La Croix de l'Algérie et de la Tunisie...
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La Croix de l'Algérie et de la Tunisie.... 1893-1909. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.
SeptièmeAnnée.— N*584
BI-HEBDOMADAIRE
Dimanche,25 Mars1900
Bien peu sans doute ; une infime Ilssemêlent d'une recrudescence de popula- Et M. Aynord donne encore d'autres arESCADRE tion detout,cesanimaux NOTRE minorité,j'aime aujourà le croire. d'ailleurs le qui font Paris tend de\enir guments, à : un cer— Et la grande majorité, la masse traiter de réactionnaire, de nutionaENCARAFE veau énorme et disproportionné, d'hui Sr.medi, à trois heures, te bouffi Henri la paix, liste «t jusque de suppôt de l'Etat-major n'est-elle
pour pas pour ce qui amènera la ruine de l'orgala liberté, pour la tolérance des de Rothschild a fatt une conférence sur par les journauxque vous savez. nisme tout entier ! « l'Hygiône et l'alimentation des nouveauil en est un que l'honorable député uns et des autres. La force d'un gouvernementse L'autre par Nantes, Lyon, Mar- n'aMais nés. » Français ajoui La estté des douemployer, discrétion,'sans o*6 m par reconnaît à la vivacité et à la sseille: coût, deux milliards; c'est te, qui Cet Henri de Rothschild est des échanc'es^ la elle sectaire Non, t M-» certes cependant le meilleur, est et que la dans promptitude qu'il apporte j, plus central, le plus commode le présidentdu Consoil ne manquera sûre- minorité, mais c'est la minorité tillons les plus encombrants deun la collecle conception et dans l'exécution à l'industrie, et le mieux lait pour ment pas de faire vnloir quand son projet juive, franc-maçonne, radicale,sec- tion. des projets intéressant la défense dégorger Il possède d'immenses domainesdans les<j Paris de son trop plein. taire. discuté; nationale ou la vitalité.commer- Le troisième par Bordeaux,Tou- sera C'est celle minorité qu'on a quelles il chasse le faisan. " « Ln meilleure preuve, dirn-t-il, du danciale du pays. |, louse, Narbonne ; coût, un mil- ger que l'enseignementlibre fait courir a laissé envahirpeu a peu les places, Ses nombreux gardes ont la consigne de Sous ce rapport, le nôtre peut j,liard et demi ; c'est le plus facile- nos institutions,c'est qu'à la téta du gou- le gouvernement, la force vive de faire feu sur tout passantsuspectde braconvernementde défense républicaine que j'vi la nation et aujourd'hui c'esl-ellc, nage. être comparé à une limace montée ment réalisable. r Henri de Rothschild est naturellement le périlleux honneurde présider se trouve, celte minorité d'intrigants, de pei> sur une tortue. - qu'on parle du Bien qu'on ait été échaudé, chez en détesté dans le pays. louches et brillant, trop souvent fut élève qui sonnages ma personne,un Voici trente ans B nous, par le Panama, je suis per- de l'enseignement Voilà qu'à présent, il se m6Io de l'alicongréganiste. sans caractère, qui mène tout en mentation Transsaharien et du Canal des usuadé que nos capitalistesne refudo nouveaux-nés. Et une autre preuve, plus décisive, mes- France, même les masses électoDeux-Mers comme de créations seraient s pas leur argent pour me- sieurs: c'est que lu ferme républicain que rales séduites par leurs trompeu- De quoi je me môleI indispensables. urgentes, Avorton, commence donc par ne pas r à bien ce qui, en même temps vos libres suffrages ont placé a ta prési- ses déclamations. ner foire ocoirc les grands-pores par tes garQn n'est pas plus avancéaujour- qu'une c oeuvre patriotique, serait dence de la République, celui que vous avess des ! d'hui q**il_y a trente ans. affaire éminemment commer- vu acclamé a Longchump par les socialisune t serait d'y Qu'il mettre temps orles libres-penseurs plus * Le Transsaharien risque fort de ciale. les convaintes et c ! tomber- dans l'eau, ot le Canal de Ce serait comme le prolonge- cus. M. l.oubet, fut l'élève d'un petit sémi- dreQu'il serait temps que les Frannaire, ie n'y tomber pas de sitôt, malheu- ment î de Suez ; transit y serait t disent bien leur manière de çais I SURL'HYGIÈNE reusement! énorme, et donnerait aux action( leur volonté d'avoirla paix penser, naires le 15 0/o de bénéfice. pour tous et non pas seulement le lîxisto-t-il, à Alger, une commission favoritisme pour quelquesuns. Que voulez-vous T Sous notre | chargéedo veiliei a l'hygiène et priorité pales Or, Icsy'eclions unici sont in le acéphale, république gouverneAllons républicains à l'oea- j Que veulent les Fra<i,;iis >' .si là, "occasion excellente d'orienter publique ? | Oue voulez-vous, vous qui on «mi, c'est k elle quo je dédie i<» lignes ment est tout en bouches: on jase vre ! Que tardez-vous?.\, la politique ;!o la France. Sans *iMiivvnt. beaucoup, 4n mange gloutonne- Ah ! je comprends: auparavant \ i?i.in.' nombre lisez f.r.-,lignes? qui maidoute, ce ne sont pas nos ..Qu'<m pu?;»!clic/, h.-photographe, rien ment au ratèlier budgétaire ; mais vous voulez anéantir les Congre- j La j>uix, n'esl-ii pas vrai ! La res cl nos conseillersqui gouverla poix p.iix agit, qui qui vous, pour vos pour d>:uii-ux où est là tête pense, mais le lois, : .îonh-iiK-uti Alger on pose un font et nent que nos gâtions! Vous croignez s?ns dont»;. voisins, pour votre pays, pour tout peu partout ; sur lu* trottoirs, la long des universel qui commande en toute responsa- qu'elles n'obstruent .sufi'r.igo sa marqua vocanal.: votre ce qui est bon, tout ce qui ost lonté par les hommes pour qui il murs, ni loir des monuments, partout des bilité? Nulle part—Dès lors tout 0 rôvo superbe! 0 dessein su-J droit, juste, iégilirn-. devient hasard, tout livré au mois de mai. "t bon gré ordnrcs. est au blirii.e! Guerroyer contre les reli- La paix pour k repos ! m es- votera députés et ministres subi- X'.c sont IKS nrubos, dites-vous ! soit : malgré inertie. gieux : ah ! voilà qui est bien digne, prits, la paix pour a marche des ront son influence. mais qn») l:i police les Mitveille ri se ô républicains .'. de votre éton- affaires, la prix pour la îranquil- 11faut dont*que partout les élec- montre un p.vuplus sévère. . . On l'a répété sur tous les tons : nant génie politique, qui fait l'ad- lite ot la prospérité du pays. tions municipales se fassent sur le ...Kl d'une. l'on donne? Et est-ce nous ce que la Médi- miration de l'Europe, et fera terrain delà liberté de conscience, ...ll'y u également certains commerun canal reliant l'Océan ànécessité ! terranée est de première l'étonnementdes Cafres eux-mêmes Hélas ;sur ciut<, certains marchands de drogues emNous demandons la paix et on d'enseignement,d'association de la paix, à rencontre punnt'inles qui en prennent trop a leur pour notre défense nationale, et, si jamais ils apprennent à lire veut nous donner la guerre : guerre le terrain juifs et sectai- aise. intestine, intime, à coups d'épin- des francs-maçons en particulier, pour la protection voir» histoire ! terrain l'amour de la IU rincentleurs bocaux, lavent leurs tonle de Républiques'en sur la re? l'Algérie de JULESL'AFRICAIN. gle ; guerre d'autant plus funeste pairie, : in- nenux d'uffrcuses mélasses gâtées, et déIrai:res, face des en qu'elle est sourde et plus perfide. sulleurs de l'a.'mon et dedes moque. leurs versent en pleine ruo les eaux sales et Qu'arriverait-il si une guerre Guerre aux pères de famille,qui scrviles partisans. n'auront plus, avec los nouvelles Les élections de mai doivent g'uunte*. éclatait entre la France et l'AnIl s'en exhale des odunrs qui empestent lois que Ton veut nous imposer, le être la grande consultation natio- plusieurs quirliur*. gleterre 1 vient de déposer son rapport droit de faire élever leurs enfants nale d'où sortira la paix, telle Notre escadre de la Méditerra- M.laAynnrd que C'est ainsi qu'un je ne sais quoi phnrmnlui, présentât) par le gouvernement, selon leurs principes, mais seulesur résister pourrait-elle majorité l'immense nomnée" au la des co-droguistoinfecta dernièrementtout le veut un « singe île scolarité» pour ment d'après la manière de voir Français, haut de la rue d'Isly, duns les environs de bre écrasant des cuirassés britan- établissant les candiduts aux fonctions publiques. d'un ministère qui, d'ailleurs, A qu'il la rue dos Tanneurs, avea ses déjections faire électeurs, de ? vous, niques M. Aynard, nu nom de la Commissionde change à chaque instant. pharmaceutiques. ainsi ! soil en Car elle serait isolée. relicongrégations Guei re aux l'enseignement,se prononcecon'reco proSi les agents manquent d'ojil, nu moins le à rendre de A pays ses vous Impossible à nos autres vais- jet de loi. gieuses et avec elles à toute asso- vérilablcsinspirations de jusiico qu'ils nient du nez, et rappellentles délinCela no paraîtrapns étonnant à quiconque ciation qui ne plait pas ou cesse seaux de lui venir en aide! quants aux lois do la propreté. Impossibleà elle-même de sor- n'est point complètement absorbé par l'es- de plaire au ministre du jour. Tant et d'équité. ...Etd deux. LE CROISÉ. tir du champ clos où elle navigue, prit de secte ou de coterie, quand on a pis pour ceux qui veulent vivre ...Ln ville d'Alger possède quelques EMe*-seraitlittéralementmise en ainsi résumé les principaux arguments que ainsi en commun, ou s'unir pour vieilles balayeuses, et antiques arroseuses: qui leur but obtenir quelque l'honorable est vnloir fait rapporteur : carafe, et bouchée à l'émeri dans nous les voyons de temps en temps se bnl1* Cette loi de « défenso républicaine », avantageux ou agréable. les flancs de la Méditerranée. luder dans nos rtiu3. voilée moins plus Guerre à de détruire qu'une façondéguisée la n'est ou La Méditerranée forme, en effet, liberté de l'enseignement; Mais k'sbnlfiyouscs font semblant de ba. armée les brave qu'est-ce toutes véridd noire RoKliiiul remporlor v ient lï. par or, un une vaste carafe, munie d'un donc, précisément,que la République, si- risettes faites aux juifs, les amnis- table triompho avec son nouveau drame, layer, et les arroseuses ne sont que des étroit goulot et d'un robinet. m icl.ines à transformer In poussière en. non le régime par excellence de la Li- ties préparées en faveur des traî- l'Aiglon. en bouillons do culture & microLe goulot s'ouvre à Gibraltar, berté î tres contre les droits des Français C'est le récit d'un.épisode do lu vio ÛH: bouo, bes. main la le Anglais ont des orphedes et absolument contraire les sur de loi et 2* Rvme rêvant Cette de rentrer et est petit roi veuves nitme en nui Au moins qu'avant d'urroser on enlève bouchon. France, e,t trahi dans ses desseins. a Droits de l'homme ». (A nous, Trarieux, lins. Guerre à tout ce qui n'est pas Les vers de Rostand sonnent, nu débit, ht poussière. Le robinet s'amorce à Suez, et Guyot et Compagnie !), dont le premierarnaissent libres et de l'avis du ministère: qu'on soit comme l'-airaindo l'épopée. .. .Et d<jt'ois. les Anglais tiennent la clef: on ticle dit : « les hommesdont bonapartiste républiroyalist3, le doit-ètre ou Qui sait, Rostand finira pe par un autre— n'en&rey.ni on sort sans leur per- égaux •!, •! '•... » et dixième, si je oe m'abuse, dit : «Tous les cain, comme Déroulède, Habert et ter notre pays d'une épopée nationale en mission. .'..Enfin, dans l'intérieur, il y mirait ceraccessibles à tous les citoyens tant d'autres, peu importe ! dés là feuilletant lu légende impériale. L'agréable perspectivepour nos emploissont règlements de salubrité à établir, surtains coterie de la de l'on n'est celle leur certsinomo'jt de sortira c'est de là distinction Car pas autre ver- que que que marins d'être ainsi «embouteillés» sans tout pour la tenue des marchésarabes. l'assiette au beurre.. de leurs talents... » le poëme, l'Enéidequi nous manque. et tus Ils sont d'une malpropreté tout &lait dépar les ennemis qui bombarde- 3* Cette loi reprend, contre une cutégo• • « goûtante. raient, tout à leur aise, nos ports rie de Français, exactement les mesures Et cependant, quels sont les Roslnnd rend un fier service a la cause Prenons, pour exemple, celui de Tiztsans défense, et notre flotte sans que l'on reprocheà Louis XIV d'avoirpri- Français Ouzou. qui veulent ainsi la bonapartiste. communications!!! ses contre les protestants.
MUNIE DWEPATMS
&LES FRANÇAIS LAPAIX
~STÂGÉ~SC0LA1RE
L'AIGLON
Ce.canal stratégique, a une mer à l'autre, est aisément réalisable, cela est démontré. Les ingénieurs en ont tracé
4. Cette loi exige un stagejustementdes fonctionnaires qui sont les moins mêlés à la politique : magistrats,gardes-des forêts, officiers, professeurs. Elle laisse passer les percepteurs,les directeurs des ministères, et jusqu'auxministres, que l'empreintecléricale n'empêchera pus de devenirdéputés et membresduGouvernement. Elle n'atteindrapas duvantnge tous ces fonctionnaires : (acteurs, cantonniers, douaniers, etc, qui sont, comme on le snit, la clientèleélectoralede nos honorables re-
trois plans. Le premier par Rouen, Paris Marseille: coût, quatre milliards ; c'est le pire, surtout au point de vue sociologique ; il ne servirait qu'à atrophier encore la province en tuméfiantParis, déjà trop gros, présentants.
guerre?,.. Que l'on interroge nos braves populationsde France, au centre,
au midi, au nord, à l'est ou à l'ouest. Que l'on demande à chaque électeur -.« Voulez-vous taire la guerre aux autres, voulez-vous causer de la peine, de l'ennui, du tort autour de vous ? » Combien yen a-t-ilqui répondront « Oui, nous voulons la guerre, la
lutte entre Français, l'oppression des plus faibles par les plus torts».
Si l'histoiredu Consulat de Tbiers n ramené les cendres du premier Napoléon aux Invalides et acheminé le nevoii aux Tuileries, il p.iurrail bien so fttiro quo l'Aiglon prélude nu retour des Aigles ! Mais que Rostand se délio. Wuldock est un dangort-ux hyslériquo qui partout ne découvre quo conspirateur. Au moment où j'écris ces lignes, Wuldeck est peut-être abouché avec ses plats valets de juslj.io pour chercher un. moyen de couper les ailus à l'Aiglon et de condamnèf*a. l'exil !e poète nationaliste. JULESL'AFRICAIN.
Il a lieu les samedis: des milliers de kabyles y descendent. On abat, en plein uir, les botes de boucherie : c'est d'un primitif!!! Après quoi.il reste sur les lieux, exposées en plein soleil, des mares de song et des tas de détritus organiques. Tout cela se corrompt vite. Il en sort des odeurs qui se sentonlàdenx lieux à la ronde. Les voyageurs, qui débarquentà la gare et passentle long du marché,n'ont qu'a se boucher les narrines.
Si le cholérane s'estpas mis dans ces
Envol des produits tlsification et nous risquons d'assaisonnerI Le n° 76.687gagne 50.000fr. —Ou mande de Lemborg : Un terrible incendie a détrait une partie Les n" 444.991et 289.050 gagnent10.000 X i salade de lentilles du vendredi suiut avec I Le Comité départemental d'Alger prie I instamment de'la ville de Kulbuchzovf. e la graissede porc. jn les personnesadmises à l'Ex- rancs. JDeux cent maisons ont été brûlées. Les 4 numérossuivants gagnent chacun Ce ne serai! pas d'ailleurs pour déplaireI position qui n'ont pas encorefait l'envoi de I „, 5Six cent familles sont sans abri. ie produits,de vouloir bien y procéder i.OOOrr. Lce brave Rnchefort, car, si mes souvenirs leurs ' plupartdes bâtiments publics .^t'iitoo La 350.190,392.697,269.202,416.505 conformant re'ard, le me trompentpas, c'est luiquifaisait con- I sans aux g] aucun en se ' les archives ont été détruits. 611 ix îoi'.re a l'univers par la voie de son Jour- instructionscontenuesdans circulaire la qui Obligations 1895 foncières de j, : — Des troubles se sont produitsà Hurn— aal, que ce jour là, il dinait avec du gras leur i( a été adresséele premier févrierderLe n« 126.386gagne 100.000fr. 'me-lez Termonde,où les ouvriers fileurs double, trouvantque le gras ordinaireétait nier. Le n» 414.771gagne 25,000Ir, n »nt en grève. 8Q JULESL'AFRICAIN. insuffisant pour protestercontre des pratiLe n° 201.474gagne 10.000fr. Les patronsoyant été c invoqués par le ques qu'il qualifiait je superstitieuses. Il i Les n»«376.695, 360.417, et 495,026 ga- , la plupart ne vinrent pas. surgmestre, I aujourd'hui faut ajouterqueceluiquiplante 5.000fr. Les grévistesmécontents allèrent devant NouvelleGaufrette vanille. un olivier ne jouira guère du produit de — Aujourd'huion a distribué la proposi- |eiurs demeuresenfonçant les porteset bril'arbre avant une vingtaine d'années. tion de loi de M. Brisson, déjà annoncée, 8aant les fenêtres. le En vingt ans, il passe de Tenu sous Protectiondes Olivier» relative àlasécularisationdes biensactuelleLes gendarmesont chargé la foule. pout et d'ici là « Le roi, l'âne ou moi, nous ' mentdétenus par les congrégationsd'hom- Deux d'entre eux ont été grièvement Dans sa dernière session, le Conseil Su- mourrons. ra » d'une Dlessés. Voici l'itinéraire que suivra le Comité de mes non autoriséeset la constitution Il résulte de ces diverses considérations périeur demandait à l'administration de caisse de retraites pour les travailleurs. Des détachements de troupe ont mis fin à d'avril le mois de Blida pendant prendre les mesures nécessairespour en- uun enthousiasme assez modéré pour les remonte Un terribleincendiea détruitun im- celte bagarre. 1900. — plantations d'oliviers. couragerlà multiplication des plantations P occupé par un fabricantde meubles BERLIN.— Au cours de l'expéditiou du C'est pour cela que les encouragements Dimauche 1* avril, Aumale, marché : meuble d'olivierscbez les colons'et chez les indide Reuilly. rue 8 achats heures du matin. à iiipitaine Van Besserdans le nord du progènes, ainsi que le greftuge des oliviers 'administratifs ne sont pas sans utilité. Les dégâts sont évalués à deux cent mille .ectorat du Cameroun, officiers Lundi, 2, Sidi-Aïssu, marché ; achats à 3. ot t môsauvages existant sur les terrains commu- 1 Je me permettraiseulement une réflex- 8 heuresdu matin. francs. ^lectn ont été blessés. critique. tion * naux. du Les pompiers se sont rendus maîtres Mercredi, 4, Adaouras ; achats à 8 heuKÀLOOSA. — Une barque"qui trânspor-Puisque l'administrationintervient pour Le Gouverneurgénéral, tout disposé à feu après 4 heures de travail. du matin. pourquoi res la culture l'olivier, de tait 25 paysans pour traverser le Danube a favoriser le développement de l'oleTculture encourager * Plusieurs blessées. été ont personnes Vendredi,6, Aïr-Boucif,marché ; achats n'est-elle pas intervenue, ce qui '-';»£; Ï,5> s'empressaitde déférerau désir du Con- diable, < La Compagnie Transhll: ntique est tou- chaviré. heures du mutin. 20 ont été noyés. -'*': ' seil supérieuret une circulairerécente in- était ' beaucoup plus facile, pour empêcher à 8Mardi, 17, Boufarik:achats à 8 heuresdu jours sans nouvelles du Pauillac, vitait les préfets à sigualer à l'administra- sa — Ou mande de Constaiitinople : ' destruction. M. Loubet Poulet, de M. accompagné .. — Un iradéimpérialaccorde à la Russie le Pourquoi même, a-t-elleencouragécette matin. tion les municipalités ou les particuliersqui exclusif à la concession de la ligne Lundi, 23, Boghari, marché ; achats à 8 secrétaireparticulier a quitté l'aris se ren- droit t ' ( destruction ' » imposé des des sacrificesen plantant ' sont dant se à Montélimnr. - d'un chemin de fer au nord de l'Asie Mi, Peut-on compter en effet l'inombrable I heures du matin. oliviers ou en greffant des sauvageons. Mercredi,26»Aïn-Oussera,marché;acb»ts — M. Loubet choisissantle moment où neur. i La manne administrative devait ensuite quantité d'oliviersque les colons ont dél'apaisementsemble revenu, a signé la 8 heures du matin. à — Osman Pacha, le héros dePlewuadont être distribuéeeu abondance aux heureux truit dutis leurs défrichèmonts? plusieursjournaux ont annoncé la mort Vendredi,27, Rhellalo, marché; achatsa grâce du baron Christiani. N'est-il pus de notoriété publique, que la cultivateursd'oliviers. — A tu suite de non observance du rè- est en voie de guérison. C'est parfait, et il faut savoir gré au gou- destruction des oliviers s'opère sur une 8 heures du matin. Dimanche, 29, Chobounia : achats à 8 glement, la compagnie des mines a retiré — On télégraphie de Buenos-Ayres, vernement d'encourager une culture qui grande échelle dans les arrondissementsde heures du mutin. les lampes à presquetous les mineurs du Times, que les rebellesd'Entreriosont au Guelmii? Bône de et à place est sa vraie renen Algérie. du les armes. Les achats auront, lieu à Blidu. tous les puits Sainte-Eugénie,àMonceau-les-Mines. Combien à l'heure actuelle n'en arracbeSon climat esjt en effet merveilleusement BLOEMFONTEIN: pendunt Aucun incidentn'est jours signalé. 9 du matin, excepté à heures Le présidentKroappropriéà l'olivier,et la preuve c'est que, t-on pus pour leb convertir en charbon ! de'fête et le FONTAINEBLEAU. — M. Durand, ins- ger aurait lancé une pr'Mjlamatronannexant Ces destructions ne sont-elles même pas l'absence du Comité, les jours les oliviers sauvages se trouvent partout l'état tituteur libre d'Orange public &Fauteau-sur-Kssonno a été au Transvaal. dans les broussailles en quantité considéra- encouragées par les administrateursde mercredi. conduità la prison de Fontainebleau sur Mais le président Steijn aurait à son tour ble. communesmixtes,moyennantde faibles rela plainte de plusieurs pères de famille in- lancé une contre-proeJamutioii, déclarant Il ne faut pas oublier que c'est l'olivier- devances î dignés des agissements de ce triste person- que l'Etat Libre, restait un Etat indépeu- ' olid'un luissor les Ainsi, côté, détruire qui a fait la richessede l'Algérie et de lai nage à l'égard des petites filles de l'école dant. viers, encouragermômeleur destruction,et TunisieRomaines. qu'il dirigeait. LONDRES. — Suivant l'agence Laflan FRANCE C'est avec ses produits qu'ont été élevés, de l'autre, permettre des primes aux planGAP. — Une couche de neige de 20 non seulement le général Gàtacre aurai! ' b elle-fille du direcd'oliviers ! Noblemaire, teurs Mme les monuments dont on trouveencored'im— centimètresd'épaisseurosl tombée la nuit, subi un grave échec, mais il aurait été fait teur de la Compagnie P.-L.-M.,qui,depuis s dernière posantes ruines, dans divers endroitsde3 C'ost bien la l'administrationafricaine. prisonnieravec son é at-major. sur les Alpes. l'Afriquedu Nord. CH. GAUTHIER, a mort de son mari, consacrait sa vie aux Le bruit court également que 12 oapons La neige n'étuit pus encore tombée en Cela a été établi sans contestation possiPépiniériste auraient été pris aux anglais. a Margucritte. pauvres, a pris le voile au couvent des Car.* aussi grandequantité, mélites. ble par divers auteurs, notamment par M. — Le bruit de la capturedu général Ga — Le Conseil sanitairea obtenu du SulPaul Bourde, lorsqu'il' était directeur de — UIntrantigéant rapporte que M. Clo- tan la concession de l'île Mugador doman- tacre n'est pas confirmé,-mais on remarque l'Agricultureen Tunisie. vis Huguesaurait dit, devant vingt person." dée pur le corps diplomatique. que le War Office est sans nouvellesdepuis L'olivier, à notre époque peut-il être ' nes, à notre confrèreRendu qui lui aurait Le conseil sanitaire se propose d'établir 4 jours. reprochéde voter pour le général de Gol- un lazaret dans celte ile. De Londres aux Débat* on maude qu» le comme il le fut dans l'antiquitéune source L.ol du »» mal 18«8 de richesse? lifet : War Office ne démeut ai ne confirme lTOULON. Hier, la tombée la de vers — Je me contentede poser la question, laisLos personnes admisos à l'Exposil'un « Que voulez-vousT Naus avions besoinn nuit, un vapeur battant pavillon anglais est bruit de lu défaite du général Gutacre par le commando Olivier près de Bôthulie. sant à de plus compétents que moi le soin Universelle de 1900sont informées qu'elles d'une canailles nous avons trouvé de Gai- entré dans la grande rade de Toulon en Toutefois on reconnaît au War Office de la résoudre. peuvent se faire délivrer par le préfet de la litet I ». longeantla cote, être sans nouvelles de'la oulonue' Gatacre Car il est certain que la situation écono- Seine, conformément aux dispositions de Sud-Oredes du oasis L'occupation Signtilé le i* sémaphore de Sepet — par au mique an point de vue de la production et la loi du 23 mai 1888.doscertificats descrip- nais se poursuitavec toute la méthode dé1- poste d'arraisonnement, ce dernier en- depuis le 18 mars. , de la consommation de l'huile d'olive n'est tifs des objets déposés' voyait'aussitôt à sa rencontre une buleisirable — On mande de Loureaço-Marquez :. Les travaux de défense de Pretoria perplua la mémo que sous la domination roIl est nécessairede le dire et de le reCes certificats asuurent à ceux qui les »- niôre pour le teconnaltre et le.piloter msine. au besoin, mais dès que le bateau a'n- mettront à la place de tenir deux ans; obtiennentles mêmes droits que leur con- dire. Les débouché» ont ungmenté; c'est de férerait nn brevet d'invention ou un dépôt le glais aperçutque la baleinièrese dirigeait — Suivant les journaux boers," la situa— Le Figaro dit que le jeune prince de toute évidence. Les moyens de transportse légal de dossin de fabrique, à dater du jour Hohenlohe,petit-fils du chaneotier allemand i(j vers lui, il viru do bord et gagna le large a tion militaire s'améliorerait chaque jour pour les fédéraux. sont développés et perfectionnés: l'anti- de l'admission jusqu'à la fin du troisième est, depuis deux jours, en traitementàl'Ins- toute vitesse. La prélecturemaritime a été avisée de cet Les hésitants de t'Etat-Libreseraient«en quité ne connaissaitni les chemins de for, mois qui suivra lu clôture de l'Exposition, titut Pasteur. incident. truin de rallier les couleurs républicaines, ni les bateauxà vapeur. préjudice du brevet qu'ils peuvent sans Le petit prijee, qui a Gans, a été mordu, et les recrues continuentd'amverauTran»* Les producteursde l'Afriquedu Nord n'a- prendre ou du dépôt qu'ils peuvent opérer à Cannos par un chien enragé. ÉTRANGER vaal. vaient pas A redouter ln concurrence des avant l'expirationde ce terme. — Le Matin annonce que l'Empereur — S'a Sxinleté conliuue a se maintenir C'est ainsi que le steamer « Rcichstàg » builes de grains telles que celles de sésame Chaque demandedoit être accompagnée d'Allemagne gruud concours dans un admirableétal de santé quilui per- amena environ cent Allemands, FUIIÇMIS et et d'orachides. d'une description exacte de l'objet et, s'il international.a ouvert uu . met de donner de nombreusesaudiences Russes. Les huilesde cotonqui vienneutengrande y a lieu, d'un plan ou d'un dessin. 150.000 de francs Il réserve une somme publiques et privées aux évoques et aux pèpartie d'Amériquo.nii'huilede cochon(suuf Les intéressésdoivent, en outre, justifier constructeurqui lui fournira l'automo- lerins venus à Rome p>iurvoir le Pupe et PETITE OON8ULTATION votre respect) n'étaient connues, puisque que l'objet pour lequel ils demandent un au bile le plus pratique au point de vue mi- profiter des grâces du Jubilé. * _____ l'Amériquene devait être découverte que certificat a été admis dans l'enceinte de litaire. Aux personnessensibles de la gorge, qui — Le cardinal Mathieu est parti dans s'euroueut quinzecents ans plus tard. l'Exposition. facilement, éprouvent On sait qu'on fait maintenant une très — La Petite République prétend que le la mutinée pour Paris, pour affaires person- tements, des démangeaisons, des picoLes demandes doivent être faites au plus une petite bonne huile d'olive au moyen d'un mélange tard dans le l1'mois de l'ouvertureJe l'Ex- ministre de la iMarine va se séparer pro- nelles. toux sèche causée pur des granulations de vaisseau Boudu capitaine BRUXELLES. chainement Belges des Le roi d'huile est saindoux, de do d'extrait — co- position, c'est-à-direavant le 15 mai 1900, savant nom conseillons le» tablettes du Dr Vatel.i du personnel,et du gé- atteintd'une grave maladie d'yeux. C'est le romédovde choix dans les angines l'ouverturede l'Expositiondevantavoir lieu tel, sous directeur ton et d'autres huiles de graines. sous-directeur des néral Bougné, troupes, La lecturo distraction lui et tout autre Celte huile d'olive menace d'envahirl'Is- le 15 avril. et laryngites— Ùue boite de Tubleltes du politiques. opinions sont interdites. Docteur Vatol est expédiée contre 1. fr. 35 lam et les prescriptionsdu Coran courenl La délivrance des certificats est gra- à cause de leurs Le roi Léopold va aller en Allemagne adressésà M. Berlhiot,14, rue des Lions grand risqued'être violées inconsciemment, tuite. — Obligations comunales de 1892: à Paris. ' Le n» 353.259gagne 100.000. pour y consulterun célèbreoculiste. Nous aussi nous avons à compter avec la
contrées,c'est que lui-même ne peut tenir dans une semblable infection ! ...Et de quatre. Aprèstout, nous sommes en 1900de l'ère chrétienne,et non en 1900 avaut JésusChrist. Il me semble qu'on doiveconnaîtremaintenant .leslois de la propretéqui est le vernis de la civilisation !
SUGARPSRNCT
CRONIQUE AGRICOLE
ACHAT DE CHEVAUX
-
ÉCHOS
Exposition MwselMe M
,...).-.
-..-.'
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FEUILLETON DE LA CROIX
ment humain, bien moins encore del'ordre sainte Tuniquecoupée en morceaux (dont XVII politique. deux furent sauvés), enfin l'église affectée Une réparation en 1893 Notre intentionest tout autre, et au desau etilte de la Ruisen. A Notre-Dame de l'Epine (Maine), tout Unoréparationea 1893. Unelettre du cardinal- sus des questions qui agitent trop souvent — fut pillé aussi. archevêquedeParis.—Lerécit d'unécrivainca- lea hommes entraînés par leurs passions ou dominés par leurs intérêts. Mais le curé, M. Berlin, cacha l'antique tholique.—L'amendehonorable. C'est à la lumière de l'évangileque nous statue de la Vierge tenant l'Eniaot-Jésurs désironsjeter un regard sur dés événedans ses bras et qui datait de l'an mille Au mois de novembre 1893, Son Emi- ments qui ont si profondémentalteint l'exisquatre cent. Au Hnmel (Oise), près de Granvillièrs,se nence, le cardinal-archevêquede Paria a ten ^e de notre pays, il y a centans,en vous trouvait nn sanctuairedit N.-D.-du-Hamel, écrit une lettre pastorale ordonnantune cé- invitantà sanctifier ce centenaire par la rémoniede réparation à l'occasion du cen- prière et la pénitence. datant du X* siècle. Vous connaissez tous, nos très chers frèEn 1793il fut saccagé ; mais la statue vé- tenaire de la profanation de l'éghsede Notre-Dame, 10 novembre1793,et de la pro- res, ce que l'histoirenous apprendde l'atnéréefat protégée miraculeusement. Celui qui montait sur une échelle pour fanation des reliques de sainte Geneviève,3 taque dirigéecontre Dieu et contre l'église pendant un siècle entier, par une philosoaller la prendre, tomba de l'échelle et se décembre 1793. phie railleuse et incrédule. Voici le texte de cette lettre pastorale: brisa la colonne vertébrale,ce qui le renLvfoi ébranléedans les âmes, les moeurs dit infirme pour la vie. Richard,par « François-Marie-Benjamin Sa femme, complice, mourut d'une ma- la grâce de Dieu et du saint-siège aposto- chrétiennesaffaiblies, les principes constinière affreuse. lique, cardiaal-prètre de la sainte Eglise tutifs de la société remis sanscesseen quesLa chapellede l'église de Notre-Dame romaine, du titre de SanctaMaria in oia, tion par les sophites ambitieux, tout andes Arnents, célèbre pèlerinage de l'Artois archevêque de Paris, au clergé et aux fidè- nonçaitles ruines qui allaient bientôt se fut détruite. les de notre diocèse, salut et béuédtction faire. Nous ne devons pas le dissimuler, l'égliLe cierge miraculeux jeté dans un puit, en N.-S. Jésus-Christ. de France, sous l'influencedu philosopuis découvert, fut transportéau bureaude se « Nos très nhers Frères, phisme et de rhéreste janséniste, subissait sûreté du district par ordre du révolutionL'année qui s'achèvea ramené pour la elle-même quelques défaillances et, si elle naire Lebon. elle ne cessait pas de produire des saints Notre-Dame de Boulogne-sur-Mer fut France de douloureux anniversaires, Nous voudrions aujourd'huiméditer avec comme le bienheureuxde la Salle, fondavendue puis démolie, On brûla la statue de la Vierge dont on vous devant Dieu les leçons qui ressortant teur des écoles chrétiennes. pour nous des événements qui marquèrent Le bienheureux Griguon de Montfort, sauva une main. qui entraînait les populations par son arNous pourrions citer cent antres faits la fin du 18' siècle. Il est loin de notre pensée de nous arrê- dente parole; des généreux missionnaires, semblables.
SOISLATERREUR IRÉCITS ET SOUVENIRS RÉVOLUTIONNAIRES
par François Bournand
LesJournéesde Septembre XVI
La Sainte-Chapelle de Paris L'adjudicatairefit démolir rapidement la flèche de la Ste-Chnpelle. Et les contemporainsdurent s'estimer très heureuxque la démolition se bornât & cela. V En province, les mômesbétises,lesmêmes scènes de vandalisme avaientlieu. Donnons uu hasard quelques exemples. La cathédralede Chartres avait été boul-
ersée dès 1791.
On avait remplacé la Vierge noiro par une statue drqidique. En 1793,tout fut brûlé ou pillé dans l'église hante, les reliquesjetées au vent, la
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ter à des considérations de l'ordre pare- : quiportaientl'Evangile auxnationsinfidè-
les de-l'Asie et de l'Amérique; si l'on vit, , qu.-indéclata lu pursientionrévolutionnaire se lever dans son sein des logions héroïques de martyrs et de conlcsseurs.évèques et prêtres, qui préférèrentla mort ou Vexila l'apotasie,.de salutaires réformes étaient devenues nécessaires.1' « Alors se renouvela ce que Saint-Paula si éloquemment décrit dans l'épitreaux Romains : des hommes non pas seulement éclairéspar la lumière de la loi. naturelle, mais élevés dans le christianisme,qui avaient appris à connaître Dieu dès leur enfance, ne voulurent ni le glorifier ni lui rendre grâces. Ils se disaient sages, ces philosophas,ces lettrés du 18*siècle, ot ils devinrent insen-
sés.
Ils échangèrentla gloire du Dieaimmor* tel, pour l'orgueildel'hommes'adorantluimême dans les intentionsvaines ou honteuses de son esprit. Aussi (nous parlonstoujours le langage de l'Apôtre)Dieu les livra aux désirs de leurs coeurs et à d'ignominieuses passions. Ce n'est pas ici le lieu de refairel'bisloire de celteannée trop célèbredout nous traversonsl'anniversaireséculaire.Non seulement des victimes royales, maisdeshommes du peuple, des prêtres,des magistrats, montèrentsur l'échafaud. (A «tnvr»./
PROVINCE D'ORAN Monseigneur l'évoque a quitté Paris cette semaine et sera demain dimanche à Marseille. Sa Grandeur comptait s'embarquerJeudi prochain pour être samedide retour a Oran. Maissor les instancesfaites par Monseigneur l'Evèque de Cunstuntiue pour qu'il assiste le 29 mars, à lu Consécration de la Basilique de S. Augustin &Hipponc, Monseigneur consacrerapeut-être mardi pour Bône et ne pourra rentrer danssavilleôpiscopale qu'un ou deux jours plus tard, au commencement de la semaine prochaine. — Le bataillon du 2a étrangers, arrivé hier par le train spécial, est campé, en attendantson départ, à Gambetta dans un terrain au bord de la mer à proximitéde la batteriede la pointe blanche. M. le lieutenant-colonel Cussac, demierementpromu ai 1er étranger, a accompagné le bataillon jusqu'ici,où il séjournera jusqu'à son embarquement. — On annoncela mort de M. Louis Vollin, payeur adjointde première classe au
ALGERIENS FAITS PROVINCE D'ALGER
Conférence.— Mercredi,le prédica-
teur, s'est attaché a nous montrer les beautés del'Eucharistie. La puissance divine a trois principales manifestations dans le monde : la création d'abordavec ses étendues infinies, et ses millions de globes, avec l'homme qui en est le chef-d'oeuvrepuisque sa penséeembrasseles espaces et que son coeur étreint Dieu; puis l'Incarnationqui a comme divinité la matière humaine:et enfin l'Institutionjlè l'Eucharistiequi est le dernier effort de ljkpuissance de Dieu et de son amour pool; nous 1
BiÉooreJtî—Intraitable,l9Télégramme! Voilà qu'il n'est pas content-de notre répons» de jeudi. Do plus belle, il répart contre la Croix, et la,qualifie gracieusementde journal in-
fâme; de chiffon ignoble etc., etc.. Pois ce charmantoison,que Gérante soutient par une aile et le gouvernement par l'antre, affirme plaisamment quenous avons juré de l'occire, comme si ses rédacteurs ne se chargeaientpas de l'affaire eux-mêmes ! Que le Télégramme se garde bien de mourir,j'en aurais grandepitié 1 Election. — Le deuxième tour de l'élection consulaireque nous avonsannoncée a eu lieu jeudi, M. Napoléoni n été élu par 134 voix sur 139votants. lies sauterelle*. —Bien que jusqu'à présent aucun vol de sauterelles n'ait été signalé dans la colonie, M. le Gouverneur Général a jugé nécessairede prendre, dès maintenant, des mesures en vue de parer à toute éventualité, Il a fait inviter tous les maires des communes à procéder à la visite du matériel do destruction des sauterellesexistant dans les magasins de leurs localités respectives. Cette visite;à été faite à Castigltone le 20
procéder aux opérations du Conseilde réviF sion. * A l'issue de cette opération, le préfet n les fonctionnaires et, dans une allocu'reçu tion, leur u recommandé de ne point faire de , politique, mais des affaires. Accompagné du maire, M. Rault a visité ensuite les bâtimentscommunauxdont quelques '' uns sont en ruines. Au cours d'une séance du Conseil municipal, un a examiné les questions deréouverture de l'ambulanceet de construction d'une , justice de paix, au sujet desquelles le préfet a présentéplusienrs moyens pouvant permettre à la commune de satisfaire à ce J programme. Le maire ayant fait remarquer l'insuffisance du budget, le prélet u déclaré qu'il ,fallait faire tout le possible pour satisfaire . population si laborieuse et si intéressanla te . de lh ville.
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FEUILLES D'AUTOMNE Pouvez-vous me dire pourquoi les arbres it les arbustesperdent leur feuillage en fiiitomiie?* Que me demandez vous là ? Trésor. jîst-ce que je sais, moi î » — répondez-vous. j — M. Etiennedéputé d'Oran vient dere- (e suppose que c'est parce que la nature a cevoirune lettre de M. Bnudin,ministre des 'roulu qu'il en soit ainsi. » Assurément, mais pourquoi la naturea-tTravaux Publics, l'informant qu'en réîtlevouluqu'il.ensoit ainsi? Pourquoi y a- t-il I ' l'application tendantà demande à sa ponse quatre saisons qui se succèdent les nues aux lignes algériennesdes dispositions des ,»ux autres? Pourquoi n'aurions-nons arrêtés ministériels des 4 et 24 novembre iun printemps perpétuel avec.dd* arbrespas et derniers lèglant pour le réseau des gran- iles arbustes aux feuillestoujours vertes. Pourquoi les branches des Compagnies de la Métropole la durée et les rameaux se du travail et du repos des agents des clie- \lépouillent-ils de leurs feuilles, les fleurs fanent-elles? Pourquoi crépuscule )e mins de fer dont le service intéresse la jmccède-t-il ù la lumière dulejour, l'hisécurité, il écrit à M. le Gouverneur gé- ver, avec ses frimas, remplace-t-il et les sai-' l'utilité qu'il signaler néral « pour lui y au- sons qui le précèdent ? Lorsque vous aurez rait d'appliquer la même mesure au com- réussi à découvrir la chute des feuilles, aurez assurémentdécouvert l'un dos pagnies algériennes et lui demandant de irous profonds secret de la nature. Vous aurez bien vouloir, conformément à la loi, se faire tout simplement découvert pourquoi l'homadresserpar les compagnies des proposi- me est mortel. tions dans ce sens ». Tlenicen.— Jeudi matin, a été passé ' par M, Mouier, colonel de la 19*légion de gendarmerie, la revue des brigades de l'ar-
ronàissement.
Le colonel a été enchanté de la tenue de < tous les liommes«etleur a adressé des félicitations. Cettt revue nvait donné uu peu de mouvement à notre ville qui en a bien besoin. LBpluie tant désiréeArrivea point pour sauver lu récolto «fuicommençaitdans certains endroi;s nètrepordue. Inutile de dire que nos colons sont dons Injoie. — On annonceln mort.de M.!e capitaine Delafosse,commandant l'oscadron du train des équipages eu garnison dans cette ville. — Les possesseur* du revolvers sont très onnuyés en eu moment, par suite de l'interdiction faite aux armuriers et quincaillers de vendre des cartouches. mars courant. Nous prions l'administrationcompétente Sur 100uppnfeils cypriotes 80 sont en de vouloir bien désigner un quincailler ou état de fonctionnerimmédiatement. Quant aux 20 autres, ils seront envoyés à un débitant de lu régie pour vendre cet article sous son conlrolo. Alger peur y, être réparés. Impuretésdn sang, croûtes, boutons, —La diligence faisant le serviceNemours guéris par le DépuratifDe«graooutc$,rem- à Tlemcem n vorsé lundi prés de Murnin ; place l'huile de fuie de morue et tous les ce n'est quo grâce a un arbre qui se troutoniques. — PharmacieChassning, rue Bab- vait sur le bord du ta route, quo nous n'ael-Oued,13.—Prix : 4 fr. 50 le flocon. vons pas &déploror do graves accidents. Noaa%eng*geOnsnos lecteurs à lire Mostaganem.—Depuis hier matin la l'avis des ùrandi Magasine du Printcmp» tempête souffle sur nos côtes, rendant la de Pari» que nous publions aux annonces. rade inaecessib'eaux navires. Mal*on-Cari>éé. — Hiersoir à 0heu- Inkerman. — M. X..., adjoint nu maires, le sieurJochin, employé k l'usine Al- re d'1 ikermnnn, se promenait, mercredi, tairac a été pris entre deux wogonnots De- au bord du Cliélifi, 'orsqu'à la suite d'un cnuville conduitspar uu choval que le sif- f-ux pus i! tomba dans le fleuve, très proflet de In machine des C. F. R. A. avait ef- fond à cet endroit. frayé, et a eu la jambeguuchepresqnebro- Il se serait infailliblement noyé sans la présence d'espritd'un petit pâtre indigène yée. l'accident,se hâta de préveLe blessé a été soigné par M. le Doc- qui, témuin do Kesruoui Larbi bon Abdelmaître nir son conduit l'hôpital. à "Wenelinget teur leader, du douur Rdsguin. Ce dernierse porta aussitôt nu secours — Jeudi matin, le sieur Maitre s'est fracturè'fcssez sérieusementle bus de la jambe3 de M. X., se précipita à l'eau et, après do en Couronnant des eucalyptus au cime-* longs efforts, fut assez heureux pour le ratière. ; "• ,;. mener sur la berge. Après quelques soins, il a été conduit àSi De là, aidé de plusieurs desescoreligionl'hôpitalde Mustapha. ' naires, Kesraoui transporta M. X. jusqu'à . Bouaferéa. — Une pétition vient d'ê-. une ferme isolée distante d'un kilomètre uu tre, dans notre localité, soumise à la signa-. envir-jn, où des stins furent donnés de qui, peu après, et couvert ture des habitantspour être adresséea M.i' pseudo-noyé, le général Grizot, commandant en chef le chauds vêtements arabes, fut reconduit à son domicile. XIXe corps d'armée. semble que le braveKersuoui méLes pétitionnaires faisant ressortirque 1E Il nous rite une récompense. d'être fort qui vient construit & nouvau proximité du village situé dans un endroittrès salubre et comprenantun casernementpoui PROVINCE DE CONSTANTINE 150 hommes et 8 ufficiers, pourraitêtre af— On peut aujourd'huifixer approximafecte, au moins pendant la saison estivale tivement les pertes éprouvées par le cheptel du dénnrtement de Constnntme pendant au logement de l'artilleriede forteresse. St-Eugène.—Le Maire porte à la con le mois j- j .nviur dernier,par suite delà rinaissance des intéressés que le projet di gueur exceptionnelle de l'hiver. Ces pertes sont les suivantes : captage des eaux pouvant exister dans li 350.000 moutons ; 31.500 boeufs; 3.400 ravin dit de Notre-Dame-d'Afrique,celle trouvées dans puits déjà existant sur ce ra chevaux et 102.500chèvres/ Les pertes en urgent seraientde : vin, ainsi que la propriété duditpuits etcel 7.000.000pourles moutons;3.150.000pour les des partiesdu ravin dans lesquels le les boeufs; 680.000 pour les chevaux et travaux devrontêtre exécutés, est soumi 1.527.500 pour les chèvres, arrêté de M. le Préfet, date du 1 en par Réoeil Bônoit croit savoir qu'il Le àuneenquêtede jour quinze courant, mars — existe à Bône un neveu du Père Didon, M. du 25 mars an ueuLavril prochain. Pendantce délai, les pièces du i roji Paul Vento, dit Bancarel, qui espère être resteront déposées à la Mairie, où les ir compris parmi les héritiers du célèbre doteresséspourront en prendreconnaissanc minicain. Phllippeville. — Parsuited'uneboure et déposer s'il y a lieu, leurs observatior sur le registre d'enquête, ouvert à cet effi rasque subite, le bateaude pêche, KNouvelle tous les jours non ferries, de 8 à 11 heure Mûrie », monté par sept hommes, a chadu matin et del à 4 heuresde l'aprés-mid viré. Cinq dos marins ont pu se sauver, mais deux ont disparusans qu'on ait pu leur porvendre. "Voiture» Afin a «tUU CAPELLE,Bab-tl-Oued.ter secours. •lemmapes. — M. Rault, préfet de Constantine, est arrivé hier a 10 h, 1[2pour
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