Le Progrès de Bel-Abbès 14/07/1895 by Président AALEME

Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès

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Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 14/07/1895. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.

îs° 1113

Treizième Année.

DIMANCHE, 14 JUILLET 13S5.

Mes

afin de céder la place à M. Gustave Cours (l'Appel COBTRE LEJHTLLOXM Garrouste, pharmacienà Bel-Abbès, Élections Départementales sacré ainsi candidat sous l'égide la suite du rapport de M. Isaac, La Vigie donne les détails suivants sur protectrice du doyen de notre le A Procureur général d'Alger avait la réunion de la Commission interdéparassemblée départementale. réclamé la création du poste d'un tementale, qui a eu lieu le lor juillet et L'Officiel a. enfin publié le décret Gomme bien l'on pense, nous cinquième substitut à la Cour et la qui devail examiner s'il y avait lieu de fixant, pour l'Algérie comme pour n'avons pas l'intention le moins du création d'une cinquième Chambre modifier la loi de 1883 sur le phylloxéra : la Métropole, les élections du re- monde de discuter aujourd'hui cette près la Cour d'Alger. La Commission était ainsi composée : nouvellement partiel des conseillers transmission de pouvoirs d'un MM. Bouvagnet, conseiller de GouverM. Isaac interviewé à sujet ce a nounement, président ; Lecq, inspecteur gédit: généraux au 28 juillet courant, et le veau genre, non prévue par les néral de l'agricultute ; Tutlin chef de. Ces scrutin de ballotage, s'il y a lieu, au usages, moins encore conclusions du Procureur, « par les instibureau ; le délégué de Pb.ilippeville, le dé4 août suivant. La période électorale tutions républicaines qui nous ré- ne sauraient me donner satisfaction. légué de Jemmapes, le d élégué de MascaJe persisterai à demander la création ra ; les deux délégués de chacun des synest donc ouverte et les candidats gissent. aux fonctions honorifiques peuvent Loin de nous également, la pen- de deux nouvelles Chambres d'Appel dicats de viticulteurs d'Alger, Oran et librement et publiquement faire sée de contester à M. Roubière, le à Oran et à Constantine ; créations Constantine. Eu tout douze membres qui, en cas de qui entraîneraient montre de leurs sentiments. des dépenses fadroit absolu qu'il a, à l'égal de sur la question principale, devaient cilement compensées par des éco- vole En ce qui concerne notre région, n'importe qui, de manifester fatalement se partager en deux partis ses nomies, notamment sur le transport égaux. La victoire eut certainement deux circonscriptions sont appelées préférences tel tel candidat. pour ou apdes faire choix chacune à d'un manda- Mais il existe cependant, dans la accusés, des gendarmes et des partenu aux partisans de modifications à la loi de 1883, la voix du président étant taire au Conseil général d'Oran. forme, des procédés qui nous pa- •témoins. } Ces Chambres d'Appel contri- prépondérante. Celui-ci, cependant, par La 25e circonscription, compre- raissent devoir être signalés, « ne bueraient • suite d'une circonstance particulière, Prudon (siège efficacement nant les centres de à la sécurité fut-ce que pour leur nouveauté. n'aurait même pas eu à faire prévaloir son fsi justement réclamée. officiel), Aïn-Trid, Baudens, Deligny. C'est ce que nous examinerons privilège. Lv. Conr d'Appui d'Alger a plus Mercier- Incombe, Sidi-Lhaçseïj, dans noire prochain numéro, I \ •?. En c-ÎVet, un des deux délégués du synvi.er- îdralïaires Tessalah et les Trembler. ;-st ae~ \ credi j)m_ch'.wi. 'criminelles que la Gourde dical de- Constantine, ft3. Iloisson, ferait les be« | ;-.car, pour fjêfeùt-, ayant éUJ viciée- cTim! accident an :% é%Â faffie ht Y^ptêunùlêti pair.-M+.:Vn tiré : ;i:'uriafrtit,;:Wôià Napoléon EX, dans'', ff'oiiï&"d'é \ii danvpag'rié 'él^cî.ç/'ate, .le ; , Auguste., propriétaire au Rocher, Progrès de Bel~ÀhlH'.s, lettre à JWac-Ivbhon, constatait^ moîufent même rie. ^on départ pou;- Algor. une reculant ne J!ewr-c-'.i¥V'î!i{>n!î les dô'.êgués du? SyncliLa 27« circonscription. '\\v.ni devant an:;i)n Ki>.crifico (air connu), ia néocs-silé de créor des Cours de viticulteurs avaient flairé Is cais Chanzy pour siège officiel, com- se fera un devoir de paraître désor- d'Appel à Oran et Constantine. traquenard qui leur était tendu. Je ne demande, dans mon rapprend, en outre, les communes du mais deux fois par semaine au lieu Au début môme des réunions de la Télagh, Boukanéfis, Lamtar, Par- d'une. port, que des Chambres d'Appel, Commission, ils déposaient le document menlier, Sidi-Khaled, Tabia et C'est dire que nous accueillerons mais les magistrats algériens ont suivant, dont la forme modérée n'atténue Tassin ; elle est représentée par avec plaisir toutes les communica- une tendance à préférer Alger, siège en rien le fond justement protestataire : Considérant que toute proposition de Roubière, propriétaire Belplus à M. commode pour eux, mais pas modification de la loi du 21-mars tions qu'on voudra bien nous adres1883 inAbbès. ser, au sujet des élections de la ré- pour les justiciables de l'Algérie dont téresse la viticulture algérienne dans son l'étendue est presque égale à celle ensemble ; S'il faut en croire les on-dit, seul, gion. Considérant que les seuls représentants de la France. M. André solliciterait le renouvellement de son mandat; M. Rou« Les propositions de M. le Pro- naturels légaux de la viticulture algérienlégitimement émettre, en son bière, pour des raisons de convecureur Broussard donneraient à la ne, pouvant avis sur la question posée, sont nom, un personnelles, songerait à se Cour d'Alger une importance exces- les Commissions syndicales, nances librement retirer, prétextant de son grand âge, sive anormale ». * élues par les viticulteurs eux-mêmes ; BEL-ABBÈS, LE 43 JUILLET 1895

CHRONIQUE Un Lieutenant de la Légion Dans l'armée française, la Légion Etrangère a joui dé tout temps d'une réputation de bravoure incontestable. Recrutée un peu partout, véritable ramassis de toutes les Dations, on y parle toutes les langues et aucun idiome n'y est inconnu. N'allez pas demander à ces soldats une parfaite régularité de moeurs, voire une conduite incomparable à celle de nos petits lignards. Mais si, en dehors du service, leurs officiers ferment volontiers les yeux sur leurs écarts, par contre, ils se montrent impitoyables pour l'observation de la discipline. Sans une main de fer, impossible de maintenir de pareils hommes. Employée dans nos colonies, la Légion Etrangère est de toutes les escarmouches et de tous les combats. On retrouve ces bataillons au Tpbkin, dans le Sud oranais, au Cambodge et dans lé golfe du Bénin ; partout, en un mpt, où il y a des coups de-fusil à échanger. En Algérie, où elle a rendu d'immenses

services, ses exploits sont demeurés légendaires, et, à l'appui de notre assertion, il suffira de raconter cette épisode de l'expédition de la Grande- Kabylie, en juin 1857, Après la guerre de Grimée, nous croyant épuisés et jugeant le moment venu de jeter les Roumis à la mer, pour la seconde fois, les marabouts prêchèrent la guerre sainte. A leur parole enflammée, comme une traînée de poudre, les feux s'allumèrent sur les hautes cîmes du Djurdjurah I Pour écraser l'insurrection d'un seul coup, le gouverneur général de l'Algérie prit ses dispositions en conséquence. Le corps expéditionnaire* commandé par le maréchal Randon lui-même, comprenait trois divisions et deux colonnes d'observation, soit près de 35.000 hommes. La seconde division, sous les ordres du général de Ma&-Mahon, avait été renforcée sur sa demandé d'un.bataillon de la Légion Etrangère. Connaissant de longue date la bravoure de cette troupe, l'ayant surtout vue à l'oeuvre trois années auparavant dans le massif montagneux qui sépare Dellys de Bougie, il savait quelle part on pouvait en tirer. Mais, dans cette guerre atroce et sauvage, pleine de surprises et d'embûches, l'unité d'actions s'imposait pour la réussite

et le'salut commun ; aussi, une implacable discipline fut-elle exigée de la part de ces turbulents enfants perdus. Entre autres injonctions : défense, sous peine de mort, de se porter en avant et de prendre contact avec l'ennemi, sans l'ordre formel du commandant en chef. Au moment de la concentration de l'armée, à trois kilomètres environ de TiziOuzou, au sommet d'une colline boisée, en avant d'un pittoresque village aux toits de briques rouges, l'ennemi avait construit une redoute et, de là, surveillaittous les mouvements.des nôtres. Tout en face, un peu en contrebas, une section de compagnie du bataillon de la Légion Etrangère avait établi son campement. Hors: de la portée des.balles, elle n'en recevait pas moins chaque jour quelques coups de fusil de la part de ses dangereux voisins. Maisy fidèles à la consigne, avec néanmoins la ragé ,dïns le cûeur, les légionnaires ne ripostaient pas. Enhardis par cette inaction pour eux inexplicable, cédant d'ailleurs à leur liumeur batailleuse, un beau matin une vingtaine de Kabyles, sortant de leurs retranchements, se déployèrent en tirailleurs aux flancs de la colline et poussèrent l'audace jusqu'à venir narguer nos soldats aux approches du camp.

Mordillant sa moustache, les veines du cou gonflées, l'oeil injecté de sang, du seuil de sa tente, le lieutenant Ziegïer ne les perdait pas de vue."Leurs provocations et leurs cris l'horripilaient^ mais il avait su jusqu'alors se contenir quand une balle égarée vint frapper près de lui un de ses hommes. Oh ! simple contusion à cette distance ; cependant elle suffit à combler la mesure... Ses dispositions furent vite arrêtées. Laissant la moitié de ses soldats à la garde du camp, prenant là tête de l'autre petite colonne, il donna le signal de l'attaque et s'élança résolument en avant. S'aidant des plis du terrain raviné, mettant à profit ses crevasses,, s'abritant derrière les roches et lès troncs noueux ! des oliviers, sous un feu plongeant, en un instant les nôtres eurent couronné la hauteur. La porte du retranchement, enfoncée à coup de hache, comme un torrent les. légionnaires se ruèrent.'dahs le village, à l'assaut de chaque maison, i semant partout la mort sur leur passage. Ah ! ce fut une mêlée et, certes, héroïque des deux côtés. Lorsque sur le bloçkaus lestrois : couleurs françaises flottèrent au vent et que le" clairon sonna la victoire, assis en rond, avec l'impassibilité caractéristique de leur

I_ie IParocj-rès

de Eel-A.bîîôs

CHRONIQUE LOCALE

Vente de Tiens paniers Dans la Magistrature Considérant que l'institution delà Com- j . La Compagnie des chemins de fer de mission nommée en vertu de l'arrêté de 1 Par décret présidentiel, M. Arripe, juge M. le Gouverneur général, en date du 8 au tribunal de Bel-Abbès, est nommé juge l'Ouest Algérien a l'honneur d'informer d'instruction à Phiiippeville. département le public qu'elle met en vente 4.000 ki'ojuin 1895, a pour effet de dessaisir les i Nouvelles militaires syndicats du rôle pi imordial que la loi de Constantine, par permutation avec M. grammes <!e vieux papiers don* 1.000 kiM. le capitaine Rogerie, du 2° batailjon logrammes pouvant servir comme papier leur accorde ; du 1er Etranger, au Tonkin, a pris le Millart. On ne voit pas sans regret le départ de de pliage et 3.000 kilogrammes à mettre Considérant que, dans la composition commandement de ce bataillon, en remde cette Commission, chacun des centres placement du commandant Coville, ré- M. Ai ripe, qui, nouveau venu cependant au pilon. Les personnes désireuses d'acquérir parmi nous, n'avait pas tardé à se conciphylloxérés opposants : Phiiippeville, cemment rapatrié. lier les plus vives et les plus sincères ces marchandises sont priées d'adresser Jemmapes, Mascara sont représentés par 1" le médecin-aide-major de M. — leurs offres à M. l'Inspecteur principal de une voix, tandis que chacun des centres classe Dormand, de l'hôpital militaire de sympathies (1). l'exploitation des chemins de fer de phylloxérés non opposants : Col des Oli- Bel-Abbès, est désigné pour la relève de Tir à la Cible l'Ouest Algérien, 20, rue de Mascara à viers, Robertville, Gastonville, El-Ar- Madagascar. La Commission de la fête nous prie Sidi-Bel-Abbès. rouch, Stora, Gastu, Héliopolis, Sillègues, d'informer les amateurs du tir a la cible, Xiégion d'Honneur La Calle, Sidi-Bel-Abbès, Tleincen, Zélifa, l'endioit choisi par eux pour ce tir, que des bateaux Départs Sidi-Lhasscn, Saïda, Oran - Kargupntah, M. Mohamed Ould Habib, lieutenant au situé à la carrière du pont trouve se Sur la demande de M. le Directeur des ne sont pas représentés par un délégué 2e Spahis, est nommé Chevalier de la d'Oran, à l'entrée du village Perrin. Postes et Télégraphes du département, la spécial et que l'ensemble de chaque dé- Légion d'Honneur. Compagnie Transatlantiuue a consenti à parlement n'est repièsentè que par deux Au Cirque Vidal médaille Militaire voix, ce qui viole le principe des majorités: Demain dimanche, aura lieu aux Arènes, retarder d'une heure ses départs pour lor Etranger. — MM. Gasc, Linnecker, une grande et dernière représentation à Marseille. Les délégués des syndicats d'Alger, de Les paquebots partiront donc le merConstantine et d'Oran déclarent que, et De Peretti, adjudants ; Guéri et Audu- laquelle prendront part tous les nommalgré la situation d'infériorité qui est bey, sergents-majors, sont décorés de la breux artistes qui composent cette ma- credi et le samedi à 5 heures du soir, au ainsi faite à l'ensemble des viticulteurs ; médaille militaire. gnifique et incomparable troupe de gym- lieu de 4 heures. Cette modification permet la transmisPar diférence pour M. le Gouverneur .2me Spahis. — MM. Bel Kreir Bouzian, nasiarquesgénéral, brigadier ; Mohamed ould Laredj et MoA l'issuedela représentation, l'audacieux sion des nombreuses correspondances Et par égard pour la minorité si éprou- hamed ben Djilali, cavaliers, sont égale- Capitaine Costa, fera une ascencion en arrivant de Saida par le train de 8 h. 46, vée, consentent à prendre part aux déli- ment décorés de la médaille militaire. ballon et exécutera plusieurs exercices qui ne parviennent au bureau principal bérations. h?bilcté sans pareille. qu'à 4 h. 20. avec une nouvpaux I)an« l'armée Ont signé : Avis aux retardataires. A l'occasion du 14 juillet, M. le Général Étalons des Haras MM. Verlaguet, directeur du Syndicat . Immigrants en Algérie d'Alger ; Altairac, sous-directeur ; Mau- Metzinger, commandant une brigade à Le Comice agricole de Bel Abbès a adresGénéral del'Algérie vient Le Gouverneur demain, sous-directeur du Syndicat de Madagascar, est promu Général de Disé une demande à M. le Directeur des d'accorder de nouveaux avantagesaux émi- Haras afin d'obtenir, Constantine ; Pilou, directeur du Syndicat vision. l'an prochain, pour Les généraux Boitard et Blanchet sont grants qui désirent se rendre dans notre des étalons de premier ordre en station d'Oran ; Havard, sous-directeur du Synnommés commandeurs de la Légion grande colonie et | euvent justifier qu'ils dans notre arrondissement. dicat d'Oran. ont des moyens d'existence et du travail à La lecture de cette éloquente piotes!a- d'Honneur. Espérons que M. le Directeur des Haras leur arrivée. tion a fait l'effet d'une douche sur la agréera favorablement la demande qui lui Revue Ils droit gratuit auront au passage sur est faite et que nous n'aurons plus qu'à majorité de la Commission. Mais il a bien MM. les Officiers de la réserve ou de la mer en 3° classe ainsi qu'aux vivres et au nous féliciter du choix qu'il fera pour le pérempétaient fallu s'incliner, tellement territoriale, sont invités à assister en transport de 75 kilog. de bagages par perloires et légitimes les raisons invoquées grande, tenue de service à la Re^ue de la bien de nos éleveurs. par les signataires. On sait ce qu'il est Fête Nationale du 14 Juillet, qui aura sonne. Il leur sera accordé également une réadvenu ensuite. Par courtoisie pure, les lieu à 8 heures précises du matin, dans la ÊTAT-CIVIL BEL-ABBES DE 0/0 50 chemin de fer, duction de en av. c viticulteurs ont délégués des syndicats de de Tlemcen. rue transport gratuit de 100 kilog. de bagages DU 6 au 12 JUILLET INCLUS consenti à étudier un article additionnel à communiqué Le présent avis nous est par-personne. 1881, titre évenmais à 21 loi du la mars M. le Commandant d'nrmes de BelNAISSANCES par Les demandes avec justifications, doiIl été tuel exclusivement. a convenu que Abbès, afin d'être porté à la connaissance Thérèse "Vandernoot ; Albert Rubio ; les syndicats, c'est-à-dire l'universalité de MM. les Officiers irtéressés, notam- vent être adressées, au moins quinze jours à l'avance, au 3° bureau du gouvernement Joseph Gilabert ; Marie Duchez ; Dolorès des viticulteurs algériens, seraient consul- ment domiciliés dans descampagnes général à Alger. ceux Berenguer ; Marie Cremadès ; Adélaïde tés et qu'une nouvelle Commission interdes centres de l'arrondissement et ou Ruiz ; Isabel Cara ; Moïse Lévy ; 6 indiréunirait ensuite. départementale se Tribunaux Algériens, les (1) Le journal auxquels des convocations individuelles gènes. les de service de ainsi états reproduit parvenir n'auraient utile. ces en temps pu DÉCÈS ÉLECTORALE deux magistrats : Charles Durand, 3 mois ; Louis Joseph, Agression M. Àrripe : Suppléant rétribué à Âîcbou, Le nommé Ferrandez se rendait mer- 15 mars 1885 ; juge de paix à El-Milia, 28 36 ans ; Abraham Amoyel, 4 ans ; Diego Sous ce titre et pendant toute credi dernier a son domicile, sis faubourg novembre 1885 ; juge suppléantau Tribunal José, 15 mois ; Antonia Sanchis, 18 6 juillet 1S87 ; juge sup- mois Juliette Combe, 28 mois ; Antonia la durée de la période électorale, Bugeaud, lorsqu'en traversant le plateau de Constantine, ; de Tribunal Constantine, chargé pléant au LE PROGRÈS DE BEL-ABBÈS du village nègre, il fut accosté par deux de l'instruction, Romeio, 2 ans ; Sultana Touali, 1 mois ; 10T octobre 1888 ; juge su insérera les communications qui marocains qui lui proposèrent l'achat Tribunal de Sétif, 15 octobre 1889; juge Montoya, mort né ; 7 iniligènes. lui parviendront concernant les d'une montre en argent, marquée aux au Tribunal de Sidi-Bel-Abbès, 13 novemMARIAGES 1894. bre élections dans l'arrondissement chiffres T. T. Suppléant rétribué à Aumale, Henri Tissot et Marie Roussel. Millart: M. de Bel-Abbès. Flairant un vol, Ferrandez voulut con- lOmars 1877 suppléant rétribué à Akbou, Francisco Segura et Josefa Verdu. Les auteurs sont priés de se duire les deux filous au bureau de police ; 28 août 1877; juge de paix à Collo, 20 Edouard Lascaux Thérèse Bajat. faire connaître ; ils peuvent comp- mais, mal lui en prit, car l'un d'eux lui décembre 1877; ; juge de paix à Jemmapes, Joaquin Martinez et Rosalia Segura. ter d'avance sur notre discrétion asséna un coup de matraque et ils s'en- 25 mars 1879 ; juge de paix à Akbou, 2 Manuel Paslor et et Marie Serrano. absolue. Nous prenons la res- fuirent laissant la montre aux mains de août 1880 ; juge au Tribunal de Tizi-Ouzou, au Tribunal de Phiponsabilité exclusive des articles Ferrandez. Celui-ci a déposé la montre à 9 janvier 1882 ; juge 1884 PUBLICATIONS iippeville, 18 janvier ; juge chargé de qui seront publiés. la police qui recherche activement les l'instruction au Tribunal de Phiiippeville, Amand Macabiès et Augustine Bracht. Juan Ramirsz et Joseta Perez. 13 novembre 1888. LA RÉDACTION. deux malfaiteurs.

TfllBUIE

Votre épée, lieutenant, dit Mac— J Mahon quand il fut à la portée de la voix. — La voici, mon général. — Malheureux ! quel exemple venez- ' vous de donner au reste de l'armée!... apparut Mac-Mahon. En tournée d'instruction aux avant- Un officier de votre valeur, Ziegler ! — Je n'ai su me maîtriser, mon général. postes, il avait entendu les premiers coups de feu. Comme plus tard à Magenta où il — Mauvaise excus^, car votre imprudevait courir au canon, il braqua sa lor- dence pouvait compromettre la division... gnette dans la direction du bruit et, non Du reste, vous relevez maintenant du sans surprise, contrairement aux ordres conseil de guerre et ne m'appartenez plus. Se tournant vers les soldats qui, consformels, il avait aperçu les légionnaires bondir sur le mamelon ut s'élancer comme ternés, gardaient lé silence : des lions à la poursuite desburnous blancs. — Quant à vous, mes braves, qui avez Bon juge en matière de bravoure, il obéi au commandemsnt de votre chef, avait franchement admiré la furie de sans avoir à-le discuter, recevez toutes l'attaque, le sang-froid du lieutenant, mes félicitations... "Votre général est fier droit et insouciant sous une grêle de de vous et son coeur de Français a tresballes, et le bouillant courage de chacun sailli de joie en voyant l'entrain avec lequel vous avez délogé ces Kabyles; Ce de ses hommes. Puis, quand les derniers coups de fusil brillant fait d'armes tout à votre honneur, eurent cessé de résonner, lançant son est d'un heureux augure pour le reste de cheval au galop et suivi de son état-major, la campagne. Lorsqu'elle sera finie, je me souviendrai de votre compagnie. le général gagna le village. Traduit devant le conseil de guerre, le A. la vue du divisionnaire, pareil à un • éclair, le sentiment de sa coupable in- lieutenant Ziegler fut condamué à mort ; traction à la discipline traversa l'esprit mais ses juges, à l'unanimité, le reclpmdu lieutenant Ziegler : néanmoins, très mandèrent à la clémence du maréchal :' pâle, coKtne aussi sans faiblesse ni dé- Randon. jours se passent dans une cruelle faillance, il attendit au port d'armes l'arincertitude quand, le matin du neuvième, rivée de son chef.

race, une trentaine de Kabyles désarmés attendaient qu'il fût sta'ué sur leur sort. C'est alors qu'à l'entrée nu village, au moment où l'on s'y attendait le moinp,

IHuit

le prisonnier est mandé devant le commandant en chef. Escorté de ses deux divisionnaires, les généraux Mac-Mahon et B.enault, le maréchal Raudon reçoit le condamné au seuil de sa tente. • — Reconnaissez vous, lieutenant, la justice de la sentence prononcée contre vous par le Conseil de guerre 1 maréchal, — Parfaitement, monsieur le répondit-il d'une voix ferme. — Sans la discipline, lieutenant, pas d'armée. — Rien de plus vrai, monsieur le maréchal. Emporté par la fougue de mon tempérament, j'ai enfreint la consigue, et je vous en demande pardon ainsi qu'aux camarades. Pour racheter ma faute et servir d'exemple aux autres, je vous le jure, je saurai mourir en brave. Il y eut un moment de pénible silence. A son tour, le général de Mac-Mahon prenant la parole : — A ma recommandation et à celle de vos juges, monsieur le maréchal a bien voulu vous accorder la grâce de la vie, lieutenant. Mais, dès aujourd'hui, vous rentrez dans le rang et vous servirez désormais comme simple soldat. Très ému, une larme perlant au bord de sa paupière, incapable d'articuler un

mot, le lieutenant Ziegler se contenta de saluer militairement. Rien ne vous empêche, Ziegler, de reconquérir vos premiers galons au cours, de cette campagne, dit en souriant le maréchal Randon.. J'aurai du reste l'oeil sur vous. — J'espère me montrer digne de votre haute bienveillance, monsieur le maréchal, ce sera pour moi le meilleur moyen de vous remercier. Quatre ans plus tard, lé lieutenant dégradé comptait à son actif plusieurs actions d'éclat, trois citations à l'ordre du jour de l'armée et recevait son brevet de capitaine.

^Henri DATIN.. (Akhbar)

Spécialité d'affiches en tous gbnres et de tous formats, pour fêtes

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Progrès de Bel-A.bbès

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

RÉPUBLIQUE R| FRANÇAISE

EludedeM0AliredLISBONNE,

LIBERTÉ. ÉGALITÉ, FRATERNITÉ

COMMUNE D'ÀÏN-TRID

VENTE

SUR

COMMUNE de BEL-ABBÈS

DU 14 JUILLET 1895 PROGRAMMÉ DE IA FÊTE

DES 14 & 15 JUILLET 1895 Sous

MM. BASTIDE,

la Présidence d'Honneur de

Ha»e

5 heures du matin, SALVES D'ARTILLERIE TI annonçant l'ouverture de la ; fêle. fô A midi, DÉJEUNER DE LA COMMISSU SION. A 1 h. 1/2, SIESTE GÉNÉRALE. 'A 2 h JEU DES CISEAUX, pour les demoiselles, 5 prix. de A 2 h. 1J2, JEU DU BAQUET, un prix. j A 3 h. COURSE AUX ANES, deux prix. ) A 3 h. 1/2, JEU DE LA POÊLE, un !I prix. pr A4b. COURSES DE CHEVAUX, pour | chevaux rie. tout âge. Poids libre. Entrée cli francs, (moms de 5 chevaux inscrits' . cinq ., la course n'aura pas lieu). )a Les propriétaires de la Communed'AïnTrid sont seuls admis à prendre part à * Les différends seront jugés cette.course ce séance tei.ante par la Commission. s,: Premier prix : 25 francs ; Deuxième prix: p { 15 francs. 15 I LE SOIR A 9 HEURES

YABKIER, Sotis-Jréfet

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PROGRAMME Samedi soir à 8 heures 4/2

RETRAITE AUX FLAMBEAUX DÉPART DE LA MAIRIE

JOURNÉE A S

DU DIMANCHE

h. du malin

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Mutina

Salue d'Artillerie au plateau

du matin

de bons

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aux indigents

du Village Nègre

Pendant les 2 jours de 6 à il heures du matin et de 2 à 5 heures du soir

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partir de 2 li. 1]2 de l'après-midi

Jeux Forain» de toutes sortes

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Les emplacements occupés par les marchands forains seront payés indistiDC ,temeiit à 1 franc le. mètre. Les jeux d'argent sont expressément défendus. b

de la rue delà Légion au café Monserat

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A l'audience des criées du Tribunal civil de Bel-Abbès,

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d'une contenance de trois hectares, cinquante-cinq ares, quatre-vingtdix CPtitiares environ, situé au lieu ^it.Sofra, appelé Semard, numéro 16, première section.. Deuxièmement

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située au faubourg'Thiers, banlieue de Sidi-Bel-Abbès élevée d'un rezde-chaussée et sur partie d'un 1<" étage, divisée en plusieurs appartements, cour et jardin, lieux d'aisances et pompe à eau, avec réservoir, ensemble le terrain sur lequel cette maison est édifiée d'une superficie de 7 ares, 51 centiares ; celle maison porte le numéro 7.

hectares, cinquante-qua're ares environ, appelé Azzoug, situé au lieu dit Zizène, portant le numéro 58 du plan, deuxième section. Troisièmement

d'une contenance de huit, hectares, vingt-neuf ares, vingt centiares environ, apppl^e Massabrassa, situé au lieu dit Brakti, portant le numéro

de la Porte d'Oran à l'Horloge

MASSACRÉ des MARMITEST5 au Square Pasteur

JEU DES BOUTEILLES3 devant le Tribunal

Coxxrse

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autour du Square Pasteur NOTA. — Pendant les deux journées à 2 heures de l'après-midi . GRAND DÉFILÉ des CIRAIASS

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De 6 à 11 heures du matin et de 2 à 6} ] heure* du soir, TIR A LA CIBLE, 1- prix, Un Lefaucheux ; 2* prix, Une Oie. De 8 à 11 h. du matin, CONCOURS DE ]BOULE, prix d'entrée : 50 cent. A midi, DÉJEUNER de la COMMIS-ION. De 1 h. à 2 h. SIESTE GÉNÉRALE. A 3 h. JEU DU BAQUET. A 3 h. Ii2. JEU DES CISEAUX. A 4 h. JEU DE LA POÊLE. A 4 h 1 )2, COURSE A PIED AU GALOP. A 5 h. BAL D'ENFANTS. Jeux de toutes sortes. A NEUF HEURES DU SOIR TNT G^ 3F6. ""

Huit prix divers exposés à la vitriae ie de M. TEISSEIRE JLe Dimanche soir à

neuf heures

Un Grand FEU D'ARTIFICE sera tiré sur le plateau du Village Nègre, Le lundi soir pendant le Rai, vers 11 h. ,ti Grande Distribution de Confettti

aux Demoiselles

La Commission a l'honneur d'informer er la population qu'une Superbe Prime îe ée sera offerte à la maison la mieux décorée pendant les deux jours. PENDANT LES DEUX JOURS

Grand Bal PublicC

DIX- SEPÏ IIKCTARKS

prendre à l'rst dans la direction du Nord au Sud, de manière à'limiter au nord le chalet Kualifataia, à l'est et au sud le n- 4, et à l'ouest le surplus du terrain ci-après savoir. Dans une parcelle de terre dénommée Hadjeria Zerg3, sise au lieu dit Kualifataia, portant le n* 6 du plan, première section, delà contenance de vingt-cinq hectares, quatre-vingts ares, vingt centiares. Septièmement

US TF.KRAI1V

en nature de broussailles et terre labourable et pâture dit El' Gara, siluéau douar communedeMahadid, au lieu dit El Mess."lia, portant le n- 2 de la section 3 d'Aïn-Toussira, d'une contenance de treize hectares, quarante-huit ares environ.

LE PRÉSIDENT : CADORET.

TIR AU FLOBEKT

al pour Dames et Demoiselles dans le local de la Société la Bél-Abbésienné

Sixièmement

BAL Illuminations à Giorno

Pendant les deux jours de.2 à 6 heures ?s

VENDRE

en bloc ou séparément

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Huitièmement

uar TERRAIN .

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en nature de broussailles, terre labourable et pâturedit Dra El Akhl, situé au même lieu, au dit Msella, portant le n- 5 du plan de la même section, d'une contenance de treize • .hectares, onze ares, soixante centiares environ. Neuvièmement

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sur la place Carnot

S'adresser à M. Louis LACREk" Pour tous renseignements les mar»- TELLE, à Bel-Abbès.

chands forains sont priés de s'adresser à M. TEISSEIRE fils. P. LA. COMMISSION Le Président, Auguste ROUX.

A AFFERMER . rl® en totalité ou en partie

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ïT, dans les environs de TÉMOUCHENT,

~ %£ Un jeune homme 9

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'• 1res actif et laborieux, connaissant bien ire le français et l'espagnol, belle écriture, sachant dessiner, demande emploi. Bonnes références. S'adresser au bureau du journal.

DEUXIÈME LOT

d'une contenance de quinze hectares, vingt ares, vingt centiares t-nviron, appelé Da>\ situé au li^n dit Moghsra, portant le numéro 66 du plan, deuxième section. Sur ce terrain existe Une Maison, Reguig ; en dehors de cette maison et du côté est, il existe un gourbi, et près de la maison se trouve un petit jardin, entouré d'une hai«î et complanté de quelques arbres fruitiers.

PROGRAMME DE LA FÊTE

d'une contenance de quatorze hectares quarante-six are?, quarante centiares environ, appelé Assi Krarfa. situé au lieu dit Djouahar. portant le numéro 64 du plan, deuxième section. Cinquièmement

A partir de 2 h. 1)2 de l'après-midi

PREMIER LOT

COURSE AUX ÉCHASSES

DERNIER ENCHÉRISSEUR

Une GranûeltBelle Maison

Un autre Terrain de Culture

FETE NATIONALE

de la Mairie

Un autre Terrain «le Culture d'une contenance de quatorze

Un autre Terrain de Culture

Place du Théâtre

:eAÇ>XJJET JEU a/u. près

EN QUATRE LOTS AU PLUS OFFRANT

Un Terrain de Culture

Quatrièmement

MAT DE COCAGNE

DU 14

EnÉérissenr

Premièremant

RÉPUBLIQUE FRANÇAISE i

LUNDI

séant au Palais de Justice, sis place Carnot, le "VINGTQUATRE JUILLET 1895, à huit heures du matin.

EN UN SEUL LOT

63 du plan, deuxième section.

COMMUNE DE TASSIN

En l'audience des criées du Tribunal civil de Bel-Abbès, le 24 Juillet 1895, à huit heures du matin.

LA COMMISSION.

en face le Café de Grenade

JOURNÉE

Saisie Immobilière

——

Me ALFRED

Saisie Immobilière

en face l'Imprimerie de YEveil

LISBONNE, Avoué à Bel-Abbès.

avoué-â Bel-Abbès

NATIONALE FÊTE F

FÊTE NATIONALE

Étude de

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PROPRIÉTÉ de 800 hectares, 3J

comprenant bâtiments, cinq hectares de vignes, vaste verger, terres à céréales et de un. bonne pâture, eau abondante, pays sain. Bonnes garanties exigées. * S'adresser au bureau du journal.

1ËRHAIS

en nature débroussailles, terre labourable et pâture, dit El Gahri, situé au même lieu, dit Msalla, portant le n* 4 de la section 3 d'AïnToussira, d'une contenance de dix"neuf hectares, cinquante-cinq ares,' quarante centiares environ. Dixièmement ' . OUrSEE HECTARES , vingt-six ares, vingt centiares, à prendre dans une parcelle de terre appelée Dra El Asfar, situé au lieu dit El Messella, portant le n- 3, de la section n- 3 d'Aïn-Toussiria,dela contenance de quatorze hectares, vingl-quatreares,soixantecentiares.

jflise à

pri~ 10.000 fr.

Requête : Navarro ; Contre: Ezzeghari. S'adresser pour renseignements à W* LISBONNE, avoué poursuivant

\ i

Une petite Maison d'Habitation, située au même lieu élevée

d'un rez-de-chaussée, comprenant plusieurs pièces, cour, écurie, pompe à eau, ensemble le terrain d'une superficie de 2 ares, 96 centiares environ. Cette maison porte le numéro 5.

TROISIÈME LOT

Une autre Maison

contigue à la précédente, élevée d'un rez-dechaussée, comprenant plusieurs pièces, jardin derrière, le tout couvrant une superficie de 6 ares, 85 centiares environ. QUATRIÈME LOT

Un Terrain à bâtir, ayant une

façade de 19 mètres environ, sur la route de Sidi-Lhassen,'contenant 10 - ares, 45 centiares environ, sur lequel se trouve élevée Une Grande ' Construction, comprenant deux grands magasins servaut d'atelier de fonderie.

MISES A PRIX Premier Lot 20.000 Ir. Deuxième Lot 5«0 ir. Troisième Lot Quatrième Loi

l.OOO l.UOO

ïr. Ir.

Requête : Champigneul ; Contre : Rousselière.

S'adresser pour renseignements à M" LISBONNE, avoué-poursuivant. Etude de M« Eugène GUIRAND, Avoué à Sidi-Bel-Abbès

VENTE

SUR LICITATION Aux Enchères Publiques EN UN SEUL LOT A l'audience des criées du Tribunal civil de Bel-Abbès, le

VINGT-QUATRE JUILLET 1895, à huit heures du matin.

Requête: Epoux Breleaudeau. Contre : Consorts Cornez. D'UNE

Grande Maison SISE A SIDI-BEL-ABBÈS ' à l'angle des rues de Mascara et Mogador. Revenu mensuel susceptible d'augmentation : 241 francs.

Mise à

prkT20.000 fr.

Frais et remise proportionnelle en plus] S'adresser pour tous renseigne-

ments à M0 GUIRAND, avoué.

Communales ou Patronales, tricolores, multicolores & bariolées .J

Le Progriès

B'OBAB | (PRIX

BT DE BBL-ABB3S A.TILEMOES' SERVICE D'ÉTÉ (du i<* Mai m "15 Octobre)

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DES PLACES

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Lauriers-Roses Oued-Imbert. Les Trembles Prudon (Sidi-Brahim) BEL-ABBÈS.. ^ ( Arrivée.. (

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Deîojôn^jÂVbbs 1 10 » 851 » 60 2 35.1 75 1 30 3 60 2 70 1 95 4 60 3 45 2 55 5 80 4 35 3 20

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Le train 2 Ô. À. coi rèspond au Tïélàt avecle train d'Alger, arrivant à 10 h. du soir. Le train-4 Ô. A. correspôrid'àùi Tlélat avec le train qui arrive au Sig à 3 h. 44 du soir. Le train 6 G. A. correspond au Tlélat avecle train qui arrive à Relizane à 10 h. du soir.

Sidi-Bel-Abbès. — Imprimerie du Progrès de Bel-Abbès

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Ô. À. correspond au Tlélat avec le train qui quitte le Sig à 6 h. du matin. O. A. correspond au Tlélat avec le train qui quitte Relizane à 5 h. 20 du matin. G. A. correspond auTlélat avec le train qui quitte Perrégaux à 12 h. 25 du soir0 O. A.

correspond aq

T.lôlat; avec

lé train d'Alger.

Û P0ur â'âïisoitOîî de lasignature de i/LM.L$VE£illE, Gérant. Sidi-Bel-Abbès,le 1895,

Le Maire,-