N° 012 AOUT -OCTOBRE 2015 GRATUIT
Revue de l’Aéroport International Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan
AÉRIA TRAVAILLE POUR VOTRE CONFORT
zoom sur le nouveau salon business...
www.aéria-ci.com
Sommaire EDITO (P.05) AERIA NEWS & VIEW (P.06-13) Visite des ambassadeurs de Côte d’Ivoire à l’étranger AERIA sur l’échiquier International 53e congrès ACI-Afrique, Maroc / 24e Congrès Alfa-ACI, Genève Aéria, dans la dynamique de la formation de son personnel AERIA met le cap sur le confort Votre nouveau AIR LOUNGE CAFE Zoom sur le nouveau salon vip DOSSIER SPECIAL (P.14-17) Certification TSA TROIS QUESTIONS A… / (P.18-19) M. MANOUAN Aka, nouveau DGA d’Aéria FOCUS (P.20-21) La BAD de retour à Abidjan
Editeur / Editor Directeur de publication/Publisher
GILLES DARRIAU AERIA-07 BP 30 Abidjan 30 République de Côte d’Ivoire Tél: (225) 21 75 79 00 / Fax: (225) 21 75 79 03 Email: contact@aeria-ci.com Site web: www.aeria-ci.com
Rédacteur en chef / Chief Editor BANTI SANGARE
AÉROPORT D’ABIDJAN // 03
Infos.firstmedia@gmail.com +225 77 30 18 36 Impression: VITIMPRIM +225 22 41 50 45
Éditorial Edito LA CERTIFICATION
L
a Certification TSA pour
connues l’Aéroport à nos
l’Aéroport d’Abidjan,
diplomates. Tout cela vous
Ca y est ! Après 15
sera
dans
‘’AÉRIA
ans d’efforts et de réformes,
news’’. La Rubrique ‘’
l’aéroport international Félix
3 questions à …’’met en
Houphouët-Boigny d’Abidjan
prime
vient
d’AÉRIA. Avec le’’ Focus
d’acquérir
importante qui
cette
qualification,
va permettre à une
compagnie
le
AÉRIA’’, des
nouveau les
récentes
Dga
temps
forts
Assemblées
aérienne
annuelles de la Bad, vous
d’effectuer des vols directs
seront relatés comme si vous
d’Abidjan vers les Etats-Unis
y étiez !
d’Amérique.
Au
Cette
importante
étape
franchie, le grand défi qui attend donc l’aviation civile ivoirienne, reste la constance dans le travail. La dynamique équipe
d’AÉRIA
est
sur
tous les fronts tant au plan national qu’international. AERIA s’est aussi engagé pour l’innovation: le nouveau restaurant et
M. Gilles DARRIAU Directeur Général d’AÉRIA
servi
le nouveau
salon business font la fierté des passagers. Le
Sita
2015,
la
4ème
édition de ce Rendez-vous touristique international par excellence, a tenu toutes ses promesses, AÉRIA y était. La visite des ambassadeurs ivoiriens à l’étranger a été une occasion de présenter toutes les innovations qu’a AÉROPORT D’ABIDJAN // 05
plan
international,
AÉRIA est actif au sein des organisations aéroportuaires. Une présence remarquée lors du 53e congrès ACI-Afrique au Maroc et au 33e congrès ALFA-ACI, à Genève, a été fortement appréciée par la communauté aéroportuaire. Aussi,
vous
retrouverez
vos rubriques habituelles, dont la
le ‘’Update’’ avec commémoration
centenaire Bassam,
de
du
Grand-
Stromae
dans
‘’Arts et Culture’’ et le Royaume
Chérifien,
le
Maroc, en pole position en termes de développement économique
majeur
avec
toutes ses richesses, dans le ‘’Globe-trotters’’. Bonne lecture à Tous !
AÉRIA NEWS & VIEW AÉRIA AU SITA 2015
L
’Aéroport International FHB d’Abidjan a pris part à la 5e édition du Salon International du Tourisme d’Abidjan(SITA) qui s’est tenu du 07 mai au 10 mai 2015, à Heden Golf Hotel. Porte d’entrée privilégiée des touristes, l’Aéroport a profité de ce cadre d’échanges qui regroupait diverses nations, pour communiquer sur les acquis. La certification américaine tant
attendue par les hommes d’affaires pour le développement de leurs activités au pays de l’oncle Sam était le sujet le plus abordé avec les différents visiteurs. Les projets en cours et à venir ont également été présentés. Notons que la croissance du tourisme contribuera à l’objectif de 1 500 000 passagers fixé par l’Aéroport pour 2015.
L
e vendredi 12 juin 2015, AÉRIA a reçu dans ses locaux, une délégation de la Douane conduite par le Colonel Signo Maurice. L’objectif de cette rencontre était la remise de matériel à la Douane. Prenant la parole, M. Aka MANOUAN DGA d’AÉRIA, a une fois de plus, exprimé la volonté de ladite structure de soutenir toutes entités de la plateforme aéroportuaire afin de mener à bien leurs fonctions respectives. C’est donc, dans cette dynamique que s’est inscrit AÉRIA en offrant un appareil photo dernière génération, à la douane de
AÉRIA ÉQUIPE LA DOUANE
l’aéroport. Il a au nom du DG d’AÉRIA absent, encouragé la douane à beaucoup de vigilance afin de faire des prises sur la plateforme aéroportuaire. AÉROPORT D’ABIDJAN // 06
Le Colonel Signo, a quant à lui, exprimé sa gratitude à AÉRIA qui ne ménage aucun effort pour les mettre dans des conditions optimales de travail.
AÉRIA NEWS & VIEW VISITE DES AMBASSADEURS DE CÔTE D’IVOIRE À L’ETRANGER
L
’aéroport international FHB d’Abidjan a reçu le jeudi 30 avril 2015, la visite de tous des ambassadeurs de Côte d’Ivoire à l’étranger avec à leur tête, le directeur de cabinet du ministère des Affaires étrangères. L’Objectif était de s’enquérir des nouvelles de l’Aéroport, en général et de la certification acquise, en particulier afin de mieux vendre la CI là où ils la représentent. Une visite de toute l’aérogare internationale conduite par MM SILUE Sinaly et Gilles DARRIAU, respectivement Dg de l’ANAC (Autorité Nationale de l’Aviation Civile) et d’AÉRIA et leurs collaborateurs, a permis aux diplomates de connaître les différentes zones de l’aéroport, allant des zones non réglementées à celles dites réglementées, le poste d’inspection filtrage (PIF), le poste de contrôle Ebola auquel sont soumis tous les passagers qui débarquent sur le sol ivoirien. Les différents chantiers ont été présentés, notamment la zone d’embarquement et la zone fret qui sera la zone fret la plus moderne d’Afrique.Les explications de M. Daniel Milan, Directeur de la sûreté et de la facilitation à l’ANAC ont traduit tout le travail abattu par AÉRIA et l’ANAC pour positionner cet aéroport aux normes internationales. Après cette visite, une séance de débriefing a eu lieu à l’ANAC où les diplomates ont montré un vif intérêt à travers les questions posés. M. Silué, DG de l’ANAC prenant la parole
a tenu à remercier les ambassadeurs et à leur présenter la certification américaine fraîchement acquise. Il a expliqué que le terme adéquat est agrément (et non certification) accordé par l’Etat américain, à la suite d’un audit effectué sur plusieurs mois. S’agissant des actions de l’ANAC dans ce processus de certification, il a énuméré quelques-unes à savoir : 1.La mise en œuvre d’une réglementation ; 2.La vidéosurveillance intérieure et extérieure ; 3.Les engins performants de 3e génération pour le contrôle des bagages. Il a également signifié l’étroite collaboration existante entre les différentes structures de la plateforme aéroportuaire que sont l’ANAC, AÉRIA, Avisecure en charge de la sûreté aéroportuaire, la police, la gendarmerie et la douane. Pour terminer son propos, M. Silué a noté que ‘‘la réalisation de toutes ses choses, a été possible grâce à la volonté politique’’. Il AÉROPORT D’ABIDJAN // 07
a salué la visite des diplomates qu’il a d’ailleurs qualifié de motivante. Prenant à son tour la parole, M. Darriau a exprimer sa satisfaction pour la certification acquise. Pour lui, il est bon d’avoir la certification mais ‘‘l’objectif, c’est la desserte par une compagnie aérienne’’ ; il a donc rassuré l’auditoire de l’effectivité dans les plus brefs délais. M. KALOU Emmanuel, Directeur de Cabinet du ministère des Affaires étrangères a remercié l’ensemble de la communauté aéroportuaire au nom du ministre Diby Koffi Charles, ministre des Affaires étrangères et de l’ensemble des diplomates. Il a adressé ses vives félicitations, pour le travail abattu en synergie. Il a aussi salué toutes les innovations et toutes les mesures douanières mises en place pour ‘‘avoir un aéroport où il y a la sûreté et la sécurité’’. Les diplomates sont repartis satisfaits et bien informés pour ‘‘mieux vendre’’ l’aéroport international d’Abidjan.
AÉRIA NEWS & VIEW ACI AFRIQUE / 53 ème CONGRÈS
l
a 53ème réunion du conseil d’administration et des groupes de travail et Conférence régionale et exposition de l’ACI-Afrique s’est tenue à Casablanca au Maroc du 19 au 22 avril 2015. Cet événement qui réunit tous les aéroports d’Afrique, offre une occasion unique et un cadre idéal pour les aéroports et les autres intervenants du secteur de l’aviation, les experts et les exposants venus du monde entier, pour faire du réseautage, partager des informations
et élaborer une vision commune pour l’avenir des activités aéroportuaires en Afrique. Conscient de l’opportunité que représente ce rassemblement, l’Aéroport International FHB d’Abidjan a pris une part active à ce congrès avec un stand et un sponsoring (sponsor OR) dudit évènement. Le thème développé lors de ces rencontres était « Collaboration pour une Aviation Sûre, Sécurisée et Durable en Afrique » ; il a permis aux acteurs de réfléchir sur AÉROPORT D’ABIDJAN // 08
la collaboration des aéroports africains pour une aviation fructueuse, profitable et durable en Afrique. Les questions relatives à l’amélioration du voyage aérien, la libéralisation du transport aérien en Afrique et de la collaboration pour répondre à une crise globale, ont été également abordées. Notons que la conférence a été précédée des réunions du Conseil d’administration et des groupes de travail suivie de séminaires de formation au bénéfice des acteurs présents. Trois conventions pour le renforcement de la coopération sud-sud conformément aux accords de l’Union des Gestionnaires d’Aéroports de l’Afrique du Centre et de l’Ouest (UGACOO) et de l’Office National des Aéroports du Maroc (ONDA). Dans le but de valoriser le domaine foncier et d’améliorer les performances aéroportuaires. Ce fut en présence de la Directrice Générale de l’ACI-Monde, Mme Angela Gittens, Pascal KOMLA et Ali TOUNSI, respectivement Président et Secrétaire Général de ACI-Afrique et Zouhair Mohammed EL AOUFIR, Directeur Général de l’Office National Des Aéroports (ONDA), l’hôte de ce 53e congrès.
AÉRIA NEWS & VIEW ALFA-ACI GENEVE / 24 ème CONGRÈS
Le 24e congrès des aéroports francophones (ALFA-ACI), s’est tenu du 27 au 30 mai 2015 à Genève en Suisse ; il a été organisé par Genève Aéroport et a vu la participation de plus de 380 personnes, dont une importante délégation de l’Aéroport International d’Abidjan avec à sa tête le Président du Conseil d’Administration d’AERIA, le Gal Abdoulaye Coulibaly et le Directeur Général Gilles DARRIAU.
A
l’entame de la cérémonie, représentants étatique et aéroportuaire de Genève se sont succédé au pupitre pour l’ouverture officielle du congrès, non sans exprimer leur joie d’accueillir cet évènement annuel. Il s’agit de Pierre MAUDET, Conseiller d’État, Thomas JUIN, président de l’ALFA-ACI, et Robert DEILLON, Directeur général de Genève Aéroport. Le thème choisi pour cette année était : «Les grands enjeux de demain pour nos aéroports : perspectives à 10 ans». Développé pendant les deux jours qu’aura duré le congrès, ce thème a été décliné comme suit : tendances du trafic aérien à l’horizon 2025, modèles économiques des aéroports, transformations numériques des aéroports intégrant de nouveaux services, rôle, missions et gouvernance de l’autorité aéroportuaire. Une exposition a permis aux fournisseurs et consultants aéronautiques de présenter
leurs prestations. Notons que ce congrès a été l’occasion pour la délégation de l’Aéroport d’Abidjan d’échanger avec des collègues d’autres aéroports et des partenaires et de faire du réseautage. En marge de ces conférences, les participants ont pu découvrir le paysage touristique et culturel de Genève avec notamment une soirée d’accueil au Musée Ariana et un dîner gala à la salle communale de Plainpalais. Rappelons que l’Association des Aéroports de Langue Française Associés à Airport Council International (ALFAACI), est constituée de dirigeants et de responsables opérationnels AÉROPORT D’ABIDJAN // 09
d’aéroports francophones du monde entier ; il regroupe près de 90 exploitants d’aéroports représentant plus de 150 plateformes aéroportuaires francophones dans une quinzaine de pays et, au titre de membres associés, plus de 80 sociétés exerçant des activités dans le secteur aéroportuaire. Cette association facilite le développement des relations professionnelles et amicales entre ses membres et étudie tous les sujets ayant trait à l’exploitation des aéroports francophones en vue d’établir des positions communes et d’améliorer les services fournis aux clients.
AÉRIA NEWS & VIEW «AÉRIA, dans la dynamique de la formation de son personnel !»
D
ans le cadre du renforcement des capacités de son personnel des Directions, Départements et Services directement impliqués dans la mise en œuvre des exigences liées au processus de certification sécurité OACI de l’Aéroport International Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan, AÉRIA, en sa qualité de gestionnaire de l’aéroport et demandeur du certificat OACI a procédé du 22 juin au 10 Juillet 2015 au renforcement des capacités de 45 de ses collaborateurs composés de cadres et d’agents de maîtrise. Les formations qui ont été dispensées par la structure OPEN SKY CONSULTING basée en Tunisie, portaient sur la «Sécurité et opérations Airside», la «Conception et
exploitation technique des aérodromes» et la «Certification des Aérodromes », ont été clôturées par un audit à blanc organisé du 13 au 15 Juillet 2015 avec pour objectif, de s’assurer du niveau de compréhension et d’implémentation des procédures d’exploitation et des mesures de sécurité par les agents formés. Le rapport de cet audit qui a vu la participation des experts de l’Autorité Nationale de l’Aviation Civile de Côte d’Ivoire (ANAC) en tant qu’observateurs lors de l’opération, est attendu pour le 31 Juillet 2015. Le porte-parole des bénéficiaires desdites formations, monsieur AKA Manouan, Directeur Général Adjoint a exprimé sa reconnaissance au Directeur Général d’AÉRIA, monsieur GILLES DARRIAU
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pour l’opportunité qui leur a été offerte par ces séries de formations afin de mieux comprendre l’exploitation d’un aéroport. Monsieur Gilles DARRAU a vivement exhorté ses collaborateurs à mettre effectivement en œuvre dans leurs missions quotidiennes ,les connaissances acquises, lors des formations et les partager avec leurs collègues qui n’ont pas encore eu l’occasion de participer aux différents modules. Il leur a réaffirmé la volonté managériale d’AÉRIA à continuer d’inscrire la formation des ressources humaines au centre de ses actions.
AÉRIA NEWS & VIEW Votre nouveau AIR LOUNGE CAFÉ
L
’Aéroport International d’Abidjan offre un
nouveau cadre de restauration en zone d’embarquement. Ouvert depuis le 16 avril 2015, le nouvel AIR LOUNGE CAFE vous accueille dans une ambiance contemporaine avant votre vol.
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AÉRIA NEWS & VIEW Zoom sur le nouveau salon VIP de l’aéroport d’Abidjan
Le Salon Business NEW
L
e nouveau salon Business a ouvert ses portes, le Mercredi 1er juillet 2015 sous le coup de 18h . Le salon est convivial et s’étend sur une superficie de 635 Mètres carrés avec environ 150 Places. Les passagers ont désormais la possibilité de profiter de repas en libre-service mis à disposition par notre partenaire de référence SERVAIR ; Le wifi y est disponible en accès gratuit et illimité. Le salon disposera d’un espace fumeur et de prière. Pour accéder au salon, il faut être voyageur et détenir une invitation délivrée par les compagnies aériennes ou s’acquitter d’un droit d’entrée.
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AÉRIA NEWS & VIEW Zoom sur le nouveau salon VIP de l’aéroport d’Abidjan
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DOSSIER SPÉCIAL
L
LA CERTIFICATION TSA, UNE RÉALITÉ POUR L’AÉROPORT FÉLIX HOUPHOUËT –BOIGNY D’ABIDJAN!
’aéroport international Félix Houphouët - Boigny d’Abidjan est, depuis le 10 avril 2015, certifié TSA (Transportation Security Administration) par l’Agence nationale américaine de sécurité dans les transports. Cette décision fait suite à un audit mené du 2 au 6 mars 2015 par les équipes de l’administration américaine. Cet audit visait à évaluer le niveau de sûreté de l’aéroport d’Abidjan, en vue d’autoriser la réalisation de vols directs à destination des États-Unis d’Amérique, à partir de l’aéroport d’Abidjan. HISTORIQUE
La certification de l’aéroport international Félix Houphouët- Boigny d’Abidjan qui est désormais une réalité est ce précieux sésame décroché consécutivement aux conclusions de «l’audit TSA’’. Cette certification marque l’aboutissement d’un processus qui a duré une quinzaine d’années, depuis 1999. LA CERTIFICATION TSA, QU’EST-CE QUE C’EST ?
Les équipes de l’administration américaine procèdent à des contrôles et vérifications sur les dispositifs et équipements de sûreté repartis au niveau des installations terminales et autres parties de la plateforme aéroportuaire. Ces vérifications ont pour but de s’assurer que l’exploitation de l’aéroport est conforme aux normes et pratiques recommandées de l’OACI en matière de sûreté et de sécurité. Après vérification et contrôle rigides, s’il en ressort qu’il y a conformité avec les règles en matière de Sûreté et de sécurité alors, Les Américains établissent un papier-bilan pour attester que l’aéroport demandeur de la certification est conforme aux normes de l’OACI, et à partir de ce moment, des vols directs peuvent être effectués à destination des USA tout comme les Etats-Unis pourront également desservir l’aéroport d’Abidjan directement sans escale. L’ORIGINE DE L’INSTITUTION DE LA CERTIFICATION TSA
La Transportation security administration (TSA) est l’Agence
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nationale américaine de sécurité dans les transports, créée après les événements du 11 septembre 2001. D’abord rattachée au Département des Transports des États-Unis, elle est désormais rattachée au Département de la Sécurité intérieure des ÉtatsUnis, créé en mars 2003. Cette agence s’occupe de la sécurité dans les différents moyens de transports. Le Federal Air Marshal Service (Service fédéral de police de l’air) ou FAMS est une Agence fédérale des États-Unis sous la supervision de la Transportation Security administration (Agence nationale américaine de sécurité dans les transports) des Etats-Unis. Le FAMS fut fondé par la Federal Aviation Administration (FAA) en 1968, pour combattre les détournements d’avions, qui s’étaient multipliés au début des années 1960. Leur mission est d’assurer la sécurité des avions de ligne durant le vol. Les Federal Air Marshals étaient au nombre de 33 avant les attentats du 11 septembre 2001. Aujourd’hui, même si les chiffres officiels ne sont pas très précis, le gouvernement américain
DOSSIER SPÉCIAL LA CERTIFICATION TSA, UNE RÉALITÉ POUR L’AÉROPORT FÉLIX HOUPHOUËT –BOIGNY D’ABIDJAN!
annonce plusieurs milliers de Federal Air Marshals. LA TSA SATISFAITE DU NIVEAU DE SÉCURITÉ ET DE SÛRETÉ DE L’AÉROPORT INTERNATIONAL FHB D’ABIDJAN
Depuis le début de l’année 2015, les choses bougent dans le bon sens
en ce qui concerne la certification TSA de l’aéroport international Félix Houphouët Boigny d’Abidjan. En effet, après la visite de SEM l’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique et de Monsieur le ministre des Transports ivoirien à l’aéroport d’Abidjan, le 23 janvier dernier,
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l’ANAC a reçu la visite des Inspecteurs du Bureau régional de la Transportation security aviation (TSA) de Dakar du 02 au 05 février 2015. La semaine du 03 au 07 mars 2015, ce sont les Experts américains du bureau de la TSA de Francfort qui sont venus se rendre compte des grandes avancées de l’aéroport d’Abidjan en matière de sécurité et de sûreté de l’aviation civile. Selon les premiers résultats de cet important audit, le niveau de sécurité et de sûreté de l’aéroport d’Abidjan est très satisfaisant. C’est ce qui ressort du débriefing tenu à l’issu des travaux le vendredi 07 mars dernier. Toutes choses qui annonçaient de très bonnes nouvelles pour l’obtention du sésame en vue du début des liaisons directes entre la Côte d’Ivoire et les USA. Le rapport final de cet audit TSA qui était attendu à la mi-avril 2015 au plus tard, a été positif, à la satisfaction de tous les acteurs du système aéroportuaire, du ministre des Transports ivoirien et de l’Etat ivoirien. Ce rapport final a donc confirmé la certification TSA de l’aéroport international Félix Houphouët- Boigny
DOSSIER SPÉCIAL
Ce rapport final a donc confirmé la certification TSA de l’aéroport international Félix Houphouët- Boigny d’ Abidjan. LE MOT DU MINISTRE DES TRANSPORTS IVOIRIEN SUITE A LA CERTIFICATION TSA D’AÉRIA
Le ministre des Transports ivoirien, Gaoussou Touré n’a pas manqué d’exprimer sa joie et son entière satisfaction à la faveur de l’annonce officielle de la certification TSA de l’Aéroport international Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan. Qui, à juste titre se justifie selon le ministre, dans la mesure où des efforts considérables ont été consentis par AÉRIA, l’ANAC, l’ASECNA, l’Etat Ivoirien, le Gouvernement et le Président de la République pour parvenir à cette certification TSA. «Je suis très heureux d’annoncer à la population ivoirienne, au nom du président de la République
SEM Alassane OUATTARA, qu’après plusieurs efforts, l’aéroport international Félix Houphouët Boigny a acquis la certification américaine TSA (Transportation Security Administration), ce jour», unique message du ministre ivoirien des Transports, Gaoussou Touré, publié le même jour, sur sa page officielle Facebook. Le ministre Gaoussou Toure, n’a pas manqué d’ajouter qu’ «avec la certification, les compagnies aériennes desservant l’aéroport d’Abidjan peuvent désormais effectuer des vols directs en provenance ou en partance pour les États-Unis», estimant également qu’il s’agit d’»un volet très important pour l’économie de la Côte d’Ivoire. En somme, la certification TSA contribuera à augmenter considérablement le flux des trafics aériens ivoirien. Mais aussi, elle évitera aux passagers ivoiriens en partance pour le pays de l’Oncle
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Sam, plusieurs gymnastiques à travers les pays limitrophes. Elle marque enfin l’aboutissement d’un processus enclenché depuis plus d’une quinzaine d’années. De plus, l’aéroport International Félix Houphouët Boigny d’Abidjan a enregistré de gros investissements ces dernières années. Des réalisations qui lui permettent aujourd’hui d’être en conformité avec les standards de la TSA en matière de sécurité et de logistique. A terme, cette certification devrait booster le trafic de la plateforme aéroportuaire d’Abidjan. En 2014 déjà, ce sont 1,5 million de passagers qui ont transité par l’aéroport d’Abidjan.
DOSSIER SPÉCIAL
AÉROPORT D’ABIDJAN // 17
TROIS QUESTIONS A…
M. Aka MANOUAN, nouveau Dga d’AÉRIA
M. Manouan Aka est le nouveau Directeur Général d’AÉRIA. Il a réjoint l’équipe d’AÉRIA depuis Mars 2015 apporter son expertise au travail abattu jusque-là. Ancien du BNETD, il n’est pas étrangé au monde de l’aviation. Nous l’avons rencontré pour vous.
M
onsieur Aka MANOUAN, vous venez d’être nommé Dga d’AÉRIA, présentezvous brièvement. Je suis officier de l’armée de l’Air de formation, Ingénieur diplômé de l’Ecole de l’Air de Salon de Provence et Docteur de l’Ecole Nationale Supérieure de l’Aéronautique et l’Espace (SupAéro) de Toulouse.
conception, étude, direction et contrôle de grands projets en Côte d’Ivoire et en Afrique, le Conseil d’administration de notre structure que je remercie pour sa sollicitude à mon endroit, a bien voulu me nommer Directeur Général Adjoint d’AÉRIA le 12 mars 2015. En tant que nouveau Dga, en quoi consiste concrètement votre mission au sein de cette plate-forme aéroportuaire ? En qualité de Dga, j’assiste le Dg dans
J’ai commencé ma carrière à la Direction Technique du GATL et de la compagnie nationale Air Ivoire en 1986 avant d’intégrer en 1996 le Bureau National d’Etudes Techniques et de Développement (BNETD) d’abord en qualité de Conseiller Technique en Infrastructure et Transport de l’ex Directeur Général Monsieur Tidjane THIAM (actuel Directeur Général de la Banque Crédit Suisse), puis Secrétaire Général pendant 12 ans. Après cette riche expérience en AÉROPORT D’ABIDJAN // 18
l’exercice de ses fonctions et assure son intérim en cas d’absence. Sous son autorité et au sein du Comité de Direction, je participe au processus de décision et de définition des objectifs stratégiques de l’entreprise. De façon plus spécifique, je suis chargé de la supervision de la mise en œuvre de la politique de maintenance des infrastructures et des équipements et de la conduite des processus de certification de l’aéroport en cours, à savoir la certification Sécurité (SMS),
TROIS QUESTIONS A…
M. Aka MANOUAN, nouveau Dga d’AÉRIA la certification Qualité (SMQ) et la certification Environnemental (SME). Monsieur Aka MANOUAN, vous êtes sorti de la prestigieuse école SupAéro… et vous avez travaillé à Air Ivoire, l’ancienne compagnie nationale ; aujourd’hui, vous réintégrez le monde aéroportuaire où AÉRIA est engagée sur de grands travaux dans le cadre du réaménagement de l’aéroport International FHB d’Abidjan ; en tant qu’expert en la matière, quel en est votre regard? C’est avec honneur et plaisir que je réintègre le secteur de l’aéronautique comme vous dites, après vingt ans passés au BNETD. Pendant ces années, nous avons participé à la mise en œuvre de projets d’infrastructure qui font
aujourd’hui la fierté de nos concitoyens. On peut citer parmi ces projets : le 3ème pont (pont HKB), les autoroutes Abidjan-Yamoussoukro et Abidjan- Gd Bassam, la centrale thermique d’Azito et la modernisation et l’extension de l’aéroport international Felix Houphouët-Boigny. La concession de l’aéroport fut l’un des premiers projets sur lesquels nous avons travaillé à notre arrivée au BNETD, en 1996. Vingt après, nous sommes impressionnés par les résultats obtenus. En effet, plus de 30 milliards ont été investis depuis 1996 pour moderniser cette plateforme. Aujourd’hui, elle est le principal hub de l’Afrique de l’ouest, certifiée par les autorités américaines pour des vols directs vers les USA et le 2ème aéroport africain à accueillir l’A380 en vol régulier après Johannesburg.
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De nouveaux investissements sont en cours (réaménagement de zone d’embarquement, renouvellement des équipements) ou programmés dès l’an prochain (construction du taxiway parallèle et du parking sud, extension du parking auto) pour accompagner la forte croissance du trafic (1 300 000 passagers en 2014 et plus de 25% de croissance depuis le début de l’année). Aussi, voudrais-je féliciter la Direction générale et tout le personnel pour les résultats obtenus mais aussi les remercier pour l’accueil qui m’a été réservé. Je viens humblement apporter ma pierre à l’édifice et participer à ce grand projet de modernisation qui vise à conforter la position de l’aéroport International Félix Houphouët-Boigny comme principale plaque tournante de l’Afrique de l’ouest. Je vous remercie.
FOCUS Les Moments forts des Assemblées annuelles de la BAD, à Abidjan
P
remière institution africaine dédiée au financement du développement, la BAD a été créée en 1964, pour mobiliser des ressources pour le développement économique et social de ses pays membres régionaux (PMR), en vue de promouvoir une croissance durable et inclusive et de réduire la pauvreté. De 1967 à 2014, la Banque a approuvé 4 185 prêts et dons totalisant 107,6 milliards de dollars EU au profit de ses pays membres régionaux (africains). Dans la lignée de la thématique de ces Assemblées, tenues à Abidjan du 25 au 29 mai 2015, «L’Afrique et le nouveau paysage mondial», les séminaires ont exploré des enjeux divers dans une perspective élargie, invitant les participants à réfléchir aux répercussions de l’évolution économique mondiale sur le développement de l’Afrique et sur les réponses que le continent doit y apporter. Ils se sont penchés sur les moyens de financer le développement en Afrique, de résorber les inégalités, de créer des emplois et de relever les défis relatifs aux changements climatiques. Certains séminaires étaient axés sur le lancement de rapports phares, parmi lesquels l’édition 2015 de Perspectives économiques africaines, outre un indice servant à mesurer la disparité entre les sexes, et le lancement du rapport
Futur africain. Ce rassemblement a été l’occasion de passer en revue les opérations que la Banque a menées, en 2014 et son portefeuille pour 2015. Différents thèmes, comme l’intégration et le commerce à l’échelle régionale, les infrastructures, le développement du secteur privé, la création d’emplois, les enjeux de gouvernance et la croissance verte et inclusive ont fait également l’objet de présentations et de débats. En outre, Plus de 2 500 délégués, dont des chefs d’État, SEM. Ali Bongo du Gabon, Alassane Ouattara de la Côte d’ Ivoire, Mahamadou Issoufou du Niger,Yayi Boni du Bénin , Madame Helen JOHNSON, du Liberia, Monsieur Filipe NYUSI du Mozambique, Monsieur le Viceprésident du Ghana, et de gouvernement, étaient présents aux réunions dirigées par les gouverneurs de la Banque – généralement des ministres des Finances ou de hauts responsables de banque centrales, chargés de représenter leurs pays au sein de cette instance suprême de la Banque. Etaient également présents, des délégués d’institutions multilatérales de financement, et d’agences de développement, des représentants du secteur privé et d’organisations non gouvernementales, des envoyés des médias et de la société civile. Par ailleurs, le clou de ces Assises de la Bad a été l’élection de son nouveau président, pour AÉROPORT D’ABIDJAN // 20
succéder à Donald Kabéruka qui occupe le poste depuis 2005. Ainsi donc, sur 08 candidats dont une femme qui ont décidé de briguer le poste de président de la Banque africaine de développement à sa 50ème assemblée annuelle, à Abidjan du 25 au 29 mai 2015,c’est Akinwumi A. Adesina. Né le 6 février 1960, il fut ministre de l’Agriculture et du Développement durable de la République du Nigeria. M. Akinwumi, faut-il le rappeler, est titulaire d’un doctorat en agroéconomie. Il a été antérieurement vice-président de l’alliance pour la Révolution verte en Afrique. Autres moments forts de ces assises : l’admission officielle du Sud-Soudan en tant que 54e pays membre régional – et le 80e en tenant compte de l’ensemble des pays membres de l’institution, pays non africains inclus.En somme, Il s’est agi aussi de la 50e réunion annuelle du Conseil des gouverneurs de la Banque et de la 41e réunion annuelle du Conseil des gouverneurs du Fonds africain de développement (FAD) – le guichet concessionnel de la BAD. Ces assemblées entérinent également le retour du Groupe de la Banque à son siège originel, mené à bien en 2014, après plus de onze ans de délocalisation à Tunis, en Tunisie.
FOCUS Les perspectives économiques de l’Afrique ouvrent les Assemblées annuelles de la BAD
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es Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (BAD) se sont ouvertes à Abidjan lundi 25 mai 2015 sur les perspectives économiques de l’Afrique en présence du Premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan. Pour Steve Kayizi, économiste en chef de la BAD les perspectives économiques de l’Afrique sont bonnes. «La bonne nouvelle c’est que les économies africaines s’élargissent et s’affranchissent de la dépendance de l’agriculture», a-t-il expliqué ajoutant que le bâtiment et la manufacture sont en plein essor sur le continent. Selon le document de
synthèse des Perspectives économiques africaines en 2015, la croissance du PIB devrait se consolider en 2015 et 2016. «La sécurité permet de rassurer les investisseurs, stabilise les régimes et stabilise les réformes», a estimé Paul Koffi Koffi , ministre ivoirien délégué à la Défense soulignant que l’élément sécuritaire est déterminant pour la croissance. Le Premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan a quant à lui, indiqué que «la Côte d’Ivoire est sortie de crise avec un indice de sécurité de 3,8 passé aujourd’hui à 1,2 suite aux efforts du gouvernement arguant que c’est ce qui a valu le retour de la BAD à Abidjan». Au plan
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économique, poursuivra Kablan Duncan, la Côte d’Ivoire enregistre de forts taux de croissance depuis la sortie de crise dus aux réformes.Parlant de réforme, le chef du gouvernement a indiqué que dans les secteurs minier et du pétrole, des rénovations ont permis de nouvelles exploitations ajoutant que le pays s’est doté d’un plan d’investissement agricole pour relancer et moderniser ce secteur. Et ces réformes dans le secteur agricole vont permettre de créer plus de 2 millions d’emplois.
G UIDE AER IA AÉRIA NEWS & VIEW
DOSSIER SPÉCIAL
TROIS QUESTIONS A...
Zoom sur le nouveau salon VIP
Certification TSA
M. Aka MANOUAN, nouveau DGA d’AÉRIA
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FOCUS
SANTÉ
FLASH TECHNIQUE
-La BAD de retour à Abidjan -Les Moments forts des Assemblées annuelles de la BAD, à Abidjan
Le mal de l’air ou la cinetose
AÉRIA se dote de RESA pour sa piste
Dr Joseph OUEREGA Medecin Lieutenant-Colonel
P.20-21
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GLOBE TROTTERS
ARTS ET CULTURE
ART CULINAIRE
Le Maroc, un pays très nature !
STROMAE
Le restaurant Malibu
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UPDATE
TOURISME
Ndriano
Commémoration /Grand- Bassam a 100 ans
SITA 2015: le rendez-vous touristique Ivoirien
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SANTÉ LE MAL DE L’AIR OU LA CINETOSE
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e phénomène est plus lié au mouvement qu’au vecteur, d’ ou son nom de mal des mouvements, (motion sickness) en anglais car selon le moyen de transport utilisé, on parle de : Mal de voiture, mal de mer, mal de l’espace, etc... C’est un conflit entre certains de nos organes du sens, c’est à dire une difficulté, voire une incapacité d’intégrer les informations qui viennent de différents organes qui concourent à notre orientation dans l’espace mais qui ne concordent pas : -L’œil (indique un mouvement) -Le cerveau (l’appareil vestibulaire qui contribue à la fois à l’équilibre du corps et à l’audition) n’est pas sollicité -Les récepteurs proprioceptifs qui sont
des capteurs situés dans les articulations, les muscles, et la paumes des mains et des pieds, indiquant notre position (couché, assis, débout, etc.) ne captent aucun mouvement contrairement au cerveau. Les principaux signes souvent ressentis sont : -Les maux de tête, des pseudo vertiges, des difficultés de coordination (état pseudo ébrieux) -Accélération ou ralentissement du rythme cardiaque -Augmentation ou diminution de la pression artérielle -Augmentation ou diminution de la fréquence respiratoire -Sueur, nausée, vomissements Le traitement est essentiellement préventif sauf à faire cesser les
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mouvements responsables. Toutefois certaines dispositions peuvent être prises : -Eviter les vêtements trop serrés -Ne pas voyager à jeûne mais non plus après un repas trop copieux -Eviter la consommation abusive d’alcool -Conserver une position fixe en évitant les mouvements de la tête -Rassurer ceux qui n’ont pas l’habitude de ces moyens de transport Le traitement médicamenteux toujours à titre préventif, il est à prendre une heure avant le décollage, ne donne pas pleine satisfaction mais il produit des effets secondaires à type de somnolence d’où son interdiction au personnel navigant en vol. Il s’agit de médicaments de la famille des antihistaminique.
BON À SAVOIR INFOS COTE D’IVOIRE Chiffres clés Change 1Euro = 656 Fcfa Population 22 Millions hab PIB (2003) 8 200 Milliards Fcfa Indicatif téléphonique 225 Formalités d’entrée dans le pays Ressortissants de Côte d’Ivoire Carte nationale d’identité ou carte de séjour en cours de validité. Ressortissants CEDEAO Hors Côte d’Ivoire Passeport ou carte nationale d’identité en cours de validité pour un séjour inférieur à 1 mois. Passeport et Visa en cours de validité pour un séjour supérieur à 1 mois. Autres ressortissants Passeport et Visa en cours de validité Santé Vaccin contre la fièvre jaune obligatoire. Traitement anti-paludéen fortement recommandé. Prière appeler : INHP (Institut National d’Hygiène Publique) (+225 21 75 79 00) P.5212 / P5211 (+225 21 75 79 02) P.5212 / P5212 Contrôle CITES (Animaux domestiques, ect...) Service eaux et forêts. Tél. renseignements : 225 21 27 80 69
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FLASH TECHNIQUE AÉRIA SE DOTE DE RESA POUR SA PISTE
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’amélioration constante de la sécurité aérienne à l’échelle mondiale reste un objectif fondamental pour l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (OACI) qui encourage les Etats à engager leurs aéroports majeurs dans le processus de certification sécurité OACI. AÉRIA pour se préparer a cette échéance et dans le but de toujours mieux servir les usagers de l’aéroport et plus particulièrement les compagnies aériennes, s’est engagé dans une stratégie d’investissement, à travers le développement de plusieurs projets importants dont celui de l’aménagement des aires de sécurité d’extrémité de piste (RESA) aux seuils 21 et 03.
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FLASH TECHNIQUE AÉRIA SE DOTE DE RESA POUR SA PISTE
Ces travaux qui ont connu trois phases ont été assurés pour l’aspect étude par EGIS, partenaire technique français de renommée mondiale d’AÉRIA. Démarrés effectivement le 26 Mars 2015 avec une phase de préparation menée par le Service Maintenance Infrastructures
d’AÉRIA, les travaux réalisés ont permis de doter les seuils 21 et 03 de l’aéroport international F.H.B d’Abidjan d’une RESA de 90mx90m à chaque extrémité de piste. Ces travaux qui viennent renforcer la sécurité des infrastructures aéroportuaires et plus globalement
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la mise aux normes de l’aéroport international F.H.B d’Abidjan ont été entièrement réalisés de nuit afin de minimiser au mieux l’impact des travaux sur les activités des compagnies aériennes. Le 24 juin 2015, date d’achèvement des travaux marque donc, dans l’histoire de la sécurité de l’aéroport d’Abidjan, un pas important du point de vue du respect des dispositions réglementaires du Raci 6001 et de l’annexe14 l’OACI. Ainsi, à l’image de ces travaux réalisés souvent sans grand bruit, l’aéroport international FHB d’Abidjan sous la direction éclairée de son Directeur Général M. Gilles DARRIAU de façon active, se prépare sans fanfare mais sûrement au défi de la certification sécurité OACI.
Source: Service MI
GLOBE TROTTERS LE MAROC, UN PAYS TRÈS NATURE !
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e Maroc, un pays très nature ! Le Maroc a pour régime politique, une monarchie constitutionnelle dont le souverain actuel est le roi Mohammed VI, de la dynastie alaouite, établie depuis 1666 et l’une des plus anciennes du monde contemporain. Le Maroc est membre de l’Organisation des Nations unies, de la Ligue arabe, de l’Union du Grand Maghreb, de la Francophonie, de l’Organisation de la coopération islamique, du Groupe des 77, de l’Union pour la Méditerranée, et de la Communauté des États sahélosahariens. Le Maroc est le seul pays africain à ne pas faire partie de l’Union africaine, mais peut bénéficier des services de cette organisation tels que les services de la Banque africaine de développement. Atouts et points forts Le Maroc dispose d’un produit intérieur brut fort au regard de la moyenne africaine. Celui-ci avoisinait en 2008 les 85,2 milliards de dollars, soit 9 % du PIB global du continent. Le Maroc est en outre appelé à consolider ce point, compte tenu de la croissance d’une moyenne de 8
% annuelle depuis l’accession au trône du souverain Mohammed VI en 1999. Cette croissance demeure néanmoins variable et volatile car tributaire des résultats des campagnes agricoles courantes. C’est toutefois ,cette caractéristique qui permettra sans doute au Maroc de bénéficier d’une croissance importante en 2009 au vu des singulières précipitations s’étant abattu sur le royaume durant l’hiver 2008/2009.
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La proximité du Maroc avec le continent européen a bénéficié à l’économie nationale dans la mesure où cette dernière a très largement profité des nombreuses délocalisations effectuées par les entreprises européennes. Depuis le début des années 2000, le Maroc a mis en place une politique fiscale attractive en matière d’offshoring, à tel point que l’OCDE plaçait en 2008 le royaume en troisième position dans la progression des emplois créés par le secteur de l’offshoring, derrière l’Estonie et la Chine. L’exemple le plus typique en la matière, est celui des centres d’appel. On peut aussi évoquer l’exemple aéronautique. Le Maroc a toujours su profiter de sa façade maritime double. Néanmoins, la construction du port de Tanger Med en 2004 a indéniablement constitué un tournant en termes de politique maritime. Construit entre la ville de Tanger et l’enclave espagnole de Ceuta, au niveau de l’embouchure de l’oued Rmel, le port se situe à 15 km de l’Espagne continentale. Par ailleurs, depuis 2012, ce complexe portuaire devrait pouvoir traiter 8 millions de conteneurs, ce qui ferait de lui le plus grand port africain en termes de transport de marchandises. La zone franche adjacente devrait entre autres abriter la nouvelle usine Renault. Le Maroc est par ailleurs, le premier
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producteur mondial de phosphate, ressource minière nécessaire à la fabrication d’engrais et dont les cours ont très fortement augmentés depuis plus de quarante ans. Située près du gisement d’Ouled Abdoun, la ville de Khouribga, à 120 km de Casablanca, est ainsi le premier centre minier de phosphate au monde, qui fait vivre le grand port de Jorf Lasfar, construit en 1982 à proximité d’El Jadida. L’Office chérifien des phosphates, quant à elle, est la première entreprise publique du pays, avec un chiffre d’affaires de 5 milliards d’euros, en 2011. Une grande partie des réserves se trouve cependant dans le Sahara occidental, territoire contesté. Malgré les récentes contreperformances consécutives à la crise financière de 2008, la bourse de Casablanca consolide son statut de deuxième place boursière africaine, derrière celle de Johannesburg et devant celle du Caire. Transport routier au Maroc, le réseau routier est généralement considéré comme de qualité satisfaisante et l’un des meilleurs
d’Afrique. Le PNRR2 (Programme national de routes rurales) envisage la construction de 15 500 kilomètres de routes rurales supplémentaires à l’horizon 2015 afin de faire passer le taux de désenclavement rural de 54 % à 80 % à cette même échéance. Toutefois, 22 % des localités demeurent injoignables en véhicule et 35 % sont difficiles d’accès. Transport ferroviaire A contrario, le chemin de fer a longtemps pâti au Maroc du manque de volontarisme de la part des pouvoirs publics. L’ONCF, entreprise publique chargée de l’exploitation du réseau ferroviaire marocain semble cependant avoir repris son destin en main. Les infrastructures actuelles (2 120 km au total dont 1 022 km de lignes électrifiées et 600 km en double voie, le reste étant en voie simple) devraient être augmentées de deux lignes de TGV : la Ligne Atlantique reliant les villes de Tanger et d’Agadir via Kénitra, Rabat, Casablanca et Marrakech, et ce, à l’horizon 2030 (Tanger - Marrakech sera effectif d’ici la fin 2015) la Ligne Maghrébine reliant les villes de AÉROPORT D’ABIDJAN // 29
Rabat et Oujda en desservant l’axe Fès - Meknès (à l’horizon 2030). Ces lignes sont financées à hauteur de 30 % par l’État marocain et à 50 % par des crédits français. Outre ces projets structurants, l’ONCF a procédé à l’achat de nouvelles rames et envisage de relier des villes telles que Nador et Beni Mellal. Transport aérien Le transport aérien marocain a connu un véritable boom. Le Maroc compte désormais 25 aéroports et l’aéroport Mohammed V était en 2008 le 3e aéroport africain en termes de trafic. Le trafic international a bondi en 2007 de plus de 17 %, ce qui représentait une des plus fortes progressions à l’échelle internationale. La Compagnie aérienne nationale, la Royal Air Maroc est à l’heure actuelle, la deuxième Compagnie aérienne africaine derrière South African Airways En marge du groupe Royal Air Maroc, le Maroc compte trois compagnies aériennes privées que sont Jet4you (propriété à 66 % de la Royal Air Maroc et à 34 % groupe TUI), Air Arabia Maroc (anciennement Regional
GLOBE TROTTERS LE MAROC, UN PAYS TRÈS NATURE ! Airlines). Culture Même si la grande majorité de sa population est musulmane, le Maroc se veut un pays multiculturel de par son contact notamment avec les Phéniciens, les Romains, les Byzantins, les Vandales, les Arabes, les Français et les Espagnols L’état civil marocain n’autorise pas de nombreux prénoms que des parents marocains souhaitent donner à leurs enfants pour des raisons de «rupture avec l’identité marocaine». Alors que cette mesure concernait surtout les prénoms berbères, elle « est de plus en plus élargie aux appellations d’origine arabe, liés à l’islam ou parfois inspirés des célébrités de cinéma.» Artisanat La région est très réputée par ses tapis de campagne, ses paniers et ses différents autres objets de grande utilité. Le tissage de tapis modernes et la broderie sont très prospères surtout, dans les complexes artisanaux. D’autres objets de grande utilité sont fabriqués par les artisans de la région, tels que les tajines, les jarres, etc. Au Maroc, tous les goûts sont dans sa nature ! La nature au Maroc est à portée de main. Désert, montagne, vallée et mer : le pays a tout à offrir aux amateurs de vert ! Les randonneurs de tout niveau arpenteront avec plaisir les montagnes marocaines. Du haut des douces altitudes du Rif, ses falaises se jetant dans la Méditerranée rendent magique cette région peu fréquentée. Les lacs regorgent de truites qui y attendent les pêcheurs amateurs. Les plus sportifs relèveront les défis du Moyen et du Haut-Atlas à pied, en VTT ou en parapente, pour faire de l’escalade, du canyonning ou de la spéléologie. Ses sommets peuvent atteindre 4 000 m. Ifrane, la petite Suisse marocaine, peut surprendre avec sa fraîcheur d’été, ses
neiges en hiver et ses treks « mulet-ski» typiques. Rien de plus indescriptible qu’un séjour aux portes du désert : cap sur Ouarzazate à la découverte de son immensité et de ses couleurs. la nuit, préférez le bivouac dans le désert, le refuge en montagne et, partout, le gîte chez l’habitant pour des rencontres inoubliables et authentiques. Elles sont au cœur de l’identité marocaine tout comme ses palmiers, l’huile d’argan, le miel de ses lavandes. Face à l’Atlantique, la baie d’eau turquoise de Dakhla vous enchantera ! Vous y côtoierez les oiseaux migrateurs et les flamands roses. Histoire économique contemporaine du Maroc indépendant. Elle peut être subdivisée en deux grandes phases. La première phase est celle d’un « développement protégé » que les économistes auraient tendance AÉROPORT D’ABIDJAN // 30
à qualifier de modèle de l’import substitution (théorie de Friedrich List) et la seconde période est celle qui débute avec les années 1980 marquées par un revirement de sa politique macroéconomique en faveur d’une grande ouverture économique. Histoire économique récente Le Maroc se place en 2015 à la 71e place (/189) en moyenne du classement «Doing Business» dont les mauvais points viennent essentiellement de la mauvaise protection des investisseurs minoritaires (122e), les risques d’insolvabilité (113e) et les difficultés d’enregistrement des titres de propriété (115e) PIB et croissance L’économie du Maroc traite de la situation économique conjoncturelle et structurelle du Maroc de nos jours. Le Maroc est classé comme faisant partie des pays en voie de développement
GLOBE TROTTERS LE MAROC, UN PAYS TRÈS NATURE ! et à une économie de marché. Il est la cinquième puissance économique d’Afrique. Selon les dernières statistiques, le PIB du Maroc en 2010 est de 103,5 milliards de dollars. Sur le plan économique Africain, le Maroc se classe 5e puissance économique derrière l’Afrique Du Sud, le Nigeria, l’Égypte et l’Algérie. L’économie marocaine évolue sur un rythme de croissance rapide. Elle a enregistré durant les cinq dernières années, un taux de croissance moyen de 6,5 %. En effet, en 2001 et dans un contexte de contre-performance du secteur agricole, de morosité de la conjoncture internationale, l’économie marocaine a enregistré un taux de croissance estimé à 6,5 % contre 1 % en 2000, 5,2 %, en 2002, 6,5 % , en 2003 plus de 8 % en 2006 et quasiment 5 %, en 2010. COMMERCE EXTERIEUR Les importations constituent presque le double des exportations. L’essentiel de ces dernières concerne désormais les produits manufacturés, devant les ressources minières (au premier rang desquelles se placent les phosphates) et certains produits agricoles (fruits et légumes). Les importations portent essentiellement sur les produits énergétiques, les biens d’équipement et les biens de consommation. Les mauvaises années agricoles imposent le recours à de fortes importations de céréales. La part de la France dans les échanges extérieurs reste prépondérante (un quart de la valeur des importations, un tiers de celle des exportations), largement devant les autres pays de l’Union européenne (Espagne, Italie, Allemagne). Les relations commerciales avec les autres pays du Maghreb demeurent extrêmement limitées (3 % des échanges). Les résidents marocains à l’étranger rapatrient dans leur pays des fonds qui représentent presque 10 % du produit national brut et sont la première source de devises. Mais ils ne
peuvent combler le déficit commercial. Le pays demeure endetté. TOURISME Pesant 10% de la richesse nationale, le tourisme est aujourd’hui la première source de recettes d’exportations bien devant l’automobile, la chimie, l’alimentation, l’informatique ou encore le pétrole. Il met en jeu des investissements considérables de capitaux, génère des revenus substantiels et crée des emplois importants. Ainsi, pour de nombreux pays, il est une source indispensable de devises ; il en est même la première source pour 38 % des pays, selon un rapport de l’Organisation mondiale du tourisme sur le développement du tourisme dans le monde, publié, en 2003. Une des destinations touristiques principales de la rive sud de la Méditerranée, le Maroc, séduit par ses merveilles naturelles, ses villes impériales, son climat, l’accueil et la générosité de ses habitants… Autant d’atouts pour que le Maroc devienne l’une des destinations méditerranéennes prisées des touristes étrangers. Le secteur touristique occupe une place importante dans l’économie marocaine. Une analyse du rapport annuel de la Banque centrale du Maroc publié en 2004 montre que sa part est trois fois supérieure à celle des produits de la mer, du textile ou de l’agriculture. Ainsi, un AÉROPORT D’ABIDJAN // 31
des secteurs les plus importants pour ce qui est de la croissance économique, des devises, des investissements et de la création d’emplois se révèle être le tourisme. En effet, en 2003, selon ce même rapport, le tourisme a représenté 6,9 % du PIB, créé 600 000 emplois directs, généré 5,9 milliards de dirhams de flux d’investissement, avec une capacité de 97 000 lits classés. Tout cela explique cette étroite corrélation qu’on suppose souvent entre tourisme et développement. La ville de Marrakech est la première ville touristique du Maroc. L’apport économique de l’activité touristique au Maroc est certes important. Il est de plus en plus considéré par les hauts responsables comme un secteur stratégique pour accompagner le développement économique. .« Dans les dix années à venir, le monde du tourisme changera plus qu’au cours des dernières décennies. » Cette citation empruntée au président de Microsoft, Bill Gates, traduit parfaitement l’ampleur des changements qui s’annoncent dans le secteur touristique marocain. L’innovation est donc l’unique et le plus important moteur de la compétitivité, de la croissance et de l’emploi à long terme.
ARTS ET CULTURE
vibre
avec
Dans le cadre de sa tournée africaine, l’artiste belge d’origine rwandaise Stromae a animé un concert le 23 mai, à Heden golf hotel Cocody à Abidjan. Il y avait foule dans les jardins de l’Heden golf Hotel.Tous étaient venus, prêts à braver la pluie pour vibrer avec l’artiste Paul Van Haver dit Stromae. Il était dans la capitale économique,
pour donner un concert qui s’inscrit dans le cadre d’une tournée africaine qu’il a débutée au Sénégal. Précisément en début de soirée ce samedi 23 mai, le concert qu’on pourrait qualifier de ‘’concert de l’année’’ a tenu ses toutes promesses .L’organisation avait mis un point d’honneur afin que tout se déroule sans nuages. Pendant environ une heure et demie, l’artiste a revisité son répertoire musical de ses albums ‘’cheese’’
et ‘’Racine Carrée’’.Le public qui reprenait en chœur les compositions de l’artiste s’est bien délecté avec des titres comme ‘’Papaoutai’’, ‘’Carmen’’, ‘’Ta fête’’, ‘’Ave Cesaria’’, ‘’Alors on danse’’, ‘’Tous les mêmes’’, ‘’Formidable’’ et ‘’Merci’’. Des titres qui naturellement, ont permis au public de communier avec leur idole à l’inspiration fertile, le tout dans une chorégraphie atypique.
STROMAE accuelli à l’aéoroport FHB par la Miss Côte d’Ivoire 2014
STROMAE posant dans la salle de conférence
Des Fans heureux au concert de la STAR
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S t r o m a é
Abidjan Stromae
ART CULINAIRE
Restaurant Malibu SOURIS D’AGNEAU CONFITE À L’ECRASÉ DE POMME DE TERRE Ingrédients pour 01 personne : 01 souris de 300g 03 échalotes coupées en lamelle 01 gousse d’ail ½ Litre de fond d’agneau 250g de pomme de terre Crème fraîche Sel, poivre, fines herbes PRÉPARATION DE LA SOURIS D’AGNEAU CONFITE Faire rôtir la souris dans du beurre et de l’huile, déglacer avec du vin blanc puis ajouter l’eau à hauteur, ajouter les échalotes, la gousse d’ail et le poivre. Laisser mijoter pendant 01h30 à feu doux ensuite ajouter le fond de veau. Après réduction servir.
PRÉPARATION DE L’ECRASEE DE POMME DE TERRE Faire bouillir la pomme de terre à l’eau avec 01 cuillère à café de sel. Retirer après cuisson et écraser la pomme de terre grossièrement avec une fourchette pendant qu’elle est encore chaude. Ajouter du beurre et 02 cuillères à soupe de crème fraîche. Rectifier l’assaisonnement puis dresser avec un emporte pièce. Disposer la souris juste à côté et saupoudrer de fines herbes. AÉROPORT D’ABIDJAN // 34
MODE
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auréat du prix ‘‘rêve de styliste 2009’’ organisé par UNIWAX, Ndriano fait ainsi son entrée dans le monde de la mode ivoirienne, il décroche depuis des prix et participations aux plus grands RDV de la mode africaine. Découvrons ensemble, sa dernière collection, lors du défilé YORODEHE 2015. Collection 2025 lever du jour signé NDRIANO
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UPDATE COMMÉMORATION / GRAND- BASSAM A 100 ANS
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rand- Bassam a fêté ses 100 ans d’existence en tant que commune. Erigée en commune de plein exercice, la première de l’histoire de la Côte d’Ivoire, depuis 1914, GrandBassam, ville touristique et première capitale de la Côte d’Ivoire, a célébré son siècle d’existence à travers des festivités telles que des expositions-photos, le planting d’arbres, le cross et des moments de réjouissances.
pour donner un coup de beau à la ville symbole. Une cérémonie de souvenir et d’hommage aux anciens de Grand -Bassam, est inscrite au programme de la commémoration du centenaire, pour la date du 20 décembre 2014. L’un des temps forts de l’évènement est dédié à l’exposition des photos du premier
Lancé le 06 décembre 2014, à la rue Treich Lapleine du quartier France de Grand-Bassam la commémoration a commencé par un planting d’arbres dans les différentes artères, par les élèves de collèges et lycées de la ville. Ensuite, c’est une exposition de plus de 200 photos représentant les images de la ville de «Grand-Bassam d’hier», qui s’est déroulée une semaine plus tard. Le 15 décembre 2014, le marathon de réconciliation des habitants de la ville de Grand -Bassam qui a réuni beaucoup de personnes a été l’un des points marquants de cette commémoration. Le 20 décembre 2014 fut une journée baptisée «Ville propre» et a enregistré la participation de tous les habitants afin de balayer les rues, AÉROPORT D’ABIDJAN // 38
Président de la République de Côte d’Ivoire, Félix Houphouët- Boigny, du 13 au 19 janvier 2015. La ville de Grand- Bassam qui est classée patrimoine mondial de l’UNESCO, depuis le 03 juillet 2012, sera évaluée par cet organisme en 2015 pour son maintien
UPDATE COMMÉMORATION / GRAND- BASSAM A 100 ANS
ou non comme patrimoine mondial de l’UNESCO. Il appartient aux responsables de la ville et au gouvernement ivoirien de tout mettre en œuvre, pour le maintien de notre première capitale, au patrimoine de l’UNESCO. Catalogue rétrospectif de l’exposition de plus de 200 photographies représentant les images de la ville de « GrandBassam, hier », bilan et perspectives, ont ponctué la cérémonie de clôture de la commémoration du centenaire de la ville de Grand-Bassam, au Centre de la culture Jean –Baptiste Mockey de ladite commune, le samedi 11 avril 2015. Erigée en commune de plein exercice, la première de l’histoire de la Côte d’Ivoire depuis 1914, Grand-Bassam, ville touristique et première capitale de Côte d’Ivoire, a célébré avec faste son siècle d’existence à travers un programme inédit des festivités telles que des expositionsphotos, le planting d’arbres (par les élèves du primaire de la commune), le cross (marathon de la réconciliation) et des moments de réjouissance. La cérémonie de la clôture a vu la présence d’un parterre de personnalités dont
Daniel Kablan Duncan (1er fils de Grand-Bassam), les ministres Roger Kakou du tourisme(représentant le parrain de l’évènement, Marcel AmonTanoh),Maurice Bandaman, ministre de la Culture, Dr. Allah Kouadio Rémi de l’Environnement , de la Salubrité urbaine et du Développement durable, des députés, des ambassadeurs, des autorités traditionnelles, avec à leur tête le Roi Awoula Amon Tanoh( Roi des N’zimas Kôtôko). Cette cérémonie-
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souvenir a permis au conseil municipal chapeauté par le maire Georges Philippe Ezaley(initiateur du projet) de non seulement rendre un hommage aux anciens qui ont donné à la ville balnéaire ses lettres de noblesse, mais aussi de faire une projection vers le futur. Surtout que la ville est classée patrimoine mondial l’Unesco, depuis le 03 juillet 2012 et elle sera évaluée par cet organisme en 2015, pour son maintien ou non. «En nous replongeant dans nos racines, nous devons
UPDATE COMMÉMORATION / GRAND- BASSAM A 100 ANS
nous ouvrir demain comme hier» » «aux autres pour des partenariats et des jumelages avec des communes sœurs en Côte d’Ivoire, en Afrique et dans le reste du monde. Ensuite, nous devons nous projeter sur le Grand-Bassam de demain. Grand-Bassam, ville de mémoire à travers l’histoire de la Côte d’Ivoire hier et celle d’aujourd’hui. Grand-Bassam, ville numérique et de l’innovation à travers le vitib. GrandBassam, ville universitaire à travers l’université Internationale de Grand-Bassam (…)» , a soutenu la maire Georges Philipe Ezaley A ce propos, le ministre Maurice Bandaman a tenu à rassurer les responsables locaux
sur le texte d’évaluation qui a ‘’été fait ‘’ et ‘’ bien fait’’.ils n’ont pas à s’inquiéter mais il leur appartient, selon lui, ‘’ de tout mettre en œuvre, pour le maintien de notre première capitale, au patrimoine de l’Unesco, en prenant des mesures rigoureuses dans l’aménagement de l’espace et la préservation de l’environnement’’. La même observation a été faite par le ministre Roger Kacou qui a rappelé que cette cérémonie est certes de ‘’mémoire’’ mais aussi ‘’de devoir’’.c’est pourquoi il n’a pas manqué de remercier les pionniers ‘’connus ou anonymes’’ qui ont contribué au rayonnement de la ville, tout en se AÉROPORT D’ABIDJAN // 40
félicitant du dynamisme de la nouvelle équipe qui ne ménage aucun effort pour préserver l’identité culturelle et historique de Grand-Bassam, en cultivant et en perpétuant le ‘’vivre ensemble séculaire’’, et en ayant ‘’ un regard résolument tourné vers un futur prometteur’’. ‘’Au moment où le tourisme de la Côte d’Ivoire est sur les rails sous la conduite éclairée du Président de la République, Alassane Ouattara et le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan, Grand-Bassam ne saurait être en reste. Le contrat est clair. Aujourd’hui, les restaurants et autres hôtels de la ville ne désemplissent pas. Y compris les séminaires et colloques qui animent Grand-Bassam, nuits et jours’’, a déclaré le ministre du Tourisme. De même, «La célébration de ce centenaire sonne pour nous comme la renaissance de la ville historique», se réjouit Amon Tanoé, le Roi de Grand-Bassam, drapé dans un pagne multicolore, une longue chaîne en or autour du cou. La ville est en effet, régie également par une chefferie coutumière qui accompagne les autorités administratives. «Aujourd’hui, nous avons de grands projets pour que Grand- Bassam redevienne un centre de développement important, comme au début de la construction de la Côte d’Ivoire moderne», révèle cet ancien diplomate. Seule commune ivoirienne inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco - depuis 2012 -, la vieille ville lézarde tranquillement au soleil en semaine et se mue en paisible cité balnéaire les samedis et les dimanches, offrant aux citadins la plage en plus de l’Histoire. D’impressionnants bâtiments coloniaux, tantôt rénovés, souvent en ruine, donnent au «quartier France», un charme suranné : Grand-Bassam, incarnation de la présence coloniale française en Côte d’Ivoire, fête cette année son centenaire, les yeux tournés vers le futur. Grand-Bassam et son histoire Située à 35 km de la métropole abidjanaise, sur le golfe de Guinée, la ville fut d’abord un comptoir, puis une éphémère capitale à la fin du XIXe siècle, jusqu’à ce qu’une épidémie de fièvre jaune en 1899 décime les deux-tiers de ses quelques dizaines de colons. Bingerville prit la relève en 1900, puis Abidjan en 1934 et enfin Yamoussoukro - lieu de naissance du «père de l’indépendance» ivoirienne Félix
UPDATE COMMÉMORATION / GRAND- BASSAM A 100 ANS Houphouët-Boigny - devenue capitale en 1983. Mais Grand-Bassam est restée la première ville du pays à obtenir le statut administratif de «commune», il y a tout juste un siècle, en 1915. véritable
«coloniale». Un monument à préserver, à l’instar de cette petite artère boisée et fleurie, aux bâtiments rénovés et d’une beauté saisissante, qui mène à l’ancien marché aux légumes, devenu centre de culture.
Seuls des pans de murs tagués demeurent du premier palais de justice du pays, édifié en 1893, désormais enclos en vue d’un ravalement prochain. Un gigantesque manguier a pris possession d’une vaste bâtisse de trois étages (l’hôtel de France), dont le rez-dechaussée nu, dépourvu de portes, abrite encore quelques petits commerçants. «Il faut maintenir Grand-Bassam comme un monument historique», plaide l’écrivain Bernard Dadié, 99 ans, auteur de «Climbié», le premier roman ivoirien paru en 1956, dans lequel il raconte Bassam la
Dans le «quartier France», situé entre la mer et un bras de lagune, les rues portent encore les noms de colons fameux. Marcel Treich-Lapleine, le premier administrateur de GrandBassam, et Gabriel Angoulvant, un gouverneur colonial, ont l’honneur d’un boulevard. «On doit assumer le fait qu’on a été l’ancrage de l’histoire coloniale de notre pays», soutient le maire de la ville, Georges Philippe Ezaley. A rebours de l’Afrique du Sud, où l’Université du Cap a retiré début avril de ses jardins la statue d’un colonisateur britannique, symbole d’oppression
Grand-Bassam, un monument historique
pour des étudiants qui l’avaient maculée d’excréments puis recouverte de sacs poubelles. Le centenaire de Grand-Bassam en photo Une exposition de 200 photos retraçant le centenaire de Grand-Bassam a été montée. Outre Treich-Laplène, le gouverneur Louis Gustave Binger et le vice-amiral Bouët-Willaumez figurent en bonne place. Ils ont donné, eux, leur nom à des quartiers d’Abidjan, Treichville, Bingerville et Port-Bouët. Mais si Grand-Bassam, dont les 80.000 habitants résident surtout hors du quartier ancien, est une vitrine du passé, la ville aujourd’hui rêve surtout d’incarner «l’avenir de la Côte d’Ivoire».
Une representation artistique lors des festivités du centenaire de Grand-Bassam AÉROPORT D’ABIDJAN // 41
TOURISME SITA 2015: le rendez-vous touristique ivoirien par excellence! Le SITA 2015, la Cinquième édition du genre, portant sur le thème « La Côte d’Ivoire, voyagez dans la diversité » et a eu pour pays invité d’honneur, le Maroc à travers l’Office du tourisme du Maroc. Ce salon international du Tourisme qui, au fil des années, s’est s’imposé comme une plateforme d’échanges touristiques entre les opérateurs ivoiriens et ceux d’Afrique, marqué par des expositions, un forum économique, des spectacles et des activités économiques s’est tenu du 7 au 10 mai 2015 à l’Heden Golf Hôtel d’Abidjan, en présence des autorités ministérielles ivoiriennes dont celui du Tourisme , M. Roger Kacou.
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ette manifestation de grande envergure, qui s’est poursuivi jusqu’au 10 Mai, s’inscrit dans une dynamique de promotion de l’activité touristique dans toutes ses dimensions et se veut être une véritable vitrine de l’offre touristique, facteur de cohésion sociale pour les amoureux du patrimoine naturel et culturel du pays. Au cours de la cérémonie officielle d’ouverture, présidée par M. Roger Kacou, ministre ivoirien du Tourisme, le Directeur Général de Côte d’Ivoire Tourisme, M. Jean-Marie Somet, par ailleurs Commissaire Général du salon a, tout en saluant les membres de l’assistance et les opérateurs présents, tenu à remercier le gouvernement ivoirien, qui, en institutionnalisant le Salon International du Tourisme d’Abidjan, permet au SITA, de devenir un acteur majeur dans l’industrie touristique africaine et dans le monde. M. Roger Kacou, ministre du Tourisme de Côte d’Ivoire a, quant à lui, saluer la présence de la forte délégation Marocaine, pays invité d’honneur du salon, comme un exemple et une inspiration pour la Côte d’Ivoire en matière de développement touristique. Le ministre a aussi saisi l’occasion, pour rappeler que le tourisme était une composante importante de l’économie et que le SITA a réussi à devenir un rendez-vous annuel non seulement pour les professionnels des voyages et des loisirs mais aussi pour les touristes nationaux et internationaux. Avant d’ajouter que «l’organisation de tels événements touristiques offrent un soutien très important pour le tourisme intérieur considéré
comme pilier du tourisme national». Organisé par Côte d’Ivoire Tourisme en collaboration avec le Fonds de développement touristique. Sous l’égide du ministère du Tourisme, ce salon se veut une opportunité d’échanges et de rencontres B to B pour les professionnels du tourisme, n’a pas manqué de le souligner M. SOMET. Ce SITA 2015 ambitionne également d’être un cadre d’échanges, d’expertise entre les professionnels du tourisme, créateurs du voyage et des experts qui animeront quatre jours durant, conférences et panels. Plus de 250 exposants, notamment l’ Office national marocain du tourisme, les délégations du Sénégal et du Burkina , des tour-opérateurs, des agences de voyages, des compagnies aériennes, des chaînes hôtelières, loisirs et services, prennent part à cet événement, qui offre une opportunité pour les exposants ivoiriens et étrangers de présenter leurs produits à environ 20.000 visiteurs qui y ont fait un saut sur cet espace paradisiaque fait d’un large plan d’eau lagunaire pour le tourisme balnéaire que qu’un espace terrestre élégamment aménagé pour abriter les stands multiples du Sita 2015. Au nombre des Stands, celui d’Aéria, a cristallisé l’attention des visiteurs tant il était agréablement aménagé en offrant des gadgets, des dépliants et le magazine Aéroport d’ Abidjan aux différents visiteurs afin de leur faire connaître davantage Aéria qui venait de décrocher
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le précieux Sésame qu’est la Certification TSA. Par ailleurs, en Afrique de l’Ouest, la Côte d’Ivoire est une destination privilégiée pour hommes d’affaires, voyageurs en transit, mais aussi pour touristes à la recherche de sensations agréables. En effet, marquée par une frontière naturelle avec l’océan, longue de plus de 500 km de côtes, faite tantôt de plages au sable fin, tantôt de roches, s’alignant à l’infini, le pays s’ouvre à l’intérieur à une visite pleine d’émotion. Ses quatorze aires protégées, constituées de 8 parcs nationaux, dont certains sont classés Patrimoine Mondial de l’UNESCO et RAMSAR ; ses 6 réserves naturelles, invitent à l’aventure, tandis que son peuple, aux mille rituels issus des coutumes, toutes aussi riches que variées, vous accueille dans sa simplicité. Au plan économique, 1er producteur mondial du cacao, la Côte d’Ivoire offre au visiteur, un réseau routier dense, des lignes aériennes intérieures, des aéroports et des ports aux normes internationales et des infrastructures et réceptifs hôteliers de qualités. Le Salon International du Tourisme d’Abidjan, vous amène à la découverte des différentes facettes de la cote d’Ivoire, riche de cette diversité naturelle, culturelle et religieuse ! SITA DIGEST I-LE SITA AVAIT PLUSIEURS OBJECTIFS QUE SONT ENTRE
TOURISME SITA 2015: le rendez-vous touristique ivoirien par excellence!
AUTRES : •Constituer la 1ère vitrine du tourisme Ivoirien •Réunir pendant 4 jours, les acteurs du tourisme •Valoriser les échanges entre professionnels de l’industrie touristique •Optimiser le potentiel touristique Ivoirien •Promouvoir des offres touristiques de la cote d’Ivoire •Stimuler les investissements •Dynamiser la démarche qualité •Créer une plate-forme de formation II- LES CIBLES DU SITA •Professionnels du secteur de l’industrie du tourisme et des métiers connexes •Pays étrangers •Institutions de l’état et collectivités locales •Annonceurs •Grand public Passionnés du tourisme, Familles Elèves Etudiants Comités d’entreprise Nombre de stands : 320 Nombre de visiteurs : 20 000 III- LE PROGRAMME DU SALON -7 mai : Ouverture officielle de Salon; -8 mai : Forum économique pour le développement du tourisme en Côte d’Ivoire; -9 mai : Journée culture et traditions
avec N’ZASSA FESTIVAL (festival des pagnes) la parades des rois et des chefs coutumiers, Fresques des générations…… -10 mai : Tourisme et famille. IV- LES ESPACES Si vous êtes un exposant, plusieurs espaces s’offraient à vous et étaient disponibles pour vous mettre en valeur à ce Sita 2015. 1-L’ESPACE TOURISME ET NATURE: Ministères, collectivités territoriales et l’agro tourisme, parcs, réserves et zoo de Côte d’Ivoire . 2-L’ESPACE TOURISME RELIGIEUX : Présentez les lieux saints et de pèlerinage et de tous les lieux de cultes séculaires de la Côte d’Ivoire. 3-L’ESPACE PAYS : Pays frères et amis ont participé dans un esprit d’échange et de partage, en soutenant la Côte d’Ivoire dans ce projet de valorisation internationale. 4-L’ESPACE TOURISME SPORTIF ET BALNÉAIRE : Des tests d’équipements de sports et loisirs, et pour tous spécialistes du secteur nautique, cet espace a permis de démontrer avec maestria les différentes disciplines (pêche, ski nautique, rallye…) sur le plan d’eau lagunaire de l’Heden golf hôtel d’Abidjan. 5-L’ESPACE HÔTELLERIE ET AÉROPORT D’ABIDJAN // 43
RESTAURATION : Il a permis de profiter d’une plate-forme spéciale pour les acteurs de l’hôtellerie, de la restauration fine, des écoles d’hôtellerie, des complexes hôteliers pour mieux faire connaitre et se rapprocher des cibles de chacun des opérateurs. 6-L’ESPACE VILLAGE : Artisans fabricants, cet espace a permis d’exposer les plus belles créations dans ce village représentant des scènes réelles d’extraits de vie et coutumes traditionnelles de la Côte d’Ivoire. 7-L’ESPACE ENTREPRISE ET TOURISME D’AFFAIRES : Des tours opérateurs, des entreprises, des organisations patronales, des ONG, des agences de voyage, des cabinets conseils en banque-assurances-immobiliers, ont participé et proposez leurs meilleures offres. 8-LES ESPACES MAQUIS SPECTACLES : A ce grand RDV de détente et de dégustation, tous étaient présents et ont fait de bonnes affaires ! V- Les PÔLES ET ACTIVITÉS DU SITA Les conférences, ateliers, panels, rencontres B to B pour transfert de compétences. Le plateau d’animations folkloriques du pays profond. La Photothèque Ivoire relatant l’histoire de la Côte d’ Ivoire par des images. Les promenades lagunaires étaient au menu.
STATISTIQUES AÉROPORT INTERNATIONAL FÉLIX HOUPHOUET BOIGNY TRAFIC
MOUVEMENTS
*On observe une hausse semestrielle globale de l’ordre de +10% des mouvements d’aéronefs en 2015 par rapport à 2014 Notons une nette progression autour de +6% des mouvements des vols réguliers due à l’apport de nouvelles compagnies et à l’augmentation des fréquences des compagnies déjà existantes. Les mouvements des vols privés participent aussi à cette hausse semestrielle avec une croissance de +17% due aux mouvements onusiens, aux vols d’affaires et officiels (sommets régionnaux).
PASSAGERS:
Le trafic passager semestriel 2015, connait aussi une évolution de +18% par rapport à 2014; avec une hausse significative de +23% des passagers commerciaux due en grande partie à l’impacte des passagers transportés par les différentes compagnies et les copmpagnies charters, dans le cadre des relèves onnusiennes. Nous soulignons une forte percée du trafic passagers privés sur le 1ersemestre 2015 à hauteur de +56% par rapport à 2014 et une baisse significative des passagers en transit avec un taux de -47%. Cette croissance exceptionnelle notée dans le trafic au chapitre des passagers privés est la résultante des vols privés domestiques onusiens, des vols d’affaires et des vols officiels.
FRET COMMERCIAL
Le fret transporté au 1er semestre 2015 est en lègère hausse par rapport à 2014. Cette situation trouve son explixcation dans dans la timidité des commandes au niveau des compagnies cargo.
CONCLUSION
Les taux positifs obtenus à tous les niveaux du trafic au 1er semestre 2015 sont la preuve de l’amélioration significative de la situation socio politique en Côte d’Ivoire.
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Source: Service Escale
STATISTIQUES AÉROPORT INTERNATIONAL FÉLIX HOUPHOUET BOIGNY STATISTIQUES ANNUELLES( 2012-2013 -2014 )
(STATISTIQUES MENSUELLES AVRIL- JUIN 2015)
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INFOS UTILES
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DÉTENTE