Le Progrès de BelAbbès ["puis" de SidiBel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France
Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 1893-1962.
1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF.Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : *La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. *La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. Cliquer ici pour accéder aux tarifs et à la licence
2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : *des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. *des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation.
4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisation@bnf.fr.
N" 1512
:
LA DOTMILITAIRE
\:;
.'"l9™Annfe^
pensée qui.a prévalu dans les de* crets de 1875 reproduisant l'ordonnance du maréchal Soult a été de mettre en garde l'officier, de .son vivant, contre la gêne domestique et de le préserver des unions inégales. Ce fut surtout une préoccupation une recherche de aristocratique, sélection bourgeoise. La défense faite aux officiers d'éa pouser les femmes sans fortune soulevé bien des critiques et a suggéré surtout de sentimentales protestations. L epaiilette devenait ainsi un obstacle à l'amour. L'argent, qui ne domine que trop les alliances
Paris, le 27 septembre 4900. La population reliant stationnaire et le nombre des mariages diminuant, tout ce qui peut tendre, à favoriser les unions et à développer la natalité doit être encouragé, apA ce on ne saurait blâprouvé. titre, mer une décision récente du ministre de la guerre, abolissant l'obli de la dot gation réglementaire. Nous signalions, l'autre jour l'inutilité du droit an d'opposition de mariage, lorsqu'il s'agit majeurs de vingt-cinq ans, puisqu'il suffisait civiles, régnait despotiqnement sur d'actes de procédure rendre l'armée. Le militaire devait se pour préocinutile la résisance des ascendants. une 'cuper avant t< ut de chercher et relative condition-~ dot. Si la L'opposition, compagne qui l'attirait avait toute.- les qualités désirables, nelle, que la loi met. au mariage des oifi i rs, est tout aussi vaine. mais marquait des'trente mille les sous-officiers et francs de Oiisaitqne capital exigés par le misoldats ne peuvent se marier qu'avec nistre, il fallait renoncer au bonla permissioïKde leur chef de corps heur promis. La jeune fille pauvre^ et après ia justification la femque qui sentait son coeur battre en prédes - m^a sence d'un jeune officier ..'Walt, moyens d'existence honosilence à l'imprévoyant imposer Pour les officiers, une ordonnance viscère, en se disant que le bel du maréchal Sonlt fixe la dot de la amoureux ne pouvait appartenir femme à douze cents francs de renie. qu'à une rivale possédant les écus Cette obligation se justifia Cette rigueur de la par difréglementaires. férentes raisons : la première est loi a fait, pleurer bien des beaux une pensée de préxoyance. L'officier, yeux. tué à la guerre, ne laisse pas sa veuve De son côté, l'officier devait honsans ressources ou réduite à une nêtement s'éloigner des demoiselles insuffisante pension. à marier n'ayant pas la dot voulue. Comme, depuis trente ans, les ofIl lui fallait donc, dans un de ces ficiers tués à l'ennemi ont été en bals comme il s'en donne fréquemment dans les villes de garnison, petit nombre, aucune guerre continentale n'ayant eu lieu, la seconde avant d'inviter une jeune fille à
ruine
qui se mène contre nos communes de plein exercice. Ce n'est pas lui qui l'a insson . avis, je pirée ; s'il avait eu à donner suis persuadé qu'il n'aurait rien perdu, dans cette occasion, de sa vieille et solide réputation de libéralisme.
La plupart des communes de plein exercice demandent à être mises en possession des communaux dont elles jouissent depuis leur fondation. L'administration supérieure ne veut leur en donner qu'en faible partie. C'est la ruine qui les menace ! J'ai mis directement en cause — dans cette grosse affaire" des communaux, qui intéresse, à un si haut degré, nos communes de plein exercice ^-.la haute administration de notre grande colonie. On verra,-
Placé près des colons; le Service des Domaines algériens sait parfaitement, quels sont les besoins de la colonisation. Il n'ignore point quelles sont les conditions de suc: ces les plus élémentaires pour un village ! et pour ses habitants. Personne croira que, j consulté dans cette affaire des communaux, ! il eût fourni, en haut lieu, des conclusions de nature à déterminer la rapide décadence de ÏJOS petites agglomérations —rurales, cellules
vivantes
et primordiales.de la colo11 n'eût point lésiné, nisation algérienne. pensant que si, par hasard, quelque comde communaux, mune, largemeat pourvue venait à jouir de ressources sérieuses, l'ensemble de la région en eût profité, tous les
par la suite, que la lutte s'est engagée entre le service des Domaines et. les conseils mu-
ans, sous la forme chemins vicinaux^
nicipaux des communes menacées. Mais le Service des Domaines n'est là que comme
rl'améliorations-de
de grands de canaux
travaux,
de
d'irrigafion,-
toutes sortes.
Dans ce grave conflit qui s'élève entre nos intermédiaire entre A'ger et Paris d'une communes et l'Etat, l'administration-domade l'autre. Il est~ niale de la Colonie est le bras qui exécute part, — nos municipalités Il appli• les ordres r<;çus les instructions tout simplement agent d'exécution. données. Ce venues d'en haut. 11 n'est pas aux bras que nous devons nous en que les instructions n'a point pris l'initiative de la campagne de ;' prendre, mais à la tête qui a conçu le triste
de: l'officier marié à ! da^s*.^ s'enquérir suprès du notaire, ^riîm:o;hïe;nsë ou des parents de la situation, defor-^ /une fille sans d<it, n'est cependant nullemenl incor;ipaïible avec les detune de sa "danseuse, afiii-de besoin t ! faire naître des bon mili- ifréalivoirs et les services^d'un osp/rances ! sans sables. Il y avait aussi, dans, cette ; taire. On peut être pauvre l'uniforme comme sous honte, sous I obligation de la-dot. le grave inconaura droit à la blouse,; et l'officier vénient social de rendre impossibles d'autant plus dérespect et des régularisa: des réparations qu'il aura se marier selon son lions que l'intérêt social doit favosacrifié, pour une riser. coeur, la chance de rencontrer héritière. de l'obligation déjà L'abrogation L'armée'en sera-t-elle moins bondes dot militaire- présentera -telle inconvénients ? C'est fort probable, ne, moins dévouée, moins prête au :sacrifice et a l'héroïsme, parcequ'elle . D'abord il y aura des unions disprocontiendra un certain nombre d'ofet l'on peut prévoir, portionnées, ficiers dont l'existence sera modeste dans les milieux des militaires^ et non tapageuse et dissipatrice? scissions profondes, des séparations Ce serait, une erreur de le croire, et tranchées : les daines d'officiers mal'histoire nous enseigne que ce sont riées à l'ancienne mode, un peu orles Scipion et les Cincinnatus, pludotal, gueilleuses de leur apport : feront-grise mine aux nouvelles ve- tôt que les Lucullus et les Crassus, | nues. Ceci n'est pas fait pour resqui donnent l'exemple des vertus f serrer les liens et guerrières. régimentaires Le danger social résultant du donner au corps d'officiers la cohéveuves sans resI| sion familiale si denrée par les cogrand nombre de sources est à considérer. lonels. II L'obligareménient en partie. On pourrait "besogneuse des officiers n'ayant que une dier à ce péril en instituant le méleur solde pour entretenir caisse de secours spéciale pour les seront l'ordinagé. Les privations veuves d'officiers sans fortune, ou naire du couple serré. Il ne faudra assurance pas qiie madame veuille rivaliser de mieux en favorisant une dont les prisur là vie particulière, toilettes et d'élégance avec les épouseraient avancées ses dotées des camarades de son mes, assez faibles, mari. Il sera sage aussi que mon- :"par rEtat et récupérées à chaque sieur s'abstienne de fréquenter les, avancement ou au moment de la de la retraite de l'offiofficiers riches et veuille les suivre liquidation cier. Ceci est à exa miner, dans les parties de plaisir ou dans En somme, la réforme est hules dépenses supplémentai;r< s de costume et d'équipement. L'existence si sobre forcément,
plan que je dénonçais dans article.
mon
si
précédent ~ ;-
dans les Dams J'expos-é qui va suivre, documents que j'aurais à publier, on verra dû les propositions souvent la signature, le cou^ des Là n'est Service Domaines, point faut attaquer. pable. C'est plus haut qu'il absorC'est contre la haute administration, dont bée par des préoccupations politiques elle m devrait avoir cure, que nous avonsde nous élever. De deux choses ifi-droit des : ou elle a suggéré au Ministre l'une Fi nançes les résolutions, dont nos commua à juste nés de plein exercice se plaignent un'.crime et alors elle a commis de titre, elle n'a su les où empê^ .lèse-Algérie ; pas cher, et dans ce cas, quel est son rôle*, à que produit-elle pour cette quoi sert-elle, voit à chaque instant Algérie française, qui intervenir dans f administration supérieure à où elle n'a An des batailles politiques voir, mais qui ne la voit jamais produire pour la quelque chose de vraiment utile ' colonie? :: N'est ee pas à elle qu'incombe la"protection des petites communes ? Les préfets, de lépar la loi; n'en sont-ils pas les tuteurs inspas à chaque gaux fN'intefviennent-ils dans tant dans les questions budgétaires, des. communes l'administration journalière iniet trop souvent pour .«nlrâver d'utiles
maine, généreuse, démocratique. Elle ne constitué pas une grosse ré-
tiatives, pour empêcher d'excellentes choses, dépenses ou pour arrêter d'indispensables des travaux qui seraient féconds ? N'en estil p: s de .même du Gouvernement général ? Ne le voit-on pas à chaque instant se mêler à Fadministration de nos unités administraet rurales ? Quel était donc, urbaines tives, son devoir, quand il s'est vu saisi des réclamations de lanf de communes qui deà être mises en mandaient possession de leurs communaux, dont saient depuis leur création.
elles jouis-
Son- devoir était de s'interposer auprès du Ministère dès Finances, représentant l'Etat de prendre en main |â cause de nos communes, de sefairé leur avocat, de défendre leur procès, de faire comprendre que la situation ne pouvait être la même pour des commuhfs d'Algérie et pour des communes de France, qu'aucune assimilation ne pouau des vait être établie charges suppoint à un pays portées, et qu'en conséquence, nouveau, il fallait appliquer, non les règles du vieux mondé métropolitain, mais les règles nouvelles qui lui convenaient. " Est il besoin de rappeler ici foutes les délibérations qui ont été prises par les différentes assemblées : communales, départementales algériennes '/ Les voeux émis ont été considérables. Ce sont les Conseils mu; nicipâùx
intéressés qui ont tout d'abord me-
LE PROGRÈS DE BElMlBÉ volution. Elle ne soulève pas les "clis^ eussions et les réprobations que peuvent attirerait général André ses autres récentes mesures. La dot réglementaire était ties souvent illusoire. Quand un Officier épousait une femme dépourvue des douze' cents francs de rentes exigés, ou bien il fournissait lui-même la dot, ou il trouvait un ami qui prêtait pour quelques heures les titres nécessaires, produit^ à la vue du notaire, et restitués aussitôt la passation du contrat. Ceux qui pouvaient palper réellement une d>'t l'en causeront comme par le passé, les .autre.-:., ceux qui devaient se contenter, de TJ'IIIH sion d'une figuration métallique chez le notaire, .continueront, et le changement sera médiocre dans les moeurs militaires. E. LKPELLETIER. \Lyon Républicain)
Dans
In liste
pour M.
M.
Baillot,
l'école
sous-lieutenant — Une annonce du
militaire,
spéciale
au
e^an-ivé.
rien,
b> ttii
-maître" -'-.-'
en.retr.-iit
.-,-
de
;V
capitaine cli.
f
geiit-;-.i
-..:
Un
d
pôt
basse
sur
.un
tenarrtla
petit
écroué
mètres
r
Les
bancs
sont"dans
avec"
environnen't,,
qu'une de
le
clous,
Place-:Oarni.it""
fl ittenr. aux.
n'est
i hose
a
-vérité/
cet
tent.
-..
que
service
A
Most
nommé
instituteur
mental
.-"A
de
Mme M.
la toilette
quand
du
petit
nommé
Min»
est
Mme
au.
Mercier-
â„e la
le- Chanoine
Gcuei
iiA)i-f
paroisse gné
ton
mouchent de
cure
pom-'la
de
32 ans
e&i
r
nesi-
que
m
dimanche
est
fixée
a
Directe à
ni-,
M.
La venue,
Bel-Abbès,
mois
et
demi
est
api es
un,
en
Fiance
tant
de
séjour
lui
souhaitons
rié avec
une
défense
de. leurs
mâle
la
bienvenue.
de campagne del'admiauprès
Ce sont
les
décisions généraux, qui par leurs à M. le Gouverneur ont demandé de tome
traité
qui dans
eu
commu-
financières
celle question par.des rapports les honneurs delà reproduction,
loutes
Comme le cri
plus vait èlre
assemblées, elles, il a
et
éneigiqu.e
dans algérienne toute autre autorilé,
que écoutée
l'Etat.
Comme
immédiate
l'action
où,
nos autres
d'alarme.
l'administration
des hauts
un
il ré
aux
les maires
débat
elle
représentants
pou-, de
démarches
faites
des communes
à
Alger
par elles
intéressées,
ne se comptent Ils défendaient une plus. cause juste. Ils demandaient simplement que
leurs
des produits
communes
ne fussent,
pas spoliées, dont-elles jouis-
communaux l'heure
saient,
même
de
leur
fonda-:
depuis Ils ne pouvaient croire n'obtienqu'ils de cause. des draient pas gain L'opposition ne leur- paraissait être que l'oppoDomaines fion.
sition
senter,
sans
courant, Mairie.
à
9
toute
locale'
d'un
service
jaloux
ref'ré
lies
ci isposi
.-.pour-
leur
:Q
intre uix
Jeunesse de
la
de France
s-ront
infligées du..ler
haute
le
même
risque
domaine
de
administration
serait
de
l'Etat. mise
les
Qu.-md
la
au courant
si légitime, ils triomde ce mauvais vouloir.
réclamatio'n,
vingt fois" que l'administration a supérieure été saisie par les maires de nos comn:unés de irès pressantes revendications, au; sujet des -demandes de mise en possession; de
de
attribués
communaux, unités,
dès
à
l'origine,
ces
n'a rien
la ruine
El'e
des communes-
laisse de
se
plein
s'est-dl
Que
, de
communal.'
contraire. un
certain
L'admr'nistrâtiôn':a
De la commune, nombre d'hectares
elle
On "do-
fait a
ts
détach.é
de terres.
Ces
terres, entre les nlains du Serqui étaient vice des ont été donnée*, Domaine, à titre de ««x Win MMIMUiVAlX,
d'inceu1
ICTIP
int
un
i lent
Time'
q i,
avst
les
pour
navi-.
des",ti'oupes, ' da i s le ca 11al
passage
troupiers,
q'iel^'tes':
à une
Quand
des
parfois^ dans les
on
en
a. aucune
muiies
t-oi|iMituées.
payent an. Cette
feraient
dément
aux
ont réussi.
Elles
obtenir
ont
ce
plus des biens, dont
étendus.
pas Lés
comme
terrains
des
comme
territoire.
de pareburs
communaux, obtenait
dépassé,
La
aussi
été-.-'.donnés-
et nbnppur en. commune'n'a.:
qu'à: 1/lQ.dé la elle
:,".
sa
invoquées. suf fîsaii tes. :
de communaux ont
faible
depuis,
sont
communaux
tous lès communaux'dont serait
qu'une,
ressources
besoin
Si elle
par la Commission. de 2 heures du soir, des concours de boules, de
50 ; course
auv
tir
con.liûuamanille
et
dames.
pour de l'oie
à cheval, enlrée, en sac, concours de grima-
lauieafb
du
ia Ci uirii
detaccorJ, le diffère
tir
des concouis
pour dames, manille
jd
o
a
de
ssioi
df
v^c Mot
la
carabine
bou'e*
et
'
U
de
le
jugera c" c^ive et
-c i
sans
appel. Pendant
du matin,
les deux
de 6 à 11 heures jours, la cible, i - prix, un Lefauun revolver. Les canons prix,
tira
eheux,-.2v. et les armes rayés d;u tir. Dimanche
de précision
et lundi, à minuit.
sera-tirée
une
seront
exclus
tombola
grande
A 8 h. 1|2 du soir, grande et.feu d'artifice.
9 heures, rage à giorno.
retraite
grand
bal
aux
éclai-
champêtre,
J'en passe et des meilleures; Les réponses dé l'administration peu
sont
un
variées. ce jour les communes de plein constituées en communaux.avec
Jusqu'à exercice, un certain
nombre
mani.'des
d'hectares
de terres
do-
un franc
louées par an, avaient pu en partie du produit de ces communaux. Ils .constituaient pour elles une grosse ressource. vivre
son.
propriété
de.:
^jouissait,
le.;
ressourcé,
on veut
la
leur
à ---.; Ces produits indispensables à leur arracher. tence, on cherche Ainsi
enlever, leur
exis-
réduites
â la portion elles congrue, f are face à leurs plus dépenses Aucun travail ne pourra être ef-
rie pourront morales. fectué.
L'àdmirlistra-
jouit
raisons
des; revenus.locatifs',
droit,
demande.
?
laisser - elle
lui.
La -commune^a
du
d'hon-
offert
depnx
.Cette temps. : dési-
une : demande.dé"
de ses communaux
n'a:
pleine n'a--
v ;^.;
fait-elle
?:Divêrses
des-prix apéritif
les
change,;
commune
création
elles
qu'elles
à leur
rapi-.
la
dont
de;
que, depuis quelques années, de radminisfrations A supérieure
tîp.'n ne. veut
1/10
se mirent
exercice
Il a été fait droit
remisé
certain
en
qui nombre
la jouissance..Heureuses, qui 'n'ont pas perdu leur
que
- raient.
tirer
Un
pour communaux
cb.mnjiU.nes
:Une
communes
en insfance,
vaient
du
fanfare.
nouvelle
devait, provisoire, dés .communaux
la remisé
de plein
attribution.des
Elles
toute
la demande.
communes
et
partir,
A
.-du"
époque, de un franc par
Une location:
avec disparaître en une propriété,
distribution hommes
pour
heures en
flambeaux
. cette
depuis
location,
; réveil
S Î4
communes, à l'Etat
bord
A 6
carrousel offert par la. «La Joyeuse pédale Bel-Abbésienne». A 6 hem es, bal d'entants et di>li Lution
de:
campagne Gair •,-
a
Port
FÎnsi
'S . iu
mutinerie
de Su< z ni. de
Ces
bandas>
la
ru
de
Société
des
la.plupart
. -
sept Ou dans
Dôtta
Elle
--
nt
e-
i
chirbon
pour'
ou-
complètement
leur
em
au
mais
o i
mpi
seillement
'voit,
l'attitude
mixtes.
et
repris
déséi te .et fis'échappait nage, nissent à leur par se. rendre consulat^ s at a_u Oaire, soit aibeurs: ...
été appliquée/aux n'a pas conslilué maine
>i eso i1
boules,
ces et jeux divers. A 4 heures, grand
- essuyé
ont
—
Lundi.
!,d« tir à la. carabine -'- A 3. heures, jeu
à la
partie
immédiatenrent
t
S ii'z,'toujo-u-s
nos communes lorsque de plein exercice ont été créées—: et. la a également règle dont nous allons parler, communes
tioii
0 fr.
o .t éf
comrnenc
français,
exercice.
passé,
A
,
mêm
UJI
non
perpétrer
Et, comme elle ne peut arguerd'ignorance, les colons ont lé droit de dire en- est qu'elle heureuse et qu'elle les y pousse !
. nèur
e'ti- prises muti-
se.
q ie le (one^pond ail isi n a un ir<
Maisvoici
fait.
à là cible
sont
. eiix
eux
de
un
salve d'artillerie
A 11 heures,
Paris
is
navire-;''transportant Li >rs de l eu-
administratives.
Elle
transport
Guadiana,
tuer
a
sontnréconLïnts
et
en
produit
aux
novembre
Journée'du
40U hommes
avaient
d'entre
concours
cour-
1-- prix, une paire hommes, 2- prix, une paire de poulets. A 6 heures, bal d'enfants.
matin,
-Times
Guadiana, i itjis qiii
f
celte
canards,
rernbourseï'.
s'é-e-l-i-ipper-.'""'"-'".""..
mi-,
20
poêle et jeux divers. A 4 heures, tir à la orabine Lebel.au f" pour dames, 1" carton, un service prix, à découper d'une valeur de 25 fr , 2prix, un rond de serviette d'une valeur de 5 fr.
que,
«le IiégioiiiiaireM
d'entre
dont ama-
ne: fera,
â.liii
du
2500
2° Pour a
somm;?
-
fut
qui les livrets, ouquï le paiementde pour
à partir
—au
2.50 fi^ncs,
P u-leurs
s -inV'priés.da se préle faute, 7 i Onen Dimanche, heures du a la ; cinq, six matin,
amendes
-
autres
plusle prix 65 francs^d'Oi'au
du
, bible
'nstu
Port-
ù\-,
euro-
2prix, mouton, de Poker p.rix, une bouteille con; grand cours de manille, en'rée 0 fr. 50, 1-prix, une oie, 2' prix, une bouteille d'Ambroisie ; jeu des ciseaux pour demoiselles;; jeu de la
tesba-
à liord
du
défendre
de
,-"'
Quant
-
b
aisément pheraient Telle était leur pensée. Et l'âme pleine d'ilils allaient lusions, s'adresser au G-ouvërnement général, où ils espéraient-.obtenir justice. Ce n'est c'est pas une fois, dix,, ê'i-sl
! la plupart des organes de la colonie n'a non le Conseil supérieur Enfin, pas plus gardé le silence.
a jeté clamé
cotisations,
de leur
général pour arrè
nos
qui menaçaient ce sont les délégations
ont
Conseils unanimes
son autorilé
1er les ruines
ont
cai
prochain.
la
énergie, intérêts
supérieure.
qui
la
retard
retardataires,
Puis
-IK
îe
O'esq
Jeunesse
pas en
Des
qu'à
l'Etranger.
d'intervenir
<;i i
des"Sociétaire
de-la
s iraient
Rentrée
nislralion
su-
I acide
t te
de
parents
leurs
nes.
ta
t
ha
nu
ion
n'auraient
7 courant/.
prochain
Nons
de
m
',
Dotation
de
.]'Admin.i3trat:oa;
Pu-.que cou\ert < • -"-*,
tanee.
à la,
offerte
indigène
Bel-Abbésienne
population
d'un
très
Ru
tlîffi»
diffa
grande
retour
pie-?
la
Bel-Abbès.-
Les
francs
Légion
res ï;rt
Notre
Azoulay, dans
fuJjnuig d une tuu
c'spliyi.ié La
fi?
d'Oran
de
à M.
travaillait
Akri'ii\au
geau Occupe - m i<i t qu'-rti
^
de
arrivé
qui
i
Dotal
La
?
mort**]
est
ca\edeM
de
remplacement
accident
ausvtôt VI.
tte
passage il a et?
;
nés.
Accident
i
Ghrisio,
la loil
déjà
éir.-i.h-gjêsre qui soit paitis le 21 août -pourTakoir iernfer.
.
institutiiceà
en
'
à quand
Un à
nommée
Maisoii-Blanche
Mais
de
périmé
le difficultés:
delà
pourvu.
installé
adjointe
soit
le ti-tro
envirv.n:
iXEiitiiierle
/
Bloque»,
Lacombe,
est
remplacement'
non stagiaire à BJi-Abbès.
Biunet,
Tabla,.
v d;é-
était
^tait
Le coiTêsporeLort l deM^ti-s.dlleqie appren
t
jardin
à l'hôpit il. Nous né parlerons cette f •is-ci . du des point. nettoyage; arbres ni de le a ciel y -y.",nt l'arrosage, 'h ; uivusc mi? n t poti r e i1x abq.i.)/-a mine i. t
ioparte-
Bonnal'o/fïd.
e^t
Sig
suppléant
à Bel-AbLès,-en
et
I
algé-
instituteur-adjoint de i'Jinan.-.
iganem^urue
gnjîës;.
|)ùint
?I<'iiioraiiduiii contingent
Enseignement ï-'an,
de.pnyer à Oran.
.:
Dame
à Takou.
Peretti,
olillgé
, un
\
leur;
off. t
èspérons-ie,
.
'!.
En
.- J
Aigéri
sùrpri-îe
V 'ndres
et
étale.t
en
25'
fr.
f'rafK's, prix unique : ;S'il y a moins dé 5 coureurs, se n'aura pas lieu. 1|2. grand, ' 0 fr. 30, {•'•
:
distance
entrée
mètres,
\20
A 3 h.
-i:es; LinriLles
-
.
arrivée
Èstra^'e
pour
au
signalée
France.:
2500
distance
èiifrée
ne f-^isoniient
de chevaux
et 10 au 2-- ; 2? entre la commune, distance.
habitant
teurs,
^toujours
flïie
s en:ii:ombre
d-'•""' M.
d'aujourd'hui
dans
< té.
^,:penda;nt.
réservée.
,-''.
question
fan-
en 1 rèe 5 francs, 30 fr., mètres, prix 20 au 1" et 10 au 2- ; .3- course pour
\\ y , a
de; la,ê'ôlo>, p-uiplement ouve-ra.it faut If .résol'ie;.
s-igréabl.'..
d:;,
pas
'""";
la
que"
en
de là commune, 3 francs, prix
indigènes
flau-l--
péens
r >n -
: concessi
M/. E-trâde,
A 6 heures
; réveil
courses
du-soir,
mètres,.entrée,
"dohl
Ll-'est
du
A leur
v -n -.
des visiteurs, pas
se- trouvent
nipi
eh
pas
n'ont
en
pourtant
gé.pi'é.;-de
:anssi;riiçh.
n'ont,
planche
yeux
t
1 f§wi
beàiicO'.i,p.de
du
avcjiier en;
peu
Nombre
..
ville,
flaires
kiosqnetout'pinH
unique les autres
peu
loin,,"(H.
lamentable,
pani
ceiitre
entre 250D
d'mst-viI
Carnot
harmonie
ce
jirénnit
pv'nd-inui nie se./ti
la
la, Oorrèze.
-iiiie
(ians
A 2. lïeares
';
\ Si l'Etat en Algérie\-.
état,
'*. âu'(
—
Dimanchesalve d'arlillerie
matin,
.!
conces^i^),n n Ussement, a - Tabiia.
d'uiriv.jr
8 0 JTOBRE
LUNDI
'•tar'ëT :';':.>;:-
de sa mère
pr.i-
:dil
Etranger.
de: sa. 'femme, accompagué .et d_\ dix enfan;ts.i :-:*:>-
1. aét".
plus"
situsssur
d;
a til'.it'.'.-niï
nc-tr
Journée-du
coneest!iioiiiinii*e Ê-traf^,
ki,eh:'f
b 'au
un
qu'ils
con-i
-"''
aussitôt.
1^
main-
d'osi
panier
Place
là
fut
r'ecetl>dc;M/'Thi|mahs, Bar de la Mék-rr
pi-iétaire\du arrêté, cj'ielq-ios
:
avait
.qui
Pottier
le «Notre
v«-i-ilal»|e
dans
Vol
attenant
M.
I il
7; ET
lcv Etrànge;r,
\S:'"';Liât' 'à;u
s^ i vàta^
La "famille
marocain
iyiMANDftE
t:Bardiiy
A LA':-'-'.
i^CS;0-'+Ë$-è
"au::-L«:
décorathurc-^lortiadèest ae^or-' a . MiVL Ddphis' et ^çhmmdeiyser--:
-dée
r au
;vj,;rf:
comp
Pamir';.1
^
^sx;>gértH
';,. Une
(CbJ,
"'••
qu'ils
nommé
2" Spahis. de
dopêchJ
que Paifiê.té » poitant le
Salut
est
au
:cf. ',- :Rgn:iud;
Etranger ;J;^, ^ La Ni, Ml in,.
il-nnl
ce de.
IL ;/ igrr
l'Ouest-Algérien..
notre
la section
;">Là;erojxy ;(!<•:eri'vatierdï% de Drago/n" ' .:i Ah/hamL est; ;/aS<: orïféè:.,;;à;MM- ;Bock.
'e
de.:--,.-'
tailleiir
dossier.
iVlilitaîres de
E,'$ki
Wolters
C'est
élève
maître
M. Passot,
au
pendant
noms
Bouigade,
admis
fats
nouirelevwns
régiment étranger. '' M• Grandchamp, !"•' régiment étranger/.
LOCALE
iYouvelIeg
candi France,
Be.l-Abbèsvles
plie
M.
des
de Touring^Cliib mois desept;'mbrel90U,
plus
CHRONIQUE
- Club
Toui'ing
Ce sera la misère,
Et quels sont folie ?:
ce sera
les hommes
qui
la ruine! ont
conçu
cette
Ce sont
ceux-là
mêmes
qui
sont,
de
par
la loi, les tuteurs légaux sont ceux-là mêmes qui
devraient
les
et les-protéger
la
adminis-
!
C'est
des communes.
haute
tration. F.SlOBiaïAUl». ::-
Député
de
Constantine.
Ce aider
LE PROGRÈS Df ÉTAT-CIVIL Du29
Septembre
1° A Monsieur de la République,
DE BEL-ABBËS arr 2 0e!ubro
1DJO
bunal tance
NAISSA Ni :KS Esther : ParGarcia Emile ; Ritoun Maria i-a Anna José fa : Florencio CyJ"les L'Vm ; Ba'l^sta nriana ; D-ihan : Roca Jos pli : Penot Lucien Philippe : B rnaben Gertrudès Charles ; Tabet Léon. DÉ.CES > Ahdelkader 30 ans ; VlalChonich donado 53 ans ; Rniz IgnaAntonio, 32 ans : cio 14 ans : Azoulay Rnben. 4 mois et demi R.niz. Francisco, ; 32 ans : E^colano Martine?, Mari-i. 74 ans ; MohaRosa, veuve Gonnis, b n Amar, 40 ans ; Mohamed med beu Chaïb, 22 ans.
rant à Zemmorah ; 3° A la dame Victorine LET, épouse du sieur
Public
DU 4 OCTOBRE
de 4 h
P AULouis
un chemin ; au. sud, la rivière de la Mékerra ; au levant, Dui breuil et au couchant, Pomié ou ses héritiers le ; formant
Louis ROUSdemeurant
3- lot de; la vente, et ce moyenmille nant Te prix de quinze ; Cinquante'francs ;,2; UN LOT DE JARDIN, sis au même lieu,
SEL, propriétaire, au même comme lieu, pris mari pour la validité de la promaricédure et l'autorisation
portant le n; 69 des lots dejardin de Sidi-Brahim, de la contenance de 23 ares, confrontant dans au levant et au son ensemble,
tale ; 5°Au
sieur-Aimé VIGUIER, demeurant a propriétaire,
19Ù0
Toulouse. Dé- l'expédition"
1|2 à 5 h. 1 [2
d'un
sud un chemin
acte
; d'exploitation au nord, Pomié, au couchant, M- Goillot. Ce lot est complanté en vigne, formant le 4- lot de la vente, et ce moyennant le prix de trois cent-cinquante .francs ; 3- UN LOT DE JAR-
dressé au greffe du Tribunal Civil de Bèl-Abbès,le 31 Juilconstatant let 1900, enregistré, le dit le dépôt fait au greffe
..... Signard Sans P. ur (p.rj. (MIV ) Mozart La Flûte Enchantée . . Fahrhach R-.sée du matin (val.) D^libes l.akmé (fant.) La Paloma (habs ). . . - Corbrn Le Chef de Musique, Ch SALOMEZ.
de la copie collatiônnée " jour à de deux jugements rendus des criées du Tril'audience 25 Avril et 23 Mai les bunal,
L'AFRICAINE contre lesAccidentset l'Incendie Compagnied'Assurances — A LGER — A LGER 9, Boulevard Carnot : GARANTIES
1900,
CAPITAL-RÉSERVES ET PRIMES : TlTOlSIHÎOflS
MOLINIER.
la
•<—Au profit de -.
Premièrement. de M. FORGUES 1° UNE rez-de
DIN, sis au même lieu, de la contenance de 22 ares, portant ïv 85 du plan, le confrontant ' dans son ensemble : au nord, la route ; a l'ouest, Goillot.; au : sud, .Pomié •;. au levant, un chemin ford'exploitation, 5- lot de la vente et ce rnantiê
contenant licitation les consorts
enregistrés, sur adjudication entre poursuivie
a élé créée en 1888 La Cie l'Africaine et par un croupe de notables négociants colons désireux de doler l'Algérie d'une O la locale et de conservera d'Assurayices — Colonie une partie - si ce n'est la totalité des bénéfices considérables qu'y réalisent, et chaque année, les Cie métropolitaines étrangères. Elle a pleinement justifié les prévisions de à ses fondateurs et est. arrivée rapidement imun d'Assurances créer Portefeuille depuis 5 ans à ses portant et à distribuer un divitous Algériens, Actionnaires, dende rémunérateur. Individuelle Ainsi, dans YAssurance
MAISON
à simple sise à Parsur le lot a
chaussée, édifiée mentier, bâtir n° 5 du plan, de la contenance de six ares, composée d'une chambre et d'une écurestant du formant lé lot rie, cour fermée d'une muraille en sèches dans cette cour : ; pierres ^^e3rJ.slfîs^urî-fô.TJr- à 4.ui?>fè L3T^aii%-
le tout cohfrohte dans son en: semble aU nord, une rue ; à l'est, un boulevard ; à l'ouest, le n° 7, et au sud, le n° 6 ; 2° UN LOT DE JARDIN, sis au
âve e- ;>*-pi..îriser, la Cio l'Africaine ocen Algérie le precupe iiiconiestablement mier rang. En effet, son chiffre d'encaissements en d'Assurance est Individuelle primes de beaucoup à celui perçu supérieur dans la Colonie par l'ensemble des compagnies françaises et étrangères. Elle doit sa réussite : Aux conditions claires, simples el précises de ses polices. A sa tarification moins élevée que celle des autres Compagnies. A la régularité, à la rapidité et à la loyauté qu'elle apporte dans le règlement des sinistres. A la faculté qu'elle laisse aux agriculteurs et viticulteurs de payer leurs primes à la récolte et non par anticipation. A la compétence de sa Direction et de son Conseil de surveillance composé d'hommes du pays et ayant su adapter les conditions des assurances aux besoins de la Colonie. Pour tous renseignements ainsi que pour demandes d'Agences, s'adresser à M. Ch. de Cachard, directeur de la Cie, 9, boulevard Carnot, Alger ; Ou aux Inspecteurs de la province d'Oran : M. Chapelin, 20, rue des Lois ; M. Icard, '20, rue d'Arzew ; M. Guiraud, 10, rue Thiers à Oran.
','_:dès' lots de jardin et en-dessous du canal d'irrigation, dans une .des parties les plusTertiles de II. confronte la dite commune. : au nord, son ensemble .dans
. rah
; 4° Au dit sieur
même
lieu, et portant le îi° 6 ; à l'est, par len° 7 ; à l'ouest^ et au par le n° 5 et un chemin, le n° 19. Ce sud, par jardin est en vignes et arbres comptante fruitiers ; 3° UN LOT DE VIGNE, portant le n° 156 du plan, de la contenance de 1 hectare, 72 ares, limité : au nord, par unchemin ; à l'est, par le n° 57, et au sud, par le n° 55. Ce lot n'est
Eiude.deMeEugèneGUIRAND, avoué àSidi-Bei-Abbès, de Strasbourg.
Purge Notification requête de :
rue
Légale a été faite
à la
1"-M, FORGUES, instituteur, demeurant à Sidi-Bel-Abbès 2° M. François SANTÉNÉRO, propriétaire, Sidi-Brahim.
demeurant
;.. à
Pour lesquels domicile est' élu en l'Etude de Me Eugène avoué près le TriGUIRAND, bunal Civil de Première Instance de Bel-Abbès, suivant : 1° de Me CLAUDIN, exploits huissier à Bel-Abbès, en date du six Septembre 1900, enregistré ; 2° de Me SCHULLER, huissier à Zemmorah, en date du dix Septembre même mois, enregistré ; 3° de Me Joseph huissier à Toulouse, BROUEL, en date du vingt-cinq Septembre., également
enregistré
:
pas planté en vignes, mais est entièrement défriché' ; 4° UN LOT DE CULTURE, sis au même lieu, le n° portant 124 du plan, de la contenance de dix-sept 80 ares, hectares, 80 centiares Ce terrain est limité: au nord, dans son enindisemble, par le territoire à le même gène •;. l'est, par à l'ouest par le fr territoire; le n-125. Il 123, etvausud,.par est actuellement défriché et semé en céréales ; 5- UN LOT DE CULTURE, sis au même lieu, portant le n- 156 des lots de culture, de la contenance de 6 hectares, 50 ares ; il est dans son ensemble, de limité, tous cotés par les terrains communaux envi; la moitié ron de ce terrain est défrichée. Le tout formant le 2me lot de la et vente ce moyennant le prix de sept mille cent cinquante '' : francs. :! ,,.,.,.,: Deuxièmement. «^-Auprofit du sieur SANTÉ NÉ RO François de ; '.,-.-."
Ï-UN
LOT;L>E CULTURE; :de; Sidi;;siSvSUr Te lerritôire et arrondiscantom vBrahihi, d'une sement, "de Bëi-Abbès,; de 1.0 hectares, coiiteriancé 25 ares;, 18 centiares^ entièrement situé: dans la région vdéfrichév f
avec ROUSSEL, propriétaire, elle demeuré àZenimolequel
Musique ûu_l^rÉtranger PROGRAMME
le procureur près le Tri-, Civil de Première 7 Insen de 'Sidi-Bel-AbbèSï
sis au Palais de son Parquet, Justice ;';:' 2° A la dame Marie' ROUS-; SEL, veuve de'feu Gaston MOla dite dame demerpLIN1ER,
PUBLICATIONS V!.-ria, avec Aragones Ramon Paya > avec Sar.t:Lorenz Rornéio Candido na Maria. Solal Zéra. Aknin GheLabi avec Cotnn
Jardin
BFL-HBBÈr
-
le prix de six cents moyennant francs. ; A- UNE MAISON, sise à Sidi-Brahim, édifiée sur le • lot à bâtir n 77 du plan, de la de 6 ares. Cette contenance; maison
est édifiée à simple rez-de-chaussée ; à la suite et sur la même se exposition trouve le tout, ayant l'écurie, une façade de 16 métros environ de longueur sur la place de Sidi-Brahim publique ; à l'intérieur existe une grande ' cour du se trouve un hangard pour ment
poulailler
et formant
engencele 6' lot divers, de la vente moyennant le prix de deux mille cinq cents francs. Leur déclarant que la présente notification leur est faite en conformité de l'article 2194 du Code Civil pour qu'ils aient à telle inscription prendre d'hypothèquelêgalequ'ilsaviseront dans le délai de deux mois et que faute par eux de se mettre en règle dans le dit délai, les immeubles dont il s'agit seront et demeureront définitivement et libérés entre les purgés mains des requérants de toute de cette nature. hypothèque Déclarant en outre à Monsieur le Procureur de la Réanciens les publique que prodes dits immeubles priétaires des
sont, indépendamment vendeurs : 1-Léon
père ; 2\ Edouard cultivaMarchand, teur à Parmentier 3l'Etat ; ; 4- la damé Louise Perrin GarMoiin'ier,
Bourengel, .épouse Michel chard ; 5; Michel Bouchard. Et que tous ceux du chef il pourrait être pris desquels des inscriptions d'hypothèque légale n'étant pas connues des requérants,
ils.fero.nt
publier la dans un
présente notification des journaux désignés les annonces judiciaires,
pour con-
formément à l'avis du Conseil d'Etat du 9 mai 1807.