Le Progrès de Bel-Abbès 26/04/1899

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Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès

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Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 26/04/1899. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.


V:

Mercredi, 26 Avril 1899

Dix-Huitième Année

]\° 1369

proscrit le vin au même titre que \ pr tude de.la vie ?... qu'àces derniers temps. On sait que ti q\ '"';' .——^—;l'j fous, plus de quatre-vingts;.' ,:- Je le répète : Parce que Falcool est l'akvo!... •«i -—^-——• - sur-cent si Comprend-on cela?... Comprendsont des buveurs, — 7nais non pas mauvais. n des tumeurs de vin. D'autre part, ce Alors, la question, ne doit pas être on oi que des savants puissent Commettr l'hérésie colossale de s'élever n! n'est-pas simplement l'alcool qui est présentée p comme elle le fut au con- tre __ le vin ?..'. Et notez que nous Allons, voilà encore les bêtises qui coupable, mais la qualité de cet al- grès ce 8 anti-alcoolique. Il ne s'agit plus contre" ce recommencent! cool. en France ; dans cette France Le mal provient, non pas de de supprimer l'alcool, mais bien de sommes se ci d< le vin a un renom que nul" ne C'est curieux c mme certaines l'indigestion l'i seulement d'un certain le rendre inolïensif — mieux — bien- dont s' jamais avisé de contester ; dans f; Et quel est le moyen à em- s'est de petit-? verres sur le zinc faisant. gens tiennent à se lendre ridicules !... nombre in France où tous aiment le vin, On les paierait, pour faire les i Ilots du d troquet au coin, mais surtout de ployer, c( pour cela ?... Faire en sorte cette p qu'ils ne réussiraient pas mieux. Et la ]s non-surveillance qui préside à la qu'il o- tous souffrirent de sa disparition q ne soit plus frelaté, que les où BEL-ABBÈS, LE 26 AVRIL 1899 -

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c'est à croire que les lauriers recueil- fabrication d'où on l'extrait soient de lelente, voici un quart de siècles ; dans (s de l'alcool qui remplit ces matières E France où le phylloxéra a été si lis dans les cirques par le clown Au- petits t qualité, que les rectifications cette ci p verres. Ce n'est point tel ou tel bojine maudit... ce qui prouve U gûste les empêchent de dormir. ri rhum, bitter, vin amer, qui favorise soient très sévères, en un mot que longtemps s que-le vin fait partie intégrante h bien Il y a de. quoi se "fâcher, à la fin, de l'éclosion, ]' l'accroissement, l'épa- l'alcool 1 soit BON. d sol lui-même et qu'il est un besoin voir les meilleurs .intentions, dé- nouïssement du déHrium tremens où Je ne pense pas qu'on se trouve en du n pour la race... tournées de leur but par des îmbéci- s'effondrent, finalement, tant de bel les présence P de difficultés absolument primordial s Ï Je deinan Je aux français'de tempéles qui ne se rendent compte de rien intelligences, mais bien la mauvaise insurmontables. i n calme et pondéré, aux homet détruisent, par leur ineptie, la por- qualité de l'alcool qui est la base de i* Oh ! je sais bien que l'on protestera, rament q qui ne s'emballent pas, a ceux, t,5e des choses les meilleures. Il fau- toutes t< i" certaines catégories d'empoi- \ mes parmi ce^ liqueurs. j j e an mot. qui aiment leur tranquildrait" être, inerte pour ne pas protesOr, venir affirmer que l'Alcool est sonneurs pntentés ; je n'ignore pas !en s I lité et savent, au besoin, la défendre. ter quand on voit des gens, quali- coupable moindres et est une de ces vérités de que des fabricants c ( — — admettre que le vin soit l fiés de savants, qui le sont peut- la y, Palisse qu'un enfant rougirait crieront à l'intolérance, à l'entrave Peuvent-ils ?...' J'entends le vin, le suc être, proscrire le vin... d d'émettre l de.la liberté du commerce. Je me con- proscrit ; elle n'a pas fait reculer Vous croyez par hasard que je veux les 1 congressites. Oui, ont-ils déclaré tenterai de dire qu'on fait bien d'em- de c la vigne, le vrai vin rulillant, pétil' rêcher l'empoisonnement systémati- lant, du Champagne mousseux, courire?... Pas du tout. e enflant la voix, l'alcool tue la race en ' l'avoir anémiée, émasculée, que — mais fructueux pour les em- leur d'or, aux-Bourgogne, aux Médoc, Des hommes, qui observent, ont après t depuis un demi-siècle ; oui, il poisonneurs — d'une nation, et que ài tous ces vins du Midi et de l'Algérie, remarqué, les progrès de l'alcoolis- avilie, s arrêter cette domination déplus ce n'est point une atteinte a la liberté rose comme du sang traversé d'un 1 i me ; ils ont voulu chercher en com- faut de soleil. Pourrons-nous, en i i plus inquiétante des hommes par que de proscrire la libre circulai ion, rayon mua le moyen de les combattre. De en cette idée à la convocation d'un con- l'alcool ; il faut Combattre cet ennemi la vente, du terd-hov-ux -i du vert- .1France, nous passer..de. .'.vin-. '?... ' e1 qui nonfe 'vamna. ce q<,'jl nV-t pas coniPjo un peu i de-rns que s»ont c"a.i > cognacs, Est grès il n'y v qu'un pas. ïl c H< bien- iemblc Hi puis, en de nolio \i». îe {on i do n<i,(» per"Moins qu*- te» .t autic. je- s-ms de celâmes ab-onlhea. toi franchi Et \u!a nos . j\auts, nos ?... Ne lui/devons-nous ' aliénistes, nos philantropes, nos so- ceux qui s'inscrivent en faux contre somme, 3'Etat qui nous protège (?) ai sonnalité cioîogues, réunis pn congrès a "Paris la constatation du maiquefait l'alcool. nous gêne su i tout, en des occasionsi pas notre g/ùlé" ..batailleuse..,.-notre où nous nous passerions fort bien déi amour du rire et des chansons ,V... des hommes qui prometet dissertant avec autorité sur les me- J'ai connu . Proscrire le vin — à dès français?.,. faits de l'alcoolisme, sur ses progrès taient beaucoup et qui n'ont rien lui, ne ferait que la moitié de son de. tenu, parce que la fée verte les domp- voir en s'intrrposant entre les mar-- ô blasphème !... constants. : .. déclarer ta. Pourtant, c'est délicieux un verre chands patentés de poisons et les conOr, savez-vous pourquoi j'écris cet On pourrait, dèsl'abord, article ?... Ce n'est point pour gloà ces messieurs les congressistes d'absinthe quand Peau est bieu fraî- sommateurs. Proscrire les excès d'alcool est unei rifier le vin, tout françaisremplissant que leur déeouyeate n'est pas nou- che et la liqueur vieille. Pourquoi velle. Il y. a, sj nos souvenirs sont donc ce .imulant qu'est l'alcool de- bonne chose, puisque l'excès en toutt mieux que moi cet office en reroplisexacts; -r- et .ils le. £ont — belle lu- vient il si nuisible ?... Pourquoi, est un défaut et produit toujours duî sant et vidant son verre. C'est pour rette que l'alcoolisme, a, été dénoncé le coup de fouet que donne à l'esto- mai. Mais aller plus loin, c'est tomberr féliciter le Gouverneur général de comme un malfaiteur émirient. On a mac et au cerveau un verre de ^char- dans le ridicule : on en meurt, eni l'Algérie d'avoir bien voulu accorder dit qu'il peuple les asiles d'aliénés où treuse fait-il du mal après avoir ren-- France, assure-t-on. Et je voudraiss son haut patronage à la Ligue Viniil a introduit des formes de démence du service, 'facilité,, régularisé, les JI que ce proverbe fût exact en ce. quiii cole Universelle. Cette ligue rendra qui n'y furent jamais observées jus- fonctions indispensables à l'a pléni- J. concerne le Congrès alcoolique quiii certainement do grands services en 1

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Feuilleton, du Progrès de Bél-Abhès

Nous ne savons s'il eût trouvé facilement cinq francs. '. c /'"".. ..':.'. ' Grâce à ce subside, Fra-Diavolo put ce 32 ci moyen ingénieux, toujours- est-il qu'il -— Une scène d'atelier : ;. — le soir dans l'avant-scène qu'il n'en reparaître eut pas besoin. n x XAVIER DE MONTÉPIN : ;; Fra-Diavolo, après la première re- occupait Le lendemain, sur les "neuf heures, au la veille. c . :-.;f présentatiori:de MadèUn°Me avait quitté où Fra-Diavolo et OlUirius déjeuA son aspect, Pivoine devint écarlatè, moment -—^^^s^-^. .p n : "•';-. '. -..,"' '.:Iï léThéâtre du LTixernbourgi lé coeur percé èl, de façon frugale, on heurta douce'"'' durant tout le cours de la représenta- nèrent .LES' u < • d'outre, en outre et la tète complètement à tion,,.èlle répondit à ses regards brûlants ment à la porte de l'atelier; 1 n l'iènvers. dés oeillades pleines de promesses. -1- Olibrius.. ditd'artiste. par ] . ! Comme peintre et Le peintre convaincu dès loirs que le ,'; — Qu'y a-t-il, maître ? demanda le racomme liomiriëv au point de vue dé la foriiie artistique aussi billet j p anonyme, le bouquet mystérieux 'pin.-v h .-..'-- bien qu'a celui du (désir amoureux,) il était '. : et le coupon de -loge venaient de l'ac'-* Je crois qu'on frappe. PREMIÈRE PARTIE < -: doublement d épris de la comédienne. trice, sûr par conséquent de sa bonne ; -— Je lé crois aussi, faut-il ouvrir ? y ".;:xxiii ,. Il rentra donc chez lui dans un violent fortune, Sans doute, mais d'abord assure-toi que songea à en brusquer le dénoue^ : de surexcitation nerveuse, il. oublia ment. ;.é état :Frà-DiaVolo ; ;- -:î": -','';<! ;ce n'est point un Anglais qui nous vient : • , --,".-.-".'>«'.'';-'dde souper, se coucha^ mais ne put s'en- ' Pour cela faire, aussitôt après la chute dans ub butvliostile.-.';.-. :,:-::; >'c ;: ;-" ,F)?a-Piâyôl6, du resté, grâce 1 à l-insou- ^dormir, et, après nuit des plus blan^ '"' du rideau, il sortit ;de s°n avant-scène, et \ ; Olibrius marcha sur la pointe des pieds une ; ciante légèreté jde son caractère, supporta clies, il quitta son. atelier dès six heures du i s'en alla guetter à la porté des; acteurs lé :jûsqu'à:la j porte et appliqua son oeil contré . miéux:'qusun.:---.aujr^'"\l^i'.;épreù.ves-dé cette ; ^ mâtin pour aller demander au concierge; du passage de la jeune iillè;: étroite, ouverture, ;.pratiquée; dans la :. \ une / ; . existence, durant .laquelle bien souvent le théâtre l'adresse de PiyoinePivoine ne se fit point; attendre, mais: ;'<cloison à cette .fin dé laisser reconnaître , travail du jour né suffit point au pain du ,h0 cerbère,, dont Arsène Tétribùait la hélas ! Arsène Bâchu l'accompagnait, 1lés visiteurs avant de. les introduire, le eiidemain. ;-.-"-;'.'•;.;-•'-:.::-.;; '••,-'•'-..'?..,;- .-' :' '-\discrétion, reçut fort mal le questionneur restant hermétiquement clos -. et celte: fois il rie la laissa. point rentrer sanctuaire s . -".-. Grâce à des petits, tabléaiux-, colportés ; jindiscret, qui se vit, cont raint d'aller pro- ':': seule. ]pour la cohorte des créanciers, -autrement, chez-les -.-juifs et vendus a vil prix, grâce; mèper pseudonyme 'd'Anglais.Fra-Diavolo, furieux de désappointeT- désignés^par:le ses rèyériés. amoureuses dans les < , . à (melques çopigs commandées, et grâce ' '.allées du Luxembourg, jusqu'au moment ment et de; jalousie, resta dans la rue, -, Ceci -fait; il revint auprès'de l'artiste^ surtout a un assez grand ^nombre de por- ïoùjil Eh bieiï?.demanda ce dernier. fut reconduit instinctivement "vers son ;' les yeux fixés sur la maison qu'habitait son ;.-, -.-irr-. . #aits qui lui valurent une sorte de ce-. : ']logis par rbeure du déjeuner. ,'•'; -^Figure inconnue. idole. ' lébritè, lé jeune artiste parvint à'vivre tant : Dans l'après-midi, Fra-Diavp'o ; mit ; Il vit bientôti-'s'éclairer les, fenêtresdu :' : —r Masculine ?• . bien que niai, et à faire vivre avec lui son spus.son bras'uiie petite, pochade à demi-, cinquième étage, et, connaissant dôsoiv .-- Oui; c'est un arionsieur bien couvert 5 " terminée/rquiil retrouva dans un cpiïi et: mai.S'.;le:;:logiS: de l'âçtricé, il se promit_" et qui a l'air bête. ; rapin Olibrius.; .'";-.....,'.-'. : -. Qn frappe pour Ja seconde fois. Tel était le Joassé de Frà-Diavoloj *au qu'il porta chez U;n brocanteur du quaiL de chercher -dès le jour suivant, un moyen : ; mômie.nt:-où.nQus/^vp^^^".'.èu.'.l'honneur de lei "Voltairé^jdighe-israëlite qui envfit îWcqi«V ^' ingêhiîéuxf;1^pour entrer' en relation avec — Bâte-loi d'ouvrir,, Olibrius, c'est sans ,, sition, moyennant la somme modique de; ' elle.,' '.- '" doute un Mécène qui vient pour une compréseiiter-à nosieetéurs. XXIV

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ï_ie groupant les producteurs, en étant une garantie pour les consommateurs, et je ne vois pas pourquoi un marseillais — qui aime le vin, je vous le jure, et qui ne crache pas sur les produits algériens — ne viendrait pas applaudir M. LaferriSre. On est si peu souvent d'accord avec les gouvernants qu'il faut se hâter de leur crier " bravo ! quand ils le méritent... Nous avons bien trop d'occasions de les siffler -r- ou de les combattre... NÉGQTIALIS. Correspondant du Sémaphore Algérien

JProgrés de. 33 el-A.:fc>fc>

sauterelles' dans le sud du départesn Des explications fournies au oient. oe Conseil générai, tant par l'autorité Q militaire m que par le Préfet, il résulte q les pontes ont été relevées avec que soin se ; des crédits ont été votés pour l'exé.-.ution des mesures de a< assurer précaution, de façon à nous préserp ver d'un fléau dont les régions du _Tell et des Hauts-Plateaux, espé* rons-le, r< ne seront pas menacées cette année. a

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charpentier qui se sera brisé les ] Echos chet Nouvelles membres. Où les trouvera-t-il ? Que m Le Journal Officiel vient de publier sera-ce s'il y a deux ou trois blessés, se un décret présidentiel rendant appliur ce qui peut fort bien arriver ? à l'Algérie, sous réserve de cerca La faillite est nécessairement au cable

taines modifications, le décret du 22 ta: ,bc bout., .fé. ' février 1896 relatifs aux retenues opéD'autre part, les obligations et rées ré sur les salaires, des cantonniers. les responsabilités croissant avec Ces le; Ce modifications sont les suivantes : 1- Les versements à la caisse natiole nombre d'enfants et les charges dès retraites pour la vieillesse n£ de famille, les industriels et les nale d( serôntfacultatifs les cantonniers se pour emploieront préférence de patrons pf de , nationalité étrangère ; des gens non mariés, ou des célibad< 2- Les cantonniers indigènes, sujets '" !-^-———taires état de ménage irrégulier. français, ta en fri seront admis aux versements Les Une Loi impossible -QQuelle drôle de façon d'encourager dans ai les mêmes conditions que les français ; la repopulation et la morale ! Àjou- cantonniers C£ On commence hélas ! à en rabat3- Les veuves des cantonniers indiouvriers queles n'étant étrangers tez te On préoccuper à commence se tre des premières prévisions sur le sérieusement gènes non naturalisés Français ne admis bénéfice loi de la vont pourront réclamer le bénéfice des disdans les milieux in- pi pas au Ci résultat des récoltes de-céréales. faire une concurrence redoutable à positions fa dus-triels de l'application loi de la du décret du 22 février 1896 p, Favorisées par des pluies abonnationaux: les accidents du travail, qui n nos q si le mariage a été contracté sous que sur dantes, les labours et les semailles l8 loi civile française ; Tous ces calculs ne sont pasd-'une la mise doit vigueur le premier être en furent faits dans d'excellentes con- -., 4 La bonification à fournir sur le noblesse grande d'un profond ni prochain. juin g ditions et jusqu'à fin Février tout J b budgîtde l'Etat aux termes du chapidésintéressement, d direz-vous semble Il avoir accord :' sans -,tre y un prèsannonçait et pouvait faire prévoir tt 2 du décret du 22 février 1896 ne ddoute, mais depuis quand l'intérêt unanime considérer celte pour que attribuée qu'aux cantonniers s sera récolte abondante. Courant une n'est-il la règle de conduite de français application impossible et n pas fi comme ou naturalisés Français et Mars, l'absence de pluie donnaitla majorité des hommes ? J: seulement dangereuse a indigènes algériens sujets fran- aux non po'ir déjà quelques inquiétudes, mais la Ilfaut voir les chosestelles qu'elles çais ; Ç qui doivent la subir mais enceux grande quantité d'humidité emma, 5- Ne seront pas astreints au versed'une leurrer sont, dans l'intérêt et dess ne senpas se core pour ceux gasinée dans le sol faisait que les ment les cantonniers actuellement en timentalité chimérique. t elle quels fut édictée. fonctions qui' ont dépassé l'âge de f( récoltes ne souffraient pas trop. Je crois bien que bon nombre de cinquante La de venir aide pensée en aux c ans. On était encore en droit d'espérer de.chefs d'industrie sont ouvriers travailleurs patrons victimes et etaux f de la pluie et chacun se disait : une La Dépêche Algérienne croit savoir animés de bienveilsentiments de d'un accident, leur donner, à de a bonne ondée dans les premiers j ! que les Compagnies marseillaises lance 1 d'humanité les travailfamilio, garanties leur des et à pour ; chargées des servicos maritimes posjours d'Avril et la récolte sera sau- eux et c 1leurs qu'ils emploient le tout est ttaux de la Méditerranée percevront, à de sécurité d'avenir, assuréet est ; vée, mais cette pluie tant désirée ne leur demander des sacri- partir des plus louables, mais il au-• de du 1er mai prochain, un primage ment c ne pas r vient toujours pas ; il commence à 1 au-dessus de leurs forces et de de fallu instituer une législationt fiées rait c 10 0/o sur les frets, par suite de être tard, lé ciel persiste à demeurer pratique qui n'allât pas précisémentt ine pas leur indiquer trop clairement ll'augmentation des prix du charbon. clair et limpide au désespoir des Toutefois les céréales, vins en fûts, 1 d'y échapper. à l'encontre du but qu'elle se propo-- le moyen ,légumes, raisins frais et bestiaux à cultivateurs. C'est le cas de la loi sur les acci- jl'importation France, et les demise. en Avec les chaleurs relativement du travail. D'une part, elle' muids Or, d'après la loi actuelle, les3 dents vides, chaux, plâtres, ciments, « i fortes que nous avons en ce modes obligations trop lourdes; 1tuiles, briques, carreaux et tomettes charges imposées aux industriels5 impose ' ment, les épis formés ne se dévede telle nature, qu'elles peuventt '>aux petits industriels ; de l'autre,\ j à! l'exportation seront exempts de ce . sont loppent que difficilement, et la ' primage. elle constitue d'ostracisme la ruine la sorte de plupart. t une ' | ' Cette mesure, qui était à craindre récolte abondande entreyue, n'ap- provoquer d'entre eux, des moins fortunés,:, et de mise à l'index vis-à-vis de5 ,• par suite de l'augmentation contiparaît déjà que bien moyenne si c'est-à-dire des plus nombreux, braves gens qui ont d'autant plus5 nuelle du prix du charbon, n'atteinet t l'eau fait défaut. les autres à chercher dess besoin de travailler qu'ils ont une; dra pas par suite sensiblement notre pousser < Cette situation n'est pas particulocal, toutes les marchandétournés d'échapper à plus nombreuse famille à soutenir. commerce ' moyens lière à notre région, elle s'étend à[\ leurs responsabilités. dises, comme les céréales et les vihsV Il faudra donc'remanier cela, tout ; ' ; donnant lieu à des transactions imtoute J'Algérie, à eh jogftr par les' L'obligation par exemple de dépo-i- adapter les légitimes sollicitudes5. portantes étant exemptes d'augmennouvelles venues des différents' capital cnrrespondant à laa qu'inspirent les ouvriers aux possi- tation de fret. ser un points de la Colonie. On comprend rente à servir à ouvrier blesséé bilités industrielles et ne pas tarirr un l'inquiétude du cultivateur qui neJ Les exportations algériennes. à sa famille en cas de mort, en-- la source du travail national, ou Du 14 au 21 avril courant, il est artient sa récolte que lorsqu'elle est traînera nécessairement la faillite problème insoluble Le n'est pas ^ e rivé à Marseille : d'Oran, 10.507 mouenfin en magasin ; jusque-là son' d'une maison médiocrement mais il demande des études pluss tons, 71 boeufs et 183 porcs ;d'Alger, 5. pouranxiété est grande ; mais il y a loin1 sérieuses et plus approfondies quee 744 moutons. 29 porcs et- 37 chevaux ; vue. de là encore, à envisager déjà, celles qui ont présidé à la confectioni d'Arzevv, 2.267 moutons : de Bône, Supposez un petit entrepreneur ' ir comme certains le font, la perspec- ou un modeste industriel contraint it d'une loi inapplibable dont la revi-_ 215 moutons et 25 chevaux ; de Philippevilie, 320 moutons. tive d'un désastre. La crainte d'un de sion s'impose. d'immobiliser vingt nt et verser Les moutons d'Oran et d'Alger gras nouveau 1881 ne saurait exister. mille francs pour une rente de six se sont vendus dans les cours de 26 à On a annoncé la présence dess cents francs à un maçon ou à un 29 sous, suivant leur état de graisse

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mande. des beaux Arts, reprit Arsène, moi-môme je cultive les lettres et je les regarde comme - Olibrius obéit, et Kra-Diavolo tressaillit à l'aspect de l'arrivant, lequel n'était autre soeurs de la peinture.. . qu'Arsène Bâchu en personne. — Ah !... monsieur est écrivain. On se souvient que le jeune vaudevilliste — Mon Dieu oui... j'ai publié quelques avait été désigné devant ' le peintre par les livres goûtés du public... entre autres, étudiants ses voisins d'avant-scène, et que les Trois Pen us, roman en quatre la veille encore il l'avait aperçu ramenant volumes, dont mon éditeur met sous presse Pivoine chez elle. - en ce moment la deuxième édition... Au— Que Diable peut-il me vouloir ? pen- jourd'hui je fais des vaudevilles, et j'ai sa Fra-Diavolo, saurait-il déjï quelque obtenu avant-hier encore un joli suceès chose mais non, c'est impossible, puisqu'il au théâtre voisin... v . n'y a rien encore... '.-.—- Est-ce que vous seriez,.par hasard l'auteur de Màdelinette ? demanda FraArsène fil deux pas et dit en saluant : Diavolo, qui savait parfaitement à quoi s?en — Monsieur Fra-Diavolo, je vous prie ? tenir. ' _ "'• : — C'est moi, monsieur. ' -, monsieur,répondit.Âî-sène. '•*.'' •—Artiste? — Oui, -—Pour vous servir ? — Ah ! sac à papier, laissez-moi vous complimenter ! s'écria le peintre en jouant —- Et peintre d'un grand mérite. — Heu ! heu !... dit Fra-Diavolo. qui se l'enthousiasme, et en s'emparant de la rengorgea, quelques personnes ont l'indul- main de Bâchu qu'il broya vigoureusement entre les siennes.. J'ai vu votre pièce, et, gence de le supposer.. — Et elles ont raison, poursuivit Bâchu non d'un petit bonhomme ! je ne connais en s'approchant du chevalet et en regar- rien de celte force-là•.!*,. Vous devriez dant l'ébauche du satyre et de là nymphe bien donner un billet à Olibrius à qui j'en endormie, ébauche dont nous -avons déjà ai parlé depuis deux jours... Hein ? Oliparlé, voilà un petit tableau qui est gail- brius ? lard et dont je m'arrangerais volontiers. — Oh ça ! oui, que* vous m'en .parlez ! donc la peine de vous répliqua vivement le rapin, qui comprit — Donnez-vous asseoir !... Olibrius, avancez une chaise à "que son maître avait, un intérêt quelconmonsieur. que à se mettre au mieux avec leWoisïn, —-Je suis un admirateur enthousiaste vous ne pensez plus qu'à cette pièce^là .

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même que ça en devient une scie. — Je vous en fais mon compliment. — Mais j'y songe, vous la connaissez. — Va la voir, et tu m'en diras des nouvelles. — Moi ? Arsène, rayonnant, tira de son porte— Vous-même. feuille un des coupons dont il était muni et — C'est singulier ! ,1'oflrit à Olibrius qui ne se fit point prier — Du tout,- c'est tout naturel, puisque vous" avez vu Madeliheite. pour l'accepter. — Comment, interrompit Fra-Diavolo — Voilà qui est bien, reprit alors l'amant de Pivoine, je suis' très-heureux; avec une feinte surprise^ èst-cé que ce serait mon Cher artiste, de vous avoir fait pas- mademoiselle Pivoine. ser quelques moments agréables, mais ; — Elle-même. causons un peu, je vous prie,, du sujet qui — Ah ! mon cher auteur, vous êtes m'amène... un homme heureux ! Par Rubens, c'est —Parbleu ! causons-en, cl causons.-en ; une merveille que cette fille-là ! ; doit ambitionner, de beaucoup, je suis certain d'avance que nous .'-— Un artiste reproduire des- traits pareils, "n'ésUce .-' nous entendrons. • douteux. Je viens pour.un ' pas? ' '.' .;Ce n'est J)as ;. .---• .-=—- Non d'une pipe je le crois bien ! ; portrait. ; -—'Béjo.uissez-vbus alors, car c'est Pivoine' ;: — Ah-I ah I"-';'.;, . , peindrez.. { 'portrait;.._.-. joli Un : que vous .— -,' Tandis qu'Arsène .prononçait ces der— Le vôtre ! -. - ; nières paroles, Fra-Diavôlo; qui jusqu'à' ce Ceci est méchant ! —^ n'avait pu croire com.p'ètemëntau — Pas du tout, vous avey. une-tète ex- moment pressive... un type chique, j'aimerais fortuné; hasard qui l'amenait à son but,..' -d'une façon si prodigieuse et si invraià croquer votre boule. — Ça viendra sans doute.plus tard, mais semblable, se sentit devenir cramoisi coni. mè s'il eut été frappe d'un subit coup de commençons par lé plus pressé. soleih —r; C'est juste. .. Bâchu, sans s'apercevoir de rèmotion "du maîtresse..-. J'ai une — ,, peintre, continua ainsi : : > Vous enêtes'fichtre bien capable. • •— . maîtreSse-d'mîe .-'-• (A suivre.) remarquable fort Une r -—

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ILie et de qualité ; les moutons rasés d'Alger en moyennemarchandise ont valu de 126 à 130 fr. les 100 kilos ; les belles brebis étaient reres et bien demandées, elles se vendaient presque aussi cher que les moutons. Les moutons de Constantine rasés gras se vendaient dans les prix de 125 à 127 fr. les 100kilos ; les moutons de Biskra'en laine gras, se faisaient 27 sons. Lès moutons deBôrie larges queues. se vendaient très mal dans les prix de 2L sous. Les moutons en laine ne sont plus guère demandés et les moutons en général en graisse inférieure sont très dépréciés. Les bons boeufs africains gras se vendraient dans les 21 à 22 sous ; les agemis gras de 140 kilog. de viande et au-dessus, se vendaient 23 sous. Les porcs, gras d'Algérie valent dans les 17 sous, poids vivant. Les chevaux commencent à être mieux demandés.

Pi^ogrès

clé Bël-A.b£)es

Capitaine Lamarque, commandant C le secteur d'Ambohibé ; Lieutenants Til Tillard et Arqué, A" compagnie, à se Foi Fort-Dauphin.Capitaine Détrie, commandant le es* C de Foi t Dauphin, Lieutenants raT cercle cer I Me et Jullien,-5e compagnie, à TanaMet en1 narive. nai (Capitaine Murel ; Lieutenants Leton- un do Bidal et Pettetat, 6° compagnie, qu dot, un peloton à Majunga, un peloton à su Nossi-Bé. No Capitaine Dubois de Saint-Vincent ; ,s < Lii Lieutenants Joussot et Petit. A la suite : Capitaine Dubois de la !', Villebare], à Nossi-Bé ; Lieutenant t (13 vt Colombot, officier de renseignements e ce x du cercle de Fort-Dauphin ; Lieute- to." du nant n£ Badot. officier de renseignements se dv. cercla de Miarinârivo. du

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CHROi^OTKLÔCÂLË p^ *

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lie temps

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Au plus beau depuis plusieurs jours,

la chaleur commence à se faire sentir ; 1-< Le centenaire du Consulat. cependant les nuits sont encore assez '*? c< En Corse, où l'on nourrit encore ' f,fraîches. avec ferveur, le culte de Napoléon, il ~fc est question de commémorer d'excep- j nos coneerltg tionnelle façon le centenaire du Con- J Il faut s'attendre à voir cette année, sulat. la date d'appel des recrues ; avancer a Une souscription a été ouverte, afin éelle"sera probablement-fixée au comde déposer dans la maison Bonaparte mencement de la première quinzaine \ n d une couronne d'or ; on a déjà recueil- d'octobre. te li plus de dix mille francs. A —— ^ Hygiène La" première pièce de. 20 fr.-(frappée Avec le commencement des cha- ri en l'an XI) pot te à l'avers : «Bonaparte j(leurs, il serait bon que le conseil "i premier consul », et au revers : ^d'hygiène fasse de fréquentes visites K « République française ». La .pièce dans ^ les maisons de la ville, et partiportant le millésime de l'an XIV culièrement dans les fondouks situés c (Napoléon empereur. Républiquefran-' ^dans les faubourgs, où la salubrité I ." çaise), est très rare. ^ pourrait laisser à désirer. r La pièce de Louis XVIII, 1815, avec; En outre, de même que nos confrè- n . la marque monétaire R (dite frappée1 rres, nous demandons avec instance g à Grand) est rare. La première laurées qu'on tout au moins les princi- S f arrose de Louis Philippe est de 1832 et non de* pales artères de la ville et les abords r , 1840. La pièce de 20 fr. la plus rare"' du jardin public qui devient depuis l ( FDC (fleur de coin) est celle de Louis-" quelques temps le lieu de promenade "j Philippe, 1845; il n'en a été frappée5 (de prédilection de toute la popula, que 6.000. tion. \ . . La pièce moderne la plus chère est* .Nous nous en remettons sur celte \ celle de 5 fr. en argent de 1889.11 env jimportante question d'hygiène, à la avait été frappé 100, mais 13 seule- sollicitude de notre municipalité. ment ont été mises en circulation, les3 , autres ont été remises â la fonte. Elle3 Iléinission vaut 150 fr. et davantage. M. Havard, conseiller général de Tlemcen et président de l'assemblée Nouvelles Militaires départementale, vient d'adresser sa démission à M. le préfet d'Oran. M. le général Mercier vient de ren- • CoùrseB d'Oran trer à Paris, après avoir passé una A l'occasion des COURSES-D'ORAN mois en Algérie, auprès de son fils,.^ M. le lieutenant Mercier, de la Légion qui auront lieu le Dimanche, 30 Avril, Etrangère, gravement malade d'unee et le Lundi 1er Mai 1899, les Compafièvre typhoïde. L'ancien ministre dee gnies de Paris-Lyon-Méditerranée et la guerre a ramené avec lui son fils,. de rOuest-Algérien, accordent une actuellement en convalescence, etj| réduction de 50 0/o sur les prix ordi- dont le rétablissement n'est qu'uneQ naires des places. A cet effet, des billets spéciaux diaffaire de quelques semaines. aller rects, et retour, seront délivrés médailles Dès d'honneur de e — bronze du Ministre de la Guerre sont jt sur Oran-Karguentah, dans les conattribuées à MM. Laporte et Cantej. ditions suivantes : 1° Par toutes les gares de SI-Lucien laube, infirmiers à l'hôpital de Sidii_ à Tlemcen du train N° 2 du Samedi, Bel-Abbès. : . I 29:Avril, même train bataillon du Lundi, 1°, au Le de Légion la Etran,_ — . gère stationné à Madagascar venant rit M<Mi . toutes les ;2? Par d'être porté de quatre à six compagares dé la section a-, gnies, nous croyons être agréables à delchanzy à Rasel-Mâ-Crampel : au |a train 14 du Samedi .29, et du Dimannos lecteurs, en donnant ci-après la che^ 30 Avril : composition en officiers et là, répartiti_ 3° Par toutes lés gares de -la ligne tion -dans la grande île .des compaa. de la Sénia à Aïn-témouchént : du gnies de ce.bataillon. train 301 du Samedi, 29 Avril, au mêEtat-major: G-".; Chef de bataillon cOmmahd. Cussâc, me train du Lundi, 1er Mai. • Les;poupons de retour seront vâcommandant le cercle dé Miarinârivo, o jusqu'au Càpitaihe-niajor,Capitaine Pironneàu, labiés dernier train régulier u à. Majunga ; Lieutenant chargé dès. es de voyageurs du Mardi 2 Mai. v détails : Lieutenant Laffonj à Majungâ; ~~~~ a; • •Ii'allBire desVaux Monnayeurs Docteur Roux, médecin aide-major or de 1?» classe à Nossi-Bé, 1" compa-' ia-' Un, délégué spécial de la Monnaie .. ghie, àManandréa (cercle de T.ullear).; r). est arrivé à Oran, pour poursuivre ~ Capitaine Delaveau, commandant le l'enquête administrative ouverte par secteur de Vohinghezo; Lieutenants îts le Gouverneinent.français,,concurremRottéé, Pichon et Dubrocà, 2° compaa- _ment avec lés puissances intéressées, gnie, àMorondava, ; la Belgique, la Suisse et l'Espagne, sur Capitaine Doury, commandant le la criminelle industrie de la frappe secteur de ;Moroiidàya ; Lieutenants ils clandestine ayant des ramifications à Dufoùlbn, et Taste, 3B compagnie à Oram./ • Ambohibé'(cercle de Tulléar). qui'a plusieurs fois dé; Ce délégué,

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