Le Progrès de Bel-Abbès du 25/08/1900

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Le Progrès de BelAbbès ["puis" de SidiBel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 1893-1962.

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w** ittiiê

^1501

LIES

CHINOISERIES -DE

M. LAFERRIÈRE ———cm

[i*m«

II J'ai déjà signalé dans mon dernier des chinoisearticle, quelques-unes ries imaginées par Je puissant cerveau de M. Laferrière, en vue d'emles achats de terres pêcher indigènes par les européens. Français d'origine ou naturalisés ; en voici autre : une « Ne conviendrait-il pas de déci— « der— dit-il que les terres indicégènes vendues à des européens, au moins pendant « continueront « un certain temps d'être soumis à « iïmpôt arabe? »

impôt sur la propriété non bâtie, et ceux qui le payeraient pareequ'ils auraient acheté à des Arabes. Ils auraient, il est vrai, un moyen d'échapper à cet impôt. Ce moyen consisterait à ne pas cultiver leurs terres, car personne n'ignore — sauf peutêtre M. Laferrière —- que chez les Arabes ce n'e.ct point la terre qui de paye l'impôt, mais la production celte terre, c'est ainsi que M. Laferrière comprend l'intérêt de la colonisation. M. Laferrière a trouvé un autre

On a depuis quelques an nées établi en Algérie l'impôt foncier sur la propriété bâtie, mais dans l'intérêt de la. colonisation, on a ajourné l'ésur la tablissement de cet impôt non bâtie. M, Laferrjêre propriété niais ne proposé point cet impôt il dans l'intérêt de la colonisation, propose de remplacer cet impôt par

la propriété moyen de protéger arabe. Il s'est souvepu qu'en 1866 et par un décret daté du 13 décembre de cette même année, l'inventeur du Arabe avait décidé que Royaume les terrés arch ou sabega qui faide titres individuels saient l'objet de propriété, ne pouvaient être saisies pour dettes antérieures et il demande s'il ne conviendrait pas de maintenir les dispositions de ce décret, lequel d'ailleurs, dit-ii est toujours en vigueur. Mais, M. Laferrière, tout vice-

l'impôt arabe. Les colons français, possesseurs de terres provenant de concessions faites à des europu d'acquisitions affranchis, péens en serait toujours mais ceux qui achèteraient ans inpayer le zekkat digènes, devraient ou l'achour ou la lezma, comme s'ils étaient indigènes, sauf à payer aussi l'impôt foncier quand il serait établi. de proIl y aurait deux catégories ceux ne payant aucun priétaires,

président au Conseil d'Etat qu'il a été, oublie q^ue le décret du 13 décembre 1866, était un décret de circonstance, virtuellement abrogé depuis ; il oublie que les dettes antérieures dont il s'agissait étaient celles antérieures au 13 décembre 1866, lesquelles sont, depuis longtemps, liquidées, et non celles antérieures au15août 1900. Autres chinoiseries plus graves encore.

Engagements par mois ;

de

Engagements pies par mois ;

de quatorze

L'ALGÉRIE AUPARLEMENT -84-

sept ans,

au-dessus

Engagements

iesDéputés du9Juin1899)425 Cùamlire (Séance

roupies par moi?. Assistantes - médecins

de M. Albin Rozet Interpellation . sur les voeux de la population musulmane de l'Algérie et sur les mesurés à prendre pour y donner satisfaction. SUITE Les étudiantes qui ont reçu leur bourse devront rembourser tout l'argent qu'elles auront touché si elles quittent; le collège sans la permission du principal ou si elles sont licenciées pour négligence dans leurs études. effet.

Elles signent

un

à cet

100 roupies

ans,

150

de quatorze /

rouans,

( sages femmes ), de faire à ayant promis quatre ans d'études surtout et deAgra, pour accouchements, vant exercer sous la surveillance des médecins. Engagements mois ;

de sept ans. 20 roupies

Engagements pies par mois ;

de quatorze "

ans,

25

par rou-

au-dessus de quatorze ans, Engagements 35 roupies par mois. Elles devront avoir obtenu leur diplôme à vingt et un ans au moins et trente ans au plus. L'association

s'occupe de tous les hôpipar des femmes, qu'ils défonds de. lady pufferin, du

taux administrés

Pour

du pendent ou d'institutions gouvernement indépendantes. . Je viens dé vous expliquer -le rapidement fonctionnement dé la société : voici les ré

Pour

suliats obtenus : En 1898, quatorze ans seulement après la. fondation de là société, il y âVait dans où dispenl'ïridé 185 hôpitaux^ quartiers

engagement

Traitements les.dames doctoresse venant d'Anest réglé d'après gleterre le traitement les : conditions et termes de leur engagement en Europe. rurgie

les licenciés (grade indien)

en :

médecine

et

chi-

saires de toute

espèce

pour

le traitement

fhmiÊâ'MJ<tâtA9M

. Toutes lés questionsi pK61eés" à l'égard des terrés arci èt;sâbegas, des propriétés collectic'estfà-dife ves, le sont aussi àTégard de la pro^Mëlk). priété individuelle La aussi il propose dé limiter: la faculté d'aliénation dont disposent les indigènes^ là aussi il proposé de un minimum déterminer inaliénable^ « Rendons grâce au ciel, M. La« ferrière veut bien réconnâitré que « les questions qu'il pose ne peuvent aux 'territoires «être appliquées « q ui on l été so u mis à là loi de « 1873, puisque, ajôute-t-Uavec une c'est prince « certaine amertume à cette loi « paiement qu'on peut re« prochér d'avoir créé la situation à « laquelle il s'agit «remédier;»

à§

aujourd'hui -

Mais heureusement pour M. Laferrière et les indigènes, il reste encore une douzaine de millions d'hectares dans le Tell et plus du triple dans les hauts plateaux,_et au delà pour sauver les indigènes de la ruiet s'il reste ne complète, parmi — dans l'intérêt il saura bien nous, de la colonisation — nous émpêeliér hectares de d'acquérir quelques d'hectares plus, aux 100 millions que nous possédons déjà ce qui lui parait excessif, Certes, on ne d'être arabophobe, pas non plus être Je le répète, il faut ni plus ni moins. (Tell)

m'accusera pas mais il ne faut trop arabophile. être arabojustê, AUMËRAT.

administrés, par des femmes. ou gouvernés La plupart sont administrés l'association cependant, ; beaucoup, par -mais leur but et leur sont indépendants sont les mêmes. En 1*93, il fonctionnement des femmes,

. . n'y avait que 65 hôpitaux. ou à leur domicile, Dans ces hôpitaux 1 .484.000 femmes ont reçu des soins méil dicaux pendant l'année 1898. En Ï893, il en avait avait y que 601.000'; n'y en en 1896, 1,054:387 en 1895, —1.327.187 1.377,894 en 1897. 35 dames doctoressesdu 1" degré, 75 docd'Euassistantes (venant toutes et 257 assistantes et diplômées d'hôpital rope) comme sages femmes sont employées dans venant les différentes institutions (cëlles-çi toresses

de l'Inde). En1893, il y en avait seulement' 13 du premier grade, 42 du second, 43 du troisièrne. En 1898, y compris les gardes et, le

il

étudiant, y personnel administratif il en avait avait 324 femmes. En 1893, n'y ' ' ... . que 124. V''/[\ .%: Les recettes totales du comité central ont été dé 1 million depuis la fondation 99.000 roupies. Les succursales provinciales payent au comité central 1 p. 100 des donations et des souscriptions reçoiquelles vent. En 1897yie 1 Çv 100 s^st éieyé > tandis somme de 15*074 roupies, qu'une plus dé 347.000 roupies a été attribuée par le comité central aux succursales de pro-

V;:;"MTRAN§VAAL Les événements de Chine ont un peu fait oublier la guerre du Transvaâl. Et pourtant dit le Temps, il se produit #puis. deux semaines, autour de ÎPrëtoriâ, de^evénéments d'une gravité qu'on "se-demande si jamais, même après Spionkop, les armés anglaisés ont été plus malheureuses dans le sud de l'Afrique. Le gouvernement cache, autant qu'il peut, l'état des affaires. Les dépêchés dé lord Roberts sont mailes sept vaches qui gres comme les symbolisent temps malheureux. Avec des' renseignements aussi pauvres^ il faudrait consacrer plusieurs heures par jour à la comparaison dès télégrammes pour suivre la marché dés colonnes et des affaires dans le Transvaâl. Les unes et les autres vont, U est vrai, dans le même en arrière. Mais le sens, toujours public anglais ne s'en aperçoit guère, et voilà ce qu'escomptait M. Chamberlain. Il suffirait pourtant de consulter un document qui ne trompe personne parce qu'il resté^oujours en la de vérité deçà pour savoir^mafc lés réticences voulues du comgré mandant en chef, à quel point la situation de l'armée anglaise au Transvaâl est précaire et inquiétante. Nous voulons parler des listes officielles relatant, le nombre des morts et des blessés. Le 4 j uillet, le total était de .29.706 ; le 11, 30,093;; le 18, 32.520; le 25, 3M5Q ; enfin,, le 2 août, 36,559, Mo-

vince. 68.000 roupies ont été dépensées par le comité central pour organiser l'association, ses bureaux, sa propagande, etc. Le montant total des dépenses, celles dès constructions, est 2 millions 400 roupies depuis Le capital placé aujourd'hui central

et les succursales

de 1.467.000

de

donnant

y compris d'environ

l'origine. par le comité est province un revenu

roupies, annuel de 61.000 roupies. En outre, les associations et les comités de district ont un capital de 700.000 roupies et une somme disponible de 57,000 roupies. La succursale d'Angleterre

a donné

292

livres seulement. Je retiens votre attention sur ce chiffre. On dit souvent : Les Français ne donnent rien pour leurs colonies ; c'est pour cela qu'elles ne prospèrent pas. Voyez l'esprit habile des les Indiens, Anglais : ils ont pu intéresser lies princes, les notables du pays, au foncde leur oeuvre, ils ont des tionnement millions et ont donné 7.500 fr., ils ont su l'amourles gens par l'intérêt, prendre touhonorifiques, propre, les distinctions nous pourrions tes choses que, également, faire en Algérie. ne M. LeMyre.de Vijers. —- L'Algérie 4 millions tandis d'habitants, compte que que l'Inde en compte 250 millions. M. Albin Rozet. — Vous n'étiez

sans


LE PROGRÈS DE BEL-ABBÉS si, pendant trois semaines, du 11 juillet au 2 août, il y a eu chaque semaine 2.000 Anglais mis hors de combat, sans compter les victimes des hôpitaux. Jamais la guerre du Transvaâl n'avait coûté tant, de monde que depuis qu'on la croit finie. Si les Anglais avaient, depuis delà campagne, le commencement subi autant de pertes qu'ils en sule total officiel bissent maintenant, des tués et blessés serait presque trois fois plus considérable. Peu dé gens prennent la peine dé se demander ce que représente un tel chiffre de 2.000 tués et -blessés par semaine. S'il y avait un Spionkop tous les sept jours, l'Angleterre de cris et de gémisse»-; retentirait ments. Et pourtant : tous les sept; jours, depuis un mois, son armée huit cents homperd régulièrement

l'auteur de la corressimplement « attendu pondance confidentielle, « que, dans la lettre que le prévenu « avait écrite à son ami. il n'y avait ceaucune injure, que les" conseils « qu'il donnait' étaient confidentiels une correspon«et constituaient « dance privée et que s^ous aucun « prétexte, même en justice, on n'a « pas le droit de faire usage de la « correspondance privée auprès des « tiers et encore moins de la corres-

ardents pour qu'une entente acceptable pour tout le monde, intervienne au plus tôt. Les. grévistes doivent se montrer raisonnables dans leurs exigences : mais de leur côté les armateurs doivent se montrer aussi larges que concessions. possible dans leurs Ont-ils, dans cet ordre d'idées, fait tout ce qu'ils devaient et pouvaient faire ? Il semble que, dans les conflits que soulève, entre le capital et le

« pondance

travail, la lutte pour l'existence, c'est le plus riche qui doit se montrer lé plus généreux, à une époque où la spéculation sur les objets de première nécessité, décuple pour le pauvre, les difficultés de,la,yle.-,.-., Le

Seeret

Echos

privée

* * *

On mande j d'Igli que les chameaux au pâtu: servant aux convois étaient un rage, audessousdu camp, quand de s'em, groupe de Marocains tenta ) parer do ces animaux.

Le juge de paix du 12e arrondissement de Paris vient de trancher une question de droit des plus intéressantes et même des plus impor-

LesBrèves flans lesPorts

Ces pillards ont été repoussas par trente des nos soldats et ont laissé leurs sur le terrain. De notre côté nous avons eu deux

où nous écrivons ces A l'heure est toujours la lignes la situation même. Malgré les concessions faites notampar certaines compagnies, ment par la « Compagnie transaet les tlantique » les chauffeurs le de reprendre soutiers refusent travail, tant que toutes les compan'auront pas gnies de navigation les dans conditions accepté posées,

tantes. Est-il permis, sans encourir une condamnation à. des dommages-inune tierce térêts, de communiquera des personne renseignements confidentiels que l'on a reçu à titre privé. Un jeune homme, sur le point de se marier, avait prié un de ses^mis de lui dire sincèrement ce qu'il pensait d'une jeune fille qu'il désirait

leur entier. A Marseille, spécialement, loin de se résoudre, la question parait se car les ouvriers du compliquer, quai viennent de se mettre-eux

façon plus épouser. I convenable de le placer. Car, si au lieu une liberté sait mal farAvec qui | de Je placer bien droit, vous l'inclinez [ der son langage, l'ami répondit: !\ un peu à gauche, dire : Acil voudra « Cette personne est gentille. Mais On vous répondra ceptez mon amour. dans le même langage. Le timbre couqu'elle a eu. «je t'ai dit l'histoire , ché en haut de l'enveloppe et au milieu « Elle est partie pendant un certain : Jî pense à vous. Renversé signifie « temps de chez ses parents.avec dans le coin à gauche et en bas, il est « quelqu'un des plus comprometd'un excellent U veut dire : augure. * •; ^ -"..«Jants^o)^

, ; les courriers ce temps à partir très continuent d'Algérie avec l'aide très inirrégulièrement suffisante du personnel de la mari-

grévistes. Pendant

ne del'Etat. Cette pilualion pèse lourdement de l'Algérie sur la vie éccnomique qui se trouve, de .ce fait, presque isolée de la métropole. Nous faisons les voeux les plus

douté pas présent au début de mon argumentation, mon cher collègue. J'avais fait celte réserve qu'il ne fallait, comparer que Laissez moi terdes résultats comparables. et vous verrez miner mon raisonnement est. la comparaison possible. que rfu personnel médical asLe recrutement sistant est assez difficile, dit-on, parce (m'on ne conserve pas les femmes dans les hôpitaux une fois mariées. — Les hôpitaux datent de. M. Morinaud. longtemps. M. Albin

Rozet. — L'oeuvre dont je parle n'a que quatorze ans d'existence. M. Le Myre de Vil'ers médit : Le chiffre, de la population en Algérie est moins élevé que dans l'Inde. Je l'ai dit moi même au début de cette partie de mes observations. ' au-devant de Il est une autre objection des veux aller : il. à-dans l'Inde y" laquelle je Etats musulmans mans, des sujets

et dés Etats musulmans

non

musul-

et. des sujetsde ce genre Une oeuvre non musulmans. facilement dans des pays réussirait moins musulmans. complètement A cette objection', je réponds que, dans la

Tuzelle Bel-Abbès de 17 fr. SO à 18 fr.

et Nouvelles

î

i blessés. *

|

à Avez-vous jamais prêté attention la façon dont le timbre est placé sur des lettres recel'enveloppe que vous vez. Il parait que les timbres ont un Si vous votre timbre langage. placez dans le coin du haut et à droite, cela : Je désire votre amitié. En signifie somme

vous

Le jeune homme, en dépit de ces se maria. La jeune confidences, femme, après le mariage, fut mise en possession de la lettre de l'ami de son mari. Indignée, elle poursuivit aussitôt en 5.000 fr. de dommadevant le tribunal de ges-intérêts, simple police, sous l'inculpation non publiques, celui qui d'injures avait donné des renseignements si peu flatteurs. Le tribunal vient de rendre un jugement acquittant purement et

Céréales Peu de changement depuis le commencement du mois. Affaires difficiles par suite des bas prix offerts par le commerce malgré les de la récolte française, nouvelles annonçant une année moins bonne que celle espérée. On paie toujours les bonnes qualités : Durs colon Orge

|

mes de plus qu'à Spionkop.

aussi en grève. .; des armateurs a réunion été. Une tenue à l'Hôtel de la Marine, au cours de laquelle ceux-ci onidiécjde de faire des concessions qui n'ont pas été jugées suffisantes par les

DE SIDIBEL-ABBÈS

»

Le Bataillon du l" Etranger récemment arrivé de Tunisie, est désigné pour prendre part aux grande? manoeuvres.

de la

Correspondance

confidentielle.

MERCURIALE

c'est encore

la

la

les épreuau tiers infeves. droit, : votre ii signifie ! rieur de l'enveloppe, !i amour me ravit. Tout à fait dans le bas et un peu penché, il indique la | j capitulation heureux définitive : Soyez j' j et content : mais, s'il est placé sur le côté gauche et renverse, il veut dire : la même je ne suis pas libre ; dans il signifie ; mon place mais couché, triompherez Dans le coin

coeur

de toutes

e»t à un autre a droite, symétrique relations -

; da^s la position il rompt toutes

vous ie voyez, on Que de chosos, ! Le tout, peut faire dire à un timbre c'est de s'entJtiUre.

18 fr. 50 à 19 fr.-

10 fr. à 10 fr. 50

Seules les belles avoines ont pnfité du manque de marchandise de poids ; on les recherche aujourd'hui entre 12 fr. 50 à 13 fr. — Calme absolu, et Vins. cependant la campagne e&t ruverte; dans certains endroits des excédents sont à prévoir et les vendanges commenceront avant un mois "probablement. Les prix offerts ne dépassent pas 80 centimes le degré, au déçuvage ; quant aux vins faits, les acheteurs veulent se réserver la dégustation. Il faut espérer que les viticulteurs comprendront que leur rôle, cette année surtout, sera de produire des vins de couleur aussi bonne que possible, mais surtout de degré ; ceux-là seuls ayant chances de se vendre pour encadrer la production française faible en degré, surtout lorsque comme cette année elle est ">'!-° importante.

CHItOMQUE Nouvelles Sont tableaux

LOCALE militaires

inscrits d'office'a la suit^aux de concours de 1899 :

Pour

la croix d'officier de la Légion M. Brundseaux, chef de au l<* Etranger, 26 ans de 17 campagnes, service, une citation, rendit de grands sei vie^s à la colonne d'Honneur: bataillon

d'Igli. Po'ir

la croix de Chevalier de la : M.Laurent, Légion d'Hunneur sousintendai.t militaire de 3e classe, 20 ans de services. 3 campagnes, pour le zèle et le devouementdont il fit preuve a la colonne d'Igli. — M. au' l" Mathear, capitaine est inscrit d'office à la suite ; Etranger

... .-E.Lfin, les doctoresses de Kapurthala et . . Messieurs, on. sait quelle place doit tenir de Bhopal disent dans leurs rapports," dont • dans la vie d'un musulman, le pèlerinage à ' la Mecque. sous les yeux, j'ai un extrait q'ii'e" les femmes « purdah » qui sont les plus cloî- ; Toutes les fois qu'un événement d'ordre trées de l'Inde, commencent à se laisser une peste, une maladie épidéhygiénique, soigner par elles. mique, se produit, les Etats européens qui

trouvés d'accord cette année sur ce sujet. Des mesures plus ou moins rigoureuses, suivant les contrées, ont été édictées en

Ce que lady Dufferin, une femme de tête et de coeur qui mérite toute notre admiration, a pu faire là-bas, je préfends que

ont des sujets musulmans sont mis dans la A ce nécessité d'interdire le pèlerinage. il ne de moment-là, manque pas gens malveillants ou fanatiques pour insinuer sans, du reste pouvoir l'établir, que c'est

laissait a ses sujets même, qui d'ordinaire en temps d'épidémie une liberté complète, au grand détriment de la santé publique, leur a recommandé celle année de s'abstenir du pèlerinage. Le jeune souverain de

dopar malveillance que le gouvernement minant inlordit le pèlerinage. Comme les musulmans considèrent que c'est un des de faire dogmes de la religion musulmane le pèlerinage, vous voyez, avec qu'elle faci-

Fez, rompant avec des préjugés invétérés, marche ainsi d'accord avec les nations civi-

mutatis une autre pourrait le mutandis, faire en Algérie. Je souhaite qu'en Algérie ou en 'France une iemme généreuse, intelligente, à l'esse mette à la tête d'un .mouvelarge, prit ment pareil. Il n'y a pas de raisons de supen poser qu'une telle femme n'existe'pas France. Notre histoire en produit plus d'une. {Applaudissements.) Avant d'en finir avec l'assistance pude passer sous blique, je me reprocherais silence les sociétés indigènes algériennes de prévoyance, qui ont en ce moment un capital de 7 millions. Plusieurs orateurs en ont parlé et se félicitent de leur existence. Je m'en félicite également, mais ces institutions

ne renlrent

pas dans le cadre des oeuvres s-péciales à alimenter la proportion par les revepartie musulmane de l'Inde, est la • nus des habbous, et des hôpitaux et dont je parla s fout des souscriptions à l'heure, car les sociétés de prévoyance se; même que dans le reste du pays ; il y a musulrecrutent par cotisations. En tout cas, c'est: seulement moins de sages-femmes une idée excellente que nous devons favol'Inde de manes dans que sages-femmes riser. Chrétiennes ou hindoustanes.

Je lité on peut créer un mécontentement. n'ai pas reçu de voeu spécial à ce point de la vue, mais j'ai reçu d'amis en Algérie miss on de parler de cette question pour Il faut pouvoir l'élucider à cette tribune. ou de que nos sujets musulmans d'Algérie nos autres possessions se mettent bien dans l'esprit qu'avec ses larges idées de toléle pèlerance, quand la France interdit c'est faire autrerinage qu'elle ne peut pas comme elle ment, et quand elle l'interdit l'a fait cette année, ce n'est pas par simple caprice, mais par nécessité absolue. Voici ce que je lis dans un document récent : « Les habités

de tous les pays gouvernements les musulmans se sont du reste par

Turquie, en Egypte, en Perse et dans les de la Indes, pour empêcher la propagation marocain luipeste. Le gouvernement

lisées de l'Orient et de l'Europe. Cela est. d'un favorable augure pour l'avenir du pays dont les destinées lui sont conliées. « Il n'est pas sans intérêt de rappeler à?ce de musulmans propos que bon nombre considèrent l'interdition du pèlerinage comme une atteinte aux principes de la De très bonne foi, religion mahométane. ils s'imaginent que le pèlerinage étant l'un des cinq

de l'isladogmes fondamentaux rien ne doit en entraver l'acmisme, jamais Ceux ainsi complissement. qui pensent s'abusent sur le véritable caractère du pèlemusulmans sont au rinage. Les juristes contraire unanimes à déclarer que le pèlerinage n'est obligatoire que si on a, les de sans moyens l'accomplir danger. (À SUIVRE)


M au tableau d'avancement de;l899, pour le grade de chef de bataillon. Se fît à la colonne d'Igli, par son remarquer dévouement et son intelligence. — M. Bel lot, adjudant au 1er Etrantableau ger, est inscrit.-au de concours pour la médaille militaire..-pour le zèle et le dévouement dont il.fit preuve à la colonne d'Igli. Nous sommes fiers d'avoir à enregistrer de semblables citations qui font autant honneur aux officiers et sousofficiers qui en sont ..l'objet, qu'au corps et à la garnison auxquels ils appartiennent. . Aussi croyons-nous être l'interprète des nombreux amis que comptent & Bel-Ablès ces sympathiques militaires, en leur adressant nos plus sincères félicitations. A qui de droit Mon'MonsieurTouf-le-Mondéprie sieur Qui-de-Droît de surveiller lé petit Square longeant les murs de l'Hôpital Militaire ; un agent de service en permanence y serait fort utile pour emet les pêcher les dépôts d'ordures déprédations qu'y font en plein jour des individus de.toutes espèces et de toutes nationalités. Ne pourrait-on d'une pas l'entourer en bordure f:-r de petite quelques de hauteur. centimètres Il est vraiment fâcheux de constater l'abandon de ce petit coin qui pourrait être si coquet. * * * A"propos de propreté : ne pourraiton pas obtenir que le Square Pasteur soit débarrassé dès immondices qui ?.-.•'"• l'encombrent Le ruisseau longeant les immeubles Vivian j <-t Bonnet, rue de TIemcçn. ne afin pourrait il être lavé quelquefois les odeurs pestilentielles ri'prripêcher qui s'en dégagent par suite du stades voitures tionnement journalier ? publiques •

MdG«ÉSfDÏ

IfWÉÉÉS

lailles soient vendues dans des cages et non attachées comme cela ce fait a eu. lieu :tlne brillante réception jusqu'à ce jour. » en mercredi soir, au Cercle, militaire, Noub renvoyons â qui de droit les l'honneur defMM." les çapïtàîries Bouiltrès justes observations de notre corlon et Thomassin. retour de Tunisie. -.": Pendant cette fête, toute de -"cô'rd-ia--" respondant occasionnel. orlité r-t de sympathie, l'excellent lies grandes mnMteuTrei la s'est fait chestre à cordes de Légion -: Réception

.

Sous" là 'direction d'e. Son' entendre, chef, M. Salorriez. sympathique Bals

et Fêtes

ehampêtreB

La série dés fêtes de faubourg est ouverte. Demain dimanche 26 et lundi 27, bals et fête au Camp-^des-Spahis : Jos 9. et. 10 septembre prochain., fête au Pont d'Oran ; les 23 et 24 du même mois.-au faubourg Thiers ; les SO.sepau tembre et 1er Octobre prochain, Mamelon des Palmiers'. Comme- on peut le voir, les danseurs et danseuses auront de nombreuses'occasions-dëse dégourdir ie§ ils rie feront pas faute de jambes, et s'en priver. Les volaille* Un de nos lecteurs, fidèle observateur des arrêtés et règlements poursuivant l'élevage de la volaille à domicile, se plaint de ne pouvoir acheter au marché des volailles, vivantes .'..'. en bon état de santé. «Attachés par grappes de 5 ou G, bêtes nous dit-il, les malheureuses sont fiévreuses, inquiètes, et leur condition générale s'en ressent. •' « Né poùfrâît-dri pas établir dés cages assez vastes en osier ou en roseraient libres seaux/ où lesvûlaiiles de leurs mouvements, comme cela se fait dans plusieurs villes de France; '-«•'On pourrait dans ces conditions avoir des volailles bonnes et saines l'on -sans aucun que pourrait-acbeler : --' scrupule. « La société protec-ricé des animaux devrait tenir la main à ce que les vo^

De grandes manoeuvres auront lieu tout prochainement dans la région de Tiaret On annonce que sept bataillons du département d'Oran y prendront part. La dislocation de ces troupes est fixée au 13 octobre. Toi

Un vol a été commis la nuit dernière .à Ténira.au préjudice d'un marchand de légumes de Bel-Abbès, de passage â Ténira. qui circule dans les douars écouler sa marchandise. pour ' Ifs'était arrêté dans un chantier d'alfa, situé à proximité de la maison cantonnLère, et où sont installés quelques gourbis. C'est là qu'il a passé la nuit, couché à la belle étoile. Le matin, à son réveil, il a constate avec stupéfaction la'rîîsparition du bourriquot qui traînait sa petite charrette, ainsi que de ses espadrillesqu'il avait déposées, à côté de lui. dormir, pour Pour ne point faire du bruit, on lui avait laisoé sa charrette qu'on avait, décharsoigneusement auparavant, gée. Pour

finir

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Un., cordonnier, qui avajt là funeste habitude; de boire, s'en va chercher fortune en Amérique. Arrivé au Havre, à sa- femme : iitélégra/phîê v -^M'embarque ce ;soir sur- navire ";: H:;,;..•..500tonuéaux. Eep.wi.SQ 4e la femme,: r.'.••:.;.. , —Si la: traversée est loriguëj ça: né te suffira, pas.

Avis aux Chasseur! La chasse est expressément interdite sur les terrains ou propriétés désignés ci-après sis dans la région de Bel-Abbès,rSâvf ir :: :. À Aïn-Trid : propriétés SARBiÈR, CHERE AU, COLIN Charles, 4 AMBÈRT Emile, LEPLUS Alfred, GENIN Mariûs et MARTIN Jérémie. ; A l'Oued-Gerno : propriétés MORIN, ALBERGE, BARBIER, NOUZILLE, ROY (ferme Peyroutet; PITRON, SUAUDEAU Calixte et GOUT. ; \ Au Tessalah : propriétés NICOLAS Aristide, BARBIER, LAMBERT Emile, LOUBARESSE, GENIN Marius, et Calixte SUAUDEAU. A l'Oued-Besbès : propriétés Emile LAMBERT, NOUZILLE et SUAUDEAU Calixte. Territoire de Bel Abbès : propriétés CHEREAU, EMSALEM, MORIN et ROY (ferme Peyroutet). A Sidi-Daho : propriétés NICOLAS Aristide, Emile LAMBERT. LEPLÙS Désiré MORIN et GENIN Marius.' Aux LauriersrRoses : propriétés ALBERGE et MARÉCHAL. A Prudon : propriétés Ch. HAYN et MERLO. A Ténira : propriétés NOUZILLE et DEMARCHE A Tirenat : propriétés SUAUDEAU Calixte, BOTELLÀ (ancienne propriété Boumedien bou Aricha) et BEN NAGEUR., Aux Trembles : propriétés de M. MARECHAL. A Zélifa : propriétés ALBERGE et MARECHAL. A Zellat : propriétés (El Gadda) MARECHAL. A. Baudens : propriétés-.DEMARCHE A - SidirYaeOub : " propriétés Jules HABERÉE. i ; À Àïn-Tellout : ,_ , propriétés Jules v HABERERV : La chasse' est également interdite sur tous les terrains' appartenant à Ben Âïssa oui'd Rabah, Eada bou Aricha, KadâBouaza, Mohamed M Feroud et Eeltpune bent El Eadi,- situés dans le territoire dé Bel Abbès, derQuéd-Cërndétde Tirenat, et qui sont loués à M. Calixte SUAUDEAU..

et et à l'ouest par le canal d'irripoursuite requête, de gation et par la propriété diligence de Monsieur François M. Parodi. PÉROL^ arbitre de commerce, : Ensemble les constructions demeurant .a SidifÇel-Abbès, consistant" en une en qualité de. liquiday édifiées agissant Aux

teur delà liquidation judiciaire deMadameVeuveFRÉZOULS, à Sidemeurant ex-liquoriste, di-Bel-Abbès, pour lequel dode micile est élu en l'étude Me LISBONNE, avoué à Sidiy demeurant, qui .Bel-Abbès,. est constitué, et occupera pour fins de la présente lui aux de venteet ses suites. poursuite

Désignation des Immeubles

à Vendre

tant- le' numéro 19 du plan de: charges, les immeubles dont lotissement du village Thiers, , s'agit seront adjugés le Jeudi totalité dans leï20 à huit, pris presqu'en Septembre' 1900, lot de culture numéro 502 du heures du matin, à l'audience des criées du Tribunal plan du service topographique Civil de du territoire de Sidi-Bel-Abbès, maison à simple rez-de-chaussur les mises à Sidi-Bel-Abbès, et 604 du cadastral secd'un : plan sée, composée prix ci-après magasin avec devanture sur la route tion A dit de la ville et des Premier lot, borné t au sud par le à jardins, nationale de Sidi-Bel-Abbès JCnnnfp mille fr. ci. lll.UUUll. numéro 17 du plan du village quinze de trois chambres, Tlemcen, au sieur une cui- Thiers, Deuxième n nnn f« une salle à manger, appartenant Lot, Justo Sanchez ; à l'est par le trois mille ci. sine et un chaix, un magasin O.UUU 11. fr., numéro 18 du même à liqueur, un laboratoire, un plan Troisième lot, au sieur un lieux d'ai appartenant Joseph lavoir, débarras, mille cinq cents fr. /! fCnfl fl 1 sance et grands hangards avec Perez ; au nord et â l'ouest par deux rues. Les dépendances et appartenances. Frais et remise proportionProcédure nelle en sus. Deuxième lot Ce

Premier

lot

se

compose"

d'un

lot

M LOTÏTEREAII

LOT DE JARDIH

le numéro-476 portant 1/2 du plan du service tôpogràphilots à de deux composé des de Sidi-Belque jardins 28 les numéros bâtir, portant Abbès- et 528 du plan cadasdu faubourg et 30 du : plan le tral ; ledit lot ;sis derrière Thiers, ayant chacun une con- Jardin ladans vallée public tenance de trois cent quatre- dés une contejardins ayant mètres carrés, vingt-dix-neuf nance de douze cent cinquante soit ensemble sept cent quatre- mètres sur le canal carrés, mètres carrés. au-dessus vingt-dix-huit du Jardin public, Ces deux lots pris -presque Causlimité : Au nord par'M. dans le lot de culen totalité â l'est et au sud parsade'.-.; ture numéro 502 du plan du Madame Cénac, au sud par le et 604service topographique canal d'irrigation. section du cadastral, plan la MAISON y édiEnsemble et des de la ville A... dit fiée consistant en un rez-dede Sidi-Bel-Abbès ; chaussée jardins de deux composé 28 l'angle sud-est du numéro une chambres, cuisine, un dédudit nuséparé, du surplus barras avec et un grenier, méro 28, par un canal d'irriet bassin. poïhpe, puits petit dû numéro gationfaisaritpartie 505 dudit plan du service topo Troisième lot du numéro 602 et graphique seGtion A dudit plan cadastral. au nord et Ils sont limités.; noms ; à Pestpar deuxrûèssans au sud par la rue de Tlemeerï

La présente vente a lieu en Fait et rédigé par moi, vertu d'une ordonnance renavoué poursuivant à Sidi-Beldue sur requête le vingt-trois le Août juillet 1900, par M. le Juge- Abbès, vingt-cinq de la, liquidaCommissaire, mil neuf'cent, v tion dé Madame judiciaif.e Loco : M* LISBONNE, Veuve ERÉZOULS ; ladite or, Signé':ANTONI. donnance enregistrée. Et en exécution d'un juge-

A voué.

ment rendu sur requête parle à Sidi-Bel-Abbès Enregistré Tribunal Civil de Sidi-Belle Août 1900, folioAbbès, le quinze Juillet 1900. case , reçu quatre-vingtenregistré. trois centimes, décimes comLe cahier des charges con- pris. tenant les clauses et conditions Le Receveur, seront vendus les auxquelles immeubles a été dressé par Signé : BILLEREY. Me LISBONNE, avoué-pour— Pour suivant et déposé après enreNOTA, tous renau s'adresser à Me gistrement greffe du Tribu- seignements, nal civil de Sidi-Bel-Abbès, sept août 1900, ainsi qu'il sulte d'un acte de dépôt date du même

jour,

aussi

registre.

UnLoUeTran Mtir de trois cent quatre-yingtdixrneuf mètres, carrés, por-

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Mises

le LISBONNE, avoué-poursuiré- vant, demeurant à Sidi-Belen Abbès, rue Delebecque, n° 8, enT et pour prendre communication du cahier des charges^èati

à Prix

Outre les clauses et condiau cahier des tions insérées

du Tribunal greffe où Sidi-Bel-Abbès, posé.

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Le train de nuit d'ORAN sur ALGER, part d'Oran les lundi, et vendredi, mercredi à 8 h. 45 .dix soir. Le train 8 qui quitte Tlemcen à 4 h. 06 et Bel-Abbès à 7 h. 22 du soir, correspond avec ce train. '. Le train-de nuit d'ALGER sur ORAN, part d'Alger les dimanche, mardi et jeudi, à- 9 h. 40 du soir. Ce train correspond avec le train 1 qui quitte le Tlélat à 7 h. 27 du matin et qui arrive à Tlemcen à 11 h. 56. r

Bel-Abbès;^.Iroprimprie

du Progrès de iseï-Abbès-.

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