Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
UNIVERSITÉ DE CARTHAGE
SFAX : UNE VILLE DÉPOSSÉDÉ DE SON LITTORAL
RECONQUETE D'UN LIEU DE RECONSILIATION
Présenté par: DIRECTEUR DE MÉMOIRE :
BACCOUR Ahmed MR. KOUCHED Fathy
ECOLE NATIONALE D’ARCHITECTURE ET D’URBANISME session fevrier 2022
En premier temps je voudrais exprimer mes vifs remerciements à ma famille et également un grand merci à mes amis, sans leur soutien moral et leur confiance je n'aurais guère l'énergie de mener à terme ce travail, et t je tiens aussi à exprimer ma reconnaissance à M. Fathy Kouched qui m'a fait l'honneur d'être mon directeur de mémoire et qui n'a jamais cessé de m'épauler, Merci pour sa patience, sa collaboration, ses précieuses recommandations, ses conseils avisés et ses encouragements qui m'ont été d'un recours Inappréciable .
La ville de Sfax de la sérénité vers le déséquilibre
1- Aperçu historique
Une mémoire recyclée, ex casino 1- Mémoire du lieu, nostalgie
10 32 1- Introduction 4- Sfax dépend de sa mer
2- Evolution urbaine 2- Situation 3- Dysfonctionnement de la ville 3- Potentiel historique
mécanismes de restitution de la mémoire
1- La mémoire : individuelle, collective, la mémoire du lieu.
2-L’expérience architecturale comme assise sensorielle.
ÉTUDE
le casino, un nouveau lieu de vie
46 78 98
1- Pavillon: le corps sonores , Peter zumthor
2- Village et centre de la mémoire : oradeur sur la glane
3- BONNET SPRINGS PARK, reconversion d’un ancien chemin de fer en un central parc ouvert sur le lac
4- Ira Keller Fontaine Park, CONCEVOIR AVEC LE BIAS DE L’EAU
1- Compréhension du contexte, une nouvelle intervention urbaine projeté par l’état.
2- projet: une mémoire recyclé, à la reconquête du casino
L'image de la ville a toujours été dressée par ses transformations et sa vitesse de développement, mais à cause de plusieurs facteurs (économique, politique), cette image a perdu petit à petit sa fonction originelle, qui se traduit par les transformations qui marquent le caractère des lieux dans l'histoire. Ces différentes successions forment des strates de lieux et des espaces qui se définissent par leurs caractères uniques et leurs traces dans le passé. Ces derniers, qui sont généralement les composants majeurs de la ville, tombent dans l'incertitude et l'oubli puisqu'ils ont été envahis par les ruptures spatiales et sociales.
Le phénomène d'industrialisation a touché de nombreux domaines dans la ville de Sfax et a eu le pouvoir de changer le caractère initial de certaines fonctions.
Ce même processus a fait que cette ville devienne une capitale économique dynamique placée au second rang national derrière le Grand Tunis. Les usines y sont inexorablement génératrices du développement.
Evidemment, la capitale du sud avait sacrifié quelque part
son littoral à une implantation industrielle massive. La NPK et la SIAPE (deux usines de production d'engrais) ont marqué leur territoire d'encombrement à côté du port en vue de tirer profit de cette position stratégique, favorisant un export facile et rapide.
Malheureusement, au fil du temps, cette implantation s'est avérée gravement polluante. Elle a massacré et contaminé le front marin, pour rendre Sfax " l'unique ville côtière tunisienne qui tourne le dos à la mer " . Les habitants ont désagréablement dédaigné ces usines. La cote a été donc dépeuplée puisqu'elle a été rejetée par ses visiteurs et est devenue infranchissable entrainant des ruptures spatiosociales.
L'impact majeur de cette contamination est le changement du caractère initial de l'identité des relations et des comportements vis-à-vis de cet espace. Sfax est jusque-là une " ville enclos " totalement déconnectée de la mer à cause d'une mauvaise implantation industrielle qui a bloqué une certaine évolution.
La prise de conscience de l'ampleur des dégâts est traduite par les activités de délocalisation de ces usines polluantes, dans le but de minimiser la pollution et
de reconquérir la cote. D'autre part, la volonté de reconnecter la ville à la mer se présente avec le projet Taparura afin d'y aménager des zones urbanisées sur la mer avec des remblais de 420 hectares.
Le combat contre ces nuisances environnementales a persisté, ainsi les dépôts d'hydrocarbures ont été délocalisés de la zone depuis 1970 - 2009.
De nos jours à l'heure, Le caractère identitaire des paysages littoraux de Sfax avaient subis des mutations complexes.. Tenant le cas de "l'ex casino ", si on va creuser dans les traces du passé, on va découvrir que cette friche vide possède bien évidement une histoire. Ce lieu est reconnu par l'ancienne échappatoire qui crée le bonheur des Sfaxiens entre 1920 et 1950.
Cet endroit était le seul lieu de détente et de loisir durant ces années. Les colons ont favorisé l'implantation de plusieurs activités dans le site. Des clubs nautiques et des plages de baignades ont d'ailleurs été installés. Malgré la simplicité de ces fonctions, la ville vivait réellement la détente et la distraction.
Toutefois ce joyau a été massacré par l'industrialisation. Une implantation des dépôts d'hydrocarbure a créé une rupture entre la mer et la ville et a saccagé le casino.
Ce travail s'articule dans l'ex casino qui était un centre de convergence de toutes les routes de Sfax côtoyant la médina et la ville européenne et
aussi le futur projet Taparura. Il possède 3 façades maritimes sous forme d'une petite ile Sfaxienne.
Jusqu'aux années 2000, ces dépôts ont été délocalisés grâce aux activités de la reconquête de la côte maritime de Sfax, mettant fin aux profits industriels.
L'ex casino, autrefois l'âme de la ville, son noyau dynamique et le symbole de son ouverture, se retrouve par conséquent délaissé, déserté.
L'enjeu est ainsi de ramener Sfax à sa Mer, à travers des activités qui présentent un besoin essentiel pour la ville. Ce qui va revitaliser la façade maritime du site.
Comment va-t-on donc relier la ville à la mer tout en activant une nouvelle dynamique dans ce noyau ?
Le besoin de raviver les nostalgies qui prennent le chemin de l'oubli fait de l'architecture l'instrument fondamental pour restituer la mémoire du lieu. Notre intervention va ainsi servir à éveiller une expérience sensorielle de l'espace en stimulant l'imaginaire qui permettra de renouer le lien entre l'espace et l'esprit du visiteur.
Aussi en déployant une diversité de paramètres architecturaux, on stimulera la curiosité du Sfaxien qui lui permettra d'éclairer son insatiable besoin de mémoire.
De quelle manière l'architecture émotionnelle va-t-elle ainsi suscitér le Sfaxien à éveillér cette mémoire des lieux ?
Notre réflexion consiste à ré-exploité la friche du casino afin de redonner vie à la ville pour instaurer une nouvelle dynamique dans le noyau central.
Il s'agit d'injecté un ensemble d'activités qui va recoudre le lien perdu entre la ville la mer et les habitants
Dans la première phase on va décortiquer le contexte global : la ville de Sfax, son évolution urbaine et ses conséquences par rapport au caractère de la ville et sur la qualité de vie. Une compréhension de son histoire portant sur le lien avec la mer par la suite la forte symbolique de l'eau dans sa culture
Dans la deuxième phase on va focaliser sur le site sur lequel on va intervenir qui est la friche industrielle du " casino ". on va analyser ses aspects et ses caractéristiques par rapport au développement de la ville pour démontrer ses qualités et ses potentialités cachées. Et son potentiel historique qui bascule entre l'oubli et la nostalgie.
La troisième phase portera sur le concept de la mémoire par révélation de l'expérience architecturale qui fait appel au sensoriel en provoquant l'usage des 5 sens pour éveiller les nostalgies ....
Suite à la démarche suivie dans les deux chapitres précédents, on a choisi d'analyser deux références concernant la puissance de la mise en scène spatiale comme évocatrice de l'émotion, en déployant l'architecture pour commémorer un passé.
Puis on va analyser une friche d'une gare transformé en parc pour une nouvelle dynamique dans la ville et une interface entre la terre et la mer.
Après exposition de la situation actuelle de notre site, on présentera une intervention de l'Etat projeté en 2030. On présentera celle-ci pour une nouvelle contextualisation et une décortication des différents besoins des habitants de la ville.
Notre boite à outils conceptuel est prête pour dégager les intentions et les étapes de la genèse de nos réflexions spatiales qui servent à connecter, commémorer et renouer.
Le Retour aux sources, illustration personnelle 1
La capitale du sud a payé trop cher les impacts de son développement, elle a sacrifiée son littoral. Par conséquence, sfax est devenu la ville unique qui tourne le dos à la mer et qui a influencer par la suite la qualité de vie. Actuellement, sfax représente "la ville ennuyante" et la figure du mal-être. Dans ce premier chapitre, on va passer d'une ville qui se caractérise par une sérénité entre terre et mer à une ville déséquilibrée à cause de l'industrialisation mal planifiée et accélérée sur la côte.Elle assiste ,impuissante, à l'explosion démographique et à l'exode rural. On va démonter ainsi les conséquences de ces implantations sur la ville, sur la mer, et sur l'homme.
les Remparts de sfax cote sud-est source : edusfax.com 3
les strates de la medina , source : http://sfax1881-1956.com 4
Thyna était la principale agglomération de la région. Ses vestiges aujourd'hui sont situées a 11 km du sud de Sfax . Les villes romaines et les villes du moyen-âge occidental ont un tracé réguliée, des plans en damier qui ressemblent a l'organisation des premières villes de Ifriquiya.
Le tissu urbain de Sfax et d'une part assez peuplé comparé a celui d'autres villes arabo-musulmanes. D'autre part , il est organisé en fonction d'un paramétre socio-économique, affectif et religieux. Ce style " labyrinthique " plus ou moins "anarchique " relie le culte, les principes généraux de l'islam, l'organisation sociale et économique.
Avant la période colonial la vie urbaine se déroulait à l'intérieur de ces remparts, une petite agglomération de 24ha. Mais pendant la période husseinite la ville avait subit une extension à l'extérieur de l'enceinte dans les terres agricoles après une fondation des maisons à caractère estival. En 1775, du cotés sud, donnant sur la mer, le faubourg nommé "Rbat" occupe une population autochtone.
1945 aprés la guerre mondial
En 1881, la ville était occupée par une population européenne de juifs et de chrétiens. Une extension était nécessaire à proximité du rempart, appelée la ville Franc. Le plan de l'urbanisme de la ville suivait le modèle du plan en Damier, il abritait plusieurs édifices emblématique comme l'hôtel et le théâtre Municipale.
fig 8 : l’implantation de la ville européenne , modification personnelle- source : edusfax.com
fig 9 : Changement de la structrure de la ville apres guerre , modification personnelle- source : edusfax.com
EN 1945, pendant la période de reconstruction après-guerre, la ville avait dressé des plans d'aménagements urbains visant à créer de nouvelles extensions à plusieurs équipements; logements, administrations... afin de prendre la ville européennes comme étant un centre urbain. Les travaux d'aménagement ont fait appel aux architectes urbaniste "Zehrfuss " et "Diamoux".
Sfax coloniale: Dès le début de l'implantation industrielle, les Sfaxiens ont établi une stratégie pour développer le commerce maritime dans le but d'exporter l'huile d'olive. La découverte du phosphate rendait primordial cette transition le fait d'agrandir le port. Suite à la construction du bassin maritime, la ville européenne s'orientait
Le développement spatial de la ville a subit plusieurs extensions. Tout d'abord les habitants quittaient le centre résidentielle pour occuper les verges "les jnens " (nouveau banlieue).
La médina devenait alors le centre de production artisanale. La ville européenne occupait les fonctions administratives et commerciales. En 1978, un nouveau centre urbain nommé " Sfax e -Jadida" abritait aussi les fonctions bureautiques et commerciales.
fig 12 : premier pas vers le dysfonctionnement urbain source : edusfax.com et http://sfaxentre 1888-1956.com
le SIAPE
Durant la période post - coloniale une politique de l'état a mis en place une implantation de grosses usines polluantes, dans le littoral de la ville (NPK, Siape) et 3 zones industrielles tout au long de la cote, (La première zone poudriére la zone madgascar, et la zone thyna). Ces décisions politiques avaient influencé le fonctionnement de la ville.
le port de péche le port commercialeNPK zone industrielle poudrière
fig 13 : synthese de l’evolution urbaine de la ville et la relation de la ville avec la mer
La ville de Sfax se trouve aujourd'hui en déséquilibre urbain total qui a crée une rupture spatiale entre la ville et ses habitants. Les dysfonctionnements du grand Sfax résultant de l'étalement incontrôlé de la ville par l'extension centrale et périphérique, concerne le transport urbain et l'environnement sanitaire. L'agglomération Sfaxienne est dotée par des voies radiales converges vers le centre. Sa largeur est de 22m dont la plupart sont arrivées à la saturation à cause :
de la circulation des poids lourd dans le centre générée par le port de commerce et la zone industrielle. Ainsi l'installation des unités de transformation du phosphate comme la SIAPE et NPK crée une rupture spatiale exercée par cet étalement industrielle.
La configuration radiale des réseaux primaires se traduit par une polarisation excessive des flux de déplacements au centre-ville. Les centralités secondaires éparpillées dans les périphériques sont de faibles attractivités, ce qui gène la circulation.
La centralité unipolaire de la ville, comme la médina et la ville européenne, et par la suite l'extension de" sfax el jadida " , cette centralité a favorisé le dysfonctionnement urbain à caractère expansif ; avec une carence d'espaces de stationnements et d'espaces verts et de détente à cause de la rareté des terrains étatiques.
Conclusion : l’étalement urbain la concentration des activités tertiaires dans la zone centrale , ou industrielles sur le littoral ont tous généré un handicape au niveau des mouvements.fig 13 : synthèse de dysfonctionnement urbain de la ville illustration personelle
Il est vrai que l'industrie a fait de Sfax une capitale locale, un pôle économique dynamique qui place la ville au second rang national derrière le grand Tunis. Cependant à cause de ces implantations industrielles, Sfax souffre de la pollution, notamment par les rejets des usines de traitement de phosphates qui ont des conséquences néfastes sur l'environnement et sans doute sur la santé humaine
« Ici le taux des mortalités est supérieur à 10% à la moyenne nationale et les taux de cancer sont également plus élevés qu’ailleurs en Tunisie selon des sources officielles. »
L'industrie chimique SIAPE est accusée de polluer à la fois l'air, l'eau douce de la nappe phréatique et la Mer tout en laissant des traces toxiques qui touchent la richesse agricole et maritimes de la
« La SIAPE tue sur tous les plans. Elle freine le développent économique là où on ne peut plus investir dans une zone aussi polluée »
fig 17 : synthèsede dysfonctionnement ubrbaine et les résultats de l’implantation industrielle
250 av. jc
Depuis toujours la mer est synonyme de lieu d’échanges, de rencontre, de baignade et d’activités commerciales. Sa forte symbolique existe dans la mémoire collective des Sfaxiens. Mais sa beauté se trouve aujourd’hui dissimulée derrière une profusion de lignes de chemins de fer et d’infrastructures portuaires, là où la côte maritime se transforme en parkings pour les poids lourds ou en dépôts industriels.
la Mer etait un trésor riche par : les poissons les éponges
fig 18 : la relation des aglabides avec la mer, illustration personnelle
La relation entre la ville et la mer est apparue depuis l'ancienne ville berbère qui a opté pour l'implantation des remparts en bordure de mer peu profonde et peu agitée mais très poissonneuse.
les différentes mutations des civilisations romains et aghlabides ont été renforcées par le commerce maritime suite aux activités " import -export " des richesses agricoles...
La pèche était une activité primordiale à cette époque, la ville était un pôle commercial pour toute la méditerranée et pour les
La mer de Sfax est l'une des plus poissonneuses. les Sfaxiens sont des grands amateurs de poissons grâce à la température équilibrée de ses eaux, et aux mouvements des marrés qui rythmaient la mer et offraient une grande production de poissons, d'éponges et de textile royal (sein- satin).
Les colons avaient renforcé cette relation entre les Sfaxiens et leur mer et avaient construit une ville élancée en hauteur sur des remblais. tout en assurant: l'ouverture sur la mer pour ses activités commerciale
liaison avec des lignes de chemain de fer pour faciliter l'import export
La mer représentait une importance majeure dans la ville de Sfax comme en témoigne encore le port. Les axes ma jeurs de la ville gardent l'ouverture sur la mer : une perspective qui combine " mer , médina et ville européenne ".
En 1881, un simple appontement est édifié dans le côté sud, ce quai fait 202m de long.
En 1891, un premier bassin est édifié à côté de la ville européenne nommé '' chot krekna " constituant l'ancien port de pêche qui permet l'ouverture sur le chenal de l'ile de Kerkennah et toute la méditerranée .
Ce qui a engendré la propagation des activités commerciales maritimes affectant le développement de la ville.
La présence d'un port implanté dans le centre-ville est un témoignage de la culture maritime des Sfaxiens.
Ce bassin était le lien entre l'habitant et la mer par l'intermédiaire du marché public à coté de ce chenal , marqué par un grouillement d'embarcation.
Cet ancien port était le véritable repère emblématique de ce tissu.
Ce chenal n'était pas uniquement à caractère commercial mais aussi l'occasion d'assister à un spectacle de produits frais.
En 1928, le port est déplacé vers le sud afin de congestionner le trafic maritime.
passages des lignes de chemins de fer bloque la circulation maritime
En 1928, le port est déplacé vers le sud afin de congestionner le trafic maritime. Et par les constructions des lignes de chemins de fer destinés au transport des phosphates. Ce bassin se trouve par la suite en abandon, La rupture entre les habitants et la mer est accentuée par le dysfonctionnement de ce lieu qui était un pôle d'attraction et qui est maintenant transformé en un parking pour les poids lourds et les bassins remplis de déchets polluants.
fig 29: un océan de déchets envahit l’ancien port de peche, source : webdo.tn 1920
les ancienne plages de sfax
Les colons ont créé des plages bien équipées, avec une multitude d'activités balnéaires afin de forcés les rapports avec la mer
plage wiriot / plage familiale
plage casino municipale
plage Farhad hached / Punata
Tenons l'exemple de ces axes : plus on avance vers la mer plus on constate la diminution de flux
Une négligence de la mer qui est sensée être un élément attractif dans les villes côtières
Ce tissu colonial qui donne directement sur la mer est interrompu par un obstacle visuel qui gâche l'ouverture de la ville vers la mer.
la relation mer /terre est occupée par les industries
fig 16
Les habitants de Sfax se trouve aujourd'hui face à des gigantesque infrastructures industrielles dessinent une limite épaisses entre le milieu urbain et la mer. Dans ce contexte la reconquête du littoral Sfaxien est nécessaire
La prise de conscience de l'ampleur des dégâts et de la nécessité de " réconcilier la ville avec la mer " a débouché sur la volonté de la reconquête du littoral par la réalisation de nombreuses actions de dépollution, notamment dans le cadre du projet Taparura qui a débuté vers 1985. Ce dernier avait pour but d'aménager des zones urbanisables gagnés sur la mer et occupants 420 hectares de remblais destinés à la réalisation d'une zone touristique, une zone résidentielle, des équipements publics et d'espaces verts.
Les objectifs :
* Dépolluer le littoral nord de Sfax, réconcilier la ville à sa mer et contribuer à combler les déficits : La ville en équipement culturels, loisirs.
* Améliorer l'image de la ville et la rendre plus attractive
Intégration Durabilité mixité
Les actions : la dépollution du littoral avec la délocalisation de la SIAPE, l'extension des réseaux d'assainissement, pour l'ensemble des 7 communes, la réalisation du projet Taparura, la multiplication des espaces verts.
le traitement des déchets solides accumulés, l'aménagement des friches industrielles, la création du parc national Thyna.
Le stricte contrôle des activités polluantes et la réduction de toutes forme de pollution.
Le transfert des activités polluantes et la construction du port de Skhira provoquera la réaffectation et la reconversion du port actuel en port commercial de conteneurs (pas de phosphates) avec l’ajout du port de plaisance qui remplacera l‘ex- port de peche “chot krekna”
fig 35: synthèse de la trace de la mer d’une ville de muttation urbaine,
Ex-casino est reconnu par les anciennes plages de Sfax et était le meilleur lieu de baignade : espace de loisir et d’animation pour les habitants de la ville avant sa transformation en dépôt d’hydrocarbure. Ce lieu était donc un des poumons de la ville.
fig 37: le plage municipale du casino dans les années 20 ,source : lessitessfaxien.com
Les colons avaient bien compris l’importance du rapport ville/mer et avaient créé une multitude de plage en 1920, avec des installations variables qui renforcent ce dernier rapport. Ce lieu était le centre de convergence et qui attirait les habitants pour tous types de distraction. Cette ancienne valeur ayant une grande importance pour les Sfaxiens persiste dans leur mémoire collective .
fig 38: les sociètées de traitement de phosphates qui ont massacré les plages de sfax,source : lessitessfaxien.com
Mais après l’indépendance, ce lieu a été massacré par les installations industrielles : un dépôt d’hydrocarbure à côté de la grande société NPK du traitement de phosphate. Par conséquent, Sfax demeurait totalement déconnectée de sa mer et cette rupture poussait alors la ville à lui tourner le dos.
Intervenir dans ce site est le seul moyen de sauver cette mémoire qui prend le chemin de l’oubli. Quand l’objet fondamental est de réconcilier la ville avec son essence et son caractère, il s’agit de remettre en scène un perdu et le traiter d’une manière novatrice qui suit tout développement présent.
Notre intervention primordiale est de dépoussiérer et même plus : rafraîchir la mémoire collective.
La zone d'étude se situe au sud-est du grand Sfax, elle occupe une place stratégique à proximité du centre-ville et de la mer qui l'entoure des 3 cotés et nous offre des vues panoramiques diversifiées.
On dit que c'est la façade maritime principale (aussi pour les voyageurs de Kerkennah et Djerba)
chemin de fer en sous sol
un futur axe rapide qui sert a relier gabes et le centre ville de sfax (port de commerce - gare multimodaleprojet taparura - les différentes zones industrielle ) axe pénetrante nord sud
la situation entre la cote et l’hyper centre ville à une future pénétrante qui est un axe rapide urbain en sous-sol qui relie les pôles et facilite la transition entre le centre ville et le projet taparura . Grace a la position strategique de notre site on a une continuité de la corniche et une liaison de l’esplanade vers chott El Krekna ; ex port de pêche et futur port de plaisance .
actères qui ont persister durant plusieurs périodes en prenant à chaque fois un caractère qui suit la tendance mondiale. Il devient ainsi un endroit chargé de souvenirs suscitant la nostalgie de toute les générations.
Le casino était reconnu par sa baignade, y compris le loisir et l’animation des habitants de la ville. Mais au milieu des annés 70, cette plage a disparu suite à l’implantation industrielle d’usines de traitement des phosphates à sa proximité .
Face à cette situation alarmante, des appels au nettoyage et à la réhabilitation de ces plages ont été lancés par les membres de la société civile qui aspirent à une plage paradisiaque.
Sfax mes souvenirs, site web, les-site sfaxiens.net
4 4
fig 44: une ville balnéaire, source: lesitesfaxien.com
2 5
ROLLAND BERREBI, site web, les-site sfaxiens.net 5
FERNARD SDIKA, site web, les-site sfaxiens.net
Avec l’évolution commerciale et l’implantation de la société de traitement de phosphate à proximité, la mer perd progressivement son charme et son rayonnement.
Ces plages ont été détruites au cours des années 1960-1970 à cause de la pollution. Et L’état a pris la décision d’interdire toute baignade sur la côte.
Par la suite, il y a eu l’installation d’un dépôt d’hydrocarbure avec un pont de chargement pétrolier. Le rapport entre les Sfaxiens et la mer qui a persisté durant plusieurs périodes dans l’histoire de Sfax fut totalement gâché.
Le littoral Sfaxien est dominé par deux gigantesques dépôt de phosphogypse auxquels s’ajoutent les bassins des salines, la décharge municipale non contrôlée, la station d’épuration sud (STEP) et l’ONAS ainsi qu’une multitude d’unités industrielles souvent polluantes. Ceci a engendré une véritable coupure entre la ville et son environnement côtier.
ces industries ont crée une limite infranchissable entre la ville et la mer
Cette coupure est douloureusement ressentie par la population d’une ville côtière dont la mémoire collective garde encore les souvenirs des plages et des séjours au bord de l’eau depuis des siècles.
L’état a donc décidé de forcer la NPK de se déplacer afin de préserver l’équilibre entre la croissance urbaine, l’industrialisation et les ressources naturelles. Là est venue la nécessité d’engager des actions de dépollution du littoral et de réconciliation de la ville avec son environnement marin.
Evènements :
- Approuver le projet Taparura en 2000
- Fermeture de la NPK en 2006
- Déplacer les dépôts d’hydrocarbure du casino pour vider la zone
- Inciter le gouvernement à fermer la SIAPE et elle s’est modélisée à Skhira en 2015
- Fermeture définitive de cette unité polluante le 7 aout 2019
Cette zone s’impose avec sa pesanteur et son influence sur les anciennes et les futures planifications urbaines. On la considère comme un trou noir qui joue le rôle d’un ciseau urbain et peut être considérée comme limite qui accentue la transition spatiale entre la ville, son tissue dense, et la mer « lieu de mémoire ».
Cette transition est gravée dans la composition et l’identité de la ville : ‘’ Baigne dans les souvenirs et les significations ‘’.
Aujourd’hui les Sfaxiens se retrouvent de nouveau avec une plage vide, délaissée et dépourvue de son âme… malgré le fait qu’elle a tant marqué l’enfance et la jeunesse de la majorité qui ont encore hâte de revivre leurs souvenirs.
Sfax et la mer forment une controverse, une relation complexe : entre intimité et répulsion. Un rapport très proche à travers le temps brusquement alterné et poussé vers l’inconscience, et ainsi tombé dans l’oubli.
52: l’éveil de nos souvenirs, illustration personnelle
Notre mémoire est composé d'un ensemble de lieux, d'images et d'évènements reliés a une image-souvenir entrainant des émotions diverses. En quelques sorte, notre mémoire forme notre identité, on dit que l'oubli c'est une perte d'identité, toutefois, si un souvenir est marqué par une émotion il est plus difficile de l'oublier.
On ne peut jamais dissocier notre identité, notre histoire et nos émotions par rapport aux lieux. On va commencer par expliquer la théorie et les concepts de la mémoire, lanostalgie, et leur rapport à l'espace et a l'architecture émotionnelle en se basant sur la nostalgie comme outil de conception chez plusieurs architectes.
Nous vivons aujourd'hui dans une situation de désarticulation du monde et de la société, de l'espace et de l'identité individuelle et collective, dans le contexte de la mondialisation et l'uniformisation des masses. Notre rapport à l'environnement évolue, nous accumulons des couches de strates d'espace, d'histoires passés, de mémoires d'individus, de souvenirs ... qui s'effacent la plupart du temps.
L'exercice de mémoire consiste à cultiver et commémorer un
passé. Effectivement, bâtir "un lieu de mémoire" est un moyen de construire un sens : tout ce qui est lié au ressenti et qui fait appel au vécu est souvent traduit par une relation émotionnelle.
Le lieu de mémoire fait partie de ces lieux attirants qui repoussent les individus à les revisiter afin de revivre les expériences collectives, éveiller les souvenirs et la commémoration ... Devoir de ne pas oublier pour sauvegarder toute mémoire partagée.
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SEBASTIEN ERIC « une architecture comme instrument de la mémoire et une mémoire comme matière de l’ architecture »
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sebastien eric ,L’Art de la mémoire, le territoire et l’architecture,
“ il n y a pas que deux grands conquérants de l’oubli des hommes. la poésie et l’architecture cette dérnière implique en quelque sorte la première et elle est dans sa réalité plus puissante”
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Jhon ruskin “ les sept lampe de l’architecture “ - Paris
La mémoire est la fabrique des souvenirs. Elle se matérialise par le support de la commémoration, Maurice Halbwachs évoque que l'organisation de mémoire en relation direct avec la construction identitaire d'une société par le reportage dans le temps. La mémoire se définie en deux catégories différentes : la mémoire individuelle, et la mémoire collective.
Mémoire individuelle : permet la construction de l'identité d'un individu grâce aux sensations vécues par chacun des sens, par son corps et son esprit.
Mémoire collective : selon le sociologue MAURICE HALBWACHS , pour se souvenir, il faut se sentir inclus dans un groupe pour garantir la fidélité de notre mémoire, afin de voir la même chose que les autres. La mémoire collective est en rapport avec la communauté des souvenirs,
MAURICE HALBWACHS évoque que la mémoire collective se trouve dans la projection des lieux, des espaces vivants. " Un groupe d'individu lié à son espace se transforme à son image en même temps qu'il y plie et s'adapte ", sa philosophie se résume dans le fait que les mémoires partagées en rapport avec les espaces communs recomposent leurs fragments à partir de ce moment X de rencontre et tendent à reconstituer l'image complète du lieu vécu.
vallery “ cahiers” Bibliothque nationale 1956 MAURICE HALWACHS, “les cadres sociaux de la mémoire, albin Michel 1994 9
“la mémoire c’est l’avenir du passé”Paul
La mémoire est une activité collective qui a besoin d'un cadre spatial bien défini.
Ce cadre est donc ces lieux qui témoignent nos rires, nos soupirs, nos sentiments joyeux ou troublants.
On parle alors de la projetée du lieu marqué par les événements intégrés dans cette spatialité spécifique avec ses propres caractéristiques physiques et géographiques.
La mémoire des lieux et la mémoire des murs sont deux phénomènes similaires. Nous percevons les
empreintes énergétiques et magnétiques de toutes les mémoires du passé. Toutes contemplations et réflexions qui s'attardent un instant, permettent de revivre une émotion qui s'imprime dans le but de forger un lieu de mémoire où des âmes sont restées "coincées".
“c’est sur l’espace sur notre espace (...) qu’il faut tourner notre attention; c’est sur lui que notre pensée doit se fixer, pour que reparaisse telle ou telle catégorie de souvenir “
Les clés des souvenirs installées au pavillon du japon, cette oeuvre est constituée de 50 milles clés de portes collectées de 50milles personnes autour du monde, suspendues par des fils de laines rouge. Leur symbole reflète des lieux qui nous sont chers dans lesquels on a accumulé des souvenirs, ou réside nos proches.
Fig
D'après TADA ANDO ," si vous offrez l'essence de l'espace et de la forme, l'individu la complétera avec son inspiration “.
Nous cherchons maintenant à comprendre le phénomène d'implication sensible du visiteur par l'effet des commémorations provoquées par l'architecture émotionnelle depuis l'intention conceptuelle du concepteur jusqu'au processus de la relation entre le visiteur et le lieu de mémoire.
Révélation nostalgique " non il n'existe pas de photos, il ne m'en reste que le souvenir " BARRAGAN.
réminiscences suggérées et les évocations recueillies dans l'architecture émotionnelle. Là, nous avons cherché à comprendre scénographie de ces révélations nostalgiques qui impliquent le visiteur dans ce processus sensible.
BARRAGAN a placé les nostalgies au coeur de son concept créatif nourri par le besoin de la mémoire des visiteurs. La nostalgie plonge ses racines dans l'appartenance culturelle d'un peuple en quête d'identité.
" C'est la conscience du passé élevé à la puissance poétique comme pour l'artiste dont le passé est la fontaine d'où jaillit sa créativité, la nostalgie est la voie qu'emprunte le passé pour nous livrer tous ses fruits. "
BARRAGAN s'intéresse en un premier temps aux stimulants de la mémoire, (''c'est l'art de la mémoire qui fait écho de la renaissance. " )
selon Luis BARRAGAN : , l'architecte ne doit et ne peut ignorer les révélations nostalgiques seules capables de combler le vide de toute oeuvre au-delà des exigences utilitaires du programme. Dans le cas contraire l'architecture ne peut prétendre de figurer parmi les beaux-arts .
Les révélations nostalgiques pouvaient aussi bien être des indices déclencheurs qui permettent aux visiteurs de construire une relation sensorielle forte avec le lieu. Ces indices suggèrent à leurs yeux une stratégie de mise en scène conceptualisée par l'architecte qui nous mène vers le moteur de l'architecture émotionnelle.
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L'architecte s'est focalisé sur les
La mise en scène des architectures émotionnelles stimule les évocations , les déclencheurs ou les stimulateurs sensoriels associés : Visio tactiles, sonore et kinesthésique.
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Ando, 2007. Du béton et autres secrets de l’architecture, collection Tête à tête,
Barragan interrogé par Poniatowska, 1976. Op.cit éd. L’Arche, Paris
Barragan, 1980. Op.cit
Berthoz A, Les Espaces de l’homme, Collection Collège de France, éd.
‘’ Le paysage est ce que l’on garde en mémoire après avoir fermé les yeux ‘’ Luis barragan15
15source: GILSOUL NICOLAS JARDINER L4ARCHITECTURE emotionnelle fig 57: tentatives d’une liaison entre le présent,le passé et le futur, illustration personnelle
synthèse de la mémoire, illustration personnelle
Au lieu d'être la proie de l'ennui engendré par le déjà vu. la conception est basé par un dessein porté sur les émotions et les sensations de l'homme occupant l'espace par son esprit et son corps à la fois. L'architecture émotionnelle a pour rôle d'intégrer en amont de la conception sensible dans le but d'assimiler les mécanismes scénographiques.
L'architecture émotionnelle est tout espace qui provoque des émotions sur l'homme. Elle est donc étendu conçu prioritairement pour jouer sur les émotions et la psychologie. du sujet, ce dessein dépasse le spectacle ''vide des sens'' à une architecture porteuse d'idéologies, de rêves, d'utopies....
2.1
la memoire emotionnelle
‘’ SIGMUND FREUD “ SCREEN MEMORY ”
Il est essentiel d'assimiler le fait que chaque évènement a un étiquetage émotionnel qui s'attache au contexte particulier et a chacun des stimuli s'aillant ayant été détectés. . Cet héritage constitué par diverses résonnances intimes engendrées par l'évènement.
Juhanni Pallasma à travers L'ouvrage du '' le regard des sens ''. L'architecte veut revaloriser cette fusion entre le mentale et la capacité manuelle, en mobilisant nos sens, notre corps.
‘’L’inhumanité de l’architecture et des villes peut s’entendre comme la conséquence de la négligence du corps et des sens , et un déséquilibre de notre système sensoriel. La multiplication des expériences d’aliénation, de détachement et solitude dans le monde technique d’aujourd’hui’’
JUHANNI PALLASMA “ Le regard des sens -the eye of the skin “ architecture ans the sens, editions du linteau (traduction francaise) , PARIS
L'architecte explique que dans nos société, nous abondons de plus en plus nos corps, nos sens, mais aussi notre imagination nous vivons dans l'espace mais nous ne vivons pas l'espace. Il est important de penser à l'évaluation du pouvoir émotionnel de l'architecture et l'appréciation de ses effets sur l'individu. Ce travail est une réflexion qui se base sur la psychologie du lieu et l'émotion du visiteur.
fig 59: l’espace architectural est toujours présent dans nos sovenirs, illustration personnelle
‘‘ faire l’expérience de l’architecture c’est toucher, voir, étendre sentir , son corps ‘’
18 18
PETER ZUMTHOR” - penser l’architecture
L'application de tous nos sens et la manière nous éprouvons l'espace. C'est une manière de percevoir ce qui nous est propre. On peut dire que l'architecture est notre instrument premier pour nous relier à l'espace ou nous faire ressentir l'émotion.
‘’ la réalité des constructions dont je sers pour élever un bâtiments dans les qualités duquel j’essaie de pénétrer par mon imagination, soucieux du sens autant, que sensualité, afin d’allumer peut être l’étincelle que donnera vie à l’ouvrage réussi ‘’
La manifestation de l'expérience émotionnelle de l'art décrit quelque uns des manipulations spatiales et des artifices ''extraordinaire'' mis en place pour maximiser les réactions émotionnelles décrit du visiteur. Illusion optique, perspective accélérés, angle biais, rupture d'échelle ou encore une confusion entre vrai ou fausse ombre projetées.
Le concepteur met en place des ambiances déclenchant des souvenirs, dont le but de stimuler le visiteur et son individuation. Les évocations et les déclencheurs placés dans la mise en scène de l'architecture émotionnelle servent à stimuler une nostalgie. Nous avons classé ces déclencheurs en fonction des principaux stimuli sensoriels associés : Visio-tactiles,
sonores et kinesthésique.
Les révélateurs nostalgiques et la multiplication des évocations suscitées à doter le visiteur d'une attitude spectatoriel (avec distance émotionnelle) pour le plonger vers une attitude d'immersion
‘’S’il fallait réduire cela à un faisceau d’éléments…C’est probablement une combinaison de choses matérielles, d’événements et de mon État d’esprit du moment ou encore la couleur de vos chaussettes ! » (M7,2)
‘’le sol est percé par un bassin noir que l’on évité et c’est la qu’on remarque une petite baie, percé dans le mur épais , il faut presque baisser la tête pour ensuite relever les épaules et se déployer au jardin ’’ (M.7.2)
‘’ il donne l’impression d’être comprimé avant pouvoir relâcher mon corps à l’extérieur’’
‘’ le silence de l’eau, le craquement des branches et une lointaine trille de oiseaux l’idée d’un paradis ferons ’’ (M7.5
‘’ le souvenir d’une odeur du monde qu’elle évoque ’’
‘’ Il y a une forte odeur de cire dans cette chambre je n’en rappelle bien par ce que je l’associais alors à la sacristie de mon enfance place royale ‘ (M1.6)
M7,2. la chapelle privée de la casa Barragán (M7,5) l’architecture sacrée dans le salon de musique de la casa Galvez, M1,6 l’architecture moderniste dans la volumétrie de la maison Egelstorm à Los Clubes
source : GILSOUL NICOLAS, thèse juin 2009, L’ARCHITECTURE EMOTIONNELLE Au service du projet. P162
‘’ si l’on réfère à notre expérience immédiate , à partir de notre vécu corporel , on observe que l’architecture sans doute plus que d’autres formes d’art , engage et assemble un très grand nombre de dimensions sensorielles , la lumière et l’ombre, les transparences et les profondeurs les phénomènes colorés , le jeu des matières et des textures , celui de dimensions, la présence des volumes parfois pleins parfois vide , le dialogue avec la taille de nos corps, les rapports d’ouverture et de fermeture de compression spatiale …’’
Les formes, la lumière et les couleurs jouent le rôle principal dans le processus mémorial, ils déclenchent des sensations qui marquent l'esprit par la création des cadrages de natures des multiples échappatoires latérales. Le jeu de perception peut agir sur la mémoire, à n'importe quelle échelle. Les formes nous touchent et dans lesquelles nous réagissons.
‘’ ’’Même une pièce qui doit être obscure a besoin au moins d’une petite fente pour qu’on se rendre compte de son obscurité, mais les architectes qui aujourd’hui dessinent les pièces on oublier leur fois en lumière naturelle ‘’’’
22
KHAN ‘‘Ligh and space ‘‘
La pénétration de la lumière naturelle est un élément essentiel voire même indispensable à toute bonne architecture. elle permet la perception des formes et des limites, tant aussi bien des objets que des espaces
La lumière évoque le visiteur par ce leurre qui provient de l'éclairage zénithal ou latéral
22 23
23
NICOLAS GILSOUL ‘‘thése base sur la rechercher de luis barragan
‘’ Le premier leurre pour moi c’est peut-être encore avant le hall d’entrée, c’est le porche lui-même qui accueille comme un bouche d’ombre de bienveillance ’’
Elle capture désigne un signe, un symbole susceptible d'être reconnu par le visiteur et chargé du sens, et d'émotion. D'autres part l'ombre ambiante ressenti comme un signe de ''bienveillance'' , ''fraiche'', et accueillante et tranquille.
Les visiteurs ont qualifié aussi ce dernier par la '' mystérieuse '', intrigante ou '' séduisante ''
L'ombre et la lumière devinnent ici signe et peut être chargée de sens par celui qui le voit. leurs évanescence permet d'entretenir le suspense même chez les visiteurs.
Tado ando utilise la lumière dans son architecture pour émouvoir le visiteur, luis barragan utilise les couleurs comme outil émotionnelle ainsi que James Turrel artiste américain utilise les lumières artificielles et naturelles et colorées pour stimuler les sens des spectateurs.
‘’ la nature de mon travail, c’est la mise en forme de la lumière. La lumière c’est le matériau, la perception, le média. Il n’y a pas d’image dans mon travail, car la représentation ne m’intéresse pas. Je suis intéressé par la vision intérieur et le regard sur le monde n’est qu’une métaphore pour désigner ces espaces ouvert ’’
Le visiteur fait l'expérience de la lumière, de sa relation au monde, au temps, qui recrée des rêves, des souvenirs. Le but de ressentir et d'éprouver les sentiments physique de la lumière cette ambiance lumineuse qui touche et stimule notre mémoire et nos souvenirs puisque elle provoque nos émotions par son silence.
« (…) non il n’existe pas de photos. Il ne m’en reste que le souvenir ».
« J’ai étudié attentivement les lumières et les Couleurs parce que j’aime créer une atmosphère de quiétude et de réflexion spirituelle »
Fig 70, le montage spatio-temporelle par luis barragan, source : thèse NICOLAS GILSOUL
Luis Barragan dans son architecture est façonné par les implications sensible sur l'homme qui la redéfini et d'en cerner les implications sensible sur l'homme qui la parcourt. Les ambiances spatiales et le travail scénographique de l'espace font écho à l'oeuvre de Barragan.
« J’ai travaillé en totale liberté pour réaliser une œuvre dont la fonction serait l’émotion »
la douce pénombre rosée, colorée par réflexion anime la scène en fonction du moment du cycle journalier.
26 27
LUIS BARRAGANinterrogé par Poniatowska, 1976. Op.citx²Op.cit
LUIS BARRAGAN 1981 : interview par Jorge Salvat à propos de la chapelle de Tlalpan.
26 27 27 28
LUIS BARRAGAN Op.cit
Fig 71, mise en scène spatial du corridor casa gillardi ,modifcation personnelle source : thèse NICOLAS GILSOUL
Fig 72, montage spatio-temporelle sert a individuation du visiteur ,illustration personnelle
Une organisation spatiale qui sert à capturer le regard du visiteur. Le but commun c'est d'entrainer la solitude du visiteur pour un retour en soi, une immersion dans ses nostalgies.
SCENE 2 Séjour, casa Barragán
Poutre épaisse
MUSIQUE (COFFRE A SONS)
Continuité de mur - guide le regard du visiteur
Arrière plan lumineux
Avant plan végétal / contre jour
SAS dérobé pour rejoindre le jardin par compression spatiale coin de prénombre à débaucher artificiellement
observer, détendre,immersion
Fig 73, mise en scène spatial du séjour casa barragan ,modifcation personnelle source : thèse NICOLAS GILSOUL
Cette scène projeté le regard dans le jardin et attire en même temps son univers mouvant au coeur du séjour. La mise en scène efface les limites entre dedans et dehors, invitant la nature à partager le refuge de l'homme et vice versa et concentrer l'attention sur le cadrage.
Fig 74, montage spatio-temporelle sert a détendre le visiteur ,illustration personnelle
synthese: 4 attitude scenographique de LUIS BARRAGAN
Fig 74, synthèse des mise en scène spatio-temporelle de l’architecture emotionnlle selon BARRAGAN ,illustration personnelle
Architecte japonais utilise la lumière, la nature pour sensibiliser son architecture, pour faire connecter le corps avec son environnement et de mettre en avant un de ses matériaux .. La combinaison entre l'architecture sombre ou tragique et autre plus lumineux empreinte de légèreté pour diriger l'émotion de visiteur vers la joie, d'optimisme et de liberté qui provoque à se bouger.
« Si vous offrez l’essence de l’espace et de la forme, l’individu la complètera avec son inspiration ».
évoque une divine spiritualité
Couloir sans plafond ailes (murs) très haut et des espace ouvert /fermé
architecture sensuelle et sensible évocation spirituelle
/ accentue la curiosité du visiteur
liaison entre le ciel et la terre
arc.ulaval.ca
Ando, 2007. Du béton et autres secrets de l’architecture
Dans ce projet l'architecte cherche a lier l'architecture, la nature et l'art par la création des couloirs a aspect labyrinthique étendu. D'une part ils sont sombres et mystérieux et d'autre part ouverts et lumineux pour assurer une liaison entre le ciel et la terre.
sensation d’ascension
Une grande sacralisation oeuvres d'art. Apport des rayons solaires aux oeuvres d'art
plusieurs perception des visiteurs durant la journée
Espace architecturale souligne la beauté de la nature environnante ainsi que les oeuvres - relation complémentaire
Une salle comporte un escalier, au milieu une sphère en granit 2.2 m de diamètre et 27 sculptures, la vision des oeuvres est changeante tout au long de la journée, car l'apport de la lumière provient du soleil offre différents perception des oeuvres et de l'espace.
« Si vous pouvez vous retrouver face à vous même, Face à vos pensées, dans un lieu serein, ne serait-ce qu’une heure, alors cet espace aura été pour vous un pôle d’énergie spécifique ».
Ando, 2007. Du béton et autres secrets de l’architecture
Forme courbé en plan et en coupe (sphérique)
Fig 78, synthèse UNE SYMBIOSE ENTRE LA NATURE, L’ART ET L’ARCHITECTURE selon TADAO Ando
L'absence du détail
'' RIEN À VOIR ''
rendre l’espace observé infini à l’oeil du visiteur perdre toute notion d’espace
Tado Ando à intégrer un escalier dans l'espace, par ce que la gravité de l'ascension prépare le visiteur de se perdre dans un champ de lumière Blue homogénéise l'espace
Fig 77, L’antichambre 1 dans la salle d’expposition de James Turrel. source: Cantz, 2005
« ’’ Faire l’expérience concrète de l’architecture, c’est toucher, voir, entendre, sentir son corps ‘’ ».
«‘’ Des choses comme la texture, la température et l’humidité, la résonnance et l’odeur jouent un rôle extrêmement important dans un bâtiment qui éveille et demande à l’être ressenti par tous les sens. ‘’».
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Penser l’architecture Edition birkhauser, 2006, cité dans le site bibliothèque municipale de Lyon
Du lieux à la réalité,
«‘’ ‘’Le processus de l’architecture repose sur une interaction constante entre le sentiment et la raison critique doit examiner les sentiments, les aspirations et les désirs qui surgissent et demande à perdre forme. C’est le sentiment qui nous dit si nos réflexions abstraites sont justes … je pense que l’émotion et l’inspiration qui donne naissance à la substance fondatrice propre de l’architecture ‘’ ‘’».
Peter zumthor s'appuie dans son processus de création par ses souvenirs qui évoque une matérialité et une ambiance qui font appel aux sens. Pour lui la qualité architecturale engendre par la capacité qu'à l'édifice d'émouvoir, la façon dont le lieu stimule le sens, le toucher, l'odorat, la vue,. Il n y a que l'empreinte que le lieu laisse sur le visiteur qui persiste
Le visiteur circule librement dans ce projet, la volonté de l'architecte n'est pas de diriger mais de séduire, l'entrainant dans un voyage, une découverte, une croisière d'ilots pour la combinaison d'une atmosphère vivante, des séquences et des scénarios spatiaux ..
un bon dosage de quantité une bonne disposition de ces martériaux
chaque matériau a une présence
ajout d'autres paramètres comme l'eau au dessusdes pièrres la mise en lumière (réflexions ; réfraction..)
un espace dédié aux corps, une éxpérience corporel, qui stimule le sens du toucher,
la variation de la température entre GLACÉ / CHAUD
‘‘ Le son provient de la vibration des pierres.‘’
L'architecte a été aussi attentif au son : il a créé une salle dédiée à l'écoute de la musique minérale. Une sensation relaxante de bien etre ou elle peuvent être aussi anxieuse par ce sons de vibration, au rythme des pieds de curistes,
séduction ; piquant leur curiosité
‘‘ Un espace fonctionne comme un grand instruments.‘’ 33 34 34 33
Penser l’architecture Edition birkhauser, 2006 , cité dans le site bibliothèque municipale de Lyon
le corps de l’architecture
la masse les murs et les empillements la membrane du pavillon
une sorte d'anatomie la squelette, l'ossature la peau
idée que des objets qui infleuce sur l'avenir de ses bâtiments qui aura lieu sans l'architecte.
les objet qui m’entournent
Les objets du pavillon se renouvellent sans cesse
LES MUSICIENS PARTICIPENT A L'ATMOSPHÈRE DU LIEUX. 350 MUSICIENS DEAMBULENT DANS LE PROJET
La mémoire du lieu, présente notre identité, cette identité doit être omniprésente, dans le processus de conception, d'une manière profonde et sensible. Dans ce cas, la mémoire collective du lieu " Ex casino " qui bascule entre l'oubli et la nostalgie et méconnue par les Sfaxiens. Cette lecture est indispensable pour réinjecter des projets qui incarnent la mémoire du lieu
Des projets qui sont en dialogue direct avec la nostalgie et qui se baseent sur l'expérience émotionnelle
Analyser : 2 projets qui se basent sur l'architecture émotionnelle et qui évoquent des émotions sensibles et qui entrainent le visiteur dans un voyage nostalgique
Analyser un projet qui s'inscrit au bord de la mer qui va recoudre la ville au littoral pour transformer une friche délaissé en parc dynamique
« ’’ Faire l’expérience concrète de l’architecture, c’est toucher, voir, entendre, sentir son corps ‘’ ».
Rusin jhan, les sept lapes de l’architecture fr de .g.elwall .paris . les presses d’aujourd’hui
Architecte : Peter Zumthor
Date de réalisation : 2000
Pays :Hannovre
un bâtiment représente un pays d'hôte cultivé tout en répondant au thème homme - nature - technologie. Le corps sonores est décrit comme un évènement sensoriel : tous les sens du visiteur sont en éveil lors de leur passage dans ce pavillon, lire, voire manger, entendre et sentir les activités pour la découverte de cet oeuvre.
La conception de ce projet se fait grâce à la participation de plusieurs intervenants de plusieurs domaines tels que les architectes, les compositeurs, les designers, les gastronomes, les musiciens, les ingénieurs.
J'ai choisi ce projet : grâce à sa forte présence sensorielle, une mise en scène transformable, changeante. Des émotions alternatives, chaque seconde une nouvelle sensation, effet de surprise... l'implication d'autres facteurs à l'architecture ; gastronomique, vestimentaires, musicale...
plutôt que d'offrir un espace informatif dans un cadre pédagogique, Peter désirait de concevoir un bâtiment ou les visiteurs vont vivre l'information, et ressentir l'expérience architecturale.
Vivre l'information ; observe, toucher, écouter, immersion dans l'individuation.
vivre l’information (grace a la mise en scène)
trop d’information ( ennyuiante)
Les suisses considèrent le bois comme un matériau très prestigieux, caractérisé par une simplicité profonde, mais très chaleureuse. Le bois est très apprécié dans la culture des suisses, alors l'architecte pense au début, de créer des ambiances comme les aires de stockage du bois, les premiers déclencheurs sensoriels avec son odeur qui s'en dégage.
Une trame vide orthogonale avec un certain vide créant des cours intérieurs. Des espaces d'isolement pour la déambulation.
L'architecte désire que son architecture devienne un corps résonnant " pendant toute la durée de l'exposition plus de 350 musiciens vont alternativement être entendus dans le Corps Sonore. "
La musique séduit et procurant des expériences sensorielle
(Plusieurs question est venu aux visiteurs)
« Je suis là, mais déjà plus loin à l’angle, quelque chose m’attire déjà … » 36
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Zumthor, Peter, Atmosphères : éléments architecturaux, ce qui m’entoure, Bâle : Birkhäuser, 2008,
« On flâne à travers les passages et les cours, on cherche son chemin comme dans une forêt »
Série de murs en bois sous une forme de labyrinthe perméable, ouverte au vent et au soleil qui interagissent à la mise en scène de l'espace.
espace gastrique présente les nourriture suisse ambience sonore et olfactive provenant de l'espace de dégustation déambulation des visiteurs déambulation des musiciens
chaque instant une nouvelle découverte, nouvelle éxpérience : se cherche , se trouve, se perdre, surprendre art de l’architecture art du temps
La liberté et la flânerie séduisent les visiteurs à découvrir l'espace grâce au plan labyrinthique et aux murs tissés en bois.
Le bâtiment se trouve dans un état dynamique grâce à la sonorité qui remplit l'atmosphère.
« les différents matériaux mis en œuvres dans un bâtiment doivent vibrer l’ensemble, coopérer, emmètre une énergie spécifique »
L'agencement, la mise en oeuvre du bois forme un tissage, l'alternante de deux types de bois de différente caractéristique (l'humidité, à l'usure. )
Zumthor, Peter, Corps Sonore Suisse, Lexique du pavillon de la Confédération helvétique pour l’Expo 2000 à Hanovre, Bâle : BirkHâuser, 2000, p.152
Zumthor, Peter, Corps Sonore Suisse, Lexique du pavillon de la Confédération helvétique pour l’Expo 2000 à Hanovre, Bâle : BirkHâuser, 2000, p.171
une toiture en tole d'acier préfabriquer ep 3mm recouvre les bars, les couloirs, et les espace sonores. préservées aux descentes eaux pluviales
« à cette température est physique aussi psychique, ce que je vois, ce que je sens, ce que je touche, ce avec quoi mes pieds entrent en contact »
un confort thermique se rassemle au forêt
Grâce à ses caractéristiques physiques, le bois joue le rôle d'un régulateur thermique qui garantit une atmosphère favorable à l'intérieur de la coque.
Zumthor, Peter, Atmosphères : éléments architecturaux, ce qui m’entoure, Bâle : Birkhäuser, 2008, p.35
selon Zumthor, l’architecture comme un corps, une sorte ‘’ d’anatomie ‘’ ces murs en bois destinés à l’empilement présent l’idée de squelette, d’ossature pousse l’idée du concepteur « entre le sentiment et la raison » qui sollicite les sens, les souvenirs
La pensée architecturale implique des considérations écologiques, sans fixation permanant. Le tout est réutilisable et recyclable. L’utilisation des blocs de béton préfabriqué minimise l’impact sur l’environnement
Fig 93 , L’agencement des matériaux, http:wanderersinthemist
Fig 94 , synthèse de la boite a résonnance émotionnelle
UN VOYAGE DOULOUREUX DANS LE PASSÉ, une tragédie est toujours mémorisée
génialité c’est de laissé les ruines telles qu’elles et de crée une nouvelle ville à quelque kilomètres
Le concept des architectes est de crée une déchirure centrale traversant le bâtiment symbolisant une lame en acier qui va couper l'espace intérieur suite a la destruction et le bombardement et mais aussi de rappeler la mémoire. Dont les matériaux et le symbole de la violence. (Un métal rouillé ) Un centre d'interprétation permet d'effectuer un cheminement, historique et pédagogique complétant l'aspect émotionnel et mémoriel du village
le contexte politique et social de l’avant-guerre. La montée du nazisme et l’expansion du 3éme Reich. La défaite française, le gouvernement de Vichy et la résistance.
le massacre systématisé des populations de l’Europe de L’est. Les journées du 8et 9 juin 1944 la division waffen SS « Das Reich » remonte vers Oradour-surGlane.
Récit du drame, témoignages des rescapés, aveux des exécuteurs… un film de 12mn retrace les événements du 10 juin 1944 à Oradeur. La reconnaissance nationale du village martyr. Les procès et l’amnistie. La reconstruction d’Oradeur.
Message de paix, ce dernier espace invite à la réflexion
Un parcours à cinq zones illustrant un processus méthodologique de la découverte de l’histoire du massacre d’Oradeur. Dans ce parcours, il n’y a pas de collection artistique, mais il y a une histoire que l’on raconte, par le cheminement des visiteurs
Zone 1 clés de compréhension…
Les différentes étapes du processus de mise au pas de la société allemandes grâce à la séduction à l’intimidation des nazis, l’expansion du Reich.
Zone 2 ce deuxième espace renvoie le visiteur aux 9 et 10 juin 1944 à la préparation du drame en montrant qui étaient les victimes avant la tragédie. Montrant que l’Oradeur comme un village ordinaire du limousin.
Zone 3 un récit filmé de douze minutes contenant les témoignages de survivant les aveux des bourreaux et l’horrible découverte d’un méthodique. Cet espace évoque également des massacres similaires survenus à la même période.
Zone 4 la reconnaissance et la reconstruction nationales : constitues la reconnaissance du drame et de la reconstruction d’un village traumatisée, les procès douloureux et l’accusée des français ont influencés la commémoration de la France après la guerre
Zone 5 message universel
Dans un espace dépouillé ou les textes éclairés parsèment le sol la dernière partie de l’exposition à la réflexion personnelle et collective, avant de pénétrer dans le village Martyrs
Le moment était venu d’immortaliser et fixer cette mémoire, elle fut d’amener les visiteurs dans un voyage douloureux, dans le passé, de lui expliquer cette histoire dramatique … lui permettre d’assister mentalement à cet tragédie …. De l’inviter à lire entre les lignes en évoquant ces événements historiques. Un impact émotionnel et mémoriel traduit par ce parcours du village martyrs
Fig 102 , synthèse:réfléxions architecturaux contre l’oubli, illustration personnele
1.
concepteurs : Angela Danadji evaL awrence Halprin
Date de réalisation : 1968 - 1970
Situation: Portland, Oregon, United States
Surface : 1437 m²
Le parc s'appelait à l'origine "Forecourt Fountain" il a été achevé en 1970 dans une partie de l'auditorium municipal. En 1978, il a été nommé Ira Keller pour commémorer le chef du Conseil de développement de Portland.
Ce projet urbain est inauguré en 1999 du prix de la société américaine d'aménagement urbain et architecturale.
J'ai choisi d'analyser ce projet pour plusieurs critères : Concevoir avec l'eau reflète le déclenchement des émotions (rythme de mouvement) des émotions sensation de bien être
Le fait d'implanter des cascades dans l'urbain vont séduire le visiteur à dynamiser son corps, immersion dans son individuation, émouvoir ses nostalgies .
Penser aux bonheurs des habitons
La fontaine d'Ira keller est conçu à la base par Angela DanadjievaL inspirée par la cascade de la "Colombien River George", située à l'est du portland, Danadjival souhaitait dans sa conception aider les gens d'être en bonne santé
40
«
En fait, c’était ma réponse à situation du trafic et l’insécurité des piétons. »
Angela Danaji , site web : https://en.wikiarquitectura.com/building/irakeller-fountain-park/ 40
elle offre aux gens un répit du bruit et du trafic urbain, en intégrant un aspect naturel par l'eau qui crée une sorte de micro climat même une fraicheur d'air les concepteur désirait offrir un espace qui avait une forte présence, une grandeur, qui stimule l'aspect spirituel des gens.
" l'espace est la chorégraphie du mouvement avec les noeuds du silence et la contemplation de l'action et de l'inaction, du durs et du doux ..."
L'écoulement de l'eau se propage par un rythme du rapide vers le calme
Le volume de la dalle de béton
complexité topographique aspect spirituel
Les lignes droites simplicité géométrique
un micro désert
J'ai fait du vélo en ville ce matin pour rejoindre le groupe des Urban Sketchers. nous a
Les gigantesques dalles monolithiques de béton avaient, d'une part, une forte impression d'architecture de la fin des années 1960. Elle représente de manière étonnamment convaincante une chute d'eau rugissante dans la nature. Le parc finit par être un étonnant labyrinthe de dalles, de falaises et d'eau, dont l'exploration était presque aussi amusante suivant un niveau ascendant on distingue 3 sections :
Et puis, il y a la couleur. Oui, nous devrions voir du béton gris ennuyeux ici, mais au lieu de cela, les masses monolithiques sont d’une couleur orange rouille étonnante. Je ne peux que supposer que c’est grâce au travail des algues et d’autres créatures -. C’est assez stupéfiant à voir. Sans parler du bruit et du mouvement...
Bassin collectif profond et moins profond, accessible depuis les grandes plateformes plates en béton carrés ou rectangulaires, superposées, pour créer des vides offrant un écoulement d'eau visible.
Les parapets des blocks dans les cascades, qui constituent les allés en escalier, les plus dramatiques et photogéniques, ensoleillées, minutieuses et fortement attractives, cascadées de chaque côté, pour qu'elles soient accessibles
Fig 105 : HALPIN ,sketch , auditor forcourt, opening day - juin 23 https://tclf.org/sites/default/files/microsites/halprinlegacy/ira-keller-forecourt-fountain.html
conduits à la fontaine Ira Keller, un endroit où je n'étais jamais allé, et ça m'a époustouflé !
41
Et puis, l’eau tombe de tant de façons, avec tant de motifs, que c’était fascinant et assez difficile d’essayer de dessiner toutes les textures et les effets de lumière. Encore une fois, la couleur de l’eau est étonnante et bizarre
ici. Nous voyons clairement les couleurs du béton et de ses pavés incrustés à travers la piscine claire et peu profonde. Je me suis senti si délicieusement rebelle à l’idée de peindre l’eau avec autant d’ocre jaune !
Saturday, June 16, 2012 Keller Fountain, ‘‘see the word one drawing at time ‘‘ , AMY stewart http://urbansketchers-portland. blogspot.
Revitalisation, reconversion d’un ancien chemin de fer en un central parc ouvert sur le lac
concepteurs : SASAKI GROUPE
Situation: Lakeland, Florida, USA
Surface : 72 hectare m²
Programme: central parc constitué par une dispositif d'entré, centre naturel, musée pour enfant et café
Il s'agit d'un site naturel forestier au bord de la mer qui était massacré par l'industrialisation et risque d' être perdue dans l'oubli. L'architecture écologique comme nouveau paradigme envers les sites abandonnés, transforme cette richesse délaissée en joyau écologique aimant, culturel, connecté à la communauté, J'ai choisi ce projet grâce à ces critères la reconquête d'un lieu abandonner délaissé par l'infrastructure industrielle ( une ancienne station de train se transforme a une décharge).
La connexion ville / lac Donner a la nature place dans la ville.
L'ouverture aux minérale (le lac) .
De 1850 a 1950 il y a eu un gare avec plusieurs chemin de fer dans ce site la gare est considérée comme une force motrice majeure de l'économie de la ville. ce lieu a perdu son role a cause de l'installation des autres lignes de chemin de Fer, ce site est transfémé comme une décharge ou un lieu a usage industrielle
aujourd'hui plus de 3 hectare contiennent des traces d'arsenic et de pétrole près du siège de la source.
les concepteurs ont voulu de crée une forte connexion sociale des gens avec des installations de rassemblement. Plusieurs activités rapprocher les gens de la magie quotidienne du parc
Le Parc passe parmi les quartiers nouveau de la ville Cela bénéficie la restauration et l'affluence générée par le nouveau parc
Un pole d'attraction touristique Rapprocher la ville sur le lac Sa localisation est lieu de rassemblement et offre aussi des perspective visuelle Les concepteurs espèrent que les visiteurs vivent une expérience unique "Imaginer que vous faites du kayak à Lakeland avec vos amis sur les eaux scintillantes prenez photo dans le jardin,, 4 bâtiments sont implanté d'une maniéré harmonieuse avec son l'environnement accentuer le potentiel du site avec une meilleur intégration dans son contexte
composition avec le minérale , le végétale, et le bâti ligne directrice suit la forte pesanteur des arbres
intégration harmonieuse non imposante, dans le but un pont de connexion des deux collines valoriser le potentiel naturel
L'une des premiéres commandes est la conservation écologique.
Les architectes du groupe Sasaki ont développé une stratégie de gestion des eaux pluviales qui accentue l'approche écologique
La topographie et les drainages naturels jouent un rôle clé dans la planification pour avoir un paysage richement écologique.
Composition avec la nature selon l'activité qui correspond a l'espace.
Gestion efficace de l'eau l'emplacement des drains pluviaux en profondeur plus les drains naturels et les aménagement paysagers qui peuvent être arrosés à la main au besoin Un système de goute a goute et aussi utilisé.
l’aspect social
Espaces agréable qui favorise les activités collectives
Espaces idéale de détente et loisir
Un parc qui favorise le contact humain
les objectif du programme développer par les architectes conception écologique
Célébrez la communauté et des environs et les Fournir des commodités et des opportunités, Connectez les gens au parc grâce à des mises à niveau des infrastructures stratégiques Accroître la force économique à long terme, Catalyser la croissance en soutenant des stratégies de développement économique plus larges, Matériaux locaux
Matériaux écologique et durable
élimination des contaminants des friches industrielles
Sensibilisation aux pratique durable
Durant des années, le Casino était un repère emblématique qui formait la dynamique principale conviviale des Sfaxiens, elle est reconnu par ses lieux balnéaires, loisires et de rencontres.
Depuis les 60, ce lieu massacré par l'industrie apparu comme une limite qui détruit la relation ville /Mer. Sfax déconnectée totalement de sa Mer se transforme en un corps étranger infranchissable.
En 2015, les phénomènes de désindustrialisation et lde dépollution du littoral de Sfax ont délocalisé ces dépôts d'hydrocarbures, afin de se transformer en un vide urbain, Plein de déchets et d'ordures. La prise de conscience de la société civile et des habitants est apparue par des activités de nettoyage, grâce à sa forte symbolique dans la mémoire collective.
Après avoir analysé l'évolution urbaine de la ville de Sfax et son influence sur le comportement des habitants face à ses problèmes majeurs, l'état a développé un programme d'intervention urbaine projeté en 2030. Nous nous intéresseront de dégager les points de repère de la ville afin de faire une lecture de l'environnement urbain immédiat et les futures interventions projetées. Le but est de crée une liaison d'articulation entre la ville européenne, la médina et notre site du casino vu que ces derniers sont à 2 kilomètres du site.
Compréhension du contexte, une nouvelle intervention urbaine projeté par l’état.
SIEGE CONTROLE CIVIQUE COLONIALE: actuellement maison de france
Fig 112 : les repères historiques de la ville de sfax , source : edusfax.com
caractere industrielle vide urbain - delaisse
-rupture mer/ terre - perte d’actvité
oubli
Le site du casino est se trouve actuellement en face d'un paysages industruel d'une part et le paysage minérale : la mer, d'une autre part. caractere balnaire echappetoire de losir
La zone urbaine se caractérise par une variation entre le plein et le vide, et aussi par une multiplicité des voiries dans le centre-ville, alors l'analyse de cette trame urbaine est primordiale, par la révélation des différentes composantes du tissu urbain (les parcelles, les voiries, les bâtiments).
Ainsi la variation entre le plein et le vide. (Agglomération dense au centre-ville par contre un vide urbain totale dans notre site) crée l'ex casino une échappatoire relaxante
On constate que la diversité de fonction aux alentours de notre site se caractérise par la dominance des services administratifs et commerciaux. La ville de Sfax manque des espaces vert des espaces de loisirs et de détente. Ces fonctions sont totalement déconnecter de son contexte local, aucune ouverture au milieu naturel ou minéral. Par conséquence l'équipement industriel qui se compose par les infrastructures portuaires et industrielles a créé une discontinuité non seulement comme une limite spatiale et visuel mais aussi comme une limite d'usage
D'apres le site officielle de taparura :
Les activités polluantes (SIAPES ET GRANIPHOS) sont transfèrées à la Skhira on il y eu une construction d'un nouveau port pour l'exportation liés au chemin de fer. Le port de phosphates de Sfax est réaffecté en port commerciale. Suite aux études de PAD du projet taparura l'etat a projeté quelque intervention :
Réaffectation de l'emprise de la société (CPG) en port des voyageurs (Kerkennah/ croisières)
Création d'une corniche qui relie le projet Taparura au " Chot kreknah" projetée en port de plaisance.
Implanté une pénétrante nord-sud : Axe routière rapide qui relie le centre-ville de Sfax de la route du Gabes vers route de Tunis
Fig 113 : shéma récapitulatif expliquant: les fonctions actuelles des alentours de notre site , illustration personnelle
1
eco-boulvard ali balhouane
Fig 114 : shéma récapitulatif expliquant: le nouveau tracé urbain projeté par l’état, l’accéssibilté projeté pour facilité le mouvementa la ville de sfax , illustration personnelle
On va clôturer notre compréhension par la nouvelle vision du projet Taparura et les activités de réaffectation de littoral du centre-ville de Sfax axe pénetrante nord sud
chemin de fer en sous sol
source www. taparura.com modification personnelle
fig 41:
Fig 115 : deux coupes facades montre la dominance du caractére industrielle des l’alentours de notre site d’intevetion, illustration personnelle
CPG : compagne de phosphates de Gafsa
ligne de chemin de fer
fig 116, shéma présente la projection de l’éxtension de l’axe Ali Balhouane dans le projet taparura pour connecter la medina et la ville europpéenne a la mer.
vers la ville européenne 1 eco-boulvard ali balhouane
vers le bassin ‘‘chot kreknah ‘‘ ancien port de peche
CPG : compagne de phosphates de Gafsa Site d’intervention ‘‘ EX - casino”
voirie reliante casino ville européenne la plage du “casino”
L'Eco boulevard Ali Balhouane : une prolongation de l'avenue Ali Balhouane pour relier la Medina " Beb Diwan ", la ville européenne avec la Mer traversant le projet Taparura, le futur Eco- boulevard et de 100m de largeur pour assurer un trafic doux et pour minimiser la pollution. Il se compose d'une Esplanade avec des voiries aux RDC et un tramway avec des parkings en sous-sol.
On voit que des infrastructures portuaires et industrielles imposantes sur le front marin.
La ville coloniale, la Medina, les repères historiques, sont tous cachés derrière un paysage marin à caractère industriel.
Notre site se trouve aujourd'hui sous forme d'un désert désaffecté, un vide sans âme.
5
les traveaux du projet Taparura sont coinsées en 2006 apres le remblayage et la dépollution de la zone délocalisé la socièté NPK
4
fig 120, coupe perspective présente un blockage visuelle, avec un dégradation du paysage urbain
6 coupe perspective montre la voirie principale pour acceder a notre site blockage visuelle par les industries “CPG”
compagnie des phosphates de gafsa
bordure en béton detail
fondation rocheux couche de protection principale (blocaille) remblai la mer
Voulant rafraîchir la mémoire du lieu et sauver ces nostalgies qui prennent le chemin de l'oubli , il est primordiale dans notre intervention de proposer une approche architecturale et urbaine qui vise à :
Réconcilier la ville à sa Mer Revitaliser la façade maritime. Reconnecter les habitants à leur milieu naturel Renouveler une dynamique urbaine pleine de divertissements et de plaisirs qui est un besoin indispensable pour la ville.
Révéler un ancien délaissé, rappeler la mémoire du lieu par des mises en scène spatiales en stimulant les sens. création d un nouveau poumon pour la ville en remplacement des "jnens" dévastés par l éxtension urbaine
les relations des habitons, nouvelle dynamique urbaine, besoin
la ville a la MER, interface Mer / Terre
urévéler n ancien délaissé, mise en scene spatiale
Création de plusieurs interfaces Mer / Terre. Ouverture sur la Mer Séquence labyrinthique Curiosité de découvrir Redonner à l'eau place dans le parc
Ambiance spatial Ouverture sur la Mer Mise en scene spatiale Attitudes scénographiques ( isoler/ cadrer / chorégraphier)
Repenser les anciennes activités des années 30, pour eveiller les sentiments nostalgiques
Réconcilier la relation entre l'habitant et sa mer Agir et interéagir entre les différentes activités Revitalisation par l'implication des fonctionnalités qui sont un besoin pour Sfax aujourd'hui
Ouveture sur le paysage, le contexte et l'identité du lieu. Valoriser le minéral, la Mer réconcilier la relation entre l'habitant et le littorale et se débarrasser des blocages industrielles.
fig 121, renouer la liaison entre l’habitont et la mer
Un jeu de limite pour provoquer la curiosité du visiteur. C'est une expérience du corps pour plus avancer dans l'espace. La séquence labyrinthique attise le suspense
fig 122, dynamique du parcours sensorielle.
labir ynthe - curosité
fig 123, composer avec la nature, creation des appats, illustration personnele
Diversifié les plateformes au bord de la mer en profitant au maximum de la connexion direct à la mer. La fontaine, les jets d'eau génèrent une certaine flexibilité de l'espace, un certain jeu de mouvement et arrêt qui pousse le visiteur de bouger en plus en plus.
fig 126, fontaines avec brouillard, illustration personnelle ,
fig 124, observatoire maritime, illustration personnelle ,
fig 124, Quai de plaisance, illustration personnelle ,
fig 125, faire caché tous obstacle,un e vue dégagé vers la mer illustration personnelle ,
L'implantation des arbres, la valorisation de la nature se présente comme un fil conducteur pour connecter la mer et les visiteurs par le tissage de plusieurs unités qui sont interconnectées. Cette composition spatiale accentue le dégagement de la vue vers la mer et cache tout les obstacles
Pour relever un lieu de mémoire, l'architecture est notre instrument pour dégager les nostalgies innés tombe dans l'inconscience. Le but c'est de recréer le lieu le lien entre l'espace et l'esprit du visiteur en déployant une diversité de paramètres architecturaux qui stimulent sa curiosité. L'objectif est de basculer le visiteur d'une attitude spectaculaire vers une attitude d'immersion pour l'encourager, d'aller en voyage spirituel pour provoquer certaines nostalgies cachées/ enfermées.
fig 127, promenade, illustration personnelle ,
fig 128, fontaine rapide en cascade , illustration personnelle ,
Evidemment, l'eau est la première source déstressante et relaxante, le déploiement de l'eau comme une source de déclenchement sensorielle est primordiale dans notre intervention, son écoulement, sa murmure et sa variation de débit stimule une diversité de sensations.
Plusieurs tonalités rythmes et musicalité, voyage émotionnel
fig 129, événnements minérale , illustration personnelle ,
Concentrer, focaliser le regard du visiteur, consiste à approfondir la perception du lieu tout en jouent sur l'arrière-plan, l'avant plan...
fig 131, isoler , immersion en soi, illustration personnelle ,
L'isolement sert à capturer le regard du visiteur et l'immerger dans son individuation; Voyage nostalgique
fig 130, cadrage de vue pour valoriser la relation mer/ terre , illustration personnelle ,
fig 132, ifaire bouger le visiteur, illustration personnelle ,
La chorégraphie : l'une des cinq attitudes scénographiques les plus utilisée par les architectes La miser en scène spatiale projette le mouvement du corps du visiteur qui crée une diversité de rythme du pas faisant bouger toutes les articulations du corps.
Le contraste clair-obscur, la lumière pénétrante, la présence de l'eau, la température et l'évaporation tous sont des appats qui créent une atmosphère séduisantes. Ces errances invitent à la découverte.
fig 133, atmosphère émouvante, illustration personnelle ,
La vie des habitants de Sfax se croule à causes des nuisances environnantes et le dysfonctionnement urbain, et aux manques d'espaces destinés à la rencontre et à la convivialité. La ville prend le nom " Sfax l'ennuyante ''.
Notre objet fondamental est donc de renouer les connexions entre les habitants avec leur territoire violé.
Notre approche d'intervention est la solution qui va redynamiser et remettre en forme le " casino " qui était l'âme de la ville, son symbole d'ouverture au monde.
L'objectif est de recréer la vitalité perdue qui va rassembler tous les générateurs. L'endroit idéal pour former un centre de convergence.
Le plan urbain de Sfax se présente comme un centre de convergence. Grâce à la situation de notre site au centre-ville le "casino" est devenu comme un lieu de rassemblement.
fig 134, accéssibilité facie , illustration personnelle ,
fig 135, Revitalisation la façade maritime, illustration personnelle ,
fig 136, absorber les générations , illustration personnelle ,
Un déambulatoire qui va absorber toutes les générations.
fig 137, agir et inetragir entre les différentes activités , illustration personnelle ,
fig 138, l’eau s’éffleure, illustration personnelle ,
Depuis toujours l'eau est une source vitale dans le vécu de tous être vivant dans l'univers. Cette idée métaphorique valorise la présence de l'eau et l'importance de la présence de l'eau dans notre vie. L'eau va faire revivre le lieu. L'apparition de l'eau provenant des fissurations de la terre redynamise l'environnement et le rend actif.
L'objectif principal est de vivre une expérience spatiale qui rappeler les 3 mutations de caractères de ce site avec ses états.
site délaissé oubli
Après analyse approfondie basée sur une enquete sociale de la ville de Sfax et de ses besoins, on est arrivé à établir un programme qui vise à connecter, commémorer et renouer. Tout d'abord on va présenter les entités du programme à l'échelle urbaine et par la suite nous focaliser sur l'échelle architecturale.
Le but est de revitaliser la façade maritime de Sfax et donc à réconcilier la ville à la mer en mettant en forme un parc urbain à casino. Il sera un lieu de divertissement pour la ville grâce à un ensemble d'activités et de loisirs tout en se basant sur la mémoire du lieu.
fig 139, un besoin d’activités pour la ville, illustration personnelle ,
Un pavillon de l'eau : une fabrique de l'emotion qui contient :
Des expositions artistique , Un spectale de l'eau par un espace générateur de l'eau
Des thermes et des espaces de bien étre
espace sportif en hauteur : footballtennis - skateboarddes
Espace de loisir pour enfant Terrain de jeux a ressort Gonflable Mur d'escalade Place d'apprentissage
parcours labyrinthique espace de rencontre / détente /pique-nique yoga / scene en gradin s'ouvre a la mer / jet d'eau
fig 140, plan de cohérense de l’intervension urbaine avec une coupe sur la promenade architecturale , illustration personnelle ,
Début du parcour urbain : Plusieurs chemin chaqu'un avait sa propre éxpérience une observatoire avec une fontaire a débit rapide /chemin pour les cyclables avec des pontes.
2 parking cahés sous la coline
ACCEUIL + ADMINISTRATION ESPACE DE CONSOMMATION (cafe/ gilaterie..) location bicyclette PARKING DESTINEE AU PLAGE des resto-bars ouvert sur la plage (sous la coline).
fig 142, plan illustre l’organisation spatial de l’entité d’accueil en RCD ,
voirie de 25m
fig 143, perspective illustre l’entité d’accueil en etage , illustration personnelle
fig 141, défragmantation du plan d’ensemble pour crée des séquences pour tirer et zoomer sur les concepts utiliser , illustration personnelle ,
nature- verdure sombre mystériosité (lumière -forme)
nature la plage effect surprise
fig 144, plan illustre l’organisation spatial de l’entité d’accueil en Etage +4.5m, illustration personnelle
Fig 145 , perspective montre le passage vers la plage, un jeu de clair-obscur a aspect mytérieux
Sons du ruissellement de l'eau Sons des cyclables pas d'échange visuelle
Fig 147 , zoom du fig 146 avec deux coupe illustre les intesion architectraux pour le v,
curiosité de découverte mur aveugle
COUPE A - A
CHEMIN 1
vue en hauteur / sentiment d'étre favorisé
mouvement arret
comptemplation
l'arret de chemin chercher un escalier changement de chemin
visiteur orientée evocation emotionnelle
Fig 148 , coupe A-A du fig 147 , illustration personnelle
limite
Fig 146 , plan séquence 2 avec une coupe qui présente les autres entités du parc ,
Fig 149 , coupe B-B du fig 147, illustration personnelle
Fig 128
Fig 121
Après avoir sensibilisé le visiteur, et provoquer ses émotion, la 3éme séquence vise à le détendre. C'est un espace de convergence qui relie les activités du parc, des cadrage de vue, des jets d'eau.
Fig 151, zoom sur le plan de la figure 150
Fig 150 , plan séquence 3 avec une coupe qui présente le dispatching des entités , illustration personnelle
Fig 122
Fig 152, illustration personnelle
Un pavillon de l'eau : une fabrique de l'emotion qui contient : Des expositions artistique , Un spectale de l'eau par un espace générateur de l'eau Des thermes et des espaces de bien étre
L'eau jaillit du sol pour sculpter les masses bâtis par ses mouvement dynamiques
la circulation de l'eau va animer, scuplter, creuser les espaces bâtis pour crée une éxpérience unique qui traverse boulverse l'aspect quotidient
niveua +16 m- spa plan masse
Sfax est une ville chargée de potentialité, riche par son histoire, ses ressources. C’est la ville qui m’a vu grandir, pour moi elle est de tout temps le synonyme de sérénité. Par erreur son caractère initial a été abandonné et opprimé pendant une période, afin de prendre le chemin de l’oubli.
Du coup, le rôle de l’architecte est de chercher et d’articuler une liaison entre la nostalgie et son intervention pour revivre la mémoire du lieu. Comment raconter la mémoire du lieu sans sacraliser son histoire ? Comment dévoiler les couches du passés de notre site ‘’casino ‘’ sans présenter une métaphore qui exprime des liens entre le passé, le présent et le futur
La mémoire des lieux déploie l’eau pour raconter son histoire à travers un geste architectural, l’eau est un intermédiaire qui contextualise cette intervention par ses mouvement qui sculpte l’espace d’une part et d’éveiller la mémoire collective des Sfaxiens, d’autres part, par des mise en scènes spatiales. Le visiteur est transformé à un arpenteur qui dialogue avec son contexte et ses identités.
Le but c’est de créer une relation de transition entre les différents caractères de ce lieux (balnéaires –industrielle – vide urbain ) afin de créer une liaison spatio-temporelle suscitant ces réminiscences basés sur un processus scénographique pour objectif de connecter, commémorer et renouer ….
Nicolas Gilsoul , L’ARCHITECTURE EMOTIONNELLE Au service du projet ,Etude du Fonctionnement des mécanismes Scénographiques dans l’œuvre De BARRAGAN (1940 – 1980), l’Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l’Environnement (Agro/Paris/Tech), 17 juin 2009
Xavier Bonnaud, L’expérience architecturale Réflexions sur une notion, points de vue sur une discipline, Architecte, Docteur en urbanisme, Professeur à l’ENSA de Paris La Villette, 13 décembre 2014
Peter Zumthor, ‘Penser l’architecture’’ Traduit de l’allemand, d’après le texte de l’édition de 2006. Birkhauser Basel • Boston • Berlin
Maurice Halbwachs, la mémoire collective, chapitre ’’ l’espace fictif’’
Juhanni Pallasma, le regard des sens , edition du linteau, 01/01/2010
Anna Bambridge, Le contenu émotionnel en architecture à travers le travail de Peter Zumthor
Masaru emotto, gérard leconte – l’eau, mémoire de nos émotion – éditeur guy tredaniel
Anouar achich, Sfax ma mémoire, AUTO ÉDITION (01/03/1989) psychanalyste sfaxien.
Ali Zouari , Signature du Livre “Sfax aux XVIIIe et XIXe Siècles Chronique d’une ville méditerranéenne” de Ali Zouari
Charlotte poat , Lieu m(émoi)re , Tome 1 et 2, Projet de fin d’étude Mémoire de recherches , masters design global recherche et innovation, école codées paris
Abir Ezzidine , La Réminiscence de L’eau, , mémoire d’architecture ENAU.
Lobna dabbousi, Pavillon de la mémoire.. A l’aune d’une expérience émotionnelle, mémoire d’architecture ENAU
TEVA BLANC, L’expérience du mémorial au-delà du simple souvenir , mémoire d’architecture , école nationale supérieur d’architecture de Lyon
Ayoub krichen , Vers une approche de bien-être à Sfax - Réapproprier le délaissé industriel ‘Magasin à blé’ , mémoire d’architecture ENAU
fig 1 :Le Retour aux sources, illustration personnelle
fig 2: apercu historique , illustration personnelle
fig 3 :les Remparts de sfax cote sud-est, source : edusfax.com
fig 4 : les strates de la medina , source : http://sfax1881-1956.com
fig 5 : premiere implantation urbaine a thyna , modification personnelle, source : edusfax.com
fig 6 : la trace urbaine de la medina , modification personnelle source : edusfax.com
fig 8 : l’implantation de la ville européenne , modification personnellesource : edusfax.com
fig 7 : l’extension urbaine de la ville de sfax , modification personnelle- source : edusfax.com
fig 9 : Changement de la structrure de la ville apres guerre , modification personnelle- source : edusfax.com
fig 10 : évolution urbaine harmonieux, modification personnelle- source : edusfax.com
fig 11 : la reconquete de la république tunisienne, modification personnelle- source : edusfax.com
fig 12 : premier pas vers le dysfonctionnement urbain source : edusfax. com et http://sfaxentre 1888-1956.com
fig 13 : synthese de l’evolution urbaine de la ville et la relation de la ville avec la mer
fig 12 : agglomération urbaine de la ville de Sfax depuis les années 60 jusqu’a nos jours, modification personnelle http://sfaxentre 1888-1956. com
fig 13 : synthèse de dysfonctionnement urbain de la ville illustration personelle
fig 14 : la pollution a Sfax, source : http://leaders.com.tn fig 15 : l’exitoire des lixiviats générés par le terril de phosphogype, source : http://leaders.com.tn
fig 16 : genese d’une pollution d’air- SIAPE, source : http://webdo.tn fig 16 : implantation des territoires industriels , modification personnelle
fig 17 : synthèsede dysfonctionnement ubrbaine et les résultats de l’implantation industrielle
fig 18 : la relation des aglabides avec la mer, illustration personnelle
fig 20 : des festivales dans la mer, source : http://edusfax.com
fig 20 : sfax épouse la mer, source : http://edusfax.com
fig 21 : l’intervention urbaine accentue la relation avec la mer, source : http:// edusfax.com
fig 22 : Pieds dans la mer , source : histoiredesfax.com
fig 23 : une trame urbaine accentue les perspectives vers la mer , modification personnelle
fig 24 : un appontement sans gacher l’ouverture à la mer, illustration personnelle
fig 25: vue aérienne de la ville européenne,modification personnelle source : sfax1881-1956.com
fig 26: vue aérienne du port de peche “chot krekna” , source : sfax18811956.com
fig 27: intégrer la mer dans la ville par un chenal nomé “chot krekna” , source : sfax1881-1956.com
fig 28: illustration en 3D montre la perte du lieu de chot krekna ,illustration personnelle
fig 29: un océan de déchets envahit l’ancien port de peche, source : webdo.tn
fig 30 : rupture avec la mer , illustration personnelle
fig 31: la mer enterée sous les installations portuaires, modification personnelle source : tunisianumérique.com
fig 32: vue en perspective de TAPARURA, modification personnellesource : TAPARURA.com
fig 32: PAD TAPARURA, modification personnellesource : TAPARURA.com
fig 33: LES PRINCIPES DE L’AMENAGEMENT DEVELOPPEE PAR LE SEANCNVS , modification personnelle source : TAPARURA.com
fig 34: CPG : CONPAGNIE DES PHOSPHATES DE GAFSA , source : TAPARURA.com
fig 35: synthèse de la trace de la mer d’une ville de muttation urbaine,
fig 36: les plages de sfax des années 20 , illustration personnelle fig 37: le plage municipale du casino dans les années 20 ,source : lessitessfaxien.com
fig 38: les sociètées de traitement de phosphates qui ont massacré les plages de sfax,source : lessitessfaxien.com
fig 39: situation du support d’intervention par rapport a la ville , illustration personnelle
fig 40: position stratégique de notre site d’intervension , illustration personnelle
fig 41: futur axe rapide qui va résoudre la rupturé provoué par le chemin de fer traversant l’export chot krekna , illustration personnelle (source :taparura.com)
fig 42: un lieu de muttation de caractére, modification personnelle source sfax mes souvenirs: lesitesfaxien.com
fig 43: les plages de sfax, modification personnelle source: lesitesfaxien.com
fig 44: une ville balnéaire, source: lesitesfaxien.com
fig 45: les dépots d’hydrocarbures qui ont détruits les plages de sfax , source: ar-ar-facebook.com
fig 45: rupture entre les sfaxiens et leurs mer , illustration personnelle
fig 47: les dépots d’hydrocarbures qui ont détruits les plages de sfax , source: ar-ar-facebook.com
fig 48: alerte de dépollution le littoral de sfax, illustration personnelle fig 49: bolckage de transition , illustration personnelle fig 50: dépollution du casino , source: la presse.tn
fig 51: mémoire de la ville de sfax , composition personnelle fig 52: l’éveil de nos souvenirs, illustration personnelle
fig 53: scénographié les lieux de mémoires du casino , illustration personnelle
fig 54: le chemin de l’oubli, L’hypnose , illustration personnelle fig 54: Se plonger au coeur de la spiritualité , illustration personnelle
fig 55: les racines de la mémoire , illustration personnelle
Fig 56, installée dans le pavillon du Japon à la biennale de Venise, , biennale de venise 2015, Chiharu Shiota
fig 57: tentatives d’une liaison entre le présent,le passé et le futur, illustration personnelle
fig 57 : synthèse de la mémoire, illustration personnelle
fig 58: trajectoire nostalgique , illustration personnelle
fig 59: l’espace architectural est toujours présent dans nos sovenirs, illustration personnelle
fig 60: shema résume la liason entre la mise en scene spatiale et les émotions, illustration personnelle
fig 61: Ecuries San Cristobal, source :lingenu.com
fig 62: casa ortega, source :casaluisbarragan.com
fig 63: El bebedero, Passeo de los Gigantes, Las Arboleras, source :linegu.com
fig 64: casa Gilardi, source : brasilidade.com
fig 65: l’éxpérience architecturale selon xavier bonnaaud , source : livre xavier bonnaud, l’éxpérience architectural
FIG 66, LOUIS KHAN ‘‘PHILIPS EXESTER LIBRAIRY’’ source : archdaily.com
FIG 67, LUIS BARRAGAN ‘‘CHAPELLE CASA BARRAGAN’’ source : floornatur.eu
Fig 68, mise en lumière par Luis barragan source : floornatur.eu
Fig 69, l’expérience de la lumièreselon James Turrel : skyspace-lech.com
Fig 70, le montage spatio-temporelle par luis barragan, source : thèse NICOLAS GILSOUL
Fig 71, mise en scène spatial du corridor casa gillardi ,modifcation personnelle source : thèse NICOLAS GILSOUL
Fig 74, synthèse des mise en scène spatio-temporelle de l’architecture emotionnlle selon BARRAGAN ,illustration personnelle
Fig 72, montage spatio-temporelle sert a individuation du visiteur ,illustration personnelle
Fig 73, mise en scène spatial du séjour casa barragan ,modifcation personnelle source : thèse NICOLAS GILSOUL
Fig 74, montage spatio-temporelle sert a détendre le visiteur ,illustration personnelle
Fig 75, la pénétration de la lumière selon tadao ando source : arc.ulaval.ca
Fig 76, Salle Walter de Maria http://everywheremag.com/photos/7484
Fig 77, L’antichambre 1 dans la salle d’expposition de James Turrel. source: Cantz, 2005
Fig 78, synthèse UNE SYMBIOSE ENTRE LA NATURE, L’ART ET L’ARCHITECTURE selon TADAO Ando
Fig 79, atmosphère selon Perter zumthor. source: domusweb.it
Fig 80, l’espace du abassin intérieur. source: domusweb.it
Fig 81 ,plan montrant la disposiotion de température , source 4-shared.com
Fig 82 ,la disposiotion spatiale sonore , source 4-shared.com
Fig 83 ,Museum Kunsthaus Bregenz montre une exposition de Maurizio Cattelan , source:arch2o.com
Fig 84 ,Le Corps sonore Suisse, http://architecturephoto.net/syasin/028/e028.htm
Fig 85 ,synthèse cartographier l’ambiance d’une expérience architecturalselon peter zumthor, illustration personnelle
Fig 86 ,synthèse , l’architecture émotionnelle
Fig 87 ,s’ouvirir a des références architecturale , illustration personnelle
Fig 88 , Le Corps sonore Suisse, www.dezeen.com
Fig 89 , Les musiciens participent à l’atmosphère du lieu, Peltason, 2010
Fig 90 , expérience unique un plan qui montre la déambulation des musiciens et des visiteurs , illustration personnelle
Fig 91 , attributs constructifs , illustration personnelle
Fig 92 , une atmosphère forestière , source: Suisse, http://architecturephoto.net/syasin/028/e028.htm
Fig 93 , L’agencement des matériaux, http:wanderersinthemist
Fig 94 ,une mise en scène d’un village qui vit en paix massacré par les nazies
Fig 96 ,les ruines du village d’oradeur sur la glane , source internaute.fr
Fig 97 ,la facade du centre de la mémoire d’oradeur sur la glane , source oradeur.org
Fig 99 ,plan du centre de la mémoire modification personnelle
Fig 100 ,parcours architecturale a caractère informatif pour rappeler la mémoire de ce lieu. source : franceblue.fr
Fig 101 , ne jamais oublier le passé :franceblue.fr
Fig 102 , synthèse:réfléxions architecturaux contre l’oubli, illustration personnele
Fig 103 ,penser au bonheur des habitons la fontaine d’ira keller en.arquitectura.com
Fig 104 ,visite nocturne de la fontaine d’irakeller en.arquitectu-
Fig 105 : HALPIN ,sketch , auditor forcourt, opening day - juin 23 https://tclf.org/sites/default/files/microsites/halprinlegacy/ ira-keller-forecourt-fountain.html
Fig 106 : synthèse des concepts du parcours émotionnelle de la fontaine d’ira keller,
Saturday, June 16, 2012
Keller Fountain, ‘‘see the word one drawing at time ‘‘ , AMY stewart http://urbansketchers-portland.blogspot.com/2012/06/keller-fountain.html
Fig 107 : plan de l’intervention urbaine de la friche station de chemin de fer,de lakeland , source sasaki.com
Fig 108 : une mise en scène qui présente la muttation de caractère de ce lieux , une station de gare vers une décharge industrielle. source : sasaki.com
Fig 109 : un concept favorise l’aspect environnemental , source modication personnelle, sasaki.com
Fig 109 : ouverture totale vers le lac sasaki.com
Fig 110 : l’eau comme motrice de la fabrique de la mémoire , illustartion personnele
Fig 111 : axono présente les alentours de notre support d’intervension , illustartion personnele
Fig 111 : morphologie urbaine entre batiments, parcelles et voiries, illustration personnelle
Fig 112 : disposition fonctionnelle du centre ville illustration personnelle
Fig 113 : shéma récapitulatif expliquant: les fonctions actuelles des alentours de notre site , illustration personnelle
Fig 114 : shéma récapitulatif expliquant: le nouveau tracé urbain projeté par l’état, l’accéssibilté projeté pour facilité le mouvementa la ville de sfax , illustration personnelle
Fig 115 : deux coupes facades montre la dominance du caractére industrielle des l’alentours de notre site d’intevetion, illustration personnelle
fig 117, plan présente les prises de vues dans notre suport, illustration personnelle fig 118, des vues panoramiques a 180° pour capturer toute facades du terrain, des prises personnelle fig 119,des captures intérieurs présente un vide fig 120, coupe perspective présente un blockage visuelle, avec un dégradation du paysage urbain
fig 121, renouer la liaison entre l’habitant et la mer fig 122, dynamique du parcours sensorielle. illustration personnele fig 123, composer avec la nature, creation des appats, illustration personnele fig 124, observatoire maritime, illustration personnelle , fig 124, Quai de plaisance, illustration personnelle , fig 125, faire caché tous obstacle,un e vue dégagé vers la mer illustration personnelle , fig 126, fontaines avec brouillard, illustration personnelle ,
fig 127, promenade, illustration personnelle , fig 128, fontaine rapide en cascade , illustration personnelle , fig 129, événnements minérale , illustration personnelle ,
fig 131, isoler , immersion en soi, illustration personnelle ,
fig 130, cadrage de vue pour valoriser la relation mer/ terre , illustration personnelle ,
fig 132, ifaire bouger le visiteur, illustration personnelle , fig 133, atmosphère émouvante, illustration personnelle ,
fig 134, accéssibilité facie , illustration personnelle , fig 135, Revitalisation la façade maritime, illustration personnelle ,
fig 137, agir et inetragir entre les différentes activités , illustration personnelle ,
fig 136, absorber les générations , illustration personnelle , fig 138, l’eau s’éffleure, illustration personnelle , fig 139, un besoin d’activités pour la ville, illustration personnelle ,
fig 140, plan de cohérense de l’intervension urbaine avec une coupe sur la promenade fig 141, défragmantation du plan d’ensemble pour crée des séquences pour tirer et zoomer sur les concepts utiliser , illustration personnelle , fig 142, plan illustre l’organisation spatial de l’entité d’accueil en RCD ,
fig 143, perspective illustre l’entité d’accueil en etage , illustration personnelle
fig 144, plan illustre l’organisation spatial de l’entité d’accueil en Etage +4.5m, illustration personnelle
Fig 145 , perspective montre le passage vers la plage, un jeu de clair-obscur a aspect mytérieux
Fig 146 , plan séquence 2 avec une coupe qui présente les autres entités du parc , Fig 147 , zoom du fig 146 avec deux coupe illustre les intesion architectraux pour le Fig 148 , coupe A-A du fig 147 , illustration personnelle
Fig 149 , coupe B-B du fig 147, illustration personnelle Fig 150 , plan séquence 3 avec une coupe qui présente le dispatching des entités ,
Fig 151, zoom sur le plan de la figure 150
Fig 152, illustration personnelle
la mémoire 48 02
émotionnelle
59 60 2.3 l experiences architecturale com me assise sensorielle UNE MISE EN SCENE SPATIALE 2.3.1 FORMES COULEUR LUMIERE 61 61 2.3.2 LE STREAPE TEASE ARCHI TECTURAL UNE MISE EN SCENE SPATIALE LUIS BARRAGAN 65 2.3.3 AMBIANCE ARCHITECTURALE SENARIO SPATIALE T A D A O A N D O
69 2.3.4 LA MAGIE DU REEL - MISE EN SCENE SPATIALE P E T E R Z U M T H O R