement, le 30 avril1917, au PUCIIOUAU (Frédéric-Jean-Marie),mle875,solde courage. Le 16 avril 1917, a brillamment endu Mont Cornillet. Amputation fXnWjO rtfsiFfi dat (active) àla 11e compagnie du 110° rég. d'in- levé son escouade à l'assaut des tranchées droite. Une blessure antérieure fanterie a fait preuve d'une audace merveil- allemandes. A été grièvement blessé au mo12315, mie (Pierre), MENIEU to L# leuse, en s'avançant avec un de ses camara- ment où il organisait la position conquise. la 11e compagnie du 123e reg. a oot au fOjr5 Il des dans une tranchée fortement occupée par Amputé de la jambe gauche. Une blessure an- dat l'attitude dont courageux l'ennemi. Attaqué à la grenade par un groupe térieure. Deux citations. 19][81 grièye juin Le 1er été exemplaire. r é d'Allemands, s'est précipité sur eux et les a LESTIEVANT (Marie-Augusta-Frédéric), mie reconnaissance périlleuse, a , obligés à se rendre. A ramené ensuite à lui seul 014135, gauche. fljs).^ à soldat (territorial) la 3e compagnie de blessé. Amputé du bras 's) huit prisonniers. d'infanterie,Olei VANOVERSCHELDE(Félie-Dé,irémitrailleuses du 4ie rég. d'infanterie: agent DIDIER (René), mie 29923, tirailleur (active) à de liaison d'un dévouement absolu et d'un rema:aiis )i0 Pf meprl affaires cO rég. dat (active) 123' été au la C. II. R. du 13e rég. de marche de tirailleurs courage hdrs de pair. Le 16 avril 1917, a (4e bataillon du 9e rég. de tirailleurs) : excel- grièvement blessé en accomplissant son ser- Rt: grenadier d'élite, nt nUdl' son lent soldat, qui a donné maintes fois des preu- vice de liaison sous un bombardement d'une énergie, son entrain ettoutes leS notamIll?ril i91Sepl dt distingué dans S'est été Amputé la jambe gauche. énergie. de et violence inouïe. de de A son ves son courage grièfC et citation. part il pris quelles a grièvement blessé, le 20 août 1918, en accom- Une le d'une périlleuse, patrouille plissant sa mission d'agent de liaison sous un SAULET (Eléonor-François-Flavien),mie 4276, vant Noyon, (Paul-Ferdinand-Lpuis^g laquelle n pendant bombardement des plus violents. Une blessure soldat rai'yj d'infanterie (territorial) à la 115 compagnie du blessé. antérieure. Une citation. le excellent soldat très crâne 60* rég.d,!utq\Jld'lr CARPENTIER (Ilenri-Joéel), mie 4176, chas- au feu. A été grièvement blessé le 31 août 1917, PILLEUX s' àdeson poste de combat à la côte 344. Amputé caporal (active) à la seur de ire classe (réserve) à la 3e compagnie merVelU cours (II' d'élite, gradé 1238 rég. d'infanterie de l'avant-bras droit. du 25e bataillon de chasseurs: chasseur p3 jeM et d'un sang-froid 1918, le 1110 animé du plus bel esprit de sacrifice et d'un voure MURAT (Marcel-Auguste-Joseph), mie 15607, fait le 30 avril grand courage, toujours volontaire pour les caporal remarquer, (active) fourrier à la 58 compagnie du violente attaque allemande missions périlleuses. Les 24 et 25 août 1918, 60e rég. d'infanterie du naud. Grièvement blessé, tod' s'est de nouveau distingué par sa belle atti- 16 avril 1917, assuré au cours du combat a avec un courage et un sement, a continué de se tude. Faisant les fonctions de brancardier, a sang-froid remarquables, la des sement de ses forces et n'a ..tA,I, compagnie la blessés de ramené tous les sous ordres dans des circonstancestransmission wvhefs. difficiles. Aété évacuer que sur l'ordre de ses est allé août, 25 violents. plus Le des feu un blessé grièvement au cours d'une mission l'œil droit. chercher un blessé au milieu des lignes enne- alors que le régiment "e mUr3eî enlevait la deuxième atteint lui-même, a refusé de se laisser position -ennemie mies mie Clessé8rd la voie ferrée de (Auguste), Reims à DUBOUILH sur évacuer. Deux citations. (territorial) à la 3° compagnie Laon. Amputé de la cuisse gauche. ROUCOLLE (Germain-Joseph), mie 13875, soldu 144° rég. d'infanterie: exc!31Á GIRARD (René-Louis), mie 03042, adjudant brave et plein d'entrain.compatg: A dat (active) à la 6° compagnie du 858 rég. d'inde rl fanterie : soldat discipliné et brave. A été (territorial) à la lre compagnie du 44e rég. d'in- ment, le 5 mai 1917, au cours gravement intoxiqué à son poste de combat, fanterie: sous-officier plein de zèle et de dé- ment au moment où la , vouement, chef de section remarquable par tf le 18 août 1918. position de combat. Ampute la (réldSI son courage, son extrême conscience du devoir gauche. (Pour prendre rang du 29 août 1918.) et l'ascendant exercé sur ses hommes dans les jerp5s^,l artt fol® AULIBE (Paul), mie 06380, circonstances difficiles, été A grièvement blessé dd al'aCnt 1olJlp'l1 $6, MOHAMED SALAH BEN AMARA EL AKIMI, à blputr batterie rég. rég, à la 6° poste de combat du 14® 14° le la 10 mai 1918, 60 son au mont toujours mie 24254, tirailleur (active) au 4* rég. mixte Kemmel. méritant, ayant très AOIP grièvebat. de zouaves-tiraillenrs (25e compagnie du 8erég. V* devoir. été ment A son GAUTHEY (Léon-Xavier), mie 3186, caporal 29 de tirailleurs) jeune tirailleur Drave et décou de poste à 1918, son mars fn~'!'' voué. S'est brillamment comporté pendant les (territorial) à la 108 compagnie du 44e rég. d'in- tion de la jambe gauche. sWfe dernières opérations et a été grièvement blessé fanterie gradé d'une conduite exemplaire, ayant toujours fait preuve de courage et d'enRITTIG (Alexis), mie 11472, 4°l'e'tc%c le 21 août au cours de la progression. coO zjU', dezouaves sous-ofifcier iJr du o e»t2 train. A été grièvement blessé le 21 juillet de zouaves: à la 15° compagnie compagniebrav£ serve) éneri& nfli] 1918, à son poste de combat. Amputé du bras (Pour prendre rang du31 août 1918.) des combats gauche. des Au cieux. coursauxattaquesreonotf^eii» REBARDY (Jean-François-Michel), adjudant 1918, a défendu avec une mitrailleuses du LABADIE de (Henri-IIubet), mie 1020, soldat nelle une position qui lui (active) à la lre compagnie sous-offi- (active) terie à la 2e compagnie du 60e règ. d'infan- était 4e rég. mixte de zouaves-tirailleurs tutte en ucbe. pc brave et et hardi soldat. A été très griève- l'ennemi. Adonné ac tivit cier chef de section d'une crâne bravoure : d'un beau sang-froid. Le 20 août 1918, a conduit ment blessé, le 16 avril 1917, au fort de Bri- troupe par son courage et son mont, en attaquant de fortes organisations santé. A été grièvement blessé ses pièces au combat avec une belle maîtrise, contribuant habilement à la réduction des ennemies. Amputation des deux jambes et combat. Amputé de la jambe gau ~fn~M griècnucléation de l'œil droit. centres de résistance ennemis. A été très c'il,l" tations. vement blessé au cours de l'action. Une bleslis, tl"! '1ôrna^VV bataillo^n (Prudent-Eugène), RENAULT mie 13983, serantérieure. DJAMA ROBLEn, mie 25380, Une citation. sure gent (réserve) à la 108 compagnie du 718 rég. classe (réserve) au 1er mitran1llftr®rtlip.t, d'infanterie très bon sous-officier, d'une re- pagnio de mitrailleuses (Pour prendre rang du 1er septembre 1918.) marquable bravoure au feu. A été blessé griè- au feu. A servi sabombardeme" aveC trèSDr> pièce BRACHET" (Marius), mie 2201, sergent (ré- vement à son poste de combat, le 27 mai 1918. sang-froid, sous un serve) au 28 bataillon de chasseurs alpins, Amputé de la cuisse droite. Une citation. 3 AmP, le été grièvement, blessé A compagnie de mitrailleuses sous-officier auvaillamment devoir. sant COSSON son d'un tout éloge, (Pierre), mte 14243, soldat (réserve) 'droit. dessus de courage et d'un enoI1I1iefer sogil alld remarquables. absolument l'attaque A à la 7° compagnie du 71e rég. d'infanterie: soltrain FÉVRE(Valentin), mie du 8 août 1918, s'est élancé à la tête de sa sec- dat d'un courage toute épreuve, zélé et distion, en entraînant magnifiquement ses chas- cipliné. Aétéblessé grièvement, le 30 avril serve) à la 5° batterie du 328 régseurs. A assuré avec ses mitrailleuses le succès 1917, au cours de l'attaque du Mont Cornillet excellent soldat, modèle de eo~~

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(territorial) à la 158 compagnie du 324* rég. d'infanterie brave soldat, ayant toujours fait preuve de dévouement. A été grièvement blessé, le 21 juin 1918 à son poste de combat. Amputé du bras droit. FLORENCE (Jean), mie 416, soldat (active) à la 6e compagnie du 418e rég, d'infanterie très et dévoué. Le 15 juin bon s'est 1918, soldat, élancé courageux àl'attaque avec le plus magnifique entrain et a été très grièvement blessé. Enucléation de l'œil droit. LATAPPY (André), mie 11295, caporal (réserve) à la lre compagnie du 164e rég. d'infanterie excellent gradé, réputé pour son courage, volontaire pour toutes les missions périlleuses. A été grièvement blessé le 31 mai 1918, à son poste de combat, au mont RenaudAmputé de la cuisse gauche. Une blessure antérieure. MERCIIEZ (Albert), mie 15300, soldat (active) à la 9e compagnie du 418e rég. d'infanterie excellent soldat, d'une bravoure exceptionnelle. A été grièvement blessé le 18 juillet 1918 en s'élançant à l'attaque avec la plus belle vaillance. Amputé du bras droit. POULARD (Paul), mie 0769, soldat (réserve) à la 3e compagnie du 172° rég. d'infanterie excellent soldat, modèle de bravoure, Le 5 avril cillent 1918, s'est porté à l'attaque avec un allant admirable, sous un violent feu do mitrailleuses, s'est emparé d'uue pièce allemande et a été grièvement blessé en la retournant contre l'adversaire. Une blessure antérieure. Une citation.

(Pour prendre rang du 15 septembre 1918.) MUNERELLE (Gaston), mie 6692, soldat (réserve) à la 2e compagnie de mitrailleuses du brave soldat, avant fait 120e rég. d'infanterie vaillamment son devoir. A été blessé grièvement, le 2 juin 1918, au cours d'une attaque en assurant son service d'agent de liaison. Enucléation de l'œil gauche. Une citation. MONNIER (Léon), mie 10970, soldat (active) à la 11e compagnie du 120° rég. d'infanterie bon soldat ayant fait vaillamment son devoir. A été blessé grièvement le 2 mai 1915, à Haudiomont, au cours d'un bombardement. MONTMORIL (Eugène), mie 016631 Bn, soldat de lre classe (réserve) à la 12e compagnie du brave soldat ayant tou120e rég.d'infanterie jours fait vaillamment son devoir. A été grièvement blessé, le 31 mai 1918, à son poste de combat. Amputé de la cuisse gauche. Deux citations. MERLIN (Lucien), mie 03514 bis, soldat (réserve) à la 29 compagnie du 120e rég. 'd'infanterie : brave soldat ayant fait vaillamment son devoir. A été blessé grièvement, le 29 mai 1918, en se portant à l'attaque. Amputé de la jambe gauche. BAC (Marcel-Jean-Cornil), mie 7948, sergent (réserve) à la 126 compagnie du 1206 rég. d'infanterie : sous-officier énergique, ayant toujours fait vaillamment son devoir. A été blessé grièvement à son poste de combat, le 2 juin i918, à Neuilly-Saint-Front. Amputé du pied gauche. Deux blessures antérieures. Une citation. PERICIIET (Elie-Adolphe), tirailleur (réserve) à la 2e compagnie du 51e bataillon de tirailleurs mie 1347 très bon et brave soldat. sénégalais, A été grièvement blessé à son poste de combat, le 23 juillet 1918. Une blessure antérieure. NOLLET (Pierre-Fidèle), soldat (réserve) à la il* compagnie du 46* reg. d'infanterie soldat couragoux et plein d'entrain, ayant assuré volontairement, le 4 août 1918, sous un violent bombardement, le ravitaillement de ses camarades. A été grièvement blessé en accomplissant sa mission. LE FRANÇOIS (Louis), mie 2592, adjudant (réserve) à la llt compagnie du 46* rég. d'infanterie : chef de section énergique et brave. Le24Juillet 1918, a entraîné sa section à l'attaque avac beaucoup de sang-froid. Au cours de la progression, accueilli par des feux violents de mitrailleuses, a réussi à faire tomber la résistance en capturant une pièce ennemie. A été blessé grièvement peu après en poursuivant l'ennemi en fuite. Amputé de la jambe droite. Deux blessures antérieures. Deux citations.

mie 17335, tirailleur (active) à la ire compagnie du 34e bataillon de tirailleurs sénégalais: brave tirailleur qui a toujours fait vaillamment son devoir. A été blessé à son poste de combat, le 26 juillet 118,1 Amputé do l'avant-bras gauche. PONCET (Marcel), mie 12899, soldat (active) à la 10e compagnie du 89e rég. d'infanterie: agent de liaison d'une très grande bravoure. A été grièvement blessé, le 25 mars 1\518, en faisant courageusement son devoir. Amputé du bras KARA CHAnI,

gauche.

chasseur (active) à la lre compagnie de mitrailleuses du 21° bataillon de chasseurs à pied: chasseur d'une bravoure exceptionnelle. Le 23 octobre 1917, s'est porté vaillamment à l'attaque d'un abri occupé par l'ennemi et devant lequel un officier venait d'être blessé. A été lui-même gravement atteint. MAZEL1ER (Lucien), mie Rt 1862, caporal (active) à la 5e compagnie du 21° bataillon dei, gradé modèle, réputé pour son chasseurs entrain, son énergie et sa bravoure. Le 23 octobre 1917, à l'attaque du plateau de Vaudesson, s'est signalé en marchant constamment en avant de la première vague, réduisant les centres de résistance à coups de grenades, continuant à combattre quoique blessé, entrant un des premiers dans la position ennemie, luttant au corps à corps avec des mitrailleurs et n'abandonnant la lutte qu'atteint par grave blessure. Une une balle qui lui fit une citation. blessure antérieure. Une BERNE (Jean-Claude), sergent (réserve) à la MAURICE (Aristide-Emile), mie 5899,

compagnie du 520 rég. d'infanterie excellent sous-officier qui s'est signalé par son courage et son sang-froid au cours des opérations, des 27-28 juillet 1918. A été blessé au cours d'une contre-attaque. Amputé de la cuisse gauche. Deux blessures antérieures. Une cita2e

tion.

LE GALL (Jean-Olive-Marie), soldat (active) à

la 3e compagnie du 52ederég. d'infanterie très bon soldat, admirable courage et d'entrain. S'est fait remarquer au cours de l'attaque, du 27 juillet 1918, et les jours suivants par son endurance et son mépris du danger. Malgré un bombardement très violent, est resté à son poste, surveillant les mouvements de l'ennemi. A été grièvement blessé, le 29 juillet 1918. MARIGNANE (Alphonse), mie Rt 1513, canonnifer (active) à la pe batterie du 28 rég. d'artiltrès bon soldat courageux lerie de campagne et dévoué.A été blessé grièvement le 23 juillet 1918 à son poste de combat, dans l'accomplissement de son devoir. Amputé du bras gauche. DARRAS (Léon), mie 12030, soldat (réserve) à la lre compagnie du 140* rég. d'infanterie très bon soldat, courageux et dévoué, d'une belle attitude au feu. A été grièvement blessé à son poste de combat, le 18 juillet 1918. Amputation de la cuisse droite. FRANCIIET (François-Joseph), mie Oi979, canonnier conducteur (réserve) au 1er groupa du 2° rég. d'artillerie de campagne bon soldat, courageux et dévoué. A été grièvement blessé à son poste de combat, le 21 mai 1918, au cours d'un violent bombardement. Amputé de lai jambe gauche. FRANÇOIS (Pierre), mie 018516, sergent (réserve) à la 3* compagnie de mitrailleuses du sous-officier très brave 33e reg. d'infanterie ses et d'un grand sang-froid, bel exemple pour hommes. A été grièvement blessé en entraînant sa section à l'attaque, le 31 mai 1918. Amputation du bras gauche. PELLOIS (Auguste-Marie), mieod*£ premier batterie du canonnier servant (réserve) à lad218 207e rég. d'artillerie: canonnier une bravouro et d'uu dévouement au-dessus de tout éloge, faisant l'admiration de. tous ses camarades. Grièvement blessé le 13 août 1918, en accomplissant son service d'agent de liaison, a fait preuve en cette circonstance d'un sang-froid et d'une énergie admirables. Une blessure antérieure. Quatre citations. BRACQ (Désiré), mie 01811 bis, caporal (réserve) au 68* bataillon de chasseurs alpins gradé d'une énergie rare, modèle de courage et de sang-froid, volontaire pour toutes les missions périlleuses. Au cours du combat du 8 août 1918, a réduit un nid demitrailleuses, et a atteint son objectif. Quoique blessé, est resté à

8* • «wd»1 A gauche. agnied«Jtjjj

flrcident iJ chée de première ligne pour contrebattre une terie : excellent s01?41^ dévoué. A été blessé mitrailleuseennemie. i 15 avril 1918, à Gourcy. (Pour prendre rang du 12 avril 1917.) LEMEUR Rt ) J" s0ldaW (Jean-MariecornP^ GERMÀIN (Vincent), mie 3375, soldat (réserve) r ,trèsbollsoidât, j bis à la 6e compagnie du tOie rég. d'infanterie: (R.A.T.) à la 8e étéhiève^Hé. v~ soldat dévoué et brave. A été grièvement blessé d'infanterie territoriale et travailleur. A par accident, le 22 novembre 1915, au Laby- pliné le rinthe, à son poste de sentinelle avancée. 19 mars 1918, en chasst, WIe batail droit. Amputé de la jambe gauche. cléation de l'œil 0 76 o Milo (Gaston-Achille), bs FJGÈRE 2(y (Pour prendre rang du 21 août 1917.) du compagnie la rS d'U& e (active) à 23e j' TIIERIBOUT(Arsène-André-Georges),mle54CO, chasseurs bon chasseur. sq ld"t (gel,i maître pointeur (réserve) à la 4e batterie du blessé, le 5 mai 1917, au cours (aCjjj ] 11e rég. d'artillerie: excellent soldat, d'un dé- de lancement de grenades. d,lrl farlterie vouement absolu, qui s'est distingué à Verdun mie Rt 380, (Aime), ALBAN été très grièvement A et mai 1916. avril 20 al l'attaquco en 42 re^ compagnie du blessé en service commandé, le 7 juillet 1916. la 10e dat brave et por cron Cécité. blessé par accident, le (Pour prendre rang du 7 mars 1918.) où il se préparait à se GUERET (Viçtor-Bernard-Arsèhe), mie 12534 lignes allemandes. 52Í, deail1Cun-I tirajltJ' bis, caporal (réserve), à la 9e compagnie du gaucne. 34e batal¡oùjOurSéeJII mie bon gradé courageux et 113erég. d'infanterie TIEDOU KONATE. du ayan. le9ddUr dévoué. A été très grièvement blessé au cours à la 4 compagniesoldat, d'un travail effectué en première ligne, le sénégalais bon 17 juillet 1917. Enucléation de l'œil gauche. devoir. A été gravement Une blessure antérieure. oralJtal: 1917, à son poste de gauche. des cap (Pour prende rang du 28 mars 1918.) 1ft ,) grl LEYNIER (Antoine), mie 3"6éCutaO ès BOUCHEPILLON (Prosper), mie 1296, soldat torial) à la 18e compagnie du (réserve) à la 3ie compagnie du 115e rég. d'in- terie brave soldat. A été soldat. A été très grièfanterie bon brave et : le 31 octobre blessé, tations. vement blessé le 14 août 1916, au cours d'un vauxdanslesvision tranchées Les promotions et les nominations ci-dessus exercice de lancement de grenades. Cécité. Perte solaa, nl Comportent l'attribution de la Croix de guerre nrJ mie co~~ (Edouard), mai du 13 1918.) HÉRISSON (Ponr prendre rang avec palme. la bOotlrS à très (réserve) lre classe CHEDEPEAU (Gustave-Lucien), mie 18596 B, 117e rég. d'infanterie tOtlJétégrlet51, , Paris, le 4 janvier 1919. soldat (R. A. T.) à la 2e compagnie de mitrail- tière satisfaction à ses ayant chef 105JlItatiOO LOUIS NAIL. tiÔresatisfaction à ses chers. discipliné, et dévoué leuses du 327e rég. d'infanterie bon soldat, *>——————— très courageux. A été grièvement blessé par blessé à son poste de é grendC, _nfi accident, le 21 juillet 1916, au cours d'un ravid'une l'explosition par jambe justice, do ministre de la taillement Amputé la munitions. Le garde des sceaux, en ravant-bras droit. Une tninistre de la guerre par intérim, droite. Une citation. fu îe décret du 13 août 1914, DELEMER (Augustin), mie griadé' gri^èvje Ln{ gra^ (Pour prendre rang du 6 août 1918.) compagnie tive) à la2e Arrête CAZADE (Ferdinand), mie 12462 A, canonnier 169e rég. étédirigea^ le danger. Aen Article uniqtl. — Sont inscrits aux tableaux servant (active) à la 28 batterie du 276e rég. sant cours poste de d'une contre-att 0 spéciaux de la Légion d'honneur et de la mé- d'artillerie jeune soldat, venu au front sur sa au gfl cours d'une demande, brave et dévoué. au été dont A blessé les noms très daille militaire,les militaires grièvement en service commandé, le 1er août 26 novembre 1917, à suivent : ig6ô.'e' droit. l'œil de 1918. lamceuent de(1 LÉGIOND'HONNEUR (Pour prendre rang du 9 août 1918.) PELLET JAMBAS (Louis), a 1oprde;AVoueni0 V,V (réserve) logis chai des Pour chevalier. Qe ct®0!#l% MARNAS (Jean-Marie), soldat à la 7e compa312e rég. d'artillerie gnie du 96e rég. d'infanterie: très bon soldat, do dun (Pour prendre rang du 9 juillet 1918.) très et cier courageux, la campagne, dé- les iristants, aimédesesellefs au front depuis le début de grièvement blessé un batterlc, DE SAINTE-MARESVILLE (Francisque), sous- voué et courageux. A été très blessé été A batterie, lieutenant à titre temporaire (réserve) au en service commandé, le 4 août 1918. Amputé mes. l'éclatement 1918, par jeune et brillant officier, de la cuisse gauche. = 128* rég. d'infanterie de abri nettoyait qu'il un trois fois cité à l'ordre pour sa belle conduite Une comP s<>|je prendre du 13 août (Pour 1913.) rang dépensé communicatif. feu et entrain dtJi1 son au (FrançOis-Marie), GRISONI ses forces sans compter pendant trois ans et COLIN (Jean-Aristide), soldat (R. A. T.) au dix mois de campagne et a contracté uno 3e bataillon du 19e rég. d'infanterie territo- sergent (réserve) a grièvement lasénégala 2e sa grave maladie qui met ses jours en danger. riale bon soldat, courageux et dévoué, A été taillon de tirailleurs déjà d'initiative, plein août service blessé, 6 1918, grièvement le en (Pour prendre rang du 28 août 1918.) duite au feu. A étéantérieure*llo59, Amputéd'une jambe. commandé. : RAVARIT (Gabriel-Eugène-Victor), médecindent, le 17 juin 1918. major de 2e classe à un hôpital complémenche. Une blessure (Pour prendre rang du 15 août 1918.) compagniedu téS: taire d'armée chargé d'un important service DELARCHE(Georges),. 1e l'é' (,00.. (Edmond-Louis), PERICAT mie 5410, brigad'Il" é, beile de malades atteints de grippe à forme maligne, dier (active) à la 3e batterie du 105e rég, d'ar- (R.A.T.) à la 25e ampute s'est consacré à leurs soins avec le dévoue- tillerie bon et braxe gradé. A été blessé acci- rie territoriale bon soldat, eto. oiltt ment le plus absolu, se dépensant sans comp- dentellement, le 3 août 1918, en nettoyant un au feu. A dû être affection e ter jusqu'au jour où, ayant dépassé les limites abri que l'ennemi vena.t d'abandonner. Am- la suite d'une grave de ses forces, il dut s'aliter, souffrant lui-même puté de l'avant-bras droit. PRONNIER(Alphonse-Oscar-MrCieissc)'j^ contractée chevet desesmad'une grippe au ~} dj^ tades et qui, atteignant rapidement un haut (Pour prendre août comp ton)°Af du 25 1918.) B rang toillo danger. mit gravité, Une sa vie en degré de soldat (active) la 34e qui d'infanterie bon a eV PASQUIEB (Joseph-Emile), soldat (active) au soldat, 23avriligiIls8 citation. 17e rég.d'infanterie bon et brave soldat. A entière satisfaction par été grièvement blessé en service commandé, à été grièvement blessé, le (Pour prendre rang du G septembre 1918.) poste de combat, le 22 août 1918. Amputé vice commandé. Arnput son (Maurice-Camille-Georges), capiDESSIRIER de l'avant-bras droit. MALLET(Emmanuel-Mari..e*^Anl^P 'l1e1,fllt8P¡ W gauche. bataillon de 105° temporaire taine à titre au y détaché à l'état-majord'un MALLET(Emmanuel-M<lfle:anOO chasseurs à pied,excellent (Pour prendre rang du 27 août 1918.) jer 5. (01J1 la*canon"co a officier plein d'allant. (active) corps d'armée premier canonnier (Henri-Marie-Joseph-Francois), DUPAYA mie suite d'une A dû être évacué du front à la lourde rég. d'artillerie 113e 4598, brigadier (réserve) à la 6e batterie du maladie grave contractée en service. Une blesd'un fait toujours preuve d'artillerie rég. 452e lourde d'un gradé courage S'est offert, en des sure antérieure. Trois citations. do et d'un dévouement exemplaires, d'une belle 1 e rc* liaison, agent de conduite au feu, notamment pendant les jour- comme MÉDAILLE MILITAIRE bl.es51 nées du 18 au 25 juillet. A été grièvement camarade évacué. A perdu M suite d'une la gauche à accidentellement, (Bernard), T^ofÂ] blelSé le juillet, 23 à son mai (Pour prendre rang du 2 juin 1916.) .4 poste de combat. Amputé du bras gauche. Une vice commandé, le 16 dUélogeS.ée/I SAVY blessure (Germain), antérieure. mie 4174, (réserve) ITHARREBORDE sergent :> àla iQ8 compagnie du 122e rég. d'infanterie compagnie terie (active) à la 26 (Pour prendre rang du 17 septembre 1918.) sous-officier énergique et brave. A été grièvedignes : gradé des plus ment blessé, le 25 janvier 1915, par l'explosion CARRIÈRE (Germain), mie 872, soldat (ré- tes les missions périlleuses, pour d'un qu'il installait dans la tran- serve) à la 23' compagnie du 214e rég. d'infancirconstances des

cours de l'opération. son poste pendant tout Une blessure antérieure. Deux citations. ROUSSELOT (Jean), mie 6145, sergent (réserve) à la ir8 compagnie du 5e bataillon de chasseurs à pied sous-officier d'une bravoure magnifique. Au cours de l'attaque du 8 août 1918, chargé d'une mission de reconnaissance, a entraîné ses chasseurs avec un élan merveilleux malgré un tir très violent. Après avoir réduit à la grenade plusieurs nids de résistance ennemie, a porté sa demi-section à l'attaque d'une position fortement défendue et a capturé vingt-cinq prisonniers et pris cinq mitrailleuses. BUREAU (Marie-François), mie 4498, sergent (réserve)àla compagnie du 28* bataillon sous-officier d'élite. Au de chasseurs alpins cours d'une attaque, le 8 août 1918, a fait, avec sa demi-section, vingt-cinq prisonniers, pris ainsi une mitrailleuse lourde en position,Quatre qu'un fusil antitank. Trois blessures. citations. PLASSE (Pierre), mie 01143, sergent (réserve) à la 3" compagnie du 28e bataillon de chasseurs alpins sous-officier magnifique de courage et de sang-froid, au front depuis le début de la campagne. Au cours de l'attaque du 8 août 1918, a conduit avec habileté plusieurs patrouilles de liaison malgré des tirs- de barrage extrêmements violents. A rapporté de précieux renseignements et facilité dans une très large mesure la progression sur l'objectif assigné. Quatre ci-

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chef bataillon de 'rr # do : officier supeles unités ne cesla vigueur et la réussite de Par mll,n et ct -Qui qui viennent de se biiélaRe remarquable au kla têtede actuelles. A enlevé d'abord son unité, puis contriIte Vf« ''r(?e°UrH^turpJnl part, à la prise d'un depriso «('h^Utï! hi ers-'eXécut«i une soixantaine vin etcapturés une, mitrailleuses, unP, qu'un nombreux l'snJrtoPertno cesainsi opérations de I? cri orte avec un V^°U'ts W iS'.Çrâce Osji1ns malgré la. résistance à l'habileté de ses saitanimersonbataillon.deUnerésolution dont il blessure. Quatre Ourprendretanô masst(net,el--André), du 16 septembre 1918.) co^fn d entoutescirconstances, e capitaine (active) comeXce du 206' rég. d'iapreuve, fait aqualités mil I belles «t Wtr K°UrB41 l e^le à aout aom1918, o est parti la tête de assaut de positions allemandes levées erA tcU^y ?eles^res à son élan et à son antérieures. citations. Aputé Deux du bras gauche. cItatIOns. *ihI

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du 18 juillet 1918, tir lIrinteuserapide de nombreux décisionduplus grand calme et pluftrrage. bombardement et un faisant preuve ainsi de ~sang-froid.Une du plus I)eau

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d'un grand esprit nl1téHlIusesqu'il très brillamment élancé personnellement enlevés. ]

(Pour prendre rang du 24 juillet 1918,) JARROT (Alphonse-Pierre-Albert), lieutenant à titre temporaire (réserve) au 54e bataillon de chasseurs à pied officierd'une bravoure exemplaire, d'un calme et d'un sang-froid qui font l'admiration de tous. Le 18 juillet 1918, a brillamment enlevé sa compagnie à l'attaque des positions ennemies fortement occupées. Arrivé devant un village, où l'ennemi se défendait désespérément, a, grâce aux habiles dispositians prises, enlevé le village y capturant quatre canons de gros calibre, des mitrailleuses et de nombreux prisonniers. Une blessure. Une citation. lieutenant à GIMER (Georges-Jean-Eugène).10' titre temporaire (réserve) à la compagnie du 8e rég. de marche de zouaves (1er rég. de zouaves) : chef de section en entrant dans la bataille, chef glorieux d'un groupe héroïque de trois hommes en sortant du combat. A mené autant d'assauts qu'il a rencontré de résistances, voyant grandir son courage à mesure que diminuait le nombre de ses compagnons d'armes. Une blessure. Trois citations. (Pour prendre rang du 25 juillet 1918.) VUILLEMIN (Henri-Joseph), lieutenant au 70e bataillon de chasseurs à pied officier d'une bravoure éprouvée qui, au cours des combats du 18 au 24 juillet 1918, a affirmé ses qualités de commandement. Le 18 juillet a, par son intervention spontanée, réduit un nid de mitrailleuses qui entravait la progression du bataillon. Le 20 juillet s'est emparé de deux points d'appui, faisant cent-vingt prisonniers et capturant un important matériel, dont deux canons. Deux blessures. Une citation. PERRIN (Louis-Marcel), lieutenant (active) au excellent 11e bataillon de chasseurs à pied officier. A commandé sa compagnie, le 19 juillet 1918, d'une façon parfaite, électrisant ses chasseurs et brisant les résistances par son allant. Blessé, a demandé après pansement au poste de secours à reprendre son commandement. A continué le combat à la tête d'une nouvelle unité à laquelle il a su ls'imposei». Trois blessures antérieures. Deux citations. CHAUVIN (Edouard-Pierre-Marie), lieutenant (active) au 12° bataillon de chasseurs alpins officier tonnu au bataillon depuis le début de la guerre pour sa belle crânerie au feu. Au cours des journées des 19, 20 et 21 juillet 1918, a brillamment conduit sa compagnie à l'attaque, enlevant plusieurs kilomètres de positions défendues avec acharnement, toujours en action, veillant à tout, donnant ainsi à ses chasseurs l'exemple d'un chef hardi et prévoyant. Une blessure. Quatre citations. RINGUET (Louis), lieutenant (réserve) au 30e bataillon de chasseurs alpins a fait toute la campagne sans interruption dans uu bataillon de chasseurs, où chaque année, son courage et son sang-froid n'ont fait que s'afdrmer davantage. Le 24 juillet 1918, s'est emparé d'un point d'appui important défendu par de nombreuses mitrailleuses, y a capturé plusieurs prisonniers, un important matériel dont deux canons. Trois citations. (Pour prendre rang du 27 juillet 1918. GUÉRARD (Jacqucs-Louis-Gabriel), capitaine commandant la 2re compagnie du (réserve (réserve), d),'infanterie coloniale commandant de 23e rcg. compagnie d'un courage et d'un sang-froid légendaires au régiment. A fait preuve, au cours du combat du 23 juillet 1918, des plus belles qualités d'entrain et de décision. A la suite d'une infiltration ennemie dans nos lignes. s'est mis résolument à la tête de sa compagnie et s'est élancé à la contre-attaque à la baïonnette. A rejeté l'ennemi sur sa base de départ et a rétabli intégralement notre ligne. Trois citations. (Pour prendre rang du 28 juillet 1918.) FALLACIION (Robert-Louis-Paul), sous-lieutenant (active) à titre temporaire à la 228 batterie du 217" rég. d'artillerie : jeune officier plein d'entrain et de courage. Le 20 juillet 1918, a été grièvement blessé a la tête de sa batterie, qu'il amenait prendre position, sur un terrain soumis au bombardement ennemi. Amputé de la jambe droite. Une citation. JAGGLI (Maurice-Edouard-Robert), capitaine (réserve) commandant la 48 compagnie de mi-

trailleuses du 43c rég. d'infanterie coloniale officier d'un dévouement et d'une vaillance sans limite. Au cours d'un récent combat, s'est dépensé sans compter comme commandant d'une compagnie de mitrailleuses en appuyant efficacement les vagues d'assaut et en brisant ensuite une contre-attaque ennemie. Adjoint au commandant de bataillon, s'est porté ont première ligne, malgré un feu violent, pour réorganiser les compagnies et leur assigner leur rôle, et a ainsi grandement contribué la conservation d'un terrain très important. Deux blessures. Quatre citations.

(Pour prendre rang du 5 août 1918.) CREVOISIER (Henri-Marcel), sous-lieutenant (reserve) à la2° compagnie du 42erég. d'infanfanterie entraîneur d'hommes et chef hors de pair. Le 18 juillet 1918, dans un terrain difficile a conduit l'assaut en tête de sa compagnie. A capturé pendant sa progression quaranteneuf prisonniers dont deux officiers, trois mitrailleuses et quatre canons. Une citation. MICCIOLLO (Léon-Léopold), lieutenant à titra temporaire (active) au 3e escadron du 11° rég. de chasseurs officier de la plus grande bravoure, d'un allant et d'un dévouement horsdo pair. Pendant la période d'opérations du 18 juillet 1918 au 5 août, a fait de nombreuses reconnaissances en avant de l'infanterie et a rapporté de précieux renseignements qui ont permis la progression. Le 21 juillet 1918, les deux officiers d'un escadron de hussards, auxquels il était adjoint ayant été successivement blessés a pris le commandement du détachement et par ses heureuses dispositions a permis la capture d'une centaine de prisonniers. Le 3 août a eu son cheval tué sous lui alors qu'il reconnaissait des emplacements do mitrailleuses. Par son exemple a obtenu de sa troupe de magnifiques résultats. Une citation'

(Pour prendre rang du 9 août 1918.) HAMEL (Roger-Albert-Marie), sous-lieutenant à titre temporaire (active) à la 26e batterie du 22icrég. d'artillerie officier de la plus haute valeur morale. En toute circonstances s'est distingué par sa belle attitude et l'exemple entraînant qu'il donnait à tous. Déjà cité deux fois pour son mépris du Jdanger, est tombé alors (T,iil se grièvement blessé le 3 août 1918,llSSUl'an.trouvait aux premières lignes, sa belle ardeur coutumière, la liaison avec

l'infanterie.

(Pour prendre rang du 12 août 1918.) MARTIN (Pon, adjudant (active) au 1errég. mixte de zouaves et tirailleurs sous-officier d'une légendaire bravoure, a pris spontanément le commandement do sa compagnie, privée de chefs à un moment où cette unité était soumise à des feux extrêmement violents de mitrailleuses. S'est élancé à la tête de quelques hommes enthousiasmés par son exemple snr le nid de mitrailleuses qui arrêtait laprogression et s'en est emparé. Blessé trois fois a obstinéen trois jours d'ardente poursuite,compagnie, ment voulu rester à la tête do sa qu'il a continué à animer par son exemple. Deux blessures antérieures. Deux citations. RIQUETTU (Charles-Eugène), sous-lieutenant (réserve) au 1er rég. mixte de zouaves et tirailbravoure leurs: officier très zélé d'une superbe d'appui, a Chargé d'enlever une série, de points réussi à dépasser tous ses objectifs, enthousiasmant ses hommes par l'exemple du plus beau courage et de la plus vaillante ardeur citaune blessure, l'ennemi. Une feu de le sous

tion.

lieutenant (active) officier très chasseurs de bataillon 102° au blessé le 9 août 1918, brave A été grièvement l'attaque à trait section enlevant sa en ennemie fortement défendue.d'una Une bleschée sure antérieure. Une citation. GUIGUE (Léon-Albert), capitaine (réserve) au 1" rég. de tirailleurs marocains au cours des opérations du 8 au 11 août 1918, a fait preuve des plus belles qualités militaires. Le 9 août, a réussi à maintenir son unité sur un plateau violemment battu par des feux de mitrailleuses, l'a entraînée brillamment le lendemain. à l'attaque successive de deux villages qui, puissamment fortifiés, furent emportés dans un élan superbe. Deux blessures. Une citation. DARLOT(Roger-Eugène),

;

BATUT (Fernand), capitaine (active) au

ment de tirailleursmarocains

régi-

officier ayant pris le commandement d'un bataillon dans 'des circonstances particulièrement difficiles, a,pendant trois jours, remarquablement conduit son unité en enlevant successivement plusieurs organisés et énergiquement villages fortement défendus et atteignant, après une progression de 20 kilomètres, l'objectif final assigné. Deux

citations.

(Pour prendre rang du 25 août 1913.) r ORIHLIEB (Maurice), sous-lieutenant (réserve) à la 3* compagnie du 42e rég. d'infanterie excellent officier ayant toujours eu au feu la plus belle attitude.,A été grièvement blessé, le 18 juillet 1918, en entraînant vaillamment sa section à l'attaque des lignes allemandes. Une blessure antérieure. Une citation.

(Pour prendre rang du 27 août 1918.) ALIROL (Pierre), sous-lieutenant à titre temporaire au 43e rég. d'infanterie officier très brave et d'une haute valeur morale. A été blessé très grièvement, le 18 août 1918, en entraînant vaillamment sa section à l'assaut. Amputation de la cuisse gauche. Une blessure antérieure. Deux citations.

(Pour prendre rang du 20 août 1913.) DE SINGLY (Maurice-Joseph), capitaine (active) à l'état-major d'une division d'infanterie brillant officier d'état-major, d'une valeur remarquable et d'un dévouement absolu. Le -30 août 1918, le poste de commandement de la division étant violemment bombardé, s'y est maintenu pour assurer lui-même l'évacuation des blessés. A été très grièvement atteint dans l'accomplissement de cette mission. Deux

blessures antérieures. Troiscitations.

(Pour prendre rang du 31 août 1918.) DENIER (Julien-Marie-Joseph), sous-lieutenant à titre temporaire (réserve) au 418e rég. d'infanterie officier très dévoué et courageux. Le 28 août 1918, se trouvant rhef de la tête d'avant-garde d'un bataillon disposé pour la poursuite, a su maintenir sa troupe sous un violent bombardement. A été grièvement blessé à son poste de combat. Deux citations.

(Pour prendre rang du 2 septembre 1918.) GÉRARDlN(Bernard-Maurice), sous-lieutenant (active) à la 13e compagnie du 339e rég. d'infanterie : jeune officier d'un courage et d'un entrain remarquables. Le 29 août 1918, a brillamment entraîné sa compagnie à l'assaut des positions ennemies et a été grièvement blessé au cours de l'action. Une blessure antérieure. Une citation.

(Pour prendre rang du 13 septembre 1918.) MARASSÉ (Louis), mie 108, chef de bataillon à titre temporaire (réserve) au 171e rég. d'infanterie : officier supérieur du plus grand mérite. Déjà cité deux fois et deux fols blessé, s'est particulièrement distingué, au cours des opérations actuelles, en enlevant d'un seul élan, à la tête du bataillon qu'il commande et sous un violent feu de mitrailleuses, un village et les hauteurs avoisinantes, dégageant ainsi et faisant tomber la ville. Vient d'être atteint de deux nouvelles blessures à son poste de combat en première ligne. Deux blessures antérieures. Deux citations. CLÉIAT (Gabriel), lieutenant à titre temporaire (réserve) à la5e compagnie du 26e batailcommandant de compagnie Ion de chasseurs énergique et de grand caractère. Ayant à Z, enlever, le 9 août1918, une position ennemie très fortement organisée, a entraîné vigoureusement sa troupe sur une passerelle battue par des feux de mitrailleuses et l'a menée jusqu'au contact. A été blessé grièvement au cours de l'action. Deux citations.

MÉDAILLE MILITAIRE

{Pour prendre rang du 10 mai 1916.) ZEROUALI BOUBEKEUR, mie Rt 11198, tirailleur (active) à la 8e compagnie du 2e rég. de marche de tirailleurs : bon soldat. A été grièvement blessé, le 16 juin 1915, Tracy-le-Mont, au cours d'une vive contre-attaque alle-

mande.

(Pour prendre rang du 27 juillet 1916.)

GAUDE (AiméAristide),mie 6 IC/7495, sol-

dat (active) à la 2* compagnie du Ge rég.d'infanterie coloniale soldat courageux et dévoué. A été grièvement blessé en Argonne, le 26 mai 191). à son poste de combat, au cours d'un bombardement.ennemi d'une grande violence. Amputation du bras droit. (Pour prendre rang du 18 août 1916.) CHENAFA BEN SAFI OULD MOHAMED, mie 10716, tirailleur (active) à la lre compagnie du bon soldat, 2e rég. de marche de tirailleurs courageux et dévoué, d'une belle attitude au feu. A été grièvement blessé, le 14 juin 1915, à Tracy-le-Mont, au cours d'un violent bombardement précédant la contre-attaque ennemie. Perte de la vision de l'œil gauche. (Pour prendre rang du 11 mai 1917.) TARDIVEL (Jean-Marie-Joseph), mie 8972, clairon (réserve) à la 11e compagnie du 98 rég. de marche de zouaves (1er rég. de zouaves) : zouave énergique et courageux. A été grièvement atteint, le 28 avril 1915, en se portant au secours d'un chef blessé.

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< ennemieslignes àl'attaque des coropagcellent50sa sures antérieures. 'llet t9i' JUI t ¡51bS' 20

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1918. Une

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CIMETIÈRE (Antoine), mle rang a d'Unde" serve) à la compagnie horsqui brancarfeU

-jjetl»1 d'infanterie : bon soldat preuve d'un très beau courage ment absolu dans son service18 A été grièvement blessé, 10 accomplissant son devoir. Une

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batailnlVe clI:ISselUl âechfapluî sergent de M

ftPt (Clément), pcndajL 4e compagnie du 148 sous-officier devaleur, alpins v# haute conception de son deyonSeqtio" 1918, a taque du 18 juillet ~itr~~t remarquable. sa des T ^l»' leut ennemies, a pris lui-même vin * uiitt avec un allant aruj intense fusil Prijl, éclat été arrêtée par le feu Conttsontié (Pour prendre rang du 18 janvier 1918.) pfl ennemies, a pris lui-même un CIIAILLIE (Eugènc-Emile-Armand), mie 2953, pour les neutraliser. rnando Õ. conservé son soldat (territorial) à la lre compagnie du 261e rég. d'obus. (Marcel),mie H,'r'ég. d"g£ fan, jV Une citcil'U", d'infanterie bon soldat, plein de courage. S'est blessure antérieure. iller. élancé, avec un entrain superbe, à l'attaque BONTEMPS toujours du fort de Thiaumont, le 27 juin 1916. A été serve) à la11e compagnie du vOI011 grièvement blessé quelques jours plus tard, à terie : très bon soldat, cO„rifc son poste de guetteurs avance, au cours d'un les missions périlleuses. Le 18 violent bombardement. offert avec deux camarades pou des car grandes prix des plus au (Pour prendre rang du 2 juin 1918.) pant sous le feu, l'emplacement ainsi RATEAU (Joseph), mie 3 IC 1116, clairon (ré- leuse ennemie qui causait permis 120-8 (e serve) à la lre compagnie du 23e rég. d'infan- l'a reconnue et en a terie coloniale soldat admirable sous le feu. Une citation. rs6e,r-/160t ged-lIDfo, n' 2"8 Avec le plus beau courage, un sentiment du d0 Rt mie (Louis), CUGNOT blravourese0, et devoir très élevé et le plus grand mépris du serve) à la 5° compagnie danger, a rempli toutes les missions délicates terie d'une sous-officier d'une sous-officier terie : pnnen]1®^ JUIJl qui lui ont été confiées, dans des circonstances sang-froid irr~ 18 Le légendaires. particulièrement difficiles, au cours des jour- traîné un sa troupe avecbatteries aprèsavoi. attalgtfoi nées des 28 et 29 mai 1918. Cinq citations. t'C'i jusqu'aux progressant .f défeildal, eil emparé de l'une d'elles (Pour prendre rang du 28 juin 1918.) réduit les mitrailleuses qui la GARDEUX (Marcel), mie 8932, chasseur (ac-, blessure. Six du23jui i#' m tive) à la 8e compagnie du 52e bataillon de chasseurs chasseur très courageux. A été (Pour prendre rang auda.dtl grièvement blessé à son poste de combat, le sénégalais flisilie mitrailleurd't'l'aatidaed KABA CAMARA, 16 juin 1918. Une blessure antérieure. de batailloll 1re classe (active) au 32e (Pour prendre rang du 30 juin 1918.) rois 105s àC 104 Illparé cl114 admirables, d'une brdvoure GEORGES (Georges), mie 12599, soldat (ré- combat du 18 juillet 1918, , à du 127e rég. d'infanla 9e compagnie serve 01 dont il tt action, mitrailleuse en terie : agent de liaison modèle, au front dé- servants hors de adjUdtl puis le début de la campagne, ayant toujours ^f,AJS A Vî ml lais: mie IIERVO (Jean-Marie), montré un courage très élevé. A été grièvement blessé au cours de l'attaque du 21 juin (réserve) à la compagnie de séflégalais 32e bataillon de tirailleurs 19'cornp'att\P 1918. Une citation. tout mitrailleur de officier illeonlpaaroatd cours CHOUVEL(Antoine-Marius), mie 17658, soldu 18 juillet combat du dat (réserve) à la 9e compagnie du 127* rég. d'un allant et d'une bravoure d'infanterie soldat d'une bravoure a toute S'estinstalléen ennemie l'a îyéo eretir £rayVé» ®1 l épreuve. A été grièvement blessé, le 24 juin violente attaque ennemie et * 1918, en accomplissant son devoir après s'être plètement parle feu de ses P1C fait remarquer par son esprit de décision et de JU1metc^ snre. Une sacrtfice. t91 ..4' 'uet COsil1; 24 du (Pour prendre rang ) (Pour prendre rang du 18 juillet 1918.)

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MARÉCHAL (Adrien), mie 01690,caporal (réserve) à la 4° compagnie du 14e bataillon de chasseurs alpins gradé d'un courage et d'une

toute énergie à S'est particulièrement distingué au épreuve. cours des combats de juin et juillet 1918, par son audace et son complet mépris du danger. A été grièvement blessé, le 18 juillet. Deux citations. (Pour prendre rang du 19 juillet 1918.) LORY Jean-Marie-F.ugène-Auguste), mie 01848 bis, soldat (réserve) a la 5e compagnie du 0184.8bis, bon soldat, ayant tou47® rég. d'infanterie jours eu une belle conduite au fen. A été grièvement blessé à son poste de combat aux avant-postes, le 16 juillet 1918. Une blessure antérieure. Une citation. BARTHELEMY (René-Jean-Baptiste),mie 3593, chasseur (réserve) à la lre compagnie du 115e bataillon de chasseur à pied très bon chasseur. A été grièvement blessé, le 18 juillet 1918, en s'élançant avec le plus grand courage

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tjfg mle 4217 : r tt est combat.. prein,

p citation.

CARON

(Ferdinand-HenrialpinS: Il'UonP

0 a rttjf do (réserve) seur de lre classe bataillottaqtlo *» du 14e bataillon de chasseurs mitrailleur légendaire au de urris eM* 18 juillet malgré les cours feu. Au belle tenue1918, au quipetV6 d'artillerie ui avai trailleuses, s'est élancé en l'attelage d'une pièce de fuir et a tué les chevaux, capturer cette pièce. Trois 02Íhassegt

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citations.

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toujours p^$, GIRARD (Louis-Emile), mie

(territorial) au 54e bataillon sansde roil,lottifr pied chasseur modèle, ¡1}W. au EOI.{4P? missions périlleuses. S'est, d'une dépensé juillet 1918,remarquable. du 18courage un epfleso(t étant arrêtée par le feu dressé, le fusil à la main, eta, ouvert un feu nourri sur la et eennierSI.JN abris réduit de nombreux LSOII(L village où l'ennemi résistait s'y est emparé de plusieurs

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I^raiiuf WuïeT etPleurs grâce 'assaut d'une batte?s ? artillerie,de 1!Uses kÎ2!?,?*et b)essdo ures. citatl^19iÉ^1^ de Plusumrs son audace, a permis Pièces d'artillerie, de W^otjrpre^r0ransdu25»ti918.) prisonniers. Deux

capture

( oannès), mIe BclasSQ rendre rangdu 25 juillet 1918.) f lr, ADlN leursf,re,esetdane* 0 vbataillon 16701, chasseur de chasde i £ îWr? ii«: 0uJ0urs bataillon au 54e .(1ifflci Je,une chasseur de chas?1«J^Ul"ettirla?!f8o >e*d'une danfepoes volontaire bravoure les misyioentt-11encreuses. plein Apour l'attaque du jour sous un foî^iiaire La,lerfah-é in ie' rise poste. aval, cé, Contribuant mitrailleuses, t ren-

jûune

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Par Don?

1! C«efR*Maill8naAtres'ilPrfsnnn-eCOnDa^ssance ainsi à

la vi^e°^n Le 22 juillet, voofficier et ses etIls,Par11l'en. I^n1-' d'un renr> nemi, prIsonniers a fait, avec un do

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dont un sous. nlitrailleuses. Deux cita-

®Q5r 599Se (François mle05599,sergent (territorial) téUnCaIrnalon -Alphonse-Joseph). ¡e

seurs denleyer "ID s ,lt ^îi à

10 W3JS ca>i e et dinOs, estcesser pUpetIt d'un d'un n-gea sonbois

à la 8e compasous-offik tI-r, Puis sang-froid c-. » admirables. diKn d'élogOr l'attaque avec sa por à l'attaquegarni de mitrailLe entrain avec unentrain lialso JUilletsersontir,puis à un Juillet chargé'10

l'adversaire, replIer.

Plusieurs missions de 1Citations. façon mitrailparfaite, îia^AJr»tions et de mitrail" 1 -Marie-Florent), lr4 (réserve-)au mie issan!ti|e«deiiaif?,n li8bataillon de le qui a Prodigué son rIriitner t\ et Uenîenitscours des attaques, Cita.t,Si violents pour

kuses.eu '4\1"

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1.11

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les chefs des diverses délite t'élitai îCV>°nnSm ^pSSisas^sT3,alPins grenadier ^iïSÏÏ (l1'ran' caporal (réserve) nonvSl,debut campa'Oftirs desio0isiouîn®e?,ipreuve de 8-2oJUQr^n'bat son coutout Uilletp18-te?n?Ul!let> particulièrement d'attaque des 18, "otiii^?,1X S'cstjeté a enlevé son PI\<\ti rHers. dans bois l'ennemi et y un fait de a Deux blessures,trois ^«"înPfr^fAleïandr't>). 'JudaI11°1S-nl\ 1'11'0

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Par

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Urset l.ed r's,1àtrois 18 Juillètl 1818reprises. Commandement mie 3201, de chasÀ Prouvp les 29 juin, .tIChetle, &.Pl'ès1lIe commandement de sa a'eUf baPdOnlerit horsde combat de pri:lc, horsdequalités de courage de pair. Le 20 juillet, tiotteant la Jar(JeinenLtet y est maintenu est maintenu 1ai'rivéfl48reurorts-uneci,a" Vi

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t °âve), bataillon Plus hfti G l)ri î Voife itW.ÂieiiQdansesprit lS^lleiH®sSle8ctfj^flaUU70t

»hcrreéserYe) Dr8.20 0êla,Aucours LoulS-Octave).

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B 0632,

serde chasseurs: des durscomSaiMlt! 111^1, cessé de offensif et de la 20, en particulier, a aptesune marche d'approe ® Pour boistrès fortement la rNÏÏ%: Hh toiurniéeeeune large part, au nDeux ritations. Deux citations. leurs corn Pagnie ÎNle,kIDiiis-Sous-officier ?» lGiic ÏSdPmle nT,6359, sergent (rédu 309 bataillon de ^J^nfVntaira d'une bravoure les missions les précédé lesvaguesd'assaut, période du 18 au 1.4t ri

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capturé.line ôi1OSi1l'e, 1;. bC'r('il'rs 13 cltaplusieurs HOIl3. mittil,l!euscs. Cthllsseursilpicd 3217, chasseur

Oii 6 îïl'SP^iJ^i'Iot

à nliOfficier I

chasseur donné l'assaut avec lêt) %, jet un unbois fortement occupé et dOntyatait lui seul vingt-trois qu'il a tenu en J??Pagniortm^ énergique et coura,1t.\INJ n.

leî^'eïs dr>ely Srr^'ni SUr

f_t;lnselUenlrain.Le16Juillet 1918, soldat(acd'infanterie : mIe 16301, o rég.

~geusem ent porté t l'attaque des po-

sitions ennemies. A été blessé grièvement au batsdu bataillon. Blesséen juin1917, est revenu peine guéri reprendre sa place au front. cours de cet assaut. 20 juillet 1918, s'est encore distingué en enEXHERTIER (Louis-Joseph), mie 3208, chas- Le levant avec sa section une position vigoureu(réserve) à la compagnie batail4e du 115e seur sement défendue par les mitrailleuses ennelon de chasseurs à pied très bon chasseur. mies, jetant plusieurs fois son unité à l'assaut A été grièvement blessé en se portant courade cette position dont il s'empara et qu'il geusement à l'assaut le 18 juillet 1918. dépassa d'un bond irrésistible. Quatre citaBRAHMI SAID BEN MOHAMED, mie 240G6, ti- tions. railleur (réserve) à la 10e compagnie du 10= rég. COURTY (Jules-François-Joseph), mlo 13511, de tirailleurs algériens: très brave tirailleur. tirailleur (active) à la compagnie hors rang du A montré un courage remarquable à l'attaque de tirailleurs marocains agent de liaison du 21 juillet 1918, au cours de laquelle il a été reg. très courageux et d'une bravoure éprouvée. A gravement blessé. été blessé grièvement le 20 juillet 1918 dans TAUPIENAS (Fernand), mie 247, soldat de l'accomplissement de son devoir. 1re classe (réserve) à la 3e compagnie du 9e rég. ROPERT (Alfred-Mathurin), soldat (active) à la d'infanterie très bon soldat, courageux et décompagnie du 24e rég. dinfanterie coloniale voué. A été grièvement blessé le 23 juillet1918, 5e très-brave excellent soldat, feu. S'est touau d'un combat. au cours jours brillamment conduit, notamment la 25 juillet 1918, au cours d'une contre-attaque. (Pour prendre rang du 26juillet 1918.) A été blessé à son poste de combat. Une blesLAVAUX (Charles), mie 15240, soldat (active) sure antérieure. à la 3e compagnie du 23e rég. d'infanterie bon (Pour prendre rang du 29 juillet 1918.) soldat, dévoué et courageux. A eu une attitude superbe au cours des derniers combats, où il a GRIGNON (Octave-Célestin), mie 14499, solété grièvement blessé, le 18 juillet 1918. Am- dat (active) à la 10e compagnie du 77° rég. d'inputé de la jambe gauche. fanterie agent de liaison qui s'est distingué PIIILIPPET (Louis-Siméon), mie 01572, chas- en toutes circonstances par sa bravoure et en particulier le 28 juillet 1918, en portant des seur (réserve) au 61e bataillon de chasseurs ordres à sa section sous un violent bombardechasseur dévoué et courageux. A été blessé ment. A été blessé grièvement. grièvement le 26 juillet 1918 à son poste de combat. Une citation. FERCIIAUD (Firmin), mie 6074, soldat (réserve) à 11e compagnie du 32e rég. d'infanterie le MARLIN (Henri-Gustave), mie 3429, chasseur 24lajuillet 1918, sa section étant chargée d'asde lro classe (réserve) au 61e bataillon de chasla prise d'une tête de pont, s'est lancé surer très brave excellent chasseur, et plein seurs le premier sur une passerelle qui venait d'être d'ardeur. A été blessé grièvement en partici- jetée était violemment battue par l'enpant à une contre-attaque le 26 juillet 1918. nemi.etAqui grièvement blessé au cours été très antérieures. citations. blessures Deux Quatre d'un combat à lçugrenade sur la rive opposée, après avoir facilité le de éléments passage nos prendre juillet (Pour du 1918.) 27 rang avancés. CORNET (Henri), mie 06128, caporal (réserve) JOLY JUHENTON (Claude-Marie); mie 3/5778. à la 9° compagnie du 51e bataillon de chas- adjudant-chef (active) 43e rég. dinfanterio au excellent gradé, remarquable entraîneur coloniale sous-officier admirable de dévoueseurs: d'hommes. A été blessé grièvement le 20 juillet ment et de bravoure. Au cours de l'attaque du 1913 en se portant à l'attaque des positions 25 juillet, alors que le poste de commandeennemies. ment du chef de bataillon était encerclé, a pris BOKARY BELKO BOLI, mie 37732, tirailleurs le commandement d'une partie de la liaison, (active) à la lre compagnie du 78e bataillon de a contre-attaqué à sa tête, a dégagé le poste de tirailleurs sénégalais tirailleur courageux et commandement etmis l'ennemi en fuite. Une énergique, énergique, étéd'un bel exemple pour ses cama- citation. rades. A grièvement blessé, le 18 juillet DEFOY (Arthur), mie 09087 B, caporal (réà 1918, l'attaque d'un village fortement dé- serve) au 43e rég. d'infanterie coloniale gradé fendu. Amputé de la jambe gauche. d'une bravoure magnifique. S'est particulièreVITTijZ (Georges) mie 19525, soldat (active) ment distingué au cours des combats du moment critique, à la 7* compagnie au 77' rég. d'infanterie le 25 juillet 1918 où, dans un combattu à la greà l'ennemi, l'a 25 juillet 1918, au cours de progression, a faisant facequelques camarades, le contraignant fait preuve d'une bravoure au-dessus de tout nade avec éloge en s'élançant le premier à l'assaut des au recul et lui capturant une quinzaine do positions ennemies. N'a cessé quoique blessé prisonniers. Une blessure, Une citation. grièvement, d'encourager ses camarades à la (Jean ) mie 23 IC 2944, adjudant (acNICOLI (Jean), lutte, donnant le plus belexemple d'énergie et tive) au 43e rég. , d'infanterie coloniale: coloniale : chef de de sang-froid. section d'une bravoure et d'une énergie reCOTTON (Pierre), mie 19618, soldat (active) à marquables. Au cours d'une attaque, a enla 7e compagnie du77erég. d'infanterie soldat trainé magnifiquement ses hommes à l'assaut brave et dévoué. Le 25 juillet 1918, a été griè- des tranchées allemandes. Par des mouvevement blessé au cours de la progression, en ments audacieux, a tourné plusieurs nids de se portant avec le plus complet mépris du résistance qui s'opposaient à notre avance et a fermement la liaison avec une unité danger à l'attaque dun nid de mitrailleuses maintenu d'un régiment voisin lors d'une très violente ennemies. contre-attaque de l'ennemi. Trois citations. PATUREAU (Pierre-Georges), mie 4248, soldat LOUVEAU (Joseph-Marie-Ernest), mie 23IC (réserve) à la C. Il. R. du 77e rég. d'infanterie excellent soldat qui s'est distingué en maintes 6405, caporal (réserve) au 43a rég. d'infanterie le commandement d'une circonstances par sa bravoure et son dévoue- coloniale ayant pris ment. A été grièvement blessé à son poste de section éprouvée, à maintenu ses hommes sous combat le 28 juillet 1918. Une blessure anté- un bombardement extrêmement violent etlesa tiré jusqu'à épuisement des munitions sur rieure. infligeant des portes leur ennemies, vagues PIERTO-r (Ernest), mie 3789, chasseur (ré- énormes et empêchant toute progression sur serve) à la 4e compagnie du 115e bataillon de le front qu'il défendait. chasseurs à pied très bon chasseur. A été 64e batail(active) sergent au mie 8156, BONI, grièvement blessé en se portant courageusesous-officier sénégalais ment à l'assaut le18 juillef 1918. Une blessure lon do tirailleurs plein d'allant. Le23juillet 1918, tous les cadres antérieure. européens ayant été mis hors de combat, a NURY (EmUc-Henry), mie 8925, chasseur (ro- commandé avec jugement, sang-froid, veillant serve) à la 4e compagnie du 115e bataillon de à tout et faisant face à toutes les situations. chasseurs à pied bon et brave soldat. A été Une blessure. Une citation. grièvement blessé, le 18 juillet 1918, en s'élan(Pourprendre rang du 30 juillet 1918.) çant à l'attaque des positions ennemies. Une citation, BLANCHARD (Charles-Joseph), mie 21 IC 9864, sergent (réserve) à la 1re compagnie du 23e rég. (Pour prendre rang du 28 juillet 1918.) d'infanterie coloniale aucours de l'attaque BATAILLARD (François), mie 05033, adjudant du 23 juillet 1918, a fait preuve d'une bravoure (réserve) au 12* bataillon de chasseurs alpins et d'un sang-froid admirables. La progression sous-officier qui a pris part à tous les com- étant arrêtée par un nid de mitrailleuses, *

goeul

soldavlL la S,eSttot attaqué résolument l'adversaire avec son ment à l'attaque d'une mitrailleuse ennemie. 53e rég. d'mfantcrie coloniale à ) bis, soldat (réserve et d'unebravoureexen?PireS. denièo groupe et, grâce à àses habiles dispositions, a A été grièvement blessé au.cours de l'action. train trainetd'unebravoureexel111P desrnol,rùé00 s'enfuir après leur avoir obligé les servants particulièrement (Pour prendre rang du 11 août 1918.) opérations distingue cMŒÏtiesquelle g infligé de lourdes pertes. S'est emparé de deux il a '~e~ N , mitrailleuses. Deux blessures. Quatre citaCIIAMINADE (Jean), mie 012720, caporal (réaoût dS^ etc gjgssure® || tions. a réel mépris du er serve) à la'2e compagnie du 258 rég. d'infanTrois 1918. toxiqué, le 13 BAUD (Marie-Joseph), mie 23 IC 3219, adju- terie : caporal grenadier d'une bravoure exem'1 Une rieures. (active) 11 plaire. à la 3e compagnie de août Le été mitrailleu1918, blessé dant très grièa 16 ses du 23" .rég. d'infanterie coloniale: sous- vement alors qu'il donnait des ordres à son du (Pour(Eugène-Marie), prendre rang ^jtrajnettScdV, officier mitrailleur hors de pair. A fait preuve, escouade pour assurer la sécurité de ses hom- LEPEUCII maraille^V aU cours des dernières opérations, des plus mes sous un violent bombardement. Une blesbelles qualités militaires. Le 25 juillet 1918, sure antérieure. Une citation. (réserve) à la lrecompagnie de ^mpl»^3. alors que l'ennemi avait déjà dépassé nos pretrès 47e rég. d'infanteriegravement 1 DELAIIAYES vai»a (André-Gustave), mie 17913, soldévouement lignes, porté mières a sa section en avant et dat (active) à la 2e compagnie du 28 rég. d'in- courage et d'un l'a mise en batterie sous un bombardement fanterie jeune soldat très 15 août 1918, a été accomplis5 été : courageux. A d'une violence extrême. A tiré sans disconti- blessé grièvement poste de combat (Pierre-Albert-Lucicn)8$piî^; > en juillet le 29 1918, ~p~. en se por- son devoir. Une citation. à l'ennemi les perles les plus tant à l'attaque des positions nuer, infligeant ennemies. Am- (réserve)au13eb(itaillonderliaçs6u sévères jusqu'à ce que sa progression fût détl- puté de la cuisse gauche. POULAIN nitivement enrayée. Deux blessures. Trois au 13e bataillon de en' uf( trçS va 31 Jtlill6 eSca (réserve) citations. (Pour prendre rang du 13 août 1918.) chef de section d'une grande 11-4)ètre5 27 COPIT (André), mie 3 IC 9155, sergent (active) atir Du élevé. d'un et moral HÉBERT (Charles-Désiré), mie Rt 391, soldat aj1,ionSd®jo"' 1-j à la'(je compagnie du 23e rég. d'infanterie colo- (active) à la 13e compagnie du 298 rég. d'in- a tenu un poste très exposé repoussé a 23 de l'attaque juillet 1918, niale du aux ope' ^es avant et des au cours lignes a fanterie jeune soldat très dévoué et d'une CtreJ'enn au a fait preuve de la plus audacieuse bravoure. belle conduite au feu. A été grièvement blessé qucs ennemies. Du 12 portan La progression étant arrêtée par un nid de au cours d'une patrouille de reconnaissance le ticipé brillamment blr.t'n avanl enJÍ' mitrailleuses, s'est jeté résolument à la baïon- 10 août 1918. quête d'un village.pour rcconi^ ître !enpiA été nette avec son groupe sur l'adversaire. A mis ment, le 14 aoùton se ENJOUBAULT (Gaston-Emile), mie 2099, sol- tranchée conquise ilaton, .gr la plupart des servants hors de combat, cap-.,@ turé 2 prisonniers et s'est emparé de 3 mitrail- dat (réserve) à la 14e compagnie du 238e rég. Une blessure antérieure. vr-u. cbl1rd* l 01 d'infanterie brave soldat. A été grièvement CIIEVRE.(Alphonse-Léon), leuses. Une blessure. Deux citations. blessé, le 13 août 1918, en s'élançani à l'assaut » jnS c w j la à (réserve) de lre classe des positions ennemies. Deux blessurez anté(Pour prendre rang du 1er août 1918.) d'unere _nnais>®jsof a j1 chasseurs bataillon de 22e rieures. d'un courage et d'un BARJAVEL (François-Ernest-Louis), mie388, 0^aflsi 12 août 1918, au cours (réserve) à la 2° compagnie du 115e chasseur de (Pour prendre rang du 14 août 1918.) (,nt , ail MOI', été grièvement bataillon chasseurs à pied excellent soldat. de]entqili a'J'P GICQUEL (Joseph), mie 2221, soldat (réserve) fusilmitrailleur il parvcnalt 'A été grièvement blessé en s'élançant vailcnn'àdistillÍlltead .i lamment à l'attaque du 18 juillet 1918. Une à la 7e compagnie du 47e rég. d'infanterie : bon lence une mitrailleusenotanrn ent soldat courageux et dévoué. Le 6 août 1918, a chait la progression. S'est Ibléssuré antérieure. Une citation. de Craonne en août 1917. Une Une 18) été grièvement blessé à son poste de combat, plusieurs Craonne août 1917. circonstances assurant le ravitaillementen munitions de aOIdat(réSStI: (Pour prendre rang du 3 août 1918.) j en compagnie sous un bombardement violent. sa l, TÙDAL du 17 (François), mie 8954, soldat (active) à Une blessure antérieure. Une (Pour prendre rangbataiU cnSeUO& très la 7ecompagnie du 47e rég. d'infanterie: so mie 04764, pc toutbellI' (Albert), mie chasseur (réDEMURE (Eugène), WASTIAUX 02733, bon soldat, ayant toujours eu une belle atti- serve) à la du 120e bataillon de à la 9e compagnie du 62e preu* plu,sDel'p tude au feu. A été grièvement blessé,le 4 août chasseurs: 2eboncompagnie chasseur. A été grièvement soldat d'élite. A défendu son 1918,àson poste de combat, en assurant son le 17 août 1918, en se portant courageu- énergie et un courage service de sentinelle aux avants-postes, sous blessé antérie sement position fait violemment un violent bombardement. battue Grièvement blesse, a sur une qualités morales. Une blessure par le feu batll1d'U¡ (René-Joseph), (Pour prendre rang du 5 août 1918.) IIAMADOU KAMARA, mie 41003, tirailleur ETIENNE Da

i Dia,,i :

,0-go, bon 1 ;

citation. soldl

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(active), à la lre compagnie du

bataillon de tirailleur courageux et (territorial) à la lre compagnie du 129e rég. tirailleurs sénégalais d'infanterie de nombon et brave soldat, qui a tou- dévoué qui s'est distingué, au cours jours donné toute satisfaction à ses chefs. Le breux combats. A été grièvement blessé étant 31 juillet 1918, est resté à son poste de combat en avant des lignes, alors qu'il cherchait à étamalgré la violence du bombardement ennemi blir la liaison avec les éléments de surveillance de l'unité voisine. Amputé de la jambe et a étéblessé grièvement. Amputé. gauche. (Pour prendre rang du 7 août 1918.) (Pour prendre rang du 15 août 1918.) COBAC (Théophile-Marie-Joseph), mie 06596, DE ROBERT DE LAFREGEYRE (André-Henri), caporal (reserve) à la 7c compagnie du 47e rég. d'infanterie très bon gradé, courageux et mie 2277, caporal (active) à la 23e compagnie excellent gradé, dévoué. A toujours eu une belle attitude au du 369e rég. d'infanterie feu. Grièvement blessé, le 4 août 1918, aux réputé pour son audace et sa bravoure. Chargé, avant-postes, en conduisant son escouade à le 15 août 1918, d'enlever une position très fortement organisée et âprement défendue, s'est son emplacement de combat. Une citation. porté courageusement en avant avec ses, (Pour prendre rang du 9 août 1918.) hommes pour cisailler les fils de fer a été grièvement blessé en accomplissant cette mis- j BUTET (Marcel-Narcisse), mie 0i506, caporal sion. Deux citations. (réserve) à la 13° compagnie du 234e rég. d'infanterie excellent gradé, animé du plus beau FOURNIER (Auguste-Jules-Henri-Joseph), mie sentiment de devoir. A été pour ses hommes 23 IC 10308, soldat (active) à la 9c compagnie modèle de bravoure, de dévouement et du 53e rég, d'infanterie coloniale brave solun dentfaih pendant les combats du 1er au 5 août dat, plein d'entrain au combat. S'est distingué lors des dernières opérations au cours des1918. A été blessé grièvement à son poste. quelles il fait preuve d'un complet mépris du sergent (ré- danger. A aété PERRON (Pacifique), mie 14521, gravement intoxiqué à poste son rég. d'infan2e compagnie du 151e serve) à la le 13 août 1918. Deux citations. terie : sous-officier ayant eu une attitude admiLAMOUREUX (Frédéric-Victorin), mie 012537, rable au combat du 9 août 1918. A été blessé îtrès grièvement en entraînant sa demi-section caporal (réserve) à la 9e compagnie du 53e rég. d'infanterie coloniale gradé d'un entrain et à l'assaut d'un fortin ennemi. d'un dévouement exemplaires, sachant stimuler les qualités combatives de ses hommes (Pour prendre rang du 10 août 1918.) tout s'est particulièrement distingué au cours ,LEMONNIER (Léon-Ferdinand), soldat (ré- des dernières affaires et été grièvement inserve) h. la compagnie hors rang du 2e rég. toxiqué le 13 août 1918.a Une blessureanté:d'infanterie : sapeur pionnier, modèle de bra- rieure. Deux citations. ytraré et de dévouement, au front depuis-le début de la campagne. A été très grièvement AVIÈGNE (Eugène), mie 27477, sergent (ré¡blessé, le 5 août 1918, en exécutant un travail serve) à la 98 compagnie du 53e rég. d'infanpérilleux. Deux blessures antérieures. terie coloniale sous-officier très brave, d'un RAYALËtî (Laurent-Marie), mie 38i7, soldat entrain remarquable. Estimé des hommes de •fanterie (actifs) à la 13e compagnie du 328e rég. d'insa section, a contribué, grâce à son ascendant soldat plein d'allant et d'entrain sur eux, à s'opposervictorieusementà de fortes toujours volontaire pour les missions péril- attaques ennemies. A été grièvement intoxiqué Jeuses. A fait preuve d'un courage et d'un dé- le 13 août 1918. jçpuetaent remarquables en se portant résoluIIUET (Vietor-Auguste-Achille), mie 018768

28e

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THÉROU (Jules-Louis), mie 10120 ter, soldat

serodo ra ie duernl" sous-offiel dàte (réserve) à la ge compagnie griève nleil t' D" reérieure. chasseurs à pied: été

bravoure légendaire. A ani <5r;eur0, en parcourant la ligne de bardement. Une blessure citations. tjrWr ¡ mIe l

J de 1er4te n0!t p

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CLER (Clément-Désiré), delre classe (active) au

et : aufeu.Aétégrièvement gco~~ à l'attaque en entraînant t 223/.OrJn' j Vit il avait le commandement ing.rég(active)à(Pierre-Antoine), la17ecompagnieduà' tr dBdoJl idat blessé, Aétégrièvement excellent S,9

ves et tiraillenrs

1918,

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(active) à la 17e compagnie terie excellent soldat, dévoue1918 blessé grièvement, le 11 août 1.rnpO'e jcourageusement son devoircuisse droite. 278.rgen(,JI' lJl COcI Rt l'é\rotlé LAFARGE (Joseph), mie trèS (Joseph),mIe LAFARGE Il 294 du compagnie serve) à la 22e ent Ci jjiç sous-officier, Co. terie : excellent grièvetiOn, plein d'allant. A été aoùt 1918, à la tête deotIcDsne. sa d'une reconnaissance usesd\Íte; uda tions. MI [e;Vr chasseursmiti-ailictir d'élite, Io mItral 9608 LEROY (Martin), mie àla 2e compagnie de particulièr.e,ne,litdisti taillon de v'.Olotit grièl'erne" alo rs 8 août 1918, s'est n^ifDuté un des se portant en avant sousnourri dement et sous des feux Itenses. A été blessé poursuivait la progression tances très défavorables. « (aC lin (acti droit. 67ebat aillonde filsilid!' 171, rlflcleIlt sous-officiVettT^sSè& GOLLIOT (Albert), mie la compagnie du eless feu.Aûne 201>165 sénégalais: excellent d'une belle conduite au vement pour la seconde fois, TJOO en accomplissant son devoir.

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eaaillondechasseurs chaeseur chasseurs chaeseur Inora.,evédentlaconduite aufeua 111

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a Le 26 juillet 1918, a aOl'l'RIUnViolentbombardement.corn S&* Vl5«°rn^Robert)' mie603. soldat "0 el'Ie.. 5e Compagnie loueme du 283" reg. d'in')ctlon lat éta & t lOuteèpreuve. et d'un dé0 ePre'IN-oUn !1 JPlui Usloxirmi bombardeLeviPlent 15 août 1918, sa q4 Plus un mentd'obustoxiques, à viplent bombardegralld donné a sang-froid.A étéà tous l'exemple gravementin-

uncourage »

r( (Pourprendrerangdu

AUMAITRE(Léonard),mle6663,chasseur

plie*éonar compagniedu22ebâde bles Sé gr. 1entrain alpins: tres bon chasseur. posiedeCob,

t ent, taillondechasseurs

1918)

do sang-froid. A yi~)ientd'srnpreièle, 1\118, le lo août à son cours dun bombardement lignes. Une blessure anla 2"c.1' 'I)U8. 2@cOrn"ean)..tnle017137,sergen "eorf\r,il'l' !'grlle (réserve) taqUOnt hlss Une vementbléssé en du 35ge rég, d'infanterie 1û64jiPePositinncennemiesgrande valeur. Aétégriè-

i)fJ42

entrainantsalctQr), section àl'atec 'SOldat(Jules-Fernand-' ()ME Une citation. JIosinthiesnt,devoué "et¡lIel1t SOlaréserye)

mle au 3598 rég, d'infanterie blesg et brave. A été grlè^tion e?nemip« en se POI'tant à l'attaque des cii*Rai,cho. en août 1918, Amputé du Tne blessure BRACQUEMOND(René),mleantérieure. Une

vement

4SN d: l'i ~'s is e rsIlle IlhhrroPIi"n'i

9629,

chaleur

bataillon de chasseurs du rernarquer alpins, d'élite qui s'eslfait 114 aJ,i^nge îv««erser unbattue par son allant et son i5!>eeennnerni „jrésistait. Le 16août 1918, n'apashé411

mlef Rt .-rPlenle,t..)Pour

Vaquer

(POUreln, aitJpUIS

par le feu de a la grenade un A été grièvement

rang du 21 août

345,cannonierconducteur(active) tOtil.e'ltUnléyo

1918.)

6 groupe 55ïi ïâ\Telèv°Z\i°re:,e au 10 août 1918. de ïçletlt s.un ?°mbardement sa batterie, qui avait été 5°s 1et etviolent{> »a6^tégraverno t a.

dU étéeVolr devoir

obus par Un bel exemple d'accomplisdansdes circonstances très ^>,^N'lERf isrJ°?epb:Eubène). ï^'COfrir>aoSerV'G)anre intoxiqué. mle 3723, bataillon de chasseurs, je 20 août 1918, détaché aV8C

1recompagnie

sa demi-section pour assurer la liaison avec une division voisine, a été, au début de l'attaque, complètement entouré par un ennemi fortement armé de mitrailleuses. Grâce à sa décision et son courage, a sauvé toute son unité, en bousculant l'adversaire pour rejoindre sa compagnie. A été blessé grièvement au cours de cette action. Une blessure antérieure. Trois citations. LANGARD (Fernand-Emile-Joseph), mie 8423, caporal (réserve) au 70e bataillon de chasseurs à pied excellent gradé, courageux et plein d'entrain. A été grièvement blessé, le 19 août 1918, à son poste de combat. Une citation. LAURENT (Camille-Emile-Sylvestre), mle 447, adjudant (réserve) à la 18e compagnie du 339e rég. d'infanterie modèle de bravoure et de dévouement qui, depuis le début de la camragne, s'est toujours dépensé sans compter. Le 11 août 1913, a fait deux prisonniers de sa main le 17, à la tête de sa section, a repoussé une violente contre-attaque, combattant lui-même à la grenade le 20 août, est tombé grièvement blessé en entraînant sa section à l'assaut de positions fortement organisées. Une blessure antérieure. Une citation. HÉBERT (Gaston-Julien-Antoine), mle R 3480, soldat (active) à la 38 compagnie du 36e rég. d'infanterie jeune soldat ayant toujours fait preuve de courage. A été grièvement blessé, le 19 août 1918, en se portant résolument à l'attaque d'une tranchée fortement organisée. LA GOUTTE (Victor-René), mie 11368, soldat de lrs classe (active) à la lre compagnie du 36e rég. d'infanterie bon soldat ayant toujours fait preuve de courage et d'abnégation. A été grièvement blessé, le 19 août 1918, en se portant résolument à l'attaque d'un nid de résistance ennemi fortement organisé. PASTUREL (Aimable-Henri), mle 08251 bis, sergent (réserve) à la 22e compagnie du 297e rég. d'infanterie excellent sous-officier, dévoué et courageux. A été grièvement blessé en se portant à l'attaque des positions ennemies, le 19 août 1918. Une blessure antérieure. Une citation. TESTUD (Jean-Victor), mle 02811, chasseur (réserve) à la 3e compagnie du 116*bataillon de chasseurs alpins bon et brave chasseur. A été blessé grièvement à l'attaque du 18août 1918, en faisant crânement son devoir. Deux citations. (Pour prendra rang du 22 août 1918.) MALLARD (Victor), mie Rt 244, médecin sousaide-major (réserve) à la lre compagnie de mitrailleuses du 47e rég. d'infanterie médecin d'un dévouement absolu, ayant une haute conception de son devoir. Dans les durs combats soutenus par le régiment, s'est distingué en soignant nos blessés avec un dévouement inlassable. A été gravement intoxiqué, le 15 août 1918, à son poste de combat. Une citation. MARQUER (Jean-Baptiste), mie 2476, soldat (réserve) à la ire compagnie de mitrailleuses du 47e rég. d'infanterie très bon soldat avant toujours eu au feu une très belle attitude. A été intoxiqué gravement, 15 août 1918, en accomplissant bravement son devoir. PONTAIS (Auguste-Jean-Marie-Maurice), mie 8443, chasseur (active) à la 8e compagnie du 55e bataillon de chasseurs à pied bon et brave chasseur. A été grièvement blessé en se portant à l'attaque des lignes ennemies le 20 août

;

mitrailleuses âprement défendu par l'ennemi. Une blessure antérieure. CRAMOTTE (Alphonse-I.éon'. mle 1975. sapeur (réserve) à la 48 compagnie du 28e bataillon du génie brancardier plein d'allant et d'un dévouement sans limites, toujours volontaire pour les missions dangereuses. A été grièvement blessé à son poste de combat, ie 19 août 1918, sur une route soumise au feu de l'artillerie et des mitrailleuses ennemies. Une blessure antérieure. Trois citations. (Pour prendre rang du 24 août 1919.) POUCHARD (Remy), mle Rt 333, soldat dj 1re classe (réserve) àla 68 compagnie du 404* rég.dinfanterie : soldat d'élite, toujours volontaire pour les missions périlleuses. Le 25 août 1918, est resté à son poste sous un violent bombardement pour assurer la liaison avec une unité voisine. A été blessé dans l'accomplissement de son devoir. FOURNIER (Julien-Emile-LucienRobert-Gaston), mle 14216,soldat (active) il la lre compagnie brave du 36e rég.d'infanterie jeune soldat, et dévoué. Le 19 août 1918. a été blessé très grièvement en se portant à l'assaut d'une tranchée ennemie fortement occupée. PONS (François), mle 16450, soldat (active) au 43e reg. d'infanterie, 10e compagnie grenadier d'élite, d'un sang-froid et d'une bravoure exemplaire. A été grièvement blessé, le 18 août 1918, au moment où il se portait en avant de sa section pour entraîner ses camarades. Amputé de la cuisse gauche. Une citation. ROUMAZEILLE (Raoul), mle Rt 71, chasseur (réserve) à la 7e compagnia du 43e bataillon de chasseurs à pied : chasseur très courageux. A été blessé grièvement pendant l'attaque du 20 juillet 1918. Amputé de la jambe droite. Une citation.

(Pour prendre rang du 25 août 1918.) AUDURIER (Gédéon-Georges-Edonard), mle 6572, brigadier (active) à la 5e batterie du 20' rég. d'artillerie excellent gradé ayant donné maintes fois des preuves de courage et de sang-froid. A été très grièvement blessé, lo 23 août 1918, alors qu'il conduisait une colonne violemment bombardée, et y maintenait le calme par son attitude énergique. MAIIÉ (Jean-François-Marie), mle 287, soldat de jre classe (réservé) à la 22e compagnie du 288 rég.d'infanterie brave soldat. A été grièvement blessé. le 24 août 1918, à son poste de combat. Deux blessures antérieures. LAUBA (Clément), mle 1422, caporal (réserve) à la 23e compagnie du 283e rég. d'infanterie : excellent gradé, brave et dévoué, ayant toujours eu une belle attitude au feu. Aété grièvement blessé, le 21 août 1918, en se portant à l'attaque. Deux citations.

(Pour prendre rang du 26 août 1918.) MAGOUX (Julien), mle 579,caporal (réserve) à la He compagnie du 283e rég. d'infanterie excellent gradé, brave et dévoué, ayant toujours servi à l'entière satisfaction de ses chefs. A été grièvement blessé à son poste de combat, le 21 août 1918. Une citation. POUYANT (Jean-Louis), mle Rt 69, soldat (active) à la lre compagnie du 404e rég. d'infanterie bon et brave soldat. A étégrièvement blessé en se portant à l'assaut des positions ennemies, le 19 août 1918. 1918. CAUSSTN (François), mie 18012, soldat (acMIOCHE (Jean-Louis), mie 10593, chasseur demitrailleuses du. (réserve) à la compagnie de mitrailleuses du tive) à la lre compagnie d'élite remarmitrailleur 36e rég. d'infanterie 48e bataillon de chasseurs mitrailleur très quable de courage et d'entrain. A été grièvebrave. Aété très grièvement blessé, le 16 août ment blessé à combat, le 12 août de poste son 1918, en assurant le service do sa pièce sous violent bombardement. d'un 1918, cours au unviolent bombardement, (Pour prendre rang du 27 août 1918.) GILLES(Raymond), mie R 862, soldat (active) à la 1" compagnie de mitrailleuses du 36e rég. BRUNSFELD (Louis-Nicolas), canonnier serd'infanterie soldat d'une grande bravoure. vant (active) au 261" rég. d'artillerie a donné A été blessé grièvement, le 19 août 1918, en le plus bel exemple d'énergie, refusant, quoise portant résolument à l'attaque d'un nid de que intoxiqué, d'être évacué. A continué il mitrailleuses fortement organisé. assurer le service de sa pièce avec une magniCROISSANT (Joseph-Marie), mie Rt 1132, fique bravoure sous un bombardement viosoldat (réserve) à la lr* compagnie du 36e rég. lent. d'infanterie : soldat d'une grande bravoure. A VALLER (Emile), mle 016684, sergent (réserve) été lilessé grièvement, le 19 août 1918, en se au 367>8 rég. d'infanterie fréa portant vaillamment à l'attaque d'un nid da brave. Le 21 août 1918, à la sous-officier tête de ses hota-

:le

manœuvré avec tant d'audace et d'hames aqu'il déborder une tranchée occu-

bileté a pu pée par une compagnie ennemie; a mis de deux mitrailleurs et a sa main hors de combat fait prisonniers un officier et soixante hommes. Deux blessures. CERNEZ (Léon-Victor), maître pointeur (réserve) au 261e rég. d'artillerie: canonnier d'une pointeur à la bravoure admirable. Resté seul batterie privée de chefs, a, aidé seulement de quelques hommes, tiré toute la nuit, réglant lui-même ses quatre pièces. Intoxiqué, n'a pas voulu se laisser évacuer. Une blessure. Deux citations. DUBOURG (Constant-Victor-Marie), mie 94, caporal (réserve) au 164e rég. d'infanterie, caporal grenadier d'un grand 10e compagnie sang-froid et d'un courage remarquables. Au et 25 août cours des affaires menées les 24 hérissée de 1918, sur une position abrupte et mitrailleuses, s'est élancé le premier en tête de ses grenadiers. A repoussé une contreattaque, puis progressé do nouveau après avoir organisé la position conquise. Deux blessures. Trois citations. DECAIN (François-Joseph), sergent (réserve) à la 5e compagnie du 164e rég. d'infanterie sous-officier d'une audace et d'une bravoure exceptionnelles. Le 21 août 1918, à la tête de sa section, ayant comme objectif une position ennemie hérissée de mitrailleuses, est parvenu à s'emparer de trois pièces en faisant 25 prisonniers dont un officier. Six citations. JACQUIN (Benoit), mie 1108, soldat (active) soldat, au 365* rég. d'infanterie très brave d'un sang-froid remarquable. Le 20 août 1918, chargé d'assurer la liaison avec une unité voisine et, surpris par un groupe ennemi, s'est élancé sur eux, en en mettant plusieurs hors de combat et capturant les autres. Une blessure. DAIGNEAU (Victor-Théodnle), mie 576, soldat (réserve) àla6e compagniedu 164e rég. d'infanlerie d'une posi: le 22 août 1918, à l'attaque tion abrupte et hérissée do mitrailleuses, s'est élancé le premier de sa fraction, s'emparant d'une mitrailieuse après avoir capturé les servants. Une blessure. LEBRUN (Francisque-Marie), mie 570, soldat (réserve) à la 3° compagnie du 1648 rég. d'infanterie soldat d'une bravoure et d'un sangfroid admirables. Le 18 juillet 1918, après avoir capturé une mitrailleuse, s'en est immédiatement servi contre l'adversaire, mettant hors de combat ou contraignant à la fuite l'officier et les servants d'une demi-batterie de 105 et s'emparant des trois canons. Le 20 août s'est élancé sur un poste de quatre hommes et l'a capturé. Le 21 août, après avoir mis un mitrailleur allemand hors de combat, s'estemparé de sa pièce. LAFORET (Emile), mie 10331,. caporal (réle20août1918, serve) au365° rég. d'infanterie s'est élancé à l'attaque des positions allemandes à la tête de son groupe. Arrêté par un nid de mitrailleuses, s'est précipité sur les occupants, les a mis hors de combat, s'est emparé d'une pièce qu'il a retournée contre un autre Arrivé à la lisière groupe ennemi en fuite. d'unvillage fortement occupé, y a pénétré et capturé un grand nombre d'adversaires. Deux citàtions. LEAIESLE (Maurice-René), mie Rt 500, soldat fusilier mi(réserve) au 365e rég. dinfanterie trailleur d'élite, d'une bravoure exceptionnelle. contribué, le 20 août 1918, a la A puisamment de trente-sept capture de deux mitrailleuses etcitation. Allemands. Une blessure. Une CUYILL1ER (Auguste-Fortuné-Joseph), m!e 18263, soldat (territorial) au 305e rég. ainfanLe terie : soldat d'une bravoure remarquable. 23 août 1913. s'est élancé le premier à l'assaut d'une tranchée puissamment défendue par les mitrailleuses, a mis plusieurs ennemis hors do combat, permettant ainsi à la compagnie de s'emparer de cwtte position. Une citation. AYRILLEUX (Henri), mie 6585, soldat (réserve) à la 6e compagnie du 169e rég. d'infansoldat d'élite, d'un courage et d'un terie sang-froid à toute épreuve. Le 21 août Î918, n'a pas hésité à traverser un violent tir de barrage ennemi pour communiquer un ordre. A été grièvement blessé en accomplissant sa mission. Amputé de la cuisse droite. OZOUF (Auguste-Paul-Louis), mie 1105, ca-

poral (réserve), à la 5e compagnie du 418e rég. d'infanterie au cours d'une attaque, le 22 août plus 1918, progressant à la grenade avec lad'pêltures belle audace et se trouvant sur le point cerné, 'entouraient cernél, s'est dégagé en mettant les ennemis qui hors de combat; a repris ensuite l'action attaquant une mitrailleuse qu'il avait répéré auparavant et dont força les servants à s'enfSir. Une citation. GRANIER (Alphonse-Ernest), mie 01678, sergent (réserve), à la. ire compagnie août du 4180 rég. d'infanterie: lancé le 23 1918, avec sa section à l'attaque d'un plateau solidement organisé, a traversé un ravin malgré un violent barrage d'artillerie, s'est dirigé résolument sur des creuses dont il chassa les derniers défenseurs et en conserva la possession malgré un retour Offensif de l'ennemi qu'il a repoussé après un violent combat à la grenade. Une blessure. Une citation. FAUGERAT(Lucien), mie 20276, soldat (réserve) à la 3e compagnie de mitrailleuses du 418a rég. d'infanterie : mitrailleur de premier ordre, calma et courageux. Le 21 août 1918, par la précision de son tir et la rapidité de sa manœuvre, a réussi à arrêter net une contreattaque ennemie. Sa pièce ayant été mise hors d'usage, a continué la 111tle en se servant de son mousqueton. A fait preuve, une fois de plus, de bravoure et d'un cran admirables. Une citation. CARTIGNY (Edouard), mie 9915, soldat (réserve) à la 3e compagniedu 418e rég. d'infanterie au cours des combats du 24 août 1918, s'est porté volontairement à la tête de sa section avec un réel mépris du danger. A réussi à progresser à la grenade, malgré le tir violent des mitrailleurs ennemis. Pendant une réaction de ces derniers, a protégé ses camarades seul avec son fusil mitrailleur, tenant tète tout citaà un fort détachement allemand. Deux tions. (Pour prendre rang du 29 août 1918.) PHILIPPE (Etienne), mie 1-479, sergent (réserve) à la 9e compagnie du 42e rég. d'infanterie le 29 août 1918, après trois assauts brisés par des feux de mitrailleuses d'une violence inouïe, a entraîné pour la quatrième fois ses hommes à l'attaque sous une pluie de balles dans un terrain qui rendait la progression extrêmementpénible* S'est cramponné 20 mètres de la position et s'y est maintenu avec tous ses hommes. A été blessé au cours de l'action. Quatre blessures antérieures. Trois citations. Antoine-Pierre-Jean-Louis mie BONAL 02462 bis, soldat (territorial) à la 9e compagnie du 169e rég. d'infanterie: soldat brave et dévoué. Le 20 août 1918, s'est porté courageusement à l'assaut de positions ennemies fortement organisées. A été grièvement blessé, le 21 août, en arrêtant un groupe ennemi qui cherchait à s'infiltrer dans nos lignes. Amputé du bras gauche. Une blessure antérieure. CLAMENS (Jules), mie 14995, soldat (active) à la 2" compagnie du 43e rég. d'infanterie soldat plein d'ardeur et de courage.A été grièvement blessé, le 18 août 1918, en montant sur le parapet de la tranchée pour se porter à l'assaut des positions ennemies. BRUN(Pé\rus), mie4148, sergent (réserve) à la ire compagnie du 19e bataillon de chassous-officier d'un courage hors de pair seurs et d'une belle abnégation; volontaire pour toutes les missions d'audace. A été blessé grièvement, le 27 août 1918, en faisant progresser sa section sous un feu violent d'artillerie. Deux blessures antérieures. Une citation. LE TOHIC(Guillaumc-Joachim-Eugène), mie 4'20, chasseur (réserve) à la 3e compagnie du 26e bataillon de chasseurs très brave chasvolontaire pour toutes les patrouilles. A seur, été très grièvement blessé, le 28 août 1918, été pendant une progression sous des tirs de mitrailleuses. Deux blessures antérieures. Deux

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citations.

(Pour prendre rang du 30 août 1918.) C1IAPLAIS (Théophile-François), mie 686, adjudant (réserve) au 8e rég. du génie, service télégraphique d'une division d'infanterie: sousofficier d'un courage à toute épreuve. Pendant les dures journées des 28, 29 et 30 août 1918, a, solides qualités, participé pour une par ses large part au bon fonctionnementdes liaisons

lulJsUr U.,conflée. 1

téléphoniques, en dirigeant etdans constrUlrépartsur violemment bombardées s~~ magnifique, l'équipe qui art volontaire pour aller dé avant l'attaque, des postes de '- ca1\llral première ligne. Une aiUBUseset GOUPIL (Albert-Léon),. mieCOlétégrlde (réserve) à la 5e d'unrég. courage d'infanterie: toutegrade épreuve. poste 327e

citation. compux a A a août mentblessé le combat.

i9jg.) ~s~ rég21

1918,

capora e sep 1er du (Pour prendre rang. ()99' LE GUEVEL (Théophile), fil du 1511" terie: fait preuve d'une bel violeD (active) à la 28 compagnie preti-%-c-viol vjolen,{dfe9 do

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terie:aafait

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peftnoettto

traversant une rivière sous le 'ettoitleDij l'ennemi, pour tancer un radeaude fffi..treje ainsile passage sur l'autre rivesytout tout Inoll~c' audaceUneusllre. taillon. S'est jeté avec interdisait leuse casematée qui ment et s'en est emparé. espara citation.

(Henri-Pierre),

MÉREL

le e grêle compagnie iJdO lve

(réserve) à la boutportant,desgrenS. rég. d'infanterie du 1516 dispersé, mis ,"11 prdire portl1:. l'dirB litsdo balles et dispersé, à bout nebir diers ennemis qui tentaient lesfraDcbirnn» dage du radeau sur lequel deetdé"'lllraàt tête du bataillon essayaient j»adverS rivière. Ayant passé à son tour raite sur eT oupe en ejt une mitrailleuse ennemie, par six hommes, s'est Jeté le a tout fougue telle que avec une rendu. Quatre seP*eîlîkr0 lit(té(Pour prendre rang du 3 J111SSi" afflu PIERROT (Emile), mieRt 891 sllCce serve) à la 2e compagnie du loi tarie chargé le 28 août 1918,P®*^<j*e1®tjfln. délicate dans un faubourg a Prl.*/$' nison hors de combat, trentevement deux fortins, mis une e1918,) une mitrailleuses. niers et pris deux

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fait

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(Pour prendre rang du 14 BACLE (Camille), adjudant t8 compagnie du 70e bataillon de g6 coJur>(J de cO 2601 : chef de section modèle c^D autourdéd'homni sang-froid qui, pendant les nouv 24 juillet J918, s'est révélé à de*1»ïegj& entraîneur un véritable ¡1l' pensant sans compter et-contribua volontaire pour les missions flJéS8 10' faire tement ment à plusieurs reprises àjuillet a,rturaIi Pei. t, sistance allemande. Le 21 o bois cia. pturanl.y. enlevé hardie, nœùvre un fendu, faisant 50 prisonniers, rec°ti8d'u, sieurs mitrailleuses et un grandepariSooflleS' Le 24 juillet, à la tête d'une PÕcubiS ds s'est emparé de la plus Ui faisant *peux lagetenu par l'ennemi, et s'emparant d'un important butin. t)' sures. Quatre citations. (réserve)tagbasse ieeeu' age LEGROS (Félix), chasseur excelle cOdlJit alpins: 9ornni^ai\' taillon de chasseurs sang-froid.S'est remarquablement tyUy ayant toujours fait preuve de dans TroiS u 18,a du dant toute la période offensivp, let où il a assuré la liaison tions très périlleuses. Une d'Unelfe' (terril tions. BAUDET (Alexandre-Pierre) , toutéJnet 54 du torial) à la 6e compagnie toatoc, isi ,iet section chasseurs alpins chef de de au-dessus sang-froid et d'un rage accoolpe N'a cessé pendant toute la journée avant, lui accoJ':olt d'cntrainer sa section en chasseu, troUI le plusbel exemple. La nuit venue Patroililloe. de otsLfavec un groupe de 8 une igtitsPrà, reilseignenlI très périlleuse en exécutant plus d'un kilomètre à l'intérieur avtinerepst' cieux. Lerapportant desassuré bombar,oJJfi» nemies, 22 juillet, a VIle quable sang-froid, sous un tense la misé en état de défense en partie occupé par, sa compagnie. c~ sure. Quatre citations. 51,0taillo InlO2191, 91, 0do et ALSUMARD (Hippolyte-Paul), 23 JU du à R. Il. Le C23 il" io S. (réserve) la seur chasseurs chasseur d'élite, dULD.lreuseSI d'un sang-froid remarquables. 1918, a pris la plus large part a trois prisonniers et 4e trois

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conduite combat, 24 fédevant Verdun, le un sous au mettait eu joue. vrier 1916. A é té blessé grièvement, le 30 août sergent (réserve ) 1916, en faisant bravement son devoir. , ba115, aii d'élite. BOUGUELA BELKACEM BEN MERZOUG. tiraildncrnies et ent !leXée privéeau de chefs, leur (active) à la 1" compagniedemitrailleuses .rlèvement, blessé HCl'aii,j„s corni?a,t- aété ssaut des positions du lO rég. de marche de tirailleurs (2e rég. de ent,)lcssé au c0l,rs Une ulessure ~ne cours tirailleurs): jeune miiraiileur, dévoué et brave. hie ssure As antérieure. Quatre Le 27 mai 1918, a été grièvemont blessé à sa pièce, en tenant énergiquement tête, sous un IlilP" dtî^cWServe2el'h 05534, chasseur de intense bombardement, à une attaque ennela3c compagnie du He ba- mie. Amputé de ravant-bras gauche. Une blesleliaiso liaisnqui,Sseltrsalpins: exellent le18 sure antérieure. agent jUillet 1918,s'est dépensé J^Rrp»^l0n, vant -er aporco^ BOUDEAU (Louis-Auguste), mle 10910, soldat Pendin rl'attaque, t. ellrsclinelllisquitiraient Au cours de (active) à la 13e compagnie du 33ge rég. d'int'eaIeITlis sescas, dans caveplu- fanterie : observateur de compagnie, d'un couune an; nllt 'Je«„SnHama,'adêsTmm,-ssur les sections rage et d'un dévouement au-dessus de toul élancé reàSerehors decombatct sur ce groupe avec éloge. A été très grièvement blessé à son poste Itre,àse0dreCe,llturantainsi de sa main un de combat, le 2 mai 1918, à lIailles. Perte de

Une ^us-officier comn^a Ue à

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mie 31GG, sergent du 30e bataillon de l'rl\'2'&jUilrriI8souS-officir «^ v°Uf(» UneintSpiLrugenteinitiative. d'élite qui, du jih^^Ô l''Qi!nnérnentensoutien,une très grande IOses etaréussi trailleuses Le 18, sa ent Pour est intervenu Pour c réduire A ,i nid de ii-iiun liaeriert»l05-EnflnS^e dans sa mission. Le 19, le personnel d'un et s'est emparé d'une canonseJlrcs..:acon d,a 21,tribué combat après la taart'oxn. unprtse

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Une blessure. Une ci-

DEARIETA(Pierre), mle fang du 15 septembre 1918.)

n avant-postes.

i•l evV1?^2'm,e du Rt >soldat(ter" Iterledé' erit CrIt'sniH ayanï'^nic excell du fég d'infaneu d'a. Plus b eau courage. fnodèledejbravoureet lessU Plust, aYanttoujours lihlm^'Qelio be faitgrièvement preuve an 2241 2241,

vouern

été 1918, en assurant Cllalion,g¡¡Uche. son ser(POUrT\ EnucleaUne blessure antérieure. lP°Uurr*prend A

09,

vef]P'Uuxdre rang ran° du 16 septembre 1918.) s rW4/ç OUIS), mle 11'82, soldat (acco de mitrailleuses du «•r»?Vtilil,r°idmi7e Ilrga111918Od, 9Ui : mitrailleur d'un très s'est Orê. porté résolument, le I ewi aciue d un été AmP.otion bois fortement iièÙve blessé au cours de (Icaliste), ,I.!s du bras droit. 'rêscrv^oI\i lo • Je 01649, maréchal 'ï5,VVcrncnL h[!sse' mle batterie du 10' rég. de la plus haute vaavoir tÇlIs tendu rait connaître le 25 août 1918, au ton t relè tèÇus,11 eVe. son O'a poste de chef de te Un essure sablessure qu'après l'exé iition d,es ordres antérieure. Deux cita-

A i,0&. té lif)l-

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GrvLIt "p.' tç

tions. t» « à: à

la ïoeconpallniedu2erég.demarclie àle latioemi 10ecompagnie 'tlo^'efinofi(iélitfi lre 1916, du à Douaumont, à rég, marche de iJ ^te ri n°vemh« aud® devoir. oir- été 6té gravement D°UaUmGnt' 2e

fîïfs

mle20^t'tirailleur

f.) sollf r à marche de tirailbelle coaduite au hJ'i (r^ecemlire loiqra des lignes ailemanDouaumont, a acIIi'ïiltl[ SînlannïiV1-a étémission périlIquellp, une OIItOIÍ déf'e 1attaque bl'8.e cu, rég. de '!es,It¡COllrs deia|'t,dune

a,ntïen il aété !"t~~T~ï!~ elle de : i Il e e

grièvement Sriôvement

Irailleurs aigériens a?Uvè)Aa 1?<0compagnie AHMED, mie 23307, linbeilDe't'illide l^iîl^cSni?d'é?nppfoldu 2e rég. bon soldat al feu,ayant donné le plus tljfnijPo

^tiluda

>t.^Kav°^e cernent sorint ? du2* rég.demarche Cv°irA i+x etoih?0 1917

et d'attachement au atteint, le 30-noà son poste de

• Ai BELHOCINE

rl3 été postede TIR -tirailleur I:0He

nile 21181, tirailleur

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énergique et attaatteint, le son gravement combat. combat. (active à réa. du boriSOldit 2 de marche de ayant eu une vaillante

19[6 1916 àa

l'œilgauche.

TROUILLON (Paul), mie 04873, sergent (ré-

serve) à la 6e compagnie de mitrailleuses du 340e rég. d'infanterie très bon sous-officier qui s'est fait remarquer en toutes circonstances par sa bravoure et son énergie. A été grièvement blessé, le 24 avril 1918, au cours d'une attaque ennemie. Deux citations. DENECIIERE (Francis), mle 14320, soldat (réserve) à la 24e compagnie du 367e rég. d'infanterie : bon et courageux soldat. A été grièvement blessé, le 17 juillet 1918, en se portant avec son unité à l'attaque droit.des positions ennemies. Amputé du pied PROUIIET (Adrien-Gervais), mle Rt 149, aspirant (active) au 346e rég. d'infanterie excellent sous-officier d'une bravoure remarquable. S'est opération offert, le 1er juin 1918, pour prendre part à une périlleuse et a été grièvement blessé. VOISEXAT(Charles), soldat (réserve) à la bon 13e compagnie du 356e rég. d'infanterie et brave soldat. A été grièvement blessé à son poste de combat, le 29 juin 1917, au cours d'une violente attaque ennemie. Amputé du bras gauche. BUSSET (Roger). mie 20014, sergent (réserve) à la 21e compagnie du 356e rég. d'infanterie sous-officier qui s'est fait remarquer plusieurs reprises par sa belle conduite devant l'ennemi. A toujours rempli intelligemment et avec énergie les diverses missions qui lui pntété confiées, notamment au cours des combats des 1er et 2 juin 1918. A été grièvement blessé le 2 juin près de Château-Thierry en portant secours à un de ses camarades. Perte de la vision de l'œil droit. CENTY (Ulysse), mle 03783 bis, soldat (te-rritorial) à la 3e compagnie de mitrailleuses du 169e rég. d'infanterie bon mitrailleur. A servi sa pièce avec calme sous un feu violent, au cours d'une contre-attaque ennemie au. bois des Caurières, le 8 septembre 1917. A été grièvement blessé pendant l'action. Deux blessures antérieures. AIIMED BEN LARBI BEN AHMED, mie 324, maoun (réserve) à la 14e compagnie du 1er rég. de tirailleurs marocains: brave tirailleur, très dévoué. A été blessé grièvement, le 6 octobre 1915, en Champagne, en se portant à l'attaque. IlOUMIER (Ilippolvte), mie 2129, chasseur (réserve) la lre compagnie du41e rég. de chasseurs à pied très bon et brave chasseur. A été blessé grièvement en s'élançant à l'assaut des positions ennemies, le 18 octobre 1915 à SaillySaillisel, VAN DE GOËL (Fernand-Léon), mle 05315 chasseur (territorial) à la 8e compagnie du chasseur 59* bataillon de chasseurs à pied courageux. A été très grièvement blessé, au bois dAvocourt. le 29 juin 1917, au cours de

à:

gniedu64e bataillon de tirailleurs sénégalais: bon et brave tirailleur. A été grièvement blessé à son poste de combat, en première ligne, le 13 juin 1918.Amputé de l'avant-bras gauche. VEUILLE (Paul-Ernest), mle 16867, soldat à la 104 compagnie du 53* rég. d'infanteriecoloniale : modèle de bravoure et de dévouement. S'est élancé le premier à l'assaut d'une forte position ennemie entraînant ses camarades par son- audace. A été grièvement blessé le 28 juillet 1918. Amputation des deux jambes. MONTAGNAC (Fernand), mle 6 IC 10741, soldat (active) à la lro compagnie du 6e rég. d'infanterie coloniale soldat d'un courage et d'un entrain magnifiques. Le 16 avril 1917, s'est bravement porté à l'attaque des positions allemandes.Grièvement blessé pendant l'assaut, a fait preuve d'une haute conception du devoir et d'un mépris absolu de la soulfrance en refusant les soins de ses camarades pour ne pas les distraire du combat. Amputé de la cuisse gauche. DUSSUD (Jean-Marie-François), mie 10476, soldat (active) à la 7e compagnie du 6e rég. d'infanterie coloniale soldat d'une belle bravoure et d'un grand sang-froid. Le 10 octobre 1917, au bois le Chaume, sous un tir de barrage ennemi d'une extrême violence, s'est lance à la contre-attaque d'une tranchée envahie par l'ennemi, entraînant ses camarades par son exemple. A été grièvement blessé au cours de l'action. Amputé de la jambe gauche. MORIBA FORMO, mle 8317, tirailteur (active) au 67* bataillon de tirailleurs sénégalais bon tirailleur, très courageux. A été grièvement blessé le 16 avril1917, au Chemin-des-Dames. en se portant à l'assaut des positions ennemies. Les promotions et les nominations ci-dessus comportent l'altribution de la Croix de guerre avec palme. Paris, le 4 janvier 1919.

LOUIS NAIL. :

———

Le garde des sceaux,

ministre de la justice, ministre de la guerre par intérim, Vu le décret du 13 août 1914, Arrête: Article unique. — Sont inscrits aux tableaux spéciaux de la Légion d'honneur et de la médaille militaire les militaires dont les noms suivent: LÉGION D'HONNEUR

Pour chevalier. (Pour prendre rang du 7 juillet 1918.) FILLION (Jean-Louis-Marie-Léandre), souslieutenant au 372e rég. d'infanterie chef de section d'un calme et d'un sang-froid extraordinaires. Blessé plusieurs fois déjà, a été blessé à nouveau, très grièvement, lors des derniers combats, en entraînant sa section à l'assaut d'une position ennemie fortement organisée.

(Pour prendre rang du 16 septembre 1918.) BRÉMOND (Alexandre-Pierre-Paul),lieutenant (active) au 35e rég. d'artillerie, observateur en avion observateur remarquable, faisant preuve en toutes circonstances des plus belles qualités de bravoure et de sang-froid. S'est particulièrement distingué au cours des attaques du 14 septembre 1918. Blessé grièvement au cours d'une mission à faible altitude.

(Pour prendre rang du 20 septembre 1918.) l'attaque. FABRON (Georges-Etienne-Jean), lieutenant GRÀMMONT (Marcel-Henri), mle 167M, soldat (active) au 1er rcg. d'artillerie de montagne, (active) à la 11e compagnie du,133e rég. d'in- observateur à l'escadrille 508 : observateur brilfanterie jeune soldat courageux, qui a tou- lant et sans peur. Grièvement blessé, le 19 sepjours donné toute satisfaction par sa manière tembre, au cours d'un combat aérien qu'il a de servir et sa conduite au feu. S'est très bien soutenu avec son allant coutumier. Amputacomporté, le 9 novembre 1917, au bois le tion de la jambe droite. Chaume, où, après une attaque ennemie, donnant le plus bel exemple d'énergie et d endu(Pour prendre rang du 22 septembre 1913.) rance, il est resté à son poste de combat dans DE CASTET LA BOULBftNE (Azéma), sous-lieuatteint. trou d'obus, quoique gravement un tenant à titre temporaire au 29e rég. de draAmputation dupied gauche. gons, pilote aviateur à l'escadrille 502 : pilote DEINI GATTARA YEI YATTARA, mle 10371, d'une grande bravoure et d'un parfait sangtirailleur de lr* classe (active) à la ire compa- froid. S'est chargé pour la deuxième fois ea

quelques jours de remplir une mission difficile et périlleuse. (Mission spéciale.) (Pour prendre rang du 27 septembre 1918.) PARADIS (Eugène-Urbain), capitaine au 45* à l'attaque d'une position rég. d'infanterie fortement organisée et âprement défendue, s'est lancé àtrois reprises différentes à la têto de sa compagnie a réussi, grâce à son énergie finalement enlever à et à son mépris du danger, la position avec une poignéed'hommes et y a fait près de deux cents prisonniers. , COURT (Ferdinand), lieutenant au 45e rég. grande valeur. S'est d'infanterie: officier de de élancé à l'attaque en tête la première vague d'assaut avec une bravoure remarquable. A repoussé une contre-attaque ennemie et fait de nombreux prisonniers. Trois blessures. Médaillé militaire pour faits de guerre. BRULE (Lucien-Albert), lieutenant au 148e rég. d'infanterie officier d'une grande bravoure et d'un courage à toute épreuve; a entraîné sa section à l'attaque des positions ennemies puissamment organisées, malgré un feu violent d'artillerie et de mitrailleuses. Blessé à la cuisse droite par éclats de grenades, a continué la lutte et ne s'est retiré qu'après avoir balle qui lui reçu une deuxième blessure parmain gauche. a sectionné deux doigts de la Ceux blessures antérieures. AUBRAULT (Modéran-Pierre-Marie), adjudant grande eu 45e rég. d'infanterie sous-officier del'action, valeur. Bien que blessé au début de s'est élancé à la tête de la première vague d'assaut avec une bravoure remarquable, a repoussé une contre-attaque ennemie et fait de nombreux prisonniers. Trois blessures de médaille militaire pour guerre. Décoré de aits de guerre. Deux fois cité à l'ordre.

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d'entrain et de courage. Blessé grièvement à altitude. Revient (Vincent-Victor), Ç JJji* JL d obus. d'éclats et balles blé de plus son poste de combat en donnant à tous le bel exemple. dragon.'premieJ CIIAPPAZ 0à,00 de 11e rég. d'indes logis 227* rég. soldat au THOLLOT (Marius), au t&fi de IS, A aCco JI, accoOlPl e pilote 510 dediscj.F piine d'élite l'escadrille grande à très d'une : fusiller fanterie : esprit |il esprit bel de animé du plus d'un bravoure. Blessé grièvement au cours W de son de conscience haute bras. d'un Amputé bombardement. otl d arme |V qtiar,aDte tre dt pilote de corps comme soixante-ainuit.k®& (Pour prendre rang du 19 septembre 1918.) , dement,près de dont périlleuses ciles et hlpiace; classe, ttaque n8r11 de 4e de brigade et chef de CHABAN (Jean), cama:r^mj)ats d0lLâir6 jour de bombardement avion 2e section de gendarmerie, légion de Pans étant 1917, sur vembre rap- couru et dégagé un excellent chef de brigade sous tous les Très Son ports, énergique et sûr, tout à ses devoirs. ennemi. Cinq autres à liOtetiltg avion grièvement blessé, à son poste par un éclat 6 août 1918, à l'issue duquel S'est sep d'obus ennemi. été vu tombant désemparé., fol opérationliunes351111' pendant les signalé, (Pour prendre rang du 21 septembre 1918.) w ligo®®g* 1918, en attaquant à la bombe de altitude, faible à très leuse adjudant-chef au RETTAGLIATI (Henry), dans kilomètres 100 de à plus l'escaà aviateur pilote d'infanterie, 84e rég. jusqu'à accompli mies. A très brave. A an et habile pilote remdrille 510 : jours.! ~;~neg~&~~ oldat jj trois de et difficile très mission en guerre succès pli avec une "cotJlpa;d périlleuse (mission spéciale). rc:ant VERKINDÈRE (Henri), ddua

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FANET (Salvator-Gaston), sergent, 3e groupe pilote habile et très brave. A remd'aviation

à treize

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le soldat 148e rég. d'infanterielepremier e d6 voure,est parvenuennemie,tfraviÕlent feu VIO danslatranchée fenses accessoires sous un ortent trailleuses. conipo1' , p8i# Les nominations ci-dessus a'

. ,1 înteri:

pli avec succès une mission difficile et très 1 périlleuse (mission spéciale). l'a WERY (Paul-François), caporal au 43e rég. d'infanterie, pilote aviateur pilote habile et tribution CroixCroix guerre guerre de la tribution de mission très brave. A rempli avec succès une difficile et très périlleuse (mission spéciale). Paris, le 4 janvier 1919. :1 j BARREAU (Pierre), soldat au 1er rég. de marche d'Afrique excellent zouave, agent de ——————Il——~ .:4 1 1 liaison d'un courage et d'un dévouement de ministre exemplaires. Blessé quatre fois en accomplisdes garde Le sceaux, sant des missions périlleuses. ministre de la guerre par 1914, J j août du 13 décret le Vu 1918.) septembre 25 du (Pour prendre rang RASTING (Pierre) mie 5984, adjudant au e.tjeg rJI j aviapilote pied, à chasseurs bataillon de 120e 1 inscnts de oifJ 18 Article Sont MÉDAILLE MILITAIRE unique. teur à l'escadrille 523: pilote délite, d'une brad'honneur Légion des de la spéciaux Au dont voure au-dessus de tout éloge. renducours (Pour prendre rang du 17 décembre 1916.) au com- daille militaire, les militaires attaques de septembre 1918, a (David-Jean-Baptiste), soldat au mandement les plus grands services en accom- suivent f THÉRÈSE blessé griève- plissant des missions particulièrement périlse rég. d'infanterie coloniale LÉGION D'HONNEUR! ment, le 9 décembre 1916, en se portant brave- leuses. Le 18 septembre, au cours d'un vol à faible attitude, a eu son avion gravement Pourchevalier. JUI (terrl ment à l'assaut des positions ennemies. atteint par les balles ennemies et n'a regagné '11 1ieutebIlillOn l'itI6' 22 du noslignes que grâce à son énergie et à son (Pour prendre rang du 4 septembre 1918.) (Pour prendre rang d'Un, dans une région FAUCOGNEZ (Emile-IIenri), soldat au 260e rég. très offici j>^ a» l'atterrissage. Trois blessé à été difficile, a ^^ntraiO. 23° d'infanterie excellent soldat, qui a toujours du compagnie ire rial) à la excellent fait preuve d'un grand courage et du plus pro- blessures, dont une dans l'infanierie. 4e rég. du génie 10 fond mépris du danger. Blessé grièvement alors d'une et dévouement d'un exéciltég 50 1918.) (Pour prendre rang du 26 septembre epb qu'il défendait avec énergie la position occupée fois éprouvée, toujours plein NIVET (René-Jules-Alphonse), soldat au bonne humeur dans les travaux par sa section, contribuant ainsi à arrêter l'enforetblessé AP*^nt. brave soldat, très zélé le feu de l'ennemi. A cté 227erég.d'infanterie nemi. très dévoué, faisant son service d'une ma- le 14 juin 1915 dans la et lOiS.)1 < (Pour prendre rang du 5 septembre 1918.) nière irréprochable. Amputé des deux jambes. juillCl .-¡tai°' 19 du d'infanprendre (Pour rang cofdaniedl,89Di, BAZIN (Jean), sergent au 372° rég. (Pour prendre rang du 27 septembre 1918.) terie : très bon sous-officier, d'un courage et sénégalais aprèj>,.0 -Léopold-MarI é dU '7 d» (René d COJAC LE d'un entrain remarquables. S'est très bien RÀTINAUD (Jean-Marie-Léon), adjudant-chef (active) commandant la 2e te g-es comporté pendant les opérations dernières, au tion, arécag®î^n$,{ chef de très bon d'infanterie tirailleurs s'est rég, secde 8-ie taillon Ja au :I¡ n'a cessé de faire desquelles il preuve cours particulièrement Dariel'K distingué au cours traversé, sous le feu de de la plus grande initiative. Blessé griève- tion, combat, „ier5 « et ruisseau sangcompagnie, son d'un courage son un par sa ment. Ille le froid. Quoique blessé, a conservé comman- maintenu dans un bois occupé dement de sa section jusqu'à ce qu'elle ait at- lui faisant tête, s'emparant (Pour prendre rang du 13 septembre 1918.) s'est assigné. lui Ne était l'objectif qui teint résistant ainsi, sans CIIAVAROT(Maurice), sergent au 65° rég. ensuite rendu l'on pU poste de où moment secours que sur jusqu'au au rière, d'infanterie, pilote aviateur a t'escadrille 508 : l'ordre de son commandant de compagnie. » secours. Une pilote d'une bravoure et d'uno modestie in- Déjà cité trois fois. juille dec¡ncomparables. S'est offert pour une mission 20 du prendre (Pour rang et l'a adjudant Sie d'infanteparticulièrement (Jean), rég. dangereuse ROUX au spéciale d'iJ}¡ej et brave. A bril(David-Georges), pro dant t°f)/leJ réussie brillamment avec son adresse coutu- rie chef de section énergique CARPANETTI lamment entraîné ses hommes à l'attaque de jor (active) do 2e classe au mière. l'objectif indiqué, réussissant à vaincre, grâce rie médecin de grande valeur persOdall' à son allant, un groupe qui résistait à la d'une bravoure exceptionnelle (Pour prendre rang du 16 septembre 1918.) 11 grenade. donne (Auguste-Raymond), sergent d'action, périodes au les a PENOCIIET K et modèle brade calme exemple de bel d'Afrique (Henri), sergent rég. mie 84* IIOUEL 25863, marche un au en il' rég. de dévouement, toujours prêts pour d'infanterie gradé énergique et brave, fréquemment faisant ger en se rendant JJ/lt : surveiller' voure et de blesseSitnt eP eo ejtt au partie d'une section de nettoyeurs, s'est fait ligne sous le feu, pour les missions périlleuses. Blesse grièvement donnant des relève la bombardement entrain et en encourager violent son courage. par son remarquer d'un cours grièvement été très et de calme poitrine, balle 1918, la n'en de à Blessé exemple a pas par une à tous le plus bel JU'.teJ)/lÍ' de poste n'a visiter secours continué mission et voulu moins un sa pas se courage. 16,) évacuer. laisser 19 t qlet (Pour prendre rang du 17 septembre 1918.) Bi VERDIER (André-Emile-Louis), mie Hiô, serlte.. (Pour prendre rang du 23 LEMAN (Henri-Louis), sergent au 2e groupe gent au 3e groupe d'aviation, pilote aviateur à (Georges-MAurice-JeancofJJPtjq' ) GERVAIS d'aviation, pilote aviateur à l'escadrille 506 l'escadrille 510 pilote d'élite, d'un allant re(réserve) d'infanterie M prêt pour marquable et d'une inlassable énergie. Le à titre temporaire pilote les d'une rare bravoure, toujours expéditions les plus pérIlleuses. Grièvement 2 septembre 1918, a soutenu un combat très du îii" courage,eftlet JU laGfa1 d'entrain d'un attaquant convois et sol des blessé en au ras du contre un adversaire résolu qu'il a con- plein dur blessé, le 19 ennemis. Déjà cité trois fois. traint à descendre désemparé jusqu'au sol. été grièvement d'accomplir plus cours d'une attaque, en semaines, quelques Vient en (Pour prendre rang du 17 septembre 1918.) de cinquante missions de guerre, reconnais- gnie qu'il commandait, sous blessur»" Deux mitrailleuses. attade lointains, très bombardements caporal et CAETï(Gabriel-Marie), mie 0800/4, au sances jer rég. de marche d'Afrique caporal plein ques à la mitrailleuse et à la bombe à faible Deux

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du 27 juillet 1913.) ç"e l??2-°^ui^leti9fia^c>lerie Ptn'er2;>UilJet1918, sous-lieute1tuaituec St4offert decampaWiuno Un canon d'infanteriepour accomPOslhontrèsforte acharnement, qui atteiréussi défendue avec a amener mètreLs lin 'eri>iîn-ents pièce JUSunterrain sem sa l'objectif, à travers fa saitPerdre Perd?? sous un feu violent 1 tciloyau*x quatre hommes et six f orcé Su^esruîlrant tout i® con?ten nu.de l'admiration de la troupe d'atcoffres ses Surpris par tant d'audace. M(PoUrPrendrerangdu août1913.)

Sernéd'ohs itii t à

, eenseurs

I^ÏÎS'fe(réservpf Ife

ndant pendant (r.éerve) périoded'attaque 1286 1918, conduit

lieutenant à titre au a réS-d'infanterie «aill«nott'S'ess'e £ c,!llerementdistingué du le 18 au25 juillet sacompanio

belle avec une denuit d'uneposition /Irtes CII s'e n'Pararit 1Irs, àdfortl:nenl

l~tillet-

,lsant défendue,

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.Ctlnemiômr ,nil',ailifeonet

causant des vingt-et-un prisonun officier, iltfa°^t etunlance-bombes. et capturant quinze 118. Une A été blessé citation.

p liy^tES (actfvîfft htitre batteriedu253erég. Il'OUr

^us-lieutenant rang du 22 août 13183

Sentllnent élevé Un ciertrès brave et très dévoué, Il'(I'PendarleYeentill'attaque du devoir. A été PLndaiitu11 du 18 août hit>&

le de ses pièces sous l'artillerie ennemie. rJé, réc Illix.^uayes (Joseph), lieutenant (active) au

Oxaltait le courage de ses e(eu feutoritiiiu d6 Conrdirigeant tir

vUscneQtraî^n : a a '«svin huessurunterrain diffià l'attaque un ri nd

gnie &:i dutenace, 8erég.résolu.Le tirailleurs, 23ecompagique, de tirailleurs officier éner^osîhî10ï>s 18 août 1918,vigouvigouelle sa compagnie compagnie à l'attaque allemandes sur fl'q¡Sbl'i\faleetbattu l'artillerie par ennemie es, mitrailleuses, condUlte d'unbond sur prisonniers er lobjectif assigné, faisant des iai!C«S> desacompagnie, 28apturant août, attaqué de nouveau un ennemi mide 1 nombreuses e forteh'1, ,ti ^tann deiA,^dié es<îifflôiioc un ennemi fortemanœuvre dans des ciret délogé 1*16s3m?lilés faisant ainsi de sa position en bellesqua des plus preuve S d, alldalce Dne et d'initi~itive. rne irne

ri.

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Clneci-tation.

e' àhtrtitre

.a ^,l?urs etd'unp blessure

ues-JOsCpIi-Fiuncois), sotis-lieutemporaire 'h"igéICJ'gieetIIlurs) (active) au 4erég. (2e compagnie du il, ï igé8é[litisie Ursreprises : offlcierd'une remarquamR6ieurs k |i.ét!"pu-,Ss bravoure hors de pair, a l'Intl)¡lr¡'hrillenseignements Pf ^es des reconnaissances Ce/IfiI\c saantaux des prisonniers et rap&i[)11 f2'!I"lr5pos ii<ïïvrésistanohiquiprécieux. gCnaientlaProgresA eux pris tes(JcréSctron combats réduction de nombl assu,réduction récents, nombieux

tenant11

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rirtUrtaiis DDur

fn Uerre.

Médaillé militaire

Quatre citations.

"rx\rendre rang dudu23 août igts.)

It (ai(orges), ï^'fs I.IS:\0^ Offl) lieutenant à titre tem-

i profondément 23

1913.)

1er bataillon de tirailleurs cierr ail rt-Ii lne très grande bravoure. Ilgl) 19t8 'h!11dlrle entraîné sa compagnie à ennemies avec un allant liu^4'1»h viandes malré dans les frr¡a."hOisé Plus-Prseme les difficultés d'un ,! f,PlUsieur6 demitrailleuses. Isolé t!)r heures suite de son tl"I\II ft ne par 1111 S'est laissé ferMe décontenanpas Vesa PermpHtn les contre-attaques êePl'viln ainsi la réussite d'une position.Deux: 1

a thons fes,

Il malgré te «tefait iw u e ^Vornn?^0^'souslientenant l':

(att" ofnc~P q\leb\II'S: Il II',rIes s91el' est du "lu' Jothdernipri

sous-lieutenant 29e bataillon de au cours des derniers hdevaleur, aussi modeste <h^ilna°ûtI9ia®bargé distingué guélme fois déplus de plus unefois combats. Dans la nuit l'exécution d'un ^•Vitii.i. en1e' ^Personnellement porté sa troupe à ef»JItr'Hi^uatbahttuainttPriSonniers' ennemi desPrenant pertes séune quatre OCtleier et ramenant son Ir de pertes. Une blessure. r.ol'Û\'O,

OrflCrnpagnio

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ai)ril,,'^ment eant 1

(Pour prendre rang du 25 août 1918.)

(Pierre-Jacques-Xavier), capitaine (réserve), commandant la 25e batterie du 218e rég. d'artillerie officier d'une conscience et d'un dévouement absolus, d'une haute valeur professionnelle, Les 15 et 17 août 1918, s'est porté à plusieurs reprises en première ligne, sous les bombardements les plus violents par obus explosifs et toxiques, pour mieux appuyer de son tir les progrès de l'infanterie. A pris une part importante au succès des opérations, grâce à son courage, à l'ascendant qu'il exerce sur son personnel, à la rapidité et à la BERBINEAU

précision de son action. Une citation. (Pour prendre range du 26 août 1918.) CHEYLARD (Maxime), médecin aide-major de tre classe (réserve) au 3e bataillon du 68 août rég. de marche de tirailleurs se rendant le 22 1918, sur les emplacements de première ligne avec son bataillon, très fortement commotionné par un obus de gros calibre éclatant à proximité, son personnel sanitaire en partie blessé autour de lui par l'explosion, s'est employé immédiatement à prodiguer les soins les plus éclairés aux blessés et aux intoxiqués du bataillon. Son poste de secours étant très violemment bombardé, peu à peu envahi par les gaz, lui-même très gravement atteint, tous ses infirmiers intoxiqués et évacués. n'a cessé, pendant quatre jours et quatre nuits, d'assurer son service avec le plus admirable dévouement refusant de se faire évacuer et donnant une fois de plus, de nouvalles preuves de son abnégation de son courage. Deux citations. DUROT (André-Louis), capitaine (active), commandant la 5e compagnie du 412erég.d'infanterie le 22 août 191S, commandant une compagnie d'avant-garde et se heurtant à l'ennemi, au passage d'une rivière marécageuse, a. grâce à ses habiles dispositions et avec un esprit de décision remarquable, réussi à bousculer l'adversaire, l'a poursuivi sur la rive opposée, le contraignant à lui abandonner la presque totalité d'un village, assurant ainsi la possession d'une tète do front extrêmement importante. Pendant vingt-quatre heures n'a pas cessé ses harcellement; et a repoussé, au petit jour, une violente contre-ataque dirigée dans le but de lui arracher le terrain conquis. Deux blessures. Deux citations. VERGNIOL (André), lieutenant à titre temporaire (réserve) à la lre compagnie du 172e rég. d'infanterie officier d'élite. Le 22 août 1918, s'est porté résolument, avec une poignée d'hommes, en avant de sa compagnie à l'attaque d'un point d'appui âprement défendu par des mitrailleuses. Intimidant l'adversaire par un mouvement particulièrement audacieux, l'a obligé à fuir en désordre, abandonnant matériel et munitions, l'a poursuivi avec un allant superbe, réalisant une progression de plus de 1 kilomètre. Une blessure. Trois citations. (Pour prendre rang du 27 août 1913.) PLACE (Florimond-IIlmri), sous-lieutenant à titre temporaire (réserve) à la 9e compagnie du 164e rég. d'infanterie officier légendaire au régiment par son courage et son audace. Parvenu avec une fraction avancée du régiment aux flancs d'une position abrupte et hérissée de mitrailleuses, a mené, pour en assurer l'investissement quatreattaques successivescombattant lui-même en tête des grenadiers. Contre-attaqué, son capitaine venant d'être blessé et évacué, blessé lui-même, a repoussé l'ennemi, puis a mené une nouvelle attaque et s'est emparé d'un nid de mitrailleusesantéqui arrêtait la progression. Deux blessures rieures. Trois citattons.. BERTRAN (Jacques-Jean-Marie-François), capitaine iL titre temporaire (active), commandant la ire compagnie de mitrailleuses du 164e rég.d'infanterie commandant le bataillon de tête du régiment, le 20 août 1918, a franchi une grande rivière avec des moyens defortune, malgré un tir violent de l'ennemi. Parvenu, après avoir capturé tous les défenseurs d'un village, au pied d'une position abrupte, hérissée de mitrailleuses et tenu par un ennemi de beaucoup supérieur en nombre, s'en est emparé en faisant de nombreux priniers et prenant vingt-cinq mitrailleuses. Une blessure. Trois citations. LANDOT (Gustave-Henri), capitaine à titre

temporaire (réserve) au 3G4« rég. d'infanterie splendide officier, entraineur d'hommes. Au cours des rudes attaques menées du 20 au 25 août.1918, toujours en tête de ses hommes, a atteint tous les objectifs assignés à sa compagnie, capturequatre officiers, seize sousofficiers, deux cent vingt-sephhommes, dixhuit mitrailleuses,deux canons de tranchée et un matériel considérable. Trois citations, PRAET (Oscar-Hippolyte), lieutenant à titre temporaire (réserve) au 365e rég. d'infanterie : s'est toujours fait admirer de tous ses hommes par sa belle attitude au cours du combat du 20 aaût et de la poursuite des 21, 22, 23 et 24 août 1918. A fait de nombreux prisonniers, pris des mitrailleuses. A permis, le 25 août, par sa fermeté,'à une troupe subissant une YÍOlente contre-attaque, de résister au choc et do reprendre le terrain perdu. Une blessure. Trois citations. SOUREILLAT (Louis-Hugusle-Julien), souslieutenant (active) à la 2e compagnie du 25e bataillon de chasseurs officier très brave, pour lequel chaque combat lui donne une occasion de se distinguer. Le 21 août 1918, s'est avancé avec quelques hommes en reconnaissance à l'avant de nos lignes, déterminant ainsi une progression de 1200 mètres du bataillon. Le 24 août, est parti à l'attaque du blockhaus, s'est battu à la grenade et aété atteint, et conservant son commandement, a rallié sa troupe et ramené tous les blessés. Deux blessures antérieures. Trois citations. (Pour prendre rang du 29 août1918.) JEANBERNAT (Jules-Marie-Louis), capitaine (réserve) commandant la 1 compagnie du 339* rég. d'infanterie: pendant une période d'attaques très dures, notamment le 29 août 1918, contre un ennemi retranché pourvu d'abondantes mitrailleuses et d'une puissante artillerie, a commandéson bataillon avec un courage, un sang-froid et une énergie de tout premier ordre, conquérant de hante lutte, au prix des plus grands efforts une voie ferrée dont le talus était fortement organisé et capturant une trentaine de prisonniers. Avait déjà, le 22 juillet 1918, conduit un coup de main parfaitement réussi et sans pertes pour sa. troupe. Une blessure. Deux citations. (Pour prendre rang du 30 août 1918.) C11A1LLET (Etienne-Marius), sous-lieutenant à titre temporaire (réserve)au6e reg. demarchde tirailleurs: officier d'une intrépide bravoure. Ayant pris le commandement de sa section au moment où le régiment s'engageait dans une action offensive, a, en tête de ses tirailleurs, franchi un canal sous les rafales de mitrailleuses. s'est porté ensuite au-devant d'une contreattaque ennemie qu'il a brisée sous les feux de ses groupes de combat. A été grièvement blessé, le 29 août 1918, en donnant le plus bel exemple d'énergie et de magnifique courage. Une blessure antérieure. Une citation.

(Pour prendre rang du 31 août 1918.) VIGXES (Emile-Clovis;, lieutenant (active) à la 14* compagnie du 261e rég. d'infanterie officier d'une haute valeur morale et chef de tout premier ordre. Au cours de l'attaque du 25 août 1918 a, sous un tir de barrage violent et des rafales de mitrailleuses, dirigé le combat de son unité avec un calme, une énergie et un sang-froid remarquables. A réussi, grâce à sas habiles dispositions, à capturer avec sa seule compagnie, un total de cent vingt prisonniers, parmi lesquels trois officiers et dix-huit sousofticiers. Deux blessures. Cinq citations. (Pour prendre rang du 6 septembre 1918/ PEZÉ (Fleury-Georgcs-Joseph), mie 016C56, adjudant-chef (réserve) à la 17e compagnie du chef de section de pre233e rég. d'infanterie mier ordre, d'une bravoure légendaire au régiment. Au front depuis le début de la campagne, n'a cessé de montrer en toutes circonstances lesplus brillantes qualités de sangfroid et d'audace. A été blessé grièvement son poste de combat, le 4 septembre 1918. Amputé de la jambe gauche. Une blessure antérieure. Médaillé militaire pour faits de guerre. Cinq citations.

(Pour prendre rang du 16 septembre 1913.) CERLI (Roch-Hoseph), mie 2467, lieutenanl (active) à la 1911 compagnie du 246* rég. d'iiv

officier énergique, brave et plein d'allant. Le 28 septembre 1915, a été grièvement blessé devant Souchez, en portant sa section à l'attaque des lignes ennemies. Une

fanterie

citation. (Pour prendre rang du

septembre 1918.) MORILLON (Jean-Didier), lieutenant (active) d'artillerie lourde, observateur en au 104erég. observateur d'un courage inlassable, avion d'une haute conscience et d'une grande habileté. S'est particulièrement distingué en assurant, pendant l'offensive de juillet 1918, les missions de contre-batteries, par tous les temps, à faible altitude. Ayant eu son avion atteint par un obus de plein fouet, a atterri dans les premières lignes et a demandé à reprendre immédiatement sa mission. Quatre citations. (Pourprendre rang du 20 septembre 1918.) GOYBEL (César-Florent-Aman), capitaine (réserve) au 45e bataillon de chasseurs à pied commandant le bataillon en qualité d'adjudantmajor, au cours de l'attaque du 10 août 1918, a fait preuve d'autant d'intelligente initiative dans l'exercice de son commandement que de bravoure dans l'assaut. A dépassé tous ses objeèlifs et exploité largement son succès. Une blessure. Quatre citations. 18

MÉDAILLE MILITAIRE

dévoué, volontaire pour toutes les missions périlleuses, pagne.A étéau front depuis le début de lajuillet camblessé très grièvement le 21 pagne. A 1918, en assurant la liaison entre son commandant de compagnie et le chef de bataillon. Enucléation de l'œil droit. Une citation. mie 3061, soldat CRESPEL (Eugène-Joseph), de lTe classe (réservé) à la 11e compagnie du très bon soldat, ayant 74e rég. d'infanterie donné comme agent de liaison de nombreuses preuves de son courage et de son dévouement. Aété très grièvement blessé à son poste de combat le 20 juillet 1918. HEUZÉ(Georges-Henri-Marie),mie 282, sapeurmineur (réserve) à la compagnie3/51 du 3erég. du génie bon sapeur, d'une excellente tenue blessé. au cours au feu. A été grièvement d'une attaque, le 21 juillet 1918. (réserve) NAUD (Pierre), mie Rt 521, soldat la 9e compagnie du 5e1-ég. d'infanterie excellent soldat, courageux, donnant en toutes circonstances entière satisfaction; a été blessé grièvement, le 20 juillet 1918, dans l'accomplissement de son devoir. Amputation de la cuisse droite. Uneblessure antérieure. JULIEN (Eugèner^ljieït-Joseph), mie 8148, ca10°èôifipagnie du 128e rég. à lagrdé, poral (réserve)jeÙn énergique, d'un d'infanterie : allant et d'une Jjravo.ure remarquables. Le 20 juillet 1918, S'est dépensé sans compter, s'élançant courageusement à l'attaque d'un bois fortement organisé, progressant en rampant sous Un tëU violent de mitrailleuses. L'objectif atteint;n'a pas hésité à se porter au devant d'une contre-attaque ennemie, donnant à ses hommes le plus bel exemple de mépris du danger a été blessé grièvement. Une cita-

(Pour prendre rang du Ier mai 1918.) BUCHAILLOT (Jules-Marcel-Auguste), mie468, soldat (territorial) à la 78 compagnie du 54e rég. d'infanterie territoriale: soldat courageux et dévoué. A été grièvement blessé, le 16 avril 1917, en exécutant des travaux sous le feu ennemi. Amputé de la jambe droite. (Pour prendre rang du 12 juillet 1918.) LAFFARGUE (Jean-Marcel), mie 06119, maitre pointeur (territorial) à la 24* batterie du 1er rég. d'artillerie coloniale excellent maître pointeur, ayant toujours fait preuve de courage, de sangfroid et de dévouement. été blesse, le 20 mars 1916, pendant qu'il travaillait à la construction d'un abri. Amputé de la jambe gauche. (Pour prendre rang du 19 juillet 1918.) GALÉA (Charles-Antoine), mie 13643, soldat (réserve) au 820 rég. d'infanterie: excellent soldat, énergique et brave. A toujours fait partien preuve de courage et de sang-froid, culier pendant l'attaque du 20 juillet 1918, au cours de laquelle il a été grièvement blessé. (Pour prendre rang du 22 juillet 1918.) DESJARDiNS (Raoul), sergent (réserve), au s'est par36e bataillon de tirailleurs sénégalais ticulièrement distingué le 15 juillet 1918, dans l'attaque d'un bois. A fait personnellement prisonniers un officier et six Allemands. A pris Je commandement de la compagnie privée de chefs et a maintenu son unité en position sous un bombardement des plus violents, (Pour prendre rang du 23 juillet 1918). GUERRIER (Antoine-Eléonore), mie 2666, soldat (réserve) à la 13e compagnie du 2160 rég. brancardier brave et dévoué. A d'infanterie été blessé grièvement le 23 juillet 1918, en accomplissant courageusement son devoir. (Pour prendre rang du 24 juillet 1918.) MUNIER (Camille), mie 613, canonnier servant (territoriale) au 4* groupe du 87® rég. dartillerie lourde excellent soldat, anime au plus haut point de l'esprit du devoir. A été très grièvement blessé, le 20 juillet 1918, dans l'exercice de ses fonctions de téléphoniste. (Pour prendre rang du 25 juillet 1918.) BERRUYER (Jean), mie 13932, soldat (active) fusilier au 23e rég. d'infanterie, 7e compagnie mitrailleur d'élite, ayant toujours donné le meilleur exemple en toutes circonstances. A été grièvement blessé, le 18 juillet 1918, en fin de progression après avoir efficacement protégé par son feu, l'avance de sa section. (Pour prendre rang du 30 juillet 1918.) MARIE (Alfred-Auguste), mie 015715bis, soldat dè 11e classe (territorial) à la 2e compagnie du i. rég. d'infanterie soldat très brave et très

-lcS 1llll!"':" tel' août 1918, en se portant an.par ics illlu en un point fortement battu leuses 1918.) 7580 iaC).»} à !»]! aoM lal' 9 (Pour prendre rang du il

très

;

tion.

(Pour prendre rang du 3l juillet 1918.) S451, sergent (réserve) à MARTHE (Henri), mie la 7e compagnie du 74e rég d'infanterie très bon sous-officier d'un courage et d'un dévouement à toute épreuve. Le 20 juillet 1918, s'est élancé l'un des premiers à l'attaque d'un village organisé par l'ennemi et a é.té grièvemant blessé en entraînant ses hommes. Deux blessures antérieures. (Pour prendre rang du 1er août 1918.) LAPERSONNE (Hector), mie 16801, soldat (active) à la lre compagnie du5® rég. d'infanterie jeune soldat, très courageux et très dévoué. A été blessé grièvement, le 18 juillet 1918, dans l'accomplissement de son devoir. Amputé de la jambe gauche. (Pour prendre rang du 2 août 1918.) GIVORD (Auguste), mie 03981, caporal (réserve) à la 2e compagnie du 7e bataillon du gradé remarquable de courage et de génie sang-froid. S'est signalé, le 28 juillet 1918, en entraînant son escouade à l'assaut des positions ennemies et en travaillant à l'organisation du terrain conquis tous un violent bombardement. A été grièvement blessé. Deux ci-

tations.

(Pour prendre rang du 7 août 1918.) MOYAUX (Lucien), mie 14426, caporal (réserve) à la 11e compagnie du 740 rég. d'infanterie : très bon gradé. A servi constamment d'exemple à ses hommes, pendant les combats du 18 au 23 juillet 1918. A été blessé grièvement, le 23 juillet, en s'élançant à l'attaque des positions ennemies. CARTON (Aimé-Georges-Maurice), mie 5092, soldat (réserve) à la compagnie hors rang du brancardier très brave, 128e rég. d'infanterie toujours volontaire pour les missions périlleuses. A été grièvement atteint, le 25 juillet 1918, en allant relever un blessé sur le champ de bataille. Deux citations.

(Pour prendre rang du 8 août 1918.) GUILLEMOT (François-Marie), cannonier servant (active) à la 3e batterie du 120e rég. d'artillerie lourde très bon soldat, courageux et dévoué. A été blessé grièvement à son poste de combat, le 31 juillet 1918. Amputé de la jambe droite. KERGUIDUFF (Jean), mie 2969, soldat (active) à la C* compagnie du 128e rég. d'infanterie soldat brave et plein d'allant. Pourvoyeurde fusils mitrailleurs, a été grièvement blessé le

ennemies..

fant,"ic:leI.,

PLANQUES (Jean), mie

t organises re l'action.. £ l'assitpositi

CdCturposition" compagnie du 172e rég. du plus beau fait portant 1918, a résolument preuve portantrésol-timent belne

l'assa àl'enlèvementgriea*^ejitl>ie des d'

contribué ennemis fortement nombreux prisonniers. A été au cours de

août •({ il (Pour prendre rang du

14879, rég, caE'illrant e11Ul1 mie CANDELIER (Louis), tou] serve) à la 28 compagnie du 478 grIllbatle rie: très bon grade, ayantblesséoecoiH^8'.p belle attitude au feu. A été le 29 juillet 1918, à son poste accomplissant son devoir. (te: aldat i5jl¡'éd'iPt. rand CO8 mie (René-Auguste), BAZIN plus grint d cou, 128' et 25 ui le 1918, du serve) à la 3e compagnie terie fusilier mitrailleur durangsde.COIIIDat. J.e coP^t ioent rage. Aux attaques des 21 étégriève s'est trouvé aux premiers DeIVI60 rusll tants. Le tn août 1918, a son blessé alors qu'il mettait mitrailleur contre batterie une en 1918.) (Pourprendre'ditNIÀ)JOL( rangdu12août MAMOLOYODIABETE )Y()DIADI

fSpt,

l énégal31 tirailleurssénégéida]llîr*,

tirailleur de ln classe (réserve) J.Uillet 1989 s'est&rUlaflï nte° gnie du 53e bataillon de vaillant tirailleur qui gf3ad porté pendant le combat du 26 UUtrès avec d,liii cours duquel il s'est porté,l'assaut courage, courage, A par trois fois, à blessé. fortifié. été grièvement -." , BURG (Albert-Mari 17 26'9er* prendree-Jean), (Pour rang dumie BURG(Albert-Marie-Jean), compagmeduntcouraS extreine1 sUr» dant (réserve) àla13e d'infanterie sous-officier geux, possédant beaucoup conduits l'attaqt l'at^SIt hommes. A brillamment ioleIlt, l'assautde son objectif au cours viole,litdo faire du21 août 1918. A réussi àvint Pl de se lai sous un progresser son unité,capturé mitrailleuses et a Blessé au cours du combat, sapcrég, mi~. d,. ser évacuer. Une citation. rég. dg RENARD (Ilenri), mie 3199, godu lUs gra 26/55 (réserve) à la compagnie ssage génie excellent sapeur, modèle *iaSsag0i:a les P yeo$ ment et de A rendu assur courage. services pendant opérations u® o~ les opérations services pendant Urieeodtil rivière, du 3 au 6 août 1918, en d,,geot5do feu violent, avec une intelligence rance remarquables, un service jïn A été blessé de liaison, très difficile. le 6 août, dans l'accomplissement sion. Une citation. - fi 5,Ilda (f& août 19 du prendre (Pour (Maurice), rang f%SO 27® 639 reg* mie serve) 9ecompagnie du MOUYSSET

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courageux soldat, d'une pos de A été grièvement blessé à son le 17 août 125$, août 20 du (Pour prendre rang G UIGOT(Noël-,Pierre-François), n0idier4pt GUIGOT dat (réserve) à la compagnie soldat antérieurfl0tP 47e rég. d'infanterie toujours fait preuve du plus beaujjjeD pour les blessés,idéjà cité accornp .^rje sa condui e au feu. A été belle conduite aitfeu. sa belle 693,50, toxiqué, le 15 août 1918, en lamment son devoir. Une blessure (Paul-Joseph).v£ 369*® SIEGENTIIALER D,I d'élite,reCOIOCOI dat (active) à la 14° compagnie grenadier d'infanterie d'allant et de sang-froid. Au merveld'abOI'" do du 15 août 1918, s'est battu suivant son habitude, se 't»,Jf fusil mitrailleur d'un luttant à la grenade avec un parentciO o pendant plus d'une heure. A, larg parstilgetioi fr8. et son insouciance du danger, a tribué à la progression réalisée 6DOeolio, qui, malgré la vive résistance atteint entièrement son objectif. sure. (Georges-Léon),mle09aw? tOt MICHEL

rie

ar cours servantd camarade\ v eIi

>-,.

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~sous-officier. l' t,ct

F • pendant« J:[)t'ur

deslogis(territorial)au237e rég. d'artillerie. P:)urSUiVi aeuernp,n avecsang-Troll! Le 15 août IWenu10^^riJempn| son service, malgré un ^riùvenniiûent bles^sée.TL-nne cit,ation. lequel il été a

prondrc'rang A.r\'e}u'Sène),. du 21 août

^Shlopf mIe 01111, tirailleur (réf11 Vitrail dedu27 belleattitudeaucombat juillet sénégatirailleurs au très brave. 1918. eu une ^,clPièce,iinp aeté grièvement blessé serblessure en tiftA (PonrPrd antérieure. SOtrLAcnre rang du aoûl19iso ?®?^rue août 1918,) S!,n»efi)à la^^!'ren«), du 2s^erég. d'inmie sergent rie sous Ofliciei-e.ïceptionnellenielit ~et audacieux, toujours à l'affûtde cHuhi les dix un hors de combat j 22 l'enPied«n Pos^eennemideonze sumric

il :et, i'nffi a re clIaUons, (Pour TI j valit

1918.)

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I Jiciijj nemi.Le

etJÎ(:ures capturéles

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<%<>,«Près,post» dIX autres,

ures,

crnc'

1492,

plein jour. avec ses

suivi deson S'installant emlitisembusen capturé,quelques suivi de son ordonson poste. Deux bles-

(PûUf rendre *&CELfPle|^kaoCel"1:''ernand)7 rang du 23 aoûtmie 1918.) Ê 'i'nîani?rie soldat (réserve)àtrèsIV^Plda'braveetdévoué. Rt510,

: teuunebelleatiitudeaufeu.Le

la3e compagnie olda rbrave et dévoilé. réç. du R».(,ai'lammArifgravementintoxiquéen

V lî le)le

47P

amm.ent

son devoir. Une citation. îJîVaa!?d'entri!n 11953, soldat (active) à P I)IPIerltrail, rég. d'infanterie jeune )CS,enacgraVCf!lent et de vaillance. Le 15 août s'es '-accomPnosant RL intoxiqué aux avant'AN bravementson devoir. lo (p^. kP caporal (réserve) à ~compagnie VcC-encieux5u de mitrailleuses du 47= rég. et brave gradé, dévoué intoxiq Par Le Ies 15 août Saz,alors 1918, qu'il graa étéassu^Ce'lenfCornPa»nkm}c l)UPO1' ICe aux avant-postes. ONt k i \:()Jt 8tHpagnlçdu288e <i?!'éent aen?lSo,,s-offi^! 288erég. d'infanterie 2082, sergent (réserve) Cliti rég. d'infanterie : ianf'uni> et<lecune très brave et très calme, section avec beaucoup d'auS'est particulièrement flJfs ^l?8absoluses en'du>re !?,.qualités du manœuvrières et A au danger dans les jourde *» août tv.'î,0ar"evlaa-.Pro?rpS<\0n 1918. Le 15 août. aper» de mitrailleuses qui ilnUîîUlarnm® comPorté Pre de sa compagnie. S'est 23août, lors le Village. une blessure. 1 d^i''llf!ia4ntSJî-0ef^"Jan-Florentin),mie011886, *ijé:Sepvei'ài'?413ecompagniedu366erég.

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hoCOmpagnie ml°WT>, soldat(réS~t ')Sllres du 3G6e rég.dmranhic' enrais K,r>tuG« lIAnfi 21 au COUrs de la bataille du lsant euresvaillamment août >s'ireeantôrlip l:l;(!I'V) OUis-Arm8nd), son devoir. Deux Une

ltI

citation. "ol¡/ég.d'i¡)COmpagnie mie 5206, soldat 16ég* <1uinfant 20cstdiStingué de mitrailleuses du erle : soldat d'une belle brade la baau cours A A blessé rearitérieure. été blességrièvement grièvement Unecitation. combat. Une WEl* Une fe,": aVUaii,?"* cïS' mie 18478, soldat (territodu 366e rég. d'infan5*té IéPartiuouli^eminnf ÍlUCOI.SOldat, dont la caillanteconA du 20 août 1918 a Cine Jourremarquée. Blessé grièen accomplissant son

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i010 kr.at.aiUe t (P,

citation.

û'Uh Pon^Vepil6 soldat IIlIlIe tanes erle: (active) au d'une POUr Pot, tollt leSmissions périlleuses, très bon soldat, volon-

r ïO

1 attitude

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essé le 20 août au feu. A été grlèveà*l0\h 'lige20 1918, en se portant à ennemies.

ljgnes ÊLj,a22*rn»arie)'

pa»nie

mie 13915, soldat du 366e rég. din-

soldat des plus courageux, dont la DELSOL (Pierre), mie 126, caporal (active) & conduite a été au-dessus de tout éloge au la 18e compagnie du 283e rég. d'infanterie cours de la bataille du 2Daoût 1918.' Blessé gradé d'une bravoure et d'une audaceremargrièvement en faisant son devoir. quables. Le 22 août 1918, en plein jour, au cours d'un coup de main hardirtient conçu et CANTAT(Pierre), mie 8322, caporal (réserve) exécuté, a capturé avec l'aide d'un seul camaà la 6e compagnie (lu 27* rég. d'infanterie rade, sept chasseurs allemands. S'est placé en excellent dévouement à -gradé, d'un brave et embuscade dans le poste ennemi môme et très grièvement blessé, toute épreuve. A été quelques heures après, a contribué à la capture combat. son posie de le 21 août 1918, à Une d'un officier allemand et de son ordonnance. citation. -' DELCROIX (Louis-Joseph), soldat (réserve) à prendre (Pour la 11e compagnie du 412e rég. d'infanterie grerang du 2i août 1918.) nadier voltigeur d'un courage et d'ifti sangROUGERON (Maurice), canonnier servant (ac- froid admirables. Le 20 août 1918 s'est, sans tive) à la 3e batterie du 45e rég. d'artillerie hésitation, élancé en avant, capturant trois agent de liaison qui s'est distinguélors des prisonniers et s'emparant de deux mitrailleuses. dernières attaques, et en particulier pendant Au cours du combat, a approvisionné les journées du 18 au 20 août 1918, en entre- rades en grenades allemandes. De ses camatenant la ligne téléphonique d'un observatoire initiative, a fait rechercher.et ramenersalepropre avance, sous un violent bombardement d'ar- de son commandant de compagnie et decorps tillerie accompagné de feux de mitrailleuses. sieurs hommes tombés près des lignes pluenneA été grièvement blessé, le 20 août 1918, en mie protégeant cette opération avec un remplissant sa mission. , groupe dont il avait pris le commandement. LE GUYADER (Henri), mie 017724, soldat (ré- Trois blessures. Une citation. serve) à la lre compagnie de mitrailleuses du AMIARD (Ernest), sergent (réserve) à la 47erég. d'infanterie-: très bon soldat, d'un dé- 17e compagnie du 6e rég. de marche de tirailvouement exemplaire. S'est toujours brave- leurs sous-officier d'une bravoure et d'une ment conduit au combat. Le 15 août 1918, a énergie admirables. Le 22 août 1918 s'est élancé été gravement intoxiqué par les gaz en assu- à travers une rivière, sous un barrage d'artilrant vaillamment son service de brancar- lerie lourde et des feux de mitrailleuses, à dier. l'assaut d'un village occupé par l'ennemi. BAILLEUL (Jean-Marie-Alexis), mie 1433, sol- A poursuivi celui-ci, entraînant sa section par dat (territorial) à la 3e compagnie du 47erég. son exemple, parvenant à progresser sous des d'infanterie bon soldat ayant toujours eu au tirs intenses et maintenant intégralement, en feu une belle attitude. A été atteint gravement fin de journée, la position conquise, malgré bombardements incessants et très viopar les gaz, le 15 août 1918, en assurant son des lents. Deux blessures. service à son poste de combat. VUAILLAT (Joseph), mie 11469, soldat (ré. ESTÉBE (Paul), mie Rt 956, clairon de 1re classe (territorial) à la 14e compagnie du 288e serve) à la 30 compagnie du 56e rég. d'infanterég. d'infanterie agent de liaison d'un cou- rie excellent soldat, faisant preuve en toutes d'un courage et d'un dévouerage légendaire. Le 22 août 1918, sa compagnie circonstances étant engagée, a traversé à plusieurs reprises ment dignes de tous éloges. A été blessé grièdes tirs de barrage très violents pour rensei- vement à son poste de combat au cours d'un gner le commandement, donnant ainsi le plus violent bombardement, le 25 août 1918. bel exemple de sacrifice. Deux citations. (Pour prendre rang du 27 août 1918.) GEORGET (Henri-Gabriel), canonnier servant BÉRRON (Dominique), mie 7 IC 6500, caporal (réserve) au 7e groupe du 106e rég. d'artillerie (active) 1er bataillon de tirailleurs Somalis lourde excellent canonnier, plein de courage excellentaugradé. été grièvement blessé le et d'entrain. A été grièvement blessé, en se 21 août 1918 à laA tête de son escouade au rendant à son poste de combat sous un violent d'une attaquo contre des positions très bombardement, le 18 août 1918. Une cita- cours fortement tion. DELPORTE (Emile-Victor), tirailleur (territo(Pour prendre rang du 25 août 1918.) rial) à la 7e compagnie du 6e rég. de marche tirailleur brave et dévoué. A CLOUET (Jules-Robert), mie 3192, sergent de tirailleurs (réserve) à la 14e compagnie du 288e rég. d'in- été blessé grièvement, le 26 août 1918, en fanterie : sous-officier d'un grand sang-froid et assurant le ravitaillement de sa compagnie d'un courage à toute épreuve. A très brillam- en première ligne. Amputation du pied ment contribué à la prise d'un village, a pour- droit. suivi l'ennemi, l'a harcelé par des patrouilles (Pour prendre rang du 28 août 1916.) et a fait échouer les tentatives de retours offensifs. Cinq citations. SELLIER (Gabriel-Alfréda-Jules-Georges), mie LAUBA (Jean), mie 01992, premier canonnier- 1353 (active) à la 13e compagnie du 369e rég. excellent soldat, courageux et conducteur (réserve) au 1er groupe du 218e rég. d'infanterie téléphoniste d un admirable cou- dévoué, d'une très belle attitude au feu. A été d'artillerie du 18 au 21 août 1918, n'a pas cessé blessé grièvement, le 14 août 1918, en accomqui,tirs rage qui, sous les plus violents d'obus explosifs plissant son devoir. et toxiques, de rétablir les lignes téléphoniques DERRIEN (Louis-Marie), caporal (territorial) reliant le groupe à l'infanterie et aux observa- au 3e bataillon du 74e rég. d'infanterie territotions avancées. Trois citations. riale gradé très méritant, courageux et dévoué. A été grièvement blessé à son poste au (Pour prendre rang du 26 août 1918.) cours d'un bombardement, le 28 août 1918. Une ANOR (Antoine), mie Rt 283, zouave (active) citation. à la 17e compagnie du 4e rég. de marche de (Pour prendre rang du 29 août 1918.) zouaves zouave très dévoué, modèle de vailPOULLIÉ (René-Hippolyte), mie 24372, serlance, le 20 août 1918, lors d'une progression sous bois, a attaqué à la grenade et réduit au gent (réserve) à la 9e compagnie du 4e rég. de silence un groupe de mitrailleurs ennemis qui marche de zouaves sous-officier réputé pour entgavaient notre progression. A donné le plus son courage, son allant, son énergie. Sest débel exemple de courage au cours d'une lutte pensé sans compter à l'attaque du 29 août 1918, acharnée. Grièvement blessé au cours de l'ac- enthousiasmant ses hommes par son exemple, tion. Enucléation de l'œil droit. s'est emparé de plusieurs points d'appui enneainsi pour une large part au contribuant mis, AUGEY (Léon), mie 169, adjudant (réserve) à succès de l'opération. A été grièvement blessé la 5e compagnie de mitrailleuses du 283e rég. l'action. Une blessure antérieure. de cours au d'infanterie chef de section de mitrailleuses Deux citations. d'un mordant et d'une bravoure exceptionnels, AJALBERT (Antoine), mie 0375, sergent (réqui s'est signalé dans tous les combats livrés par le régiment. Le 16 août 1918, engagé en serve) à la 4e compagnie de mitrailleuses du renfort d'un régiment voisin, a contribué à re- 339* rég. d'infanterie excellent sous-officier. pousser uneattaque ennemie. Le 19 s'est élancé Pendant toute l'attaque du 29 août 1918. a. à l'attaque avec un élan superbe et est arrivé montré un sang-froid et une énergie au-dessus sur la position allemande en même temps que de tout éloge, a contre-battu vivement les miles premiers fantassins. Le 22, s'est joint spon- trailleuses ennemies qui arrêtaient notre tanément au groupe d'éclaireurs de son ba- marche, n'hésitant pas à tirer complètement à taillon et a contribué à enlever un petit poste découvert pour mieux ajuster son tir. Trois, allemand. Une blessure. Deux citations. citations., fanterie

organisées.

;

GAGNON (Jean-Marie), mie 3145, adjudant tacthe) à la 21e compagnie du 339* rég. d infanterie chef de section d'une énergie exceptiona su en imposer à pelle; l'attaque par son beau courage du 29 août 1918 a sauté le pretous à mier dans la tranchée ennemie et s'est élancé, aussitôt après, àla poursuite de l'adversaire. Contraint à s'arrêter, a reporté sa section sur de une position de combat d'où il a essayé neutraliser le tir des mitrailleuses ennemies avec ses fusils mitrailleurs. Uue citation. MWOURY (Serge-Louis-Eugène), sergent (réserva ela 13e compagnie du 339e rég. d'infanterie sous-officier très courageux. Le 29 août 1918, est parti en tête des vagues d'assaut voyant la ligne arrêtée par de nombreuses mitrailleuses devant un objectif important, s'est proposé spontanément pour essayer de la tourner et a contribué ainsi puissamment à faire tomber la résistance ennemie. A pris ensuite le commandement de sa compagnie privée de chefs. Deux blessures. Quatre citations. VERGONZEANNE (Jean), mie 013964, caporal (réserve) à la compagnie 8/14 du 4* rég. du chargé de déblayer les routes derrière génie l'infanterie pour permettre le passage immédiat de l'artillerie, a, avec un mépris complet un du danger, entraîné son escouade malgré des pertes tir de barrage des plus violents etmission avec sérieuses, a ainsi accompli sa succès. ÔLLIER (Joseph-Clément), mie 6753, sergent (réserve) à la 19e compagnie du339erég. d'inle 29 août 1918, son chef ayant été fanterie blessé, a pris le commandement de la section chargée d'accompagner les tanks, est arrivé le premier sur la tranchée ennemie dont il s'estemparé malgré un violent tir d'artillerie et de mitrailleuses. Trois citations.

;

fanterie : très bon gradé, faisant preuve en toutes circonstances de courage et de dévouement. A été grièvement blessé à son poste de combat, le 29 août 1918. Deux blessures antérieures. Deux citations.

j du; , t auA*

0t( l son,] W

pouleSpatr° fait remarqu feu, qui s'est volontaire ^rv0ir. grièv prises comme é été A ou les coups de main. 1918, en septembre le 1er L. droit. Idat pied Amputé(Julien-Guillaume), du régo-qso

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d'iétj

ePs'él:

RIC enpelJll août 1918.) tj" (Pour prendre rang du 30 compagnie serve) à la 18e mitrailleur fortte nodtion aOût.1918 (CharleS-Léon-Joseph)! TARDIEU (Albert-Edouard), mie L.M.85, ser- terie : fusilier lei8 blessé, grièvement pilote gent (active) au a groupe d'aviation, litatlo iisà l'assaut d'une aviateur pilote d'un courage au-dessus de çant blessure Deux antérieure. Une l'escadrille, éloge. Depuis son arrivée à tout n'a cessé de faire preuve des plus belles quaDESACEY lités d'allant et d'entrain. Durant l'attaque du taillon à la ^f?llon;A^/cni^e2 (réserve) de chasseurs chasseur 29 août 1918, a rempli plusieurs missions im- taillon de portantes d'infanterie. A été blessé très grièoinbat> cinq contre combat d'un vement au cours puis le début de la poste de annittérieurC".1.] appareils ennemis. Une citation. ment blessé, à son blessure .:, BARBIER (Modeste-Jules), mie 018830, soldat août 1918. Une u mîe4fég-s^v0, Aa (réserve) à la 19e compagnie du 261e rég. d'in- citation. fanterie : soldat d'élite. S'est élancé à l'attaque c0Urag^ GQERUNG (Louis-Fernand), le 29 août 1918, avec un entrain splendide et, (active) à la 1" compagnie du capi 3, malgré la violence des rafales ennemies, n'a fanterie excellent soldat, gcs d'un officier 26 août 1918, étant miyti,aniiicuse5,"hIl,ii'; ¡Ii' pas hésité à se porter au secours lit de la compagnie grièvement blessé. Blessé sous un violent feu de lui-même, a refusé d'être évacué. Deux cita- hésité à se porter en avant avec tions. trailleur. Aainsi été l'ennemi. A de (récaporal 12048, mie (farius), mie J1*ftrailleUSed< CHATJD1ER miscsi M de l'accomplissement sa d'infanserve) à la 23" compagnie du 261e rég. 766 épreuve, toute à terie gradé d'une bravoure IIATJSER (Germain), s'Ó 4ecompagnie de énelétébàlht, d'un exemple constant pour ses hommes. Le tive)rég.lad'infanterie soldat 24 août 1918, a dirigé, de jour, une reconnais- 355e l'occupation permis d'une tranchée conduite remarquable au qui sance a grièvement, le 27 août 1918, en ennemie. Le 25 août, après avoir entrainésses 01J3. est terrain, taque. gagné du hommes à l'attaque et dg !4-0 1" je' de commandant 1 le tlljdre, offert spontanément à son (Adrien-Prosper),m 1SSARTEL compagnie pour jalonner les nouvelles lignes (réserve) à la C. II. R. du 3550 qu'il a aidé à tracer sous un feu intense des soldat courageux, qui f J août dans du 29 une mépris mitrailleuses ennemies. Le son ment par remarquer nouvelle attaque, s'est encore signalé par son combats du 31 juillet au 5 au mépris absolu du danger. Trois citations. grièvement blessé au 1918.) août 29 du (Pour prendre rang {916) DIMAN (Auguste), mie 08542, soldat (réserve) blessure antérieure. Une septernbreigis.) soldat, d'une bon d'infanterie brc rég. 166° sergent au TAVARD(Louis-Victor), mie 4607, grièvement du 2 blessé été prendre feu. A (Pour rang attitude belle au d'infanterie J.V1 sous le 21 août 1918, en se portant à l'attaque. (territorial) au 340e rég. EVEILLARD (Albert), mie 040l'alla officier d'un courage et d'une énergie aucompagnie du à la 38 dessus de tout éloge. Le 25 août 1918, a lasuperserve) du 31 août 1918.) prendre (Pour posirang l'assaut de d'un à section soldat, enlevé excellent bement terie sa : les maigre À fait l'a remarquables. ennemie, progresser sang-froid tion soldat 016089, (Victor-Germain), mie LAFAGE mitrailleuses, de et d'artillerie violents feux 339e rég. blessé, le 31 août 1918, en (ré' compagnie du 17e (territorial) à la ensuite l'a exemple solda l'enthousiasmant par son soldat, dévoué et cou- sous un violent tir de barrage. d'infanterie bon très mle^*ég.d'jjjj->•' maintenue sur la position conquise, organisant rageux. A été grièvement blessé. le 29 août dUg!a[lt (Prudenl), BONGARD terrain. A le judicieusement et aménageant vaillamment 40411 é0dû'Va0i), l'assaut à la J°uété portant du compagnie 1918, en se la 3* serve) à d'élite. Á, de nouveau fait preuve, à l'attaque du 29 août, d'une position ennemie. mitrailleur fusilier rie: de braet décision de qualités des mêmes P DOSitioB,^11!, pendant attitude perbe sergent 01732, mie MOINARD(Georges-Marie), voure. enos' du 261e rég. d'in- 1918, au cours de laquelle une compagnie (réserve) à la 18e ARNOL (Alphonse-Louis-Espril), mie 05746, fanterie excellent sous-officier. Blessé griè- blessé en se portant sur mitrailleuse : d'infanterie les au vement, le 29 août 1918, en se portant à l'at- ment battue par sergent (réserve) au 340e rég. brillam- taque d'une position ennemie, n'a voulu Une J cours de l'attaque du 19 août 1918, asection de accepter ment dirigé la progression de sa soin jusqu'à la nuit pour ne aucun du 3 rang (Pour prendre mitrailleuses, brisant deux contre-attaques en- pas exposer la vie de son camarade, a fait (Fernand-AUgnstd)'J81erie allefroid ayan eu s°t et nemies. A mis hors de combat un gradé de qualités belles sang plus des ERPELDING 5020rég. ai mand qui résistait avec ses hommes et a cap- preuve (active) de nonnier au eourage. co1»b&t p 0a poursuite en Pt"onant iiii furé ainsi une dizaine de prisonniers. Une char; de mécanicien saut citation. tro^ft CARISEL (Joseph), mie1088R., caporal (ré- reil d'un cours en panne au la 2&3e rég. d'infandu compagnie à la 13e serve) MATHIOT (Léon-Auguste), mie 015532, ser- terie:excellent gradé, très dévoué et d'une hésité à continuer lui entrainant d'infanterie avec 340° le ]Cn (territorial) rég. fusil et gent au blessé en grièvement 6t été A feu. attitude belle américains saIlgfrOl PAlaflnij fantassins 29 août 1918, a vigoureusement porté ses hom- à son poste de au violent d'un combat, cours au de la position enne- bombardement, le 31 août 1918. proximité. Grâce a son on mes en avant à l'attaque un la disloquer Uggu*» df &>dO' hardiesse, a pu rontre-attacillel, mie. Arrêté par un nid de mitrailleuses, l'a A portant Sr¡1iCS" KERMAGORET (Eugène), mie 3 IC 7157, ser- qui s'apprêtait à contourné, et suivi d'un homme, a sauté dans du 27e bataillon combat, a ramené dans les la tranebée allemande, a mis deux adversaires gent (active) à la 2e compagnie remarquable chef de camarades blessé, en le hors de combat et fait vingt-quatre prison- de tirailleurs sénégalais section qui a su, grâce à son allant et son en- sous le feu de mitrailleuses niers dont un officier. Deux citations. iC~t~ conditions meilleures kilomètre. les conduire, dans d'un dant plus 4 ug0oS BRUNET-MANQUAT (Prosper), mie 02354, ser- train, !>36ôer fLouis-Etienne), maximum sénégalais obtenir le et feu fraction en au sa d PELLEGRINO sousde rendement. A été grièvement blessé au gent (réserve) au 340e rég. d'infanterie sergent (réserve) à la lre officier d'une énergie et d'un dévouement combat du 18 juillet 1918. Une citation. porté briltaillon de tirailleurs remarquables. Le 25 août 1918, s'estl'assaut e ra2Port .~ntral ent!JI 14808, mie (Robert-Emile-Louis), des à brave, très et section, ardent GAULTIER très grit ritatl0 lamment, en tête de sa ses hommes aspirant (active) à la 4e compagnie de mitrail- mes. Le 1er septembre 1918, positions ennemies, entraînant dépensé sous-officier trouille dangereuse qui a 335e rég. d'infanterie du S'est leuses sans exemple. vaillant par son le ter- ayant un sentiment élevé du devoir. Le 29 août seienements précieux. A été compter pour reconnaître et organiser mitrailleuses. 1918, s'étant porté avec sa section de mitrail- Trois blessures antérieures, 01658;^^g0^a^ uu" --old8.\dl. rain sous de violents tirs de supérieures, flpagj,é puissamment position d'une l'attaque à leuses a forces Contre-attaqué par des mie (Henri), COSMAO 5evgl 3qeot entrain hommes enlevé énergiquement. avec un fortifiée, ses a résisté rallié ses hommes et 13 la a (territorial) classe lr* blessé grièvement Jhlie eSSé, jv' au cours A de nouveau fait preuve, le 29 août, des magnifique. A été d'infanterie rég. 233e l'action. citation. belles de plus qualités militaires. Une brave. A été grièvement très aU patrouille soldat 13500, (Charles-Victorin), mie d'une COLLIN mie 1918, au cours REBUFFET (Ferdinand-Vinccnt-Gabriel) 10')eOt eOelIf 09146, caporal (réserve) au 340e rég. d'infan- (active) à la 6e compagnie du 10e rég. d'infan- médiat de l'ennemi. ® (Georges-Marcel), terie : le 29 août 1918. a entraîné ses hommes terie : soldat modèle, d'une très belle attitude DELAUNAY : portant "iorl blessé grièvement été se en la de position Arrêté A feu. ennemie. l'attaque à par au ie, 335e rég. (active) dat août au 19 le ennemies, porté positions mitrailleuses, contourné et, avec à l'attaque des positio» un nid de demi-section,l'a sauté 29 août 1918, s'est Le soldat. dans latran- 1918. de a d'une son chef l'attaque à ment cours shée allemande, coopérant à la capture de blessé au grièvement 1918.) très été septembre du Ie* prendre officier. rang dont un (Pour A' 24 prisonniers antérieure. blessureUne rég. capor* 4e (active) soldat au CASABIANCA(CéSIP), BERTAUT (Roger-Louis-Bon), mie 1136, capo985, (Jules), mie MARTIN brave particulièrement au soldat ral (réserve) a la 6e compagnie du 56e rég. din- d'infanterie

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rég. d'infanterie ter-

MASSIP (Raymond), mie 2165, canonnier (acfront tive) à la 11e batterie du 320e rég. d'artillerie au toutes les affaires lourde très bon soldat. A été blessé grièves'est trouvé s'est t,,uv en- ment le 3 mai 1918, au mont Kemmel, à son lIébuterne

8 dé but tîQf1peasrallul pHnUîétr'e®enP?ijif2K 1

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3 lerée eut de à combat, et à Arras lUaseptem.bPoste i1Iïleyen 1916. A été dans blessé lanuit très la nuit corniele1960, C:01, bonsold tuLe 84'1rég. d'infanterie lotteu aleSoldat 31soldat (territorial) à uelle

rrj Q d?nSer> lors rdciîîcni afait 'n i às la été combat.très t rang août

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1919,

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d'un menace d'un blessé très griè" grié-

i sePtembre septembre 1918.)

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duÛfe),

soldat (territorial) à la 6° f caJl11Bnces de'quaiho excellent ayant montré bravoure en toutes cirernonsciencc ses fonctions avec t hOl11bntleaseCtrUPUleusc. i> HJ18, A été aucours blessé d'un grièd un 1i&cHEt ei>aûgd« septembrecours 1918.)

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(- compagnie Marie). 'e torid

ayrnOnd-Mathurin?dg d'itlfarlter conduiteaufeu.

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du 335e bon : «(P les- Le >< ,at, d'une très belle Se août 1918, !-8a'ssaut grièv. POSIa étédes t des posi1o"rrEAU e rang du Jpl^fpîs«î so^,

Và91

P^ortlaannt

Id'infanterie: î ),.sétrès&„:)

16 septembre 1918.) ^rifi^H^ntoineLmlelSOSl, ~(active) 17ecompagnie poste dcombat devant rnp cornb ement, juin 1918, son du 28ge bon et brave élé diltU.FA soldat. A AtupUtatiollde culsse droite. des son 81'batd cUiSse ledroite.

4tKm

àla le2

àré: Juin à desLoges.

*^i6VpLb°n :ïiiii ?*agnie dfrf'\eun 2grandcourage. cn"1 soildat•' solc?E«On tranchée de reg. duPre" (Pierre-Parcel-Michel), juin courage. thièr à la n °CflL°ges

13117, 2896

PERCHERON

a (réservA •bb»ijiV^-(V^al fanteiriLe:.,grad?é ?*compagnie mie du pied droit. jet AmP'Û1taattlinon

idu

et riè,,

h''eég. d'int réseve)àla23'1 compagnie du bJessêetPlein flterie

* gradé énergique, très seelndesa",','-frold. Aétégrièvement ^ie l^ÇamUinà ]l'9al5 àd'une («la U8^Tïj Moulin-sous-Touvent, ArADlité dUl'assant bras

(ja

position enne-

droit.

le uncentred'instruction à (territorial) sapeur t0111*i^îX' dgéev4peu;

8798,

bon télégraphiste, bon télégraphiste,

télé"k,b,-rraaxphites

aktistectior,tour

donné ayant toujours :

sa manierede d'av. lessé16 10 PeL

lori. lltoriaitf^ pa"nie t'Illerlal)

servir. Aété novembre 1916, par

à,Dl('!a.fIe'Joseph),

mie 3853, soldat du 53*rég, d'inent b en C.,9 etteublesSéOUlrageremarquable.Aétégriè-

r r

borntu mai 1917,à son poste de ligne au cours d'un ,:104 îcouri^antWtLa 'vcl'enlPli nerle:très eildinand-Fugène),

~bombardement.

9'A

mie 11276, bon compagnie du C^inH^ent^6etfnA î?ès 1)011sous-officier, sous-dfficier, fonctions devouement. d'agent de liaison été blessé bless,,, 3 1915, Neuvillefi>oUr^re^nféSPSSant (Pourprendreantérieures. une mission.

le26

•

e26septembre

septembre ïé6-mSî'' ulèv lel¡t aurailleur, rnle tirailleur ég. mixte rilui'0,,e8e r zouaves tirailleurs ebravetirailleurs): lenlelit,1.gv uable. excelet dévoué, d'une rang du

tlJ¡I1¡e

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tobd

feu2,dlraeonûiat

iUI8.)

10799,

été blessé bras 1918, à son poste de (Pour du gauche. Prend llleri:{)Ol'n;eSà-Gabriel-FranCOiS)' lalng du 18 1 8 septembrin septembre 1918.) ~titretemporaire la5'1batterie aspirant à 46e Nil^là^^de ayanttoujours du rég.darDrpmiA avoure et de l'entrain. l'a été de noule ejuillet igis, 23 tu coi»r«8 à son poste dun bombardement. Uno

P~ ïent

ier»

fe./ois>

poste de combat. Amputé de la jambe droite. BÉREIIOUC (Yves), mle Rt 3009, canonnier de 1re classe (réserve) a la 28e batterie du 258e rég. d'artillerie excellent servant, très courageux. A eu une belle conduite aux combats du 9 juin 1918, à Lassigny, où il a été très grièvement blessé. Deux citations. NAUDET (Ferdinand), mle 05722, soldat (réserve) au 1er rég.d'infanterie : bon et brave soldat qui a toujours fait preuve du plus bel entrain et de dévouement. A été grièvement blessé, le 28 mai 1918, au moment où il mettait sa pièce en batterie, sous un violent feu. Amputation de la jambe droite. SILVAIN (Charles), mle 8417, soldat (territorial) à la 4e compagnie de mitrailleuses du 20ie rég. d'infanterie bon soldat, très brave au feu. A été blessé grièvement le 25 mars 1917, en se portant à son poste de combat, sous un violent bombardement. LEPINE (Amédée), mle Rt 777, soldat de 1re classe (réserve) à la 4e compagnie du 412e rég. d'infanterie excellent grenadier, courageux et dévoué, toujours volontaire pour les missions périlleuses. A été grièvement blessé. le 28 mai 1917, au cours d'un violent bombardement, alors qu'il s'employait à des travaux d'organisation défensive en avant de nos tranchées de première ligne. (Pour prendre rang du 20 septembre 1918.) GARCÏN (Alexandre-Auguste), mle 8261, chasde skieurs seur (réserve) à la lre compagnie du 28e bataillon de chasseurs alpins bon soldat. Le 20 avril 1918, a assuré son. service de liaison avec beaucoup de courage, sous un violent bombardement et a été grièvement blessé. Une citation. BAVOUZET (Julien-Victor), mle 9593, soldat (réserve) à la 9e compagnie du 95e rég. d'infanterie : très bon soldat, brave au feu. A été blessé grièvement, le 2 mars 1917, au Four-deParis, en accomplissant son devoir. CHERRIER (Jules), mle 677, soldat (réserve) à la 6e compagnie du 95erég.d'infanterie excellent soldat, très courageux. A été blessé grièvement, le 17 avril 1917, en travaillant sous le feu ennemi, à l'organisation de tranchées conquises après une attaque où il s'était particulièrement distingué. GRAULET (Moïse), mie 443, sergent (réserve) sous-officier d'élite. au 404° rég. d'infanterie Le 20 août 1918, avec le plus profond mépris du danger, a enlevé sa section qu'il commandait, à l'attaque d'un point d'appui fortement organisé. Arrêté par les feux violents des mitrailleuses ennemies, s'est cramponné au terrain et a continué à progresser lentement, entraînant ses hommes par son plus bel exemple. Blessé, a gardé le commandement de son unité et ne s'est laissé évacuer que sur l'ordre de son commandant do compagnie. Une blessure antérieure. Trois citations. CORDIER (François-Evariste),mle 05657, chasseur de i'c classe (réserve) à la 9e compagnie du 55e bataillon de chasseurs à pied infirmier d'un dévouement et d'une bravoure légendaire. Le 18 août 1918, atteint au début de l'action, n'a consenti à se laiscer évacuer qu'après avoir pansé tous les blessés do la compagnie. Trois blessures antérieures. Trois citations. EQUILBEC (Jean-Chrysostome-Ernest), mle 01559, sergent (réserve) à ta 7" compagnie du excellent 45* bataillon de chasseurs à pied sous-officier, d'une bravoure légendaire au bataillon. S'est dépensé sans compter au cours des combats du 16 au 19 août 1918. Commandant un groupe d'attaque, n'ayant plus de munitions, a, à lui seul, favorisé la retraite de sa fraction en maintenant l'ennemi en respect avec des pierres et des mottes de terre. A été blessé très grièvement, le 19 août 1918. Trois

citations.

JOLY (Charles-Louis), sergent (réserve) à la

compagnie du 48e bataillon de chasseurs à pied : le 10 août 1918, quoique souffrant d'anciennes blessures, a voulu prendre part à l'attaque,donnant ainsi le plus bel exemple d'endurance, d'abnégation et de courage.A contribué 8*

à la capture de trois prisonniers. Cinq blessures. Trois citations. Les nominations ci-dessus comportent l'attribution de la Croix de guerre avec palme.

Paris, le 3 janvier 1919.

LOUIINABU 111

INFANTERIE PROMOTIONS ET MUTATIONS

Armée active. Par décret eu date ou 31 décembre 191.8, les officiers dont les noms suivent sont nommés au grade de lieutenant à titre définitif, pour

prendre rang aux dates indiquées ci-après auxquelles a pris fin leur deuxième année d'ancienneté dans le grade de sous-lieutenant décomptée conformément à l'article 1er de la loi du 10 août 1917: (27 septembre 1916.) M. Cointrel (F.-J.-N.), lieutenant à titre temporaire au 8e rég. de tirailleurs. (12 novembre 1916.) M. Delas (P.-B.-E.), lieutenant à titre' temporaire au 84e rég. d'infanterie. (28 février 1917.) M. Martin (G.-A.), lieutenant à titre temporaire au 1er rég. de tirailleurs marocains. (24 mai 1917,) M. Studer (C.-E.), lieutenant à titre temporaire au 151e rég. d'infanterie.

juin 1917.) Thibon (A.-A.), lieutenant à titre tempo(8

raire au 40e rég. d'infanterie.* (18juin1917.) M. Remy (E.-G.), capitaine à titre temporaire au 14e rég. de tirailleurs. (21 juin 1917.) M. de Bataille (G.-F.-F.), lieutenant à titro temporaire au 9e rég.,d'infanterie.

(9juillet1917.) Barbis (R.-F.), lieutenant à titre temporaire au 411e rég. d'infanterie. (12juillet1917.) M. Roques (J.), lieutenant à titre temporaire au 9e rég. d'infanterie M.

août 1917.)

M.Perret(P.-L.-A.), lieutenant à titre temporaire au 2e rég. de tirailleurs.

septembre 1917.) M. Jacquin de Margerie (II.-C.-G.-M.), lieutenant à titre temporaire au 4e bataillon de chasseurs. (22 septembre 1917.) M. François (G.-L.-A.). lieutenant à titre temporaire au 17e rég. d'infanterie. (21 septembre 1917.) M. Lescht (B.-N.), lieutenant à titre temporaire, hors cadres (aéronautique). (lr octobre 1917.) lieutenant à titre dinfanterie. M. Espardeilla (E.-P.-G.,G.) temporaire au 122e rég. (7 octobre 1917.) M Françoise(F.-D.Vlieutenant àtitre temporaire au 22ie rég. d'infanterie. (11 octobre 1917.) M. Rigal (A.-JO, lieutenant à titre temporaire au 66e rég. d'infanterie (détaché tique). (15 octobre 1917.) M. Malouvier (P.-c.), lieutenant à titre temporaire au 160e rég. d'infanterie. (19

arona

(21octobre1917.) Richard (C.-J .-L.), lieutenant à titre temporaire au 8e rég. d'infanterie. (28 octobre 1917.) M. Monnet ,(F.-A,-A.), lieutenant à titre temporaire au 333e rég.d'infanterie. (4 novembre 1917.) M.Maréchal(A.), lieutenant àtitre temporaire au1errég. étranger. (22 novembre 1917.) M. Meunier (M.-J.-E.). lieutenant à titre temporaire au 22e rég. d'infanterie (détaché artillerie assaut). (18 décembre 1917.) M. Refregier (R.), lieutenant à titre tempofaire au 355e rég. d'infanterie. (2 janvier 19t8.) M. Preux (A.-L.),lieutenant titretemporaire au 38 rég. de zouaves (détaché 21e rég. tchécoslovaque). (12 février 1913.) M. Bergcrou (J.-L.-M.), lieutenant à titre temporaire au 1er rég. mixte de zouaves et tirailleurs (détaché artillerie assaut). M.

(16

février 1918.)

Dufour (M.-H.), d'infanterie. lieutenant à titre temporaire au 12ie rég. (19 février 1918.) M. Macker (II,), lieutenant à titre temporaire au 92* rég. d'infanterie (détaché.artillerie d'asM.

aUt).

février 1918.) M.Leroy(L.-F.), lieutenant à titre temporaire au 1er bataillon de chasseurs. (28

(19

mars 1918.)

M. Montalal(E.-F.-J .),

poraire au

36Ge

lieutenant à titre temrég. d'infanterie.

(20juin1913.) Onffroy de Verez (M.-C.-M.), lieutenant à titre temporaire au 53° rég. d'infanterie.

('«juillet1913.) M.Bielle(E.-F.-J.-L.», capitaine

poraire au 27c rég. d'infanterie. (13 juillet 1913.)

atitretem-

Rayrrïond (G.), lieutenant à titre temporairç au 8e bataillon de chasseurs. M.

(29août 1913.) M. Robert (J.-B,-P,), lieutenant a titre temporaire au 3' rég. de tirailleurs. (30

août 1913.)

M. Bapst (J-M.-E.). lieutenant à raire au Ble rég. d'infanterie. M Le

Ilur

titre tempo-

(31 août 1918.) (A -M.-B lieutenant à

), titre tambataillon de chasseurs.

d'infanterie, est nommé d'infanterie, Nf.Tamburini,c'ict passe cla aubattil:nll

.1;, rm.,

t'-Jri»' ail"" a a..u,anHona* M.Gehin,chefdebataiUoo 311

t i

p rie. , reg. d ! , -d'inr'lide

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d 9e rûg, passe au

f(\g: fanterie, r.e !61'10' M. Bruant, chef de I,tri.' d fanterie, passe au 117e M. Bés, chef d, bataiUon fanterie, passe au 42e reg- âjn M. Dubois, chef d'escadron 138e rég. d'infanterie, pass" au réî terie. I.O al1' ,1 balai";™ |allteric. » '1')0 ! M. Chaud, chef de 3t1 r'' fanterie, passe au 330° rog. M.Mascarel, bila» l^^ ':V l'e;J, ,tfég, de chef d'infanterie, passe au atl d )a JI. 'qon Ir' de [llCi'IC" M. Charlent, chef r.tI' fanterie, passe au ne l'L'go a11 :'e M. ChampsiauJ. cap;laine dmiaui .bataillon terie, 57" rég.

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-jet i (Arles), d'in' tiraillcu JIr tJJ

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passe au GO" 3e a^-:-j1fanter^' II capitaineM. Champagne, chasseurs, passe au 141e reg. (18 septembre 1918.) JlIt au M. Boizcau, capitaine au M, Bataillard (P.-F.), lieutenant à titre temmarche d'Afrique, passe poraire au 71e rég. d'infanterie, Ir rocains ré!1. passe au 3~reg.dstira.'!!eutJ~(~ tMne.) (27 septembre 1918.) M. Foulon, capitaine au M. Domange (0.). lieutenant a titre tempo- rie, passe au 3e rég. de au ®^. raire au 101e rég. d'infanterie. M. Emmanueni, capitaine Gebatail(déPÔt), d i eh raileurs, passe au 17e rég. de (30 septembre 1918.) capitaine seurs, passe au57*rég. M. Pau, au d'infant ^^110^ M. Laplante (C.-A.). lieutenant à titre tem"ora!ltetl poraire au 144e rég. d'infanterie. M. Pellegrin, capitaine ded'illfaatop bataillon chasseurs, passe au 32e (13 octobre 1918.) M. Coriou, capitaine au 19e rég, 6; balai-lion corps, re])atai^°ipô!M. Marty (F.-II.-M.-J.), sous-lieutenant au est nommé trésorier aucomnw^» du 404 rég. d'infanterie. M. Delivro, capitaine au :? chasseurs est nommé (9 novembre DIB.) (atf* ! tiraille. capl M. Guérin de Yangrente, M. Pellerin (J.-M.), lieutenant à titre temporég. de tirailleurs, 1er au passe raire au 1er rég. étranger. CHrai^0ur^ M. Moreau, capitaine (20 novembre 1918.) indigènes), passe au 13e reg, de« M. Dessery (IL-J.), lieutenant à titre tempoM. Langlois, capitainedlllfantcrl raire au 99e rég. d'infanterie. terie, passe au 135e rég. rM, 9ge ÎGV capitaine M, Vaquier, terie, passeau27e rég.dlnfanterle.

poraire au

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mars 1918.) M. Bocquet (G). lieutenant à titre temporaire au ne rég. d'infanterie (détaché aéronautique). Par décision ministérielle en date du 22 dé(31 mars 1918.) M. Tsson (J.), lieutenant à titre temporaire au cembre 1918 et par application du décret du 12 novembre 1914. sont nommés au grade de 144e rég. d'infanterie. sous-lieutenant à titre temporaire : (5 avril 1918.) (A dater du 1er novembre 1918.) M. Hemont (G.-L.), lieutenant à titre tempoM. Simonnet (P.), aspirant au Sierég. d'infanraire au 110- rég. d'infanterie. terie. (12 avril1918.) M. Paget(L.-C.), aspirant au 201* rég. d'infanM. Cunin (M.-E.-B.), lieutenant à titre tem- terie. poraire au 371e rég. d'infanterie. (-20 avril1913.) Par décision ministérielle en date du 30 déM. Ambroise (J.), lieutenant à titre tempo- cembre 1918, les mutations ci-après sont proraire au lGle rég. d'infanterie. noncées ou ratifiées: M. Somon, colonel hors cadres (état-major), (25 avril 1913.) réintégré 68e rég. d infanterie (pour ordre). au Blanc (M.-L.-A.), lieutenant à titre tempoM. Maintenu dans son commandement. — raire (hors cadres) (service renseignements)du M. Gross, lieutenant-colonel au 9e rég. de Maroc. zouaves, passe au 25erég. de tirailleurs. (29 avril1918.) M. Jean, lieutenant-colonel au 9e rég. de M. Imbaull (C.-F.-A.), lieutenant à titre tem- tirailleurs, passe au 33 rég. d'infanteri-e (pour poraire au 26e rég. d'infanterie. ordre). M. Lagasquie. lieutenant-colonel au 600 rég. (15 mai 1918.) d'infanterie, passe au 80e rég. d'infanterie M. Finet (M.-E.), lieutenant à titre tempoM. Azan, lieutenant-colonel au 69e rég. raire au 31e bataillon de chasseurs. d'infanterie, passe au 80e rég. d'infanterie M. Dardelet, chef de bataillonau 6ge rég. d'in(19 mai 1918.) M. Priou (L.-J.-M.), lieutenant à titre tempo- fanterie, passe au163erég. d'infanterie. raire au 66e rég.d'infanterie (détaché inspecM. Ileinis, chef de bataillon au 221' rég. tion des bois). d'infanterie, passe au 109e rég. d'infanterie (commandant du dépôt). (1erjuin 1918.) M.Aymeric, chefde bataillon au 285erég. M. Jaucourt-Perroy (M.-E.-P.-R.), lieutenant d'infanterie, passe au2120 rég. d'infanterie. à. litre temporaire au 67e rég. d'infanterie (détache aéronautique). M. Boissier, chef de bataillon au 10e rég. d'infanterie, passe au 141e rég. d'infanterie. (15 juin 1918.) M. Plée, chef de bataillon hors cadres étatM. Fanion d'Andon(G,-M.), lieutenant à titre major. réintégré au Ier rég. de zouaves (Sainttemporaire au 60e rég.d'infanterie. Denis). .(27

i ,0'

^f.!rdii c°r^ a"2',, f«.

M.Jacquot, chef de

îl0i*lfiC au Ii''0,;I¡

t an. ji ré,,.difl.

Roulin, capitaine au chasseurs, passe au 158e Bardon, M. Bardon,capitaine au3e M.

r' j|00 nterl

capitaineau34m que,passeau248"rég.d'infante M.

17e

Cuelle, capitaine au ,<'jnt' passe au 40*rég. d'infanterieM. Boisson, capitaine au 3* re-O- d'infoterJJ, passo au 117e rég. d'infanterieM. Guyon. capitaine au.4 terit ,jtlfaoter -84frog-j'jiif®0 passe au 37e rég. d'infanteried M. Laville, capitaine au passe au 130e rég. d'infanteriejoa^r' loat M. Peghaire, capitaine au terie, est nommé charge du e 01e Ti°' d-infjf ,'or3fl corps. dlfl M.Saltet, capitaine an passe au 96. l'ég. d'infanterie, 'eT 36;:;" /2" d jJI M. Giroud, lieutenant d'ini,ani au ^ric- digtee, terie, passe au 140- rég. rJ¡ M. Roussel, lieutenant au terie, passe au 20e rég. rég.d'infan^ier-.e, C M. Le Floch, lieutenant au fi de terie, passe au 65e M. Paul, lieutenant au 21 l1atal:;:;ellr'r,r.' seurs, passe au 23e bataillon de te,,' till00cnr dJ M. Lacroix, lieutenant au rég. d'infanter terie, passe au 46e M. Loubère, lieutenant au \crib chasseurs, passe au 23e batatIlOil '¡Oran (trésorier). M. Raffi, 'lieutenant au 61e rég. d'ioratltOrÍ! 161e passe au 5e rég. de tirailleurs. M. Pinelli, lieutenant au d'¡n!aJ1 passe au 155e rég. d'infanterie. M. Dodo, lieutenant au 161e passe au 155" rég.d'infanterie. d1 4:Í' M. Cantrelle, lieutenant au d'infa»1" terie, passe au 124* rég. M.

rég* ,d'ln

',,°,r c,J't 8" ena., jin d'infante

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®Uf8>passeueutenant au 1 bataillon

au 588bataillonde poraire au 5e rég. de chasseurs (détaché infanpaaOIS, de chasseurs. terie). lepiêtanp' Paiseau lieutenant au 618 rég. d'infan(Rang du 1er novembre 1915.) rég.d'ilafanterie. V^'eUnn^ Il(' tenant Nuel M. Corsel (Charles), lieutenant à titre tempo61* rég. d'infante- raire au 12e rég. de hussards (détaché aviaau 61e d'infanterie. tion). Dasseau"1" 61e rég. d'infantedu 10 novembre 1915.) (Rang M rég, d'infanterie. terlC,Passens, titre lieutenant à (Louis-Jean-Emile), Joly lieutenant au M. au130erég.d'infanterie. 618 rég. d'iiif d'infanan- temporaire au 12e rég. de chasseurs (détaché *te'4\Uclalr n'^s®aui5oerâ*îf.d g" ln'anterie. ). infanterie }j «yjl,sinchv g"dmîanterie. M.tllsinchY,lieutenantau 40* rég. d'infante(Rang du 11 janvier 1916.) (Jean-Joseph-Marie-Camille), sousM. Bléhaut (détaché brassarlieutenqnt au 40e rég, d'infante- lieutenant au 26e rég. de dragons e 1 0 aviation). «ei^ïSee ys ssç au au 4Qcrég.d'infantey (Rang du 21 avril1916.) reg: d'infanterie. M ?'éLES-trd-aVia8eré^* Clî35ûi eoy's~ "e sous-lieu(Louis-Eugène-Joseph), Titecat M. au 108e rég. d'infante- nant au 9e règ. de cuirassiers (détaché infananteriepoSOUSlieutenant au298e terie). rég. d'in(Rang du 15 mai 1916.) au (adjoint dt'lA,Oelpech' M. Chapuis (Raymond-Jules-Alphonse), lieuM,per 0^'eutenant 32e rég. de dratemporaire tenant titre à au Passe au 690 au 18e bataillon gons. bataillon de chasseur. (Rang du 19 juin 1916.) rrieP leutenant 148" rég. d'inM. M. Lieulier (Léon-Joseph-Gabriel), lieutenant 2jc I antCtic, à titre temporaire au 4e rég. de dragons. â$se sons-lieutenant passe '.antcj^n,So, '?Uîenantauau 83e175e rég. d'inau 13()e (Rang du 24 juin 1916.) rég. d'infanterie. à titre tempolieutenant (Georges), Cury M. d'in- raire (blid ailleurs Icutenant au 9e reg. de cuirassiers. d (Rang du 1er août 1916.) indigène au 9e rég. PasSc au 1" rég. de tirailleurs M. Pacaud (Guy-Marie-Gaston), sous-lieutenant au 9e rég. de dragons. déccmbre 5 août 1916.) du (Rang Ml°Ti°NsBtnominations M. Desprès (Léon-Gaston), sous-lieutenant au 1er rég. de dragons (détaché infanterie). flét eme-Jeneàtitre 1916.) septembre du 3 (Rang i/^éim^pitaina. 1918 : M. du Val de Dampierre (Renaud-Gahrieltemporaire temPoraire Mounier Mounier geracr.de eilil *uîc <Uititre' rederég.d'inrantÙie, cuirassiers, Marie), sous-lieutenant au 2e rég. de dragons. à son l'armée active, promu du 11 octobre 191G.) (Rang a été admis, dans le cadre des offiCiers J officiers M. Charvot (Gcorges-Savinicn-Eugène), lieutenant à titre temporaire au 13e rég. de hussards (détaché infanterie). ,lJr Allrée active. (Rang du 26 octobre 1916.) ?Pport,» M. Simon (René),sous-lieutenant au 6e rég. dOnt du de conseil, mide dragons (détaché aviation). 'eu>efembre Gradégerre, essiîiiestofllcêrs cavalerie et Par décret en date du 1518 (Rang du 13 octobre 1918.) ofliciers de cavalefie rilduSSuivent , Prendront rang dans ft (Jules-Georges-Arthur). lieutenant x ùates M. Jousse ci-après : à titre temporaire au 1er rég. de spahis. gracIe de lieutenant. iTIang du 7 novembre 1916.)

au'l2 aniau „ iio g>

j, l'itmfanterie.

n 298*rég.d'in,•

®e]p

infanterie

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Moli

infanterie.

rég.

e lirai,, L ). s.e,e8'dtacfnterie. CAVALERIE

irb datedu26

69,dré" t1; cnt,

érncnt.

le" •»iiç'fodp président

iAil kg

(

A (Rangdu17octobre (I. n ,Y^Yes'ProsPer-Félix), IIeï"ie).de 1917.) Vi

lieute-

chasseurs d'Afrique (déta-

t4lpqde9rade dede sotis-lieutenant. sous-lieutenant.

>i28octobre1918.) ?n~Attlanase)'sous-lieutede chasseurs. ,ÏÎek lithéa&4ftUroani,.e^le.f;Henrick), icIse(nangdu7mars1915.) réèb

). Ie). -

lieutenant à

reg. do cuirassiers (dé-

fr .nilt))ba(nangdu 19 juin 1915.)

11 !

(LoUis),lieutenant titre teml'ég. de dragons (détaché infan-

(Rangdu25juillet It¡Itrltre,(Jcan-Baptiste),

etle).

1915.)

, capitaine à titre régi de hussards (détaché octobre1915.)

(îl°®4u7

'eUrs'titre

1()e

àtitre elIlPoraire

reg.de

(ilaricdu 20octobre1915.) au

5-a

cha-

L Eayrac(Marie-Eugèneau<iMawniinnJ\» liieutenant à titre tem-

-auM.

Xambo(Jacques-Charles),sous-lieutenant

(Rang du 17 mai 1917.) M. d'Ilébray de Pouzals (Marie-Charles-Mau* rice), lieutenant à titre temporaire au11e rég. de cuirassiers. (Rang du 21 mai 1917.) M. de Beanmont d'Autichamp (Marie-Charlesrég. Antoine-Amblard), sous-lieutenant au de chasseurs.

(Rang du 29 mai 1917.) M. de Thélin (Pierre-Marie), sous-lieutenant au (JCrég. de cuirassiers. (Rang du 11 août1917.) M. Breton (Joseph-Félix-Anfoine), sous-lieu-» tenant au 23e rég. de dragons. (Rang du 13 août 1917.) M. Sellier (Jacques-Guy), sous-lieutenant au 25e rég. de dragons. M. Janet (Roger-Maurice), sous-lieutenant au 27e rég. de dragons. (Rang du 22 août 1917.) M. Bouxin(André),

de dragons.

sous-lieutenant au 23"rcg.

(Rang du 26 août 1917.) M. Pelletier (René-Marie), sous-lieutenant au 15e rég. de chasseurs. (Rang du 27 août 117.) M. Delmotte (Marcel), sous-lieutenant au 10e rég. de cuirassiers. (Rang du 1er septembre 1947.) M. Vincent (Marie-Eugéne), sOus-lieutenant au 26e rég. de dragons. (Rang du 4 septembre 1917.) M. Christophe (Lucien-Pierre), sous-lieutenant au 5e rég. de dragons. (Rang du 15 septembre 1917.) M. Jeanne (Roger-Joseph-Aimé), sous-lientanant au 16e rég. de dragons. (Rang du 17 septembre 1917.) M. de Carrère (flenri-Marie-François), souslieutenant au 2JC rég. de dragons. (Rang du 14 octobre 1017.) M. Delarnaison (Ilenri-Eugéne), sous-licullnant au i" rég. de chasseurs d'Afrique. (Rang du 22 octobre 1917.) M. Devouges (André-Chri-stiaivJacques), snuslieutenant au 1er rég. de chasseurs d'Afrique.

rég. de dragons. (Rang du 3 novembre -1917.) (Rang du 3 décembre 1910.) (Michel-Marcel), sous-lieutena M. Gardelle M. Larisson (Robert-Pierre), sous-lieutenant au 21e l'ég. de chasseurs (détachéinfanterie), au le rég. de dragons (détaché infanterie). 13 janvier 11*18.) du (Rang du 1917.) janvier (Rang 7 M. Fagheon (Pierre-Gaston), sous-lieutenant sous-lieutenant (Maurice-Jean), Mauruc M. au 2e rég. de cuirassiers. au 10e rég. de dragons (détaché infanterie), M. d'Andoque (Jicqties-Etigène-Alban), sous(Rang du 18 février 1917.) ieutenant au 11e l'ég. de cuirassiers; M. Thouvenain (Camille-André-Jean-Baptisle), (Rangdu7février1918.) sous-lieutenant au 3e rég. de chasseurs d'Afrique (détaché infanterie). M. Riant (Antoine\ sous-lieutenant au 2' rég. M.Yigncron (Henri-Joseph-Léon), sous-lieutede chasseurs (détaché aviation). nant au 3erég. de hussards (détaché infan(nangdu8février1918.) terie). (Ludovic-Constant)sous-lieute, (Rang du 13 mars 1917.) M. Pinard (détaché aviation), dragons de rég. 2e nant au M. Gélœs dHsioo (Théodore-Charles-Maximilien-Maric-Ghislain-Maur), lieutenant à titre 1918.) avril 7 du (Rang dragons (détaché rég. de temporaire au 16e (Aimery-Louis-^ules-lIeilry), infanterie). Blacque-Belair M sous-lieulenant au 11* cuirassiers. (Rang du 26 avril 1917.) M.Orgias (Lucien-Denis-Anioine), sous-lieu(Rang du 19 avril 1918.) aviation). nant au 4e rég. de dragons (détaché (César-Jcan-Baptiste-Fidèle), sous« Ethuin M. M. Bastian (Paul-TAon), sous-lîeutcnant au lieutenant 11e rég. de cuirassiers. au infanterie). (détaché 17e rég. de chasseurs (Rang du 10 mai 1918.) (Rang du 10 mai 1917.) 8* réjfjsous-lieutenant Sprauel au M. (Louis), rég sous-lieutenant 2e (Clair-René), Guy au M. de dragons. i de dragons. '23e

(Rang du 1«* août 1918.) (Rang du 16 mai 1018.) M. Brenier fJean-LouisJoseph), sous-lieuteM. Pacaud (Guy-Marie-Gaston), sous-lieutenent au 13e rég. de chasseurs. nant au 9e rég. de dragons. (Rang du 17 mai 1913.) (Rang du5août 1918.) M. Desprès(Léon-Gaston), sous-lieutenant au M. Farne (Maurice-Marie-Joseph), sous-lieu1er rég. de dragons (détaché infanterie). tenant au 2Cerég. de dragons. (Rang du 29 mai 1918.) (Rang du 3 septembre 1918.) M. Huguet (Gaston-Clément-Joseph), sousM. du Val de Dampierro (Rcnaud-Gahriellieutenant au 200 rég. de dragons. Marie), sous-lieutenant au 2e rég. de dragons (détaché infanterie). du 1er juin 1918.) (Rang du 11 octobre 1918.) M. Ilénot (Panl-Emile). sous-lieutenant au 58 rég. de hussards (détaché aviation). M. Charvot (Gcorges-Savinien-F.ugènc). lieutenant à titre temporaire au 13e l'ég:de hus(Rang du 16juin 1918.) sards (détaché infanterie). M. Detacodre de Montpansin (Léonal-Louis(Rang du 13 octobre 1913.) Maurice), sous-lieutenant au 13e rég. de chasseurs. M. Jousse (Jules-Georges-Arthur), lieutenant (Rang du 22 juillet 1918.) à titre temporaire au 1er rég. de spahis. M. Routet (Jean-Baptiste-François), sous-lieu• (Rang du 26 octobre 1913.) tenant au 25e rég. de dragons. M. Simon (noné), sous-lieutenant au 6*rég. de dragons (détaché aviation).

<(Rang

Sur le rapport duprésident duconseil, minisire de la guerre, et par décret en date du 26 décembre 1918, sont nommés, dans l'arme de la cavalerie, au grade de lieutenant comme avant accompli deux années dans le grade de sous-lieutenant, savoir

(Rang du 28 octobre

llG,)

(Roger-Jean-Athanase), sous-lieutenant au 13e rég. de chasseurs. M. Loisy

(Rang du 7 mars 1917.) M. Nielsen (Charles-TIenrick), lieutenant à titre temporaire au 3erég. de cuirassiers (détaché aviation). (Rang du 19 juin 1917.) M. Rambaud (Louis), lieutenant titre temporaire au He rég. de dragons (détaché infan-

terie).

(Rang du 25 juillet 1917.) M. Lespès (Jean-Baptiste), capitaine à titre temporaire au 10e rég. de hussards (détache

infanterie).

(Rang du 7 octobre 1917.) M. fiaucr (Lucicn-Camillc-Eugêne), lieutenant à titre temporaire- au 56 lég.de chas-

seurs.

(Rang du 20 octobre 1917.) M. de Boulancy d'Escayrac (Mario-EugfcneLéonce-Renaud-Marlin), lieutenant à titre temporaire au :Jr rég. de chasseurs (détaché in-

fanterie).

(Rcng du 1er novembre 1917.) M. Corcol (Charles), lieutenant à titre temporaire au 12e rég. de .hussards (détaché aviation). (Rang du 10 novembre 1917.) M. Joly (Loms-Jean-Emnc), lieutenant à titre temporaire au 12e rég. de chasseurs (détaché

infanterie).

(Rang du 11 janvier 1918.) M. ïlléhaut (Jcan-Josoph-Marie-Camille),souslieutenant au 26"rcg. do dragons (detaché

aviation).

(Rang du 21 avr;l 1918.) M. Titecat .(Louis-Eugène-Joseph). sous l'eutenant au G* rég. de cuirassiers (détaché infan-

terie,

)

(Rang du 15 mai 1918 M. Chapuis (Raymond-Jules-Alphonse), lieutenant: à titre temporaire au 32e rég. de dra-

gons.

(Rang du 19 juin 1918.) M. Lieulier (Léon-Joseph-Gabriel),lieutenant àtitre temporaire au 4e rég. de dragons. (Rang du 24 juin 1918.) M. Cury (Georges), lieutenant à titre tempoau 9e rég. de cuirassiers.

.re

(Rang du 3 décembre 1918.) M. Larisson (Robert-Pierre), sous-lieutenant au15e rég. de dragons (détaché infanterie).

, 1 ;

dU9'" (André), du 9- i-» M. Rivière(Albert-Louis-Alph°ndu®'1

* r?s,

M. Becker

decuirassiers. niî.)jl eraaot[) r~ (Pour prendre rang au 235 M. Postée (Laurent-N,l&rie),

: gré

,913.) dragons. 'lobre ML'ric),' du.,¡J ° (Pour prenJre rang (EdmOnd-LotUS M. Montagne 111,1 113rég. de cuirassiers. 29 lO J r;' r~ du (Pour prendre raug ~, 1;¡ d'l ,. M. Verge* (Henri-François;, dragons. l'ajmetertlPÙrli:,:" C)

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Par décision ministérielle 1918, sont nommés dans h,re à lieutenant grade de au temporal. sous-lieutenants titre

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dl1" (Pour prendra rang du (Raymond-Et'"nnC'' chasseurs M. Thiry

d'Afrique. aaCit M. Brugnon (Henri-Auguste-Josoi (Pour prendre rangdu

21 19

dedragons.

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1)17,)I!

(Pourprendrerangdurnbrc 23 ~T'~

cuirassiers. i,:f"1ï î

Sur la proposition du président du conseil, M. Ebelot (Charles-Alfrel-Ma1*10" , ministre de la guerre, et par décret du 22 no1)13 vembre 1918, sont nommes dans l'arme de la "f, , '(1 rang du12 cavalerie au grade de lieutenant comme ayant (Pour prendre (Charles-Guilla-1^®1' accompli,deux années dans le grade de sousM. Janneau (détactiéartillcli" lieutenant, savoir : de cuirassiers 191.) or,oati9l'V' JI (Rang du 22 mars 1917.) t d,u (Pour prendre rang lieutenant M. Saunier (Jean-Philippe-Victor), dtl (Georges-Jean). M. Petitpierrc à titre temporaire au 4e rég. de dragons. chasseurs. (Pourprendreran-du17oC^r Octobre (Rang du 24 octobre 1918.) ciiî>' 17 du (Pour prendre rang M. Gindre (Jules-Hyacinthe-Xavier). lieutede rég, du nant à titre temporaire au 5' rég. de cuirasM. Morand (Honri), ¡, siers. d'Afrique. (Rang du 12 novembre 1918.) ) titre à Sous-lieutenant M. Pasquet (Jean), sous-lieutenant au 1errég. ¡,r, de chasseurs d'Afrique. (Pour prendre rang du 25 M. Ranvier (Gabriel-Jean-Marie), sous-lieuteM. Cudcl (Fernand-Louis-Eugènc nant au 5e rég. de cuirassiers. de dragons. (Rang du H novembre 1918.). M. Amiot (Léon-Auguste), sous-lieutenant au ARTILLERIE 11e l'ég, de cuirassiers. (Rang du 23 novembre 1918.) promotions M. Gosset (JuIes-Eugène-Alphonse), sous lieutenant au 4e rég. de cuirassiers. 03 de deCI Par décision ministérielle. du (Rang du 3 décembre 1918.) 1918 et par applicationdes loisalLffradecVr: ; et 27 juillet 1918. sont promus«ure®^0 a-.mi'1 M. Gucrin (Alfred), sous-lieutenant au 4e rég., à titre temporaire pour laa!Tcctatto de chasseurs d'Afrique. et maintenus daaï leur (Rang du 11 décembre 1918.) savoir: 1918.) août M. Ledoux (Georges), sous-lieutenant au (Rang du 15 1er rég. de spahis (détaché infanterie). àce !,:!r..: ultérie"" Les lieutenants promus M. Bouchez (Henri-Guy-Léon), sous-lieutodéiinitif à des dates nant au 16e rég. de dragons (détaché infanM.Rateaux (G.-L.),du533'ré?terie). novemb,refOlS'F (Rang du 15 décembre 1913.) (Rang du 30 rtJ' M. Dauxerre (Marcel-Georges). sous-lieuteM. Desreumaux éfltlllL nant au Serég, do cuirassiers (détaché infand titre terie). à sous-lieutenants Les tig,) (Rang du 24 décembre 1913.) (Rang du 15 août M. Collin (René-Jean-Gabriel), sous-lieuterég. du 25je M. (J.-L.-M.), Bernard nant au 250 r6g. de dragons (détaché infant9:} terie. (Rang du 22 septembre dl' ?i (J.-P-"l' M. Favro de Thierrens aéronautici116'' (delactié service au Par décision ministérielle du 2j décembre 1913.) 1918, sont nommés dans l'arme de Ja cavalerie octobre (Rang du 6 de lieutenant à titre temporaire les au grade sous-lieutenants à titre temporaire ci-après M. Laperchc (R.-M.), du175e rég. lxg.) (Pour prendre rang du 28 juillet 1918.) (Rang du 17 octobre rég, 5' M. Prieux (Georges-Elie), 4u 238 rég. de draM. Charpentier (II.-J.-L.), du gons. (Rang du Ier novembre M. Duhem {Emiie-IldephonseJ, du 2e rég. de chasseurs. M. Deuis (J.-C.), du IOG, rég.

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754 rég. 1558 rég-à P,, ed.

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Ledoux Ledou àu2358 G"Crég. *. ieroy(M,), rég, M

*1»<t!!Sr MOUI(L.-J^;BB'Î (n,-A,-J.), \'rt^90orég. AI'

du 235e rég. nde,uIF..-E.),du283'l'ég. Il-E.-P.du J.du 309.rég. rég. K Icol'i ret(Ù.«n?)' 3096

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fc. sons-lieutenallts |»rn u aS «f F**^ntin nhn -ndu5erég. ang

l',du )

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à titre temporaire ^traire(j~L0> du 28 juillet 1918.) aire(J,-C.),

du4e 4e rég. rég.

han I

M. Blanchard (S.), du 275e rég. — 3e groupe d'artillerie de

du26 août 1918.)

fS0r,tembre « ir»i^aerte rj ,'G 1918.)

campagne d'Afrique. M. Delacroix (J.-L.), hors cadres. 43e rég. M. Rondel (L.-J.-D.), du 10' rég. à pied. 1* rég. à pied. M. le sous-lieutenant Chatelaine (G.-E.), du d'artillerie 84e rég. d'artillerie lourde, 85' rég. — lourde.

Circulaire accordant une indemnitéauxfamVles des enfants de troupe qui n'ont pu rejoindre les écoles préparatoires par suite d'épidémies. 30 décembre 1918. Il y a lieu de se conformer aux disposiiions suivantes en ce qui concerne l'entretien des «am enfants de troupe laissés à la charge de leurs familles du fait des épidémies qui ont retardé ARTILLERIE COLONIALE la réouverture de certaines écoles militaires préparatoires. MUTATIONS Pour les enfants de troupe qui devaient entrer, pour la première fois en octobre 191S, Armée active. dans une école militaire préparatoire ou à Hériot, l'indemnité pour entretien Par décision ministérielle du 6 janvier 1919, l'orphelinat des enfants de troupe dans leur famille sera sont affectés, savoir maintenue jusqu'au jour de leur mise en routo l'école (application du tableau 2, no 18, du sur En Indo-Chine. décret du 10 janvier 1912). Les enfants qui appartenaient déjà à ces M. Werquin (Pierre-Henri), chef d'escadron à écoles, et qui devaient y rentrer à nouveau, eu titre temporaire, au dépôt du 2' R. A. C. à octobre 1918, bénéficieront, période la pour Cherbourg. comprise entre la date normale et la date M. de Mazac (Paul-Auguste), adjudant à la effective de la rentrée, de la solde et des pres2e compagnie d'ouvriers d'artillerie coloniale à tations d'alimentation, dont l'école se créditera Marseille. comme s'ils avaient été présents. Le sous-secrétaire d'Etat, M. Brassaud (Louis-Auguste), adjudant à la 2e compagnie d'ouvriers d'artillerie coloniale à ABRAMI. Marseille.

e). du t- septembre1918.)

(jn

)

du 55e rég.

novembre1918.) «.?**(M,J"?°'du1786ré^sch^^aic u 1078 TéS- (détaché au J

rt »*'.•t im"a"j')'dui2°,rég*««7>k^' (M-MT^SJaiilaine7rr11novembre1918.)

Ilct è. 23 (J.-v *novembre1918.) ré

~JdU648rég-

ils

(

Membre 1918.) du1020rég.

1 r< tI. ,'1.Jf' *iVfe1/(A.l:I,iul35'rés• ,dtl l*r fi^an*il.^-dai' xc * ~L,)' h (P ci,tfer J13décembre ), durég. I",.l0ïet(E.11x ,

l°Ur 114e rég. 410l,-C.-L.),du du106' rég. ^•lXr -F

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Arr(ll'a('-E';'G.),-F _X -

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ar°nt

du 1610 réa, à pied. c rég.

de catiigroupe \Uvto3T°^ carn-

du2896rcSdécembre 1918.)

iTli (i)v, du225erég.

1918.) 1918,)

ptéijû3angdu17 Ar.., ,p.-G.), décembre 1918.)

htea. du 53' rég.

territoriale. :r' o1IcsJSIOn, ..,\l,leCOl'

M'nistérielle aciticierstde Complément, du 15dont décembre b dont les les affectations suiJL (L.-A.),du1*'rég.— &J:Iille,iCarribrydu rénaRt-coioneiTaffanel(J.-L.-JO,

fer

AMadagascar.

Dcnniel.(Jean-Nicolas), capitaine au dépôt du 142® R. A. L. C. à Brest. M. Boury (Emile-François), lieutenant au dépôt du 2e R. A. C. à Cherbourg. M.

o^y*

1-45 0

—————-

nîUchiav»neVvG 131erés11*#M*KdelaaTfibonnière(J.-L.-M.-M. rég. rég. do1. Tribonnière 158® L

la direction du matériel chimique de guerre.— comptables), au parc d'artillerie placé da Service de lareconstitution industrielle. Marseille. Les capitaines AuMaroc. M. Follet (S.-A.), du 112e rég. d'artillerie M. Colomb (Henri-Jean-Baptiste), capitaine lourde. — 101* rég. d'artillerie lourde. au dépôt du 2' rég. d'artillerie coioniaie à M. Mazy (S.), du 6e rég. à pied. Cherbourg. Sie rég. — M. Le Viguelloux (Alfred), lieutenant au ddM. Mantou (P.-I.), du 33e rég. 83e rég. — pôt du 2e rég. d'artillerie coloniale & Cher* Les lieutenants bourg.

MINISTÈRE DE LA MARINE

——— RAPPORT

Davenne (André-Oscar), lieutenant à titre temporaire, au dépôt du 142e R. A. L. C. à Brest. En France. Au dépôt du 3e R. A. C., à Charenton. — M. Bastelka (André), lieutenant, rapatrié du M.

Maroc. Au dépôt du 1er R. A. C., à Lorient. — M. Holtzer (Henri-Auguste-Marie), officier d'administration de 2e classe (section des conducteurs des travaux), rapatrié de i'Afrique occi-

dentale française. Au dépôt du 142e R. A. L. C. à Brest. M. Le Meillour (Joseph), officier d'administration de 2e classe (section des comptables), rapatrié de l'Afrique occidentale française.

janvier 1919,

En Indo-Chine. M. Varcnnc (Gaston-Edouard-Georges), capitaine au dépôt du 3e rég. d'artillerie coloniale à Charenton. M. Puel (Joscph-Maria-Charles), capitaine au dépôtdu2erég. d'artillerie coloniale à Cherbourg. M. Petit (Ernest-Marie), capitaine au centre d'instruction de Saint-Aubin-d'Aubigné. M. Thomine (Pierre-Joseph-Jules), capitaine au centre d'instruction de Saint-Aubin-d'Aubigné. Gidon (Alphonse-Jules), lieutenant au cenMd. M.'instruction tre de Saint-Aubin-d'Aubigné. M. Philip (Gustave), sous-lieutenant à titre temporaire au dépôt du 3e rég. d'artillerie coloniale, à Charenron. M. Ingloo (Albert-Charles-Auguste), officier .d'administration de lr* classe (section des m

AU PRÉSIDENT DB LA RÉPUBLIQUE FRANÇAIS*

Au Maroc.

Par décision ministérielle du sont affectés, savoir :

Paris,

janvier 1919.

Monsieur le Président, - du décret du Conformément aux dispositions 14 juin 1913, relatif à l'avancement au choix des officiers des corps navigants, aux navigations et promotions des officiers des mêmes corps dans la Légion d'honneur, aux commandements des officiers supérieurs de marine et aux admissions d'office à la retraite D, aucun officier ne peut recevoird'avancement au choix s'il n'a été inscrit au tableau d'avancement et aucune inscription à ce tableau ne peut avoir lieu que pour les officiers régulièrement proposés pour l'avancement. La régularité des propositions de cette nature découle des conditions fixées par les lois organiques des différents corps pour le passage d'un groupe à un autre. Or, il se trouve qu'aucune condition n'existe légalement pour les lieutenants de vaisseau admis dans le cadre de résidence fixe à la suite de blessure de guerre. Il y a là une lacune due à ce que cette admission, d'ailleurs parfaitement justifiée, n'a été envisagée lors de la préparation de la loi du 16 juin 1917 que lorsque cette loi était déjà rédigée et déposée. il ne parait pourtant pas admissible que l'admission dans le cadre de résidence fixe d'un lieutenant de vaisseau nouvellement d'être promu suffise à lui donner la possibilité proposé immédiatement pour le grade supérieur. Il est à remarquer que les heutenants de vaisseau du service général non blessés de guerre doivent pour être admis dans la résidence fixe réunir quatre années de service à la mer, c'est-à-dire se trouver dans les conditions exigées par la loi pour être susceptibles d'être nommés capitaines de frégate. Ces officiers sont donc toujours proposables régulièrement à partirde leur entrée dans la résidence fixe. Il me semble rationnel de décider qu'à cette, condition de quatre ans de mer soit substituée

* tuel.. 1"s'truc.l .l'

devei

sccr d'académicien de 1\lJYMarseille place (Pierre-Adrien-Marie), Ronj&t M. de celle pour les officiers blessés de guerre par musique, no 660, de la section Ils grade. se leur quatre ans de service dans trouveront d'aillours ainsi encore favorisés par Le Gai (Jean-Guillaume-Marie-Pie), Saint- tionde M,Widor comme Brieucn®13?. rapport à leurs camarades. Pa, d4 Tel est l'objet du projet de décret que j'ai M. Aubry (Jean), Marseille n° 837. cha$6 d ministre Le l'honnenr de soumettre à votre haute sancArt. 2. (Georges). est Clerc-Rampal M. beaux-arts tion. M. DonzelotCVictor-Georges-Edouard),Pairnpol blique et des >é décret. Président, le monsieur présent d'agréer, Fait janvier Je vous prie l'exécution du no 217. l'hommage de mon profond respect. M. Lota (Jean-Baptiste) Marseille no760. Le ministre de la marine, M. Denfert-Rochereau (Iarie-Alfred-Emile-, GEORGKS LEYGUES. Louis). M. Gossart (Jean-Baptiste-Louis-Fernand), Dunkerque ne180. LeministredeVinstructif j Le Président de la République française, M. Vaillant (André-Alfred), Le Havre nO 531. ,11 beaux-arts, et dus (Léon-Charles-Francois), Vannes portant 1917 l'article 6 de juin Vu la loi du 16 M. Legros L. L.\FFEIlRE. modification aux grades et aux effectifs du no 10832. Charles-Jean-Marie-Joseph corps des officiers de marine et du corps des M. Baudelle équipages de la flotte, ainsi qu'aux règles d'ad- Dunkerque no 83. TRAVAUXPUBLICS mission anticipée dans la 2e section ou à la (Vves-Marie-François), Saint-Brieuc M. Morin retraite prévues par la loi du 10 juin 1896 ilKlSTÈRE DES 126. no du décret l'article 5, paragraphe 2, du Vu TRANSPORTS 14 juin 1913 relatif à l'avancement au choix de vaisseau de 2e classe de enseignes Les ET DES navigants, nominades officiers des corps aux réserve des mêmes officiers tions et promotions des fSn" (Francis-Michel-Marie). d'honneur, Légion la Drillien dans commanM. aux f corps dements des officiers supérieurs de marine et M. Dupuis (Emile-Paul-Léon). flbr{)dU.'d4 retraite, d'office à la admissions génral aux procureurd'dudesd"tratlpo. substitut du marine, ministre la de rapport du Sur le destran.Oro, Au grade d'enseigne de vaisseau de le classe. d'appel de Paris, a été mité de lcontentieux. et Décrète publies Les premiers maîtres de manœuvre tem- ministère des travaux ,", Art. 1er. — Les lieutenants de vaisseau poraires, élèves officiers de réserve blessés de guerre admis dans le cadre de résiJacontllelCoi 191r 10124. Bordeaux (Jean-Marie), Marrauld no M. l'article 6, application de dence fixe, par paragraphe 3, de la loi du 16 juin 1917, ne peuvent M. Bastelica (Xavier), Alger, n° 2090. 6 du arrêté d'un termes Aux être promus au grade de capitaine de corvette élève-officier de Le maître de manœuvre .\1 (rir commissaire Goberville, M. s'ils comptent quatre années de services réserve Chaussin (André), Marseille n) 8604. que de M°cpiiitr. circonscription 5ean jrfO'1 lEtat les chemins dans leur grade. sur élêmaîtres de deuxièmes manœuvre, Les chargé de. la2= Art. 2. — Le ministre de la marine est chargé irr.o~ Midi) du commissariat de ire ri~it, réserve de officiers et de l'exécution du présent décret. d demande, 62653/5. chargé, (Pierrc-Marius-Auguste), sur sa M. Viguier M. Gomin.rnouX,aa Fait à Paris, le 4 janvier 1919. du M.) tion (réseau (P.-L., Marseille no 7472. (Jean-Georges), brevet M. remplacement de d®JV en R. POlNCARt. retra301. M. Bruhier (Pierre-Jaîeâ), Dieppe n" faire valoir ses droits à la Par le Président de la République ot?all},ff(J M. Carpier (Marcellin- Joseph-Frédéric) 41133/1. du commissaire Petit, M. Le ministre de la marine, M. Craignou (Louis), Morlaix n) 23061. 1er à Saiu de chemins sur les 1918,ttc l'tbldtidll GEORGES LEYGUES. Icr septembre port chef-lieu affectés Ces officiers sont au par arrêté du 24 + d'arrondissement du quartier où ils sont ins- de Montpellier, sera chargé, L reP" (rénaux» P' dela2°circonscriptionMonipelhLI« u LI crits ou du port où ils sont immatriculés. d$ de MM. Clerc-Rampal et Denfert-Rochereausont du commissariat Par arrêté ministériel du 1er janvier 1919 les dater d^1 Goberville. ment de M. e*0 1 fonctionnaires de l'administration centrale de affectés respectivement à Toulon et Cher1 Ces dispositions auront leur la marine militaire dont les noms suivent, ont bourg. * lel" février 191J. été promus à la classe immédiatement supéaffecté d'Alger, est quartier Bastelica, du M. leur emploi, de savoir rieure : au port de Toulon. (Tour ancienneté.) M. Portron, rédacteur de ! '1é 2* classe. d' 1919, * Par arrêté du 6 janvier 1913. (Tour choix et à défaut ancienneté.) M. Rouà dater du 20 décembre dc janvier ministérielle du 1919, décision 6 Par maître cayrol, rédacteur de 2e classe. (Léon), (' M. l'agent technique de 2e classe Panisse (Julcs- M. Lecointre (Tour ancienneté,) M. Bézard, rédacteur prin- Louis), de la direction d'artillerie de Toulon, a 4e classe à cipal de 2e classe. été admis à faire valoir ses droits à la retraite (Tour choix et à défaut ancienneté.) M. Clerc, à titre d'ancienneté de services et sur sa dearrêtéduSjanvier1919 l;l¡tre p3f' rédacteur principal de 2° classe. mande, pour compter du 1er janvier1919, date à laquelle il devra être rayé des contrôles do Par (Louis-philipp3'' l'activité. l'.M?, Il à dater du 16 janvier M. Deschamps Par décret en date du 4 janvier 1919, la déde3*classe Rouen, mission de son grade, offerte par M. l'enseigne Par décision ministérielle du 1er janvierl919, de vaisseau de tre classe Beunier (René-Louis19 t91 —————" Jules-Eugène) a été acceptée et cet officier est un congé pour affaires personnelles de trois tivicr '=; pObÓ" nommé avec son grade dans la réserve de mois sans solde a été accordé à M. le contrôô du Aux termes d'un arrêté leur de lre classe Julien-Labruyère (P.-F.-R.)à l'armée de de 16 ordinanM. Iluet, ingénieur M. Beunier sera rayé des contrôles de l'acti- compter du 8 janvier. ution»pd'f outr*de ,,,# Roche-sur-Yon, chaussées, à la vité le 1er janvier 1919 et restera affecté au en dater du 1" janvier 1919, port de Lorient. service hutions actuelles;au départementot l'exploitation technique MIKISTtRE DE L'INSTRUCTION PUBLIQUE gie électrique dans le 5 M. remplacement de en ET DES BEAUX-ARTS desmines, déchargé de ses > Par décret en date du 2 janvier 1919, ont été demande. nommés dans la réserve de l'armée de mer (corps des officiers de marine) : Lo Président de la République française, Au grade d'enseignedevaisseau defre classe. Sur le rapport du ministre de l'instruction Auxtermes.d'arrêtés en date :\5<1 Les enseignes de vaisseau de Ira classe publique et des beaux-arts, auxiliaires ,re, procès-verbal (Louis), ex-so!Jat le de la le séance tenue, Vu Bridon M. M. Arnaud (Maurice-Eugene-Mane), Saintà-Vorly. rendant d'infanterie, l'académie décembre 1918, beauxdes 28 par Brieuc n° 118. éclusier nommé a été (Cher), de lé l' M. Lefebvre (Charles-Alphonse Maurice), arts, attaché, dans ledépartement(.Mo aP Dunkerque ne 112. Décrète apr service du canal du Nivernais M.Gharni-d eXf*s<^d4*11 en remplacement M.Aulray (Emile-Corentin-Joseph),Dunkerque Art. 1er. — Est approuvée l'élection faite H"i70. M.Simon(Auguste-Jules), M. Braquchays (Robert-Ernest-Marcel), Dieppe par l'académie des beaux-arts, de l'Institut de France, de M. Rabaud, pour remplir la giment d'infanteria, résidaxu a"64.

à ra;'is, le 2 llt. FaitàParis,le3janvier Parlade Dépubliql,,

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et atiaché, et-âti'a étéPnommé BruSSonv de éclusier de décédé. dansledépartément de la AI""Sse

'Ct:d.

la Marne au en remplacement de

M.Montech (Jacques)diw nle dôn, ^lusier offi?cie,'résidâtTf1 î.dat au 808ré8i" -soldat régi-

au Journal officiel et inséré au Bullelin deslois. Fait à Paris, le 29 décembre 1918.

R. POINCARÉ.

e~x

au 800 i>a1duvr,ementdi»ri4,classe Cuveillan (Aude), IIIduMiù' et attaché, ment de l'AUde, placement au service du de)4

antàSavon- Sarda, décédé. ren"

Ont

Par le Président de la République Le ministre de finances,

î^f0;1ex-soldatau a éténommé éclusier 'IIi naheue Meuse uauflau sf"rviee service1^idfnns

Le ministre du comnlerce, de l'industrie, des postes et des télégraphes, des transports maritimes et de la marine marchande,

iloUa^^r.^SSÏ^ÏÏÏSlï Je?n-'H

CLÉMENTEL.

p e

le département Olrel,déCéù du ureildecédé. Llgny), canal de la Marne en remplacement de

M.Duval

Richer (Jean), gardien d'entrepôt à Cognac.

Sanconie (Barthélémy), facteur local à Uzerche. M.

DHÔMB

Rodet (Ilippolyte), facteur local à Cléon d'Andran. M.

Lliuillery (François), facteur rural à Bonneval. M.

ex-soldat au 41" rélnrvico du depûrcment dans :

reau.

Crassac (Jean), facteur rural à Montmo..

EUHE-ET-LOIH

———

CORRÈZB

L.-L. KLOTZ.

•iloiliiVMfleîiûSssJ^MMeuasnet'e» octattact\'é

CIARENm

Par arrêté du 2 janvier 1919, la médaille d'or FINISTÈRE à: des décernée postes télégraphes est et des de e et classe M.Rpa canaldfvlnuc-et-Kance M. Tromeur (Jean), facteur rural à Pleyhen. d'llle-et-Vilaine, M. Lavoine (Udephonse), facteur rural à Aubilr rfl|n-teHe (écluse de gny (Pas-de-Calais), tué par un éclat de tor&eJ, pille, le 3 septembre 1918. -tach té ,resldent GARONNE (HAUTE-) f Vési/iVe^~?0ldat au73erégiM. Danos (Antoine), facteur rural à Aurià Joinville-Ie-Pon ^Par^ éclusier ,¡cc c«n gnac. de 4e classe et de l'Aude..auser- Liste des sous-agents et ouvriers auxquels la GARD ~remplacem de Fontilc), médaille d'honneur des P. T. T. est décernée ,,t d- ~Blanc, admis à la M. Challier (Ilippolyte), facteur rural à Saintretraite. par arrêté dit 2 janvier 1919. Chaptes. eltlploi. ressés ^ï^i!;0V'ité4aUrontleur Sont transformées en médailles d'argent des M. Dubourdieu (Jean), courrier convoyeur à effet à dater du prendront possession de postes et des télégraphes les médailles de Nîmes. bronze antérieurement décernées à, savoir M. Michel (Léon), facteur rural à Saube.

1 olllnlééclisier

Il eaJoinville-le-Pont

aUe.^eclusc

DUCOMMERCE, m*SP«S«SET«STÉLÉGRAPHES, DE L'INDUSTRIE, 1

fS0E? ELA

AIX

M. Chedoz (Léon), surveillant à Bellegade. M. Neveu (Claude), facteur rural à Trévoux. AISNE

TRANSPORTSMARITIIiES

GARONNE (HAUTE-)

Périsse (Honoré), ouvrier commissionno à Toulouse. M. Rongea (Joseph), facteur de ville à Toulouse. M.

Achain (Gustave), facteur à Crépy-enGERS Laonnois. MARINE MARCHANDE M. Lagravère (Etienne), facteur local à LesM. Bosscaux (Auguste), facteur à Brunetoure. hamel. ——— HÉRAULT suburbain à La (Jules), facteur Dejardin M. 19"\1 b***HRa de Fère. R6publi(iue M. Clergue (Jacques), facteur chef des postes française, 10 M. Dhenih (Camille), courrier convoyeur à à Béziers. grand-duché, de Laon. conclu, Ip, 22 février Vreschn INDRE le Saintlocal à facteur (Alexandre), fieoffroy Srand-duché de M. Cn vue deles leÓUlaloidgéesentre deux la taxe des Micliel. réduire M. Colas (Philippe), facteur chef à Issoudun. ALLIER (Jules), facteur du télégrapHe à Dumez M. pays; a5çais> 1916,régime qui a in— M. Cajeat (Antoine), courrier convoyeur à Issoudun. reINDRE-ET-LOIRE Moulins. le )bilu'Itions M. Macheray (Oreste), courrier convoyeur à de ville à facteur (Eugène), Luthier M. dntervellU Moulins. Loches. la par voje télégran Slrations à auxiliaire (Claude), courrier InendtlCh6ddespostes M. Rougcron ISÈRE HH8, entre les ad- la Palisse. fl0f desiMe^4res de France et du M. Revmond (François), facteur rural à SaintALPES (BASSES-) MarcelJin. pour auglerapp de M. Espariat (Louis), facteur local à Riez. échangées M.

uph,

la 1 l'al}()e

esenvu! etle ? 30décembre Viij'

dans

térieur français;

des

» euxtllxebourg,

entre

rtdu ministre du commerce, des tr 'des &nI1' neInilrchnsPortspostes et des télégra-

JURA

Pe8IndUstrie

A.. l 8

ande ir Cdpi

maritimes

Art ))é,crèle

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etde

M. Pevrani (Thérésius), facteur rural à Les-

c-arène.

railCe VeU^pgrand-duchédeLuxemfl\t desrcec.llegrand-duché i°ur de la reprise,

l' Luxemfre) de elçS postales interrompues 1eesdeux Xe des lettres U)t Pav«.Sera échangées ih» 4 lot. S Par fixée comme suit: eratl,rnes. grammes ou fraction Sommes ^î^sa^s £ "**** tilla. I:Sseront ou insuffisama

Buzancy.

M. Bigot (Prosper),

zières.

Iltetotale

"Ilstre etdes télégraphes, e taxées au double de ou Partielle d'affran-

Illinistre du commerce, de comAerce, du de min-e des ifnancespostes ionI. duPrésTn4^décret, titt^^s> ntéet et des télégraphes, liondù rlilstredes de la marine financessont sont en ce qui le concerne, de "Pl'éSC,ntdécret, C

mar

, Il

%WN

quisera publié

courrier convoyeur à Mé-

M. Ducîoux(Henri), facteur rural M. Francart (Jean), courrier

à Le Chesne. auxiliaire à

Lucquy.

facteur local à Aire-sur-

l'Adour.

LOIR-ET-CHER

Pecnard (Prosper), facteur local à Montoire-sur-le-Loir. M. Tripault (Joseph), facteur local à SellesM.

Saint-Denis.

LomB AnIÈGE

LANDES

M. Lacaze (Jean),

M.Arnould (Auguste), courrier auxiliaire à

facteur local à Chapelle-

Voland.

ARDENXE3

fOsanee

M. Bejon (Claude),

ALPES MARITIMES

Bayle (Noël), facteur local à Sabaraf.

Gier.

Grauger (Jacques), facteur chef à Rive-deLOIRE (BAUTB-)

AUDE

Marie (Jean), facteur de ville à Carcas-

sonne. AVEYRO M. M.

Olivié (Eugène), facteur local à Viviez. Millac (Jean), facteur local à Clairvaux. CANTAL

Dumas (Louis), facteur local à Mauriac,

Benoit (Auguste), facteur des télégraphes au Puy. M. Enjolras (Célestin), facteur rural à Pra. delles. M. Tarravre (Alexandre), facteur receveur à M,

Connangles.

LOIRE-INFKRIEURB M. Brisais (Louis),

Dlères.

facteur receveur aux -

Sarfr*

LOIRET

Deloince (Victor), surveillant chef d'ateliers Orléans. M. Lebœuf (Jean-Baptiste), facteur rural à Puiseaux. M.

Gerard (Eugène),facteurchef a Rueil. Pelletier (Arthur), facteur suburbain à. Argerus. M. Roussel (Emmanuel), facteur chef à Poissy. M. M.

SÈVRES (DEUX-)

M. Cléon(Joseph), facteur local à La Romagne. M. Vendangeon (Joseph), facteur local Cha-

Loubeau (Adrien), facteur local a Argenton-Chateau.

lonne-sur-Loire.

VENDÉE

Renaud (Pierre), ouvrier d'équipe à La Roche-sur-Yon. M.

MARNE (HAUTE-)

VIENNE

Chambellan (Alexandre), facteur auxiliaire

à Bologne.

MAYENNE

Marchais (Julien), facteur local auxiliaire kBierné. M.

Bouard (Jean), surveillant chef d'équipe à Poitiers. M. Raucoules (Firmin), ouvrier commisM.

sionné à Poitiers.

M. Robin (Pierre),

M. Morlol (Charles),

facteur chef à Nancy.

M. Boyer (Maurice),

Léonard.

MEUSE

mercy.

facteur rural à Slincourt. NiÈVRE

fa:n (Louis), facteur rural à Brinon-sur-

facteur local à Saint-

VOSGES

M. Gircourt (Jean), facteur rural à Slcnay. M. Mageot (Victor), facteur de ville à ComM. flaitl (CllarJes),

facteur localàLatillé.

VIENNE (HAUTE-)

MEURTHE-ET-MOSELLE

Beuvron. M.Sautcreau(Antoine), facteur adulte des

télégraphes Nevers.

M. Deroze (Joseph), facteur local à Dinozé. M. Ragot (Paul), facteur rural à Monthureux. DIRECTION DES SERVICES TÉLÉPHONIQUES DE PARIS

sourura,àblortmë j, a assuré bombardement de l'ennemi-; A Mor.trt M. Laforge (Louis), facteur JÊm aux-Lions. (Jean-Baptiste),-.adic^ :'rUcledt

exceptionnel

^uréJjj0» j.' AISNS

MAINE-ET-LOIRE

so.

M.Gohir(Arlhur).montuervice

Joly (Edmond), gardien de bureau de Don.

VÉRIFICATION DU MATMRIBL ET ATELIERS Mille Chrétien (Joséphine), contremaîtresse. •M. Girardin (Charles), conducteur de presse. MUc Leborgne (Pauline), ouvrière aux travaux

M. Lapierra

bombardement FresB vice sous le exceptionneflac'taaSsur^fj/ 8# M.Pelletier(Ernest), Boué(tI¡e

Grand (titre vice sous le bombardement g0lis M. Prévot (Oscar), facteur ceptionnet :a assuré son serv NeuillY. bardement de l'ennemi). M. Roger ïafrde st Front. M. Rousseau (Georges), a„sSuré l'CD"coli), Guise : (titre exceptionnel da son, courrleré vice sous le bombardement M. Rozelet (Victor), Laon (titre exceptionnel : lenneemi). sous le bombardement de M. Satabin (Auguste), facteur'éqnip,eAoJI dassurSi!' M. Sauvage (Louis), ouvrier Quentin (titre exceptionnel sububa,này vice sous le bombardement sorlyied servi*5 M. Serain (Léon), facteur (titre exceptionnel a assure, le bombardement de l'ennemi;- sonse rll'" ~efnt)~t/ facteur M. Sergent (Eugène), lea:,oPnii). il/ min (titre exceptionnel ouvrier û^servic^ de bombardement le sous M. Vassent (Alberl), (titre exceptionnel : a assure son d'MtJIPfi le bombardement de l'ennemi). °u^î1tréA M. Vassent (Edmond), Laon (titre exceptionnel : aenD i ). ^1 sous le bombardement de 1

(juiles),facteur1 J.

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tiré

o:ss manuels. Mme petit (Augustine), contremaîtresse, M. Balier (Théodule), facteur rural à Lecoudray-Saint-Gcrnier. Mme Taphorel (Léontine), ouvrière aux traM. Rebeyrotte (Antoine), facteur chef à Beau- vaux manuels. ctenrloi ALLIER vais. Mlle Yallerant (Berthe), sou.s-contremaîfacteur M. Bellavoine (Gabriel), M. Torjon (Théodule), facteur de ville Com- tresse. piègne. M. Vincent (Pierre), surveillant chef d'équipe. Yzeure. cteur yill0S* M. Berthomier (François),

ALLIER fa IOC

ORNE

Milcent (Léon;, facteur chef de ville à Alençon. M.

SERVICE DU DÉPOT CENTRAL DU MATÉRIEL ET DE L'AGENCE COMPTABLE DES TIMBRES-POSTE

Don.

PUY-DE-DÔME

Richard (Victor), facteur chef télégraphes Clermont. rVRLNÉES (BASSES-)

Cazenase (Pierre), chef d'équipe à Bayonne. M. Dupeyrou (Bernard), courrier auxiliaire à Silidt-Jean-Picd-do-Port. M. Puyou-BTacq (Jean), facteur rural à Lucqde-Béarn.

M. Cessai (Léonard), courrier convoyeur. M. Le Gall (Charles), courrier convoyeur.

LIGNE DU P.-L.-M.

M. M. M.

Brugnet (Théodore), facteur chef des télégraphes. M.

SAÔNE (HAUTE-)

Bresson (Auguste), facteur local à FougeroUes. M. Coulon (Alphonse), facteur rural à Es-

Choubali (Mohammed), courrier convoyeur à Constantine.

prets.

varenlle

Sallet (Louis),, facteur

l'Archambault.

ALPES

graphes est décernée à, savoir :

(BASSES-)

lanne. M. Pebre (Benoit), facteur

Blanc Neuve. M. Cotton M.

local

Delvat (Jules), surveillant chef d'équipe à Rouen. SKINE-KT-MARNB

Bourcct (Claude), facteur receveur & Cormordnhe. M. Cuvet (Claude), facteur local Billiat. M.

tEtNE ET-OISE

AISNE

facteur rural à Cœuvres-

Yalsery. Auchard (Jean), facteur suburbain à M. Carel (Alfred), facteur suburbain à blilly. Chauny (titre exceptronnel : a assuré son service M. Esnault (Adrien), entreposeur iLBrétigny- sous le bombardement de l'ennemi.) sur-Orge. M. Dolle (Romain), facteur à Montecourt. M. Fusier (Claude), facteur suburbain M. Fressancourt (Frédéric), facteur rural à Bezons. Plomion.

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oellt

(HAUT®3')

rur (Emile), facteur (Fra"nl,,ois),factellr l1ral A. 1"

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; chette. M. Pellegrin (Adrien), facteur

Barret-le-Bas.

ALPES-MARITUISS

Carenini (André), sospeII Puget-Theniers. M. Garnier (Michel), facteur ch: a local M. SiMrt (Jean), facteur

Voultc.1 ARDKCHB

M. Balin(Paul),

gnt

d'Cn

AIN

facteur local à Nemours.

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rural"

f efeurfItl facteurlocalà

, Magaud (Cyrille),

La médaille de bronze des postes et des télé-

SEINE-INFHRIEURR

ALPES

CONSTANTINB

facteur de confoye

M. Gin (Jean), facteur rural a M. Perrin (Gilbert), courrier

ALGER

Vouillon (Jean), facteur local à Beaujeu.

M. Dupré (Charles),

luçon.

M. Guien (Maxime )

Blondel (Charles), courrier ambulant. Latmand (André), courrier ambulant. Ralouis (Pierre), courrier ambulant.

nIlôNR

M. Courteau(Jean),

ville

Saint-Gerinain-des-Fossés. Dou à

LIGNE DU NORD

Lefevre (Victor), gardien de bureau de

Besson.

M. Decotte

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fadeur 10 fac'lotir (Jean-Louis),

Valencony (Louis), dance. M.

reoego

ARDENNB3

M. Cailliez

(Joseph), faclour

Aubrivcs. M. Ronsin (Georges), facteur (3e

rural uralJ'a

SUyrdÊP

ARiègb IHimm (Arthur* VM ^ar(mC (Etienne),

AMesfermes.

facteurrural à Prat. courrier auxiliaire à

AUDE

¡¡tor.lIe\r(JOSePh),

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courrier d'entreprise à

lere(Joseph),

courrier ls'' ,

facteur local à Canet.

H> ClnnaSmeranil.

AYEYRON

c°urrierconvoveur

DORDOGNE

M. Bosse

vierç.

ILLE-ET-VILAINE

(Pierre), gardien d'entrepôt à Thi-

M. Blaise (Jean), facteur local à Mareuil. M. Faure (Antoine), facteur rural Miallet. M. Gagnayre (Jean), facteur rural Neuvic. M. Renaudie (Henri), taeteur rural à Carlux. M. Siber (Pierre); facteur local à Lalinde.

à à

DOUBS

M.Dinelli(Jean), Margueritte. NM*1'

ni.ilrp»,

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facteur Jlles :"

(Prosper),

EURE

A factetir

®'ile

Bled (Gustave), entreposeur à Conches-enOuchc. M. Duval (Henri), entreposeur à Vernon. M.

fadeur tubiste à Mardeville

àMar-

Issoudun. M. Nouan (Louis), facteur local à \'endœuvres. IXDRE-ET-LOIRE

Laska (Louis), facteur de ville à Tours.

Martin-Grand (Victorin), facteur rural à la Motte-Saint-Martin. M. Villard (Marius), facteur receveur à Jarcieu. M.

JURA

Marceaux (Elienne), entreposeur à Dôle.

EURE-ET-LOIR

M. M. M.

facteur de ville à

ISÈRE

Pez (Paul), facteur rural à Buis-les-Baron-

o('Ph),

oUvrier commissionné à !CuslOTo, larseil¡ue(GustaYe"Ouvrier aeille.1.tlllel chefdeqmpeà itille.

M, Borthon (Henri), facteur local à Lcvroux. M. DudefTant (Jacques), facteur local à Ar-

DRÔMB

facteur chef à Sainte-

INDRE

M. Goujon (Alexandre),

harl\' r,erconvo-™,r4M«-

suF-Ille.

dentes.

Barbier (Auguste), facteur de ville à Montbéliard, y^simirl)>>'ra,ctieursous-chef convoyeur à M. Bouchet (Claude), facteur rural Quingey. M. Clément (Léon), facteur rural à Audeux. Rodez. M. Poulet (Jules), facteur rural à Ornans.

M.u

Lailu (Pierre), facteur rural au Sel-deBretagne. M. Morin (Eugène), facteur local à MontreuilM.

LANDES

Laillié(Marcel), facteur local à Brou. Landais (Louis), facteur local na, Morinet (Désiré), facteur receveur à Lui-

M. Beziade

(Eustache), entreposeur à Mont-

de-Marsan. D..tltré (CI C!rARENTI J' M. Cabarry (Pierre), facteur rural à Ville,M.\j0guet (Pi" cOunier sant. neuve. convoyeur à AnNIUr. M. Lafitte (Jean), facteur local à Pontenx-lèsM. Prieur (Albert),facteur local à Châteauneuf. (Pierre), Forges. facteur rural à Mou

,..1

rural à Blanzac.

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Mer-1 crCIfA.RETE-INFlRIEURE 11 •nr'-u^idé

rançon facteur f\rault^R-°UIS; ^auifr rJ CLIjIcF.rFdHVéIqui•fe rural

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à Nieul-

laRochelle.

LOIR-ET-CHER

GARD

M. Mallié (Gaston), facteur rural à Sumène. M. Massai (Bruno), facteur de ville Nimes. M. Maurin Emile facteur receveur à

Meynes.

( ),

Delalande (Adrien), facteur surveillant & Romorantin. M. Martineau (Adrien), facteur rural à Molineuf. M.

LOIRE

GARONNE (HAUTE-)

M. Carponcin(Jean-Marie), courrier convoyeur

àToulouse.

Chazot (Jean), facteur chef des télégra-

phes à Saint-Etienne-centrat. COEa M. Marechet (Claude), gardien de bureau «fce.rTlle)> M. Carrat (Pierre), facteur chef des télégraphes Saint-Etienne. facteur rural à San- à Toulouse. M. Romagny (Joseph), facteur de ville à MontM. Chaynès (Jean), facteur de ville à Toubrison. louse. CORaZE M. Verny (Vincent), facteur local à SaintComin (Jean), M. courrier à Tou^^tîSjpjor convoyeur (P'(\]^'facle,Irl°cal Beynat, Germain-Laval. lCrre), otr} louse. facteur local il Beynat. ~M.Pommier(Martin), Acteur LOIRE (HAUTE-) M. Lafage (François), facteur receveur à Lonreceveur à gages. M. Boyer (Henri), courrier convoveur & M. Loubet (Jean\ facteur rural à Aspet. Langeac. M. Raynaud (Raymond), chef d'équipe à TouM. Perrin (Claude), facteur rural à Dunières.

p C()RSE:

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louse.

GERS

flaoltl(a\Tier),

facteur de ville àh BasUa. Ba-stia. ¡¡OOi (Luc), suburbain à Bastiafacteur chefàBastia.

Vi?l«?,el 0TE^°R (Jeanaptiste),àDijnU,l:;lHr <M.(i^rttfuios)'acïrdevii,e Di>n

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facteur ^'equiI)e à Dijon, Charles),chef rural à Vit-

(Eugène),

facteur suburbain à

(drnéC),surveilIant il& (iicOlas), à Dijon. facteur receveur à Ge-

,,4.1I 'tell,t.cuguste),

C0l'E8DU-NORD

M. Arnauderv (Jean), facteur rural Estang. M. Barlhe (Alfred), facteur rural à Masseube. M. Castex (Jules), facteur rural à Mirande. M. Labeyrie (Jean), courrier convoyeur à Auch. M. Lalanne (Jules), facteur rural à Condom. M. Laporte (Jean), facteur rural à Fleu-

LOIRE-INFKRIKURE

Angebaud (Pierre), facteur local à SaintEtienne-de-Montluc. M. Forestier (Julien), facteur local à SaintMars-Ia-Jaille. M. Georget (Pierre), facteur local à PortSaint-Père. M. Le Bigot (Julien), facteur sous-chef à Saint-Nazaire. rance. M. Legaud (Arsèna), facteur chef à NanM. Maupas (Jean), facteur rural à Mont-detes R. P. Marrast. M. Seigncuret (Jules), courrier d'entreprise M. Sperte (Jules), courrier d'entreprise à Coà Cordemais. logne. M.

GIRONDE

LOT

Dusseaud (Bernard), transport de dépêches M. Bonncfoucic (Jean), facteur local à Gramat. à Bordeaux. M. "ialard(Jean), facteur rural à Saint-Denis. M. Ségrausan (Pierre), facteur local à Les- Calus. parre. LOT-ET-GARONNE M.

HKRAULT

M. Bourdelle (Alexandre), facteur chef à Vilchet d'équipe à SaintM. Bringer (Alphonse), courrier convoyeur à leneuve-sur-Lot. (\08), Béziers. M. Dufour (Félix), facteur rural à Castel. ""lee facteur receveur à TriM. Chapardes (Prosper), facteur local à Riols. moron. Ue\'el 61 facteur r,. ruralàgouarce. M. Delaurent (Daniel), facteur de ville à

Brieue.

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H.'<N5.ntfl).

S*ppl*mlni/acleur ctlE^

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~ocalacrocq. local à Crocq.

ziers.

Montpellier. M. Granier (Joseph), facteur local à Maurei-

lhan. M. Tirand (Frédéric), facteur de ville à Bé-

MAINE-ET-LOIRB

Bonneau (Jean), courrier convoyeur & Angers. M. Bremond (Louis), facteur chef des postes à Cholet. M.

Lambry (Eugène), ouvrier monteur téléphoniste à Verdun (titres exceptionnels a assuré son service sous le bombardement de l'ennemi). M. Pilot (Prosper), facteur rural à Pierrefitte-sur-Aire. en-Mauges. Diene (tià rural facteur (Ernest), M. Serva local à CheM. Thibaud (Eugène), facteur exceptionnels assuré son service sous tres a miné. le bombardement de l'ennemi). M. Steinmetz (Ernest), facteur surveillantdes MANCHE exceptionnels télégraphes (titres à Verdun a M, Choïet (François), facteur de ville Cran- assuré son service sous le bombardement de ville. lennemi.)

M. Godde (Jean), facteur local à Saint-PierreMontlimart. M. Mouille (Joseph), facteur receveur à Andard. M. PoiJrcu (Joseph), facteur receveur à Ncuvy-

MARNE

:l'ennemi;» : 1ennej

(titres exceptionnels a assures" ppiiru le bombardement de auIllalreDh oervici M. Dollet (Henri), facteurassuré son (titres exceptionnels a sous le bombardement de

à plère.

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PUY-DE-DÔMB

111at.

Cun loca 1 à M. Camus (Charles), facteur M. Coupat (Joseph), courrier COllf' Clermont-Ferrand. à rural al c° M. Fougère (Antoine), facteùr sail!

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local1. A

Leduc (Damien), facteur SI1IAlyre. à local M. Rozier (Etienne), facteur gesse< se local facteur (Jean), Verdier

Sauves.. M.

MORBIHAN

Brisfcl't (Nicolas), facteur rural à Beine. M.Allain (Julien), facteur de ville à Pontivy. M. Bahuon (Joseph), facteur rural à PontM. Carre (Thomas), entreposeur à Reims (titres exceptionnels a assuré son service sous Scorff. M. l'ennemi). de bombardement rural facteur à (Guillaume), le M. Le Bourlais M. Cordicr (Théodule), gardien de bureau à Guemené-sur-Scorn. (BASSES-) PYRÉNÉES facteur11àftifr rad, a assuré son Epernay (titres exceptionnels factelrrutalà ju. vr NIÈVRE service sous le bombardement de l'ennemi). brigadier M. Dalciet (Pierre), M.Gérard (Albert), facteur local à Saint-Mar(Pierre), à bureau gardien de Etchartabery (Pierre), M. Château M. assuré exceptionnels son a tin-d'Ablois (titres »à v rura Nevers. service sous le bombardement de l'ennemi). M. Poussou (Arnaud), facteur M. Guénot (Louis), facteur de ville Nevers. J vt boure. M. Jarreau (Jean), facteur de ville à Nevers. (HAUTBS-).116 MARNE PYRÉNÉES M. Mathieu (Jean), facteur local à Dhun-lesde facteur M. fiuenin (Auguste), courrier convoyeur à Places. M. Bonaventure (François), assure son Epernay (titres exceptionnels: a l'ennemi). M. Plaut (Louis), facteur rural à Prémory. Lourdes. bombardement de service sous le pyrénêes-orientaleS lefj aI poS P0® M. Henry (Adonaï), facteur de ville à Reims. des NORD Reims à suburbain facteur M. Contié (Pierre), facteur (Paul), M. Huvet ¡tif" à suburbain (titres exceptionnels a assuré son service Perpignan. M. Desruelles (Alfred), facteur rural à Valenciennes. M. Dejaule (François), facteur sous le bombardement de l'ennemi). ? M. Duffesnoy (Jean-Baptiste), facteur à Créve- saltes. M. Jamain (Pierre), facteur rural à Montmicœur-sur-Escaut. rail. a IUIONB aiU,ir« 'r8 M. Jollard (Léon), facteur rural à Montmiraii. OISB facteur (Claude), Balvey M. M. Leclère (François), facteur de ville à Ptt' M. Blangy (Ernest), facteur rural à Mesnil- Beaujeu. aassuré son Saint-Firmin. v Epernay (titres exceptionnels service* sous le bombardement de l'ennemi). facteur (Etienne), Barberet M. ¡Jle\!f lignes à des ouvrier (François), Combe M. à courrier (Désiré), convoyeur Pautaut Epernay à Amplepuis. manent à assuré exceptionnels (titres Compiègne chef a son (titres exceptionnels a assuré son. (Antoine), facteur Baudoy M. a bombardement de l'ennemi. le service l'ennemi). de sous bombardement le ye11f service sous banne. eeu0tf°1e ouvrier lignes à des (François), ComPiar M. ChAà * entreposeur (Jean-Félix), Pcrrard courrier M (Paul), exceptionnels Blanclié i M. assuré (titres A piègne son serassure exceptionnals : a lojîs-sur-Marne (titres bombardement de l'cnnemi(. -Lyon. V¡¡¡V de son service sous le bombardement de l'en- vice sous le (Charfes), facteur (Emile), Fontbonne M. à monteur ouvrier ComTharel M. iiemi). il!e Lyon R. de a assuré son : M. Regnaut (Alphonse), facteur rural à piègne (titres exceptionnels facteur (Hippolyte), de l'ennemi). bombardement I le Fontbonne service M. sous Fismes. "OycUr P. R. Lyon * M. Roudeau (Maxence), courrier auxiliatre à courrier (Antoine), Friess M. ORNB Epernay (titres exceptionnels a assuré son UoP' Lyon. à service sous le bombardement de l'ennemi).(Florand), facteur rural à SaintBance Jugy(Paul), courrier M, M. à * M. Teillaud (Pierre), courrier convoyeur s oU-" Evroult, facteur p. M. Maillard (Pierre), Èiîïfrnay service (titres exceptionnels: a assuré son Jt local àRémalard. M.Helonche(Louis), facteur '., vil'eJle Lyot) iyO$c() Lyon R. P. l'ennemi). sous le bombardement de „ LYL vIlle courrier d'entreprise (Frédéric), M.Waharte (Léon), courrier convoyeur à M. Charron à (Frédéric), facteur facteur de Pic (Frédéric), M. Pic V1 Châlons-sur-Marne(titres exceptionnels a asIgé. M. Rivoire (Michel), facteur de con vOyeor M. Cornu (Ernest), facteur rural à Notre- R. psuré son service sous le bombardement de Tcnhemi). Dame-d'Apres. M. Robert (Claude), courrier cOJ1\'oY Juvigny. rural à facteur (Victor), Lesellier M. Lyon. MARNE (HAUTE-) courrier M. Vovar (Eugène), entreposeur à Alençon. t M. Sommeton (Antoine), M. Coste (Emile), facteur rural à Chaumont. à Lyon. M. Henriot (Louis), facteur chef à Chaumont. SAÔNE-ET-LOIRB PAS-DE-CALAIS M. Martinaux (Louis), ouvrier chef d'atelier a surveillant à (Victor), facteur rural Aubigny Bavart M. (Jean), M. Laugros A Chaumont, (titres exceptionnels a assuré son service MAYENNE sous le bombardement de l'ennemi). SAÔNE (HAUTE-) facteur (Abel), à Saint-Venant rural Capelle M. facteur de ville rural. Bel (Edouard), à M. Segretain service exceptionnels assuré (titres son io a M. André (Louis), facteur LaTal. $et le bombardement de l'ennemi). sous chef M. Bouvard (Armand), assureJûi) Trideau (Jean), facteur receveur à Loupà Calais (Auguste), chargeur (titres M. Castex exceptionnels (Titres a gugères. assuré service sous le sous le bombardement de exceptionnels son a bombardement de l'ennemi). MEURTHE-ET-MOSELLE M. Crépin (Hermant), facteur rural à Boyelles .ut' atJJ¡te' SARTHE (titres exceptionnels a assuré son service sous M. Grimont (Jules), facteur rural à Haroué. planton le bombardement de l'ennemi). (François), M. Deschamps Bo010 M. Delannoy (Irénée), facteur rural Vis-enau des roS leS à MEUSE rural Artois (titres exceptionnels a assuré son facteur M. Gallet (Baptiste), bombardement de l'ennemi). le service M.m.Dupont (François), facteur receveur à sous che facteur M. Iluguet (Pierre), Aubrevillè (titres exceptionnels a assuré son M. Delattre (Joseph), facteur rural à Vis-en"oyf,lJ'*% courrier coP Flèche. à La Artois (titres exceptionnels service sous le bombardement de l'ennemi). a assuré son serM. Ribault (Gustave), vice sous le bombardement de l'ennemi). Mans, (Victor), facteur rural à la CouDelpierre M. CtJDuef MEUSH exceptionnels assuré ture (titres son sera SAVOIB ^ve|!'' local r M. Guenon (François), chef d'équipe à Ver- vice sous le bombardement de l'ennemi). Dumollard edelli, facteur (Louis), M. M. Derisbourg (Marie), facteur auxiliaire à dun-sur-Meuse (titres exceptiounels a assuré exceptionnels a assuré à rural son service sous le bombardement de l'ennemi). Hersin-Coupigny (titres de l'enbombardement M. Miquet (Pierre), facteur le service (Lucien), facteur sous à son rural MontHiblot M. s facteur t nemi. M, Ortolland (Louis), médy (titres exceptionnels a assuré son serM. Deyon, courrier d'entreprise à Nœux Chambëry. vice sous le bombardement de l'ennemi).

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Rigaud

(François), facteur de ville

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à.

(Victor),

courrier auxiliaire à Anfacteur des télégraphès à

ce.^François), *

facteur local à AbonP¡'tt (Jean), facteur de ville à Annecy.

J. .)

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SEINE-INFÉRIEURE

erh, (Léon), facteur de ville à Rouen Boux(Amédée), facteur ~Dumesnil(Gustave), local à Darnétal. facteur réceveur à

c (Emile). entreposeur à Mot-

~(Louis), facteur

de ville à Dieppe. ~(Jean), facteur sous=chef au

xandre), facteur

de ville au Ilfrid), facteur à Grainreceveur (Charles),facteur de ville au

j£asimir), facteur local à Fertéau!),

facteur local à Dammar-

g®ûe), facteur receveur

àc

Fa-

INE-ET-OISE le). facteur de ville à Mantese), facteur de ville à Mantes-

à), Ictor),

Leclercq (Èlie), facteur rural à Molliens-

Vidamg..

Pontà de-Metz (titres eicdntionp-èls : a assûré son C-

M. Lefebvre(Emile), facteur receveur

SATOIE (HAUTB-)

c;(Denat):

facteur suburbain à

19.

M. Gabaau(Louise

serrurier, direction.

M, Jobard (Emilë),facteur chef dc's postes4 NeuUly-sur-S&me. co'

Lavtiïe(Henri), facteur chef des postes A service sous le bombaMeM&nt de l'enilemi). Paris M. Leroux (Pierre), aide-piqueur à Paris R.P. TARN M. Michetet (Benoît), facteur sous-chef des M. Albet (Antonin), facteur rural à Villefran- postes à Paris 12. M. Patin (Ernest), facteur chef télégraphiste che-d'Albigeois. , Paris 80. M.VayssièreS1 (Baptiste), facteur rural à à M. Pauplin (Louis), facteur télégraphiste & Lavaur. , Paris 8. VAR M. Prud'homme (Edmond), facteur chef téléM. Mazucco (Hippolyte), facteur sous-chef, graphiste à Paris 50. M. Renouard (Adrien), facteur des postés à M.Raspail(Joseph)facteur chef à Toulon. Vincennes. M.Tartivelle (Marie), facteur chef télégraVENDÉE phiste à Paris M. Wanliam (Eugène), facteur des postes à M. Charrier (Jean), facteur local à BellevilleParis sur-Vie. M. Coudrin (Alexandre), facteur rural à DIRECTION EES SERVICES TÉLÉGRAPHIQUES Lagaudretlere. DE PARIS M. Gourraûd (Auguste), facteur local à Chaillé-les-Marais. M. Gestin (Arsène), facteur tubiste à Paris 93. M. Grimaud (Auguste), courrier d'entreprise M. Molinier (Adolphe), électricien service à Mouchanips. pneumatique Paris. M. Herbt-eteau (Louis), facteur receveur à M. Zorninger (Gabriel), Jacteur tubiste à Saint-Florent-des-Bois. Paris 98. Mme Hude (Victoire), factrice auxiliaire DÉS TÉLÉPHONIQUES Moutiers-1es-Mauxfaits. LIGNES DE PARIS SERVICE M. Ilurtaud (Prosper), facteur rural à SaintM. Bailly (Léon), chef d'équipe à Paris. Michel-en-l'Herm. M. BonnetDésiré), chef d'équipe à Paris. M. Landreau (Charles), facteur locaL aux Ilerbiers. M. Danest (Armand), chef d'équipe à Paris. M. Dumort (Aimable), chef d'ateliers à Paris. M. Marais (Louis), facteur local à Bouin. M. Labbé (François), chef d'équipe à Paris. M. Martineau (Eugène), facteur rural à Pouzauges. M. Perrin (Jean), chef d'équipe à Paris. M. Montassier (Eugène), facteur surveillant bureau M. Rousseau (Alexandre), gardien àLuçon. direction. M. Porcher (Auguste), facteur rural à Mareuilsur-Lay. PARIS DIRECTION DES SERVICES TÉLÉPHONIQUES M.

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96. v 16.

Toulon.

VIENNE

M. Audoin (Jean), facteur local à AvaillesLimousine. VIENNE (HAUTE-)

Senechal (Ernest), ouvrier à Paris.

DIRECTION DU SERVICE TKCHNIQUK DE LA RÉGION DE PARIS (extra-muros).

Bessaguet (Anne), courrier d'entreprise - M, Gavard (Gilbert),ouvriers chef d'aciers àParis. à Nieul. none), facteur suburbain à M. Colombier (Jean), facteur rural à Saint- M.-Fehr (Charles), sous-chef d'équipe, à Paris. Mathieu. - ouvrier chef cTéquipe (François), ~noré), facteursuburbafn à TaFouchotte M. Dorât. facteur rural à (Jean), Le M. Dufour à Paris. Massonnet (Louis),sous-chef d'équipe à ~(Désiré),courrierconvoyeur à M. VOSGES Paris. M. Clevy (Célestin), courrier convoyeur à de ville à Versailles. VÉRIFICATION DU MATÉRIEL ET ATELIERS Epinal. ), facteur suburbain à MaM. Clevy (René), facteur local à Epinal. (Paul), aide M. Demen ouvrier d'état. Fraize ~Pirre), facteur M. Fade (Charles), facteur local à suburbain à (titre M. Gouget (Amédée), ouvrier mécanicien. exceptionnel : a assuré son service sous M. Morel (Jean), ouvrier piliste. ~ile), facteur suburbain a San- le bombardement de l'ennemi).. M. Laurent (Eugène), facteur receveur à SERVICE DU DÉPÔT CENTRAL DU lATRmL ET DS facteur suburbain à Thoiry. Dombrot-le-Sec. L'AGENCE COMPTABLE DES TIMBRES-PCSTE M. Poirson (Jules), facteur rural à Raon~Lo is), facteur sous-chef à Verl'Etape. M. Rousset (Athanase), chef d'équipede jourYONNE naliers. ,;) , VRES (DEUX-) LIGNE DU NORD M. Foin (Jules), facteur rural à Saint-Saufacteur receveur à Mel- veur. M: Lefebvre (Aimé), courrier ambulant. M. Gibert (Eugène), entrepreneur à Sens. land), facteur receveur à M. Queudot (Charles), facteur de ville à LIGNE DE L'EST Joigny. courtier ambulant. b (Alphonse), Liauzu Aillant. M. à facteur rural (Lucien), M.Vincent SOMME M. Seautereau (Charles), facteur receveur à ~exceptionnels acteur receveur à Domart- Àtthonnay. LIGNE DU SUD-OUEST ~bombardement : a assuré son facteur ville à (Alphonse}, de Taupin M. M.Guillon (Théodore), courrier ambulant, de l'ennemi). Avallon. tacteur rural à Matigny. SEINE LIGNE DU NORD-OUEST OAchilie), facteur rural à exceptionnels M. Binnet(Gabriel),facteur cheftélégraphiste assuré M.-Lafage (Antoine), courrier ambulant. ~bombardement de l'ennemi). à Paris 78. M. Cazelle (Jean), courrier ambulant. .M. Burillon (Louis), facteur chef des postes à à Foureceveur ceptionnels : a assuré son Saint-Mandé. DIRECTION DEL'EXPLOITATION TÉLÉPHONIQUE ardement de l'ennemi). postes à .M. Degre.(Henri), facteur chef des ole), facteur sous-chef des Soint-Maur-des-Fossés. M.Dumas (Jean), gardien de bureau. M. Duret (Joseph), facteur chef télégraphiste ~), facteur INDO-CHINE receveur à Lon- li Paris 96. ~ardement ~tionnels : a assuré sonserM. Faury (Jean), facteur des postes àla PlaineMi Benoit-ÇBtienne), surveIllant{Indo--ChiDaJ.-de l'ennemi.) "Saint-Denis. - -

facteur receveur

Mme

icteur

'»

',-

~ed),

facteur

Faliguerho (Hyacinthe), surveillant (IndoChine). M. Garric (François), surveillant (Indo-Chine). M.

ORAN

Maucci (Alcide), facteur local à Bouka.

néfis. M. Stambouli (Mohamed), facteur des télégraphes à Oran-Cal. COHSTANTINB

Buucrbe (Jean), courrier ccnvoyeur à Constantine. M. Foglino (Michel), facteur receveur- à Millé-

Veuves de liéutenantl.

Petit.

Juvin (Napoléon), facteur receveur à

M. Rohmer (Albert),

Chekfa. M.

Bône.

facteur receveur à

Rumeau (Pierre), courrier convoyeur à

MINISTÈRE DE LA RECONSTITUTION INDUSTRIELLE

tr.

1918.

(

décembre w esclig.

Veuves de sergents.

1918.

TATON (Marthe-Jeanne), veuve AGERON. — Jouissance du 8 juin 825 fr. LEGRAIN (Aline Louise), veuve ASSEMAN. — Jouissance du 31 octobre 825 fr.

19B. ( - - 1914. ), veuve

Prescription interrompue.

Marie Louise Marcelle JACUS BEAUNE. — Jouiss. du 23 août

825

fr.

1918.

t <

mai1918 ^[{•t il,

sancedu11septembre 1917 r3

1918. , 1918.

1918.

U1 veuve

19t!L. 1915.

fr.

1918675

li 1916 : ., 1918 1915,e 1918 vCtI^f&

MORÈRE-POC FOURC. — Jouissance 1914

1918.

BENOIST (Marie-Georgette), veuve LEBRUN. 675 fr. — Jouissance du 29 mai JOLY (Jeanne-Anna), veuve MONIOT, remariée à M. DUBOIS. — Jouissance du 24 août 1914. 675 fr.

1918.

0ve$w,

(1tino-Ja; ~,Doce énielli! iotils,

Prescription interrompue.

& 5$^f.

BIACCA ou BIACCIII dith), veuve DUTRUC-ROSSET. ROEZ()L;L* du 3 juin

(Catherine), veuve PUJOL sance du avril Prescription interrompue.. (Émélie-Virginie-Augustinf1» gtf t: ,,'llr.

"eUI

PICOT F63 avril 1-* flCI¡¡ 2 FERDINAND. — Jouiss. du t. veuve va ,,' COUPAS (Georgette-Claire), OVQ.vt: 5$ff'. mai GER. — Jouissance du 4 veuve LECONTE (Maria-Victorine),

r novembre 1®*

FOURRÉ (Eugénie-Henriette-Constance), Jouissance du 5 — veuve GUIGNOCIIAU. — Jouissance du 29 mai Prescription interrompue.

Prescription interrompue. Par décret du 31 décembre 1918, sur le rapport du ministre de la guerre, il est accordé une MARSALD (Françoise), veuve-OLYNIPIADE. pension aux veuves et orphelins dénommés Jouissance du 5 juin 675 fr. ci-après, dont les maris ou pères ont été tués BIIIET (Maria-Eugénie), veuve PETIT. sur le champ de bataille: — Jouissance du 12 septembre 675 fr. VATEL (Marthe-Andréa-Julia), veuve RANTZ. Veuve de commandant. 675 fr. — Jouissance du 31 mars DUVERDIER (Marie-Lucie-Anne), veuve SERÈNE (Marie-Joséphine), veuve ROBERT. COMBE. — Jouiss. du 17 juin 1917 2,000 fr. Jouissance du 3 mars 675 fr.

1l£rlU: F° t-rN^ tl 1918 DEJOBERT (Marceline), veuve Jouissance du 26 veuvetlU3S. DESPORTES (Hélène-Marie), GI décembre Jouissance du 28 — ,.D£: ,,-,,ft. COTE (Irma-Marie-Camille) , ~DRAULT. — Jouiss. du 21 juillet np f

^ij.

juillet

1917. Ife tt.

LAURENT

(Augustine),veuvey

ïEIJ'¡r. Jouissance du 7 novembre 1917.. 563 ; .c GOUIl ROUX (Jeanne-Julia), veuve UN-0Gpe.* Jouissance (Pierrette-Claudine),vU\¡¡eJ 191 FAYOLLE GU563vt GOIRE. — Jouiss. du 24 octobre DRIAT (Julictte-Cléophée). veuve 'JCçtr. Jouissance du 26 février — Jf' veuve COLLINET (Marcelle-Louise),. août TELLE. du 2i Jouissance c' — Veuves de soldats. 5L31 Prescription interrompue. JOuJSr' JAFFRÉ-" COUSIN (Maria-Henriette), veuve ARMAND.— JÉLIN (Josèphe), veuve Jouissance du 7 avril 563 fr. du 22 juin

1917.

1918.

1915. 1918.

AMANT (Marie-Augustine), veuve SANCE\OT. 1,750 fr. Jouissance du 19 avril1917

BOU^-BAS'80? UASSO' 563JJ* T#

1917.

1915.

Veuve de capitaine.

l6 o" Jouissance

ROUZÉ (Berthe-Fanny), veuve '60:"l£f" Jouissance 12 juin du — CAPELLE (Esther-Louise), veuve Orit1' juillet CA-cgO^$V' Jouissance du 16 — GAUDIN (Maria-Eugénie), veuve Jouissance du 26 BLANCHARD Jouissance du 7 mai CIIAADlEn. 563lt. f

1918.

Pensions (guerre).

maie-il 1918 o fi Jfl-

1918 ~!T'.563

EMANUELLI veuve BONNET.

1918.

CLÉMENTEL.

venVI> '1 {r.. ) ] (Florence-Eugénie DEQUATRE pjjj.r* DEAU. — Jouissance du 1er avril nO veuve COUDOUET (Eugénie), (Désiré norl* Jouissance du 1er

1918.

;

veii'vo

Prescription interrompue. GELLÉE (Êglantine-Joséphine), veuve BRUMENT. — Jouiss.du26 novembre 1917.. 825fr. BURTIN (Maria-Fanny), veuve COLLETTAT.Jouissance du 26 soptembre 825 fr. (Marie-Louise)j, Prescription interrompue. DESSAIGNE (Jeanne-Eugénie), veuve COUR1918 — RAUD. — Jouiss du 8 août 825 fr. NIGOU (Jeanne), veuve GENÈBRE (Pauline), veuve GRAFFEUILLE. -^3 t.. veuve — Jouissance du 30 octobre 191G. 825 fr. (Eugénie-Justine), BOURRET MARTIN (Marie-Claudine), veuve GUINOT. — Crtu*S^&tt* Jouissance du 17 juin — 825 fr. Jouissance du 16 octobre 1917 SODAGUET (Erénie-Anne), veuve "eU'" RAMIREZ (Bernardina), veuve LATOUR.— igls avril Jouissance du 30 (JeannC-Marie-JoséPlfe), 563îr* 825 fr. — Jouissance du 12 mai CARTIGNY LUIlT. LAMOTIIE (Marie), veuve CO^ LE1'. ,; — Jouis- COLLE. —Jouissance du 4 juin 825 fr. sance du 7 janvier HAMMEREL (Marguerite), FRANCON (Marie-Françoise), veuve MICHEL. Jouissance du 27 août 825 fr. ,; Prescription interrompue. — Jouissance du 4 juillet sJlL. aú3 rt DA. PONGE (Marie-Augustine), veuve VIAUD. FERRY (Léonie-Juliette), veuve Jouissance du 29 mai 825 fr. Jouissance du 29 juillet DE'I''; 563tt.. Prescription interrompue. Veuves de caporaux. PERRONNET (Marie-Jeanne), veuve D'-jlizl,w' Jouissance du 17 mars 1917 UIIART (Marie-Anne), veuve ARRAIN. Jouissance du 19 mai JANTET (Marie-Laurc), veuve 675 fr. DELAMARRE (Léontine-tonise-Renée), veuve Jouissance du 19 mai —J0U1iS5aï*CSjr. LORIN(Victoire-Augustine), BOURNY. — Jouiss. du 16 juillet 1918.. 675 fr. BOLJUDOIS. SINET (Jeanne-Marthe), veuve DUGORNAY. remariée à M. (Marie-Joséphine).Vle*e piW,. avril 28 Jouissance du 26 mai 675 fr.

1918.

;

, interrompue. u 191B^

Prescription

postes et des télégraphes, des transports maritimes et de la manne marchande, Vu l'article 3 du décret du 26 novembre 1918 transférant au ministère de la reconstitution industrielle la partie des services techniques du ministère du commerce, de l'industrie, des postes et des télégraphes, créés en vue de la répartition des matières, Décident de rapporter les décisions ministérielles ci-après 1° Les décisions du 10 octobre 1917 (Journal officiel des 11 et 14 octobre), du 12 janvier 1918 (Journal officiel du 14 janvier) et du 8 août 1918 (Journal officiel du 9) ayant pour but la réglementation du commerce du plomb 2° La décision publiée au Journal officiel du 3 avril1918, au sujet de la réglementation des aciers étirés de decolletage; 3° La décision publiée au Journal officiel du 19 mai 1918 au sujet du IJrix des boulons 4" La décision du 29 octobre 1918. relaFOULIN (Marie-Blanche). veuve ETEVENON. tive au commerce des machines-outils et de Jouissance du 29 mars 1917.. 675 fr. — .l'outillage mécanique; (Marie-Catherine), LAMBERT veuve FANTINI. 50 La décision du 29 octobre 1918 (Journal Jouissance du 23 mai 675 fr. officiel du 1er novembre) relative à la centralisation des commandes à l'étranger; FARNAULT (Hélène), veuve FRANÇOIS, — 6° La décision publiée au Journal officiel du Jouissance du 25 mars 675 fr. 6novembre 1918, au sujet des achats en Italie. REZARO (Germaine-Hermance-Maric),veuve Fait à Paris, le 4 janvier 1919. GEJnlOT. — Jouissance du 14 octobre 675 fr. Le ministre de là reconstitution induslrielle, Prescription interrompue. LOUCUEUR. COUSTY (Marie), veuve GLOUTON. — Jouis675 fr. le ministre du commerce, de l'industrie, sance du 13 avril des postes et des télégraphes, MAILLEY (Hélène-Marguerite), veuve GROSdes transports maritimes MAIRE, — Jouissance du 9 mars 1916.. 675 fr. et de la marine marchande,

I interrompue.veuve

(

1918.

Le ministre de la reconstitution industrielle, Le ministre du commerce, de l'industrie, des

1 1

LAMY (Louise-Olympe), veuve MARCnAL (Louise), veuve BONNET. — Jouis1914 septembre Jouissance du 19 du avril 1er 1,500 fr. sance Prescription CARRÈRE Marguerite-Louise-Wjjg.563 tr. N Marguerite-Aucustine), veuve CANET CARRÈRE. — Jouiss. du 24 août 1914. 1,500 fr. mai M 28 du BANNIER.Jouissance Prescription interrompue. 563 it>u veuve (Antoinette), LAMOLINAIRIE GNAN. Jouiss. du 26 Veuve d'adjudant. £ESClll. Prescription interrompue. MAUGER (Berthe-Louise), veuve BOISGONBROSSARD (Rerthe-Marie), veuve TIER. — Jouissance du 13 juin 1918. 975 fr. Jouissance du 5 novmbre DiOri-

sime.

(Marie-Virginie-Sophie),v®u5# PERRIN BERT. — Jouissance du 4 juin 191S" BAC563

1918.

du1eravril1918e 1916.

1.'

~1918.

~(Maria), YegVe JOSEPH.

JouistAUNEY (Alphonsinc-Pauline), veuve VARIN. M fr. — Jouissance du 7 mai 1918.„ 563 fr. ~élanie),veuveLAGAITÉ. Errata HOREL (Baptistine), veuve VERRIER. Jouis— 563 fr. Jouissance du 1er juin 1918.u 563 fr. au compte rendu--m extenso de la séance ~AVE-UjuinVeuve ALANNE. du samedi 28 décembre •/#/#(Journal offi~ce du12 juin DUPUY (Marguerite), veuve WETZEL. — ciel;du.29décembre). ~(Alberine-Suzanne-Charlotte), 563 fr. Jouissance du 25 septembre fr. 563 ~IN.Jouiss ~iption interrompue. ) veuve u août 1914.. 563 fr.. Orphelins de soldats» Page 8GO, 3e colonne, 10e ligne en partant ~(Noémie-Adrienne), du bas. Orphelins DULAC 1° Marguerite-LouiseLAN. tfJeanne veuve av mars1916 ~ESC ~(Jeanne-Alice), 563fr. Aurelie; 20 Marius-Jean. — Jouissance du Au lieu de 19 mars 1916 au 3 septembre 563 fr. veuve LAURIAC.M. Mure (Pierre), tuteur. -2 ~du27mars -4918 « ~Jouissance », ~-Honorine-Clara),veuve 563 fr. Orphelin LAURENT (Michel-Antoine). — îfn •veuv<?563 Lire LAVIEU~(Augusta-Marie-Théodosie veuve Jouissance du 17 février 1918 au 16 septembre « ». fr. ) Mme Llorens (Juan-Bautista), tutrice. ~Joui '"let">mi.u„êA^1.914' Page 893, 3e colonne, 24% 2jc et 3Gnlignes. 563 Orphelins LE COZE: 1°Marie-Louise;2°Anna; • ~(Marie-Louise-Laurence), 3° François; 40 Marie-Joséphine. Au lieu de : Jouissance — ~E. Jouissancedu13 décembre du 27 avril 1917 24 décembre 1934.. 563 fr. au décembre veuve « 1917 et 29mars 1Dlft.», ~(Marie-Joseph), M. Kergaravat (Joseph), tuteur.

~5mars1918.L

1918.

i9t7.

: •• fr. , 1935 56S • "

: juin.

1919.

: .29 juin.

•

563fr.

LE POCHAT. ~cedu 25 féym ~interrompue. er 1915 •«fr. ~EN.(Cécile),veuve ~cedu10juin1918. LESCOMMÈRES. TEUVE

~juin1918.563fr.

~(Ernestine),veuveMABO.

563 lT-

jouis~(Marie),veuveMALAGARIE.-

—

: 1931,. fr

Carmen-Palmyre : 1° Paul-Edmond-ÀIbert. Jouissance du mai

.sa

20 1917 M.

au 1er janvier 563 Paruit (Edouard-Edmond), tuteur.

———————

Nominations à des emplois réservés.

~563fr. -

: .33décembre Lire

Orphelins PARUIT

1918.

et 26 septembre Page 894,

1917, 2Dmars,29juin

lrecolonne,6e ligne.

Au lieu de

(

tke-de,-réinelusiveme-.Gt. », Lire : ,..4e dégré exclusivement. ».

1917.563fr.

~avril ~AUD. ~MARTIN."I's'ille

Par décision du président du conseil, minis« trede la guerre, endate-du23 décembre 1918, ''ouissance - veuve Peuraud (Albert-Henri), employé de bureau du 21 avril M. ~ART(Julia), MAUPOIX. auxiliaire à l'établissement central du matériel d'aérostation militaire, est titularisé dans ~18juin1918. DÉPUTÉS Jouisemploi (1er tour), à défaut de candidats miCHAMBRE son DES ~(Ida)veuve 563 fr- litaires. MAZEAUD. -Jouissance •+. ~AT(Éloïse),veuveMÉTREAU.-Jouis563 fr. -, Par arrêté date du 4 janvier 1919, M. Léon en M Rectificationdevote. ~Louise-Julie), veuve 563 fr. (André), ex-soldat au 237e l'ég. d'infanterie, a ~sancedu18avril MONTPÉROUX. été nommé commis aux écritures à la maison nationale de santé de Saint-Maurice,par appli.1918 abdir. ~(Jeanne-Marie), cation des lois militaires des 21 mars 1905 et Scrutin (no 764) du 31 décembre (1"séance). veuve MOREL. — 17 avril 1916, en remplacement de M. Marguet, 563fr. non acceptant. Sur le renvoi à la commission du projet de loi relatif au rétablissement des voies ferrées ~sance), veuveOFFNER. Jouisdans leur situation d'avant-guerre : ~octobre M. Accambray déclare qu'il a été porté par Par arrêté du doyen de là faculté des sciences et qu'en ~Jouiss. du de Paris en date du 13 dé- erreur comme ayant voté « pour de l'université novembre ~(Marie-Armandine), 191G: 563 fr. cembre 1918, ont été nommés, à défaut de réalité, il avait voté « contre J). ~Jouissance du 2 juin veuve PICOU- candidats militaires classés, garçons de labo1918. 563 fr. ratoire à ladite faculté ~UX(Alphonsine-Marie-AngélineVicMM. Caron (Camille). ~VeuvePLESSARD.COMMUNICATIONS AVIS ET Devove (André). Jouissance du ~décembre 563 fr. veuve ———————

1918.

~mars

~oninterrompue.

1916.563fr.

1917. !lrje-fuii'ia), ~LE ~Jouiss.du26 ~(Marie),veuve -JouisJmllet 1916.. 563 fr. RANDIER.

1917,. (Germaine-Antoinette) ~.-Jouissance ~septembre

563 Ir-

veuve du 5 septembre ( ~E(Mélina-Maria),veuve RAY. Jouis563 fI'.

~25mai1916.563fr. ~IN(Charlot

fr.

m^ RIVARD. e yeuve ~du24mai1918. 563 ~(Irène),veuve1 ROBICHON. )

Par arrêté du directeur de l'école supérieure de pharmacie de l'université de Paris en date du 17 décembre 1918, M. Semur (Jean), a été nommé, à défaut de candidats militaires classés, garçon de laboratoire à ladite école.

PARTIE NON OFFICIELLE

JanvÜr lise)1916. veuve ROCHE.

~1918. 1918.~Françoise), veuve

SÉCHER.

~(Marie),veuve

~18mai

-JouisJouisfr. 563

.,. tine),

563

TRICIIARD.

fr-

fr.

Les produits désignés ci-après peuvent être exportés ou réexportés sans autorisation spéciale à destination, de tous les pays alliés ou

;

neutres Papier autre que de fantaisie à la méca-

nique a) Dit papier de journal;

Erratum au compte rendu in extenso de la séance du mardi 3 décembre 1918 (Journal officiel du 4 décembre).

1918 563 ~Jouissance mars1915. lQntIlce du16 du rXette-Léonide),veuve 563 fr.

;

Pour l'emballage, empaquetage eUpliage c) Autre, pesant de 45 à 75 grammes le mètre carré. Papier sulfurisé ou simili-sulfurisé. Carton en feuilles ou en plaques. Carton coupé, rainé ou façonné. Carton assemblé autre que les cartonnages décorés de peintures, reliefs, étoffes, bois, paille, tressée, métaux communs. b)

SOLEIL.

~AUD(Marie),veuve

~cedu18mai

SÉNAT

563 fI'.

563 fr. ~(Jeanne-Julia), ~ription interrompue. veuve TIIOURIN. tJ, l'rOlUpue.

AVIS AUX EXPORTATEURS

Prohibitions de sortie.

Jouis1916. -563 fr-

~sancedu247janvier

Ministère des finances.

Page 815, le colonne, 16e ligne en partant du bas. DIRECTION GÉNÉRALE DES DOUANES Au lieu de : Concours pour l'emploi de contrôleur adjoint des douanes. Chapitre quinquiès 5 veuve TROU« », du 3. septembre Un concours pour l'admission à l'emploi de Lire ~(Antoinette-Hélène), veuve 563 fr. ~Jouissance contrôleur adjoint des douanes (épreuves quinquiès Chapitre 4 « ». écrites) sera ouvert les 24 et 25 mars 1919 dans VANdu 1ermai 1917. 563 fr. les résidences suivantes Lille, Nancy, Lyon,

dpcp, rnbre du31 qu'à lapiastre la dateétait de

près avoir subi avec succès, au bout de leur de 4 fr. première année de service, un examen profesSionnel. Eh ca:-â"écnec, ils sont admis à se présenter deux fois encore cetexamen. Un exemplaire du programme et -des condiMinistère de la tions détaillées du concours sera remis ou enindustrielledemande voyé à toutcandidat qui en fera soit à la direction générale des douanes (bureau du personnel) au ministère des finances, soit à l'un des' directeurs régionaux désignés ci-api-ès-Paris, DunKerque, Lille, Valencien- Appel aux candidats Epinal, Besançon, corps du So oc nes, Charle'ville, Nancy, le dans ingénieurs Montpellier, Lyon, Chambéry,Nice, Marseille, application de la loi Perpignan, Bayonne, Bordeaux, la Rochelle, Brest, Saint-Malo, Rouen, le Havre, Nantes, CalS; toutesbéné Bàstia, Alger. candidats de Boulogne, Les !- 3° Un certificat de moralité dûment légalisé ciers ou autres, désirantoctobre .gM et appuyé d'un extrait no 2 du casier judi sitions de la loi du 25 conditions *>||ra ciaire; certaines dans rise 11' 4° Le diplôme de bachelier r pou ou le diplôme des d'ingénieurs direct l'instruction t publique Ministère de 'supérieur, soit de l'école des hautes études d'adresser leurs beaux-arts. des et soit d'une école supéla reco i commerciales de Paris, 1919 au ministère de poudres). rieure de commerce reconnue parl'Etat; (direction des tr&nsi^^™jjg trielle ,! 5U Un certificat médical délivré par le médeaccompagnées seront demandes préCes Avis relatif au prochain concours d'admission cin assermenté et délégué par l'autorité fectorale, constatant qu'ils ne sont atteints à l'école nationale supérieure des beaux-arts, hiérarchique,conforme mode au reforfaire propositions (section d'architecture) et aux écoles régionales -q; a d'aucune infirmité de nature à les couram truction sur le service militaire armé; ou un certifid'architecture. mer du service Bulletin officiel) et cat attestant qu'ils ont été reconnus aptes à ce de l'ancienneté ë« d'âge, signalétique état s'il tuation lieu, natioà. l'école février lieu, service, ou. 14 1919, un Le y a aura et desservices à l'armée. nale supérieure 'des beaux-arts, un concours des services des candidats, tecnmyi .à jjjw joindront Toutefois, les candidats reconnus inaptes au d'admission dans la section d'architecture et intéressés Les d'architecture. service militaire armé, à la suite de blessures aux écoles régionales toutes les références la raPPo B éclairer à de guerre ou d'infirmités résultant d'une camouvert nature inscriptions raient de au Le registre des sera divers con- secrétariat de l'école, 17, quai Malaquais, du classement travaux pagne de guerre, peuvent être admis àservice universitaires ()U aptitude courir, pourvu que leur au occupées, titres 10 janvier 1919 au 10 février inclus. COlffln des bureaux et à l'emploi de vérificateur soit l'école, où' Afin de permettre à la affiché à épreuves est des L'ordre médecin certificat d'un asserétablie par un 15 'prendre échéant, connaispeuvent les candidats le en des cas directeur convoquer menté et par une attestation du mo à seize les heures de dix survenl jours,, les ainsi tous adresse, leur que sancedouanes chargé d'instruire la candidature. exceptés. pourraient Le et fêtes dimanches les cessives qui heures, Les demandesd'admission et les pièces jus- programme fixant les conditions du^concours situation depuis la date de tificatives devront parvenir le 8 février 1919. est librairie 115, boule- qu'au 5 mars 1919. Delalain, : vente à la en douanes général des directeur tard, au au plus (ministère des finances) ou à l'un des direc- vard Saint-Germain, à Paris. Les candidats non militaires sérvil .ce teurs régionaux indiqués ci-après, n'appartenant au pas visite inédice ultéinformés seront soumis Les candidats inscrits être une apItud présenter doivent ils où d'in génIeurs. rieurement du lieu se leur constater objet de Ministère des colonies. remplir les fonctions pour subir les épreuves, Les candidats en résidence aux colonies deofficiers oiDd candidats Les non chef du pouvoir-att leur ..demande vront adresser au serdevront en outre; Avis indiquant le taux officiel de la piastre vice des douanes qui la transmettra, ainsi que date partir la de à services de sert» sg pièces réglementaires, au directeur général les douanes, en Indo-Chine, ils auqirel nation au grade des en indiquant le centre métropodos échéant vient le tenu nndo-Ghine général de Le candidat. cas le choisi gouverneur d'examen itain par ticle 4 de la loi du 11 colonies ministre des connaître de faire au i

{Marseille, Perpignan, Bordeaux, Nantes, Brest, Rouen, Paris et Alger. Le nombre des places mises au concours est fixé à soixante au maximum. Les conditions et le programme du concours f sont réglés ainsi qu'il suit !t Les candidats doivent être Français et âgés de dix-huit ans au moins et vingt-huit ans au plus au 1er janvier 1919 ils doivent fournir les 1 'pi"e.es suivantes tl° Une demande sur papier timbré r' 2° Une expédition authentique de leur acte de naissance, et, s'il y alieu, un certificat établissant qu'ils possèdent la qualité de Fran-

;

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désirant

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aun avril T3

MAT1KR.ES DU CONCOURS

Epreuves écrites.

BULLETIN COMMERCIAL

Les épreuves écrites comprennent 1° Une rédaction sur un sujet de droitpublic et administratif, sur l'économie politique ou de place la dises métaux ci-après prix des sur Les bruts.gros en Métaux l'histoire économique (quatre heures} ; au assermentés courtiers légal les courant reproduction du prix 20 Une question de physique .et de chimie, sont la baccalauréat et por- (cote officielle hebdomadaire) des marchan- Seine d'après le programme tant plus spécialement sur la chimie industrielle (deux heures); 3° Une question de géographie économique COURS et commerciale (troisheures) 4° La solution de problèmes d'arithmétique A L'ACQUITTÉ et de géométrie (mesurage des surfaces et J918. 4 janvier28-décembre heures). des solides) (deux cubage 1919.

liv..n Ilavre. ——

;

1918. I

Ilavre Uv. 50f' id

Epreuves orales.

Les100kilogr.

Cuivre en barres, Chili, Américain ou autres provenances équivalentes, marques ordinaires,

Les épreuves orales sont subies à Paris. Elles portent sur les matières prévues pour sur une langue Cuivre en barres, Chili, Américain ou autres prol'examen écrit et, en outre,italien, espagnol étrangère (anglais, allemand, (conversation liv. marques, équivalentes, premières venances du candidat Cuivre ou arabe), au choix et traduction à livre lingots et plaques de laminage, en admis Ilavre ou La liste des candidats définitiverhent est arrêtée par le directeur général, qui pour- Cuivre en lingots propre au laiton, liv. Havre ou voit aux emplois vacants suivant l'ordre de Rouen -Cuivre en"cathodes, liv. Havre ou classement. Corocoro, Havre Le nombre total despoints obtenus par les Cuivreminerai candidats est majoré d'après les bases sui- Etain Banka, liv. Havre Ou Paris Etain Billiton, liv. vantes Etain Détroits, liv. Diplôme licencié, un sixième. Etain anglais de Cornouailles, liv. Diplôme de docteur, un quart. de provenances diverses, marques ordiPlomb fois Nul ne peut se présenter-plus de trois naires, liv. Havre ou au concours, marquer ordidiverses,, Plomb de provenances 1 Le traitement de début des contrôleurs ad- naires, Paris naires, joints est de 2,000 fr. Ace chiffre s'ajoutent Zinc bonnes marques, liv Havre ou des indemnités pour cherté de vie et des Zinc extra-pur, liv. Havreou indemnités de résidence variables selon les

ouvert)..

Rouen

francs.

franCS.

Cuivreminerai de Corocoro, liv. mm de liv.

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Havre.,.: .;. Havre,.;. Paris.

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localités. Ils ne. sont confirmés dans leur gradequ'a-

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Imprimerie, 31, quai Voltaire, Paris, 7".— Le directeur des Journaux

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: ledirccleurgénéral

Certifié conforme aux écritures

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de ia Banque de VAlgérie, E. MOREAU.

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L'Administration et les Fermiers déclinent toute responsabilité quant à la teneur des annonces.

DÉCLARATIOS D'ASSOCIATIONS (Art. 1tT du décret du 13 août 1901.)

ASSOCIATION DES

: Etude et défense des intérêts des propriétaires.

DE GUERRE

D'ALBAN

Alban, hôtel Berlou. ,Tarn). Siège social Défense des droits des mutilés.

décembre 1918. EGLISE RÉFORMÉE DE L'ANNONCIATION. Culte réformé, 3, rue Lekain, Paris.

7 décembre 1918. UNION DE LA PRESSE COLONIALE ITALIENNE ET DANS LES COLONIES. Siège SOCial Paris, 8, rue du cambodga: 21 décembre 1918. Coopérative d'alimentation. SOCIÉTÉ COOPÉRATIVE DU PERSONNEL DE LA MANUFACTURE DE TABACS D'ORLÉANS. Siège social :

A SSOCIATION DE PROPAGANDE INDUSTRIELLE, COMMERCIALEET AGRICOLE. Date de la déclaration : 20 décembre 1918. Favoriser laetmte industrielle, commerciale et agricole du département de l'Ardèche. Siège social Préfecture, Privas. L

27 décembre 1918. CLUB SPORTIF PAIMPOLAIS.

Sports athlétiques. Préparation militaire. Rue da Ploubazlanoc, Paimpol (Côtes-du-Nord).

JOURNAL OFFICIEL

Impasse du Brésil, à Orléans ,Loiret). 22 décembre 1918. EN

Société d'éducation physique. Ecole primaire supérieure de garçons de Guingamp. AVANT

22 décembre 1918. AMICALE DES BLESSÉ? ET MUDéfense TILÉS DE LA GRANDE GUERRE. Objet

des intérêts des mutiles.

(Hérault*.

DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

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à Bidarieug

ÉDITIOIT PARTIELLE Letarifde l'abonnement au JOURNAL OFFICIEL

avec les

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COMPTES RENDUS DU SRNÀT BT DE LA CHAMBRE

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est fixé en France, en Algérie, en Tunisie et au Maroc, à 40 fr. pour un an, à 22 fr. pour six mois, à 12 fr. pour trois mois.

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COMPTES RENDUS

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24 décembre 1918. ASSOCIATION DES PROPRIÉTAIRES DE L'ARRONDISSEMENT DE BREST ET DES ENVIRONS. Brest (Finistère). But

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