Le Progrès de Bel-Abbès du 07/04/1900

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Le Progrès de BelAbbès ["puis" de SidiBel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 1893-1962.

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Dix-Neuvième

de bataille

LaMort duColonel VILLEBOIS-ÏATiEUIL Les journaux parvenus ce matin, la publient dépêche suivante : LONDRES (6 avril). — Lord Robôrts télégraphie à la date du 4 avril : « Le de général Méthuen me télégraphie Boshof aujourd'hui, qu'il a entouré le colonel de Villebois-Mareuil et un détachement de Boers. Aucun d'eux n'a échappé. Le colonel de ViUebois-lvJareuil et 7 boers ont été tués ; il y a eu 8 blessés et 54 prisonniers. » La population douloureusement

de Bel-Abbès

a été à impressionnée

la lecture

de ce télégramme officiel dans la nuit à Oran, et parvenu la mort héroïque, au annonçant du Colonel COMTE DE Transwaal, VILLEBOIS-MAREUIL. Tous ceux qui, ainsi que nous, ont pu connaître la grandeur d'âme, la

foi

Le colonel de Villebois-Mareuil était âgé de cinquante-deux ans. Sorti de l'Ecole de Saint-Cyr en 1868, il avait servi comme lieutenant d'Infanterie de Marine, en Cochinchine; comme de Chasseurs à capitaine pied, à l'armée de la Loire, où il fut grièvement blessé lors de la reprise de Blois, et décoré à vingts-trois ans sur le champ de bataille ; comme Chef de bataillon, sortant de l'École de guerre, à l'Etat-Major Général de l'armée. il fut Lieutenant-colonel, du d'armée d'Etat-Major Corps Colonel il commanda le gérie. à Mayenne, le 67- à Soissons 1- Etranger à Sidi-Bel-Abbès.

chef d'Al130" et le

la bravoure et patriotique, l'indomptablç énergie de l'ancien Colonel du 1er Etranger, sauront apprécier à sa juste valeur le laconisme de la dépêche communiquée

sommes persuadés, d'être de la population ici j'interprète en~ tière dé notre ville, en adressant à Mademoiselle de Villebois-Mareuil et à sa famille, l'expression de notre

parle War-Offtce. La seule conclusion qui s'en déest : gage et qui apparaît éclatante, que le colonel de Villebois-Mareuil comme meurt au champ d'honneur il avait constamment en vécu, brave.

douloureuse sympathie, en leur exles regrets unanimes et primant sincères que. nous éprouvons dans

Après inégale, ennemis

Nous

l'irréparable les atteindre.

malheur

qui

vient de

quatre heures d'une lutte et alors que sept officiers succombent sur le champ

nent

de mauvais sur les renseignements commerçants français ; les commerçants et les français sont obligés de faire faillite Cette explication a été juifs triomphent. apportée à cette tribune par M. Morinaud. Je

L'ALGÉRIE AUPARLEMENT — 49 —

:BEL-ABBËS, LE; 7 A^RIL

lïïiWpif

Paris, 3i mars. La victoire d'In-Mhar. — Trente ans d'hésitations. — L'attitude probable du Maroc. — La main mise sur les routes du Sahara.

les grands juifs. et d'autres vous disent : M. Morinaud comment comment mais émergent-ils, Oui, s'enrichissent-ils ? Je vous ai montré qu'ils ne s'enrichissaient pas par la faillite, puissouvent faillite font moins que les qu'ils ou les commerçants français commerçants européens. Alors on a cherché des explicavéritablement Voici le phénomène tions. dirai le curieux antijuif et, je phénomène la prospéque l'on a trouvé pour expliquer rité du commerce israélite. On a dit : Ils ont accaparé les agences de ils dongrâce auxquelles renseignements

et du Gard Vosges, de la Sèine-Inférieure la connaissent bien—la c'est que vérité, les juifs ont un grand crédit en France îes Champour les motifs qu'indiquaient bres de commerce de la Seiné-Infériëuré en la naturali1864, quand elles demandaient sation collective des israélitës'; ils ont diï crédit parce que les colporteurs ont juifs fait honneur

à leur

signature, parce que la plupart des faillites juives qui sont faites; en Algérie ne le sont pas au détriment du mais du commerce comfrançais, grand merce juif d'Alger, et d'ailleurs.

d'Oran,

de

Gonslànfihë -

En effet, le petit commerce en reçoit les marchandises du grand comAlgérie merce juif, lequel est lui-même en correspondance avec les maisons, françaises ; en

de toute façon, dans quelques jours le drapeau tricolore flottera sur le le Nous tiendrons alors Touat ksôùr. par les deux bouts. Nous l'isolerons de toutes espèces de secours. A Igli à nous arrêterons les Marocains, Tn-Sàlah

lés Touareg.

ré^Dès à présent, un important sultat est obtenu. Nous reconquérons le prestige que trente ans et nous avaient plus de tergiversations fait perdre. Que devaient penser de notre puissance des demi-barbares en 1870, qui avaient vu rétrograder,

par maison, palmier par beau fait d'-armes reCe palmier. années d'internouvelle, à quarante valle, la gloire de Zaatcha. Mais l'essentiel c'est qu'il nous assure la possession du Tidi&ëlt èVque^ probablement, il réduit à rièh la force de résistance de ceux que, sans doute pour affirmer la légitimité de notre

la division Wimpfen ; qui depuis 1883 nous voyaient timidement marquer le pas devant Figuig où se tous nos ennemis, tous réfugiaient nos rebelles, Bou-Amâma en tête; massaqui impunément pouvaient

on commence à apintervention, Quand nous peler les dissidents. au Touat proprement pénétrerons dit, ses défenseurs aurontr-ils à nous opposer une autre armée ? A considérer les forces, qu'ils ont déjà mises

crer'Marcel Palat Ils pensaient que de tout le monde, de l'Allemagne,

sorte que lorsqu'une a lieu, petite faillite et c'est lé cas pour le plus grand nombre des faillites lé grand commerce juives, C'est le français l'ignore, grand commerce

nouveaux qui l'antisémitisme

Ces effets sont minimes; Je "veux invoici une sera pas susautorité ne quer qui celle d'un du Tépecte, journal antisémite,

et Enfin, au-dessus de ces commerçants au-dessus de ces ouvriers il y a une aristocratie qui a émergé par ie commerce, par ce sont ceux que l'on appelle ]etravail;

dans le sud oranais. pénétration Elle a pour objectif Igli. Qu'elle y entre sans coup férir "ou qu'elle soit obligée dé l'enlever "de haute lutte,

maison

Gustave . de M. Interpellation Rouanet sur les mesures que M. le président du conseil compte prendre pour réprimer et prévenir les exercées contre le persécutions prolétariat j uif en Algérie. SUITE

seront pas seuls à terminer Une la tâche si bien commencée. secondé colonne s'organise en ce à Djehien-bou-Rezg, le moment fer de point terminus du ehéminde

temps. Nous voici rassurés. Le colonel d'Eu vient de remporter à InRhar une brillante victoire,-"Elle, coûté à nos adversaires, Tôûâtiehs, Marocains, Touareg, six cents tués et quatre cent cinquante prisonniers, parmi lesquels leur chef, le pacha de a été Timmi. On le voit : l'affaire a fallu l'oasis chaude. Il prendre

juif d'Alger, de Constantin* en subit les effets.

sur le compte de commerçants gnements, aux de la métrofrançais, commerçants — La vérité et vous pole. pouvez la conceux sont des départements des naître, qui

Rharhe

un peu de SaOn s'impatientait voir point de nouvelles. d'In-Sala.h, et, à dire vrai, il y avait à craindre que cette fois encore, par excès de le gouvernement de la prudence, laissât échapper l'ocRépublique notre casion de régler à avantagé une question posée depuis si long-

Chambre des du24mai (Séance Députés 1899)la cite

mais je parce qu'elle a été formulée, fais appel au bon sens public et je demande s'il est possible que, pendant cinquante de comans, un peuple ou Une catégorie merçants ait pu donner de mauvais rensei-

en ligné et lé chiffre tétai' de la popùîa^oh dé la région entière," Tidikelt, Touat, Goùrâra,' cela paraît douteux. les vainqueurs dTnAusurpîùSj

1900^.

.":.;*

NÉCROLOGIE

;. malgré la supérioritédes- forces opposées, il numérique à une préfère une mort glorieuse reddition, et, dans un de ces mouvements de noble fierté qui l'ont illusdu monde tré, il fait, aux yeux le sacrifice de sa vie. entier, .

Samedi, 7 Avril 1900

Année

**""

N° U65

et

d'Oran

eommerèé

et l'explication du français,'" du commerce, juif sur le com-

triomphé merce français.

Voici ce que dit le Têlêgïàmme algé-;"-.; rien: « Ees'magasihs juifs furent, un moment, il est vrai, mis àl'index, et il a pu paraître les un instant «^mmër^Ms--:&àn.sais; que dans la' faveur- populaire "prendre leur "avaient "prise les merlà place que éantis juifs par dés moyens souventhiâlhon^ nêtes. Mais par lassitude un peu, et beauallaient

coup" parla faute les commerçants s'est vite éteint/

des premiers intéressés,: ce mouvement français,

« Au lieu de s'efforcer de donner satisfacà là clientèle' qui de façon si imprévue 1 venait àeux-sansi réclamé 'et-sans 'frais7 'au à plaire aux acheteurs lieu de s'ingénier tion

Turquie, du Maroc, d'eux-mêmes.

des Senoussis,

du ciel de leur tombaient ; au lieu de faire; même, des

sacrifices

inattendus pour que ces chalands dans les maisons françaises ; la et les prix.... complaisance^ rassortiment — Retenez bien ce mot. — «..; et les retrouvent

qui

légramme algérien, qui raconte pourquoi le boycottage dés juifs'n'a Vous pas réussi. aurez là la, clé des passions mauvaises, hai^ se dans le sont nëuses|' qui développées

et tant des nôtres. nous avions peur de l'Angleterre, de de la l'Espagne,

dans prix qu'ils étaient habitués à trouver "les maisons juives, nos compatriotes ont voulu imposer leurs écouler traditions, leurs rossignols et élever leurs prix. Ils

'

ont naïvement tué la poule "aux oeufs d'or, et de cette occasion •inespérée de prendre dans les transactions commerciales la place qui leur revient ils n'ont, su tirer qu'un médiocre et-très passager^ profit,' : ., ((Aujourd'hui, peiné, la situation

nous le constatons ayec est redevénué ce qu'elle

était il y a dix-huit mois: les magasins vidés, se remplissent à juifs qui s-étaient ; nouveau.» C'est là, messieurs, toute l'histoire de la dû 'concurrencé commercé juif et du commerce français. Là vérité c'est que le juif, en:Algérie^ plus sobre que le Français... sur divers bancs au centre.,) (Interruptions — Les juifs M. Prâçhe,i ironiquement. ont tant dé qualités, tant de vertus 1 : • M;'le

Ne: réfutez pas les arprésidentesde votre 'gumënts banc^ messieurs, '"'M.'Prkche.:-—Nous-né pouvons pourtant pas laisser traiter

les Français

de la sorte !


-

Hie A la vérité nous avions peur de quelque chose. En complétant l'Oranie par la prise de possession de son ne risquait-on hinterland, pas de un à celui-ci ou à celui-là fournir prétexte pour s'installer sur le côté de l'empire chérifien ? L'échange eût été par trop désavantageux. Aujourd'hui nous n'avons plus rien de semsi nous blable à redouter. Mais, avions fait halte à mi-chemin, qui nous réserver sait ce que pouvait l'avenir ! Il fallait se hâter. *

"

Certes, le sultan du Maroc ne sera toujours pas satisfait. Il se souvient ont dominéle Sahara sesancêtres que de Tafilet au Niger. Il avait donné à cet El Driss ben Naïmi l'investiture et pacha de Timmi qui s'intitule Mais le que nous avons capturé. au delà d'une grand chérif ira-t-il ? protestation par voie diplomatique Il n'osera Cela n'est pas probable. nous directement, pas, du moins Il pourrait combattre. payer cette audace, je ne dis pas de la perte de ce qui serait son indépendance, à faire accepter difficile peut-être par l'Europe, mais tout au moins de

«gs ; ctè*;;

;JRrogpr

'*3;<

suite de journées ou de nuits, brumeux d'eau prove^sesy-carjes gouttelettes nant dés brouillards, favorisent très ériergiqUèiiï'ent là germination des maj ladi.es crypto|amiqûes5 du i Formules pour les traitements ! mildiou (opérer autant que possible par un tempsjcâlme) ; ; Bouillie v formule': Bordelaise, sulfate de 2 ML de dissoudre faire d'eau chaude; cuivre daris 10 litres fe% ,#einjtee€kil il 2 d^ chaux vive et verAVIS AUX VITICULTEURS ser la chaux dans la solution de sul-' fâlé, ne pas faire Traverse, puis: ajouSyndicat de Défense des Vignobles du ter 100 litres d'eau. département d'Oran 2'formule : Verdet, 1 kil. de VerdetLE MILDIOU gris ou noutre par hectolitre d'eau. 3-formule : Bouillie au carbonate, En présence du développement qu'a 2 kil-de sulfate, de cuivre et 2 kil. de pris le Mildiou en 1899, le Directeur du carbonate de soude par hectolitre Syndicat ne saurait trop engager les d'eau. Faire dissoudre carbonate et viticulteurs soucieux de leurs intérêts, sulfate séparément,: puis mélanger le à user des mesures prescrites par l'extout. périence, pour empêcher la multipli4- formule : Eau-Céleste : Faire discation du parasite et préserver ainsi soudre 1 kiîog de sulfate de cuivre leurs récoltes de ses atteintes., dans 3 litres d'eau chaude ; quand la Comme on le sait, le Mildiou se désolution est froide y;joindre 1 litre i[-2 veloppe sur toutes les parties de la de commerce à 22°, d'àmmoniâque vigne, les feuilles et les fruits. puis ajouter 100 litres d'eau. Au début de l'attaque, et avant qu'il Se servir de pulvérisateur et à leur il se ait formé ses fructifications, défaut dans les petites parcelles, l'une montre à la face supérieure delà feuildes solutions, ci-dessus, peut être réle par points isolés et peu étendus, pandue avec un pinceau en palmier ayant une teinte jaune, qui, en s'aeou autres. centuant, tranche de plus en plus sur Le développement du Mildiou ne le vert foncé du parenchysme. A l'endes traitéêtre peut empêché que par vers des feuilles, il apparaît par tâments préventifs ; il faut 300 litrespar ches formant des efforescences blanhectare pour le premier traitement et ches ressemblant à du sucre pu! vérisé. 4 à 300 litres pour le deuxième. Cette maladie cause la, chute des

insisterait pour obtenir satisfaction. « De mon côté, j'agis directement aUprès.dês Compagnies et je vais également m'adresser aux Compagnies de Navigation., Je ne sais pas l'accueil qui sera- fait à ma demande et je crains de ce côté un insuccès car les les bateaux places dont disposent sont peu nombreuses et l'afflaence des voyageurs sera teile que ces comsans nul doute, pagnies voudront, .réserver -leurs cabines aux personnes payantes ; je ferai tout ce que je pourrai, n'en doutez pas. « Veuillez croire, mon cher Président à mes sentiments tout dévoués. »

et du G-ourara viendra à point de tirer le maspour nous permettre ximum de la marche triomphale-fte la mission Foureau-Lâmy deljAtlas au Tchad. I UN DIPLOMA-ËE. {Lyon Républicain.) ."'_• I Touat

POUR LES COtS^

.« Signé : Etienne. » j j j<

Déserteur malgré lui Le deuxième

Conseil

d'Oran a eu à juger de désertion.

de guerre un curieux cas

Un soldat du 1er Etranger, en garnison à Sidi-Bel-Abbès, le nommé des pays anKauffman, originaire nexés, avait obtenu une permission de 30 jours pour voir ses parents à Paris. En arrivant, il y avait trouvé une en dépêche de sa mère, domiciliée ! territoire allemand, et qui lui donj nait rendez-vous dans un village siterre tué en française sous prétexte ensemble des affaires de d'arranger

la perte du bassin de la Molouia. en bonne posture. Nous sommes Si lé souverain de Fez s'incline c'est [ feuilles organe de la respiration et famille. pour le mieux, et, pour être franc, suite celle des raisins. par '' S'étant rendu à cette invitation ce serait pour le mieux également du MilLes corps microscopiques Nous ans agents de Cliemsïns de Fer s'il nous cherchait Kauffman se rencontra, en effet, avec querelle. diou peuvent être tués par des sels de rectifier cette ciavons grand besoin de cuivre suivant les formules sa mère et son frère qui le firent la suite de la adressée À "pétition, de occidentale jointes: frontière l'Algérie avec eux au-delà boire, l'amenèrent le mois dernier par l'Association fraLes mesures à consistent prendre victoire de de la et le remirent à la qu'au lendemain ternelle des employés^ et ouvriers de de la frontière à faire avec l'une des solutions suivana laissé si Bugeaud, Louis-Philippe chemins de fer Français à nos reprégendarmerie allemande. Les parents tes des traitements préventifs très cotracer. maladroitement sentants à la Chambre et au Sénat, de Kauffman agissaient ainsi, paraîtpieux et parfaitement soignés pour la dans le but la dud'obtenir, maladie dont il vient d'être question. pendant * * il, parce que les autorités allemanrée de l'Exposition : la Pour un lé universelle, succès, sulfatage complet des lés de année menaçaient C'est ainsi que la dernière confisquer ' gratuité d'un voyage doit être intégral tant à l'intérieur pour les agents leurs si le du dix-neuvième siècle verra s'achebiens, jeune homme, qui _ i de chemins de fer et leur famille, qu'à l'extérieur des ceps; avait été a comme ver cette conquête de l'Algérie qui porté insoumis, ne se; fera exacte- j M. Etienne, député, vient d'envoyer Le 1" Traitement servir en 1830. Nous sous le drapeau été commencée ?Pre* jfeyenajt pas y gament à l'époque ou. les pousses? é.om- : ] lalettré^sujvanté tetep^dovaui, menceront. c'est-à-dire lesquelles au- j sideht.dé.la Séctiou.de;Bél-A'bbês : -,c du pays annexé. gnerons d'enlever à tous les agitade lon«Mon cher Président,- . ront de 10 à 20 centimètres fut donc versé au o?e Kauffman teurs, à tous les révoltés un asile suis ..-«Je me dé la gueur. préoccupé déjà de Ligne allemand, et libéré au bout à considéqu'ils s'étaient habitués S" Traitement se isrn quelque temps-1 question que vous me posez et j'ai de 2 ans. inviolable. En même rer comme adressé à M. le Ministre des Travaux après la floraison en ayant soin d'âërér Malgré les siens qui l'obligeaient temps, nous ferons une étape déciautant que possible, de manière à républics une requête à l'effet d'obtenir ! des compagnies de chemins de fer dé à rester et qui prétendaient même sive, je ne dis pas dans la conquête pandre, la solution aoti-crytigamiqué sur les feuilles et sur la un: le faire interner dans du Sahara, qui peut paraître inutile, particulièrement Métropole permis gratuit pour une maison de les d*être les des raisins plus susceptibles agents AlgérienCompagnies la de cette s'il dans une détermais dans santé, persistait conquête contaminés. Dés qui viendraient en France penS mination qu'ils attribuaient les areg et à un dégrande route, à travers Pour éviter de fâcheuses surprises, dant rExpositiôG. .-;' les hammadas, qui doit faire un tout rangement cérébral, Kauffman s'emdevront exercer « Le Ministre MM. les viticulteurs m'a répondu qu'il La de repasde notre vaste empire africain. une surveillance constante sur leurs entrait immédiatement eh négociapressa, dès sa libération, à la ser la frontière du tions avec les Compagnies et qu'il et vint se déclarer vignes, mais particulièrementprise de possession du Tidikelt,

Les- voyages gratuits-

M. Gustave

Rouanet.

— Mais ce sont

des

ces juifs ; ce sont des compatriotes. Français, sur divers bancs à droite.) (Interruptions israévérité c'est La que le commerçant lite d'Algérie apporte affaires une habileté

dans

la

pratique

des

et des aptitudes que dernier a Ce l'Européen.

n'a pas toujours des frais considérables,

un des employés, de là a pas, et c'est

; le juif n'en comptoir du commerce la prospérité juif vient que eux-mêmes. les antisémites constatée par les juifs ne font pas que Mais, messieurs, s'adonles juifs en Algérie, le commerce

aux professions libérales, également de vous citer me permettre Et voulez-vous du commencement les termes singuliers M. Max de d'une déclaration Régis en 1897, au sujet de la faculté d'Alger ? On vous a de l'avare les traits représenté le juif sous sous l'aspect d'une population légendaire, M. Max Savez-vous ce qu'écrivait inférieure. bien ses Régis, le 14 juillet 1897 ! Retenez nent

paroles : « Le nombre plé, et bientôt

des étudiants juifs la classe instruite

a décuet diri-

d?Alger sera comde la population posée de juifs. » Ainsi, d'une part, on reproche à cette pomercantipurement pulation des instincts adonnée au comles, d'être exclusivement geante

merce pour

sort du commerce ; et lorsqu'elle lorsculture française, la. prendre

qu'elle entre dans les professions libérales, dans les facultés et dans- lès écoles supéon

rieures, grand

nombre

d'avoir

lui

reproche. d'étudiants

un

trop,

!

M. Régis Milano l'a dit Oui, messieurs, des termes dont il a f hadans paradoxaux bilude, mais c'est la vérité. Il y a en Algérie une

éminemment

française de la culture fran-

population qui, au milieu de la ruine çaise dans ce pays, s'y attache ; et s'il est d'un peuvrai que le degré de sociabilité de l'instruction ; ple soit en raison directe des s'il est vrai que lorsque se. populations en présence, le degré d'assimilatrouvent tion de ces populations, leur capacité de civilisation

soit en raison

des écoles, savez-vous

de

}a fréquentation' à la constatation de

et étrange on arquel phénomène singulier ! Ecoutez ces chiffres rive en Algérie que vous ne connaissez pas, j'en suis sûr. Ces chiffres m'ont surpris, moi aussi, dès; le début ; j'en ai été stupéfait ; je reconnais que vous devrez l'être aussi.: Mais enfin,c'est la vérité que j'apporte à la tribune ; ce sont des chiffres olfîcielsi Voici la situation. Il y a en, Algérie 318,000 Français qui envoient à l'école 47,570 enfants, soit une 100.les de 1495 p. Voyons proportion juifs : il y a en Algérie 50,000 juifs. Ici j'ouvre une parenthèse ;jedis 50,000 juifs et non 48,000 parce que-les -statisti-

ques que.l'on-.-a-: données à ce. sujet sont ' fausse.s etje vais vous dire pourquoi.;. M. Firmin Fàure. -=^ Il y en a exactement \ -'." ',. 70,000. ''', . M. Gustave Roùanet. — Je: parle des juifs de ceux qui jouissent, des droits de citoyens français qui leur ont été conférés parla française; et qui constiRépublique tuent pour eux la qualité indélébile qui leur français,

restera. .. Il y a donc, en Algérie, 50,000 juifs ; on n'en à porté que 48,000 parce que l'on a voulu arranger; les listes électorales ;; et c'est de par exemple, que dans la ville où la Çonstantine, population juive dépasse 6.000 personnes, on en compte à.peihe 4,000 Je ne veux pas user de l'avantage que me ainsi,

M. Gustave Rouanet. — La situation est donc la suivante : sur 100 Français, la proallant à l'école est de portion des enfants 14.95. p. 100 ; et, sur 100 juifs, la proportion est de 29 p. 100, soit le double de celle i dés'Frânçais, Et c'est contre ces familles loppe l'esprit .culturefrançaise, dé populations

contre ce foyer de français, contre ces juifs entourés hostiles et réfractaires' à la

langue française, que vous voulez la persécution ! Et au profit de profit des Espagnols, des Maltais, liens. (Applaudissements : et. à gauche.) Messieurs,

se déve-

organiser qui ? Au

à l'extrême

on est venu vous

dire

des Itagauche ici

que Espagnols a ; on vous donnerait la déloyauté des antijuifs, eux. parlé de mariages mixtes ! Oui, il y a des mêmes et je prends le chiffre de50,000, su- - mariages mixtes en Algérie ; mais où est à ^çelui qui .est, avoué dans leurs' . l'assimilation ? Est-ce l'Espagnol périeur qui s'assistatistiques. Eh bien ! sur 50,000 juifs,. .1.4, . mile au Français, ou bien est-ce le Français 490 enfants; sont inscrits dans les écoles pri; qui s'assimile à l'Espagnol ? maires, ou, maternelles c'est-àpubliques, de notre natio';" J'ai peur pour l'avenir 100, nalité eh Algérie, si on laisse se dire29p. '•; propager M, Firmin. Faure. — Voulez-vous me per- : le mouvement actuel contre une population mettre un mot ? .'..'. de mentalité française. Quoi ! il y a au M, Gustave /Rouanet.—Vraiment, vous centre de ces populations diverses, de ces abusez ; laissez-moi terminer. ,: ; ; masses exotiques, comme les appelait naM. Firmin Fau.re. — Je n'ai, encore rien ; guère M. Morinaud, une population qui -a dit i.. -: :;./.-;..au coeur l'amour de la patrie française, M. le .président;;,-T- Vous faites, votre deparce que c'est celle-ci qui a admis les juifs voir. COn fît.);> /)' ; V;' ... ::-:;., idàns.lacité, qui les a fait naître à la- vie les

s'assimilaient


JLi&

en

déserteur, merie

du

C'est

était

la

déféré

avoir

Après de

été unanime

plaiConseil a

le

Madame Baptiste à dâîn, décédée

le déserteur,

Lai-

le 4 avril

ches.

d érable. Puissent

EN On sait

ALGÉRIE

mentaire

de

nomméeen

parlea été

membres cinq étudier vue de venir

sur

il n'apparaît

pas,

supposait, que l'arrivée est dont mois

de

cette

ait

autres

le

A ce sujet, un député des choses de la Colonie, un

à

T'Agence Africaine d'une Commission serait

rale,

elle

mée

dans

ment

probablement bureaux avec

vont

les

mieux

cette

s'en

le mo-

surplus Avec

M. Lemoigne,

qui il vau-

get d'Algérie, l'envoi d'une dans

Commission

d'études

la Colonie,

de même

couche

à voter '

votera

qu'il

ce qu'on voudra pour que le plus de visiteurs nombre grand possible se rendent en Algérie.

sera aimée

notre

connu,

admirable dit-il,

et plus

on

ses

fécond.

Les de

magnifique connu

cultiver

Algériens

son

ne

font

autour

publicité Il

pays.

de tous,

des autres.

de

des

faut députés

I/es

ce centre

et

qu'une tombée dans

la du

nous

que

ressentons • d'eau

concessionnaires

mandats

comme

-poste

mal

libellés

refuse de le payer et fait parception le desfois attendre jours plusieurs tinataire. du Or, un fait généralement ignoré

»

public,

c'est que

le

destinataire

peut

munià Oran un père de famille, conseiller et sociale, et c'est cette populapolitique i l'absinthe l'amour de la de tion ayant au coeur France, cipal, représentant antijuive. ce représentant de la de détresse se tourUn doit dans les (On rit.). jour, jours qui France aux Français va,-à la tête d'un cerner de son côté, tandis que les Espagnols' vers tain nombre de jeunes gens de seize à dixles Italiens et les Maltais se tourneront à Mostaganem,- asc'est cette leur pays d'origine, sept ans, des cyclistes, populaque vous voulez persécuter, dis-je, que vous voulez expulser ; ce sont ces Français cultivés à qui vous vouiez imposer je loi d'exception, ne sais quelle que vous de je ne sais quel ostravoulez frapper

sisterà

tion,

à jamais decisme qui nous déshonorerait et devant l'humanité ! (Apvant l'Europe à l'extrême gauche.) Je ne plaudissements ce n'est pas possible, veux pas le croire,

une fête antijuive. Faure. — Cela,

M. Firmin

monsieur

de

Gomez José et Molina Maria, Krief Joseph et Lelty Zohra. MàldonadO Gracian etOrtega

par

Josefa. Para.

est le titré d'un nouveau journal de paraître à. Constantine

là-direction

de

c'est

M.

s'occupera des droits fonctionnaires.

Nos souhaits vcsUx

Jean,

ce nou-. de spécialement

vel organe îâ défense des

Emile

en retraite. d'Ecole son titré l'indique,

de

de longue

vie

et

des

intérêts et

bienvenue à notre

nos

nouveau

en Algérie

On lit dans Nous avons

inexact,

le Zeramna : annoncé en son

, temps Paris de je départ pour plusieurs f Constantinois dans qui se rendaient ' la capitale la mine de capour vendre lamine du Boù-Thale, sise dans la rédé Sétif. gion I

Cette affaire MM.

Aubry, général

seiller à Constantine,

vient maire

affaire

se terminer.. de Sétif

et

con-

et M. Stora, propriétaire ont vendu leur, part dé un mill ion..'. sommé

pour là petite ; D'autre MM. partde Constantine, vâfge, der la leur, moyennant v : 950:000fr. '.Cette

de

et PùiChàzëau de céviennent de la: somme

a été traitée.

avec

-1-im-

l'Omnium

société française 'dans;' nôtre^ 'département'quf/Vê'Rânt avec un. capital de quarante ;.miilions, de nouvelles ' pourra affaires engager à noet donner un essor de prospérité ;portante

tre

pays sortes.

si.riche

en minerais

:

de toUteè

''-.

homme de 25 ans, marié, connaissant bien la culture de. la vigne et des céréales, _demande une place comme premier garçon "de ferme. Bonnes références. S'adresser bureau du journal jjn

avec toutes ces ignominies. M.Firmin Faure. -^L'endroit était mal c'était à côté de la syha-en effet : iamé, gogue. (Bruit.) M.; Gustave Rouanet. — JJ se trouva un souteneur juif, un repris de justice;,., ' — Ce n'est pas possible ! Une voix. M.'Gustave Rouanet. — Voulez-vous,

troublez

l'Assemblée

tour.. M. Firmin

Faure.

; vous parlerez — Je relève

à votre

une

série

ces faits, ont été jud'inexactitudes..Tous à gauche.) gés par la cour d'assises. (Bruit M.le président.—- Vous êtes inscrit ; veuillez garder le silence. M. Gustave- Rouanet. — Voilà, ce qu'est cette agression. des juifs contre les Franreçais, ce qu'est l'assassinat de Paul Irr,

pas. 'Je ne suis" pas puriste à ce point de contester aux autres la nationalité fran-

Faure. — Je ne puis laisser dire ces choses-là, monsieur le président. M. le président. —- Si vous étiez à la tri-

lupté ; et, deux jours après, Irr qui avait à. son avis, pour être un assez souffert, rentrait en triomphateur: à Oran héros, Alors avaient lieu les pillages;de .la synagogue de Mostaganem, les pillages d'Oran et de

çaise; Je passe à l'affaire

min Faure.

à chaque mot, monsieur "

M. Firmin

été On a parlé d'agressions qui auraient les sur les commises par Français ; on juifs de l'affaire. Cayrol. a parlé de l'affaire Irr, me permettre voulez-vous de Messieurs,

bien !)

en deux mots ce que sont vous rappeler ? Ce sera encore un trait de ces affaires à moeurs algériennes ; je demande pardon la Chambre de faire passer de pareils faits

mieux

devant elle.

de avait

MARIAGES

qu'on avait perforé "dès biceps, que lé couteau avait Fouillé les entrailles avec vo-

bune, vous né supporteriez cette manière d'argumenter.

Il y

5 ans Fatima, ; Laidain 60ans ; Salah épouse Nouzille. ans ; Choniref MohamSafia,52 Hadj ans 33 Naeer 2 mois ; Safia, 1[2. med^

Fir-

l'a-t-on ans, de quelles ignominies vée *? C'est ce qui me reste à dire.

de Irr.

Madôur

Léonie,

un

Rouanet.

ainsi rectifier

Voici ce qu'est l'attentat

;

que les Français aient aussi ce monopole ? M. Gustave Rouanet. — On passe la jourgauche. (Très bien ! très bien ! à l'extrême à droite.) née à faire de Pantijudaïsme. de l'absinthe et qui Interruptions présentant antijuive "'' Alors une la France là-bas. M. Firmin Faure. —C'est encore inexact, dispute a lieu. Le juif a reprétend représenter ' " la M, Firmin Faure. — Il est aussi Français monsieur Piouanet. à l'éxcours a son. couteau. Le lendemain, (Exclamations 15.0 .s'étrême gauche et à gauche.) Libre Parole ',' que vous. ' annonçait que juifs; — trois ou M. le président. Vous ne pouvez pas sur M. Gustave Rouanet. — Je ne le conteste taientjetés quatre cyclistes, '

et cependant cette est, population qui d'uue mentalité vous le voyez, supérieure, d'une culture plus haute que celle des populations à malto-hispano-italiennes, l'a-t-on soumise trois régime depuis quel abreu-

DÉCÈS

vient

direéteur Comme

par la

contient une Quant un mandat-poste erreur de libellé, même par la faute du bureau le bureau de réexpéditeur,

soit

qu'il

du Télagh, de neige est

sol pas leur

de

neige

d'a.bonnementj. (Art. 15 de la police le 30 avril à ceux L'eau sera retirée ne-se seront pas acquittés. qui

in-

richesses

de

concessionnaires d'eau de la invités à sans reville sont acquitter tard le montant de leur abonnement.: d'avance le 1'" janvier exigible 1900,;

sera

Lucien

confrère.

Les

la né-

comprendra

cessité

d'exploiter et calculables,

elle

vif

;

Fonctionnaire

Capitaux,

en ce moment.:, Aux

Colonie

plus

qui sous

de notre ville, une véritable

enen certains atteignant de 25 centimètres près d'épaisassez le' ce qui expliquerait

droits, seur ; froid très

tout

«Plus

Tel

artis-

le service faisant arrêté à Tralimet, avalanche de neigé,

d'une

suite du bud-

écrit

région. Le courrier a été Télagh

novem-

rapporteur serait disposé

nous

grande quantité dans ces jo'.îrs-ci

les élec-

en

occuper

On

. NAISSANCES • Mérabet Mohammed Bradez Emile Ahmed,-Mokran.e y Eragne Adrienne. Emilie Boùalem ;ï)aoudi ; Dardant

: Fernandez Ageda, Ga; Semar Aïcha ; Lopez Miguel ; •.••' Is.abel,.Celestinay Crespo

: c'est vous

ses règlements ignorer à qui les receveurs

Xe Petit

-

bre.

assez

et la direction

Avalanche

postes que niiï

1900

'

René, talina

la lof, l'Adsans posé n'est censé,

ignorer

4 au 6 Avril

Charité

des amateurs distingués on peut prévoir d'avance -musicale. solennité

génénom-

et l'Exposition municipales l'année entière, occuper

tions

dra

d'enquête

Au spéciale. est mal choisi.

mission

a déclaré

le : exiger, les plus

être fournis pourraient voie télégraphique. . C'est à vous de l'exiger. :

été confiées à notre réputé tique ayant Professeur M. Allary avec le concours de ses nombreux élèves ôt gracieux

courant

de parlementaire que s'il s'agissait

rédacteur

sincères

vous rectificatifs

Abbès. L'organisation

0u

votre..'réciàinatioaapour se gardent:bien mal libellé prévenir que les renseignements

13 Avril, à 8 heures 1[2 lieu à l'Eglise Saint-Vinconcert de mucent un grand spirituel de de la l'oeuvre sique sacrée, au profit des dames de charité de Bel-;' société

nes. au

la dousiens, si

pourquoi adressez mandat

Le Vendredi du soir, aura

algérien-

questions

de

Concert

on le

pour à s'occu-

nos

censé des

en principe

non plus,

condoléances.

Commission,

annoncée

orochain,

juin

des

per

comme

affligés. adressons

péniblement leur Nous

doute

marqués en cette

témoignées sympathie atténuer triste circonstance, et des leur de M. Nouzille

en Algérie, les divers projets place, de la Coïonie. de réforme judiciaire Mais

nombreuses

de

Commission

qu'une

les

DE BEL-ABBÉS

MM-&m

:-.

Nul n'étant ministration

Ses obsèques ont eu lieu jeudi derd'une affiuenceconsinier, en présence

Commission Parlementaire

Us' voiestes

par

par posté des renseignements,, mais encore,.s'il il peut requérir est pressé d'argent, cette dédu télégraphe l'emploi pour de renseignements, et ce,, bien, mande sans avoir à payer les dépêentendu,

Bel-Abbés, à la suite courant, dans sa 60e année, d'une longue et cruelle maladie.

lui.

malgré

née

Nouzille,

satisfaction -'"'' rapides.

il peut; seulement dans les; délais paiement du retour dé l'aller et courts

à propriétaire d'être viennent de par la mort

M. Baptiste Nouzille. Ténira et sa famille, cruellement éprouvés

la belle

Me Bogros, à acquitter

plus Non

Nécrologie

désertion.

entendu

réclamer

LOCALE

CHRONIQUE

que Conseil

au

de

prévention

doierie

Gendar-

de Joeuf. village dans ces conditions,

Kauffman sous

à la

France,

<X&:''^^ï-AJhilt&s

Progrès

pas facilement (Très bien ! très

M. Gustave Rouanet. ^~. Ensuite, faire l'éducation de ces jeunes ne trouva conseiller municipal

pour pargens, ce rien de

que de les conduire, non pas dans le quartier juif, comme on l'a dit, mais dans un quartier spécial, qui était neutre. (On rit.) La maison où ils entrèrent était une maison prostitulion. dire ces choses,

(Exclamations.) parce qu'il faut

Je en

dois finir

Bel-Abbés, tous les actes ignominieux; qui dans les journaux n'ont pas été reproduits j'en français, mais que malheureusement, étranrougis pour mon pays, les journaux

Cayrol. M. le gouverbien embarrassé pour

neur général serait vous dire qui a tué Cayrol. : M. Firmin Faure. — Il n'y était pas. A l'extrême.gauche.— Vous non plus. : M. le président.—Je vous engage, monsieur Firmin Faure,. à noter'tous les argu-

ments qui vous viennent à la pensée (Rires en-bonne eu le de et à laisser en ce moont soin et .applaudissements) reproduire gers à ment se librement. ceux de M. gauche.) place.- (Applaudissements produire —: vous a renseibien ! très bien M. Firmin Faure. Qui ;, Rouanet. (Très !) gné '? (Exclamations à gauche et sur divers ' --" .'.'.(A SUIVRE) autres bancs,) :;--''-> Faure vous : M. le président. —Monsieur


X*ê

Bel-Abbès.

Imprimerie

du Progrès

de Bél-AWes.

^îrog-rës

«â.e» ^el-A^fc»^^^

Le Gérant,

Vupour la légalisation de la signature de M. LA VENllEygérant Slél-BÈL-ABBÈS,

le

1900.

LE MAIRE,


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