16 minute read
Place aux jeunes
Place aux jeunes
Le crescendo de la paix
En 2020, la pandémie de COVID-19 nous a imposé une nouvelle normalité. La distanciation sociale, la suspension de nombreuses activités normales, le confinement, et l’ajout de masques à notre garde-robe sont devenus notre nouvelle réalité. Toutes ces contraintes résultant de la pandémie ont, inévitablement, fait grimper les niveaux de stress et d’anxiété. En communiquant avec des amis du monde entier, je me suis rendu compte que cette pandémie nous a tous affectés de
Pendant deux différentes manières. Certains ont perdu un semaines, Andrew être cher, d’autres ont contracté le virus ; certains sont au chômage, d’autres sont et moi avons reçu surchargés de travail, et la plupart de nos presque tous les rêves sont restés en suspens. Les restrictions de voyage imposées matins la nouvelle pour limiter la propagation du virus ont du décès d’un été décourageantes pour les voyageurs enthousiastes tels que mon mari, Andrew, proche ou d’un et moi. C’est que nous aimons beaucoup membre d’église. explorer le monde ! Comme notre histoire d’amour s’est épanouie au cours de nombreux voyages, camps et aventures, nous avons pensé qu’il serait approprié de célébrer notre deuxième anniversaire de mariage en faisant un voyage. Nous étions impatients d’explorer l’État indien du Karnataka et avons fait nos plans en conséquence. Mais comme cet État a ensuite imposé des restrictions de voyage, il nous a fallu nous résigner à célébrer notre anniversaire de mariage à l’intérieur des limites de notre ville. Nous avons tout de même essayé de le rendre mémorable en faisant quelque chose d’amusant. Ce confinement prolongé a chambardé la vie de tout le monde. Les plans ruinés et les rêves non réalisés sont devenus la nouvelle normalité. Le campus universitaire où je travaille, lequel bourdonne toujours de gens et d’activités, est devenu subitement silencieux. Il peut être difficile de faire face à de tels changements. J’ai essayé de garder le moral, de rester active chez moi, de rendre la vie intéressante en préparant de nouveaux plats et en apprenant à peindre. Mais cette année, la pandémie m’a touchée de près.
En avril et mai derniers, au plus fort de la deuxième vague de COVID-19 en Inde, notre pays a été confronté à une grave pénurie d’oxygène médical et de lits d’hôpitaux. L’augmentation exponentielle des infections a submergé le système de soins de santé. Des patients sont morts dans les ambulances et dans des stationnements à l’extérieur des hôpitaux. Les crématoriums ont été débordés. Pendant deux semaines, Andrew et moi avons reçu presque tous les matins la nouvelle du décès d’un proche ou d’un membre d’église. Nous avons assisté à de nombreuses funérailles, en ligne et en personne. La mort, la perte et la douleur n’ont jamais été aussi réelles. Tout ce à quoi j’essayais de me raccrocher semblait s’estomper ! Et j’ai senti que j’avais besoin de mon Dieu plus que jamais auparavant.
Dans ma lutte pour trouver la paix au milieu de ce chaos, je suis tombée sur ce beau verset : « À celui qui est ferme dans ses sentiments tu assures la paix, la paix, parce qu’il se confie en toi. » (Es 26.3) Satan est à l’affût pour nous priver de la paix et de la joie. Mais en Christ, il nous est promis « la paix, la paix » – une double shalom. Une paix complète, constante, durable. Si nous fixons notre esprit sur Jésus, si nous lui faisons entièrement confiance, nous ferons l’expérience de cette paix promise. Si nous choisissons de voir, d’entendre et de vivre les choses avec les yeux de la foi, alors cette paix qui surpasse toute intelligence sera nôtre.
Notre monde connaît une nouvelle réalité aux nombreux bouleversements. Nous avons tous besoin de Jésus – et ce, plus que jamais auparavant. Le moment est venu de parler de lui à nos semblables, car son amour nous pousse à partager sa paix.
Beersheba Jacob est coordinatrice des ressources humaines et assistante auprès du vice-président de l’Institut d’enseignement supérieur Lowry Memorial, à Bangalore, en Inde. Elle est l’épouse d’Andrew.
Sous les projecteurs
Découvrir Dieu dans les arts
La beauté touche les cœurs que les mots ne peuvent atteindre
Un soir, alors que j’étudie au Brésil, je tombe malade. Je reste au dortoir au lieu d’assister aux vêpres du vendredi soir. Ce soir-là, seule, je marche tranquillement dans le couloir, descends l’escalier, et regarde par une immense baie vitrée. Là, dans un décor éblouissant, un magnifique coucher de soleil s’offre à mes yeux. Mon établissement scolaire étant situé dans une ferme, je peux admirer les grands nuages ondulants depuis l’étage supérieur, que les rayons dorés du soleil caressent et pénètrent, ainsi que les collines en contrebas. Cette image reste à toujours gravée dans ma mémoire, en partie parce que je sens qu’à travers la beauté de son coucher de soleil – la beauté esthétique de sa création artistique – Dieu m’appelle.
Plus tard au cours de l’année scolaire, ma prof est frustrée de me voir faire de l’art au lieu de « prêter attention » à ses cours, alors qu’en fait, c’est justement ma façon de m’y intéresser. Elle me dit en termes très clairs, devant mes camarades de classe, que je ne suis qu’une rêveuse et que je n’arriverai à rien dans la vie, si ce n’est à faire de l’art – ce qui n’a aucune valeur. Dévastée par ses propos, je me précipite, sitôt le cours terminé, vers cette même fenêtre. J’y sens la présence de Dieu – celui-ci me parle de nouveau par le biais de la nature. Mais cette expérience me donne un sentiment d’insécurité écrasant quant à mon avenir. Au fil des années, Dieu me démontre fidèlement l’importance de l’art pour lui. Je finis par obtenir des diplômes supérieurs en théologie et en art, tandis que Dieu réaffirme constamment le rôle qu’il veut que je joue en partageant son amour de l’art avec les autres. Aujourd’hui, j’enseigne l’art et l’histoire de l’art dans la plus grande faculté d’art visuel du système éducatif adventiste. Je parle à de nombreux étudiants qui se sentent également incompris par leurs parents et même par l’Église alors qu’ils suivent leur vocation artistique.
DIEU AIME LA BEAUTÉ
L’amour de Dieu pour l’art est l’un de ses plus grands attributs, comme en témoignent sa création et la vocation de Christ en tant que tektōn, ou « artisan », alors qu’il habitait icibas parmi nous. Ellen White a écrit : « C’est le Christ qui conçut le plan du premier tabernacle terrestre et donna des instructions précises en rapport avec la construction du temple de Salomon. Celui qui exerça ici-bas la profession de charpentier dans le village de Nazareth est le divin architecte qui établit le plan du sanctuaire où son nom devait être honoré1 . »
La Bible consacre près de 50 chapitres à des descriptions extravagantes de l’art et de l’architecture du sanctuaire. Betsaleel et Oholiab ont été les premiers artisans mis à part par Dieu, lequel les a remplis « de l’Esprit de Dieu, de sagesse, d’intelligence, et de savoir pour toutes sortes d’ouvrages. Il [les a rendus capables] de faire des
Sun Breaking Through Clouds Above the Roman Campagna, Johann Jakob Frey, 1844 ou après
National Gallery of Art, Joseph F. McCrindle Collection
inventions, de travailler l’or, l’argent et l’airain, de graver les pierres à enchâsser, de travailler le bois, et d’exécuter toutes sortes d’ouvrages d’art. » (Ex 35.31-33) Ensemble, ils se sont engagés dans la construction du sanctuaire avec Christ, l’Artiste original, et ont été fidèles à son appel. N’est-il donc pas étrange que l’esthétique soit si souvent mal comprise au sein de l’Église ?
Un jour, Vincent van Gogh se sentit appelé par Dieu mais fut largement rejeté par sa communauté chrétienne. Dans une lettre adressée à sa mère et à son frère Théo, Van Gogh écrit que Dieu l’avait envoyé prêcher l’Évangile aux pauvres, mais qu’il devait « d’abord l’avoir dans son propre cœur »2. Van Gogh découvrit que c’est à travers l’art que Dieu exprime le mieux son amour. Il croyait que la beauté de Dieu, vue à travers la nature, est ce qui nous amène à une expérience sublime de la vie.
Le mot grec aisthetikos implique que nous pouvons apprendre à connaître par la perception et par nos sens. La véritable esthétique peut être une force génératrice de vie que Dieu nous donne. Cette connaissance, bien qu’incomplète, sert de première attraction qui nous pousse à désirer Dieu (Rm 1.20). Quand Van Gogh se rendit compte que l’Église réformée néerlandaise officielle comprenait mal son ministère pastoral, il fit de l’art un moyen d’exprimer ses convictions religieuses les plus profondes. « Notre but, dit-il, c’est de nous réformer nous-mêmes au moyen d’un artisanat et d’un rapport avec la nature – notre but, c’est de marcher avec Dieu3 . » Doutant beaucoup de son appel artistique, il vivait dans l’obscurité et ne vendait pratiquement aucun tableau. La profonde dépression de Van Gogh pourrait finalement l’avoir conduit à la mort. Du point de vue d’un « Évangile de prospérité » superficiel, Van Gogh n’a pas eu de succès, et de son vivant, de nombreux contemporains auraient pu douter de la bénédiction de Dieu à son endroit. Pourtant, Van Gogh a été fidèle à l’appel de Dieu au plus profond de son âme. Aujourd’hui, des millions de personnes, laïques ou religieuses, se pressent dans les musées du monde entier pour découvrir l’amour de Dieu qu’il a si désespérément essayé de peindre sur sa toile. Un jour, il connaîtra peut-être l’impact de l’œuvre de sa vie.
DIEU NOUS APPELLE PAR LA BEAUTÉ
Quand je repense au magnifique coucher de soleil que j’ai vu depuis la baie vitrée au Brésil, et à ce moment où j’ai ressenti l’appel de Dieu pour ma vie, je pense aujourd’hui aux centaines d’étudiants à qui j’ai enseigné et qui ressentent également l’appel à devenir des artistes. J’en suis venue à comprendre et à apprécier l’art de manière beaucoup plus approfondie, et j’en ai conclu que l’esthétique peut être le langage le plus puissant que
L’esthétique peut être le langage le plus puissant que Dieu utilise pour appeler les gens à entrer en relation avec lui.
Dieu utilise pour appeler les gens à entrer en relation avec lui. Répondre à l’appel de Dieu de faire de l’art constitue la plus forme de culte la plus élevée. Cette forme de culte est plus attrayante pour les postmodernes car ils ont soif de voir la vérité appliquée de manière inattendue et sincère. Grâce aux médias modernes, notre approche cultuelle de l’art peut atteindre les gens d’une manière sans précédent. Pour que l’art ait du pouvoir, il doit être authentique et, à l’instar de l’expérience de Van Gogh, doit pénétrer « la surface des choses et les dépeindre telles qu’elles sont réellement »4 .
1 Ellen G. White, Les paraboles de Jésus, p. 302. 2 Johanna van Gogh-Bonger et Vincent Willem van Gogh, éds., The Complete Letters of Vincent van Gogh, 3 vols., Greenwich, Conn., New York Graphic Society, 1959, lettre 94. 3 Ibid., lettre 377. 4 Philip Graham Ryken, Art for God’s Sake: A Call to Recover the Arts, Phillipsburgh, N.J., P & R Publishing, 2006, p. 39.
Giselle Sarli Hasel est professeur d’art visuel et de design, ainsi que directrice de la John C. Williams Gallery of Art à la faculté d’art visuel et de design de l’Université adventiste Southern, à Collegedale, au Tennessee (États-Unis).
Sous les projecteurs
Science et foi vont de pair
Ce que Dieu nous enseigne à travers la science et l’ingénierie
La science et la foi sont allées de pair pendant des siècles. De nombreux pionniers des mathématiques et de la science étaient, en effet, de fervents chrétiens. Je pense, entre autres, à Kepler, Pascal, Mendel, Kelvin et Carver. Comme l’a écrit David : « Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue manifeste l’œuvre de ses mains. » (Ps 19.2) Ces scientifiques considéraient l’étude des lois de la nature comme une expression de leur foi, comme un acte d’adoration. Aujourd’hui, les discussions sur Dieu et la science sont obscurcies par l’évolution ou la cosmologie, bien que je les considère dans la catégorie des modèles empiriques du passé, plutôt que dans la méthode scientifique des expériences répétables.
TÉMOIGNAGE PERSONNEL
Le lien entre la foi et la science m’a apporté dans ma propre vie un sens et une orientation, un développement personnel, une éthique, et l’humilité. En tant que professeur d’ingénierie, j’utilise des expériences ciblées pour résoudre un problème. Mes propres travaux, à l’intersection du génie des matériaux, de la mécanique et de la chimie, portent sur la production de métaux, et sur la génération, la conversion et le stockage d’énergie en vue de réduire, d’éliminer ou de limiter les émissions de gaz à effet de serre. En fait, ma focalisation sur ce sujet se fonde en grande partie sur ma foi en tant que moyen d’utiliser mes dons pour résoudre un problème urgent.
L’intersection la plus directe entre ma foi et mon travail se produit lorsque je prie pour avoir des idées. Cela est d’autant plus évident lorsque mes propres efforts échouent : la prière m’éclaircit l’esprit, me focalise, et me rend humble. Une fois, après la présentation d’une conférence dans laquelle je n’avais obtenu des résultats que par la grâce de Dieu, un membre de l’auditoire s’est approché de moi et m’a demandé si j’étais chrétien – il a dit qu’il discernait de l’humilité dans mon attitude, l’humilité de celui qui a vu la puissance de Dieu s’accomplir dans sa faiblesse (voir 2 Co 12.9). La foi m’a également conduit à donner la priorité aux gens et à leur développement. Pour l’avancement de leur carrière, j’encourage souvent les étudiants à changer d’institution ou de groupe de recherche après avoir obtenu un diplôme ou franchi une étape importante – même s’il serait plus avantageux pour mes recherches qu’ils continuent à travailler avec moi. Encore une fois, cela n’est pas réservé à la science ; nous pouvons et devons
tous promouvoir les intérêts de ceux qui nous entourent.
Dans le domaine des sciences, le fait d’être à l’avant-garde d’une discipline, aussi petite soit-elle, nous aide à voir tout ce que nous ne savons pas et ne saurons probablement jamais. Le blason original de Harvard avait l’un de ses trois livres tourné vers le bas pour représenter « les limites de la raison et le besoin de la révélation de Dieu ». Deux cents ans après sa conception, Harvard a tourné le troisième livre vers l’avant, alors qu’en 1843, ses régents, constatant les progrès rapides de la science, croyaient que toutes les connaissances avaient été révélées ou le seraient bientôt. Parce que la quasi-totalité de l’enseignement scientifique obligatoire et la couverture médiatique de la technologie se concentrent sur les faits établis et les réalisations, il est difficile pour beaucoup de comprendre les limites et l’incertitude.
METTRE LA THÉORIE EN PRATIQUE
Mais la leçon d’humilité est plus grande encore quand on constate que les gens n’agissent pas sur la base de connaissances bien établies, comme les talents enfouis dont Jésus parle (Mt 25.14-30) ou le psaume 127. Par exemple, lors de la pandémie de COVID19, les scientifiques américains ont rapidement appris à connaître le virus et ont développé les premiers vaccins les plus efficaces. Mais les messages politiques ont entravé les efforts de prévention, et nos taux d’infection et de surmortalité ont éclipsé non seulement ceux de la Nouvelle-Zélande et de la Corée du Sud – deux pays qui ont utilisé efficacement l’expertise médicale – mais aussi ceux de la plupart des pays à faible revenu, depuis l’Érythrée jusqu’à Haïti*. Il en va de même avec mon domaine de l’atténuation du changement climatique, où les États-Unis sont humiliés devant le passage de la Norvège aux véhicules électriques – dont beaucoup sont fabriqués aux États-Unis – et encore plus par le Bhoutan et le Costa Rica, lesquels sont déjà ou seront bientôt carboneutres.
Lorsque j’étais aux études secondaires, j’ai verbalisé comme suit cette dichotomie entre la technologie et son déploiement utile. En tant qu’ingénieur, je voulais contribuer à résoudre les « petits problèmes » du monde, que j’ai listés comme suit : l’agriculture, pour nourrir une planète en pleine croissance ; la recherche médicale, pour permettre aux gens de vivre plus longtemps et en meilleure santé ; le transport et les communications, pour établir des relations transfrontalières et réduire les causes de conflits ; les interactions humaines avec l’environnement, pour un développement durable ; l’accès à l’information, car le plus grand ennemi d’un dictateur, c’est la vérité. Tous ces éléments sont importants. Mais si les scientifiques et les ingénieurs font bien leur travail, nous aiderons les artistes, les économistes, les travailleurs sociaux, les dirigeants religieux et les politiciens à s’attaquer aux « gros problèmes » que j’ai listés comme suit : la paix entre les nations, et la sécurité dans nos quartiers ; la prévention et l’atténuation des famines ; l’éducation pour développer l’autonomie et la confiance, en particulier pour les marginalisés ; les soins de santé pour ceux qui en ont le plus besoin ; la justice, y compris une distribution économique juste ; la vérité dans le journalisme et l’histoire ; un but et un sens à nos vies, et l’expression artistique de ce but et de ce sens.
LA TOLÉRANCE DES DIFFÉRENCES
Une conséquence importante de cette compréhension des « petits problèmes » et des « gros problèmes », c’est qu’être un scientifique ou un ingénieur exige de croire que notre travail sera utilisé pour le bien et non pour le mal. Même si nous ne travaillons pas sur la science ou l’armement nucléaires, les événements du 11 septembre 2001 ont montré que, même si l’on se focalise sur des technologies non militaires, un avion de ligne civil – construit pour rassembler les gens – peut être utilisé de façon abusive comme une arme de destruction massive par des individus suffisamment remplis de haine. En tant qu’ingénieur, ça m’a fait peur. Je crois que ça nous oblige à avoir davantage confiance dans les personnes, les institutions et les systèmes qui entourent la technologie.
Je préférerais vivre dans un monde dans lequel nous résolvons les gros problèmes mais pas les petits – un problème de démocratie, mais aussi des défis avec l’énergie ou la nutrition, plutôt que l’inverse, comme dans le fascisme ou une dystopie à la Mad Max avec sa perfection technologique. Ça ne veut pas dire que le travail dans les STEM (science, technologie, ingénierie et mathématiques) n’a pas d’importance. Il s’agit plutôt d’un catalyseur : les nouvelles technologies peuvent réduire considérablement l’impact d’une pandémie et le coût de la réduction des émissions climatiques. Grâce aux incitations économiques et au financement de la recherche et du développement, les prix de l’énergie éolienne et solaire ont chuté respectivement de 75 pour cent et de 90 pour cent entre 2007 et 2019.
Ainsi, nous continuons à explorer la création de Dieu, plus vaste que ce que nous ne pouvons même imaginer. Et nous travaillons dur pour utiliser les dons matériels et les connaissances que Dieu a donnés afin de créer des outils permettant d’améliorer la vie les uns des autres. Mais nos limites nous donnent une leçon d’humilité : nous restons ouverts à l’idée que ce que nous pensons savoir pourrait s’avérer faux. Cette ouverture d’esprit est l’essence même de la recherche scientifique, de la conception technique, et de la marche chrétienne, alors que toutes trois avancent main dans la main.
* Voir sur le site suivant: https://www.brookings.edu/blog/future-development/2021/05/27/covid-19-is-a-developing-country-pandemic/.
Adam Clayton Powell IV, professeur adjoint d’ingénierie mécanique à l’Institut polytechnique de Worcester, se focalise sur les nouvelles technologies zéro émission pour l’aviation, etc. Il est le trésorier de l’église Boston Temple Seventh-day Adventist Church, et habite dans le Massachusetts, aux États-Unis.