Le Petit journal. 12/05/1906.

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Le Petit journal (Paris. 1863)

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Parti social français. Le Petit journal (Paris. 1863). 12/05/1906. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.


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L'horlogerie française

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Grapat prit le journal étalé devant lui ; (!)—; son doigt s'arrêta sur un long entrefilet ; .^ consacré à l'inauguration d'un important travail exécuté au Havre par Charron pour le compte de l'Etat. Au cours de cette cérémonie, présidée par un ministre, l'en trepreneur avait reçu la croix, et le jour-> n-aliste prenait texte de cette récompense venant couronner une vie de labeur, pour ' première partie glorifier le mérite d'un citoyen qui, d'une humble origine, était parvenu à la fortune! 'HONNEUR et aux honneurs. iA BOURSE pu L — Cet homme, aujourd'hui plusieurs r ' 1 fois millionnaire, que.j'ai connu, il n'y a, ,)j' ? s m {Suite) - „ -... pas dix ans, petit serrurier .dans mon ,, pays J Ecoutez, il y a certainement quel Monsieur le baron du Maine chose là-dessous, quelque chose que jej i que ?, l'intéressée fais mieux depuis longtemps que de soup-, t-r-Sans consulter consulter.:, la r—Sans çonner ; mais il nue faut une preuve. , ? d'elle débarrasser 11 veut se r— .— Quelle preuve ? <—.11 l'adore. Si je réussis à me là procurer, vous — plus. comprends Je ne — vos dix mille francs. Pour ce qui est empressement à aurez dire, vrai' .son A de la dot, vous me verserez vingt-cinq pour — demande* dès notre première cent... ; agréer ma > 'entrevue, m'a paru, à moi-mêipe, inexpli mille francs ! Grapat, vous Cinq cent — cable... Voit-il dans .cette union un titre' êtes fou ? t- .- - - ;. •. pour sa fille ?... -; .main —Pas un sou de moins. Vous ne me don çs£' court les rues ; > — Oh ! les titres, nerez votré signature qu'après que j'aurai tenant.""-' • fabrique si pu; me renseigner. Sans mon concours, la depuis Surtout se ça que -r. i fille vous échappe, j'en ai l'intuition, et aisément. cette nouvelle im vous perdez les deux millions. Vous pré releva pas Grapat ne flairait un mystère dans cette voyez de sa part, m'avez-vous dit, quèlque pertinence,il s'y résistance ? .affaire de mariage et commençait àr-rr| Je le crains, et en cela consistait jus ^intéresser." — autre: murmura-t-il,..il ' Non, non, y a tement le second objet de, ma visite, cette P^ir' JOuENÀL du :J2 MOI 1008

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GUENILLON ;

, — chose... A propos, vous avez oublié de *m^ gamine doit avoir en tête quelque amou ! rette de pensionnaire, et... .dire le nom de votre futur beau-père. songé à recourir à ma ' — Charron... — Et vous avez Grapat sursauta. fixé là-dessus, afin, au be être police pour de l'entrepreneur Charron, Pierre — soin, d'écarter l'amoureux ? C'est bien charpentes en fer de la rue Lafayette ? cela ? — Lui-même. — Parfaitement. , . ? d jour Le décoré ce e Eh bien, mon.ami, .çe genrè de ser i — — ( vices lè fcaie, se paie très cher. -Estiméz: ii) ilidactica et 'feapo^uctkin

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minuscule, servant 'de chaton tie. bague et capable de - marcher trente UheuréS; suffisait-il sans être remontée. Encored'appuyer'l'ongle sur son bord extérieur Toute la cour, pour obtenir ce résultat.des montres a,uj émerveillée, commanda fabricant à la mode, mais cet ingrat lâ cha bientôt 4'horlogerie; pour les finan ;v iVoioi une industrie, cousine germaine- ces et la littérature !... .*** He la science, qui nous fit à toute époqug .beaucoup d'honneur et dont notre pays L'horlogerie française avait donc at peut revendiquer les plus précieuses dé teint un haut degré de perfections quand, couvertes. 1791, la Constituante supprima les en Sang nous, trop arrêter à l'histoire de maîtrises-et les jurandes,-favorisant ain Gerbert, l'Auvergnat illustre devenu! si la liberté du travail mais. désorgani-î pape sous le nom de Sylvestre II, en sant l'apprentissage et sa consécration : 999, et constructeur, dit-on, de la pre chef-d'œuvre », diplôme smatériel le « mière horloge mécanique succédant aux imposé à l'habileté du jeune ouvrier.! antiques clepsydres; à eau, il est certain Notre horlogerie pouvait, périr du coup,? -que les Français se placèrent dès le parce qu'elle est un trait d'union entre moyen âge à la tête du progrès de l'hor la science abstraite et le métier manuel. logerie. main ou l'assiduité né suffi ! de Le tour Signalons "d,'abord lâ « sonnerie » dés sent pas pour l'exercer brillamment. Il . machines, relatée piour la pre faut' encore, posséder des connaissances .nouvelles mière fois «n 1120' dans les règlements sur la cosmographie, la physique, les de l'abbaye de Cîteaux, à propos des of mathématiques, lp.,mécanique, l'éléctri-j fices de nuit. Il n'est pas- 'Surprenant cité, etc. v ..... . • , des grands . d'ailleurs que Je joyeux v «tintinnabulé- 1 Les facultés -d'invention, ment du- timbre soit d'origine français^ horlogers n'auraient pas pu>.. se donner Deux siècles plus tard, en i.314, notrs carrière si, au lieu' d'être des hommes horloge voyons sur' lé jffont de Caen •fine de sciences, ils fussent restés de simples portant cette inscription : sa propre va manœuvres. C'est du reste du nau industrie " •» : leur qui sauva cette Puisque ville me loge, • mains des Janvier, -Sur ce pont pour'servir d'orloge, était Elle frage,. aux •> ' <'<v Berthôud -jJeiferal les .heures >ouitv ; .-; Yi des Leroy, des Bréguet, desthéoricien y. Pour le.commun peuple' réjouir. des le Berthoud grand le « Caen. à horloger Signé ; Beaumoni, j à, échappement, qui avait construit roues ' Et de la Convention lè ce quatrain,' empreint de la bonne le concours pour tîumeurïde nos pères, nous révèle que la premier.régulateur décimal — véritables Erovince .comptait déjà des maîtres ha- savants qui la maintinrent au niveau 1dé iles çn leur art. intellectuelles en infusant , . fit le grand ses exigences d'eux. " Au xv" siècle, Louris IX se leur savoir à -des adeptes dignes dote; 'il dont protéeteur de l'horlogerie longue cet essor pouvait dé1 Mais à la la corporation de ses statuts-organiques. clinèr, amenant la chute de l'art dans Dès lors, cette industrie prtend une. eaf là vulgaire' production courante.;. La . importante., i Les villes, dans la chambre syndicale de • l'horlogerie ' de .tensiori région de 1 Est surtout, se "font un hon Paris, composée ', des descendants.' dés artiste^ maîtres illustres », le comprit si bien neur de posséder une horloge heures, « ment' compliquée qui sonne les. 1880 elle'assuma la lourde charge qu'en répétées à haute voix dans les rues par dé fonder à ses frais'une école profes les « veilleurs'de nuit pour que nul sionnelle pour instruire des > horlogers ''v* d'élite, capables ^e. soutenir la réputa1::J . ; instru,-. n'en ignore., v : v.;: , ? Cependant de plus,en plus ces devanciers. leurs tion dp : . ments se perfectionnent,se métamorpho Cette école de la rue Manin, reconnue sent, diminuent de volume jusqu'à deve d'utilité publique en 1883, et encourar nir « portatifs » ou de « poche ». Enfin gée^par des subventions de l'Etat et de montre » de forme la- Ville, constitue le conservatoire de au XVIe siècle, la «Nuremberg,' mais les l'horlogerie parisienne. /Elle renferme, ovoïde, apparaît à Français l'addlptent ' pourrêrï taire ' un dans son musée et sa bibliothèque, les joyau charinant. Blois dispute. à Paris plus précieux documents historiques et la fabrication, des montres -ornées de techniques et elle offre,à de nombreux pierreries. Sous François II, Charles IX, jeunes gens ùn enseignement • profes Henri III, des artistes commet Sauvageot sionnel complet. Les cours, -comprenaiit et'Labarthe exécutent 'des bijoux méca .quatre .années, sont divisés en travaux niques admirables dè' ciselures et de théoriques et pratique^ de .telle façon es,t à précision — encôre que relative ! que l'élève, ses étiides . achevées, susceptible de « maître » son tour un maison en guidant ses ou diriger une grand organisateur du com vriers dans la fabrication! des pièces les i Colbert, le > merce,-s'appliqua à favoriser l'horlo .plus délic&tes. ' . • 1 "n'ait -contre l'Etat après lui,' pas cru gerie qui reçut, un Il est étonnant que révocatibn l'édit de prendre sous son égi bon, jusqu'ici, de coup fâcheux de la' dé Nantes. Ce fut pourtant à Paris, sous de cette école florissante qui devrait Louis XIV, que le . célèbre, physicien s'apparenter à l'Observatoire<pour l'as Huyghens appliquâ mes lois du pendule tronomie, et aux Arts et Métiers pour la compensateur mécanique. Elle fait, en tout cas, grand aux horloges et le 1spiral, parrains qui donnent un aux montres, 'méritant ainsi le surnom honneur .à sesd'initiative individuelle et de' « prince de l'horlogerie •'<>.' bel exemples Au.xvin0 sièclej Paris devint le centre de générosité patriotique en continuant de l'horlogerie de précision. C'est le mo la tradition des grands horlogers dont ment où Voltaire, amateur -passionné de les familles formaient jadis de petites çet -art,, créa à Ferney. une fabrique de dynasties où la science, le bon goût, la montres où-l'on exécutait les. joyaux or probité de. l'exécution étaient respectés nés de miniatures peintes sur leur ca- et transmis comme les titres de noblesse Uran en émail, très recherchés à présent du fabricant français. jpar les collectionneurs. ' -*** à plus célèbre français, horloger Un • Notre horlogerie pour les instruments 'd'un titre, fut le jeune Caron, qui put, son né de précision et de luxe occupe du reste avec la fortune que luijprocurait de gentilhom toujours le premier rang de la produc goce, acheter une charge Fils tion universelle.' Elle a le monopole de me et devenir M. de Beaumarchais. dé la d'ùn horloger de la rue Saint-Denis, Ca- la fourniture des chronomètres et la marine française ans, l'échappement marine d'Etat ron inventa, à vingtinvention que la ja possède des instruments d'une perfec à double virgule", des pen lousie des,confrères essaya de lui dispu tion, reconnue. La fabrication dules des divers types est aussi une spé ter parun procès qui tourna à son béné cialité parisienne, surtout celle des pen fice. Le jeune horloger exécuta, alors pour Mme de Pompadour une montre dules de voyage. Les étrangers, appré

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cient particulièrement ces derniers ob jets, que nous exportons en tous pays; mais pour lesquels les Anglais, ces per pétuels voyageurs, qui connaissent le: prix'du temps et le& bienfaits de l'exac titude, sont nos meilleurs clients.

iSAMEDI 12 MAI 1906

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eecrétaîre: de Mgr .Baudinet,, évêque ^d'A miens, et était devenu, en 1865; vicaire généfaa du dioçèSe, :avec cfe prélat, puis avec Mgr Guilbert, qu'il suivit en la même qua-j ! Jité à l'alrchevêché ,de Bordeaux. , . Il occupait ejette situation lorsqu'il-.fut

LEs'mÀNÛSCR^TSNfeSpNTPAS

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RENDUS,

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MORT DU BEY DE TUNIS reuropêerine, il comprenait les.bienfalts'de la civilisation et manifestait en toute occa sion ses sentiments de sympathie pour la , nation sous le protectorat' de laquelle'était placé son royaume et pour le résident qui la représentait auprès de lui. Au moment de : son. investiture, le . 1902, Mohammed avait officiellement 11 juin affirmé à M. Pichon,-résident-général^ ses sentiments de reconnaissance envers la France pour l'aide et la protection qu'elle lui donnait. 9 ' ' • > Parlant fort correctement notre langup, ' Mohammed-el-Hadj,avait, alors qu'il n'é tait que prince héritier,,fait une' dizaine'de voyages en France.- Il n'y a pas encore,deux âçs, au mois de> juillet 1904,-,il-.était venu ',à Paris et y avait éjté reçu avec tous.les hon neurs" dus à un souverain. II .avaity ,1e 141 juillet; assisté, à }a. revue •.t îde Longchamp et "s'étàit niontrê particuliè rement touché des acclamationsqjue ne lài avait pas ménagées ée jour-là la popu i lation-parisienne. ' : ' \ • les Tahaï* Le fils, bey .laisse princes deux Le bey de Tunis ' ; . et Béchir; y,*-'.* . / « % 'té l1 a V ^ • > ane] y L'héritier priêsûmptif 'du" tr ône^ést.Nasr" / "que la; maladie .dtrtït-il'"souffrait était bey/fila Tavaitifra^é d'un frère cadet du bey 'Sidi-Ali, et attaqué d'héi»iplégiè'q.ai septembre 1904,• Elle s'était compliquée et.était devenue .incurable, Pepuis décptpbre 1904," la vessie' -était, atteinte, et ^ne . fonctionnait plus. .Le malade'pouvaittraîner'quelquesinûis; mais; pouvaitégalement succomber rapidement, ;< ^toutefois, le, bey surmonta 'tant .de' crises médecins que son- entourage et même; J sesimminent,! ne'pensaient plus r à un. danger ven, -outre ' une amélioration,,sénsil)le .s'était} produite ;• le bey avait pu être transporté! de .son palais de Kassarsaid, èu s^. résidence ' d'été de Dermechio . •' j plusieurs fois et; -II'était sorti en voiture son état inspirait} momentanément, une} telle confiance, que^son médecin chef était! •parti pour-.un ! court - voyage. .11 est certain! que. rien ine (serait.,venu , troubler .cettp, quiétude si le bey.^vajt été un meilleur ma-! lade, ne, Ss'intoxiquant pas. lui-même en. re-î fusant de- se .laisser sonder la vessie; le j pus s'y accumula et infecta : tout l'org^,-;

(Dépêche de notre, correspondant) nommé évêque de Saint-Brieuc et Tréguier,, Tunis, 11 Mai, 10 h. 10 soir. , L'horlogerie française compte, en pro-! par décret,du 28 aofit 1889, en remplacement Le , Tunis, Mohamed-el-Hadj-Pàbey de vince, deux autres écoles professionnel-: dé Mgr Bouché, décédé. -Il fut préconisé le cha, est mort, soir, à 8 h. 32. î ce les à Cluses (Haute-Savoie), et à Besan 30 décembre de la imême-année «t sacré à Les qui,fu médecins du bey et tous ceux çon (Doubs). Celles-ci sont consacrées à Pons le 26 février ^uivant. • rent appelés en consultation depuis quel la'fabrication de la montre pour laquel-j ques mois avaient été unanimes à déclarer --rv - •. -f-• le "leur enseignement rivalise avec ce-' e , lui des écoles suifeses. «

Voir en 3 page point de vue des productions de l'Incendie la de l'horlogerie vulgaire nous mentionne usines du Jura rons,, passant, àux qui confectionnent à la machine Cuirs, Halle l'outillage, montres à bas prix. Grâce à Au

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possible 'seulement pour 'ce genre d'ob jets,et par-suite à l'économie de la main-; dans lépaTtier'd^Jarâiii 3e sPIantes d'oeuvre," 'on,: fabrique 'ici les « toquan tes » qui "suffisent en somme, à indiquer l'heure., Ce n'est plus de l'art ni de là; science- mais • ces instruments, rendent' de réels services aux 'humbl'es ' et tout le vmonde ne peut pas dépenser mille francs à l'achat "d'un impecçable chro A Gentlfly; ^- La visite des autorités loca<68. — Evacuation au milieu de la nuit. nomètre l , ' j , v Thomas Girimm.: ;—Un spectacle émouvant./ Dans lin c'o'iri de'la banlieue de Paris,' au T "V ^ , i i. i i' i ii , Ij-pu dit « la Fosse-aux-Lions j>,'àr .Gentilly, LA FETE BES SiPEMS-FOMPlEBS/ {

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Déménagement forcé

'' (Déptche de nolre correspondant;. -j,

iBordeaux, 11 Mai.| • . , Le conseil mniueipal, dans ' ea séance , d'aujourd'hui, a voté, sur la propositiondu .maire, les crédits .nécessaires1.pour l'eivoi à Paris d'une délégation chargée de repré senter le - corps des sapeurs-pompiers de _

Bordeaux aux grandes,fêtes organisées;par: le Petit. Journal, qui seront ' célébrées!• les 30- ]*uin, 1 er

et 2,juillet,, à-,l'occasion- dje 'la

; constitution de la caisse de secoure immé diat en îav.eur des veuves et des orphelins des .sapeurs-pompiers;-.tombésvictimes du

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devoir.

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Cette"délégation'se composera de dix.personhe,s, M. Eugène Braud; capitaine .com mandant,' un', officier,, deux, sousTofficiera; deux caporaux et quatre sapeurs. '. -,., : Par .'cette' décision, le conseil municipal de notje ville a, voulu s'associer à la grande

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conformait; pendant' quelques, jours, aux, -prescriptions, puis il retombait dans, son;

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Le prince héritier

erreur.., ,•>, Cette nuit, vers deux heures, une aggra par conséquent cousin-germain de Moham vation subite ^déclara M.. d'Anthouard: :

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„ lui .On avait dû'déjà, .plusieurs fois, par-; •• 1er énergiquementjà ce sujet. ; effrayé, il se;

MORTBB Msa FÂLLiERES -

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nisme.

manifestation qui va avoir lieu à Paris pt au mouvement de sympathie, qui s'est pro"duit dans la France entière en faveur des sâpeurs'-pompiers.

èvÉque da Sàîrrt-B rieiig"

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Une dépêche" de notre correspondant de Saint-Brieuc nous annonce que Mgr FallièLa maison condamnée' de Gentilly reè, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier, est mort la nuit dernière, en son palais épisCo- de nombreux ouvriers-sont occupés à l'ex pal; à l'âge de 72 ans, succomoant à la ma." traction de la glaise,Vtrès .abondante jdans cette région. Il y a, pour'les loger, .des mai sons d'aspect solide qui offrent, cependant, de gros.dangers*en raison du.sol<mouvant elles sont bâties., sur lequel de'ces immeubles,' élevé de deux véta Un ges, et surmonté de> combles,, a; été construit en . bordure : d'une , voie, étroitesdénommée « la ruelle Jean-Louis, m^Quatre ménages l'habitent. Ce sont, les , familles.Co^laud, Gaillard, Chauvin et Le Flour, comprenant vingt personnes. <, -, ; .. lézar Les murs de, cette maison: s'étaient dés depuis quelque temps, mais,- par suite des pluies récentes qui , avaient provogué des'tassements.dans les, galeri.es à glaise, les crevasses, déjà" grandes, s'étaient élar gies. .Emu du danger, imminent que présentait la maison, un voisin, M. «Antoine, informa, àvant-hier soir, vers.dix: heures, le commis saire de police, M. Pois, .qui visita l'immeu i

se j med-el-Hadj. Nasr-bey, est âgé d^ cinquante fut jprévenu vers six heures ^plusieurs mé-: ans. ' ,decins da >Tunis,, 1appelés en consultation,: Là" résidence offljnèllé, des beys. de Tunis .déclarèrent r que Mohamed-el-Hadj/ était; est le Palais du Bârdo, dont'nous donnons .4 la reflrodticcfoirr'Iis'y-hatttént-d'urdtnaire Le bey avait auprès de lui ses deux mé-' l'hiver. dejcins italiens1 ; son médecin en chef, qui. . composé de plusieurs Le Palais. "test; docteùrî Français, est étant en voyage, le constructions irrégulières. Une sorte, de po Schoull; médecin de l'hôpital civil' fran-; terne,, par. des soldats, y -donne racçais; déjà appelé en! consultation ce matin! cès. Degardée poterne,'on passe dans une cette a,vefe plusieurs, de ses confrères, 'était re rue bordée de petites .boutiques. . ,*'t * ? -, venu au palais Dermech. A neuf heures,' A l'extrémité, de. cette rue est ,une'cou)* tyL. Schpull téléphona :que le dénouement de.; belles dimensions,, puis la dej approchait. Ce pronostic s'est très exacte-® Lions,' "un * patio dallé de. marbre',çour. sal la ment réalisé. '» . " V de justice,etc.' " "

C'est, au f-

Bardo NOTES BIOGRAPHIQUES V ^ que futMohammedrel-Hadj-Pacha, bey et posses-l gné, le r

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seur du rovaume de Tunis, était. né le 24 juin .1855. Il était monté sur le trône le, dS> juin'1902/succédant à éon père; Sidi Ali: bey, hé-le 14 août 1817. Mohammed-el-Hadj était un homme de mœurs isimpleS, qui aimait' sincèrement la France. Bien que n'ayant pas été élevé à

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mai 1881, ^ le traité f qui

donnait à la France le protectorat de

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ble, avec le maire de Gentilly, M. Calmus,

et l'agent voyer communal. a . , Cette visite provoqua, chez les locataires,

FALLIÈRES ladie dont il était atteint depuis longtemps. "Mgr Pierre-Marie-Frédéric, Fallières, qui était'le cousin du président, de la Républi que, était né à Mezin, dans, le Lot-et-Ga ronne, le' 9 avril 1834.' ^ .

Il avait été, après son ^ordination, <nommé

vous donc héureux d'en être quitte pour lé chiffre que je vous ai fixé, en ami.;. 1 Le comte fit la grimace; ! I Vous-vous m'écorcher contentez de — Enfin, si le succès - est au .bout. / J'y le tâcherai. Là-dessus, monsieur — comte, j'imagine que, pour ce soir, nqus n'avons plus rien ià nous dirfi. Mais a; bien tôt, n'est-ce pas ? Dès que je v saurai du nouveau, vous serpz averti... — Au revoir, nlon cher dù Maine 1 et mille grâces pour votre dévouement à mes

. véritable panique. Et ce fut un affoler unè ment général quand le maire donna l'ordre d'é^vacuer la maison. On.redoutait un effon drement immédiat. Cè déménagement, au milieu de la nuit, était vraiment; poignant : les enfants pleuraient'en entendant les la mentations de leurs mères. 7 • Tous les locataires ont été logés,'provisoi rement, dans les hôtels de la localité. Quant à l'immeuble, qui est irréparable, le propriétaire a été invité à en commencer la démolition dans un délai de quarantehuit heures. i .

JLE PALAIS DU BARDO, RÉSIDENCE OFFICIELLE BU BEY

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Au bojit d'une. dizaine de minutes, un

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creux, ne. ^ grand garçon à la' mine effrontée pénétra pas quelque chose làrdessous ? 1 "In extremis délibérément dans le cabinet. Mis avec ' Grapat sourit. ' ' ; " ; prétention,"il avait l'air d'un voyou qui a Nous allons nous occuper de luL • :>Ce matin-làj iinaman Tessiër' parcourait — dérobé ùn complet,à un rayon de confec Ah.'! son itinéraire accoutumé, poussant devant . tion. fillej ' ' ' Ou, plus ' exactement, de sa pour, elle sa petite charrette, appelant les mé — Cet affreux drôle de vingt-trois ans, ef commencer. i nagères de sa voix retentissante qui domi flanqué comme un chat de gouttière, au —La petite Suzanne ?... Ça doit être nait, aisément les:autres bruitside1 la rue. teint plombé, au nez retroussé, à l'œil vi aujourd'hui un beau brin d'héritière — Er Elle était bien - connue dans ce coin des cieux, au parler canaille,avantageusement nest fit claquer sa. langue et une dot !... Batignolles, où, , depuis tantôt vingt- ans, — le de parions-qu'elle connu sous nom « Monsieur Ernest » chôme pas d'amoureux ? elle promenait ses légumes et ses fruits. dans la clientèle spéciale des bookmakers, ,— Justement,nej'ai besoin Connue, on peut ajouter estimée et ai d'être rensei . ides chapitré maisons de jeux et des bals publics de gné exactement sur le : intérêts... des amou mée comme une br.ave femme qu'elle était, • \ , . Montmartre, n'était autre le de cette demoiselle, et à cet effet, j'ai le verbe haut, la langue prompte, la main que propre reux —, Je vous suis entièrement acquis J... frère de la sultane de' notre: baron, de décidé de recourir à tes talents. leste,, mais franche, obligeante, dure à la Les deux alliés se séparèrent sur ce tou contrebande,, la belle Mariette Cavalier; . . Parlez, patron. fatigue-, consciencieuse :et « arrangeante-» : — chant échange de protestations. , Leyrs relations dataient de l'époque ils où pas. une de ses collègues. — Charron est veuf, absorbé par la di comme — Imbécile ! murmura Grapat avec dé noircissaient côte à côte du papier timbré rection-de Aussi, avait-elle la clientèle fidèle de tou ses ateliers,' absent, la plupart dain, en reprenant place à son bureau,' dans une étude de Seine-et-Oise, qualité, les boutiquièresi, petites'bonnes et^ peti tes quelle répugnante fripouille ! Pouah ! va, Gçapat de premiy clerc, Ernestende saute- du temps, de son domicile..'. bourgeoises du quartier, qui dévali Oui, monsieur s'est payé un hôtel aux tes va, que je réussisse seulement à retrouver riiisseau. --' , " saient à qui mieux mieux son " ' ' ' éventaire Champs-Elysées. ton petit frère Jean, j'aurai tôt fait de te"* 'Ce dernier abusait , de la situation toujours admirablement que approvisionné. liquider, et Gaby sera comtesse 5- pourquoi ' ™,lui créaient . La , petite jouit d'une liberté propice Surliés onze heures* elle à. la fois ses titres d'ancien i — >s'en revenait, entreprises pas ?... , des aux de dots je çollègue • et coureurs qu'il qualifiait audacieusene marçhandise liquidée ce. 'et le sac de toile II se renversa sur le dossier. de son, fau iient leur parenté,, sèrais pas étonné qu'elle en ait profité sa 1 honorer le ban qui contenait monnaie chargé de gros pour teuil. quier de familiarités parfois déplacées; pour nouer quelque intrigue sur la nature sous, lorsque, sa-, au carrefour de l'avenue'de Châteaux en Espagne pour le moment | Il s'avança en roulant sur de laquelle je désire être fixé le plus tôt ; hanches Clichy de ïl'avenue et - ,— de SainttOuén, oc ses .possible. que tout cela 1... En attendant que nous Jusqu'au milieu de la pièce et, cupée à répondre, à une pratique,"'elle sans dai-, passions du rêve à la réalité, il va falloir ner se découvrir : Ça,! c'est l'enfance de l'art. aperçut, trop tard pour l'éviter,, un fardier ;-rs'dpcuper activement de cette affaire Chardonne —.Je1 te carte blanche, mène rapi chargé dé blocs énormes de. pierre blan roA. Il y a là anguille sous roche, j'en ju — J'allais me tirer des flûtes quand vous dement ton .enquête-, et reviens m'en che ; elle voulut toutefois se garer, mai^ {n'avez appelé ! Quoi qu'y a à votre ser • ap rerais ! porter le résultat. ! un fiacre, arrivante toute, vitesse :en sens • • •• ' ' : . Il ouvrit un tiroir de son bureau; et pe |vice, patron ? . iT.jBien, avant quarante-huit heures, inverse, la renversa 3 ellecroula sous les 1 ' ' : sa sur un bouton. — Tu connais Charron,,[ le serrurier' Bç • vous saurez à quoi vous-en tenir. -C'est' pieds du .cheval, deux roues de :1a voiture Peu après une sonnerie grêle retentit.* ' ila rue Lafayette ? tout ? lui passèrent sur le:corps, et elle demeura , • Comment donc ! Alors, penchant Un le tiroir, qui ! Je Pour le moment. Va ! inanimée se sur « pays > i .« : ne -j » — : sur, le:pavé; > >; • • lui. contenait un appareil téléphonique, et ap iconnais Par parenthèse, jé me .sùis que Ernest sortit. Demeuré seul, le banquier En un clin d'œil,il se forma d'elle autour prochant de son oreille le récepteur, il de /souvent étonné que vous, , qui' êtes si se .leva et,, arpentant de long en large son un attroupement. • * . .arrêté manda : 'curieux, vous n'ayez pas "songé à mettre .cabinet :.iLeicocher avait, voiturej ' «tan sa tr ; , ? C'est toi, Ernest '* votre .dans affaires. ; Oh 1 Charron Il nez M'est ! faut, à client tout prix, dis ouvrait un peu ses vivement son la' ce que — por* • — 1 avis que c'aurait pu être intéressant. je tière la de s'élançait et sur-le i; culpa trottoir, : me procure que .preuve sa — ,Oui, patron, fut-il répondu.. , . . ? . Viens Tû crois de suite. bilité !... Oh ! je finirai bien par pénétrer ; — — • marché joliment On Il vite. va. Vous secret U. Et alors... alors... , Maxime AUDOÛlNw ' a y ' avez son — — , . , . _ __ lë tiroir,-lê Vu dâns le journal de.ee soir ? Lé voilà ..il n'acheva pas. Mais jin.geste.éloquent Satisfait, le bar t On Repoussa iia suite, -'ïerma soigneusement & clef et âtteridit. décoré î...* Charron ûécbrë ! Millionnaire I compléta sa jJensée. 'à detnaM-ï '

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vous

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EN RUSSIE /"

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L'OUVERTURE DE LA DOUMA

time avec Σw.vïfe*de la*population, ce qui lui '«quer fies bombes dans le logement qu'il oc donne une force nouvelle. cupait, place Dantom Bien que l'institution de la Douma <Tem-, — 3e croyais, a-t-il dit, que la révolution pire modifie, sa. situation en ce qui cottcer^ devait éclater le 1er mai, et je voulais, ce journe'la lé^Éation, une part importante lui là, frapper un grand coup. reste fcependatit âsfiurée dans cette œuvré. Oui, ié voulais couper les communications Lyon jet Parlé en faifcant sauter la voie Il a, en particulierveiller à ee que les institutions nouvelles se trouvent en ' har après avoir fait au chef de la sûreté monie avec léfe antiques fondements dé l'fî- tinEt, tableau de la société future, telle qu'il tat riiâse et avec tes exigences d'Une Saine l'entrevùyait évolution Constitutionnelle. — une fois réalisé le rêve anar chiste, le charpentier Après le dise ours du président, il a. été a ajouté mélancoli . quement , : procédé à la signature de la formule de ser C'est égal, après des accidents comme, ment et la séance a été close. j celui , — t qui mYest. arrivé,, on a beatl être liber taire,

La journée d'avant-hier, s! mémora ble pour Ja Russie, s'est passée sans in cident grave. Il ne pouvait guère s'en produire, d'ailleurs, car, d'un côté, le gouvernement avait pris d'exceptionnel* les mesures de précaution, et, d'autre part, les âmes populaires étaient trop profondément émues, pour laisser; jail .'il' i' " *.> Lancemen d'un cargo^boat lir des%ris Iritttfieà. Il faudrait posséder- les vertus ~proj Rouen/ 11 MaL * phétiques., d'un psychologue- de, eéijie. Hier jeudi a 416 lancé avec un plein sucCôs pouf dégager--ïô véritable sens le cargô-boat Rance, lâ construit pour cê le, compte de la Compagnie Transâtlanti-, solennel et. marquer avec précision jour . les sentl.ftifeïïts êclûS par les Chantiers Bt Atelierà dô Saitltai} îônd du ^VàStô qvœ, Nasaire (Penhoët) dans les chantiers, du coeur de 4â nation russe. Grand-ÇJuevllIy. La poiirte déclaration du jtsar a géné ,La bénédiction >été donnée M. lea - par ralement paru insuffisante) sur qUeL. cUré du Grartd-Quevilly lfe parrain était 3 ques pointe âu 'moins. JElle-révèle, par M.. RaffâloVitCh et la marraine Mlle Irène sa concision et l'ardeur des vœux quila Ruefl, fille .de l'administrateur délégué de

t

on a moins de cœur à la besogne. .Voyez-vouâ, ftioniieur, bien souflert deÏlûiâ'W lundi de Pâques. j'ai qué Jê te Vou C'est ais pis aller chez* la pharmacien peur me taire Soigner. Çà îft'âûtait pénniS de,guérir

plvs vits, bien sûr, maïs ..ça m'aurait tout .de suite Tait pincer. Alors,' j'ai dit à ma fetnine de me faire des emplâtres avec la pomma' de terre râpée. Mais ça né valaitdepaë ui>, bon pansement, aile* l Les clroûtes de mes plaies avaient un centimètre d'épaisseur, et, encore maintenant; j'fei les abatls dans un bel état. Voyez plutôt. • t , . . Et il montrait à M. Sebille ses mains et ses avant-bras couverts de cicatrices & peihe la Société duj de Saint-Nazaire. l'issue A fermées. rapidité, \ ;

termine, par le ton sourd etJa avec lesquels le SOuveraiïl la prononça,! l'émotion troublante, l'intime ( mélanco _ lie éprouvées. par. cet empereur depuis longtemps isolé de ses sujets et qui les retrouve soiidàiii tous, représentés par line clémulation dont là majorité lui. est hoStil8.

''

'

Nicolas H à âffîrïïiê ferqieiïlfent qu'il doiriéurâit, a^rès rétablissement dé la

lancement un lunch' a été servi. Liiïond paraît uti exalté, partisan'dés MirPupfffa fait remarquer que laitance' moyeno extrêmes; mais:on ne croit pas,jus devait faire époque dans •-la marine, du qu'à présent, qu'il soit "affilié à des groupe ïnoodé , entier, Cômxrte étant le .premier va ments puremeht anarchistes. t peur dont les chaudières Seront pourvues TONritËS de la surchauffe Plelock et les machihes ; LES ÉLEC ISUTIVES ; de ,la àistributioh par Soupapes équilibrées, Lëfatz. Ces perfectionnements, a-t-al ajouté,; Résultats du 1 er tour constituent la simple opération de l'appen-t Statistique. deSf partis dicite.appliquée,auxmachines, par la sup-, Le ministère de l'inférieur a commurii-î pression des tiroirs qui ont toujours été la « bête noire » des mécaniciens. C'est un .qué hier la statistique) suivante des élec avantage exceptionnel pour les armateurs,; tions, établie après la proclamation des ré car l'économie de consommation de ce sys-l sultats par les commissions de recense-tème, propriété-de la Société des perfec-, qaent, pour le premier tour de scrutin : tionnements mécaniques,/ sera d'au. moins( ? -Députés ft élire» sJ.-. 59i 30 0/0 sans compter l'espace gagné par la.... .... 431. Elus diminution du charbon à bord. j Le même avantage existera pour les> - Consôryatèijrs et ACtifa; libérale • ;Ï6' . locomotives transformées,dont là dépense _ Nationalistes 29 j Progressistes récupérée de modification se trouve des la 59 , i première année de mise en service. ; , Tota), de| groupes d'Opposition 164 . , Républicains de. gauche." 65 Le i

constitution, un souverain autocrate .et ' dont le pouvoir est héréditaire. 11 a sou haité de « laisser en héritage à son fils an Etat< solide #. Il n'a pas négligé dte promettre satisfaction' qux « paysans si cherg à son coéur >>, pour lèèquels il êst testé tclé pêtit, pèrfe'ft ét dont il veUt garder, la robuste affécftîotï., • Mais il. n'a pandit un mot en favèur . de l'amnistie •' politique générale impatiemmefit!attendue' par les libéraux et , qui forme un'des principaux articles * ' du programmé dê6 /partis ,de gauche., YDyap daM.Tkûnîsaii •i Radicaux. 83j ..,,,,... t Radicaux socialistes............ Nulj'doute que cette lacune n'ait été Ta 1 >(. 75 /; '' raison polir laquelle la mâj'orité de la , "Socialistes , correspondant) {Qépeche*.4e nôtre Socialistes ' indéperid'aiits....... J : 1 iDouttièi s'est abstenue d'applatidlr le • • ^ ; 12 . 10 Bizerte, Mai/ soir*. j discours du souverain, car les-députés, l ' ' v Total >' des gauche;, Ktébètr, dé 26? Ài5rèà du àvdîr à'Bord à&slsté, groupes ' gagnant bateau le Palais d'Hiver,; au, en par Méditerranée, l'efecàdre M. dLénaït 'de de la avaient vu leâ prisonniers agiter leurs': Ballottages 155, kecompàgné de son officier d'or-| D'après Thomdoii mouchoirs... ; ces chiffres, les groupes d'Oppo le lleutàhattt Pètit, est descéndui sition Quelles; acclamations, au contraire,! flonnandè perdent 22 Bièges. à l'Amiïauté ; H à. pàrcôUVu les divers bâ Total ont accueilli M. Pétrounkevltch, quand timents <&s résultats connus : 58?. défense mobile, puis est parti, Manquent la de les résultats d» la Guyane et ce représentant de Saint-Pétersbourg,! avéc l'amiral Bellûe, câfiomandant la divi-, de l'Inde française. On sait, en outre, que dès l'ouverture de la séance/a déclaré, Éion navale dé Tunisie, poap âldi-Abdallah.» lés élections fixées, pour les deux été ont qu'il était de l'honneur* de la dignité, dui Le ministre a-fait ce trajet sur le croiseur circonscriptions de la Réunion, au 27 mai. . devoir des députés arrivé depuis hier des aaux maro-!. que leur première ùûtiléë, parole fût ^consacrée à ceux qui se sa- éâines, 6ù 11 a fait,'pendant là Conférence,: enflèrent pour la liberté et réclamât lai le service entre Tanger et AlgéSirfes. i vLè Galilée vWnt à BiZerte pour pasàet .au. libération des victimes ! de radoub. C'est le premier bateau; Tout dépend désormais, de l'âttitude bassin Irnportànt qui est. amené ici pour cette opé- 1 'des nouveaux ministres, ils ont pu se ration. Le «aitlêe est *#ntïé facilement, rendre compte, en suivant la première trois hfeutes, dans le bassin qui lui^ est 'as PARIS séance de la Douma, que l'opposition signé pour' le hôttûyage, de sà ooquè,-le. tlnè Importante réunion des grévistes du est formidable, résolue à réclamer les. deuxième bassin contenant actuellement le bâtiment a eu lieu, hier matin, à la salle réformes sur lesquelles est fondé son, Contre-tarpillêur Dunois et deux Canonniè- du Tivoli-Vauxhall. Plus de 8,000 ouvriers * ' ''-J-*! " > : " >i programme et guidée par des chefs de rèâ. • "i ' M. Thomson a été reçu à l'arsen&l dèi des différents corps de métier de la corpora valeur. Ils ont dû comprendre en voyant Sidi-Aàballâh avaient répondu & l'appel du comité par lè :cap>tkifte ^de frégate' tion l'enthousiasme de la foule à la sortie Lemoiûé, Le ministre grève. Tous n'ont pu pénétrer dans la a longuement visite, de des1 députés, qtle la nation russè ëst en l'arséhâl^guidé'par l'ingénieur.Paure. salle, pleine déjà avant l'heure fixée pour • t accord avec ses rèprésentahts et les en-' Il a remis les décorations.suivantes : che-: lô commencement de la réunion, et après stationné un moment rue de-la Doua courage à remplir la mission qu'elle' valier de la Légion d'honneur, M. Bçbon, ; avoir2,000 grévistes environ ont dû se dis leur à confiée ; qti'élle a foi dans les pro conducteur des ipohts et chaussées; (médaille î ne, messes des thanifeôtëa impériaux et militaire, M. Glaszion, premier maître de ; perser. La continuation de la grève a été accla ! qu'une, déception .provoquerait. de; dé-i mousquèterie. mée dans cette réunion, qui s'est déroulée M. Thomson est revenu & Bifcerte

préciant en

- • •

quelques mots les qualités oué tous ies généraux, ofttieTS, militaires gradés et non gradés ont affirmées au milieu des épreu ves et des dangers; c'est grâce ft cette balle qualité qu'a pu étré menée à bien la délicate et difficile mission confiée aux troupes de tétabler l'Ordre et de faire respecter la loi. Malgré les difficulté dê tontes natures pro venant de la concentration dô troupes Aussi nombreuses dans les deux bassins houillère, le service de l'intendance a sii, par soii initiati ve intelligente et son -dévouement,, assurer dans d'exGëllentëd conditions la subsistance des troupes partout ^oû les ressources locales étaient insuffisantes. • Gr&ce à la vigilance du service de santé, à ses sages inesUres de prévoyance ét d'hospltâlisation, l'état sanitaire demeuré aussi satisfaisant que possible et,est malgré quelques cas de maladies contagieuses, tout danger d'épi démie a :pu être écarté. .Mn-le .ministre,de la guerre a'déjà témoigné aux troupes des bassins hoiiillers lâ satisfac tion du ^gouvernement de lâ République par les récompenses, qui ont paru au Journal Officiel D autres propositions sont à l'examen du ministre; Lorsqu'il.aura étg statue dès propositions, le général fera connaître sur par un. ordre du 1er -corps d'armée les militaires des diverses régions auxquels il témoigne person nellement sa satisfaction. Mais Sans attéh'dré le général commandant , lô 1" corps d'armée adresse de' tout cœur aux généraux, Officiers, fonctionnaires et hom mes de troupes-ses vives, félicitations pour les résultats Obtenus. Il gardera un souvenir inoû bliable des verttis militaires dont tous ont fait-i preuve. ait aU 9u? t " 9f général, Lille, le 8 mai i9Ô6 ' teigni t Léôoh, ; , " Lens^ 11 Mai. > Ces

i

Cè inatin, une

leurs outils seraient déposés au commissa cialiâtës insisteront pour que leurs démi» riat de police. Si ;

M. do Turckeim est décidé à fermer son

usine pehdant deux mois s'il le f&pt. ' Alais, Il Mai. matin la presque totalité dés ouvriers f> Ce ont repris le travail au* minés de Rochebelle.; , Une centaine de grévistes ont été. •ren voyés par la direction. Aucun incident né" s'est produit. Les trou pes détaefiées à Alais vont regagner leurs garnisons. "

ons .soient acceptées .

A

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..

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Lâ tomba da bois de. Vinceanes L'instruction,a• chfimé hier..iM, , Flory, '

attendant, avant de poursuivre

l'en* guêtç, le résultat des îvuici lês sê livre en ce moment M. Fouquet, com missaire de police,, chargé de la surveil lance des anarchistes. t Une,déclaration,est parvenue hier au ma« gistrat, celle d'un Russe habitant Paris, qui connaissait de-vuè Stryga. ^ Il que'le assure, jour de l'explbsion EN ITALIE. bois de Vincennes.il a vu. Stryga à midi au et demi au Jârdiù dés Plâflïes, : i -. Les désordres «oii'tiituèht —n Manifesta» se /appêUe que le terroriste russe i avait-qtutté;. tfOris violentes et Chapes dé cavalerie à ûiiîe tiêum, K grand hôtel Monge, et "îJuS" ffëSt à une heure Rome. — Oano la région de Bologne. qu'il! aurait, rencontré Aléxanûreun-quart Sokoloff 11-Mai.r Rome, i t au Muséum d'histoire-naturelle. ' • Hier après-midi, lea manifestants ont par-. Mr Flory interrogera, aujourd'hui, les couru, en sifflant et en criant, les rues du inculpés Marc Rubeinstein et Rosa Feld. dêôtrè, partioûlièremefat du côté, de la place du Gésu et du Corso et aux abords de la chambre du travail, où ils ont ïtè haran gués et invités au calme par les chefs de la chambre du ; travail. ~

i

La foule, a lancé dés fclêrrès au* agents , de la sûreté et an* soldats, dont quelques- TH£ATRË Ç»E IL'AMÈICU-OOMIQUÈ t Roiile» tà-Bosse,pièce én six actes,précédée de Bas uns ont reçu deïrblessures sans gravité, tion et Bastlenna, prologue en un acte, de La cavalerie a exécuté fréquemment des M m Jules Mary et Emile Rochard. charges et a dispersé les groupes dans le . M. ÉEmile Rochàrd, Odl fut fiti dîrècteur Corso et les rues avoisinantes. Les cavaliers ont été vivement applaudis bavisé et artiste, excelle âUs&i à mèttre à la par les citoyens qui criaient « « Vive l'ar- scène les^ romans populaires tet récénts

partie des troupes déta c'est ainsi.qu'il nous a donné hier lea aven•; chées dans le bassin houiller du Pâs-deAprès, quelques légères bagarres, le soir, tures de Roulè-ta-Bosse, tirées d'une œuvre Çalais a regagné pas traihs sépeiaux de M. Jules Mary. le la.ville est redevenue calme. Mans, Senlis, Toul, Compiègne, Sedan,: . . L'animation habituelle régnait dans les Roule-ta-Bosse, de son vrai noîri. Bastien, Méàux, Ham, Saint-Mihiel, Epinal ; une au- ! .théâtres et dans lés cafés. est pauvre, et, brave garçonnet, dont le, tre partie a regagné par voie de terre Ar- La grëve est terminée à Pârmè, à Foïli et père,unsaltimbanque, s'est tué en faisant le à Ancone. périlleux; ras et Abbeville. saut dont la mère morte de Il reste 8,000 soldats dont la dislocation; ohagrin ; resté seul, il trouve est de Home, 11 Mal, midi 15. le moyen demandera quinze jours encore. sauver, pendant la i Lèà autorité^ un 'franc-tireur h$$ généraux, Chômer et lacqtelot. <dp traordinaires ont pris des précautions é*- qui vaiêtre pris par guerre, les Allemands «tide re pou»" empêcher le cortège re cueillir ^Hoisrouvray rentreront cô soir à Arras et protéger-une avec venant de la réunion publique du jardin abandonnée, pauvre, petite fille l'état-mstjor. 1 Ëastienne. botanique de rentrer au centre de la .ville. Mais séduite par l'intelligence èt la grâce de la fillette, fine. Les,troupes.occupent les places de Ve Béthune, 11 MaL dame, grande . la marquise de Mauléon, re .¥• Boudry, juge d'instruction dp Béthu nise et Colonna et barrent le CorSOf de 20 cueille 1 Orpheline, mètres et Bàstiën réste seiil .en * en 20 mètres. ne, yient de rendre une,ordonnance de nonfois,'malgré core une , seb larmes et ' ebh ToUs les magasins sont fermés, lieu faveur du Henri

nommé çn Mantel, âgé' * Leà socialistes; bien qu'ils aient d'abord désespoir. ; i.». ae 18 ans, mineur â Lens, inculpé d'avoir déconseillé . ' Tel est le prologue pittoresque et atten la grève,se sont solidarisés aVec drissant pris part ahx bagarres de Lens, et dont du grand le prolétariat, la Chambre ayant refusé de mélo d'hier ;il a été joué l'innocence a été établie. Mlle Hélène Reyé," par l'une des deux célè discuter leur motion. I bres créatrices des Deux Gosses avec ijné Le groupe socialiste à la Chambre a dôiisincérité, , émotion, u£e et «ne vérité né, en masse sa démission. d'allu.A LORIENT M M. Ferri et Costa ont exhorte la foule res, qui olit affirmé lé talent dé l'artiste, au Lorient, 11 Mal. calme et engagé les manifestants à ne jourd'hui installée professeur de déclamai au tion à Bordeaux. Les bravos -ont d'ailleurs te haut commerce lorientais a fait pas jeter .de pierres sur les troupes. 1 ' ' prouvé par à Mlle Reyé, qu'onvenant -.créer à venir à l'amiral Melchior une lettre le Lâ cavalerie a chargé plusieurs fols les: re Paris le personnage de Bastien, .ellë n'avait merciant d'avoir assuré l'ordre pendant la manifestants via Cavour. fait un déplacement inutile. ' pas durée de la grève générale, et demandant Mai,'8 Romê, 11 La.piàce heures soir. ' [ proprementdite commence qua tle youlojr. bien être son interprète auprès torze plus tard ; Bastien est devenu des! troupes qu'il commandait, ans Pendant toute la. journée, sur divers homme, les pour asest mais il «Ur^r de ses plus vives svmpathiesi L'amî- points,la foule à manifesté tumultueusement complètement défiguré _ il éffét; porte, en ralja, répondu qu'il était Sur son. visage les tracèb la place Colonna. Les agents de police horribles à cettè sur dâs brûlures démarche qui sera portée sensible qui l'ont atteint, au ont chargé énergiquement, distribuant des la voie par dé d'un sauvetage dans la machinerie l^Ordre du, jour à la connaissance des coup? do sabre et dès coups de poing.; Aux cours i applaudissementsdu public, ils ont .arrêté d'un naVirj en ffu. ' Mais 1,1 conserve au troupes»' | -••i;-}' l .çqçur le oulj:e de la petite abandonnée d'aivIndividus 186' excitaient:;la foule, Ces qui' f- tr„, . trefois, de là petite ëastienne, devenue une scènes ont duré jusqu'à la nuit tombante. A TOULON ,1. •; charmante jeune fille et présentée'partout , Vers neuf;heures, un cordon dë troupes, marqiifse de Mauleon Comme 'sà fu-. dû protéger la sortie deè porteurs du s par lâ a - Toulon, 11 Mal. i héritière. Un Jouf; il a rencontré BasHier, devant le tribunal correctionnel de Popolo Romano, seul journal paraissant; ture tienhe celle-ci \ ne l'a'pas reconnu, mais Toulon, .comparaissait M. Doria, secrétaire depuis la proclamation de la grève. .» tendait il comme vers elle des mains 'sup fénéral de la Bourse du travail, accusé d'aG®nes, 11 Mal. pliantes,. ellea cru qu'il demandait; l'au oir, le 4 avril, séquestré le commissaire de Confédération ouvrière publié uii mône et ella lui La a, j été une pièoe -d'or. L» a travailler nuit suivante,, découragé;, police Fërrand et d'avoir outragé ce fonc ; manifeste invitant ies ouvriers à devenu uji pbjet ; tionnaire. d'horreur physiquè, grève générale n'osant pas-participer à à la ; mêmç. pas. déLe jugement ne sera rendu qu'ultérieure- et n.e clarer à Bastienne minorité qu'on espère pouvoir éviter, f il qui Roule-ta-Bosâô" est, une ?nent. Le procureur de la République "s'est jeté dans la Beihe1.'i a des ouvriers voulant seule la gr|V0. -» prononcé un 'sévère réquisitoire. Il en a été retiré à temps'ét soigné par uil Indépendamment des maçons, il n'y a Le tribunal a condamné à trois mois de être bizarre,, bon jusqu'au dévouement, prison et à 50 francs d'amende l'antimilita que les ouvriers des usines Ansaldo et mais voleur fit cambrioleur de- profession, riste Pierre Jourdan, qui avait insulté des Odero qui chôment. . un avec calme. fclôrabîes,çonséftutenfcçsj•. sur ' GargousSe la conversation que ces doux Naples, Il Mai. ; deensemble officiers et dâs soldats du 111» manœuvrant / torjpilléur. { il s'est rendu au Contrôla civil, , ; hommes ont -La chambre dti travail », proclamé hier il résulte. qtie'Oàrgçiis'seaprès le . sauvetage, où il a été reçu par le général Roux/ com-,, . Plusieurs.orateursjoni.préconisé las. ten-. 6lir„ le terrain militaire. 4 y w. .V » s j i s iCl ,/i i t * ,est lé fils .d'un des *,« .mandant lar ditisloii:d'oocUpatibn,. par "le; 'tatfygiijje ,déteu/îbag&,.Wi«s.iEàLconBeillajiit soir la grève gégfeej^gdeyvingtj^^e heu- matelots 'ïL ' Dans les proimjcés Roule-tff-R0sse', rsauv.és '.qu ,,',aû. ' représentant de la municipalité et lea corps à ceux qui les essaieront d agir de façon duits au montent, où les terrassiers de l'as- KBS!- ' •'•<{>> "4 ' , terribles pfik'de blessures, ses Milan, .11 Mai. élub. •• v dg là, un i à' ne pas tombèr sous le coup de la loi et sainissement reprenaient leur travail, Sàiflt-Pétersbourg, •: • " ïlMMâî*' Les dévouement; jusqu'à là mort entfS'Ièd deux . . . L ô ministre dit que son dévouement'est d'essayer surtout dé la persuasion envers hussards ont dû intervenir. : A une heure.d« l'après-midi, groupe Dëa télégrammes un 1 hommes. reçus de nombreuses acquis • à .la défense de» intérêts- bizertins. j les ouvriers, qui n'ont pas quitté.le travail. ., Les employés des tramways et lès ou de grévistes,s'est présenté à,l'usine Fassoni, Bastien entreprend i. , Villes dé province signalent que partout,; de veiller La Baspréfecture sur de polioê avait pris; en vriers du bâtiment sont toujours en grève JVlacchijOÛ les ouvriers ne travaillaient'pas, hier, les rues étaient pavoisées et avalent! car ceUx-ci se confondent avec ceux de la , i tienne, dont là dot.eêt le point de mire de eutte réunion; d'importantes mesu continuent d'unç vus mère-patrie^ èt j à Sept, toute travail, repousser de prétexte faire èesser le idée 1 de 'aëfaéct de fêté; Dès te peutn ont éié ! •• sous dont fûulc d'indélicats, re plus précaution, le dangereux de • un la-place de la Républl-: prise du travail. dii Nord îait. prdtûntféiflëntfpàr- res portefaix ont voulu entrer le portier,.nom est le vicomte dp Mayléon. Dans des scènes chantes èt des télégrammes de félicitations - i ii'Atrtque qué' était national. occupée patrimoine des du Bizerte forces tie est'>bni par presquè mé Zegretta, s'y est opposé, mais les grévis dramatiques,le pauVre homme retrouve stic£ ont été envoyés à la. Doumà. ' "5 grand port de guerre aucune .voijc pas plUB Aussi considérablés le jour du mal. ; que l»r A &OHTLUÇON tes ont réussi à pénétrer et ont frappé le cessivementle duc d« Senoncourt, le francLes maisons de commerce èt les écoles en Algérie qu'en France, ne s'èlève contre, La sortie des grévistes , effectuée-sanss est • neveu du propriétaire dé l'usine. Le por-; tireur sauvé autrefois, devenu le fiancé de ! étaient fermées. L'enthousiasme i^gnepar-; son importance et lé'Parlement a le plus vif cris la tranquillité et .de là Montluçon, n'a rUe 11 Mai. pas été tier, assailli et battu , lui-même, a tiré son Bastienne^,découvre en la personne du'vi ml les populations. o souci dav&ftter,!» îoncUon»içmeftt. l'arsenal. troublée. > , A la du dépôt suite de 80 plaintes, le par couteau et a frappé à son tour deux grévis comte de Moulées, l'homme. qui, jadis, On rapporte peu d'incidents. Pûurtânt, j L'amiral BeÛue a offert ce soir wn-dîner j: De leur cftté, les mouleurs fer, en se sont quet de Montluçon a ouvert une informa tes ; l'un d'eux, nommé Gâlli, a été tué ; causa la mort du saltimbanque, . & Kazan, trois cents personnes se sont réu-; en l'hQtinêùr ue,,M. ;Thonlson. ' père, j réunis au nombre de 2,000 environ, salle de tion générale les entraves à la liberté le sècond, Gerosa, est grièvement blessé. ien coupant une corde, met à jour son nies au jardin Dierjavine, en un meeting ,,11 , , . l'Harmonie, ; sur Bizçrtp, toute MaL-, rue d'Angoulême ils ont éga du travail. Il a inculpé de ce chef MM. Du- Tous deux sont des anarchistes connus» de- protestation contre la Douma. Une jeutentative dè chantage contre lé ducj etUne M. Thomson ,a eu . c« matin .à -bord du lement décidé la continuation ; de la grève. chereux, secrétaire général de la Bourse du , téber, he femme a pris la parole ; on a voulu l'ar K tempg.'pour sauver du piège "que ar Bologne, 11 Mai. rive à lui "une conférence avec l'amiral Bel- ' A la .Bourse du Travail, se sont réunis rêter, mais l'assistance s'y est opposée. lue et différents chefs, de la .marine : Travail ; Foiaty, secrétaire du syndicat des lè tendu vicomte de Mauléon, l'infortunée La les dé violence a réaction contre actes en Tu- ; les imprimeurs, les serruriers, les: bijou métallurgistes, et Beaupe, secrétaire du Plusieurs coups de feu ont été tirés et le nisie. iïl a'éîudié avec e\ix plusieurs projets augmente. Hier, plusieurs citoyens indi Bastienné. C'en est trop ; il se jette sur le tiers* les peintres en bâtiment, les litho syndicat des ouvriers de la glacerie et jardin a été cerné par les cosaquesv ' des intéressant la défense dé Bizertp. quaient àgents les individus qui de vicomte, • va avoir Je : dessous, quand Basgraphies, les aux terrassiers et. les charpentiers, produits chimiques de la Compagnie Quelques fabriques ont fait grève*pour M. Thomson a'offert un déjeuner auquel qui' tous de vaient être arrêtés, coopéraient aux arres tienne lui.ttnd .un couteau : le vicomte ont adopté des ordres du jour Saint-Gobairç. 24 heures comme protestation. contreJa assistaient tombe pour ne plus se relever, et grâce en procédaient eux-mêmes. tations général le Roux, l'amiral identiques Belquant ou y fond à grève au DuchJbreux, MM. Fonty : Beauhe et ou Douma. ont été core 4 Roule-ta-Bosse, à son dévouement L'Association commerciale a publié un inlassable, lue, le président de, la chambre de com trance. . interrogés hier soir par le longuement A. Simbirsk, après le Te Deum à la cathéà sa grandeur d'âme, le duc ev juge manifeste convoquant les négociants à un Signalons que les ouvriers charpentiers, d'instruction. merce et la municipalité. . rtfe, > Bastienne pourront foule de être heureux. jeunes gens est allée M. Thomson est parti à midi par train en présence du mouvement actuel ont ré une meeting, à 4 heures de l'après-midi. Ce erreuàUne de transmission drame la prison avec des drapeaux rouges et spécial pour Soukahras. Ce me fait dire meeting a été très nombreux» émouvant par ' ses péripéties;, solu la fusion en uns seule Organisation çô matin qu^une reprise partielle du chantant hymnes amusant des travail par révolutionnaires. sest scènes comiques, plaira,, gn A l'issue du meeting, un cortège s'est for des Cinq Syndicats où ils étaient lieu groupés usines métallurgiques a eu aux La police a dispersé les manifestants. Il L'instructioncontre Saint- mé avec drapeau. Il s'est dirigé vers la pla dans sdH abondance; & la clientèle de l!Amspécialité. Jacques par de mMi anarcîlistes et la Ville-Gozet, de la dizaine Compa y a eu une de blessés. Victor-Emmanuel et s'est grossi en route bigu ; un .autre public parisien ira éeputer Hier ce encore, abords de gnie diverses Châtillon-Commentry, a^x usi Le maître de la police et plusieurs agents ce qui est de groupes enthousiastes; Sur la placâ Vic- les belles théories humaines qui y sont dé*' > affaire .i .Ml' et de .plusieurs chantiers, les gréviétes inexact, puisque, dans ces deux nes, Le dossier de cette Dnt reçu des coups de pierres. établisse tor-Emmanuel, on a.crié Vive l'armée! veloppées et admirera là science dramati n'est pas com ont, renoûvelé leurs tentatives de débau ments, ainsi / » dans les'autres toutes plet que Des patrouilles ont été envoyées pour ga encore et M. André, juge d'instruction, chage. usi que.. avec laquelle est peint l'amour réel dô milieu applaudissements. d'immenses A au u'de Montluçon, 1 la " ' * nes grève poursuit l'audition deg témoins et interro- Onze ' arrestations le rantir la tranquillité. ," M et lock-out Ville,' on a hissé le drapeau na- Bastien pour Bastienné', amour fait dé dél'Hôtel de . . , Continuent. entraves à pour la! vou'emènt et d'abnégation,- que traversent fe fréquemment les inculpés, notamment liberté du travail ont été opérées.; neuf ont En réalité, la reprise En Poîogna partielle du travail tionaL Enfin,-les manifestants, se sont .éloi- comme des" éclaire-les rancœurs I; J.-B. Bressoljes, l'ancien secrétaire du été maintenues... de l'aban *; que je vous ai signalée s'est effectuée aux comte Durand de Beauregard. et jalousies donné les du mâle.' La commission des commerçants a décidé Roule-ta-Bosse est d'ailleurs Le rôle .de Varsovie, 11 Mal. mines des Ferrières, concession de la Les ouvriers coiffeurs M. Tisserand, qui a été l'employé du remarquable» que demain on formerait des patrouilles ment-interprété Compagnie Châtillon-Commentry. Les partis extrêmes ont imaginé de pro comte, a déclaré au juge que M. de Beaure M. Etiévant, par qui , a mia Les ouvriers coiffa';.-s des maisons des de citoyens pour s'opposer aux violences et lester contre la Douma en provoquant la gard. qui avait fondé un comité d'action Quatre-vingts ouvriers des lumière; sobre.atténdrissément, Saintavec usines -en boulevards et maisons similaires, Jacques ayant repris le travail protéger'les magasins. Elle a lancé-un ma le-contraste de un. grève, et ont entrepris hier matin de chas politique cité d'Antin, s'intéressait au mou grands la hidpur pbyâique et dè lac cet aprèshier réunis, soir, ; ont voté la fermeturedes midi, une foule énorme de curieux et de gré nifeste rédigé dans ce sens; morale. ser les ouvriers des grandes fabriques ; ils vement gréviste. Il chargeait fréquemment salons le dimanche beauté 1. & partir du l 7 juin et vistes s'était (Bologne), Budrio * 11 Mal. ont réussi dans plusieurs usines métallur des individus de le renseigner sur l'étendue massée abords M. Villacôté de lui, du A pont a obtenu son succès pour toute l'année et' se sont engagés à sè Saint-Pierre, ce soir, àaux grévistes , giques en menaçant de recourir à.l'emploi des 'agitations ouvrières. Sept cents sont arrivés heutes, six à l'imhabituel, débordante par sa verve pour as proviste dans le et son en-' réunir, place de là Concorde, à huit heures sister à leur sortie. } , présence des armes à feu,. ' ..dépouillé, obliger les i Il> aussi train joyeux, il pays et n'y pour ' v ma deB de M. • éloges à' a en que du matin, le 17 juin, à la statue de Stras . ... est restée . Des forces importantes de gendarmerie gasins à fermer et se sont mis à lancer des faire de MM. VOlnya, Liézer.Gi'ey. dé Néanmoins, la ville calme.. Les Bressolles, de nombreux documents saisis bourg. Mme? à cheval magasins étalent ouverts. d'agents et à tirer des de pierres et de revolver. Un police, Brindeau.Chapelas Victàrin.C'est Jeanne la direc coups au.coui'8 de perquisitions. et sous En outre, leà ouvriers assistant à cette tion du commissaire heures, des révolutionnai central, ont dispersé carabinier est tombé à terre ; la foule a es Mme Maggie Gauthier qui joue le rôle de a Le soir, â sixdr'apeàux réunion engagé? sont à se tenir ne aucun les rassemblements. sayé de le désarmer et de l'assommer. Bastienne : nulle n'y serait plus jolie et res portant des rouges formèrent Lb topentief aasreMsl8 Laloni compte des ordres du jour votés dans , d'au» On s'attend, pour'demain, autre carabinier, étant Un distinguée. été plus une procession dans, le faubourg de Wola. à accouru, a très réunions/ une reprise aussi blessé d'.un * plus importante. Les cosaques qui lètiï barraient la route, fu blanche, d'aime et . coup A. Vallftu rent accueillis à' coups de rêvûlvêr. Un Le fâbrieant de boittbes de t.yon .se Consti ! .• a failli être accablé ; ayant réussi à se dé u—^>r-- ~ -r DANS UjBJHLIfUE conducteurde tramway fut tué et deux paôNOUVELLES DI VERSES' gager, il a |ait -usage de son revolver et a. prisonnierà ASUEIMS tue Vienne. — Les aveux de aazita furent blessés. Les cosaques riposté-' grièvement blessé ouvrier agresseur, son Lafondt — Un. propagandistequi ne pr^ un . rent et tuèrent un des révolutionnaires. Reims, Budrio. de 11 Chaville, A MaL Sèvres, Meudon, la grève est La grève des peintres ' i parera plus d'attentat. Un deuil cruel vient de frapperle docteur , bçrsaglieri est arrivé et Lit police a découvert un dépôt de bombes renfort de Un prend stationnaire, . ainsi tournu qu'à Saint-Germain: une Gauthier, sénateur 4e l'Aude, ancien ministre XUepêches de fto? ,correspotidanis) inquiétante. Hier les grévistes se sont une enquête e§t ouverte. dams le, faubourg de Czyste. : re ) des travaux-publics, et M. Emile Cère, député Saint-Cioud, A de S0 à un 40'gré groupe Vienne (Isère), 11 Mai, ,i vistes, venus de localités voisines, rendus en groupe,.rue d» Barbatre, dans I^a grève a pris, à Lodz,- un caractère , Y . du Jura : leur belle-mère et '-rand'mère, Mme essayé a , ,immeuble<loù aigu.- Ces drapeaux rouges ont été bissés travaillait charpentier Pierre un Gaillard, est décédée'Subitem'ent.Lesobsèques Le Lafond, réfractaire, qui avait sans succès de faire cesser le travail sur Alexandre un A Ch la ambre italienne ; seront célébrées lundi à midi : on se réunira Laj oie, qui refusa d'abandonsur ,de nombreuses fabriques. Une manifes-, été blessé par l'explosion d'un engin qu'il différents chantiers. àTla maison mortuaire, 50, avenue.dô Breteuil. t/iion a été dispersée par les troupes qui confectionnait chez lui, «place Danton, & A Roissyren-Fiance, près de Gonésse, 150 her le chantier. Les grévistes, furieux, pé Le roi Léopold a auitté Paris hier, par nétrèrent dans la maison, culbutèrent des ont Massé trois personnes. D'autres conflits 1 Lyon, s'est constitué prisonnier aujour ouvriers agricoles,- n'ayant obtenu de midi 40, accompagné du baron pas l'express sont produits entre grévistes et ouvriers d'hui, à. Vienne» aù. il était venu se réfugier, l'augmentation de salaires qu'ils récla pots de peinture, traînèrent Lajoie dans Démission do douze députési socialistes. se son officier d'ordonnance, et du comte . La Chambre, sur la demande do M- Son*' Snoy, travaillant à la fabriqué Starck ; U y a eu dès qu'il avait su quë:la police lyonnaise maient, se sont mis grève. la,,rue et la frappèrent brutalement. Le Cornet, son intendant général. ' en démissions. refuse les nlno, ' malheureux trois blessés. grièvement est enquête Le bateau te Touriste reprend pes belles faisait une contusionné . sur son cas. ; tout sur le DÉPARTEMENTS excursions, de Paris à Saint-Germain,le 2e di corps. Sous le, faux nom de Chapuis, l'anar Rome, Il MaL DtKS LES Après enquête; la police a procédé à deux de mai et le jeudi Ju ' LE NOUVEAU CONSEIL DE L'EMPIRE chiste s'était fait embaucher, avant-hier, dé la Chambre, le manche de séance la fi» la A les j Départ tous, arrestations, celles des nommés Gaston président lit une lettre de douze députés par un entrepreneur de notre ville. Il est so de la gare d'Orli 5U* correspondants^ {Dépêches Hamonville, Discours du de probable âgé 27 de nos n'aurait que personne et Paul deviné Hanicialistes ans, donnant Rémission leur pour les rant à'bord. kenne, âgé de 52 anSj qui seront poursuivis motifs suivants 1° À DANS LS «TORD l'homme que. recherchait la sûreté ep lui -- ; de Le Saint-Hubert Club de. France 'donne ^ des incidents cause : .—Saint-Pétersbourg, 11 M&L entrave des pour à la liberté du travail et de Turin ; 2° à cause du vote dp la veille à ra son dîner annuel, à la suite de l'assemblée Lyon,'si les traces graves brûlures qu'il ST US PAS-DE-CALM$ voies de fait. . générale, le dimanche 27 mai, à. 7*h.'1/2 du Le conseil de l'empire réorganisé a été avait reçues lors de l'explosion accidentelle la Chambre ; 3" à cause du rejet du projet soir, Hànikeene dans la grande salle du Palifis â'Orsà^ s'est déjà rendu coupable du sur l'inspectorat du travail ; 4° et parce qua inauguré, aujourd'hui, - après la célébra •qu'a racontée la Petit Journal, ne l'avaient Lille, il MaL ^ Le service des remboursement»-â vue, même Le général commandant le 1 er corps d'ar délit boulevard de la République. le groupe socialiste parlementaire désap tion d'un service diviny par la lecture de trahi. et par télégraphe, qui fonctionne 4 tube a pardirection ' Ce matin le comité de la grève publie un décrets impériaux concernant la présiden • Lafond apprit, aujourd'hui,,que la police mée adresse aux troupes l'ordre du jour manifeste générale, prouvé grève la implique qui de la Caisse nationale d'épargne,; 1a ce rédigé en termes -violents. | dans désaccord Saint-Aomçin, la ce de l'assemblée et la nomination, comme avait découvert sa retraite et qu'il ne pml- suivant i r direction des princi rue sera ouvert a 0 h. du ma un semaine, membre participant aux séances, du comte vait échapper à. une arrestation. 11 alla Au moment où prennent fin les grèves du suivis par le groupe et qui animent le tin, en courant, au lieu de IV h., à partir, du pes Witte et de M. Manouktoine, ministre de la alors ee. constituer prisonnier, tout en -dé bassin bouiller du Nord et du Pas-de-Calais, DANS &SS AUTRES VILLËS prolétariat. Il est; par. conséquent, néces 16 mai , à la mairie du 10* ar Ce soir, à 8 h. , 1/2, justice.. clarant au commissaire çentral qu'il était le général commandant le 1" corps d'armee les électeurs saire jugent. que ' ". ! rondissement, soirée mutualiste et concert or-r à remercier les troupes de toutes arme" Le présidéht, comte Solsky,- a ensuite la' victime d'une méprise, et que ses blessu tient Lunéville, 11 Mai. Sonnino, président du M. conseil, invite le,Syndicat par ganisés femmescaissières, gendarmerie, infanterie, artillerii . cavalerie, Lçs ouvriers charpentiers et menuisiers, la Chambre à refuser ces démissions, tout comptables et employéesdes adressé à l'assemblée une allocution dans res.provenaient,de la seule explosion du ré génie, appartenant au gouvernement écritures, aux de l'usine de Diétrich s'étaient mis laquelle 11 a- parlé du bonheur avec lèquei' servoir de sa piotpcyclette. . Société contribuer îe à nationale d'hortiçulturé de Paris et aux 1er 2°, 3", 4®, S0; 6",milita pouvant maintenir -rrr-La acte de grè l'agi en T. 8' ' demandant chef Sebille, , "France de la sûreté de Lyon, «st 9e 10° et 20» corps d'armée, concentrées dam ve, oflrira un déjeuner" aux" membres du -tous lefe Russes,doivent accepter le devoir' M. une augmentation de sa- tation causant un grave dommage éconojury de sa-prochaine exposition, sous la pré-, de contribuer à la guèrison des douleurs «t venu, ce soir, prendre livraison du prison- le^, deux départements, 'du dévouement qu'elle, lairë. Comme ils n'ont pas obtenu, satisfacmiijues et moral. sidence du ministre de l'agriculture, le samedi ont apporte à remplir leur mission pendan tlont .tous les ouvriers des autres ateliers des mau^ de la patiie. Le ministre ajoute que l'important pro« 19 J '' : -,'1 ;I ' i.' la mai, au pavillon Ledoyen. toute durée Les troupes ont ré-». ont quitté le travail pour se solidariser Ce devoir incombe également au conseil i.„ > „iiil '/.-i' Lyon,,11 Mai. : ' $ondu ft J'appeldés grèves. législatif social qui doit 'j venir gramme avecL'Association,des membres de la presse en t de leurs chefs avec fermeté et leurs camarades. 3# l>mpire-réorganisé, qui, durant'uni L'anarchiste Lafond, qui s'est "-constitué courage, a.besoin discussion du de tous renseignement tiendra son assemblée géné les concours de avec -un véritable stoïcisme. Âu mi-! L'usine est siècle a été le conseiller immédiat des mo-« prisonnier" à Vienhè, est arrivé ce soir à lieu -des 'événements gardée militairement. .députés. 17 jeudi rale le mai prochain, à 2 h., sous la les plus soudains et des ". M. de Turckçû», .russes:et.le directeur, présidence Bals,, au siège social de MAndré fidèle fait B^rzilaï, MM. .exécuteur Luzzatto narques dei Lyoru M. Sebille, chef de la sûreté, a. en mouvements populaires, les plus menaçants,; deux et Brunialti.s'asi 5e l'association, 47, a. apposer, Montmartre. affiches les-officiers leurs intentions. annonçant aux ouvriers que socient aux paroles de'M. Sonnino. rue ; ne se sont jamais, départis--de cours de route, commencé l'Interroger. La Prévoyance, société de secours mu • Grâcîi à. llûcorporalion de membres élus,-,. Après avoir essayé de nier, -Lafond fini leur remarquable sang-froid et. ils ont su ins ceux qui n'auraient pas' repris le travail La Chambre, à l'unanimité, refuse..lés dé Vësinet, donnera tuels du a demain pirer ta meiné patience à leurs 'hommes. Ainsi rparfli prochain seraient considérés comme missions. ; soir, à te soossil da-l'empire- entre en contact in-i pav'avoueisçu'il avâit entrepris de, feabri- 6'est concert 1/4, profit 8 de .caisse h. exprimé un, jiu sa de recenimèàt f^ord, le préfet ! du ap-; ayant xuiltté l'atelier- définitivement,;^^qua 'Pans les couloirs, on prétend :quô -lea e0' secours.'^a . ^''y • T ' 1 ---• •

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DEKNIËHES NOUVELLES M-A.I

1906 (4 heures d/uL matin)

Formidable menft i la Halle

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A L'OFFI

de Tilh-Liang, président;du conseil des re-j venus, comme 'surintendant des affaires douanières, avec Toug-Chao-Yi, président du conseil des affaires étrangères, commé

ministre adjoint.

Tous Chinois et étrangers employéà UNE EXPLOSION DONNE dans lesles divers bureaux de douane sônt pla-' Cés sous leurs ordres. Cet édit peut affecter IMMENSE BRASIER. L'ALARME. DIX POMPES radicalement la situation de sir Robert Hart, inspecteur général des douanes." • ÉMOUVANTS SAUVETAGES. MANŒUVRE. EN

50 BILLIONS DE DÉGÂTS.

On monde de Pékin au Times, au sujet du nouveau décret relatif aux douanes, qu'il ne s'agit pas d'un simple transfert de fonctions, mais d'un changement fonda le.n 0 5 se trouvaient, outre la halle aux mental dans la seule administration hon cuirs et l'entrepôt d'octroi des matières pre nête'de la Chine. mières^ les magasins de M. Brunei, com le correspondant du Times; les — Or, ajoute missionnaire en cuirs ; de M. Carthery, re emprunts étrangers étant,'gagés sur les reve présentant en cuirs et peaux ; de MM. nus de cetté administration, il faut, dans l'in Friedlaender et Cie," qui s'occupent spécia térêt des porteurs de titres, déclarer à la Chine qu'aucun changement ne sera toléré tant que lement des cuirs anglais et américains ; de les M.- Dalphin, marchand de cuirs et peaux ; tis. intérêts des porteurs ne seront pas garan' de M. Lambert, fabricant de produits pour tanneurs et mégissiers ; de M. Ginouvier, 'AFRIQUE ALLEMANDE courtier en cuirs et peaux*' Au 5 bis, c'est encore un tanneur, M. ENGAGEMENT AVEC LES HOTTENTOTft, Bmirnas-Peyraud ; au 7 et au 9, ce sont les Berlii^, 11 Mai. magasins de la maison de cuirs< et. peaux en , _p6il Goldschmidt ; aju'10, au 11, au, 13, au Des troupes allemandes postées près de" 17, au 20, au 22, encore et toujours, des tan Gawachah ont eu à soutenir un combat sé rieux contre un bande de Hottentots qui neurs ou. des mégissiers. , . . était enfermée dans les petites montagnes Ce Halle de Karas et cherchait à gagner la région' L'ancienne corporation des marchands de du; cours inférieur de la rivière des Lions. cuirs avait, autrefois, sa halle spéciale, L'ennemi dans le quartier du cimetière des Innocents, a abandonné,sa position .et a été poursuivi par les troupes. rué de la Lingerie. , Les Allemands ont eu trois cavaliers tués" A la fin du dix-huitième sièclè, la, halle et deux officiers grièvement blessés. Un méaux cuirs fut transférée rue Mauconseil, idecin. major et trois cavaliers ont été bles dans les bâtiments de l'ancienne Comédie italienne ; elle devait y rester jusqu'au mo sés légèrement. .• . ment de l'agrandissement des Halles cen

ON CROIT A UN ACTE DE MALVEILLANCE. Un formidable incendie, dont les lueurs se voyaient de tous les points de Paris,'a1 détruit, hier soir^ la halle aux cuirs, le vaste bâtiment qui s'élevait, 5, rue San teuil, dans le cinquième arrondissement,: en plein quartier des tanneries. heures, 1 Le feu a priB, un peu avant onze dans la partie des bâtiments qui se trouve en pan coupé sur''la rue de la- Clef et il a couvé assez longtempssansêtre vu de l'ex térieur.Ce n'est que vers onze heures ' vingt que 'deux explosions de fûts de benzine ont don-; né l'alarme; Mais déjà l'incendie avait pris des proportions- considérables et les flam-' mes avaient envahi une grande partie de la halle aux. cuirs et des magasins géné raux y attenant; • Ces* derniers : magasins renferment de grandes quantité?. de marchandises, no tamment des grains et des fûts d'huiles, ainsi'que 50,000 : kilogrammes environ de paraffine, "matière éminemment inflamma ble.

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qu'était la

aux cuirs

En -quelques instants tout flambe. ; Les pompiéi's des rues de Chaligny et de Poissy, du boulevard de Port-Royal, des casernes Jeanne-d'-Arc, des rues de Sévigné trales. " ' et du Vieux-Colombier et de l'état-major C'est alors, la^alle que aux cuirs fût édi mettent une dizaine de pompes,en batterie. fiée emplacement actuel, au centre sur son Il y a là près d'un hectare environ de bâ du .quartier des tanneries des corroieries et timents ett -flammes |t c,ombieii dë mil traversé là Bièvre, dans un terrain au-, qpie lions de marchandises vont être engloutisl trefois occupé par les dépendances de l'an Mais a,vant de <penser aux dégâts maté cien hospice des riels il' faut songer à sauver les locataires L'ensemble. de Cent-Filles. la halle aux cuira forme : des bâtiments sinistrés. de 163 mètres de long Dans l'intérieur de la halle étaient logés un parallélogramme 60 de large à côté des bâtiments conte ; une dizaine d'employés avec leurs familles, sur nant les bureaux d'administration, s'élèainsi que des douaniers. Il y a, en effet, .vent d'immenses magasins pour les cuirs, un bureau dans la halle même.: Les malheurèux s'enfuient en toute hâte,' une salle de ventes publiques et un établis de crédit. .Une cour de. 1,350 mètres emportant"ce qu'ils ont de plus précieux, sement de surface, couverte d'un comble en fer mais ils ne peuvent' sauver que quelques avec vitraux, fôrme le carreau de la halle, meubles, qui sont entassés dans les rues qui est en quelque sorte le home du. mar ^voisinantes. ché aux cuirs ; deux étages qui font le tour D'émouvantes scènes de sauvetage se pro de cette cour servent de magasins aux hui duisent. les, dégras Une vieille femme paralytique, âgée de des déchets et autres matières provenant des cuirs. quatre-vingts ans, Mme P.ernichon, est des L'entrée principale de la halle aux cuirs, cendue à l'aidé d'une échelle du premier :qui donne étage par/iin agent nommé Alphonse Guil- cade à pleinsur la rue Santeuil, est une ar cintre .surmontée d'un écusson lon. , de armes la Ville, aux côtés duquel se Le courageux saiiveteur qui réussit à' se aux des médaillons ornés de têtes de courir une autre personne, Mlle Allard, est trouvent bœufs. " ', blessé à la main.' Il n'en reste pas moins La halle cuirs avait été exécutée, en sur le lieu où son dévouement va sans.dou- .cinq mois, aux de M. Jules la direction sous 4e être "encore nécessaire.,, M. Lépine, /préfet de police, arrive vers Bouchet, architecte. onze heures trois "quarts, accompagné de f Les pertes totales s'éleveraient, immeu M. Corne, son chef de cabinet. Il dirige bles et marchandises, à 50 millions* ' lui-même le service d'ordre, secondé par M. Bouteiller,. commissaire de police du LA MORT DU BEY DE TUNIS quartier; et M. Fâuvel, officier de paix. Les casernes voisines .ont envoyé de forts

détachementsdii 101* d'infanterie et colonial, qui cohcourrent avec les agents au maintien de l'ordre., A minuit, l'incendie est aussi violent ju'ai^ début. On espère cependantpouvoir empêcher le feu de s'étendre, aux maisons voisines qui avaient été un moment fortement menacées. Une usine de pâtes alimentaires; notam ment, await inspiré de vives inquiétudes. Un peu ap^è» minuit, M. Lépine pénétré dans' la Halle aux,cuirs ; il en. ressort au bout de quelques instants son opinion est que l'incendie est ^Lû à la malvéillanceil semble maintenant établi que le feu a éclaté aur trois,points à.'la fpis^ . , Cependant, malgré tous les efforts, on n'est" pas arrivé à réduire le foyer de l'in cendie, qui est circonscrit, mais non mai-, trisé."

Un mur qui s'écroule

'A une heure cinq, un pan de mur,, long de 50 mètres et: haut de 8 mètres, en bor dure, sur la rue de. la Clef, s'écroule avec un formidable fracas ; la rue a été complè tement évacuée, mais M. Lépine et le co

lonel des pompiérs manquent d'être, pris sous les décombres. De l'intérieur, dè la Halle aux cuirs, on entend de sourdës détonations qui se suc cèdent de 'minute en minute : ce sont des barriques de benzine et d'autres produits chimiques qui. font explosion. Par l'entrée de la rue Santeuil, les sauveteurs enlèvent les barriques de benzine restées ians la cour intérieure, mais on craint que le feu ne se commûnique aux caves ou se trou vent de nombreux produits inflammables, benzine, paraffine, naphtaline, etc.

Le feu gagne les caves

une heure et demie, le feu gagne les* caves où il y. a 800,000 kilos dlhuile et de pétrole ; les pompiers font des efforts sur humains pour ' calfeutrer les caves, bouchant toutes les ouvertures avec des sacs et des couvertures. Un mur.de quinze mètres de hauteur fai sant l'angle de<la rue de la Clef et de la rue du Fer-â-Moulin menaçant de s'écrou ler, on fait déblayer tous, les abords qui étaient à nouveau envahis ; on craint qu'il ne tombe sur une maison habitée et on prend des mesurés pour le faire évacuer. On défonce toutes Les parois, de la halle iaux cuirs pour ne. faire qu'un seul foyer, qui sera plus facile à combattre. Les agents viennent d'arrêter des ban dits qui, > à coups de couteau, crevaientles tuyaux des pompés. A l'heure où .nous mettons sous presse, l'incendie continue et les pompiers ne sont pas encore maîtres du feu. rA

Tunis, 11 Mai, soir. Quand, à' 8 h'. 32, le bey mourut au pa lais de Dermech; près de Carthage, le doc teur Schoull, • qui constata le décès, vint immédiatement en automobile informer M- D'Anthouard. f Toute' 1$ famille beylicale, lqs, princes et: princesses qui se tenaient dans le grand patio du palais de Dermech, près de la chambre mortuaire', donnèrent des signes de la plus violente, douleur ; lorsque Mo-ï hamed-el-Hadj rendit le dernier soupir, les femmes poussèrent des cris, se couvri rent la tête et s'égratignèrent le visage de* leurs ongles: vSeul, Moham'ed-el-Nasr, le nouveau bey, ne parut pas de toute la journée au. palais de son prédécesseur ; il ne quitta pas, se ^conformant à l'usage, son palais, . i Ainsi qu'il fut fait pour le précédent bey, le corps de Mohamed-el-Hadj a été trans porté. deux heures api'ès ledécèâ, du Pa lais où il est mort au Palais Kassarsaïd. Le .cortège était'formé des fils, frères et princesses beylicales. L'inhumation aura lieu 'dimanche, au ,tombeau de3 beys, -situé dans Tunis. 1 X L'INVESTITURE . OU NOUVEAU SOUVERAIN

Tunis, li mai,, il heures soir.'

L'a' cérémonie d'investiture aura lieu de main, ..dans rapïôâ-Uttîdl," àu palais du Bardo ; elle sera entièrement confonde au cérémonialsuivi,lots dé Ià'proclamation de Mohammed-el-Hadj,le Ï2 juin 1902. M. d'Anthouard,entouré de tous les chefs

de service du gouvernement du protecto

rat et du premierministre, déclarera, au de la nation protectrice,

Mohammednom el-Nasr bey de Tunis, puis celui-ci se-ren dra dans la grande s&He du trône où, ayant iauprès derlui M. d'Anthouard, il recevra les félicitations des chefs des différentes ad ministrations française? et celles de ses su jets. ' • .. MISE EN LIBERTÉ D'EUGÉNIE FOUGÈRE 1

Londres,

11

Mai, soir.

. Mme Eugénie Fougère, laissée en liberté sous caution, joue ce soir dans un music

halL "

3ËrxrE=LA.rSTQ3 x

(Dgp&A« Al BM «MrmyBrftiifai

fo fpmiffl) TURQUIE

LA SAISIE D'UN NAVIRE ALLEMAND

Constantinople, 11 Mai.

L'ambassade d'Allemagne réclame à la, Les sauveteurs Porte une somme de 300 livres turques Parmi les sauveteurs qui se sont signalés la détention du voilier Odysseus, quepour les au cours du sinistre, citons l'agent Marcel autorités turques soupçonnaient de trans Rousseau, ; du cinquième arrondissement, porter, des explosifs. qui a descendu du' troisième étage une fem MEURTRE DÉMENTI me de quatre-vingt-quatreans, qui se trou Constantinople, 11 Mai. • vait dans un des logements donnant sur la. Les bruits qui ont couru sur le meurtre rue de la Clef..Au commencement de l'in d'Abeddin-Pacha, ancien ministre des affai cendie, le sergent Huet, du 23e colonial, et res étrangères, sont démentis officiellement. M. Jeumin, greffier au tribunal de commer Abeddin-Pacha est mort de mort natu réùsBi à pénétrer dans les ont bureaux relle» ce, 2t à enlever le coffre-fortcontenant la comp 'ANGLETERRE tabilité des douanes et de l'octroi. Dès. le début de l'incendie, au moment où PROJET. D'ORGANISATION D'UNE ARMÉE TERRITORIALE l>n a enfoncé les portes donnant rue San Londres, 11 Mai. teuil pour organiser les premiers secours, d'Etat secrétaire Le pour la guerre a une dizaine d'individus ont tenté de péné nommé présidée par lord trer dans la Halle aux cuirs ; ils ont été Esher, une commission, pour èxaminer le meilleur moyen arrêtés par les agents de la sûreté. ! d'organiser les forces auxiliaires en armée La rue Santeuil territoriale, conformément aux principes La rue Santeuil est la rue des cuirs. Dans exposés dans son récent discours pur le toutes les maisons qui la forment sont ins budget de l'armée. « tallés'soit des entrepôts soit des ateliers, CHINE où sont entassées d'immenses quantités de L'administrationdes douanes peaux-soumises à des préparations indus Pékin, 11 Mai. trielles. ; Pans^le seuli^orpa-deibâtimentgui porte jUn éditrimpérial -annonce la nomination .

Londres, 11 Mai,

; :

A, B, C, D, E, F, G ; H soir.' Constantinople, Mai, 6 heures 2° Manège Duthil, de, l'Ecole supérieure , •la grand-vizir doit avoir une entrevue de guerre, avenue Lowendal, 162, candidats avec l'ambassadeur britanniqueà onze heu- dont les noms commencent par les lettres du soir. H, i; J, K, L, M, N, O, P ; 3° Manège Caulaincourt, de l'Ecole mi CIEL, litaire, avenue Lowendal, 87 candidats dont les noms commencent par les lettres Q, R, S, T, U, V, W, X, Y, Z. Le Journal officiel publie ce matin : . LE &EGEHSE1EKT DES CHEVAUX ET S0LETS Intérieur. — Décret déclarant d'utilité, pu blique dans le quinzième arrondisseiflent de En exécution des prescriptions de la. loi Paris une voie nouvelle en prolongement du 3 juillet 1877 et du règlement d'adminis de la rue des Morillons. tration publique du 2 août suivant;; modi Agriculture. — Arrêté déclarant phy^ fiés par la loi du 27- mars 1806, et des ins loxéré l'arrondissement de.Mauléon (Bas tructions du ministre'de la guerre du 22 fé ses-Pyrénées). > vrier 1904, il va être procédé à l'examen et Marine.— Décret portant promotion. au classement des chevaux, juments, mu Décision portant promotions, mutations'. lets et mules susceptibles d'être requis pour Décision accordant des .récompensespour le service de l'armée en cas de mobilisa actes de sauvetage. tion, c'est-'à-dire âgés de cinq ans et au-des V. PARTIE NON OFFICIELLE sus pour les chevaux et juments et de trois . Avis relatif à une place d'auditeur au ans et au-dessus pour les mulets et les conseil supérieur d'hygiène publique de mules. . . Les opérations relatives & cet examen et France déclarée vaoante. à ce classement commenceront dans le dé partement de la Seine à partir du 15 mai. LemystâreJe Montrenil-sons-Bois

^s

ai Cuirs

- -

l'état critique 'des: relations anglo-turques^ dont les noms commencent par lés lettres Compagnie du chemin de fer de l'Est» noiçmô Lerat, été-serré entre deux wagons et il a;

•.

Chronique des Livres

i Nous avons dit que lé docteur Courtois» Suffit, médecin légiste, jcommis pO;Ur prati Ce qui paraît le plus aride, le plus rébarba quer l'autopsie de Mmç veuve Verteuil, la tif, le plus difficile dans la grammaire, c'est rentière trouvée morte, dans sa villa à Mon- assurément l'étude, des Participes. treuil-sOus-Bois, avait, à la suite d'un pre Les « participes » constituent fréquemment jue mier examen, déclaré la mort remon un écueil infranchissable, çontre lequel vien-" nent se briser les plus grands efforts de bon tait à lundi dernier. volonté. Le plus souvent; ce n'est pas la Hier matin, le médecin a fait l'autopsie ne faute de ceux qui étudient et qui voudraient définitive du cadavre, il a fait une décou bien apprendre ; c'est bien plutôt celle du sys verte! sensationnelle qii détruit totalement tème d enseignement. Là plupart des toutes les présomptionsde là justice au su maires embrouillent top la question.gram C'est . tant de personnes sont si embarras pourquoi jet dlun crime. j sées quand il s'agit d'appliquer les règles. Or« En effet, le. docteur fcourtois-Suffit a re Méthode Carrey, dont j'ai eu déjà l'occa trouvé dans le crâne ae Mme Verteuil une la sion parler, a entrepris de- simplifier réelle seconde balle de revolver, pareille à celle mentdel'étude des participes,.de.la rendre ac découverte sur; le lit de la défunte. cessible à tout le monde et à tous les âges, ; La balle avait pénétré par le palais dans avec Participes sans maîtres en six leçons la ; bouche .et avait brisé la boîte crânienne: (suivis des exercices corrigés). C'est un petit très bien fait, résultat de longues médita sans, cependant ressqrtir par le sommet de livre empreint d'une clarté «t d'une précision tions, latite. remarquables, qui ne coûte vraiment pas cher Il semble donc inadmissible qu'un malfai et qu'on sera certainement aise de connaî teur ait pu introduire dans la bouche de la tre, quand on n'est pas trèsbien fort sur les Parti rentière le canon du revolver que celle-ci cipes (Albin Michel, éditeur, 59, rue des Mathutenait à la main. Très vraisemblablement, rins, Paris ;. 95 centimes le[TOlume). L'iqMIon Ml» lo Mme Verteuil se sera donné la mort en se « Pour devenir riche, il faut le vouloir, et tirant un coup de revolver dans la tête, le avec acharnement. La volonté seraprès avoir tenté de s'étrangler avec la cor » vievouloir l'intelligence vient & bout de tout... par » Dans sa séance de jeudi soir, le conseil delette trouvée autour dé son cou. La Fortune est le fruit de la persévérance. » de,la Société française de navigation aé / Ûe nouvelles constatations sur place ont » La chance n'entre qu'accessoirement en lirienne a invité M. Wellmann à exposer de Été décidées par MM. Leydet, juge d'ins » gne de compte dans le' résultat" Richesse, vant elle les détails de son projet d'explo truction, et Hamard, chef de la sûreté, > la chance ,est un fruit de l'audace... > car . ration du Pôle Nord à l'aide d'un dirigeas afin de préciser dans quelles conditions . Qui parle ainsi ?... Un ouvrage original et intéressant entre tous;' intitulé : Cent , et un ble, en construction en ce moment à Paris.. Mme Ferteuil s'est suicidée. moyens' de faire, fortune, mais qui n'a rien de ' Les explications seront données1jeudi pro? commun ~ les lignes-précitées le prouvent chain.,à l'hôtel des ingénieurs civils, 19, rue suffisamment — avec la banalité, pour ne pas Blanche. Elles seront accompagnées de dire la niaiserie de beaucoup de publications l'exposition des plans:du ballon et de la na du même genre. celle, des échantillons des agrès, des diffé Dû à la plume d'un écrivain de talent, Henri d'Orcines, qui l'a traduit de l'anglais, d'après entre le plan de Wellmann* M. rences le manuscrit du milliardaire australien J.-D. et 'celui de l'infortuné Andrée, Ce mar-f Clayson; livre, qui ne contient pas moinsce tyr de la science, a déveJrtppé, en'1895,1 300 pages,: étudiant toutes les professions, de ses plans devant la Société française.) est, par excellence, le guide, « févangile »; Les récentes découvertes faites dans ï&< De que peuvent valoir de bons renseigne* des nommes travailleurs, intelligents, coura Polairp donnent soine aspirent, prix mente. Une tragique. L'en* qui réel sinon à la grande richesse, mer geux, un aux; explications qui seront données,ainsi; ' , quête du—mari de la victime. — Arresta du moins à. l'aisance la plus large. (Librai rie Universelle, 33, rue de Provence, Paris ; qu'au Souvenir des. objections faites" à\ tion des deux coupables. 1 fr. 50 ; franco, 2 fr.) cet homme d'un caractère héroïque dont lei Elzévir. sort invitera son successeur à la prudence. ...' (Dépêche de natte correspondant) Marseille, 11 MaL Aussi, le départ pour le Pôle sera-t-it. précé Inauguration raatin-Latour tle l'exposition dé d'une campagne de. manœuvres au« Un négociant de » Marseille, M. Abril, de Spitzberg, où toutes les parties du ballon meurant boulevard des Dames, avait pris, Le Président de la RépuWique et Mme ^polaire doivent être soumises à' des expé ces jours derniers, à son service, une jeune riences systématiques. bonne, d'origine italienne, sur laquelle un: Fallières, accompagnés de Mlle Fallières M. Wellmann se présentera accompagné bijoutier,' qui l'avait occupée précédem- et de M. Jean Lanes, secrétaire général de de trois personnes de son équipage, parmi mënt, avait donidé de très bon9 renseigne la présidence, ont inauguré, hier, à deux heures, l'exposition de "œuvre de Fantinlesquelles, nous citerons le maj or. Hersey de ments. l'armée américaine, représentant le: Wea- :En: effet, Annetta — c'était le nom de là Latour, à l'Ecole des Beaux-Arts. été reçus par MM. Briand, minis thxr Bureau de Washington, et M« Her- servante paraissait, très assidue à son Ilsdéorft -l'instruction publique ; Ruau, minis vient, aéronaute français. travail, et, déjà, M. Abril et sa femme lui tre ; Dujardin-Beaumetz, témoignaient .une certaine confiance. C'est tre; de l'agriculture d'EJtàt . soiis-seçrétaij;e beaux-arts ; Douaux ain'ei.que «ematin,-le négooiant était parti p^èàldën't Chambre 'là" 'Bonnat, de pour aller traiter une affaire, laissant sa mer,' de l'Ecole Beaux-Arts, directeur des ' et femme couchée, ainsi que leur bébé, âgé de (DêpêcUe 'de notre correspondant) Bénédite, Léonce conservateur du musée du diXrhuit mois, tandis qu'Annetta vaquait Luxembourg, organisateur de l'exposition. Redon, 11 Mai. aux soins du ménage. » L'.œuvre de Fantin-Latour, si varié, si Peu après le départ de M. Abril, un coup Le tribunal correctionnel de Redon a visi condamné cet après-midi à huit jours dé 1 de- sonnette retentissait. Annetta s'empres- vibrant, a été salué, par les nombreux d'un cette de première journée, teurs unani prison, sans sursis, M. Yves du Halgouët, sadt d'aller ouvrir et venait dire à Mme fils du député, inculpé d'outrages au per Alidl qu'un homme insistait pour être reçu me cri d'admiration. L'exposition se prolongera' ïlurant les cepteur, lors de la tentative d'inventaire par elle. Mme Abril, quelle que fût sa sur prise de-recevoir une visite-aussi matinale, moisule mai et de juin. de Bains. '. ; se leva, et passa un peignoir. Soudain, un individu fit irruption dans i sa chambre, saisit la. malheureuse femme par le cou, la renversa sur son lit, la-bâil(Dépêche de notre correspondant) lorina, puis, ayant arraché un cordon de Une antlmifiîarlste ' tetltiire, solidement l'attacha à un pied du Béziers, 11 Mal.Une marchande des quatre-saisons, Ca assistait, lit. La bonne impassible, à cette therine Larregina, l'Italien qui, près de Capes-' scène tragique. Cependant, quelques Demazet, âgée de quarante-trois ins ans,demeurantboulevard 'tang, a tué son fils à coùps de hache et a tants après, de Ménilmontant, l'homme s'était armé tenté de faire disparaître, en les^-bcMant, d'un couteau,comme aTrêtée, la nuit dernière, été vers onze pris dans la cuisine, et que, aheures, les restes de sa victime, a été interrogé revenant avoir manifesté senti pour ses vers Mme Abril, il s'apprêtait à ments antimilitaristes devant un fantassin vlonguement II nie être l'auteur du crime la frapper, Annetta s'écria, suppliante : de faction à la et prétend que, dans la nuit, deuxliommes caserne de la Cité. Francisco, je t'en prie, ne la tùe pas ! i Catherine Demazet ayant le visage noirci- se sont introduits^ Jei—ferai qui, en' passant de-' ce que tu voudras I dans son habitation par la porte, fermée Et tandis factionnaire, crié : « Sales le vant le criminel, le co.uteàu le soldats 1 Assassins ! Aavait seulement au loquet/ se sont jetés sur vé devant laque l'armée ! » et poitpine de la malheureuse qui avait ensuite injurié. bas lès agents, a été son fils et l'ont assommé. ' Il raconte que1! femme, folle d'épouvante, tenait prêt à envoyée les soi-disant assassins lui ont placé le c%- la poignarder si eUe avaitsepoussé au dépôt par M. Briy, commis cri, un soud d'un fusil la le police. .menaçant de saire non gorge, Annietta se mit à fouiller les meubles, puis • de le tuer s'il poussait le moindre cri. Sauoôe deux de la mort fols s'enfuirent précipTtamAu moment de son. arrestation, le mons '«les deux complices otijets, divers meut, emportant une centai Un débardeur, M. Charles .VaTé, âgé de ; trueux criminel avait affirmé au juge de 0e des bijoux francs et d'une valeur de ne trente-six ans, apercevait, hier matin, sur paix de Capestang, qui fit les premières 3,000. francs. le pont de Tolbiac, une jeune femme, te constatations, que « son brave Vincent », Lorsque Mme Abril, qui s'était évanouie, ^ nant dans sies bras un bébé de quelques — c'est ainsi qu il appelait son fils, — avait' >eut recouvré ses sens et eut pu, au prix de mois et dont les allures lui paraissaient abandonné leur domicile depuis la veille péniblea efforts, débarrasser de se ses étranges.; Il la suivit. Brusqueihent la et que lui-même ignorait où le jeune hom liens, elle appela à son secours*. Des Voisins jeune femme enjamba le parapet-du pont me était allé. i i accoururent la pauvre femme "reçut des Elle allait s'élancer dans le fleuve quand . ; teoins et son mari fut prévenu. Dès que ce le débardeur la retint par ses vêtements. DUEL MILLEVOYE - D E HOftILLES lui-ci. connut ce qui s'était passé, il avisa Cette courte scène n'avait été vue de per le commissaire de police du quartier, au MM. Mlllevoye et Mathieu de Noailles se quel il demanda de lui laisser diriger lui- sonne. M. Varé demanda à' la jeune femme pour sont rencontrés hier, à deux heures, dans même les r-echerches. Deux agents de la sû squoi elle avait voulu, se tuer a.vec son en un duel au pistolet, au Parc des Princes. reté, 'MM. Rochèfort et, Sarri, furent mis à fant. Elle répondit qu'elle avait des cha Deux balles ont été échangées sans résultat. sa disposition, et M- Abril, après avoir fait grins intimes, mais que, certainement,, elle établirune surveillance à sa porte et à la ga- ne tenterait plus de s'y soustraire par le Tfi, fit une enquête personnelle. Il parvint suicide. Le débardeur la laissa s'éloigner, LE OIFFËREHD tH GlO-TURC à retrouver la trace des coupables, et, ce mais, un. peu méfiant, la suivit soir, 11 avisait-, par téléphone M. Veynss, Elle n'avait pas fait deux cents mètres, Rejet des nouvelle»propositions de la Porte secrétaire général de la police, que les ins rue de Tolbiac, qu'elle se précipitait sous pecteurs Sarri et Rochèfort venaient d'ar un tramway Montréuil-Boulogne. Cette(Dépêche de VAgence, Havas) rêter Annetta et son complice en gare d'Au- fois'encore l'intervention de M. Varé la Constantinople, 11 Mai. moment où ils allaient prendre bagne, Le débardeur s'élança sur la voig, Tewfik-pacha . s'est rendu hier après- Je trainaude Vintimille. Annetta avait en sauva. au risque' de se faire écraser, et entraîna midi à L'ambassade ^Angleterre. Il était core sur elle les bijoux et l'argent volés. la désespérée, tandis que le mécanicien du porteur de propositions qui, ayant été ju tramway serrait les freins., Une,seconde de gées complètement inacceptables par l'am plus et le malheur se produisait. bassadeur, ont été rejetées sans discussion : Des agents conduisirent la jeune mère, par lui. qui tenait toujours son enfant dans ses Sir N« R. O'Conor, ambassadeur d'An bras, chez M. Rocher, commissaire de po j.. 1 gleterre, a prévenu en même temps Tew i île' V ' Petit Journal ' Miutaire, Marhiue, C oloioal,- lice du quartier de la Gare. Ellè déclara à fik-pacha que le délai fixé par l'ultimatum tupplèmeni du petit Journal, .publie, chaque ce magistrat qu'elle avait voulu se tuer tirait à sa fin, et que lé gouvernement an samedi, les illuttri Nominations de :la Guerre et de la parce que sa douleur était grande d'avoir glais insistait pour que la Porte fît droit Marine ' et les Informations intéressantes sur les perdu, récemment, en quelques semaines, ef les Flottes de tous les pays du monde. purement et simplement à ses demandes: Armées trois jeunes enfants. Ches. tous les dépositaires du Petit Journal. Le ministre a regagné ensuitq le Palais, Après avoir contrôlé l'identité de la mal ..ÉCOLE SPÉCIALE KILIUI&B DE SAIÏT-CYR où un conseil des ministres a été immé heureuse,Alice Le Lorra,demeurant rue Al diatement convoqué. bert, et sur sa promesse de ne pas tenter a jf Concoursd'admission de 190S 0 . ; de se tuer, M. Rocher l'a remise Note optimiste Les\ corqpositions écrites du concours nouveau Toutefois, il ne l'a fait qu'après liberté: en Londres, 11 MaL d'adnission à l'Ecole spéciale militaire au avoir reçu du mari de la jeune femme l'as ront lieu, à Paris et dans les centres des surance Du Times, 2* ëdltion ; qu'il veillerait désormais sur elle. 12, 13, 15 départements, les 14 et juin 1906, Le Caire, 11 MaL rordre ci-après : FEU DE CAVE. — Un incendie s'est déclaré, On espère dans les cercles officiels du dans après-ihidi, dans le sous-sol de la bouti hier Caire que les négociations avec la Porte : Mardi 12 juin : Matin, de 7 h. 30 à 10 h. 30, que de 30, rue Brisemicompositionfrançaise ; soir, de 1 h. 30 à f> h. 30, chë. M. Thirion, serrurier, aboutiront à un résultat satisfaisant. été causé feu, qui avait Le par la chute allemand (thème et version). tenait à lampe Merîredi 13 juin : Matin, de 7. h. 30 à_10 h. 30, d'une essence que un apprenti, Le .délai'accordé au sultan par l'Angle de travail, par après heure éteint, a'été une de mathématiques ; soir, de 1 h. 30 terre va expirer. •— Démarohes des am- composition dégâts paraissent Les pompiers. ne pas à. 2 h/ 30, calcul logarithmique ; de S h. 35 à les liassadeure. : ' importants. très '' f , 4 h. 35, paysage. Londres, H Mai. LACHE VENGEANCE. — Rue des Poisson "Jeudi 14 juin ; Matin, de 7 h. 30 à 10 h. 30, C'est dimanche prochain, d minuit, qu'ex tracé d'une épure de géométrie cotée ; soir, de niers, hier dans l'après-midi, une jeune cersetière, Jeanne Chartraine, réduite à la mi pire le délai fixé par l'ultimatum de VAn 1 h. 3) à 4 h. 30,'compositiond'histoire. Vendredi 15 juin : Matin," de 7 11. 30 à sère par l'abandon d'un employé de commerce, gleterre à la Turquie. h. 130, composition de physique et chimie ; Jean Leflls, âgé de vingt-cinq ans, a lancé à La flotte britannique agira aussitôt, si le 10 à 1 h. 30, langue vivante facultative (thè celui-ci un bol de vitrioL Atteint à la figure, sultan n'a pas cédé d ce moment jïdes me soir, il a été transporté à l'hôpital Lariboisière. On etj version), deux heflres pour chaque. croit qu'il perdra l'œil droit. Jeanne Chartraine sures actives de coercition sont devenues me ' A paris, les compositions écrites seront g été ÔITÔtéô» nécessaires. " L'ambassadeur 'de Turquie est allé voir, faites^ans leB locaux ci-après : SERRE! ENTRE DEUX WAGONS. — Au cours -1° Manège d'Aure de l'Ecole supérieure d'une manœuvre dans la gare des marchandi cet après-midi sir Edioara Grey. jd&!guerre,'£LY£n£0 LP.Wjyrâal,J86, candidats ses -de la yiMte, .un homme d'équipe de la il est^extaia\£iua lïentretiefcaHsifiztê sur.

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«— Le draine de Capestang

A TRAVERS PARIS

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a été ;«il.a comprimée poitrinefortement la en état â

l'hôpital Lariboisière dans un

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Hier matin, un .en. -nommé Louis Baudrat, de-,

, ENFANT ECRASE.

fant de dix ans, meurant chez ses parents, rue Cambronne, .a été heurté et renversé rue Lecourbe, par'une automobile, dont les roues lui ont pa^sé sur le corps. Le pauvre petit a été immédiatement transporté a l'hôpital des Enfànts-Malades, ou son état est considéré comme très grave. RUPTURE AGITÉE. Un commis d'archi tecte, Louis Darbelle, — rentrant chez lui, rue des Pyrénées, hier vers midi, aperçut sa compagne, Julie Lecrille, qui préparait sa malle pour s'en aller (définitivement. Une que relle éclata et Darbelle voulut frapper son amie d'un coup de poignard, mais elle s'arma d'un revolver et fit feu sur l'agresseur, qui prit la fuite, et depuis n'a pas été retrouvé. Mlle Lecrille' a été invitée à se tenir à la dis position de la justioe.

.

»

DRAME DANS UN FIACRE. — Hier à trois Henriette,

heures, une jeune femme, nommée Lesage, âgée de vingt-trois ans, qui passait en fiacre devant le 26, du, boulevard Auguste-, Blanqui, a. tiré deux coups de revolver sur un Jeune homme de vingt ans, Raoul Decalvo, qui se trouvait à ses côtés' dans la voiture. M. Decalvo a été blessé & la figure la jeune femme a été arrêtée. ACCIDENT DANS UN CHANTIER. — Un as-' censeur placé dans une maispn en construc tion, à l'angle de la rue de.là Chausséed'An-, tin et du boulevard Haussmann, a heurté, a. hauteur du second étage, un wagpnnet chargé" de madrier,, qui ont été précipités sur le sol.' Un maçon, nommé Fernand Sauson, a été sér " rieusement blessé. »

Petit Jocinal Demain DIMANCHE de 3 heurea à 5 heures

'

LE CIHÉBATOGRAPHE

Petit Journal

du

' NOUVELLES BANDES TRÈS AMUSANTES

Le cochon de lait >Bes bottes du g-emfarme. ' Le cul-de-jatte amoureux. Une mauvaise farce. &e garçon de recette* X.e

hanneton.

xaES xisrsrisiBriBis '

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GRANDE FÉE RIE

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•Entrée: EO cent, par personne &&

AUTOUR_DE PARIS Somca spficuii do

Pe6SL

Journal

Bioêtre. — Un soldat du 23» régiment d'in-" fanterie coloniale, nommé Cacheux, a été,

trouvé mort, la tête trouée d'urie balle, près du fort de.Bicêtre, où il tenait garnison. , Bien que certamesi persennes aient cru a qu'il s'a-, un crime, la police est convaincue git d'un suicide et le parquet a partagé cet avis, puisqu'il a délivré, hier. le permis;

d'inhumer.

1

La PIaine-Saînt-Denï8. — En reaitrant. . chez elle, rue du Port, la nuit dernière, ;& une heure, Mme Tassard trouva la porte de son appartement fracturée. N'osant péf. nétrer chez elle, elle prévint le concierge, mais au moment où celui-ci, armé d'un re volver^ entrait dans ' l'appartement, deux 1 icambiioleursouvraient précipitammentune fenêtre située au premier étage, sautaient dans la rue, et réussissaient à prendre la fuite, en emportant des objets divers et une somme assez importante. Saint-Denis. — La nuit dernière, vers une heure, un ouvrier, nommé Henri Amel, âgé de trente ans, rentrait à son domicile, route de Gonesse, lorsque, non loin de sa maison, il vit un homme aux prises avec trois indi vidus qui cherchaient sans doute à le déva liser. Il voulut prêter main-forte à. la victi me ; mal lui en prit, car les trois individus auxquels s'était joint celui qu'il avait pris, à tort, pour une victime, se jetèrent sur lui; il battit en retraite et essuya plusieurs coups de revolver. Au moment où il franchissait la-porte de • sa maison, de rouveaux coups de feu furent tirés. Montant précipitamment chez lui,; Henri Amel s'arma d'un fusil, ouvrit sa fe-i nêtre, et tira sur ses agresseurs. L'un d'aux,. nommé Nicolas Melchior, âgé de vingt-deux ans, fut grièvement atteint en pleine poi trine ; ses complices prirent la fuite. Le blessé a été transporté à l'hôpital de Sadnt-> ,

Pénis. Versailles. "Une 'arflente patriote,; Mme . veuve Bosch, qui avait quitté Strasbourg, où elle était née, à la suite de la guerre de 1870-71, vient de mourir, à ..Versailles, à l'âge de soixante-rept ans. A maintes repri ses, Mine Bosch avait exprimé le désir d'ê

tre ensevelie dans un drapeau français. Son vœu suprême a été exaucé et Mme, Bosch repose aujourd'hui, au cimetière des Gonards, à Versailles, dans les plis du dra peau tricolore. ; A6n!âres. — Hier matin, on s retiré 'de la : Seine, 1 au pont d'Asnières, le cadavre d'un, homme paraissant avoir séjourné vfipgt-quatre heures dans l'eau. L'inconnu, qui avait la tête trouée par une balle de revolver, a été transporté au commissariat de ptlica d'Asniè- ;

res, où il a été reconnu pour un habitant de Chfttellerault, Charles-Edouard Bertrand,:.ent ployé de banque, âgé de quarante-quatre ans.. -—Hier âgée malin, une jeune femme,.Mme de dix-Jiuit ans, demeurant Marie B..., qui, était mariée dfifmis peu, rue Saint-Denis, baJIe .de revolver dans la tete. et s'est tirée une est morte sur le coup. On a retiré, filer matfn, du Boulogne. grandi lac du—bois de Boulogne, le. cedavrs •d'un homme proprement vêtu, dans les vête-; ments- duquel se trouvaient des papiers an ; nom de Jean-Baptiste'Pavand, âgé de trente-, six ans. Le corps a été transporté à la Morgue. Un nommé Jean Bolleau, âgé de ; Cor&eil. vingt-sept — ans. domestique stchez M: Hurè, cultivateur à Périgny, malade Cepuis long-, temps, s'est pendu dans "sa chambre avec uncordeau de charrue. Le Raincy. — Des malfaiteurs inconnus ont enlevé, la nuit dernière, plvipiturs fils du ré seau téléphonique de l'Etat, placés en bordure de la ligne dù chemin de fer de Paris à Nancy,

entre les gares d'e Bondy et du Raincy, sur une distance de 500,mètres. Limours. — Un ouvrier au service de M. Chôàeville, fermier au hameau de Roussigny, Jean Normand, s'est noyé accidentellement en ge baignant à la mare du Jardin ; il était âgé de trente-six'ans. Marines. — Un jeune domestique, Alphonse 1 Groslier, âgé de douze ans, au service.do M. Chouquet, cultivateur, a été trouvé mort le : corps à demi engagé sous un rouleau atteléd'un cheval, dans un champ de la ferme du Coudray, commune de Berville. FrapDé ds. congestion, le pauvre enfant, était tombé sous le rouleau qu'il conduisait et le cheval, sentant, une résistance, s'était arrêté.- • , Nâisy-le-Grand. — Un gardien de la paix, Charles Genet, âgé de vingt-trois ans, que l'on» avait rencontré a plusieurs reprises, au cours de la journée, se promenant à Noisy-le-Grand, s'est tiré un coup de revolver à la tête, dans le bois des Grammonts. Ce malheureux, dont l'état est désespéré, a été transporté à l'hôpital Saint-Antoine. Sàrcelles. Un jeune garçon, Henri Augé, âgé de huit — ans, qui sortait de l'école, â onze heures et demie, a eu la tête broyée par la , roue d'une voiture de déménagement sur la quelle il avait voulu se hisser. t Versailles, — Rue de l'Alliance, Ht Glatigrry, un ménuisiér, Charles Gigout, - posait des

moulures dans pqe maison en construction#1


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5 Le Petit tlouPTial

Î3XMEBI Ï^.SîATMcavalier au 13» cuirassiers. — Boulay, cavalier pitre de cet ouvrage avant la, clôture de la Fuschia Fuschia : Clairon, Dangeul; Pjix d'Anne7 au 13" cuirassiers. — Brehin, cavalier au 13» saison. cy^:' °y- Cartouche, Cyclone. Prix de VOural ; cuirassiers, .-r-. JLemanicier,, cavalier au 13» cui Le spectacle - commencera a S heures pré Clairon, Clermont.' rassiers. — bêligny, brigadier à',1a lrB légion, cises. • ' LA MOBUYE. ' de gendarmerie. — Roussel, marectial des logis, A 3 heurès, premier concert d'harmonie, . . ï->;\ c' i1 ' à la 1" légion de gendarmerie, r- Delannoy, au kiosque de la* musique oui' en cas 4e pluie, . VÉLOCIPÉDIE gendarme a la 1™ légion. — Balna, brigadier dans les galeries d'exposition. Vélodrome du Parc des Princes. — A l'occaà la 3° légion de gendarmerie. Chopineaux, i-> sîbn des*arrivées de la.seizièmç course de Bor-«m-mBU3SÊMENTâ'" gendarme à la lr» légion, w Kain, -gendarme,à •deaUx-Pdris, (jUi ee-teront-demain dimanche • • la l™ légion. après-midi au vélodrome du Parc des Princes, Lemieux, gendarme a la 10» légion.. -rBelor, .Chez MédranOj-çe soir, débuts du processeur -une reurnon-dê sera doimÉD. Schilling, gendarme à la 2» légion. — Bouchard, gendar Wélsen aux barres suédoises. Les récentes Heller, Rettich, courses Dœrflinger participeront à la me à la -2» légion, -r Avariant,,maréchal des fêtes athlétiques du stade, d'Athènes ont dér course scratéh et £ celle, de primes ; Moran, logis à'la Etl légion, dè êèndarlnerié.—Duménil, montré. l'excellente méthode de la gymdastw Lergeou, Dussot, Lautier, ïîombaut a la oour' fendarttiea las*légion.-"Séjournant,brigadier que s.Uëdôltfe. Le proiesèeur" Welsfen, -engagé se deifii-fohd. Une coiirsa de" motOByôletteâ |ât plus

lorsqu'il tomba-à.la renyerse.et.se blessa à la ainsi qu'a l'épaulé droite. Transporté ausf Sitôt à l'hOpltiil civil, .Charles Gigoul èuceombait Quelques heures plus tard. ' '—- Lrn cycliste, Louis l,avril,-. âgé -de dixneuf ans. demeurant rué de Madame, a été téftvôrié, placé' cPArihes, far lé coupé de la vicomtesse de Keviers, Il a-feu les- deuK jambes broyées ot le ol-âne fractuïô. Son état eêt déses

Mina Fritel, quand tout d'un, coup, il, vit sô deux et trois mois de prison, avec la loi de dfèSsêr dévam lui Jeanne î?ayet, qui lui de* sursis. mandait des. comptes. ' Mina FYitel, d'un ENTÉEHSaÊKï BË^LEtrËES DE GRACE mût moqueur, la' nargua. Ce : fut. uh. mal . heur : le vitriol, lance par cette maih de (Dépêche de noire correspondant) femme tors d'elle, aveugla, pour, toujours^ Nancy,.il Mai. • j. le malheureux Perpète. 1 '. Ge • matin, devant la cour de Nancy, a eu , , fout cela egt-ii bien exact' ? Où sont les lieu l'entérinement des lettres de grâce de père.' vrais coupables,' et Perpète est-il la .seulé Gérard Leroy, de Sain t-Mihiel, condamné allant marchandises Vltry. Un train de victime ? siflçère dans est-elle Jeâiihé FaJ-ét * t < par la .cour d'.assises de là Meuse à,la; peine Parist est tombé en déttesse ên gare de ses allégations ? sur <. ' . de mort pour assassinat d'uii'laitier. Vttry-sur-Seine, hier matin, à Six Heures et horrible/ petite Malgré cette acte son Lei-ov a eu pendant la cérémonie l'atti demie, à la suite d'tin accident, 'de tnacfiihe. femme, sympathi deuil élégant, est 1S> plus indifférente. ' en i<5Us tude Les tftiinâ de vdyagéurs dé la mâtinée ont son y • liabiles barla 4e légion de geiid&rffifenè. Dupire, géû chez- Boûrti'Boum, quoique vjsage ggaCieux feubi de longs rètards. que, avec un ' le programme. un des assez darme .à la lr»„ légion. pèyret, gendarmé a-1 risieâ Connus. Atofeiia et LéonOra, les gràùieù* complétera . bouffi de larmes; Le geste aimable qui ra aFFAmESA la 1™ légion.—Leconte,gendarmeà la 2e légion, ses, acrobates, obtiennent un succès chaque v- . -.J .-.iv , ,j v * •"-'•"-'-'•'ESORIME * mène lë voile ou tamponne le mouéhoir^ l£| La Semaine des Armes. Assistance nom.gendarme a la 4» légion, — jour grandissant. voix claire et jolies des regrets évidents, de LÉS SUITES D'UNE OPÉRATIÔM. -< -r-.Commerçons brease, hier; terrasse Jeu de Paume, a, la du GûyeK sërgentafi 54" d'infâniëriê. LpùgUetj L.: \IL I: la jeunesse et du malheur, ne âerait<ee pa$ M. Berr, juge d'instruction, eât.- chargé, éôldat au 54* d'InfafiteMe. Pétitot. êôldat TUilerleS, * aux ' " &« . demande Lâ ânâle du ^hampionftat indiVldUél. d'épéë assez pour provoquer de la pitié, quand d'une affaire délicate concernant un chirur 54» d'infantewé. -=- Bàbillettèi Soldat âu'S4«' • tnâmè on ne saurait pas, ce que le. docteur gien d'un hôpital particulier de Paris,, qui d'infanterlê. -< Frémont, sbldat âU W d'in s • â été Cliaiiftètnêïit disputée., ' ***»:; *f V /l f lfrl 'ai Socquet vient nous apprendre, qu'elle est est inculpé d'avoir causé ia môrt de deux, fanterle,VasseUr,soldat ail 73" d'infMitêïW "' " • •' • •' ï i-v Ï . ! Ld .lieutenaût Charles, ,4é JÎÉCôli tniJitaire i . ivioomté t , de Là . . de Borrelli Joinville-le-Pont, et le baron "do Scharffenanémiée, un peu névrose, lassée par son fillettes, les deux Sœurs,- âgées de neUf. et — Bagard» soldat an 26° d'infanterie. / Jeudi Vefsftill^, soir, dëâ beig, âiii* est mort à un escriihàiir âllèmând, sont arrivés en tempérament même qui i fentraîne à la non dix ans., Àu milieu de là nuit. lôrigUe et douloureuse maladie, téte du classêmèht avec dêuif touOhefe chacun. tes d'une rtiagaein Ûarte un — chalance et ia fait passer .dans la vie, mol Les deux fillettes ; qui sounraîéflt furent le vicomte de Borrelli, bui fut poète et sol Ils Orit alors) fait dK bàrrage fet ô'est le lieutemille bottes de lement Neuf à fourrages» <4. père, ' H leu? conduites, nhftt Charles qui a> Obtenu la-première place< le influences, dernier, soumise à les toutes par mars dat. paille en flammes, — Quatre chevaux prête M.' D..;, -Le. baxon .de Scharffenberg, classé second,â l'hôpital question. '• laisser-aller eh d'une personne, en au Blessé à Solférino, officier de la LëglôH .est •{ asphyxiée. . . . il membre de l'Ecole d'escrime à l'épée. neïnïe finn ' et fin < sommeillée ? i ' ; d'honneur Le chirurgien diagnostiqua une • i , , faits de 1870, le pour guerre troisième'place est retenue, 4 M.: Gaudin îà. itlcetidiô en ' La -Hiér'i'opêrà. a Et la chance ne la favorisa pasc'est le opéra les- deux sœurs. Quelques heures Kolr, ô La nuit; dernière, un violent : AlVàrtez,' fé-avee . marquable dans le rôle de saméoh, Mttlè Hé- vioopate de Borrelli,avec la légion étrangère ;(3, toUches)t . suivi de M< Anspaoh, quatrième détruit. complètement les magasins à four premier homme en qui elle mit sa confian après, la fièvre se dêclarâ, et, le léndemain, Blon, ,4. touches,,; MM,;Feyerick et Ivanpvitch, que l'on n'avait pas entendue depuis quel- ,a.laquelle il a.consacré de superbes vers, aype ' rages de M. Ph. Revel, marchand de grains ce, qui la séduisit par des. promesses^ là les deux enfanté mburaieilt,' .:. 1 Opéra, chantait le rôle de. prit nart, au premier; raûg, b la défense de cmqUiemès"àyècçtoùdhès.chacun; -'.y . l'a ' et d'issues, â Paris, 177, rue de Flandre, Le ,match;ângle-b§lgé..à;,6té'.aiigèl disputé Elles avalènt étédnfectées, ainsi que trompa,> l'abandonna, après avoir jété bru» , Vers une heufe du matin, un promeneur tal, jaloux, exigeant, pour cette compagne démontré le dôdtdui Thoinot, a&ns l'aut&p- .Les déUx ârtisteé ont obtenu, dans Sttmson Tuyên-Quan. ' > 1 — •••' fàit * Le défunt était le fils du comte de Borrelli,; hie^. ' " solitaire, qui remontait la rue de Flandre» qu'il savait délicate et de santé compromise sie qu'il a faite déS'Icôtps après leur exhu« îLB «ht dêcldéôiéht Les Anglais dés pfbgrèâ tres ; viï tsuccès, partagé par Mi général de.division et pair.de Frande. ' aperçut, dans le chemin qui longe ta voie encore par sa faute. considérables dépUlâ l'an dernier. Il y a de e-^sU^nt J dans la rôle, du grand prâttô ^, I mation. ' ' i : ' MM. « ' * Nivette, plus, ohez eux, un souci da tenue,et de-style du du chemin de fër de Ceinture, à gauche Hier, M: Bètt a tiùOiiùê un second ex La soirée Chambon, etc. Grimbjîrt. lui, ne produit pas âUSéi bonqui;est . un boni exemple. Ils ont,triomphé de s'est terminée--ttvec 2a Ronde• des pont, i de, longues flaùuûôâ jaillissant au- né impFéSsion; H s'en faut. Les theVeUX, pert, lê professeur î>aul Berger, qui detra l'équipe belge.-laquelle a été .touchée. 21 fois dansée >à don Mlle Zambelli, par dessus d'un mur. Le passant cria pour le regard fuyant, le visage maigre, faire connaître SOïl ' oplhiôn- sur. l'imprut- aihSi due par„Mlleé ravir roux, et n'à touché qife 18 fois/ -^ - * L< ïî&hte, Salle et toutes ifrirrnwrr ttj •{ et courut aussitôt' jusqu ad osseux et agité, soulignent de laideur la dence qu'aurait cofljrrjise lé' chirurgien in4 leurs gracieuses. camarades . MM. P< ner l'àlarme avertisseur L'équipe, belge était composée de de la danse." -s < Course» à Malsons-Laffitté < AilSpaçji/tafnbert, A. Fêyerlck, !G. Iffyfti' Moùpilla proche pour prévenir le» volubilité vulgaire de ses dénégations. Il a d'Ulpé. La dépassé ' l-ecette •' rrànés. r ;50d ' 1 a si ' L'âssistanôbi noftibfe«éë,' étkit Château-Lan& mer, tonetG^ènard.1^ : poiîjpiers de la caserne de • ' '"'j'- i4 mauvais passé ; sa profession est extrê» VW ' • " un ' " Maigons-Lftïflttigj . Ouent .répétition l'étpiipe *! ft -où l'afifêâ-irtïdl ïôtt dori. L ëtê &âgldige,rèlle'$talt fdmiêe ' a » générale du Paradis de Mamement MILITAIRES • vagua. • . fe ,i*l mêmes , 'agréâbleiîl'ui; tireurs .>'* -J des flu'avant-hier, lors du pre aura lieu, atix Variétés, déih&lft feoif Oi-, ><• •- • : En. ufl clin d'Ceil, tous .les habitants de Et l'on n'a qu'un renseignèrent,exact : . v mier dont match représentants sônt sor< ^t&ll : La loùïd. téftm ttcfn Lé§' nos ' Flandre lurent et aiffêla -«ri ré représentapremière peu cettè partie de la rue de condamné c'est été il fois, que, quatre :: lundr a rentes épreuves ont, dépendant, réuM veillés, et on .vit alors, avec terreur, qti| c'éj pour escroquerie et voL xtHUWsMé flétfet hier, la'mise dit, parNdtjs que, '*, avoûa 1? m J' 0 1 Ç, nce 1 epeptiCle et de champs^bien fournis et ont dofiné liëu & defe talent les magasins à Courtages de M. Revel ,. jury , K&Vdts , de Mahomet, le spectacle rei^du sur la proposition du- mmifetréi ae>. Devant Les critérlums du R. C. F, —te Raoing-Cluh le intéressantes,.mais courses il de qui brûlaientv doiiiftiendera à méaaàlês,d'honneur t y a,eu étaient 1 . France donnera, demain Simanché, h< /2 très, précises., des •dé sur la Seul le commerçant, qtij. habite dans un ïl va pourtant trouver, un' défenseur l'intérieur, , , piètepiilltalres étaient dis Croix-Çàteian, la ad bôis " * de Bpiiiogne, de qui; S décernées âux la femme que l'avocat appellera la tingués ';L»; jugement du conooûffe d'«s«ai de eeihpola jOtirnéè anhhelie de ses cfitériliins de cour corps dê bâtiment én façade sur la rue de é ÉSt plupart. et 1 été la pour avaient, sition musicale Je Prtx'da ^.Flandre, h'â.Vâlt- pas éntetfflu les clameurs riste, « femme fatals », Mlle Mina Fritel, fleu blessés Rome pour 6eta ses à pièd et côMôurs athlétiqueé« .évéîièmfents'difnriile» rendu aujourd'hui. des JT o «« vu/ t u^iauagy, eouiCs d yuuviv au Michel Ephrussi., ancienne mté ligne Société Athlétique de ' MontTÛUge entiraht avait ".en amie. qui ; son de laMoule •çt oh dut'te réveiller 1906. Voiei d'avril Heu îhois . qui j-'^P^Se' deë ont eu au gi^Mëttbfès cnampïon.s: trois Mlle Fritel a Vingt-huit ans, est fort bién de .la Brat, Proud ét, Lison. donnera, demain dimanche, à Gentilly, une en l'air plusieurs çbups de revolver. . . des titulaires (de ces médailles | u les n a de Jnusique ° l'Académie deè béaUs:e faite déluréaéËile noms très ^Ue'tnoiitdit;l'âppïenti Bick&oh,',â grande réunion de sports athlétiques. Gonder et Bràt. Mais il était déjà trop tard/ et; quand Mi commence pafr dire f ., fi*ts i MM, Reyer, sàirit^aëhs; Massehet, pa=' et-Eynard, champions amateurs dû monde de Médaillés y. d'or ' .1» Ïd'elle : gaghé après !afciiément, avoir ne, veut pas déposer, puisqu'elle a ffiené.dé bout Revel voulut pénétrer datte la cour où se ,. laduhe, Théodore , . la pëfche.et dé lancement de disque*, . t Dubois et Charles Lefiépà l'instruction, et quand le préai Dauvé, -l««'«• cil TiiittliQS >UCtlOp eh bout. Gnâmp-d'Or, Lè Prodigua ei Borax saut a " trouvent les hangars à grains, les flammes éposé. l s^0Iit 1/UUUJiiJ adjoints, 87" régiment de »?*»' ^ïk?9-ue engagés.' chét sont tj'êseadtons année, ' r pour-cette au *l'empêchèrent d'avancer. Malgré tous ses dent liii pose des questions, elle, répond d'un dragons. — Huguenot, ehef ae bataillon; au MM. Widor, Georges Hjle et Gabriel Pierné. 'Ont -fini, dans cet ordre, derrière le vainPÉLOtE BASQUE 0^r|6âéUddSn SO . ÂU ^orttoh'dé Selht-Jâftiés. uS bm ;dIt> ftu; queur. efforts, le commerçant ne put parvenir jus ton fort ennuyé, surtout quand ces ques 117» a'irtfafttefie. — D« Marescot, lieutenant au; no: ta réduVèïtiiLes 2,000. ftiètfes etlt ( «té ' couverts ën sept . — il» ouvqu'au fond de cette cour où se trouvaient tion» concernent les jours qui suivirent le 13» cuirassiers, Gabet, lieutenant audragons. Salnt-iaifléà, ,re du îrOntoh' basque de s m,' rue Tl«. /î 8 rtrt-îifA hiér Quitté V.IAM Compiègne, 1 16". où Ils ont .2 ... . rassierfc. — Gautier, cavalier au 27* ' eu les écuries,'dans lesquelles quàir&èuperbes drame. ; Ldrtfeôhamp, Nedilly, de. lied deifiain, a aura' à \ éouehags, capitaine au 5» ûï^5 11». SSiî-J1?6 .^HgU0 a quatre voix sur un suAntinous, onanèe, inédit De Gratet du dont la «i) rapfèg-hiidi. direction 1/2 de engagé 2 li. chevaux de trait étaient enferihéâ. • Mina Fritel avait alorsf en effet, abann'a La — a sui °,aê, un membre dô fA- vait pas été escomptée Mf .ëoû éci^rlè,, Lian, capitaine aU 5i8 d'infanterie.;-^ . Hh i la de pour saison pelotaris • printemps les Quand les porîipiers de la rue de Château* donné le malheureuxPerpète et était retour ; gons. — fieàux-arfs, ûéS « ^ui de pbuttait bien, bâttu àsëèz fàciléiïieftt Grbsâoptyloni, a vants ElojV-Landa, Aroerioanp) Ayestaran, gendarme-, capitaine à la 2» légion c«tte,année,, •: année,, : Oràto Altamirano, Landon arrivèrent, bientôt âilivis par leurs née avec Grimbert. Tous deux, Grimbert et Griiion, „ , avoirla 3» légion de c«tte avoir été M/ M.- saînt-Saë s fet un à saînt-Saëhi, flerosiauit', ^ capitaine rie. ^ A^rué, Arnedillo, Sarazzi, Ufiitia, Cbôetir^ëïîts camarade# de la ;caserne de Bitchek- 9,OÛO , elle, entouraient de soins et de visites Per-< gendattfnêfie.' — Séglfin, maréottal de» logis à ?y?° a c e°mpagnemènt a'orcl 'orcheelre sur r danà ftix j Ahttûoiiô èi.ivft6,B0nne WJginè's Mlvestfe, tVA.Ublt \VAu bottes de paille et plusieurs centaines do pôté, lui portaient, & l'hôpital, des ffian- la légion d# gendarmerie. x-~àmôni --J"if,,rg,N«| à., il :diseâ Ëlf et.Atitiââna. Où peut dooë.la BULLETIN DUTRAVÂIL . qui ést par flambaient. jusqu'à lui'donnet et allaient l'&tc de ce sseinîerdi ©ass ^eôdrâ'.Manif, il, lëilr " Bacs d'avoine -, 2» Médailles d'argent de «' «tatue i v,. est cFoifè probablement appèlê à d'auttês Siificèâ. La toittifê de-verré dit hangar js'écroula geht... ' pour obtenir, de lui lè der-d'qn piano. 1 piano, > ' ' . - ""^ sileùcç. Prix dé Chmelwp, ' ; il c'uirasgiêïS. 4 3,t)0Ô. Lear lieutenant â francs, ,1,100 i , - J i J bientôt avec un fracas épouvantable. — Colonna, -1 u r *t 1 C'est a. ia smte de . eéttè épreuve. d'esêai îjtiis -! i I ' . çuirtisâiefs. 1*», mëtrèâ. Aujourd'hui,,. Travail, tfëhnitlvetfient ia du fi, tue pompiers enfoncèrent la grande porte co- d. vous avea vu Grimbert tanner de ! l'ar Girod, sous-lieutenant au 11» Bàflâaiei^ & Bourse pont,o6oi|is Fêla au comté de = iea sik candidats baignardj dragoââ. àu du Châtéau'd'Çau Routy, cavalier des -t-^aréelle,. 4', M, fidmi» a-Se,disputer le prix ae ROftié, 'magasins èt parvinrent à "éôrtir gent 4 Perpète.? demandé la pîésidênt.. f . , i chèrè . - < Bougatd,-maréchal réunions des syndicats dès ter dfagtfiS. Le cavalier 27» matin, f/ânk dhîlûâ) — au heus,donnerons (J. . grande voiture carter : lame-une Ouï. R. leUrs fourragère, > 3^ ' noihS.ûeiflàift. Véroniqjiê, dans ; Delamassanrassiers, du bioultassiersi mënUisiêrs.ide.l'ipdùsmS -logis 13° des . au . » de» — Grandy, bnD, Pourmioi cet argent 1 M. Camille Èlane (Hobbs): î^ori placés mais ne purent s'approcher de deux autres R.-Grimbert ÊertfuiierS, la brigadier, dragons. 21* jOU. 'ûeg lithùgrâpBle,' tlèfé. au i cbiiductêurâ-pbmteui'^, " dè -»* fles ?£ri^è a m i« et samedii les, pe^ratùs, 'préface, koukâ,, sàns-Âtput,, chargées dé pàille - qui -formaient utf im portfrmoflfiaiê est tris bon ; il 'a tçtlJOiim 16 gadietau 13» tliifassied.— Léroy, ibrigadier de& ferblaritièré. d -e la saison, Wàr-otieen, Ahdréë . Sua, Organdi,.'NicO- i L'après-mlui, réunions 'des syndicâtâ déâ ouvert. * ' au 21* dragons. Gonon, cavalier au 11° cui btJJtfJâ mense brasier aumineti de la cour. ^Orchestre" r bont/7 cet' — de ,UrîU0,1 avoir êt fiheeurs ûlora quitté ange sous lâ polis, Sagëè&é. Trois lôngueurâ, trôi? quarts peintres en bâtiment, dés briqueuersdoinrassiers.— Lothion,' cavalier au 11e cuirassiers. ^îreaUtdïi de M« ' Il'étàlt désormais impossible, ïl«-sauver les ** Ed. Coldnnëi.. délôngdeuj'; chevftui, qu'oti entendait sb débattre dans R. îe ne sais pa9. D'autant plue que M. Pêf^ Félix, brigadier fuîl» dragons ' toyeurs, de l'industrie du bijou, de la litho-t " j 4 -VWV > ' 1 ».' ! ..'i . maréchal d Prit â,00b Grisij, g,S0(J Hâve, graphie, de la maçonnerie-piêrre. >;, : / -dé ftiètréâ, fràHCà, léùfs Stalles.'L'tin d'eux, une Vieille jument pête est brutal et qu'il a voulu m'étrartgler. m, ta Gaîté .inaugurait, hier, set fépïêfeeûta-' ; Stardy, Jféuhions dçâ syndicats ;.des chefs afl cavalier Le.soir, î'P/if j, d étê,. paf une excellente- reprise fle percheronne, u la Marie », avait réussi à D. Cependant, même après avoir rejoint gendàHfie â ia compagnie pial-qUis de Ganay (G. au cantôriïiier^ d^ la Villè.ue'Paris,- déâ SeiTu( . la désopilante piô- 'SteïHy ; g»; fcroâsôétylon,. M..H. Cramàil riers, des coupeUl*s â rôihpre sa longe et. frappait avec. fureur Grimbert, vous-avez' ;une' seconde fojs repris ry, gendarme à la- compagnie-duîJOM.U-'pp- inWAï iî6?'£-£'c/tq?iffe, ;chemisiers, des travailleurs Feydèau et Maurice Desvallië- LàrbéV) : â» otator. à, M..Ï:. beschamps municipau#, -des dôrèdra vie commune avec lui;' ExpUquez-nôus fies contré la porte fermée. Mais bientôt le bruit la la Marne.— '-de , .. ... . ' ' stir boié; dë Pindusvolté-face^ i-es (A. Carter). plates Non Manfrèdi, dans l'écurie, où les bêtes Rasti- trie du bijou, des ouvriers professionnels de cêssâ .pauvres ve •/J®1® Me '"celripôsée' , d'éléments divêb; là ; .. elle répond alors Tricolore, Mlle Mina se fâche gnafi, Parabole, D'Epernbh. $or- l'ASsiÉtànce publique, des :.boutonnlar3,- dès naient ideeuecompér L'asphyxia, _ ; troupe; d'ioue aVea un eh&èftlble adlhii'ablé èt èrlnviiiiêrgr" de à la idylle, guina, compagnie Phtynêe, La préparateurs :.en pharmacie, des ouvriers et le.suceôs a été des plus complets ' ' Après une heure et demie de travail, lê3 sur ce ton i « Parce que ça ine plaît ; ça ne Vilaine. — Enet, gendarme lieutenant du BUlSseîfet, Manche: De là ouvrières de ia brètells et ceinti^re,-dés affai-. ' Trois b fameux l'Hôtel quarts de.longueur, e aete de Llhfe-Échàhgé; pompier» réussirent; à se rendre maîtres .vous regarde pas j qu'est-ce que ça peut b* dïagons. — trois au longueurs. i (Wa & ûe rÈÊcaie, lieutenant présenté syr la Vaste scène de la ,,frÎ!Ê de ffiêt 4.00Ô ît&tikà, 2,(300 mÔtrési- res municipales,., : du feu.. Lorsque tout danger eut disparu bien vous faire ? « si bieri que le président, gons. — Dé Fôrzâftji, iieutènant au 5»au ,, ,, tû, dragons, JTéSjbienj A l'annéxé fle ia Bourse Ùii îS"^vall, 1 rué G&îtê, produit \se-VictW, effet 1«, à'M. a l'avocat, extraordinaire, tancent Canaille la un Voisines; deux Vertement, la Bref, Blàhd (UobBsjj les et maisons les que lieutenant 88»; dragons. "^ j Véziatt, pour pompes jolie femme, qui De Iean-Jactjues-Rous,seaU au i ' ri et beaucoup applaudi. B», Mysa, à M. J. Lieux! (CH. Cîlilds) à vapeur regagnèrent leur caserne ; quel-, a, èn faisant la,navette,, eastâlain, vétérinaire en,second au £2» dm- Ion çi beaucoup ., ,' ; â», ' L'après-midi,'tâUhloadè lâ FédSMtioh ^ës ' v ' W-K. ourdi Maroc,J' douloureuse chef d\i à M/ pompiers.seulement,restèrent si intrigue, .maréchal, s'en*va des logiâ (îlanâchl. Bastçl, Vanderbilt ouvriers des presses typographiques. une l'Ambigu, lè "service' filé SêcOndé feera' ons. — JAf que8 pur les fort dépitée. . maréchal logis plaéés dés V Non (Eilladè, au, Lêsoir,„jréunidn .du syndicat des ouyrierâ des* MôHtojiâi'trè, - Pré"» dragons. — Lartague, ' lieux, .pour, noyer ,les, décoifabres, et conti reçu -ee -.ioif eawédr et eeiul de troisième,; -maré , d'Aurimous, , Griffolet 5» -dragons,,— De mier-Pas, Malta,- LefWeg-First, Roy-Bois- postes et .télégraphes (Bervioe des'moteurs), après-demain lundi. nuèrent à inonder, les ruines fumantes jus touchantee flànoaillee . —.Nelle, biâi'ê6» chal flragôns. -—..Ce heures, matin, 9 Palais"du "des lôglS'au aù gr^MstesTra a -.-.Rappelons à ee âùjêt dUe lâ difëfetiOn Qe sy.. Bel-AmoursQuesteur, Akéla, Frambèi- jvail, qu'au, soir,. Pefpètô délais V/ailliéz, sef-qu'il défend dragons,des' plaôéJDU.bleUi. rêuiiipjtt aussi châl au celle des lûgië 5» -^ 'I déâ ; a d Ambigu décidé adoptei * (J a 1 uà nouveau târif sie, Bddo II, Binky. Unê longueur, delix considérables. dégâts sônt. Lés serain, trompette d'infantdfiô. Ûé voiture. sée, 33* : gertt Industriel mais au' la est lui * touchant, et : ... presque au &» dragoHti.— Bouienger» cavalier1 au B® dra* 5 francs».Ipoiii; tous les fauteuils longueurs. v • • • Quant aux causes du sinistré, elles ne grand, parfois,< malgré réticences des, (oronestfô Bàlôon). qui ' . fm-Zaitm'i 2», > Cheiy.,. bapaUr^aU-îî'ÉÈjyÇiJ-' L®.10P S'' sont pas encore établies, mais il. est plus prouvent sa gons. f -iXt-m>ï ^ >' «h "< c genaarùietie, —: Là ^é^etitiôft tïu ÈùHht\iT; inÛàd7fiÛ 7ïè année (handicap lunité), 20,000 francs, 2,000 que" le feu a ,été communiqué 11 vient, pauvre aveugle, et guidé par un gendarme a la 4» légion,de que probable légion dë geîidarinè- ;grand ^uccès de M. FMîicis la Butai, à gendarhie 4» mèwes; l«r, Brat seStrouvàient bottes,de-paillé ; M? ^Michel'.Ephr.ussi de Gîoiseet» oui .(tifôkyqn) aux. des magasinsqui des étincellesdans ami, faire sa. confession à la barre. : gendarme & la 4" légion de iJùberque. 2», rie. Chaflip-dW met -a eiï fdUté tiâiîS Ephrussi dêUX ; la cour par; jbiiré,- fedUè là dipro èendarmerlé. — Demiilier, géftdarnie à la 4""lê' se PrôdigUé, BeHhOusè) 3», MJVLiJJrasseur, Le M. ; geiiuaiJiicj.£<;. uuuuiiviiDU gi-uunna»; ** 1 à. Pfizer | Voici le programme complet de tâ'gî?âiivenait d'une locomotive du chemin de fer pour faire son tour (Greenflëid) .NonJ)lacéâ SliiSfedn dé Gobi gîon de gendarmerie. 'âêiMSSTm. -* n ,ta ra Bra su : Poliorcète, Éo- de eettoaine maritime; ' ôrgatiibôa par ia de Ceinture, qui, ainsi que nous l'avons dit, Lenjrs, son, lieutenant au 13» veuiraifeiets. t> Ànè, Côq-à-1 raX. Prtiiid;Ol,gàniétê, Anvers, ;Ligue maritime française r '" de là .maison de M. PK. capitaine à la i« -légion de gendarmerie, passe. au-dessus ! G'est une ded pluâ lrtlpattafitei tôùfnéèS tHiî Ùne longueur y< tu fii i-' AU HÂVRË' 1 Lison, Auto-aa-Fé,.Belmar. * i™. de gendarmelégion '. . T., J ; Lexa, lieutenant a la : 5'' Revel. aient -jamais été entreprises, • * ' , deniié, trôik et quarts , lonèuedfc. dp ' v i ' -La- répâtitipij généfaie a ~[Emdî9/mét.^Récepttbii&fflSikiàê lièh, ,

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LES TRIBUNAUX tebgmkce es parhb dodile C ourd'asSisés dé 1a èêinë

Audience du H Mai ÏÔÛ6 . " G'est. tin drame du vitriol, dont; le der nier acte s'est déroulé, hier, devant" la ctfur d'assise^ de là Seine...Perpète, ouvrier fon deur, ajraJQdorina uiî jour Jeanne Fa/et, & qui il avait -promis,lô irtaviagè» îl lui pré féra une âeuristet 'Une paysé, plus.éâpiteilsë, Mina Fritel. Mais celltf-ci, ëfi se liant avepi Perpète, trahissait êlle-ffiêmé' Un *'•' " " ami, Grimbért.' Jëâfîla délaissée. Gtimbert alla,trouver

prétend Cftie, dati's ses enttçtiéfts répétés ët pressants, il ïûi (SO^séilla-ia Véh! ' géancëi . ', ' " - .. . Le» préparatifs de Crittibért Jaaïinô est dovcoy CîaintiVs, indolente, plais ellff stf laisse facilement dominer et oïl pouvait exploitér sa légitime colère. Grimtoert cassa,-prétêtid-elle, de8 journées aiè6 élle, J£ç fit boire,.la conduisit chez le marchand de couleurs, en lui recomman dant de demander»p»iMF 15 centimes d'acide sûlfuriqud. Pniï il .essaya la drogua corroSive e#«Mi^rersant, avec un fétu de. paille, line gôutts sU^ le visage; d<s Jeanne ayet let sur sa rhain, et v6jraht rftte' les brûlu^ëS âsèéi prOfoildés, il dofliïa dîé hyétaieiit paà. la, mâlheuréuée pour dU'elle' se l'argen* 4 vitriol plus efficace Piiis il fit §rocurât un Oirê sa oçmpfagne. pour lui donner du cou iï ta ctïndaisit dans la rue oti hai>ite rage, Perpétë, lét pdsta ë(ir le' ^âs^agê de âofï ri" val.ét l afettif de soft approché. Il à, a'ailléui'ff êt d'avanéç, prlâ sëè'1 pré cautions pflur- élabore^ jïn systëiïie nlàusible dé défénSè, II'avait fàit avertit ÎPejpète que. la délaissée préparait « un ûiauv'âiâ coup tf,imais il, avait eu soin d'ajouter que cë ne sefrait paà pouï le soi#. Aussi Perpèté revefiait-iî,- joyeux,- d'tïfté' partie dë toe ïaVef

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C&mpagné ft Nô^ént, avec sa nouvelle aime,

Le Petit

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costumes que la tournée emporte avec elles Mi Fernand Samuel, qui a suivi lui-même les'ré - d'enlance. et brutale K Mina,_ Fritel, une amie 3® MMflîUèS hè brUnse t pétitions, se montre ertéhante dë l'interpréta , : MM. 1 " .' ' ment, iâdhêiïieût, t'ai abandonné Mllé payât, tion, ' --.'t .- - ôèôiealëri fié ïiimiiiiâS) eavaiiër au 13« cuiraësig#^ ^ Va et tn&the Je l'ai frappée, M. BMSséU^ lè brillâfit dés D. Mais vous n ave» pas-révélé ce détail a Gôiie, cavalier au 21» oulraesieri salliet, riétés, qui a trouvé dang le Bonheur, mesda l'instruction. La cour comprend le sentiment eavçiliBfr au 11» ciiifassjers. ^.Gérardi cavalier mes ! iun de ses -, .grands sue'ûèS dè Ctiniédie, généreusement ftUiîiâin qui VOUS fait agir et au il» cuirassiers, — Besrtard, cavalie* au ia° aura .pour. partenaires tout un essaim de jo noti^ n'avons ûaé 16. Cûùrags a» Vûtis en Bia- ouiràssiersi Thurèàu,, cavalier aii, 13» ciii- lies eoméfllennëè, en tête desquelles Mlles mer, mais n'allea-Vouâ pas,Un peu trop loin ràssièrë. — GïSuët, cav.aliëi1 aU 13* éUifas§ief§., Françoise Samé,' Blanche Mâi-del, MâMé Gàl? Mill, ëâVaiîer au i3» BUifasfeiéfs:Lauu-; let ; reaftne Bergen, Marguerite DOlza, Gd' ep/ftvous accusant vops-m&m« » été feiu- ény, éataiier aii 13* Non, monsieur le présidant, j'ài êtiiraéèiéts: —• FàtU,; dëvi' brtelle Deroy Suzanne .Courtois i.des rôles bëaUcijup" fldf ffiàiè„(:'ést SO'Unerf, tâl,. Fai lié!?,ai! 81* dtagohÈ. ^• Albaîn,; CaVùliër a& maScûUnà sorti,, tenus par MM, Paulet, BaÙà^oc&i,, M> Lév^-Oulmatij defnàndè â 21» drâfens. «- Xeréaîtj'e, cavalier au 13* eut-; 'î^ê 5> Ê 4^ y Vivier, vivjtwr, Moisson t» ' eii touiêe Y* 'Neiloflj aèiâtêë. . . Riehai?di gendarme a :ï la eompa-i etd;, B. rassied, qiiësiions., des f; ^ poser i'Orne. gendarnié ut Mallét, c-'ait Ê'ëàt M; Idle'l i»ib'3 Ër&sàetir diréetiM t , de la , gnie :i aîâ a. d§ -7" I), Le témoin est-Il.pfêt a pardonner à Mlle compagnie de' là Sarflié.. — Gaiiiôhcle, .bri cette touhiêe> n a des tfai>, s déjà âîgfies ttVéd Fayet le mal qu'elle lui a fait î compElghlé. dès.Côtes-dU-Nora, f-' .ceht yilles, gadier, a la R.,Cest-ènfibarrâssânt l Oui ët Son. géhdàrme a là ctfmgàgiîié d'ille-êt. .. _ j , AiidiaM, 1 'i Wfc C't a 1soir/.» b.,11' îâtft ifitôrpfête^ otii. êi c'ëfet .GrffttBërt 4 k U , . , . ViiSifié. efnièré Représentaîfiéquift, gèhdàrlhé a lft côfrtpàg'nië' *Àù Gvmhasè, r ce rfùi l'a fidrussée. Autre qttésticffl f Mlle ï'ayet' du DotibS. twy âe l'Entant çkériè, de,M. M. Romain.Coolus, Romain.Coolus. ; - 1 veut #éparef 14 niél y{i'.elfe .a ISK.- Ellê éSt 'Ravies, adjudantau 73*- d'infanterie; Léct»,ï prête à reprendre avec vous la vie Çoinnluiie setgent-major au 73" d'iiilanterle; — Bourlei, si vous voulez bien lui promettre le mariage. soldât àùj.730 4'ihfantérlé. -r .LâtnoUrétlei. ca- ,set et -ABel Tfiïfldte: ' ' • > §3* d'infattièfié: .^7 yiiîàt, soldât, fiu ' Qu'en ftënsèz-VOuSî ' i i àii. iWv ?!pSfâl ui ' ' -, -. R. M4tn Dierf, siôftsièbr, Je n'ai plUai grand' 54* tiPihtawérié. Catoisâ, sOldaÉ aiiï4» d'ifï- ; G'est. le ( 26 -et l^ 8$ inai) danfe là Salle àii .Mlle actuelle, et iantëfie. MàiëOrtfiaiitè, . ai Fayet le choix à l'heure càValie^ du S2" Ura; XouveaufThéâtjfe,..que. passera le. prOchdin gloire et honneur.-.-. veut, je m'en ferai gons. — Gautier, cavalier au 22» ârâgéhas 'M •spectacle ne l'Œuvre, la curieuse -pièoe de M< perpète et Jeanne promettent donc de s'ai* Grimon, ëedttariSe.à la l» légion de gefldâr-i ilJaoUârd' Roa, .le. fl6formateur,i , .» . ', , ' . ' " • ' " ."ivi ' • nier encore. Let pourront-ils II (àut l'espé^ mèrie. — Eminet, gendarme, a la 2»/légion de . - MM;' Aiigâàfd'P'le^i'ét ëèaï&èè ge^dariûerie. ét ËiièâdO. Lecomte, brigadier 22» drâf SUi au —mà^écnal des logis.au Têt, comme i'a fait le jury qui> après les gons. Npllé,, 5» drâ- ,.obtinrent oti sucées §1 Vif àu* fe'stivaf BfeèMiOplaidoiries de M" Lévy-Oulman et Nogue^ gtifiâ. -rr ' Febilierat, fiEtvâlier'.àn ld4 diâg'onS. !ven-Berlioz, dirigé par M. Félix wèkigdrthér, — fcatalie^ ati 16» dragons:— Martin, res, a acquitté Jeanrié Fayet. Pdf- dûnWe, Gaudiri, ,vont-darmer ù la,salie-Pleyel deux Grimbert, l'instigateur, «st condamné à maréchal dès îegis au w cuif àssiétà: jouy,': "sonates, pour piano .et violon les-l<5séances-de efc23-mai. bîi^adier ati 13«- cuirassidrs. -^ ParisOt,- Cava a9h|.uî&.4nsoir;,'.- déus' afis de prison. ; .• . ; . lier a,u 13» cuirassiers! "» Bourquenot, inarôi i' w% vfiés bhânchai des logis au 12° .cuirassiers,— Rotsherund, Conservatoire de Miirii-Plnsonj «J DAKS FRAUDES LES QOHCODRS LES maréchal dés logis au 12» -cuirassiers^ -f- JRoz, gemepts -auront, lieu dans la Répartition des5 ; maréchal déJ; logiS au 12e ÈUii'asSiers.- — Lâni- cours suivants, a partir du 15 i9Ù$, il avait ,tè [En liri OoncOurà p6til* y mai prochain : ; çMttJ bêrt, iharêchai .logis '& chas^etirs. àu '„P,WsJè des, dê Mllê Marié aiÙslé, âè sïirflùméfariât des pôàtéfe' ,et télégraphes. Harafigelf,' fiiâi'êèhal Ses lôgiS àu 13* tiUit&S-.' l'OpWa-ebiiifqiiè' biéh fidu ie Tindredi sôir, On s'aperçût 4ùs les eàndiilâts du dépâfte- Siers. -i-; MbWn, finaléefiàl des logis au "13* ëufj - 10 b far passage de rEiyeéè-des:Beaux-ArfS':~ :t,e niént de TAfïëgè âvdiënt eu eôfiofûuiiicatiofi rasfeiers. France, brigadier De 13* cdltasde -danse de Mlle,y.,. au Hugon,de iui» «q uc j.,. ijuggii; u« 3. utitaa, pi-éalàble dd sUjét de pfajrêiflUé et' dè' chi siers.: Landry, cavîfliêr. au 13* cuirassiers. -uuw Le irâMLsOlr. jheme .sallfe M ÊOfaïs de dafese —. ie Mlle A. Meumeiijle l'Opéra, le dimanche 1 Qu'eru, cavalier àu 13® cuirassiers, ,-r. Dqbois, .cftvalier ad 13» ciiir'âsslërs. —"Lçgùidéoôq,-,ca- natin, 9, rue Blanche. . ,, . ,vâlier àii 13* cUitasdiets. - Mdhaih, cavalier' :te« -iô^ctlptions sdiit ^irfiSneiié, î/afayette,àu êiiir'aââiers. ceVaîiet 13* Lai?, ad 13 tiùie !16 bis, rue de a. heures A 6 heures, nâlë, On- poursuivit éândidfits iridéiifcdts èt ras^idra, -1Antoine,' eavsiiër ad -134 duifas-11 Dour .tous les cours-- * hiëi-', 10» chaihbre à, efûpiOyé indiscret et la ^ -4M, siers. « Boyer, Cavalier' ad 13e cuirassiers. *-i cahdâriîûé, en verta dp la lot a$ décembre Derouetj .cavalier au 13° cuirafeSierft Tpil' i -Ut repr^entation de li Jùlvetàb tïrêâtfê #u 19Ô1, les' détui ftÔfês L.., èt irl. A... â uii, leiix, cavalier 1^» cuirassiers, au -r- Çourgoin, îârdih ITAcclimatatiotij detoain, séfà^ la def-

,mafétnaï"dés iogig au

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vieillard tomba si malheuréusèmeht que, dans sa- ûhute, il. se fendit le crâne.- L'infortuné n'a

pas tardé $ ëuooomber/ ,-< - ... ,. , , .. . . BEAUVAtS, — Une. confrontation a eu lieu l'octogénaire, qui, àù .ha entre Mme Caffin, meau" dé Gypséuil, près de Monts, fut, l'avstfltdemiôre nuît, victime d'une tenfatfv'è-de riieurtre, et celui de ses parents qu'elle a .désigné Le eheval de coxûiiie le coupable, ceitii-ci a fourrii un alibi qui l'a fait laisser en liberté provisoire. Mme Càffin perçiste, d'antrè part,: à affirmer que

bien Irri qirf l'â assaillie. lin écart'et a renversé la- voiture. M. Thoinet c 'est 'ÀMBËSANÇÛrf. a été blessé peu grièvement.— Gràhd CirqUè Èdtièy 'l- mâ loùrd'hui, deui" grandes répréséntations, annecy. '->< Le 2e bataillon AU 30» régiment tinée a 3 heureâ et soiréë à 8 h. 1/2. Le burèau a'infânterié faisait des exercices de service en location de !ampagne, près de la commune de Vyllaz.lqrs-* du.soir., est ouvert de. 10 heures à 5 heures ' a côté du hameau de Bisoncïie, le soldat jue, . 6ËTHI/NE. ïruillôt, de la 6» compagnie,,qui était en senà midi, ufi ificefi(îîe Sfêst Hier, ~ Billy-Mondnelle, voulut retirer son fusil, chargé à blanc, déclaré chez M. Dervaux, épicier àd'alôooï Plusieurs ont tonnes remplies .même canon..Au tigny. le i'.un Buisson :et*le prit par Ieg'caves explosion feu été et les griève gagné lait et le a .nstant, le cotip partait. Guillot a 1 la magasins.et par ment Mesâé par la balle de. carton < 33 ' Des" soldats dés e ét l3è» rêgimêfttâ d'infan poudre ; on l'a transporté & l'hôpital d'Annecy détachés lé pays "pour lès grèves, dans terie, ïans un état grave.septuagénaire, habitant combattu le ont le feu avec les pompes de lâ' cOiii. BEAUNE. -—. Un hameau de la Plaine, conduisait sa vache Aux tfiuné et' dè la CompagMe des mines dé Cotrt"'v champs, qùarid celle-ci, devenant subitement ri^res.She éÇHifiaft ieâ -pas? eâusëé dii siiMstre, '... Jeta on lûf Êt renversa le ie 1 ; sur îurieuse, sa *

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Aùjôufd'hui, -â deux heures, courses au trot à ^ifi^-ûlôilld;

idë§ Arrhéèë dè

terre • ët de ' ,mèr. 'Côhfcoufsi dë Vjatëf-polô.' Gfàhd fëti d'ârtiflcè, ' " " Graiidë îôiirnéâ Dimanche 1S Juillet. ëOciéte dès fêgâtëë ' ;dti^ llaVrfe. dë. lâ-'. Yàchts •: Séries' jtifeqfii'a, 10 ''tdHheaiix èt

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FâVô'rii

. Petit journal s

jroléS ! èt Coulissés et Vélefe Fédération-frangaise,' . dé là : Braùdê têtë dè 1 Prix de_Mai Jockey, Dakota. Prix KM? nuit. ' * rnia : Diablotin,.. Ecurie LallouetrvJPriz ' Luiidi JUîUêtl Société Été^ rë^àte'a ;

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Prix1 dë.i FOft's : Ecdrîe" Lâllô'iièt, Dàliïa.

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^ùtcMàBilés'de

BrjDdlilS'hft, Ménziëift,

dè ÎS fiornsL^he. Su ëas'Bâùmonî,, des fermiers TAWmlAMn ont, en,labourant, I piis.à Jk .dAJ KM —« «MJ . i jour un èouterram très ariëieri; wui eomprend plusieurs galeries. La- Voie prindipaiS se dirige Sut 16 château dù.-Boischarréàult, - habité autrefois parComte,.da Rôuzô. Les fouille3l.sepourâuijbri* tiuvrièr',dè ta sucrèriè fie COWUii,.Alfréa JButiri, oc'cupe 'â aéë travaux de nettofykk&, est tdnibé,- hier sbir, d'unë hflutetif dê pltfsiëurâ rriêtrèfe, et à'est fracture lé {crâne. La mort a été instantanée.- - •' CREIL (Oise), r- in nommé Louis Durîauxr • figé de, jcmquantê-qiiàtre'ans,"habitant Thiyern^j et eOnt la ferrtme avait quitté le domi-

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Mâ¥Ûl W Jiléleti- -i'^Crdlfeïèfè' fle^ Jékûoi9

l'Hêlidè'Cliib âe Ébuëri àu â CdUrse dea Batèâdx^llôtêk de' là Havre. M. X. Ballj (G. Baftholothetv): NÔn plàcëi Pm i ï,5ôo franfcS; î'êtë TadrésPiéittôt Ill. ^drfèfité, 'Coqslgi-U, AUëtfrâ,: ,Manette; riiiili pâlir 4éS hiariftê de l'éècâdré;. *'

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pu l'ifatëfrbgëf sùr les,pêrip|fies dû 3raifie*qui se , déroula dans la nuit du 5 au 6 mai a la ïerifie' Madnotiry. duit à la fosse 9,da la Compagnie des mines, LUN é VILUE — on Vient-de retrouver-dans ' dé Bëthùnë, 8 A-rineqiiîïë ' la^Vëfo'iize lê . tdrps dé M. Pâleur,'fiëgofciâiit -. Pendant qu'unâ équipé fle fnifiêtifs. plaçait depuis plusieurs ent tisâtis, qui avait disparu devoir dès bois' de soutènement au fond de là nnnë,etré attri la moft et dont jours paraît un cra^ueméni sinistré se fit èhtendre dans un ' 1 "' ' buée à Utt teuicide. endroit sù travaillaient deux jeunes gens uu Uri Grande* Hâbifaht de la MONTEREAU, pays, les frères Sauvage. Un d entré eux n'eut Paroisse, nommé' Alexis Maurice,., ftgé de tas 13 teïËjré dé fuir et fuvenieveli sous .line soixante-six ans, s'est pendu Ce matin,, pen masse-,de terre et de charbon: i 1 '» norme dant l'absence de sa femme. Oifi s'efiipfeôia -flè ddiôBftttf'6 l'éboulement, tin nommé 'Billargues, : montpellier, mais il fallut, plusieurs heures pour dégager —, âgé dë quâra'nte-dgùxans*. Venait, .hier soir,^ lè cadâVrë; Le malheureux ouvrier laisse uiie-. à ittj "tvagofi, onze heures, d'atteler, tin .ChevalfnOiiveteent,veuve êtqijatiejëUne^ enfanté.., ' il' éuitè d'dh chalôns-soiï-marne. Hier stàri dfie faux . lorsque, par ttfhmaflté ùné plaqué et W wagem gHésë Sur Voittire-lourdement-chargêë dé îpiii qui entrait dans la cour du domaine de Nahlivetj près biandé defe explications. Pour toute,réponse, lut écraââ les jambes.. Il a été transporte à -4'hôpital dans un état désespéré. de Suipnes, a. îait tomber .un pilier de latporte ft porté sur la tête un violent coup- provins. Hier matin.-- au passage, du fl'ëntrêe dé.l'iminë,uble. Le.piiiët â'e^t dbattii Fourrier.lui blessant de je marteau, grièvement lèsiâitlb^ domèitiqUe assez fl'uA nofemê Tiêëot, trdmïYSir. départeinental, des étincelles, par Èdtf ^ violéiïtè de." rougeo épidémie dijon, Une Julèâ propriétaire; Bourgieoiè, de M. ties de la machine, ont mis le len a une,meule au service ile — actbëileltlênt NOirori-àUf-Bèzè Sévit ses]blésS maihêdrèttx preSsùçcortibê Soir dS paille appartenant- à M,,Perthelin, négole le à ; a' bue tous les enfants Sontatteints quelqueset fciant à Jouy-le^Châtel. Les dégâts sont assez 1 "i '' J Èriigète, ter géhérâï Vicë-prèsiflem du" fins gravement ; l'autorité supérieure vient %° Hier xsatiïi, tirf'ndftifalé Ââthiftie la fermeture de l'école, 0 e Conseil .supérieur de la guerre; eèt,ar#i\fë ^éù d'ordonner : eanip dè Chaiotts pour assister à des Expé 4 cUIdNlCOURf, (Âisne). — Un homme n'ap- bâilleur, âgé de' vingt-huit ans, lititené d'é- ! pârtrfnanl pas ad përsdhnêl'dii èhèfiiin de' fer bUipë à la garé d'Ôrléans, à Rduefi( a été riences d'artmerie.., * déqiaTê , S'était , à. été tamponné -hier^ près de la gare de Loi- terasê eAtre deux- rames de -wagons en ma^ CHAUMONT. — Un incéiidle Vre, à NOgent,' dahsagéê par ie train de voyageurs venant' de nofSttvres. Le malheureux a eu la téte hrOyée.- il une maison hàbitêè paV la de soixante.-dix-sépt ans i ReWis,et allant :dana la direction de Laon„; laisse une vbuvô ^t.deuy enfants en bas âge, veuve Giratill qùarid ïé feti iOt éièint; celle-ci fut trouvée, au le malheureux, dont l'identité n'est pas. encore obsèques de M. Leduc, soussenlis. Les compagnie-dés à été .tué. sdr lê côùp.' pompiers dr lieutenant — de la pied de s'ofi lit, hué ét ènfièrèftient carbonisée:1 connue,.Ans. Maria la LÉ M ïêart, dix heures et Bàraèt, ISenlls,' matin, à vOHOkET. — On vièlit d'écrouêr, à Jà pilson ferttoé lieu ont ce eu —. , concpurs.de troisième ûëiïiië, grand Brette,.Viéht d'un, milieu victime-del'incendie âU po de etalit iriembre de tenites les tè inoiirir à- rhdfepiéâ dU Mànë, dès suites des pulation. Le défunt orribles brûlures qU'eild avait reçiies. En ral- sociétés de la Ville. Une délégation de l'Union feon dè la gravité de soii état, .tin n'avait pas des sapeurs-pompiers de l'Oise assistait a la M,t.- DervanjÈ a ett ia tisâge fortement Ittfflé aù_ cOUrâ, dés traVatix d'extinction. ;u Hier âoir, Uiî grètye' àcèidént â , ëât *p'fd-

.(TélégiWBiéa dû mà eorreipôndwt» 6p&aairx). —'VpNDRfeDi 11 Mai .

^ui lui passa su® le corps. Là tanée.

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Journal ûanslesdâpanementi

âgé dé alais. -» on- ùoirimé AlbertM.Vacher, Pierre Légal, quatorze ans, au service de d un ac victime matin, été, entrepreneur. » c«r travaillait au P.-L.-M. Il du cident a. la gare vôie, la ayant traverser vo.ulu lorsque, ilballast, en mançeuvre, fut renversé .par un wagonmort fut instan

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hièr» &Ved tout;le.matériel de.déçOre,eud'aocesÉoires, de

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fcérémonie^ Àu cimetière, nlusieyrs. discours bht été prononcés par MM. Odenti adjoint aumaire, Mahieux, capitaine" des jboinpiers, FauIrât, président dé lâ Sotieté'cfe 'sectiurd mujtUeis^etfl. ' " 1 ! tourcoing. Ètsofiàuiî tjàr trié ïëinnie;Bidonie Gallpt,- âgée de vingt-deux .ans, demeu ' rant rue de Madagascar, "avec laquelle il avait

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depuis quelque ternes des rëlatienâ, Un nômmô prnest, Leplat< agô de vingt ahsi demeurant & Roubaix, venait,- hier soir, faire auprès de la Îéûnà fille une dernière détnarche qui, comme e§ autres, deméUra* yainë. Un çamàraaëde Lepiat, Ernëét Vanddkerkové, tira alors deux fcôupg de révOlVét dané lâ dirëctioh" dê lâ hidieon de Bidonie Gâlitrt. /Un fies projectiles alla sê loger dans là joue gauche d'une Voisine,' Mme BJanche Lerpst : . L'état-de la blessée est peu gravé. Vandekerla kové à pris fuite. , femme. Girard, T O âgée dê cin rs La o ; — anà, . dés marchande quante- deux qUatrè-saifeons, S Loches, venait de Tours en voiture avec 'sa fille Charlotte, âgée* de quinïë ans, lorsqu'elle croisa a Truyes Une toiture dans laquelle se trouvait son autre fille, Maria, 1 âgée de vingt-quatre ans, cotdonniâre à Beaulieu, et une fille Tessier. Celle-ci se mit à apos tropher grossièrement la femftië Girard et, brandissant un revolver, l'en mënaçà. La fem me Girard-s'apprêtait â répondre quand, brusqUértiënt, sa fille, Màrla, arracha l'armé des hiains de là ftllê Tesfeièr et ert tirâ uii coup dans la direction de Sa mère qui né fut pas atteinte ; les -deux filles bnt été arrêtées et fcônduites aU parquet de Tours, La fille Maria, qui vit eh màuvaise intelligence avec sa mère. • prétend avoir seulement tiré en r l'air. '.


En Havre., Yachts tSéries Jusqu'à 20 ton-' pôaux et Soïtderklasse. Canots hors séries. Pêcheurs. Course des bateaux-pilotes de la Manche..Prix. : 6,000 f r. > obj ets d'art, cou pes, médailles. Yoles de mer hors séries de 10 m. maxim. Distributioû des pri* à Frascatî. Courses de canots automobiles du Havre à Hoûfleiir. A TROUVILLE

Mardi 10 Juillet. <» Première épreuve de la Coupe de France. Courses du Cercla de ! ' ' là Voile, de Paris. Fête dé nuit; s >

offloiers et soldats et 70 indigènes sénégalais, République. — Quartier Pleyel. h îi. Ballon.'Cl. depuis hier. La pression est basse sur presque SATNT-ÔUEN. tout le continent. se rendant à l'Exposition d'Amiens. —- Tram, de la Madeleine-Bas LIGNÉS DE L'AFRICftE ORIENTALE tille, Trinité ; Ceinture. — Fête du quartier • Des pluies sont tombéés dans le Nord et ML), l'Ouest de l'Europe ; en France, on a recueilli PORT-SAID. — voxua (M. allant de Michelet. Attractions diverses. 14- mp d'eau à Nancy, 10. à Parts, 8 à DunkerTainaiave à MarseiUè. èSt passé le IQ. à 9 h. (Sâint-Lazare). SANNOIS ét. R; ff. 0 95. A. . E à Clermont, 4 à Rochefort.. du soir. • ; • ^ tr. 11 h. S4.- Route : 11—Kil. par Gennevll- àue, «„•»/ Der. • La température s'est abaissée sur nos , r$liers. — Bal dé nilit. CL. ÉtAÏ )(E LA MER' Ce matin, le thermomètre marquait : fions. Le vent est: laible dti ; Sud sur- nOS Côtes de : VïLLENËUVE-SAINT-GEOft-feES! f (P.-L.-M.). ° à Sfornôway, 9 à Paris, :14 (i. Lyon et à la Manche et de l'Océan, de l'Est en Provence; — A. efR. 1 fr. 20. Der. tr. 11 li. 56. Route : Toulouse, 3.7 à Alger et à Saint--Pétersboùrg, la mer-est généralement-belle. .... 13, kil. — Fête du vieux quartier. Bals.- — Luri- 19 à Néufharwasser. On notait i 5® au puy de di. C. Dôme, 2 au Ventoux, — 1 au pic du Midi. j (êftint-Lazare), En Fratico, des pluies sont .probables-avec VlLLËNNES-StR-SElNE ; : À. , et.R. 2 tr. 3j. Der. tr. 11 il. 44j Route 26 kil. temps un peu frais. A Paris, hier : tempéra ; V jDË DËMAÏN DIMANCHE 13 MAI -- par Poissy.—.CL ture raoyenne, 12»1, m été inférieure de o^S à : là homiale (12°6). Depuis hie^midi : tempé)ili.

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excdrsldfis

eï fêtes

Mercredi 11 Juillet. — Deuxième éfréliVe Vie 1& Çotipâ âê Fràfiéè. Goiitsss gtf'; CerËamedi-soli'î 8 50, gare CLUB ALMN. ye de la Voile dé paris. " Saint-Lazare, pûtir-Evreux. Dimanche, visite

AhôNFLËOtiK

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Juillet.

delà ville. Forêt,.la,Bonnevjlle. 17 kil.

ner. Pierre<Coulèe,> JDamvilM. TâVifÛflv § CôUféëâ — 11B. 55. Cotisation;j 20 fr^

Déjeu

ExcdSâio?!s scola1î(k&. — Dimanche, gare dti Noifd, . 7 h. 43; pûur Orrouy. Ruines de Bôtti' Marâl 17 juillet, Môntéa à Roueh Or pliëu. forêt dortipiègn'ê, 22 kil; ganisée t>ar la Tôtiriftg-Glub de France. Retour,'10 h.de10, J)êpëhse : 7Compifegne. fr: .5tT. Réeeptidn à Rouen. Luxembourg, 1 h. 10 du excursion.: Gare 2 e , . Viroflay< Bièvres. pied Montéclin, A pour : 13 kil. Retour 16 h. 18. Dépferise i 1 ft. 40. jeudi-17. mai Gare du Nord, :1 h. .30, pout Frainville. A plèd s Villeparisis. 13 kil. Retour: A ROUEN

kouvelles maritimes

çhf 29, Cotisation j.lit;.;50..

[Dépêches -de fias correspondants)

informations diverses

tt HAVRE. On a lancé hier àux Fôrges ét Chantiers de la Méditerranée, le torpilleur —

GKOLÔGÏE: —1 <ïare du Nord/ 7 h. 50;

pôur

Valmondois, Anvers; Bessanconrt.' Ëjccursion

dirigée par M. Stàrixgias M6UM6F, prolesséur ftu Muséum. Retour : C h, '50, Dépense ; l fr, 70.

construit pour le compte du gouverne- LES NATURALISTESPARISIENS.—Gare dé itioilt français ; le ûoUVeûU bâtiment est en Lyon 0 h< 60 pour .Barbizon, Excursion bota>tré au port à 11 heures après avoir échange nique et entomolôglqué dans la forêt de Fon: avec le sémaphore les saluts d'usage ; le tor tainebleau. Retour G h. 21. Dépènse : 2 fr. 70. pilleur est amarré au bassin dô l'Eure. TOUR1NG-C1LU8.— Gare Saint-Lazare, 6 h. i, paquebots pour Mantes. A machine ; Pacy-sur-Eure et retour. 66 hil. RetOur : 7 il. 30. Dépense j 6 ir.50. LIGNES DE L'EXTRÊME-OaiENI 1/wvvi MARSEILLE. — Le Tourane (M. Mj.icour# „ partira dimanche maP êtês,, locales et patronales Ëer d'Extrême-Orient ' abréviations 190 : st. station. — a . et . passagers, • i -avecL'Amiral t. ,Der. (Ch. LdtoUche-fréville k .j Aller retour, tr. Dernier train de re et s—' — arrivé Indo-Chine, est allant du Havre en tour (l'heure indiquée est celle des dimanches hier soir, efi service commercial, et réparti* et jours fériés). — C. Continuation de la fête. ' èn service postât. ta .mardi — Cl. Clôture. ' R.), (Ch. VAmiral-Merleaux-Ponty ve ! ÀNTONY (Luxembourg)ï A, et R. 0 fr. 95. nant de l'Indo-Chine. est arrivé avec 393 passa- Ûêr. r- par Montrouge, . tr. 11 h- 26. Routé : 8 kil. géra, parmi lesquels MM. Bompas €t Tierssôn' nieiv administrateurs ; Gros6ein,. ehôt (Msaa- Bourg-la-Relpe. — Lundi. Cl; drons, ; Bonnelet, chef de bataillon ; Gross. ASNIERES (Saint-Lazare).— A. et R.O fr.-CO: Marty, Gérard, Hiestand, Vairel et Ville, ca Der. tr. minuit 31. Route : 4 kil, — Fête du pitaines ; Monget, Tardif et Sallet, médecins- Printemps. Nombreuse»-attractions: ^ Si5

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majors ; Thoreh, contrôleur des douanes ; 3 lieutenants, 45 sous-offloiérs et 226 caporaux et f BGlâ&tS *"*' ' i PORT-éAiQ. 1—' UArmand-Bible, allant'de Yokohama & Marseille, eèt p&SSé Ié 10 & sept heures du matin* _, est MOJI: — VAmirai Exelmdns (Ch. R.) parti le 10 pour Taku. v SAIGON./*- L'Amiral de Kersdint (Ch. R.)., jst parti le 10 en retour.

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LIGNES >DE L'OCÉAN INDIEN

tfe, — Le MARSÉIL JLLÈ. -- Péh.) allant Persia ~ - (C. " aujourd'hui

He Londres à Bombay, est parti 250 passagers. -, avec rec ... de SVEÏ. passagers.... Le berbyshlte (R.. LJ ayant là pàësê 10. Marseille à Rangoon, est PORT-SAÏD. — Le Marmot& (B. LJ-. allant Île Calcuttà à Marseille est parti lô 10. PEÊlMi—- VHerefordshire (B. L.) allant de fjtangbon à Marseille, est passé 16 $. >

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LIGNES DE L'OCÉAKIE

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: MARSÉÎtLE. — Lé Goentoet. (R. &,), .allant est parti d'ici hier

BEZONS (Saint-LaïareJj — A. et R, 0-fr. 80. Porte-Maillot. Der. minuit 36.

tr. Tram, Route: 7lfil; par Courbevoie. — Kermësse. Bal de nuit. 1 CHATILLON (tram, Saint-Germain-aes-Prés) , nuit. Retraite Lundi. flambeaux, aux — Bal de

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Marché três'bûn, très actif. NotJS aVofts dit

incidents qui. pouvaient; se produire. L'ouverture aya:nt eu lieu s>ifls au cun incident, le marché rassuré repart et achè te de tout, mais notamment'au)oura hUi des fonds russes, de l'Extérieure qui monte subite ment. de l'action Omnibus. ' Il achète aus^i de là, rente.-.'Le>3 % Anit à 99 10 au comptant, -à .99.22. à terme contre 99 et 99 12 hier- Les; Caisses.ont acheté 61,000 fr. cic r6&t8i •.v i de nouveau'êxcel* Les dispositions.sonï*doàc lentes et le marché est dans de très bonnes conditions pour accueillir les affaires nouvel» les qui pourraient se présenter. Pour le mo ment, cependant, on n'en voit poindre aucuns. Les chemins espagnols ayant beaucoup mon te, onJies a abandonnés et an s'est porté sut l'Extérieure, laquelle a.^été' poussée aujour d'hui à 96 90. Elle finissait hiéiî-à.95 80. Aucude raison connue,- du reste,-' pour ^expliquer ce mouvement. • r-. autre i.%, le Turc,- a passé de Du coup, cet 94 25 & 04 75. Quant' auxJonds iufeses, ils soflt fe. peu prés tdus en progaession. Le nouveau 5 % est à 94: au lleti de,93 80. lé 5 % 1904,passe dé 505'à 5Ôd: Eh plus-value ae 50 cént. le 4 '% 1901 à 83 40, de 80 cent. le 3-;% nouveau à 68 40. «rédit sont ter y Les actions des sociétés de nies. La Banque, de Paris est, à 1,595 gaetnaiit 6 fr., le Lyonnais vaut 1,170» contre 1,166, le Comptoir est à 647, le Crédit mobilier à 139 50. Les différences pour les actions de chemins de 1er sont 10 fr. eû prus sur l'Est à* 920. 6 fr. en mailis pour l'Orléans ^ 1,425. L'Ouest êst à;890 an lieu de 886. r " j • . . d'hier : 84,574 fr. Le Métro cote 533. Recettes La plus-value de l'action Omnibus est de {0 ff. h Î.Û55, celle du ùo-'i de 8.„fr. à 337.. Les mihe's sont meilleures,,sans dôdtë parte qh'une dépêche dit que l'avis aux Chinois dé- 1 sireux de rentrer en Chine n'a pas produit' parmi eux ' l'émotion qu'.on pouvait, craitv dre. Le rendement en onces des mines -pour le mois d'avril a été de 439,243 onces (l'onze représente 91 fr. d'or) contre 443,723 en maps qui a 31 jours. 1

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1/2, Paraître. . " opéra-comique. — 8 11.' 1/S,b.ta BaSOChê. OOÊON. — 8 h. î/b, La Petite bourgeoise, la Vlailj lesse de. Don Juan. ^ «VAUDEViLLE. . - ,, . le Sourgeott.' B b. 1/2, {.'Indiscret, — ctvmnask. — t Rivale, l'Enfant-oùérle. vabiétés.,— relftcha -, r.- 1 ' SARAH-BE^NHARDT. 8'h. i/2, L'Aiglon." — ANTOINE. ~ 8 h, ifs; 1,^Pitié,- l'-Efauuete; Vaille :v ; j Renommée.- . - ...h., -1/2.- - , Daine NOuvËAUtËS. dé çtéz. Maxim. La -. s — PALAi S-RÔ y A . — 8 h. ils, il est lgilobie avec Boiicliarar.EnglJslj 8cMoI, ;ia« Chaste .Suzanne, le» CrenouiUes, Gonzague. " OMATBLET. — e b. '1/4; Lia Quatre «enti toùpÉ 4ù Diable. \ É — 8. i/2, 'rfoterdU Libre-Échange." q ait . behaissa^oé. 8 h.-1/2, L'InVlté; là Grille: -8A |nt'martin.<r- 8,11. J/S;: Sous i'épajllett». porte athénée. 8 b. 1/4, Le Captif, Triplepatte. ambigu, "**—8 h.'-1/2, Baétloù et Èastlenne, Koiile' la'Bossd. . . f0LiES-Dft*MATlQ0ÉS. — 8 h. 1/2, Le Cotistat, le

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comédie-française.•- 8

11 ^Mai'1906)

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ïs'Harmonie des Chemins de Fer de l'Ouest Chef i M. Reingardv. > Colbert, illêgi-çf (Logpr), — Ouverture dé -Sélection, sur le Pré aux c,Qhceçt. (Ciirau (Hérold). — La Vallée d'Ossau, valse ercsi4). 'antaisie sur LaianB (Léo Beir(BenoJS — Fa

BOUJbTtM DO BUBEAU OSMTRAL K£TÉOaOLOQiQO& Vendredi 11 Mai Là situation reste troublée â&ns l'Ouest de l'Europe": une dépression s'avance sur les ilas Britanniques ; le baromètre marque ce matin 746 B/m à Valentia, après une baisse de 14 »/®

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le Rotterdam à Batavia, •.* z loir tvétf 50 passagers. allant • • Londres de à L.), (O. 'Orient -—i L gydnêy, est parti ce matin, avec 150 passa1, par : ^MÉlSOVRNE. liOmr&h (O, L.), allant de Montmagny..-t-Ballon. £aL Cl» : — ,~ fr.4l parti le Marseille, s. est Sydney à GENT1LLy (Luxembourg). a. et .Rj 0 Oeh tf. tniriUit 4. Cèlnture. Omnlbuk, place de LIGNES DU NORD-AMÉRIQUE ZLARàÉÏLLE. „ Le Gtillia (C. CypMen Fa- la République i tram., Çljâtelôt. —. JeUa^ At —New-York, venant de ' en service conl- tractions: > ; à matin Marseille. cial, «st arrivé ce GUIGNÊlâ-RABUTIN (bastille, st.- d!Yèblés). , Al ét R. 3 fr. 65, Der. tf, 9 b. 14. Route': ' LIGNES DU St)D-AMÉHIQ«E 4 — BAHIA.. ^"Le Sanld-Fé (Ch. R.) est parti le 39 kil.', par Roissy-Saint-L'éfér. ~ 2 ,h» Spe4B pôur Madère. tacl&^Qfiçer.t,; Bal. —Lundi. Bal. Ci, ; . DVNKERQVE, . -r- Le Cordilleras (Ch, R.) Çhâtelei, 'du (bateaux parisiens, ivry tram, est parti le 10 pou* le Brésil. des Halles). Fête du Centre. Confcourê .de MARSEILLE, -r Le JoannÈs (T. M.), venant (rvmnastique.—2 h. Couronnement de la.rosiè Be Buenos-AirèSi est atrlVé aujourd'hui. Bal. Fête nuit. re, BARCELONE. >— Le Mont'Rose J T, M,), pl : (Saint-Lazare). — A. êt R. 3 fr. 7<i. iant de Buenos-Aires à Marseille, est parti Der.. . j Uziers tr. 10 h. 26; ,Route : 41 kil. par Poissy, le 11 Bal. Lundi. Bal d'ènfants. Bal, Cj. Meulah.SAINT'VItiCENT.»** Le Mont-Blanc (T. M.), Rlo-de-JaiielrO, GARENNE-CHARLEBOURG est parti LA (Saint-Laza {illant dé Marseille à À. fr. 10. re). "ét 0 80. minuit R. Der. 2, Tram, tr. e — BUENQS'MRES.. w. la Provence (t. m. électr. Porte-Maillot.. Route. : 5 kil. par ia Dé. de Marseille., est arrivée.1% . jpeaant Xenseit-J- -(jojrsp 'à-pied. Ballon. .Lundi. Peu V• d'artifice.. Cl. HONËS CE L'AFRIQUE bt! SUD ' ( .. . hiARSEILLE. PtinzMOUTRY (Est). — A. et R. 3 fr, 10. Der. tr. — Le courrier allemand ftegent (D. L.), allant de Hambourg au Natal, à h. 15. Route : 40 kil. par Lagn^. Bal. — Lundi. est arrivé ce matin, aveo 109 passagers, dont Bal. Cl. Ë4^pour Marseille, et repartira,demain, avec PUTEAUX (Saiht-Lazare).— A. et R. o fr. 80. DAKïlR?8 ^ Dér. tr. minuit 20. Route : 3 kil..— Fête com Lo ,Cotdoba (Ch, H.) est arrlvô munale. 3 h. Ballon. Concert. Concours dô tir. le 9, allant au Sud. .>, > : RAMBOUILLET (Montparnasse). — a. et R. .LIOSES DE L'AFRÏQUË ÔfcCIOENfALE '' 80. tr. .30. fr. 3 Der. U 50 kil. par h. Route.<: , Stamboul (G. Fraissiiiet), Versailles, MARSEILLE. — Le Dampierre. Fête du Muguet. — Courrier de la côte occidentale d'Afrique, par RÉBAIS (Est). — A. et R. 8 fr. 10. Der. tr. tira demain, aveo 115 passagers, parmi les quels MM. Py, commis principal des postés et 9 h. 7. — Grande cavalcade historique. ROND-POINT DU PECQ (Saint-Lazare) — A. télégraphes ; de Bdrnis, conducteur, des tra Nârdin, commis publies des postes de et R. 1 fr, 20. Der, tr. minuit 13, Route : 14 kil. vaux ; l'Afrique occidentale ; Dufy, officier dVdmlnis- par la Défense, Nanterre, Chatou. — Fête du tration b une minute .de la station du printemps, ; 2oeff^l, vétérinaire de 2' classe ; i ad judants, 2 sergents, 40 tirailleurs sénégalais ra Pecq. Nombreuses attractions. Bal. Cl. patriés, aveo 7 femmes et 7 enfants. SAINT-CLOUD (Saint-Lazare). — A. êt R. Fraisslnet), courrier de — Le Taurus (C. -Der. -tr. minuit 18 ; Font de Saint-Cloud: la' cOte ôccldentâle d'Afrique, est arrivé au- tfr. ïourd'hul, avec 147 passagers,, parmi lesquels Der. tr. 11 h. 58 ; Invalides, 1 h. 22. Bateaux par la PorteMénéauld, Parisiens, tram, du Louvre etkil. MM. Homassel, administrateur Route Val-d'Or. 7 Maillot par le bois au : procureur, de la République ; Lamoureux, ca de Boulogne, Grandes dan® le parc. eaux principal pitaine ; Fabre, adjoint — aux affaires Ri Baréault, Isnard et Lembire, offt' SAINT-DENIS (Nord). A. et 0 fr. 55. Indigènes ; cien d'administration; s lieutenants, sous- Der. tr. minuit 45. Tram.—Opérq, place de ia

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Alcools. : Pendant la huitaine écoulée,- le marché de Paris a dénoté une grande fermeté; les affaires ont été actives et les prix ont haus sé dê 1 fr. à 1 fr. 75 pour les mois d'été et de 75 centimes pour les mois de future récolte» La hausse des mois rapprochés a été causée par des.rachats du découvert lequel a cherché, mais sans y parvenir, à créer du déport sur juillet-août dans le-but. d'attirer de la mar chandise au marché ; celle de la future cam pagne? a été motivée par l'apparition de nouyeaux acheteurs. . à lft , ..hausse se Les. principaux opérateurs le déport sont contentés d'empêcher ; pour cela, ils ont vendu du courant et repris en échangé du juillet-août. . ,la si. En résumé, pas de changement, dans . générale du marché qui reste toujours tuation excellente pour les haussiers. , . Le stock parisien est de 10,8a0 pipes. contre 10,875 il y a huit jours, 5,200 en 1905, 13,735 en 19Ô4 et 6,800 eu 1903. ; : Vins. — Les nouvelles du vignoble ne sont jour pas très satisfaisantes ; après quelques nées de beau temps; qui avaient amené une re prise de la végétation,nous avons eu le retour des pluies lesquelles ont eu pour résultat de provoquer un abaissement de la température. Aussi, désire-t-on vivement le retour d'un temps beau et chaud. ,

Le Petit Journal m des prix plutôt moins fermes. On cote à Mont pellier : ..Aramons 7 à 9°, de 6 à . 8 fr: ; montagnes 9. à< 11°, de -7 à 10 fr. ; vins blancs, de ,9 à 18 fr. ; viiis-rosés, de 7 : à 12 fr. Dans le Bordelais, les affaires sont au calme. Commerce et propriété se tiennent sur une grande réserve. ' ' En' Bourgogne, les affaires sont assez sui vies en vins de 1904 ; par contre, les vins de la dernière récolte-ne donnent lieu qu'à des transactions restreintes. ; Dans le Roussillon, les cours sont ,soutenus avec de petites affaires. En Touraine, où la récolte se présente bien, les. prix, sont faiblement tenus. On peut ache ter des petits vins rouges 1905 de 10 à 15 fr. la ' pièce de 250 litres nu et des vins blancs 'selon qualité. • A'Bercy; le calme i domine .toujours et les ' prix restent stationnaires. ' "On cote

:

Les vins du Midi, de 16 à 22 fr. l'hecto pour ceux de 8 à 9°, et de 19 à 25 fr. pour ceux de S à 10° ; les Algérie titrant de 11 à 12°, de 20 à 25 fr. ; les Bordeaux, de 85 à 105 fr. ; les Mâconnais-Beaujolais, de ,95 à-125 fr. Tartres et verdets.—On cote à Bordeaux : Tartre, 1 fr. 18 à 1 fr. 201e degré, selon ren dement. Cristaux de tartre 90 1 fr. 22 à 1 fr. 23. . Crème de tartre l or blanc, 156 à 160 fr. ; 2" s: blanc, 154 fr. les 100 kilos. Lies sèches de cristallisation, de ,p 90 à 0 95 sont calmes avec le degré. _ Dans le Midi, les affaires .v „

Acidité totale, de 1 fr. 18 à 1 fr. 20 le ilegré, A Marseille, on cote : Acide tartrique cristaux 1 er blanc, les 100 kilbs, 255 fr. ; par 1,000 kilos, 252 fr. 50. Lie 25 % min-, le degré, 1 fr. 25 à 1 Tr. 28. de chaux de 50 % min., le degré, Tartrate •

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A Marseille, les cours sont fermes. On cote : Madagascar, 330 à 352 fr. ; Maroc, 344 fr.; Levant, 353 à 358 fr. ; Abyssinie, 353 fr. A

Tunis, on cote : cire vierge de- colons 1"

Bœuf1/4 derrière.... 1/4 devant.,... ,

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qu'est l'Indo-Chine: — Un nouveau type d'obus destiné percer les cuiraspes.. — Un étrange charge ment. — Les noms et les traditions de nos navires de guerre. — l/ri navire envahi par les glace», Le oiee-amiral de Maigret, — Tribune litre. A l' Officiel -.Guerre et Marine. • -v, •

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1906^

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chargé de vous retrouver, de vous donner le sage conseil, très prudent à suivre ce moment, — de—retourner au pays avec en votre petit avoir, une fortune au hameau de Itocn... et voilà tout. Il lui mit la bourse, gonflée, d'or dans la

Mademoisella Gsat-Mtllioas TROISIÈME PARTIS

LA CHAUMIÈRE BRETONNE

XIII (Suite) Du faubourg à la grève — Parons au plus pressé. Il faut fuir*.., disparaître d'ici au plus tôt. : ; faire aller... Oh ? ! mon Dieu l Où que — mon Dieu I Gomment sortirai-je de là ? .

— Le mieux du monde, si vous m'éçoutez et pi vous m'obéissez. Premièrement, il vous

faut àe l'argent... : — C'est que... je n'en ai presque pas...

Erreur... et vos économies ae deux an-jaées chez la marquise 1 Je n'ai pas pensé à les emporter... C'é taient des dons gue j a ne méritais plus en

-—

jcn'an

allant ainsi... J'aurais eu l'air d'une

voleuse

!

. main.en ajoutant : Veuillez reprendre votre bien-et suivre — plus tarder l'excellent conseil de la sans

bonne marquise,., et de votre sincère,' de votre fïôèle ami, ici présent ! monsieur Delrue, vous serez donc r- Oh ! mon toujours sauveur S s'exclama Jeanne, radieuse dans sa terreur.- Quitter Paris... partir touï de suite... mais c'était mon vœu le plus cher... Vous êtes yeriù le réali ser. : • - ' . Juste à temps, ne l'oubliez pas ! — — Un instant encore que je vous remer cie... que je vous demande comment vous avez pu savoir... ;: • • . . Ce serait beaucoup -trop» long;;. En — cherchant on trouve... j'avais quelques don nées vagues... le hasard m'à servi;., des rèlations aussi... C'est sans intérêt... L'im portant pour vous est de prendre le train de Bretagne à huit heures trentè-cinq, ce soir même... Elle se précipitait... il là bousculait.u la

'.:

Allons donc 1 quelle plaisanterie... Voi- la. gourmandait... cl-— votre bourse que Mme de Kermor... elle- ! Vite, vite, un petit paquet... ce que vous jnême-m'a chargé de vous remettre. avez de plus nrécieux... il faut abandonner Oh ciel... Mme Kermor... Que de î elle tout cela... c'est pour le propriétaire... — donc ? sait > Jeanne'lui obéissait fébrilement, en toute elle, Rien, ni ni le comte, ni le mar hâte, — l'écoutant comme une Providence;.. quis, ni personne... On ne sait rien, vous Elle eut bientôt fait la mince part de ce ais-j'e, sinon que vous êtes partie!sur un qu'elle pouvait incompréhensible coup de tête... On-a été hardes... Sa emporter, ses souvenirs,, ses jolie machine à coudre,- si surpris, intrigué... et on en a causé pen douce et si travailleuse, dant deux ou trois jours... Et après, on a las i il n'y fallait plus comme elle, hé songer : c'était la parlé d'autre chose...

— Ah I "alors:'.'?''

du feu ! lant mieux ! Mais cette bourse, partTout cela » en effet, c'est-à-dire son « " quet mobilier de

co

: Parisiennette, ce serait »— J'y viens, mademoiselle Jeanne. On m'a pour payer le Joyer à venir... Et elle se pressait, elle se pressait, com S) frsdacUon et reproduction Interdite*

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me si: le feu était très ré'ellément dans l(i recul' et elle'protesta .à mi-voix, toute hon maison _ et'que tout, brûlait... tout I... Sœ de cette-indécente!sortie oreilles bourdonnantes ne cessaient de per teuseOh ! monsieur Delrue," que dites-vous ! cevoir des bruits inquiétants... des pas, — Je dis.rinâ chère Jeanne, ce qu'il faut - — lourds sur l^s marches... des agents, ea- pour dépister la police. Songez que la sû core et toujours des agents qui montaient reté est à vos .trousses. !' • 1 pour l'.arrêter.. ' Son oblique' œil, scruta • ; un instant les Delrue se prenait lui-même à. cette fièvre 1 abords de la maison. ' < d'imjjatience... il devenait sa propre dupe... : Rien à l'horizon, fit-il. Nous le — avons il finissait, par croire à son invention... ,vent Prenons le large ! en poupe. Au fait, c'était possible'après tout I C'était — A Dieu vat I murmura la pieuse enfant même certain... d'Armor. O bonne sainte dame d'Auray, Il s'agissait d'arracher par surprise Jeaii- prenez-moi sous, yotré protection ! à Paris et à. la ne police qui la surveillait et aurait pu la protéger,en fin de compte; ayait .tôut d'abord songé à faire ... Delrue contre ses louches agissements par trop ré filer Jeanne par l'express du soir, à la gare pétés, scabreux, dangereux. 4 > Montparnasse, miais cë.-train, pouvait être . — Allons, dépêchons-nous... 'dépêchpns- surveillé... et pi^is c'était trop facile, trop nous 1 Le temps passe !.. simple. ; j Il fallaiti faire croire à la jeune fille n'échappait qu'elle que par ruse et miracle La petite Jeanne jeta up dernier regkidi nouvelle-et dèfinitive a une angoissé, éploré, sur son pauvre ménage <fe jCoitime tous les coquins, arrestation. jeune fille* d'ouvrière honnête, chèrement merveille les horaires de il connaissait à de fer ;.il payé de son travail et de ses veilles... et ce expliqua' à Jeanne qui le chemin suivait, docile et fut seulement en; lui disant un suprêiie terrorisée, paquet à la main : son adieu qu'elle comprit combien elle aimait pe -r-,-Nous allons remonter jusqu'à la ,sta [ que Delrue appelait tout cela ! tion• de BellevillerMénilmontant,en pre . Oh 1 oui, elle l'avait si bien gagné, gebla nant par les petites-rues. NoUs verrons bien tUle faubourienne, et réglé difficilement, à si quelqu'un suit. La Ceinture nous la petite semaine, sou par-sou^ à tempéra débarquera à nous Saint-Lazare... vous resterez ment, quand elle avait débarqué à Pariç, sur le qfùai.:. moi j'irai chercher les billets toute seulette,en l'absence, de la bonne mar yià Vérsailles. ] quise Hélène... « C'est par là que vous pàrtirez, ni vue ni Elle laissa la clé sur la porte, puisqu'elle connue, sur le ,coup de neuf heures... Vous ne : devait plus revenir...: plus jamais i... ët sauterez dans l'express à l'arrêt de^ Chan elle suivit son compagnon,-au.cœur peu sûr tiers. Il fera-déjà huit... c'est le salut.;, et — en qui elle avait une aveugle confiance..i demain le beau réveil de la liberté en. face l'infortunée 1 | de l'Océan t Hein 1 vous serez contente 1 ' Loi En passant,devant la loge de la mère — Quelle.dette de reconnaissance... mon range, Delrue lança, à la volée, ébaubissani sieur Delrue... et comment l'acquitter ja la concierge mais ? Ah t si vous-pouviezvous douter !.:. — Excusez, madame, mais nous rentre! — Ne parlons pas de cela. Vous me Émet . I tez rons peut-être un peu tard, cë soir 1 "à la torture. ... ; Jeànnè Le Brerm eut 1 un mouvement dé • — Il faut bien cependant que je vous re

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mercie du fond de- mon cœur-: vous m'apparaissez toujours quand je suis en péril ! Ditesique'te ;suis votre bon ange, ! Non, — mademoiselïe1Jeanne, vous ne m'avez ja mais été indifférente, voilà tout 1 Chacun se fait des. illusions::., tant, pis ! Et cet homme au cœur sec, le bourreau dé Louise, ! affecta une émotion profonde; douloureuse: Il eut un triste soupir, râle mensonger de quelque amour, malheureux... - Jeanne se-souvint qu'il lui avait'fait va guement la-cour chez la marquiâe et elle pensa, émuë : — Pauvre monsieur André ! J'aurais dû l'aimer... Il paraît si triste... il m'est si dé voué... mais voilà, c'est impossible., EUe rêvait du passé... d'Henry... et elle se risqua à dedander : —Jîespère que Mme la marquise est très.:., . très heureuse maintenant., le retour de son fils.:, son mariage aussi, je crojs ï * — Oui, répondit Delrue sobre de détails. Tout va bien de ce côté. -t. Oui / ce « oui » du faussaire et du traî tre-retomba sur le cœur de Jeanne comme la pierre du sépulcre. C'était bien la fin de toift, ce qui ne meurt . pas était en .train de mourir en elle, l'espé rance, le dernier rayon divin qui console ! Après une i>ausé, elle risqua encore : . Xè château de Kermor ne sera — Alors, plus inhabité sans doute ? Delrue comprit son inquiétude et s'em ' pressa de la calmer : château fttiLs Le. bien Je qu'ils crois —

n'y retourneront plus., Le baron de Bressieu l'a racheté au marquis pour le reven dre.! M:'de Kermor s'y ennuie à mourilr, sa femme.ne,peuts'y enterrer toute vivante.... et le comte ne .rê»ra toujours qu'Oubanghi et Congo... c'est devienu sa Bretagne à lui. " Il ajouta,'par surcroît de précaution : ; — J# dois! .vous

dire que, de toute façon, vous n& reVerrez1pas lee Kermor. Sans vous vouloiç a.ucun mal,, il s'en faut, ils "ont sé

Le Gébant : G. LAS SEUIL

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Imprimé sur les mach?nes.rotativesMABINON1

Papier Dabblaï Père et Fils d'Essonnes vèrement jugé votre départ précipité et.^ incompréhensible. . — Il me serait impossible de le leur ex pliquer, aujourd'hui encore: .' : ' — Je ne, vous interroge pas. mademoisel' le Jeanne, je constate. . ^ j'ai es tous les ~T torts, je l'avoué. . , Obi.! comme elle savait gré, en ce mbment, au misérable Delrue, de ne pas la questionner: davantage.,. Péut-être avait-il-deviné son lamentable secret d'amour ? • "Alors, quelle délicate charité de sa part l is nc *n personne ne poùvait i rien : C'était doute* . de .tellement -insensé,seabsurdfi et monstrueux !..; T*

^

"''V w.> • .r :* i :* .r. > ...En passant devant un assommoir aen-* fumé, au niveau de la Ceinture, Delrufl « flancha » tout à coup.. : Il avait - cru reconnaître la voix gron dante de l'hercule du Saint-Mar et distin guer son ombre énorme à travers l'enbu gluant des carreaux... * L'instant d'après, il avait chassé cetta hallucination de son cerveau. Le Rempart devait être loin..,, ou terré dans quelque trou profond. * Vaine alarme ! fausse alerte I ." " •i. *

-

...

Ah!! .quand donc cela finirait-il... Jeanne, _ Louise, 1 hercule, le baron, Collin-Mégret, li comte Henry ? Que de transes et de victi mes, et de complices.., combien de cadavres.à traîner ! Enfin Jeanne Le Brenn, tout au moins allait disparaître, elle i II était en train dé l'expédier à grande vitesse. ' Son programmerapidement dressé• ingé nieusement conçu, fut exécuté à la lettre avec, un plein succès... Personne reste rie songeait à arrêter la victime dedu Delrue.

ï;

Michel MORPH

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lia, sotte, à demain,! .


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