Le Progrès de BelAbbès ["puis" de SidiBel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France
Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 1893-1962.
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N° 1504
des intérêts
Organe PARAISSANT
JL.JE
ABONNEMENTS Pour
Bel-Abbès
et
le
de l'Arrondisseinent MERCREDI
DN AN
Les abonnements
France
10 DE
BEL-ABBÈS
est
autorisé
à
publier
attirer
toute l'attention du car c'est préciséGouvernement, ment ce déséquilibre qui arrache les cultivateurs aux campagnes pour les jeter dans les villes où bientôt, de nouveau 'mécontents de leur sort, ils organisent des grèves dans l'espoir — bien légitime d'ailleurs — dé l'améliorer. A défaut de Gouvernement, 'ce sont les cultivateurs eux-mêmes devraient qui s'inquiéter de cet état de choses et chercher à y remédier, car il est inadmissible que le Commerce et l'Industrie s'enrichissent des dépouilles de l'Agriculture.
Hausse etBaisse Nous subissons en ce moment une situation économique absolument anormale. D'un côté il y a une hausse continue et de l'autre une baisse aussi continue. La hausse touche tout ce qui et du comprovient de l'industrie merce. Les fers, les cuivres et en général tous les métaux voient monter leurs prix chaque jour. Les tonneaux, la vaisselle vinaire atteignent de ce fait un taux exorbitant. Les étoffes augmentent elles aussi, le cuir également. Il n'y a pas jusqu'au papier, aux douilles de fusil et au plomb de chasse qui ne soient l'objet d'une majoration de prix. En revanche, toutes les matières premières tirées de l'agriculture sont l'objet d'une baisse constante. Le blé, l'orge, l'avoine sont à T?Î1 prix bien que la farine ne diminue pas ou guère. Le vin ne se vend point les acheteurs faisant défaut. Au fur et à mesure que le cultivateur paie pins cher tout ce qui est nécessaire à l'exécution de ses travaux, le prix des denrées qu'il et qui sont pourtant de produit, première nécessité, diminue dans des proportions inquiétantes. Il y a un déséquilibre des forces de la Nation, qui économiques n'est pas sans danger et qui de-
cela est cependant. Aujourd'hui, Le Commerçant et l'Industriel s'entendent à ravir pour plumer le Cultivateur et lui enlever la meilleure part du fruit de ses travaux, alors que le Commerçant, l'Industriel et le Cultivateur s'entr'aidant devraient réciproréciproquement s'enrichir et comme trois quement forces concourantes contribuer, dans la mesure de leurs moyens, au développement du bien-être général. Puisque cela n'est pas, puisque le Gouvernement ne peut ou né veut rien faire pour rétablir l'équilibre, c'est au cultivateur lui-même victime du déséquilibre qu'il appartieut de remettre chacun et chaque " chose à sa place. . Il lui faut obtenir une diminution notable sur le prix des denrées et objets dont il a besoin en même sétemps qu'une augmentation
cherchent
à obtenir
la justice ? « Il n'en existe
AUPARLEMENT L'ALGÉRIE —87—
des choses contraires et
pas,
être obtenu
ce résultat
à ne
nous
par qu'au moyen pourra de ce que nous avons exposé ; nous arriverons ainsi à ce que nous appelons une garantie et l'obligation conspour l'avenir
Cliailire (lesBéputés k 9Mn1899) (Séance
tante
de M. Albin Rozet Interpellation sur les voeux de la population musulmane de l'Algérie et sur les mesures à prendre pour y donner satisfaction. SUITE
— Des musulmans qui devienun échantillon assez nent démocrates ! C'est M. Marchai. !
Rozet. — Ils ne deviennent pas mais ils disent : « Si ne suis démocrates, je d'à comme le démocrate pas représenté côté, ce démocrate me pillera. » Et c'est ce M. Albin
de maintenir chaque chose dans la voie de la justice dans les temps futurs. » — à l'extrême Un membre gauche. Y en a-t-il encore pour longtemps ? (Mouvements divers.) M. Albin Rozet.
— Je ne connais pas le me demande si ai encore collègue qui j'en Je lui répondrai pour longtemps. simplement ceci : Mon cher collègue, si les musulmans étaient représentés, s'ils • votaient
de s'opposer
aux
la personne
de
défendre
ayant mandat de ceux qui entreprises
et
légales
k
Catinat,
rière
Rozet. —L'honorable
est arrivé
en Algérie
M. Laferet a trouvé ce
mode
portaient. Il a fait, lui
dont il était
pour
le
com-
une chose dont je gré, et je crois être
l'Algérie,
sais le plusgrand
investi
manuscrits seront
en
Judiciaires,
SlDACTIOS
A Bel-Abbès
Français,
non pas
insérés
ne
rendus.
Arabe,
etc.
ce n'est que par l'Association synrieuse sur le prix de ses produits, sinon, c'est à bref délai, sa ruine,; dicale, qu'ils parviendront à sortir et qui sait ? '-de l'espèce de servage dans lequel celle: dé l'Agriculture les tiennent le commerce et l'inpeut-être quelque chose de plus dustrie ; qu'ils rétabliront l'équigrave, dans le genre d'une révolu— libre à leur tion soit dit en économique rompu pour qui passant — encontre mettront fin à la ne pronos hommes politiques ; qu'ils ni hausse et à la baisse dirigée contre fiterait ni aux Agriculteurs, ni aux Commereux, et qui, doucement, les ruine. aux Industriels, Par la force de leur groupement çants. Mais par quel moyen l'Agriculsyndical, ils amèneront aussi le teur peut-il Gouvernement, d'abord à défendre parvenir à rétablir l'égalité disparue et disparue à son plus sérieusement leurs intérêts ; ensuite à les doter de Chambres détriment ? où ils trouveront A mon avis il n'y en a que deux : d'Agriculture le complément de forces nécessaires Les Chambres d'Agriculture ; à la lutte. Les Syndicats agricoles. Il existe à Bel-Abbès un Comice La création de Chambres d'Aagricole. CeComice agricole composé griculture dépend exclusivement de gens éclairés, intelligents, ne du Gouvernement ou de l'initiative pourrait-il constituer le noyau d'un et l'on peut justeparlementaire syndicat agricole qui embrasserait ment regretter que rien ou presque tout notre arrondissement ? rien n'ait été fait par personne. Je le souhaite vivement car il sont Les Syndicats Agricoles faut à tout prix opposer à la coalil'oeuvre exclusive dès Agriculteurs tion de l'Industrie et du Commerce eux-mêmes qui ont toute liberté la fédération des Agriculteurs de pour en provoquer la création et en France et d'Algérie, afin dé régulaassurer le fonctionnement. riser cette Hausse et cette Baisse il semble que Malheureusement dont souffre l'Agriculture. l'initiative privée manque un peu B. F. T. et que l'utilité de ces sortes d'associations n'apparaisse qu'imparfaiMonument dé Villebois-Mareml tement à la masse des cultivateurs, Les résultats obtenus sous leurs yeux, par les divers autres syndicats devraient cependant les éclairer sur la nécessité et les bienfaits du groupement. Dans tous lés cas que les agriculteurs en soient bien persuadés des musulmans en le remerl'interprète de leur avoir donné ciant à Cette tribune les délégations financières. C'est un très
Le Comité constituent) vue d'élever en Vendée un monument à lamémoire du colonel de VilleboisvMareuil, vient de
décider
le monument serait que à Montaigu, la ville la plus voidu Château de Bois-Corbeau, résidence d'été de la famille de Villeérigé sine
bois-Mareuil.
rale eh soit élargie. Je ne vous pas les détails du mode d'élection
rappellerai des délé-
grand progrès ; ce n'est peut-être pas tout ; mais comme me l'a dit un musulman dans
ce serait financières, trop long. disent les Mais, indigènes, pourquoi ne pas comprendre parmi les électeurs de nos dé-
son langage poétique et imagé ; « Le petit arbre que M. Laferrière a planté nous omtous un de ces » rameaux. bragera jour bien ! très bien !) (Très
légations les'eadis, les notables," les membres des djemaas. Et par une délibération, en date du 8 octobre 1898, le conseil général de Constantine a fait la déclaration sui-
Je vous en
remercie monsincèrement, le gouverneur vous avez fait général; une plus de l'Algérie pour les musulmans chose ceux dé mes grande que collègues sieur
tout à l'heure qui m'interrompaient vent.le penser. (Applaudissements.)
ne peu-
Dans les choses humaines, il y a souvent Si vous alliez en Algérie, entendriez certaines per-
des petits revers. vous messieurs,
C'est vrai
M. Albin
responsabilité
temps
annonces
intéressant.
sulmans
en tout
les
Les
des i*T et i5
sonnes dire qu'en nommant les délégations on a fait un peu de pression financières, ou dans telle autre. dans telle commune
de représentation indigène que je viens de vous exposer ; il a compris qu'il était insuffisant dans la mesure où sa el la haute grande intelligence politique
« Où se trouve
SOIE*.
Rue
pour un seul d'entre nous, vous ne poseriez (Très bien ! très bjén ! pas cette question. sur divers bancs.) M. Maurice Berteaud. — Parlez ! c'est très
qui arrive en effet trop souvent. des Voici ce que je lis dans la pétition de Constantine : notables indigènes « Quel est donc le mandataire des muchargé leurs droits ?
SA-I^tOEIDI
L A VENUE.
sont reçus à l'année et partent de chaque moût.
fr.
vrait
rare
I^JE
IDMIRISTSiTIOIÏ
CL
1900
de lidi-vBel-Abbès Si
Directeur -Gérant :
la
PROGRÉS
.
5 Septembre
8 Ir.
Département Pour l'Algérie, Tunisie & la LE
Mercredi
19^® Année
•'-mais c'était le commencement, universel et j'aime encore mieux le suffrage avec de la presou restreint commençant sion que pas de suffrage bien ! très bien 0
du
tout
! (Très
Ce n'est pas que je demande le suffrage vous le veruniversel pour les musulmans, rez tout à l'heure ; et ils né le demandent pas eux-mêmes. „A propos des délégations les financières, la demandent que base électomusulmans
gations
vante : « En ce qui concerne la délégation arabe du territoire en aucune civil, façon nous ne saurions admettre un corps électoral Les cheikhs sont composé de cheikhs. les agents de l'exécutif. Que veut organiser l'exécutif?
Une
sorte de contrôle, une aura le droit de à qui critique son égard. Il faut donc un corjfc électoral si l'on veut une conplus libre que celui-là, sultation sincère et effective. Votre 3* bureau a pensé que l'on pourrait, comme en assemblée
commune électoral
de plein exercice, avoir un corps formé de notables musulmans
leurs délégués. On pourqui nommeraient rait objecter qu'en commune mixte le corps électoral serait trop nombreux. Nous avons Dans notre prévu : l'objection. entrevue avec M. lé directeur des contributions nous avons recueilli des renseignements très utiles à cet égard. En fixant à 200 francs exacte à partir d'impôts la limite de laen commune quelle, un mixte, indigène
LE PROGRÈS M j nos villes de la frontière des Vosges, . les charges que cette situation leur impose. En défendant Belfort, l'armée défend en môme temps Bourges et Mâcon; en défendant l'Algérie, elle conserve à la France son patrimoine de gloire et de richesse. I1 D'ailleurs, le temps, approche où cette objection même aura perdu j| toute sa valeur. j j Le budget des recettes algérienjI nes a dépassé de 4 millions, l'anj \ née dernière, le budget de l'année précédente, par le seul effet du labeur de nos colons et de leur force " productrice. j
le retour
de pareils faits. On songe à EïseemEïe les un transports,;pat;-Lundi soir', vers 1Û h. 1/2, un incencanoïà lâfdurée dé* vapeu'if.pendant de die: s'est déclaré dans le domicile la traversée du canal. Les marins de. M; Burguière, des laitier au Mamelon ce canot seraient de repêcher chargés J Palmier si ' lés'déserteurs; le En peu. de, temps, les meubles, somme et une certaine linge, les bijoux A- ¥ 1P %T> ATVï A¥T17 ¥ Af renfermés dans l'imen numéraire, C7
NOTRECOLONIEOui, c'est l'Algérie qui nous perv met d'avoir et d'utiliser en temps de paix une marine de guerre de de la nôtre. C'est elle l'importance entretient notre marine de comqui merce. Il entre dans les ports d'Algérie, 27,000 navires par an, d'un de tonnes jaugeage de \k millions et d'un tonnage effectif de plus de 3 millions et demi. La valeur des marchandises importées est de trois cents millions de francs, celle des exportations d'un chiffre à peu près égal. C'est, donc un fret annuel de 600 millions de francs. marine marQue serait notre chande sans cet énorme débouché ? Signalons tout de suite cette particularité que les exportations égalent aujourd'hui les importations. L'Algérie ne porte donc aucun préde la Mèrejudice aux industries Patrie. Elle lui rend l'équivalent de ce qu'elle lui a pris. Le mouvement commercial et les nombreux bénéfices à l'enqu'elle procure semble du pays constituent la différence, à l'actif de la richesse puOn comprend maintenant blique. combien il faut se montrer sceptià des affirmations que l'égard qui comme une représente l'Algérie charge pour la France. La vérité est que les impôts perçus, et qui s'élèvent à plus de 55 millions pour la part de l'Etat, et à 78 millions si l'on y comprend les budgets départementaux et comson munaux, équilibrent budget, à des dépenses de l'exception mée d'Afrique et des garanties térêt des chemins de fer. Mais celles-ci sont, comme de avances France, simples l'Etat récupérera un jour, et les
Pard'inen que pretout
mières intéressent, la Patrie entière. Sous prétexte que l'Algérie exige, pour être efficacement protécontre les ou défengée indigènes due contre une tentative de surprise d'une puissance une européenne, armée de 45,000 hommes, il serait injuste d'en faire supporter le poids aux colons de ce pays, de même qu'il au passif de serait injuste d'inscrire
finanvoter pour les délégations nous aurons un électoral rescières, corps treint et, dans tous les cas, plus libre que les cheikhs. » ! C'est l'opiM. Morinaud. — Parfailement pourra
nion unanime
du conseil
général
de
Cons-
tantine.
faut que les musulmans pas assez, qu'il arrivent à être représentés, non pas comme mais d'une façon égale comme nombre, — veulent se c'est-à-dire voix, lorsqu'ils — avec les autres races faire entendre, qui
! meuble la proie des sont devenus i flammes. La laiterie, et où située à proximité, se trouvait vaches d'un grand douze
Wâissance , Mme et M- Louis Bavard, Bayard à l'Quest-Algérien, viennent employé d'être cette semaine, les heureux parents d'un beau et gros garçon. Nos sincères M. et compliments,.à Mme
Bayard au .bébé..
et nos
meilleurs
a pu être épargnée. . prix, Les pertes sont évaluées à environ francs et couvertes mille cinq par ia Le Phénix». d'assurances,** Compagnie
souhaits Rentrée
j
C'est
c'est le des A l'Exposition industriels campagnes, ou ..j un temps-plus et ! repos;, forcé-, — Nous pour seuls, comptent Récompense. enregistrons et inévitablece sont les régiments frontières moins amenant j long, qui j avec "plaisir le succès obtenu à Paris, la gêne pour ne pas dire fournissent le plus plus, -j par gros contingent, j ment nos plus l'un de sympathiques Les régiments de Bretagne et de la I. dans'le et que vient encore i officiers ménage, M. Babou, d'administration, nécessiVendée en fournissent le moins. ! aggraver les fortes dépenses | vu décerner une médaille de qui.s'est médicaLe cops d'armée en fourde nombreux \ tées par l'achat \ bronze d'Afrique le son magnifiJury, pour par nit un contingent : les chas- j ments, j important une variété que herbier, comprenant faire oeuvre \ seurs d'Afrique, 40 ; les spahis, lu8 ; j AussL croyons-nous de pius de 500 plantes être pouvant \ les spahis colons 2 : les zouasahariens, i d'humanité ensignalantàtous, dans le la commerce, employées pharle et ouvriers, atteints ves, 93 : les tirailleurs algériens, 926; par la maladie, la droguerie,,etc. ] macie, le bataillon d'Infanterie d'Afri préparé par notre sympathilégère \. fébrifuge [ Nous nous joignons aux nombreux s (que, 33 ; les compagnies de di'scipliM. Vincent que concitoyen, Bessière, j amis de M. Babou, pour le féliciter..de riombreu' 42 ; les ateliers i pharmacien, de travaux ne, publics, qui, après j des il 25Ï> ; les régiments ses études du,mal et SJ»Ï reEève'du IFonBiîji 2.202. i expériences étrangers, confectionC'est le canal de Suez que choisis! concluantes, est parvenue \1 La relève.du Tonkin des régiments tout en coûtant 5 sent de préférence les soldats comme ner un remède f| étrangers qui, doit avoir lieu ces jours-ci. un rend en peu de' i A cet ] lieu d'évasion. au mois d'avril prix peu.' élevé, Ainsi, trois cents hommes de i effet, la fiévreux dernier < 51 légionnaires a santéaux qui en- , chacun temps embarqués des.deux régiments étrangers (Oron à destination font usage. de Diégo-Susrez doivent être tenus prêts à partir. ssur Y.Uruguay, ,désertèrent, ensemble devenir nos .garnisons? Que 'voiit ; . ;^.; la-traversée" du canal. II e&.:,«.,..,-,-:.„.. ''.ÎP»ssage;de;4rôii|ife§.i;:. pendant ; :; LeSmanoeùvre^ "Un bataillon du 2° Tirailleurs, pro(est de même â chaque transpoit.y car-les effectifs: ne doivent promises, venant de Tlemcen et se rendant aux Au.cours de la. traversée du canal, . exister quesur le.papier. *' sous les ordres du com.-"; le pont 1 étant la ^manoeuvres, encombré,toujours S'il nous une arrivait catastrophe, mandant Dutertre, est arrivé ce matin. ssurveillance est plus aussi difficile; en un de ces fléaux comme l'Algérie Le bataillon a pris son cantonne- /..a les déserteurs en profitent se pour malheureusement sou' trop déjà'vu : ment derrière la gare. à la nage. Port Jeter à l'eau et gagner le feu en forêt. yent :-les sauterelles, f {Saïd, où ils se réfugient dans leurs militaire est né[ où la main-d'oeuvre les manoeuvres ISépart pur tconsulats respectifs. et de une insurrection, | cessaire, plus à 5 h. 1/2, le 1er baDemain Les 51 déserteurs dont nous parlons matin* avec quoi y ferait-on face ? - . taillon du 1er Etranger notre ccomprenaient 31 allemands, 7 alsaquittera existe des soldats, à Il est vrai qu'il ville aux manoeuvres. cciens, 5 italiens, 4 autrichiens., 2 beiges pour se rendre Epinal. (Fanal) On se souvient eît 1 suisse. que le !•• bataillon En congé ( est récemment arrivé dé Tunisie. étaient bons Tous, sauf une dizaine, csoldais. les manoeuvres, il se rendra -à. M. de Montessus, Procureur de la .'''> Après ' Aïn-Sefra Les ministères de la Guerre et de là pour y .tenir garnison. République est parti samedi dernier Les
hMarine
à d'infanterie, 3,229 déserteurs,
régiments
étudient
le moyen
eux
en congé â Tlemcen.
de prévenir
| que les musulmans d'Algérie demandent^ ,sérieuse à ! — et il n'y a .pas d'objection — c'est au faire sur ce ] point, l'adjonction des. indiélectoral français, corps capacités • . ; gènes. de France, Comment ! un homme arrive sortant de prison, un naturalisé s'installe en Algérie, il a le droit de voter, et un caofficier de la Légion piiaine musulman, ne vote pas ? Mais au Sénégal, d'honneur,
ou censitaires, les décorés, les médaillés, les anciens officiers ou sous^offieiers^ les lés cadis, les fonctionnaires instituteurs, d'un certain grade, les élèves diplômés de nos écoles ou des médersas, etc., votent ? Mon intelligence se pour des Français refuse à admettre vénients. Ailleurs
Je n'entrerai pas dans le rêve généde notre ancien reux collègue M. Jaurès : au pas de recevoir je ne vous demanderai
en Bosnie, ]e monde, élections municipales.-
un goum de quarante-cinq mules millions nommé quatre par et non Je fais de la politique d'indigènes. ce moment. Aussi bien les de la poésie en ne le demandent pas ; mais ce musulmans
M. Marchai. —Jules Ferry a dit en propres lermes : En Orient, on méprise le maître se » Et il avait laisse discuter. étudié qui l'Orient et l'Afrique. M. Albin Puozet. — Je ne viens pas vous
sulmans,
suivre
Lesûésertîoiis liaisl'Armée I
sont dans !e pays ; tant que vous n'en arriverez pas là, il se produira des abus, inhérents aux sociétés humaines.
Parlement
faire
«ïe tp©espes eS'Sglï nos braves le 22 janvier que | Bulletin sanitaire i légionnaires de longs mois qui depuis sanitaire se Si. à Bel-Abbès, l'état torrïdes d'Igli, garnisons j occupentîes en ce moment assez satisfaiet Djenien-boui Taghdit, j trouve Duveyrier de retour à Bel-Abbès | sant, il n'en est malheureusement .pas | Resg. seront —__—. -. |! de même dans l'arrondissement. être relevés de nouveaux par \ pour ' Travail • j on statistique De tous les villages environnants [effectifs. _—_ i nous signale en effet des cas nom- ;\ La ville de Bel-Abbès qui, en main' et auLe journal Le Petit Parisien de fièvres paludéennes a manifesté ses sentites occasions, publie ] breux une statistique sur le . nombre des- j très, causés autant par les- chaieurs envers ments l'armée, patriotiques eu à subir avons désertions se dans) tropicales que nous ce jour-là comme qui produisent se souviendra toù, où on en compte ces mois derniers, actuellel'armée, que 'par les nom- . jouté, à la peineque ceux qui furent ment 10,061 cas depuis le 1" janvier breusës variation* de là température, j! doivent être à l'honneur; et j 1900. Pour la plupart de nos colons
Rozet. — Je trouve que ce sens électoral dé 200 fr. est trop élevé, mais :ce devant le n'est pas une question à déballre dans l'Inde, vous avez des musulmans bien Parlement et je passe. — Le chiffre est à discuter inférieurs aux musulmans ou M. Morinaud. d'Algérie même des et ils votent ! Et diredeur des contributions. vous avec le païens, à ce que quelverriez des inconvénients M. Albin Rozet. — Maintenant, malgré de musulmans, ceux parques centaines l'éloge convaincu que j'ai fait des délégatrouve ce n'est lant les intellectuels tions financières, français, je que capàcilaires M." Albin
BEL-ABBÈS
que cela ait des inconon l'a fait ; par exemple, il n'y a pas de député, mais tout sans exception aux participe
mon projet d'adopter : Tant je vous dis seulement rez pas adopté un mode de dans le genre de cemi que verrez se produire en Algérie dire
textuellement^ que vous n'aureprésentation vous j'indique des abus qui
ne se produiraient pas s'il y avait une; re. pour tes indigènes. présentation M. Marchai. — Sîais les.conseil généraux l'ont demandé depuis, longtemps 1 d'Algérie M. Albin Rozet. -r- Je vous.demande, mon cher
dé ne pas m'interrompre;. collègue, Je ne me laisserai pas, décourager ; c'est pour dire tout cela que je suis monté. à la tribune ; je considère qu'il y va de l'intérêt du
pays,
l'Algérie
de la bonne administration et du bon. renom de la France
de en
Afrique. : on Cela n'est du reste qu'une indication de un autre mode représenpeut trouver il tation, par collège spécial :p>ar exemple, en masse.; ailne s'agit pas de naturaliser une populaon ne l'a fait. Mais leurs, pas, en ce moment tion qui nous donne plus de 20,000 soldats doit être représentée- sérieu-
' i nels, mais seulement d'abus ayant un ca! ractère général,. Je vais en; énu'mérer quelselon moi, du fait ques-uns, , découlant, unique que Tes indigènes sont, insuffisamment représentés. De -temps- en temps, il a des troubles dans l'air ou dans quand y la rue, en Algérie, procède à ce qu'on
le gouverneur général en appelle des .renvois
tribus. Je neveux pas discuter la question de savoir si ces renvois ont été parfois trop ou trop peu nombreux,- je ne discute que le suivant : Si la population indigène des représentants qualifiés, je suis convaincu une qu'on y apporterait plus — cela grande discrétion qu'aujourd'hui, point avait
ne vise pas
M.
Laferrière : il s'agit d'une —r et les abus se produiquestion générale, raient beaucoup moins. lui-même m'a fourni cet Il a bien voulu me argument. rappeler qu'à la séance du 18 avril 1898, à propos d'arrestations, de transferts en tribus qui avaient M,
Marchai
eu lieu, il s'exprimait ce Prochainement,
ainsi
: -..
les citoyens
français manifester leurs à gauche.) pourront énergiqùenïént sement. (Interruptions et dire hautement ce qu'ils Je ne m'arrêterai pas. Ce que j'ai à dire, I sentiments actes de l'autorité des car ils ont bien! le dirai très, pensent ; je quand même., (Très dé à leur un bulletin vote Mais disposition. bien ! sur divers, bancs.) i les comment indigènes, pourront:iIs proMessieurs, je me suis promis de ne faire et j'ai poussé ce, sçru-:, | tester ?» aucune personnalité, loin queVje .m'arrangerai; pule tellement i , (A SUIVRE) pour ne pas parler même d'abus person-
LE PROGRÈS DE BEI/ABBÈS et Mêlas José- - ] Bruguier Alphonse phine Amélie. j Oliver Louis Aniceto et Gonzalès 5 | ' Isabel
Vol Des malfaiteurs inconnus ont soustrait un âne au nommé Christoval demeurant au Mamelon. Carasco,
. MARIAGES Gibier
corrompu
- ....-Répétez Charles avec BartheRosette. Aùgst Henri avec Marmus Louise. Martinez Francisco avec Galindo ' Maria.
Le nommé Khelila Kadda ould ben au parquet Aouda, a été déféré pour mise en vente de gibier corrompu. Ame Le
Oranais raconte Colon qu'une Mme brave et honnête cuisinière, arrivée à Oran deveuve Schneider, de jours, venant puis une quinzaine assez sérieusement made Bel-Abbès. dans une maison lade, était descendue où elle avait du Plateau Saint-Michel, chambre. loué une modeste une darne X.., entrait en Mercredi, dans les bureaux du coup de vent du 5me arrondissement: Commissariat ? c'est scandaleux C'est honteux, ainsi Laisser mourir sV'cria-t-elie c'est sans secours une pauvre femme, il ?... J'irai porter plainte... indigne haut va plus que le commissaire de police, etc., etc. du monde On eut toutes les peines la brave femme et à obtenir à calmer d'elle quelques explications. — Mme Schneider se meurt, je le le comvivement, répliqua regrette sortie de brave la la missaire, que n'avait ému, femme pas autrement des immédiatement donner vais je soit ordres transportée pour qu'elle à l'Hôpital. d'urgence m'était Mais vous conviendrez qu'il de le faire plutôt n'ayant impossible ni de l'état de Mme connaissance ni même de son existance. Schneider, le A la police, ajouta ironiquement ne sommes sornous pas magistrat,
.
ciers. au domiDes agents furent délégués celle-ci refude la malade mais cile ; se laisser obstinément de sa transpor: Et comme on insistait ter â l'hôpital. veux mourir chez moi. Je répliqua-. la paix. t-elle, laissez-moi à 1 heure Le lendemain jeudi, 1/4 femme du matin, la malheureuse des suites d'une congestion mourrait Et l'on apprenait... que pulmonaire. X... avait fait Mme la charitable main basse sur trois reconnaissances à la du Mont-de Piété appartenant l'avait mise et la que police défunte, ! de les restituer en demeure Bonne
âme va !... Doux
jiays
raconte Le Rappel que les officiers en Extrême-Orient allemands partis demande de petites sur leur ont reçu, de de cyanure potassium, capsules en cas où, blessés, ils pour leur servir des Chientre les mains tomberaient ainsi échapper par nois: ils pourraient de la torture. aux atrocités le poison
DE BEL-ABBÈS
ÉTAT-CIVIL
Du 1 au 4 Septembre
I9u0
: Bentsaïr Aïcha; ArGuillem Avelina Martinez Antonio ; Krief ques Juana ; : BéniAntonio Mardochée ; Ubeda Edmond Marie chou Cécile ; Bayard : Dezan AntoiGaston ; Abat Césarine Alice. nette ; Gouot Marguerite DECES 38 ans ; Kemame, Ramon Francisco, veuve Garcia mort né ; Beja Carmen, Joquin 69 ans ; Sanchez Michel 1 an 1/2: José, 77 ; Alvares Hadj Salem, 4 jours 29 ans ; Hadans ; Amar ben Amour, 25 ans ; Séguria dou ben Mohamed, Maria Theresa, 20 mois ; Galvan José. 35 ans ; 20 mois ; Chaïb ben Haddou, Simon Zonatti Jean, Virginie épouse 8 mois ; Ben-, 55 ans Djebrana Djiiali, né ; Dominguez mort Juan, brahim, 9 ans 1[2 j 51 ans ; Ségura Miguel, Zineb,
2 ans
; Mùller
André,
Me Eugène GUIRAHD, près le TribunalCivil Instance de .Sidide Première rue Strasde: Bel-Abbès,
PROGRAMME
de 4 h. l|2 â 5il.
DU 6 SEPTEMBRE
Antoine
et
a été
2°' Célestin
l[2
Tous
LeChef de Musique, Ch. SALOMEZ.
| .[' 1
Faust Reber Margis Luigini Sellenîck
[; j 1 | |
-
—————
| : Avis aux Chasseurs La chasse est expressément interdite sur j les terrains ou propriétés désignés ci-après | | sis dans la région de Bel-Abbès, savoir :
Arbessieux
à la
. conformité Code
de-
propriétaires, à Sidi-Bèl-Abbès
pour domicile est élu en . lesquels l'Etude de Me Eugène GUIavoué près le Tribunal RAND, de Bel-Abbès, Civil suivant deMe LAFFONT, exploits sier à Alger, le onze Août
et que, mois, Ce faire dans et
de l'Oued-Cerno et de Tirenat, loués à M. Calixte SUAUDEAU.
et qui sont # -
et libérés purgés les mains des requérants toute de hypothèque
et de Me CLA.UDIN, huissier, à en date du il Août Bel-Abbès, 1900 et 1er Septembre suivant, < , . •; : tous enregistrés . 1° à Madame Henriette MA-
sont aux
sur
adjudication poursuivie
entre
THIBOUT: 1° au profit de ': GARAZ,
la les
de
Avec M. '
iicitation Consorts ALsis
UNLOI'DE'TERRAIN, banlieue de Bel-Abbès,
route
le N° 243 : du d^Oran^ portant de la contenance de 6778 plan carrés
mètres
connu;; dite nom dé propriété cienne Triperie, ainsi : constructions frontant
dans
y existant, au: son ensemble au sud Çolman,
Clauzel, au levant la rivière-et la route lot
lès; -:. con-
nord
chant le 3e
'
sous; lede. l'an;qùe
de
moyennant mille francs.
la contenance
au couformant
la vente, de le prix
2° au profit dé: DAT, UN LOT
d'Oran
de Célestin
et ce, Bouse CE;
DE
CULTUREAe de 43 -hectares
centiares environ, sis sur le territoire de la Com9^^ mune de Sidi-Lhassenn° 91?de ladite Communeconfron-
entre de cette
nature.
René elle
Pedro
dont
ment
1900
du sieur épouse avec THIBOUT, lequel demeure à l'Agha, rué
qu'ils légales le délai de deux faute par eux de
ce délai, les imseraient s'agit demeureraient définitive-
meubles
huis-
NENT,
2194 du
eussent qu'ils pour telles inscriptions
d'hypothèques aviseront dans
!;
A Aïn-Trid : propriétés BARBIER, BauCOLIN Charles, LAMBERT CHEREAÛ, N° 6 LEPLUS GENIN Marius Alfred, cliri, Emile, ; et MARTIN Jérémie. 2° au dit sieur René THIA l'Oued-Cerno :-propriétés MORIN, demeurant à employé BOUT, ROT ALBERGE, BARBIER, NO UZILLE, N° 6, pris , ,-... TAgha, SUAUDEAUrueBaudin, (ferme Peyroutetj PITRON, . Câiixte et GOUT. la validité ; pour Au Tessalah : propriétés NICOLAS ( .3° à Monsieur Le Procureur LAMBERT |- Aristide, BARBIER, Emile-, de la République près le triGENIN Marius, etCalixte! LOUBARESSE, Insbunal Civil de 'Première SUAUDEAU.. j A i'Qued-Besb'ès : propriétés Emile tance de Sidi-Bel-Abbès : ; NOUZILLE.'et SUAUDEAU -LAMBERT, 4° à la dame Catherine BUCalixte. sans RY, profession, épouse-. Territoire de BelAbbès: j produ sieur THIBÔ j! priétés CHEREAU, MORIN. Rémy UT, EMSALEM, et à ROY avec elle demeure Ij '(ferme Peyroutet). lequel A Sidi-Daho : NICOLAS propriétés Sidi-Lhassén |j ; ij Aristide, Emile LAMBERT; LEPLUS Désiré. THI5° au dit sieur Rémy | MORIN et GENIN Marius. ) la validité et BOUT, pris pour Aux Lauriers-Roses : propriétés I\ Faùtoiisation maritale." ALBERGE et MARÉCHAL. jj A Prudon : propriétés Ch. HAYN et 6° au sieur II Joseph MAS, MERLO. ! à Reldemeurant propriétaire, |I A Tenir a : propriétés NO UZILLE et comme mari AbbèSj pris p.Qur .;..,;..j DEMARCHL la; procédure à-; îâ validité-de i ' A Tirenat : propriétés SUAUDEAU : son épouse ci-après BOTËLLA (ancienne j Calixte, Tégardde propriétéBoumedien bou et BEN NACEUR. i; Aricha) nommée; JK.UX Trembles : propriétés de M. ! 7° la dame Emélie DÉMIAS, ; MARÉCHAL. S | du sieur Joseph épouse MAS,'; A Zèlifa : propriétés ALBERGE et 1I demeurant ensemble à SidiMARECHAL. j Bel-Abbès. A Zellat : ; (El Gadda) propriétés ! MARÉCHAL. De l'expédition dûment en : propriétés DEMARCHL . , A Baudets forme d'un acte au dressé : propriétés Jules A Sidi-Yacoub du Tribunal de Belgreffe HABERER. Abbès le 20 Juillet enre1900, Jules A Aïn-Tellout : propriétés ' constatant le dépôt fait HABERER. gistré, au greffe ledit jour de la copie sur La chasse est également interdite ' deux de pollâtidnnéè jugements tous les terrains appartenant à Ben Aïssa rendus-à l'audience des criées Î. ould Rabah, Kada bou Aricha, KadaBouaza, du dit.Tribunal: le24 Janvier j Mohamed bel Feroud et Keltoune bent El contenant Kadi, situés dans le territoire de Bel-Abbès, 1900, ".;enregistrés, I | | j i 1 ! i
de l'article
Civil
; à prendre"
y ;
deux
meurant
.'. . -j Les Francs-Tireurs Le Père Gai il ari (ouvert.). | | Valse Bleue (1- audition).. \ Ballet Egyptien. 1, 2, %. 4.. 1 Le bon Bourgeois (polka).
faite
CÉDÂT
moyennant sept mille
neuf cent vingt-cinq francs. Avec déclaration : que la dite notification leur était faite en
Légale
de : requête 1° Pedro ALCARAZ
1900
de la vente, it ce, le prix de Quarante
::.-
Purge
91ares20 PUBLICATIONS
Frédolière Rosine.
|
!
Public
dans son ensemble Aguilau-levant et au couchant lera, des chemins d'intérêts privés et Décrion le 2e lot et formant
avoué
1 Musique '.jjrî; Etranger. | Jardin
tant
bourg.
t
assermentés Des gardes particuliers de des dresser chargés procès-verbaux contrevenants.
NAISSANCES
Mamoun 21 ans.
de
Notification
!
charitable
ÉTUDE
;
déclaration
le Procureur
blique taires
en outre de
à
la
Répuque les anciens propriédes dits immeubles sont, des
.indépendamment deurs :
ven-
1° Epoux THIBOUT, père 2° Epoux WEBER Joseph 3° Adolphe THOMAS ; 4° Et divers, indigènes. Et
que
tous du ceux il pourrait être
desquels des inscriptions légale
n'étant
; ;
chef pris
d'hypothèque des pas connues
ils feraient requérants, publier la dite notification dans un des journaux annonces
les pour du déparà l'avis
désignés judiciaires conformément
tement, du Conseil
d'Etat
du
9
Mai
1807. Signé
: Eugène
GUIRAND,
AVOUÉ.
LE PROGRÈS DE BEL-ABBÈS
Bel-Abbès.
— Imprimerie
du Progrès de Eel-AbVcs.
,V
Le Gvrnni,
Va pour la légalisation
gIDl-BEÇ-.VBBÈS,
de la signature
le
de M. LA VEJSUE.ytïr<ji
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M\n\$i
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