rencontre(s Adelap (alexandra de Lapierre
la
dame blanche J’ai retrouvé cet album de photos ayant appartenu à mon arrière grand-mère, Marthe. Elle était sorcière… Pendant des mois, elle a poursuivie la Dame Blanche en Beauce, recherchant ses traces, et les lieux où elle aimait apparaître… Je me suis approprié cet album, extrait… février 2008
J’ai rencontré la Dame Blanche. Ce jour-là, j’ai l’ai poursuivie…
Chateau de Chateaudun
Dans la cour du Chateau
Église de Chateaudun
Église de Chateaudun
à Logron, route de Chateauun
à Logron, route de Chateauun
les lits
Elle est partie‌
l’
amour 1 semaine pour l’amour - mars 2008
La rencontre qui ne s’est jamais faite…
une histoire d’humain(s),
de soi à soi ou de soi à l’autre, d’échanger des regards, des histoires en images,
histoire de « manipulation », (un livre/une photo/un objet souvenir/usuel/courant), une rencontre improbable, fictive , qui se jouerait entre deux personnes,
un « même » objet ?, on arrive à se l’approprier,
un truc tout simple, le café dedans la tasse,
aux regards singuliers, deux mondes, la sphère intime, Décalées!!!!, ne pas se comprendre,
incompréhensible, excessif, ce désir là, être le protagonist…
tout n’est qu’amour…
l’aventure s’arrête ici
mais elle continue encore là
une vie / une fleur
Est-ce la fleur qui poussera sur notre tombe?
des lits Le lit est un meuble où l’on se repose quand on est seul et où l’on se fatigue quand on est deux. [André Prévot] Je suis née en 1975… j’allais sur mes 20 ans… et toutes mes espérances…
Le grand lit du bas - Logron juillet 1994
Le Lit d’hôtel - Paris juillet 1994
Le lit des parents I - Nanterre juillet 1994
Le lit des parents I - Nanterre octobre 1994
Au coin tranquille - Nanterre Novembre 1994
Le lit d’Hôtel - Chartres Novembre 1994w
Le lit d’hôtel - Granville novembre 1994
Lit avec petit-déjeuner et chat - Brou novembre 1994
Le lit d’hôtel - Le Tréport octobre 1994
Le lit du jardin - logron juillet 1994
Le grand lit du haut - Logron juillet 1994
le lit et sa devise - logron juillet 1994
Le lit de Josiane et de Pierrot - Ales Avril 1994
- Ils sont bien assortis, dit Jean-Charles. Pour leur âge, c’est un beau couple. Un couple. Laurence examine Jean-Charles. Elle aime rouler à côtés de lui. Il regarde attentivement la route, et elle voit son profil, ce profil qui l’émouvait tant il y a 10 ans, qui la touche encore. De face, Jean-Charles n’est plus tout à fait le même - elle ne le voit plus de la même manière. Il a un visage intelligent et énergique mais, comment dire? arrêté - comme tous les visages. De profil, dans la pénombre, la bouche semble plus indécise, les yeux plus rêveurs. C’est ainsi qu’il lui est apparu onze ans plus tôt, qu’il lui apparaît en son absence et parfois, fugitivement, quand elle roule en auto à côtés de lui. Ils se taisent. Le silence ressemble à une complicité ; il exprime un accord trop profond pour les mots. Illusion peut-être. Mais tandis que la route s’engouffre sous les roues, que les enfants somnolent, que Jean-Charles se tait, Laurence veut y croire. Simone de Beauvoir - Les belles images
UPLECOUP
Le Ping le Pong
un mail, un SMS, une envie… ne pas pouvoir se voir, s’écrire sans s’apercevoir… Un Ping dans un Pong
«Manger la chair de son enfant et se flatter que c’est bon» proverbe vietnanmien
Des dÊsirs de dÊserts. L’avenir attendra demain.
Rien de grave des trucs de trentenaires tu me manques
Nonchalance morale et misère d’âme
La tête molle, creuse, je suis un peu gris et nuageux. J’essaie juste de passer entre les gouttes…
DĂŠsirs refoulĂŠs qui crient, mordent, griffent. Le plaisir de subir
La seule chose dont je suis certain c’est que je suis sûr de rien.
ça fait mal mais ça fait du bien…
Pas le temps de se laisser faire.
l’addition de mes addictions
Les liens sont nombreux et importants.
RĂŠveiller tout ce qui dort, tout changer, mĂŞme la mort.
pourquoi vouloir trouver ce que l’on cherche ?
De longs moments deviennent un court instant
La vitesse manifeste la lassitude que l’on a de soi-même.
C’est l’histoire d’un banc, là, juste là, en bas par la fenêtre. Les saisons se succèdent, les gens passent, changent, reviennent, et le banc est là, juste là, en bas par la fenêtre. Toujours égal à lui-même, il écoute, il guette… il ne juge pas, il connaît toutes les histoires de ces passants, ces habitués, leurs déboires, leurs états d’âme, il les reçoit, ce banc en bois, ce banc en bas, là, juste là. Il devient une obsession, à tout heure, il règle ces journées interminables, et les mois et les saisons. Et lui, ce banc de bois est, et restera, toujours là, juste là, en bas par la fenêtre. 1997
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