Le Petit Parisien. 14/02/1928

Le Petit Parisien (Paris)

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

Le Petit Parisien (Paris). 14/02/1928.

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NOTRE POLITIQUE EXTERIEURE LORD ASQUITH L'ALSACE LES JEUX OLYMPIQUES PASSIONNÉMENT A L'AGONIE

CONVERSATION AVEC M. TITULESCO

L'ILLUSTRE HOMME D'ÉTAT ANGLAIS S'ÉTEINT LENTEMENT

SON VOYAGE A TRAVERS L'EUROPE

failli devenir Français, la France est donc en première ligne dans, ses amitiés, il ne la perd jamais de-vue, toute la part de ses pensées qu'il peut distraire de la Roumanie nous appartient d'abord. Il vient se réconforter dans notre atmosphère, se retrouver chez lui à Paris et y puiser la force dont il a besoin pour continuer sa tâche.

avait été annoncé, les négociateurs français et belges se sont de nouveau rencontrés hier après-midi, au ministère du Commerce.

Un certain nombre de difficultés ayant été aplanies ces temps derniers, il semble que les pourparlers vont abouRoumanie, facteur de paix tir, dans un délai prochain, à une heuconclusion. reuse Il a foi dans la Roumanie et il

donne ses raisons. Depuis qu'elle a été créée, c'est-à-dire depuis 1856, jusqu'en 1916, la Roumanie n'a jamais été une occasion de troubles ou de difficultés pour l'Europe, elle est donc un facteur de paix. Elle a. été entraînée dans la guerre, elle a marché à nos côtés et il s'est produit ce phénomène extraordinaire que son roi, bien qu'apparenté à la famille des Hohenzollern, a été forcé par le

sentiment national de se prononcer contre le kaiser. Cette force du sentiment, national roumain est une des grandes causes de la confiance de M. Titulesco. Il y a ensuite le fait que la Roumanie qui a subi de tels ravages pendant la guerre, qui a vu ses blés dévastés, ses puits de pétrole détruits, s'est quand même relevée et que sa situation économique et financière s'améliore chaque jour. Enfin, il y a la grande réforme agraire. Les paysans ont obtenu la terre, ils ont résisté au bolchevisme qui les serrait de près et la haute bourgeoisie possédante a été assez raisonnable pour comprendre et se sacrifier. Il ne faut pas oublier que tout cela s'est fait au moment où la vieille Roumanie, l'ancienne Moldo-Valachie, avait à intégrer la Transylvanie et la Bukovine qui avaient vécu sous les lois austrohongroises, et la Bessarabie qui avait subi la domination russe.

Ce sont là de bons, de grands symptômes, et M. Titulesco ne doute pas de l'avenir il a confié à une commission spéciale le soin de régler ici les questions financières dettes de guerre, emprunts roumains, cette commission a les instructions les plus larges, elle devra aboutir.

Roumanie et Italie C'est la politique générale qui iactuellement préoccupe M. Titulesco mais, là encore, il a conflance, car la Roumanie veut la paix elle la veut comme elle l'a toujours voulue et elle a avec ses voisins et ses amis les meilleures relations qu'elle puisse avoir il y a d'abord les grands amis, la France d'abord, nous l'avons dit, puis l'Angleterre et l'Italie.

M. Titulesco vient de voir M. Mussolini à diverses reprises, il s'est entendu avec lui sur tous les points il a été frappé de l'intelligence du duce, de sa profonde connaissance de toutes choses c'est vraiment un homme extraordinaire. Comme la Roumanie, l'Italie veut la paix, a affirmé M. Mussolini, mais elle a besoin de la liberté sur l'Adriatique il ne faut pas que derrière ces innombrables îles, dans ces criques profondes de la côte alba-

ET INVINCIBLEMENT

I LE

FRA§pE

5 SANS

LES

Gaston Doumergue a répondu télégramme au que lui a adressé M. Richert, maire de Brumath, au nom de ses collègues du Bas-Rhin, par la dépêche suivante Je vous remercie bden vivement, monsieur le maire, et je remercie également tous vos collègues du Bas-Rhin, du télégramme que vous m'avez envoyé l'issue de l'admirabte manifestation au cours de laquelle le chef du gouvernement a fait entendre des paroles donl le retentissement sera profond, non seulement en .4lsace et en France, mais dans le monde entier. Votre télégramme si patriotique s'adressait à toute la France en même temps qu'au chef de l'Etat. Il sera accueilli par elle avec la même joie que- par moi, car il est une nouvefle et éclatante preuve que l'Alsace, ainsi que l'a proclamé M. Raymond Poincaré, est et sera toujours passionnément et dnvinciblement française.

Un télégramme des patriotes belges Strasbourg, 13 février (dép. Havas) A l'occasion du voyage à Strasbourg de M. Poincaré, président du Conseil, les patriotes belges ont envoyé le télégramme suivant Les patriotes belges, réunis en assemblée générale de Dinant s'unissent aux patriotes alsaciens pour acclamer M. Poincaré, éminent serviteur de la France unie, la Un Instantané pris à Saint-Moritz, au cours de la cérémonie d'ouverture des meilleure sauvegarde de la paix. le capitaine de l'équipe suisse, Hans Eidenbenz, monté sur une estrade, jeux prononce le serment olympique, pendant que s'inclinent les fanions des nations Dans les médaillons le Finlandais Thunberg (a gauche) et le Costes et Le Brix sont félicités représentées.

Evensen, gagnants ex aequo de la course de 500 mètres disputée hier. par le ministre du Commerce Norvégian (A la quatrième page, le compte rendu des deux épreuves de patinage courues hier.)

M. Bokanowski a adressé le télégramme suivant aux aviateurs Costes et Le Brix, LA ROMANCIÈRE ITALIENNE au consulat français, a New-York M.

Le professeur Jorga à Paris

améliorée et ee soir, à 11 h. 30, on publiait un nouveau bulletin médical ainsi conçu « La condition de lord Asquith est extrêmement critique le malade s'éteint lentement. » Lord Asquith a soixante-quinze ans. Dans son entourage, on craint qu'il ne passe pas la nuit.

La princesse Bibesco, fille de l'ancien premier ministre; M. Antony Asquith, son fils, et d'autres membres de la famille mandés en hâte, étaient présents lorsque l'illustre homme d'Etat a perdu connaissance au début de l'après-midi.

ET L'ON A DU OPÉRER Mra WINSTON CHURCHILL DEUX FOIS, COUP SUR COUP Londres, 13 février (dép. Petit Parisien.)

Mrs Winston Churchill, dont seuls les intimes connaissaient l'état de santé, a été opérée deux fois aujourd'hui d'une mastoïdite, la première fois à minuit. et

la seconde fois ce matin. La seconde opération a causé d'autant plus de surprise que la première semblait avoir parfaitement réussi.

Un bulletin médical, publié vers 10 h. 30, annonçait que le résultat était rassurant et que la malade reposait confortablement.

Aussitôt connue, la nouvelle de la maladie a provoqué une vive émotion dans les milieux politiques et mondains où Mrs Churchill jouit d'une popularité particulière. Durant toute la journée, des membres du Parlement sont allé* se faire inscrire au ministère des Finances, cependant que, dès son retour des Chequers, Mrs Baldwin, femme du premier ministre, se rendait à la trésorerie pour s'enquérir de l'état de la malade et lui faire parvenir une gerbe de fleurs.

Le professeur roumain Jorga. homme politique en vue, est arrivé hier matin à Paris. De nombreuses personnalités roumaines l'attendaient à la gare de Lyon.

Comme les années précédentes, le professeur Jorga vient donner une série de conférences en Sorbonne.

LE CARDINAL DUBOIS EST PARTI POUR ROME

y ouvrir un grand magasin français. Ce meeting, qui '.réunissait deux cents unions, a voté une motion demandant au conseil municipal de faire échouer le projet en question et, « de ne pas se mettre au service du capital français ».

Rome, 13 février (dép. Fournier.)

Le Messaggero est informé de Turin

que la romancière Amalia Guglielminetti Les a tenté de se suicider dans sa prison.l'ont religieuses qui la surveillaient trouvée en train de préparer une corde pour se pendre.

Elle a été, depuis, relâchée et mise UNE COURSE AÉRIENNE en liberté provisoire et son procès pour ENTRE NEW-YORK ET OSTENDE avoir publié de fausses lettres attribuées romancier Pitigrilli et pour avoir SERAIT EN VOIE D'ORGANISATION au offensé M. Mussolini suivra son cours.

Mme Guglielminetti est retournée à sa Le vainqueur recevrait un prix maison, mais dans un état de santé très précaire. d'un million de francs Bruxelles, 13 février (dép. Radio.)

La tentative de suicide M. Sayag, d'Ostende, vient de rentrer des Etats-Unis où il a organisé, en prin- de la danseuse Simone Roseray cipe, une course d'avions New-YorkOstende.

Cette épreuve serait ouverte aux appareils de tous les pays.

Quinze avions se seraient déjà fait Inscrire.

Les prix réservés a la course seraient les suivants un million de francs pour le gagnant, 200.000 francs au second et 100.000 francs au troisième.

C'est en « tournant » une scène que la star Bébé Daniela a été blessée

Pour ET Comttje

une

UNE CENTAINE DE TOMBES

Parfaitement.

Et il présenta à l'employé une carte blanche délivrée par la préfecture de police, carte portant son nom et sa qualité de membre de l'Institut.

Cela n'a pas de valeur pour nous, lui fut-il répondu. Avez-vous autre chose ?

M. C. présenta sa carte de membre associé de la Légion d'honneur, dont il est commandeur.

Sans valeur pour nous.

Eh hien I reprit 1\1. C. les pièces suivantes vous agréent-elles ?

Et il présenta une Inttra émanant du ministère des Affaires étrangères, et qui lui était adressée par le ministre plénipotentiaire, chef du service des œu-

Le cardinal Dubois, se rendant à Rome, a quitté Paris, accompagné de Mgr

Sahatier, hier, par le train partant à 17 h. 18 de la gare de Lyon.

L'archevêque fut salué à son départ par le nonce, Mgr Maglione, ainsi que par de très nombreux prélats et de hauts fonctionnaires de la compagnie P.-L.-M. A la dettxièmt page

Propos de bonne hamernr

MARS

PARC

DE

1

SftlNT-CLOUD 3

cet effroyable désordre, les restes de leurs sépultures de famille.

L'événement s'est produit à 12 h. 45, à une heure où personne ne se trouvait dans le cimetière, et c'est surtout à cette circonstance que l'on doit de ne pas avoir à déplorer d'accident.

Le cimetière de Pantin avait déjà souffert, en 1899 et en 1914, de deux éboulements de même nature. Trois chiffonniers avaient trouvé la mort au cours du premier.

Ces éboulements ont tous la .même l'infiltration des eaux de pluie cause qui désagrège peu à peu la masse de De nombreuses personnes se sont ren- terre. Celui qui s'est produit hier met en dues sur les lieux pour chercher, dans péril quelques maisons de la rue du

CONDITIONS DE

L'ÉPREUVE

la demande de nombreux enga- 3 = gés de notre Cross international du S 4 4 mars, indiquons les principales 3 = conditions de l'épreuve, conditions S 3 arrêtées par le comité d'organisa- s 3 Le départ sera donné, t4 h 30,

S

= =

A

dans le bas parc de Saint-Cloud. Les concurrents auront à franchir, à tra- 3

vers le bois, une vasteL itinéraire boucle de 10 s em- S = kilomètres environ.

3 pruntera les terrains les plus variés 3 S rudes montées', descentes abruptes, 3 5 allées magnifiques, sous-bois, etc. 3 Cet itinéraire ne sera pas seulement 3 tracé par des confetti, comme le habituellement ceux des Cross, il il sera encore jalonné de fanions et = 3 surveillé par de nombreux contrô= leurs. Ces mesures sont exigées par æ 5 la nécessité de diriger impeccable- = = ment les coureurs et par celle d'évi- S 5 ter toute fraude. Elles sont justifiées 3 par le très grand nombre d'engagé- 3 3 ments déjà reçus, nombre qui ne 3 3 saurait qu'augmenter encore consi- 3 = dérablempnt.

3 Pour l'installation des vestiaires = et leur facilité d'accès, tant avant le S 3 départ qu'après l'arrivée, le néces- 3 S saire a également été prévu, afin que 3 tout se passe dans l'ordre le plus parfait, Enfin, répétons que le Cross Inter- S nationale du Pelil Parisien, qui est = = une grande épreuve populaire de 3 C propagande, et ne doit pas être autre = 3 chose, est ouvert à tous les araa- 3 S tpurs, mais aux amateurs seuls, soit SB indépendants, soit membres de fédé- 3

sont

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3

1

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3

rations.

LES ENGAGEMENTS

Rappelons que les engagements pour 3 S 3 le Cross International du « Petit Pari. S 3

caissier

lui de-

vres françaises à l'étranger, ainsi qu'un e laisscz-passer » délivré à son nom par Un éboùlement important s'est prole ministre de la Marine.

Tout cela n'a pous nous aucune duit, hier, au cimetière communal de Pantin. 8.000 à 10.000 mètres cubes de valeur.

Que vous faut-il alors ? lui de- terre se sont détachés de la butte du lotissement de Bernheim, à laquelle est manda M. C. le champ des morts et ont enMais tout bonnpmrnt l'enveloppe de adossé traîné dans leur glissement le mur de la lettre qui contenait le mandat. clôture longueur de 55 mètres, sur une Et cette réponse, quelque puu Im- bouleversant centaine de tombes une prévue, fut confirmée à M. C. par le anciennes et nouvelles directeur du bureau de poste où se Au-dessus des vagues de terre s'éripassait cet incident et qui eut du reste, gent des stèles brisées, des chapelles mais à ses risques et périls, la gra- défoncées, des croix mêlées les unes aux cieuse complaisance de faire toucher à autres. Le spectacle est navrant et même M. C. le mandat dont il était porteur. macabre par endroits.

4

Le

pitié.

domicile, pour y toucher un mandat.

î

PARISIEN

sien » sont reçus gratuitement chez æ S Henri Arnaud, 49, rue Bicher. Ils dotêtre libellés sur des Imprimés Quatre jeunes femmes viennent d'être S vent spéciaux tenus a la disposition des clubs 3 solennellement acquittées par quatre 3 et des Indépendants chez Arnaud ou au 3 3 Petit Parisien cours d'assises. Les quatre jeunes femmes avaient tué, bien entendu, amant LA COUPE DE FRANCE ou mari à la suite de quelques intimes DE FOOTBALL chagrins. Il y a donc quatre hommes de moins sur la terre, ce qui fait que le Les quarts de finale te jouent le 26 fénier sexe faible, qui se plaint déjà d'être La Fédération Française de Football beaucoup plus nombreux que le sexe a décidé hier soir de faire jouer le autrefois fort, voit grossir encore son 26 février les matches comptant pour les quarts de finale de la Coupe de désastreux avantage numérique.

Je n'ai pas l'intention de consacrer France.

Cette décision a été prise pour perun nouvel article à l'immuable et redou- mettre aux joueurs militaires de partitable indulgence de nos jurys. Les ciper le 4 mars au match Armée franquatre meurtrières qui viennent d'être (;aise-Armée belge, à Bruxelles. innocentées avaient, toutes quatre, du reste, beaucoup souffert et. méritaient LE CRIME DE LA RUE DE VARENNE beaucoup de Mais je voudrais que les dames et TIENT-ON L'ASSASSIN que les demoiselles rendissent au moins hommage à la galanterie et au froid espagnol ? courage des hommes. Car ce sont des du hommes des maris, vojre des amants qui ont généreusement accordé le plein pardon aux quatre meurtrières ayant tué quatre hommes. Ainsi, des L' homme au pardessus noir a hommes, qui peuvent être des maris est-il le même que Il homme quelque peu légers, qui peuvent être des au pardessus marron » repéré amants quelque peu capricieux et par la concierge et le sacristain? inconstants, donnent galamment aux dames et aux demoiselles le droit de Le premier, un insoamis militaire, frère punir de mort l'infidélité et l'inconsd'un père jésuite, en se présentant tance masculines. Le juré marié et qui spontanément à la police, affirme a une petite amie déclare délibérément son innocence et fournit un alibi « non coupable » l'épouse qui a tué son mari parce qu'il avait une petite amie.

Nnus avons dit que la police judiciaire' C'est là, tout de même, de l'héroïsme. enquêtait l'assassinat de M. de PeEt le juré qui vient de quitter une mai- redes, le sur caissier des Missions cathoétrangères, assassiné dans le fautresse opiniâtre comble de circonstances liques teuil de vendredi aprèsatténuantes et d'indulgentes attentions midi, danssonlesbureau, circonstances rions l'opiniâtre maîtresse qui a tué l'amant avons relatées, et cherchait unque visiteur qui voulait se séparer d'elle. C'est venu, ce jour-là, 8, rue de Varenne, et que le concierge indiquait formellement encore de l'héroïsme, si ce n'est pas de comme étant un certain Léon-Jules Sil'imprudence. d'un pardessus grisporteur mon Il y a de tristes gens qui disent que marron Les vérifications effectuées avaient fait la vieille galanterie française est, Léon-Jules Simon, se apprendre aujourd'hui, morte et enterrée. Par disant tantôtquepubliciste, tantôt courtier bonheur, il n'en est rien. La vieille en librairie, séjournait très peu de temps galanterie française est toujours debout dans les hôtels, où il logeait à la journée, passé la nuit de vendredi à samedi et les hommes ces trésors, ces nobles avait dans un hôtel situé 40, rue Fabert, et chevaliers qui persistent à penser dans lequel il était descendu le merqu'il ne faut jamais battre une femme, credi précédent, venant d'un hôtel du même avec une fleur, acceptent joyeu- boulevard Arago où il resta trois jours. poursuiAlors les recherches sement d'être battus et abattus par le vaient enquevue de retrouver seLéon-Jules sexe gracieux même avec des balles. Simon, celui-ci se présenta spontanément hier matin, à 10 heures, au cabinet de Maurice Prax.

M. Barthélemy, commissaire divisionnaire à la police judiciaire.

M. Duclos, député communiste, Je suis, dit-il, le visiteur dontà parlent condamné par défaut à Boulogne-sur-Mer ce matin tous les journaux, propos du crime de la rue de Varenne. données sur mes rapport» Boulogne-sur-Mer, 13 fév. (dép. P. P.) Les précisions NI. de Peredes et les différents emLe tribunal de Bologne a condamné avec prunts que je lui ai faits me mettent par défaut, pour propagande antimili- visiblement cause. Je suis donc souptariste, M. Duclos, député communiste, çonné d'un enassassinat. à deux ans de prison et 3.000 francs Puis il déclina son identité Léond'amende.

Jules Simon, né le 7 janvier 1897 à Mon-

New-York, 13 février (dép. Petit Paris.)

Des renseignements sont parvenus aujourd'hui qui précisent les circonstances dans lesquelles Bébé Daniels a été blessée près d'Hollywood.

L'artiste tournait scène avec James Hall dans le compartiment d'un wagon aménagé à l'arrière d'un fardier, pour simuler un.accident. Tout l'appareil Simone Roseray, la célèbre danseuse était remorqué sur une route aux envi- dont le Petit Parisien a relaté hier, dans rons de Pasadena (Californie), lorsqu'il ses dernières éditions la tentative de accrocha une branche d'arbre et culbuta suicide à New- York. Lia ballerine, qui dans un fossé assez profond. s'était jetée dans le lac du Central Park, Bébé Danieis James furent et Hall fut sauvée par des passants et ne vouretiPOUR TOUCHER UN MANDAT-POSTE rés connaissance des débrie du wa- lut donner aucune explication de son sans Tandis l'état de Hall, qui avait geste. On sait qu'après de grands sucgo. que cassé, poignet donnait in- cès à Londres, Simone Roseray et son un ne aucune Comment un membre de l'Institut, commandeur quiétude, redoutait des complications partenaire Capella étaient partis pour on de la Letton d'honneur, sortit en vail de pour Bébé Daniels; mais un examen ra- les Etats-Unis, où les appelait un madiographique dissipa lcy craintes et la gnifique contrat. Là-bas, le succès leur son portefeuille dix papiers officiels-, et célèbre artiste en sera quitte pour un avait souri, et l'on ne sait à quoi attripin* enveloppe avait simple qu'une apprit assez long repos. buer le désespoir de la petite danseuse. de valeur M. C. Un membre de l'Institut du grand très dont le nom est connu AU CIMETIÈRE COMMUNAL DE PANTIN UN ÉBOULEMENT ENSEVELIT d'ailleurs public, dont les journaux ont popularisé les traits se présentait bureau de poste du jour l'autre au proche de son Saint-Germain, boulevard Avez-vous des papiera manda-t-on.

LE

si

PETIT

5 Épreuve réservée aux amateurs = et dotée de 50.000 francs de prix =

Prague-Bucarest ? Il doit y avoir également Paris-Rome-Belgrade.

Ce cadre maintiendra l'ensemble et l'empêchera de s'affaisser ou de « Au moment où touchez terme mission AMALIA GUGL1ELMINETTI officielle A vous confiée, ai grand plaisir changer de forme, car il ne faut vous féliciter chaudement voyage inoupas changer de forme, la Roumabliable accompli. Aéronautique française tente de se pendre dans sa prison nie veut le maintien des traités et éprouve légitime fierté votre admirable elle s'est rendu compte que le duce prouesse. » le voulait aussi.

UN NOUVEAU TITRE HONORIFIQUE M. Titulesco se rendra à Genève DU PRINCE DE GALLES au mois de mars. Il verra peut-être Londres, 13 févr. (d. Petit Parisien.) avant M. Stresemann sur la Côte L'état de sanlé de lord Oxford and 13 février (dép. Havas.) d'Azur, il aura vu tous ceux qu'il Asquith, qui s'était un peu amélioré LeLondres. roi conféré soudainejours derniers, pris a au prince de Galles a voulait et qu'il pouvait voir. Il sait ces le titre de maître de la marine nouveau la nuit dernière, une tournure marchande qu'il peut compter sur nous. Il fau- ment, flotte de pêche. et de la alarmante. drait que nous sachions que nous Les docteurs Gibson et Wigram, pouvons compter sur lui, sur son qui sont auprès de lui à sa maison Les commerçants berlinois s'émeuvent pays et que la Roumanie, remise de campagne de Sult.on-Courtney, à l'idée qu'un grand magasin français des catastrophes de la guerre, sorte dans le comté de Berk, ont publié ce enfin des dissensions intérieures et matin un bullet.in médical signalant puisse s'ouvrir dans la capitale allemande l'éminent homme d'Etat souffrait prenne son essor vers un avenir que d'une attaque de pharyngite aiguë Berlin, 13 février (dép. Petit Parisien.) paisible et assuré.

Les unions des commerçants berlicompliquée de symptômes de bron- nois réunies en fédération ont manifesté Jacques SEYDOTJ2C chiie,ei son état-est très grave. Vers. hier pour râcftar prtffin de la la journée, que jeté soelété annonce on française d'un imNÉGOCIIONS US ECO:!ll)IIES FRANCO-BELG. S par une la condition du malade ne s'est pas meuble Potedamerplatz à Berlin pour Ainsi qu'il

DU

AUX MAIRES DU BAS-RHIN

étrangères de Roumanie est le plus menacerait les côtes plates et indédélicieux des hommes et il nous fendables de l'Italie l'Albanie tient sous le charme de sa parole doit rester indépendante et libre, vivante, animée, vibrante, pendant mais elle doit être le Portugal de l'heure qu'il veut bien nous consa- l'Italie.

L'Italie est bien avec la Hongrie, crer en qualité de vieil ami.

L'Assemblée la plus rogue et la seul pays avec lequel la Roumanie plus morose qui soit, celle de ait des difficultés, des difficultés Genève, a subi l'ascendant de la précises et peut-être graves. Il faut sirène. Nous l'avons entendu dans que l'amitié italienne garantisse les conférences,notamment à Lon- la Roumanie contre la Hongrie de dres, défendre le point de vue de même qu'il faut que l'amitié la Roumanie avec tant d'habileté tchécoslovaque garantisse la Rouet de séduction qu'on l'écoutait manie contre la Russie. Et, de son sans faiblir et qu'on finissait tou- côté, la Roumanie appartient à la jours par approuver ses argu- Petite Entente, elle s'y tient fidèlements, sinon par faire tout ce qu'il ment et elle peut, par conséquent, voulait. lorsque les circonstances le perA peine remis d'une grave mala- mettront, aider Belgrade à comdie au cours de laquelle il a dû prendre Rome et Rome à comquand même discuter avec ses prendre Belgrade. collègues du ministère les plus graves questions de politique Des transversales intérieure, M. Titulesco se repose Et dans un aperçu plein de piten circulant à travers l'Europe, toresque, M. Titulesco compare l'Europe à une masse molle qui a besoin d'être maintenue par un cadre rigide une de ces lignes rigides existe et forme la base du système, Londres-Paris-Rome. Il faut des transversales n'y a-t-il pas Londres-Paris-Berlin, Paris-

ROS GRANDES ÉPREUVES SPORTIVES

LE CROSS INTERNATIONAL

LA RÉPONSE DE M. DOUMERGUE

M. Titulesco s'apprête à quitter naise, une flotte, si petite qu'elle.

Paris. Le ministre des Affaires soit, puisse se dissimuler qui

commis voyageur ardent et infatigable de son pays. On sait qu'il a

D HIVER

Bel-Air qu'on voit, sur notre photographie, surplombant le coteau presque à pic.

Dès qu'il eut connaissance de l'événement, M. Luce, commissaire de Pantin, se rendit sur les lieux où bientôt venait le rejoindre Ni. Ghiappe, préfet de police.

Des gardiens de la paix restent en surveillance près du cimetière et rue du Bel-Air et les mesures de sécurité les plus urgentes ont été prises de suite.

Les habitants de la rue du Bel-Air ont été avisés qu'en cas de danger ils n'avaient qu'à se présenter au commissariat de Pantin, où il sera pourvu hébergement.

leur

ceau-les-Mines, sans domicile fixe.

Je proteste de toutes mes forces, continua-t-il, contre l'accusation épouvantable qu'on fait peser sur moi. Ce n'est pas moi qui ai assassiné ce pauvre M. de Peredes, avec lequel j'ai été fflfs en relations par mon frère, qui est père jésuite. D'ailleurs, je vous affirme que, samedi après-midi, vers 16 heures. je ne me suis pas rendu, ainsi qu'on le prétend, chez M. de Peredes. Je l'ai vu pour la dernière fois vendredi aprèsmidi, et non samedi. Il m'a remis, ce jour-dà, 300 francs. D'autre part, je n'ai jamais possédé de pardessus ni de chapeau de couleur marron. J'ai toujours porté des pardessus noirs, et celui que j'ai sur moi, actuellement, m'a été donné par l'Armée du salut. n est d'ailleor» beaucoup trop court pour ma taille.

Et Léon-Jules Simon, homme très volubile, après avoir confessé qu'il avait été déjà condamné pour abus de confiance, qu'il était recherché pour Insoumission à la loi militaire et qu'il fréquentait des jeunes gens de mœurs spéciales. ajouta J'ai quitté samedi matin à Il heul'hôtel de la rue Fabert pour aller au res, City-Hôtel, tout près de la préfecture de quai des Orfèvres, où arrivé police j'ai passé, en compagnie 15 heures, vers d'un ami, tout l'après-midi, exactement de 15 heures à 18 h. 30. II m'a donc été impossible de me trouver chez M. de Peredes, cet après-midi là.

Des témoignages troublants M. Barthélémy consigna Simon à sa disposition se réservant de le confronter avec divers témoins, après avoir pris connaissance de diverses vériflcationg entreprises par ses collaborateurs.

A la première heure, hier, !es ciriFtatations commencées la veille étaient reprises M. Ducasting, juge d'nt:;truetlon, qu'accompagnaient M. Proulihi-ain,

M. HENRY BERNSTEIN mon, que je ne désignerais que soue le nom do l'homme au pardessus marron, est venu samedi après-midi chez BRUIT M. de Peredes. Je ne puis me trom- NE PEUT TRAVAILLER DANS LE per de jour, car, vendredi après-midi, je ne me trouvais pas ma loge. Il était M. Henry Bernstein peut écrire que ne evactement 16 h. 15, iarsque, samedi, j'ai inspinul bruit troubler si vient son ne entendu fermer brusquement la porto ration. II avait donc demandé à son de l'appartement de M. de Peredes architecte, Faure-Dujanic, et à l'enJe vous ai vu sortir, ajouta la con- trepreneur M.Gavreaud, d'aménager en cierge en s'adressant à Simon. Je ne vous conséquence son cabinet de travail, et avais pas vu entrer dans la msison l'architecte dressa un plan pour entourer mandes d'argent mais je maintiens que c'est bien vous ledit cabinet d'une cloison contenant commissaire De son côté M. Dubié, j'ai Je trouvais dans sortir. que vu me "de police du quartier des Invalides, avait ma loge, et, en arrivant devant ma recueilli divers témoignages contre Si- porte, vous avez tourné la tête de l'aumon: cacher votre visage. Vous tre côté Celui de M. Eguino, sacristain de avez filé pour ensuite, toujours rapidement, tférfise diocésaine des étrangers, venant regardant du côté du mur. s'ajouter aux affirmation de Mme Jardin, enIl faisait encore suffisamment jour encore la concierge de M. de Peredes est partihomme venait reconnaître qui un culièrement troublant. Il apporte a pour depuis quatre mois dans la maison. même fait l'enquête un nouveau, en Mais Simon, avec calme, proclame son temps qu'il renforce le faisceau des qui visiteur innocence, le assurant qu'à l'heure du :présomptions pesant sur samedi, vers crime, il se trouvait, au CÀty-Hôtel. entra- chez M. de Peredes Pourquoi, madame, fit-il, aurais-je déclaré effet, que Eguino, M commis un attentat aussi horrible ena, en samedi, vers 15 h. 30, il se trouvait dans vers un homme qui était mon bienla loge de Mme Jardin, en compagnie faiteur ? de deux dames espagnoles, des compaJe trompe rétorqua la triotes. qu'il voulait présenter à son ami, concierge,ne etmeje n'ignorepas, pas la gravité le caissier des Missions catholiques. de déclarations à égard. votre mes Comme il conversait avec la concierge, Et ce que je puis dire aussi, c'est qu'il Il aperçut un homme, assez grande et de v a deux mois et demi, j'ai assisté à une forte corpulence, vêtu d'un pardessus discussion entre vous et M. de Peredes. de gris-marron, coiffé d'un chapeau mou Ce excédé par vos demandes dernier, même nuance. L'homme franchit rapided'argent, votre paresse, vous priait de à la ment le porche, puis alla sonner sortir de et plus jamais reparaître en ·porte de M. de Peredes, située juste en quémandeur.ne face de la logeQuinze jours plus tard, vous êtes re- entre ses parois de la poudre de liège.

Je crois bien que c'est encore Grâce à cette poudre, M. Henry Bernvenu et une scène violente s'est renou- stein l'homme dont je vous ai parlé, dit Mme velée. pourrait travailler en silence.

M. de Peredes donnait de grands Jardin à son interlocuteur. Il revient Hélas il fut rien. Malgré la ami pour lui coups de poing sur son bureau en oriant: poudre, tous bruits encore importuner votre les du dehors pénéCe n'est pas vrai, vous ne travaildemander de l'argent. D'habitude, pourcabinet traient dans le de l'auteur de lez pas Vous n'êtes pas digne de pitiél tant, avant de sonner, il me demande si Je Judith.

Etait-ce faute à la poudre ? la vous ai trouvé une situation chez un Etait-cs M. de Peredes est là. le plan de l'archiparce que le visiteur libraire, mais vous refusez de visiter la tecte Faure-Dujanic M Eguino attendit donc que plus de et son entrepreclientèle Je ne veux plus jamais vous fût sorti. Quelques minutes seuiltard, exécute neur n'avait pas été par eux, du revoir ici » Il le vit, en effet, franchir le l'entrepreneur mais l'architecte et par parti- D'après ce que m'a dit M. de Peredes, du propriétaire de l'immeuble, MM. Orièbureau de M. de Peredes. Mais le personnage, ne il vous a remis, par sommes successi- me et Antony, dont l'intervention s'était cularité troublante de ves, une dizaine de mille francs que imposée voulant sans doute pas être aperçufois, pour ce motif que l'aménagevous vous étiez engagé à lui rendre par ment désiré la loge, sortit à reculons. Et. cettepurent acomptes par M. Bernstein intéressait prélevés sur vos appointements. le ni la'concierge ni le sacristain ne gros œuvre de la maison Cette confrontation terminée, M. Bardistinguer ses traits.

Quoi qu'il en soit, quand la note à à peine de thélemy a gardé Simon à sa disposition, L'individu suspect venait accompagnrf payer, 40.000 francs, fut présentée à M. afin de le confronter ce matin avec un Bernstein 'disparaître que NI. Eguino, qui, déjà en avait avancé de sas deux compatriotes, sonnaitvai-a chauffeur d'automobile qui, en venant 20.000, au lieu de verser les 20.000 resgarer sa voiture samedi après-midi, dans tants, il assigna MM- Orième et Antony la porte du rez-de-chaussée, mais un Il box » du 8 de la. rue de' Varerine, en 108.000 francs de dommages-intérêts de être croisé et vu de face le dernier visiteur et appela devait reEguino M. Comme a en garantie du paiement de l'église, à pour un reçu par le caissier des Missions catho- cette somme tour à 16 heures MM. Faure-Dujanic et Gaofflce, il n'insista pas. Pensant que son liquea étrangères. vreaud 1 à la ami était occupé, il partit, disant tard.

108.000 francs 1 Ce n'était pas pour concierge qu'il reviendrait plus FOYER AU n'avoir DES MISSIONS point procuré le silence espéré 1 Mme Jardin, entendue à nouveau, conn'ayant Mais pu, pour écrire Judith, Pour CATHOLIQUES ÉTRANGÈRES firma ses précédentes déclarations.l'indiutiliser son cabinet resté sonore. M. elle, le doute n'est pas possible Bernstein avait d0 s'installer à l'hôtel vidu qu'elle a vu passer devant sa loge Au foyer des Missions catholiques et y louer cinq chambres pour s'isoler, de est bien le tapeur obstiné que M. étrangères, 42, rue de Grenelle, nous et, même, n'y trouvant toujours pas le suite à la Peredes avait éconduit déjà se réfugier à Arcachon. avons pu joindre le père ministro Nicole silence, d'une discussion.

Tous ces frais devaient-ils être portés connaissait M. de Peredes M Santos, infirmier, demeurant 12, rue depuis do longues à la charge des architectes et des entreaimées.

Franklin, qui le jour du crime, vers M. de Peredes, nous a-t-il déclaré, preneurs 15 h. 15, rendit visite à son ami, M- de La cinquième chambre ne l'a pas qui tenait la comptabilité des Missions pensé.

Peredes, a rapporté ce propos Tout d'abord sur plaidoiries de Comme je pénétrais chez lui, M. de catholiques depuis bientôt vingt ans, M" Paul Guillain et Henry Millié, elle Peredes m'a dériaré « Je viens de voir était un homme travailleur et conscien- mis hors de cause l'architecte Paure-a Nous l'avions souvent à notre Diijanic et l'entrepreneur Gavreaud. passer devant ma fenêtre un homme que cieux. table, recevoir. avec son ami, M. Eguino, qui vient seuls, M. Orième, l'architecte du proje ne veux pas Simon ? prendre régulièrement ses repas avec priétaire, et son entrepreneur, M. Antony, Etait-ce Rabereau, M. témoin, compUn autre nous. ont été, malgré les explications de leurs M. de Peredes avait parfois à sa dis- défenseurs, M" Sbriglia et Asselineau, table, qui habite 8, rue de Varenne, a déposé devant les enquêteurs qu'il avait position des sommes d'argent cons :dé- déclarés responsables 'de la déception assisté à des scènes très violentes entre rables, souvent 200,000 ou 300,000 francs. éprouvée par M. Bernstein pour qui M. de Peredes et Simon, 1e caissier refu- D'autre part, il distribuait des fonds de plaidait M* Pierre Thasse. et condamnés, dernier. Une fois secours que lui envoyaient les pères l'entrepreneur à 21.707 francs, l'archisant tout secours, même M. Rabereau avait dû intervenir. jésuites de Belgique. tecte a 10.000 francs de dommagesLéon-Jules Simon n'est pas inconnu intérêts.

Simon au City-Hôtel Missions catholiques. Je l'ai vu pluL'alibi fourni pour l'après-midi de aux fois ici, et j'ai sieurs qu'il avait em- Les bijoux et la garde-robe samedi par Simon n'a pu être controuvé; prunté de l'argent à M.sude Peredes. C'est Est-il confirmé. n'a pu non plus être un être un peu bizarre dont nous avons de Claude France sorti du City-Hôtel dès qu'il eut retenu pit.ié, car, issu d'une excellente famille, c'est-à-dire vers 15 heu- il a eu une vie malheureuse et ce n'est "dispersés" à l'hôtel des ventes une chambre, heu- plus qu'une épave humaine désemparée. l'hôtel, vers réintégré res ? A-t-il après le mores. c'est-à-dire une heure la Tous ceux qui ont connu la jolie venue du ment où l'enquéte place UN ENERGUMENE EVENTRE SA SOEUR ?.

Peredes de M. • Claude France n'ont pu, sans « starpénétrer, de second visiteur patronne la certaine, et hier après-midi, dans chose doute, Il est ane les ET BLESSE UN DÉBITaNT c'est du City-Hôtel le reconnaît, cette salle de l'hôtel Drouot où, selon que établissement le mot technique et cruel, on « disperallées et venues dans cet rigoucontrôler sait » le décor charmant dans lequel la de permettent pas ne Un homme portant dans bras iocataires. passage des grande artiste avait vécu. ses une reusement le femme a répété blessée qui perdait abondamcette dame Il y avait des meubles délicates la Au- sujet de Simon passait, 2 heures ment du la à coiffeuse layelle elle souriait à déja dit devant son sang vers hier soir ce qu'elle avait matin, prés de de Ménilmontant, la porte bibelots et des manvisage, des son rose police judiciaire:' à Bagnolet, lorsqu'il croisa deux agents la heures, teaux, des manteaux pour toutes les« Il n'était pss tmït du commassariat Lilas. des Un' grand de îmmme et samedi, lorsque « coulcurs du temps.

Interrogé Il répondit Ces manteaux furent disputés âpreque son par eux, avoir paraissait une amie avait été blessée d'un forte corpulence qui de L'un, en sntin noir largement coup ment. autant couvêtu, trentaine d'années et était teau inconnu.

Les l'aidègardiens renard, a fait 5.000 francs; un par ourlé de un parque je puisse me rappeler, d'un la à à transporter malheureuse rent autre, en astrakan et hermine, 6.000. dessus noir et d'un chapeau de même l'hôpital Tenon, où l'on constata la que Parmi les bijoux, un bracelet-montre a couleur est entré dans mon bureau. blessure intéressait le foie. On dut été vendu 4.850; une barrette en brilIl demanda' une chambre pour la nuit. tiquer immédiatement l'opération deprala lnnts, 6.000 un bracelet, brillants et Ce nouveau locataire n'était pas un laparotomie.

27.500 francs. émeraude, logo dnconnu pour moi, car il avait déjà A M. Brunet. de police, commissaire d'hier s'est élevé Le la totaj de vente à plusieurs reprises dans mon hôtel. Il t'homme, un journalier de cinquante ans à 70.000 francs. Aujourd'hui, vendra régla aussitôt le prix de sa chambre et, nommé Valentin Lorient et domicilié 28, le mobilier, les rideaux, les ontapis, la pour parcomme il lui manquait 1 fer. 75simplement Noisy, de Bagnolet, fit récit à le suirue vaisselle, la verrerie et un lrarmonium. faire la somme, il me dit vant remetil que n'ayant pas de monnaie, Mon amie, Victorine Damonet, quaLe ministre de l'Intérieur trait le complément le lendemain matin rante-trois ans, marchande ambulante, à la femme de chambre.

Le client, que j'ai su depuis se nom- reçut hier soir, vers 23 h. 30, la visite entend les doléances des zoniers été con- d'un de ses parents que je ne connais mer Simon, et avec lequel j'ai Le ministre de l'Intérieur a reçu, hier pas, et qu'accompagnaient deux amis. fronté tout à l'heure à la police judi- Elle les reçut sur le seuil de sa maison matin, une délégation composée de ciaire, fut aussitôt conduit à sa chambre. et les reconduisit jusqu'à la porte du MM. Paul Escudier, Evain, Levasseur, diverComme j'avais du travail dans demi-heure, ne la François-Poncet, Robaglia, Soulier, dépujardin. bout d'une Au un ses chambres, je m'absentai pendant je sortis fit la trou- tés de la Seine Chérioux, conseiller voyant revenir, pas bon moment de mon bureau. M. Simon vai étendue, le connaissance, Marsais et Rouquier, Paris municipal de sur sans quitta-t-il sa chambre ? Je ne sais. En sol. conseillers généraux, et Pointier, secréje ne me soutout càs, vers 17 li. 30 blessée, je qu'elle était Voyant me taire général de la Ligue do défense :viens -pas très exactement j'aperçus l'hôtransporter à des zoniers des fortifications de Paris.

M. Simon qui descendait l'escalier. Niai;3 mis en devoir de la je Le magispital. tout C'est sais. que M. Pointier exposa la thèse des zoniers ce jeune cette fois Il n'était pas seul un Dupin, secrétaire, NI. entretrat et et le ministre promit de présenter, d'années, coiffé son homme d'une vingtaine prirent investigations. tout suite des de même, au conseil des aujourd'hui d'une casquette et vêtu d'un trench-coat Bientôt M. Dupin apprenait l'agresque ministres, une étude de la question usagé, l'accompagnait. Connaissant les Damonet Mme s'était, de son coup zonière, afin qu'un texte législatif puisse 'habitudes de ce client, je ne fus pas seur débit fait, rendu dans le que tient être rapidement discuté et voté par le 'autrement surprise. J'en conclus seulela même Parlement.

24 de au numéro ment qu'il était sorti et rentré accompa- M. Monaco, lui ayant reproses compagnons gné de son jeune ami, sans que je l'eusse rue. Là, frappé il entra d'avoir ché parente, sa Pour réduire la criminalité aperçu. colère il violente et, dans comme une Dimanche matin, je lui fis monter un pris de boisson, brisa les journal, avec son petit déjeuner. Cepen- était fortement M. Charles Guilhaumon, député de bouteilles qui se trouvaient l'Hérault, les et dant, après son départ, la femme de verres a demandé à interpeller les sa portée, puis se jeta sur le débitant, ministres de l'Intérieur et de la Justice chambre trouva chez lui toute une collec- àqu'il d'un de couteau à la frappa coup Dimanche matin. du de journaux ils comptent tion sur les mesures auxquelles cuisse. bien qu'il rentrer, criminalité qui soir, je ne l'ai pas vu recourir pour réduire la qui met de blessure, En dépit sorti, sa ne eût couché ici. Et ce matin, il est se manifeste particulièrement dans les pas ses jours en danger, M. Monaco par- départements méridionaux. vers 9 heures, sans rien me dire.

Des témoignages de la patronne du vint à expulser l'énergumène. Ce derCily-Hôtel, il résulte donc que Simon nier disparut alors. Mais. vers midi, les La distribution des cartes électorales venu seul A l'hôtel a dû nécessairement subordonnés de '.NI. Brune! le retrouDans une lettre adressée au préfet de eu sortir pour y revenir en compagnie vaient et l'arrêtaient.

Le meurtrier n'est autre que le frère la Seine, M. Fernand Laurent, conseiller de son ami. de la victime, Henri Damonet, quarante- municipal, signale les inconvénients que Confrontations sept ans, domicilié impasse des Couron- comporte la distribution à domicile des En fin d'après-midi, Simon a été con- nes, à Paris. Il a simplement déclaré cartes électorales. Il demande s'il n'est fronté à la police judiciaire avec Mme qu'étant eu état d'ivresse il avait frappé pas possible de trouver un autre système Jardin, la concierge de la rue de Va- sa soeur au cours d'une discussion qu'il ou de revenir à l'ancienne méthode le avait avec celle-ci. Le magistrat l'a retrait des cartes par les électeurs à la tenne.

J'affirme, a-t-elle dit, que M. Si- envoyé au dépôt. mairie de leur arrondissement.

docteur Paul, et M. BéChuel, inspecteur principal, s'étaient transportés, 8, rue de Varenne.

Dans les tiroirs du bureait de M. de Peredes, on trouva une somm% 'de 25.000 francs en billet de banque, répartis dans des enveloppes adressées à de nombreu, On saisit également des ses missions.

Simon avait enLéon-Jules lettres que voyées au caissier pour le remercier et aussi pour lui faire de nouvelles de-

Kocureur de

la République

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fait

Feuilleton du Petit Parisien, 14-2-2S

Le docteur voyait le petit lit auprès duquel se tenait Anna, auprès duquel, tout à l'heure, lui, l'âme inquiète, il irait s'asseoir et passerait la nuit à guetter la venue de la maladie, dont d4jà sa science n'avait pu cacher le nom redouté à son cœur affolé de père IV

Je regrette de ne pouvoir vous npldaudir, mais je ne dois pas quitter Momo!

Au fond, Mme Bricart ne tenait pas du tout à la présence de son mari.

Si elle l'avait su dans la salle, elle aurait, malgré tout, éprouvé quelque

gêne pendant le fameux duo.

Quand le mari écoute, comment chanLe triomphe ter en toute sincérité au ténor qui Le docteur Uricart passa encore trois vous tient sur son cceur nuits au chevet de son fils.

Oh mon Flamlno, prends ma vie t alarmés voyaient Dans tes bras, mon dme ravie, Maintenant, PREMIÈRE PARTIE ses yeux Que âme vient d'embraaer, ton hélas! ce que ces sans erreur possible, MIRAGE S'en l'extase infinie LE va vers fièvre, A derniers jours de malaise, de Sous baiser ton annonçaient chez son fils.

Il ne pouvait se tromper sur les Quand le mari regarde, comment III (suite) symptômes du mal qui allait accabler recevoir, rendre avec passion ce baiser ?

Le mirage Enfin, quand le mari vous attend, Pendant le dlner elle ne parla que des l'enfant. partir vers l'extase infinie ? comment voulut faire part à perrépétition d'Azuréa. Cela seul au Mais tl n'en Impossible. du docteur, sonne, pas mf-me à la baronne de Itny- c'eût été le La présence monde comptait pour elle. duo du tous les jours demander Vraiment,massacre Mais. naturellement, elle se garda bien mone, qui vint de il valait mieux qu'il ne Momo, pas même à mari les propos du des nouvelles de redire vtnt pas. ténor Larédo.

Alors, henreuse, elle jionta embrasser Et il le cacha absolument il la mère. vivement Azuréa, dit-elle, est maintenant au son fils, sans que ses yeux de Point. Nous pourrons bientôt passer. Vint enfin le soir tant attendu de la mère vissent rien de grave en son état.

La marquise est enchantée. Ce sera nn représentation. que son cœur de maman éprouvât grand événement parisien. Nous aurons Justement, pour ce soir-là, le docteur sans la moindre alarme. certainement un énorme succès. attendait la terrible justification de ses Et, rayonnante, elle courut à son Résigné, navré, le docteur écoutait pronostics. triomphe, Azuréa tout ce vain verbiage.

Et ce solr-là, soir de grande fête pour Il entendait bien sa femme lui parler Mme Bricart, la fièvre typhoïde se Dans la petite chambre blanche, de brillants costumes, de chants, de déclarait chez Maurice! qu'éclairalt doucement une Iampe élecmusique, de triomphe. Mais sa pensée o– tamisée par un manchon de soie se portait 1;1-haut, dans la chambre Le docteur, naturellement, refusa trique bleue, d'un côté du lit de Maurice se Blanche, où reposait son fils. ou un d'aller à la soirée.

Bricart, de l'outre Anna. mal imprécis encore, mais qu'il redou- Par forme, Mme Brlcart eut l'air tenait Le docteur venait de faire à son fils tait terrible, arrivait lentement. qu'il à assistât d'insister pour piqûre Il surveillait son antltyphique. une Mme Bricart, en souriant au mirage. triomphe. lutte dans petit la le corps en que, parlait d'applaudissements,de gloire, de Si vous ne venez pas, mon succès moiteur, le remède livrait au mal. Anna, fleurs, du rayonnement de sa beauté, de ne sera pas complet. Vos applaudisse- tout bas, disait des prières. son charme dans Azuréa. ments me sont les plus chers, ceux auxle mal et Maurice, tourmenté et je tiens le plus. Il me les faut par le remède, ne pouvait par quels Copyrlght by Léon Sazie dormir. AccaTraduclion et reproduction interdites ea tous pays. absolument. Venez. blé, brisé, il gisait dans ses draps que,

1.

son

Le

Propos de bonne humeur

gouverneur général de l'algérie arrivé, hier matin, à Paris a conféré avec M. A. Sarraut

L.»

Bordes, gouverneur général de l'Algérie, arrivé hier matin il Paris, a été reçu dans la soirée par M. Albert Sarraut, il a rendu compte de son premier contact, particulièrement favorable, avec les délégations financières et aussi de 'la situation en Oranie A la suite des sinistres que l'on sait.

Sur ce dernier point, M. Bordes, que nous avons interroge, nous a donné les précisions que voici Les premiers travaux de reconstitution entrepris après l'effroyable catastrophe de novembre ont été détruits par les pluies diluviennes qui se sont abattues à nouveau ces temps derniers sur cette malheureuse région. En sorte que tout es*^jpfairo. Comme il a été dit300le moaiantTjjes dégjlts est évamillions. n regard, le Parlelué à ment, comme l'on sait,laa voté un crédit proposition du de 100 millions sur gouvernement. A quoi viennent s'ajouter 26 millions d'excédent de recettes au budget de l'Algérie sur l'exercice 1927, et 4 millions de souscriptions publiques. Soit, au total, 130 millions, c'està-dire une somme plus que suffisante pour parer aux travaux de reconstitution pour cette année, dont le montant ne saurait guère excéder cinquante millions. « Dans ces conditions, a conclu le gouverneur général, point ne sera besoin, jusqu'à nouvel ordre, de recourir à l'emprunt, ainsi qu'il avait été envisagé au premier abord. o Le séjour à Paris du gouverneur général sera d'une quinzaine de jours.

I

F

N

S,ACRIPANT

O RT U NÉ

M.

qui

Le Président de la République

à l'exposition de la Révolution Président de la République a visité l'exposition de la Révolution française.

Il était accompagné par M. Bouju, préfet de la Seine, et M. Chiappe, préfet de Le

police.

Comme j'émergeais, l'autre soir, du plus infernalement clairvoyant, le plus métro, je me heurtai à un passant de qui impitoyablement méthodique et méticula vue m'arracha une exclamation vite leux qui ait jamais opéré sous le signe réprimée du cabriolet.

Alcide Ibrahim 1 soufflai-je. n Il me décocha un regard soupçonLui-même, acquiesça-t-il avec un neux, choisit un carton dans un fichier et sourire qui s'avéra mélancolique. se prit à le scruter d'un lorgnon attentif, Je l'entraînai vivement loin de la non sans consulter en même temps mon lumière révélatrice des réverbères. visage.

Ah ça 1 dites donc, vous n'avez pa3 Dites donc, s'exclama, après un n pear ? silence, ce parangon des sbires, est-ce que, De quoi? interrogea-t-il, placide. De des fois, vous ne vous payeriez pas ma la police ? Elle est, hélas à personne tète? Je lis ici « Tatouage en étoile

ma

c o m me l'agnelet nouveau-né est au loup féroce, si vous me permettez cette comparaison bucolique. Asseyons-nous à la terrasse de ce

bistrot. Et ne tremblez pas comme ça!

Il n'y a aucun danger, je vous jure.

Vous me connaissez, cher ami.

Vous savez que je suis sans vantardise la plus abominable crapule qui ait jamais existé. C'est moi, en effet, qui trucidai la mendiante millionnaire de Viroflay, moi qui dévalisai l'encaisseur aveugle de la banane Routier, moi encore qui volai pour les le Régent, la remplacer par des ersatz Jôconde et le portail ogival de la cure de Cucufa. C'est moi, enfin, dont les formes moulées d'un maillot noir, furent,

M. Doumergue a été reçu par M. Roet l'attrait land-Marcel, administrateur général de lal'an dernier, la terreur Bibliothèque nationale, entouré de ses de certaine plage mondaine. Quel art collaborateurs.

Quelle fantaisie quand j'y songe! Mais Au moment de son arrivée, des élèves c'est assez parler de mes exploits qui des écoles parcouraient l'exposition, mais vous sont suffisamment connus et dont le chef de l'Etat ne voulut pas que les beaucoup ont recueilli votre approbation de écoliers fussent dérangés dans leur dilettante. Je voulais seulement en venir visite. à ceci tenez-vous bien- c'est que j'ai Après avoir examiné l'exposition dans l'horreur de moi-même, que je porte le tous ses détallsVM; Doumergue se retira dans mon sein ainsi qu'un cancer en adressant ses vives félicitations à remords M. Roland-Marcel et à ses collaborateurs. dévorant, que je brûle d'expier mes forfaits, en bloc ou en détail, comme on voudra. Et tout ça depuis. Mais je vous M. Louis Madelin, académicien, raconterai un autre jour l'histoire de ma

fêté à la Société des gens de lettres

conversion.

Par

exemple,

si

le sentier du crime

était un velours à mes pieds (vous excuse-

rez est

Le comité de la Société des gens de une fois pour toutes l'indigence et la lettres, dont M. Louis Madelin fut l'un platitude de mon discours, ce qui m'arrive des membre, avait organisé, hier aprèstellement démoralisant !) celui du midi, une réception en l'honneur de repentir m'est apparu, dès l'abord, rocaill'élection à l'Académie française de leux et, disons le mot, impraticable. Vous l'éminent historien.

M. Edouard Estaunié, présidait, en- allez voir. Dans mon zèle de néophyte, touré de MM. Claude Farrère, Edrnond que fis-je, en effet? Je me présentai au Haraucourt, Sébastien-Charlés Leconte, commissariat de police le plus proche et Marcel Batiilat, Albéric Cahuct; M.Louis j'énonçai tout d'une traite, en un boniMadelin était assis entre MM. Abel Herment préparé d'avance, mes nom, prémant et Portunat Strowski.

Dans une spirituelle allocution, M. noms, qualités, états de service. Puis, je Edouard Estaunié rappela la phrase croisai les bras, attendant bravement le fameuse qu'eut le maréchal Noah en martyre. lisant Ia Bataille de la Afarne » II y avait là un inspecteur, un appelé 1 s'écria mais grand soldat, Ah le ça n Pouique. Ça ne vous dit rien, ça? A moi Madelin était donc sous la table » disait rien. Mais à Vos pairs de l'Académie, poursuivit non plus, ça ne medonc que ce Pouique le président, vous ont donné une place présent. Apprenez plus connu sous le sobriquet de « A la plus confortable un fauteuil.

Il termina par un chaleureux portrait lettre » est probablement l'agent le du nouvel aoadémicicn écrivain, homme

I

d'action, et au sens du grand siècle honnête homme. !IL Louis Madelin lui répondit en évoquant le temps où. avant d'être élu député, it participait aux travaux du

comité.

Et, sans vouloir faire k la veille des

élections de discours programme, Il assura l'assemblée qu'elle trouverait toujours eu lui, au Parlement, un ardent défenseur des lettres françaises et de ceux qui les écrivent.

Un chèque peut être établi sur papier libre pas nécessairement être établi sur un imprimé provenant d'un chéquier, mais sur n'importe quel papier.

Telle est l'importante décision judiciaire rendue hier et qui va soulever de multiples commentaires dans le monde commercial et financier.

Le procès ayant motivé ce jugement est survenu la suite d'un incident qui se produisit à Nice. Mme Yvonne Nègre, qui se trouvait dans une salle de casino, n'ayant pas sur elle son carnet de chèques, remit à cet établissement un bon de 10.000 francs, tiré sur un formulaire de la maison. La banque où la joueuse avait déposé son argent refusa ce chèque, tout en reconnaissant qu'il était approvisionné, mais prétextant qu'elle aurait dû être avisée de cc tirage irrégulier.

Mme Nègre assigna dono cette banque devant un établissement parisien la première chambre du tribunal civil. Le jugement donne raison Ji la demanderesse et stipule qu'un chèque peut être rédigé sur papier libre et que c'est à tort que la banque a refusé le paiement des 10.000 francs demandés par Mme Nègre.

L'établissement financier a été condamné à 500 francs de dommages-intérêts envers son ancienne cliente.

LE VAGABOND CACHA-T-IL UN ÉVADÉ DU BAGNE ?

Les gendarmes de Nogent-sur-Marne arrêtaient, hier, pour vagabondage, un individu qui déclara se nommer Paul Derollès, trente-huit ans.

Mais d'après .certaines vérifications on croit se trouver en présence d'un nommé Paul Mérillot, évadé du bagne. Aussi l'homme a-t-il été mis à la disposition de la police judiciaire aux fins d'identification.

m

M

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maman

1

Maman

1 -le

veux nia

Où c'est-il qu'il est

s Je me souvins à ce moment qu'au cours d'une petite explication entre amis, j'avais reçu en plein front un grandissime coup -de gourdin, à la suite de quoi la plaie guérie une peau toute neuve s'était formée. Je tentai d'expliquer. »

L'inspecteur Pouique m'interrompit

sèchement

Ne vous donnez pas la peine, mon » C'est midi sonné pour.tricher avec gros.

ces fafiots-là (il montrait le fichier).

Alors, çomme ça,monsieur voulait exploiter une. fessemblance, d'ailleurs vague, avec le célèbre Ibrahim pour se faire mettre à l'ombre en attendant que la crise des logements soit passée? Bien imaginé Mais monsieur avait oublié le

petit détail, le détail ca-rac-té-ris-ti-que qui n'échappe jamais à la police. » Il dit, me saisit par les épaules et me flanqua sans ménagements à la porte.

C'était déjà raide. Il fit mieux. Dès le lendemain, il adressa mon a nouveau » signalement aux divers postes de police, me représentant comme un simulateur, un maniaque, que sais-je ? Tous les ports m'étaient désormais fermés où j'espérais jeter l'ancre, trouver la rédemption 1 » Me voilà condanmé. comme vous pouvez voir, à l'innocence forcée. Le pis est que le remords me ronge de plus belle, me déchire, m'étouffe. Je soupire après la prison. Je souhaiterais presque faire connaissance, un prochain petit matin, avec Deibler. Dire que, sans cet invraiAh C'est dégoûsemblabie Pouique tant, tenez, dégoûtant et immoral. Ma parole, il n'y a plus de justice! » André Castaing.

ÉCHOS

a

Vin.çdlet, architecte, îsurveaue

subit;-

du Souvenir La flamme sera raniméepar 1T.?i..C.il'/Urortvllle.

Cloud, 17, parc de Montretout. Suivant à 9 h. 30,à l'Elysée,la Conseil desministres, volonté expresse du défunt, lès obsèdeM.Doutnergue. laprésidence sous ont été célébrées dans la plus de ques Sénat,séanceà heuresd(organisation stricte intimité, et l'inhumation a ou lieu le temps e guerre). la nationpour séancesà 10heuresà Joinville-le-Pont (Seine), dans la des députés, Chambre despétroles) et heuressépulture de famille. douanier (régime (projetsdivers). nationale des expé- On annonce le décès, survenu en son Confédération Congrès: péris- domicile. denrées do de Villars, de M. diteurset producteurs de Varenne. Pierre Martinavenue sables,9 h. 30,78.rue de Gibergues, âgé de de soixante-treize ans, Anciens Réunion et anciensmilitaires référenet de la Huhr,21h., 100,rue daire honoraire il la conseiller la Rhénanie Cour des comptes. de Richelieu. de 11 était le frère de feu l'évêqiie de secoursmutuels RéunionAssociation cho-Valence. desartistesmusiciens, et deretraite il h.,il, faubourg Le peintre Henri Brispot, est mort, risteset chorégraphes, Saint-Martin. profitdes si- hier, à Paris. Il était Cgé de quatre-haïtienne, Soiréefranco au d'Haïti, h. 30, vingt-un n!strésdes inondations ans.

Rocher. foi,rue du Opéra.

Baldela Couture, Nous apprenons le décès, à l'âge de à 13Il.15. a Vlncrnnes, Courses soixante-cinq ans, de M. Edouard du Nadaud, professeur radio-concerts etprincipales T. S. F. Emissions au Conserstationsvatoire depuis 1900.deII violon t des PetitsParisienede était violon solo l'étranger. de Francset société d'orchestre de la et second chef ?ILPoincaréa reçu hier a.pres-mldi des concerts du Conservatoire, et avait M. Sohumans,ministrede Lettonieà été vice-président de la fondation Taylor.

Paris.

On annonce la mort du docteur SaM.Briand a reçu. hier, M. Lucienmalens, maire d'Auch, ancien député du Saint,résidentgénéralde France en Gers.

Tunisie,et M.Avcnol,secrétairegénéral adjointde la S.D.N. LecomitédelaSociétédespoètesfrançais a offerthier soir,à la Maisondes Un savon pur, tel journalistes,un dîner en l'honneurdo que le Savon Cadum M.LéonRiotor, son présidenthonoraire, estindispensable vice-présidentdu conseil municipal, l'hygiène de la pour de la Légiond'honpromucommandeur I peau.

De plus, il est neur. économique, car il s'use jusqu'à la amicaledes Le comitéde l'Association paroelle. dernière anciennesélèvesdu lycéeVictor-Hugo rappellequele bal organiséau profitde la Caissede secoursaura lieule samedi à 22heures,dansles févrierproohain ministère des Travaux salons du b oulevard S aint-Germain. publics, .246, MARIAGE ÉVITER LA GRIPPE Samedi.18février,aura lieuà Saint- POUR Ferdinanddes Ternes,le mariagede -Mery, fils de notre M. JacquesGaston prenez le matin à jeun municipal de regrettéconfrère,conseiller un verre à bordeaux de Pariset conseillergénéralde la Seine, RUBINAT LLORACH avecbilleLuceSlathon.

NECROLOGIE Onnousannoncela mortde M.Jules La meillean eau purgative naturelle

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Savon Cadum

par moments, 11 rejetait brusquement en brltés des lettres, des arts, de la policriant, en pleurant.

Doucement, le docteur le maintenait, le caressait, le recouchait.

L'enfant, haletant, le regardait avec des yeux agrandis, un peu affolés, brillant étrangement, et répétait Mon papa, mon cher papa, tu ne t'en vas pas, toi Tu ne me laisses pas, mon papa.

Non, mon chéri. Je suis la. Tiens, prends ma main. Serre-l'a fort pour bien dormir.

Ou!, mon papa. Je serre tes doigts de toutes mes .forces. mais je ne peux pas dormir.

Cependant, sous l'effet de la potion qu'on lui faisait prendre, Maurice s'assoupit et parut devoir enfin succomber au sommeil.

Mais, an milieu de la nuit, Il se réveilla en sursaut. Peut2tre avait-il fait un mauvais rêve, ou bien, eu un de ces cauchemars d'enfants qui leur causent si grand effroi.

Il se mit il pleurer, h sangloter. Son père, ni Anna ne trouvaient pas le moyen de l'apaiser.

Et il appela désespérément

entre les sourcils. le tatouage ?

tique. Cette brillante assemblée acclamait, dans un enthousiasme unanime, Azuréa, l'œuvre, les Interprètes, l'héroïne.

L'Immense salon se trouvait entre deux salons très vastes également l'un faisait suite il la salle de spectacle, dans l'autre avait été dressée la scène, c'était le théâtre, avec les dégagements faciles dans l'intérieur de la maison.

La marquise avait attribué il Lift, comme loge, une chambre au premier étage. Cette loge était vraiment pleine de corbeilles, de gerbes de fleurs rares, magnifiques. Il y en avait partout, et tellement, que le sol disparaissait sous les pétales tombées.

Lia marchait sur un tapis de fleurs 1 Dans cette loge, maintenant trop étroite, s'empressaient, se bousculaient les amis, les admirateurs, les flatteurs.

Des journalistes, des reporters se frayaient, non sans peine, un chemin et demandaient à l'étoile quelques renseignements et prenaient des notes pour leur article. Parfois éclatait la lueur du magnésium. On photographiait Lia dans sa loge, dans ses costumes d'Azurés., ou C'était la noyée dans les fleurs gloire. La gloire Ce serait comme ça tous les soirs 1 lui dit Larédo, pendant un entr'acte.

Voila. la vie d'une étoile Lia, ravie, enchantée, vivant un rêverêve étoile, on peut le dire. souun riait, remerciait, aspirait à plein cour cet encens, ces louanges, ces flatteries.

Elle s'en grisait délicieusement.

Eh bien Qu'est-ce que tu dis de cela. toi, Dortal, le jamais content ? demanda Larédo à son camarade, le baryton, devant Mme Bricart. Qu'estce que tu dis d'Azuréa ?

Oui 1 oui répondit Dortal. C'est

Chez la marquise de la Crosnière, la soirée était triomphale, comme le disait Larédo.

Les enthousiastes prévisions du ténor se réalisaient absolument. Lia obtenait un succès qui dépassait tout ce qu'elle avait pu imaginer dans ses plus beaux rêves.

Le grand salon de l'hôtel de la marquise voyait, ce soir, se presser le Tout-Paris mondain, les plus grands noms de l'armoriai, les plus fortes signatures de la finance, les plus hautes célé- mieux que

je

ne le

pensais.

DIRECTION ET ADMINISTRATION Mmses

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La baronne de Raymone vint joindre Et Larédo se garda bien de souffler ses félicitations à celles de tout le mot de cela à Azuréa. monde.

Vous êtes vraiment charmante, Le docteur, peu après, recevant .la dit-elle il sa cousine. Vous êtes réelle- réponse du valet de pied, raccrocha l'apment bien avec tristesse, avec colère anssi Le deuxième acte obtint un succès pareil douloureusement, il revint dans la et, plus grand encore que le premier. La chambre du petit malade. salle ne parut pas devoir, comme on dit soirée n'est pas finie, dit-il à au théâtre, se rafraîchir après son pre- Anna,Laqui, anxieuse, l'interrogeait des mier enthousiasme. Au contraire. LaMadame Yeux. ne peut venir. rédo put dire Et il reprit sa au chevet de son Le triomphe va en grandissant. fis qui, pleurant,place appelait sans cesse sa Vous verrez, ce sera du délire au troimaman. sième Alors, la bonne nourrice, an bout d'un long moment, voyant que rien ne Comme Maurice réclamait plus for- assez calmerait petit, prit une énergique tement sa maman. le docteur regarda décision le sa montre. Tout bas. il dit à Anna Gariez-le, monsieur, dit-elle. Je Il va être onze heures. La soirée rais aller la chercher,, moi, sa maman. doit toucher à sa fin. Je vais préveEt vivement elle sortit. nir Madame, la prier de rentrer le plus tôt possible.

Anna arrive chez la marquise comme Il descendit dans son cabinet de tra- Lia, descendue de sa loge, se tronv dans vail il téléphona chez la marquise. couloir le au théâtre et sert de Un valet de pied reçut la communi- coulisses aquilamène scène. cation et courut prévenir Mme Bricart.

A un valet de pied, Anna dit qui elle est, et demande il parler, tout de suite, Il eut bien du mal A se frayer un Mme Bricart, de la part du docteur.

Elle suit le valet de pied jusqu'à ce passage jusqu'à la loge de l'étoile.

Dans 1e couloir qui y conduisait, il couloir encombré, où se pressent les quelques pas de la porte, Il fut arrêté artistes et les intimes, les admirateurs par Larédo, qui, à voir son empresse- enthousiastes. ment, redouta quelque chose pouvant Anna put apercevoir Mme Briçarl troubler l'étoile et nuire fi la représen- dans son splendide costume du troisièia* tation, lui demanda ce dont Il s'agis- acte d'dxuréa, les bras chargés de fleurs, sait, se chargeant de le transmettre à entourée, rayonnante. toute à son bonheur.

Mme Bricart.

Larédo, plus empressé que jamais, se demande Mme Brtcart Le docteur tient auprès d'elle. au téléphone.

Ils attendent l'ouverture de l'orchesBon! bon !Répondez au docteur les premiers chants des chœurs que Mme Bricart ne peut venir en ce tre. entrer en scène. moment, qu'elle va entrer en scène pour pour le trois.

Mon Sazxb, (A suivre,).

LE CRIME DE NEUILLY

AVIS IMPORTANT

L'ASSASSIN DE LA COUTURIERE

AUX PORTEURS DE VALEURS A LOTS

AURAIT LAISSÉ SON EMPREINTE

II est urgent de faire connaître aux por-

teurs d' obligations a lots de la Villa de Paris, du Crédit Foncier de France, du

LA CANDIDATURE LA PRESSE ALLEMANDE LES GRANDS RAIDS DONNE COMME ASSURÉE DE M. HOOVER AÉRIENS LA DISSOLUTION DU REICHSTAG PRÉSIDENCE A LA POUR LE PRINTEMPS PROCHAIN' TERMINÉ SA RANDONNÉE AMÉRIQUE CENTRALE DES ÉTATS-UNIS Berlin, 13 février (dép. Havas.)

L1NDBERGH A EN

JLe

secrétaire d'Etat du Commerce se présentera d'abord, le 24 avrit

prochain, aux suffrages des électeurs républicains de l'Ohio

New-York, i3 fév. {dfp. Petit Part*.)

Depuis queJlquc temps déjà, il état question du secrétaire du Commerce, M. Herbert Hoover. comme candidat à la présidence des Etats-Unis. La nouvelle est maintenant officielle. Dans une lettre adressée à ses amis et partisans de l'Etat de l'Ohio, M. Hoovpr les autorise formellement à ouvrir une campagne électorale sur son nom. C'est le 24 avril prochain que les électeurs républicains de l'OJiio choisiront leurs délépués à la Convention nationale républicaine de Knnsas City.

La déclaration de candidature faite conpar M. Hoover est universellement sidérée aujourd'hui comme l'événement politique le plus important qui se soit produit aux Etats-Unis depuis le communiqué publié en août dernier par MCoolidge. Le choix de l'Ohio comme base de départ pour les troupes hooveristes, ainsi que les indications politiques contenues dans la lettre de M. Hoover attirent particulièrement l'attention des

chroniqueurs.

Le principal ohstacle que rencontrera sur le chemin de la Maison

M, Hoover

Blanche, c'est, de l'avis général, la date récente de son entrée sur la scène politique. Son adhésion formelle au parti républicain est même postérieure à l'armistice. La notoriété lui est venue grâce à l'œuvre qu'il accomplit en Europe pendant et après la guerre et non point par travail de propagande un lent et patient sur au sein des organisations politiques le. sol même des Etats-Unis. Aussi les organisations politiques se défient-elles de lui. Les" « boss » qui, dans les circonscriptions électorales, actionnent la « machine » républicaine mettent en cause à la. fois son américanisme et son républicanisme.

La machine républicaine est particulièrement puissante dans l'Etat do l'Ohio.

Un sénateur de cet Etat, M. Frank Willis, de candidature et il posa delà fait acte Ni. Hoover, sède' t'appui des u boss l'Ohio, il. ouvre en s'attaquant d'abord donc le feu sur la citadelle la plus mcou so:\ naçante pour lui. Son succès républicains électeurs auprès des échec de cet Etat exercera une influence peutêtre décisive sur lu sort de sa campa-

La réunion de la commission interfractionnelle des partis gouvernementaux a duré, cet après-midi, de 16 à 18 heures.

Suivant le communiqué publié il. l'issue de la réunion, toutes les questions litigieuses ont fait l'objet des délibérations et seront poursuivies demain ma: tln.

Les partis gouvernementaux auraient décidé, dit-on, dans les milieux parlementaires, d'échanger demain la liste de leurs revendications n'ayant pas ét6 satisfaites, mais on ne croit pas que cet échange de documents module en quoi que ce soit la situation.

L'échec de la loi scolaire, dit la Gazette de l'oss, est aussi certain que la dissolution au Reichstag au printemps prochain. Le seul but des discussions actuelles entre les partis gouvernementaux est d'imputer à la contre-partie la responsabilité de l'effondrement de la coalition on ne discute que sur la date de la dissolution. Le centre parait renoncer à la dissolution immédiate du Rcichetag, si l'on se met d'accord sur une date fixe pour les prochaines élections. Le centre veut éviter que la discussion du budget au Reichstag scrve de prétexte aux nationalistes pour prolonger indéfiniment les débats au ReichBtag. » « Il est à remarquer, ajoute la Gaaette de t'oss, que les chefs du centre ont pris contact avec les personnalités dirigeantes des partis de l'opposition. » Le Berliner Tagcblatt déclare qu'on admet au Reichstag que la dissolution aura lieu au plus tard fin mars, et que les nouvelles élections seront fixées k la première où à la deuxième semaine du mois do mai.

Il est allé hier sans escale de la Hanae à Saint-Louis, malgré des conditions atmosphériques très défaToraMet

New-York, 13 fév. [de noire corr. partie.)

Lindbergh, qui s'est envolé ce matin k 2 li. 2t> de la Havane pour Saint-Louis,

était attendu dans cette ville vers 14 h. 30.

La ponctualité qui a marque juaqu'ici tous les vols du célébre aviateur, a, cette fois, été mit-e- ea défaut. Ce n'est, en effet, qu'à i8 heures 1 minute que le Spirit of Saint-Louis est arrivé a desti-

nation, avec, par conséquent, trois heures et demie de retard. chargé de nuaC'est sous un ciel bas, loneffectua cette Lindbergh ges, que randonnée termine qui en sa gue étape Amérique centrale, étape qui mesure 1.200 milles et occupe en importance le quatrième rang parmi les raids de Lindhergh. Seuls le dépassèrent DiegoSaint-Louis (1.550 milles); New-YorkParis (3.600 milles) et WashingtonMexico (2.200 milles).

Au cours de ce vol qui a duré 15 heures 3a minutes, Lindbergh n'a été signale qu'une seule fois, à Sarostasa, où il fut entendu à 6 h. i0. volant très haut.

COSTES ET LE BRIX A NEW-YORK New-York; 13 févr. (de notre corr. part.)

LA PIRATERIE EN CHINE Londres, 1P, février (dép. Raoas.)

Tandis que Lindbergh luttait contre pluies et brouillards, Coslcs et Le Brix, après avoir goûté un dimanche paisible, jouissaient d'un lundi tout aussi calme.

C'est aujourd'hui l'anniversaire de la naissance de Lincoln. New-York est aussi vide d'habitants qu'il l'était hier.

Aussi les deux aviateurs français auronf-ils eu, hier et aujourd'hui, les deux journées sans doute les moins mouvementées depuis leur départ de Paris. lis déjeunèrent ce matin à Sleepy-Hollow, près de Tarrytown, où ils furent les hôtes de Pierre Cartier. Ce soir, ils assistent à un banquet qu'offre en leur honneur une société secrète d'aviateurs, les « Quiet-Birdmen ».

Si les deux aviateurs échappèrent durant ces deux jours fériés à la curiosité publiquo, leur appareil reçut du moins la visite de nombreux New-Yorkais, qui profilèrent de leurs vacances pour se rendre à Michell-Field. Dix mille visiteurs défilèrent hier devant le NungesserColi et admirèrent la longue suite des inscriptions qui rappellent les différentes étapes accomplies par le vaillant biplan.

L'aftluence ne fut pas moins grande aujourd'hui. Demain, enfin, la population de la métropole pourra rendr«^aux deux héros, lors de leur réception à l'hôtel de ville par te maire NI. Walker, un hommage proportionné à leurs exploits.

Bourdin.

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Inondations dans la Manche

Dans la Manche, la Vire et ses affluents subissent une forte crue qui fait craindre le retour des inondations de Ce matin, une hausse de centimètres 15 a été enregistré à Tessy et à Saint-Lô.

Les régions basses sont sous les eaux ainsi que les marais- de Saint-Fromond il la mer.

La tréfilerie de Condé-sur-Viro et une fromagerie de Pont-Hébert sont inondées.

1 MARIE DESTERBECQ ÉTAIT BIEN CONNUE A LILLE Lille, 13 février (dép. Petit Parisien.)

La maJheureuse couturière, Marie Dcsterbeca, assassinée à Neuilly, avait demeuré pendant de nombreuses années Lille, où elle fut d'abord femme de chambre, notamment chez Mme Bernard, rue Négrier.

Elle devint ensuite lingère la journée elle excellait dans les travaux délicats de lingerie fine. Elle demeurait alors, 81, rue de Ratisibonne, dans une pension de famille, qu'elle quitta pour accepter l'hospitalité d'une amie, lime Lejeune, qui demeurait 86. même rue.

Marie Desterbecq séjourna longtemps dans cette famille, notamment pendant toute la guerre. Un peu après l'armistice, elle était allée chercher du travail à Paris.

M. et Mme Lejeune se demandent maintenant si la lingère, qui avait pu faire connaissance d'un des ouvriers que M. Lejeune, plombier-zingueur, employait alors qu'elle habitait Lille, n'a pas étri la victime d'une vengeance dont il est difficile de préciser les mobiles, mais dont il convient pourtant, semble-t-il, de retenir l'hypothèse.

L'agence Reuter apprend que sept jonques qui se trouvaient sur le fleuve La bourrasque sur les côtes Yang-Tsé-Kiang, à 25 kilomètres en aval Le bateau de pêche havrais Saéréde Chenglin, ont demandé l'aide de la lutter Coeur canonnière britannique Bee pour a été retrouvé coulé au sud du banc du Grand-Placard. Seul le grand contre les pirates. Ces derniers, qui navimât émergeait. On est sans nouvelles de guent sur le fleuve, ont emmené en capl'équipage. tivité deux jeunes ülies et emporté l'arDe Cherbourg, on signale que la temgent qui se trouvait à bord des jonques. pête a continué de souffler hier, accomLa canonnière s'est rendue sur les pagnée de « grains » très violents et lieux et a réussi à atteindre les pirates de pluies abondantes. Le vapeur Cherqui ont consenti à libérer les deux fournit Hoovpr fin bourp, venant du Havre, a été en diffijeunes filles. ainsi qu'un riche négociant leltre de M. poli- qui était également prisonnier. culté au cours de la traversée; le reoutre deux importantes indications tiques 11 restera à la tête du département morqueur Pingouin, envoyé par le port la toute campade guerre à la recherche d'une bouée en pendant BELGES Commerce du DEUX MISSIONNAIRES la de conséquent dérive, a dO s'abriter à Saint-Vaast. s'abstiendra par ARRÊTÉS, PUIS RELACHES «ne et à soin laissera lui-m6me.

Il Dans la rade de Morlaix, la gabarre, ce diriger DE LONDRES EN AUSTRALIE DES' CHINOIS BANDITS PAR enfin procomme chargée de sable, Laisse-Les-Dire. de ses amie- Il annonce stricte adltésion PAR HYDRAVIONS l'île do Batz, a fait naufrage. Le patron gramme politique une Bruxelles, 13 février (dép. Radio.) parti républicain et Suivant des renseignements parvenus Me.rgui (Birmanie), 13 février Ul. Havas.) Bohic a pu se sauver, mais ses deux fils Après avoir blessé sa femme aux. principes dugénéraux l'adminisde objectifs Les quatre e hydravions britanniques ont été noyés. aux le P. Albin Jamart, de Russon (près qui ont ici, d'une balle de revolver lration du président Coolidge, degré A Lorient, la rafle a pris l'allure d'un de Tongres), missionnaire de Scheut, en qui effectuent une randonnée Londresde haut si notre à arrêté valu pays un Australie sont arrivés à Mergui à cyclone et la mer est intenable. Seuls les Chine depuis deux ans, avait été bonheur, do progrès et de sécurité mais brigands, il h.

La pro- grands steamers peuvent naviguer au un garde-vigie tente de se tuer janvier des de Rangoon.

15 venant le par vers Ces mots, qui terminent la lettre de M. on vient d'apprendre qu'il a été relâché chaine étape prévue est Singapour. large sur rade du Palais.

Hoover, sont intorprétés comme mar- après trois ou quatre jours.

Dix-huit gros cargos et chalutiers ont Le ménage Vass, place de l'Eglise, à a lui les nomLONDRES-SINGAPOUR AVIONNETTE EN quant son désir d'attirer Courtrai, qui dû dans relâcher l'abri de Taillefer.

Esquenct, de Le Villennes-sur-Seine, Quant P. ne vivait pas dans breux citoyens qui préfèrent encore une avait étéauarrête en novembre, il a été postal Quiberon-le Palais n'a Le mari, René, février Havas-) harmonie parfaite.

Malte, 13 (dép. vapeur pu une point délivré après vingt-cinq jours, sans au- Les aviateurs anglais Newall et Vin- effectuer candidature Coolidge c! ne se sont réiléet s'est réfugie garde-vigie du réla quarante-neuf à ans, son voyage laissé rebuter par les déclarations nombre brigands, les randonnée Trinité-sur-Mer. Un le l'Etat, reprochait à femme, cant, poursuivant leur au rançon; vers gros cargo, Saint- seau de sa rées de non candidature émanées rlu cune trois cents, effrayés par les troupes Singapour, ont pris leur vol aujourd'hui André, qui avait appareillé de la rade du Marie, quarante-huit ans, de n'être pas de président actuel. destination de Tripoli. envoyées contre eux, grlee à l'intervenPalais, a dû revenir à son abri. assez économe. La femme reprochait au Il est probable que, d'ici quelques tion dcs ministres de Belgique et de de Gironde, t'entrée la le franchissemari de fréquenter trop assidûment le A jours,- le -«secrétaire du Commerce fera France, ont prétéré relâcher leur vic- LONDRES-AUSTRALIE EN AVIONtETTE ment des passes est rendu très difficile cabaret. également acte de candidature dans plu- time. Le P. Esqucnet, qui est en Chine nouvelle et violente Londres, 13 février (dép. Radio.) par la violence de la bourrasque. La A la suite d'une sieurs autre Etats ou, comme dans depuis vingt-quatre ans, a déjà repris dimanche soir produisit scène, qui L'aviateur anglais Bert Hinckler est situation est la même dans le golfe du se Convention rél'Ohiô, Jas délégués occupations.

René Vass, s'armant d'un arrivé, la nuit dernière, Bassora, après Lion, 'en Méditerranée et dans la région à 19 h. JO, publicaine sont élus au moyen de con- ses une étape de 1.600 kilomètres, accomplie de Toulon, où l'on signale de nombreux revolver, fit feu à trois reprises sur sa ventions locales. notamment au Massafemme. de dix heures. dégâts, du au mistral. chusetts, en Californie, en Oregon, au LA MORT DE M. DOULCET Ilmoins Bien qu'un projectile lui eût traversé aujourd'hui Djask, est reparti pour Maryland, en Pensylvanie. an 1éw-JerCoups de inondations vent et le qu'il compte quitter demain matin, à cou, Mme Vass eut la force de s'enMichigan. et le New-HampCentre dans le fuir et de se réfugier chez un voisin, destination de Karachi.

•h'ire. Après de longs retards, la compétiHavas.) févriet (dép.

Lamiraux, 13 M. maire de la commune.

Rome, tempête, accompagnée de pluies Pendant La tion a maintenant commencé sérieuse- Les visites condoléances sont CONSEIL LE de MUNICIPAL D'HAZEBROUCK diluviennes, sévit aussi avec intensité se que les premiers soins étaient ment dans le camp républicain. La force succédé aujourd'hui, très nombreuses, donnés à la victime, la gendarmerie de dans la Vienne, la Corrèze et en Saône- Poissy réelle' de la candidature Hoover ne lar- au palais Primoli.

FÉLICITE M, P01NCARÉ était alertée, et le chef de briBourdin. et-Loire. dera pas à se manifester.

M. gade, arriva bientôt. Le Le corps de M. Doulcet repose dans le La Vienne Inonde les jardins dans la meurtrier, Angiboust, la avait ensanglansalon de l'ambassade, transformé qui grand Hazehrouck, 13 février (d. P. Parisien.) traversée de Limoges la Corrèze déborde tée. tenta d'abord de luitête Le Sénat américain va examiner en chapelle ardente, où veillent, tour à résister, mais Réuni soir h l'hôtel de ville pour sa en amont de Brive et au confluent de la il fut rapidement maîtrisé. Croyant ce tour, les religieuses sans discontinuer, de février" le conseil municipal Vézère. La Saône et ses affluents sont en avoir mortellement blssé sa femme, il le traité d'arbitrage conclu avec la France ddes différentes communautés françaises. session d'Hazebrouck, sous la présidence de crue en Saône-et-Loire. avait voulu se faire justice et s'était Dans le salon' même a été dressé un l'abbé Lemire, député-maire, a adopté à messes ont été tiré deux balles. L'une seulement, l'avait matin, des autel où, Haras,) (df.p. février et» a Washington. 13 l'unanimité la motion suivante qui sera LES ACCIDENTS DELA ROUTE atteint d'Herbigriy, Bonnard, NN. S5. dites d étrangeau côté droit de la tfto, le hlespar La commission des affaires adressée président Conseil du au les abhés 1, l-'ontenelle père sant le Frey; peu dangereusement d'ailleuts: res du tiénat commencera mercredi proConsidérant qu'Hazebrouck est le Mme Vass a été transportée, à l'hôpiWptlerlé Glieramy..

Villejuif, A deux autos se rencontrent et ehain l'examen du traité d'arbitrage A chef-lieu où l'usage d'un arrondissement VariutelH, tal de Saint-Germain, où son état n'a Oasparri, Ra- du flamand s'est maintenu conjointefranco-américain en vue de sa ratifica- Les cardinaux trois bleiitj heureusement étr! jugé grave, Lépicier les Laurent tons gimfsi, et tion par le Sénatf Avenue de Paris, à Villejuif, une auto- pas avec la prédominance du français, Le meurtrier a été déféré au parquet membres du corps diplomatique près le ment le conseil municipal se fait l'interprète mobile pilotée par M. Lanlevéc, graine- de Versailles. personnalités ^yiril-Siégp, nombreuses de ACCUEIL BON ^'ALLEMAGNE FERAIT ? de toute la population pour exprimer lier, 35, rue du Tage. à Paris, a heurts. de la cour pontificale et de la colonie M. Poincaré A LA PROPOSITION QUI LA CONCERNE j vive émotion l'alludoublant sous la pluie, une autre pour sa française sont venus présenter leurs sion faite aux sentiments patriotiques des en Iluvos.) auto [dép. février Berlin, que conduisait M. Bonvalet, cin- LE DRAME D'HÉNOUVILLE à Mme Douleet, il qui par- habitants d'Hazebrouck et des environs, condoléances quante-huit ans, cultivateur, voie Mozart, Selon le Vonrsrrts et la Gazelle de viennent, d'innombrables lettres et téléil !n qu'il pronunaé discours dans priîte a à Vitry.

In Croix, l'Allemagne scrait grammes do sympathie.

Strasbourg 12 février, sii rlimanclie le Grièvement blessé, M. Lanlevée a dû C'est dans une crise de folie que M' Pigache donner suite à l'initiative américaine céfunèbre solennel Un service sera 560 Bas-Rhin, banqnel, du maires des ftro dirigé sur l'hôpital de Bicêtre. Son tvait noyé dans un fossé son mari impotent lativement il la. conclusion d'un traitélébré ,jeudi en l'église. Saint-Louis-des- remercie le président d'avoir affirmé avec les et l'Allemagne état n'a pas permis de l'entendre. entre d'arbitrage où sera donnée- l'absoute.

13 février Parisien.) largeur de d'énergie tant et de vues que Quant à M. Bonvalet et sa femme, Rourn, Etats-Unfs. La Gazette de la Croix pré- Français, partira l'ambassadeur de Le encorps L'autopsie, Mme dq M. Pigache, et dont les dialectes locaux ne menacent en rien qui se tiraient de l'aventure sans autre cise même que des conversations dans suite pour la' France. cadavres les avaient été trouvés près de cltez nous l'unité nationale, bien au con- chose que d'assez fortes contusions, ils ce but ont déjà commence Washingleur maison à Hénouville. dans la Seine traire, qu'ils y contribuent par l'attache- ont pu rejoindre leur domicile. ton.

L' « OSSERVATORE ROMANO et dans un ruisseau, a établi que le mari ment à la mère-patrie qu'ils provoquent, Quatre blessés dans aa «potage L'ÉLOGE DU DÉFUNT l'Alsace, fidélité avait été versé dans lo fossé, où les l'indéfectible de FAIT témoin jMgr SEIPEL A PRAGUE Radio.)

Vichy, 13 février (dëp. l'assurance l'avaient trouvé. il recevoir gendarmes et le prise de que, Rome, 13 février (dép. Haras.)

Lucien Couconduite M. marches Nord, Une auto Mme Pigache, du dans un acres de déles comme sur par En annonçant la mort de M. Doulcet, sur hôlelior ta à Vichy, dans drt-l, trente l'Est, particulier et de et en un ans, mence, ses meubles à coups Prague, i\\ février (<lfp lit/vos.)

YÛsservatore Jtomano fait le plus grand celles l'amour laquelle avaient pris place de la, et dans Flandre, se maintient sa de hache, frappé son mari, inlirme et Mgr Seipel, chancelier d'Autriche, est élogfl de l'ambassadeur et dit notam- France, depuis Marie Diot invariablement perpétuel, mère, Mlle et autre une perpuis l'avait puussé l'invitapresque aveugle arrivé à Pracue, où il vient sur ment régimes, Vichy, capoté route .le Hum. travers tous les de XIV, où Louis dans le fossé, succomba et tlle il scrne a chrétion de la Société des étudiants fin k uns « Cette mort, en mettant été grièvejamais dans vibrant que Les quatre ont plus qu'i! est voyageurs était allée jeter et dans la Srinc toutn se tiens allemands. Il fera ce soir une con- noble existence, couronne en même tous les déle blessée. depuis ment proche. qui;, par férence publique sur le thème « Philo- temps une vie féconde et un intelligent vouementcœurs de tous durant la guerre, l'inMgr Seipel a été labeur, entièrement consacres la gloire sophie et Populisme tégrité de nos frontières est rétablie et L'AFFAIRE DES DÉTOURNEMENTS Econduite salué il son arrivée par te personnel de de Dieu. de-sa patrie, et dans ses derpar son fiancé, une jeune fille pour le redressement. financier eau la- légation d'Autriche, par des membres nières années, au développement des que.

DE LA BANQUE BARCLAY le blesse de quatre balles de revolver de paix, est exigée de tous du corps diplomatique, les fonctionnai- relations renouées entre la France et le temps Y « union nationale res du ministère des Affaires étran- Saint-Siège.

Le conseil municipal a chargé l'aM* Une nouvelle inculpation Strasbourg. 13 février (dcp. P. Parisien.) gères. h'Osscrvatore. Jtomano rappelle que Lemire délibération cette transmettre de 13 fév. (dép.

P. Paris:) Ni. René Vogel. vingt-cinq ans, ni'' Durant son séjour à Prague, Mgr Sei- M. Doulcet vint d'abord à Rome en 1920 Boulognc-sur-iMer, Conseil. président du au Ma'saryk. la président de rapprochement le détournement de d'un restaurateur de Strasbourg, s'était, 'pet sera reçu par le L'enquête sur préparer le pour questions Benés Il traitera aveu M. des francs commiê au préjudice de pendant un 'stage professionnel à BouFrance et du Saint-sifrge et dit Le conseil municipal de Sedan démissionne 3.500.000 la banque Barclav par le chef du portede politique économique, entre autres M. Dnulcet s'acquitta de cette tâche fa suppression des visas entre les deux délicate avec un jugement éclairé et un feuille. Louis Rlvaud, s'est poursuivie TÎirémot, originaire d« Blatloville (SeineParisien.) (dép.

Petit février la Sedan, activement. A la suite d'une confronta- Inférieure). Il y a six mois, M. Vogel pays. Son retour à_ Vienne est prévu tact Chambre des refus la du de la suite A M. Jonà succéder mercredi.

1923 à tion entre NI, Maupin, l'hôtelier calaisien revenait il. StMsbourcr et y emmenait sa « Appelé en pour circonscriptions modifier les tléputés de près Saintle déjà inculpé, et. M. Tùirion, mareyeur, future, mais ses pareils refusèrent d'acnurt comme ambassadeur congrès été tenu électorales, aua un il exerça. au jourd!hui il l'hôtel de ville APRES LE DISCOURS DU TRONE la manière dont au sujet des 4.').000 francs confiés à ce cueillir celle-ci et s'opposèrent au masigne de en des 4.000 francs riage. La fiancée atla loger chez les ses hautes protestation. Le sénateur-maire, M. dernier par cours de ses dernières années, juge d'instruc- grands-parents de Ni. Vogol. même confirmer, fit dépôt, le à fonctions manquant que ce ne Au Connu», ruKnd«m«i*t travailliste «t conseillers présidait.

Les Charpentier, dans les moments critiques, son intelli- généraux, conseillers d'arrondissement tion a inculpé M. Thirion de complicité Ces jours derniers, Hené Vogel se rejeté par 293 Toix contre 137 décida il renvoyer Léontine Thrérnot, et sa droiture. » la presque totalité des maires de par recel.

Londres, J3 févr. (dép. Petit Parisien.) gence hOsservatore Romano tient aussi à et qui parut consentir. Mais elle acheta y assistaient. Après La mort de M" de Malherbe un revolvery et, quand son ami vint la La Chambre des communes a termine rendre un profond hommage au chrétien l'arrondissement orateurs eurent protesté Aujourd'hui la discussion de t'amende- pieux et dévoué au Saint-Siège et au que divers pour la conduire à la gare, elle l'injustice commise à l'égard La Rorhplle, 13 février (dép. P. Paris.) chercher lui six coups de revolver. ment travailliste en réponse nu discours père de famille exemplaire que fut «de contre tira sur Sedan, circonscription qui compte du trône. Le déhat a surtout porto sur M. Doulcet.

NI. Vogel fait appel du NI. et Mme Espagne ont a reçu quatre blessures d'ail -habitants », il fut décidé par un juRement la question du chômage et if. Baldwin tribunal leurs qui avait déclaré peu graves. Léontine Thrémot a du jour adressé au préfet des simulée laduvente de deux ordre pris le dernier la parole pour dcfenarrêtée. maisons qtte été Un pèlerinage de la British Légion Ardennes que tous les élus donnaient leur avait consentie Mme de tire la politique gouvernementale- La Malherbe. clôture de la discussion a été prononcée dans le nord de la France et en Belgique teur démission.

Ce matin, le juge d'instruction, M. SerOn arrête près'de Chinon ls» et l'amendement. docteur Condamy, entendu par 3Q8 voix contre 120 rus, a Le voyage d'une collection de timbres médecin de Mme de Malherbe, et la un employé parisien, qui cambriolait travailliste rejeté par 293 voix contre 137. visiteurs anglais Quatre 'délégations ds fille de celui-ci. Aussitôt après l'attaque minions vahnt plusieurs A la conférence panaméricaine flanau d'apoplexie de sa maîtresse, Hélène Tiendront à Paris ranimer la Tours, 13 février (dép. Petit Parisien ) Boutaric, l'ahbé prière de la il Chalmin, inconnu tombe Poilu A la Chapelle-sur-Loire, M. Landry fils da sur la février [dép. P. P.) s'était rendue chez le docteur, qui surprenait un malfaiteur venu à bioyBoulogne-sur-Mcr, la La Havane, 13 février (dép. Radio.)

Parisien.) .La commission de l'Union pnnaméri- Lille, 13 février (dép. Petit Par le paquebot Maid of Orléans est demeurait il quelques p.is (IL, la maison clette et qui cambriolait la maison de British Lela. soldats de mille Quinze d'objections, arrivé M. Frank Godder, président d'une de Mme Marehesseau de Malherbe. Le Mme Landry mère. Poursuivi, le voleur t'aine a adopté, sans y faire pèleprochain août viendront en en le préambule du projet de traité ou !l'ion association philatélique de Grande-Breta- médecin 'était absent, mais Mlle Con- fut arrêté à Kestigné, dans une cave convention pour l'Union panaméricaine. rinago dans le nord de la France et en gne, accompagné de plusieurs philaté- damy, qui était liée d'amitié avec la abandonnée. Il déclara se nommer EuBelgique. Les visiteurs divl;és en quatre listes notoires. M. Godder amenait avec vieille rentière, accourut aussitôt auprès gène Chiaherge, quarante et un ans, et le 4 août à lui des valises contenant des collections d'elle Huit cent mille ouvriers groupes, débarqueront témoins être'employé de commerce à Paris. On pour la soigner. Les deux constaté Cotais et Boutonne. de timbres-poste valant plusieurs milDunkerque, Ostende. n'avaient rien ont déclaré qu'ils de la métallurgie allemande L'état-major de la Britieli Légion se tien- lions. a trouvé sur lui un pistolet automatique. l'état ils Mme de et dans d'anormal l'enquête a établi qu'il avait volé des à Lille.

Le secret avait été gardé sur cet envoi Malherbe. sous la menace d'un lock out draQuatre bijoux et 800 francs chez Mme Landry. délégations de groupes se et ceux qui ont manutentionné les préIl serait l'auteur de quatre autres vois rendront à Paris pour y ranimer la cieux colis ne se sont pas doutés de leur DERNIÈRES NOUVELLES SPORTIVES commis Berlin, 13 février (dép. liants.) à la Chapelle.

Inconnu. importance. Les valises ont été placées La grève des ouvriers métallurgistes flamme la tombe du PoiluChiaberge et une femme qui l'accomLes 1a.000 pèlerins se fractionneront daiid un compartiment plombé du rapide .Hé. l'Allemagne centrale, survenue a la L'ÉQUIPE DE FRANCE DE FOOTBALL déférés au parquet. été pagnait ont pen- Boulogne-Vintimille,à destination de Mo'suite d'unconffit de salaires et qui dure en groupes de S00 et cantonneront QUI JOUERA CONTRE L'IRLANDE des centres dési- naco, où NI. Frank Godder et ses amis se depuis quatre semaines, risque d'avoir de dant trois jours dans recevront chacun rendent pour prendre part à une exposi- La Fédération française de football a CONDAMNÉ A MORT GRACIÉ nérieuses conséquences sur l'ensemble gnés, Lille et Arras formé l'équipe de France qui, le 21 féde l'industrie métailurgique allemande. un millier d'hommes Eéttune, Haze- tion et au congrès j)hilalélique.

Armentières bronck, et receDouai en vrier (mardi gras), jouera au stade Avesnos, i'i février (d>'p. Petit Parisien.)

En effet, dans le but, dit-on, de soutenir Coutures (Moselle) M. Buffalo contre l'Irlande cimetière de divers Au autres ainsi cents, l'Allemagne cinq industriels de vroet que des lutte la Le Président de la République a coinEuj^ne Rémy, fossoyeur, tombe mort, en centrale contre leurs ouvriers. la Fédé- centres.

Wallci arrières (Sete) HAnrln F,vt mué en la peine des travanx forcés à son ancien patron, M. Matlicnoite. se enterrant 0.); demis S. ration' des industriels métallurgistes de Le quatrième jour, tousoùles pèlerins (Xi. Domrrgue (\mlen?>, (Savoie) les Fomcouverte On retrouve perpétuité la condamnation il mort prose rendront cadavres de MM Joseph Vignon!. de Modane, Wiid (S. F.), Dauphin (S. F.), Vlllaplane toute l'Allemagne a décidé do prononcer concentreront à Ypres, contre l'Algérien Ousaïd Kaci, Dewaquez (Marseille), noncée avants le roi des Belges et le prince de Galles. et Jean Domposler, de Fontcouverle, eut au (Nîmes) le lock-out le 22 février prochain avait, à Neufmesnil, tenté d'assaspèlerinage comprendra un oontin- «ours d'une épreuve de skis avaieni été en- Llcb (Mulhouse), Nicolas (R. S. p.). Tatne qui 800.000 ouvriers environ seront touchés siner (Marselllc)j une vieille eabaretïère, f Amiens) Gallay «tvclls sous une avaliuche, gent d'un millier @de'femmes. car cette mesure,

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LESMEMBRES

CONTRIBUABLES

OLÏJPES MIDI

sit mes états de service sur le champ de LES JEUX bataille et mon défenseur lut une apuréciation du lieutenant Venion corrobcraut DÉCLAREZ VOS REVENUS la témoignage du sergent.

AMÉRICAIN D'UNDÉSERTEUR Doty espérait à ce moment-là s'en HIER DEUX ÉPREUVFS DE PATINAGE tirer avec un an de prison. A sa Rappelons que, conformément aux mètres, gtgnée par Thunbcrf et Evensen grande surprise il fut. condamné à prescriptions des lois relatives aux linDELA mitres, par B»llcn|rud huit ans, ainsi qu'Harvey, tandis que p«)ts sur les revenus, les contribuables les deux Allemands s'en tiraient Saint-Moritz, 13 fév. (de trot, env. spéc.) ont à fournir au service des contribuComme hier, comme la veille, Il neige lions directes les déclarations ci-après avec cinq ans. indiquées pkin temps.

Nous étions ahuris, dit-Il, par cette i Au stadion, les courses de patinage s Commerçants et industriels (pa*tictiDoty raconte son évasion manquée, sa inégalité de traitement. Mais nous avions de vitesse lias et sociétés) déclaration du bônésont retardées d'une heure. cependant consolation net l'année précédente ou de une lice on ne nous Des hommes, armés d'une largo tôlo, = l'exercice docomptable comparution devant le conseil de avait pas inculpés pour la mort des raclent la c0ucho ayant pris nn au § la blanche patisur cours Bédouins. de ladite année.

Hi le bénéfice net Le colonel déclara qu'ils ¡¡ ne dépasse pns 50.000 fr., il suffit d'inguerre, sa condamnation, sa grâce, s'étaient mis dans leur tort en attaquant noire.

Enfin, il faut se décider. La piste est (tiquer celle des catégories, déterminées des soldats français en uniforme. puis sa libération complète, qui par la lof, dans laquelle rentre le chiffre = A notre retour à la prison, nos co- nettovée tant bien que mal, et à partir = s tlu bénéfice. SI lo bénéfice net dépasse 1 de 9 heures, séries deux, de les contrariait son vif désir de reprenpar coudétenus noue entourèrent vivement. La c'est le chiffre exact du bénéreurs s'élancent au signal d'un drapeau s nce quirr.,doit plupart avaient commis la même faute déclaré, et la déclaradre du service dans la légion rouge. Entre chaque tour, il faut refouler S tlon doit êtreêtre appuyée d'un résumé du que nous et Ils furent atterrés par la la neige (lui s'amoncelle. sévérité du verdict. de C'était la la peine t compte profits et pertes ou d'un état III Malgré ces difficulté, quelques Jolies de bénénce3. plus forte qui eût été infligée par le Agriculteurs qui désirent bénéficier Après maints combats victorieux, conseil de guerre pour une désertion performances sont réalisées. Les 500 mc5 lies avantages prévus pour l'évaluation;; tres sont accotnplis Thunberg (Finpar au cours desquels Doty reçoit la dans les conditions de la nôtre. du agricole des terres affectées = revenu landais) et Eversen (Norvégien), en croix de guerre, les légionnaires ont De Damas, les condamnés sont 43" culture blé }?«ét!taratlon do la du 4/10. ce qui cet aplendide. A Chaparticipé à la délivrance de Soueida, transférés à Beyrouth où ils trouvent mojiix, dujwenu contenance et cadastral de tes l'Américain Jewtraw avait gagné 5 terres;' = espéqu'ils contrairement à et, ce a une prison propre, avec une bonne dans do bien meilleures conditions avec On signale Ici l'année pour 1928, que, raient, on les emploie à la recons- nourriture et de bons gendarmes ». seulement 44". les coefficients par lesquels préalabledoit être:: truction de la citadelle. Co sont, Après Beyrouth, c'est Marseille, puis Nos deux représentants Quaglia et È multipliée la valeur locative, ment majorée (le 0/0, pour obtenir déclare avec dédain le légionnaire, Albertville, et enfin Clairvaux mais Thaon réussissent respectivement 49" ;¡ l'évaluation forfaitaire des bénéfices -z 1/10 et 50" 1/10. qu'on des « travaux de civils J) ne à vrai dire la légion n'est plus tn agricoles, été modifiés ont comme suit, devrait pas infliger à des gens qui cause ici et les impressions de Doty Et la neige tombe toujours. la lot du 27 par décembre 2,50 la course de 5.000 mètres ¡¡ dans le cas général 2 pour1927 s'enrôlent pour se battre. Et c'est sur sa captivité ressemblent à celles L'après-midi, les s terres avoir lieu.

Le Norvégien Ballengrud a pu s cafard qui été affectées ont la culture a blé le du de la plupart des détenus purgeant ainsi qu'il explique « remporté la victoire, 8' 50" 5/10. l'année â au de a cours antérieure celle en Il E s'empare de lui. une peine.

Qua.nt aux malohee de hockey dont de l'imposition, a condition que la con- 5 A Bzra, il a fait connaissance. C'est le 23 septembre dernier que France-Belgique comportait le = tenançe et la revenu cadastral de ces s fassent l'objet d'une déclaration § quelques mois plus tôt, avec trois Doty reçut, à la prison de Clairvaux, programme, ils ont été rcnvoyés à terres contrôleur qu'il 4,50 pour les bols Indusau autres légionnaires l'Anglais Har- la nouvelle qu'il était gracié et s trlels 5 pour les pépinières et les cul- i Allemands Lass et retournait

LÉGIJTRAÉIIE

BULLETIN FINANCIER

Cours de la Bourse du Lundi 13 Février

Apres un début assez satisfaisant, toute la cote s'alourdit. Au parquét, la spéculation procède Il des Uéiraffcments eu vue de la liquidation de quinzalne toute prochaine.

Quant à la coulisse, un nouveau recul des eaoutchoutieres vers la Un rie la séance Indispose tome cette partie du marché. On constate d'ailleurs un ralentissement sensible des

transactions.

Au parquct, tassement des renies. A le 3 perpétuel est ramené de 69 33 àterme, 67 65. l^es hanques codent du terraln

la Banque de Francn perd francs la Banque de Pari?. P0 francs; l'Union parl.sicnnr, 43 francs: le Crédit Lyonnais, CO francs; le Crédit t'ouVALEURS

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BILAN AU 3! DECEMBRE 1927

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Est

Wesser. Lorsqu'ils apprennent qu'on encore va les occuper quelques mois à Soueida, ils n'y tiennent plus. Dans les conversations qu'il a avec ses trois camarades, nous dit Doty, il n'est guère question que de la « promenade », ce qui, en argot de légionnaire, signifie la désertion.

Nous avions réussi, conte-t-il, à étuune carte que nousrévéla nous procurer diions avec passion et qui nous était à peine que la frontière britannique à vol à une quarantaine de kilomètres de d'oiseau. Cette découverte triomphadécifut vite L'évasion hésitations. nos dée. Nous mtmes en commun nos resdes vivres de sources pour acheter et autres petits conserve, des cigarettes objets.

C'est le 12 mai 1926 que nous entreprimes la « promenade ». Après la sieste de midi, nous fîmeset, semblant au créd'aller laver nos vêtements les entraînant puscule, Harvey et moi, Indécis, paraissaient deux Allemands qui nous descendîmes la colline.

La première et la deuxième nuits se passent sans accident, mais le lendemain, les quatre déserteurs Harvey ayant pris avec lui son mousont à lutter contre les queton Bédouins. Ils réussissent à s'échaparriper après en avoir tuéoù,deux etinstant vent à El Umtalyo, un parviennent ils caïd, captifs du encore à triompher de leurs adversaires et à prendre le large, mais c'est pour tomber sur une patrouille de gendarmes syriens embusqués

derrière des murailles. La lutte serait trop inégale. Harvey jette son ferme/ Le dernier chapitre dé la fuite est révolu.

Les gendarmes nous traitèrent fort bien, écrit-il. Ils nous conduisirent à leur poste, nous donnèrent ù manger, nous offrirent des cigarettes et nous permirent de dormir dans un endroit confortable.

Le jour suivant, sous la garde d'un caporal et d'un gendarme, nous fûmes conduits à Doora, où se trouve un camp 'd'aviation gardé par des troupes indigènes. Le capitaine français qui commandait le camp nous accueillit sévèrement et nous fit mettre en cellule.

Après onze jours à Doora, en route

à la légion. Cette perspective l'enchante, et la façon dont il narre ses impressions est une nouvelle preuve que s'il a trouvé la vie dure à la légion, il n'est pas de ceux qui nient la justice des chefs.

Quand j'arrivai au quartier général de la légion, à Sidi-Bel-Abbès, la première personne que je rencontrai, ce fut mon vieil ami, Rechad bey, mon témoin à décharge au conseil de guerre. Je retrouvai aussi le sernent Etienne de mon ancienne compagnie, d'autres encore

Les résultat* mètres.

1. Ex aequo Thunberg (Finlande), Evensen (."Sorvègo), 43" 4/10 3. Ex B>quo Larsen (Norvège). -Farell (Ca-

nada), Krirnnn (Flnland«), 43" 6/10 6. Peterseu (Norvège), tà" S/10 7..Toruan (Canadai, 43" 8. Farrcll (Etats-Unis), dd" 9. Oison (Norvège). 44" 7/t0 10. Murphy (Etats-Unis) 4d" 0/10.

Les Français se sont classés 25- Quaglia, 40" 1/10, et 2S« Thaon, E0" 1/10.

5.000 mètres.

1. Bitlleiifrrud (Norvège), S' 50" 5/m 2. Sfctunabb (Finlande) 8' 59" 1/10; 3. Evensen (Norvège), 0' t" 4. Joffee (Elats-Unls), 1" 5. Carlsen (NOrvège), 9' 1" 5/10 6. Bialas (Etats-Unis), qui avaient été en Syrie avec moi.

9' 6" ,V10.

Les Françals se sont classés 18'. Quaglia, A ce moment, on envoyait des renThaon, 10' 18" 8/10. forts au Maroc. Je brûlais du désir d'y 0' 33" aller et de réaffirmer Gilbert Clare comme un combattant de premier ordre.

CHRONIQUE JUDICIAIRE Après avoir attendu vainement pendant

plusieurs jours, je crus un instant que mon espoir allait se réaliser. On m'admiQUINZE JOURS DE PRISON nistra les vaccins réglementaires et je POUR UN POULET POURRI me préparai pour la revue, à 9 heures matin, du lorsqu'on m'invita à me préLa chambre a condamné à quinze jours senter au bureau du colonel, où je fus de prison et francs d'amende une marinformé qu'un télégramme du ministère chande de votallles du marché Salnt-Quende la Guerre ordonnait ma libération lln, Mmj Cêsarine Manoury, veuve Dugard, immédiate. Je fus aussi surpris de cette pour avotr vendu une ménagère un demi-

décision que de celle qui m'avait été poulet pourri. communiquée à la prison de Clairvaux.

UNE € COMBINE QUI ECHOUE Je m'attendais Il terminer mon engagement à la légton et .je l'eusse fait avec A la suite d'un accident, un procès s'était engagé entre un cabinet d'affaires agisjoie. sant au nom de j'accidenté et une comC'est à ce moment que le colonel pagnle de voitures, à laquelle on réclamait Rollet fit à Doty la recommandation t00.000 francs. Réclamer 100.000 francs, c'est le sait espérer beaucoup moins. de dire la vérité. Il en fit la pro- l'n on arbltrage fut décidé. M. Robert Vantigny, représentant le cabinet d'affaires, et M. messe.

Doty affirme 'en termiant qu'il a Delpy, Inspecteur au contentieux de la compagnie d'assurances appelée à payer les tenu parole. frais éventuels, se rencontrèrent devant La légion étrangère, écrit-il, est une l'arbitre.

Mais, Il l'issue de cette conférence, M. Vanunité de combat soumise à une discitigny rapprocha de Delpy et lui proposa pline de fer. Je le savais en m'enrôlant cette se « combine » gràce Il « l'intervention et j'ai connu le régime que j'avais prévu. intéressée » d'un chef service, qu'on Notez, d'ailleurs, que lorsqu'un étranger récompenserait, M. Delpydedéterminerait sa s'engage à la légion il ne prête pas ser- compagnie à verseT 55.000 francs, et l'acciment d'allégeance !l la France et on ne denté paraissant disposé Il se contenter de lui demande pas d'abdiquer sa nationa- 20.000 francs, les deux compères se partala différence. « Ça se fait tous les lité. On s'explique, dans ces conditions, geraient auralt dit Vantigny. le contrôle rigide que les officiers doi- Jours Par malheur Robert Vantigny, l'nonpour vent exercer sur les hommes. nête M. Delpy prévint ses chers. Et le piège fut tendu.

Doty n'est pas passé en vain par traditionnel Tandis des policiers s'étalent dlsstla légion. Il a saisi l'esprit de sa mulés dansque une pièce voisine, Vantigny signa discipline et ce n'est pas sans quel- Il M. Delpy une reconnaissance de dette de que fierté qu'il observe dans son 5.000 francs, Il titre de premier acompte.

Et, vainement, M. Vantigny expliqua qu'il dernier mot que Gilbert (Mare a vécu n'avait la reconnaissance que pour d'une intensité de vie qui ne se peut obtenir designé M. Delpy que celui-ci tit diligence: dépasser. on le déféra, pour tentative de corruption, il- chambre correctionnelle qui, hier, Jean MAssip. Al'a lacondamné à quinze jours de prison et (Copyright du P. P, et de la N. A. N. A.) au franc de dommages-intéréts réclamé par 1a partie civile.

pour Damas.

Nos déserteurs vont faire connaissance avec la prison de la citadelle, Une fête nationale du travail qui n'est évidemment pas un palace, et où on ne sert pas des mets de A la réunion du comité exécutif des choix. Encore Doty, qui a conservé argent, a-t-il la faculté de quelque préparer du chocolat par le se faire puisinier.

Si, au surplus, la vie à la prison est dure. et si la présence de puces l'aggrave, tous les hôtes subissent le môme sort, qu'ils soient légionnaires ou non et, dans son récit, Doty ne témoigne pas qu'il y ait eu dans la façon dont ils furent traités quoi que ce soit d'inhumain ou de personnellement vexatoire.

meilleurs ouvriers de France, qui se tiendra aujourd'hui, le secrétaire général, M. Lucien Klotz, qui se préoccupe de donner l'Exposition nationale du travail le moyen de poursuivre effleacement son œuvre sociale, développera une idée à l'application de laquelle tous les ouvriers sont intéressés.

M. Klotz préconisera la création d'une fête nationale du travail, au cours de laquelle patrons et ouvriers consacreraient le profit d'une heure de labeur à l'établissement d'une rente destinée à assurer l'existence des meilleurs ouvriers défense, avoir eu peur. de France et à aider les oeuvres profesL'avocat général Gazier prononça un Une semaine après mon arrivée sionnelles. modéré et M* Crochard deréquisitoire dans la citadelle, poursuit^ le reçus la l'acquittement. manda visite du consul américain, M. Keely. Il LA PROVINCE A PARIS Le jury apporta un verdict aux termes venait me voir parce qu'un corresponduquel Le Bihan fut condamné & trois ans dant de journal que j'avais rencontré à de prison.

Soueida l'avait informé que j'avais été Latlemand, président de condamné par une cour martiale et que l'oeuvreCharles LE BANDIT RATTE CONDAMNE Foyer du provincial (cité des j'allais être fusillé.

A VINGT ANS DE BAGNE Provinces à Paris), communique nous suite à déclarer de tout Je tiens que La session des assises de l'Aisne, que préLa commission executive de l'œuvre du sido M. Flamma, conseiller Il la cour Jamais nous n'eûmes pareille crainte. provincial serait reconnaissante aux d.'miens, s'est ouverte, hier, par l'affaire Personne ne me croirait, et é bon droit, Foyer dirigeants de sociétés d'originaires de pro- du bandit Elle Ratte, inculpé de quatre vols si je disais que les Français fusillent les vince à Paris et en banlieue de vouloir bien qualifiés. déserteurs de la légion ou tous autres faire connaître 11 s'introduisait chez M. pour communications Im- Le 15 août déserteurs, à moins qu'il ne s'agisse portantes les Intéressant les titres Caron, herbager, Il et dérobait quelet d'une désertion sur le champ de bataille. adresses exacts de» sociétés auxquelles Ils ques menus objets Iron, après s'être livré à Ce n'était pas le cas. Nous savions par- appartiennent on qu'ils connaîtraient. Adres- d'odieuses violences sur une miette de faitement que nous serions punis sI nous ser les renseignements » M. J. Imbert, se- douze ans. Le 17 août, a Dorengt, Il péétions pris, mais nous ne redoutions crétaire général, rue Charles-Baudelatre nétrait chez M. GrusNle. Surpris par le guère plus de deux ans de prison. frère de celui-ci, 11 déchargea par trois fois son revolver sur Ni. Gruselle qui riLe procès des quatre légionnaires posta A coups de fusil, puis disparut.

Le surlendemain, il ontrait par effraction a'ouvrit devant le conseil de guerre Disparition chez M. Lepomé et s'emparait de 70 francs.

1926. de Damas le 16 juillet Son butin fut plus fructueux. le 25 août, d'un homme jeune Le colonel président interroge A Cartlgnies, chez les éponx Jlatton, A qui

M.

Doty.

il déroba 400 francs. Arrêté, Ratto avoua.

Je répondis que j'aimais la légion qu'unité militaire, mais que, sinon tant en transformait ia en corps d'ouvriers manuels, elle m'inspirait de l'antipathie.

J'ajoutais que, à mon avis, le gouvernement n'avait pas agi équitablement en nous promettant un poste de repos après 'une campagne aussi dure et en ne tenant ,pas sa promesse.

Mon défenseur, un lieutenant d'artillerie, cita comme témoin un sergent turc, Rechad bey, mon ancien chef de section.

Celui-ci déclara que j'avais été un excellent soldat, que mes otftciers me tenaient n'avais en grande estime et que Il produijamais manqué à mon devoir.

e

La GRAPPE

13.

Feuilleton du Petit Parisien,

Aux

LÈVRES

ROMAN

INÉDIT

DEUXIÈME PARTIE

LA ROUTE QUI MONTE

II (suite) Faut-il?.

Des raisons qui n'en sont pas! jeta Camusol d'un ton hostile. de Ne jugeons les mobties secrets d'Irenka mère personne 1. proféra la Et douloureuse. et voix Apre d'une maintenant m'ancre qui savez-vous ce plus encore dans ma résolution première ? C'est cette espèce de conspiration ourdie autour de moi. bonheur!

La conjuration pour ton Voilà comme tu qualifies la bonté dont ion t'entoure. Oh! c'est malt Pardonnez-moi, mon oncle, fit Moïna, radoucie, en lui prenant les mains. Mais si l'on prétendait me faire atteinte à payer ces bontés par une je préféremorale, mon lndépendance disparaître. rais quitter cette maison.

Ingrate! interrompit Cantusoi.

Et comme elle protestait du geste Oui, inbratel Tu meurtris mon affection comme tu blesses le bon sens! SI ce n'étalt que ceta encore.

Copyright by Georges Spitzmullw, 1928.

Traduction et reproduction iniwv""» en tous pays.

Un Jeune

Après réquisitoire da M. Testut. procureur de la République. M* Bourdon, du barreau de Laon, s'efforça vainement d'apitoyor les jurés qul, après une heure un quart de délibération ont rapporté un verdict afllrmatir en conséquence duquel Ratte fut condamné a vingt ans de travaux for-

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menuisier. M. Auguste Serre, vlngt ans, n'a pas reparu, depuis mercredi dernier, au domicile de ses parents, 6. avenue de la Gare, a Salnt-Ouen, non plus qu'a l'uSine de carrosserie automobile on 11 travaillait, avenue Chandon, à Gennevilliers.

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8

Une

mais tu méconnais tes propres Intérêts. rétablir la situation le baron de Clair- Miction et la révolte. Camusol baissa le Ah! laissez-m'en seule jugel SI saint. front.

Mais enfin, de quoi s'aglt-11 ?

Elle, silencieusement, le regardait. vous saviez. raisonnes Je sais tu s'écria Moïna bouleversée.

Parlez et, que avec un peu à peu, dans ses grands yeux d'égoïsme. trop Cette limpides, énigme m'effraie. peu une lueur de pitié montait, Il s'agit de mol pourtant. étoile miséricordieuse.

Ecoute. je vais tout te dire.

Tu n'es pas seule en cause.

Et ces phrases se précipitèrent, hale- Jamais encore elle n'avait vu, comme Que voulez-vous dire?. Qu'y a. tantes cette minute, que cet homme était un Ml? vieillard. un pauvre être usé par le celle qui fortune, la tienne Il y a. il y a. hésita Camusol». vient Ma travail secondaire. un de ces malheude ta mère ont été déposées à subalternes et Puis, se décidant brusquement besognes voués aux la banque Vilchamp. La banque a fait reux jusqu'à la fin sur Ce mariage magnifique qu'on te de mauvaises affaires elle est en passe destinés à demeurer propose pourrait arranger bien des de sombrer. C'est pour moi la misère, les plans inférieurs, en sous-ordre, pour obscurs 'et patients manoeuvres, choses. mes vieux jours. Pour M. Vil- édifier, certaines fortunes prodigieuses dont ils Quoi ? quelles choses ?. Inter- sur champ le déshonneur, le suicide peutn'auront que des bribes, mais qui les rogea Sévreusement Moïna qui avait être. pour sa femme le dénuement elles s'effondrent. tressailli. absolu, les détresses Imméritées. Toi, écraseront si un jour frère de sa mère Pauvre oncle Les piroles échappées son oncle lut il te faudra partir, commencer une vie ouvraient soudain un horizon où elle errante. Et je n'exagère rien, va Ces Elle voyait son dos courbé, ses épaules devinait que des compromissions, des effroyables éventualités sont là. à la pointues, sa tête grise affaissée sur ses laideurs allaient apparaître. Prise de porte. C'est une question de jours, brus maigres. Et elle se demandait si elle avait le droit d'être sévère pour vertige, elle se penchait comme sur d'heures 1 l'ablme.

Il bouleversé par son propre lutIl releva la tête. La main de Moïna se Lui, désorienté, sentait la terre man- aveu.se tut, tendit, chercha la sienne. quer sous ses pas. La raison latente de Continuez, ordonna continuez 1 Je vous pardonne, dit-elle, parce sa démarche venait de se manifester, Moïna. pâle et frémissante. imprécise encore, mais déjà terriblement que vous avez souffert. Et je vais réfléTu sais le malheur connais tu tout, chir. Vous aurez :un réponse avant ce significative aux yeux de sa nièce.

Ce qui malheur, NI. Ronous menace. soir. Je vous le promets.

Elle allait le presser de questions. Ne de Clairsaint n'a qu'à étendre la Apres le cri de révolte de sa nièce, valait-il pas mieux l'éclairer sur les dolphe Camusol n'osait envisager In possibilité ruines que causerait son refus, puis- main pour le conjurer.

Mais puis-je ?. quoi d'espérer encore. Toutefois. l'attitude de en qu'il n'avait pas d'autre argument pour En quoi ?. SI tu acceptes de Moïna n'était plus celle de l'intransila convaincre ? Il s'était trop avancé devenir sa femme, Clairsaint, par recon- geance. Emu, il la remercia de lui parpour pouvoir reculer maintenant.

Camusol soutint hardiment le regard naissance pour moi et pour M. Vil- ler avec bonté.

Et Il partit, honteux d'avoir assumé ton bienfaiteur en somme de Moïna et murmura d'une voix champ redresse d'un coup de barre le navire en une telle ambassade, et désolé de la sourde, hésitante de faire naufrage. Nous sommes peine qu'il venait de cause.

Si tu n'épouses pas le baron de train Dans la galerie, Vilehump guettait Clairsaint, tl se produira un drame. sauvés J'al compris dit amèrement la son retour. un grand drame, dont je ne serai pas Eh bfen ? mère d'Irenka. Il s'agit de me vendre, l'unique vtctime.

La pâleur de Camusol arrêta les moi, afin de racheter vos erreurs ?

Vous me faites peur autres questions sur ses lèvres.

Un seul homme est capable de Son visage exprimait il la fois l'af

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UNE DAME DE LA CROIX-ROUGE VICTIME D'UN ACCIDENT A ORLY

La

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courants Portefeuille titres (actions, Fr.

205

1102

|

Le bal du trentenaire de la « Versaillaise », société de seeours mutuels des Ornciers anciens éièves des éeoles d'artillerie, du (tente, du train et de l'aéronautique, que le Président de la République honorera de sa présence, aura Heu le samedt 25 février au Claridgp. On trouve des cartes (25 francs) bouchez le commandant H. Davlcque, levard Malesherbes, au Cercle militaire et

Kanonale

Nord

été.

dame de la Croix -Rouge, Mlle Crezer, infirmière au centre maritime d'aviation d'Orly, a été victime hier matin, à l'aérodrome, d'un grave accident.

TROIS ANS DE PRISON Elle passait au-dessus de la salle POUR UN COUP DE COUTEAU MORTEL qu'abrite un toit vitré. lorsd'opérations, Deux Bretons, les Nantais Raymond Le qu'un faux .pas la fit choir. Passant à Bihan et son ami Lejeune, se trouvaient, le verrière, elle tomba d'une Juillet dernier, dans un débit. 7, rue du travers la mètres .,font-Cents, Il Montmartre. Tous deux hauteur de quatre sur le carreavaient passé joyeusement la soirée et lage de la salle. Elle fut relevée et panbientôt ils se prirent de querelle et sor- sée par le médecin de service qui, ayant tirent pour vider cette affaire. Quelques constaté une blessure profonde à la tète mois auparavant, Le Bihan avait déjà été et de multiples contusions sur tout le blessé par Lejeune à coups de couteau.

Il vit que son antagoniste avait l'air de corps, la At transporter à l'hôpital. fouiller dans ses poches et redouta une Mile Crezer, infirmière bénévole, est la nouvelle agression. Prenant les devants, Il bienfaitrice du « Foyer du marin » frappa le premier. Lejeune, atteint d'un qu'elle a créé à Orlv. coups de couteau, s'écroula et mourut Il l'hôpital.

VERSAILLAISE Le Bill an, qui comparaissait hier devant LE BAL DE LA les jurés de la Seine, déclara, pour sa

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produites au plus tard le 29 février. Co délai est toutefois étendu .jusqu'au 31 mars pour les commerçants et industriels qui sont assujettis à l'impôt cédulaire d après les résultats exacts de leur comptabilité et dont l'exercice comptable est clos pendant le mois de décombre, notamment le 31 de ce mois.

Pour l'établissement de» déclarations relatives à l'impôt sur les bénéfices industriels et commerciaux, l'impôt général sur le revenu, aux avoirs à l'étranger et aux charges de famille, des formules imprimées sont mises gratuitement à la disposition des contribuables dans les mairies, dans les bureaux des contrôleurs et des percepteurs des villes, ainsi que dans les bureaux de poste des villes de plus de 20.000 habitants.

Les adresses des contrôleurs a qui les déclarations doivent être remises ou adressées sous pli affranchi sont indiquées à la dernière page des formules concernant l'impôt général.

ut

1044

titres maraîchères, florales ou d'orne- î mematlon, s Personnes exerçant une profession libérale et titulaires de charges ou o/fl- 5 déclaration des recettes brûles, des ces s ¡¡ dépenses professionnelles et du bénéfice ï S net de l'année précédente. s 4-) Personnes redevables de l'impôt S 1051 général sur le revenu déclaration du = chiffre du revenu global, avec l'indlca1885 lion, par nature do revenus, des E 5 ments qui le composent. s 5») Personnes exemptes de l'impôt Ottoman 5 s général. Ces personnes ont l'obligation 1914 100 3 d0 déclarer qu'elles ne sont pas Imposa- ï s blés si, pour l'année précédente, elles s ont été Inscrites aux rôles des impôts 5 cédulalres pour un total de revenu de s 1.500 fr. au moins, ou si elles ont en- s 5 caisse pendant la même année 1.500 fr. § au moins rle revenus de valeurs mobl1 lières autres que les bons de la Défense i nationale et les rentes 4 0/0 1 60) Personnes possédant des avoirs à s l'étranger déclaration détaillée de cas 5 avoirs, avec l'indication du revenu cor- i respondant.

S 7°) Personnes ayant des charges de famille déclaration des personnes il: leur charge. Cette déclaration est nécessept.1023 3 salre pour bénéficier des réductions 6 d'impôt accordées pour charges de fa- = 1 mille.

Les diverses déclarations doivent être

|

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210

103 80

que

vey et les deux

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cler, J0 francs, etc. Bonne tenue des valeurs foncières: la Société Générale Foncière s'améliore légèrement à Fléchissement des chemins de fer et des valeurs de navigation.

Les valeurs d'électricité sont aussi plus faibles, de même que les charbonnages.

Les fonde russes et le Turc Unifié se raffermissent. Le Crédit Foncier Egyptien se relbve de 4.790 à Par contre, le Suez, la Central Mining;, le rtio sont plus lourds. coûte TROIS francs En coulisse, les cooutcboutières offrent une une certaine résistance au début, puis s'alourla dissent à nouveau en clôture. Gea diamant?, mines d'or et pétroles sont aussi plus discutés.

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D'elle ?

Ce Comment ? Refuserait-elle flt signe pouvoirs Il ne fallait rien laisser transparaître.

Le fondé de un serait de la folie affirmatif.

Elle aurait besoin d'une grande force Ma nièce n'a dit ni oui ni noa. Nous Impulsivement, le banquier déchira de caractère pour assister au déjeuner serons ûxès ce soir. le papier, le de midi. Félix arracha l'enveloppe, serait là. Pourrait-elle en Mais. déplia. affronter la présence de cet homme sans Ne me demandez rien de plus, mondélivrancei cri de Il lui jeter à la face? un dégoût poussa son sieur. J'ai fait tout ce qui était en mon Le billet portait ce seul mot Elle avait promis la solution pour le pouvoir. Il y a parfois de dures corOui. soir. vées. A présent Il faut attendre.

III Que faire ?. Elle ne savait plus que Le banquier, stupéfait, n'essaya pas penser.

Le débat du cœur et de la raison de retenir son fondé de pouvoirs.

Si elle acceptait. évidemment ce lui-même, Il ne tarda pas Il sortir en Comment Moïna avait-elle vécu cette serait l'ascension merveilleuse à des annonçant qu'il ne rentrerait pas déjeu- journée ? hauteurs inespérées aussi l'exisner. La perspective de se trouver en Après le départ de son oncle, écroulée tence aux côtés d'unmuis homme qu'elle présence de Moïna lui causait un sur la courtine bleue de son lit, long- n'aimait pas, qu'elle n'aimerait jamais malaise. temps elle pleura. peut-être, malgré l'enchantement d'une destin tragique voulait féerie sans éfrale. Et cette façon de Quoi son Six heures venaient de sonner. Pen- qu'a présent elle fut le pivot d'une lui lancer le lasso blessait son orgue!]. dant que les employés s'en allaient. Oa- écoeurante combinaison où l'argent donSi elle acceptait. ce serait, d'autre muso! travaillait dans son bureau. rue nait la main il l'amour! part, une vie clandestine, l'organisation Vlvienne.

Aveé horreur elle se détournait de erpétuelle du mensonge, l'emprise de A défaut d'agréments Intrinsèques, cette vile et tortueuse Intrigue.

Pa perfidie sur tous ses actes. Car Moïna les chiffres possèdent le pouvoir magiEt pourtant. avait-elle le droit d'af- s'insurgeait par avance contre l'humipoint pensée la d'absorber au que ficher rigueur bien stricte. celle qui nation d'un aveu. combien pénible d'en chasser toute autre préoccupation. cachaitune tous les yeux son enfant Il faudrait dissimuler a son mari l'exisPlongé dans ses comptes. Camusol vo- comme un fruit défendu? tence a'Irenka, la voir en fraude, sana guait dans une autre sphère.

Pouvalt-elle juger les antres après cesse veiller à ne point se traliir.

Un pneumatique, monsieur. l'er;eur fondamentale qui lui avait fait Comédie odieuse qui consisterait ïmà Le petit groom du hall lui présentait épouser un homme Indigne, dont la fin duper un honnête homme. Et ceia un pli. Comusol le prit et tressaillit en ignominieuse laissait sur elle comme répugnait. reconnaissant l'écriture de sa nièce. alors la temsur sa fille des taches de boue et de Mais si elle refusait.maison qui lui La réponse sang ? pête s'abattait sur la Il ne l'ouvrit pas.

Etait-elle fondée à mépriser personne avait offert un asile. C'était la ruine du le après avoir encouru la réprobation de banquier. la détresse pour Mme VilPassant dans lu pièce contiguë pauvres gons bureau de Vilchamp Il s'approcha du toute la société de Varsovie, révoltée champ, le désespoir des Ce serait hiver. soutien privés de cet scandale ? cheminée, de banquier assis près de la ce méditatif et sombre.

L'ne faculté lut restait pourtant la la misère pour l'oncle arrivé au seuil de la vieillesse.

Sans un mot, il lui tendit le pneuma- faculté de souffrir.

Georges Sprrzuuiiua, (A mitre.)

Et ses larmes coulaient, amères.. tique.

Ah mission 1

quelle pénible

?.

IL VA FALLOIR CRÉER 1.730 CLASSES EN BANLIEUE

TRIBUNAUX Agriculture

DANS LA RÉGION

PARISIENNE

FEMME, L'ENFANT, LE FOYER D'ENFANTS PRATIQUES POUR VOILER LA LUMIERE LA

AISNE

DES ROBES Le département de la Seine facili8AI1»T-QUENTIH. En match comptant tera l'o'uvre de scolarité des (division pour le championnat du Nord-Est saint-quentinols En soie ou en laine, les robes d'enfants peusent toujours l'Olympique a d'honneur), Les rideaux ont une énorme importance dans la maison communes par l'attribution zéro. buts Vireiix 3 l'i. battu être par pratiques, si l'on sait leur choisir une façon simplette, c'est d'eux que, durant le jour, dépend son éclairage. Si les de subventions annuelles Dimanche, à la basilique, le cardinal commode, comme la mode nous en propose tant. rideaux sont faits d'un tissu asses épais, le logis entier de Besancon, a fait ses Billet, En banlieue, la population scolaire est adieux archevêque La petite robe de ferons <t notre fille prend cours que. nous un aspect poussiéreux et triste. Sont-ils, au contraire, en aux fidèles du Vermandols el, dans l'honnevr du printemps SWifte peu près équivalente sera, bien entendu, lainage, en en un taillés dans une étoffe légère, de teinte lumineuse, les pièces sou allocution, a signalé qu'il était le pre- Joli lainage enfants cnntre 127.OOU, alors qu'à Paris mier léger, en évéqne de Soiesons promu il la dignité qu'ils meublent en sont kashaloil, par exemple, cardinalice. elle est tombée de 162.000 à tout éclairées.

5ic&> s'il y a crise, c'est qu'entre les ou en kashatulla. Son Choisissons donc juEURE-ET-LOIR long corsage s'adaptera communes de la banlieue les effectifs dicieusement n o riil une petite jupe poursont cssentiellement variables certaines deaux. de plis de fronvue ou communes ont vu leur population scoLes vitrages blancs Après le rasoir, le revolver laire diminuer dans les mêmes conditions ces, et .resserrée aux très gais ils ont sont 41, rne de la Foulcrie, à hanches par une étroite qu'à Paris d'autres, au contraire, du A son domiclle. de plus l'avantage Chartres, M. René Rousseau, vingt-trois ans. ceinture. fait de l'augmentation de leur population, ouvrier d'dire classiques. Mads, fondeur, a tenté de se donner la Comme garniture, l'ont vue s'accroître dans des proportions mort, d'abord e à Parts, on leur préfère des à la gorge en se portant formidables. permettrons nous nous blessé, il le vitrage en seulement souvent de rasoir. S'étant à peine quelques bouLe résultat est le suivant. Les locaux couds achealla sommaire et pansement tulle de couleur, moins se lit un tira tons, un ruban de vescolaires du centre de la capitale, large- ter salissaut. un revolver. De retour chez lut, Il se sans mais encore lours fort étroit autour ment suffisants, se sont dépeuplés, mais un coup de feu il, la tète.

Les plus jolis sont en Les voisins, entendant ses du petit col à l'écolière, du fait qu'il y a des écoles vides tt Paris, parvenir à se tuer. tulle jaune ou bleu vif, gémissements, prévinrent le commissaire de ou bien un mélange de cela ne satisfait pas aux besoins des com- police, bordé de perles de crisflt transporter le blessée Il l'iio- tissus s différemment munes de la banlieue, impuissantes, pital. qui tal. Trés heureuse aussi faute de lncaux et de personnel, à assu- M Rousseau a déclaré qu'il avait été teintés. la bordure de perles de Rappelons-nous aussi intimes. rer la fréquentation scolaire. Et ce qui poussé au suicide par des chagrinsblessures. bols d'une teinte assorest surtout inquiélant, c'est l'avenir.

San état est grave et l'une de ses que les robes de cours tie à celle des vitrages. de la de l'usage vue. doivent éviter d'avoir le prive D'un dépouillement consciencieux des Ces rideaux-là sont redes plis derrière, parce fiches du recensement effectué en 1926, tenus en haut et en bas OISE que ces plis s'effacent M. Henri Sellier conclut qu'à Paris le par des tringles plates, vite, et la jupe que ne nombre d'enfants actuellement vivants, sur lesquelles ils se tarde à prendre enfants deux pas Une femme et ses un qui seront présents dans les écoles au froncent. Un ruban les aspect chiffonné. cours des rentrées prochaines, passera de bleue* par une auto resserre au centre, en Je parlais plus vous l17.000 à la rentrée de 1927 124.000 teur donnant un mouchauffeur, au service d'un garagiste haut des lainages légers la rentrée de 1928, 132.000 à la rentrée deUnTroissereux, qui fait vatotr ta vement avait pris dans sa voiture, que vous devez choisir de bordure de pertes scinà la rentrée de 1930, à Notre-Damc-du-Thtl.un charretier, M. Jodit printemps. en vue très tillantes. à la rentrée de 1931 et 151.000 seph Crépy, qui venait de faire une l'auto se La gabardine est, elle Bien entendu, on s'efà la rentrée de 1932. Ce chiffre sera en- grave chute de bicyclette. Comme cite aussi, tissu Beauvais. renexcellent de l'hôpital un h rendait force d'assortir à ces inférieur de 11.000 à ce qu'il était core leur enfanta et mère, cette saison, deux jeunes ainsi en versa de grands rila vitrages à rentrée de 1911, mais ce fléchisse- Mme Marie Dourdln, demeurant boulevard la fine. que serge ils deaux sont, eux ment se constatera surtout dans les de la Gare, qui ont été grièvement blessés. Comme teintes, je aussi, en tulle de couquartiers du centre, tandis que l'augmens recommande le SEINE vous teur corde de perles. Le tation se fera sentir dans les quartiers de bleu dans toute sa gamtout parc une fenêtre de la périphérie. quelques verts doux me, ravissante façon.

Pour la banlieue, la situation sera netbleué auto chauffai» Un et pâles, une le pa beige, le Si l'on préfère le tement plus grave enfants à la gris.

Girardln, Paul taxi, M. de Un chauffeur genre classique, on s'en rentrée de 1927, 122.O00 à la rentrée de Pour les robes de rue du Port, à Issy-les J928, 131.000 à celle de 1929, 138.000 à soixante ans, avec rigueur aux descendu de sa voiture soie, toujours un peu plus habillées, vous pourrez choisir des rideaux blanes. Le vitrage de tulle lient Moulineadx, était prand favori il a est celle de 1930, 144.000 à celle de 1931, devant le il- 88 de la rue de Paris, Colom- tons plus fragiles, mais gardez-vous, soit quel le tissu, que 150.000 à celle de 1932 c'est-à-dire demander un renseignement. des façons compliquées qui ne siéent pas l'enfance, qui la cable. qu'alors qu'en 1911 il v avait en ban- besEn pour traversant la chaussée, il a été renversé gênent dans ses mouvements, qui entravent son exubérance.

100, Le store tncrusté de motifs de fine dentelle, de médaillon.s lieue 127.000 enfants dans les écoles, et par l'auto de M. Paul Hardy, chapelier, Les volants, c'est d'une fort joli, mais Atteint fripe Les flots de Venise, d'entre-deux en filets, remplace parfois tout CHchy. de Jean-Jaurès, il, se ». que si, par un raisonnement superficiel, avenue admis ruban été seraient GlrarUIn de ravissantes choses.

M. s'ils a s'accrochaient vitrage c'est le « store-panneau du bassin, Le store Medicis, au ne on pouvait considérer que les locaux fracture à tout, leurs Beaujon. doigts malins.

Evitez ruûpital avec donc les falbalas contraire, doit être complété de brise-bise, à car il est assez court. scolaires actuels disposent de places sufqu'au reste la mode guère, impose sûre et Avec le ne vous blesse passante store-panneau, les prands rideaua soyez sont admis, et «chauffard» que un Une fisantes pour les rocevoir, il faudrait, sobriété chic et volontiers, confondent les se grands mime indispensables.

Ils naturellepour lui sont assortis, presque d'ici 1932, créer 25.000 places nouvalles, Des automobilistes, passant la nuit der- comme pour les petits. ment.

Les grands rideaux croisés sont Lrès gracieux et dont'est-à-dire plus de 600 classes. nière route nationale, aux Pavillons-sousC'est raison de plus d'aimer une les laines des à fenttre pour vaus nent une uit ton plus « habillé quc les rideaux Ces indications ne sauraient, toutefois, Bois, ont trouvé inanimée sur la lachaussée Filatures de la Redoute, lesquelles Wte et blessée à avec exévaus grièvement pouvez renoncez pas à ce mouvement croisé par femme Honner une idée exacte des besoins de une cuter compte vous-même bien vite des vêtements rendit simplet,s et ravissants. de crainte n'ouvrir votre Jenétre qu'avec difficulté à l'aide ou se ventre. créations scolaires, étant donné les mo- au la malheureuse avait été renversée par Agnolaine, Grésilaine permettent de réaliser d'exquis chiffons d'une double tringle, que vous y parviendrez aisément. difications considérables survenues dans une automobile. La victime, reconnue pour pour les enfants: robes, paletots, éçharpcs. Toutes les Si mobilier rustique, en vieux chêne, vous mamans vous avez un la répartition interne de la population. être Mme Julis, cinquante-huit ans, il, allée tes connaissent et les tricotent adopterez, bien entendu, le rideau quadrillé, de style nora été En réalité, pour assurer la fréquentation rau-1-Dupont, à Livry Francine. mand. avoir Fft, l'hôpital Tenon Sans scolaire, là où il y a des enfants à ins- transportée il, connaissance. truire, il faillira d'ici 1932 créer 292 repris M. Gueudet, commissatro de Notsy-le-Sec, classes à Paris et banlieue. Cela nécessite la création de enpostes d'institu- enquête. Tombé dans l'étain fondu COMMENT ON ETEND L'ÉDUCATION DES FILLES TOUS LES BÉBÉS teurs ou d'institutrices et des dépenses usine une LE TRICOT QUE VOUS ADMIREZ cours de son travail dans Ses canons principaux de construction, sans compter les dépen- deAu compteurs, place des Etats-Unis. a demeurent les mémsa à Les vêlements de tricot se déforment si portent, n'en doutez pas, Madame, la culotte ses d'exploitation. Au total, un surcroît Montrouge, Ni. Raoul Tenter, quarante et un t lets siècles et, av* r fut de dépenses annuelles de 57 millions, ana, on les suspend à une corde pour tes faire extra-souplePetit Bateau », une des créadu Télégraphe, A Parts, aujourd'hui autrecomme récidans sécher, après leur faut lavage, Il donc un dont 14 millions pour Paris et 43 mil- pris d'un malaise et tomba pro- tions les plus ingénieuses et les plus pratifois, il précieux est Brûlé que céder fusion. autrement c'est-à-dire l'étain les de avec eua, lions pour le département. Mais c'est pient contenantla tête, il enété transporté faire sécher.plat, que, de l'habillement enfantin moderne. les petites filles sachent plauche, a sur une à par grièvement Ce vêtement, en coton blanc neige, frais dans la répartition de ces dépenses que à l'hôpital de Vaugirard dans un état etemple. coudre, raccommoder et comme l'épidémie des l'injustice apparaît flagrânte. tout-petits, tricoter. Ce qui n'empêche est de si Auparavant, on les aura bien pressés désespéré. nullement, d'ailleurs, quaiue quu supporte, sans Prenons, par exemple, la commune de entre les maints, afin d'en extraire le plus ucuu lingerie courtier Un dommage, les fréquents en qu'elles lavages connaissent aussi Neuilly, pour laquelle cinq classes d'eau possible. Mais, surtout, qu'on ne les qu'exige l'entretien du trousseau de les déclinaisons maison patron seula latines! pillait son torde pas. lement devront être créées Chaque connaissance est directeur le certain d'ici 1932. La majorationoudeconstruites temps, Depuis un précieuse heure à dépense d'une En son el sert tour à tour. faisant achats, vos spéciaPLUS DE RIDES lingerie de Nogeut-fur-Marne, Alals vous ne m'entèuere: tout de- même pas annuelle ne dépassera pas 1UO.000 défiez-vous des imitaconstatait que a crédlt, fêancs, cest-à-diro que par rapport à la lisée dans la vente de l'esprit que la science du tricot peut renlions et extgez, inscrite revenaient lui- Les docteurs déclarent que la peau peut lui traites nombreuses de dre à une jeune fille plus de services encore chaque article: trivaleur du centime additionnel qui, à payées, avec la mention inconnu d cette manger et se débarrasser ainsi, ellecot, brassière, combinaison, euque celle des langues antiques. En faisant îveuilly, dépasse même, do toutes les défectuosités du francs, la sursoi-même ses putl-over bariolés, elle se dislotte, la marquePetit Bateau »; charge. pour les contribuables n'attein- Il déposa une plainte et M. Delma3, comteint et des marques de l'âge. traira sainement, d'abord, et puis réalisera c'est l'estampille de fabrique, la enquête qui dra pas 5 centimes. missaire de police, ouvrit uned'un Voici la plus grande découverte économie de beauté coquette. plït> Mtftttrt* une In nnvinitp aiithpntifit e«e assure la parfaite authenticité du mocourtier A Drancy, au contraire, la surcharge vient d'aboutir à l'arrestation {J'est faite depuis cent pourquoi toutes les petites filles D'éminent.s profesdèle. ne/usez imitations. les ans.

Emile Massau, cinquante ans, seurs disent que voire annuelle, en 1932, atteindrait 1.350.000 de la matsom, demanderont absorber, à peut leur institutrice de se propeau Votre Celui-ci coquetterie maternelle conservera au Perreux. rue Henri-Navarre, francs et comme la valeur du centime est 7, milüona grâce de alicertains la carte murale ses pores, curer accompagnée ainsi chers petits à silhouette .ordres des leur au nom vos gra- du livret explicatif coloriée à son patron ments préparés d'une façon spéciale A peine supérieure à 1.000 francs, c'est remettait et huit leçons.

L'envoi que en les cieuse, harmonieusement livrer proportionnée, faisait marpuis actifs, clients la nature donné des vaisseaux fait contre est mandat a au sang gracieusei.ioo centimes additionnels nouveaux qui de en un ou il, des complices.

6n vente magasins de nouveautés, bon- ment en prime en se recommandant de ce capillaires de la le pouvoir extraordidevraient frapper les contribuables Or, chandises Parmi ceux-ci se trouvaient les époux naire de digérerpeau neterte, blanc, layette. aliments de et les journal lorsque cette demande est ces

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l'heurn actuelle, les contribuables de ^euiily paient 189 centimes additionnels, ceux de Drancy en supportent 1.048.

Déjà le département, sur l'initiative de M. Henri •SelliflrT qui au conseil général l'ardent apôtre du droit de tous les enfants, renseignement, s'est efforcé de remédier à ces inégalités. 11 a secondé ministrntion, d'assistance et de scolarité.

Cet effort de solidarité entre les différentes parties de l'agglomération parisienne va recevoir une plus large application pour résoudre le problème scolaire. A partir de cette année, subvention départementale sera une attribuée ux communes pour leurs charges de personnel scolaire légalement obligatoire et leurs dépenses de constructions scolaires primaires et maternelles. Un crédit de 14 millions a été voté à cet effet pour 1928.

Pour que la répartition des subventions Boit équitable, voici sur quels principes elle sera basée On totalise pour chaque commune l'ensemble de ses dépenses de personnel et des annuités d'intérêt d'amortissement d'emprunts pour construction. On dégage du total de ces deux éléments le nombre de centimes additionnels auquel correspondrait la charge afférente à l'ensemble des communes si elle était assumée par le département on impute à chaque commune, comme charge nette a supporter pnr son budget, la somme que produitrait sur son territoire la mise en perception du même nombre de centimes la différence entre cotte somme et la dépense constatée pour les charges assumées est couverte par la subvention départementale. Aristide Véran.

A

CréLemaire. débitants de vins, 66, rue deopérée perquisition Une tell, a Salnt-Maur. d'une à cette adresse amena la découverte grande partie des marchandises détournées. ainsi que Mme LeLe étrèW'eirtni dépôt te débitatn maire ont s'occuper de ses liberté laissé pour été en a Louis Caucomplice, enfants. Un troisième l'Armisde Impasse delon, habitant 2 bis, fuite, la est pris qui Saint-Maur, a lice,

activement recherché. atteint une vlngtatne Le montant des vols de mille francs.

PUTEAUX. « Fructidor donnera ce 22. h.

30, 20 rue Roque-de-Fillol, une scir conférence contradictoire M. Lucien Le Foyer, ancien député, traitera du désarme"moKTREUII-SOUS-BOIS.

Un

sexagé-

NI. Yves Hurrien, 54, boulevard Rouget-<le-l'lsle, qui. ces jours derniers, avait été renversé rue de Paris par une automobile, est décédé il son domicile des

naire,

suites de ses blessures.

SEINE-ET-OISE Les accidents de la route Route Nationale, à Etampes, M. Gull-

toux, vinsrt-^pt ans, demeurant à Mortgny-Champigny, a été renversé par l'automobile de M. Jacques de Barrai, employé de commerce a Paris. Dans le choc. '1 a é;<% grièvement blessé et est décédé à l'hô-

pital d'Etampes.

Route Nationilc, prés de Lirao"rj, NI. Pinault. maréchal-ferrant en cette localité, qui passait à motocyotettte, est entra en collision avec l'automobile de M. Cajtnnt, Jardinier à Forges-les-Bains. Grièvement blessé, M. Pinanlt a été transporté Il i'iïû-

pital

de Dourdan.

Une victime de l'accident de Ville-d'Avray succombe à ses blessures Nous avons relaté, hier, l'accident qui se produisit, dimanche, à Ville-d'Avray et dans lequel un taxi-auto, après avoir accroché un camion, faucha deux passants puis capota.

L'un des passants, Mlle Judith olivier, 1, chemin des La 3M audition de la « Sirène soiiante-trols ans, demeurant localité, Deux-Etangs, cette est morte, la aura lieu, au gymnase Huyghens, le 25 nuit dernière,enil, domicile, des suites de son mars, avec un programme très attrayant. blessures. ses Retenir ses places (7 francs) a M. Josse, il, rue Emile-Dubois (stège social), où ASNIERES-SUR-OISE. Des cambrioleurs les musiciens sérieux et de talent peuvent Venir s'inscrire tous les dimanches mattn. ont visita la maison de M. Léon Charron, La musique de l'Association sportive artiste peintre, 19, avenue d'Orléans, à Paris. de la préfecture de police (directeur M. Hleu) En l'absence du propriétaire, le montant du prêtait son précieux concours a la soirée vol n'a pu être évalué, mais Il paratt Imporde blenfalsance que donnait « Amicale tant. Les malfaiteurs ont, en outre, brisé à la salle Wairram. L'Harmonie des gardiens tout le mobHlcr.

BEATJM0KT-STJR-0I8E. Des cambrioleurs de la paix décèle dans ses exécutions une musicalité disciplinée et un souci remar- ont pénétré, 17, route Nationale, dans la villa quable des nuances. La Symphonie de la de Mlle Marguerite Pillard, institutrice Cité (directeur M. Lagier) apportait égale- Paris, 111, avenue Parmentior, et ont dérobé ment l'appoint de son jeune talent pour pour 3 sci francs d'objets de valeur.

CORBEIL. Accablé de misère, un ouvrier accompagner l'acte du Jardin (Faust). ce qu'elle fit de son mieux. Un bal termina ce mégissier. M. Victor Ginisty, soixante-trois beau concert familial, profitable Il la colonie ana, s'est pendu en son domicile, 40, ruo Saint-Spire. tle vacances.

Présentée par M. Olneste, l'Harmonie LE RAIlfCY. M. Grenier, juge de paix (directeur, M. A Montmorency a été nommé sur sa demande1 pais VlnccnnoL» Meyer), dorai» sa première audition au au Raincy, PERSAN. Ce soir, il, 20 h. 30, salle de la profit des colonies scolaires et du monumairie, sous les auspices de l'U. P.. ronInent Beethoven. M. Granville fit une courte férence du docteur Pierre Vachet, protesconférence sur le génfal compositeur. Arseur à l'école de psychologle, sur l'éducatistes et musiciens obtinrent un succès tion sexuelle devant l'opinion.

IDérlté. U. Huguin. malre, présidait, enSAINT-OUEIf-l'AUMONE. Route 'tatlotouré de MM. Rtfral et Mauclaire. cycliste, M. Paul Betienne, trentenale, de chevalier d'nonun Promu la Légion ««m, rue Basse, lieur, M. Albert Vernaelde compte près d'un sept ans, employé de bureau, 22,l'automobile été renversé par Semi-siècle de services orflclets, dont qua- il. Pontoise. a dans 1'Otse. rante-six années à l'Ecole normale et trente de M. Doutuleau. cultivateur le cycliste été transblessé, Grièvement a Tout ce et une années au conservatoire. demande, l'hôpital, puis, sur porté Il sa d'adeptes lui l'orpliéonlsme compte que ramené son domicile. adresse de chaleureuses félicitations.

BULLETIN ORPHÉONIQUE

1'

Les

transformer en cellules et tissus vivants.

Le meilleur menu journalier pour la peau est le suivant crème fraîche et huile d'olive prédigérées (non grasses), 5 ce; graisses cégételes émuMmmées (nou aras-tes), +0-co.; hi/drates de carbone .tpécialement préparés, 2 ce. Toits les ingrédients ci-dessus sont malnlenant contenus dans la Crème ToHalon le meilleur et le plus nourrissant des aliments dermiques connus. L'etle remarquable crème, aliment pour la peau, rendra votre éplderme plus frais et le revivifiera d'une façon presque incroyable, même en quelques nuits dix jours suffiront pour commencer a effacer vos rides, arrondir tes joues flasques et reconstituer tes tissus de votre visage et de votre cou, qui en ont le plus besoin, en les rendant fermes, saxni et pleins de fraîcheur. Vous pouvez constater ces résultats surprenants dans votre propre miroir. Sfnon, les préparateur., vous rembourseront votre argent. Maintenant, le& femmes de cinquante ans peuvent facilement en paraître trente et obtenir un teint qui fera l'envie et l'admiration de toutes leurs amies. Employez toujours la Crème Tokalon, Miment pour la peau [couleur rose) le soir, et la Crème Tokalon, Aliment pour ta peau, non grasse (couleur blanche) le matin. La crème rose est la plus nourrissante pour la peau, mais il est préférable d'employer la Manche dans la journée car, outre qu'elle est un aliment dermique, elle rend la poudre de riz parfaitement invisible et extrêmement adhérente.

LES SORTIES DE BÉBÉ Quelques mamans oublient volontiers

l'air est indispensable aut petites et queque la sortie quotidienne leur est nécessaire. Tous les hygiénistes sont d'accord pour la conseilter.

Que les mères s'arrangent donc toujours pour ménager 4 leur bébé une on deux heures de plein air, chaque après-midi.

Quand te vaut sera violent ou qu'il pleuvra très /ort, on ne sortira que durant une demi-heure. L'enfant s'aguerrira à ce régime et sera prêt supporter, aans en souffrir, le.s rigueurs du froid.

Tromperie sur la qualité de la marchandise vendu*

Jugement des

juillet 1926 et mars 1927 correctionnel La 10' chambre du tribunal de la Scine a rendu le jugement suivant dana juillet 1926. son audience du Après plaidoirie de M" Hérold pour le Comité tntersyndical du commerce des combustibles, contre RENARD, négociant en 29

cornbuMibtes à Paru.

11,

rue de Boucry,

sous la raison t COOPERATION DES PROPRIETAIRES ».

Le tribunal, après en avoir délibéré con-

foiiiirtiM'nt a la loi Attendu qu'il est constant d'après le rapport de l'expert que RENARD a vendu Il Kauffmann de l'anthracite anglais extra qu'il lui a fait payer 4M francs et qu'il lui a livré de l'anthracite d'Ecosse qu'il lui avait offert précéd^mmont, le 6 Juillet comme galtletin d'anthracite anglais, francs première qualité, au prix de qu'il n'est point douteux qu'en ce faisant RENARD a commis le délit de tromperie sur la qualité de la marchandise sans qu'il y ait lieu de rechercher dans l'espèce si la livraison d'anthracite d'Ecosse est possible en présence d'une commande d'anthracite

anglats qu'en effet, Kaurxmornn avait demandé de l'anthracite pur et excellent, dûtIl le payer plus cher que la majoratlon du prix n'était pas en rapport avec la quahté de la marchandise vendue.

Par ces motifs: déclare RENARD convaincu trompe d'avoir, à Parls, le 28 aotïi marchandise vendue a la qualité la de sur Kaurrmarm à qui Il avait offert le 8 juillet au prix de 365 francs, de l'anthracite anglais de première qualité extra, et qui il a livré ce même charbon d'origine écossatse, primitivement offert conmie ayant une qualité du prix de 365 francs, le fournissant comme répandant il sa commande en le lui facturant comme tel sur prix de 425 francs, délit prévu et punl par l'art. I" de la lai du août 1905.

Faisant l'application de l'article précité, dont lecture a été donnée par le président et qui est ainsi conçu « Quiconque aura trompé ou tenter de tromper le contractant sur la natiir". les quulilés substantielles, la composition et la teneur on principes utiles de toutes marcharoilses, sera puni de l'emprisonnement pendant trois mois au molrre, un an au plus et d'une amende de francs au mollis, de 5.060 crancs au plus ou de l'une des deux peines seulement. » Condamne RENARD Il s.OOO francs d'.imenrîe et, statuant sur les conclusions de la partie civile, condamne RENARD jiar touf's voies do droit et même par corps Il payer à la partie civil!» la somme de francs à tltrc de dommages-Intérêts.

Ordonne il titre de supplémentes de (!ommages-lntérêts l'insertion par extrait du présent Jugement dfljis deux journaux, au choix do la partie civile et aux trois f!« RENARD, sans toutefois que le montant de chacune de ces deux insertions puisse excéder 100 franc».

Le condamne en tous les dépens du présent jugement.

CHAMBRE DE

U COUR D'APPEL DE PARIS

Arrêt du 15 mars 1927 chambre de la cour d'appel de Paris, La par son arrêt du 15 mars a conOrmé le jugean'eut dans les termes suivants La cour Statuant sur les appels interjetés par RENARD et le ministère public du jugement sus-énoncé et y faisant droit Adoptant les motifs des premiers Juges Confirme le jugement dont est appel Réduit toutefois a ".000 francs l'amende prononcée contre RENARD; Ordonne que pour le surplus le jugement

entrepris sortira effet

Condamne RENARD aux dépens d'appel; Fixe :,il minimum la durée de la con-

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Vaudeville. piano, 19 45, au Informations; dix minutes de musique. syncopée Clare Trlx, musique Tom an Kermesse villageoise (Filip12 h. 30 Mabel Marie de Pletro, banjo puccl) Oh 1 quand je dors (Lalo) Sym- piano Const.induros et Mlcbael Hogan Sérénade comédie. phonie légendaire (Godard) les (Aubert) Romance (rtacûmaninorf) 20 h., causerie de Robertson ScOtt enr Angélus (Debussy) Séréna1e (A. Wolff) l'agrlculturo anglaise (Daventry seulement). les Saltimbanques (Ganne) Russian dance 20 h. 30, récital Perclval Garratt Jennie (l'rlml) Hansel et Gretel (Humperclinck).

Bleasdate, soprano P. Garratt au piano 15 h. 15 Callirhoé (Chamlnade) Lamento Prière, Barcarolle, Rosés. 20 h. 30, Prélade <Ph. GauberQ Papillons (G. Fauré) Suite sur la chant d'Azincourl Arabesque Trois anglaise, en la mineur (Bach) Juoa (ffatha- transcriptions Menuet (Beethoven) Solfenlei Dett) Prélude en ré bémol majeur •gielto (Bach) Gavotte (Gluck). 20 h.

44, (Chopin) Sophie Berceuse Deux chansons enfantines.

Seguidillas (Albcnlz) (Levadé) Introduction et Rondo caprlccioso 20 h. G0, Fantaisies de Londres, op. 50.

(Saint-Saëns) Chant du muletier (M. Pesse). 21 h. 15, causerie de sir Walford Davies sur h. 45 cours d'anglais. 20 h. 30: la Nuit vénitienne (Musset) Magnificat (J.-S. la musique.

Daventry (5 GB, 491 m. 8, 30 kw.). 15 h, Bach) Chansons à boire, M. Louis lièrent du'Rivolt Théâtre. 16 h. musique orchestre Mélodies anglaises, Mlle Sivry l'orchestre militaire Marche de la Suite en fa (llolst) de BalalaUclstes. de Rienzi (Wagner); A des oiseaux ouverture TOUR EIFFEL (2,650 m., 12 kw.).

(Hue) Sur les rives du Minnetonka (Lleuh. d5 à 19 Il. 10, le Journal parié par rance) Chante, doux oiseau (Ganz) PailT. 8. F. M. Paul Vltry « Au musée du lasse, sélection (Leoncavallo). 16 h. 45: Louvre s; M. Paul Dermée Les livres à Romance en fa (Beethoven) Tableaux chantlire •. 19 h. 20 19 h, 30, silence pour la pêtres (Fletcher). 17 h. 15 Quand tu es météo de Madrid. 19 h. 30 il 20 1L 30, con- loin (Landon Ronald) Oiseau d'or (Haydn-cert -.Prélude et allegro (Pugriant-Kretsler); Wood) le Danube bleu (Johann Strauss) Scherzo (Dltterrtorf) Agnus Vei, sur une Andantino (Martini) Gatrotte (Gossec) Style mélodie islandaise de H00. arrangée par menuet (Pugnanl) Torero, valse espagnole Clarence Lucas; Hommage Rameau; Reflets (Transtateur) Deuxième Rapsodie hongroise dans Veau; Mihstreïs (Debussy); Andantino (Liszt). 17 h. 45 pour les enfants chan'CPadre Martlnt-Krelsler); Fugue (Tartlnl); sons causerie.

Mary Ashmen, violon VAtreille (Schubert); trois chansons popu- 18 h. 45 musique de danse. 20 h. récitai laires de l'Islande, arrangées par Sv. Wagner les Maîtres chanteurs de NuremSveinbjorsson la Mer, Berceuse, Mélodie et berg, onvepture Jes Adieux de Wotan et l'Incantation du feu, dans la Vàtkyrie demi-heure la populaire; Université h., Idylle de Siegfried introduction du ttroitdes21 voyages, M. Desdomalne-Hug'on « La slème acte de Lohengrin. h. monovie pratique aux Etats-Unis » M. Gaston logue de Sacbs, dans les Maîtres chanteurs Mlle Jacque- la Chevauchée des Valltyries deux airs de firos « Mœur3 des peuples Hollande line BortilloB Tannhteuser; ouverture du Vaisseau fan». tôme. 21 h. 30 variétés Raie de Costa, PARIS P. T. T. (458 m.. 0 kw. ZOO).

(Bizet); musique syncopée Dudley Rolph, musique l'Artésienne 14 h., radio-concert 22 h. 15 à 23 h. 15 Faut-il légère.

Thaïs (Mas(Duclos); sérénade Mélodie et seaot); Au, matin (Godard); Dernière aubade Imposer les célibataires ? » Divertissement des Erinnycs Manchester (384 m. 6, 1 kw. 5K 13 h. 15, (Lacombe) (Massenet). 15 h., depuis le Collège de concert du Houldsworth Hall Récitai de France, diffusion du cours de M. Jean piano par Claud Blggs. 15 h. 50 QuatUOr Izoulet « Rousseau d'après sa correspon- de la station; le Soldatvalse Ortheris, ouverture (waldteufel) dance inédite en cours de publication. et (Auselli les Sirènes, il.. depuis Petite Suite (TschalkowskY). 16 Il. 15 FloAngusle Comte et l'Eglise. le Collcg'! dé France, diffusion du'cours de cons de netge (Cowen) Now steeps the Les communautés coopéra- crimson pe(al (Quilter) M. Ch. Gide bien-atmée, 17 h., depuis le Collège de France, c'est le matin (Aylward) Ma tives.

Secret (Wolf). diffusion du cours de M. Ed. Le Roy, mem- 16 h. 30 Musique de ballet des Vêpres bre de l'Institut « L'évolution de Tlntelll- Siciliennes (Verdi) Pizzicato et valse de cours d'anglais. 21 h. -soi- Sylvie (Delibes) les Cloches de Corneville, gence.. 20 b..Poète et paysan (Suppé); les sélection (Planquette). 17 h. 1: Causerle sur rée de pala Cloches (Debussy); la Brise (Ch.-M. Wldor); la Salnt-Valentln.

18 h. Orchestre du ThéâRomance en fa (Beethoven); Carnaval et tre Royal. 19 h. Causerie de M. Travls mascarade (Lnlll): plaisir d'amour (Martini). Jenklns Voyago dans l'océan Indien. m h.. causerie La semaine extérieure ». 19 h..45 une fois. cantate sur Faugères; concert Petite l'histoire deIl laétait par M. Pétavy de(Paul Belle au bois dormant Vidai); des DraAir suite espagnole musique de Liza Lohmann cher et gons de Villars (Maillard); Pastorale (César orchestre de la station. fmatik);.Cigua (Wormser).

IRLANDE. Dublin (319 m. 1. 1 kw. 5).

-RADIO-VITUS(302 m. et 37 m., 1 kw.).

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LYON P. T. T. (476 m., 3 kw.). h. 25 concert.

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BELGIQUE. Radio-Bruxelles (508 m. 50, Bourse. kw.

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20 15 concert par l'orchestre T. Paris T.. ou 20 h. 30 Relais des P. de la Marche station (Harold Arpthorp) Marseille.

Chanson de jeune fille (Dupont) Valse RADIO TOULOUSE (392 m., 3 kw.), (Chopin); caprice Sérénade (Widor). h.30: 20 10 h. 15 Some ttmes l'm happy. pefnlres originaux (Gauguin), cauquelques 12 h. 30 Sa-lu-ta. serie M. Jef Dillen, critique d'art Cinq 1S h. 45 concert Gladys (V. Pug-M); Clo- étudespar piano (Chopin) Amoroso (Marpour che* dans le soir (W..Qûrtcer). Just ana- sms) le faputon (BenHixr. h.: fantâlMe" thér day (Ch. Toblas) Cantique aamnur sur Manon (Mas><enet) (G. Brenimpromptu le Barbier de Séville (G. nos- tal) Rondeau (Jos. Jongen) Balabille (A. Georges) slnl) Une Faf,-« (J. Dartmont) My lovely Taye) Danse basque (Chauvet). 2t h. 45(de (J. Houdlère) la Petite Amie (E. Delmas) Hadlo-diirusion de la soirée de danses Au Moulin (E. Gltlet) la Ftlle du Tam- donnée par les orchestres du Palais de la bour-Major (Offenbach) Sérénade au clair danse Saint-Sauveur, a Bruxelles.

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40, 19 b. h. 55, concert.

40, 20 Retransmission de, l'émission 14 h. fa (1,850 m., après 17 h. 40, t,950 m.).

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Aix-la-Chapelle (400 m., 0 kw. 75).

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30 Il 14 kw.

5).

3 h.

30, concert.

18 ITALIE. Rome (449 m., 1 R0, 3 kw., danse.

45 m. 1 AX). 16 h. 30 à 17 IL 30 h. 40 légère.

21 musique de soirée 19 h. 45 3, Naples m. danse.

23 Il Concert de musique variée.

1 kw. 5). 15 h.

Milan (3t5 m. 8, 1 kw. 5. Relais sur Concert.

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Opéra-Comique. 8 h. 15, Angela, tyran de Padoue, Odéon, 8 h, 30, le Jeu de l'Amour et de la Mort, le Bocal vert.

Galté-Lyrlque, 8 h. 30, la Basoche.

Trianon-Lyrique, 8 h. 30, Lakmé.

Variétés, 8 h. 30, Un miracle.

P. St-Martin, 8 45, le Carnaval de l'Amour.

Th. de Paris, 8 45, Coiffeur p. dames (Dearly) Gymnase, 9 h., le Venin (de Bray, Morlay).

Sarah-Bernhardt, 8 h. 30, l'Insoumise.

Renaissance, 8 h. l'Arpète (Parisys), Antoine, 8 h. 45, Amants (André Brulé).

Palais-Royal, 8 h. 30, Une femme dans un lit.

Marigny, 8 h. 30. Venise.

Mogador, 8 h. 30, Rose-Marie.

Ambigu, 8 h, 45, le Père Lampion.

B.-Parls., 8 45, Au temps de Gastounet, rev.

Femina, 8 h. 45, l'Image.

Mlchodière, 8 h. 30, Vient de paraltre.

Athénée, 8 h. 45, Nicole et sa vertu.

Madeleine, 9 b, l'Homme a l'Hispann.

Edouard-VII, 9 h., le Blanc et le Noir.

Nouveautés, 8 h. 45, le comte Obligado.

Châtelet, 8 h. 30, l'As du volant.

Théâtre de l'Avenue, 8 h. 45, le Rabatteur.

Scala, 8 h. 45, En bordée.

Com. Ch.-EIysées, 8 30, Léopold le Blen-Almé.

SPECTACLES ET CONCERTS

Le programme de la soirée de gala qui sera donnée le 24 février au Paramount (exVaudeville), au profit des sinistrés d'Algérie, comprendra une partie artistique algérienne d'une grande originalité. ,la projection d'un documentaire sur les Inondations dans la région d'Oran et un nIm sur la grande Kabylie. Enfin, au cours de cette soirée, Duel, le film de M. Jacques de Baroncelll, sera présenté pour la première fois.

Les revendications des marchandsdes quatre saisons

Mathurins, 8 h.

fraternelle

des anciens combattants de la batellerie tiendra son assemblée générale le dimanche 26 février, à 10 h, 30, dans les salons du Paris-LyonVeaux Palace, 11, rue de Lyon Il Paris.

Après rassemblée générale aura lieu, à midi, un déjeuner amical, sous la présidence Porcs poids vif première qualité, 7 40 du général Gouraud, gouverneur militaire deuxième qualité, 7 troisième qualité, S 30. de Paris de MM. Yves Le Trocquer, ancien ministre, et Adolphe Chéron, ancien député On cote approximativemeni les 50 kilos Boeufs. choix, 410 Il' 450 première que- de Paris, présidenta d'honneur de raseoflté, Il 415 entre-deux, 325 à 385 four- tiation. nltures, 250 Il 330.

Génisses.

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Vaches. 2(0 k a 200.

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230 Il 285.

Veaux, Brie, Beauce, Satinais, 630 Il 700 manceaux. service. 490 à 575.

Moutons. Choix, 640 à ordinaires, 520 à 580 agneatu, 570 Il bonnes brebis, 500 Il vieilles, 340 à 390.

Porcs (le kilo, poids vif).

Extra, 7 50 maigres, 7 à 7 50 gras, 6 80 Il 7; Midi, 6 80 Il 7 Ouest et Centre, 6 80 Il 7 fonds de parquets, C 80 à 7; coches, 4 80 Il 5 60.

Le navre, 13 février.

COTONS.

Clô-

ture Il terme, les 50 kilos février, 603 mars, 603 avril, 602 mat, 603 juin juillet, 593 août, 595 septembre, 593 octobre, 589 novembre, 588 décembre. 588 janvier, 588. ventes 2.800 baltes.

CAFES. Le Havre, février.

Clôture a terme, les 50 kilos février 50 mars, 510 avril, 501 mal, 493 25 juin, 491 25j Juillet, aoflt, 475 75 seplembre, 469 50 octobre 466 25 novembre, 463 25; décembre, janvier, Ventes 3.250 sacs.

LAINES. Le Havre, 13 février.

Clôture Il terme, les 100 kilos prix sans changement.

SUCRES. Clôture courant 239 et 239 mars, 240 avril, 241 3 de mars 24t 50 3 d'avril, 242 à 242 50 3 de mal, 243 50 3 d'octobre, 229 à 229 50 3 de vembre, 229 50 et 230. Cote orflcielle no238 ALCOOLS. Courant, N mars, 1.220 N; avril, 1.220 N; mal, 1.200 N Juin, BLES. Courant, mars, 156 50; mars-avril, 25 4 de mars, 157 7! malJuin, 158. Cote officielle du blé. disponible 149

à

151 50.

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Ba-Ta-Clan, 8 30, Ta bouche (J. Chelrel). réunis .Bourse du travail AUX BORDS DU RHIN tretenir de leurs revendications.pour s'en- Crolz-Nlv. (th. iiren.), 8 30, Œdipe et le Sphinx Malgré l'opposition que font à ce projet B.-du-Nord, 8 h. 30, Béguin de la garnison. les grandes maisons d'alimentation, ils ont 3.84C 253 AU PAYS DE LA VALSE AUJOURD'HUI. Vaches 1.874 127 681 296 décidé de réclamer le droit de vendre toute répétition générale Th. de Grenelle, 2 n. 45, du nouveau spectacle la Journée Taureaux.

15 des Comédiens de la Ils renouvelé veaux ont le 130 i71 309 vœu, déjà émis, d'être et le Sphinx, tragédieCrolx-Mvert • Œdipe SUR LE LAC ROMANTIQUE 25 autorisés en trois actes de à arborer Moutons. U.764 370 des placards de publl- Joséphln Péladan; d86 700 Porte-SaJnt-Martln, 8 h. 45, cité leurs petites sur voitures.

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