Le Petit Parisien (Paris) Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France
Le Petit Parisien (Paris). 1876-1944.
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les populations. par attendant cette Eu der le moins d'efforts il semble française,
impliquera création nombreu-
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et pour demanà la nation
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la légion du métier
étrangère des donnant armes, de guerroyer. à leur existence les héros d'aventures Comme
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viennent, cision qu'ils du cœur. et
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grand
par du courage des armes, mains.
tricolore
de
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étendards. la voit la place tenue dans Lorsque l'on Boërs les volontaires les Jatte contre par commandée lord de l'armée irlandais par trouverions on se dit nous Roberts, que de solcertainement en Irlande beaucoup nous donnions la peine d'en si nous dats, chercher. Les
fils
aucune
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la
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sympathie S ils
Erin
n'éprouvent l'Angleterre qui les dans des régi-
s'engagent c'est afin chercher d'y britanniques, la misère, contre et aussi un refuge pour batailleurs. leurs «tlisfaire goûts trouveraient cela dans Il semble qu'ils s'ils des conditions leur plaisant davantage, de prendre du service avaient la possibilité aisément nous nous en France; pourrions la fidélité ne dont des soldats ainsi procurer est et dont le courage douteuse serait pas entier. du monde connu un retour à d'andu Ce reste, serait, epprime. ments
sous l'ancien régime, été ont longtemps comme France, beaucoup parla d'ailleurs. étrangers à faire recertes pas songeons de et à voir souvenirs former,
ciennes traditions; car, irlandaises les troupes employées de régiments ne Nous naître
ces
serpouvant un gouvernepar la légion Mais étrangère ment impopulaire. d'être ce côté a précisément caractéristique de toutes et de de tous pays composée gens les terric'est dans nationalités. En outre, et de l'utiliser toires coloniaux qu'il s'agit à concevoir crainte nulle il n'y suite, a, par mercenos libertés, troupe qu'aucune pour menacer. ne saurait naire des nouveau, vir à maintenir
Si
on
militaires la force
corps
remonte pas avant
loin
un peu la fin
on en arrière, seizième siècle
du servant en France, étrangers de nos le modèle propres d'après organisés avait eu des inil n'y que Jusque-là, corps en faveur à tirer dividualités l'épée prêles avanles meilleurs leur faisant du maître
ne voit des régiments
tages, nées, qu'elles Dans
bandes ou des redoutables prétendaient les années
confuses, les pour défendre.
indisciplipopulations
précédèrent la Révola monarchie au dix-huitième siècle, lution, des hussards des entretenait hongrois, n'a pas Paris des lanciers uhlans, polonais. oublié ce régiment de Royal-Allemand,comcharde Lambesc, le prince qui mandé par dans inoffensive une foule furieusement gea ni les baen 1789, des le jardin Tuileries, la la prise de le jour de suisses taillons Bastille. qui
du
Feuilleton
N* il.
Petit
Parisiks.
ROMAN
GRAND
PRXMIKRR SERMENT
Mademoiselle voisine. pièce
INÉDIT
PARTIS D'AMOUR
IX de
(suite) Boffroat
passa
dans
corps
consommateur plus effrayant moderne ait connu, d'hom mes que le monde ne pouvait de puiser dans les namanquer tions trouver des soldats. étrangères pour sa course Dans à travers au son l'Europe, de ses tambours et de ses clairons victoil était suivi des régiments étranrieux, par formait à mesure son gers qu'il que pouvoir sur notre continent. ainsi constitua la légion banoqu'il vrienne en 1804, les chasseurs auxiliaires en 1805, les deux du Nord en 1807, légions la légion en les vélites en 1808, portugaise 1809, La
et
enfin
la
irlandaise.
légion Restauration se hâta de dissoudre ces Elle trouvait en France de solcorps. trop dats du drapeau à l'heure où elle tricolore, rentrait avec son ne blanc, drapeau pour en diminuer le nombre. Toutepas désirer embarrassée
se
pour
pes espagnoles laient pas quitter elle créa, à leur
et le
délivrer
portugaises, service un
usage,
des ne
qui notre
de
trouvou-
patrie, colonial
régiment
étranger. Au retour avait besoia
de l'île d'Elbe, l'empereur, qui d'effectifs considérables pour la créa huit jouer partie suprême, régiments Cette enétrangers. organisation disparut, traînée dans la catastrophe de Waterloo et le gouvernement des Bourbons mit à la une place légion royale étrangère. En 1819, une transformation nouvelle se La
monarchie avait le dans dévouement restée attachée aux
produisit. confiance était qui gloires ments
impériales; suisses elle était
royale, soldats tions. On chiffre mes, ment giment ainsi. Ce il est
n'ayant
lien
légion pas
fut qui composée d'Allemands et de Hohenlohe, n'est
là
de
l'armée,
souvenirs des des régiparler de la garde partie aise de de disposer
faisant
forma une ne devait
médiocre
sans
et, bien aucun
une
avec
les
popula-
dont le hom2,450 exclusivepresque le nom de réqui prit son chef s'appelant étrangère, dépasser
détail
mais historique; intéressant de constater combien l'idée démocratiest essentiellement patriotique Les aristocraties avaient la fidélité à un que. qu'un
et un ascendant monarque, actuel de Berlin ne choquait servant Louis XVIII. C'est française trant le sacré.
qui culte
a illuminé
les la
pour
du
chancelier
aucune idée la Révolution en
esprits,
patrie,
pour
en
monsol .le
orléaniste monarchie ne pouvait pas cet de la Le Restauration. héritage accepter de Hohenlohe fut le dissous dès régiment mois de janvier et on entra dans une 1831, voie en créant une étrannouvelle, légion La
où
gère pouvaient tous pays. Il fut stipulé que être
employée continental. à 2 régiments gnies. Le sans
second mettre
entrer cette
qu'au En 1841, de 3
Empire, de fixité
des
troupe dehors l'effectif
bataillons
qui dans
soldats
de
ne
pourrait territoire en fut porté à 8 compa-
du
à tout, touchait ses conpropres fois 1 organisail eut tantôt avec un nombre
ceptions, changea plusieurs tion des troupes étrangères tantôt deux un, régiments, de bataillons variable, jusqu'au moment, en 1881, ou il fusionna ces éléments en un « régiment à la », qui étranger prit part du Mexique, dont il revint dimicampagne nué de moitié la maladie encore par plus que 8
la fortune des de bataille. par champs Ce avait 6 bataillons en 1865, régiment en 4 seulement au moment de la
franco-allemande. nos notre désastres, prestige ayant Après dimmué aux yeux de l'univers, les engagements se firent rares. En on ré1872, plus duisit de 6 à 4 le nombre des compagnies guerre
de
chaque
bataillon.
sur son état saisissait d'âme, qu'elle double mais comimpression, qu'elle surtout son fut le que prenait esprit plus souvent ailleurs. accaparé Si elle ne lui parlait de la cérémonie point du matin, comme elle le lui disait en reoù, ils venant en n'avaient voiture, échangé des relatives à l'accident survenu paroles que à sa elle allait le grand'mère, prendre, au vœu obéir formel de la pour mourante, c'était une réserve lui par qu'il mesurait, aussi. Il y eut entre eux un silence. Mademoiselle de avait déBoffront, qui tourné les les ramena et yeux, tranquilles doux sur le comte de Terrique. Non, allez. Je Raymond, reprit-elle, vous attends demain dans la matinée. Il hésitait. ferlez-vous dans Que ici, fit-elle encore, cette toute une nuit ? pièce, C'est vrai. Je veux entrer il pourtant, faut la revoie. je que Il s avança sur le seuil, la porte poussa que la jeune fille laissait entr'ouverte. Il s'approcha du lit, mit un genou en terre, de se relever, baisa et, avant la longue main de marbre, sur le rigide drap. Puis à reculons, le comte de TerRaymond la rique regagna porte. Dans l'embrasure il s'arrêta, embrassa d'un la couche, les regard la religieuses, Annie, chambre tout entière. Et il repassa le seuil, en se retournant deux fois.
point cette
Gauche
Main
célèbre
mamelucks.
fois,
prise, leur confiant En les met en bonnes notre patrie de savoir l'hiss'il était Certes, possible de ces soldats, on apprentoire de chacun émouvantes. Tout cela est des choses drait couvert
créer une pour une hommes, maltaise après de Bonaparte
s'étendait C'est
du
et ils sont la France
la
que
Napoléon,le
moyonà peu avec la terre près avec leurs avec familles, Sans rien leur demander, on les a ont qu'ils pris,
ils ont rompu Age, a les vu naître, qui noms même. leurs sous le pseudonyme dans nos rangs, admis
l'auréole
huit mille une légion l'armée par et enfin le
polonaise, de Malte la prise allant en Egypte,
du passé des idées ayant gardé à la plupart des contemporains. Tandis la moderne miliconception que taire consiste à appeler tous les hommes à en les y retenant seulement le temps l'année, instruction, sont des
de
italique
légion
des épaves inconnues
leur
la
légion
à laisqu'il y a intérêt ser se cette vaillante développer légion dont le nom est mêlé glorieuseétrangère ment à nos d'outre-mer. conquêtes venus de tous Il y a là des hommes pays combattre et mourir à l'ombre servir, pour Ce sont, dans de notre notre siècle, drapeau.
nécessaire
de
République. Lé Directoire de profita victoire nous avait donné
tée
heure,
dont la proclamaassemblée, tel retentissement fallut qu'il barrière au flot dès déserteurs Une loi du 2 décembre 1793 déne les admettrait dans l'ar-'i pas
étrangers. cida qu'on
la
lui dit son cousin, me je viens Solange, à votre Ma dès à présent, mettre, disposition. ailleurs. n'est pas place la prendre, Vous pouvez Raymond. de notre au chevet Sinon pauvre morte, ici à veiller. du moins Solange, ailleurs si d'elle, Pourquoi qu'auprès voulez veiller ? vous ce me soit douVous comprendrez que L'idée Hn brutale blement pénible. que cette non celle de la fatalité, est. œuvre, pas mon fut amenie un conflit de famais enfin, par lit constitue du où la moi, mille, pour près douleur seule devrait me une poursuivre, véritable. torture c'est Certes, je le comprends. pourquoi disais il a deux heurea Ne revenez y je vous demain. C'est le dis pourquoi je vous que encore. Mon devoir non seulement cependant, mon mon me commandent devoir, affection, de rester. secoua la tète. Solange Le eomte devinait ne se leurrait qu'elle
l'avait refermant Solange suivi, la porte. complètement Il allait sans partir peut-être venait derrière lui. qu'elle Ce fut elle qui rappela Raymond
Littéraire
Supplément
poste
la Convention, le n'empêcha pas d'adresser un à les tous avril 1793, appel eu demandant des soldats dépeuples pour fendre la France et la liberté. Le monde, frémissait entendit la voix d'émotion, qui de la grande tion eut un mettre une
centimes
Rue
cette t'apercevoir
fois
LES
Illustré
en
la grande blessée française que ses notre d'atforces, reprenait puissance traction les renaissait. sur imaginations Aussi actuelle l'organisation comprend-elle 2 régiments de 4 bataillons à 4 compagnies, une et elle de ne plus compagnie dépôt; suffit aux demandes incessantes d'enpas 1& séduction
que d'expansion croissante de 12,000 moment, de nos
la
légionnaires en Afrique
drapeaux. A bref si délai, s'offrent forces qui menter les cadres
exercée coloniale
la politipar ou la difficulté lutte la vie, mais pour servent en ce étrangers ou nous
en
sous
Asie,
voulons
les
utiliser
plis ces
à nous, il faudra augdes régiments étrangers et en créer de nouveaux. Nous le pouvons et nous le devons, car nous avons soujugé au Tonkin comme dans le continent vent, ce valent ces soldats se faisant noir, que combattre dans nos Français pour rangs, apleur la des armes portant sang pour gloire de
la
France. JEAN
FROLLO
PARIS Les (Huit
5
Pages)
QUINZE
BLESSÉS
Un terrible accident vicqui a fait plusieurs et dont les causes times, ne sont encore pas exactement s'est hier connues, produit aprèsà cinq heures un quart, à l'angle de ravemidi, nueMarceau et de l'avenue à queldu Trocadéto, mètres du de l'Alma. ques pont la Panique A cette la heure, circulation des promeneurs et des visiteurs de l'Exposition, dont une des est à cet est des acplacée endroit, portes plus et une centaine de personnes tives, se trouvaient sur la chaussée et sur le trottoir de l'avenue du devant les n"r 4 et 6, lorsqu'un Trocadéro, tramil air comprimé de la ligne de Passy-HOtelway descendant comme une trombe de-Ville, la pente do et venant du Trocadéro, l'avenue déraitlait subitement. avoir fait une embardée il se Après terrible, sur un fiacre soulevait jetait littéralement qu'il de terre et montait sur le trottoir. Fort heureusement le lourd véhicule rencontrait sur sa route le tronc d'un énorme platane, qui l'arrêtait brusquement. Dans la foule, la panique on enfut grande tendait des cris de terreur et des de plaintes blessés. La nouvelle de l'accident était rérapidement et bientôt M. Jeanne compandue, Delamarre, missaire de police du quartier, de accompagné son M. de MM. Murât et secrétaire, Faisant; officiers de arrivait sur les Descaves, paix, lieux et procédait aux premières constatations. Les personnes tes grièvement atteintes, plus au nombre de quatre, furent sur l'hôpidirigées tat Beaujon, dans une pendant que pharmacie voisine on procédait au pansement des autres blessés.
Premières
Constatations
On alors de la put se rendre compte façon dont 1 accident s'était produit. Le mécanicien et le conducteur du tramway échoué sur le trottoir de l'avenue du Trocadéro furent le commissaire, obinterrogés par qui les tint d'eux déclarations suivantes Le tramway T J n" descendait de la qui du et dans avaient Trocadéro, place lequel pria une vingtaine do voyageurs, avait place croisé, la une cinquantaine de mètres de cette station, la voiture n* 260, faisant le même en sens trajet n* 260 se trouvait inverse. Le tramway arrêté suite d'un et son mécanicien accident, par demanda aide et assistance a son camarade, M. Rougier. Ce dernier avoir serré quitta son poste après le frein, à le et il était aider mécanicien occupé du tramway en panne il s'aperçut quand que sa voiture à une descendait vive allure la propre le avait cru pente malgré serrage qu'il opérer. Il courut sa voiture, mais il ne put arriaprès ver à la rattraper la vitesse s'accroissant Il en la raison de déclivité de mètre, chaque le conducteur du véhicule, M. Marl'avenue; alors l'allure inusitée du tin, remarqua tramway et constata l'absence du mécanicien et voulut le remplacer. d'abord sur le frein U agit d'arrière, puis, passant et brisant une des glaces l'avant, qui sél'intérieur de la voiture de la place réserparent vée au mécanicien, da même. Il était opéra trop frein tard, et l'actiondu n'eut d'autre résultatque de faire sauter le lourdvébiculequi, hors des rails fait un angle avoir droit avec la après presque voie heurta avec force le trottoir ferrée, et, comme nous l'avons vint s'arrêter contre dit, l'arbre lui faisant en l'empêchant d'alobstacle, ler se heurter contre les maisons en bordure de l'avenue. dans sa course, Malheureusement, le tramway avait avec une effrayante le rencontré, violence, fiacre n' 8952, occupé le docteur par Mayenflsch, de Zurich, et sa femme, venus tous deux à Paris et descendus au Grandpour visiter l'Exposition, Motel. Dans le choc, le Bacre fut soulevé de terre, comme disait ensuite un une. plume, spectateur de la scène! les deux et le cocher voyageurs furent sur le sol. Le docteur précipités Mayenle crâne avait sur le bord dont du flsch, porté fut relevé éïanoui et transporté immétrottoir, diatement à l'hôpital où il est mort Beaujon, arrivée. d'instants son peu après Le cocher Victor demeuBuet, âgé de 26 ans, rant 12, boulevard dans la chute Garibaldi, qui fort graves à la tête, s'était fait des blessures a été transporté au même égalcment hôpital. Mme mais Mayenflsch, contusionnée, peu
homme Le jeune cette voix rétressaillit; nerfs l'émotion veillait ses que paralysait. A demain, Ht-il en s'arrêtant; au revoir, Solange. Avant désirerais m'entretedemain, je nir avec ne veux vous je pas que vous gardiez cette plus longtemps impression, que je avoir la pensée une combipuis d'accepter naison à laquelle absolument décidée je suis à me refuser. De quelle combinaison voulez-vous parma cousine t ler, Ma pauvre dans sa sollicitude marraine, à mon vous a demandé de partager égard, une fortune à laquelle aucun droit. je n'ai Je considère, non seulement un que c'est devoir envers elle de tenir ma promesse, mais un devoir envers moi-même. J'ai pour et vous en vous, Solange, quoi puissiez que une amitié sincère et durable. Vous penser, êtes une sœur, sur laquelle veillé avec j'eusse de assuré sollicitude, j'eusse qui l'avenir, alors ne l'avait que ma grand'mère pas fait. On ne refuse une d'hérifrère, pas d'un part l'aïeule elle-même a donnée. tage que Mon volonté est formelle. cousin, m§. inébranlable. Il la considéra, ses sourcils se rapprochant avec une sorte de dépit. brusquement Cette fierté est exagérée, mal ma placée, enfant. pauvre Je ne le crois pas. Vous reviendrez sur ces paroles? Elle prononça ce mot, ces deux syllabes qui sont de la négation l'expression définitive, avec une fermeté une tranquille, annonçant volonté irréductible. la connaissait bien. Raymond Il était dans cette tête. une petite dose d'éQue peu de nergie, femmes possèdent.
Annonces
et
Centimes.
Réclames
sont
Pari,
ramenée au Grand-Hôtel. gravement, put Parmi du tramway, seulee voyageum deux lement ont été blessés Mme Maréchal, habitant 13, rue Migaard, qui a été atteinte à l'ceil des éclats de gauche par et M. Emile vitres demeurant Vallory, 88, rue au moment de la collision Saint-Martin, qui, entre le tramway et le nacre n, a voulu sauter à terre et s est fracturé la jambe gauche. Une autre M. Nanpel, 1 la personne, gardien section allemande de demeurant l'Exposition, atteint a été 18, rue Las-Cases, par le tramway, il a été égalemant gravement contusiunné conduit à l'hôpital Beaujon.
Les victimes Dans la foule au milieu de laquelle Je tramavait comme way plusieurs pénétré, personnes, on sait, ont été atteintes et relevées ou plus moins blessées ou contusionnées. grièvement M. Coursier, conseiller municiâgé de 60 ans, à demeurant à rue Vitré, 61, du Chepal Pxri. a été également min-Vert, contusionné, transà l'hôpital porté Beaujon. Les autres blessés dont les noms suivent ont, un premier pu, peu après pansement, regagner leur domicile: M. Schareer, à la tête, blessé reconduit au Grand-Hôtel. M. Foue, contusions au côté 121, rue Monge, gauche. Mme veuve Marie de MagdeJehenne, 11, rue blessée aux deux bras. bourg, M. Alexandre blessé Cahezar, 7, rue du Belloy, aux bras. Mme une des voyageuses du tramMaréchal, dont nous avons haut. way, parlé plus M. Lansvelt, de la Tour. M. Lansvelt. 32, rue était sur un banc devant le numéro 4 de qui 1 avenue du Trocadéro, a été assez gravement atteint aux pieds n* 254. par le tramway M. Maurice demeurant Goldstein, tapissier, 7, rue Caron, blessé au côté gauche. Mlle 22 ans, contuLegleux, 19, rue Carnot, mais sionnée, légèrement. M. Armand conducteur de la voiture Martin, à la main 254, blessé gauche. Marius M. Allary, cocher, passage Prévost, douleurs et enfin Mme internes, Mayenflsch, dont le mari est mort à Beaujon, ainsi que nous l'avons dit. D'autres l'intérieur du voyageurs occupant et très légèrement sont contusionnés, tramway au moment de l'arrêt partis précipitamment de la voiture, sans qu'on ait pu savoir brusque leurs noms. Une très nombreuse foule a stationné' pendant toute la soirée sur de l'accident; un les lieux avait des été isoler barrage d'agents placé pour curieux la voiture sur le trottoir, échouée pendant de la compagnie la reque des ouvriers sur les rails. plaçaient M. Laurent.serrétaire de la préfecture général de police, arrivé un des premiers sur les lieux, a pris des de sur les causes renseignements l'accident.
TERRIBLEAGCnDE TRAMWAY UN MORT.
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JBL.ESMSÉ*
Hier vers neuf heures un incendie matin, d'une extrême violence s'est déclaré dans une usine de goudron à MM. appartenant Lassaitly et Hichebois une partie des magasins, le matériel et une considérable de matières quantité ont été la proie des flammes. premières Enfin, ont été blessées. quatre personnes L'usine est située au numéro 33 de la rue à du Camille-Desmoulins, proximité quai d'Issy etre comprend divers de Dattments s-étencorps dant sur 200 mètres de 150 et mètres de long et dans étaient des cuves large, lesquels placées de résine et diverses autres goudron, rempliesde matières inflammables. L'ALAIXUE Il était exactement huit heures quarante-cinq, six ouvriers au cenlorsque qui étaient occupés tre de l'usine la flamme aperçurent s'échappant d'un mal soudé d'un alambrusquement joint un jet incandescent a immédiatement combic le feu à une autre il s'est muniqué cuve, puis de baquet à baquet, étaient propagé lesquels de goudron. également remplis Le feu a pris avec une telle rapidité que les ouvriers n'ont eu le temps de se prévenir pas les uns les autres. Trois d'entre eux ont été atteints les flammes. grièvement par L'alarme fut aussitôt donnée les ouvriers par de l'usine se au secours de leurs qui portèrent infortunés camarades. LES
SECOURS
A la première les pompiers de la locaalerte, lité les secours, mais bientôt M. organisèrent commissaire de police de Vanves, fut Hocquet, de téléphoner à Paris demander obligé pour l'envoi d'une à vapeur. Peu de temps pompe un détachement arrivait de pompiers de après, la rue et leur à vapeur était Villemain, pompe immédiatement en batterie, ainsi placée que les de Clamart et de Vanves. pompes Pms vinrent des détachements du également et du i30· de ligne, casernés dans les forts environnants. M. Laurent,secrétaire de la préfecture, général était accouru à la première nouvelle de l'incendie. Se trouvaient aussi sur les lieux MM. Gerconseiller vais, maire de député; Dupont, général, maire Vanves; etc. Mayer, d'Issy-les-Moulineaux, La panique a été grande dans le quartier.Déjà les locataires des immeubles avoisinant l'usine avaient mettre leur pris leurs précautions pour mobilier en lieu sûr. service d'ordre avait été organisé Un important M. commissaire de accompar Hocquet, police, de son secrétaire, M. Couilleau. pagné A onze heures, on était maître du feu. LES BLESSÉS Les trois ouvriers blessés dans les circonstances dont nous avons ont été transportés à parlé Boueieaut dans une voiture des ambul'hôpital lances urbaines. Ce sont les nommés Nieulas Imbert, âgé de 18 ans, fils du concierge
Et fierté
Solange d'une
point. Seule
de elle celui
de
avait toute Boffront, gardé les revers n'abattent race, que son ne
nom,
et
la
seule
désormais au frustrer à point tous les droits à un
monde, prétendait demi, qui possédait elle ne devait, héritage auquel elle, prétendre en rien. en même Lui, temps qu'une admiration, eut une pitié. Ma chère T Solange, que ferez-vous Je travaillerai. Vous Le travail ne déshonore Oui, moi. perfût-ce le travail des maius. sonne, Je ne vivre d'un n'est à pourrais argent qui pas moi. Ma grand'mère était libre absolument de du sien. disposer Cela dépend du point de vue où l'on se Tout ce que encore les place. possédaient de Terrique la Révolution, depuis je le lui ai entendu maintes fois, répéter provenait des débris de l'ancien fief. Cela n'est jamais sorti de la Je ne famille. l'en ferai pas sortir. Vous êtes ma petite-cousine. Oh 1 une une antre parente éloignée, branche. Votre marraine vous aimait comme sa Je voue considère comme ma petite-fille. soeur. Mais vous n'êtes DuhaOdette pas seul. mon ancienne du lier, Sacré-Coeur, compagne ne doit de Boffront. pas nourrir Solange eut un mouvement ses Raymond nerveux, sourcils se rapprochèrent.
de
de du
brûlé l'usine, gravement sur plusieurs parties est particulièrement à la puilrioe. corps de 35 ans, marié et père Hubert, Eugène âgé de demeurant à 7, rue des Peupliers, Iamille, a plusieurs au venBillancourt; plaies profondes tre et à l'épaule. Gustave de 46 ans, Althen, âgé" oélibataire, demeurant 48. rue Camille-Desmoulins, à Issy brûlé au bras droit. gravement ont été admis au pavillon Les blessés C, salle l'état de Hubart et Imbert Saint-Jacques parait désespéréPendant l'incendie un ouvrier, quatrième Jules de 56 ans, deFromentin, âgé terrassier, meurant la lance d'une à Alfort, qui tenait pomà la jambe droite. Son état est pe, a été brûle peu grave. Les pertes couvertes une asmatérielles, par sont évaluées à plus de francs. surance, de M. Lassai H y, propriétaire que Ajoutons l'usine a déclaré à ses ouvriers incendiée, qu'ils ne seraient victimes du chômage produit jbar pas le sinistre et que la reprise du travail s'opérerait demain lundi.
Le Roi de Suède à Paris A l'heure où ces le roi paraîtront lignes, II aura Oscar la France, de ce quitté emportant Paris connaissait et aimait qu'il déjà passionnément une impression nouvelle, ineffaçable. Il laisse à tous ceux qui ont pu l'approcher ou le voir d un souverain et l'impression simple à une érudition rare une connaisbon, joignant des procédés sance industriels et scienparfaite les modernes. plus tillques C était, on a pu la constater son népendant de un admirateur jour parmi nous, passionné notre et belle grande parcou Exposition, qu'il rait encore hier. Oscar neuf dès recevait Il, debout heures, dans le grand des salon d'honneur du palais Souverains MM. Christoffersen et Tliiei, commissaires des sections généraux norvégiennes et suédoises, les exposants et les notabilités de ces deux colonies à Paris. A L'EXPOSITION A onze deux cherlandaus venaient heures, cher le souveran et sa suite les conduire pour une dernière fois à l'Exposition. Le roi a visité l'ensemble des pavillons étrande la rue des Nations. gers les palais de la Oscar II avait parcouru déjà de la Grèce et de la principauté de MoSerbie, naco. Il est entré, dès son arrivée dans l'enceinte au pavillon générale, d'Espagne. le duc de Sesto et Heçu Eulalie, par l'infante M. Léon le roi a surambassadeur, Gastillo, y tout admiré la salle du Trône et les portraits de la famille les d'Arras. royale, puis tapisseries un dans le salon des dispersées peu partout, Princes maures et dans celui des Monarques castillans. Au pavillon s'être arrêté lonallemand, après dans deles guement galeries du premier étage vant les collections de Frédéric Il et leurs admirables toiles de l'école du siècle française et après avoir du docteur dernier, congé pris le roi les a visité Ilichter, rapidement pavillons traverde la Finlande et du Luxembourg, puis, sant à nouveau la rue des Nations, il s'est rendu la au pavillon de Belgique. commissaire Le sénateur Vercruysse, général, a fait à Oscar Il les honneurs du monument. La plus station do la promenade longue royale a été de la Grande-Bretagne. pour le palais Guidé le colonel k travers les salles Jekyll par de pur style et de décoration sobre à ravir, le les merveilroi a contemplé, l'une après l'autre, Icusca toiles de la collection de la reine et du de Galles. prince Au pavillon de la ttongrie, où le service d'honneur fait était des en grand uni par gardes la prestigieuse salle des Houzards de forme, Marie-Thérèse a retenu le roi. longtemps Deux courtes haltes ont été faites ensuite par le cortège dans les palais de Suède et de Norroi de saluer une dervege, au pour permettre nière son de les memfois, avant Paris, départ bres de la colonie scandinave. Puis Oscar II s'est d'un dirigé, pas toujours vers le de l'Autriche, Infatigable, rapide, pavillon avoir traversé la section de Bosnie-Herzéaprès govine. A chaque Instant, isolé au milieu de la foule, de l'escorte à le le roi suivre, séparé qui peinait était de manifestations de l'objet sympathiques la part des curieux. Il répondait avec son affabilité coutumière en saluant et en souriant après acclamation nrès de lui chaque poussée Au palais de l'Autriche, le docteur comExner, missaire a conduit le souverain dans la général, de tableaux exclusivement de galerie composée modernes. productions Au des toute la colonie Etats-Unis, palais réuni-! nord-américaine, par le vice-commissairo M. Benjamin fait une chaude ovaWoodvard, tion au roi. Cette ovation d'une s'est continuée façon plus aux du où des abords turc, pittoresque pavillon théories de danseuses éclatants ont en costumes entouré le cortège, leurs multiagitant écharpes colores et poussant des cris aigus en t'honneur du monarque. une visite sommaire de la section Entin, après Oscar il a terdignement italienne, pris, pour miner cette une décipromenade ultra-rapide, sion il a gravi avec sa suite 1 escalier originale de la plate-forme tout comme un mobile et, de sensations il touriste avide neuves, simple s'est il courir sur le trottoir, diverti changeant en riant recul de vitesse beaucoup lorsqu'un s'arc-bouter contn la à trop brusque l'obligeait balustrade. De nette mais très gale, solennelle, façon peu à heure au de s'est achevée une et demie, pont l'Alma, l'excursion royale. sur les dots un dernier Après regard argentés minutes de repos dans de la Seine et quelques le roi de fer, près du un fauteuil pavillon grec, au des a regagné son landau rentrer pour palais Souverains. LE DÉJEUNER de retour à deux heuren Le roi de Suède était a avec le au palais des Souverains, où il déjeuné
ce
ma pauvre Nous Seraity voilà, petite. un orgueil mal plaeé qui. Elle l'arrêta du geste. JI. C'est tout simplement de la dignité.
une fois encore.» Enfin, que ferez-vous, Solange ? Je travaillerai. A quoi? loin mon Ma marraine a poussé très mes deux éducation. Vous savez que j'ai brevets. 1 Institutrice! Peut-être. C'est une fausse. l'esclavage, position la domesticité. pire quelquefois que tout. J'accepterai contreviendrez aux volontés de Vous aimiez rescelle pourtant, que vous que vous pectiez. avec une tendresse Que j'aimais filiale, pour qui Je professaisun respect profond. éiever contre sa Alors, vous pourquoi Y dernière volonté écouté Parce n'ayant que son affecque, tion malade moi, pour trop pour comprendre mon devoir à moi. je suis persuadée qu'elle au lieu d'être ma résolution, si, approuverait elle couchée par là, endormie pour toujours, à discuter froidese trouvait entre nous, ainsi nous le faisons. ment. que ne parliez Je crains justement que vous sans sans aucune ranpas arrière-pensée, Odette Duhacune. Madame de Terrique. s'associe de tout cœur. si vous lier, préférez, fit de nouveau un Mademoiselle de Boffront geste dit drez
péremjitoire. en Rayinoud, je vousJamais Ce*! nn mot -.Jamais détermination. sur votre
je
prie,
N'y cumptez pas, quoi Merci du reste d'insister, je è:es bon. Moins mauvais peut-être 1 raves cru, Sciante.
I.
Vous qu'il sais
que
vous
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reçues
INCDNDIE A ISSY^LES-MODLraEADX QUATRE
17 JUIN
ANNONCES
JEUDIS
Couleurs
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DIMANCHE
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Il LEGIONÉTRANGÈRE
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La constitution va se réaliser certainement
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D'ADIEU
A trois heures un quart, le roi de Suède sa rendait faire à M. Loubet k l'Elysée une pour visite d'adieu. Le Président a reçu le souverain dans le grand salon et s'est entretenu avec lui pendant de près vingt minutes. Oscar U a été sur sa demande, ensuite, conduit de Mme Loubet et a pris congé auprès en termes fort disaat aimables, l'accueil qo« qui lui arait à Paris été fait resterait un des bous souvenirs deses nombreux. déplacements En quittant le roi s'est rendu l'Elysée, cheg M. et Mme de Pourtalès, rue Tronchet; chez la rue de Berri. Mathilde, princesse De Il, le souverain est allé faire ses adieux à l'infante à ea riaidence Kulalie, de l'avenue Kléber. une dernière visite chez sa parente, Après la de Wagram, avenue de l'Alma, le roi princesse a voulu faire le tour des lacs du bois de Boulogne. Vers six heures, Oscar Il rentrait au palais doa où il a dîné avec quelques Souveraina, intimes. LE
DEPART
Le départ du roi était, nous t'avons dit, fixé ouzo heures et demie. Oscar pour Il, uccotnp»de Maigret, du commandant Çné du vice-amiral t,habaud et du lieutenant de vaisseau Saintdix Pair, a heures trois le palais quittait quarte des Souverains. Dans trois autres landaus avaieat plaça pria les personnages de la suite le suivent dans qui le grand-duené de Luxembourg, où il va faire un court de son beau-frère. séjour auprès A onze heures un quart, le cortège arrivait la gare de l'Est, où un train spécial avait été formé. La foule a fait une chaleureuse ovation au roi, qui, à plusieurs a salué et s'est direprises une des salles rigé vers d'attente transformée en salon. petit Bien dlner et réeeptioa qu'il y eût k t'Etre. M. Loubet avait voulu saluer notre hôte lu moment de son départ. Le Président de la République, donc quittant une heure les salons de l'Elysée, pendant s'était fait conduire la gare de l'Est où il attendait Oscar MM. Il ministre Millerand, da Comcordon de l'ordre merce, qui portait le grand de Vasa, et DeloasBé, ministre des Affuires étrangères, M. Loubet et les omeiers accompagnaient de la maison militaire. La roi de Suède a été vivement touché de la courtoisie du chef de l'Etat et, une fois de plus, l'a assuré de sa gratitude pour l'enthousiaste dont les échos réception parvenaient, d'ailleurs, M. Loubet jusqu'au a conduit le quai do départ. roi jusqu 1 son et a pris wagon-salon comte seulement avant l'heure quelques minutes du départ. Au moment où le train s'est royal mie en les assistant* marche, se sont découverts et des rris nombreux et répétés de Vive Oscar! Vive la Suède 1 »se sont encore une fois fait entendre. O»ear Il arrivera ce matin dans le grand-duché de Luxembourg. Il regagnera ensuite dlreotenient ses Etats. Le commandant Chabaud et M. Paoli, commissaire spécial, accompagnent ie roi jusqu'à la frontière et rentreront à Paris aujourd'hui. Dans la soirée d'hier le souverain a remis 4 M. Paoli, la grand'croix en brillants de l"EtoilftPolaire.
LESÉVÉNEMENTS DE CHINE La
situation à l'heure est, ne grave l'a qu'elle été jamais du Céleste-Empire et dans toute
présente, plus dans la capitale la région envi-
Encouragée de l'Impératrice par l'attitude et des hauts dignitaires de la cour, l'insurrection se propage avec une effrayante rapidité. Les, Boxers détruisent les légations couétrangères. pent les lignes et vont télégraphiques incendier les stations de chemin de fer dans le voisin*^» immédiat des troupes entre européennes, Langet Tien-Tain. Fang Ce qui achève de donner aux événements qui se déroulent aux portea de Pékin, un caractère de exceptionnel c'est la concentration gravité, dans cette ville d'une armée grande chinois» dont les chefs déclarent nul détachement que n'entrera dans la capitale étranger de l'Empire. Les puissances ont donc non seulecompter ment avec les innombrables bandes d'insurgés la campagne, qui silionnent mais encore avec U force organisée dont dispose douai* l'impératrice rière. Au
Yuaaaa
Un télégramme de M. Sainson, eonsol de I^ftnew à Mong-Tsé, en date du Il juin, est parvenu aujourd'hui seulement au ministère des Affaire» étrangère. A cette les Chinois date, se montraient mena.
Je ne vous ai pas cru mauvais. Mats parjure. sans foi, sans Non. k l'erreur sujet comme hommes. Vous ne m'en voulez plus T vous en voudrais-je. Pourquoi Vous me pardonnez?. C'est don que je veux d'ici. emporter
reste
bons
honneur tous
votre
Vous l'avez depuis longtemps. Encore. dites, répétez qu'il contre moi aucun ûeL.. Je le jure. Et que noua demeurerons de amis.
les
par-
ne
vont
vrais,
de
Je ne désire que cela. Vous me permettrez au moins, tant que vous continuerez à refuser cette part que je serai de veiller toujours prêt à vous remettre, moralement sur voua. Si vous aviez besoin de souvenez-vous d'aide, protection, que je. suis en somme votre natureL protecteur Je m'en mon cousin. souviendrai, Il lui tendit la main. La jeune fille lui donna la sienne. Et ü lui dit, d'une voix profonde Vous êtes uu caractère, Solange, pleine de droiture et de noblesse. trop de fierté une dernière pourtant. J'espère fois, que vous entendrez la voix de la raison. Elle fit, de sa tête le geste de mignonne, avait eu dénégation quelle déjà. lui fort la main, Raymond plus pressa qu'il tteba aussitôt. tl'en
ne
D'ANNONCES
t vice-amiral de Maigret, la commandant Cha· le lieutenant de vaisseau baiul, le Saint-Pair, commandant du pacapitaine militaire Tnéry, M. Pioli, commissaire lais spécial. Oscar Il et ses invites ont pris le café dans le où ils ont été photogMpntés en groupe, parc Lf souverain, offert son portrait avec qui avait à tous les à sa perofficiers attachés signature a voulu chacun sonne, que posai sépari'nifnt devant l'objectif. à titre de souvenir, Puis, II a remis à Oscar tout le personnel du des 8ouveraine des palnis de l'ordre Je Gustave médailles de preVasa, mlère et de deuxième classe. Le roi a remis un certain également nombre de décorations des oivir-^ ie I Eteile Potaire ei des Séraphin" 0'1.9 et 4e«
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Pékin Londres au Dtily
juin. de Shaaghaï On télégraphie iixpreu, à la date du 15 est défendu hommes de Pékin par font fermées et impériales les portes troupes des cancrnt tnoiiernes. défendues par déelare autre Le général Tungs ju aucun dén'entrera de îateraatiaaaies tachement troupes •• sainte la Cité dans deux di (latentes, les ministres étranA reprises demandé au d'ouvrir Tsunp-li-Yamen gers ont Us n'ont de réponse. pu obtenir tes portes, venant russes, de Port-Arthur jLsOO soldats sont arcanon» et avec mx agissant séparément, devant Pékia. rivés de et la Hiwsle. On dit que la France agissant à vont uae force concert, envoyer ioiposaai* de troupes hommes russes ont déjà été débdtxjués «ur tetecnitoire otiiaoia. Les Anglais n'eu ont débarqué que 1,200. lea troupes Ce soir, on annonce toutes que la sont devant étrangères «rivée» capitalede devient L'attitude der troupes impériales en plus menaçante. pina de La ligno anpl» coinoiee tétégraphique fonctionne de nouveau, mais Js* bureaux Kiakbta de recevoir les m<*«agt» tëUuteat aaglais.
de
16 juin. Lcndrc*, Tieo-Tsiu au Daily J(ail,
Oa télégraphie date ,lu 14 internationales Les troupes daua Pékin »out toujours
fe
a
eur qui se dirigent les euvirvng de Laeg-
la rote il Taadra de6 aetnaines réparer pour ferrée. de provisions. sont p court Les troupes arrivés hier il Tien-Tain; uuiit t,O0O Kussks demain sur Pékin. de marcheront entre et est coupé Tien-Tsin Le télégraphe Shanghaï. 16 juin. Shanghai. la informations de Tien-Tsin Des parvenues incendies ont dee dernière annoncent nuit que ande la ville, Trois dans l'est éclaté églises d'haet américaines etun nombre grand glaises ont été a dea étrangers brtaUons appartenant brûlée». les Le télégraphe a été interrompu poteaux ont été brûlés. télégraphiques et des munitions des vivres Le train portant est revenu en international détachement au ne pouvant atteindre Lang-Pang. arrière, confirme de Shanghaï Une autre que dépêche a été obligé de rebrousser chemin. C9 train siles résidences d'été des légations Toutes à l'ouest de Pékin ont été tuées sur les coUines Afttraiie*.
16 juin. Washington, officielles mentionneat à V éloa « japonaise
informations Des bruit que la légation
le été
16 juin. Londres, les catholiques que dans le village
de Hong-Kong On mande de récemment été attaques ont de Tebeck, Fats-Hang. près a été entre Tien-Tain et Takou Le télégraphe interrompu. de fer de Baudao. La station du chemin qui a été brûlée de Tien-Tsin, est la plus rapprochée le» Boitera. par de Tung-Cbaa a été La stawon télêgraphiqee sont et deux des employés détruite, manquants. de l'amiral sont Les communications Seymour eeupées. Lausanne, 10 iain. a reçu confirmation famille de M. Ossent les Boxers de de l'assassinat l'ingénieur par Ossent. t. d'une en Ossent était né M. Otto Berlin, venue on famille Allemagne d'origine française, Il de la révocation de l'édit de Nantes. à la suite ville natale et vint ensuite études dans sa fit sel La
et en Asie-Mineure, où il en firdce Il se rendit la différents Il est «xéeufca travaux. parti pour te 24 octobre dernier. Chine laisse trois fils. M. Ossent L'aîné, ingénieur son venait d'arriver à Tien-Tsin comme père, des le second est à l'école avec sa jeune femme, à le cadet fait ses études f)«ftux~Arts de Paris,
Des nouvelles tirmut indigènes ont été ropéens
de Pékin convertis massacrés
iiaeathédrale
de Pékin
eathoilque
La
affirment et des jeudi
des
Défense
16 luis. Tieu-Tsin, que de nomeuserviteurs Boxera par les a été
brûlée.
Légations
16 juin. Shanghai, les les bâtiments de la douane, Les légations, et américaines Ouations trangaises, anglaises barricadées. sont chinois cet parti hier de Shanghaï Un tieamer chinoises avec des munitions iea troupes pour de Tong-Fu. contre les Anglais On signale un mouvement du Yaug-Tsé.On craint dans la région quo 1 imretirée au soit ue se d E\yo. parc pératrice Au Japon Yokohama, fonctionnaire danoises
16 juin. japonais a produit
d'un L'assassinat par ici te» troupes impériales une vive indignation. conseille au La presse japonaise gouverneune réparation ment d'exiger exemplaire. Huit navires de guerre ont été enjaponais à Takou. voyés jusqu'ici de
L'Attitude
l'Angleterre 16 juin. Londres, a discuté dît ÏS Daily qu'on beaucoup Express dans les cercles heures vtngt-quatre depuis imméla question d'envoyer gouvernementaux anen Chine une des diatement partie troupes du actuellement dans Sud. l'Afrique glaieea d'une se priver. Lord Robert* dit-on, pourrait de deux et les sont tout ou brigades transporte les troupes. à embarquer prêts été Le commandant de cette aurait expédition ce serait sir William désigné; probablement Nich oison, Une partie cette barquëe ptobahiement
des renforts après-midi. demain. Aux
16 juin. Hong-Kong, s'est embritanniques Le reste s'embarquera
Etats-Unis
16 juin. Washington, en Chine, Sur la demande de l'amiral américain enl'amiral américain commandant à Manille le 20 courant, vers un navire verra, transportant un du charbon et trois mois de provisions pour d'hommes. millier à ChoYorktoœn est arrivé Le-navire de guerre est sans nouPu. Voila soixante heures qu'on velles du ministre américain il. Pékin, ce qui oauae quelque inquiétude.'1 Il est possible les Américains envoient que
Si le sommeil Je ne le pourrais. vient, dans un dormirai fauteuil, d'elle, près j« laissez Annie et rentres Croyez-moi, nous votre chambre. Demain dans soir, parbesoin tirons le vous aurez pour Dauphins, de votre énergie. pas peur, aurai; je suis plus S'ayez j'en le ne forte croyez. que vous de lentement, Et mademoiselle Boffront, la où le retourna vers chambre, petit-ûlâ entrer. t'osait plus la suivit du regard. Le comte utile cette blancheur Cette liliale, fragile, dans sans lui cesse, voyait gràce qu'il cette la tristesse, toute ou dans h bonheur partideles celle eolièw*. posséder, que devaient » ces crénelés élevées en moisonos donjons du en attendant le retour du moyeu Age, où, et seigneur parti en guerre, titre. le maitre au de la châfitaient la quenouille Sues pied leur mère. telaine mit à dispainstant En ce fualtil qu'elle il ses la raitre, yeux perdaient, pendant que ne l'avait encore, plus compris tomprit, qu'il de son ia caressé aïeuie, le rêve srrandeur par s'était évanoui. la déception, lorsqu'il autrefois immense du fief. Ce qui restait suffisait aux yeux de de Terrique, des comtes stuon train la douairière, mener, grand pour didu moins dans le monde, pour y figurer une maison avec un confortable, gnement, suflhsanle. indéracinables les préjugés Lui, qui savait bamre au fond de la vieille généreuse dame, son blamais imbue de à tous, et pitoyabta le sang Ocre du sang bleu son, auquel rouge ne s'était l'entrevit de la plèbe mêlé, jamais d'une union cet ideai, qui laissait pur de tout l'arbre le dernier nuaeauue. généaloalliage, •
gique. g«lâiige
de
Boffi'ojit
au
bras
de
Raymond
FȑrfeH
des des troupes M. Saint-Germain, a prononcé sénateur, PhiKpytaes parole. 1 sauver les missiflRMires et protéger les en une allocution fort applaudie. le rôle de la légations bien que le gouvernement coloniale Chine, et son influents tMenfaisasta. son toujours presse à fetttMr à u. manne l'envoi «k troupes. l*s#javité-dans un salon d'hondisposé ootaate passé L'amiral américain aux Philippines fait savoir neur dont Ni Saïnt-Qeroù a eu lieu la réception ne distraire de rar il a faîsait main les himneurs ce de M. peut plus marins, en qu'il le débarquement aux à empêcher Chwiea Hnux. On les nomPhilippines remarquait, parmi 1 brasses notabmtfsprésentes «'il n'y lA gouvernement étudie MM- Godin, le prince aurait Roland Bona«é&aumr; pas de distraire des des de Le Ur&troupes régulières partie, 0ervilte^Râach«, Myre Vilar», «Boyen leur Brunet. le prince de Mahy, Philippin. d'Areabcrig, <lédu tribunal de computés; Legrand, président 16 uin. New-York, et Chardon, tiouvarJ le «wrce représentant le delà l'ost à D'après correspondant Washingété. «PTnmMHwriat eénéral, suivante ton, M. Hay a fait la déclaration La Manf illaise a salué le départ des minisLes puissances nous ont demandé de définir a de la la Un céiêmooie, tref, en Chine. Elles savent notre ta notre service position que était bit d'hoap^ur fort. original est absolument et de tous les effectifs position indépendante qui colopar des détachements nous avec elles que pour l&qrise. niaux au Trocadéro: n'agisaoas destjrailleure a»» envoyés M. Hay croit et le Japon ont ob: que la Russie et nainites, malgaches sàudaotiiâ, seutgaiaw, tenu leeoaseate«n«nt des autres des miliowns du Ttxîfcin. puissances pouf un China; maia C4 condùWquttf troupe» Le Paviflon n'a pas épé demandé lentement aux Etats-Unis. Egyptien khuomate a inauL4 déiégatiun à rKxposiUon éditié dans les hier matin, son fiuré, pavilloa du Trocadéro. jardin-
MORT DU PRINCE DE JOINVILLE Le prmee de.loinvilld es* mort dans la matinée d'Antin. d'hier Ha son 65, avenue hôtel, (le Joinrille Né A NeuÉlfy en t»t8, 1« prince lits de Ix)uis-Phiiippe et de était te troisième il suivit les Destiné Il la Marie-Amélie. marine, lieutenant de fut nommr cours l'Ecole navale, en en ISîft, la de vaisseau oapitwiiMJ aprés du fort mexicain de aiS^int-Juau-d'Ulioa, prisé de brasoù il s'était avec beaucoup taire conduit voure et d'habileté. de ramener il reçut de En la mission H#ène les restes de Napoléon t". Sainte il commanda, en 1M5, Nommé vice-amiral, sur les côtes du Maroc, t'eseadre croisait qui de Monder. et s'empara bombarda Tanger la Révolution 1t se retira en Angleterre après rentra en France de aprt* 1« septembre dans l'armée de la Irùire et quelque temps le nom de « colonel Lirtherod sous le prince de Joinville fut élu député En et dun» fct Hawte-Msit-ne. dans la Manche U opta pour ce dernier dépaptemeut. ses électeur» élections de il pria de Aux et rentra dans ne pas renouveler son mandat, la vit; privée. de Joinville des travaux inon doft au prince de sur les forées navales la France. téressants Le prince de Joinville a soccombé aux suites le tenait alité deux d'une depuis pneumonie qui mois environ.
A L'EXPOSITION
Uue rétilt). notanrdu grandeur façade, «a^ecl se tiédécoré» sobrement d une friite où went, île la dynastie est rauie ifiUtuitx dea Hhamsés, une tatrvûiue de pureté et de savante ryroduoUun. frère du Le MolMtnouvi-Alt-Pacha prince a ia. cérémonie kbàdivti dinaurpiémdé d'Egypte, a exécuté, sous Une musique indigèna tfuration. du la marche iTAndour, >o péristyle M. Bùuasairn général, khédivialê,"pui~ Iad, a préseuté afort nulsels «\iiés, breux. Une adresse en vera, l'amitié eaaltant séeude la nation de la laire et. sainte franque a été lue pur le î/ls tia commisâaire géEgypte néral dans la graude salle du temple. avoir en qaetyues co;rréjxjnilu Après paroles Il été conduit la salle dite dana diaiez, te wtnee du Ministre de France suiau Gaire, aménafçée vant te style intérieur de la légation française. Du Champagne été servi lait invités et ont toastû en l'honueur du khédive, de la Franco et de l'Expositioa universelle. La visite du temple de masouterrain, garni der mies reraaNjuaWae «i éliypogées anciens a terminé la cérémonie. rois,
Au
Pavillon
du
dtr comité de k Société techhm membres et de la commission d'exécution de l'exnique coii-eeuve de l'industrie du gaz ont reçu tHistaan hi6r dans la salie des conférences apréâ-mifli, du pavillon du Qaz, eansintit les plans d'après de M. Georg(-s arehitecte. les délégués Rousjii, de TUe loatitute et ceux laoorporated gas de • Deutaehen. vou Vereims Wassargas-uud ». tach-initonecn les de bienvenue adressés Après compliments aux le de la étrangers délégués par président un lunch a été servi. commission, La récapUorï aux terminée s'est par une visite classes 20, "S, 75 et 87: Les délégués de ces deux sociétés doigrandes vent revenir en septembre pour prendre part aux travaux du oongrès inturnatioual organisé cette pour époque.
A L'ANNEXE
de comtesse Boiront, Terrique. Solange Terrique le rêve formé, caressé. Oui, c'était au Pas de comprouiiseions, pas de sacrifice veau d'or. Partout des mésalliances. leurs et l'industrie La banque apportant châle* à la noblesse millions appauvrie; en ruines, teaux réédifiés par l'agio. de ses resterait debout, solide, Terrique fondations à ses clochetons jours. ses Elle Wut à son petit-fils, pardonnait ses dettes. folies, lui aussi d'avoir Elle épousé pardonnait une chiffonnière Mais elle en mourait. sortit. Raymond de glace, Cette atmosphère l'enveloppait envahi en même se sentait par temps qu'il si où l'on entre un effroi, l'effroi du néant, ou vieux. brusquement, jeunes Dans la rue, il se retrouva la penpar pris sée le l'autre la petite Zette. morte, Et le sentiment insurmontable, l'étrange les crimibesoin non seulement qui pousse fait des mais ceux dont un événement nels, sur les à retourner lieux héros involontaires, du où il s'est comte. accompli, s'empara rue Vavin. Il fallait qu'il passât heures du soir. Il était onze arrêta un fiacre. Raymond Il quitta sa voiture boulevard Montparnasse, de d'un en haut la descendit rue, qu'il juste pas lent. les boutiques, sanf celles des marToutes fermées. de vins, étaient chauds de de
du trottoir, M. de Terrique marchait le long déoù s'était sur le côté de la maison opposé le drame. roulé de cette on en face maison, peut Presque les éclairé comme café, autre»,
DE VINCENNES
dédes deux Incendies A la suite qui se sont à l'annexe de a d'intervalle, clarés, quatre jours où ils ont failli détruire Vincennts, l'importante de podes chemins de fer, la préfecture section une enquête au cours de laquelle lice a ordunné un oubli laon a été amené à constater que, par de était décette concevable, [Exposition partie de tout de secours. pourvue moyen a bien été établi; Un poste-vigie mais juMpi'id des sapeurscommandant le régiment le colonel avait refusé d'en prendre possession pompiers un service avant et d'y établir que les appareils à un de sauvetage qu'il jugeait indispensables fussent sa utile mis à service disposition. un désastre était de choses Cet état persistant, les divers En outre, les bruits à redouter. plus et une sur les causes de ces incendies couraient les entre effervescence certaine régnait gardiens des diflérentes et mécaniciens qui puissances de malveillance. s'accusaient réciproquement ta sécua essuré de police, M. Lépine, préfet ces ferments rité de l'annexe et mis un terme un de discorde en établissant hier 4 Viaceançs d'incendie. sernce permanent Au
Pare
Q'Aérostatlon
de Vinétabli à l'annexe Le parc U>;rostatiQn de M. le commandaut ta direction sous cennes, au puses portes ouvrira Renard, aujourd'hui blic. à launa course A cette occasion, grande ballons a été dix-sept prendront part quelie organisée.
et repassa devant. Le comte passa avec une II s'arrêta devant la porte close, de la sonsoudaine de tirer le cordon envie nette et d'entrer. Perdait-il le sens moral à un crime. On croyait avait établi là une souLa police, peut-être, ricière. sait si on ne lui mettrait Qui pas la main au colite?. Arrêté le jour de son mariage, aérait facile lui Evidemmeut, l'explication il la de à donner même preuve produirait ses allégations. Gendrin lui écrivait annoncer Lisette pourlui son de suicide. projet le billet dans la il se rappelait avoir glissé le d'intérieur du veston qu'il portait poche du dernier rende! soir le soir précédent, vous. au contact de Terrique éprouva, Raymond une de désagréde ce souvenirs, impression ment violent. Il faisait de sa garde-robe cadeau de garçon en le conson valent de chambre, à Bernard, celui-ci colne voulant point que gédiant, de la rue la valetaille de l'hôtel portât parmi ou moins de Vlllejust.des sugracontars plus de célibataire. sur ses gestifs prouesses Bernard trouvé Pourvu n'eût pas déjà que de la poche 1 ce papier au fond conduire tout à l'heure Le comte se ferait fi de se ressaisirait boulevard Malesherbes de connaître besoin ce billet, que nul n'avait jusqu'à présent. Il ne voyait ne voulant pas, au reste,pas sa femme,un entrer de Villejust sans rue la nuit sa garautre endroit pesaer que pour çonnière. Singulière
nuit
de
noce,
en
Cette attrailjon succès. plus grand La
spoi
C«nooars
Ifcp
promet
d'avoir
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des
International
L'enceinte du concours international grar.J des animaux a été transformée nsp.ro, lucttura hier en un vaste «> foire, oftr«o* champ l'as|«B«t le plus pittorqKae. On y venda» a» effet a«x «chère* un grand nombre au d'animaux ayaat oeer pris part cours. Dès l'ouTBrtBre de t*annex«, de la les portes rue Alphand, data Derai-Lnue et. da la route Circulaire étaient envahies une foule nompar de bestiaux. ds bouchers, breuse de marcbkads de cominissionaajre» discutant et de l>#uviers, et de la valeur des produits, du prix ont tous des prix Les animaux atteint primds fort élevés. Le eotiecmrs raiernatiowd dm animaax reprodueietus » été un grand s*mc«* pour l'«i««aga Les portes au fermeront ait publia lundi soir, des amateura graud dq lait pur qui 4ésespoir madn et soir se disputaient defui des vaches comme un remède souverain contre primées, tous les maux.
tes
Travaux
parlamanfairea
des 1s défense La discussion naprojets sur vala, vendredi fiuterpetiaiioa iatarronpae par de Ni. Siaayau, sur» repme domain par la GhnittbreC'est le projet refafîf et des ports à ï outiffage à rétablissement des de la base.s d'opénatieo Uotwj qui est en aLe de l'ordre d« jour. suivi. Il y a ¡,jeu toutefois de ponctuellement le bruit un du signaler d'après député lèijuel centre» M. Alicot. cleprobablement reprendrait maw, sous une autre la demande d'informa, du Uautenaat-cûlonôl Guérin sur la terpellation situation du général f>>!anne. Suivant les indications étaient données qui dans les couloirs de la Chambre, cette nouvelle, licuiuJicU* viserait la question d'ii^eKpelkitUiu >i«:s pouvoirs du ehef effectifs d'état-màjor général de l'armée
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16 juin. de jourL'opinion générale deseorre^ponrlaots à Capetown est que sir Gordon naux ae Spn^g niussira un cabinet de coalition. pas à former Le Standard, dit que la. situation de intérieure la colonie du Cap pourrait bien être pour l'Anune source de très difficultés. grandes gleterre
Dépêchesde l'Etranger COLLISION
D0 TRAINS
BU ÂN6LKTKRRB
Slougb, 16 juin. de l'Ouast de TAnpiaUN-t» a fait colLexpraas lision avec le, tmin dt) Wùkiitvr, à rembraneinjde Siouirb. msat 11 y a eu quatre tués et soixante blessés. la MOCTXAO PAJUJCSKirr ITALISII
cette e$i-~eîr vente semaine qitf coloriées. gravures magnifiques A la première page:
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mis en vente 6 centimes.
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AU
GUERRE
On n'a reçu à Londref, dans intéressante aucune nauvulle guerre. D'après général bataillon
un télégramme Dewet aurait eapturé de la yoomaary et deux mais encore byshire, lontaires de la Cité. de partes de Le chiffre le War Office à la suite par de beaucoup donc iHfériâur La
géné-
ILLUSTRB de
pages
est d'actualité) Le numéro
gravures les jeudis.
LA
is
la journée du thé6tre
d'hier, de la
le Btoemfontein, non aeulement un le régiment de Derde vococuujgkios
de
hommes tacusé de cette affaire était a la réalité.
d'un
Capture
Régiment anglais L-omlt-Es, H juin. dn Daily ,\ews à Capetown Le correspondant de Derbyshire a été fait pridit que le regiment Dewet au moment où ce sonnier par régiment d'un train. à s'apprêtait débarquer da Capetowu au Daüy Ou télégraphia Telt~ graph de Bloemfontein une dépêche au Times D'après du Cap, le commandant Uewet aurait capturé la bataillon de yeoraanry non seulement et le de Derbyshire, mais aussi deux coinrégiment de la Cité. de volontaires pagnies A
Bloemfontein
Londres, 16 juin. de Bloemfuntein au ùaily On télégraphe Mail: la fièvre se temps, Depuis quelque typhoïde il montre a actuellement six bénigne. y plus cents convalescente leur renvoi à qui attendent la cote. Le nombre des fiévreux actuellement à l'hôpttai est d'environ 3,000. Londres. 16 juin. Une de Bloemfontein, 14 jwn, aux dépêche dit journaux, les Boërs ont un Aujourd'hui, attaqué riment du génie de la nvière qui travaillait près Zaad. ils ont été repouwés. L'Attaché
militaire
français t6 juin. Londres, le capitaine Duval, des Huîtrn, auprès s'embarquera pour
dit que Le Dcitu Mail tacbé militaire français arrivé à Durban, ou il Franco. Bond Le Afrikander
ab est la
15 juin. Paart, tenue hier dana l'aprèsAu cours de la séance du Bond, a démidi par le congrès le secrétaire le ait menti formellement Bond que jamais reçn du et du la d'argent gouvernement peuple Transvaai. Le président, M. Théron, a déclaré que, devant le Parlement, il avait mis M. Pulftr au défi de la preuve d'une telle et que faire accusation la M. Fuller n'avait faire. pn a ensuite les accusations M. Thérou repouss¢ lancées coutre le et dont de conspiration Bond on a fait un des la prétextes pour justifier guerre. Le Bond n'a jamais contrairement t la agi at la haine dont on t'a poursuivi Constitution, refusait d'adhérer à la politique de prouve qu'il M. Cecil Modes.. affirme sa fidélité à Ba terminant, M. Théron
le besoin remonter la rue, dprouva-t-il impéce café, situé en face de la rieux d'entrer dans maison au pavillon? On ue conduit pas la destinée. ne venait dans ce quartier la 11 jamais qu'à tombée. nuit au dire des La concierge de l'immeuble, à eut, elle-même, eu de la peine journaux, reconnaître son locataire de rencontre. découvrirait son identité. Qui donc Il aurait là renseignepeut-être quelques ments. cachant rhn&it dans le pardessus Enveloppé le le matin, n'avait pas quitté depuis quil de l'établissela porte homme jeune poussa une s'assit vide, demanda à une table ment, les journaux consommation, et se fit apporter soir. du Dans la salle assez Il ne se trouvait exiguë, tables ocavant son arrivée, que deux plus, on quatre consommal'une cupées, par trois du teurs. commerçants qui quartier quelques l'autre deux hommes aux cartes, par jouaient la conversation ne paraissait dont pas extrêabruti Pair mement animée, indifférent, à moiHé devant eux. des bocks pleins presque, sur ses gardes, Quelqu'un qui se fût tenu eut sous leurs paupières peut-être surpris de regard anormal. une fixité alourdies, il% détailLe nouveau venu, qu'à son entrée sans laient et l'autre, l'un d'attitude, changer ne se méfiait point. Il venait de déplier un journal apporté par le garçon. aux « faits divers il allait », et Rapidement, cherchait la rubrique trouvait en tête, qu'il trois dans tous les journaux jours: depuis LE seulement “« L'jikniilé
CRIME
DE
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LA.
RUE
lignes
UN MOUTÎAtJ
MABDI
Londres, juin. On télégraphie d'Alexandrie au DaHy Express: Un nouveau a fait aoo apparition mahdi à Wadi-H*lf*. Le gouvernement l'a fait arrfcteravec égyptien de ses partisans. quarante-cinq SOLDATS ANGLAIS MASSACRÉS
LESILUIDEPEBS£Et,¥U\CK FERRÉE
LA
Le rui a nommé aujourd'hui sénateurs, dont '.NI. de Renaiu, ambas.sa<ieur a LonHre* le maire Colonna, de lismeï prince les généraux de Hevel,ûelap«mce etToumon l'amiral Marin l'écrivain le professeur Foggazzaro ù'<ui«louile et le professeur Oolzi, de droit Gabba.
deux
représente
DE
La huitième rale <te
dorme
CHINOIS LA
16 jura. Rome, Les députés Mmt très nombreax & la Chambre. Tous les Biiniatrea sont Ua présenta. à procède l'élection du président. M- <3all» «st élu par Va voix contre «U t M. Biancheri et 9 bulletins blancs. LVJeotion de M. Gallo eut ««lo^e par les ap-
VAYT*
16 juin. Contrexéville, Le shah s'est levé à sept heures; il a commence sa cure à la source du Pavillon. La musique militaire de Ntutc; viendra jouer tous les jeudis. Le shah a visité les bureaux du tétégraphe et du téléphone; il a communiqué avec ie bureau de Mirecourt. Hier soir, il a assistA à une représentatiun et a paru s'amuser du spectacle, donnaat des applaudlsdâoittuts. la signal
le
déceft le plateau (TAIaakan, central et est arrivé lac Koukounor, et jusqu'au au lac Bobnot, centre de l'Asie, où la 16dea peuples. gende place le beroeaa primitif De la mission est arrivée k ta frontière de la Sià Kouldja, et t'est bérie. engagée dans le Tui>kestan oà les généraux gouverneurs russes, de ont lui fait an accueil enthousiaste. province, est rentré M. Bonin à Constantinopie la par le Caucase Thakami-Boukbam, at Samarkand, l'Arménie.
le nuHU
16 juin. Bathurst, Deux fonctionnaires et SIX soldats ont anglaia été massacrés dans l'Afrique à Sannoccidentale, k.inndi. sur la rive sud du tleuvc Gambie, par les indigènes Mandingues.
COULEURS
ead, d'Asie, enlin
causes qui l'oat amapée. de sept memLe congrès a dèsi§oi an comité une résolution bres de relative charge préparer à la guerre et au r%leinent la suivra. qui La pressent en clôturant la séance. a déclaré,
lllf uiUftÀllUKS POLITIQUES
Gaz
a permis Le tempa, définitivement rasséréné, aux hier matin fervents univerde l'Exposition de reprendre le cours de leurs selle pérégrinations. était d'ailleurs «Mîfeieiise. La température elle donnait aux paDouce, fraîche, ensoleillée, lais et aux pavitlons de magnideenee, aux plus de et de piu, parfums plus grâce. jardins Le nombre ilu* aittiNt», (Jiy ava;t d) puis quelsubi une s'en légère décroissance, ques jours est trouvé sensiblement relevé. et étrangers Nationaux &. Les s'intéressent tort Concerts de Musique étrangère de choses l'immensô leçon qu'est l'Exposition, La Société de d'aucuns et Vienoe, ils sont ph>HiaroioniLjue placée univt-reelle même, légion, sous Le haut de Mme la de: suivent de très près les opérations princesse des jury» patronage de Metternich-bandor, de et la Société ehorale et d'ores et déjà, s'amuse&tj grou{M3 et de section l'nc(knutêronk concerts à donner ce des aiaq grands à Vienaa qu'eu sportif un appelle langage casion de l'Exposition les 18 et 19 universelle, pronostics. au 22 et les 2i et dans juin Chàtôitit, f0, s'ils ont eu tort on juin Lavenie leur prouvera salle des du Trocadéro. Ces coagrands Fêtes aux formulent! raison quant provisions qu'ils lac«rla seront conduits MM. Gustave Mailler, aux relativement par récompenses. directeur de l'Opéra de Vienne Edouard Kreinau Inondation Von Perger. Champ-do-Mars ser, et Richard Les 2i et ta célèbre Société des canalisation d'eau a juin, La rupture d'une grosse chauteurs de sous la la nuit dernière un grava Cologne, placée patronage failli acciprovoquer du prince Frédéric donnera dans la dent au Ghamp-dâ-Mara. Léopold, salle dea Fêle» du tr<*i» conTroeadéro Vers ùeures du matin, des gardiens grands de quatre certa avec 1e contours de Mme Frida la paix de planton dans l'enceinte de l'Exposichoraux, cantatrice du Mlle Théconstataient un allaissement du sol à. proxiFei»cr, pfamicre tion l'Opéra; rèse et Ni. Frédéric Pott, pianiste, réservé Grûtzmaeher, mité du pavillon aux produits espagnol de au Conservatoire de l'avenue édifié à "angle de 3uivioloncelliste, professeur alimentaires, fren et de Tavenua de La Motte-Picquet. Cologn*. avaient-Us l'alarme aux A peine donné Les Entrées pomvéritable inondation se qu'une piers produisait. Nos prédictions la fSte de nuit se sont pour et graviers, entraînés Terres par les eaux, prole succès a toute réalisées espérance. dépassé l'effondremeat du pavildu plancher voquaient Dans la soirûe dc vendredi. ou » enregistré 20,U1 lon espagnol. à quatre entrées tickets. Une nappe d'eau de soixante centimètres couet de Ce chilïiïa sera. certainement dépassé, bientôt Yrit et se aux l'emplacement l'épandit le temps se sera tout à fait beaucoup, lorsque alentours. reuiia au beau fixe. les pompiers Fort heureusement, découvrireat La nombre total a été, pour cette des visiteurs de cette la cause iaondaUan at y intempestive <1» v«adro4i, de dent mime ftift^tia, juuruoo remède. portèrent tickets. Dans ces l'annexe i-iri.iitiO avec chiffres, une canalisation C'était de GO centimètres qui, uu de Vincennes total de ne ligure que pour on ne sait pour causes, s'était quelles rompue entrées. dans le voisinage. de la Les opérations du contrôle se résument La maîtresse vanne tut fermée, et une équipe façon suivante se mit eu devoir de d'ouvriers réquisitionnes Entrées payantes les dégâts, non irrémais considérables* réparer Entrées de circulation). 54 gratuites (cartes parables. Jetons d ouvriers des services d'architecdirecteur M. Bouvard, 5 Annexe de Vincennes (tickets) constata en effet les ture de l'Exposition, que Jetons et cartes. du sur fondations établies pavillon espagnol, à 55 centimes, Le prix des ticketq se maintient de n'avaient souffert. bois, peu que charpentes Mais le cours officiel est de ceatimes. sont Les marchandises et produits exposés par contre peu près perdus. en date de la Par décision M. le préfet d'hier, de plusieurs établissements voisine Lee oaves a autorisé un certain nombre de loueurs à Seine avaient les eaux ont été inondées également avec de atationnementsur faire faculté circuler, la galerie des mais les déenvahi Machines, destinées la voie des voitures à coopublique, nuls de côté sont ce gits au des allant VExpérer transport voyageurs interdit au A tout on a provisoirement hasard, revenant. ou en poaition et de ses l'accès du pavillon espagnol publie abords. La Presse coloniale édifié dans de la Presse coloniale, Le pavVtlon du boulevard liedu Trocadéro, les jardins prés la hier visite ofila lesaert, reçu, après-midi, mnletre des Colonies. de M. Dotruis, cielle de M. de LanesDecraiB était M. accompagné de MM. Jean Deorais ministre de la Marine, san, fonctionnaires de son et Yon, cabinet, 8onhoure, de la Marine, et des du ministre chef de cabinet des services da ministère directeurs principaux des Colouies. Il a été dans le eoqteet reçu, pavilloa gaiedécoré et pavoisé la cireonstaoee, ment pour par Paul MM. Louis Vivien, préHenrique, député; de la prosso coloniale; Saintsident du syndicat code l'exposition directeur sénateur, Germain, et par les Broutai», «ous-directeur, loniale MM. Pierre commissaires coloniaux Kioolas, le Tonkin Grosel4ude, pour Madagascar pour de et Morel, secrétaire Delorbe Crozier, général coloniale. l'exposition de a exécuté des airs La fanfare Ranavalo la en l'honneur suivis de Marseillaise, indigènes, membres du gouvernomont. MM. Dedes deux dans la et detanespan ont ens-urte crais pénétre et desdiscours conférencesd» salle des paaillon, dehors'une ont été pendant qu'au prononcé, .foule de curieux les musiénorme accla<rt»it ciens et leur pittoresque. programma du syndicat de ta prwne A» nom cotoniate, Vivien a remercié Ni. Decrais de sa veM. Paul b» ministre nue. Le a'répwidu quelques paroles MM. d'Oran; cordiales, Etienne, député puis Ecker, délégué de la presse coloniale américaine; ont pris à leur tour la de Lanessan et Taunay
E»arig*en.
avoir l'Etat libre Après débaptisé d'Orange, annexé dernièrement lord Qob«rta «ou* ta par nom d" Hiver les Anglais Orange Colony maintenant de rechercher une appels'occupent lation bien sonnante le Transvaal, pour qu'ils euiuudàrnet dore* ot déjà comme en leur po* session. Daus les ephbres on aurait officielles, par&H-il, le aoffi dA Bohortsland, déjà praposé en l'houn«ur le» fautes en général de. qui, réparant enliu prédéoeMwurs, eet arHvé à vaincre l'admirablo résistance dee Boérs, Lea laipériatistas et le parti jîrsgo vaudratoaC, au contraire, le Transvaal désorque s'appelât mais Virtorialand. c'est le nom Jusqu't présent, rallier le plus de suffrages. qui semble M. Chamserait berlain, dit-on, d'accord. Mais, voilà i D'auçuaa out fait nos observer, aaos raiaun, que dopuw soixante-trois ans que la reine «st moutée sur lit Urûue d'Angleterre, au a déjà donné son nom à quelque cinqutate villes, pays. ooloaies et territuiraa possessions, divers. Pour ne citer les principaux, ü y a que Victoria, au Cameroun; Victoria, de ta capitale Colomb!» Britannique; Vleterta-Town, HongVictoria. d;ui8 la Rhodésia Kong; dWM Victoria, ta République au et Argentine Brésil. Viobda, daus la Guinée au Nioxiqua, français*; Victoria, au Chili, au Vénéau«la; Victoria East, au Cap; au Canada; Victonaville, en Ta^mauia; Victoria, Victoria au Texas; le gouvernamont County, du en Australie: Victoria, dans la Victoria-Land, zone le lac tu A l|> arctique; Vietoria-Nvauza, etc. etc. que, On voit que presque tone le« p«v« ont adoptl lc nom de la reine aussi d'Angleterre, beaucoup do txju» esprits, de l'autre côté du détruit, trou-' veut que cela suffit et qu'oe ronaervep pourrait tout au Trjjiàvakl élan u^paliatioa siuiplsineut Entre filles jeune* Tu sads que M. Paul m'a demand6 ma main., Et que lui as-tu répondu ? Que je serais lA lui quand U aurait un. Wation.
Mais. ma chère, avait une situation, t t'épouser
il
tu es extraordinaire. n'aurait beeoin pas
S'U de
L'£n!èoement dt Uaëmmê ë§ Marttt On se rif)u#ll« saas dont* un certain Kail M. Queaaay jadis de Beaureuttira qui mystifia en lui faisant croire lui fournir qu il allait des de la trahison irrécusables de Dreyiu». pr*-uves Ce Karl, un spéciaKett» qui est décidément lit la myirtifScuuoii, afllrme, «n un article que publia le Matin, et qui il faut manque, l'avouer, da est l'auteur de l'enlèvement précision, qu'il de Mme de Martel. Karl nous raconte la part l'entévement, qu'il mais. ne noua dit pas grand y a prkie, chose «u», ne sachions. nous la A de poltoe on se montre préfecture Ma au sujet de ce récit. sceptique
ÉCHOSET NOUVELLES Le Président de la République et Mme Ixmbet ont offert hier seir un dîner en de ÎU) couverts l'honueur du jury. Interrwliooal des Beaux-Arts et des comité* de la Société dee Artistes français et de la Société nationale des Beaux-Arts. Le dîner a été auiv d'une très brillante réoeption & laquelle ont assisté un très nomgrand bre ae sénateurs, de députés, de notabilités de la haute société d'officiers de tous parisienne, et;. grades, L'Académie a élu hier des beaux-arts un membre pour la section de en remplacesculpture ment de M. Kalguière, décédé. Oni obtenu aa tour MM. premiers Oenys ü voix; de Puech, Allar, 9; 7; Saint-Marceaux, Coutan, t. Injatbert, 4; Tony Noél, Au huitième M. Coutan est élu tour, par 21 vuix cotttxe Il à M. Owji et 1 à M. AiPutcù lar. M. Cati taux ministre • offert des Pfnaneest, hier soir un grand dîner aux membres des budes doux reaux Chambres et des commissions financières du Parlement. Le ministre avait à sa droite Mme et Peytral sa gauche Mme Mesureur. M. Descbaael, de la Chambre des président était assis en du face ministre. Il avait députés, sa droite Mme Maurice et à sa Faure, gauche Mme Barthou. Le dtner a été suivi d'une très brillante réà assistaient les notabilités da ception laquelle monde les commissaires de l'Exdiplomatique, un de de dénoirtbre position, grand sénateurs, et des personnalités du monde financier. putés, L'arehMnc
Lonls-Vlctor François-Joseph, empereur hier matin, accompagné l'UnenUixpres*.
frère de d'Autriche, arri vé est d'un aide de camp, par
Le ministre de l'Instruction vient publique d'autoriser d'un national l'organisation congcés de répétiteurs à Paris dans la sequi se tiendra eoade de quinzaine septembre. Le national ©encours annuel d'exercices militaires aura lieu le dimanche préparatoires, qui 34 juiiv au jardin des Tuileries, sera présidé par le Président de la République. La f&te de l'après-midi commencera deux heures le défilé de toutes les sociétés, par comptant anviron en armes venus jeunes gens les pointe du territoire. de tous du Cambodge, arrivé de Constantirwple A bord M. BoMarseille hier après-midi, se trouvai!, de de l'est vient traveraer nin, explorateur, qui chinois. tout à l'ouest l'empire Bonln avait une M. déjà accompli première en 1S95 allant du nord au sud du Cemission dont l'avait Sa seconde exploration, leste-Empire. a chargé !« islffîgtère de nrwtruetioij pobîir/oe, demi. Parti de il a duré deux ans et Shanghai, le lettre et' est remonté Bleu jusqu'au ïhibet il à la fin de revenu où se trouvait Pékin, il avait constaté lea pre. Sur tout son passage de se termiers ferments l'agitation qui devait miner actuels. par les troubles du Du Pékin M. Bonin a traversé la Mongolie
a été établie cette lier du Luxembourg aprèsmidi. de l'assassin, il n'y De lh d la découverte a qu'un pas. sur » Les agents de la Sûreté dit~on, sont, une
piste
étre
A demain la nouvelle
Raymond surance pâlir. Sa
main
qui
qui
est
la
bonne.
de détails, plus amples peutde l'arrestation du meurtrier.* de en de l'asdépit Terrique, reatil lui étatt se revenue,
trembla
en
reposant
la
feuille
dé-
ternes deux consommaLes prunelles des sa voilées à demi teurs, par leurs paupière», rivaient à lui. tirent ne ua mot, ne ils prononcèrent pas aucun signe. red'aux touilla dans en L'ua sa poitrine, d'or avec un métira un bijou, une chaînette ouvrit d'au daillon, d'utile. coup qu'il se levant, arrivèrent contre Et tous deux, celui se la table, avant trouvait l'obqui que la moindre attention, soupçonnât jet de leur manœuvrai élaieat fous les La chaiaette, 1« médaillon, de de Terrique. yeux Raymond ceci? Recouaai»sez-v»us une seconde muet. Il demeura du dantter, dont la menace le La prescience au devant obstinément, et duquel poursuivait à nouil venait de se jeter, n'avait paa surgi veau
dans soo esprit, troublé, qu'il balbutiait son médaiiloacela?. Qu'est-ce que mon portrait. des agents Et tandis ricanait: que l'un facilement « On ne reconnaît plus pas lui ceiui sur sa blnette », l'autre, qui portait voix la pièce à conviction, articulait d'une l'avait le bijou, là oit remettant calme, pris comte Hœ main j m Jfépauto du jjojaat
Accident
d$
Yoiturt»
Hier après-midi, vers qnatre hmire* et demie, .ne tapiatuère loueur appartenante M. l.imonoy. de voitures, et conduite le cocher par CJuurrin, revenait et passait de l'Expositiou sur le boulevard Saint-Otinnafn du nula htuteor lorsqu'à méro elle heurta doux voitu-rec de dérodn*M. Vaidet, gement appartenant fmiiKHicf; Saint-Antoine. Le cocher du premier de ces véhicules, nommé» Edmond demeurant rue do Montreuil, Féraud, fut jolé en Ivjs de son siège et 8e bteMa gnév*» ment à la tête. U a été da transporté 4 l'Uouàal la Pitié. Mais le choc avait <5té ai vtotent plunianra que se.trouvakmt personne» Qui dans la tapbwièr* ont re<-u éoaleicent de gravée ,blessures. C6 sont Mine butine ThierrBt, ans, banda» giBti*, demeurant ï2, rue cetta Saint-Bernard; dame a eu l'épaule gauche (t&ptart'w, la jeune Blanche de ans et demi, Berg, Igée qui a da lénioiw eett« graves enfant a été re-' internes; coniiuitcau domicile de ses parents, 16, impasisa Saint-Demard; une enfin, miette, Gabrielle Ma-i 4 ans et demi, dois, il reçu vn coup de branrare** dans le côté elle a été chez mm par transportée rents, 22, rue de Coite. M. Moutîllier, commissaire de pollen du quarune enquête tier, a ouvert pour établir les c*uuea de cet accident. Mort
IR
Omatbu»
Un voyageur soie, Ter» sept qui, hier heufei; avait dans l'onmibu* le senpris place taisant vice du Gh&elet à Mfintrtuil, s'est affaissé sa*daiii sur la banquette ait où montent le véte numéro devant de la rat bleuie passait Saint-Antoine. On a transporté iramédiAtomeat le voyagea* inconnu dans une ptiarmacif; de la rue des Tuuc» uelle» où un docteur du voisinage ne pu' que constater ta mort. M. Boriic, commissaire de police» n'ayant pm établir l'identité du défunt, ordonna son transC'est la que le malheureux port Il la morgue. a été reconnu deux heures .prie par «a f.inme. CéUil un ouvrier M. C.iauiii: cacadreur, Villa.de demeurant rut ans, neuve, tge vingt-six du et travaillant Pauboorg-Ssiint-Antoine, qui, avait Quéménée, uiaor» impasse pris J'omnibus. Ur de l'ateUer, um, UùuiiciU. pour regagner Un
Expiation Hier avisaient aprè«-midi, plusieurs paaeuits sur le trottoir de la rue CheminVert, tlu loin du boulevard une botte Voltaire, en métal; d'environ dix centimètres de côté, dont la phas écartèrent avee part rfifpect. Pourtant un enfant de la botte s'approche et, de l'entamer à de «s«uya pied. coups N'y parvenant dans le ruisseau et s éloignapas il la porta Deux minutes une form-idaWe déto«a>après, tlon, semblable à un coup se de casas, profit» et un passant «ail était soudai» environné de ùmamea et de fumée. On s'aperçut svall êii assei alors que l'Inconnu brillé au visage. «Jana On le conduisit <>à faire connaître . loi«n», »e refusant d. Une enquête fut ouverte au sujet .ic it^u .ibIzarre et établit plosion que la botte, qui con<-
Purs avions Les
de la loi, je vous Au nom arrête. aon eoispagnon, toujours Vous ne ferezpts hem?. d'épate, d&s cupaius rue. uaaulfl de c.artcs se joueurs retournaient-; derrière son comptoir, semblait
le assez
patron, ému. Le mari d'Odette Dahaikr ne faisait pas ua mouvement. Il regardait tour ces à tour deux hommes, l'un sur la table, de et lui parmarbre penché lant datis la figure, l'autre un gaillard trapu et aux forts le frôlant faisant biceps passer de sa poche les rneaettea traditionnelles. Marchez avec nous autregentiment, ment noua de vous seroaa forcés lea' glisser Bne sueur froide auz de perlait tempes M. de Terrique. M ut La réaction fort tout heureussment, d'un coup. Il était un homme, auUat énergique qu* tout homme l'être. pouvait Si cette sorte de prescieaca le poursuivaai le soir filai, lui mettant sur la tête une depuis menace recevait en ce eiémome&at son qui le reudaît cuti'/u, nerveux, depuis, peureux, blêmissant sans le réel le r*moNt, danger au sang-froid. menait dit-il avec nu mouvement Laeaes-moi, le de la pression débarrassa du d'épaule qui je ne veux point oi'esquiver. policier, Et se levant, hautain, raide, dédaigneux ? D'abord, qui êtes-vous Chacun exii&a de la Préfecture sa carte d* police. (A
suivre.)
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des coups de pied, en lui portant L'enfant, le métal de l'enveentamer avait dû légèrement du sodium l'eau ruisseau, le Au contact de Iappe. la désubitement, s'était entlammb produisant habitants du ému les tonation qui a si vivement quartier. son Toi sur Slègy de trente. neuf Chartes Baiaemoulin, âgé M. de la Gomle d'une voiture sur étant siège ans, de Paris, voulut des glacière» pénétrer pagnie mais en pasrue Taitbout; la maison 23, dans front son fort la basse, cochère, Bant sous porte le tua net. et choc la voûte le vint heurter du quartier de police commissaire M- Archer, a du Faubourg-Montmartre, procédé aux constatationa. Sauoèsl
de revolver dernière trois coups s'eet tirë la nuit daos la bouche. des «lètoaauonB, au bruit Sa femme, accourant | on de la chunbre milieu l'a trouvé mort au de cet acte de les motifs désespoir. ignore on ouà Colombes, la matinée Dans d'hier, de Ernest vrier menuisier, Massa, âgé vingt-huit de travail, stst do ne ans. désespéré pas avoir un avec un sous hangar rasoir, ouvert la gorge habitait de la maison au fond du qu'il JaNin est mort miet avenue quelques d'Argenteuil, nutes aprés. une dame A Levallois-Perret encore, Eugénie LamiroL agéedecinquaute-ueuf ans, demeurant et est morte rue Cave, a avalé un flacon d'acide, soufdans d'atroce» minuua après quelques
une bande vers trois heures, Hier après-midi, dans le canai de ses ébats de gamins prenait la du de numéro 38 face du en quai l'Uurcq, de la survint un paix. gardien Loire, lorsque de gagner Les enfants s'empressèrent la rive l'un leur mais dans précipitation, opposé*, de coula au fond d eus, nageur peu expérimenté, de comun un autre bouscuta employé t'eau; de dix-sept Maurice merce nommé âgé Counoy, et le fit tomber Juge, ans, demeurant 4, rue dan» le canal. aussitôt au secours se portèrent Des mariniers & diverses avofr dee victimes et, après plongé la surramener à les ils parvinrent reprises, et l'enfant, qui se nomme M. Maurice Counoy demeurant de quinze ans, Perrin, âgé Eugène ont été transde Nantes, rue chez ses parents, dans un poste leurs sauveteurs de portée par les soins ils des où qui voisin, reçurent secours ranimèrent complètement. en face du à la même heure, A peu près Ni. Jean un de Seine, paralytique, n»1 du quai deans, journalier, Bert, âgé de quarante-deux tombé accidentelest Delaltre, meurant 20, rue le canat. dans lement le matheupar Aux cris poussés déseapérés de M. Emile Navtze. âge un marinier, reux, ohauaroouier, ouvrier et un trente-deux ans, de trente-huit aus, accouM. Henri âgé Chantry, à ramener non aaus peino, rurent et réussirent, sur la berce. la victime a reçu demi M. Jean asphyxié, Bert, qui était connaissance, des soins qui lui ont fait reprendre à ;nn dotnien voiture il a été reconduit puis
de commerce, un employé à Suresnes, Enfin, désesde vingt-trois ans, Jules itamondet, lgé à un mariage de voir sa famille s'opposer péré Ju une fenêtre s'est par précipité qu'il prujetait, dana la cour de la maison qu il deuxième étage de Puteaux. habitaitquai les deux fracturées, inanimé, «•levé jambes un état désesdans a été transporté l'infbrtuné Laèuaec. péré à l'hbpital
D'HIER
LES RÉUNIONS
LA SALLE WaGRXM lien à 1. salle a eu Hier soir, à huit heures, avaient leanatioaahstes le \Vo0'rani banquet que consetllers des nouveaux en l'honneur organisé du parti. uiu .iiMpaux la salle avait été pavoisée Pour la circonstance, et d'écussons d'oriflanuoes de drapeaux, portant France aux Français! La l'iRfienpUon au baBassistaient cents Quinze personnes L'arrivée des chefs nouveaux é!us a été
et des du parti nationaliste saluée de par frénétiques
a été très au banquet Mme Gyp qui assistait Alsacienne acclamée ainsi porjeune qu'une de son pays. tari!, la coiffure la avoas d'honneur nous A la table remarque de MM. Henri Rochefort, CopFrançois pré 'cnee de MarEdouard Jules Leinaîtrc, Drumont, péc. Galii, Oeorgea Bariiuer, Ballière, tére, Lusiea, de Poirier Narçay, Uubue, Lepelletier, Berry, Kroest Roche, etc., etc. l'uéà table se sont mis Les convives après cutiuu ne la Marseillaise. la musique du banquet Pwidant toute la durée des notamment du de s'est' fait entendre-, interprétant cnmmïssaire poliro Demarquay, militaires. et des marches de morceaux a dressé patriotiques procès-verbal do la Viilette, quartier un incident s'est certain proA un moment* ces sauvetages dos duit,. assiettes ont été Des galeries jetées A bas les cassed m? la salle, et les cria de A L'EXPOSITION a la porte 1 » se août fait entendre. rotes, des Les auteurs du scandale 'étaient, paralt-il, de l'actualité Voilà à Paris. M Les Boêra de la sn avaient à m,unière grtiri plaiodre qui amener bien et ce nom seul pourrait tables. était fait à leurs Palpitante, «on! le .service exercn-es Leurs rue de la FédérationParis tout bous. ont été fortement est-il ujours qu'ils nature à Il sont de etc., tir, guarriera, rarda, puis mis à la porte. d'arriver Ils viennent ulu^ Bionner la foule la en sortant de la salle, avaient -ieurs, accu et de l'Orang*, du Transvaal cents, trois reoevair dea soins et ont dû Ucj.. ;-u oosaiiglanfeée avec leurs sauvagu, de noirs de l'Afrique voisine. pagnes une pharmacie sont insIls leur et tout campement. chevaux calme ne s est rétabli t.e peineet grâce qu'avec Qui Champ-de-Mars. la gare du tallée derrière consollicitations de aux plusieurs pressantes voir et applaudir? les atler ne voudra geifiers municipaux.. ont été des discours Ai dessert, prononces eu peintre les artistes parisiens, Tous Krncst Roche, François Drumont, p.-s MM. a le tes été ont premiera Gall» Jules Lemaltrcot Henri sculpteurs, Hoehefort, L'K*|iée, end'une ont donné communication qui dépêche il n e.*t leur jugement, eouftrme affluera», «on et Marcet Hubert, Déroatade MM. v.jyrtO par de émerveillée ne sorte une qui de leur personuc pas aux convives l'expression a.ié'cssuut attraction. ravissante cette et de leurs idées-. de leurs souvenir, espérances de d'ordre un service A l'intérieur, composé charmante une heure ooulez-vous passer la et d'un détachement de de la paix gaitliens d'art fort Hgré.ibl" ? une sensation et éprouver les sous à était placé républicaine pied du t-'ai'ue de Madagascar, place le Panorama Visitez de la pode Ni. sous-directeur ordres Mouquin, sont de là conquête où les épisodes de paix. Trocadéro, officier et de M.CeiJiar, iice ra»aicipale, avec una vérité laquelle frappante. s'était massée aux reproduits très l'r.e toute compacte a rendu hommage. entière la presee salle juii-rds de la Wagram. de charmant rieu de plus que ïïk&US w». "Y a-t-il à LA SALLE de se de son fauteuil, prusans bouger à la salle réunion avait lieu d'ATUne autre voyager de la Franco, dans les plus pays mener jolis contre le maintien rus, pour protester eu prison, bercé par la nutandis est agréablement de l'église qu'on des condamnés Saint-Joseph. rêve. Mais un Cela parart Mrde F. Tboraé? Ailemane, de Pressens^, PabéTot, MM. sique aux le réaliser Voyages grâce ce rêve on peut Marcel Sembai, Chauvièi'e, Adrieo ,atu, Uelpoch, et des une des plus» joies au Troesdéro, animés, Weber ont pris seccessivement et Joseph Veber tout le monde attractions que la parole. plus patriotiques voir. incident. sans voudra s'est La réunion terminée le Musée au public, wv Atre agréable Pour Cela tickets comme tes espèces. Mombur accepte des visiteurs t'aflluence ne peut qu'augmenter où la eu rieuse de Lamotte-Picquet, avenue de lienacs de du conseil guerre reconstitution admirée. est généralemcnt et d'un réel carac» Très impressionnant Mardu Panorama le spectacle tère artistique, cle a Castellani y Le peintre chand. représenté de la les principaux épisodes saisissante façon sur le vif, Ces scènes, prises mission Congo-Nil. la foule et attirent au plus haut point intéressent des visiteurs. du specla br,auté égaler ne saurait Ilien de la du haut découvert de l'Exposition, tacle de nuit. une fête durant Roue (le Paris, Grande Auféerie. d'une la réalisation prodigieuse C'est fête avec attraction? gratuites. jourd'hui, grande le Roue rembuurse la Grande Rappelons que sortant de l'Exposition. tous ses visiteurs licketà des divers les heures specsavoir Veut-on exactement. voici très Les de l'Aquarium? tacles à Il heures de des Descente scaphandriers 9 heures il et de 7 beures à de 2 heures midi, du soir. il heures donles sraphandnew à 3 heures, De 2 heures side à manger aux Apparition nent poissons. à de 9 heures et à 7 heures rimes de 2 heures de et ploogeuses, du soir. Plongeurs Il heures à 11 heures et de 9 heures à 7 heures 5 heures du soir. le succès du Vieux Paris, •w». Ce qui explique on s y vraiment un modique, c'est prix que pour le visiteur A pas. franchement. chaque amuse de la rue, il un spectacle estsoUicité par quelque soir, drôlerie Le d'une et imprévu ù tout.8 encore vient ajouter le bal des Halles 1 élément de galtéJL un nouvel est cesdistractione 1 au Vieux Paris vrte comme le passe Inouï temps
AUTOUR
Mortel. habitent ans, dont la parents faire des sait pétards dont il avait partir sa poche. dont il se une mèche Voulaat r*nçer celle-oi éteinte, communiqua et qu'il il croyait éclatèrent aussitôt, teu aux pétards qui d'horribles brûlures au jeune imprudent. a été »a état très grave qui! C'est da»s de aer au domicile parents. porté
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la dans te sont suicidee produits-hier Quatre ouest de Paris. banlieue MoVictor un ajusteur, A Levallois-Perret, rue' demeurant ans, rinet, âgé de cinquiiûte'9«:pt peine rentrant jours depuis quelques Danton. à où il était en traitement de l'hôpital Beaujon, de suicide, tentative d'une la suite première
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Partisan.
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guet. PRIX DE Bozenvai» Trois ans et au-dessus, métros Ladies fn*uo«, S.000 Mo», Sesara. ne Seine-bt-Maiine. Trais ans lit quaPaa mètres. Artre ans, 20.000 francs, 2,400 ivoire. mateur. Prix os Longchamps. trois ans Handicap, et au-dessus. 20,000 mètres. francs, 2,400 Monarck. Mit de Longchamps, et auPnx ne LA Joncmèrk. Quatre %as montres. 3,000 dessus, francs, –-Sospiro, Allier. Paix DB ViLLenow. --Trois anset iM-ùep.sas,
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clôturait hi«r L'Extérieure i; qut c?patrnole, luu -7» et Unir a ooUi aujourti 72 60, pour fi 7Î Un peu de lourdeur et turtoat de l'inactititi sur bes aoriélés dis créditnidnstru-l est assez et ïw va-* Le groupe agile leurs de trartitui se fout specualtiu<jrit ramarinstainIHÎ est bat1 qn«r p&c letor rsatparish» lolé entre et :,70, la Société éleo-* parisienne la iléchit ee maintient i 306, Trection à tnq'ic 2i'J. etc. Le llio, une tentai» va de reprise i 1900, apràs finit à avec un seulement do diffépoint rence sur hier. v.iî «iarrhé Minas pU 4w d'or m manant i' "i, mais les variations df it riantes. Ranci Mines 10J. la, lv i .«>, l.'ji Hand 131 ->v. /.suiùè»» ta» M), G«duld
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-le ijuairc u;ii juciirs, longueurs Gagat" quinze au troiaKitiic. du ùouxiènat! francs, Prix La. Veihï. Haies, handicap. comte •»}« Cleri" au mètres. Corton, SLucullus mofl*~Tonftrttre (A. Clay); (Rudd); SombruH Wright). Non placé Bois-Luzy. du de trois longueurs, cinq longueurs Gaçaé au troitièma. deuxième
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et sur rirlandc» la Le vent est faible et eur la Manche
7
juin,
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les soient Pour aujourd'hui que répatidnes moins à leur on n'eu orchidées, garde pas égard, un préjugé s'il ce chez nos horticulteurs, qui, ue laisserait pas d'être âiogutliaparuisoait pas, de ces Iièrtrnent à la vulgarisatiou préjudiciable se trouvait Heurs Sans doute. s'il merveilleuses. vouloir posséun amateur assez fanatique pour ce d'orchidées der toutes les «spèc*» connues, si ne serait assez d'une serrc, simple pour point de est la diversité Telle vaste Biinajîinât. qu'an fauleur qu'il climatologique d'origine région a d'esde serres drait autant y qu'il presque pèces. au se présenter. Le cas ne saurait Supposons ne disde un amateur avec M. contraire, Puvdt, très limifés et qui veuille posant que de moyens la euiture, des orchidées. entreprendre Deux douzaines de ces plantes, dit M. Puydt, fonds d«collect1on fort intéressant, lui feront un un an sans rissur lequel il s'exercer* pendant
toute la journée a brillé Le soleil pendant hier. modifiée s'est La situation peu depuis Aur reste élevé Le baromètre l'Espagne
16
que La
aujourd'hui
i'hoepuaiité étudiams.
les
les fleurs d'Europe. orchidée est une déridont le mat L'opcbia, un rôle dit M. Planchut, vation, autrefois, joua Des médecine, ea thérapeutique. très importani les de Diafoirus, que conteniporaios croyaient d uue niéde ce tubercules végéLrl gutnasaieul de ces dictes rilité obstintj*. Au dire personc'était un merveilleux, de capabte nages. philtre Le réveiller sensations les endormies. les plus encore ce nom salep, fleure breuvage s'appelait et sur lesbocatix en pora;lain«des apothicaires, un viitse de pimvinee. qui sait si, dans quelque eu ne vous Homais fournirait pas qaelconque forsur fa ttuâiiCvinae&t? rfi vous l'interrogiez se aommule du salep, il vous répondrait qu'elle sorte de fécule ou d'une! plutôt d'uae pose obtient des tubercules dV)rctd3 qu'on gomme » préparations. àprès quelques
l'anait.
2i· «•
Courrier des Théâtres
les,
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de
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et ('«mbarqueroat G»> Mte-i pour f Angleterre avoir au Chacaytanlais et Parts prj* put aprva nat de dd Stouitor J-BnUgf près athlétique Lo-dxaa. US CQICOIHU DE >aU0M à Vinaennea des oonpremier Àujonrd'h^ cours de butons de l'Exposlûan de (concours durée). LA FÉTE DES ARTISTES artistes aura lieu cette le' fête 4ss antU* L 6 juillet, autour da comme dtabiîué*.
deux), Pnra
Conseil
HP
sa*
A Mo»ter««a, H utiSoml Pont-de Seine, écluse de Vsrenoea, fil r»nt de Mtlun, de Port de Corbeil. 1««S; éâtuse Aaglais, eciu«e Kclua* de Cumtéros. :••?• Makw. t'U: échiae de Charentoa. t-97. Hfert, canai BAaaB-SKnnt– Ecluse du Sair.t-Martla, »*M de ia Tournai! Royat. •poni pont de Besoae. de Sure«ae€. 4*H; t-tt barrage eeius* Mauies, de Méricourt. i*43Owb. de Veo«te. Barraife
Ni. Edmond Plaafait remarquer Comme l'a raison de il est vraiment qu'en chut, surprenant les orchidées B'aieat cette variété, prodïgieuse vera du connues la fin commencé à être que tout récemet qua ce ue soit siècie dernier que vu leurs flaurs sa m51er aux ait ment qu'on aux œiijets de toute lilas aux roses, blancs, de les salons et les tabtes nuance qui décorent nos sâltea à manger. font mondaines en aujourd hui D'élégantes en Franeu de corsage. En Belgique, leur bouquet fashioJe la saison et surtout la durée pendant leur vente est énorme; parnabie en Aogletâcre,
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et demie à un* looynear d»WMtJ«j»<»» Choréanait fait faute la der* «n« grosse graphe, qui haie de l allée de* PortiOctti*»*, *Èait«nbure qulèfn* devant )«ti au;: i» plus ou rnoius (iprenéa. cbe» a cité disputA Le prix d'Arque-* par quatre a deété facilement valu. rainqueur Taomay Tort»de box et Pas de Danse. vant sa camarade des tribune». vote était tombé à la rivière chevaux, a été avec trois de Le prix Langé, et PWrtltea de de i>out gagaé p#ur qui Crut, le favori Mont Saiût bout devant 3eaÊ, qui a faute & la rivière du huit. fait une grosse de La journée a été terminée par ta batt.•;$ dans le prix La Veine, Corton i t.. ce tombé et Socnbrun. Buis Lut était j*^ des Gbô«e«.
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disait Calchas. Ce n'est de fleurs, point Trop alijrat concours notre opinion. Les expositions «iont avec une fréquence se succèdent tianlture loin de nous nous sommea plaindre. de mde roses, d'azalées, Corbeilles parterres flambées de Déraires et de magnolias, tulipes ce avons vécu tuut nous incendiant le gazon, véritable féerie. milieu d une au A qui temps delà ces merveilles donner la palme, parmi étaidat li. On orchidées horticole? Mais le* flore le temps où ces telles re rappelut aédaiçoauses les tles lointaines voir que daus ne se laissaicnl «Téenifa!lait-H t'Océanie. Encore de supporter soudes insolations «antefl fatigues, s'exposer dans dt9 vent longtemps mortelle*, piétiaer de la «le les avant d'avoir terres joie humides, couvrir. Isrs. Il bien ont Les choses «hançé depuis vraiment d'horticulteur n'est aujourd'hui peint daa» ne de ce nom jarifoscède» (lui digne de ccs plantes collection dins d'hjver quelque du seconde moitié dam la sans rivales. Déjà, quelacclimaté Lmné en avait siècle dernier, Grice nos serres françaises. quel'- espèces dans Mari us Van Hoa Houtte, Veitch, à MM. Lmdea, au sont ces espèces et Libon, Porte aujourd'hui été toutes ont de noinbre de nlus qui leurs étudiées et décrites par papsionnémont
Le Un Pantoise. Prançols journalier, demeurant à de soixante-dix ans, Cbaudy, âgé la de revolver à un s'est tiré, hier, coup Cergv, a été instantanée. droite. La mort tetupe a été poussé au suicide Le vieillard par suite il. la lui causait un caacer des souffrances que face. a renversé Corbett.– Un cycliste hier, rue des une filà Soisy-sous-Etiolles, Fra.ucs-Bourgeols, de cinq, ans, qui jouait Fournier.àpte telle, Marie ont relevé l'onfant sur la chaussée. Des témoins blessure. à la tête une profonde qui portait
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Orchidées
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SÉRIE
Si Corsa, Variations des •Bile anihis
servait
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Brwt,
m«rp««a«né«&
chez mon barbier aew de nias Je dépaou trot* tout l%tmr. Pour an coup de Mais, aagBIeBte, poisqi» ma peau souriante Il ne fant pas g*Dîr;ïnr l'odeur du Un Congo VaisMerT Ne teiU'je pu Victor Vaistisr. au *av<mni<r L. Mrunet
un et demie, Saint-lteuia. V*tj» six heures a d'acide de feu, pris \w '4on chargé bonijounes un causant eu gare de Saint-Denis, hier soir, bien légilime. d'émotion eut les flamme en quelques minutes, En ef!'et, et l'on à une très grande hauteur, séirtvarent entière ne la un instant craindre gare que put fou. fût eu secours furent Les premiers par les organises s'efforcèrent du chemin de fer, qui côtoyés le wagon incendié. d'isoler autant que possible de l'incendie sur le théâtre Bientôt arrivèrent de police, et Macommissaire MM. D'Homme, le service son secrétaire, qui organisèrent guau, de Saint-Denis, tandis aV.-dre, que tes pompiers lenr capitaine, de M. Ifichter, sous !:i directioa sinistre. ne leur mieux le combattaient les flaméteindre Mais on ne pouvait espérer dévoré eussent mes avant complètement qu'elles et l'on dut son inceudié et contenu, le wagpn les voisa borner H'.ulemont hangars à protéger de la gare. sins et les bâtiments heures du soir que tout Ce n'est que vers aeut écarté; a pu être <iéHmtivement danger n'ont Les dégâts, assez importants, pas encore été évalués.
marchand de Blanchet, CoutommiGFS. la Fert«-GauJn marché de revenait bestiaux, bascula, la voiture cher lorsque qu'il il coadureiiit de la sous-ventfière. de la rupture par suite du véhicule/ M. Bianctxt. en sautant tomba si lui des roues malh«ureus*<rnent passa qu'une il outre de graves blessures, sur le corps; a a côtes fracturées a eu deux et été.traafiporté son domicile. «m. Le Marœl Maurtce, âgé de onze jeune
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Pendant ce temps, Armand Breuilhet pensait Le testament est inattaquable, c'est éviIl me faut dent. renoncer aux millions d'Arà cette fille maudite et, chose gile, plus grave, et adorée. Ah! malheur! malheur! quel quel Mais ma cousine. patience, je reviendrai dans votre me retrouverez sur vie, et vous votre chemin. A ce moment-là, ferai vos je vous regretter dédains. mais il sera certainement trop tard! DE
LA
TROISIÈME
QUATRIÈME
PARTIS
PAATIB
furieux
Mait l'avocat contre avait celui.qui laissé Michel l'accueillit s'échapper, par ce mot seul Imbécile 1. l'autre s'annihilait en Et comme protestaArmand Breuilhet tions lui éperdues, répondit brutalement: la façon dont vous surComment, après vos vous veillez osez encore subordonnés, à mon souvenir?. vous c'est du rappeler
LA
VOIX
I
Depuis Mais mon
vous tout, le garde
après ami, à votre
l'espère justice. Il faut
endroit,
avez rai peut-être des sceaux fera, je! une bonne et solide
à vous, et d'autres, par le temps qui un le devoir court, rappeler peu faillit en perdre Arthur le sens. Destitué il pouvait destitué être 1. Eh bten c'était le bouquet I. dire Qu'allait et faire Clémence? il prit Comme un fou, le chemin de sa demeure. Traduction
et reproduction
Interdites.
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Armand Breuilhet donné de ses plus Gabrielle pouvait rassée de lui.
toupet son,
D'OUTRE-TOMBE
Cœurs
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était et reparti nouvelles. se croire à jamais bruit
un
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courait
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M. Viguier, venait d'être avisé assurait-on, de son et comme le prochain départ, poste lui donnait constituait une qu'on profonde Clémence de èisgrace, l'anguleuse remplissait ses doléances et de ses récriminations tous les échos d'alentour. Gabrielle se préoccupait de ce désespeu s'en ses propoir-là, pas même pour réjoutr douleurs l'absorbant lui laisser pres trop pour l'oreille à ce qui lui était prêter étranger. La comtesse et Daniel venaient Marguerite assez la des fréquemment villa Sources, Daniel surtout.
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Une seule faisait fléchir la règle personne Gabrielle s'était c'était la marque imposée, de quise Pompigneulles. La fiancée de Michel allait à quelquefois mais c'était le souvent Chauvrebeau; plus madame de arrivait à qui Pompigneulles chez la fille de son amie. l'improviste Mademoiselle do Saint-Amand, avait qui elle une reconnaissance la pour profonde, traitait comme une mère véritable. La marquise en profitait la gronder pour souvent. Le découragement dans la jeune fille lequel était tombée la de depuis disparition Michel, la claustration absolue et qu'elle s'imposait son tout cela qui augmentait énervement, était madame de désapprouvé par Pompigneulles. Vous n'êtes lui pas raisonnable, petite, un jour dit-elle trouva Gabrielle qu'elle plus l'ordinaire. pâle qu'à n'allez-vous à Paris, Pourquoi, pas prendre du hôtel splendide d'Argile? possession toutes les merveilles ne doirenferme, qu'il vent laissées à l'abandon. pas être vous Et devriez renouer puis également des relations dans le faubourg Saint-Germain avec les meilleures familles vous auxquelles êtes apparentée. Elles vous vous inviteraient à recevraient, leurs ce serait très vous. bon fêtes, pour hocha tristement la tête. Gabrielle Mon deuil est encore marécent, trop de longdame, dit-elle, pour que je puisse au moins suivre conseil. Envotre temps dans la disposition où suite, d'esprit je me le ses son relations, trouve, monde, bruit, tout cela m'est au dernier insupportable et me laisse Indifférente. point, Indifférente des
la pensée de susciter relies vous êtes que
aussi, comme
sympathies
Catlao Ie rarit. TschernofT et aa Les trois Ron»y». OiraHttK. Fmtoou Nouvel Eldorado. ifor Téléphone
CUapittn ballet. SMdow. Iwan meute Rurke. Andrus et Frisco. Pilar Montera. La de ehant. Nlnl Leçon La Léontdas. La Btllt aux cheveux 8i4-6i Un M^-te de rant*i«it>. *'••»* ?-»••?»»». Gt<Ut, La oél.-bre famille Agxiusi. d<Euvr*s Reproduction d art Liane de Vriès DagmarHans«n.Laboui!-k in l»p<tarotne piaee aichy;Tous lessolra* s !i i es fauves de List A 19 h.. udis. dimanches et fêtes, tosj à a heures. Potin. Seala. -Télèp Sulbae, Claudius. Max Dutleuve. Dearly, Mayol, Mines Dstierre. Dermlay, u Cas de U Btnoît. UimaocUes et fêtes ma in.v Parlstaaa. Teléph chez vanm, foli» parodie Jane Dei-ral, Isabelle Voisin. Albens, Vllbert, Max-Hlm, Gibard, Plébins M9-7S. Kldorad*. -Tdlép. revue. O -a .'aris-plaitirs, nem. Maréchal, Gosset, Dons. Honoré, vîmes MaryHelt. Stelly, Puaet, Leblond. Uim.,jeudi et fèttss.mat La Voilà Cljtaie Téléph. pour Langcknmp! MM. Gabin. Maader, Girault, Mmes Chavat-Girier. J. B;<x-h. Tett" Larocîio Sidley. Allems. Bçrtholy, » h. 1/8.Ifmi*raa-€lr«ae. la Otatmau fsanthe,et nautique. uantoinime Frères équestre Kredianis. Tel. Ui-M. Mercr.. jeud.dlm.et «t.. mat.aih. lit. Uearano Clr<ue rue dos Martyrs. itéleph Sjj, Maunées les jeudis, dimanches et fêtes ilh. il:. Attractions nouvelles. ••Hiver. 8 n. 1/ Cirque Exercices équestres. le Tout joie, pantomime. lUaUx-Bouire Tous à 8 h. 1/ï, les soirs, spécule concert, bai. à heure*. Uimanches, matinées Jardin Bailler. Tous 1m grande fête. jeudis, Samedis e: 'ihnanches. bal à 8 h. Casino. Tous les jours, op^raopérette; bals, comique, p^ch-, canotage. Attrao. min. Paris. Uoncdi versos-Gare du Nord.i3itralmj.i2 Panoraan de Hatlasatrar iTrooadéro'. Générai Duchesne devant Tanaaarive reddition d*> la plate. dioramas de la eon<ruéte. Entrée 1 fram-. vtHage suisse. près la Salle des Fèves. De s a. du matin h. du soir. variées. Attractions Le soir embrasement de la montasoe. fr. Entrée, Vieux Part».– Grand Théâtre. Tous les jours -3 h. et 8 u. 1/2, concert Colonne; 4 heures. /W h. a/ revue. chanteurs de S Eglise, Palal* dr la Basse. Rue de Paris. fc>.
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PARTES
L'AMOUR! XIX
Le
INÉDIT
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Secret
(suite) de Rolande
c'était bien eut Allons, aussi, temps qu'il sa celui-là, de bonheur. part Eh non, fit la mignonne avec pas tous, élan de confiance mit en mystérieuse qui de Claude un rayon tans l'angoisse d'espoir. allée à lui. Et elle Lait Elle lui avait les mains.» pris l'entraînait doueement. Elle Où le conduisait-elle donc ? Ah il le voyait bien.Vers une femme écoutait cela.si qui si tremblante. oppressée. Une femme ftolande s'avancer qui regardait elle.. et qui Vers défaillait. pâlissait. qui d'une défaillance n était mais uae qui pas nouvelle. non. souffrance la main Et aiors. elle avait de sa mère, pris cette cette audacieuse_, terrible Rolande qui la maia tenait affolée de Claude. déjà Elle les avait ces deux mains réunies, frémissantes. Laissez-les-. faisait-elle doucement avec son sourire a présent tout mouill6 de larmes de tendresse. Laissez-les ainsi. comme la chère morte tas avatt et osez placées» done enfin vous aire vous vous aimes. que puisvêtu v»ii» arma f«« depuis «i longtemps.
"Ah! Claudel.
Manuèle
gagnée.et mon père
moi, tout à
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Et c'est vrai ce soir-là, dans pourtant que, cette salle à où les branches petite manger de roses se penchaient, sous languissantes, le poids de leurs fleurs il épanouies, y eut, de la joie avec un paradis de joie tous, pour infinie deux êtres sans l'adorable pour qui, auraient côté du bonmignoue, passé heur. le bonheur ne se raconte Puisque pas, c'est donc histoire touche forcément que cette à son terme. Dans le domaine de San José, où le vieux Castéras semble de il y a, rajeuni vingt ane, maintenant deux diables courent petits qui dans les jambes de l'arrière-grand-père. Et l'aïeul est heureux. heureux. il Non, n'a plus horreur des le vieux Casenfants, téras. La haine. le ressentiment. il ne sait plus ce que c'est. Henri est revenu avec sa chère femme habiter cette maison où Us ont ramené avec eux la vie qui ea semblait absente. est si Lorsqu'il arrivé, impatiemment se mettre attendu, résolument à la besoet chercher, les gne enfants pour qui grandiraient une bientôt, dot arrachée aux entrailles de la terre, I noblement -ah et laborieusement celle-là, il n'était acquise, pas seul avec Rolande. Us à leur étaient, tour, de accompagné» deux nouveaux arrivants introqu ils avaient dutUs^jroc
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PERTES BOURSE
aimée. ce n'est jeunesse, non, pas assez dire. adorée de celui dont elle avait été le seul fière du nom à amour, qu'elle portait et était de ceux font envie présent qui qui aux aux hautaines. plus orgueilleuses. plus Elle avait sa d'honneur. Elle réparation sa revanche avait de joie. Elle reprenait sa place au foyer. Mais il y avait eu de cruauté dans sa trop destinée. de dans son atroce trop rigueur punition. entre le vieux Castéras et sa Jamais, fille, ce ne serait l'oubli L'oubli ne se souvient de qui plus rien. L'oubli à l'abandon de renaîqui permet l'enfant. tre chez A l'effusion de revenir au cœur du père. Et c'est sans déchirement faut-il dire sans tristesse? que Manuèle, après quelques à était au bras jours passés San-José, repartie de Claude, la France. pour Pour la douce maison où le bonheur s'était de nouveau la vieille blotti dans salle à manger toute fleurie. Avec les on se reverrait enfants, chaque à Aspremont. année elle
aimait
s'y était en pays y revenait
Aspremont,
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petite
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tout de suite trouvée en pays d'aïeux. en pays de charme. tous les étés, avec Henri et bientôt car les filles bloaGeneviève, qui des comme les oiseaux chanteurs fuient un ou l'autre le nid abandonné bienjour qui tôt ne reviendrait si souvent dans le plus chàteau où etle vieux était née. La-bas. au elle avait eu, elle Mexique. toute et toute son aventure aussi, simple
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SONT REÇUES EXCLUSIVEMENT
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Le journal ne répond pu des manuscrits sont adrestét. Ces manuscrits ne «ont nas rendus-
Car lande. Elle natal. Elle
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PARIS
cette maison les antres, où, les uns après rentraient tous les exilés. tous les pardonnes. Et cette fois encore, le vieux Casteras avait eu une violente. une émotion. poignante non de surprise, mais de lutte entre son plus et son coeur. orgueil Celle franchissait son au bras qui seuil, d'un homme devait tous s'inclinaient. qui d'un homme .illustre. d'un de ceux qu'on aussi des de la appelle princes. princes science. et le père de Maauèle pouvait lui au bras d'un être de bonté, ajouter, de dévouement et d'inûnie celle-là. tendresse, c'était la révoltée, la condamnée avait qu'il à jamais. chassée Mais une voix douce à son coeur avait trop avait celle dont un parlé. prié pour trop cruel châtiment avait mille fois la expié faute. Et puis, ce renouveau de inesaprès joie il avait eu le vieux pérée, peur, Castéras, d'une nouvelle et insupportable solitude. Il avait eu peur de mourir isolé. sans unelarme autour de son agonie. sans une prière au chevet de son lit. sans la consolation. la dernière consolation. à celui qu'apporte s'en va une tête d'enfant qui une tête que les ne peuvent yeux déjà fermés voir. mais plus touche d'une main qu'on dont le mourante, tressaillement est encore suprême une bénédiction. Et il avaitpardonné à celle qui ne mentait lui criait Je suis la veuve pas lorsqu'elle de Roland d'Aspremont. A celle se nommait à présent qui madame Claude Lecoutellier. D'ailleurs. il ne pouvait être question pour Manuèle de rester là-bas.
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de faire à ces symcapable et grâce naître, rèse qui m'a produit une si l>o;i de créer un courant irrésistible dans pathies, impression dans celte nuit inoub'.i :un courant l'opinion publique, qui peu a peu où vous m'tUi's rible, venue trouver iksuieaveû ferait connaître Michel ce qu'il est, dirait pour A Chauvrebeau Hélène, ce qu'il vaut de revenir et, à furco sans cesse A ce Il, vie de Miet toujours sur le même sa sujet, chel préparerait était;. et ferait dire à tous, le jour réhabilitation, où Et sua iiiKiueurue IVst-il encore point vous auriez enfin découvert le vrai coupable aujourd'hui? –Ah! donc une chose 1 que c'est et juste Ah! comment, vous la fiuV si hAute et si H mérité de rendre l'honneur à que ce garvous ne mettriez vus forces pure, pas toutes » çon-là lui rendre l'un comme vous avt'js sauvé l'auGabrielle tressaillit. tre î. S'il en était reautrement, je no vous La marquise venait de frapper à l'endroit connaîtrais plus vulnérable de son cœur. Gabrielle, la tête dans ses mains, pleurait Madame de Pompigneulles continua amèrement. à vos Ici, gràce à maître amis, Bernard Je ne peux dit-ello enfin. Tout est pas, à M. de à moi; Molé, surtout à Précomtal, devenu impossible aujourd'hui. ma chère vous, est enfant, l'opinion publique Maître .Mole, M. de Précomtal et moi, nous revenue sur le compte de votre chacun fiancé, avons fait des miracles, uns et lus autres, les le croit innocant. découvrir le vrai pour même la coupable, Mais de Montbert, qu'est un si l'opinion mobile eût pu pousser ce misérable à tuor qui aevant le retentissement petit trou, énorme le duc d Arrile. la mort eue de ce très qu'a grand seigneur autour de nous, Tout, est resté obsmu<H, de duc d'Arqu'était Jacques Saint-Armand, insondable. cur, ancien ambassadeur de France 1 gtle, Tout nous échappe et nous fuit. Est-ce cela peut f que eompter iUeu. nous u'avous rien rien trouvé, vu, Non, le scandale non, de la pour qu'après rien pressenti. condamnation imméritée de Michel, sa réhabiLe meurtrier du duc d'Arjrile a bien set pris litation soit connue de tous, il faut que les anDe son il n'a sanglant précautions. passade, ciens amis de Jacques, ses pairs, ceux qui dans laissé ni l'ombre d'un ni la vestige, plus petite une certaine couche sociale de disposent trace, encore plus fugitive fut-elle et de ses il faut l'opinion publique arrêts, Et qui vous dit qu'un ou l'autre vojour ils sachent d'avance à quoi que, par vous, tre inti'llisçeiicu, votre volonté toujours en s'en tenir. C'est donc à vous et à vous vous avez ciiert'lié seule, en vain q petite, de les éclairer. qu'il appartient si à un moment Qui sait donné, le hasard, J'ai ce soit au-dessus de mes des peur ce grand êtres que protecteur savent ne uni forces actuelles. et persëv6rer, pas se tasser sait s'il ne qui Fi! la vilaine mettra route cet indice parole! pas sur votre qui jusN'étes-vous douc il échappé la vaillante à votre créature qu'ici plus perspicacité? tant admirée?. fille de Théque j'ai Cette (A suiore.) [>vui. d'Aiorrmowt.
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la vessie, infaillible de se guérir promptement, l'a été radicalement lui-même, avoir après et essayé en vain les tous remèdes préCette dont on offre, le but appréciera d'un vœu. humanitaire, est la conséquence Ecrire lettre ou carte à M.VINCENT, par postale à Grenoble, 8, place Victor-Hugo, qui répondra et franco courrier et enverra les indigratis par cations demandées. Tikriqu
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moyen qu'il souffert conisés.
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Le jeune baron d'Excideuil avait la pour fiancée de Michel des attentions inlassables et constantes. à Quant il l'aimait Hélène, grandement mais la aussi; tendresse profonde qui était lui dans le coeur de la pauvre pour inspetite Daniel titutrice, ne la voyait il était évipas dent ne la verrait qu'il jamais. Et Hélène, admirable dans son courage, dans son abnégation, se disait Mon lot n'est d'être aimée pas Gabrielle Que soit son bonheur heureuse, ma joie. sera En ce qui concernait ses visites Marguerite, étaient assez à rapprochées témoigner pour sa fille d'adoption l'amour maternel était qui en son cœur mais en même pour elle; temps sa présence aux Sources se faisait assez discrète ne pour Gabrielle ou énerpas fatiguer ver son coeur meurtri. L'automne avait succédé à l'été. Les belles collines si vertes se zéjadis braient d'or les bruni; premières gelées blanches le matin, le velours givraient, profond des et les les prairies flétrissaient des vignes devenaient pampres comme rouges du sang et sur les gazons si admirablement tenus de la villa des les feuilles Sources, mortes arrachées les vents d'hipar premiers ver aux futaies du danmagnifiques pare saient en des comme folles la tournoyant triste valse des elles restaient morts, puis humides, formant une molles, par terre jonchée de deuil. A part les pauvres, chez mademoilesquels selle de Saint-Amand allait plus que jamais, elle ne voulait voir personne. Renfermée dans son deuil austère, elle, n'ouvrait la de sa maison pas plus porte ne consentait à franchir qu'elle d'autres seuils, celui de Syphorès. pas même
(suite)
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FOURRAGES Paris-La 16 juin. Chapelle, Marché ordinaire. 70 voitures de paille et 35 de fourrages. Affaires suivies et prix soutenus sur les paitles. fermes. Fourrages Paille de blé Paille de seigle. 30 33 Paille 18 d'avoine 23 52 Foin. 48 Luzerne 47 52 Sainfoin 44 nouveau 46 45 Regain. 48 Le tout rendu dans au domicile de Paris, frais de camionnage l'acheteur, et droits d'entrée bottes de 5 kilos, savoir 6 fr. compris par foin et pour fourrages secs, 2 fr. 40 pour paille. en Prarrages On cote snr gare. wagon les 520 kilos: Paille de blé 20 à 22 Paille 16 17 d'avoine Paille de seigle 23 25 40 46 44 Luzerne. 40
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ZOOLOGIQUE
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Gros trait en 4<re. Gros trait hors d âge. Trait léger en âge. Traitlégerhorad'ige Selle et cabriolet Tête» amenée»
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souriante allait se tercelle-là; et l'aventure miner un de par mariage plus. ne lui appartenait ne lui Aspre,mont pas. Son frère, d'ailleurs, appartiendrait jamais. avait elle ce qui n'était campensp pour pas même un regret, en lui donnant, dans la joie de son une dot virilement cœur, superbe dans les entrailles de cette gagnés par lui terre n'est à ceux qui jamais ingrate qui y à grands efforts et, peinent sans remords, sans dans le vieux château Rolande, scrupule, se trouvait chez bien elle. d'Aspremoat, Et quand elle y revenait avec Henri, quand le baron de Lorgerac(ah c'est lui maintenant vieilli. année, qui, chaque plus apparaissait cassé. le baron branlant). plus plus quand avec eux le domaine parcourait qui baigne les hautes futaies de son parc des eaux dans ai limpides. il leur montrait c'était son Quand dernier les nouvelles orguetl vignes avait les bois avait qu'il qu'il plantées défrichés les prairies avait créées qu'il tout enfin ce qui la augmentait chaque jour valeur d'Aspremont. Il mes faisait-il faudra, chers enfants, de sa restée sèche et brève, Il faudra voix à partir dix de l'année prochaine, compter, aux mille francs de plus, que j'aurai ajoutés de votre revenus domaine. la Rolande serrait doucement main Et d'Henri. tu vois Tu vois murmurait-eUe. bien, la nous l'avons la maison. biea eue, que au bord de les bois. belle maison dant
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sont et cette 1A, ce Roland Henriette. Ils là qui avec jouent sous le Claude, extasié de Mauuèie. uae regard grand'mère à qui l'autre le petit un jour Roland, brunet aux yeux noirs comme ceux des Castéras. demandait très sérieusement n'as-tu Pourquoi pas de cheveux blanc», bonne-maman. au lieu d'être une pourquoi, restes-tu comme vieille, jolie maman?. Et Claude avec ces enfauts qui s'amuse comme un boa avec des pygmée., géant aussi Claude, qui prend là, chaque automne, semaines d'un hien quelques repos gagné, Claude s'arrête dire quelquefois pour gravement aux diables écoutent petits de qui UiuUjs kturs en attendant oreilles, comqu'ilg prennent ctest très Tout ça. bien, parce quovoiu êtes des bébés et que, en moi, suis vacanje ces. à Mais, l'ennemi vois gare que je déjt revenir sournoisement. à celui dont on gare ne se sauve le travail. que par Et Rolande aime bien à taquiner qui soa ami devenu tout fait!§on grand père Claude t.. Quel enuemi, Ah! tu en as cependant assez souffert maudit. pour le connaître l'argent. l'argent Mais, est revenu Claude, puisqu'il par te travail. Sli'jfifiz-vous même. quand travaillons Et, plus jamais, que ferme, fait Henri n'est-cs en riant. pax Et puis, aimons-nous conbeaucoup, elut Rolande, triomphalement parce qu'alors, n'eet-ce tout Claude, unit pas, toujours pat
l'eau.
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chérie. Et c'est toi qui nous l'as {ragnée, il fallait bien. Toi tu travailles là-bas, Rola Jot de notre la mine, petit pour la d'Uenici dot travaillé moi j'ai pour
Oui,
madame. FIS Paul
Traductioa
et reproductiaa
interdite*
Bihhat.