Le Figaro (Paris. 1854)
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Le Figaro (Paris. 1854). 25/05/1898. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.
La mort du soldat
Il a été tué le 12 mars dans la forêt don, d,ont le fils était le frère 4'armes de de Vohingezo, contre laquelle il mar- Flayelle, capitaineau même bataillon de chait à la tête d'une colonne de tirail- la légion et parti le même jour avec nous leurs malgaches, avec une pièce d'ar- pour Madagascar; brave et charmant tillerie de montagne appuyé seule- garçon qui, sur le pont du navire' en ment d'un détachement 'de légionnaires partance, prenait à tache de rassurer la
qu'il conduisait pour la première fois le délabrementet le dénuement de ceux Je viens d'assister, à Saint-Philippe du de sa compagnie n'avaient pas permis de Roule, au service célébré pour le. repos les mettre en marche et le capitaine de l'âme du capitaine Louis Flayelle, de n'avait emmené que son ordonnance, le la légion étrangère, chevalier de la Lé- soldat Griseur, dont la conduite a été augion d'honneur, tué au combat de Vo- dessus de tout éloge dans ce combat si hingezo (Madagascar), le 12 mars, avec dramatique. Après une marche forcée, à la fale lieutenant Montagnole, des tirailleurs veur de la lune jetant une clarté doualgériens, et trois hommes de troupe. Une heure plus'tard, dans la même teuse sur la brousse inexplorée, la coéglise, une messe était dite à la mémoire lonne atteignait vers onze heures du soir du lieutenant d'infanterie Gallet, tué à la lisière d'une forêt où se cachait l'enla prise de Sikasso, avec le lieutenant nemi. Ici je laisse la parole à l'officier qui, dans une lettre profondément touSoury, de l'infanterie de marine. chante par la simplicité du récit et l'émoLe capitaine Flayelle était l'un de mes tion sincère, a pieusement transmis à la sur les derniers meilleurs, l'un de mes plus chers cama- famille quelques détailsFlayelle rades de Madagascar. Nous nous étions moments du capitaine
embarqués ensemble sur le Yang-Tsé, pour cette terre lointaine d'où il ne devait pas revenir. Nous avons vécu longtemps dans l'intimité d'une existence de plein air, où chaque jour m'a fait apla noblesse de son coeur et l'élévationde son esprit, délicat, généreux et cultivé. Bien souvent, depuis lors, je pensais à la joie de' retrouver, à sa rentrée en France, riche du souvenir des belles actions, cet admirable soldat que, durant une campagne ininterrompue de plus d'un an et demi, la confiance des chefs et l'entraînement passionné du devoir militaire avaient conduit à travers les aventures les plus émouvantes et les plus diverses; j'attendais impatiemment la voix affectueuse, au parler pittoresque, qui me dirait ces pages inédites de l'épopée coloniale, si exaltante pour la jeune âme héroïque d'un Flayelle, soutenu contre les fatigues et les découragements par la noblesse et l'utilité de l'oeuvre patriotique à laquelle il collaborait avec obscurs ou tant d'autres vaillants couverts de gloire, les champions de la mère patrie au Tonkin, au Soudan, à Madagascar, partout où progresse le drapeau d'une France qui se réveille aux grands espoirs. Ce n'est pas de sa bouche, maintenant, que j'entendrai le récit de tant de belles choses réalisées loin de la gloriole boulevardière assurément, il ne fallait point attendre de lui, si modeste, l'énumération des actions d'éclat accomplies au premier rang de ses légionnaires, seuls témoins de son intrépidité; et chacun dans l'armée sait ce qu'il vaut, ce témoignage, en matière de bravoure,une vertu qui dispense de toute autre les cerveaux brûlés de la légion; Les coups terribles, portés et reçus dans cette guerre aux barbares, ce n'est pas de cela, j'en suis bien sûr, qu'il aurait eu plaisir à me parler, cet. homme de grand cœur, aussi pitoyable à la détresse des populations fanatisées qu'il était paternel à ses braves troupiers, ménager de leur existence et soucieux dé leur bien-être. Mais avec quelle fierté, j'ensuis certain, il m'aurait fait connaître dans leurs moindres circonstances les ruses qu'il s'ingéniait à trouver pour prendre, sans coup férir, le contact avec les rebelles auxquels il parvint souvent à imposer l'autorité du nom français par des paroles de confiance qui assuraient plus vite et plus définitivement que les balles Lebel la prise de possession d'une région soulevée 1 Une mission pacifique de ce genre, je vous l'assure, est rude à réaliser en présence des Sakalaves qui n'ont rien des mœurs courtoises dont Fontenoy nous a laissé la tradition chevaleresque embusqués parmi les rochers ou cachés derrière les arbres (c'est dans une forêt que Flayelle a trouvé la mort, comme les héros du Yen-Té), ces guerriers vous tirent à brûle-pourpoint d'innombrables coups de fusil, à quoi, bien souvent, on réplique seulement par des charges à la baïonnette; c'est le meilleur moyen de les mettre en déroute. 5 Le capitaine Flayelle avait pour le tir si souvent inoffensif de ces Malgaches un mépris tout spécial et dont je trouve la piquante expression dans une lettre écrite, avec sa bonne humeur coutumière, presque à la veille du jour où il allait tomber sous le feu d'un ennemi si souvent abordé avec cette témérité dédai-
davantage
•
gneuse
La bande des Baribés, écrivait-il, a fêté notre arrivée par l'exécution de son répertoire le plus varié sur l'ancive «
(trompe guerrière).Quelques virtuoses du snyder se sont exercés, sans succès, à tirer sur des oiseaux invisibles qui planaient à vingt mètres au-dessus de nos têtes. Les mêmes artistes nous ont accompagnés, le 24 au matin, pendant cinq ou six kilomètres, en faisant beaucoup de bruit et aucun mal. » Quelle que fût la longanimité du capitaine, il fallait parfois cependant en venir aux mains; on y allait carrément, mais le sang-froid du chef ne se démentait jamais dans le feu de l'action et, l'affaire terminée, son premier soin était de soustraire les vaincus aux cruautés inutiles des troupiers excités par la griserie du combat. Parmi les diverses citations à l'ordre du jour dont il a été honoré, je relève celle du mois d'avril 1897, « pour la bravoure et le sang-froid dignes des plus grands éloges dont il avait fait preuve, le 6 février 1897, eh dirigeant sous un feu très vif l'escalade du village fortifié de Nossi-Bé, en dirigeant ensuite la poursuite des rebelles et en provoquant ainsi plus de 3,000 soumissions en deux
jours M. Et la première en date félicitait le capitaine de s'être jeté tout équipé dans une rivière torrentielle,, pour sauver un de ses légionnaires; on l'en retira luimême inanimé ce fut peu de temps après que je lui serrai la main pour la dernière fois.
Bientôt on a la certitude que les rebelles sont avertis leurs sentinelles fuient devant les éclaireurs, et des feux s'allument sur la montagne en face. On arrive devant un bois qui paraît impénétrable,tant l'obscurité est devenue profonde. La colonne arrêtée,l'avantgarde se déploie. Le capitaine veut attendre le jour avant d'attaquer, mais le lieutenant Montagnole s'est engagé au milieu des abatis avec deux éclaireurs. C'est le signal d'une décharge générale et que l'on évalue à 200 coups de fusil. Le capitaine lance les légionnaires sur les traces du lieutenant. Il traverse avec eux les abatis, mais il est difficile de pousser de l'avant, car on ignore absolument le terrain; on ne voit que les coups de feu qui vous aveuglent, et la fusillade à bout portant est tellementintense que les hommes n'entendent rien. On ne sait pas ce -qu'est devenu le lieutenant. Une voix dans le fourré crie aEn arriérel Mais le capitaine, avec un geste superbe, et de toutes ses forces En avant!» » « Mais non pas en arrière tombe frappé de deux balles, A ce moment, il l'une au poumon, l'autre à l'abdomen. Il tombe à la renverse en disant à son ordonnance, qui, quittant le convoi, s'était portée à ses côtés dés les premiers coups de feu: L'ordonnance s'est «. Griseur,je suis mort agenouillée près de lui: « Où ça ? Au côté; » répond le malheureux blessé. « Attendez, je vais vous transporter en arrière pour vous faire panser; ce n'est peut-être pas si grave que cela. » Il appelle des légionnaires à l'aide et, à trois, ils le transportentà travers les abatis, malgré la demande du capitaine qui veut être laissé sur place. La colonne n'a pas de médecin; deux infirmiers, aidés de Griseur, le pansent de leur mieux. Cela ne va pas sans quelque, douleur. « Vous me faites souffür, dit-il, laissez-moi mourir ». A l'ordonnance qui parlait à voix basse a No parlez pas à voix basse, ce n'est pas la peine, j'entends tout ce que vous ditès. » Au lieutenant Defer qui vient lui demander comment il va.: «Laissez-moi mourir! » dit-il encore. Blessé 1\' cinq heures, le capitaine s'éteignait doucement à sept heures quarante, après trois ou quatre contractions de la bouS'il avait peu parlé, il avait paru conserver sa pleine lucidité. Son regard était resté clair jusqu'au dernier moment. Les deux balles étaient mortelles la première, entrée dans la région du cœur, restée dans la plaie et déterminant une hémorragiela seconde, perforant le foie et sortant par le dos. On avait (Griseur) apporté vers cinq heures et demie le corps du lieutenant Montagnole, déjà froid. Il avait reçu sept balles. Cependant, la bande avait été mise en fuite et poursuivie, mais sans grands résultats. Vers dix heures et demie, la colonne si cruellement mutilée 2 officiers et 1 légionnaire morts,,2 tirailleurs tués sur le coup et 4 légionnaires blessés, reprenait le chemin de Spaserana. Le corps du capitaine, que l'ordonnance avait recouvert d'un drapeau, était porté sur un brancard. A six heures et demie du soir on arrivait au poste. Griseur s'occupe aussitôt de faire la toilette du cher mort. Le corps soigneusement lavé, il le revêt de ses meilleurs effetset, l'installant sous la tente, surélève le brancard. Une sentinelle veille à côté. La figure du capitaine était restée très belle, les traits reposés « On aurait juré qu'il dormait. » Le 13 au matin, on inhumait ces morts glorieux avec tous les honneurs militaires, dans le poste même de Soaserana. Le capitaine Flayelle aura, dans le recueillement de nos pensées, la première place. Une croix en bois du pays,' sculptée par le sergent Staber, a été envoyée à Soaserana pour être placée sur sa tombe. Nous vous en adressonsle dessin.
»
Telle fut la fin de cet admirable soldat, tout jeune encore, aussi beau garçon que brave homme et que vaillant cœur, de l'esprit le plus orné et d'un goût d'élégance raffinée que la rude existence dans la brousse mit tout d'abord à de rudes épreuves. En d'autres temps, j'aurais dit que c'était un intellectuel. Le mot ne lui conviendrait plus. Il me suffira de noter que ce fut un Français de la belle race il en avait les vertus, comme il en montrait les agréments. Né à Remiremont, dans le meilleur terroir vosgien, Flayelle avait beaucoup vécu à Paris, où il s'était fait de profondes amitiés dans le monde des artistes, et Mme Séverine a consacré un éloquent article à son souvenir. « Il était de ceux qui sont d'autant mieux à leur place que la destinée les porte plus dit un de ses anciens chefs, le haut, général Varloud. Et il n'était pas moins hautementapprécié par ses subordonnés: « C'était un vrai et magnifique soldat, plein de sang-froid dans le danger, montrant l'exemple et payant largement de sa personne, malgré sa haute taille qui le désignait aux coups. Hélas Dieu n'a pas voulu qu'il nous revint sain et sauf. Il est mort sans que l'un de nous fût près de lui, et ce nous a été un grand
a
chagrin. »
Ainsi se termine la lettre adressée par les lieutenants qui servaient sous ses ordres au frère du capitaine Flayelle, ce frère désespéré à qui l'affreuse nouvelle est parvenue quelques jours après l'enterrement de leur mère. Combienenviable, cependant, aux yeux de tant d'autres, le sort de cette vieille mère que la mort, franchissant de tels espaces, réunit à son eàfant Combien préférable cette mort à ce que la vie imposeàd'autres mères de soldats, au deuil effroyable de Mme de Châteauneuf-RaiH
l
famille de Flayelle, éplorée d'un horrible pressentiment: «Rassurez-vous, disait-il, je prendrai bien soin de lui s'il est malade ou blessé! » Il s'en est allé le premier, tordu par un accès de fièvre, sans que l'ami fût là pour lui fermer les yeux. Èt mon pauvre camarade, le lieutenant Rocheron, qui, après notre exploration chez les Sakalaves du Manambolo, s'est misérablement noyé à l'embouchure de de fleuve; alors que deux fois déjà, depuis mon retour, la nouvelle de sa mort, dans des rencontres avec les Sakalaves, avait été répandue et que, par deux fois, j'avais eu la mission bien douce de faire savoir à sa mère qu'il était encore vivant! Le voilà mort, lui aussi. Son corps a été retrouvé sur le rivage et enterré à Benjavilo, sous une petite croix d'ébène. Pauvre mère déchirée, dont il était toute la famille et l'unique appui, ce grand fils, tout jeune officier, plein d'avenir, sorti brillamment de Saint-Cyretsignalé déjà par d'éclatants faits d'armes Pauvre mère bretonne, abîmée dans.sa désolation, dont l'écho vient 4 chaque instant dernière jusqu'ici me bouleverser lettre annonçait un voyage à Paris, entrepris dans le seul espoir de m'entendre parler encore de son enfant. Pauvres mères de soldats pauvrés mères qui'
sa
survivent!
l
Vieilles mères au front saignant sous une» auréole de gloire, plus déchirante
que la couronne du Christ, mais d'un non moins sublime symbolisme l'immolation des êtres d'élite qui versent leur jeune sang pour la sainte communauté nationale, comme celui du Sauveur a coulé sur l'Humanité tout entière. Grosclaude.
Échos
On comprendrait en effet difficile- prudence, a fait aussitôt une enquête veaux députés « Parmi les élus qui vont ment, par exemple, que le cabinet'se minutieuse et elle a acquis la preuve renforcer le groupe socialiste, citons les. berçât, de longs espoirs, s'il n'avait pas qu'aucun de ses cochers n'avait été cou- citoyens Gras, Allard. » Et alors, interrompt un J extra-pur,' un assez de prestige et de volonté pour em- pable. L'accident'provient, au contraire, pêcher la Chambre d'élire comme pré- d'une voiture appartenant à' une agence de ces plus purs par lesquels les purs • sident l'homme dont la dernière allocu- de transports, et il est de toute justice de furent toujours épurés Gras, Allard! Bon pour les bourtion présidentielle a été une attaque le constater. geois Et ça se dit socialistes avec des contre ce ministère;et qui, à peine réélu, s'est rangé délibérément parmi les adver- Un « lecteur anonyme » nous a remis noms pareils! Malheur! saires du gouvernement M. Henri Bris- hier cinq cents francs pour la Fête des Le Masque de Fer. généparvenir fleurs. Nous faisons J. Cornély. ce son. reux envoi à la Caisse des Victimes du APRËS L'ÉLECTION. devoir qui organise cette belle fête. Travers Paris Cette année, pour conserver à la Fête C'est au Conseil des ministres qui sera des fleurs son cachet spécial de grande élégante du printemps, le Comité a LE NOUVEAU DÉPUTÉ. Me voilà bien traintenu ce matin à l'Elysée, sous la prési- fête l'endans laisser vendre décidé de ne quille pour quatre ou cinq ans.' dence de M. Félix Faure, que le cabinet
que des fleurs naturelles, et d'y arrêtera sa résolution définitive au'sujet ceinte la vente et l'emploi de ce qu'il fera à l'égard de la nouvelle interdire absolument des confetti et des serpentins. Chambre. Les deux journées de samedi et diMais, dès maintenant, nous avons des prochains en faveur des Victimes raisons de croire qu'à la suite des confé- manche devoir s'annoncent comme devant rences que M. Méline a eues hier avec ses du des plus brillantes. Depuis hier, les divers collègues, l'idée a prévalu qu'il être reçoivent de nombreuses comconvenait que le ministère se présentât fleuristes devant la Chambre pour répondre de sa mandes pour la décoration des voitures. politique passée, exposer celle de la léAujourd'hui commence à la galerie gislature nouvelle et attendre le vote de Georges Petit la vente des tableaux, l'assemblée. Nous devons, d'ailleurs, faire observer études peintes, aquarelles, dessins qui qu'à l'exception du cabinet du 16 mai constituent l'atelier de feu Evariste Vital1877, qui, en raison des circonstances ex- Luminais. L'exposition a été, visitée par ceptionnelles qui avaient amené sa for- tous les admirateurs du grand artiste mation, se retira avant la réunion de la dont on va disperser l'œuvre. La vente Chambre nouvelle, tous les cabinets qui sera dirigée par M° Paul Chevallier, asdepuis cette époque ont présidé à des sisté de M. Georges Petit, expert. élections générales se sont représentés devant les Chambres sorties de ces élecLes promeneurs et bicyclistes qui s'étions. C'est ce qui est arrivé en 1881, en taient réfugiés hier, durant l'orage, au 1885, en 1889, et en dernier lieu en 1893. restaurant de la Cascade, au bois de Les cabinets Ferry, Brisson, Tirard et Boulogne, ont subi une chaude alerte. Charles Dupuy ont paru devant les A trois heures cinquante-cinq, la Chambres nouvelles nées durant qu'ils foudre est tombée sur un gros arbre exerçaient le pouvoir. à l'entrée du restaurant, côté de Sainttradition Ce n'est, il est vrai, qu'une Cloud, à 15 mètres environ du kiosest qui s'est établie; la Constitution à musique et à 25 mètres à peine que muette à cet égard et les ministères ont de la'terrasse du café. Elle a frappé l'artoute liberté d'action pour se retirer ou bre obliquement, sous la forme d'une se représenter. Mais en restant aux af- boule de feu accompagnée d'une formifaires, le cabinet Méline ne fera que se dable détonation. Sur le tiers inférieur conformer à tous les précédents. de. sa hauteur, l'arbre a été dépouillé d'une large bande d'écorce. Fort heureuUn certain nombre de membres de la sement, il n'abritait personne à ce monouvelle Chambre ont, entre eux, des ment. liens de parenté assez directs. Le musée Guimet exposait hier le réIl y a d'abord la série des frères MM. Cornudet (Creuse) et Cornudet (Seine-et- sultat des fouilles faites par M. Al. Gayet Oise) MM. Raymond et Honoré Leygue, en Egypte, dans l'ancienne Thébaïde, sur tous deux de la Haute-Garonne MM. l'emplacementde la ville d'Antinoë, bâtie Laurent et FerdinandBougère,tousdeux autrefois par l'empereur Adrien en l'honde "Maine-et-Loire, MM. Denys Cochin neur de son favori Antinoüs' qui s'était noyé'près de là, dans le Nil. (Seine) et Henri Cochin (Nord). La plupart des objets trouvés dans les Viennent ensuite les beaux-frères MM. Weil-MjtUez et Sirot-Mallez;, tous tombes sont donc de l'époque romaine, deux du Nord; M. de La Porte (Deux- et quelques-uns contemporains du Bas-
Quatre. SON SECRÉTAIRE' Cette LE NOUVEAU DÉPUTÉ.
campagne
électorale m'a énormément fatigué. il s'agit maintenant de ne plus se faire de bile.. Avez-vous quelque idée LE SECRÉTAIRE. de ce que vous allez faire pendant la durée de la législature ? LE NOUVEAU DÉPUTÉ. Tout cela est trSS vague dans mon esprit. LE SECRÉTAIRE. Vous vous rappelez ce que vous avez promis à vos électeurs ? Bien LE NOUVEAU DÉPUTÉ, faiblement. des choses, il me semble. LE SECRÉTAIRE.- Désirez-vous que je vous en dresse une liste? Voyons un peu. LE nouveau DÉPUTÉ. L'impôt sur le revenu, LE secrétaire. d'abord. Vous vous êtes engagé à voter Tira» pôt sur le revenu.
Croyez-fous? LE NOUVEAU DÉPUTÉ. LE SECRÉTAIRE: C'est moi qui ai rédigé
votre profession de foi. Nous avons ensuite la séparation de l'Eglise et de l'Etat. LE NOUVEAU député. J'ai promis la se»
mois. paration,?.
LE SECRÉTAIRE. -,Parfaitement.
Je conti-
nue. La réduction du service militaire
â six
Quelle mémoire LE NOUVEAU DÉPUTÉ. vous' avez LE SECRÉTAIRE. L'abrogation des lois sur
là presse. La fondation de caisses de re-
traite. LE
nouveau DÉPUTÉ.
Il me semble que
voilà beaucoup de promesses.
LE SECRÉTAIRE. Peuh Le NOUVEAU DÉPUTÉ. En somme,:si vous
ne vous trompez pas, je me suis engagé à détruire l'ordre de choses actuel ? LE sECRÉTAIRE. Tout bonnement. LE NOUVEAU DÉPUTÉ. Et à bouleverser la société. (Allulnant un cigare.) Eh bien! mon ami, depuis quelques jours, je nie suis aperçu qu'elle avait du bon, la société. LÉ SECRÉTAIRE. Je vous l'ai toujours dit. LE NOUVEAU DÉPUTÉ. Elle a ses vices, mais qui n'en a pas ? Le SECRÉTAIRE. Et vos électeurs, qu'estdes étoffes de soie ce qu'ils diront?
La température
La journée d'hier. a été détestable; à plusieurs reprises la pluie est tombée avec la plus grande abpndance; la pluie est d'ailleurs à peu près générale en France, ainsi que les gros orages. Cependant, sur nos côtes de l'Ouest, la mer est belle. Quant à la tempérai au-dessus le ture, elle donnait hier à Paris deux heures. Les huit matin à heures et ondées et les orages vont continuer. Dans la et le baro- Sèvres). et M. Charles Ferry (Vosges), Empire. On y voit soirée le thermomètre était à électeurs'?. LE NOUVEAU mètre, à 756mm pendant la journée, restait à tous deux beaux-frères comme gendres admirablement tissées et portant l'àigle Allain-Targé; MM. à deux têtes ou le lion rampant. D'au- Si je tenais toutes les promesses que je leur ai de l'ancien ministre 755mm dans la nuit. Balsan (Indre) et Dupuytrem (Vienne); tres ornements sont en tapisserie, avec faites, ils seraient les premiers embêtés. M. Xavier Reille et M. de Solages, tous les. couleurs aussi fraîches que s'ils Alfred Capus. Les Courses deux députés du Tarn M. Caze, député venaient dés Gob'elihs. anciens.
DÉPUTÉ.
de laHaute-Garonne, etM.Maruéjouls,de Adorables les petits souliers de femme
A 2 heures, courses à Colombes. l'Aveyron. la mule de Cendrillon,du 34 tout au plus Gagnants de Robert Milton Signalons d'autre part les gendres et Ils sont découverts, et le bout est de cuir beaux-pères. M. de Salignac-Fénelon, le doré au petit fer, comme nos belles Prix de Souvray Réville.. nouveaudéputédelaHaute-Saône,estgen- reliures. Prix Jeanne-d? Albret Lindo.
LE GÉNÉRAL DU BARAIL
étamé au mercure et encadré de terre cuite. Il n'a pas plus de cinq centimètres et l'on y voit sa tête entière et même le chapeau. C'est donc qu'il est convexe. C'est la première fois qu'on trouve un miroir étamé au mercure datant de si loin. Le secret s'en était perdu pendant des siècles.
Le général du Barail, qui a avec lui les vœux d'un si grand nombre de nos lecteurs pour le succès de sa candidature à
Prix d'Achèrei Domezain. Prix Jumilhac Chicane.
Prix Franciscan-Friar Videawake II. CHIFFRES MINISTÉRIELS
Le ministère n'a pas voulu laisser aux journalistes le monopole de la statisti-
que, et il leur a communiqué,hier, un tableau qui indique les forces respectives des partis dans la nouvelle et dans l'ancienne Chambre. Voici ce tableau:
Ancienne Nouvelle )
Républicaines.
Radicaux. Radicaux-socialistes Socialistes Ralliés.
Réactionnaires
Nationalistes
Chambre
Chambre
250 128 68
254 104 74 57 38 44 10
52 30 53
as
dre de M. Armand Viellard, député de Belfort; M. de Solages, député du Tarn, le vainqueur du socialiste Jaurès, est gendre du baron Reille, tous deux députés du Tarn; M. Jonnart, député du Pas-de-Calais, est gendre de M. Aynard, député du Rhône. Côté des cousins M. Henry Boucher, ministre du commerce, député des Vosges, et M. Ruau, député de la HauteGaronne M. Thomson, député de Constantine, et M. Cruppi, député de la HauteGaronne. Signalons enfin, parmi les députés, ceux qui sont fils de sénateur MM. Paul Deschanel, Georges Cochery, ministre des finances; Monsservin, Berthelot et Rouland. Enfin, M. Cère, le nouveau député du Jura, est gendre de M. Gauthier, sénateur de l'Aude.
Très curieux également le petit miroir
Mais le côté le plus intéressant de cette exposition, ce sont ces masques en
terre cuite, portraits des morts, qu'on plaçait dans leur .tombe. On y voit de jolies femmes avec tous les genres de coiffure, même les cheveux à la chien, mais évidemment mal portés.
La guerre hispano-américaine a des contre-coupsimprévus.C'estainsiqu'une de nos premières maisons, la maison Dubonnet, qui emploie de très grandes quantités de vins d'Espagne, s'est trouvée dans l'obligation d'imposer à ses vendeurs la livraison immédiate du stock considérable qu'elle s'était réservé, afin de pouvoir fournir sans arrêt à la consommation un apéritif irréprochable à base de vrai vin d'Espagne.
Nous signalions hier un précédent au 581 cas présenté par l'échec de M. And/é Lebon, ministre des colonies, et de M. statisticiens les du Delpeuch, sous-secrétaire d'Etat des posOn remarquera que républicains modérés, ministère font aux tes et télégraphes, au point de vue goud'ailleurs républicains qu'ils appellent vernemental. tout court, une part plus belle que les Une interversion de noms nous a fait calculateurs privés. Si leur compte est donner une légère entorse à l'histoire. exact, les 254 républicains additionnés M. Dautresme ne fut pas remplacé dans Sors Paris des 38 ralliés, dont on n'a pas réellement le cabinet Brisson par M. PierreLegrand, le droit de les séparer, puisque eux- à la suite d'un échec électoral: c'est au mêmes furent pour la plupart des ralliés, contraire M. Dautresme qui remplaçaau Le mouvement mondain s'accentue à constituent la majorité absolue de la ministère du commerce M. Pierre Le- Spa, où l'élite cosmopolite semble s'être Chambre nouvelle. Dans ce cas, à la ri- grand, non réélu aux élections de 1885. donné rendez-vous, comme en un centre gueur, le bataillon de M.Méline pourrait charmant où, sous prétexte de santé, on s'affranchir du concours de la droite, des vient chercher la vie élégante et les disconservateurs, que les employés de l'Inprogressiste du tractions. Le nouveau député térieur qualifient irrévérencieusementde seizième arrondissement, M. Paul BeauLa charmante station belge réunit tous réactionnaires. l'objet émoud'une regard, a été, hier, les attraits pays admirable, eaux saluOn remarquera encore que si, d'après vante manifestation sympathie de de la taires aux anémiés, magnifique proune théorie en faveur auprès des politi- part de la jeunesse des Ecoles. gramme de fêtes auquel le Casino seul ciens français, parmi lesquels la proscents étudiants Plus de six se pres- collabore pour plus d'un demi-million. cription a toujours été en honneur, on saient, à l'ouverture de son cours, dans Il n'en faut pas davantagepour expliquer transforme en parias politiques les ral- l'amphithéâtre de l'Ecole de droit et, le succès de cette ville d'eaux. liés, la droite et même les membres du lorsqu'il parut, une magnifique corbeille nouveau groupe, qui s'intitule nationa- de fleurs lui fut offerte au nom des liste probablement parce que les autres élèves de la Faculté de droit. L'éminent De Zurich « La clientèle élégante qui fréquente députés sont des agents de Pitt et Co- professeur, très ému, a remercié la jeu,bourg, les ministériels ont encore la nesse des Ecoles des sentiments qu'elle l'Hôtel Baur au Lac trouvera, comme majorité absolue des voix républicaines, lui témoignait et, dans un beau mouve- chaque année, du nouveau dans cet adpuisqu'ils sont 254, tandis que la coali- ment oratoire, il lui a fait comprendre mirable Etablissement. Cette fois,il s'agit tion radicale-socialiste ne compte que combien la France comptait sur tous ses de travaux considérables, parmi lesquels 235 membres. un délicieux petit Hammam, réduction enfants pour aimer et faire respecter parfaite d'un établissement hydrothéraDu reste, ces calculs, comme les nôtres, cette idée de liberté qui est la base et ne sont pas définitifs, puisque les dépu- la force de nos institutions républi- pique complet. » tés ne sont pas liés par leur étiquette et caines. ne savent même pas eux-mêmes probaété faite à Une véritable ovation Main Nouvelles à blement sous quelle forme ils manifeste- M. Paul Beauregard qui, ale calme réront leur adhésion ou leur opposition au tabli, a commencé son cours, respecDeux dames prennent place, pendant ministère, à partir de mercrediprochain. tueusement écouté. une averse, sur la plate-forme d'un tramCe qui semble logique tout au moins, way et jettent sur les places occupées à c'est que le cabinet, après avoir remun regard de convoitise dont 1 placé ceux de ses membres qui ne sbntf En racontant l'accident de voiture dont l'intérieur s'émeuvent nullement les voyageurs plus députés, se présente devant la Mme de Saint-Albin a été victime avant- ne les occupent. Chambre et- lui soumette, dès qu'elle hier soir sur la place de la Trinité, nous qui Alors l'une d'elles, avec un léger dépit sera constituée, un programme qui per- disions que le fiacre avait été pris en --Allons! ces messieurs n'ont pas mettra l'éclosion d'une majorité. Mais écharpe par une voiture de livraison des envie de fumer! auparavant, il est naturel que le cabinet magasins du Louvre. L'administrationdu Louvre, qui exerce considère le choix du président définitif 'Chez le marchand de vin, un ouvrier comme un indice des dispositions de la surveillance la plus sévère sur son cette majorité envers lui. personnel et exige de lui la plus grande lit à haute voix la classification des nou>
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ET L'ACADEMIE
l'Académie française, nous adresse, à propos de l'article que nous avons publié hier sur l'élection de demain, une
lettre fort intéressante que nous nous faisons un plaisir d'insérer. Cette lettre précise plusieurs détails imparfaitement connus jusqu'à ce jour et répond, dans les termes les plus formels à l'allégation d'ordre tout historique, que mentionnait notre collaborateur J. Cardane, en se faisant le fidèle écho des bruits recueillis autour des élections académiques. Monsieurle Directeur, Contrairement à ce qui a été dit, ma dan· didature à l'Académie était posée bien avant que les incidents du procès Zola eussent produit une explosion de sentiments dont la contre-coup apu, depuis, se faire sentir dans l'Académie comme dans tous les milieux où vibre le sentiment national et patriotique. En parlant de la visité que, fort souffrant encore, j'ai eu l'honneur de recevoir de M. le duc d'Audiffret-Pasquier,en retour de celle que je lui avais faite, le Figaro d'aujourd'hui lui attribué;ces paroles; « Nqus ne considé» rons pas que le duc d'Aumale puisse être » représenté. par le représentant du, prince
Napoléon. » Il n'a pas été question de cela le moins du monde.144: le duc d'Audiffret-Pasqîiier s'est borné à me dire qu'il n'avait aucune hostilité contre moi, mais il a ajouté très loyalement qu'il ne pensait pas que l'élection pour le fauteuil du duc d'Aumale pût aboutir cette fois-ci. Enfin, et c'est la partie la plus grave de l'article dont je conteste absolumentl'exactitude, je lis ceci « « D'autre part, M. le duc de Broglie nourrit du général du Barail un grief » • à l'endroit » personnel assez grave. Ce grief tient à,ce » que le général son collègue dans le mi» nistére du 24 mai 1873 cru devoir » rendre compte, dans le troisième volume » de ses Souvenirs, de délibérations du ? Conseil tout à fait étrangères à la vérité. D'abord et avant d'entrer dans le vif du sujet, vous me permettrez bien dé vous diré que je proteste absolument contre une pareille assertion et que j'y oppose le plus formel Je maintiens l'exactitude de mon récit. On trouvera un jour, dans les Mémoires encore inédits du maréchal de Mac-Màhon, la preuve indiscutable de ce que j'ai avancé dans le troisième volume de mes Souvenirs. Je continue la lecture de cet article, et je trouve cette allégation stupéfiante que « je » me suis attribué des mérites que je ne pou? vais avoir à ,moi seul qu'en les enlevant » de la manière la plus désobligeante à tous » ceux avec qui j'avais siégé ». Je suis bien étonné qu'on relève ce que j'ai écrit à ce sujet. On se rendra compte que l'on est ici à cent lieues de la vérité. Notre collègue M. Ernoul qui, je l'espère, vit encore, m'a demandé ce que feraitl'armée si le Comte de Chambord, remontait sur le trône de France, avec le drapeau blanc. Je lui ai répondu ce que je croyais être le sentiment de l'armée. J'ajoute que ni dansmes Souvenirs, ni dans mes conversations je n'ai jamais prétend ,que mes collèguesvoulaient le drapeaublanc ni que j'aie réussi à faire triompherle drapeau »
démenti.
tricolore-. C'est- la lettre historkfue- da cômte de Cftàmted;, du 27 octobre l$î/S, qut' a
tranché la question. Enfin, le Figaro ajoute que, si ma candidature est violemment combattue par une partie de l'Académie, elle est ardemment soutenue par Mgr le duc de Chartres. Je le sais, et je irais heureux d'avoir l'occasion d'en témoigner hautement ma reconnaissanceau prince. agréez, monsieur la Directeur, etc. Général da BÂSÂîii
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^amiral Gervera est-il encore à Santiago ou n'y est-il plus ? ïellè est l'inter* rogation qu'on est obligé de se poser quand on parcourt les nombreuses dépêché! que les agences ont communiquées hier. Les unes disent que l'escadre espagnole est en route vers le Nord (?). D'autres assurent qu'eue est toujours a son mouillage. Mais comme ces dernières dépêches sont les plus nombreuses, on est tente d'y ajouter foi.
Un télégramme de New-Yorkest d'ailleurs plus explicite que d'autres, il dit qu'un croiseur américain a constaté que la flotte espagnole se trouvait à Santiago lundi matin, onze heures. Un autre télégramme de source américaine, en annonçant que. les divisions Sampson et Schley étaient arrivées devant Santiago, confirmé encore la supposition que l'amiral Cervera n'a pas quitté la rade Où il
Fayette. Il est vrai que le la Fayette portait le pavillon français. L'envoi à Mamilfe des renforts, réclamés avec beaucoup d'insistance par l'amiral Dewey, soulève quelques difficultés. Le§ paquebots font défaut, OU du mGiîïs les armateurs ne se Soucient pas de livreur leurs navires.îli aiment mieux, parait-il, les garder pdlif faire œuvre commerciale. Cela se Comprend; du rester mais le gouvernement h'entend pas de cette oreille. Il a décidé que, si les armateur^ refusaient les propositions raisonnable qui leur sont faites, les navires seront saisis de force. Ces excellents armateurs ne sont pas faits encore aux exigences de la guerre et ils ne sont pas disposées à sacrifier leurs intérêts sur l'autel de la patrie! De Madrid, lés nouvelles sont rares. Un télégramme annonce cependant que l'escadre de réserve de l'amiral Gamara doit retarder son départ de Cadix. Cela était malheureusement à prévoir, car les navires de cette escadre étaient loin d'être prêts quand On les a groupés ensemble. Mais il paraît qu'on a déployé à leur bord une extraordinaire activité et que le jour de leur appareillage n'est plus très éloigné.
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Dieu le veuille
New-York, 24 mai
corps a été transporté au cimetière du Père-Lachaise, où il a été inhumé dans la sépulture de la famille de Bassano. Le général lurlinden avâlt envoyé à là Maison mortuaire un de âtb ôfflélfers d'ordonnance, pour présenter l'expt'éssion de se§ regrets et ses* condoléances au général marqUife d'Espeuitles dt aU marquis de fiagiartë. Par la mort du duc defiiiëâ&o,les survivants la maison impériale sont M. PmncesôhiniPiétri, âëôritftlfS. particulier dé l'ËmpêïëUr; le duc dé Conegliano; le comte d'Arjuzon, le baron Castex, chambellans, et le comte d'Ayguesvives, chambellan honoraire; le compte Dàvillierj premier éGuyert le prince Poniatowski, le comte du Bourg, Mi Rainbeaux, le marquis de SuarezdJÀulan, le marquis de Massa et le vicomte Pernety, écuyers; le marquis de Casteîbajacj capitaine des chasses; le comte Costas. de Beauregard, lieutenant des chasses à tir.. Des aides de camp de l'Empereur^ le dernier survivant a été le général Bourbakij mort il y a quelques moisi .Le duc de Bassano était le dernier survivant des sénateurs du second Empire, M. Boittelle, ancien préfet de police,;en avait été l'avant-dernier. L'acte dû naissance du duc dS Bassano a causé un grand étonnement à la mairie du huitième arrondissement,lorsqu'il fut présenté pour faire dresser l'acte dé décès. On y lisant Napoléôn-ËuguesJoseph Màrêt de BSësàno né au Petit Carrousel le 6 thermidor an XI dé la Répubhque. Les signataires de cet acte étaient: le premier consul èt Mmb Jbséphitle Bonaparte, née ïascher de Là Pa-
A l'occasion dé l'anniversaire de la reine Victoria, le chapelain du Sénat à Washington a inauguré la séance par une prière pour l'impératrice des Indes il a fait l'éloge de là souveraine et a demandé que les nations parlant anglais s'unissent de plus en plus pour résoudre, en faveur du monde entier» le proest venu se mettre a l'abri jeudi dernier blême de la plus haute civilisation. les troupes ont célébré l'ànniaprès la longue et mouvementée croi- A rampa, versâirè de la lteine; elles ont tiré des sàlveë, On tégrèttë beaucoup, que lé duc dé sière que l',on connaît. arboré anglais et l'hymne joué fari» le drapfeau Quoi qu'il en soit, là nouvelle à sensa- tannique. Bassano n'ait jàthàis eu l'idée d'écrire ses Mémoires, car il gardait de là façon la tion du jour; c'est l'annonce, d'apparence
sérieuse, que l'escadre américaine a reçu l'ordre non pas de bloquer l'escadre espagnole et d'attendre plus ou moins patiemment sa sortie éventuelle, mais bien d'aller l'attaquer à son mouillage, dans la baie même de Santiago. Il s'agirait donc tout simplement de renouveler lé coup de force qui a si bien réussi à l'amiral Dewey à Manille. On mande même de Kèy-West qu'un aviso est arrivé dan's ce port avec l'ordre de faaré préparer immédiatement tous les hôpitaux pour recevoir les blessés. Les. médecins et les infirmiers ont été invités â se tenir à leur poste. Bref, il est permis de croire qu'un combat décisif et sérieux est imminent entre les escadres ennemies. Le tout est de savoir dans quel état de • défense Se trouvé l'étroit goulet, de 160 mètres de largeur, qui fait communiquer la baie de Santiago avec le large. S'il y a, comme on nous l'a dit, des torpilles mouillées dans la passe et des batteries sûr la côte'; il se peut que le forcement de cette passe soit une opération des plus dangereuses, susceptible de causer quelque trouble à l'amiral améMaintenant est-il vrai, comme Un correspondant me l'a écrit, que l'Espagne n'a pour seule tactique, à l'heure actuelle, que de gagner du temps Est-il vrai que l'amiral Cèrvèrà, dans le but de faire traîner les choses en longueur, va s'enfermer lui-même dans la rade de Santiago, en coulant, au beau milieu de la passe, un vieux croiseur hors d'usage, la Rèirvà-Mercedes ? Est-il vrai qu'en se bloquant ainsi., de sa propre volonté, l'amiral Cérvera veut donner aux autres escadres espagnoles la possibilité d'être prêtes; quitté à faire exploser, au mo-
ment voulu, l'épave de l&Reina-Mercedes, afin dé rendre le goulet libre et de se
Salon du Figaro
SALON DES ÉVENTAILLISTES Hier a eu lieu l'inauguration du Salon
des Èventaillistes. Bien que contrariée pâr le mauvais temps, cette première journée 'â été très brillante, et le nombreux public qui, de 3 heures à 6 heures, s'est pressé au Salon du FigàYd à été frappé du talent et dé l'ingéniosité que les confctirrèhts ont ajj-
plus précise les souvenirs de sa longue vie. Il se souvenait parfaitement de l'empereur Napoléon I", et de la peur qu'il lui fit un jour. Il était avec sêë frères et soeurs chez sa mère, la duchesse de Bassano, lorsqu'on anhohça là visite de l'Empereur. Les enfants, effrayés de cette visite inopinée, 8é cachèrent sous la table dli salon, qui était recouverte d'un tapis. L'Empereur entra, salua la maîtresse de maison èt, jetant un coup d'oëil autour de lui, s'écria « Madame, et vos louvetëaiix, qu'en àvéz-vôus faits Je parié qu'ils se sont cachés quelque part et ici-
pour tous ces excellents artistes. Parmi les de la Lombardie, il fit sa carrière dans l'arinvités mée et prit sa retraite comme inspecteur Duo et duchesse d'Uzès, duo et duchesse de général du génie en 1868. Depuis ce temps, il Morflyi prince et princesse Mhrat, prince et prin- véeut. absolumentsolitaire et souffrant, loin du
monté. Il eut des différends avec le feld-maréchal Benedek à propos dé la campagne de comte et comtesse Jacques de Pourtalès, coîtt|8 Bohêtflëj et on le disait mal en Cour. Il laisse
et tSBnitesse'Tyfezlciewic^, comtesse de Chevighëj deux frères, les archidiiis Érnest et Rénier. cônJtBfese de Contades, Mmes Madeleine Lemaire,
L, Ofthderax, Balli, comtes Hubert de La RochefdUJiaUld, Alex. de Qâbrikc, Jean de Contaijesi MM. Martell, de Sinctty, Martini, etc. Très beau bal cîtëz la baronne du Mesfill dans ses salons dé t'avenue des Champs-Bly"-»
séës iiëuris à ravit. Au nombre des invités Comtesse et Mlle de Beauffort, comte et Mlle de Béthune-Sully,marquis et marquise de Monteynard, comte et Mlle de Monteynard, comtesse et Mlle de Chastellux, comtesse de Maupas, comtesse et Mile dé Gôiilâinei baronne dé Rbchebouët, comtesse de La Teillais, comtesse de Lamothe prince de Béarn, prince de Croy, comte tt Oilliahisonî marquise flè Fontenillës'î comtessede Mohtbi'iant, Mme et Mlle Jurien de La Gravière, comtesse de Goùrnay, comtesse et Mlle de Vaudrimey d'Avout; baronne de Dam.erré, comtesse et Mlle d'Estetno, comtesse et Mlle de Poéhefôrt, vicomtesseet Mile de Couixy» comtesse de Sinety, comtesse de Germiny, vicomtesse Le Bret, marquise de Capéllis, comtesse de La Forest-Divonhe. comtesse de DréUxBi-ëzé, vicomtesse Amëîbt, baronne et Mile de Freedericksz, vicomtesse Martin du Nord, comtesse de Nion, comtesse F. de Maillé, comtesse et Mlle de Croy, comtesse de Rocheehouart, etc. Le cotillon» plein de charmantes surprises, été conduit par le comte Lionel de Montes-a qiiiou dansant avec Mlle de Riancey. On ne s'est, séparé qu'à l'aurore, après un
Nous racontions hier un accident de voiture. Ce n'est pas le premier, ce ne sera vraisemblablement pas le dernier, Ils deviennent, en effet, de plus en plus fréquents, et il faut, à de certaines heures, avoir vraiment bon pied et bon tsil pour se risquer à traverser lé boulevard. Le moment est donc bien choisi pouf faire une observation qui dû venir à l'esprit de bien des gens. Comment peut-on permettre aux cô.chers de s'assurer contre lets accidents Noii pas contre les accidents dont ils sont victimes, mais contre les accidents qu'ils causent? Uri cocher paye une somme quelconque une conipagnié d'assurances. Dix francs, vingt francs pair an, peu, importe. Moyennant ce léger versement, il peut être maladroit à sa guise. II a tout loisir dé souper servi par petites tables. verser, d'accrocher, de VOUS écraser et de ni écraser". qui comment l'accident, RENSEIGNEMEWTS MONDAiNS mais c'est la compagnie d'assurances qui le règle. Le cocher, quand il est condamné, Al'occâsion dd vingt-'cihquiènlë âhhivefSociété saire de sa fondation, la debiehfat- lui envoie sa note, et tout est dit.
sance austro-hongroise organise un banquet qui aura lieu ce soir, à sept heutes et demie, à l'hôtel Continental, sbUs là présidence d'honneur du coïnteideWolkeristein-Trosthurg, ambassadeur d'Autriche-Hongrie:
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bassai
de la Sainte-Vierge.de cette paroisse. Autour du catafalque ni fleurs ni cou-
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ronnes suivant la volonté expresse du
défunt.
du
Le
Diétôfl populaireS La légende Si de taai le vingt-cinq '0 Est ^Cj' beaucoup 8e rVlM' -v
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Conseil dès ministres, à l'Èlyséô. Au premier rang étaient S. A. le général 'prince Murât, représentant S, M. Aime. A l'Opérà-Comiqiie, "SdphO. L'impératrice Eugénie, et le marquis de JrtaitgùPàt/ottS Nouvelles galeries de palébâLa Grange représentant le prince Napo- tblogie du Muséum d'histoire naturelle (2 h;). Ouverture ôffielèlle, par Mme Félix Faüre, le conduit Le deuil était par marquis de l'Exposition des travaux d'art composés général et exécutés par des dames (Union centrale le de Bassano, fils du défunt; marquis d'Espeuilles, son gendre; le ba- dès Arts décoratifs, rue des Bons-Enfants). Soutenance de thèses: M. P.-E. Légrand, le baron Levin ron Victor d'Hooghvorst; le doctorat lettrés thèse ltitine « de Loë, M..Antonin d'Espeuilles, eespetits^ pour la part que l'art des devins eut dans la vie fils, et le comte de Lejéas. M: Edouard privêe et dans les affaires publiques deë Blount, qui a épousé Mlle de Bassano, Grecs Il 5 thèse française « Etude sur ïhêbétait absent par suite d'une indisposition crite Il (midi, Sorbonne). qui l'oblige à garder la chambre, Commencement des Le Oohcouts général famille du Immédiatement après la Concours des. lycées et des vei- compositions de Paris collèges survivants de et de Versailles (9 h., Sor. naient les chambellans l'Empereur comte d'Ayguesvives, duc Conférences Le tas dé conscience, Saintde Gonegliano, baron de Castex, le mar- Roch, 2 h. (M. l'abbé Lacroix, cbnférencièr quis de Fofget et le comte d'Arjuzon. M. l'abbè Hôrtzbgi curé de la Madeleine, préDans la foule des assistants dicateur). M, &. Moch ttnè Langue in-
frayer un passage vers la haute-mer? Je laissé à d'autres le soin d'en décider. En attendant, le blocus de Cuba est rendu plus strict depuis quelques jours. Le nombre des navires bloqueurs est augmenté devant La Havane, Cardenas, Çiênfuegos, etc. Ce qui n'empêche pas les Espagnols d'avoir remporté un succès appréciable un de leurs croiseurs aurait capturé le vapeur américain Mangrove, chargé dé couper les câbles télégraphiques. En même temps que le croiseur espagnol accomplissait cette jolie capture, les soldats du maréchal Blânco infli^ Baron de Cûurcel, ambassadeur dé Fiance geaiènt Un échec à un Parti dé rebellés à Londrès; le ministre de Belgique,le ininiëprès dé Palma Sariano. Ceux-ci ont subi ti-e do Suède et Norvège, M. Franceschini des pertes sérieuses, les Espagnols ont Piètre les généraux bargn Faverot dé KerHubert de Castex, de Pollieux, Hueu quinze blessés. A en croire une côiS brech, baron de Cools, baron Rebillot, comte respohdaiicë venue de Key-Wést, la si- man, de La Rochethulon, Charreyron, de Beïnis, tuation daïis l'intérieur de l'île serait sâ- Haillot, de Biré, baron de Vàulgf ènatit; GranCette lettre assure les tisfaisante. que din les vice-amiraux Sallandrouze de Lainsurgés sont peu nom- mornaix, Victor et Charles Duperré, Lafont forces des breuses, mal armées, mal équipées et à le contre-amiralde Montesquiou-Fezensac, le court de provisions, tandis que les Es- colonel marquis du Paty de Clam, la colonel pagnols comptent 130,000 soldats bien Dubois. Les ducs de Mouchy>dè Lespairré, de Beauarmés, bien équipés, sans compter des fort, Montmorency, d'Àlbufêra, de Gfavolontaires en grand nombre et des ca- mont, dedes Cars, de Rivoli, d'Elôhingèn, dé valiers bien montés pouvant servir de Trévise, dè Massa, de Garanian, Féry d'Esvedettes et d'éclaireurs. Les Espagnols clands, de Clerniônt-Tonnerre de Blacas, sont également fort largement approvi- de Vallombrbsa, de Feltre, de Loùbat. Les princes Joaohim et Lucien Murat, de sionnés et les défenses de La Havane la Moskowa, Em. Bisont beaucoup plus fortes qu'on tté la Poix, de Wagram, deRadzhvill, dé Brôglie, de besco, de Béthune, croit. Tour d'Auvergne. Ce qui peut laisser supposer que cette LaLes marquis de Massa, de Pracomtal, correspondance dépeint asse2 exacte- de Bonneval, de Laborde, de Casteja, de ment les choses, c'est l'hésitation que le Charnacé, de Champagne, de Saint-Seine, gouvernement de Washington a montrée de Beauvoir, de Lubersac de Jautout d'un coup, relativement à la des- court, ,de Bàlleroy,de de Chasselbup-Làùb*J cente sur Cuba. Les jingoes les plus en- de Paûissè-PasSis, L'Aigle,» de Forbih, dé de Croix, de Gàbriac, du Lau, du flammés ont cessé de dire et de procla- Rosambd, Barbentàne. de mer que la conquête de la grande île se- Lùârti comtes de Waldner, Greffulhê, Ainiëfy rait une sorte de partie de plaisir ou deLes Rochefoucauld, Armand, Jean et Oh. mieux un pique-nique suivant leur de, La Kergolay, L. de Périgord, de Mère, de expression même. Ils entrevoient, pour Ruillé, de Laborde, Fleury, de Casteja, Ancette opération, des difficultés sans nom- dré de Casteja, de Montebello, Michel Haliezbre. ils retardent de plus en plus l'épo- Clàpàrôde, de Chài-nacô, Louis de Tiirénnë, Sala, R. d'Oilliamsbh, û'Èspeuiliés, d'Orque du grand débarquement quii dans le A. Rosé!- de Chabrol, do Réise't, de Giprincipe, devait avoir lieu quinze jours glandes,Dàvillierj fardini Costa de Beauregard, Ouaprès la déclaration de guerre. din, Jean de Saint-Seine, de La Sker&nne, Le général Miles estime aujourd'hui Cornent, de Blangy, de, Caraman, de Saisset, que 85,000 hommes seront nécessaires Jacques de Pourtalés, de Rambuteau,de Lurpour ppérer. à Cuba, car ses renseigne- Saluces, de Meffray, Michel, A.; de Gtiritâutments particuliers lui ont appris qu'il ne BironyDelâmarrë, de Saiiit-Quentih. fallait compter que très médiocrement Les vicomtes Benedetti, de Grouchy, d'Orces glandes, de Verneauxj de Sàvigny de Mon* sur l'appui des insurgés. Et làcomme fois d'ar- corps, 85,000 hommes tnânquent à barons Brùnet, Henry Blount, Levert, d'équipement, comme ils F.Les mes et d'objets du Chafmël, de Fafincourt, Pierre de sont On ne peut plus sommairement en- Bôurgoihg, de Précourt, de Langlade, de traînés à la guerre, le débarquement général n'aura pas lieu de sitôt. len, Imbert de Saint-Amantl; Sûlëts Lêtttt Les deux reporters américains faits Seillière, de Baranté, Brin, de Ravignan. prisonniers de guerre il y a huit jours, MM. de Vaugelas, Nisard, Dutreil, Jourdan, Picard, ancien ministre de l'intérieur; non loin de Cardenas, vont décidément Robert et Henri de Wendel, Bouqtiet de La être échangés contré un colonel et un Grye> Maunoir, Foiirnier-Sarlovézei Thirioilmédecin, qui avaient été pris à bord du Montaubaiii Grahdidier, ViUequçtoiti de Fithiin ïlàihsteamer ÂrgûnûUtu, récemment capturé Perhëty, Gavini de Campile, par la flotté américaine. bëàùx, Kastner, .GaUthiot, l'aigny, de. Fradit Cette flotte avait capturéï je l'ai de,' Adolphb et Daniel Gaine, Le Myre de hier, un vapeur anglais soupçonné de VilërSi L. Noël, Châlûs, Albert Mirabeau, vouloir forcer le blocus dé La Havane. • Mesmer, Laurence, Blé, de La Jùilliére, VinCocteailj Greuzillat, Roger Bâtbedat, Conduit à Key-West, ce vapeur a justifié cent; Clément Henry.de Royer, Lucien JDelade ses bonnes intention^ et il a été relâ-^ planche, etAubry, Boittelle, Fernaad Girauché. Il ne faut accuser, paraît-il, de cette deau, Durangel, Thevin, etc. 'erreur qu'un excès de zèle d'un officier Après l'absoute, qlii a été donnée pat «américain. Les choses ;tie,se sont point
h. du soir, ternatibnalè, VEipcrarito 19, rue Paul-Bert), La. charité Vente de l'Œuvre des Oancérôes, organisée par les Dames du Calvaire (51, rue Dernier jour de la Monceau, 3 jours). âaint-Ferdinand dès Tei-vente des écoles dé Fête Detnburs). charité (19, de rue nes. chez les Péfes Bàrnabiteé (3 h., 22, rue Legendre) et matinée au profit des écoles catholiques de Gôtièvë, sous la présidence du comte d'Antioche (2 h., salle des Agriculteurs). Obsèques
Comtesse Dûcôs (midi, MadeM. Auguste Blanchard (10 h. 1/2,
leine). Notre-Damede Lorette).
DEMAIN
ùovx
mn Par FORAIN
Le Monde
et la Ville
SALONS
Réceptions d'a'vant-hief
bîner suivi de réception, âVàrit-nlef, à l'âtfi-
bassade de Turquie. S. Ex. Munir Bey avait en face de lui la comtesse îbrniéiïi. Au nombre des convives
Ia&président du Conseil et Mme Mélinej rambassadeur d'Italie, les ministres des flnaheès, du comhaérce; les ministres des Pays-Bas, dut'ortuS& le vice-président du Sénat et Mine J. Magnin, le préfet dé la Seine et Mme de SelvbSj le prince et la princesse d'Isenbourg"-Biisstein, M; et Mme Benjàmih-Constant, M. Ph. Crozier, M. et Mille h. Stetn, Mine Ch. Cartier; Mme Astori etc. Parmi les personnes qui ont assisté à là récéptibh
Les membres du corps diplomatique, les ineiri-
bres du cabinet, le général Brûgere, le viceamiral Charales Duperré, Mgr le prince Rolland îonàparte, comte et comtesse Aimery de Lâ Rochefoucauld, M. Alfred Picard,comte et comtesse de Séijùr, conite Louis de Turénne, baron et baronne de Kœnneritz, baron et barorine de Puttlingen, Mme de Fauqueux, M. et Mme B. Fourton, MM. Nâgôlmadkers, Cattaüi, Bey, MuBttriis
etei La prochaine fêcëptibh aura lieu lundi 3o mai. Celle du lundi 6 juin est remise au jeudi 9 juin. ff es élégant .'dîner1, chez là comtesse de Tailëyrarid-PéH^ord, én l'honneur de ràmbassadellf du RU6feie et de la princesse Ouroûsâoff. Les autres convives étaient Comtesse Edmond de Pourtalès,comte et comtesse d'Haussonville, marquis et marquise de Breteûili marquise lie Tallèyranti-PérlgDrdjleviceamiral Charles Duperré, prince de Poix, comte Bèy,
Alexandrede Gabhac, comte S. de Castellàrtë. Soirée musicale du plus grand intérêt cheï Mine Roussel, née Moreau-Chaslon,dans son hôtel de la rue de Chaillot. Les interprètes du programme étaient Mme Rosé Carotl, MM. Lucien Fugêfe^ Louis Dièmèr, Delsart,
Raymohtl Roussel; Fëodorbw, accompagnés
lui
Des lors, pourquoi nos bons chevaliers du fouet se gêherâieht-ils? quoi bon être attentifs, et se donner tant de mal pour conduire? On n'est pas très regar-
Aussitôt que la Cour eut rendu le ju. gement prononçant contre Carrara la peine de mort et contre sa femme celle des travaux forcés à perpétuité, les gardes emmènent les condamnés. Carrara est livide, ses forces semblent l'abandonner on est obligé de le soutenir. pour le conduire de la salle des assises à la cellule qu'il occupaitdepuis cinq jours à la Conciergerie. Durant le trajet, il iïë prononce pas une paroles La femme Carrara, elle, sanglote. Elle sort en trébuchant et, d'une main, s'accrbelia au bras du garde chargé de la conduire au Dépôt, où elle avait été amenée de Saint-Lazare, en même temps que son mari était, pour obéir aux prescriptions de,la loi, transféré de Mazas à la Conciergerie. Mes enfants mes pauvres enfants sJé» ciïê-t-elle, que vont-ils devenir ? Et, comme cela lui est arrivé plusieurs fois au eours des débats¡ elle est prise d'une syncope que font bientôt cesser les soins du doc-
teur Floquet, médecin du Palais.
Ah monsieur le docteur, gêtnit-èlle, je
ite yeux pas surVivio à cette horrible a(Mr8
et je me tuerai avant de partir pour la indu son centrale oit un va m'envoyer: Oh oui, ja me tuerai} on ne m'en empêchera pas. G'est lui, le misérable, mon mari, qui m'a perdus et qui est cause qüe je me trouve dans cette affreuse situation. Sur le conseil que lu} a donne' son dêfènàeui', Me Henri Robert, la fënltné Garïard a renoncé à signer son pourvoi ëti cassation. Il n'en a pas été de même de son mari qui 'est empressé d« se. pourvoir contre lé vor" dictdu jury. A six heures; il est monté dans une voiture cellulaire qui l'a transporté il la prison de la Roquette, où il a été placé dans l'une dés trois éëllulès la cellule no 1 spôéialëmëftt affectées aux condamnés à mort. Une demi-heure plus tard, là femme Carnira était dirigée sur Saint-Lazare, qu'elle ne tardera pas à quitter pour. êtrè transférée dans la maison de réclusion qui lui sera assignée par l'administration pénitentiaire.
dant quand On ne compromet que l'argent des autres. Il arrive même que de bons des Tuileries, a été très gai et des plus animés^ vieux cochers doivent penser quelquefois à malgré l'intervention malfaisante de la pluie. toutes ces petites sommes qu'ils ont versées Autour des petites tables ornées d'une profu- à la compagnie d'assurances. Dix francs sion de fleurs: par dix francs, cela finit par faire de l'arVicomtesse d'Orslandes; marquise de Broc, gent, et s'il n'y a pas d'accident au bout, MYSTÉRIEUSE AFFAIRE Mme Bârracliiri, baVonne d'Anèh2ld,edintesse dé c'est de l'argent dépensé en pure perte. De!? passante ayant aperçu, hier matin, La Béràudière, Mine de Neufville) cotiitesëë dé Alors, le cocher!, pour justifier son assu- huit heures, ún homme Maupas, marquise de Soldes, comtessed'Andlau, étendu dans le fossé vicomtesse Léon de Janzé, comtesse de Durfort, rance, et pour rentrer dans ses débours, des fortifications, près de la porte d'Àsniéi-cs,
Le goûter offerij hier; pac le Comité de l'exposition canine et servi dahs l'Orangerie
marquise d'Àligre,. baronne de Veauce, marquise écrase quelqu'uni de temps en telnps, C'est de Nettahcourt, marquise de Rollknd-Ûalonj Vicomtesse de Savig-ily de MoncorpSi Mme BlaehOj comtesse de JBreuiipont.Mme comtesse de Gotirnay, Mine Lefôvre.-jPontalis, Tiersonnier, comtessé u'Yànvule, bdmtesse G.-J. Murât, Mme HàH'iniiinnj comtesse dit Liiatt, marquise de Barral-Montferrat, comtesse de Villeneuve. Le Cbnlitë de l'Athénée franco-roumain donnera demain sa fête d'inauguration, sous le haut patronage du ministre de Roumanie et
portés à ce concours. Aujourd'hui, l'exposition sera olivette Cela dit, il s'approcha de la table et, de la princesse Ghika. Au programme Mme dé 1 heures à 6 heures. Demain jeudi, réunion du Comité pour le prenant le premier pied qui fut à sa por- de Nuovina, Mlles Blanche Duîrène, Florica tée, il s'ôxcfàma «Je tierts un de vos lôu- Solacoglu, Denyse Tâine, Léontine Mendès, jugement. Mobillon MM. de Malt, G. Ëhëscb, Dhyss,
L'enfant tremblait. Mais l'Empereur OBSÈQUES DE DU lé prit dans ses bras, l'embrassa et le fit sauter sur ses genoux. C'était celui dont il avait signé l'acte de naissance et qui grand chambellan et le plus' jour fut un hier remplissait imposante Une foule fidèle ami et serviteur de NapoléonIII. matin l'église Saint-Pierre de Chaillot. où l'on célébrait, à dix heures, les obsèques du duc de Bassanoj ancienministre JOURNÉE plénipotentiaire, ancien chambellan de LA l'Empereur, ancien sénateur del'Empire et grand officier de la Légion d'honneur. Mercredi mai A la même heure, on célébrait une Courses à Colombes (2 h.). Derby, messe pour les, dames dans la chapelle
Ferrari.
LES ÉPOUX CARRÀRÂ APRÈS LE VERDICT
LA. MORT
DE Mi BRIN
ÉâCaldglu, Jules Brin et les changeurs de la BoMë, e4 Mai. La mort inattendue de dirigés M. ïtifiafci D. M. Brin, ministre de la marine, ce matin, à chapelle roumaine, par
prévinrent des gardiens de la paix. Les agents descendirent dans la fossé et se trouvèrent en présence du cadavre d'un. homme paraissent tigé tlé Sbikante-dix ahs. Le vieillftrd, (JUi était très ébrtecteriient Vètu de noir, n'avait sur lui ni argent, ni papiers.
Prévenu de cette découverte, le commissaire de police de la, circonscription a fuit transporter le cadavre la Morgue et a ouvertu une enquête pour savoir si cet individu était tombé accidentellement du haut du talus dés fbrtiiieationSj dit s'il n'aurait pas été précipité dans le fossé, après avoir été dévalisé,
par des malfaiteurs
M. Jules Ghéron, âgé de quarante-quatre dix heures, il profondément centriste lë ans, propriétaire à Gennevilliers j a été, monde officiel et politique. Le Roi, informé hier matin, victime d'un épouvantable acciMARIAGES le ministre agonisait, s'est aussitôt rendu dent. Mgr Tanoux, évêque de la Martinique, a que Odësôalchi, mais il est arrivé QuelM. Chéroh, qui demeurait rue Picard, avilit béni hier, à Saint-Pierre de Chaillot le mariage au palais minutes après que M. Bfih venait d'et- commis l'imprudence dé monter sur uho du comte Jacques de Reverseaux, fils de notre ques Il l'a embrasse en pleurant. ôchellfe dont 1 extrémité iepf>3ait sur la barre ambassadeur à Vienne, avec Mlle Jeanne de pitér. M. di RudiM a pu assister à ses derniers d'appui d'une fèrtôtrë de sa mïtison, Cette Rohan-Chàbot. moments. Contrairement à ce qu'on pouvait barre se rompit et le malheureuxvint tomAssistance des plus brillantes, dont faisaient supposer, M. Brin Il voulu recevoir les der- ber, la tète la première, sur une des lances partie le ministre des affaires étrangères, les niers sacrements et iesdernièi'eâ consolations de la grille qui enclôt ]a villa. membres du corps diplomatique et le grand delà religion. L'Italié fàitehliii Le fer de la lance pénétra dans le cerveau une perte des monde parisien.. sensibles. G'èstâ M. Brin, en effete qu'elle et la inoi't fut instantanée. La quête a été faite par Mlles de Revefsèauxj plus est redevable en partie de sa nouvelle Hotte On a eu beaucoup de peine à décrocher le et Isabelle de Chabot, accompagnées dû de guerre, créée lui d'après par dé les plans corps de M. Chéron, dont le sang et bina. comte Louis de Rohan-Chabot et M. Guy de l'amiral Saint-Bon, ainsi que de nombreux tière 6èilébrale avaient jailli de tous Côtés, Froidefond. établissement métallurgiques et chantiers Le cortège, à la sortie de l'église, était ainsi de constructions navales. Après M. VistôhtiBAT AILLE DE DAkES Venôsta, c'était lé seul hômmb politique qui Un grand Membre. de badauds avaient Comte et comtesse Jacques de Reyerseaiix^ vi- fût resté aûsâi longtemps ministre. comte de Rohan-Chabot et comtesse de FroideII l'avait été à reprises différentes. En formé le cercle, hier matin, autour de deux fônd, marquis dé Reverseaux et vicomtesse de 1892, il Quitta unsept moment le départementde fénilnés qui venaient de se prendre de queRbhâil-Chabbt, duc de Rohah et Mile de Rrveù- la marine pour prendre, dans le cabinet Gio- l'elle, rue de La Chapelle. seaùx, comte de Reverseaux et comtesse Philippe Se battront! se battront pas ei'iaU»on de Rohan-Chabot, comte de Chabrol et Mmo. lttti, lé portefeuille des affaires étrangère^ et dut avec alors, modëratibn, son dû de côtés. il esprit Francqueville, tous Louis de comte de Vergennes et Excitées incidents comtesse de Beurges, comte Philippe de Rohan- aplanir lés difficultés par les lazzi et les quolibets de la 'Chabot et comtesse E. de Reverseaux, comte de d'Aigues-Mortos. C'est aussi grâce à son foule, les deux championnes » se prirent Froidefond et baronne de Saint-Joseph, comte esprit accommodant qu'il venait à bout, dans corps à corps et «entamèrent une lutte fuSebran de Rohan-Chabotet duchesse d'Audiffret- lés couloirs dé la Chambre, dé bien des im- rimeuse. L'une d'elles, Amélie Didier, âgée de P^asqnier, due d'Audiffret'Pasquier et duehosse patiences et de bien des menaces d'orage. vingt-quatre ans, qui, fort maltraitée, avait dé Rohan, comte Louis de Rohan-Chabot et cpmQuoiqu'il fi\t né grand orateur, son là Visage en sang, s'arma traîtreusement de 'tesse de Rouge",Comte Pernand de Chabotet Mme pas froid, mais plein de clarté et de son épingle à chapeau et l'enfonça dans l'eeii L. de La Brière» comte de Beurges et marquise langage Saint-Joseph beaucoup d'autorité et de gauche de son adversaire. avait baron et de de Marescot, Mme de mesure; Marescot À ce moment arrivaient des gardiens de la Genevraye, marquis de et baronne de force. Il a écrit plusieurs études de technique Breuil, M. aenevraye et baronne de Bel- navale et un rapport sur le matériel de navi- phix. Pendant que les uns emmenaient la castel. gation à FËxpbBitibn de Paris de 1878. M. Brin meurtrière chez lé commissaire de police, les M, lé étiré de Saint-Augustin a béni hier, est mort d'une paralysie cardiaque aggravée autres conduisaient à Larihoisiére là blessée, en son église paroissiale, le mariage de M. An- par lés émotions des dernièresdiscussions, à la une nommée Julie Gros, âgée de dix-neuf dré Massiou, médecin de la marine, avec Mlle Chambre, au sujet de la vente de navires ita- ahs. Son état a été èènsldêrô tsamnie très Geneviève de La Barre. Les témoins étaient, liens à l'étranger. Il avait soixante-cinq ans. grave. Giraudeau et M. Cor- Mine Brin a déjà reçu de nombreux télépour le marié lo docteur On se rappelle qu'après le procès du combineau, architecte; pour la mariée M. Loi- grammes de condoléances, un, entre autres, Ësterhazy, Mine de BoUlàncy avait seau et M. Loison, architecte. Dans là nom- de l'empereur Guillautne qui avait une es- mandantgénéral de Pëlliêùx pour lui demantime particulière pour le ministre défunt. écrit au breuse assistance d'affirmer M. et Mine Bbugùerëàii, M. et Mmes Vincent, le Les funérailles dé M/ Brin auront lieu jeudi, der Que M. Ëstei-hazy a reconnu l'authentiFélix. docteur Auguste Voisin, M. Félix Voisin, conseil aux frais de l'Etat. de cité toutes les lettres moins une; 1er à la Cour de cassation; le docteur du Vivier, 26 Que, sur la dénégation de M. Estërhazy, M. Lish, inspecteur des monuments historiques il avait mis, M. et Mme Raveneau, marquis et marquise de LE PAPE ET LES DÉSORDRES DE MILAN lui, général dé PelliéUx, la lettre ViariSi M. et Mme Gévelot, etc. Rbth.e,24miti. UOsservalore roniùno pu- eh question sous scellés. Le gênerai de Pelliëux ayant refusé, Mine béni hier, Saint-Roch, Oh a le mariage blie une lettré du Pape au cardinal Fëf l'âri) à de Bbulaiicy, sur le conseil dé M*> Ltiglsse, de M. Georges Boilaive, associé d'agent de archevêque dé Milan Fijan. Les témoins avocat, avait déposé une plainte. change, avec Mlle Suzanné Le Pape dit qu'il à été grandement ému par les sort plainte, Mme dé Boulancy, considéCette du marié étaient MM. Jules Bruneau et graves désordres survenus dans diverses réglions M. Her- de fïtalie, notamment à Milan. «C'est là, dit-il, le rant les lettres comme authentiques, y comAlfred Blacque ceux de la mariée ambassadeur Berlin, ancien bette, et M. résultat de l'a mauvaise semence répandue impu- pris celle dite « du uhlan », ne pouvait viser André Bazille, banquier Montpellier, son nément en Italie, qui amène la corruption des aucun faussaire déterminé et connu. Ce fut idées et la perversion des mœurs au détriment donc Contre auteur Supposé des faux religion. da la Nous qu'au de lieu le général signales Mlles Maoîre, de Pellieux, que les par faite Bruvoyons rapar La quête a été paroles le calme des leurs par per- poursuites furent dirigées. neau et Josse accompagnées des lieutenants mener citoyens sont insinuent d'hônnetes sonnes que M. le juge Bërtuliis fut chargé de l'instrucMaurice Guénée, Jacques Pagésy, Jacques coupables des desordres, uniquement parce Blacque et Jean Laloûei qu'ils sont dévoués à l'Eglise et au Saint- tion de cette affaire. A la suite de son instruction, qui a duré M. et Mme Fijan, au retour de l'église ont 'Siège. On feint d'ignorer que l'Eglise enseigne plusieurs leurs salons mois, l'honorable magistrat vient dans les émeutes de qu'il, faut pas s'immiscer dans la donné une réception ne les rendre populaires, catholiet que ce he sont pas de une ordonnance de non-lieu. de Rivoli.
les
–
X.
rue
Une
des pages les plus émouvantes dé
Maxime du Camp est celle qu'il consacre, dans son livre sur là charité privée, à l'oeuvre des pâmes du Calvaire (hospice des cancérées). Une vente de chanté aura lieu 5t; rue de Mohèeaü, dahs un hôtel particulier^ aujourd'hui mercredi} demain jeudi 26 et vendredi 27 maii au profit de cette oeuvre si intéressante. Grâce à la libéralité de généreuxdonateurs; les comptoirs seront largement fournis des objets les plus variés et des bibelots les plus exquis. Mais là grande attraction sera une superbe aquarelle donnée par Mme Madeleine Lërhaifè qui sera mise en loterie. On trouvera des billets aux comptoirs de toutes les dames vehdeùsesi -••iÀ-r"
ques qui les provoquent, Il faut, en conséquence, rechercher ailleurs les auteurs et les complices Oh aurait tort dé' croire que lès maisons des désordres. favbritèfe des gens riches sont celles où l'on Le Pape ajoute qu'il aurait déàilé, eu ces lé plus cher. C'est presque toujours le moments si critiques, que l'archevêque de paye contraire. Ainsi pour vingt francs on a une Milan eût pu se trouver Milan en concilia- Jumelle Flammarion construite sous le pateur de paix, mais le Pape a été beaucoup tronage de l'illustre astronome. Ces incomaffectés des outragé contenus dans un manp parables instruments,, le sait, on ne se trouféste sectaire lancé contre un membre du Sa- vent absolument nulle part ailleurs que chez cré-Cbllége-. Ces préventions malveillantesse- Fischer, 19, avenue de 1 Opéra. raient passées inaperçues. Ce n'est pas tant, en effet, contre la personne du cardinal- qui Ud ouvrier fumiste, Charles Rossi, après donne toujours de grands exemples de charité pastorale ijûé sont dirigées ces attaques, avoir touché sa paye de huitaine, chez son rehdit à la fête foque contre le principe même représenté par patron, avant-hier soir, seInvalides. de l'esplanade des raine Il aurait lé cardinal. mieux de directement beaucoup fait rentrer Oh ne comprend pas où peut conduire dette chez lui, où l'attendaient sa femme et ses enguerre contre l'autorité 'de l'ôvêqUe, lorsque fants*, car, pendant qu'il baguenaudait del'autorité sociale même se sent ébranlée.
vant les baraques, un pickpocket troudu L'abbé David Albértàrio, moyen de lui subtilisez son porte-monnaie. directeur de YOsservatorecattolico, de,Milan, Désespéré de ce fâcheux contretemps, arrêté aujourd'hui à Filighêta (Palie), Rossi, craignant les reproches de sa femme •^ Rappelons que les obsèques de II 6bm=- a étéordre du général Bava. tesse Duebs Seront célébrées aujourd'hui; à par et n'osant plus regagner son domicile, prit la Madeleine. midi, à la résolution de se tuer: Il se dirigea vers le Le comte Ducos, filé de la défunte, reçoit Angleterre quai d'Orsay et se.jeta. il l'eau. de tous les côtés de nombreux témoignages Mais, l'instinct de la conservation prit la ils PBKÊRAlïiLES DE M. GLADSTOJÎE douloureuse sympathie. de dessus, et Rossi, ayant été porté par le couÉoUiîPeS) C4 «itit. Gomoie lord Salisbury rant M. Franceschini Piétri, secrétaire de l'ihipèvers une péniche, s'accrocha au gbUverràtrite Eugénie, lui a écrit là lettré suivante hier, aux Lords, M. GUrzoii aujourd'hui refuse nail et appela l'aide. de rien dire aux Communes, relativement à Deux gardiens de la paix, Gros et MichaUd, Monsieur le comte, négociades l'Afrique, la fih de l'Ouest avant sautèrent dans Uhe barque et se portèrent à L'Impératrice a reçu la lettre par laquelle vous tions: séBbiirs. Michàud saisit le fumiste à bras son ui faites part de la mort de ntaflame votre mère. les Communes adopté ont des Lords Les et le corps. Malheureusement^ la barque basSA Majesté l'a apprise avec peine, et elle me résolutions déclarant assisteront qu'ils àiix qu'elle dire la prend toute cula et lés deux agents tombèrent dans la charge de vous part dit cordons Gladstone. funérailles de M. Les frappe,ainsi qui vous votre 11\1 malheur Seine: que soeur. Elle été très touchée des sentiments que vous poêle seront ténus, samedi, par le prince de Gros réussit avec beaucoup de peine à sau-1 lui exprimez dans cette triste ëitéonstàneii.ëtelle Galles, le duc d'York, lord Salisbiifyv loM ver. Rossi, et plongea ensuite pour retirer son vous en remercie en vous envoyant elle-même Rosebery, l'archevêque de Ganterburyj M. collègue qui, en tombant, s'était assez sérietil'expression do sar sympathie et de ses senti- Balfour sir William Harcourt. et Michaud sëhîënl blessé la tête. condoléance à ü été transpour vous et pour votre ments dé on dit que l'Angleterre a acquis par bail porte à Laennet. l'Hinterland de Hong-Kong, comme c'était Les obsèques de M. Blanchard, artiste prévu, Villars. Une excellente réclame pour Evian et la graveur, membre de l'institut, seront célébrées Source Cachât (Dépôt, 18, rue Favart) est le ce matin, à dix heures et demie, à Notregratuit de buvette fait chez tous les service ESPAGNE Oàmë-dë-Lorette. L'inhumation aura liêU à grands pâtissiers parisiens. jLb NofVifc& MtKWIÎRE OÊê AfMtftËS. LUzàrches (Sêihe-et-Oisë),, Le Succès le.plus vif à accueilli cette innoIthansêrès L'archiduc Léopold est mort aujourd'hui vation, dans la clientèle élégante qui fréMàdHd, 84 iàal. Le duc d'Almodovar quehte ces établissements en stih château de Hoerristeih, à l'âge de Exiger soigneusement le nom de la Sauraa £5 ansi Petit^fiis Se l'empereur Léopc&ldj est nomme intftisW6 des I1ffuh'éB .Réwtê, 24Mâù
La Cour condamne Paul Ancion aux aux environs de Gironcourt. Un train a déter, En apprenant dans le couloir que le raille, sans accident de personnes. forcés à perpétuité. Un fait atroce s'est passé avant-hier soir jury lui avait accordé le bénéflce des travaux Un service à voie unique a été établi pour Des cris de mort accueillent ce verdict. circonstances atténuantes, elle s'était dans ls rue Marc-Seguin, il La Chapelle. la réfection du ballast de l'autre permettre dans attablés étaient individus écriée Plusieurs Albert Bataille. violence des taux. voie* emporté malheureux éhien lorsqu'un vins, enfants! Dieu de débit Mes pauvres a eu un vint rôdeur près d'eux. L'un d'eux, empoi- pitié de moi 1 Notre-Dame de Dcols Informa/ions lui attacha à la le chien, un queue gnant Chateauroux-. En vertu d'un, IGNOBLE BRUTE
la
bouchon de paille imbibé de pétrole,
est
mit
L'animal, affolé, alla se réfugier dans une boutique occupée par un chiffonnieret mît le feu il un tas de vieilles hardes. Chassé de là, il se sauva dans la boutique d'un marchand de vins, où il faillit causer un incendie. Enfi'n, on réussit à éteindre le bouchon de paille, est le pauvre chien, grièvementbrûlé, a marchand de été pris en pitié par M. vins, qui l'a gardé et qui lé soigne. Quant à l'ignoble brute, auteur de cette imbécile plaisanterie, il avait commencé d'abord par rire aux éclats, mais, en présence de la juste indignation de tous les assistants, il s'est, dérobé par la fuite à la torrectloh qu'il aurait méritée. M. Pontaillier, commissaire de pouce, fait urne enquête pour le retrouver. Jean de Parlai
(De notre correspondant particulier) (PAR
dépêche
)
Nancy, 2 4mai.
Le jury de Meurthe-ét-Mosélle juge aujourd'hui lé parricide Ancion, un jeune assisté de M. Gaston Boissier, l'Académie a
homme de vingt-quatre ans qui, après avoir assommé son père à coups de marteau, découpa le cadavre en tronçons G. l'aide d'une scie à bois, et emporta ces misérables restes pendant la nuit jusqu'à une distance de trois kilomètres, où il les jeta dans l'étang de Quercigny. Deux des débris, flottant sur l'eau, furent aperçus le 24 février, dé grand matin, par le garde forestier Braquier, qui les ramena au bord à l'aide d'un crochet. On repêcha ainsi le tronc, les bras et lès jambes. La tête est restée introuvable. Plusieurs habitants du village de Léyr, Mémento. Un enfant de treize ans, Maximi- proche de l'étang de Quercigny, crurent lien Capron, demeurant chez ses parents» à l'île reconnaître le cadavre d'un fermier Saint-Denis, est tombé hier matin, en gare du Nord, entre deux wagons, en descendant d'un nommé Joseph Ancion, qui avait disparu train venant de Saint-Denis. Il a eu les deux depuis plusieurs, jours. Mais son fils et jambes broyées. Transporté à Lariboisière. femme, avec laquelle il avait de frésa &. J. de quentes querelles, soutinrent énergiquement que ce n'était pas lui. Cependant, harcelée par les accusa(METTE DES TRIBUNAUX tuions des vôisins,qùi la poursuivaient de leurs clameurs, la femme Ancien ne ne tarda pas à se troubler et à faiblir. Cottït b'A'ssiBEs DE LA SEINE Le, champi- Après deux journées de luttes terribles gnonniste Carrara.– Condamnation à mort. avec elle-même, élle finit par s'avouer NoOVteLLËs joBÏGmiuÉs-. coupable. procès 1 CarElle raconta que c'était son fils Paul La seconde audience du ràrà avait amené au Pâlàis de justice qui, à la suite d'une querelle avec son coups de marteau, et beaucoup plus de monde encore que la père, l'avait tuéleà cadavre pour pouvoir veille. On s'écrasait littéralement dans qui avait scié la salle. Des témoignages, le plus acca- le faire disparaître. Ces aveux faits, elle se noya dans son blant t pour le champignonniste duKrempuits. lim est celui de son beau-frère Quand Paul Ancion, qui avait été ardéclare-t-ll, fait m'a venir pour Carrara, préventivement,apprit le suicide de travailler chez lui. J'ai compris tout de suite rêtémère, il fit appeler le juge d'instrucqu'il voulait m'associer à un mauvais coup. sa et entra à son tour dans la voie des Je l'ai quitté. 11 m'a dit que,tîi sa femme vou- tion lait l'éconter, il ne serait pas à courir après aveux
une pièce de vingt francs. Je le crois capable avait eu de l'ar'de tout. Si son beau-père qu'il l'aurait desgent, il y a longtemps cendu dans la carrière La femme Carrara. –C'est bien vrai!(Mou-
vement) alluLe « mauvais coup » auquel fait sion le témoin est le projet d'assassinat du vieillard de Gentilly dont la femme Carrara était la maîtresse. D'autres membres de la famille affirment que la femme Carrara leur a parlé de ce crime projeté
par sonmari.Le charretiërderacctisé,Gaplain, raconte que la patronne lui a dit un jour qu'elle était très malheureuse,
Dans sa séance Les prix de l'Académie. d'hier, présidée par M. Vandal, chancelier,
Mon père, qui était ivfë, dit-il, m'avait menacé de son couteau. Il m'avait à moitié as-
sommé à coups de chaise et m'avait lancé une bouteille à la figure. Fou de colère, je saisis Un marteau et je l'en frappais jusqu'àà ce qu'il hé remuât plus. Mb.' mère était arrivée au bruit de la lutte. Elle m'aida à porter le cadavre dans la grange, où nous le cachâmes sous un tas dè paille. Nous l'avons gardé comme cela trois jours, ne sachant qu'en faire. était, complètement Le troisième jour» il roide. Je le plaçai sur un chevalet, j'appuyai le pied dessus, et je le sciai comme on scie du bois, Puis, eh trois voyagés, je transportai les morceaux jusqu'à l'étang de Quercigny. J'ai lancé la tête au milieu Ça m'étonne qu'on ne l'ai pas retrouvée C'est ma mère qui est la cause de tout. Et quand elle rire vit le marteau levé, elle me fermant cria « Frappé! frappe donc! la fenêtre pour qu'on n'entendît pas les cris. Après lé crime, elle lava le plancher à grande eau, et c'est elle qui me donna l'idée d'aller porter le corps à l'étang de Quercigny. Il n'y a pas un an qu'on l'a péché, me disait-elle, il se passerà bien deux ans avant qu'on ait l'idée d'en voir lé fondl » Aussi, mon père lui faisait la Vie trop dure.
des que son mari voulait lui faire faire choses qu'elle ne voulait pas faire et que, sans ses enfants» elle se détruirait. Dans son réquisitoire, M. l'avocat général Van Cassel expose clairement et logiquementles faits. Pour lui, la responsabilité morale de l'homme et celle de la femme sont égales. Ils prétendent l'u'n et l'autre avoir été suggestionnés. La vérité est que le crime a été prémédité par tous lés deux. Carrara est cer- Il fallait en finir tainement le plus coupable; ce serait Ancien père était etl effet ivrogne et faire injure au jury que d'essayer de dé-» querelleur. Sa femme et son fils pasmontrer qu'il ne doit pas échapper au saient au contraire pour travailleurs. châtiment suprême. rapports de genEn ce qui concerne sa femme, le jury Tous deux, suivant les. se demandera en son âme et conscience darmerie, étaient jusque-là bien rés'il doit lui accorder des circonstances Nicévillé, du barreau C'estM" Henri do atténuàntés.. de Nancy, qui défend le parricide. M. président l'avocat général Obrin soutient l'accusaAprès le réquisitoire, M. le Tftibïerge annonce qu'il vient de recevoir tion. Les débats sont présidés par M. le dame Plaisance; cham- conseiller Grante. une lettre d'une Gentilly, qui annonce Paul Ancien est un grand garçon'maipignbnniste à qu'elle a de graves révélations à faire au gre et blond, à l'air gauche et timide. sujét de l'affaire "Carrara. En vertu de Son attitude est silencieuse. Il répond il son pouvoir discrétionnaire, fait com- par monosyllabes. Sa physionomie est paraître à la barre des témoins la signa- inexpressive et ses yeux sont continuelliement baissés. Il semble, inconscient de taire de la lettre. • Mme Plaisance j une femme d'une cin- la monstruosité du crime qu'on lui requantaine d'années, est en relations de- proche. L'audience se traîne sans grand intépuis deux ans avec les époux Carrara. rêt. Les témoins, successivement, vienQuelque temps avant le crime, dit-elle, nent raconter comment furent découCarrara et sa femme sont venus me trouver verts, dans l'étang de Quercigny, les et m'ont fait part de leur situation émbardu cadavre du père Ancion. La rassée. Ils m'ont demandé s'ils ne pouvaient morceaux des dispositions, changer de tête, je l'ai dit, n'a pu être retrouvée. pas prendre afin de se soustraire aux L'accusation prétend que l'assassin ne nom, par exemple, les ai veut pas révéler l'endroit où il l'a cachée, réclamations de leurs créanciers. Je conduits dans ma voiture à Paris, chez mon parce que son aspect révélerait la nature avoué. Ce dernier leur a expliqué que ce n'é- des coups qui ont déterminé la, mort. tait pas possible. En revenant, la femme Cette question est du plus grand intés'est écriée « Ça ne peut pas continuer rêt, car Paul Ancion affirmé qu'au cours » comme ça! Il faut faire ce que j'ai dit hier. 'Et elle a ajouté, en s'adressant à moi « Mon d'une rixe avec son père il l'aurait frappé mari ne veut pas suivre mes conseils. Il est avec un marteau, Son pèro serait tombé inanimé. L'accusation prétend, au controp bête. est-il Carrare* traire, que la tête doit porter la trace de Le président, à l'accusé. propos? ait tenu femme ces et exact que votre plus dé « vingt coups de couteau Carrara. Oui. tire sa conviction des dépositions de la d. -Que vous avait-elle donc conseillé femme Ancion qui s'est fait justice en R. Je ne me rappelle pas. puits.. Le président. Il est singulier que vous se jetant dans un Sur la table des pièces à conviction se et que vous ne vous souveniez de ses paroles pas des Caits auxquels elles trouve le chevalet de bois sur lequel le vous souveniez parricide a placé le corps de son père faisaient allusion. le.scier; à côté, la hache, la scie, le La femme Garrara prétend de son côté pour le couteau tout un attirail de qu'elle ne se souvient pas d'avoir donné marteau, sinistre. des conseils à son mari elle ne se.sou- boucherie Le cou portait la trace de coups de couvient pas non plus d'avoir tenu les pro- teau, ce qui peut permettre de supposer pos rappelés par le témoin. que Paul Ancien a égorgé son père. Une discussion assez Vive s'engage Me Félix Decori, défenseur dé Carrâra, en leur disant entre les docteurs Quenette et Simon sur essaye d'apitoyer les jurés ses la question de savoir si les coups de cûUque c'est pour assurer l'avenir dehonteau constatés sont antérieurs ou postédeux petits enfants que Carrara, en résulter nête jusqu'alors, est devenu criminel. rieurs à la mort. 11 semble Bien entendu, c'est la femme qui, d'a- qu'ils ont été portés lorsque la victime près le défenseur du mari, a eu la pre- était encore en vie. Les témoins à décharge viennent dire mière l'idée di crime. M' Félix Decori termine en demandant pour son client que Paul Ancion, jusqu'au jour du crime, le bénéfice des circonstances atténuantes. passait dans la commune pour un garçon M0 Henri Robert, défenseur de la doux, timide, aimant beaucoup sa mère. femme Carrata, sollicite à son tour la Le père Ancion passait, au contraire, pitié pour sa cliente qui, dit-il, a agi sous pour ivrogne et brutal. Un détail qui marque bien la fourberie l'empire de la terreur. Pendant le réquisitoire comme pen- de ces paysans. La femme Ancion avait, dant les plaidoiries, les deux accusés se avant la découverte des morceaux du cadérobent le plus possible aux regards davre, raconté que son mari avait abanet durant trois jours du public, la tête baissée, la figure dans donné la maison,petits cierges à l'église, elle fit brûler de leur mouchoir.. Après les plaidoiries, M. le conseiller devant la petite statue de saint Antoine Thibierge, posant les questions d'usage, dePadoue, afin de retrouver celui qu'elle leur demande s'ils ont quelque chose à avait perdu. L'audience de l'après-midiest réservée ajouter pour leur défense. Carrara éclaté M. l'avocat générale Obrin qui, dàns en sanglots. Sa femme ne répond rien, d'une haute valeur litténc fait pas un geste, un réquisitoire La délibération du jury dure près dé raire et d'une émotion intense, retracé le lugubre tableau de ce découpage du père deux heures. jurés ràp- par son fils. A cinq heures et demie, les Me de Nicévillé. dont la tâche est arportent un verdict déclarant le champiavocat d'un très réel talent. gnonniste et sa femme coupables d'in- due, est un cendie volontaire, d'assassinat et de vol. Il sait tirer un grand parti des incertiLa femme Garrara seule bénéficië des tudes de cette affaire et dù mystère qtfi circonstances atténuantes. Carrara est règne encore sur les conditions dans lespère condamné à la peine de mort, sa femme quelles est survenue la mort du a-t-il AnGioh. Y a-t-il eu assassinat? N'y à perpétuité. aux travaux forcés La foule applaudit bruyamment eu, au contraire, que coups mortels? Le jury rapporte, à 8 h. 1/2 du soif et cette double condamnation. Carrâra ne dit pas un mot. Sa femme pousse un cri après dix minutes de délibération, un et tombe en proie à une nouvelle atta- verdict affirmatif -avec circonstances atque de nerfs. On est obligé de rempor-
en
décerné les prix suivants
MONTYON ( ouvragés utiles aux Une somma de 19,000 francs étant mœurs). l'a répartie de la façon l'Académie disponible, CONCOURS
suivante
Sept prix de mille francs à chacun des ou vrages suivants
Royaume dé là rue Sàiht--Hoftôrë « Madame Geôffrift et sa Rite par le comte Pierre de Ségur; « Pâques' d'Islande», par M. Anatole Le Braz; « Du Tonkin aux Indes (1895Sur le 1896 •>, par le prince Henri d'Orléans le lieutenant Touareg», des Niger et au pays par de vaisseau Hourst « La jeune Amérique, Chili et Bolivie », par M. André Bellessort « Geffroy et la critique dramatique sous le Consulat et l'Empire (1800-1814) par M. Marc des Granges; Histoire de la littérature française au dix-septiètne siècle», par le R. P. G. Longhaye. Vingt-quatre prix de 5oo francs à chacun dés ouvrages suivants «Mes Campagnes par une femme « Autour Lettres et de Madagascar par MmeC. Vray récits militaires, Afrique et armée d'Orient par M. Ch. Bochêr; « Mâthurin Régnier »,par M. Joseph populaires ScandiVianey « Les vieux chants Les nouvelles naves par M. Léon Pineau sociétés anglo-saxonnes », par M. Pierre LeroyBèàulieu « De Paris au cap Nord", par M. Paul Ginisty « Le général La Fayette (1757-1834) "1 «, L,o
bref du Pape, Mgr Servonnet, archevêque de Boüïgës, assisté de NN. SS. Begûinbt, èvêgue de Nimes Marchai, évêque de Sinope dôm AlbèriCi abbé mitre de Fongomb'ault, et entouré d'une centaine de prêtres, a procédé de la statue miraau couronnement solennel culeuse de Notre-Dame de Déols, dont la dévotion remonte au moyen âge. Malgré l'incertitude du temps et la sinistre et ridicule prédiction, répandue ces jours derniers, que cette fête devait être le théâtre d'une catastrophe semblable à celle du Bazar de la.Charité, une foule énorme de pèlerins, venué de tous lés points du diocèse, assistait à ïà mé'ssë qui à été célébrée pontificaléinent, en plein air, et à la procession qui s'est déroulée à travers les files, fort gracieusement pavoisées, dé l'antique cité. Le diadème de la Vierge et la couronne fermée de l'Enfant Jésus qu'elle tient sur ses bras sont en or massif, enrichis dé pierreries et d'un joli travail. Ces bijoux ont été achetés avec le produit d'une souscription iaité parmi les fidèles de la contrée, 'qtai ont pour fê sanctuaire deDéols,ouBourg-Diéu,cbmtn'6 disent les paysans» une profonde vénération. La catBBtroplie du I»éago-cIe-RoU»»llIbii Grenoble. L'affaire dé la catasttophe de chemin de fer du Péàgè-de-Roussillon viendra devant là Cour de Grenoble le 9 juin, sur âppél à miftimà, interjeté pat le procureur de la République à Vienne.
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tique, etc., restent à peu prés à leurs cours secours de ces. deux grandes Associations de d'hier. La De Bèërs est un peu plus faible^ là presse. les Mines d'or aussi. Lé Boursier. Jeudi, à deux heures, a lieu, au Trocadèroj une matinée que nous avons déjà annoncée,, INFORMATIONS FINANCIÈRES au profit de la, reconstruction de l'église d'à Situation au VilTers^le-Lac (ÏJoubs), avec le concours d'axÛomploir national d'escompte.
Caisse. Portefeuille. Reports.
30
'tistes de Paris.
avril, principales'variations:
Titrés. Avances. Comptes cour" débit™.
Participât, financières Débiteurs par acceptât. Comptes de chèques et comptes d'escomptes Comptes cour. créait.
+
Le nonce du Pape, trois prélats, tout la 25.292.321 clergé de Paris y assistèrent. Au programme
ïiï.
5.208.298 Mme Sarah Bernhardt, É.. Ch;-M. Widor, 3.620.628 Diémer, Mlle Marie Délna, Mlle Reiehenbergr, 417.936 Mme de Nubvîna, Mme Réjane, Mlle du Minil, 48.296.442– 8.237.893 M. Mounet-Sùlly, il. Coquelin cadet, Mlle Kàlb, 9.833.496 + 602.859 M. Truffier, M. Paul Mounet, M. Davrigny, Mil» 416.602 Lalsne, M. Dubnllé, M. Clément, M. Mondaùd, 47.955.372 Mlle Favier, M. Paul Pugère, M. Delsart et douze 15.134.684 violoncellistes, M. Maignien et çiuatorze. harpis+ 140.237.687 + 27.079.084 tes, M. Marsick, Mllg Fulcran, pianiste; M. 6au·
COURRIER DES THÉÂTRES
bert, M. Mangin et M. Marietti.
Mme Sarah Bernhardt, qui, ce jour-là, paraîtra sur trois scènes différentes, dira Ufi Evangile, de M. Coppée, avec musique de M.
Thomé, exécutée par l'auteur sur le grand orgue. A ce propos, Mme Sarah Bernhardt nous la Comédie-Française, à 8 h. 1/2, première écrit le billet suivant qui montre qu'elle sHnreprésentation de Cëlimare le bien-aimé, teresse à cétté tieuVre MM. Çoquelin cadet Verriouillet Ami, le nonce du Pape et les prêtres ëontj Célimaee De Fééaudy cela, se comprend, un peu novices dans l'art de Leloir Bocardon réclame. la Georges Berr Pitois On donne au Trjicàdéro une matinée en faveur Colomcbt Pierre Ltagier d'une oeuvre intéressante. Soyez assez aimable Ëinrnçi Mines Muller quelques mots et le programme du mettre pour Madame 'Golbmbdt Fayollô enfin spectacle, une de ces phrases qui engagent Lynnès Adeline le public à venir. Un tapissier M. Laty Votre amie, Sarah Bernhardt. Demain jeudi 26 et mardi 31, représentation hors série pour les abonnée. Mlle Maguèra donnera ce soir, 25 mai, au Théâtre mondain, son 2e spectacle du théâtre Samedi 28, 2B représentation.
d'auditions qui continuera pendant dix jours. A i'Opérà-Cornique, reprise de Sapho, Pour Au programme En révolte, trois actes, de M. C. Epheyre., Le Cas de M. Benoit, un les débuts dê Mlle Geotgette Leblanc. acte, de M. R. Blain des Cormiers. Reprises Flëur-dè-Lys, Judith, la Nomination. Târàscôn. Le Rhôhè 'est à Aujourd'hui mercredi, à deux heures, au deInterprètes Le Jura et le pays nisiennes », par Paul Lapié Mmes Maguêra Field, Noèl, persiste. théâtre Antoine, lé Cercle des Escholiërs franc-comtois », par M. G. Fraipont «.Moines et 4mètres 50. La crue donnera là répétition générale de la Confi- France, Léliane. MM. R. Lagrangè.Bruniêre, ascètes indiens par le marquis de La MazelBourbokl ta Btàtike Bérenger, Garot, Sçhsellër, FauSe dente, pièce en trois actes de M. André Gàûdrille, lière « Golo », par M. Pol Neveux. André Armand, Moncourtoisi Daunou-f chois, âmes >>, par Ch. Foley; « la Belle ~»*~«~» Pau.– Le Comité parisien, présidé Picard. a Jolies che. d'août n, par Auguste Marin; << Brïgàhdès », par par M. le général du Baralj., a consulté la M. André Godard; « Orgueil vaincu », par Mme la municipalité de Pau sur remplacement lé Jules Huret. Hier à 4 heures, le Comité de survéillance Mary Floràn Devant le bonheur », par '4. Jean plus favorable à l'érection dU monument du théâtre du Gymnase s'est réuni dans le Thorel; »Les justes noces t',par M. André Maure!; Boufbaki. cabinet dé M. Porél, directeur. SPECTACLES^ CONCERTS par Le M. Riche Daniel d'amour' charmé Lé Pbrèl dés fait M. messieurs à part à « là visité ces qui Mme la générale, Bourbàki> a beau Fernand », par" Mme de Bovet; « Breiz-Brequ'il avait en vue pour la saison proplaisir la verrait Imville, statue Quellien avec se dresser pièces tagne, poésies bretonnes »,pàrN. « dès engagements nouveaux qu'il préà la place Duplàn, très élégante, très fleuris chaine, pression d'un hospitalier, Guerre et Commune. A LA BObÏNÎÈRE. Lés Chansons de lit ^organisation parait, administrative dé nouM. Livre d'or de Gallét; le distance de la caserne. Louis par de à peu située et par « dïe. Sous ce titre, net et précis, Félicia Mallet Gaston Armèlin; « Les grands dévouements (1870La municipalité de Pau s'est volontiers in- velle dont il ferait part lé 24 juin à l'assem- imagina de réunir quelques poésies de MM1871) >n par MM. Emile Riehêbourg et Louis Co- clinée devant le vœu. de Mmë Bonrbaki, et blée générale, en un mot de la situation las la Légion étrangère », par M. Roger de c'est probablementsur cette place, aménagée excellente du Gymnase, dont il consërve la Xavier Privât, Mànoél de Gtanfort, Fleurigny, Beauvoir. direction, ainsi que nous l'avons toujours René Maizéroy, mises en musique par MM. glole bronze du s'élèvera nouveau, que à (2,000 fr.), été parLe PRIX Sobeiér-ArKôùld Gaston Lemaire et Sureau-Bellet, pour en a entendre. également entre les ouvragés suivants rieux enfant de notre ville. Ce choix sera laissé tagé donner l'audition à la Bodinière. L'idée était Ces messieurs se sont montrés enchantés Bossuet, Adolphe Monod », paï Paul Stapfër; évidemment ratifié par lé Comité de Paris. « excellente le choix des paroliers et des mudès confidences de leur directeur, l'ont félipar M. Le Goffic. Argus. « Sur la côte et cité et l'ont assuré de leur cordial et entier siciens aussi l'autorité très grande de l'inPRIX Fuetado-Heine (1,000 fr.), « Autour de terprète en assuraient le succès. Félicia Malconcours. Honoré de Balzac, Un roman d'aventuré par' le vicomte de Spôélberch de Lovënjoul. Le Gymnase va donc fermer ses portes le let, cependant, ne se déclara pas satisfaite fr.), à 1,000 fr., (3,000 PRIX JuTEAU-DuviGNËAU 31 courant pour rouvrir le 20 septembre avec par une coquetterie d'artiste, soucieuse de chacun dès ouvrages suivants « Aux pays du 70e représentation de la pièce de M. Jules parachever son œuvre, elle voulut encore Christ », par M. l'abbé Landrieux; « Le rachat ENTS et DeNïiërs sans crochets, ressorts et la l'Aînée, dont le succès ne s'est pas s'adjoindre un conférencier pour la présenter d'une âme par M. Louis Enault. 500 fr. a plaque. Adlèr, seul inventeur, 16, âv.Opéra: Lèniaitrei démenti. au public. Et, sans hésiter, elle demanda et chacun des deux ouvragés suivants « L'Irlande obtint de M. Henry Fouquier qu'il vînt pré faau" dix-neuvième siècle O'Connel », par M. G. /Cheveux clairsemés, épaissis, allongés par cier ses Chansons de la vie. de La Paye « Inventaire de ma chambre par U 1" Extrait capillairedès Bénédictinsdu Mb nt théâtre Vaudeville, qui fait du Quant au Certaine alors d'avoir partie gagnée, Félicia Mlle Marie O'Kèn»edy. rétarde décoet arrêté la Majetta la chute qui maximum Mme lé Zaza et les soir fous avec Mâllèt s'en fut chez Bôfinier retenir le mardi PRIX Fabien (1,300 fr.), 1,000 fr. sont accordés mandat, 6 fr. 85. Réjane, il Franco loration. fr. le flacon. CrintihopoliB b le 30 juin Paul fermera pour que suivant ne à l'ouvrage par et le vendredi de chaque semaine, pour y don« 4-Septembre. 35, r.du administrateur, E.Senet, Présuivant la même afflà l'ouvrage le 20 septembre Mimande, et 300 fr. rouvrir avec et nér lets auditions projetées. voyance générale à l'école et dans la famille », Ridés, Cicatrice, Tache, Points noirs, Petite che. Dès le premier jour, le succès s'affirma Paul M. Vaudeville par et du Gymnase énorme, ce qui n'est pas pour surprendre, Le directeur du Vérole La Méthode Bëautygèneles efface à Enfin, après lecture du rapport sur le CONCOURS pas son Il entend temps. perd presque étant donnée la valeur personnelle des deux fr. jamais. Résul.merv*.Ph'°Rezall)71ir.Provenee ne COURCEL,l'Académie a accordé un prix de là lecture d'une nouvelle, piéce chaque soir collàborateurs. Après la seconde audition, qui à l'ouvrage intitulé «La Gaule mérovingienne », l'on peut après-midi des auditions à faire de bon et consacre ses ne IL est reconnu que avait lieu hier, et dont l'effet fut plus grand par Maurice Prou. qu'une dés partie d'artistes. quinquina vin de sans encore, les Chansons de la vié sont d'ores et L'Alliance française. Le Comité de l'AIEt signalons d'abord, de acquisition aujourd'hui une actifs déposent; principes avec liancè française du seizième arrondissement; 16s apéritifs vendus sous le nom de Vin dé premier choix, celle de M-. Lucien Guitry, de déjà, assurées d'une longue et fructueusesérie. C'est le cas, ou jànîais de répéter la phrase donnera, le samedi 4 juin, à huit heures et Quinquina, quinquina prend les deux de q,ui.entre.dans Renaissance, la très peu on consacréè: l'éloge de Félicia Mallet n'est plus demie du soir, dans la grande salle des fêtes et beaucoup de gentiane. Il a donc tout in- théâtres pour deux .années, à partir du oc- à faire. Tout le monde, en effets, connàît lâ y de la mairie, 71, avenue Henri-Martin, sous térêt remplacer public vin de tobre le à ce pour sincère et vibrante artiste dont la voix tantôt la présidence de M. Casimir-Perier, Une grande quinquina,qui de garantie, par une capital celui n'off re Ajoutons cet-engagement à pas brutale, captive ôü boulefête d'escrime avec intermèdes artistiques, au petite Capsulé de quinine de Pelletier, qui de Mlle Thomassin, qui. eu obtenu les plus caressante, tantôt Mais verse tour à tour. tout le monde voudra profit de ses écoles dans nos colonies. devin de quinquina; grands succès au théâtre. Michel, de Saint- l'entendre grand représente Amour un verre encore dans les RésiOn peut se procurer des cartes à la mairie. de MueArchaimbault, del'O- gnés, Rêves défunts^ Hantise, viril, nouvelles Pétershourg; ces DE rousseur, hâle, rides s'en iront, déon, et de M. Baron fils,, sorti du Conser- chansons Musée du Luxembourg. M. CharlesHayem ACHEB répliquer; talent transforme en de leur son si que signez leur vatoire avec un premier prix.de comédie, qui vous vient de faire don au musée du Luxembourg congé véritables d'une scènes vécues, très grande NINON était entré à l'Odéon..et .qui, après un court d'une collection d'œuyres dues à nos artiste de la avec la VERITABLE EAU DE C'est de l'art, pur, dans la plus rue du 4-7bre.. passage aux Folies-Dramatiques faisait impression. la. complète et plus large acception du mot. partie de la troupe. -de l'Athénée-Comique Citons notamment le Calvaire, de Gustave La causerie de M. Henry Fouquier vient depuis Moreau, et trois aquarelles du même peintre: encore l'intérêt de l'audition. Pour doubler oB Enfin, MM. Lérand., Numès, Grand, Gau- commenter les Chansons de la vie, l'Apparition, Œdipe et le Sphinx, lé jeune ne pouthier, GildèSi Mmes.Daynes-Grassot, Carlix, vait mieux choisir que cet analysteonsubtil homme et la mort. qui oo.ijveavix engagements avec connaît si bien la vie nul mieux dé ontsigné etc., n'était lui qu'en Exposition de 1900. â annoncé que M. capable dé raconter ses angoissès et ses joies^ l'absence de M. Cridler, rentré à Washington et personne he l'aurait fait dans une langue depuis lé 8 avril, le commissariat général de là heures, dépêche dont du petit Ùîi M. du B. partie de deux remplacer Pour de la per- aussi élégante. Le coup une section des Etats-Unis à l'Exposition de constaté la résurrection» sonnel qui le quitte ou qu'il n'a pas 1 intention était géré par M. Hamburger. Ce dernier est j'ai dernièrementtantôt et tantôt là. G'est de réengager, M. Pore) donnera la semaine retourné à New*- York, et le commissariat n'a continue à sévir, un ici Aujourd'hui:, auditions lesquelles cours début les bon pour prochaine des qu'après à lui on Chaillé* grâce d'être colonel le géré cessé pâs par AU NOUveau-Cirque, matiïï§eà21i 1/3. dé la plupart des valeurs étrangères ont pris peut se faire inscrire dès maintenant à la réLong. A là Bodiniérè, à heures Conférence des petits airs penchés. Des ordres de vente gie du théâtre du Gymnase et dû théâtre du M. ouverte* diplomatique le Hier été par marquis de BarrâlExposition G. Béthune. a de Londres, où les chemins amé- Vaudeville. sont venus Montferrat sur Sün Excellence le Protocole»; à la salle Georges Petit, un^ exposition d'oêu^ ricains avaient assez sensiblement fléchi, sur A 4 h. 1/2 Sixième représentation de la vres du regretté aquarelliste Gaston Béthune. 16 bruit d'un échec subi par la flotte des du théâtre du mixtes abonnements Les Cette exposition, qui ne durera que jusqu'au Etats-Unis. On donnait même des détails Vaudeville et du théâtre du Gymnase, qui Revanche de Gçblatée, un acte eh vers, en musique tellement éton- cette année ont obtenu tant dé succès., seront trois tableaux, de M. Paul Férf 1er; 5 juin, est des plus variées et contient notam- d'une précision étonnante, Mily jouée par Ed. Diet, Mmés de M. étudék. Meyer curieuses ment de tiès nante qu'on a fini par être convaincu qu'il continués aux deux théâtres par M. Porel et et Màfy Thèry. Eh ce moment n'y avait pas un mot de vrai dans cette liis- aux mêmes conditions, la saison prochaine. L'Art français à l'étranger. Gollerj, toire, pour le moment dû moins et que Un grand nombre d'abonnés ayant écrit à a lieu à Londres, à là Continental Pîris-Fumîniste sera joué demain jeudi, dépêche pouvait être de l'oeuvre importante la fameuse l'éclosion de très exposition l'administration pour retenir dés maintenant 4 h. 1/2, à la Bodinière. Cette très originale Une d'Eugène Carrière. attribuée surtout à cette circonstance que leurs places avant leur départ pour la cam- revue vaut un gros succès ,à ses interprètes, Quelques-unes des plus belles pages de l'ê- Londrès liquide, très facilement d'ailleurs. pagne, le directeur du Vaudeville nous prie Lise Bèrty et F. Depas, qui sont recherchés En sorte qu'on s'est un peu relevé vers la de faire savoir au public que, pendant tout par lès salons les plus aristocratiques. minent peintre figurent à cette exposition qui l'Extérieure espagnole, le mois de juin, on pourra se faire inscrire a produit sur le public artistique anglais la fin, sauf, toutefois, qui reste en perte de plus d'un point à 1/2. au bureau de location du théâtre du Vàudeplus profonde impr ession. Aujourd'huimercredi, à 4 heures,au théâtre Elle a été la première à subir lés effets de la desGapucines, les Ailleursgais. Conférencede fameuse dépêche. il peut paraître singulier LARYNGITE CHRONIQUE Georges Courtélihe, avec lecture par le Ratcliff, jolie Mlle Anne ait baissé au moment ar- M. une jeune et que la rente espagnolesuccès conférencier de Pages de la. Monnier, J. Moide l'amiral Cer- tiste qui passa un an au Gymnase à sa sortie où l'on parlait d'un Ch. Monselèt, Banville, J. Renard. etc. Cela n'est pas, pourtant, si illogique du Conservatoire, et qui depuis quatre ans nàiix, Lés personnes atteintes de laryngitè vera. Suzanne Betthy et M. Paul Franck, dé semble au premier aspect. Les boursiers tenait avec succès l'emploi dés jeunes pre- Mllé qu'il chronique, ou accidentelle, de rhume partent de ce principe que des succès espa- mières au théâtre impérial Midhél de Saint- l'Qdêon, joueront la Peur des coups. On peut retenir ses places par le téléphoné négligé ou de catarrhe, celles qui à la gnols peuvent éterniser la guerre, tandis que Pétersbourg, est dé retour à Paris, ramenée suite d'un mauvais hiver conservent des Victoires américaines la termineraient par le climat qu'elle ne pouvait plus sup- n<> 156-40. quelques phénomènes de suffocation, promptëmênt. Il va sans dire que je donne porter. Demain jeudi, trois heures, aux Gapu* vaut, et sans en d'oppression,d'étouffement enfin, et sur- cette opinion pour ce qu'elle fois Kean au que deux plus jouera On ne la responsabilité. cines, première séance de les Estampes (de tout les asthmatiques feront bien de se prendre aucunement République. de la théâtre 1 objet d'un été Grammo'nt et Leroux). Conférence de M. Une autre valeur encore a représentation du Roi première soigner et de se guérir en fumant les recul Vendredi, George Vanor, audition de Mlle Mariette Sully, vif. C'est le Rio Tinto, qui perd et tableaux. huit en cinq actes pièce Cigarettes Américaines (exemptes de 12 50 assez de Rome, parlé de à 655 50, après 670 on a nouJeudi, à 1 h. 1/2, répétition générale pour narcotique), que M. Leroy, pharmacien, veau d'un les exportations possible sur impôt Un des concerts les plus intéressants de la presse. vend Tacherie, Paris, trois la cette fin dé saison sera à coup sûr celui que g, rue de des minerais espagnoles. inspirations Quelques 2 0/0 cén* francs la boîte. Tous comptes faits, le 3 gagne Le théâtre de la Gaîté ne pouvant inter- Mme Cerneau, la brillante cantatrice, don> perd 5 centimes rompre ses représentation et, d'autre part, nera, comme chaque année, à la salle Erard, 90. Le amènent une sensation agréable de fraî- times â le Perpétuel monte la: saison étant très avancée, la fête annon- samedi prochain 28 mai. 17. Au comptant, cheur dans la bouche, dilatent les voies à 106 perd le cée pour la restauration du clocher de Cornue- Mme Rosé "Càroh doit y Prendre une grande lOcëntimes, ce exactement que respiratoires et atténuent rapidement dé nos rien- ville.sur-Risle (Eure), pays de la légende des part, et aussi Diémer, Boucherit, Mme Faut 3 1/2 0/0. Elle est ailleurs que sur leur inflammation. tes, l'attention du comptant. En ce moment- Clochës de Corneville, aura lieu à l'Athénée- Saunière, etc. Programme très intéressant et succès as* ci, elle va dé préférence aux obligations à Comique le'11 juin prochain, à 8 h. 1/2 du Crédit foncier celles du de lots, qu'il s'agisse soir. La location est ouverte dés aujourd'hui suré. Parmi Paris. de Ville de la celles ces de ou à PAthénéé-Comiquè on peut aussi se protoujours du nouveau, saisir au 1886, l'Obligation de dernières, je distingue de la Revue inter· volTrouver siège billets des curer au l'actualité, la tourner en des couplets qui a repris le cours de 405 francs. Le public nationale de musique, 3, rue Vignon. pleins de verve malicieuse et fine, mettre en7 comprend l'intérêt qu'il y à pour lui à posséces amusants rondeaux dans la bouché )Le <rëptttë dé Satnt-Malo der un titré qui, en trois mois et quelques L'Aihênèe-Comiquédevant faire sa clôture suite M. Robert Suréôuf, jours, participera à deux tirages, détachera annuelle à la fin du mois, l'Amour mouillé de jolies femmes, puis les enrégimenter sous Saint-Malô. ~«>~ la baguette d'une commèreséduisante comme le nouveau député de Saint-Malo, appartient Un coupon de 6 francs et aura enfin un droit n'aura plus que quelques représentations. semble être l'idéal de la revue. N'a-t-ôn à la souscription des obligajolie salle de la rue Boudfeau fera sa Lidia;réuni tout La par sa famille à l'aristocratie de Bretagne. Il de préférence cela à la Scala? Là, en effet, 1898, lesquelles seront réouverture le 15 septembre avec üuè opé- pas fait partie dé cette phalange des jeunes, qui a tions de 500 fr. 2 la revue est d'un bout à l'autrela charmante, francs au-des- rette franchement adopté la République et qui émises â 435 francs, soit et les femmes y sont jolies. A Scala, c'est de leur taux de remboursement. Sauf forme la réserve sociale dont la France aura sous l'emprunt Là mâtinée extraordinaire qui sera donnée du reste une tradition; aujourd'hui comme jamais la Ville n'a offert peut-être besoin demain.' pour 'Vendredi prochain, à une heure, au théâtre toujours le bataillon de ces mignonnes artisampleur. Le nouveau député a vingt-neuf ans. Il est une marge bénéficiaire de àcette tistes est aU grand complet et les artistes de 1 L'Italien passe de 92 40 92 30, après 92 20 deTOdéon, au profit dés caisses de secours licencié en droit et lieutenant dé réserve de ordre qui les conduisent recueillent gagne 25 cen- des Associations des journalistesrépublicains premiersoir russe cavalerie, attaché à l'état-major du 106 corps et 92 50. Le 3 les applaudissements du publié. Turc C à 24 92 après 25, lit dés journalistes parisiens, réunira tous les chaque d'armée. C'est un grand jeune homme blond, times a 95 65. Sur lé A la Banque ottomane à 545 artistes éminents des scènes parisiennes. fort distingué, auquel ses concurrents repro- le Turc à C'est, ainsi que nous l'avons annoncé, ce Mmes Sarah Bernhardt, Baretta, chaient son dandysme et ses goûts de sport après 547, l'Argentin 40/0 à 56 7/8, etc., les côté de Bréval, Marie Laurent, Réjanê, soir mercredi que la belle Otero débute à différences sont absolument insignifiantes. Bartet, et de chasse. Hading, Segond-Weber, l'Alcazar d'été. Dés hier matin, loges et fauMais les électeurs ont tenu à nommer un Quelques réalisations inévitables, après là Jeanne Granier,Jane Claudia, teuils étaient disputés au bureau de location, reprise formidable de ces jours derniers, ont Daynes-Grassot, Marguerite Caron, homme de chez eux. Cette représentation, au cours de laquelle Carlix, Lender, etc., se feront entendre MM. Grand propriétaire foncier, M. Robert Sur" surgi sur le marché des rentes brésiliennes Coquelin dôit débuter également la divettë Paulette le 5 O/O Mounèt'Sully, Worms, les trois couf– « Monsieur Robert », comme l'appellent mais elles n'ont alourdi que de 15, en nouvelle MM. Coquelin aîné, Coquelin cadet, JeanCo- Dàrty, s'annonce comme des plus brillantes. les paysans– eèt en rapports constantsavec les à 58 3/16. Lé 4 0/0 fait 51 La Minas Geraeé quelin, MM. Noté, Noblet, Cooper, Huguenet, avance. électeurs qui l'ont envoyé à la Chambre. Le *>- quoique légère Dùmëny, Mayer, Corna glia. Rameau, La1/2. Depuis hier soir, Mlle Marguerite Devàl a château du Haut-Mêsnii est au milieu de la gagne encore 1/2 point Reiggêrs, les virtuoses Fran- cessé ses représentations au Tréteau de TaFermeté absolue des sociétés de crédit, mais grange, Nertal, Raûul deuxième circonscriptionde Saiût-Malo, et lés pugno, et le joyeux B&rim sont nulles. Pour les cinq ou cis Thomé et malheureux de la contrée savent que les tra- les fluctuationssociétés^ la Banque de Paras chansonnier ditions de charité et de bienfaisance se sont six principales Le succès qu'obtient SevèrUs Sheffer,- à Au programme déjà publié comprenant la le Crédit foncier à 665, le Crédit lyoncontinuées depuis Mme la comtesse Surcoût à Pardon, l'Olympia, a décidé les frères Isola à prOlôh-1 là Société générale à 530, la Gïand'merè, le Mariage forcé, le première de Redon de Saint-Aubin dans cette élégante nais à gef son engagement pour une série de repréBagdad, la Banque internationale à 557, savez-vous Zazà, la Princesse de tailleur, demeuré. d'Alfred Ca- sentations. de Mon Le jeune député de Saint-Maloest un labo- combien il y de variations sur hier Une représentation Avec les O'Brién, les six Dayton's, les Ro. puS, il faut encore ajouter le ballet Psyché, rieux, il porté un nom qui obligé et, cérteât seule Et elle est de vingt êous Mlles Cleo deMérode et J. Ré- bert's et Barbe-Bleue, le joli ballet de Charles gâint-Malô est bien représenté. Les chemins de fer ne sont pas beaucoup que danseront gnier. Il n'y a donc pas lieu de s'étonner si Lecocq .dans lequel triomphent tpujours plus agités; 3 fr. de plus*value sur le Midi la location de cette brillante représentation à une mqins-yaluè de même impor- affichée seulement depuis quarante-huit heu- est des plus attractifs. un orage tance sur l'Orléans 1,865, et c'est tout. ,.«-–• MirScourt. Cette nuit)abattu trois quarts faité! sur Le Suex perd 7 fr. à 3,533, est les Message- res1\1.estleaux Pour une nuit d'amour, la pièce tirée par d'une violence extraordinaire s'est fait Président République riela de les tt. a 8 712. ries 7nariUmes Neufà Mirecourt et la région comprise entre Mme Jane de La Vaudère de la nouvelle Voitures, la Cuéénier, les Chaussures fran- tenir son avant-scène, heureux de contribuer Zçîa obtient tous les soirs au GrandCaisse de^ jeersonàellemantan. çaises^len Lits Lundi 30,
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représentation.
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Quelle que soit la Dubnicz, Franco Russe, Pour FHônneur, on peut constater que les séances du Noteur, Pétrin et Lascazères. Aux tribunes, cause, Cinématographe Lumière du boulevard des Pour l'Honneur se rapprochait. En face, Capucines, 14, sont de plus en plus suivies. Marceau III et Pont Neuf étaient rejoints par Les salons indiens sont le rendez-vous du Pour l'Honneur, Dubnïcz et Noteur, les autres monde sélect, toujours curieux de voir les étaient battus. Pour l'Honneur se détachait à nouveaux tableaux de ce prodigieux appareil. l'entrée de la ligne droite pour l'emporter de Les Coursés de- taureaux, les Alpins tou- quatre longueurs sur Dubnicz. Noteur enlejours redemandés –ont été maintenus au vait la troisième place à Franco Russe. Pari mutuel à 10 fr. 17 fr. Placés Pour programme. l'Honneur, 11 fr. 50, Dubnicz, 15 fr.; NoMontégrin, le cheval sauteur présenté en teur, 19 fr. liberté; au cirque Médrano, par Mlle ,Spam- Le Prix de la Corrèze, 5,000 fr.; 3,600 m., pani, et Milton, la jument que chevauche si a été pour Paco (2/1), à M. J. Boussod (Boon), hardiment l'intrépide écuyère, sont en passe battant Maugiron, à M. Alb. Menier (West), de devenir ausssi célèbres que Gardefeu, le et: Catherine, au duc Marino Torlonia (F. vainqueur du Derby. Morris). Des barrières de 2 m. 20 de hauteur sont Catherine,, Echaudé, Maugiron et Paco gafranchies aisément aux applaudissementsen- lopaient dans cet ordre jusqu'au deuxième thousiastes du public qui constate ainsi qu'au saut de la rivière où Paco rejoignait Echaudé. .cirque Médrano on ne connaît pas d'obsta- En face, Echaudé était battu. Paco dépassait cles. au succès. Catherine au bull finch pour l'emporter de A. Mercklein. six longueurs sur Maugiron, qui enlevait la deuxième place à Catherine d'une longueur PETITES NOUVELLES et demie. Pari mutuel à 10 fr.: 30 fr. 50. Placés: Paco, Ce soir mercredi, et demain jeudi, relâche à Trianon pour répétitions générales de la revue 15 fr.; Maugiron, 15 fr. d'été, dont la première représentationaura lieu Le Prix du Gers, 4,000 fr., 2,800 m., a été vendredi, dans'le jardin couvert. Ardent II (5/1), au baron Finot (Brooks), Cette revue, intitulée Allons-y en deux actes pour Cléon, à M. Ed. Archdéacon (A. Clay), et sept tableaux, est; de M. A. Cellarius et M. battant Jaspe, à M. Lévy (Hughes). Millot, musique arrangée par Lurt. Les costumes et Longueval a mené devant Rouge Dain, ont été confies à Landolf, les décors à Chaperon Cléon, Méne^sier. Ardent II, Sinha, Jaspe, Banderilla et et le Mme Duverny, commère jouée La Le Bigourdan qui n'a jamais suivi. Aux trisera par compère par M. Hurteaux, et' les principaux bunes, Rouge Daim, Banderilla étaient batrôles par M. Vaunel, Mme Violette et toute la tus. Sinha et Jaspe se rapprochaientde Cléon. troupe. ,Le ballon captif mis gratuitement à la dis- Longueval.était battu au château; Cléon et position des visiteurs du Jardin d'acclimatation Jaspe entraient ensemble dans la ligne droite fait courir tout Paris. Dans la seule journée de jusqu'après la dernière haie où Cléon prenait dimanche, plus, de vingt mille personnes ont pris, l'avantage. Ardent II venait dans un rush et aux guichets de l'enceinte réservée, des tickets l'emportait d'une longueur sur Cléon. Jaspe, 'donnant droit aux tirages, et les ascensions, troisième à trois quarts de longueur. commencées dès 9 heures du matin, n'ont cessé Pari mutuel à 10 fr. 78 fr. Placés Arqu'à 6 heures, en raison de la violence du vent. dent II, 34 fr. 50; Cléon, 51 fr.; Jaspe, 33 fr. Ce magnifique ballon sort des ateliers de l'inLe Prix du Limousin, 4,000 fr., 3,400 m., génieur H. Lachambre, cube plus de 3,000 mètres çt présente tous les perfectionnements apportés a été pour Faublas (5/2), à M. G. Champouilau ballon qui, a emporté l'expédition Andrée au lon (F. Morris), et Niémen, à M. E. Cunningham (Alb. Johnson), dead-heat, battant Lhéris, à M. E. Sortais (Basden). Regulus, Sélène et Bajardo partaient devant Niémen, Cythère, Faublas et Lhéris. Avant la rivière, Sélène menait devant Bajardo, Faublas, Régulus, Niémen, Cythére et Lhéris. En face, Faublas avait une longueur sur Sélène, Bajardo et Niémen en, peloton. LE TURF, Entre les tournants, Niémen se rapprochait et venait sauter la dernière haie avec FauCOURSES A SAINT-OUEN blas. Niémen venait l'attaquer et, après C&tte" réunion m'a plu beaucoup et elle n'a lutte, faisait dead-heat. Lhéris, troisième à pas Dlu qu'à moi; il y avait beaucoup de deux longueurs. ^monoé. Tout le monde a trouvé que les Pari mutuel à 10 fr. Faublas, 17 fr. 50 courses présentaient de l'intérêt, notamment Niémen, 29 fr. 50. Placés Faublas, 20 fr.. celle d'Ardent II qui est parti à dans le Niémen, 26 fr. 50. prix du Gers, qu'il a gagné très facilement. On ne s'imagine pas combien à certains moCOURSES A BPSOM miens le ring se fait une opinion bizarre. la d'Ardent II, contester chance Mercredi mai A mon avis, dans le prix'du Gers, c'était douter de celle DERBY (150,000 francs, 2,400 mètres) -qu'il a dans le Grand Steeple-Chase de di-
manche. Mais voilà, on disait Ardent II sur les Il vient modestement prendre un .haies galop, et autres fadaises! Ardent II a pris mais un galop qui lui a rapporté un galop, 4,000 francs de plus que s'il l'avait pris chez pon entraîneur et il- ne l'eût pas pris dans des conditions plus favorables. Ce galop-là n'est pas fait pour diminuer sa faveur dans le Grand Steeple-Chase où sa présence, celle de Marise et celle de Count Schomberg ne laissent pas beaucoup d'espoir aux autres concurrentsqui auraient la témérité de se présenter. A propos do Count Sehomberg, on racontait qu'il y avait dans l'air une- réclamation 'Contre lui. On racontait qu'au moment où son propriétaire l'avait engagé il n'en était plus propriétaire que de nom, ayant des créanciers et le cheval étant leur gage. Le cheval
aurait donc dû être engagé
Feuilleton du FIGARO du 25 Mai 1898
QUATRIÈME PARTIE
MALOÎttBRA
Archduke
M. Cannon
Morton
J. Watts S. Loates F. Pratt
Dunlop
Finlay
Heir Male
N. Robinson
Madden Bradford Colling Rickaby Black C. Loates
Perthshire Schonberg
Fagan
Cherry The
Virginian.
Allsopp
T. Loates
COTE DES PARIS A LONDRES
(Par dépêche)
Disraeli 5/1 Dieudonné 8/1 Archduke II 9/1 Batt
100/7 Perthshire 20/1 Heir Male
Wantage, Hawfinch, The Virginian
UX ERSONNES
vieux de V
ILI
LLbd
SÉRÉNITÉ
Voici l'agave que je vpulais vous faire voir, dit don Innocento à Steinegge. ,11 est beau, n'est-ce pas? La plante s'élevait, fière et triste, au milieu d'un grand rocher couronné d'arbustes maigres qui se tordaient sous le vent léger. Des touffes de ronces, des franges de lierre masquaient les crevasses. Don Innocento avait fait placer là un banc rustique et venait souvent lire ou rêver devant ce paysage sévère. Cet agave a je ne sais quoi de méridional, vous ne trouvez pas? Je viens souvent ici: Steinegge donna un grand coup de
bâton par terre.. Ai-je, été, aveugle! ,.Quel
assez stu-
Ne m'êpide! N'avoir pas compris! Croyez-vous qu'elle
tre aperçu de rien l'aimait beaucoup ? Mais,non, mais non, pas beaudit don Innocento mortifié du coup. peu d'attention de Steinegge. Calmezvous Ne me faites pas regretter de vous avoir raconté. Je ne voulais pas à que vous demandiez des explications M. Silla Mlle Edith sur les propos de eela l'aurait trop peinée. Du reste, c'est mieux comme cela! Vous avez vu quel homme était ce M. Silla ? Quel homme c'était?. Que voulezvous je l'aimais tant! Je ne peux encore le juger comme vous.
tard.. Pour les levriers
eux?. Pas contre entendu! Je suis
Quoi donc ? Venez, venez
Asseyez- vous
Don:Innocento ne savait par où commencer, il serrait convulsivement ses mains l'une contre l'autre. Enfin, il se
hasarda à dire: Vous ne vous êtes jamais aperçu que votre fille eût quelque préoccupation cachée? Steinegge tressaillit. ] D'argent? Non, non. Une angoisse contracta le visage du pauvre homme. De santé? :Non, non. Imaginez-vous que je ne suis pas un prêtre. Que je suis un ami. un vieil ami, et écoutez-moi, voulez-vous?
Steinegge, tout pâle, lui serra la main et lui fit oui de la tête, sans pouvoir arti-
culer une parole. A la bonne heure 1 Je sais que vous avez beaucoup souffert dans la vie. Vous avez été' persécuté, calomnié surtout, par des personnes qui portaient cet habit, n'est-il pas vrai ? Mais oui. mais oui. Avouez-le franchement. Vous croyez que je n'en connais pas, moi, des coquins de prêtres? Donc, vous avez conçu
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cela.
Steinegge fit un geste de'protestation. Mais quand je vous ai vu inquiet tout à l'heure, j'ai été tout remué, tout bouleversé! J'ai pensé qu'un tel sacrifice ne devait pas rester caché. J'ajoute que jamais je ne l'aurais conseillé à votre fille et que j'ai une profonde vénération pour elle. Steinegge planta son chapeau sur la nuque et serra nerveusement les poings; puis il s'appuya les coudes sur les genoux et se cacha la figure dans les mains. J'avais compris. murmura-t-il, le premier soir. mais depuis. je croyais
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? dit-il affectueusement. Je croyais l'avoir contentée, réplimoi, non! c'est une exception. Mais vous avez méprisé qua l'autre sans se découvrir le visage.à une chose infiniment supérieure à ces' Maintenant je prie avec elle. je vais misérables prêtres la Parole divine l'église. j'ai pardonné à tous. Je dont ils doivent être les gardiens et les croyais que c'était suffisant! ministres. Laissez-moi donc vous ex- Le curé fut au moment de se jeter à
pliquer, vous parlerez ensuite! Je crois qu'après l'arrivée de votre fille vous avez fait amende honorable. Vous vous êtes efforcé de vous rapprocher de Dieu. Entre nous, vous n'êtes pas un catholique, à peine un chrétien Or, Mlle Edith croit- et elle doit croire que si vous ne vous soumettez pas de cœur et de fait aux lois de l'Eglise, vous serez séparé d'elle dans la vie éternelle. Voilà son douloureux secret. Tout son cœur, toutes ses pensées tendent à votre conversion. Elle ne vit que pour cela. Je suis certain qu'elle s'offre en sacrifice ellemême pour obtenir cette grâce du Seigneur. Ah vous pouvez être fier d'être aimé comme cela! Elle veut que vos deux âmes vivent tout près l'une de l'autre, dans une parfaite communion intime, afin que, très doucement, la foi vous pénètre tout entier. Voilà, mon ami. Je n'aurais peut-être pas dû vous dire
diminuent en raison de l'itn* portanCe des ordres.
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duisant au banc rustique. Mettons-nous ici et cherchons quelles ont pu être les raisons du refus de votre fille. Steinegge s'arrêta, craignant quelques révélations inattendues.
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POSSÉDANT
chasser les pensées qui s'y trouvaient. Pour moi pour moi Mais, de reconnaissance, je baiserais la trace de MALOMBRA ses pas, et je lui dirais ensuite je ne comprends pas. Vous ne savez pas, monsieur le curé, que souvent j'ai des remords de garder pour moi seul le cœur d'Edith et que je me trouve un grand égoïste. J'aurais été heureux de lui voir faire ce mariage. Je .suis vieux
VI
interdite.
EYS
(Par dépêche)
par le groupe de
créanciers pour que l'engagement fût bon. Je crois $l'il y a là une farce, une simple farce, n'ont pas à connaître car les commissairestout à fait du ressort de des détails qui sont avoir peut privée. On la vie une propriété grevée d'hypothéques sans que cette pro. priété vous échappe avant la liquidation. CountSchomberg n'en est pas moins ferme à 6/4, Ardent II est à 3/1, Marise à 5/1. On a fait un assez gros pari dans le Grand Prix de Paris sur Gardefèu à 3/1. Le ciel nous a tenus sous des menaces continuelles, faisant la nuit comme au théâtre, passant du bleu foncé au tout noir avec des bruits de tonnerre. Bref, l'orage n'a éclaté eru'à la fin, quand nous nous en allions. Le Prix de la Vienne, 3,000 fr., 3,300 m., J. Ronan pour Adheaume (5/1), à M.M. a(C.étéSmith), battant Saint Cyrien, à L. Fai'der (Brooks), .et Gingko, à M. Albert Menier (West). Adheaume, Sequin et Nizam partaient devant Forest Queen, .Gingko, Fra Benedetto et Saint Cyrien. Avant les tribunes, Adheaume avait plusieurs longueurs sur Sequin, Forest Queen et Gingko, :les autres loin derrière. Sequin était battu en face, où Saint Cyrien augmentait son se rapprochait. Adheaume de six longueurs sur l'emporter avance pour
1.
II.
PARTANTS PROBABLES ET LEURS
50/1 Dunlop, Bridegroom II, The Wyvern
Comment
son cou et de lui crier « Oui, va en paix, pauvre malheureux, cœur simple et humble Cela suffit. Tu es comme un enfant que son père envoie travailler dans le monde, et qui revient sans argent, battu, blessé par ses camarades. Il frappe en pleurant à la porte, et son père ne veut ni le recueillir ni le consoler. » Mais le prêtre regarda sa soutane et se mordit les lèvres. Steinegge sauta sur ses pieds. Allons la trouver, mon ami allons-y tout de suite Je ferai tout ce qu'elle voudra Allons-y Non, non, non Elle ne veut pas de votre obéissance elle veut de votre conviction. et même, je vous conseille de ne pas lui raconter notre entretien. Puisque vous priez, mon ami, demandez à Dieu de vous éclairer et, lorsque vous sentirez votre cœur plein de la divine lumière, alors, oui. vous pourrez aller a elle et lui dire « J'ai pensé, j'ai prié et je crois. » Pas avant. Et maintenant laissez-moi redevenir prêtre et vous répéter que je suis à votre disposition; nous causerons, nous lirons, nous discuterons. Nous dirons du mal des prêtres,
si,vous voulez
Don Innocento ajouta ces paroles en souriant, car Steinegge lui paraissait
puis que ma fille est avec moi. J'arriverai à me séparer amicalement des autres en leur disant: « Taisez-vous, Edith le veut. Je ne puis pas vous chasser, mais je suis résolu à ne plus vous écouter. » Peutêtre alors s'en iront-elles toutes seules! Voyez-vous, mon ami, cela vaudra mieux que de me soumettre à vos raisonnements. Je veux tout faire pour ma fille. Je veux qu'elle garde de moi un souvenir doux, tendre. Mais il ne m'est jamais passé par l'esprit, lorsque je voyais Edith se confesser, que je serais séparé d'elle dans l'autre vie parce que je n'allais pas m'agenouiller devant un prêtre! C'est ce qui me répugne le Pourtant. si Edith le plus au monde veut. Ah! pourquoi m'avoir caché tout cela? Il leva les mains au ciel avec colère. Le premier soir, oui, cela m'avait frappé Et puis aussi le lendemain matin quand je l'ai accompagnée à la messe, dans votre église. Mais, ensuite, elle était toujours si bonne, si tendre avec moi Elle m'entretenait souvent de choses religieuses, me confiait ses pensées, ses sentiments. J'écoutais avec plaisir, comme vous, qui êtes Italien et qui voulez rester Italien, vous écouteriez Edith parler de l'Allemagne, de sa poésie, de sa musique. Quand j'ai commencé à l'accompagner à l'église, elle paraissait craindre que je ne le fissepour lui plaire. Elle ne m'a jamais demandé qu'une
incertain. Pardon, mon ami, pardon de tout mon cœur, mais nous ne lirons pas, nous ne discuterons pas. Je sens que vos raisonnements me feraient mal. A quoi bon, du reste? J'ai tant discuté, tant étudié ces choses autrefois! Je suis vieux et fatigué maintenant, j'ai la tête pleine l'avoir contentée. Don Innocento fut obligé de se pen- d'idées contraires aux vôtres, et je n'ai cher pour comprendre ces inintelligibles plus le courage de les défendre. A vrai dire, quelques-unes, sont déjàparties deparoles,
1.
chose
de pardonner. Et vous avez pardonné ?
J'ai fait tous mes efforts. J'ai oublié ceux qui m'ont fait du mal à moi.et quant aux autres sa voix se brisa dans sa gorge j'ai fait ce que j'ai pu. Don Innocento, très ému, se tut. Sa conscience lui reprochait, à lui, prêtre, de n'avoir,pas oublié certaines offenses moins graves que celles de ce pauvre Steinegge, chrétien sans le savoir, plus chrétien que lui. Le vent chantait dans les maisons et
on le voyait courir sur le velours de
l'herbe.
Beau temps fit Steinegge, luttant encore contre l'émotion. Très béau répondit le curé. Steinegge resta un instant silencieux, puis embrassa affectueusement don Innocento, en murmurant Allons trouver Edith! Soit! mais ne lui parlez pas immédiatement, attendez un peu, et montrezlui que votre résolution est bien volon-
taire.
Steinegge, pour toute réponse, prit le bras de son interlocuteur, le serra fortement et se mit en marche. Ils entendirent Marthe crier, du potager
Monsieur le curé monsieur le curé Il y a du monde dans le jardin 1 Don Innocento, surpris, pressa le pas et trouva le Conseil municipal, le prési dent de la congrégation de la Charité et le capitaine de la garde nationale. Ils étaient venus pour lui parler des obsè ques du comte, qui devaient avoir lieu le lendemain matin. Le bruit avait couru dans le village que les pauvres héritaient d'une grosse somme. Le capitaine, un ex-garibaldien barbu, était allé s'infor mer au Palais et il avait appris qu'il y avait 70,000 francs pour une crèche et 30,000 francs pour doter les jeunes filles pauvres. Aussitôt, le capitaine avait dressé le programme des honneurs funèbres à rendre au généreux donateur; mais le maire et le président étaient fort embarrassés et n'avaient pas la moindre idée de « ce qui se fait maintenant». Ils prétendaient que c'étaitune « folie » de dépenser de l'argent pour quelqu'un qui ne laissait rien à la commune.Bref, ils n arrivaient pas à se mettre d'accord etvenaient demander conseil au curé. Les filles du pays étaient là aussi elles voulaient des fleurs pourfaire une couronne à leur bienfaiteur. Antonio Fogazzaro.
{La suite
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