Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès
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Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 29/09/1895. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.
Treizième Année.
N° 1124.
BEL-ABBÈS, LE 28 SEPTEMBRE 1895
Ce que dit le général Dodds est
L'AntEColoniale s
'Induis
DIMANCHE, 29 SEPTEMBRE 1895.
Pîiïlloxéripes
cour, mais je ne puis pas vous payer ayant disposé de mes' fonds pour une autre affaire.. Adressez-vous donc à mon voisin et débrouillez-vous avec lui ; quant a La question importante des in- moi, je m'en lave les mains ! » d demnités phylloxériques étant à Je trouve bien inutile de le dire, surr l'ordre du jour, nous croyons être tout si ce particulier jouissait, tout comme agréable à nos lecteurs en emprun- l'Etat, de l'énorme privilège de faire rena justice en son nom et par ses proà M. HIRAM, de YAkhbar, dre la t tant juges. pres l'intéressant r article ci-après
l'évidence môme et tout le- monde le pense. 11 n'est pas besoin, d'ailleurs, d'être grand clerc en matière militaire pour comprendre qu'une armée coloniale est indispensable à an L'expédition de Madagascar où une un nation qui veut conquérir ou conserver des colonies, et qu'une nos malheureux soldats, peu habi- co tués aux climats chauds, tombent expédition lointaine faite avec des ex : * comme mouches, moissonnés par la soldats so que rien n'y a préparés doit Selon sa noble habitude, M. Cambon, Peu habitué a compulser les textes, fièvre avant d'avoir aperçu un enne- foi forcément être très coûteuse en je j, nie déclare incap allie de faire ressortir, a fait preuve d'une grande habileté dans mi qui recule toujours, met une fois ho hommes et en argent. Tout le mon- d'une manière claire et précise retendue cette allaite, où les colons doivent être «1 (i de plus en évidence l'urgente néces- de le sait ; depuis 15 ans, nous pas- des engagements pris par l'Etat vis-à-vis sacrifiés. Il a tout d'abord opposé !a force d'inerrf propriétaires dont les vignes sont site de cette armée coloniale si sons so notre temps à faire la conquête des tie à toutes les demandes de paiement indispensable au développement et de colonies nouvelles ; depuis 14 atteintes par le phylloxéra. Mais, ce dont je me souviens parfaite- d'ind 'milité qui lui étaient adressées et coloempire à la défense de notre ar la question de l'armée colonia- ment, ans, c'est (pie des engagements ont été cela a suffi pour occasionner la brouille , niai. le est posée devant le pays et aussi pris. Que ce soit en vertu de lois onde entre les Syndicats phylloxériques et les i viticulteurs et notamment ceux de la réLes expéditions de l'Angk-terre de devant le Parlement. ; au lendemain décrei.% à une date ou à une autre, cela < dans ses immenses colonies, nous même de l'expédition de Tunisie, le importe peu ; l'essentiel est qu'ils soient gion de Mascara, qui ne voulurent plus ' m permettre, non seulement l'arrachage, puisqu'ils ont ité pris. exécutés ' démontrent que nos voisins, sur ce ministère Gambetta déposa m un proEt. si j'ai bonne mémoire, l'Etat qui mais la simple inspection de leurs vignofaire mieux de point, savent je loi portant organisation de que nous, jet iloil jamais rester indifférent en pré- bles pliylloxérés. , ne S'agit-il de reculer les frontières de cette armée que nous attendons en- sence ce Celte brouille était tout ce que désirait de calamités pouvant causer, sinon , l'Inde? L'armée coloniale anglaise c< core ; et la question n'a pas fait un la ruine complète, tout au moins une notre aimable gouverneur, et il a su l'enfournit immédiatement les coniiu- pas malgré les longues études aux- forte atteinte à la fortune publique. l'Etat tretenir au moyen d'arrêtés ordonnant'la xr. destruction de certains vignobles contadis-je, fi'ost formellement engagé à inlivrées les diverses gen.ts nécessaires. Survient-il une quelles sont q se. .deinnisrr les victimes du phylloxéra. De minés, arrêtés qu'il n'a jamais fait exécu-, révolte '? Les ccin.tinge.nts coloniaux;., ,c< o^rarm^sions qui ,en;on.t,^té:,K?:t;;Ki:e;î.; ]•;; fi$à :<}f^.,J-^h^l^^^!^;^ ;oqloi5?':| :itep:'ëV,tinV..Tî'9J.iV:''se.V-v'. qu'à limite a olliêner une partie de ' n'ont pas dans de solides éléments anglais, le sibiement. dans les carionspoubsié- jj H-iivs droits inviolables de propriétaires. s: plus souvent nés dans la colonie, a reux àvx .'Ministère. ri eft Motorisant la destruction d« ceux de vile raison de la rébellion. C'est la rivalité de la Guerre et de luiiis vignobles qui seraient, contaminés h Marine, dit-on, qui est cause de . on simplement menacés de le devenir. Un rédacteur du Matin a eu l'ex- la De la sorte s'est donc trouvé formé cellente idée d'interviewerlegénéral tout le mal. Certains ajoutent môme ti entre. l'Etat et les particuliers un véritable le Dodds, esprit essentiellement expert que Ministère des Colonies mériq contrat, synallagmatique que rien, en en la matière. Le général qui au te sa part de reproches dans l'avor- bonne justice, ne saurait briser, à part continu dont on nous offre, une entente commune entre toutes les t cours de l'expédition du Dahomey tement e haut lieu, le lamentable specta- parties intéressées. a pu apprécier les divers éléments en Or, veut-on savoir quelle est la tenmilitaires placés sous ses ordres, a cle. c — Mais les Chambres n'ont-elles dance de nos gouvernants et principalele droit le très nettement dit toute sa pensée • pas de faire et pouvoir r. du Gouvernement général ? C'est de ment 1 rivalités, surtout lorsque ces — Je pense a-t-il dit, qu'il serait les se décharger de la responsabilité qui infinissent par emprunter au combe à l'Etat sur le dos des départegrand temps d'en finir, une fois rivalités i qu'elles causent à la ments algériens. c pour toutes, avec cette question, dommage I souvent agitée, jamais résolue. Une Patrie, un caractère véritablement \' Espérons que les viticulteurs, principaux intéressés, n'accepteront jamais une armée coloniale s'impose ; le pays odieux. c telle substitution qui, au fond, est absoSTÉRÉO. l'attend et l'armée la désire. Nous lument illicite. Espérons également que l'appelons de tous nos voeux et nous !————————————— nos Conseils généraux, per enclins à gas, ne comprenons pas qu'on nous en piller les maigres finances départementafasse attendre si longtempsla créales n'accorderont pas le lourd sacrifice qui leur sera probablement demandé. tion. La raison que donne l'Etat pour se Et comme notre confrère lui faiLes députés français devraient bien soustraire à ses engagements est qu'il ne sait observer que ces lenteurs sont suivre l'initiativeprise parleurs collègues dispose * pas de ressources suffisantes pour peut-être dues au conflit très connu 1belges qui viennent de décider le paye- indemniser tous les propriétaires phyllo'ment, par mois, des pensions de retraite. de la Guerre et de la Marine. xérés. Il serait difficile d'en fournir une La situption faite aux malheureux petits plus mauvaise, envisager n'ai Je à cette car il est inadmissible que pas — anciens soldats, vieux em- l'on n'ait pas quelques douros de réserve hypothèse, a répondu le général. pensionnés, ployés, petit personnel, est digne de tout pour les choses utiles, voire même nécesQue ce soit la Guerre ou que ce soit intérêt. saires, quand on s'offre le luxe de dépenlaMarinequi ait la direction de l'ar-, Le payement trimestriel, actuellement ser des centaines de millions pour faire mée coloniale, peu importe, pourvu en usage, est trop espacé pour le plus mourir des milliers d'hommes dans une nombre des pensionnés qui, n'ayant aventure aussi inutile et idiote que la que cette armée existe. Outillée grand modeste pension pour vivve, en campagne de Madagascar. d'une façon parfaite pour les expé- qu'une sont réduits à s'obérer, en empruntant Mais à notre époque de «: j'menfoutisditions spéciales, aguerrie, habituée! ou en achetant à crédit. me », il faut s'attendre à tout... même meurtriers enfin placlimats Quoiqu'il ne puisse résulter, en adoptant à la banqueroute ; aux vers laquelle nous concée sous l'unité de commandement, cette mesure, aucun incotvénient pour le duisent à grands pas nos honorables ( dans coloniale serait, l'armée 'ses, Trésor, nous sommes Hsn sûrs que l'ad- gouvernants qui, déjà, paraissent tout des finances poussera les1 disposés à laisser protester leur signature. mains, une arme formidable. Avec ministration hauts cris lorsqu'on lui proposera cette1 Dans certains cas, et sui tout dans le cas elle, les expéditions seraient ronde- juste réforme, et il faudra bien des années ; qui nous occupe, l'Etat doit être assimilé bien moins, coû- avant de îaire aboutir cette modification1 ment-menées et aux particuliers. Or, quelle opinion auteuses qu'elles ne le- sont de nos5 utile et généreuse entre toutes. rait-on d'un particulier qui viendrait dire jours. à son créancier : « Je le regrette beau-
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Pour les Pensionnés
emballer un peu plus les »it)pïié;a't!es sinistrés. Ceux-ci voyant ou'ils n'avaient rien à es, en r de l'Administration, bien qu'ils eussent. «Vg droits indiscutables aux indemnités promises par une loi, n'eurent pas le courage d'intenter un procès à l'Etat — peut-être eurent-ils raison — mais ils demandèrent l'autorisation de faire des plantations de vignes américai-
nes. La région de Phillippeville obtint cette autorisation il y a quelques années. J'ignore s'il y a lieu de l'en féliciter, mais j'en doute, car les résultats obtenus ne sont peut-être pas ceux qu'elle espérait en tirer. La région de Mascara en a sollicité une semblable, mais ne l'a pas encore obtenue. Avant de l'accorder M le Gouverneur a tenu, cette fois, à consulter lesJSyndicals des trois départements, et, dans ce. but, il provoqua une réuniou interdépartementale qui eut lieu à Alger, il y a quelques mois. On soumis à nos syndics, ainsi réunis, un projet de lo', dont ils ne voulurent pas entendre parler, qui aurait eu pour but d'amender la loi de 1883, surtout dans sa partie onéreuse pour l'Etat. Aucune résolution importante ne fut prise. Le Gouverneur rengaina son projet et, par déférence, sans doute,nos syndics rentrèrent chez eux sans avoir développé aucune des idées plus ou moins déformatvices qui hantaient leurs cerveaux au moment du départ. Peu de temps après, le Gouverneur qui ne se tient jamais pour battu, revint à la charge. — Puisque vous avez rejeté mon projet, dit-il aux interdépartementaux, proposez-moi donc de le remplacer par quelque chose d'analogue, car nous ne pouvons rester plus longtemps dans le stàtuquo, et l'Administration tient à rentre dans la légalité. Cette nouvelle tactique a parfaitement réussi. En effetj au lieu de répondre à M,
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Progrès de Bel-AbJ3ôs
les mesures vexatoires prises à Marreille, montant les des chevaux d armes. (Conditions rie: rier d Espagne, que le vin provenant de m< lors du débarquement de nos moutons, du règlement mmistériel du 8 février 1892). ces vignobles déphylloxérés ainsi ne sente loi Cinquième course, à 4 heures. — Prix pas l'ail, au moins ! et à Paris, lors de leur arrivée à la Villelte, "Vf Viguier supprimées ou diminuées. seraient : 1000 fr., dont 200 Ir. au deuse le irois èine relire son entrée. xi< Mais nous n'avions pas compté sur xième, Pc chevaux de 3 ans, de races barbe et les ennemis de notre production qui Pour le: LOCALE (ji élevés'en Algéria. Distance: arabe, nés et surveillent soin jaloux les progrès suivantes : ar si1 avec un 15 mèlres environ- Entrée : 75 fr. 1500 Opposition à toute plantation de vignes fa; faits par la colonie. Sixième course, à 4 h. 1[5 (à réclamer). De même que les gros marchands de améiicaines ; Contributions diverses vins de Paris ont été heureux de saisir — Continuation de la lutte contre le phyl- vi — Prix Professor : 800 fr., dont 200 fr. ï Rousseau, commis principal des M. loxérà et destruction immédiate de toutes - l'occasion l'i de quelques vins avariés pour au deuxième et 100 au tiôisième. Pour cb de 4 ans et au-dossus. de races contributions, diverses, faisant fonctions les vignes.contaminées ; fa un bruit d'enter destiné à dépiécier chevaux faire cor ba et arabe, nés en Algérie. Poids : 4 de receveur à Gàryville, estnonmé rePaiement des Indemnités aux proprié- ni nos produits ; de même on peut dire, barbe à Palikio, en remplacement de taires des vignes détruites, non plus par sans ar 66 kilos ; 5 ans, 70 kilos. Distance : ceveur ce\ si exagérer, que les nouvelles mesures ans, 2£ M. Bouat, décédé; M. Armand Agostini. l'Etat, comme le prescrit la loi, mais par encore plus rigoureuses et vexatoires que 2800 mètres Entrée : 50 fr. ei les départements algériens qui emprun- vi vient de prendre le Ministre de l'AgriNOTA. — Tous les chevaux sont à ré- commis-principil à la direction d'Oran, coi cl feront pour cela les quelques millions culture contre nos moutons, ont leur clamer ci pour 2.000 fr.. Les chevaux à est nommé receveur à Géryville. jugés nécessaires. ré source dans ce désir de concurrencer réclamer s( pour 1.500 fr., bénéficieront de Inutile de dire que ces propositions di déloyalcment nos produits qui caractérise 2 kilos ; pour 1.000 fr., de 4 kilos ; pour Succès . 8( fr., de 6 kilos ; pour.600 fr., de 9 depuis quelqui s années la lutte que nous 800 surtout la dernière, furent vite acceptées di Le jeune Paul Forlarre, élève de 3" ki kilos par le Gouverneur qui ne pouvait s'at- lilivre la production de la Métrodole. ; pour 400 fr., de 12 kilos (Surcharannée à l'Ecole Primaire Supérieure de ani tendre à pareille aubaine après le rejet Qu'on en juge plutôt par cette note un ges g< pour gains suivant Code). B? Bel-Abbès, vient d'êlre reçu au concours de son projet cependant moins avanla- ppeu mielleuse qui a paru ces jours derDEUXIÈME JOURNÉE : le surnumérariat des Postes et p0 pour niers geux pour l'Etat. sous la même forme — ce qui indin Première course, à 2 heures. — Course Télégraphes. Té Savoir obtenir beaucoup plus que l'on qque bien sa source — dans tous les jourde gentlemen. Prix : un objet d'art. Pour Au jeune Forterre et aux mût'es qui ne demande est toujours un succès mer- nnaux da la Capitale : cl, chevaux r entiers et juments de races barbe l'ont l'o si brillamment préparé à ce succès, veilleux. C'est ce qui vient d'arriver à M. La clavelée ayant été signalée à diff5- et e, prabe, nés et élevés en Algérie, n'ayant nous no adressons nos sincères félicitations. Cambon, giâce à la grande habileté qu'il rentes reprises dans les arrivages de lias r( .,. gagné de courses classées, 3 haies. Syndiélus des déployer auprès des algériens, le Ministre de l'A- Distance: a su t, troupeaux ]1800 mètres environ. En'rée : l«r Etranger cats. griculture qui, par bienveillance pour la 25 g 9; fr. Le vainqueur de la course de genReste à savoir si les Conseils généraux s| colonie M. Ballet-Baz, capitaine au lor Etranger, algérienne, avait cru devoir s'en tlemen c ,| la veille exclu. courue sera partageront les idées des syndicats sur- !' tenir jusqu'à jour de simples \ à ^a au 30° d'Infanterie ; ce averDeuxième course, à 2 h. 1|2. — Prix passe M. Houssemont, capitaine au 30e, pass.j tout au sujet de l'emprunt qui leur sera tissements, vient, en raison du danger d'automne: t 2500 fr., dont 800 fr. au $ 1er Etranger ; proposé. qu'ils pourraient faire courir aux trou- second. au c Pour chevaux de barbe g et races Que l'on me permette de souhaiter le peaux M. Strudel, lieutenant au lor Etrang-r, métropolitains, d'inviter les vétérif élevés arabe, nés Algérie, et 3 de a en ans est mis hors cad'-es Tonkïn contraire. naires-inspecteurs faire sacrifier à ; au tous et i au-dessus.- Distance : 2800 mètres e Je me propose de revenir prochaine- \les moutons des chargements dans les- (partie MM. Mire el Seiudenbinder, lieutenants liée). Entrée : 125 fr. /, hors cadres au Totikin, passent au 1er ment sur celte importante question. quels ( on constatera des cas de clavelée à Troisième course, à 3 heures. Prix — HIRAM. E'ranger. p jl'arrivée en France. d'Oran 1250 j fr., dont 200 fr. : au deubêles claveleuses Les seront, xième reconnues et 100 fr. au troisième, offerts par x Billets il'Aller et Retour précédemment, sacrifiées sur quai le comme |( gouvernement de la République \ Pour LES La Compagnie de l'Ouest-Algérien vient et livrées à l'équarrissage, mais tous les 1 chevaux de toutes rac s, >ie 3 ans et auc til soumettre à l'homologation de l'Adautres moutons du chargement devront dessus, nés et élevés < n Algérie et en de t être dirigés sans délai, sous les prêcau- Tunisie. supérieure un tarif spécial 'j Dislance : 2800 mètres. Entrée : ministration rr On signalait dernièrement une grande nécessaires, soit sur l'abattoir du 75 la délivrance de billets aller concernant rk tions francs. Cl l'égard de injustice à ces fonctionnaires. débarquement, soit, si l'exportade el retour. port Quatrième course, à 3 h. 1|2.— Deu- et Les tribunaux — celui de la Seine extait la demande, sur le sanatorium xième manche de la deuxième course. Sur Sidi-Bel-Abbès et sans réciprocité, 3 cepté — sont répartis en trois classes et teur en ou sur l'un des abattoirs de Cinquième course, à 4 heures. — Stee- les '£ mercredi et jeudi, au départ des gares les traitements des commis-greffiers va- de la Yilletle villes. En cas d'envoi à d'autres pie-chase, grandes prix : 750 fr., dont 200 fr. au de d Ras-el-Mâ, Bedeau, Titen-Yaya, les . classe du tribunal auprès rient d'après la celui du port de débarque- second, abattoirs que Pins, Magenta, Slissen, Taffaman, Aïnofferts 300 fr. par ia Compagnie 1' , duquel ils exercent leurs fonctions. l'expédition devra se faire en -wagon Ouest-Algérien Tellout, Lamoricière, Ouled-Chouly et 450 fr. par la Société. T et , Ces traitements sont fixés pour la pre- ment, J plombé. IPour A chevaux de races barbe et arabe, Aïn-Fezza. ] mière classe h 3,000 fr. ; pour la deuxièj quelques ajouter rien à à n'y 11 nés ces et élevés en Algérie, de 3 ans et aua Sans réciprocité également, les jeudi 1 me classe à 2^500 fr. ; pour la troisièmej ; :-:.:". ' ;': ':"': ':^xf'[ ''"'<flessusv Obstacles, 3 haies/ * un mur el et .'• V'V lignes. classe à 2*000 fr. e vendredi, sur Bedeau et ^ au départ des C'est à se demander vraiment si on ne une douve. Distance : 2 000 mètres. En- ggares ci-après : Ainsi les commis-greffiers du tribunalI francs. j d'Alger (4" classe), devraient toucherp cherche pas comme à plaisir à causer 50 Sidi-Bel-Abbès, Sidi-Lhassen, SidiSixième course, à 4h. 1(2 — Piix de jKhalel, Boukanéfi«, Tabia, Chanzy, Slis; 3,000 fr. ; ceux des tribunaux de Blida, préjudice à la colonie. ' Ons'était aperçu que nos vins allaient clôture : 650 fr., dont 100 fr. au deuxième Tizi-Ouzou, Constantine, Bône, PhilipMagenta, les Pins, Titen-Yaya, Rass sen, peville, Oran, Sidi-bel-Abbès et Tlemcen bien se vendre cette annéo, on nous a et 50 fr. au troisième. Pour chevaux de el e -Ma. (2" classe), 2,500 fr. ; et ceux d'Orléans- suscité la campagne de l'acide borique. toutes races, nés et élevés en Algérie et Maintenant les moutons algériens gê- en Tunisie, ayant couru sans gagner. ville, Batna, Bougie, Guelma, Sétif, Masd'assassinat Tentative d'une catéexploiteurs des autre 2.500 Entrée nent Distance mètres. 20 fr. : : cara et Mostaganem (3 • classe), 2,000 fr. Une dépêche de Tlemcen nous a appris Septième course, à 5 heures. —• Belle En réalité, ils reçoivent seulement : ceuxt gorie, e! sous prétexte de clavelée, Je cque des indigènes ont tente d'assassiner d'Alger, 2 500 fr. ; et ceux des autres tri- Ministre vient favoriser leurs petites de la deuxième course (s'il y a lieu). Menou Bernard, propriétaire à * Les engagements seront reçus au Siè- Mme bunaux, sans distinction de classe, 2,0003 affaires. *Lamiguié, dans la nuit du 25 au 26 couSociété, boulevard la Sébastopol, VENGE. de Général), (Journal L. ge résulte qu'en Algérie D'où il les fr. ap. commis-greffiers des desS ——MM^——M—»n—I——— par M. Clerc, trésoiier, jusqu'au jeudi, lrant. pointements Sa bonne, eu essayant de la défendre a 17 octobre, à 6 heures du soir. tribunaux de 1" et de 2" classe sont in-i SOCIÉTÉ HIPPIQUE D.'OMN I La présentation des chevaux se fera eeu les deux bras cassés. férieurs de 500 fr. à ceux de leurs collèD'api es les derniers renseignements on Château-Neuf, Gymnase du le vendredi foncti Iau les mêmes près ons gues exerçant la gravité de ses blessures, malgré 4 heures l'après-midi. J a, 18 de octobre, à France. tribunaux les en Réunion d'automne 1895 PRIX DES PLACES. — Enceinte du .<quelque espoir de sauver Mme Menou Voilà qui est singulier, n'est-ce pas, et ,t ^Bernard. qui dépasse de pas mal de coudées toutess Courses organisées sur son Hippo- pesage, 10 fr. — Pavillons, 3 fr, — IntéLa j jstice a ouvert une enquête, afin 50. — Voituies à 4 roues (4 0 fr, lieur, les injustices, toutes les situations fâcheu'' drome de Sl-Eugène les Dimanche iplaées), 10.tr.— Voitures à 2 les lâches auteurs de ce crime. d'arrêter ' (2 de la roues résultées étaient qui suppresses 20 et Lundi 21 Octobre 1895 : j sion momentanée du quart colonial I / places), 5 fr. — Cavaliers, 5 fr. PREMIERE JOURNÉE Et les commis-greffiers ont le doublee Le président de la Société, Passage de troupes Première course, à 2 heures. — Course de travail qu'en France. Ils réclament lee RIBES. objet d'art. Pour Hier matin, à 9 heures, le bataillon du Un gentlemen, prix : quart colonial. Ils ont raison. Les comj2ma Tirailleurs en garnison à Tlemcen, mis-greffiers sont nne quarantaine en All_ chevaux n'ayant jamais gagné de courses les ordres de M. le Commandant classées, de races barbe et arabe, nés et gérie. Avec un supplément de dépense de !e GOMMENT Dï &IIÉRIT LE PHYLLOXÉRA Ij sous Lagarde, se rendant aux manoeuvres, est 3 Algérie, de au-dessus, élevés et 20,000 fr., on pourrait leur donner satisans en 5_ arrivé dans notre ville. Il a établi son 3 haies. Distance 2000 mètres environ. faction. Les viticulteurs espagnols, s'il faut en1 campement sur le terrain de manoeuvres » Entrée : 25 fr. Deuxième course, à 2 h. 1/2. — Prix: croire El Defensor de Granada, journalI siiué derrière la gare. •_, ; LA national ; 1.500 fr., dont 300 fr. au 2* ett sérieux, auraient découvert, par le plus3 Tous les officiers de ce détachemèn t n 200 fr. au 3* offerts par :le Gouvernementt grand des hasards, le moyen d'en finirr ont été reçus hier soir au Cercle militaire de la République, pour chevaux de 4 ans5 avec le phylloxéra. ,U par leurs camarades de la garnison de Un habitant du village de Valor, dé- Bel-Abbès. L'orchestre à cordes du ler et au-dessus, de toutes races, nés ett Nous nous élevions, il y a quelque ie élevés en Algérie et en Tunisie. Distance : tenteur d'une grande quantité d'aulx dontt Etranger a fait entendre pendant deux il ne pouvait se défaire, eut l'idée de lès3 bonnes heures, les meilleurs morceaux temps, contre les mesures vexatoires es 4200 mètres (3 tours). Entrée : 100 fr. Troisième course, à 3 heures. — Prixs enterrer au pied de ceps de vigne phyl-- de son répertoire. ie qu'on faisait subir à nos importateurs de é, d'essai : 1000 fr., dont 250 fr. au 2° ett loxérés. Quelle ne fut pas sa surprise, à^ moutons pour lesquels on avait inventé, Le bataillon repartira demain matin. é, 150 fr. au troisième. Pour chevaux de 22 l'époque du bourgeonnement, de voir sess tout au moins considérablement exagéré, _____ barbe de gagné, force n'ayant jamais plans et la clavelée. 3 sans apparenraces avec germer ans, Arrestation Diseffet, phylloxéra En le Algérie. maladie. élevés de arabe, nés et A la suite des démarches faites par et a en ce ar Le sieur Edmond Bristau, faisant l'objet avait disparu, et donna une production1 plusieurs de nos grands producteurs, notance : 1000 mètres. Entrée : .50 fr." 0. Quatrième course, à.3 h. 1|2. — Steeple- superbe. Un autre cultivateur, témoin du1 d'une commission rogatoirs du Parquet sitamment par M. Raimbert, ancien président de la Société d'agriculture de Conss- chase militaire de 2e série. Prix : trois3 fait, suivit l'exemple l'hiver suivant, et>t d'Oran, p«ur abus de confiance, a été mis en état d'arrestation cette semaine. tantine, auprès de M, le Gouverneur ur objets d'art, offerts par le Ministre de laa obtint le même résultat satisfaisant.Pourvu, ajoute notre confrère le Courgénéral, on avait tout lieu d'espérer que e ue Guerre. Pour sous-officiers de cavalerie
Cambon qu'il n'aurait jamais dû sortir de la légalité et qu'il ne tenait qu'à lui d'y rentrer en faisant exécuter ses arrêtés et en indemnisant les victimes du phylloxéra, nos honorables syndics lui firent tout bonnement les propositions
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Mardi soir, M. Guërard, secrétaire ge l Opérations 0 effectuées dans le départe- j il ment d'Oran, pendant le mois d'Août. nêral du Syndicat des employés et ou- mer 1 Versements î-pçns de 2078 vriers de chemins de ter. a fait dans la dont 323 nouveaux 22S,283,25 sui eP salle des fêtes de l'Hôtel-de-Ville une inlé- déposants, CI~ Remboursements 954 dé• ressanle conférence sur le but du Syndi- posants, don; 166 à solde 170.999,90 sa^ pour cal, les droits et devoirs des employés et Excédent des Versements 57,283,35 /p ouvriers et l'avenir de l'association. SI Cette réunion a eu lieu au milieu d'une ;
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nombreuse assistance.
La série des fêtes conlinue avec entrain dons notre arronaissement. Api es celles de Chanzv et Aïn Trid, qui ont eu lieu Dimanche et Lundi dernier avec un plein succès, nous de^nsannoncer pour demain et après-demain, celles de Tessala et de Mércïer-Lacombe. Le programme, des plus variés et le beau temps qui règne en ce moment attireront; dans ces deux centres, une foule de visiteurs, et danseurs et danseuses s'en donneront à coeur-joie pendant ces deux charmantes journées.
Ilynténée soir à quatre heures a été célébré en l'Eglise paroissiale de Si'U-Bel-Abbès le mariage de Mlle Catherine Rebora avec M. Eugène Démerens. Nous renouvelons aux nouveaux épouxnos sincères souhaits de bonheur et de prospérité. Ce
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ÉTAT-CIVIL , BEL-ABBÈS DE *•
Les Marocains Hamou ben Embareck, Mohamed ben Tahar et El Kadir bel Hassen, ont été mis à la disposition de M. le sous-préfet pour défaut de permis de circulation.
Du 21 au
27 Septembre inclus
NAISSANCES
Antoine Navarro ; Emilia Marin ; Gines Gimenez ; Antoine. Brancato ; Malhilde G R ; Sophie Renault ; Francisco Marco ; Ros Francisco Ortéga ; MauuceGad ; Elisa Gil ; Pelayo : Alonso Gotnez ; Juana Anlonio A Perez ; Ernesl Martinez ; 4 Indigènes. l3
Vignes pliylloxérées Des arrêtés du Gouvernement général' déclarent infectées du phylloxéra les vi gnes appartenant à M. Rmckler Martin,» situées à Sidi-Lhassen. '
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DÉCÈS Angel Sanchez, 26 ans ; Maria Barran3 ans 1/2 ; Miguel Baesa, 59 ans ; cos, _, Joséphine Anton, 1 mois ; Pierre Fossard , r52 ans ; Léon Gomez, 2 ans ; Eurique O Barbera, 3 ans ; Antoine Brancalo, 2 ]] jours ;( ; Dolorès Perez., 8 ans ; Eléonore gSancbez, 2 ans ; Josefa Diaz, 14 mois ; ^Moïse Azerad, 48 ans ; Dolorès Perez, 9 mois ri ; Béatrix Perez, 4 ans ; 5 Indigènes.
M. Descous, instituteur à Sidi-Knaled, j est nommé à Dellys. I
Cheval trouvé ;
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l'humoristique el ÛL vaillant journal d'A d'Alger, qui donne en première page les charges du maître caricaturiste superbes SUf continue à mériter la faveur du Asi Assus,, . publie. , mil . tirage de cet ail rayant hebdomndaiLe re s'accroît d'une semaine à l'autre daus desj proportions inespérées. Le numéro de cette semaine publie la charge de M. Peirodil, le f.nneux recordcn; mi qui fait sur sa bicyclette le trajet mau d'Oran <j"( à Tunis et le portrait de Masson, le fougueux rédacteur en chef de la jG Silhouette. <jt-(
Défaut de permis
Sidi-Klinled
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Un cheval trouvé par le sieur Yassin? Djellou), demeurant aux Amarnas, est àa la disposition de son propriétaire.
Adjudications Mercredi soir, à deux et trois heures, ? ont eu lieu à la Mairie, deux adjudications ,s concernant : la première l'entretien des îs horloges publiques pour une durée de trois années, et la seconde, le nettoiement et l'arrosage des rues de la ville et des taubouigs, ainsi que l'exploitation delà fourrière publique, pour une durée de cinq années, ont donné les résultats suivants : M.Bornanda été déclaré adjudicataire de l'entretien des horloges publiques moyennant un rabais de deux pour cent (montant des dépenses, 1.300 francs palan). M. Maitinez José a été déclaré adjudicataire du service de nettoiement et d'arrosage, et de l'exploitation de la fourrière publique, moyennant un rabais de quatre tour cent (dépenses annuelles 20.050 fr.)
,
MARIAGES
Francisco Rubira et Maria Fernandez ; Baptiste Ponté et Joséphine Corbi ; Auguste Bajàf et Maria Diaz-.; Joseph Limecker et Nièves Herrero ; Jean Coll et Eugénie Melat. PUBLICATIONS
Emile Rigaud et HonorineKoninger ; José Vegà et Maria Garcia ; Jean Martinez et Dorotéa Marin ;
Pour Finir
Chassez le naturel... Un tripoteur véreux a un fils de douze ans. ' . Celui entre tout joyeux l'autre matin dans la chambre de son père : — O papa ! s'écrie-t-il, quel joli rêve j'ai fait cette nuit ! — Qu'as-tu donc rêvé ? — Que je volais. J'espère au moins que tu ne t'es pas fait pincer ?
—
Quelques combles : Le comble de l'habileté pourun coiffeur? Friser la politesse. — Celui de la couardise : Reculer devant une pendule qui avance. Le comble de l'amour du métier — r pour un ouvrier brasseur : Se suicider à seule fin d'être mis en bière. -
Communales ou Patronales, tricolores, multicolores & bariolées
Le Progrès de Eel-A.bt»es
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(Départ) ^Onmj.jBoVAttbB^ ORAN 0 70| 0 50 0 35 La Sénia (Emli1 d'Aïn-Tcmoiiclicnl) 1 10 0 85 0 60 Valmy \ Arrivép-• 0 an o on au A) A1 rn ou LL. 1LLLAJ..I DéparU_ _ 3 55 2 70 1 95 Saint-Lucien 4 70 3 55 2 60 Lauriers-Roses 6 15 4 65 3 40 Oued-Imbert. 6.95 5 20 3 80 Les Trembles 7 60 5 75 4 20 Prudon (Sidi-Brahim)..... 8 70 6 55 4 80
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soir
Le train 2 O. A. correspond au Tlélat avec le train d'Alger, arrivant à 10 h. du soir. Le train 4 0. A. correspond au Tlêlat avec le train qui arrive au Sig à 3 h. 44 du soir.
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Le train 6 O. A. correspond au Tlélat avec.le train qui arrive à Relizane à 10 h. du soir.
TLEMCEN ..(Départ) » 85 » 60 Aïn-Fez/.a 1 75 1 30 Oued-Chouly 2 7() 1 !)5 Lamoricière 3 45 2 55 Aln-Tellout 4 35 3 20 Taffaman ' ( Arrivée.. TABÏA I o i . o (Embr.. Kas\;,:j,^ Dépa_L 5 80 4 25 Bonkauéfis 6 30 4 60 Sidi-Khaled 6 S0 5 » Sidi-Lbassen
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(et vice^versà)
SERVICE D'ÉTÉ (du !«• Mai au ,15 Octobre) , . , , TRAINS S7 EL o"l G N AN T " DE TL E MC"E"N| S*EL OIGNANT D ' O R N 1
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Le train 1 O. A. correspond au Tlélat avec le train qui quitte le Sig à 6 h. du matin./ Le train 5 O. A. correspond au Tlélat avec le train qui quitLe Relizane à 5 h. 20 du matin. Le train 7 O. A. correspond au Tlélat avec le train qui quitte Perrégaux à .12 h. 25 du soir. Le train 9 O. A; correspond au Tlélat avec le train d'Alger, -