Le Progrès de Bel-Abbès du 03/10/1900

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Le Progrès de BelAbbès ["puis" de SidiBel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 1893-1962.

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N" 1512

:

LA DOTMILITAIRE

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pensée qui.a prévalu dans les de* crets de 1875 reproduisant l'ordonnance du maréchal Soult a été de mettre en garde l'officier, de .son vivant, contre la gêne domestique et de le préserver des unions inégales. Ce fut surtout une préoccupation une recherche de aristocratique, sélection bourgeoise. La défense faite aux officiers d'éa pouser les femmes sans fortune soulevé bien des critiques et a suggéré surtout de sentimentales protestations. L epaiilette devenait ainsi un obstacle à l'amour. L'argent, qui ne domine que trop les alliances

Paris, le 27 septembre 4900. La population reliant stationnaire et le nombre des mariages diminuant, tout ce qui peut tendre, à favoriser les unions et à développer la natalité doit être encouragé, apA ce on ne saurait blâprouvé. titre, mer une décision récente du ministre de la guerre, abolissant l'obli de la dot gation réglementaire. Nous signalions, l'autre jour l'inutilité du droit an d'opposition de mariage, lorsqu'il s'agit majeurs de vingt-cinq ans, puisqu'il suffisait civiles, régnait despotiqnement sur d'actes de procédure rendre l'armée. Le militaire devait se pour préocinutile la résisance des ascendants. une 'cuper avant t< ut de chercher et relative condition-~ dot. Si la L'opposition, compagne qui l'attirait avait toute.- les qualités désirables, nelle, que la loi met. au mariage des oifi i rs, est tout aussi vaine. mais marquait des'trente mille les sous-officiers et francs de Oiisaitqne capital exigés par le misoldats ne peuvent se marier qu'avec nistre, il fallait renoncer au bonla permissioïKde leur chef de corps heur promis. La jeune fille pauvre^ et après ia justification la femque qui sentait son coeur battre en prédes - m^a sence d'un jeune officier ..'Walt, moyens d'existence honosilence à l'imprévoyant imposer Pour les officiers, une ordonnance viscère, en se disant que le bel du maréchal Sonlt fixe la dot de la amoureux ne pouvait appartenir femme à douze cents francs de renie. qu'à une rivale possédant les écus Cette obligation se justifia Cette rigueur de la par difréglementaires. férentes raisons : la première est loi a fait, pleurer bien des beaux une pensée de préxoyance. L'officier, yeux. tué à la guerre, ne laisse pas sa veuve De son côté, l'officier devait honsans ressources ou réduite à une nêtement s'éloigner des demoiselles insuffisante pension. à marier n'ayant pas la dot voulue. Comme, depuis trente ans, les ofIl lui fallait donc, dans un de ces ficiers tués à l'ennemi ont été en bals comme il s'en donne fréquemment dans les villes de garnison, petit nombre, aucune guerre continentale n'ayant eu lieu, la seconde avant d'inviter une jeune fille à

ruine

qui se mène contre nos communes de plein exercice. Ce n'est pas lui qui l'a insson . avis, je pirée ; s'il avait eu à donner suis persuadé qu'il n'aurait rien perdu, dans cette occasion, de sa vieille et solide réputation de libéralisme.

La plupart des communes de plein exercice demandent à être mises en possession des communaux dont elles jouissent depuis leur fondation. L'administration supérieure ne veut leur en donner qu'en faible partie. C'est la ruine qui les menace ! J'ai mis directement en cause — dans cette grosse affaire" des communaux, qui intéresse, à un si haut degré, nos communes de plein exercice ^-.la haute administration de notre grande colonie. On verra,-

Placé près des colons; le Service des Domaines algériens sait parfaitement, quels sont les besoins de la colonisation. Il n'ignore point quelles sont les conditions de suc: ces les plus élémentaires pour un village ! et pour ses habitants. Personne croira que, j consulté dans cette affaire des communaux, ! il eût fourni, en haut lieu, des conclusions de nature à déterminer la rapide décadence de ÏJOS petites agglomérations —rurales, cellules

vivantes

et primordiales.de la colo11 n'eût point lésiné, nisation algérienne. pensant que si, par hasard, quelque comde communaux, mune, largemeat pourvue venait à jouir de ressources sérieuses, l'ensemble de la région en eût profité, tous les

par la suite, que la lutte s'est engagée entre le service des Domaines et. les conseils mu-

ans, sous la forme chemins vicinaux^

nicipaux des communes menacées. Mais le Service des Domaines n'est là que comme

rl'améliorations-de

de grands de canaux

travaux,

de

d'irrigafion,-

toutes sortes.

Dans ce grave conflit qui s'élève entre nos intermédiaire entre A'ger et Paris d'une communes et l'Etat, l'administration-domade l'autre. Il est~ niale de la Colonie est le bras qui exécute part, — nos municipalités Il appli• les ordres r<;çus les instructions tout simplement agent d'exécution. données. Ce venues d'en haut. 11 n'est pas aux bras que nous devons nous en que les instructions n'a point pris l'initiative de la campagne de ;' prendre, mais à la tête qui a conçu le triste

de: l'officier marié à ! da^s*.^ s'enquérir suprès du notaire, ^riîm:o;hïe;nsë ou des parents de la situation, defor-^ /une fille sans d<it, n'est cependant nullemenl incor;ipaïible avec les detune de sa "danseuse, afiii-de besoin t ! faire naître des bon mili- ifréalivoirs et les services^d'un osp/rances ! sans sables. Il y avait aussi, dans, cette ; taire. On peut être pauvre l'uniforme comme sous honte, sous I obligation de la-dot. le grave inconaura droit à la blouse,; et l'officier vénient social de rendre impossibles d'autant plus dérespect et des régularisa: des réparations qu'il aura se marier selon son lions que l'intérêt social doit favosacrifié, pour une riser. coeur, la chance de rencontrer héritière. de l'obligation déjà L'abrogation L'armée'en sera-t-elle moins bondes dot militaire- présentera -telle inconvénients ? C'est fort probable, ne, moins dévouée, moins prête au :sacrifice et a l'héroïsme, parcequ'elle . D'abord il y aura des unions disprocontiendra un certain nombre d'ofet l'on peut prévoir, portionnées, ficiers dont l'existence sera modeste dans les milieux des militaires^ et non tapageuse et dissipatrice? scissions profondes, des séparations Ce serait, une erreur de le croire, et tranchées : les daines d'officiers mal'histoire nous enseigne que ce sont riées à l'ancienne mode, un peu orles Scipion et les Cincinnatus, pludotal, gueilleuses de leur apport : feront-grise mine aux nouvelles ve- tôt que les Lucullus et les Crassus, | nues. Ceci n'est pas fait pour resqui donnent l'exemple des vertus f serrer les liens et guerrières. régimentaires Le danger social résultant du donner au corps d'officiers la cohéveuves sans resI| sion familiale si denrée par les cogrand nombre de sources est à considérer. lonels. II L'obligareménient en partie. On pourrait "besogneuse des officiers n'ayant que une dier à ce péril en instituant le méleur solde pour entretenir caisse de secours spéciale pour les seront l'ordinagé. Les privations veuves d'officiers sans fortune, ou naire du couple serré. Il ne faudra assurance pas qiie madame veuille rivaliser de mieux en favorisant une dont les prisur là vie particulière, toilettes et d'élégance avec les épouseraient avancées ses dotées des camarades de son mes, assez faibles, mari. Il sera sage aussi que mon- :"par rEtat et récupérées à chaque sieur s'abstienne de fréquenter les, avancement ou au moment de la de la retraite de l'offiofficiers riches et veuille les suivre liquidation cier. Ceci est à exa miner, dans les parties de plaisir ou dans En somme, la réforme est hules dépenses supplémentai;r< s de costume et d'équipement. L'existence si sobre forcément,

plan que je dénonçais dans article.

mon

si

précédent ~ ;-

dans les Dams J'expos-é qui va suivre, documents que j'aurais à publier, on verra dû les propositions souvent la signature, le cou^ des Là n'est Service Domaines, point faut attaquer. pable. C'est plus haut qu'il absorC'est contre la haute administration, dont bée par des préoccupations politiques elle m devrait avoir cure, que nous avonsde nous élever. De deux choses ifi-droit des : ou elle a suggéré au Ministre l'une Fi nançes les résolutions, dont nos commua à juste nés de plein exercice se plaignent un'.crime et alors elle a commis de titre, elle n'a su les où empê^ .lèse-Algérie ; pas cher, et dans ce cas, quel est son rôle*, à que produit-elle pour cette quoi sert-elle, voit à chaque instant Algérie française, qui intervenir dans f administration supérieure à où elle n'a An des batailles politiques voir, mais qui ne la voit jamais produire pour la quelque chose de vraiment utile ' colonie? :: N'est ee pas à elle qu'incombe la"protection des petites communes ? Les préfets, de lépar la loi; n'en sont-ils pas les tuteurs inspas à chaque gaux fN'intefviennent-ils dans tant dans les questions budgétaires, des. communes l'administration journalière iniet trop souvent pour .«nlrâver d'utiles

maine, généreuse, démocratique. Elle ne constitué pas une grosse ré-

tiatives, pour empêcher d'excellentes choses, dépenses ou pour arrêter d'indispensables des travaux qui seraient féconds ? N'en estil p: s de .même du Gouvernement général ? Ne le voit-on pas à chaque instant se mêler à Fadministration de nos unités administraet rurales ? Quel était donc, urbaines tives, son devoir, quand il s'est vu saisi des réclamations de lanf de communes qui deà être mises en mandaient possession de leurs communaux, dont saient depuis leur création.

elles jouis-

Son- devoir était de s'interposer auprès du Ministère dès Finances, représentant l'Etat de prendre en main |â cause de nos communes, de sefairé leur avocat, de défendre leur procès, de faire comprendre que la situation ne pouvait être la même pour des commuhfs d'Algérie et pour des communes de France, qu'aucune assimilation ne pouau des vait être établie charges suppoint à un pays portées, et qu'en conséquence, nouveau, il fallait appliquer, non les règles du vieux mondé métropolitain, mais les règles nouvelles qui lui convenaient. " Est il besoin de rappeler ici foutes les délibérations qui ont été prises par les différentes assemblées : communales, départementales algériennes '/ Les voeux émis ont été considérables. Ce sont les Conseils mu; nicipâùx

intéressés qui ont tout d'abord me-


LE PROGRÈS DE BElMlBÉ volution. Elle ne soulève pas les "clis^ eussions et les réprobations que peuvent attirerait général André ses autres récentes mesures. La dot réglementaire était ties souvent illusoire. Quand un Officier épousait une femme dépourvue des douze' cents francs de rentes exigés, ou bien il fournissait lui-même la dot, ou il trouvait un ami qui prêtait pour quelques heures les titres nécessaires, produit^ à la vue du notaire, et restitués aussitôt la passation du contrat. Ceux qui pouvaient palper réellement une d>'t l'en causeront comme par le passé, les .autre.-:., ceux qui devaient se contenter, de TJ'IIIH sion d'une figuration métallique chez le notaire, .continueront, et le changement sera médiocre dans les moeurs militaires. E. LKPELLETIER. \Lyon Républicain)

Dans

In liste

pour M.

M.

Baillot,

l'école

sous-lieutenant — Une annonce du

militaire,

spéciale

au

e^an-ivé.

rien,

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en.retr.-iit

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capitaine cli.

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que

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Directe à

ni-,

M.

La venue,

Bel-Abbès,

mois

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un,

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Fiance

tant

de

séjour

lui

souhaitons

rié avec

une

défense

de. leurs

mâle

la

bienvenue.

de campagne del'admiauprès

Ce sont

les

décisions généraux, qui par leurs à M. le Gouverneur ont demandé de tome

traité

qui dans

eu

commu-

financières

celle question par.des rapports les honneurs delà reproduction,

loutes

Comme le cri

plus vait èlre

assemblées, elles, il a

et

éneigiqu.e

dans algérienne toute autre autorilé,

que écoutée

l'Etat.

Comme

immédiate

l'action

où,

nos autres

d'alarme.

l'administration

des hauts

un

il ré

aux

les maires

débat

elle

représentants

pou-, de

démarches

faites

des communes

à

Alger

par elles

intéressées,

ne se comptent Ils défendaient une plus. cause juste. Ils demandaient simplement que

leurs

des produits

communes

ne fussent,

pas spoliées, dont-elles jouis-

communaux l'heure

saient,

même

de

leur

fonda-:

depuis Ils ne pouvaient croire n'obtienqu'ils de cause. des draient pas gain L'opposition ne leur- paraissait être que l'oppoDomaines fion.

sition

senter,

sans

courant, Mairie.

à

9

toute

locale'

d'un

service

jaloux

ref'ré

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.-.pour-

leur

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intre uix

Jeunesse de

la

de France

s-ront

infligées du..ler

haute

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même

risque

domaine

de

administration

serait

de

l'Etat. mise

les

Qu.-md

la

au courant

si légitime, ils triomde ce mauvais vouloir.

réclamatio'n,

vingt fois" que l'administration a supérieure été saisie par les maires de nos comn:unés de irès pressantes revendications, au; sujet des -demandes de mise en possession; de

de

attribués

communaux, unités,

dès

à

l'origine,

ces

n'a rien

la ruine

El'e

des communes-

laisse de

se

plein

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Que

, de

communal.'

contraire. un

certain

L'admr'nistrâtiôn':a

De la commune, nombre d'hectares

elle

On "do-

fait a

ts

détach.é

de terres.

Ces

terres, entre les nlains du Serqui étaient vice des ont été donnée*, Domaine, à titre de ««x Win MMIMUiVAlX,

d'inceu1

ICTIP

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un

i lent

Time'

q i,

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les

pour

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des",ti'oupes, ' da i s le ca 11al

passage

troupiers,

q'iel^'tes':

à une

Quand

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en

a. aucune

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t-oi|iMituées.

payent an. Cette

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dément

aux

ont réussi.

Elles

obtenir

ont

ce

plus des biens, dont

étendus.

pas Lés

comme

terrains

des

comme

territoire.

de pareburs

communaux, obtenait

dépassé,

La

aussi

été-.-'.donnés-

et nbnppur en. commune'n'a.:

qu'à: 1/lQ.dé la elle

:,".

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invoquées. suf fîsaii tes. :

de communaux ont

faible

depuis,

sont

communaux

tous lès communaux'dont serait

qu'une,

ressources

besoin

Si elle

par la Commission. de 2 heures du soir, des concours de boules, de

50 ; course

auv

tir

con.liûuamanille

et

dames.

pour de l'oie

à cheval, enlrée, en sac, concours de grima-

lauieafb

du

ia Ci uirii

detaccorJ, le diffère

tir

des concouis

pour dames, manille

jd

o

a

de

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v^c Mot

la

carabine

bou'e*

et

'

U

de

le

jugera c" c^ive et

-c i

sans

appel. Pendant

du matin,

les deux

de 6 à 11 heures jours, la cible, i - prix, un Lefauun revolver. Les canons prix,

tira

eheux,-.2v. et les armes rayés d;u tir. Dimanche

de précision

et lundi, à minuit.

sera-tirée

une

seront

exclus

tombola

grande

A 8 h. 1|2 du soir, grande et.feu d'artifice.

9 heures, rage à giorno.

retraite

grand

bal

aux

éclai-

champêtre,

J'en passe et des meilleures; Les réponses dé l'administration peu

sont

un

variées. ce jour les communes de plein constituées en communaux.avec

Jusqu'à exercice, un certain

nombre

mani.'des

d'hectares

de terres

do-

un franc

louées par an, avaient pu en partie du produit de ces communaux. Ils .constituaient pour elles une grosse ressource. vivre

son.

propriété

de.:

^jouissait,

le.;

ressourcé,

on veut

la

leur

à ---.; Ces produits indispensables à leur arracher. tence, on cherche Ainsi

enlever, leur

exis-

réduites

â la portion elles congrue, f are face à leurs plus dépenses Aucun travail ne pourra être ef-

rie pourront morales. fectué.

L'àdmirlistra-

jouit

raisons

des; revenus.locatifs',

droit,

demande.

?

laisser - elle

lui.

La -commune^a

du

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offert

depnx

.Cette temps. : dési-

une : demande.dé"

de ses communaux

n'a:

pleine n'a--

v ;^.;

fait-elle

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des-prix apéritif

les

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commune

création

elles

qu'elles

à leur

rapi-.

la

dont

de;

que, depuis quelques années, de radminisfrations A supérieure

tîp.'n ne. veut

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se mirent

exercice

Il a été fait droit

remisé

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en

qui nombre

la jouissance..Heureuses, qui 'n'ont pas perdu leur

que

- raient.

tirer

Un

pour communaux

cb.mnjiU.nes

:Une

communes

en insfance,

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du

fanfare.

nouvelle

devait, provisoire, dés .communaux

la remisé

de plein

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Elles

toute

la demande.

communes

et

partir,

A

.-du"

époque, de un franc par

Une location:

avec disparaître en une propriété,

distribution hommes

pour

heures en

flambeaux

. cette

depuis

location,

; réveil

S Î4

communes, à l'Etat

bord

A 6

carrousel offert par la. «La Joyeuse pédale Bel-Abbésienne». A 6 hem es, bal d'entants et di>li Lution

de:

campagne Gair •,-

a

Port

FÎnsi

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mutinerie

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seillement

'voit,

l'attitude

mixtes.

et

repris

déséi te .et fis'échappait nage, nissent à leur par se. rendre consulat^ s at a_u Oaire, soit aibeurs: ...

été appliquée/aux n'a pas conslilué maine

>i eso i1

boules,

ces et jeux divers. A 4 heures, grand

- essuyé

ont

Lundi.

!,d« tir à la. carabine -'- A 3. heures, jeu

à la

partie

immédiatenrent

t

S ii'z,'toujo-u-s

nos communes lorsque de plein exercice ont été créées—: et. la a également règle dont nous allons parler, communes

tioii

0 fr.

o .t éf

comrnenc

français,

exercice.

passé,

A

,

mêm

UJI

non

perpétrer

Et, comme elle ne peut arguerd'ignorance, les colons ont lé droit de dire en- est qu'elle heureuse et qu'elle les y pousse !

. nèur

e'ti- prises muti-

se.

q ie le (one^pond ail isi n a un ir<

Maisvoici

fait.

à là cible

sont

. eiix

eux

de

un

salve d'artillerie

A 11 heures,

Paris

is

navire-;''transportant Li >rs de l eu-

administratives.

Elle

transport

Guadiana,

tuer

a

sontnréconLïnts

et

en

produit

aux

novembre

Journée'du

40U hommes

avaient

d'entre

concours

cour-

1-- prix, une paire hommes, 2- prix, une paire de poulets. A 6 heures, bal d'enfants.

matin,

-Times

Guadiana, i itjis qiii

f

celte

canards,

rernbourseï'.

s'é-e-l-i-ipper-.'""'"-'".""..

mi-,

20

poêle et jeux divers. A 4 heures, tir à la orabine Lebel.au f" pour dames, 1" carton, un service prix, à découper d'une valeur de 25 fr , 2prix, un rond de serviette d'une valeur de 5 fr.

que,

«le IiégioiiiiaireM

d'entre

dont ama-

ne: fera,

â.liii

du

2500

2° Pour a

somm;?

-

fut

qui les livrets, ouquï le paiementde pour

à partir

—au

2.50 fi^ncs,

P u-leurs

s -inV'priés.da se préle faute, 7 i Onen Dimanche, heures du a la ; cinq, six matin,

amendes

-

autres

plusle prix 65 francs^d'Oi'au

du

, bible

'nstu

Port-

ù\-,

euro-

2prix, mouton, de Poker p.rix, une bouteille con; grand cours de manille, en'rée 0 fr. 50, 1-prix, une oie, 2' prix, une bouteille d'Ambroisie ; jeu des ciseaux pour demoiselles;; jeu de la

tesba-

à liord

du

défendre

de

,-"'

Quant

-

b

aisément pheraient Telle était leur pensée. Et l'âme pleine d'ilils allaient lusions, s'adresser au G-ouvërnement général, où ils espéraient-.obtenir justice. Ce n'est c'est pas une fois, dix,, ê'i-sl

! la plupart des organes de la colonie n'a non le Conseil supérieur Enfin, pas plus gardé le silence.

a jeté clamé

cotisations,

de leur

général pour arrè

nos

qui menaçaient ce sont les délégations

ont

Conseils unanimes

son autorilé

1er les ruines

ont

cai

prochain.

la

énergie, intérêts

supérieure.

qui

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jardin

à l'hôpit il. Nous né parlerons cette f •is-ci . du des point. nettoyage; arbres ni de le a ciel y -y.",nt l'arrosage, 'h ; uivusc mi? n t poti r e i1x abq.i.)/-a mine i. t

ioparte-

Bonnal'o/fïd.

e^t

Sig

suppléant

à Bel-AbLès,-en

et

I

algé-

instituteur-adjoint de i'Jinan.-.

iganem^urue

gnjîës;.

|)ùint

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Enseignement ï-'an,

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f'rafK's, prix unique : ;S'il y a moins dé 5 coureurs, se n'aura pas lieu. 1|2. grand, ' 0 fr. 30, {•'•

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A 6 heures

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maître

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Bouigade,

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régiment étranger. '' M• Grandchamp, !"•' régiment étranger/.

LOCALE

iYouvelIeg

candi France,

Be.l-Abbèsvles

plie

M.

des

de Touring^Cliib mois desept;'mbrel90U,

plus

CHRONIQUE

- Club

Toui'ing

Ce sera la misère,

Et quels sont folie ?:

ce sera

les hommes

qui

la ruine! ont

conçu

cette

Ce sont

ceux-là

mêmes

qui

sont,

de

par

la loi, les tuteurs légaux sont ceux-là mêmes qui

devraient

les

et les-protéger

la

adminis-

!

C'est

des communes.

haute

tration. F.SlOBiaïAUl». ::-

Député

de

Constantine.

Ce aider


LE PROGRÈS Df ÉTAT-CIVIL Du29

Septembre

1° A Monsieur de la République,

DE BEL-ABBËS arr 2 0e!ubro

1DJO

bunal tance

NAISSA Ni :KS Esther : ParGarcia Emile ; Ritoun Maria i-a Anna José fa : Florencio CyJ"les L'Vm ; Ba'l^sta nriana ; D-ihan : Roca Jos pli : Penot Lucien Philippe : B rnaben Gertrudès Charles ; Tabet Léon. DÉ.CES > Ahdelkader 30 ans ; VlalChonich donado 53 ans ; Rniz IgnaAntonio, 32 ans : cio 14 ans : Azoulay Rnben. 4 mois et demi R.niz. Francisco, ; 32 ans : E^colano Martine?, Mari-i. 74 ans ; MohaRosa, veuve Gonnis, b n Amar, 40 ans ; Mohamed med beu Chaïb, 22 ans.

rant à Zemmorah ; 3° A la dame Victorine LET, épouse du sieur

Public

DU 4 OCTOBRE

de 4 h

P AULouis

un chemin ; au. sud, la rivière de la Mékerra ; au levant, Dui breuil et au couchant, Pomié ou ses héritiers le ; formant

Louis ROUSdemeurant

3- lot de; la vente, et ce moyenmille nant Te prix de quinze ; Cinquante'francs ;,2; UN LOT DE JARDIN, sis au même lieu,

SEL, propriétaire, au même comme lieu, pris mari pour la validité de la promaricédure et l'autorisation

portant le n; 69 des lots dejardin de Sidi-Brahim, de la contenance de 23 ares, confrontant dans au levant et au son ensemble,

tale ; 5°Au

sieur-Aimé VIGUIER, demeurant a propriétaire,

19Ù0

Toulouse. Dé- l'expédition"

1|2 à 5 h. 1 [2

d'un

sud un chemin

acte

; d'exploitation au nord, Pomié, au couchant, M- Goillot. Ce lot est complanté en vigne, formant le 4- lot de la vente, et ce moyennant le prix de trois cent-cinquante .francs ; 3- UN LOT DE JAR-

dressé au greffe du Tribunal Civil de Bèl-Abbès,le 31 Juilconstatant let 1900, enregistré, le dit le dépôt fait au greffe

..... Signard Sans P. ur (p.rj. (MIV ) Mozart La Flûte Enchantée . . Fahrhach R-.sée du matin (val.) D^libes l.akmé (fant.) La Paloma (habs ). . . - Corbrn Le Chef de Musique, Ch SALOMEZ.

de la copie collatiônnée " jour à de deux jugements rendus des criées du Tril'audience 25 Avril et 23 Mai les bunal,

L'AFRICAINE contre lesAccidentset l'Incendie Compagnied'Assurances — A LGER — A LGER 9, Boulevard Carnot : GARANTIES

1900,

CAPITAL-RÉSERVES ET PRIMES : TlTOlSIHÎOflS

MOLINIER.

la

•<—Au profit de -.

Premièrement. de M. FORGUES 1° UNE rez-de

DIN, sis au même lieu, de la contenance de 22 ares, portant ïv 85 du plan, le confrontant ' dans son ensemble : au nord, la route ; a l'ouest, Goillot.; au : sud, .Pomié •;. au levant, un chemin ford'exploitation, 5- lot de la vente et ce rnantiê

contenant licitation les consorts

enregistrés, sur adjudication entre poursuivie

a élé créée en 1888 La Cie l'Africaine et par un croupe de notables négociants colons désireux de doler l'Algérie d'une O la locale et de conservera d'Assurayices — Colonie une partie - si ce n'est la totalité des bénéfices considérables qu'y réalisent, et chaque année, les Cie métropolitaines étrangères. Elle a pleinement justifié les prévisions de à ses fondateurs et est. arrivée rapidement imun d'Assurances créer Portefeuille depuis 5 ans à ses portant et à distribuer un divitous Algériens, Actionnaires, dende rémunérateur. Individuelle Ainsi, dans YAssurance

MAISON

à simple sise à Parsur le lot a

chaussée, édifiée mentier, bâtir n° 5 du plan, de la contenance de six ares, composée d'une chambre et d'une écurestant du formant lé lot rie, cour fermée d'une muraille en sèches dans cette cour : ; pierres ^^e3rJ.slfîs^urî-fô.TJr- à 4.ui?>fè L3T^aii%-

le tout cohfrohte dans son en: semble aU nord, une rue ; à l'est, un boulevard ; à l'ouest, le n° 7, et au sud, le n° 6 ; 2° UN LOT DE JARDIN, sis au

âve e- ;>*-pi..îriser, la Cio l'Africaine ocen Algérie le precupe iiiconiestablement mier rang. En effet, son chiffre d'encaissements en d'Assurance est Individuelle primes de beaucoup à celui perçu supérieur dans la Colonie par l'ensemble des compagnies françaises et étrangères. Elle doit sa réussite : Aux conditions claires, simples el précises de ses polices. A sa tarification moins élevée que celle des autres Compagnies. A la régularité, à la rapidité et à la loyauté qu'elle apporte dans le règlement des sinistres. A la faculté qu'elle laisse aux agriculteurs et viticulteurs de payer leurs primes à la récolte et non par anticipation. A la compétence de sa Direction et de son Conseil de surveillance composé d'hommes du pays et ayant su adapter les conditions des assurances aux besoins de la Colonie. Pour tous renseignements ainsi que pour demandes d'Agences, s'adresser à M. Ch. de Cachard, directeur de la Cie, 9, boulevard Carnot, Alger ; Ou aux Inspecteurs de la province d'Oran : M. Chapelin, 20, rue des Lois ; M. Icard, '20, rue d'Arzew ; M. Guiraud, 10, rue Thiers à Oran.

','_:dès' lots de jardin et en-dessous du canal d'irrigation, dans une .des parties les plusTertiles de II. confronte la dite commune. : au nord, son ensemble .dans

. rah

; 4° Au dit sieur

même

lieu, et portant le îi° 6 ; à l'est, par len° 7 ; à l'ouest^ et au par le n° 5 et un chemin, le n° 19. Ce sud, par jardin est en vignes et arbres comptante fruitiers ; 3° UN LOT DE VIGNE, portant le n° 156 du plan, de la contenance de 1 hectare, 72 ares, limité : au nord, par unchemin ; à l'est, par le n° 57, et au sud, par le n° 55. Ce lot n'est

Eiude.deMeEugèneGUIRAND, avoué àSidi-Bei-Abbès, de Strasbourg.

Purge Notification requête de :

rue

Légale a été faite

à la

1"-M, FORGUES, instituteur, demeurant à Sidi-Bel-Abbès 2° M. François SANTÉNÉRO, propriétaire, Sidi-Brahim.

demeurant

;.. à

Pour lesquels domicile est' élu en l'Etude de Me Eugène avoué près le TriGUIRAND, bunal Civil de Première Instance de Bel-Abbès, suivant : 1° de Me CLAUDIN, exploits huissier à Bel-Abbès, en date du six Septembre 1900, enregistré ; 2° de Me SCHULLER, huissier à Zemmorah, en date du dix Septembre même mois, enregistré ; 3° de Me Joseph huissier à Toulouse, BROUEL, en date du vingt-cinq Septembre., également

enregistré

:

pas planté en vignes, mais est entièrement défriché' ; 4° UN LOT DE CULTURE, sis au même lieu, le n° portant 124 du plan, de la contenance de dix-sept 80 ares, hectares, 80 centiares Ce terrain est limité: au nord, dans son enindisemble, par le territoire à le même gène •;. l'est, par à l'ouest par le fr territoire; le n-125. Il 123, etvausud,.par est actuellement défriché et semé en céréales ; 5- UN LOT DE CULTURE, sis au même lieu, portant le n- 156 des lots de culture, de la contenance de 6 hectares, 50 ares ; il est dans son ensemble, de limité, tous cotés par les terrains communaux envi; la moitié ron de ce terrain est défrichée. Le tout formant le 2me lot de la et vente ce moyennant le prix de sept mille cent cinquante '' : francs. :! ,,.,.,.,: Deuxièmement. «^-Auprofit du sieur SANTÉ NÉ RO François de ; '.,-.-."

Ï-UN

LOT;L>E CULTURE; :de; Sidi;;siSvSUr Te lerritôire et arrondiscantom vBrahihi, d'une sement, "de Bëi-Abbès,; de 1.0 hectares, coiiteriancé 25 ares;, 18 centiares^ entièrement situé: dans la région vdéfrichév f

avec ROUSSEL, propriétaire, elle demeuré àZenimolequel

Musique ûu_l^rÉtranger PROGRAMME

le procureur près le Tri-, Civil de Première 7 Insen de 'Sidi-Bel-AbbèSï

sis au Palais de son Parquet, Justice ;';:' 2° A la dame Marie' ROUS-; SEL, veuve de'feu Gaston MOla dite dame demerpLIN1ER,

PUBLICATIONS V!.-ria, avec Aragones Ramon Paya > avec Sar.t:Lorenz Rornéio Candido na Maria. Solal Zéra. Aknin GheLabi avec Cotnn

Jardin

BFL-HBBÈr

-

le prix de six cents moyennant francs. ; A- UNE MAISON, sise à Sidi-Brahim, édifiée sur le • lot à bâtir n 77 du plan, de la de 6 ares. Cette contenance; maison

est édifiée à simple rez-de-chaussée ; à la suite et sur la même se exposition trouve le tout, ayant l'écurie, une façade de 16 métros environ de longueur sur la place de Sidi-Brahim publique ; à l'intérieur existe une grande ' cour du se trouve un hangard pour ment

poulailler

et formant

engencele 6' lot divers, de la vente moyennant le prix de deux mille cinq cents francs. Leur déclarant que la présente notification leur est faite en conformité de l'article 2194 du Code Civil pour qu'ils aient à telle inscription prendre d'hypothèquelêgalequ'ilsaviseront dans le délai de deux mois et que faute par eux de se mettre en règle dans le dit délai, les immeubles dont il s'agit seront et demeureront définitivement et libérés entre les purgés mains des requérants de toute de cette nature. hypothèque Déclarant en outre à Monsieur le Procureur de la Réanciens les publique que prodes dits immeubles priétaires des

sont, indépendamment vendeurs : 1-Léon

père ; 2\ Edouard cultivaMarchand, teur à Parmentier 3l'Etat ; ; 4- la damé Louise Perrin GarMoiin'ier,

Bourengel, .épouse Michel chard ; 5; Michel Bouchard. Et que tous ceux du chef il pourrait être pris desquels des inscriptions d'hypothèque légale n'étant pas connues des requérants,

ils.fero.nt

publier la dans un

présente notification des journaux désignés les annonces judiciaires,

pour con-

formément à l'avis du Conseil d'Etat du 9 mai 1807.



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