Le Progrès de Bel-Abbès du 22/08/1900

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Le Progrès de BelAbbès ["puis" de SidiBel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 1893-1962.

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-V 1500

LE iii n

i9me année

PROGRÈS mimiwiiii

DS

BSL-ABBÈS

est

mu .,»ii^rw,ws&>8»M8iattW8mffarre?^^

à titre privé, indigènes, propriétaires et spécialement par ceux nantis de titres délivrés en vertu des lois du 28 juillet 1873, dn 28 avril 4887 et 17 février 1897. lesquelles, ne l'oublions pas. n'ont été votées par le Parlement les que pour faciliter transactions immobilières entre euet arabes. ropéens Arrivons aux chinoiseries. "La loi du 27 avril 1887, permet aux indigènes en territoire collectif d'obtenir un titre de propriété pour vendre aux européens. Selon l'honorable Gouverneur de l'Algérie, cette faculté devrait être restreinte et ne s'appliquer que pour les acheteurs français ou naturalisés franc'est-àçais d'origine européenne, dire tous les français même ceux mais d'origine espagnole, italienne, des français naluraii-" àTexceplfon ses d'origine c'est-à-dire indigène, des arabes et notamment des indigènes naturalisés par le décret Crémieux. Deuxième chinoiserie. M. Laferrière voudrait bien par surcroit, qu'il fut décidé que l'indigène ne pourrait obtenir l'autorisation de vendre qu'après avoir justifié que les terres qui lui resteront ou les antres ressources qu'il peut avoir sont suffisantes pour assurer sa subsistance et. celle de sa famille ? Ainsi l'arabe débiteur d'un euro-

! susdit

:

i

(DENOTAE CORRESPONDANTPARTICULIER.)

—83—

cuire îlesDéputes k 9Juin1899) (Séance

« Hier

lennelle

de M. Albin Rozet Interpellation sur les voeux de la population musulmane de l'Algérie et sur les mesures à prendre pour y donner satisfaction.

Et, dans le délai de six mois, ils ont obéi ; ilsont déclaré les uns qu'ils étaient chrétiens les autres qu'ils étaient musulmans, et l'on a fait aux premiers une église et aux musulmans

une mosquée pour éviter la constid'une de ces sociélés secrètes sur mes sont lesquelles collègues d'Algérie bien plus documentés que moi. tution

Je trouve, dans un journal le égyptien, d'une moscompte rendu de l'inauguration quée à Vienne. Il y a .dans cette ville une garnison bosniaque de 2,000 musulmans ; Tempereur guration,

pour s'était fait

et je

lis

elle

une

mosquée ; à l'inau-

représenter ceci dans le

journal

asaoEces

an

et judiciaires,

légales

« VIENNE, 1e 25 j anvier 1897, à midi a eu lieu l'inauguration sod'une mosquée construite à l'usage

des musulmans

des provinces

d'Herzégovine placées depuis tutelle de l'Autriche.

de Bosnie 1878

et

sous

la'

« Le nouveau temple, construit selon toutes les règles du culte mahoraétan, est spécialement destiné aux soldats musulmans originaires de ces deux provinces qui forment

mane prit part, fut présidée par le raïs ul uléma Hadji Mahmoud Tewfik bey, le plus du culte'musulman eii Au-^ haut dignitaire de triche, venu à cet eifet Serajevo. « Les prières furent récitées en arabe. le raïs el uléma, re« Le service terminé, mercia les deux colonels présents de l'emet de la sollicitude lesavec pressement quels ils permettent aux musulmans placés leurs sentisous"leurs ordres-de cultiver ments religieux: Ceux-ci sont appréciés par leurs chefs militaires pour leur zèle dans le service et leur bonhomie dans la vie privée. » Je vous

ai fait

cette

citation

en péen ne pourrait pas se libérer cédant ses biens ou une partie de ses biens sans y être autorisé. Sorï ne créancier, même hypothécaire, considérer son pourrait hypothèque comme une garantie. En revanche créancier hypothécaire l'indigène ou non d'un français d'origine pouret n'aurait aisément l'exproprier rait pas besoin d'autorisation pour cela. Vive la France ! Troisième chinoiserie ! Il y aurait lieu de fixer un minimum de terres par familles, qui serait absolument inaliénable. Le minimum inaliénable pourrait bien causer quelque préjudice au crédit des indigènes qui, déjà, ne trouvent plus aussi facilement que des prêteurs. jadis, Le minimum de terres- que M. Laferrière propose, serait assez difficile à déterminer des ; le nombre membres d'une famille est très variable, et telle famille qui .est- nomest quelquefois bfeûbeadjourd'hui bien réduite d'une année à l'autre, le minimum inaliénable''-devrait donc varier aussi. Autre chinoiserie. Le système du minimum inaliénable étant admis,.-M; Laferrière demande ce qu'il faut entendre par le mot famille. On n'y avait pas encore malgré les' dénombrements

songé quin-

quennaux. M. Laferrière

pose carrément

question. Jusqu'à

degré

Bosnie

la moitié des deux régiments d'infanterie n- 1 et n' 4 en garnison à Vienne. La cérétoute la troupe musulmonie, à laquelle

SUITE

les

quel

la

membre

un

S. M. l'empereur d'Autriche ne passe pas pour un libre-penseur ; or vous voyez qu'il à sa domination en a jugé bon et utile

Lettre de Vienne

j

a construit

publier

Il y aurait donc des mesures à prendre et, dans l'intérêt- de la colonisation, il serait utile de maintenir dans de justes limites, les aliénations de terres consenties par les

Le mot est peut-être un peu dur, mais je n'en trouve pas.d'antre pour qualifier les mesures proposées par un administrateur dont, l'arabophilisme laisse bien loin derrière lui les anciennes élucubrations de la société protectrice dps indigènes, succéda il a nombre d'années qui y aux amateurs du fameux royaume arabe. Son but, il ne le dissimule point : c'est de remédier aux inconvénients résultant en l'état de la législation sur la propriété foncière en Algérie, des facilités qu'elle offre aux indigènes pour aliéner leurs terres ; car, M. Laferrièrebien que les européens ne possèdent queL500.000 hectares dont une faible partie provient d'acfaites directement aux quisitions M. Laferrière indigènes ; dis-je, est con vain eu que les ind igènes ont:une envie démesurée de se dépouiller à vil prix des terres qu'ils possèdent. A cet effet, il est d'avis d'apporter modifications dans d'importantes l'intérêt de la colonisation, à la loi du d8 février 1897, réglementée ses dans détails par l'instruction du Gouvernement du 20 mars général 1898. Il s'agirait pour lui deresteindre en tant que de besoin, les facilités qu'elle accorde aux indigènes de leurs terres et pour l'aliénation la faculté d'en disposer dans les conditions de droit commun.

on

à

22 Août 1900

Français,

etc.

Arabe,

i"-M..AM-I™.-IW^,J.»JJJ^^I.^-V.-1WI.^

DE M. LAFERRIÈRE

_______

autorisé

Mercredi

parce

que

de faire construire

Vienne. M. Marchai. l'administration mosquées. '. ..M." Albin traire.

cette mosquée

— Cela se fait y

construit

en Algérie beaucoup

à ; de

Rozet. — Je ne dis pas de con-

à la séance du conseil suM. Bouvragnet, périeur du 24 mars 1898, a lu un rapport que voici : « Les mosquées dés trois départements, entretenues aux frais de l'Etat, actuellement sont au nombre de 188. La plupart, surfout de vieux édifices celles" des villes, sont qui travaux de réfection, exigent d'importants alors que le crédit annuel de 100,000 fr. inscrit au budget suffisait à; peine aux travaux d'entretien ordinaires. Il est, d'autre part, nécessaire

satisfaction

à quelnombreuses de-

de donner ques-unes au moins des mandes présentées par lés indigènes, eh vue de la construction de nouvelles mosquées, étant donné que beaucoup de mosquées ont

de la famille serait considéré comme en faisant partie. Je regrette qu'il n'ait pas cru devoir formuler son opinion à cet égard. Mais assez de chinoiseries pour comme l'on dit et aujourd'hui, queldans les la suite quefois journaux, à un prochain numéro. (Tell)

AUMERAT.

Le Petit Parisien publie un article sur F «Histoire du Village Algérien de Tasfiin », par M. Renaud. Après avoir analysé ce volume, notre confrère conclut ainsi : Est-il nécessaire de tirer une conclusion de ce récit ? On a vu ce que peuvent l'esprit de solidarité et de persévérence laborieuse dans l'oeuvre de colonisation. Puisse, comme le dit M. Renaud, l'enseignement qui se de l'Histoire du de Village dégage Tassin inspirer en France de nouveaux avec départementaux groupements l'idée de.suïvr,e la voie tracée par les braves gens de Tassin, d'aller fonder de nouveaux centres agricoles sur la belle terre d'Algérie, si proche de la Mère-Patrie. * Le Conseil d'administration de la de donner Compagnie P.-L.-M.vient aux chefs des principales gares de son réseau dé désigner un certain nombre d'employés auxquels les médecins de la Compagnie devront apprendre le service de pansement, pour qu'ils puissent, en cas d'accidents survenus aux voyageurs ou aux employés, faire à la victime, un pansement sommaire, en attendant l'arrivée du médecin,.

l'honorable ne me trompe, appuyait et disait : ;

M.

Lépine,

« Des mosquées sont demandées dans cinq Communes du département d'Alger, savoir : et l'Aima, Berrouaghia. Boghari Aumalé, Ces coûteraient Port-Gueydon. mosquées chacune 30,000 fr. environ. « Dans lé département d'Oran, Il s'agit de réfections dont l'importance varie de 5,000 à 20,000 fr., et la situation est à peu près la dé Constanmême dans le département tirie. le devis, les dépenses prévues «D'après ou réfections s'élèpour Ces constructions vent à 408,000 fr, ; il serait imposible de les était maintenu exécuter si le crédit annuel au chiffre

dé 100,000 fr. C'est donc pour besoins faire face à des urgents qu'on a prévu pour deux du trois ans une augmentation de 50,000 fr. Le conseil doit voter cette augmentation » temporaire. total de 150,000 fr. fut voté à Le crédit cette séance du conseil supérieur. Sur divers, bancs. — Reposez-vous ! M. Albin Rozet. — Si la Chambre le perle président j'accepterai m et, monsieur voune suspension de séance. le président. -^ Il n'y a pas d'opposi-

été autrefois; occupées par l'Etat et affectées "a d'autres usages. Il conviendrait, pour ces de porter trois diverses raisons, pendant

lontiers

le créans aumoins delî00,000 àl50,000fr. dit du chapitres, s Et le gouverneur général, — c'était, si je

La séance est suspendue. (Là séance suspendue à quatre Vingt minutes est reprise à quatre

M. tion?...

heures heures


LE PROGRÈS 0! très

une ."innovation certes, à à rendre, et de nature servide précieux moments,

Voilà, heureuse certains ces. Les du

infirmiers

P.-L.-M.

que

la

propose être outre,

en pourront, cas échéant, sur

le ca-

dirigés, d'une

le théâtre des donner

pnur tastrophe, blessés sous les ordres

dont

Compagnie de former

se

aux

soins

des

Comices agricoles algériens Les au voeu donc volontiers s'associeront émis à ce sujet d'être par le qui vient et de Comice Môstâgânem agricole

médecins.

voici

le texte

:

tous en douane, ?oit arrêté, «Qu'il dont les produits d'origine étrangère de la macérésulterait la provenance autres ration rie produits que les raiau Gouversins frais,' de demander" nement

n;ûtés d'un

les

que

soient

le numéréside le

à Paris

des lettres envoyées ro de l'arrondissement

destinataire. à habitude une nouvelle mieux la d'autant On prendra prendre. d'une réforme en somme, qu'il s'agit, Mais il faut à tons. qui doit profiter les s'en préoccuper. 11 convient que C'est

de Paris, et les industriels négociants bonne et si intéressés à une sont qui du courrier, distribution prompte de faire l'initiative graver prennent sur

leurs

factures,

enveloppes, arrondissement

à

papiers numéro

le

etc.

lettres, de leur

des l'administration coté, livre de un petit publier postes vient i'énuméradans lequel elle a donné les rues de Paris. A côié tion de tontes De

du

son

nom

de

la

rue

est

numéro

voie Lorsqu'une deux arrondisse-

de

limitrophe le livret

le

figure

de l'arrondissement.

qui appartiennent ment et les numéros

qui appartiennent

sont

précédentes, et pesetas

les mêmes c'est-à-dire comme

que les années 1.412 de 5.000 les d'habitude

lots de et d'antr-es. le des centaireste pour gros lots. donnera à l'Etat Cette modification de cette une grande augmentation remboursements 5,000 pesetas nes des. trois

obtient un année qui chaque Succès d'autant succès. grand plus aula ]. terle est certain plus que dans les pays jourd'hui supprimée un colonie? qui furent espagnoles,.-ou achèchiffre comidérable d'amateurs et que en Espagne tera directement rente,

de retour de Paris,

américains,

étrangers

Universelle en. Kspa-^ eh^zeux passant tentamoment où les billets

gne, au teurs seront

*

enquête

.--"*

autres

l'exposition rentreront

à l'autre.

consu». :

agents

de la loterie -de Noël, qui Le tirage comn'est iieu le 22 décembre, aura posée cette année que dé 35.000 billets est leur mais au lieu de 52.000, prix de chacun au lieu de 1.000 pesetas comme 500, divisés prpcédemmfnt •de 100 pesetas-Fun. par dixième, Les principaux lote sont de 5.000,000 ; les de pesetas, 3.000,000 et 2,000.000

les

1er. numéros indique à un arrondisse-

ments,

accompagnés visé par nos d'origiue laires après rigoureuse .**

et de hâter le triage M. Mongeot, des lettres. a des postes, d'Etat sous-secrétaire — ce au public décidé de demander à à Berd'ailleurs se fait Londres, qui sur les adresses lin, etc. — de mettre On sait.qu'afin la distribution

étrangers certificat

à la vente.

M. le docteur Delorrne, par au à la suite d'expériences pratiquées le permangade Châlons, que camp désinfectant nate de potasse est un dé l'eau des puits. chimique pratique de son La facilité, la rapidfté emploi derevient; et son prix peu 'élevé (i fr. en recommande par .puits), de aux colons de bon nombre de toute eau d'alidépourvus

l'usage centres mentation

La tante

que celle * * *

autre

si impur-. algérienne. production à juste titre nos viticulteurs de la concurrence surtout

pour

étrangère ; celles de cette provenance, faen on le sait, sont grande partie, avec des oduits tout autres briquées pi que le raisin, bes. raisins formellement

tels que figues, g.arouest dont secs, l'emploi en France. interdit

lé 22 mars avec l'idée bien arrêtée d'embarquer le 25 du dit, il reçut quelques avant le moment fixé pour lé départ, de surseoir à tout mouvement.

heures l'ordre

Ce fût une décëptidn générale qui ne .laissait entrevoir à nos troupiers que la proba^ hilité d'être dirigés. surTgli,; voyagé qui n'était pas du tout en harmonie avec les projets élaborés jusque-là, par. la majeure partiedes postulants pour lagrande île africaine. Enfin, le i^ avril (jour choisi sans doute), le commandement résolut de' leur faire continuer et le 20 dû même mois/ après belle que rapide, ils arriùnetraversée'aussi Le même jour vaient devant Diégo-Suaréz; leur, routé,

à Anfsirane deux- compagnies débarquaient et pi;enaient possession des casernements mis Le lendemain à leur disposition. 21, les à leur deux autres" compagnies débarquaient tour et rejoignaient leurs postes respectifs, la 15° compagnie, au Sakaramy, poste interet là Montagne s'installer la i-6« compagnie d'Ambre, à- Grânjéa, postésitué au nord de l'île et qui commande la -passe.de la baie dé DiégoSuarez. Le 25 mai, cette dernière compamédiaire

entre

Antsirane

allait

Antsirane gnie quittait ce poste pour rallier où elle restait jusqu'au . 12ijùin. Nous croyons devoir entretenir un instant nos' lecteurs du genre d'exercice que faisait nos légionnaires à leur arrivée dans la Colofe nie et- cela dans Je but de les acclimater sans doute. Aussitôt

durent arrivés, lès légionnaires : 1° en conducteurs de platesse transformer formes Decauvillè. système de locomotion en

de ces voitures

prend le titre suiEtranger de la Légion de marche vant :Régiment ' du l" Régiment deEtrangère ;: lé bataillon et celui du 2' Etranger, vient l--bataillon

Le

19 Juin

19.00.

MONSIEUR LE DIRECTEUR, J -, • Malgré les entraves apportées par nos le, bataillon du leï. Etranger conservateurs, le tfiDis.;dft.;4éG.émb'jé%,'^d.çfrHèJf; depuis qui, ;ést enfin devait être dirigesurDiégô^Suarëf Cela ne tut pas sans à destination. peine, car si jamais un bataillon fût berné, ce fut bien- celui-là. Si encore^ les motifs les retards apportés invoqués pour justifier arrivé

l'envoi

immédiat

du

dit

bataillon

pu constater à leur arrivée à Diégo-Suarez et dans les postes limitrophes, que les charmants baraquements que l'on avait (soin'étaient en partie qu'édisant) préparés, du "Génie bauchés dans les bureaux ". constructeur riaux destinées

Les

du !•

bataillon

; du 1" bataillon sont nuLes Compagnies à 4 et celles du .2- bataillon, mérotées de 1 2- bataillon.

dé 5 à 8 inclus Dé ce'fait nous avons :. \-

Bourdieu ; 2capitaine 3comGuilleminot ; capitaine

compagnie,

compagnie, pagnie, capitaine capitaine Canton. Depuis-le

Sotmon

13 juin

une

; 4- compagnie, de

fraction

incessamAvec les troupes qui doivent ment se rendre à Diégo-Suarez, cela portera à 5000 hommes les effectifs dé la garnison de troupe. Il faut cela pour donner un peu à Diego, car c'est réellement d'importance une toute petite ville qui. ne compte guère et des fonctionnaires. que des militaires Peut-être

que le nombre assez important réunies d'ici qui s'y trouveront

troupes mois amènera totalement,

le commerce

qui

tonnés

de

à la construction

matéde ces

manque

BEL-ABBÈS-MASCARA REPERTOIRE

DE

LA

SAISON

dé peine de foutes catégories^ 4" en charpêhCharles VI, La Favorite, Opéras.,^Les Uers, ;è;hâponi, m Ç#men, Martha. MousFaust, SK'w-V" dela ^iùateurçj; secrétaire Le Pré" auXT Rëine. ;qMtài;res;; travail h > 1 -Lë; eomfflea.çaif a% lli du; b>SH : Clercs, "':Le-s Contes Le d'Hoffmann, tiaét sétèrminait vers #h. 1(2 où 10' heufie Longiumeau,. Postillon, Les DraLe Chalet. res, le soir de 2 h;. l.[2 à 5 : h, 1^2 ou 6 gons de-yïflar-s. Galathée, heures. Boû nombre d'hommes asétaient Maître Les Noces de JeanPathelin, à travailler Teaù dans. nette, Mireille. sujettis jusqu'aux — Le Soleil aisselles pendant toute la dùréev du travail.. de Minuit, Opérettes. les cons-, seulement.que dans la période active ; la Légibn fournissait en moyenne 300 travailleurs par jour pendant le premier mois qui suivit notre arrivée. Aussi,, il y a auC'est à cemoment tractions entrèrent

à Antsirane:

environ 1,2 cases, jourd'hui 70 hommes pouvant loger chacune, qui sont complètement à cela ajoutez terminées, tout le matériel nécessaire au montage de cases qui

36

doivent

être

construites

au

Madame Le,-; Capitole, l'Archiduc, La fille du Tambour Les28 Major, jours rde Clairette,, Miss Helyett, La foledad, Barbe Bleue. Comédies.— Etrangère, Le Luthier

Le Parl.un, Lés-'Misérables,

La

Légion

Gringoire, Jeunesse des de-Crémone, . La Dame de chez Mousquetaires, Pour la Couronne, Sevéro Maxim'.s, Tûrelli.::

nier,

M. Albin Rozet. — Messieurs, je vous parlais tout à l'heure des biens habbous.

des oculistes les plus éminents il a là dés opérations d'Europe,-et pratiqué avec Taylorisation frandu gouvernement,

aux hôpitaux où se font de grandes tions,' Il en résulte des. inconvénients,

que nous devons aux musulchose de plus que ce que mans quelque nous avons fait jusqu'à présent ; ils le comLe compte prennent et nous le demandent.

collègues d'Algérie.. Il y a aussi up point particulièrement pénible à aborder dans ce débat ; c'est le suivant. Si je suis bien renseigné, quand, dans

çais. Il m'est revenu par des indigènes qu'on avait été extrêmement louché' du procédé.

autres

Il est certain

rendu

des

et

où il n'existe pas de une petite commune bureau de bienfaisance, un musulman vient à décéder,-il n'y a pas de ressources .suffi-

établis

bien" que lé sant es'pour le-taire enterrer, domaine recueille lés successions vacantes. 11est arrivé qu'on a laissé des corps . sans

kabyle délégations indigène sous ce rappoit d'intéressantes

contient

propositions. Très satisfaits

des

hôpitaux par dans le M. Cambon aux Béni Menguellet, à El-A.rish dans l'Aurès, à Biskra, Djurdjura, à Ghardaïa, ainsi qu'à FJ-Abiod-Sidi-Cheick, dans une de les membres des délégations, leurs

dernières

création, asile où

ont

réunions,

de M.

l'insuffisance

son discours.

réclamé

dans chaque départtrnent, seraient admis les vieillards

la d'un des

pendant que l'on échangeait des avec la préfecture ou avec la télégrammes Ces faits sont d'autant glus sous-préfecture. un pays civilisé que la dans regrettables somme dont il s'agit est peu importante. M. Môrinaud. —Il y a des services comsépulture

le frère

d'Autriche, en Bavière, c'est

dé feu l'impératrice Elisabeth le prince Cha.rles^Théodore, duc est allé passer l'hiver à Biskra •

Uii

Je sais bien qu'on n'avait la pas attendu venue, de ce prince étranger pôu r faire des tournées médicales et charger des médecins de soigner les maladies d'yeux dans certains cas ; mais j'ai pense, que.;, cet té initiative d'un prince étranger,devait être rappelée etapprouvée, Il est incontestable

que, sous çô rapport, il. reste encore beaucoup à fàireen Algérie. ' M. Cambon; avait.en l'idée, continuée par ses .successeurs,, de Jàirë- effectuer des tour. fiées, par des; femmes docteurs où dés saTges:-

n'ont

pour cela. M. Albin Rozet. — Je disais aussi qu'il y avait lieu de multipliez- les médecins. 'Vous ne sauriez croire .quelle influence ont lès

-.savez ; combien;, lès femmes femméS-Voùs sont : mal;: soignées^; indigènes musulmanes par suite; dé; l'extrême frayeur que; leur; .bien dans aussi; les; inspire l'Européen y. tribus que dans lès villes...- On les; abordé; très difficilênient.., ;

aussi

.Sans rappe-^ médecins sur les musulmans. 1er 1rop longuement les grands souvenirs arabes des écoles d'aulrefôis des médecins

Lé;gouvefnlnTent.générals.és.t préoccupé de cette ;sit uatim e ta. chargé une femim é' ;distinguéey doctçur «n médecine, M« Chel-

de Bagdad et de Gordoue, on peut affirmer a pour le médecin uii que le musulman

dés tournées dans;-; l'Aurès et Jlerjdéfaire d'inëtâller un:-.-.certain;,hombre;;;dé' sagesfemmes datisle pays. Elle devait:les ins-

deux sexes, l'institution de tournées et des territoires indimédicales dans les visites en vue de donner des soins et des gènes maladies médicaments sur place si les et de pas le caractère épidémique les en évacuant les maépidémies prévenir lades sur les hôpitaux. Ils ont demandé la création

sance musulmans

de dans

indigènes importantes. A ce propos, j'attirerai

bureaux les

de

bienfai

agglomérations

spécialement

l'at-

munaux

respect tout particulier.

de un

à cette ville.

le gouverneur général sur réelle des ressources de cerde bienfaisance musultains gros bureaux mans, notamment a Alger, où j'ai reçu de tristes confidences à ce sujet, et à Gonstannos tine, comme lé signalaient l'autre jour tention

quarante.) M. le président. — La séance est reprise. La parole est à M. Rozet pour continuer

la 4-

compagnie occupe.le posté de Mahatsinjoaau fivo, une autre fraction est actuellement est encore à Sakaramy. et une 3\ fraction Antsirane. On compte que vers la fin du au camp de la montamois.ellesserendront où M. le Lieutenant-Colonel gne d'ambre Cussac est installé depuis bientôt 15 jours.

se "fait à l'aide de

inserres-fréins, auxiliaires mulets) au bon fonctionnement .dés dispensables voitures ci-dessus précitées • 3' eii hohimes

étaient reconnus fondés, il n'y aurait qu'à louer l'Autorité de ses prévenances, mais il ont n'en est rien, car nos braves militaires

la

ces constatations aînères,. avait précédé: un contremoins fâcheux, le.fameux séjour non temps au . Camp.du Ravin Blanc à Oran, où arrivé ipar

cela vous camp de la montagne d'ambre, donnera une. idée du travail exécuté en matêtes. jeure partie par nos mauvaises (arrivé le Le 2' Etranger venant d'arriver 5 juin par le « Britania » ) va également à ce genre d'exercice et soulaprendre.part du 1" qui ne gera un peu ses camarades .. .démandent qu'à être aidés. de Par suite de la nouvelle organisation le. en un seul Régiment, ces 2 bataillons,

; 2/;eïi

dans

desmUtelles,

question

préoccupe en raison

des puits.

Madagascar. -.'"";'._;.--. ; Aux désilhtsions produites

mouvement

Sciences

environ

"cases étaient en partie sur les quais, voir même non débarquées.: Voilà où en étaient les travaux lors dé l'arrivée <ÏÙ bataillon à

le transport des usage à Madagascarpour matériaux dans les différents chantiers où l'on construit.des baraquements, (la mise eh

très intéressante, d'une des faite à l'Académie

Il résulte, communication

BIL-âBBM

Ainsi,

l'hiver

der-

taller

dans les tribus, mais pour des raisons que je ne connais pas exactement, on a cru devoir les retirer des tribus et les annexer opéra-

entre celui ; de. pratiquer : des accouchements dans le voisinage d'hôpitaux malheureusement plus ou moins infectés malgré toutes les précautions les. prophylactiques; femmes musulmanes ont une éprouvé de ces grande. répugnance, à approcher établissements pourtant si charitables et si bien; tenus.

L'oeuvre

paraît donc en retard le zèle, de M™> Chellier màlg-ré:.tout qui dans son rapport si intéressant au gouverneur général, en 1896, s'exprimait ainsi : «J'ësiinae même que le rôle de la femme médecin dans le foyer indigène ne saurait

être

seulement humanitaire ; doit être fatalement moralisateur tique.: ; ;: K En pénéirant-dans faisant l'amie:, et la

mais et

qu'il patrio-

le gynécée, en confidente de

se

la arabe, la doctoresse ne tardera pas à: acquérir sur l'esprit de chacun une influence de haut au plus capable servir, câuse-de ;degrê?;lâ l'assimilation, partant de la civilisation. » M. Marcbat. — Les Anglais ont beaucoup de médecins femmes. M. Albhi Rozet.—-; J'allais; en parler. femme


LE PROGRÈS Di

£el-.4kbésïeits Sont partis pour niers courriers:

en

du train, ']' ..A l'arrivée les autorités civiles et ] tour à tour I ont .souhaité aux capitaines Bouillot | et à leurs hommes, -j

Voyage par les der-

France

Neuf

se trouvaient militaires

qui, la bienvenue

et Thomassin

Le Commandant du Cousin, major 1er rendu à s'était Etranger également J et Mme imprimeur ; M, ; la Gare avec le drapeau et les effectifs j M. Pérol, des faillites ; M. Ves-.; -{ du régiment syndic en ce moment à BelI Abbès conducteur des Ponts et Chaosque, 1 ainsi les escadrons du que sées : Mme et Mlle Audan. j 2* Spahis. Une bonne de la population partie | Iii se trouvait Myméssée sur les trottoirs alignée Nous apprenons avec plaisir le pro- i! bordant les rues Prudon et de TlernFamille

IS'ouziile

:

M.

de Mlle mariage fille du sympathique du 1er Etranger Hcerter,

FélicieHcerter, commandant av-c M. Yung-

de divers départ pétitionnaires viennent ne] la Métropole dés d'être avisés concessions qUe ce centre. leur étaient accordésdans

J] cen, pour J! passage.

saluer

les braves

soldats

au

PUBLICATIONS ; ; Ruiz Bernardoavec Ferez Josefa. Prieto Faustino avec Roblès Maria.

tsments

ménagerie

j

Lnvenue, Wolters

i

•chain

BEWBBÈS

C'est

Emmanuel

ce soir

et que le célèbre Emmanuel dompteur

symdonpathique nera sa dernière représentation. La soirée de clôture sera des plus en même intéressantes, temps que très palpitante, car la direction uous fait savoir amaque deux courageux MM.

teurs,

avec

Galîndo

avec Barthe Rêbetez Charles Êscourrou avec François Julia.

Rosette.

Martinez Maria:

Hermitte

Francisco

Albert

avec

Donnât

Cazalet Marie.

. MARIAGES Pâdilla Fïrna

José avec Jacob

avec

Lopez Lasry

Angela. Cété.

D...

et A,.., se "font fort la cage, divers exerdé la terrible compagnie dans

d'exécuter', en cices,

tour nous A.notre leur .souhaitons lionne Arba. j \ une cordiale bienvenue. Le spectacle offert est trop granj \ diose nos en pour que concitoyens | j:j IVéeroIogie laissent j échapper l'occasion, is'os meilleurs voeux de bonheur et 1 Lundi dernier ont en lieu, en pré- I A-vis donc aux amatiurs. | ? de. prospérité aux jeunes futurs époux. ' ; sence de nombreux amis et çonnaîsI---: :_ : 1 les obsèques de M. Hippolyte |! sauces, IVaissastce ville décédé dansnotre j Montbertrand, receveur des ; Mme et M. Lebsau, dans sa 63e à la suite d'une Du 8 au 17 Août 1900 année, ] viennent les heureux I d'être Domaines, I courte maladie. " d'un beau et gros garçon. parents j NAISSANCES La défunt habitait Bel-Abbès . depuis à M. et |] Nos sincères compliments années. D'un comRoblès Francisco Antonio j de nombreuses ; Nieto ; Mme et nos meilleurs sou- I Lebeau. et d'une irréi{ râerce agréable ; Gonzales Hadida probité Messaouda Joseph ; ; haîts au bébé. j prochable. il s'était attiré les meilleuBen Hafsa ; Goffiez Belabbas Albert; rt-s sympathies. Fernandéz Francisco RaRentrée ; Cerdan | Nous Mme Veuve MontberAsnar pilons Antoinette Jamain Mar; chef de |\ phaël ; M. Salomez, le sympathique M. et Mme Montbertrand trand, fils, celle. ; Elkerarfi Menouer. vient de du 1er Etranger, | musique j cie bien vouloir de agréer l'expression Martinez Albert François rentrera ; Eendouci api es avoir passé {I Bel-Abbès, nos sincères condoléances. Ehira Julien Jean ; Fàrueh ; Colombon en France un congé de convalescence, |j . . Elias Carmélo la meilleure ; Crémadez ; Nous lui souhaitons Djohar Ij i Boumendil Esther Gomez Maria Adjudication ; bienvenue. j M. Ch. Bayn, dansnotre négociant Francîsca Lucien ; UIttwiller : Gutletle deuil Carnet de la Ij vjlle. a été déclaré adjudicataire ben Louise Marie Luisa Ma; Molina Che- ij fourniture de blé Les- familles Andr 6, Démins, de 2 000 quintaux ria ; Gimeuez Angèle ; Dz-i-ri Mohams dura vienet Genora, livrer à la Sous-Intendance de viliard, Lebourgeois med. [ de nent d'être cruellement par |j Bel-Abbès. et M. Djian. de celle éprouvées DÉCÈS. de Mme Veuve i effectuer même la mort Auguste André, au j 3.200 quintaux'à Ramos 67 ans ; Verâ MaManuelle, à j service. à Bel-Abbès, 1s 20 Août, décédée j veuve Desessa 86 ans Feri ria, Juan, ; l'âge de 57 ans. { lies res Rahma; 3 mois L[2 ; Santiago FranIPasièqHes Veuve André Les obsèques de Mme \i la saison des 14 ans ben El C'est maintenant cisco, ; Ahderrahmane pasà 9 heures, au !i ont eu lieu ce matin, ans Briski d'énormes 56 ans; On en remarque Hadi, 50 ; Georges, considérable. tèques. milieu d'uneaffiuence mois marchés Guenoun 7 dans nos David, l[2;CoIomera — Mme Veuve Bernard, provenant princiM. et Mme de la plaine de l'Habra. Blanche, José, 49 ans ; Thibout épouse viennent palement enfant?, et leurs Camozzi 34 ans Mohamed ben de vieux cette cuRegard Henri, ; Arrosée rhum, de perd'avoir la douleur également est saAzzouz.Sans. curbitacée particulièrement et allié. M. Servagean. dre leur frère Mamoun 79 ans ; Luset d'une ressource voureuse Hadj Kadâ* à précieuse décédé cette semaine, Oued-Imbert, j car-ellecalme lachep-Alfr-èdv-52-aEs; chaleurs;; ; Cazôfla--T Manuel,-; à l'âge de 70 ans: j par-ces 28 ans Antohià, 6 ans- %j%-,~: sans les mêmes ; Torregrosa. proposséder si douloureusement Aux families j soif, ans bien de son 65 Ouafi Inconnu, j gênantes Mohamed, adressons priétés parfois nous l'exprèséprouvées, j le melon. 20 ans ; Agullo José, 6 ans 1/2 ; BeUacousin-germain condoléances. nos attristées i sion de ! mon Yacob, 52 ans ; Martinez LuCia, Colonisation 43 ans ; «le troupes 7 mois 1£2 ; Meyér Vamelin, Arrivée f offiun de nos plus biuth, distingués de Ligne, détaché ciev-s de l'Infanteile à l'Ecole de Guerre. supérieure

j

t

le annoncé, arrivé est du 1er l" bataillon Etranger, j à 2 heure 1/2 de î'après-midi, hier, j de Tunisie. \ provenant dans était disséminé Ce bataillon jj de Kairouan de Bizerte, 3es garnisons | et du Kef. Mais, par suite de forts pré- j t d'hommes qui ont été faits lèveme-nts il S du Tonkin. la relève former pour rétrès ses effectifs a actuellement j Comme

duits

nous

(250 bommes

l'avions

environ).

Un

récent

arrêté

du

Gouverneur

du a décidé lé complément de Deligny. dans la Comse trouve Ce centrela à 5 kilomune mixte de Mekerra, et à 15 de la gare de Prudon mètres

générai centre

de Sidi-Bel-Abbès. . kilomètres Le nouvel agrandissement porte sur formant 15 concessions 692 hectares, à 39 hectares et 2 lots de ferme de 36 de 50 hectares.

2 mois 1|2 ; Messaouda Halloueh Cliikh ans; 17 Benzehin Behdehiba,35 moisir ; ans; Lehmann Fernand. 1 an ; Hamadou6 mois che Yettou, ; Bendjou Simi Abad bent

Heléna, Ali, 70

Juliette, 18 ans mois

1(2 Emsaîem

Bendani 29jours; Fernandéz. A-na ;

Beltouma,

16 Josefa, 18 ans ; ; Saradj Halima, 54 ans ; Ourrad MoEsther, 7 mois ; Martin Juan Va-

hammed, 18 mois. lentin,

j

hommes d'Egent beaucoup cette association et la dotent plus" habiles Lé maharadja de kachemir aeussent tat et les plus philanthropes largement. de secours à donné les Indiens nobles de car il 50,000 roupies ; s'agissait porter | hésité, L'« Association de femmes. 30,000 roupies. cent millions Nagpur j affiliées conservent l'indél'assistance médiLes so.ciétés fournir I nationale pour de leur de l'Inde » a été fondée cale aux femmes pendance administrative budget j des reine fut mais fournissent la statistiques et impératrice spécial, j en 1885. Sa Majesté recevoir et lieutenantset assis, renseignements peuvent mérite. présidente ; les gouverneurs projet avec le soin qu'il ^ J tance du comité central. les furent vice-présidents-;gouverneurs je me permettrai Maintenant/messieurs, médicale et à vie et les L'oeuvre est exclusivement conseillers à les membres sur attention vie, votre un instant d'attirer caractère confessionnel. Avec la furent inscrits suivant sans aucun membres ordinaires médicale l'oeuvre qu'on appelle l'assistance de l'intérieur du donations. Il devait du de leurs Toute y permission département de l'Inde. l'importance féminine pour les femmes et lès indien avis du avoir un comité central, et on devait établir d'après gouvernement puisque l'Inde gardée d'ailleurs, proportion le est recruté médecin en chef, des succursales dans tout le pays. Les fonds personnel et l'Algéd'babitanls compte 250 millions docteurs » des femmes venant d'Eu-v le nom de « Fonds de souscrits parmi prenaient nous pourrions nous inspirer rie 4 millions, et des de surtout de Dnfferin. indigènes en la comtesse rope parmi oeuvre fondée là-bas, de la magnifique race et de toute routoute instruites Dès la première année (1885), 150,000 religion; femme du vice-roi 1885, par lady Dufferin, aux . dans lés écoles médicales de l'Inde souscrites. : furent à ce détails sujet pies des Indes. Voici quelques à cet donne des effet ; y frais de l'oeuvre, qui, Il y a douze branches provinciales, En 18B5, lady Dufferin écrivait : sous le contrôle bourses et secours.. Il y a notamment : . compris celle d'Angleterre, « Mon idée est de former une association central : du comité central. Dans attachées ou Bourses du comité central et une l'Inde, avec un comité nationale, d'assistantes médecins de de il 2 bourses dans affiliées aux succursales province, y a caisse centrale, ayant des branches mois et six associations locales ou de 75 roupies chaque, par pour environ 130 et des comités locaux, pour tout l'Indoustan, étudier à Agrâ et à mois aux femdistricts. seulement, pour médicale donner une instruction Calcutta ;. et des Sont : conseiller à vie, tout donateurs d'au soins médicaux des mes, procurer 3 bourses de 30 roupies par mois, -pour'-" de femmes moins 5,000 roupies ou 500livres ; remèdes, fonder des hôpitaux et de 5 ans, pour les collèges dé Calcutta Membre à vie, tout donateur de 50 livres dans tout le pays et ouvrir une souscription ou 500 roupies ; Lahore^ âpres examen ; dans ce but. » — Membres ordinaires. miétait f bourses de 20 roupies par mois pour Souscription de cette iemme généreuse L'idée 5 annuelles collèges; de^Calcutta, Madras, Bombay; et n'étant nimum 10 shellings ou. hommes roupies bonne, car, les docteurs — lement. Entrée une livre ou 10 roupies. Lahoré. Les étudiantes doivent avoir 17 ans des femmes, il y avait un pas admis auprès de l'Inde :. et avoir passé déjà certains examens. des docteurs Les principaux protëprinces besoin d'y mettre urgent général est Je sais que M. le gouverneur dont saisi en ce moment par Mme Chellier, de tout est au-dessus éloge, le dévouement d'un dispensaired'un projet de création avec maindigènes hôpital pour femmes ternité et école à l'usage des jeunes filles ce musulmanes ; je lui demande d'étudier

femmes.

Les

Bourses et fondations particulières (provenant pour la plupart des Indiens). Ces bourses sont offertes par les Etats indigènes, des comités locaux, des municipalités, ou même de riches particuliers, aux candidates indigènes qui consentent à entrer dans la carrière médicale, mais à la condition que leurs services seront, pour une période de temps raisonnable, à la disdu comité de l'association position qui fournit les fonds. On remarque parmi ces bourses : 4 bourses à 30 roupies par mois, pour cinq ans, pour Calcutta et Lahore ; 3 bourses à 20 roupies par mois, pour Calcutta, Madras, Bombay ou Lahore. ; Il y a en outre dés prix et des encouragements divers, A Londres:

médailles

et autres.

Une bourse de 25 livres par an pour quatre ans ; Une bourse tre ans. '"-.'-''

de 30 livres par an pour

: ..-..A Edimbourg Une bourse de 25 livres tre ans. .

-"'

qua-

par an pour qua-

(ASUIVEE)


LE PROGRÈS DE iEL^BBÈS

Bel-Abbès.—

Imprimerie du Progrès de Bel-Abbès.

|SJo

L&G&îàniy

VupdurMlégaJlïmtion SIDI-BIL-ABËÈS,

le

1900.

LE

MAIRE,


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