Le Progrès de Bel-Abbès du 08/09/1900

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Le Progrès de BelAbbès ["puis" de SidiBel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 1893-1962.

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N° i505

19m AwM

mettre avec plus de raison « faciliter ' les massacres ».

CHIIOISERIES On a bien raison de donner aux rébus difficiles îe nom de casse-tête chinois. Jamais imbroglioneful plus cHni s'enchevêtre compliqué que qui actuellementdans le Céleste-Empire et je commence, pour mon compte, à n'y plus rien comprendre.

jj I | Au début, la situation était assez |j claire. I! s'agissait tout simplement I; de délivrer les légations et d'arraII cherlesrésidentseuropéensaubomj barde ment et au massacre. Cela s'est j fait grâce à une audacieuseet. béroï- I de quelqnesjours qui j qnecampagne devra s'inscrire dans les fastesmili j ta ires comme un des faits d'armes j des temps con- j les plus merveilleux

Il est trop clair, en effet, que le jour où les troupes internationales abandonneront Pékin, les Chinois considéreront cette évacuation comme une reculade, comme une fuite, comme une déroute même et que les Boxers ayant le champ libre recomleurs exploits. La di.plo* mençeront matie a des -mystères et des profondeurs insondables, mais j'avouefois cela que cette la. dépasse mesure du tortueux et du • ténébreux. Oh ! je sais bien ce que l'on peut dire. II ne faut pas indisposer ces braves et dignes Chinois par la vue des uniformes européens qui risquent de leur porter aux nerfs et de

Samedi 8 Septembre 1900

tera ainsi le fanatisme et les instincts *' barbares. Ne sait-on pas que ces peuples seiviles et courbés sous le bâton n'obéissent qu'à la force, n'ont de ; respecî/que pour ceux qui les domij nent?

« Faciliter les négociations », le moins accommodants ternporains. j les rendre mot est joli, il n'y .a rien à faciliter ! dans le traité de paix que nous allons Donc, voilà les troupesinternatiomais il y a tout à imposer. Il ne faut leur proposer, — avec des gants et à Pékin, de vive nales installées des excuses sans doute. de la situation, pas que des attentats pareils à ceux force, maîtresses i qui nous onttenuspendantplusieurs tenant garnison dans lepaiais impéC'est tout à fait Je raisonnement semaines dans l'angoisse puissent l'ordre autant que rial, garantissant deLi-Hung-Chang quand il deman- jj en tous cas se, renouveler. dait que les troupes internationales possible, sauvegardant la vie et les biens des nationaux de ne commissent Il ne fautpas non plus quele goude pas l'imprudence vernement chinois échappe aux rétoutes les puissances alliées... marcher sur Ptkin. « Pre;;ez garde, aux répressions et aux disait ce vieux fourbe, vous allez parations, Or, c'est au lendemain même de les populations, il peut qu'il a encourues. responsabilités cette occupation, indisposer après ce succès arriver laissezTout doit se payer et se payer larquelque malheur, décisif, que nous recevons, par voie nous vos ré-, protéger nous-mêmes l'inexpiieablenouvelle gement, à commencer par les frais diplomatique, sidents. » de cette expédition de la Russie considérables, que, sur la proposition les chancelleries et de l'Amérique, Si on l'eût écouté, lointaine la fête de pour laquelle nous avons à M. Pichon et celles de ses seraient décidées déjà dépensé pas mal de millions. européennes collègues les néseraient plantées depuis quinze jours évacuer Pékin pour faciliter Ce n'est pas à l'heure où nos budau bout des piques des Boxers et gociations !... gets, mal équilibrés, se bouclent si Je ne pense pas que le télégraphe promenées dans tous les carrefours péniblement, qu'il convient de faire de la ville sainte, pendant que les des cadeaux aux Chinois et de laismois il aurait pu se soit trompé,

dans la mesure

AUPlLEtEIÏ L'ALGÉRIE -88-

du possible. C'est nous qui avons dénoncé les abus dont les indigènes sont victimes et les représentations indigènes qui

siègent

à côté de nous dans les conseils

généraux de l'Algérie n'ont jamais osé forde plaintes contre l'administration ; nous qui sommes obligés de nous en faire les échos •— Mais c'est l'adminisM. René Yiviani.

tin9Juin fiesDépntês Cîiaiîifeie (Séance 1899)muler c'est de M. Albin

Rozet Interpellation sur les voeux de la population musulmane de l'Algérie et. sur les mesures à prendre pour y donner satisfaction.

tration

qui

Je m'arrête

parce

]•">. Je n'ai

pas besoin d'en dire davantage. La question n'a pas été posée par moi, elle l'a été à. la grande lumière et résolue dans mon du soleil d'Afrique,

ces représentants

indigènes. M. Albin Rozet. — Il ya toujoursun point que vous ne pourrez réfuter. Le gouvernement des indigènes si je puis algériens, m'exprimer

SUITK

les nomme,

que

représentée ne l'est pas.

marche de ainsi, guingois, la population est européenne et que la population algérienne

les éléJ.e pose simplement de la question. Je ne vous demande pas de voler une loi dès ce soir pour remédier à cet état de choses ; je dis seulement ments

les j que c'est contre cet étal de choses que vous sens. Les esprits les plus prévenus, hommes même qui, ne i vous débattez. par profession,. -• Si vous voulez des car ii est in- i M. Marchai. peuvent pas faire autrement, députés/ lerdii aux élus des colons, par le collège arabes, dites-le ! • môme qui les nomme, de proposer une M. Albin Roztt. — Nullement "y j'ai comextension du suffrage ceux-là mencé indigène ; par dire que je ne voulais pas en mêmes

sont obligés, comme l'honorable. M. Marchai, de le reconnaître. M. Marchai. — Nous avons toujours pris la défense des indigènes. Nous pourvoyons à

faire.

ce besoin de représentants

— Lors de l'insurrection de 1871, il y avait des Arabes instruits. M. Albin Rozet. —Il y. a vingt ans qu'il Je'discute en" me n'y a plus d'insurrection.

dont vous parlez,

M. Charles

Rousse.

ser leurs méfaits contribuables.

! femmes et les enfants eventrés pour| riraient enfouis sous les décombres | des légations. ! Par quelle aberration veut-on s'esaux dûpliI poser encore aujourd'hui i cités et aux perfidies de la diplomatie lebénéfice -j asiafiqùeenabandonnant | des avantages conquis et en renoni çant surtout au prestige de la dé-. monstration de notre puissance ? Pékin évacué, n'en doutez pas, c'est. l'Europe vaincue, aux yeux de la population chinoise, dont on exci-

plaçant J'en

à un point de vue bien plus élevé. des interneviens a la question est extrêmement compliquée. ;'elle

ments Je me borne à la signaler au légiste distingué qu'est M. Laférrière. Il y a des textes en apparence Gontfa|ietoires que je ne-diseuterai pas devant vous.

un arrêté du gouverneur de 1874 qui prescrit qu'aucun intergénéral l'avis ne pourra avoir lieu sans nement et je cons^d'une commission disciplinaire, Il va

toutefois

tatë que depuis 1874 cette commission dis-, une seule ne s'est pas réunie ciplinaire fois. Si les indigènes avaient une représenaurait-on procédé à des internetation,

à la charge de nos

Nousen sommes à iiarderavecles dépenses du Trésor, avec les crédits de nos budgets départementaux pour venir en aide auxmisères publiques, pour accorder quelques maigres secours aux victimes des intempéries, des orages, des inondations et des grêles ;:il serait vraiment étrangede réduire encore ces faibles subsides sous le prétexte de ménager la bourse des mandarins et de « faciliter les » avec un gouvernenégociations ment de massacreurs. '

Depuis près d'un demi-siècle, nous faisons de la politique extérieure à la Don Quichotte. Que nous a-t-elle rapporté ? Des déboires, des abandons, des ingratitudes. Tâchons de ne pas jouer une fois ce rôle de dupes,

encore

COSTE-LABA.UME.

uneFroîession . Duchoix Je causais dernièrement Chef de Gare en retraite

avec un : « Moi,

Monsieur, medisait-il.jeneferaipas démon fils un emplojé de chemin de fer, » Et apres s'être arrêté un instant comme pour s'assurer qu'il avait éveillé «Oui, mon Gare. Je ne galère où il pour

mon attention, il ajouta: fils ne sera pas Chef de l'enverrai pas dans cette faut travailler beaucoup gagner peu et où, seule, là

encourue, vaut plus responsabilité que le traitement que l'on gagne. »

de Fréha désirent lundi). Or les habitants, dans leur que ce marché, soit transporté centre. Comme notre pays est très petit, un

tiers

été affecté à la coloayant de Fréha et un autre tiers au domaine forestier, il ne nous reste que ce marché pour nous nourrir. En été, tous les nisation

adultes vailler

vont

dans

les villes

afin de . gagner i mpôts, et les femmes

de quoi

y. trapayer leurs du marché les enfants,

pour

profitent ; pour y acheter de quoi nourrir car ce marché est au milieu de la tribu et à ' des villages, proximité «Si ce marché est transporté à Fréha, la commune perdra le prix de sa location trouver ni à (5,000 fr.) et elle ne pourra

moins nombreux ce^—beaucoup -— sans coh-. Fréha ni ailleurs un prix aussi élevé. Les ne le prétend, pendant qu'on ? Je rie colons de Fréha ont déjà chez eux le marché celte commission le croîs , sulter pas.: " — Et.les internée' de du jeudi ; nous né demandons Câlvi? M. Bertrand. pas mieux T nous y rendi'e de. mais il est que tous, .(Bruit.) Je me suis donne un nécessaire que les colons de ce centre res.M. Albin Rozet.-^; tent en paix avec nous et qu'ils ne chermandat spécial ; je vous assuré,, messieurs, ments,

la tribune chent plus, comme autrefois; à nous faire que je ne descendrai pas de des dresser aussitôt procès=verbaux avant d'avôir.fin.i. (Parlez !)' qu'un ' animal à un autre"abus. vers leurs échappé s'enfuit J'arrive maintenant pro' priétés, car, selon l'usage des Kabyles, Le 12 avril 1899, les indigènes dé Freha",; les : ;iane;r délits commis par les animaux le jour commune mixte d'Azàzga, m'écrivirent du ' marché doivent être pardonnes. Nous sollipassages :lettre dont voici lés principaux nous avons, par cette; lettre, « Monsieur, vous informer .que nous avons rhonneurde très longtemps ; ce mai-' un; maréhè^dèpuis; Thnin (marché; du Spulcel chêsenonimé

citons

de votre bonté: que vous interveniez auprès de M. le gouverneur général, pour que; ce marché reste dans son endroit, vous noirs ferez un grand plaisir. »


LE FBQGRÈS DE BEUgBÊS Quelques visite d'une :; là. jolie dit-elle comme

jours

après je institutrice:

h reçus « Oh

jeune famille me que vous avez-là, en caressant el mes enfants, l'aîné

a l'air

Oh ! intelligent. faites pas un. insti-

carrière, peut être heureus j quelle i s'il a un peu de philosophie. Que ss à chacun se dise,*en songeant situation

: « mon sort n'est

mais pas très enviable, tainementsurla machine

peut-être il y a cer-

15.000 francs), dont 2,000 comme traitement fixe, et 10,000 comme' frais de représentation. Il est vrai que ce sont les Chinois paieront..

qui

*. *

EH bïero

î.ct

110ns

?

Nous lisons dans les dépêches : PARIS. — On annonce que le 4e bataillon du 108° d'Infanterie, en garnison â Bergera:., est désigné pour aller à Oran remplacer les troupes parties ponr'la Chine.

que de gros rapporte Monsieur, ronde | Ëh bien, et n.fus. qui, depuis biens'anuages chargés de grèie ..allaient tuteur on i gens plus malheureux ; si vous saviez comme que moi. » : tôt du deux.ans, battre et.dét'uire tous les vignobles complètement pbnmes est malheureux dans 1 II faut, comme le dit le bon La Fonl'enseigneviprivés suite des trop les de:wiAfS&s, par côté de Saint-Emilion, quandment ! Beaucoup oi de travail, de nombreux au-dessous soi. fréquents I une trop emprunts peu taine, regarder remarquagnerons avec rapidité .. faits à-,notre garnison, quand songele Si vous avez un cher préconisé d'argent, peu ou pas d'avancement lecteur, ble, procédé fils, essayant j ra-t'-on à les deux baen batterie dressèrent I|'ÔUS envoyer et puis des histoires dernièrement, avec l'admiavec donnez-lui un état en rapport j taillons à Pied l'on dQ;Chasseurs la obusi-rs que chargés jusqu'à quatre les municipalités ou les I ses goûts, et son innistration, ses aptitudes nous avait promis de atitnmésur le temps et'.tirèrent nuage qui, gueule familles. ! Les postes, Quel métier clination : il aura ainsi plus de chanmom,i." se teint par cette décharge générale, c'est bien mieux on arrive ce d'être heureux. H aous semble cependant Dans tous les cas, plus que les dispersa. vite. » des il ne vous accusera Bel-Abbéintérêts commerçants pas, plus tard, "Siens valent bien ceux des I commerme le d'être la cause de ses mécomptes. Voyons, lendemain, dis-je Oranais.. j'çân'ts il serait bon de consulter un employé LE JEUNE COLON. Si, à;,m moment donné, on a pris à | I Mutations *™«u. -S3SBEJ des postes pour savoir ce qu'il pense SJ3aS3Trt««g5gm="aTO'™'-,™"g*^ Oran un de ses bataillons de Zouaves, Mlvl. Les. lieutenants Bérard, du 3" I i. Et je me dirigeai de sa profession. concourir avec les autres villes pour! .d'Infanterie, Raly. du 124- d'Infanterie, " vers la place où j'étais sûr de ren- ! du ,à la formation de la département Huch, j De Guiny, du 18- d'Infanterie, : colonne dans le on s'est faisant les cent expédiée sud, contrer, du 64- i pas, un j du 20- d'Infanterie, Augçr, ! empressé de le lui restituer à la preDe Marseille on mande à la Libre | commis de cette du 3d'Infantecamarade d'Infanterie, Aggery, grande ! Parole que les cinq grandes Compamière occasion, alors que Bel-Abbès du 50' d'Infanterie, rie. I Lacombe, administration assure les corqui de Marseille, en n'a de la Légnies de navigation plus revu les bataillons du 120" d'Infanterie Weynaud, , : gion respondances. raison de la hausse ries charbons, seet les escadrons de Spahis du 2- Zouaves, Scbmiit, passent au « Les postes, me dit-il, ça ne vaut raient en pourparlers lui .avait demandé pour la mêpour ja diminuqu'on 1" Etranger. ________ tion des voyages entre ia France et | me cause. rien. Les traitements " y sont passaElections ! dans la de la Il serait grand l'Algérie proportion temps cependant, bles, mais on y est trop esclave ; au Coisséïl «Se Prud'Iiottames ~ : moitié. de notre ville, pour la prospérité d'y heures conséles électeurs Le 16 septembre, ainsi, j'ai parfois sept ' Des négociations seraient entamées en haut lieu. Songer quelque peu et ouvriers, cutives à passer au bureau patrons prud'hommes, ; c'est avec l'Etat en raison des-traites exisCe n'est point un ou deux bataillons. au renouvelà sont procéder appelés abrutissant. » des départs. tants pour la diminution l'on nous a emprunté, c'est à peu que du Conseil. lement triennal me dispo* Je le quittai, de chose près nos deux magnifiques rêveur, les membres de A cette occasion, régiments sant à rentrer, complets. lorsque je rencontrai dont les pouvoirs ne d'Aucette Assemblée L'empereur François-Joseph en ce moment on a la main Puisque un de mes bons amis, professeur triche a encore onzs ans à vivre. Il sont pas expirés, ont décidé de désiMinistère de la guerre, il ouverte.au : au collège. le 24 de février mourra exactement gner au suffrage des électeurs serait peut-être opportun de rappeler — Que ande votre pro1911, dans la quatre-vingt-unième Patron : M. Avrial , lre Catégorie: pensez-vous à Paris, que quelque part, dans la née de son âge-. I sortant, lui dis-je en lui serrant la -Achille, conseiller fession, province d'Oran, il existe une coquetLe roi Léppold de Belgique rendra 2m0 Catégorie : Patrons : MM.Cham-,! te petite ville qui s'appelle main ? j son âme à Dieu dans Bel-Abbès, ans. î! ceset Bergantz, sept j père, menuisier pigneul, — Elle serait faute d'une me qui périclite garnison j sera de vive en 1907, le 5 mars. bonne, réponS suffisante. peintre, conseil tersrsortants. si l'avancement était dit-il, y plus j Ce n'est pas une plaisanterie. j 1™Catégorie : Ouvriers : MM. Knitel, j et les traiEn l;85 dans les de et lies Vendanges «Horoscopes et Meynier, Joseph j plus régulière ; ] Frédéric, bourrelier rapide » volume ! (un chez M. Bo- j en rapport avec les j vingt-quntresouverains meunier tements contre-maître Les vendanges vont bientôt battre plus chez Dentu, et qu'on peut j tella. in-18 paru leur plein dans la région. De toutes connaissances qu'on exige de nous. | consulter à la Nationale), le digne M. j : Ouvriers : Boccard,. 2mo Catégorie les vignerons parts préparent cuves et les employés des finances, Voyez j Magon de Grandselve • de la j Jean, tonnelier, sortant annonçait conseiller futailles. Le temps, d'une douceurexils sont mieux payés, ils j sorte la mort du roi Humbert ajouta-t-il, d'Italie : î Moreau François, menuisii-r. aux raisins de ceptionnelle, permet et ils ont eu moins avancent « à de ans j C'est l'âge cinquante-six : : . plus vite, Ouvriers gme dans j catégorie Gappin mûrir d'excellentes conditions et arriver à travailler ! et en l'année 1900' qu'est Axé le sort de I £mile,.;..mafé^^ que nous pour chargés -pro-v . le&cjepsi^abondamment, '"" V cette existence. —ï";-j mettent une récolte au dessus de la à la situation Jpsepfev;chi#fô;m qu'ils occupent.[ î « C'està partir du 29 mai jusqu'au, sont assez m ô j'en ne. messieurs en Tous me dis-je le j ..ces Et maintenant, ' 29 juillet que se trouve la date fatale. » ; soit estimés Tout semblerait donc pour le mieux connus et pour qu'il un employé si je consulte quittant, j Le roi Humbert a été assassiné le' ; à cette dans lé meilleur d'énumérer. des mondes, si la pénécessaire place se j 29 Juillet 1900. des finances, il va certainement ne jetait les services rendus par le plus grand j nurie d'acheteurs une note, M- dede sa profession et envier La prédiction de l'honorable plaindre à notre ville et à dans ce tableau enchannombre d'entr'eux bien sombre j Grandselve.s'est réalisée. Pourquoi Je me souvins celle des professeurs. j son arrondissement,' teur. Depuis trois ans les colons ses autres prédictions ne. se réaiise- ! le donc à avaient eu la bonne fortune de vendre alors colon Bornons-nous approuver éprouvé par qu'un raient-elles pas? et soucieux leur récolte d'avance à trait de cuve. sarts aucune restriction m'avait dit quelques mildew jours * I seulement de l'intérêt des justiciables Cette année pas un seul négociant : « Métier de cultivateur, l auparavant fait par les honoran'est venu faire d'offres aux vitïculr Les appointements mensuels que j le choix, judicieux » métier de malheur. Prudu des leurs. l'abondance touchera le'maréchal de Waldersée, -"Conseil des Effrayés par j bles membres convaincu Je rentrai donc, que les électeurs à en d'hommes et a inviter stocks en magasin, et par les appapendant la durée de sa mission de son sort et perleurs suffrages rences de la récoite en France, tous nul n'est content assez coun-chiffre Chine, présentent j reporter complètement ;e réservent et beaucoup marks sur cette liste. dans Ils seront de (soit j attendent, suadé que l'homme, n'importe ^uet. 12,000 j n'en

des

Le Journal

[CIIRONIQUE;LQ€ALfi

Echos et Nouvelles

!

Il est visible que le transfert de ce marché [ vous déver citer comme une exception. M. Albin Rozet. — Or, le train devait arrin'est demandé que pour taire gagner un ou de ver dans la localité à sept heures et demie marchands. certain nombre d'épiciers du soir ; mais comme tout train algérien Je ne me prononce pas sur le fond de la — mes collègues d'Algérie qui se respecte, question, mais toutes les personnes qui ne me démentiront pas,— il n'arrivait. en s'occupent de l'Algérie savent quels abus marchés indifait qu'à huit heures et demie, c'est-à-dire de ces transferts de naissent après l'heure fixée par te maire. Le maire gènes. â^ait donc créé par sa volonté propre un Eh bien ! on veut, sur la demande du nouveau fonctionnaire en Algérie, l'accomconseiller général de la région de Fréha, les ce transférer indigènes. pagnateur pour indigènes. (On rit.) Aucun marché, malgré une indigène ne pouvait sortir de la garé sans Si les indigènes avaient représentation prendre un Français ou un étranger pour sérieuse, ils pourraient faire entendre leurs ' . l'accompagner. / voix d'une façon plus efficace. suis intervenu Je dois dire une autre que je auprès Voici question. j de M. le gouverneur général, qui a demandé En 1892, je passais dans une commune au maire de rapporter l'arrêté, ce qui fut d'Algérie que je ne nommerai pas ; je suis fait. Cela ne se produirait pas si les îndiréveillé le matin par le tambour de la ville, et j'entends promulguer, l'ukase suivant: gènes étaient représentés. considérant les cafés J'ai choisi ainsi cinq à sis exemples, tous « Le maire, que . de en différents. maures sont des repaires voleurs, Il a trois ou y quatre ans, un Kabyle reordonne la fermeture à sept heures du soir çoit une convocation pour comparaître en hiver et à huit heures en été. » dans un procès où il avait l'ait appel devant rien à dire c'est une ; règle Jusque -là, n'ai à m'immiscer. la cour d'Alger. Le Kabyle prend le train. où je pas municipale le dernier article: « Et orA dix heures du soir il arrive à Alger et à Mais écoutez la donne en couséqueuc? à tout indigène de gare il est accosté par un agent qui lui dit : « Montre-moi ton couteau, H Ce coune pas sortir de sa maison passé huit d'un teau se trouvait avoir 1 centimètre de plus soir sans être heures du accompagné que la longueur réglementaire. ImmédiateEuropéen. » ^Interruptions.) ment on conduit notre homme en prison Cela est illégal. M. Morinaud. — C'est une anomalie que malgré ses cris et ses protestations,' 011 l'y

laisse pendant huit jours ; on ne prévient pas le parquet. Entre temps l'affaire vient est condamné devant la cour. L'individu a dé cassation défaut il ; pour par n'y pas ce diable affairés et les. pauvre kabyles, perd son procès sans possibilité d'obtenir la moindre réparation, quoiqu'on m'ait dit

mune avait un représentant spécial, on aurait fait les améliorations demandées. Je ne vous cite, pas des faits extraordinaires. Tout ce que je vous dis là me semble être pratique, élémentaire. Je ne vous dis pas que les Arabes vont, s'insurger, qu'ils demandent des choses étonnantes; non, leurs demandes sont très simples et qu'il avait raison. Je crois que les citoyens qui ont des très sensées, et je vous les expose fidèdéputés ne sont pas traités de cette façon. : lement. J'ai entendu des protestations J'ai signalé l'année dernière et je lie rapV quand je parlais des mode des représentation insufpelle que pour mémoire les abus qui fisants des indigènes. On dit souvent se sont produits pour les permis de voyagé. qu'il Nous avons voté une loi à ce sujet, niais y a une certaine inquiétude en Algérie à ce dans la pratique, dans bien des endroits, la point de vue. Si je regarde les pays à muloi n'est pas appliquée. Croyez-vous que sulmans administrés par les Européens, qui sont dans ce que j'appellerai l'orbite euros'il -y avait une loi aussi vexatoire que celle des permis de voyage concernant des ci-, péen, c'est-à-dire la Tunisie, la Bosnie, la on et fait modifiée, Bulgarie et la Russie d'Europe, je remartoyens français, qu'on le continuerait à rappliquer malgré Parleque que dans ces quatre pays il y a égalité politique entre les musulmans et les ment ? Evidemment non. Voici'maintenant une chose qui n'est, pas chréliens, immigrés ou autochtones. Que un abus, qui n'est — si la locution était certaines règles, que les moeurs aussi — -: ». modifient, légèrement cette égalité, c'est française qu'un « manque à progrès '• Il y a un an, je vous- signalais la com- ' possible mais l'égalité, au moins au point de vue politique, est complète. mune de Djurjura mixte où tant dé progrès de au vue être réalisés point pourraient postal, en consideration.de l'amélioration «A SUIVRE». constante : dé ses recettes postales; et de l'accroissement dé sa population. Ôiy : depuis un an on n'a rien fait pour cette commune.' Eh bien, je dis que, si cette com-


LE le printemps comdisent-ils, pour mencer leurs achats. C'est là un coup bien rude pour beaucoup de propriétaires qui n'ont nécessahe pour loger pas la futaille leur récolte. Nous les engageons cependant à ne Ce ne sera qu'un pas se désespérer. mauvais moment à passer et un léger surcroît de dépenses à suppôt ter. nous mais sommes persuadé qu'avant le printemps tous les vins bien faits trouveront preneurs, car, d'une part les stocks en magasin se composent en grande partie de vins piqués imet d'autre propres à la consommation la récolte en France part, pourrait bien, à la suite des derniers orages, ne pas donner ce qu'elle promettait. Courage donc ! Mais ne négligeons ni soins ni peines pour faire du vin d'une tenue assurée.

ÉTAT-CIVIL-

PROGRÈS

DE

BEL-ABBÈS dûment

DE B1L-ABBÈS

Du 5 au 7 Septembre

1900

NAISSANCES Pacbeco

TY-résa ; Weber Jean Isidore : Maldoiado Graciai! ;Torregrosa Henri ; Lofiez Maria.

G-ildeano

Lanouar José, 58 ans; 11 6 mois ; Gallan Carmen, Ghalem, Mata José 30 ans Mollar ans: Maria. ; 21 ans Lopez,

lj2 ; Moreno 67 ans,

Antonio Juda Ouasana

Quiteria,

1° Madame

PROGRAMME

demeuMEYER, cultivateur, rant aussi à Sidi-Khaled, agissant pour l'autorisation maritale et la validité de la procédure ;

1/2 à 9 H. 1/2.

DU 9 SEPTEMBRE

1900

d'Oran

Courses

d'automne de la Société d'Oran, est fixée au Diman-

La réunion

hippique che 28 octobre prochain. de &.tte journée Le programme de 500, 600, 1000, des prix comprend 1.500 et 1.200 francs. Nous en reparlerons. Succession

Marche

des petits

Soldats..

(lre audition) Le Père Gaïdar: (ouvert.). Valse Bleue (1- auditioi ).. Mireille Le bon

(fantaisie) Bourgeois

Ganne Rebcr

3° Madame

des

Sellenick (polka), LeChef de Musique, Cli. SALOMEZ.

Sidi-Khaled; •4° Monsieur

Jules PAYAN demeurant fils, propriétaire, au même lieu et ci-devant, actuellement soldat au premier

Vacaiate

enfants

demi. Le comitr a reporté à ce tirage tous les lots gagnés par les billets non encore placés et il yen avait pour 151.400 francs. Ce qui fait qu'au lieu de 500.000 fr. il y aura 651.400 fr. de lots, dont un gros lot de 250.000 fr. puis un lot de 20.000 fr. Arrêté

A l'occasion des fêtes qui auront lieu dimanche 9 au pont d'Oran, demain 10 courant, la municipalité et lundi vient de prendre l'arrêié suivant : des voitures, cavaliers La circulation est interdite les 9 et 10 et bicyclettes 9 heures du courant depuis Septembre heures du lendemain à 4 soir jusqu'au sections de rues cidans les matin : après désignées BerAvenue Kiéber, de ia maison â la route d'Oran ; gounioux Route d'Oran, depuis l'angle N.-E. cantonnière ce )a maison jusqu'au chemin de l'abattoir ; à la Mckerra allant Rue parallèle de l'angle de la maison directement (avenue Kiéber) au pont Bergounioux d'Oran. Pendant les deux journées et jusqu'à 9 heures du soir, les voitures et cavalieiS iront au pas, les bicyclettes très modérée sur auront une aliure les parcours indiqués. A l'entrée de chacun de ces parcours, de la la. commission d'organisation ses frais un fera fête pUeau placera portant j'insci iption tiès lisible « Allez au pas».

AVIS a l'honBROUSSES Le Docteur sa Clientèle qu'il neur d'informer à Sidi-Bel-Abbès retour sera de et qu'il se mettra le 14 Septembre dès le lendemain. à sa disposition i

o

*

de Zouaves en garrégiment nison à Alger. A rencontre de Monsieur. Charles dit PAYAN, Cadet,

tuberculeux

Il y a dans notre ville une foule considérable de personnes qui ont pris des billets à la loterie des enfants tune sont Les Bel-Abbésiens berculeux. généralement cependant pas bidards comme les Marseillais. Mais qui sait ? Leur tour viendra sans réclame)? On peut-être (soitdit sait que le premier tirage a eu lieu le de 10 juillet dernier. L'administration cette loterie prévient le public que le deuxième et dernier tirage aura lieu 3e 15 février 1901, dans cinq mois et

~

Isabelle

PAYAN, veuve de M. propriétaire, Emile BARDET, demeurant à

Margis Gounod

Louis Paullele, né à Cornillon (Gard) Actif : 25 fr. décédé, a Sidi-Bel-Abbès. Eoterïe

Annette

PASTOR demeurant.à Sipropriétaire, veuve du sieur Jules di-Khaled, et épouse en 2e noces PAYAN, de M, Joseph ZUGMEYER ; 2° Le dit M. Joseph ZUG-

et Yvars Josc-fa : et Ben^oussan Aîcha.

DE 8 H.

CARNOT,

aux readjudication et diligenee poursuite

quête, de :

InsigneflyV Bîranger PLACE

au

contenant

MARIAGES Verdu

dressé

rendu en l'aud'adjudication dience des criées du Tribunal Civil de : le Sidi-Bel-Abbès, deux Mai 1900, enregistré,

DÉCÈS

Pierre, veuve

en forme du Tribunal

Civil de le 26 Juin Sidi-Bel-Abbès, contenant le 1900, enregistré, fait au de la dépôt greffe copie collationnée d'un jugement greffé

demeurant

à Sidi-Bel-Abbès, en qualité pris datif des mineurs

propriétaire, de tuteur Louise PAYAN, PAAuguste YAN et Marie PAYAN, enfants issus du mariage de feu M. Jules PAYAN, quand vivait, à Sidi-Khaled avec propriétaire Annette Madame PASTOR, sus-nommée. En présence de M. Philippe

Avis aux Chasseurs sur La chasse est expressément interdite les terrains ou propriétés désignés ci-après sis dans la région de Bel-Abbës, savoir : '-'

à la ComPASTOR, employé de pagnie des Chemins defer a d^OuWsl Algerien^QBTnëùranfr

-

Sidi-Bel-AbbèSj pris en qualité de subrogé tuteur des mineurs sus-nommés : Louise PAYAN et PAYAN, Auguste Marie PAYAN..

A Aïn-Trid : propriétés BARBIER, LAMBERT CHERE AU, COLIN Charles, LEPLUS GENJ.N Marins Emile, Alfred, et MARTIN Jérémie. A l'Oued-Cerno :.propriétés MORIN, ROY BARBIER, NOUZILLE, ALBERGE, SUAUDEAU (ferme Peyroutet) P1TRON, Calixte et GOUT. Au Tessalah : propriétés NICOLAS LAMBERT Aristide, BARBIER, Emile, LOUBARESSE,GENIN Marius, et Calixte SUAUDEAU. : propriétés Emile A l'Oued-BesbèsNOUZILLE et SUAUDEAU LAMBERT, Calixte. Territoire de Bel Abbès : proMORIN CHEREAU, EMSALEM, priétés et ROY (ferme Peyroutet). A Sidi-Daho : propriétés NICOLAS Aristide, Emile LAMBERT, LEPLUS Désiré MORIN et GEN1N Marius. Aux Lauriers-Roses : propriétés ALBERGE et MARÉCHAL. : propriétés Ch. HAYN et A Prudon MEKLO. A Tenir a : propriétés NOUZILLE et j DEMARCHI. I A Tirenat : propriétés SUAUDEAU BOTELLA (ancienne Calixte, propriété Boumedien bou Aricha) et BEN NACEUR. AUX Trembles : propriétés de M. MARÉCHAL. A Zélifa : propriétés ALBERGE et MARECHAL. A Zeliat : propriétés (El G-adda) MARÉCHAL. A Baudens : propriétés DEMARCHI. : propriétés Jules A Sidi-Yacoub HABERER. : propriétés Jules A Aïn-Tellout HABERER. sur La chasse est également interdite tous les terrains à Ben Aïssa appartenant ould Rabati, Kada bou Aricha,KadaBouaza, Mohamed bel Feroud et Keitoune bent El Kadi, situés dans le territoire de Bel Abbès, del'Oued-Cerno et de Tirenat, et qui sonl loués à M. Calixte SUAUDEAU. assermentés Des gardes particuliers de dresser des procès-verbaux chargés contrevenants.

sont aux

Au profit dudit M. CAIZERGUES Alexandre ; D'UN LOT DE CULTURE, sis à Palissy, (Sidi-Khaled) le n° 20 du plan de portant d'une contenance lotissement, de 25 hectares 66 ares 80 cenoutre tiares, et ce, moyennant les charges, le prix principal de Onze mille francs, avec déclaration cureur

É'ffKldE ALFRED LISBONNE,

aviserait

dans le délai de deux mois et que faute par lui de ce faire dans ce délai l'immeuble dont s'agit serait et demeurerait et définitivement purgé libéré entre les mains du rede toutes quérant hypothèques de cette nature.

Avoué

à Sidi-Bel-Abbès, rue Delebecque, n° 8.

Notification requêté

a été faite, à la CAIZERGUES depropriétaire,

de M.

Alexandre, meurant à Sidi-Khaled, pour ' est élu à Sidilequel domicile de Me en l'étude Bel-Abbès, avoué LISBONNE, près le

Avec déclaration en outré à le Procureur de la République que tous ceux du chef M.

de première Civil de Sidi-Bel-Abbès, du ministère suivant exploit à Sidihuissier de Me LÉVY, du TROIS en daté Bel-Abbès, Tribunal instance

SEPTEMBRE A Monsieur

être pris desquels il pourrait des inscriptions d'hypothèque

i > : 1900 enregistré de le Procureur . le Tribunal près

la République Civil de Première

Instance

de Par-

en son Sidi-Bel-Abbès, quet, sis au Palais de Justice de l'expédition Sidi-Bel-Abbès,

Pro-

que ladite notification lui était ainsi faite conformément à l'article 2194 du Code Civil pour qu'il ait à prendre telles inscriptions d'hypothèque légale qu'il

' de

à Monsieur le de la République

à

.

n'étant pas connues du légale il ferait publier ladite requérant notification dans un des journaux désignés pour les annonces judiciaires du département Conformément à ravis du Conseil d'Etat du neuf Mai 1807. Loco

; Me LISBONNE, Signé : GUIRAND,



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