A'UG.
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1
THE LIBRARY THE INSTITUTE OF MEDIAEVAL STUDIES TORONTO
u
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NOUVELLE
GRAMMAIRE ARABE
ANGERS.
—
IMPRIMERIE ORIENTALE A. BURDIN ET
C'^, 4,
RUE GARNIER.
NOUVELLE
GRAMMAIRE ARABE PAR
AUG.
PERIER
DIPLÔMÉ d'arabe, d'hébreu ET d'ÉTHIOPIEN. LICENCIÉ ÈS-LETTRES.
Ouvrage honoré d'une souscription du Gouvernement et
de
la
{général
Résidence générale de Tunisie.
Deuxième
ixiille.
PARIS
ERNEST LEROUX, ÉDITEUR 28, RUE BONAPARTE, Vl^
1911 Tous droits réservés.
de l'Algérie
DEC
1
1 1942'
AVANT-PROPOS Dans
cette Nouvelle
Grammaire arabe^ nous nous sommes pro-
posé de mettre à la portée des étudiants toutes les connaissances dont ils ont besoin pour lire les auteurs arabes et pour traduire en arabe, avec correction et quelque élégance, un texte français. Nous avons eu la préoccupation constante d'éviter deux défauts trop fréquents dans les ouvrages analogues les uns, manuels rudimenlaires, dont il est peut-être possible de se contenter, tant qu'on se borne à l'élude des textes faciles, ne suffisent plus quand :
on aborde les grands prosateurs et les poètes les autres, pour être complets, sont encombrés d'une multitude de mots techniques et de subtilités, la plupart du temps inutiles dans la pratique et qu'on pourrait appeler V arabe des grammaires. Il n'est pas rare, d'ailleurs, que les règles données jusqu'à ce jour sur tel ou tel point par les grammairiens, soient en opposition avec la syntaxe des meilleurs écrivains. « Une grammaire faite d'après les auteurs, nous écrivait le savant Père L. Cheikho, nous débarrasserait d'une foule d'inexactitudes que les grammairiens colportent depuis des siècles... les grammairiens poussent parfois la subtilité jusqu'au ridicule, et les meilleurs auteurs leur donnent en plus d'un endroit un démenti formel. » Nous n'avons nullement songé à indiquer tous les points sur lesquels il peut y avoir désaccord entre grammairiens et écrivains, mais chacune des règles données par nous a été appuyée d'exemples glanés dans les meilleurs ouvrages de la littérature arabe, pour indiquer que, si parfois nous nous sommes écarté de« théories de nos devanciers, c'était à bon escient (1). Certains détails que la lecture des auteurs nous avait signalés sans importance ont pu être omis; en revanche, le lecteur attentif rencontrera, chemin faisant, bon nombre d'observations qui lui paraîtront sans doute nouvelles. A l'exactitude, une grammaire doit joindre la clarté. Bien souvent, il nous a été donné de constater les difficultés de tous ;
(l)
sultés
Dè> maintenant donnons un pxompln rJisfMit
quo pour
dt'si^nor un*' dato
:
tous los j^Tammairiens que nous avons con-
ou unoépoqiio dans
d'un roi, il faut (employer le nombre ordraal\ or, peut-être plus fréquent du nombre cardinal.
la vif,
les écrivains,
d'unhommo,
lo xh'^wç',
dans ce cas, font un usage
AVANT-PROPOS
VI
genres auxquelles se heurtent les jeunes élèves, difficultés dont on ne peut guère se rendre compte sans la pratique de l'enseignement. Nous avons apporté tous nos soins à les diminuer dans la mesure du possible, et peut-être serons-nous assez heureux pour en avoir fait disparaître entièrement quelques-unes. C'est ainsi, par exemple, qu'il nous a semblé fort utile d'indiquer à côté de la forme usitée des verbes irréguliers, leur forme régulière. Ce procédé déjà employé dans les grammaires grecques, pour les paradigmes des verbes contractes^ a l'avantage de mettre sous le regard du lecteur la forme primitive et la forme modifiée, et de lui permettre, parla comparaison qu'il doit faire, de se rendre compte, en un instant, de toutes les modifications un peu énigmatiques de la racine.
Dans
la syntaxe,
chaque règle
est
annoncée par un exemple mis
en évidence, destiné à aider la mémoire de Télève en frappant ses yeux. Tous les exemples ne pourront, vu leur grand nombre, être appris par cœur; cependant, leur vocabulaire est assez varié pour qu'ils puissent être étudiés avec grand profit. Les Exercices que nous avons publiés (1) sont le complément nécessaire de cette Grammaire dont ils faciliteront l'élude et à laquelle ils donneront, d'une manière définitive, son cachet essentiellement pratique. Nous n'avons pas cru devoir les intercaler dans le présent ouvrage parce qu'ils en auraient trop augmenté le volume, et aussi, parce que, rédigés surtout pour les débutants, ils ne s'adressent pas à tous ceux auxquels la Grammaire elle-même peut être de quelque utilité. Qu'il nous soit permis de remercier tous ceux qui se sont intéressés à notre publication, et ceux qui ont bien voulu nous aider de leurs conseils et nous apporter la solution de plusieurs difficultés, en particulier le R. P. Gheikho S. J., M. Barbier de Meynard, et M. Hartwig Derenbourg, membres de l'Institut. Nous tenons enfin à exprimer notre vive gratitude aux arabisants pour la faveur qu'ils veulent bien accorder depuis bientôt dix ans à cet ouvrage un millier d'exemplaires déjà écoulés sont l'indice d'une estime non équivoque. Pour que celle estime soit dans la suite encore plus méritée, nous serons heureux de mettre à profit, pour une cdilion ultérieure, les observations que l'on voudra bien nous transmettre, et nous les recevrons toujours avec reconnaissance. :
Aug. PÉRIER.
(1) Petits exercices aralies sur la morphologie. In-12 de iii-114 pages, autographié, Paris, Ernest Leroux. Alger, Raoul Miaux.
1 fr.
15.
—
AUTEURS CITÉS *
Ali.) Ali,
^.Jli?
^
c
-»
^
^Lc, 598-661.
,^\ ,.H
^\
A.-U.) Ibn 'Abd Rabbihi,
J._li .''Jl, 861-940.
îLl^^
Arb.) Ibn 'Arabchah
1388-1437.
[/->}.
-x-^-^^', 741-831.
Asm.) Asma'i, *
t
Ath.) Ibn al-Alhîr, y-.3'\ *
">
..
Bah.) Bahâ-ddin,
"^JL^Li.J
Bat.) Ibn Batoiila,
lI^L
G. D.)
'
a.
..y^l^\
!
"^^-A._j
il4-^ 1547-1622.
^j!, 1304-1376.
"^-l-^IJ
Chams-eddin Dimachqi,
Cher.) Cherîchi
i
..v-j1J!
,
r-4-^. 1256-1327.
^iuJÎ, llb2-1222.
^^—^J-Ji, f 1410.
Dam.) Damîri,
^^^s-^
Fak.) Le Fakhri,
t
Jl, 1159-1233.
^
^
!
ouvrage de Ibn Tiqlaqâ,
;
1310.
Gan.) Ganaoui,
^^-sLJl, poète du
vi« siècle.
Gaz.) Gazzâli, ^JlJ-ljî, 1058-1111.
Ham.) Hamadàni, Har.) Harîri,
^j^y^^\,
Ibch.) Ibchîhi,
Isb.)
Isbahani,
''
"
''
.
T 4-
1054-1122.
A^j"^!, auteur
.^ V'
C "^ Ù5
'"--iliJ^^^Î, 964-1008.
du xv^
siècle.
'a.
^^ilJJ^^T ^ ".^jf-wJ,
897-907.
et*Itl.) Itlîdi,
^j>-~.Lj^\, auteur du xvi^ siècle. c
y
^
Job.) Ibn Jobéir, y.^..^ K. D.) Kalila et Diiniia
Khald.) Ibn Khaldoun.
:
c
-* ,
I
.-jK
1145-1217.
fables de Bidpaï, édition de
jSAA
^,J!, 1332-1406.
J
^ JuL-iLL
De Sacy.
I
^-f K
vm
AUTEURS CITÉS
(Khan.) Khansâ, il**.-;-dH!,
f
646.
Mahomet, 570-632.
(Kor.) Koran,
^j-^^
(Mal.) Malati,
^i-C-^'T ^J-OT Jî,
'-
y
c
/
c
1226-1286.
A
(Mas.) Mas'oudi, ^^^-x.*^^J!, f 956. (M. N.) Mille et
une
nuits. Édition
de Beyrouth.
du
(Moq.) Moqadessi, ^^^^-a..^.)!, auteur
(Mot.) Motanebbi, ^, -1;-::,^ J
(Qal.)
916-966.
f,
Qalqachandi, ^^-A-iujJx)!,
(Qol.) Qolioubi,
1418.
f
f
1284.
^^i^AjiM, \
1659.
(Qaz.) Qazouîni, ^-i-j^^-iL)l,
xiii^ siècle,
(Soy.) Soyouti,
^.L^..-lJi, 1445-1505.
(Tal.) Tsa'âlibi,
^-JLx.i:Ji, 961-1038.
(Tar.) Tarafa, LJ^-L, 511-552.
(Tart.) Tartouchi, ^.A-^-LJ-E.J
î,
Un certain nombre d'exemples v_>^Yl
1059-1126. tirés
-JLs-^, sont indiqués par
le
de la Chrestomathie du R. P. Cheikho,
numéro
et la
page du volume.
GRAMMAIRE ARABE PREMIÈRE PARTIE LECTURE
— Les Arabes écrivent
1.
page de leurs
livres
de droite à gaucJie\ la première
et lisent
correspond à
Leur alphabet comprend 28
la
dernière des livres français.
lettres, toutes
consonnes;
les voyelles
sont indiquées, à la manière de nos accents, par des signes placés en
dehors du corps d'écriture.
On ne
les écrit
pas habituellement,
le lec-
teur étant supposé assez instruit pour les suppléer.
Plusieurs lettres ont la
nombre, ou
la place
même
forme
et
ne se distinguent que par
le
des points. Ces points sont appelés, pour cette
raison, diacritiques, c'est-à-dire distinctifs.
n'y a dans l'écriture arabe ni majuscules, ni ponctuation.
Il
Alphabet arabe.
2.
VALEUR
LETTRES
LETTRES
VALEUR
NOMS SÉPARÉES
1
NUMERIQUE
UNIES
Bâ •
A
1
B
2
^^
T
400
^^
TS,
\
Alif
«
•
•
•
••
o
Ta
.1"
o
Tsâ
À
1^
1.
th anglais
500
GRAMMAIRE ARABE LETTRES
LETTRES
NOMS
VALEUR
SÉPARÉES
UNIES
Jîm
^
5fc3»-
NUMÉRIQUE
J OU
H
Hâ
DJ
fortement aspiré
KH
Khâ
cr=
VALEUR
3
8
600
bal
D
Dzâl
DZ
700
J
Râ
R
200
J
La
SAin
u-
^
7
«
S
cT'
fc
Chîn
A
toujours dur
CH
60
300
•
o^
Sâd
<J^ ^^O^
S emphatique
^^a.'i/^'^
D
emphatique
800
l2.i2.lif
T
emphatique
9
Jilkli
Z emphatique
900
90
^
t> i.
Dâd
^l^
Ta
•
Zâ
.Ik
L
Aïn
cA^-
L
Gain
cAc-
JtC
'A guttural
G
errassevé
70
1000
ALPHABET LETTRES
LETTRES
VXlEUll
ISOMS
VALEUR
SÉPAKKES
UNIES
Fà
NUMÉIUOUE
F
«wJlA-ô
3
Qàf
iJ
Kaf
J
La
Q
ô^
20
J«
L
30
/^«^
M
40
à-
N
50
v«^
H aspiré
5
OU
6
Mîm r •
jy
Hâ
3
Ouaou
100
K
c^'
ù
guttural
sst
m
Noun
80
5^5
-^
y
Yâ
iS
Y,
Remarques sur
— Les
3.
une seule de nos
comme
dont
lettres arabes
la
10
I
les lettres.
valeur est indiquée ci-dessus par
lettres françaises, et sans observations, se
la lettre française
Pour prononcer
le
o
prononcent
correspondante.
tsà et le i dzàl,
on place
le
bout de la langue
entre les dents.
Le dj [g le
jim correspond à notre y. Dans certains pays on le prononce Giovamii). En Egypte on le prononce comme italien devant i 27
:
g dur dans garçon. Le '^ hâ est une très forte aspiration.
(1)
Dans
le
uord de l'Afrique
le
^
fâ
s'écrit ljs et le
^^ qàf s'écrit
^.
GRAMMAIRE ARABE
4
Le f khà Il
une gutturale
est
en raclant du gosier.
très forte produite
correspond au jota espagnol dans Badajoz,
^ sm
prononciation forte du
j^ dâd, du 3 dzdi; le i ta, du c^ ^6f. Le i? ^« est un ) zâ emphatique prononcé la langue entre les dents. Dans beaucoup de contrées, en Algérie par Le
sâd
fj^
est la
le
;
exemple, sa prononciation se confond avec celle du j^ dâd.
Le
un son
'ain est
9
très guttural produit
par
contraction du
la
gosier; c'est une lettre caractéristique des langues sémitiques.
Le
gain
i
Le jj kâf
est
se
un g ou un r grasseyé (1), prononce du fond du gosier,
il
imite
gloussement
le
de la poule; l'appendice de cette lettre descend plus au-dessous de la
^
ligne que celui du
^
Le
kâf
fa.
prononce
se
comme
le
k ou
le c
—
ne devrait régulièrement kâf inscrit qu'on donne au ^a/ placé à la fin des mots
petit
éviter
que cette
lettre soit
Le J lâm, dernière de
la ligne d'écriture
doit être
Le avec la
le ^y> sâd.
forme d'une Le
Le
:
le
être
employé que
forme
la
dJ. C'est
lors-
pour
J lâm.
d'un mot, doit se prolonger au-dessous
J, pour n'être pas confondu avec
le ^
dâl qui
la ligne.
avoir une boucle très serrée pour n'être pas confondu
Dans
l'écriture
on donne ordinairement à
ellipse très étroite tracée de bas
en haut
:
cette boucle ^.
noîin n'est jamais nasal.
J »
lettre
maintenu sur
mim doit
^
confondue avec
dur dans comme. Le
hâ
est
Le J onaou
un h se
aspiré.
prononce ou
et
jamais
v,
consonne qui n'existe pas
en arabe.
Position des lettres isolées.
— Se placent sur
4.
Ont leur corps sur dessous toutes
la ligne d'écriture les lettres
la ligne d'écriture et leur
les autres
lettres
:.
^
i
w» w'
-J^
-^
^
appendice prolongé en
^^jj^^^^c^c,
è.
Liaison des lettres.
—
5. lient
En arabe, comme dans notre par juxtaposition. La liaison des
règles suivantes (1)
La
Iclli'c
r
écriture cursive, les lettres se lettres est basée sur les
:
non grasscycc ne donne aucune idée du
scription de certains
deux
noms géographiques, on représente
è,.
le
C'est donc ù tort que, dans la tran-
p par
/'.
LIAISON DES LKTTRES l^
Toutes
les lettres
quatre lettres 'aourada,
La
a/ff,
mener à
semblable au 2^
'
l'
peuvent se
précédente, mais les
contenuei^ dans
le
abreuvoir, ne se lient pas à la suivante
lettre qui se lie
verbe
:i^^\
le 3
dzâl
:
semblable au j râ ne se lient pas non plus;
dâl, le j zâ
:>
lier à la lettre
m, j ouaou
dul, j
:>
h
avec
la
moins n'en conserve qu'autant
suivante perd son appendice, ou du qu'il est nécessaire
pour atteindre
la
lettre qui vient après.
Nous allons indiquer par un divers caractères
Il
a)
:
w
Les cinq lettres
^
commencement
v_^_;L-^L.i-A_;:^_^::«j
La
lettre qui
la ligne
les
compte des remarques qui suivent bâ^ ^^ ta, tsâ, ^ iioiin, ?/«, sont repré-
ne se distinguent que par
b)
que Ton supprime dans
:
faut de plus tenir
sentées au
trait ce
dans
et
le
les points
^
corps des mots par
signe
le
j
et
:
bd, ta, yâ, noiin, tsâ, bd, tsâ, ta, yâ, noun, bâ.
précède
le
caractère
t
s'écrit
un peu au-dessus de
: .
^> bâ-jîm,
(/ Les deux lettres
j) lâm-khd^
^^
C
C
'aïn-hâ. '
aïn et ^ gain liées à la lettre précédente prennent la forme d'un triangle placé sur son sommet x i. Dans les c)
p
caractères typographiques elles sont souvent aveuglées et ont leurs
angles arrondis. C'est un défaut qu'il faut éviter dans l'écriture. c^
Le
mîm
^
dans
le
de boucle au dessous de e)
Le
5
du mot
corps du
mot
n'est figuré
la ligne d'écriture ^ ^
hd placé au commencement du mot
^,
ou
-v;
à la fin du
mot
à,
quand
il
•
que par une sorte
^r^-^ chîn^ 7nim, sîn,
s'écrit
s>;
dans
le
corps
est lié à la lettre précé-
dente. /)
A
des mots les lettres reprennent leur appendice
la fin
fi-{
Lettres a
J
r
^J^ mîm-sdd,
bd-'aïn,
Modifications.
lier.
— — '
'
--P
^
^
:
lâm-noun. Liaison.
^
GRAMMAIRE ARABE
6
— Les groupes suivants indiquent
6.
les divers caractères,
dans
corps ou à
le
les
modifications qu'éprouvent
suivant qu'ils sont placés au des mots
la fin
commencement,
(Voir la troisième colonne de
(1).
l'alphabet.)
c
t'
:
bsL^
^5j
A
)^^Y.
:
alif;
C'est ce
j't-:,
J lâ?7i suivi d'un alif se lie comme il groupement que l'on appelle quelquefois lâm-
remarquer encore que
suit
^jji
^^-j le
^
mais on a tort de l'introduire dans l'alphabet ou de
comme un
le
considérer
seul caractère.
Lettres supplémentaires. Hamza ^. 7.
— Le hamza
(2)
_e_,
qui a la forme d'un petit p 'din sans appen-
dice est en réalité la première lettre de l'alphabet et Y alif n'en est
que
le
celle il
une aspiration gutturale, analogue à mais beaucoup moins intense. Tantôt il s'écrit seul, tantôt
support.
du
p
Il
se rend par
a pour support l'une des trois lettres
\
alif,
j ouaou, s. s.
support du hamza perd ses points diacritiques Voir pour
les règles
du hamza,
§ 65
'i
ta
marhouta ou
tel
bouclé
surmonté de deux points.
C'est
marque fréquente du féminin naire quand on
comme
le ta
le
iji.^-*
lettres
piqûre.
a la forme d'un
»
ha
Il
a la valeur du
fait I
:
c^
'i^S houle se
ta ordi-
prononce
pas sentir la voyelle finale
alif
:
'i^S kourâ.
isolées, iniliales, médiales, finales. Cette manière de
grave défaut de faire croire à relève
les très judicieuses observations (2)
Lorsqu'on ne
'i)
lettre essentiellement finale et
singulier.
marhouta équivaut à un
Nous ne parlons pas des
s'exprimer a
devenant
une
j ^.
2.
prononce avec sa voyelle
sZ.>j^ kouratoun.
du mot, (1)
le
[^hj
1
et suiv.
Ta mar bouta Le
:
^ ya. Le ^
s-
qu'il y a
quatre alphabets eu arabe. Voir
de M. Bresnier, Cours de langue arabe,
p. 78.
.
VOYELLES
Voyelles
—
8.
y a trois voyelles
Il
_i__£--7"
:
>
Le (iamma JL qui
prononce ou
se
Le
fat/ia
.^ qui se prononce a
Le
/cesra
~^ qui se prononce
Comme
on
kesra en dessous
,et le
danima
le voit, le
Dans certains mots tient lieu d'un
\
*
et le
i
:
'?;
qoutila,
supprimé
damma ou un
mais
—
oun, an,
:
La dernière
:
consonne,
\
;
quand
c'est
— kesra
'ou,
\
s'écrit
quand
il
sous Valif son
a pour voyelle un
'a (i).
_!l
^— voyelle avec
la
j
n non
in.
lettre
d'un
nom
tanouine qui est indiqué par oun, ±. an, -^ in
la
hudza, ceci (pour bLî).
Ce mot signifie prononciation de
vocalisé
'•
t
:
Tanouiae 9.
S2
la.
a été tué.
il
s'écrit sur Valif
il
fatha
U-
S
faiha se placent sur
hamza ayant pour voyelle un
support
ta
rou
j
falha se place verticalement JL
le
!3-»a>
Le
L
:
:
hou
:
y^^^
il
i
y
V
:
:
le
indéterminé peut seule recevoir
le
redoublement du signe-voyelle
-^
^JJ qalamoun, plume\
-il
'L^j^s fariliatan, contente;
J-), oualadln, d'un enfant.
^
yy
^y
Le tanouine- fatha
— prend après lui un
I
alif or tho graphique
:
> y
^=v^
homme, excepté lorsque le nom se termine par un td mar bouta ou un hamza précédé d'un alif, ou ayant un «///pour support
rajoulan,
'i
j^
143
(§
a)
:
s^^^j
ridâ'an,
u.^
cbaï'an.
LJJ-aw jadzilalan, jo]jeuse\
Cependant l'usage a chose-,
(1)
écrit
encore régulièrement
Voyelle se dit en arabe 'à>Sy^^ haraka,
consonne est
on
établi d'écrire
mû
mue par
par
le
telle voyelle,
damma,
le
Cj> par
pour dire le
kesra
^
:
manteau.
de ^/^^
L^i;,.
mouvement. De
là l'expression très usitée
portant telle voyelle. Dans
le
J
cliaTouii,
par
le
fatha.
:
^J.»^» qoutila
telle le
^^
;
.
GRAMMAIRE ARABE Voyelles longues, lettres de prolongation.
— Les
10.
voyelles J_ :L ~7 sont brèves de leur nature. Elles
deviennent voyelles longues quand j ouaou\
^,
j,
1,
fatha jl, d'un
le
nom
le
>
de
lettres
~, d'un
de prolongation
damma Jl d'un
^
y^^-
Les
lettres
'aboûhou, 50W
habîbàka,
v^LA-.w.^.a.
VatifdG
:
-»J>
J>'é.
'iy\\
y
alif; le kesra
\
le
sont suivies,
qui dans ce cas sont dépourvues de tout signe orthographique,
prennent
-f
elles
la
tes
J'-J^ qâliloun,
/)è?'e
assassin.
ioX^~^J rasoûlàni, deux apôtres.
deux amis.
désinence ^j— du pluriel masculin ne se prononce pas,
/»
lpUa.3 fasaloù et
non
fasaloûa,
îls
ont séparé.
Signes orthographiques. 11.
y a quatre signes orthographiques
Il
Lejezme ou soukoun
(1)
Jl
Le chadda ou techdid
(2)
— —
Le ouesla
(3)
Le madda
:
—
(4)
Les deux derniers sont particuliers à Valif. Jezme. 12.
— Le jezme,
—, se
zéro
qui a la forme d'un petit croissant ou d'un petit
place sur une consonne pour indiquer qu'elle doit être lue
sans voyelle. Une consonne portant un je zrne labe précédente
(5) fait
partie de la syl-
:
C
l_^J_S^ kal-han,
chien;
/»
c.
^
j^^Sjl.^^ mous-taq-biloun,
s'^avançant.
/•
il
coupure^ tl^^-^o repos.
j-^
(1)
f
(2)
j$Jw), jOcX.iixj, corroboraiion.
(3)
^-^3
(4)
kj^, prolonqemenL
ou <^_i.^o, union.
le soukoun du jezme. Le signe J_ est appelé soukoun quand jezme quand il est sur la dernièi'e lettre du mot. Pour éviter la termes techniques, nous n'emploierons que le mot jezme et appellerons Lettre
(5)
Les gi-aininairiens distinguent
est
dans
le
corps du mot, et
multiplicité des
jezmée une
lettre portant le signe _o.
SIGNES ORTIJOGRAPIIIQUES Il
n'y a jaiiKiis en arabe
deux jezmes de
[i
suite» el la
première
lettre
d'im mot ne peut porter ce signe.
Les mots étrangers commençant par deux consonnes ont pris un <^?//7prosthétique en passant
dans
langue arabe
la
^
J-^lawvol 'isiAhloun
{s tafjiiluni) y
J y
:
es-
«^L^.3
é table;
\
'Ailàtoùnou, Platon.
1
Chadda.
—
13.
Le chadda
un
est
i)etit ^r»
appendice
sln sans
(le
chîn
{J^
mot iù^t,) qui indique le redoublement de la consonne qui le supporte. On doit prononcer comme s'il y avait deux lettres semblables, dont la première porterait nnjezme sans points du
:
w ^
^
j^
y
i,
ijj-^) mar-ra, il est
passé;
^.jj
(
rab-bi,
^-[--fj)
mon
seigneur.
Ouesla.
14.
— Le ouesla est un petit j^
-^dd (le
^ de J^j ou
i_l^)
que Ton
place sur r«/// initial de certains mots qour indiquer que cet alif doit
dans
être élidé
prononciation. La consonne jezmée qui suit toujours
la
alif oiieslé doit être rattachée dans la lecture à la voyelle précé-
un
dente
:
.J
yji^
,J fil-baïd et
\
non
fi-albaïti, ni fi-lbaïti,
dans
la
chambre
y
• y iwX_j
I
fi.-/»
ma'alinibi avec son
L'«///qui reçoit
le
fils.
ouesla est appelé alif d'union.
Nous croyons devoir renvoyer à indications sur
donne à
le
la lettre
la fin
de la morphologie les autres
ouesla [alifs qui le reçoivent, voyelles que
précédente quand
elle est
Ton
jezmée). § 189.
Madd<i.
15. la
— Le madda^,(\\x\ paraît n'être qu'un
contraction de deux
alifs. AJalif
prononcé longuement avec
On emploie un :
-=-
pour
surmonté d'un madda doit
l»J qaraâ,
signe semblable au ^^-**.Jl
ali/ horizontal, indique
voyelle falha .^
ukboudzou, je prendrai;
jowl
viation
la
!
^.-^.Lt
ils
être
:
ont lu [tous deux).
madda pour désigner une
abré-
'alaïhîs-salàmou, sur lui [soit) le salut;
GRAMxMAIRE ARABE ^.«.l^
pour *_L^j
répande sur lui
Remarque.
^-o
à-^_Ls ô^i
sallid-lahou 'alaïhi oua sallama, ^//C Z)if7f
ses bénédictions et qu'il le salue.
— On ne doit pas employer
le
madda sur un
parce qu'il n'y a pas dans ce cas conlraction
Aj^i^ khadrâ'ou,
ciel,
verte, et
de deux
allf suivi alifs
:
d'un hamza
^
tL^^ samâ'oun
non ^L^^, £,\^^:L. Cette manière
d'écrire assez
fréquente est fautive, et de plus en plus condamnée par l'usage.
Division des lettres. a)
16
Lettres fortes et lettres faibles.
— Les trois lettres
vues employées
comme
^ yd, que nous avons déjà
alif,j ouaou,
i
hamza
supports du
_£.,
et
comme
de
lettres
prolongation, sont appelées lettres faibles parce qu'elles sont sujettes à
beaucoup de transformations
et qu'elles se
^ final précédé d'une consonne portant comme un
alif.
L'usage
s'est établi
dans
priver alors de ses points diacritiques
Lt
'alâ,
Dans ce
sur\
cas, le
^.f\
rama,
il
la
a jeté',
suppriment souvent. Le
voyelle fatha se prononce les livres
imprimés de
le
:
^^-^
houdan, vole droite.
^ est appelé alif bref ou yd muet;
nous
lui
donne-
rons cette dernière dénomination.
Toutes
b)
17.
que ^
les lettres, autres
j,
^, sont appelées
lettres fortes.
Lettres radicales et lettres serviles.
— Les sept
contenues dans
lettres
la
phrase ^^j-^
^^^
'anta
mousâ, tu es Moïse, servent à faire subir aux racines de la langue arabe les
modifications qui caractérisent les genres, les nombres, les modes,
etc. C'est
mêmes
pour cela qu'on
lettres
les appelle lettres serviles.
Néanmoins
peuvent être radicales dans certains mots,
faire partie de la racine.
ces
c'est-à-dire
Les autres lettres au nombre de 21 sont tou-
jours radicales. /'
>
C
/'
c
>
Ainsi la racine de ^^-^!^^-^.^ mousta'jiboùna^ étonnés, qui ne contient
que
trois lettres,
sera w-^^^, car les trois lettres du groupe ^-^^^^
-^-^ «-^' seules ne sont pas contenues dans n3 ^
DIVISION DES LiriTRES
r)
18.
jD
)o
moins
— }h
le
Lettres solaires et lettres lunaires.
Les lettres solaires
^ j, mhn.
Ji
sont
^
^J^
^jLj
J j u^ lt C' c'est-à-dire les dcntdles, les sifflantes et les liquides (1)
:
''^
/»
Les autres lettres sont lunaires
(2)
^
v^»
^
:
-^
'>
-:-
^
r^
i'<^
Cette distinction est fondée sur la propriété qu'ont les lettres solaires
de s'assimiler dans
prononciation
J de V article J\ 'al lorsque l'article est placé devant un mot commençant par une lettre solaire, le J s'écrit sansyV'rm^, et la lettre solaire prend un chadda la
le
:
:
J-9.^Jl 'ar-rajoulou, /Vwmwg,
^^J^\ i-s^LJl
'acli-chamsou,
pour
— —
/e so/eiV,
,J fir-iâhati, dans
le repo'i.
Dans ce dernier exemple Valif est Remarquons dès maintenant que
J._2i.jJi
'al-rajoulou.
^^.^.iuJ! 'al-cliatnsou.
Lcvi^Jl
comme
élidé
..i
fil-rahati.
l'indique le ouesla.
invariable et qu'un
l'article est
substantif précédé de l'article, étant déterminé, ne prend jamais
le
tanoiune.
19. lo
^ ^^ ^ ^
^
"^
^
C ^
j
—
Épeler les lettres suivantes
^
^
cr ^
-^
2»
Épeler
(^^
^
'^
•
y
K^
Exercices.
c.-
^
^
(1)
Ainsi appelées parre que le
^^
(2)
Ainsi appelées parce que
^
le
d
s? J
c
>
J
t ^ "^
^
'-='
(^
les lettres
—
:
.
'
"^
(^
contenues dans les mots suivants
c^^l
bi
est la
première
première
lellre
lellre
du mot ^yw^»-^
du mol
^..«.-j
^
^
\^
:
chamsouu,
qamarouD,
soleil.
lune.
GRAMMAIRE ARABE Exercice sar les voyelles.
3o y ^
y/
/
y
y/
y
y f
Jf'
>
y
''y
^ y
y
,^^,^ LijU ,'oL» .J-^l^ »v^.r^ '^Kj-^^ y y
J^
9 f y y
9
y
J^
y
9's.
y
G*
S^c-/'
-
,^^-^U
,^,1
,j^ .._;l.^^>-^! .^^.biiL.
y
m y \^
(.
M
f
i,
w;^.-^
y
i.
y
i,
y y
c y
{^
y y
>
?
^
y
,^y^
^y
i.
y
c^x
y
<,
y
t
i.
f
i,
S/'
-
y y y >
yijc^yt,^
y ^
yy
~*
y y
y
f^<«
devant
l'article
9
<,
y
<,
-'^c^cî
^b^
qués d'un astérisque. Ex. S9
^
maison,
i,
:
y
'C^
y
mots suivants
les
commençant par une
un, disparaît; les mots
\^
%
'^
-^
y y
'^A-a
,*_a>^J.J^ J^i-JL-j' ,>U,-**.JJ
>,.^y.^ic.i
^
y ,
i
(,
.-^-^sj
y
y y <^1
y
y/
<.t
»^^*-^^ 'J^-^^
.y
,
"^
y
y y
i.
y
(.^
Mettez
j
y y y
,w<r^l ,^.^j ,^:^î
y
A 9
>
y
y
y y 9
^-^ ,p=^^ ,J-^^
v'J-^^ ^-^
(.M^y^fefy^ff
*c^
LT yy
y y y
y
9
J^
^^
Exercice sur les lettrés solaires.
*^! *-^L' ^Li-jjJi
.y.
y
<^
ex
5o
,V.«^)Uf
yy '^-''
Exercice sur les signes orthographiques.
4°
y y y
y y y
'J-*-^
y
tanouine,
J^
montagne,
j^-^-=^
(,
'^
.
3
y en a
sont marla
maison.
/^c/'
y
a-ô-^s^
> y ^ ft-=Vwi
s'il
lettre solaire y -Z t
une maison, devient ji-Jf,
y y
y-a^* siècle,
le
tï
y
louange,
i»-^-2w
vin.
yy
jf y y
JJ
JfXà
y
(,
»_i-w* voilage, ïJ^^* violence, ^_^»-«i5* com/3, ,.>l--Jb jf-Z
nnrd,
y
y
y
•fc,
>
'^
i.yf.Myfyyi^y j»J
1
_*«JLJ
*Js-x_j
*_j
'
'
,^^\-sr-^ àJîLj ^ ^
/••
xî
_-.-3
i^:L/>'
,.2^«,
X..
"
J
y y
y
«.-.^is'aJ» •y
^
^
,J1 ^
y
^
re-
-^^
souvenir,
C^-^ bonne voie.
y
y^ .ji^JLs y
(,
Maruamou
:
/ou arsîmou
yy
.-^::_^J'a
^'' y y
<76//a/
nafsir-rabba,
>>
-./'^i-* ta.
jJà^*
Exercice de lecture.
6°
y
cS'y
cadeau, .^^-^^-^ croimnts,
i-jJ~a
c/eux chiens,
owa
tabtahijou roûhl billâhi moukhaliisl *
y 9 "Zt
»_Lj
Jw)'^
li'annahou na-iaj^a
^
t/o?/'/
'amati/ii,
'ilâ
fahà
taouâ-
EXERCICES DE LECTURE
^
.^\
.i o.-\^-i ..
•
moundzoal'
toiitaououi(Ina hounijamVoul-^ajyâli.
J-J^-''
c^
w
..
.
13
ti.
y
y
y
y
y
^ y ^
J
-
^
A_'.'_-2k.
1
^ s y
/f
y /
i.
I
Z f f f
^^.XJi
^
y
y
^
i,
y
annal -qadlra sana'a 'ima^
ouas -mouflon qouddousoun ouara/imatouhou Hlâ
M y
/»
^
y
Ç-.
-^
y
//
oua
'aji/âlin lilladzlna
i/attaqoûnahou
*
y y y
y y
sana^a 'izzan bisâ 'idihi, oua ckattalal-moulakabbirina
A
f^ ^^j^.)jAJ
af.
/
,._^ y y^CM
if.
s.
(^
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Xi. £-y
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biafkâri qouloûbihim
^
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y
X
9
t.
c
^
y
-a
hattal'mouqtadvîna'anil'kara' y
''
•
•
'^
<
•ci
'
4 y f c^
siyyi,
xy/y ouarafa'al-moulaouâdi'îna
j»
'achba'atX
r
i,
7y y
L
ri>^^M^y^(,y
s.
y
y
i
jiyâ'a khaïran, oual 'agniyâ'a
*
^arsalahoum fâriqîna ^. y y
y
y
/ c
y
y
'adada ^isrâ'Ua falàhou^
fyyt^yyyyy fadzakara rahmalahou kallama j.-jÎ^M
\\ àJL«J« '^
a
^
^ \
UïLjI
s.-5^
"^^
n.
kamâ
âbâ'anâ, li'ihrdhîmaouanaslihi
'
'ilâl-'abadi
'a.^
Traduction. Marie
dit
:
Mon âme
glorifie le Seigneur, et
mon
esprit se réjouit en Dieu
mon
Sauveur. Parce qu'il a regardé l'humilité de sa servante; désormais tous les siècles m'appelleront bienheureuse. Car le Tout-Puissant a lait de grandes choses en ma faveur et son nom est saint. Et sa miséricorde se répand de race en race sur ceux qui
le
craignent.
Il
a déployé la force de son bras,
superbes formaient dans élevé les humbles.
Il
les
cœurs.
a dissipé les desseins que les
a renversé les grands de leurs trônes, et
il
a
a rassasié de biens ceux qui étaient affamés, et renvoyé les
mains vides ceux qui étaient riches. et s'est souvenu de sa miséricorde. à sa poftérilé dans
Il
il
tous les siècles.
Il
a pris sous sa protection Israël son serviteur,
Comme
il
l'avait dit ù
nos pères, à Abraham
et
r«
•
GRAMMAIRE ARABE
DEUXIÈME PARTIE MORPHOLOGIE La morphologie
traite de l'étude
de la forme des mots.
Des parties du discours.
— Les grammairiens arabes rangent
20.
le vrj'be,
Le
le
nom,
les
mots en
trois classes
:
la particule.
nom comprend
le substantif,
La particule comprend V article,
V adjectif^ \q participe,
le
pronom.
la conjonction, la préposition,
Vad-
verbe, V interjection. Il
y a donc en arabe
comme
en français dix parties du discours.
Nous suivrons, dans l'exposé des matières, Tordre que nous venons d'indiquer. Nous étudierons en premier lieu le verbe, parce qu'il est le
point de départ de tout
peut, sans en avoir
complète de
21. et la
—
la racine et
Si l'on
voici
féminin, §
les
Les
manière
(1).
de
la
forme.
§
racines de la langue arabe sont formées de trois
J>^J que nous prendrons pour modèle
veut acquérir, sans trop tarder, chapitres dont
les
120; duel,
§
il
I.cs
(2)
Cette
notions nécessaires pour se rendre compte d'un
faut prendre connaissance
après l'élude du verbe régulier
:
127; pluriel régulier, § î29-t32; déclinaisons, § 143-147; pronoms,
149-158; principales particules, (2)
traiter d'une
qu'on ne
forme d'un mot.
lettres. Soit la racine
(1)
du substantif
et
faut expliquer, dès le début, ce qu'on entend par la racine
11
Presque toutes
texte,
système grammatical arabe,
une connaissance préalable,
l'adjectif et
De
le
%
182-187.
Les grammairiens arabes prennent pour modèle
difficultés
la racine ,J.a9 qui contient l'idée de faire. de tout genre résultant pour des étudiants européens de la présence du c. nous
déterminent à remplacer ^J-as i)ar jj^-^à. celte racine ne différant de la précédente que par la 2e radicale. Les trois lettres de ,J~si.s sont pour les grammairiens arabes l'équivalent de l""*, 2^ ou 30 radicale. Us disent, par exemple, le v^J de k^^'JS pour désigner le ^, le c. de
^y^
pour désigner
le
^^.
DU racine
VhiHin':
i:
de séparer. Elle peut devenir,
eoiilieiit \'\dôc
voyelles ou de lettres serviles,
A^^A^.
V-^U,
si^nilie //a srparc
sr'p(/i(in(; J^./>=-i_.--
,
s
J.>^J,
;
a été sépare, J-2_j,
il
Nous dirons qu'un mot racine dont
la
y y y
f
y
y
y
f
la
forme
y
y
^
;
J-^L^,
^
/
^
>)
J^^-s, J--^-^, J-^l-?, etc.,
99 y •
de
y
—y^_5
/
^
>j>
^
(^
y
la
forme J^.o-à_^
—
s?
y
y
à
Iw
^-3
"
'
S9
99
est
<L-A--^
•
y
y
.^jy;S^
^
y
f
s:>
j^—nc-s
/•
sf
separai-ion
:
etc.
J-^^-a;
—
«^^-^•-^
racine
y
y
de
la
l^_?,
dérive a subi les modifications de J/^J pour
il
J9
y y
est
forme
est de la
devenir J'^-s, J-^-% J-^L-S
^s-o
\^_3,
'paré. y y
lorsque
1^.3,
contenue dans
etc.; CCS /(H'Nfes di/férentes \svcc\sc\\[. l'idée
Ji^J
pîir raddiliuii d(^
y
"
^
P9
::,
f
DU VERBE 22.
— En français, lorsqu'on veut énoncer
l'infinitif
:
aimer,
masculin singulier du
mant jamais que
En arabe, on emploie
finir.
les lettres y
forme
la
plus simple
se sert de
la troisième
personne
cette personne,
de la racine, présente
le
ne renfer-
verbe sous sa
y y
J--^.^, il
:
que
parfait, parce
un verbe, on
a séparé.
Classes de verbes. Trilittères et quadrilittères.
a)
Si l'on considère le
nombre de
se divisent en trilittères y
y y
y y
J.^.?,
il
lettres de la racine, les verbes arabes
ou verbes dont
a séparé', ^^^^,
il
a
écrit
;
et y y
la
racine a quatre lettres,
h)
Les verbes
trilittères
contiennent que
la racine a trois lettres,
comme
y
comme
en quadrilittères, ou verbes dont L.
y
*-^j-V, il a traduit.
Primitifs et dérivés.
ou quadrilittères sont
les lettres
de
la racine
printiiifs (juand
ils
ne
au nombre de trois ou de
.
^
.
GRAMMAIRE ARABE
U;
comme on
quatre,
l'a
vu dans
ont des lettres serviles ajoutées à
vés, lorsqu'ils
/'
Verl). tril
Verb.
dér.
tril.
Ton considère
la
sont déri-
Ils
la racine.
y y
-à_c
il
a pardonné.
v-àJL:i^'
il
a implore
prim.
c)
Si
paragraphe précédent.
le
Réguliers
le
pardon.
et irréguliers.
nature des lettres de
la racine, les
verbes se
divisent en réguliers et en irréguliers. Sont irréguliers les verbes dont les
deux dernières radicales sont semblables,
hamza
-f_,
ou une
et
ceux qui ont un
^ àla racine. Les autres verbes sont
lettre faible j,
réguliers. y y y
Verb. rég.
S-"^^^
y y y
entré ; ^j^î,
^^ ^^^
j^
Verb. irrég. y
(pour j
a
tué.
yt
v-w), il
arrivé;
il est
y
a réjoui; Jl-w, y
y y
Aw^«,
il
/ y ^
M y
il
a interrogé;
y
%-^),
il
a été
satisfait.
Conjugaison.
— Voix. —
23.
y a deux voix
— Le verbe arabe
Temps. dique
11
le passé, et
la
:
voix active et la voix passive.
n'a que deux
temps
:
le
parfait qui in-
V imparfait qui indique ordinairement
le
présent ou
le futur.
Le parfait
est
fréquemment désigné sous
prétérit, et l'imparfait,
— Le parfait n'a
Modes.
modes
:
sous
le
nom
que
nom
le
de passé ou de
à' aoriste.
mode
le
indicatif) l'imparfait a six
Vindicatif, le subjonctif, le conditionnel, V énergique grave
Y énergique léger, et \ impératif
Dans
le cours de cet
ouvrage
les
termes indicatif, subjonctif,
signifieront naturellement Vindicatif
Genres.
dans 3^
la
—
C'est
ou
le
subjonctif de r imparfait.
une particularité des langues sémitiques d'avoir
conjugaison une forme spéciale pour
personnes. La
Nombres.
—
Il
etc.,
1"^^
personne
y a trois nombres
La première personne
môme
est la
:
le
féminin à
pour
les
le singulier, le
la 2^ et à la
deux genres. duel et
\e pluriel.
n'a pas de duel, le pluriel en tient lieu.
VEPxBE RÉGULIER PRIMITIF; PARFAIT
—
Personnes.
ya
Il
trois
La première
personnes.
^Cj:,sJ!; la seconde, celle à qui l'on parle^
17
est celle qui parle,
^-Llx^!
rinlerpellé\ la
troisième, celle de qui l'on parle, v^^liJi, rabsent.
—
Infinitif.
L'inlinitif arabe,
véritable substantif;
dans
il
encore appelé
nom
un
(Taction, est
désigne d'une manière abstraite l'idée contenue
verbe.
le
^«JLx,
^jJL^^, action de
il s est assîSy inf.
J-;ii,
il
Participes.
encore appelé
a
—
tué,
—
J-^^, meurtre (action de tuer).
La langue arabe
nom
s* asseoir.
a deux participes
d^ agent, et le participe passifs
:
le participe actif,
encore appelé
nom
de
patient.
Part. act.
v
aJ'!^,
écrivant
L'infinitif et les participes
Part. pas.
,^^ysS^,
ne sont pas considérés
Voix active du verbe
comme
écrit.
des modes.
trilittère, primitif,
régulier
(1).
^ ^ ^
J-^o-i, il
a séparé.
Parfait. 24.
—
Le
parfait se
conjugue au moyen de désinences^ ou
lettres
placées après la racine.
Ces désinences sont considérées par les grammairiens
pronoms
\.
la
sujets
comme
les
du verbe.
Les élèves étudieront avec
repasseront jusqu'à
ce
le
qu'ils
plus grand soin la conjugaison du verbe la
sachent d'une
façon imperturbable.
d'apprendre sans grandes difficultés et d'une manière sûre
les
régulier primitif, et C'est
le
seul
moyen
autres catégories de verbes
verbes dérivés, quadrilitteres^ irréguliet's.
2
•
GRAMMAIRE ARABE
^g
~
y
\
:
fai séparé.
^J_o-9
m.
tu as sépare f
.i-.)L>û_9
— j-^,^
il
a séparé.
elle
sj:^A-LAff-9
f.
a séparé.
vous avez séparé [tous deux).
Us-*J_/»^J
^-/.cu^
ont séparé [tous deux).
ils
y
elles ont
U_L^v^9
no 1/5 avons séparé.
A-iLL/>r-3
uows avez séparé, m.
Lj_A^_è
verbes
;
a-^î.^,
— it
a)
La voyelle de
a fait; ^^j-^y
d'une manière générale, que qu'il
le
indique un état passager
il
la
e//e5 o)i^ séparé.
seconde radicale du parfait varie avec
a été
triste
;
il
j.-^»
verbe indique Vaction si
c'est
séparé.
i/s o?2^
^-Laa^
Remarques.
séparé [toutes deux),
L:LL/..a-9
un
kesra, et
a été grand.
si celte
un
On peut
voyelle est
permanent
état
les
dire,
un fatKa, c'est un
si
d'amma, y y y b)
Lorsque
la
dernière radicale est un r*
voMS
O
:
évadés
l'OMS êtes
cuJlJ,
il s
est évadé,
on
O
des désinences quand ce dernier radicale et le ^ c y y^ i^^ y y y (.y y C-J^â (pour vIU-XJ^s), je me suis évadé, ^^X-Ls (pour ^^:CC-A_s),
contracte par un chadda
porte une voyelle
O
Cj comme dans
;
le
y y
.
<.
,
mais on dira sans contraction
c y y y Ov.;;_X_s, elle s est évadée, le ,
:
désinence étant jezmé.
c)
Lorsque
la
dernière radicale est une dentale autre que le C^^ c'est-à-dire
> > la ii,
on ne
chadda:
C^X^\
lui
donne aucun signe orthographique
Cj
et le
ô
désinence prend un
(pour oX-i.*\), fai pris; CUk_>; (pour cuk.^^), tu as attaché. >
Cependant bon nombre d'auteurs écrivent régulièrement
c
y 1
OJ^\,
y ^ y y
CUk^^. y
y
dernière radicale se contracte de môme avec les désinences U et ^^. ^ y y y y y ^ y y y c y y _. „l.-^5C-wo (pour \^:^J^^Aji), nous avons hah'dé\ ^^^-^ (pour ^^^j^Lsr*), elles ont pctrt. d)
Le
o
i,
VERBE RÉGULIER PRIMITIF; IMPARFAIT
10
Imparfait. 25.
— Gomme nous
l'avons vu, l'imparfait a six
modes
nous étu-
:
dierons en premier lieu Vindicatifs parce que tous les autres modes en dérivent.
Indicatif.
forme de
se
Il
devant,
vJl^
\
la racine
^
marquent
préfixes
nombre
personne
la
lettres placées
de désinences ou lettres placées après. Les
(1), et
»
au moyen de préfixes ou
désinences,
(2), et les
le
genre
et le
(3). / / /
comme
Ainsi étant donnée une racine
pour former
l'indicatif
^*i auxquels on donne
la voyelle
J-^^s,
de l'imparfait,
On
a)
fatKa
la fait précéder des préfixes
-^
3',
I,
:
i
.>,
;
h)
On met wxijezme
c)
On donne
sur lai ''^radicale
:
si,
iJ;
ij,
aJ,
à la deuxième radicale la voyelle qui convient au verbe.
Cette voyelle est ordinairement indiquée dans les lexiques par Tune
des trois lettres A, 0,
I^
A
placées à côté de la racine.
indique la
voyelle /a/A'a^; 0, la voyelle t/'â^mma ^;I, la voyelle X:esm—. Puisque
nous trouvons parfait par
d)
La
:
J^, la
I
et
nous aurons
un
dernière radicale prend
taines désinences,
1.
—
un kesra
seconde radicale de ce verbe est
comme
Oq peut remarquer Tanalogie
sémitiques, et les
pronoms
latins
à l'im-
"X XXX damma :
^s!, ^i-V, /«^, ^.a-ôJ;
excepté devant cer-
J-,
l'indique le tableau suivant
entre ces préfixes
qui existe
mue
communs
:
à toutes les langues
:
c \
2. la 3e
3.
Le préfixe i de
la l^e
Ego.
3 Tu
les
mêmes
au pluriel régulier masculin
j^xLco un voleur ^
la
personne
personne et
le
séparera,
et le
nombre;
le préfixe
j de
genre.
caractéristiques dans les verbes que dans les substantifs au duel et
jjjlsjllo
deux
voleurs,
Ol^^ 9
deux séparerez,
-«e il
Nos.
:
lu séjiareras, j^U-^^i-â-ï vous
^ ,
^y^^ikn
la
5
^e'
C ^
^^oÀj 9
y
lUe
personne du pluriel marque
personne du féminin singulier marque Le nombre a
j»
(j^^IUaii eux deux sépareront,
^^
^^^ voleurs.
'
^^_^^waÀJ vous séparerez. 9
0^
O^^-^-â-^. Us sépareront.
GRAMMAIRE ARABE
20
pers.
l'*e
f
Sing.
J._.o_i y
ç
m.
(
f.
/
m.
J._-A_fi-j
r
f.
J
C
m.
^^ sépareras,
l_,,a_i.V
2^ Pe^^-
)
je séparerai.
I
—
z'
f.
séparera,
«^
3e pers.
2c pers.
Duel.
m.
,^
5
y
e//e séparera.
Â_^
h
V
^ows séparerez [tous deux).
^75
»^-/.ûui-j
sépareront [tous deux).
3e pers.
sépareront [toutes deux).
f.
S-
''
nous séparerons,
l^e pers.
vous séparerez f m.
m. ^,
2e pers. ^
)
Plur.
c
/*
(
f. C
m.
z'
»jJ-^_fl-j
î75
^J-A-a-â-j
e//e5
sépareront.
3e pers. f.
—
Remarques. d'amma
en a ou en o)
un
jL,
a)
Suivant que la 2° lettre de la racine prend à l'imparfait un
fath'a jl,
ou un kesra _^, on
Les verbes de
ycy a écrit, v_^X5l>
Néanmoins,
quand il
le
il
verbe a l'imparfait en
o,
la
forme J.^s font ordinairement J.^à_j. ou J.^i^^ y
,
i7
écrira
ycJLjs»., i/ s'esi assis,
;
seconde radicale conserve ordinairement
la
»^aX_^,
:
,^
y yuJLsr^., c
iZ s
le
assiéra.
fath'a à l'imparfait
verbe a pour deuxième ou troisième radicale une lettre gutturale i/
coupera.
11/» la forme
Ceux de
çks,
:
"^ -^ ^ y y C y J.-o-.â font toujours J.-oi.-^. r.
.
:
c^^io,
y y y
.
:
a 6m,
i7
fi
il
^^^r**-^^
a
fi
(,
y
été beau,
sera beau. e)
Lorsque
la
dernière lettre de la racine est un
^
pluriel avec le -M ^ c y y y
A
le
Les verbes de la forme J.-o3 font ordinairement J.^â_j.
*7\/~i
a)
que
y y y
a coupe, o UoN, c)
dit
i.
j>
î7
sépareront.
O/^
;
o^^-*^.
de la désinence y c
fi
:
O/-^
^, on
contracte au féminin
(pour ^^3^_sr^), vous serez
cy
(pour ^^JXwo),
le
y y y e//e5 habiteront
de
:
^;_j5Uo.
tristes,
de
:
VERBE RÉGULIER PRIMITIF; SUBJONCTIF CONDITIONNEL
21
Subjonctif.
26.
—
Le subjonctif
damma J-
de
la
forme de
se
en remplaçant
l'indicatif
dernière lettre de la racine par un fatfia
sonnes sans désinence,
et
en supprimant
le
^
jL
aux
le
per-
aux autres per-
final
sonnes, excepté aux deux personnes du féminin pluriel qui ne chan-
gent pas.
A la 2* et à la 3° personne du masculin pluriel, après avoir supprimé le j on ajoute un orthographique après le j. Cet alif, qui ne se pro!
nonce pas, disparaît quand
le
pronom
verbe est suivi d'un
^
l'« pers.
(1)
m.
/ ç,.
J
2e pars.
affixe.
Ci.
J-^-M j-/»fl_â_j*
^
^ ^
\
m.
J.«.sûJ-j
f-
J
3« pers.
c
2^ pers.
Duel.
m.
^w>a
Q
3^ pers.
(.y
• f.
<
"
/'
l'^o
y
bL^-fl-J* y
blL^s-fi-j*
pers.
Jw-â-LJ y
m. ^,
1
LJL/^_fl-j
2« pers.
c
/"
f.
m.
1
ft_X.^^_â_j
3" pers. !• ^
^j-yQ-tt-J
Conditionnel.
27,
—
1. Melt'îz
Il
la
se
forme du subjonctif en remplaçant
particule
ne séparerai pas,
etc.
^\, ne
...
pas, devant
le
\q
fatlia de la der-
verbe et traduisez par
le
futur négatif
:
je
GRAMMAIRE ARABE
22
nière radicale par un
jezme dans
les
personnes sans désinence. Les
personnes à désinence ne subissent aucun chang-ement.
1»'"
pers.
(1)
2^ pers.
J-^JI
m.
J_.^2j
m.
J
)
3" pers.
y
^
C
c
c
Duel.
<
m.
,
3^
pers.
/*
î^_.^:_a«)
//
]
l"pers.
^-
J-^-a^J
2^ pers.
Plur.
/•
jL^JJ»
2« pers.
• r
<
f
c
^
^
c
z'
«
.
.
,
I
r-
3' pers.
Énergiques 28.
— L'énergique
En
ajoutant
ô)
En
ajoutant également
aux
2^ et 3®
sons
^
et léger).
grave se forme du subjonctif
«)
^j
{grave
, y
aux personnes sans désinence
masculin
pluriel,
^
2^^
à la
:
:
J-.^2_?!
personne féminin
mais après avoir supprimé
deviendra
sing-ulier et
les terminai-
c y
et
L
:
J.^«^:_i_3
deviendra
,JL^ i-j".
,
c.
1.
Mettez
la particule
je rCai pas séparé,
etc.
^,
ne
...
yas^ devant
le
conditionnel et traduisez par
le
passé négatif
VERBE RÉGULIER PRIMITIF; ÉNERGIQUES, IMPÉRATIF c)
En donnant au deviendra
^Lss-fi-j
duel et au féminin pluriel la terminaison ^\
:
»^-..û_û_j.
U énergique léger
y
inusité au duel et au féminin pluriel, s'obtient de
l'énergique grave en mettant nxijezme sur
le
j
final.
1"
pers.
^^-.^9
(1 )
et
y
^,
f
23
^-.^
!
!
1
m. Sins.
^" P^''^-
!
ex
o f.
^y M
y
y
y
i,
z'
c
y
c
y
m, 3° pers.
^ y
y
(,
c
y
f.
vi
2*^
y
o y
pers.
Duel.
''
y
c
m, 3° pars. >ti
y
(j
y
f.
^ y (
1"
c
z'
ex
c x
pers. c
^
c y
m. o, Plur.
j
2^ pers.
^
l
•"
"l'I
f.
\
.y
.
m, 3*^ \^
pe rs. f.
Impératif.
29.
— L'impératif n'est usité qu'à
du conditionnel en remplaçant prend fait
la voyelle
par un
cale est
1.
Mettez
d'amma
damma\
mue
il
J~
prend
par un fath'a
la particule
ouit je séparerai.
si
la
deuxième personne. On
le préfixe V
la
J, assurément,
par un alif d'union cet alif
deuxième radicale
\
est
la voyelle kesra -7, si la
^ ou par un
l'obtient
mue
à l'impar-
deuxième radi-
kesra 7.
devant les modes énergiques
et traduisez
par
le
futur
8
GRAMMAIRE ARABE
^
V
A J—^ y
y
s.
a reçu.
—
a séparé.
—
J,^_i.y
mêmes
qu'au conditionnel.
^7
s^^^\
I f.
les
^.^^^lSLj
Jt-^
J-^i ^c^^*'
X
m.
v
—
J^
—
ce J^l
(
reçois.
sépare.
\^^
)
c
^
t'^ois.
^
>
sépare.
>
séparez.
^-1^9 !
/
y f^J-
L^i
D.
c y
c
)
^ <^:é r --wLsl \
<^
^'^\ écris.
il
écrit,
Les désinences sont
m,
Imp.
a
y
J-woJ
I
Cond.
il
^'^^'^^^«'
î^t-^^ r
^
^
f'
bJ_9!
1
tjL^Jl
r
\
'
P.
c
!io9t
yU^!
recevez.
/'C/'ci
y c
c
^ï Remarques. giques
c
6)
Il
y
y
c
^_j_v^.j:_^\
;
est
L'impératif peut recevoir les désinences des
o)
ems, m.
remplacé à
la
l»"^
s
;
modes éner-
^J..^_â\ séparez, m. p
et à la 3^
personne par
le
conditionnel précédé de J, que
:
^
J^^, c)
—
recevons {que nous recevions),
L'impératif n'est jamais employé pour défendre; on fait usage du conditionnel
'
'j'j'^i
précède de
^
"v, ne...
pas
:
-^
^ ^
^
,^^JL!>
^
^),
n
y
,
écrts
Participe 30.
— Le
participe actif
du verbe
C
y C
y y
pas; ^Jl-w.jL3' N, ne recevez pas,
f.
p.
actif.
trilittère primitif est
de la forme
y
j>>
y
J-dw^
Il
il
j^:>
est entrée
est variable et
prend
entrant;
^t-^
les caractéristiques
y
Mas.
J-^U séparant fif
,
Fém.
^^Li
y
y
LLsU y
y
y
y
y y
tLJUU
V
/'
du genre
et
PLURIEL
DUEL
SINO. fif
r:)^^ sortant.
il est sorti,
^
y
y
^^Loli
Jfi
y
y
c^ïLsli /'
du nombre.
VlilRBE
RÉGULIER PRIMITIF, PARTICIPE, INFINITIF
25
Infinitif.
31.
—
variées
j>wa3
,J-Nû3
Jj''
y
:
L'infinitif des
comme
— —
Jy^
—
y
JwwsûJ "
^S/
—
y
c/
y
iJLsfl-^
Irilitlères primitifs a
des formes très
voici les principales.
iJLû3
j^
verbes
a-Lb
TT-JJ^ ^^^^^^f /•
départ y J-^î " y^ y
"^f^ connaissance,
^^^j^
il
a frappé.
Ji
il
a
il
a servi Dieu,
I
—
ij^Lc religioriy
Ao
I
—
injustice^
ffy y
fi?
—
de
<^^\^ coupy
lésé.
y yy
J^
—
^ TTj^ "
—
A J^j^
^^^ sorti.
y y y
—
i/ est
parti,
y y y I
^_9»-g
^^
«
-^m.
^w j
jfiy c
Ce dernier infinitif est appelé en arabe masdar
1.
Le mot jt-X-*â_^, origine, principe du verbe,
concurremment avec jJ>_jï_ÀJ
\
A-to\,
nom du
est
verbe,
(1)
avec ^
employé par
nom
les
:
y
grammairiens arabes
de V action, pour désigner
rinfinitif.
O co H
S?; I-H
-a-
55
eu
1\ >
.«TV
O
.<r>
I
^
o'c^
V V
"^l
^
-
t)
o-o!
"5^ .
t>
,.o^
^H ^^
OcJ
i
^"^
-^
r^
O -ex
^3'
j^ j^
^t;^
I
^^
\
:3
V r
U^
.
-D"
i
^3^
^^ î"7)
B
J
-^:
^
^"3
t)
3
-D^
\
t)
ta ce
Oh
O H Q Z O
>^
o-^
^'^
oJ
--^
--^
V**-^-
N:-%
"0-
o-^
o-^
n:H
^:y4
^:A
^"^
,.J
,.J
oj
o.J
o.J
o.J
o.cj
,.3
v-^
v^
v^
^-^
^-^
'il.
v'b
\I'^
\.-^
^-l
_f^
\
t)
_?^
o
p2
i
0.3
"j:^-\
N;-^
\'»:\:»>
\:-»
\»>:
N:*-»
o«:
0-3
J^ r^)
'*^:D-
'^•*i-
lli--i-i1,:J-;J-d-i,:4..;i;4:;t
<
q
7)
J^
N
Cl,
CL o CO
co
CO
b
\
.
SIGNIFICATION DES FORMES DÉUIYÉES
Formes
—
32. fait
27
dérivées.
Les formes dérivées proviennent de modificalions que
l'on
subir au verbe primitif, par l'addition du chadda ou des lettres
servîtes
Elles ont l'avantage de modifier le sens de la forme primitive, et
d'exprimer, par un seul mot, une idée que la langue française ne saurait
rendre souvent qu'à l'aide
^j-^ fait
(1'*^
forme) signifie
:
il
d'une périphrase. Par exemple
a été malade^
et la
forme ^.L^.J
G*"
:
il
:
a
semblant dètre malade.
Les dix premières formes seules sont
— La 1" forme
33.
ou action
z'
—
très usitées.
/<
J^J,
déjà étudiée, donne
sens primitif, état
le
:
^^^^ .34.
/
La
2°
écrire [S)
forme Jws^J
seconde radicale.
A
.-i^ être petit,
\
par un chadda sur la
est caractérisée
noter, dès maintenant, que cette seconde radicale
prend toujours un fatJia au parfait des formes dérivées^ quelle que au primitif.
soit sa voyelle
La
2^
i^^ f.
forme
I
est
un augmentatif de séparer
J-/V2-3
2®
:
f.
première
la
:
séparer à diverses reprises,
J-^^=-3
mettre en morceaux
exprime
Elle
\y^
f.
—
A
l'idée de cause, faire faire
v-^^-9
être
y ^ /
proche
:
Elle signifie encore réciter
2«
f.
vi^"^
—
.
/woj^ étudier
:
:
/
._=vj
1.
y
^
étudier. crj"^ faire
une formule habituelle c
^^J
*,
faire approcher
dire oui,
souhaiter la bienvenue,
avec
avec
y
/'
*-«J, oui;
JJwj l_^=y^ soyez le bienvenu.
La 3^ personne du parfait arabe sera fréquemment rendue dans
français.
:
la suite
par Vinfinilif
GRAMMAIRE ARABE
28
Elle peut dériver d'un substantif
^.^sw rassembler
—
35.
La
j.->
un
la
même
action
:
y:L3 tuer
3^
:
JJU
f.
supposer que
fait
Hind a ensuite frappé Zéid. Elle marque encore le but, souvent avec une idée de l*"® f.
après la
I
sens réfléchi et actif \ le sujet et le
^^jjLi Ziéid a frappé Hind, mais cela
;
armée,
forme J-^L? est caractérisée par un
3^
complément du verbe font Ijwlj»
^-.^,
de
des troupes^
radicale. Elle a, à la fois,
l'''
:
rivalité.
combattre (avoir
le
but
de tuer).
— 0,1
—
devancer:
rj-:-*-
\JH,^
lutter de vitesse chercher ^
à devancer,
—
>jS
J
à>
mitif régi t^son sition et
l'-^
s^
vers^
S^
.bi-fi-)
le
>^
rivaliser
sens des prépositions v^, à ï égard
complément
w^-x-S'
indirect.
La
forme supprime
3^
i..i
v^-isJ
la
prépo-
:
â un
il
a
il
a été bon pour lui
écrit
tel
3^
:
/ / y
—
de générosité.
avec, par l'intermédiaire desquelles le verbe pri-
prend l'accusalif
f.
—
:
fréquemment
Elle implique d^i
généreux
être
U^-9 .^sJ^
f.
^ • • •
—
;
à_i-L^
y
—
36. 1^^
4e
La
radicale et
Elle a,
forme J--^J!
un «/e/hamzé
comme
est caractérisée
initial
deuxième,
la
ayant
l'idée
par un jezme sur la
la voyelle
fatKa
de faire faire, mais avec cette
deuxième une
différence qu'elle implique une idée de rapidité, et la
idée de minutie •
k^
i,
/*
:
/
Ci.
J^i
I.
révéler tout
dune fois
[Wvvq): 2^
[.
"^
y
^yj
révéler
versets
par
versets.
—
^JLsI
informer
—
:
^JLc instruire, enseigner.
Elle indique Ventrée dans une époque, dans un pays
^^1
e/re
au matin
\
t^)-^} ^^ diriger vers le
:
Yémen,
SIGNIFICATION DES FORMES DÉRIVÉES Assez fréquemment,
un sens neutre
a
elle
avoir beaucoup de viande
\
• w
— La
37-
z'
de
^
yninal de la première
î,
—
I,
De
le
y M y ^
jJ^
être
^j^
séparer
nombreux
5^
:
A
a-Li couper^ retrancher
—
La
y y
6e
,
j_i_CV se midtiplier.
f.
—
:
Elle a également le sens passif
38.
sens réfléchi ou pro?io-
:
JL_/^J chrétienjOï) aura
1"^® f.
être insolvable.
X
y ^ y
V^
.^
forme J,^J_V s'obtient en ajoutant un c^ formatif
5°
deuxième. Elle a ordinairement
initial à la
:
viande;
^_csr-^
29
lIt^^ ._^-3_lj'
:
^^ séparer.
se faille chrétien.
:
5*^ f.
:
jJsJLj'
coupé retranché.
être
^
y
forme J^l-iJ* s'obtient en ajoutant un vO formatif
initial à la troisième. Elle ajoute à celte dernière l'idée de réciprocité
.^^li^ écrire à
f.
—
6®
\
combattre
J-j*l-i
f.
/^
.J'I-O' être
»
y y
—
:
^
/
y
3®
:
en correspondance.
y y
JJ'Llj* combattre les uns contre les autres.
un
Elle signifie encore feindre y l'"'^
39.
f.
y y
malade
^^^'^
y
7°
forme
y
y
6®
:
J-.>^_2-j
i,
que l'on obtient du primitif par
40. Irc
— La
radicale.
y y y
w«,r briser
I
8°
^J<Li découvrir
forme
Gomme
^ / ^ " j,..cjdi\ est
cette
d'un alif d'union ayant
La
8^
7
:
y y y
—
l'addi-
:
y y y
I
f.
/«zVe /e malade.
s. —
du préfixe ^i, a un sens passif
1^^
y ^
^jL^*
f.
<.
c
lion
:
y
rfj-^
— La
état
la
l""^
:
f.
—
c
^*^J y yy
!
être brisé.
i,
^LsJi
\
être découvert.
caractérisée par un cL^ placé après la
radicale est jezmée, on
l'a
fait
précéder
voyelle kesra,
forme ajoute au primitif
le
sens pronominal ou passif.
GRAMMAIRE ARABE
30
P'^
A
f.
—
^-^-y^ réunir,
A ^-^
ramasser
rejoindre
8®
:
a-^a.
f.
—
:
se réîmir^ être ramassé.
i
se joindre «,
^^-x---^!
s
atta-
cher à.
—
A ^^
remplir
—
:
bJ.*;»/»
e/re rempli.
1
Parfois elle ajoute à la première une idée d'intensité, d'égoïsme
1'"°
A
f.
«.Jj arracher y y
—
I
y
f.
:
cJ_x_9i r^ufr. y y
y
—
^
ramasser du bois
.Ja-cv
V
8^
\
:
i,
ramasser du bois pour
aL-^-sw!
>^
soi.
—
A
^ y y
w
— La
41.
s'appliquer
wV_^-=^
9o
forme
dernière radicale. ff/f/
:
y
!
faire tons ses efforts.
i,
J-^^s-i! est caractérisée
La première
par un chadda sur la
radicale est jezmée et précédée d'un
d'union ayant la voyelle kesra. Cette forme désigne les couleurs^
les infirmités et les particularités M y
42.
'
être
— La 10^ forme
jezmée
et
physiques
:
i,
j-^^
est
y y y o j._^î:«a^
—
,
précédée
rouge
y
y
<^
y
^c-z
;
être borgne.
\
i.
Jw^:_i_"_^
I,
dans laquelle
" des trois lettres
y
ou à autrui
l'idée
contenue dans
première radicale
c^^i, ajoute ordinairement au
primitif ridée d^une demande-, elle signifie aussi soi
la
i,
que
verbe primitif
le
l'on attribue à
:
y y c y c X^"^
i.
—
\
jJui pardonner: /'^^ j_^S être grand
10*^
—
:
f.
implorer
»-fl_i-::-w^
y y
c
y
^**ow être beau
Quelquefois
elle a le
—
:
pardon.
i,
j^j^.J\
s'enorgueillir
dérer
—
le
comme
sens pronominal de la quatrième
._L! livrer
Elle signifie encore
:
nommer
se
consi-
grand.
^.^«sr-^^t approuver, trouver beau.
y y c y c 4<^ f.
,
40«f. .-Lw'_^l se livrer.
à un emploi
:
:
SIGNIFICATION DES FORMES DÉIUVÉES •
•
• o
c
nommer
!
—
43.
dérivées
31
de
khalife^
IS.^A^ik khalife,
Telles sont les acceplioiis les plus fréquentes des formes
indiquent pour chaque verbe les formes
les dictionnaires
:
usitées (aucun verbe ne les a toutes) et la significalion de chacune
On
d'elles.
les
3*^
2<',
peut résumer les observations précédentes en disant que 4*^
et
formes ont un sens actif
minal ow passif
-,
un sens
les 8® et 10*^,
\
les
actif
5*^, 6*^
et
7*^,
:
un sens prono-
on pronominal,
et la
9*^
un
sens neutre.
— Voici
44.
4°
J-.^9
l^'^
tableau du parfait des dix premières formes
le
7"
J-.0-9)
''
W
J^-À-j!
:
Jw^2_"_^I
i-
A
la 5c et à la 6^
Koran
par
^
fixe
—
J -Jl pour
:
La
b)
7*^
elle
;
-ii
^
^
les
formes dérivées.
formes, on trouve quelquefois, surtout dans
J._^_fiJ',
J-^lJl pour
J,_>ol_i_V.
[urme est à peu près inusitée dans contracte par un chadda le
^
le
les
verbes commençant
de la racine et celui du pré-
:
y y
Le
c)
tions
vji^
y
-Z
^-^'i
y
formatif de la
8*^
y y
y
caché pour ^>.._^J^ de
être
cbange en
y y c *-=5.^;i
y
/,
y y y
(.
9'j^y 2»
y y ^ :
I
^r-^j cacher.
forme peut subir diverses transforma-
:
1° Il se
i.
/ ^
— Remarques orthographiques sur
45. a)
y
^
^
/
/
a.
Il
Le
se
Cj
^ y
quand ,,c
première radicale est un
.
pour /%-^j'
—
la
se presser
{[o\x\(i)^
y yc
^j-^)^
change en
^cmer:
de
A
—
^
y y y ^_c^j
y ^c
i>
quand
s'assiiniie quelquefois
avec
la
le
:
(1)
:
presser.
y y
)j semer,
première radicale est un
J j-^J^
;
^ ou un q^
^^epousse}\\^ù\xv l.sr^j\.
:
\.
,
GRAMMAIRE ARABE
32 ^
y
\
ij
Ja'-^1 pour
y
^ c
/«
se tenir
t
y
/
A
compagnie^ de
^^.^-.s-'"^
être
compagnon, • ; o >^|Ja-/to)
—
/»
3»
—
»jjL^\ s'allumer,
quand
s'assimile à la première radicale,
Il
lettres
v^
c^
:
pour
.-s-'!
v^
L
i
-s-^i
i
(1)
A^Ao brûler.
cr
celle-ci est
une des
:
du commerce
faire
A
même
Oj-sr-^,
diQ
y
signi-
ficalion. /
w
/"
JJb
/ y
—
t
y^
JbJj
t
—
opprimé
e/re
/»
I
/*
X
JLb
opprimer.
Conjugaison des formes dérivées.
—
46.
Les formes dérivées ont
modes que
le
mêmes temps
les
et les
mêmes
verbe primitif. Parfait.
Le 9e
parfait des
formes dérivées n'offre rien de particulier, mais
forme se conjugue à tous ses modes
comme
les
la
verbes sourds qui
seront étudiés plus loin. Parfait d'une 4^ forme.
\
1"
yj:^^jS\ fai honoré.
p.
m. ]
Parfait d'une 8» forme, j^-:^*?!
Kj:^fijS\
tu as honoré.
c^v»^i
tu as honoré
je
me
suis
approché y
X.3
1
tu t'es approché,
\j-^
t
tu t'es approchée.
{ée.)
2' Pf.
m.
s'!
il
(f.).
a honoré.
il s'est
approché.
3° p. f.
^fijS
2^^j^
1
elle a honoré.
1
vous avez honoré.
1
ils
i
elles ont honoré.
/•
2^ p.
V^.-S
).
m.
\^jS
^
C
L^Ju
t
approchée.
/» z'
k-X-st
U j-::Jt
ont honoré.
elle s est
VOUS vous êtes approchés^
ils se
sont approchés.
3« p. f.
1.
Ljlj» .«f
Les verbes commen(;ant par un >
yS>
le
rapporter; j-:L.^\ thésauriser, de
IjUjjiJ]
elles se sont
changent quelquefois en
..À 3
id.
>
;
approchées.
v-^J^ se souvenir, de
(ées*)
.
.
CONJUGAISON DES FORMES DÉRIVÉES t
V^
''
m.
^_:L^^-i
1
2
^
(
f.
^j:^ j^]
vous avez honore.
vous avez honore
^
''
I
nous avons honoré.
1
/
2" v.
^ o y
u_;9j_S
l'c p.
"^
"
»
33
Ljl-Jj.jl9)
nous nous sommes approchés^
^_x_j^_x_3i
uom* vous êtes approches.
^jdjJls]
vous vous êtes approchées.
(i.).
> y y
m.
\yj>yS\
ils
f.
lyT-^r^
^^^^^
I^^i.?!
ont honoré.
ils se
sont approchés
3«p. '
^^^jJLs]
0^^ honoré.
approchées.
elles se sont
Imparfait.
47.
— Préfixes. — Les préfixes ^_J)1 font disparaître, dans tes formes
dérivées, Valif initial
—
Voyelles.
du
8% 9%
parfait (4% 7^,
n'y a de remarques à faire que pour la voyelle du
Il
préfixe et pour celle de V avant-dernière lettre
du
a) Voyelle
— Prennent
préfixe.
lettres
autres formes prennent
un fatKa
formatif (3) (5^ et
On
U
(2®, 3^,
4®
— Prennent
;
les
commençant au
un/«/A'«—
sur
un
yZj
parfait par
formes); les autres formes prennent un kesra^{^).
6*^
•
faut dire
avani-dernicre lettre et non avant-deimiere radicale, comme on
:
souvent. L'avant-dernière lettre peut ne' pas être l'avant-dernière radicale,
supplémentaire des formes,
(voir le tableau ici
formes)
trouvera l'application de ces règles dans les trois paradigmes
suivants (5)
1.
(2)
JL sur le préfixe les
—
Voyelle de ï avant- dernière lettre.
l'avant-dernière lettre les formes
(1).
un d'amma
au parfait
formes qui ont quatre
h)
10« formes).
pour Vimparfail,
et plus loin
§
le fait
^
de ,^J_^o-3 50). Dans ce cas les remarques que nous faisons
pour Vimpératif
et le
le
participe actif, s'appliquent à Tavant-
dernière lettre et jamais à l'avant-dernière radicale. 2. fait.
Le
d'amma
Comparez
dérivées, § 3.
sur l^e
la
le préfixe
est la caractéristique des
forme des verbes quadrililtères,
§
formes qui ont quatre
58,
lettres
au par-
et les 17°, 18«, 19°, 20e, 21e
formes
59.
Comparez également
formes dérivées,
la
2e forme
des verbes quadrilittères et les 22», 23e, 248, 25°, 26°
59.
§
4.
L imparfait de
5
La dernière
la 9»
lettre
forme ne a,
pondant du verbe primitif
Nous donnons sur
la
:
fait
pas exception
:
^L_^-Ji_^
même d'amma
est
pour jj-J-^o-J»—^..
dans les formes dérivées, la
voyelle que dans
un falKa au parfait, un
à l'imparfait, elc.
le
mode corres-
conjugaison des formes dérivées plus d'explications qu'on ne
le fait
d'ha-
bitude. C'est peut-être nécessaire, et ce sera au moins utile, eu égard aux difficultés qui, dans cette partie de la
grammaire, très simple elle-même, rebutent
les
jeunes arabisants. 3
(es.)
GRAMMAIRE ARABE
34
4e formé. ^\
J-)
l*"®
il
10^ forme.
60 forme.
a reculé.
^jjj L^-V
^^^
p.
il
^j l_^ji
je reculerai.
^ ^y
m. 2e
serai
je
j-.SjlJ\
béoi.
^
y y y
(1) ^\ L^_:lj
j-j J-j*
enorgueilli.
il s'est
c
/>
c
je m'enorgueillirai.
y
v_^_S1:l**ô*
p.
S.
3e p.
^ y »_;J—V
f.
v2.JJL^-;LJ
•
/'
^y
r^'j
y y
1'^°
o
^
o
^
i,
^
/
c
^
\
^
y c
J
(,
y
y o
^
y
y
o y
c
y
(^
y
;:;j.,r^^**^*-
(j-?-0^-t-^' y
y
^.^Jl;!^
^^ y y ^
'^
o
^
^ ^ ^
a3j^-^
™- Jj^-f^-^' 2^ p.
y \
y c y
y
y
y
^\^
c
/'c/'o/'
^ ^
y y y y
y
^
y
y
/ ^ \^
^jJ y
y y y
/*
^o-'
p.
c y c y ^ »_A_XJLt*0
y y y
yy
P.
j^Sj::.J\
a été béni.
^y y / y
y
c
<.
y c y
"
3« p.
, ,
Explications.
¥ et
la
—
a)
Les préfixes ont
fait disparaître
Yalif initial de
de la 10^ forme. y y es-
Comme
b)
la 4^
forme a quatre
lettres
préfixe prend à l'imparfait la voyelle
Le y
y
parfait,
d'amma
^ot
y
y
i,
(JwvâJ
s-
I),
c y
lettres
:
le
JL.
préfixe prend, au contraire, la voyelle falJi'a à la 6^ et à
forme qui ont plus de quatre
10®
au
la
dJjLJ)* (j-^U-^'), j-^Sjl^\,
i,
i.
(J_.^ijL.w)). y ^ y y'
è.
c)
(1)
La
6®
Après
^^L--^
forme, commençant par un
le préfixe
i),
on omet quelquefois
pour ^^L-j.^-».
le
vJIj
formatif
y y
y y
^ X-^ (J-.oLflJ'),a
C-> caractéristique de la 5» et de la 6» forme
:
CONJUGAISON DES FORMES DÉRIVÉES son avant-derniëre de la 4« et de
mue
y
l'indicatif des
y
y c%
.*
8*'
'dj
un
o,
formes dérivées de
J-^J
y
d
y
est
:
y
cxc*
f
9" J-.^=_9i,
J-.^3_':_3l,
par un fatKa ^; ravant-dcrnière lettre
-j.
personne de
!••«
la
mue
forme, qui no comniencent pas par
la iO«
par un kesra
Voici
letlro
35
10° Jw^fi_:L*v|. (S'exercer à les
Les autres modes de l'imparfait s'obtiennent
conjuguer.)
comme
à la M yi
y
_Par exemple, à la 2° forme nous aurons
:
au
siibj.
Jw^c-si,
l'"''
forme.
au cond.
y c
«w
yi
-^
J-^aJl, à
y
y
\t,
i.
i,
^JL^:_i!, à Ten. /e^.
l'en, ^r.,
juguer successivement tous
les
y
yi.
yu
^J_^o_9l. (S'exercer à con-
modes de
l'imparfait des
diverses
formes.)
Impératif.
— L'impératif dans les formes dérivées s'obtient du parfait
48.
en donnant à Tavant-dernière parfait
47
(§
y
Parf.
Impér.
^ y
y m
y y
^
c.x
y y
y y
y
"^
y y
o
y
lettre la voyelle qu'elle porte à l'im-
ô).
Impér.
Farf.
(1),
c
^ y
y y
y
Impér.
Parf. y y y
m y y
c^c
c
y c
c
t,
£ ^t
y y
c
et
y y y
«^c
c
<^
y y
w
fc
se
Il
conjugue \ti
S.
\p
y
y
y
-JL^a-i;
f.
comme
à
la
i""^
^ m y
P. m.
;
y
*
y
c
<^
c
y
i.
>"
forme. Ainsi J«.waJ,2«f.,5e/?<2/'e,fera
m y
D. ^LsûJ
c
UL/^9, "^ y
y f.
c,
\m
:
^
.JL^aJ.
^
y
Participe actif.
49.
1.
— Oq obtient
le participe
On enseigne ordinairement que
être la seule scientifique. les élèves.
la
en mettant
l'impératif se forme
Nous adoptons
De même pour
actif
ici le
le préfixe >
du conditionnel. Cette théorie
procédé que nous ayons constaté
formation du participe
actif.
le
devaut
est peut-
plus facile pour
GRAMMAIRE ARABE
36 le
(l'a/z/' initial,
parfait
s'il
y en a un, disparaît)
kesra à ravant-dernière lettre 2^
f.
^^
4^
f.
Jj-Ji révéler,
6^
f.
8«
f.
9«
f.
10^
f.
en donnant un
:
réjouir^
Part.
tj-^-^ réjouissant.
J^-jl.^
.
j^L^_:l^
j^cLJj* s'éloigner,
acquérir,
v.^**»ji5l
et
révélant.
i éloignant.
w>w.«_xJ1p acquérant.
j,,^j^\ être rouge,
(j^-^s-^) ^^_^sr^ étant rouge.
^JLju-! demander 'pardon,
._Li»x_*w9
demandant
*
'pardon.
Infinitif.
—
50.
«)
Celui de la 2^ forme
JJa-j
fait J^-.o_i_J'
« annulé :
i/
c)
Dans
(5® et 6®),
on
il
a combattu
du
l'obtient
JL:^ ou
:
:
àJLVLiL» combat.
parfait
en mettant un d'amma sur Favant-
:
5®
f.
j,.y^J
6^
f.
J^L-V
il
a été résigné
j-^r^^ résignation.
:
s^ y
y y
/ y
10®)
X ^
formes commençant au parfait par un vO formatif
les
dernière lettre
d)
/»
Celui de la 3® forme fait JL^a-? ou ïJLoLâ-^
Jj'L?
:
J-^-L-Jj* annulation. AJ>X
^)
ou Ll-^-iJ
il s'est
éloigné
y y
^-cl-^* éloignement.
:
Dans les formes commençant au parfait par un (4®^ 7^, 8®, 9^, on donne un kesra à toutes les lettres vocalisées qui précèdent I
l'avant-dernière. Celle-ci conserve son
gation
fatKa
et
prend un
î
de prolon-
:
-^
4'
f.
/"
9®
f.
*
^fi
TX"^^ ^ y y
7" f .
''
il
a extrait
:
parti
:
<^
ji J_laJ
fi^ \
jJu^\
il est
il
a été jaune
.y
<j
777-=^' ^^li'f^^l'^on.
.
:
a
y
^
^LJ
\
AjJu^\
départ, état de ce qui est jaune»
.
\
CONJUGAISON DES FORMES DÉRIVÉES
—
51.
37
Tableau des dix premières formes (Voix active) Impératif.
Participe.
Infinitif.
AO
(1).
Imparfait.
Parfait.
«^
_^sû_iL.J
y
J
y
^
y
y
J-v^_3 y
Ire
S-^
2«
y
y
y
y
y
y
y
^
c.
<.{.
\
y M y y
c
^
y y y
-^
y y
<i
J/'A
>^ ^
c
y
A ^ y
y y
^ c
c
y y y
.
.
.
A
y
(,
y
y y
A
y
c
y
y
y c
y y
i.
^J~.^aJs',g-.1
y
C
y
i.
y
(^
J o
Remarque.
— Dans ce
masculin singulier,
pars; .^Jl U
1.
^^
donne
,3_JLkJ>\
:
/'
c
-^
i^
y
il
y
y
y
yc
(.
tableau, le parfait et l'imparfait donnent la 3« personne
et l'impératif
^jJl_Lj>\ à la 7^ forme
c
partant)
vM u
il
la 2«.
On
dira, par exemple, avec le verbe
est 'parti] jj
1
U
^
:
t7
partira
;
^-
l
U
\
\\ départ y partir.
Les tableaux de ce genre doivent être lus de
droite à gauche,
comme une
ligne de texte
arabe.
Le verbe
I
J^.<a_d, signifiant séparer
usité à la 2° forme, ,J>_/o--s
à la le,
,Jw^ i
.
!)\
être
f j-^\
sur
4e
f.
honorer
^^^^^J^\,
etc.
se
la
J_<x_àJ.
J».^,
mettre en morceaux
sé^ré. Les
que pour servir de modèle à
(
\
à la 3»,
a la signification de sevrer), est
A_-oLi rompre
avec quelqu'un;
autres formes de ^J^>o_3 données dans ce tableau ne sont
conjugaison des formes dérivées usitées dans les autres verbes
conjuguera sur ,J»-<a_d\
;
ç_4—X-_=>i.\
8^
f.
se
réunir se
:
conjuguera
.
.
GRAMMAIRE ARABE
VOIX PASSIVE
— Le passif ne
52.
impératif ni
infinitif.
diffère
de
que par
l'actif
les voyelles
L'impératif est remplacé par
;
n'a ni
il
conditionnel pré-
le
cédé de J. Parfait
Le
mues par un
toutes les lettres précédentes vocalisées
—
4^ f
—
8®
^\
>jS A
f.
Remarque.
\
honorer
— Vaiif de
la 3® et
—
> >j-
^\
être honoré.
cause du d'amma qui précède
o à
^_^L*s confronter
^-^r-^l être examiné.
forme,
^J_^o^s,
:
>
^
—
:
la 6e
de
:
être frappé.
:
^_3r--M examiner
damma
v_>;-'>^
vi^-^ frapper:
l''® f.
par un kesra, et
_ Pas.
^ ^ /
Act.
en
mue
parfait passif a son avant-dernière lettre
J^^Li.-3', se change
J^^Ls,
J^^o^iJJ
:
,J-->^_d être confronté.
:
Imparfait.
— L'imparfait passif est
53.
caractérisé par
fixe et
un fatKa sur l'avant-dernière
Act.
1^®
f.
Jv^2-fl-j
il
séparera
3®
f.
v.^^.LLsr-;'.
2/
interpellera
—
lettre
:
—
le
pré-
:
Pas.
:
un d'amma sur
Jw-a-â-j il sera séparé,
v
^-^I-js-.-'.
il
sera
inter-
pellé.
—
10^
f.
-j.^^-csr-^**-.-',
il
—
extraira:
^ y^k:^^^^
il
sera extrait.
Participe passif.
54.
—
Jj^w^:-i-»,
a)
Le
participe passif
du verbe primitif
caractérisé par le préfixe ^ et
.p^^c^x
^^JL^
écrire ^
s^yLSL»
y
écrit
\
I
un j après
la
y /
w»-^
l""^
^9
frapper^
de
est
la
radicale ^
i,
forme :
/
v^^o^-a frappé
CONJUGAISON DE LA VOIX PASSIVE Dans
b)
\qs
formes dérivées^
39
le participe passif s'obtient
du
parti-
cipe actif, en remplaçant le kesra de l'avant-derni^re lettre par fat ha
:
v^-LLr^
—
o*"
f.
._^*JC::-;» C
Jj>
55.
gagnant
:
—
:
.^Sj,'^ gagné.
*
— La voix passive se conjugue comme
la
voix active
j:^JL.^2_3
jai
m
' \ ^ J:^^_;wsc_^
tu as ete sépare.
J—A-^a-à-j*
f.
»j:^Jiw^2_3
tu as été séparée.
^^-^^w3_fij
p.
:
Imparfait.
Parfait.
1"
^
v.^J3L3r-^ interpellé,
P. pas.
^
o
/'
interpellant
y
y
^j>
f.
P. act. ^^
f
un
été séparéy {ée.)
^ .
,
.
je serai séparé^ {ée.)
J.--sa-5l
y
c
^
,
tu seras séparé.
2«p. S.
y
I
m. 3<»
J^-'^-a-J
il
a été séparé.
"^ ,
tu seras séparée.
^ y it
J-/..a_fl_j
sera sépare.
y
p.
^
C-wL^_à
f.
y
-f
L^-:;J_^J
nous anez été séparés .^'(m.)
o
y ^
^ V
o i,
elle
sera séparée.
^ y
vous serez séparés, [ées
>b^-/^=-Â-J*
y
V?'
D.
m.
y
J-.»n f-
y 9
2° p.
a été séparée.
elle
jî_A.3_i
i/5
ow^ été séparés.
y c j> «jL/s^-i-j
ils
,ji_/,û_ûJ"
elles seront séparées,
seront séparés.
y
3« p. I
^r
^
L:l.L^^
f.
elles
ont été séparées.
y
^ l'"e
p.
L:.J._.^=_3
nous avons été séparés^\^%%^
*_
vous avez été séparés.
P.
'M ts
i
y ^
y
m.
U_.^^
i/j
f.
jJl_^sû_3
e//es
on< été séparés.
on^ e7é séparées.
autres
modes de
l'imparfait
y ''i (!''«
c
y
c
\
J>
vous se?^z séparés.—
^
pers. de la
1'"'^
forme).
y çc ^
.^JL/srt-Q. ^
i/5
)
y
seront sépares.
y o ^
^^JL.o_i-3
y
^JUc-s!
c
U0W5 serez séparées.
y
Aux
y
vous avez été séparées.
3« p,
<
nous serons séparés f{ées
"f
y
c
^
.^^jL/vû_iJ' .
.
^_:lL.^c_3
f.
c
J._^_Â-j ^
m.
y
ci
on aura J^o-M,
é?//e5
c
y
seront séparées.
i-i
Jw^!,
-^
y
y
ci
^^^_L^Î,
GRAMMAIRE ARABE
40
—
56.
Formes du verbe
trilittère passif.
Imparfait.
Participe.
Parfait.
•
J
^
ire
J-^-5
2« X
->>
^
/<
''
f
3«
J-^J^ •
-?J»
^
c.
y
fi
ci
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fi
6« • X c
\A^
-?
7e ^
^ y c y
Ji^
y
y V
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fi
->
ci
8»
9«
Inusitée. fi?
-/
c
^
O
y
fi
<,
y
y
cfi
c
fi (.-i
10^
J-
VERBES QUADRILITTÉRES 57.
— Les
près), ont,
verbes quadrilittères, assez rares (un sur vingt, à peu
comme
nom
leur
l'indique, quatre lettres à la racine. Ils
yyoyyy<,y
sont de la forme JJLaûJ
^y^
:
il
cl
traduit.
rien de particulier. Voici, d'ailleurs, celle
du
primitif
Leur conjugaison
du parfait
fi
Imparfait.
y
i,
fi
(,
=^^l fat traduit»
l"p. y
c
"
2* p. f.
yc
.Ci.
c
S.
et de l'imparfait
:
Parfait.
m.
n'offre
fi
tu as traduit.
t,
c
tu as traduit
(f.).
!
je traduirai.
y^
^.^jJLj
y c
vj:^-p..rv vJj
y-i
^_9yJ)*
'^
v-J
i,
y
tu traduiras.
fi
^^^^..^jJlj
tu traduiras
(f.)
y y
m. 3« p.
j
r^^ c
f.
y y
il
a traduit.
il
traduira.
y
1
c y
3
^_awj_.ij "^
fi
elle
a traduit.
o • -cs.»_îlJ
^j-
elle
traduira.
VERBES QUADRILITTERES
41
.
2'-
p.
y
L^^jJ
m,
ils
•
P.
y
i.
elles traduiront,
"
cy
^
nous traduirons. ^
y
c
•
vous traduirez. y
^JL^^jJî vous avez traduit
' <.
i^-^-9-^-j
3« p.
y f.
58.
pour
y c
i,
ils
o
y
vous traduirez [t).
^^^J^^'jJlH
[{.)
y ^
m.
;^
vous avez traduit.
2" p. f.
^,
nous avons traduit.
»_j*
c
^
,
ont traduit.
ils
y
"^^
c
(^
traduiront.
y >
-^syjJ elles ont traduit.
.
traduiront,
y
elles ont traduit.
A^-^jJ
m.
y 9
y X
X c
t.
Ljl^-^.
l'*^p.
(^
ils
y y y c
:l^jJJ
f.
y ^
ont traduit. y
3« p.
c
vous traduirez,
^ o ^
.' ,
D.
•
vous avez traduit.
l-^sJi^j^j-j*
elles traduiront.
— Ces verbes admellenllrois formes dérivées qui correspondent seconde à la cinquième des verbes
la vocalisation et le sens, la
à la septième, la quatrième à la neuvième
Irilittères, la troisième
Les formes dérivées n'ont pas de
passif.
Formes du verbe Participe.
Infinitif.
(1).
Impératif.
quadrilittère. Imparfait.
Parfait.
VOIX ACTIVE j^ y y c
'
j^
(.
y
y ^
rt' ^^ ^ c
/*
^
j»^
c
f?-^
y y ^
x c
f
J»^
y c
i,
y
i,
y
'
^ y
c
y y y
y y
x-
-?
y
ij
^.
y
y c
^-^y w
y
M y y
c y
\
3°
i.
(2)^jj
4'
VOIX PASSIVE j^ y
(^
^ y
y ^
c
y ^ »_=».._)
1.
Pour se rendre comy)te des voyelles de
ticipes, de l'infinitif, 2.
Pour
,«-,»-ii.
de > ».
la voix passive, se
l'imparfait, de la formation de
^re
l'impératif, des
reporter aux §§ 47, 48, 49, 50, 52, 53, 54.
par-
GRAMMAIRE ARABE
42
Supplément aux formes dérivées. 59,
— La
11^ et la 12® formes se rencontrent quelquefois; la Î3®
et les suivantes
presque jamais. Jusqu'à
la 15®
inclusivement, elles
ajoutent d'ordinaire une idée d'intensité à la signification primitive; les autres
formes désignent des particularités sans importance.
—
VERBES IRRÉGULIERS.
VERRES SOURDS
'i3
VERBES IRRÉGULIERS
— Notions préliminaires, —
60.
Plusieurs de nos verbes français
sont irréguliers parce qu'ils admettenl des radicaux différents
:
aller,
je vaisyfirai, ou parce que leurs personnes ne suivent pas la formation ordinaire
:
ouvrir^
f ouvre.
n'en est pas ainsi en arabe.
Il
grandes
difficultés.
deux
traction de faibles
I,
hamza,
verbe n'admet jamais plusieurs
des personnes ne présente pas non plus de
La formation
radicaux.
Un
Toutes
anomalies proviennent,
les
soit
changements des
lettres semblables, soit des
^ qui tantôt sont employées comme simples
j,
et tantôt font partie
de
la
con-
lettres
supports du
de la racine. Ces modifications se font
d'après des règles précises, et toujours d'après la conjugaison du
verbe régulier J_^o>9.
Nous aurons hamzés,
à étudier successivement les verbes sourds, les verbes
les verbes assimilés, les
verbes concaves^ les verbes défec-
tueux.
Verbes sourds. 61.
— On appelle verbes sourds ceux dont
cales sont semblables
Ces deux
chadda\
lettres
:
—
j
>
pour j^--»
il
les
deux dernières radi-
a réjoui.
se contractent parfois
en une seule portant un
c'est ce qui constitue la particularité
de ces verbes dont
la
conjugaison est régulière quand on ne doit pas faire cette contraction (1). lo
On
vocalisée
contracte les deux lettres semblables quand la dernière est :
"^
y
j^
^
/ y y
(jj*^)
il
a réjoui Jw>
Remarque. de
la
2*^
1.
\
(^J._p)
^
.\_^
y
^
[:>X-fi)
il
a été étendu
\
prolongation.
— On voit par ces exemples qu'on donne à la contraction la voyelle
dernière lettre.
Quand on
doit contracter les
deux
Les chiffres arabes indiquent les numéros des règles de tout
que renvoient
les
numéros qui
semblables
lettres
le
(la der-
chapitre. C'est à ces règles
se trouvent dans les tableaux des verbes.
GRAMMAIRE ARABE
44
nière étant vocalisée) et qu'elles sont
jezmée on donne à cette des deux lettres semblables
lettre
immédiatement précédées d'une lettre jezmée la voyelle de la première
:
O^U
r^'
On
3«
/^ réjouirai-,
sépare les deux lettres semblables
Quand
a)
40 à)
seconde est jezmée
la
une
Quand
IL
a égayé
—
Remarques.
hère: jj^i ,J
^*"=^
\
il
doit se trouver entre les
il
de prolongation
lettre
6<*
wj^-^ fai
:
a)
jj
:
réjoui,
9«
formes)
y imparfait
j^ 7^*
^
ô)
il
en
A
ou
deux radicales semblables
»-J^ égayé.
l'autre contractée; la dernière radicale
(voir
n a pas réjouiy de
L'impératif fera de
:
Rem.
«),
même j^— ou :
1
J »
il
la
forme contractée
(1),
^j^
réjouis,
féminin pluriel sera toujours régulier, y c
lieu
:
réjouis
;
j
y y
ou
la contraction
^
on n'aura
i^^ réjouissez;
le
ne pouvant avoir
,
cause,
A JJ
L'impératif jj_-»^\
(Règ. 2°). Mais la
quelques verbes ne font pas
s^ y y
—
v^^^w
être aiméy
\.
I j_9.
réjouissez.
^jj^^
J^ :
\j^y
v-5'
:
^ci
80 c) Certains substantifs et
tion
verbe a
n'a pas fui^ de
fuis; au féminin singulier, au duel et au pluriel masculin
que
le
page 20) ^_Lj
.^;
verbe a
le
prend un fatKa ou un kesra quand
e/i I
:
a espionné.
de la forme contractée prend l'une des trois voyelles quand elle
:
Le conditionnel a deux formes: Tune régu-
Un a pas réjoui\
Vimparfait en 0,
{i.)
:
Quand Tune des deux porte un chadda (2% 5% j^_*o
5*^ c)
^-^„j-^ (^.jj-^-^) tu passeras
l''"^
î
fi^
^j^ nombre;
^^
.j^ trônes , ^\. àe
s^
la contracy
y
^ y
j^ j^\ ^.^-^s.
être cariée (dent), etc.
ferait régulièrement
au féminin ^jj-.,**j\ qui deviendrait
radicale n'étant pas jezmée, Xalif d'union ne peut subsister.
^ y-j^\
^
>*-^
1
Ou
en CD
.^i;
w-^
g,
M
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j!
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i
VERBES IRRÉGULIERS.
—
VERBES IIAMZÉS
— Voix
64- Formes du verbe sourd.
passive
Imparfait.
Participe.
47
Parfait.
y
(j-r—i)
^
fi
->^-)
(^°
^
j^-w 2«
(40)
y
y ^
> y
/ ^
y/
'f
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[jj^ f y
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J^-—
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^
ci-
fi
9
o^
,
i
10
Verbes hamzés.
—
65.
On
appelle verbes
hamzés ceux qui ont un hamza
^
à la
racine (2).
Le verbe
hamza
est dit
hamzé par
\^^,
2e
ou
3® radicale suivant la place
du
:
y
y
yty
"s.
'^x-=sS
il
a pris,
ty y
JL.
il
a demandé,
i.J
il
a lu.
Les particularités de ces verbes proviennent des changements que peut subir la lettre faible support du hamza. (V.
§ 7, p. 6.)
Nous étudierons le support à donner, suivant que le hamza est au commencement, dans le corps ou à la fin du mot (3), ou suivant qu'il y a rencontre de deux hamzas. \
.
La contraction n'a pas
lieu
au parfait passif de la 3e et de
la 6^
forme,
le
5 de prolongation
ne pouvant précéder un chadda. 2.
Il
no faut pas oublier que
3.
Il
importe de remarquer que
le
hamza
est en réalité la
le liainza
l^e
première
ou 3° lettre de
la
lettre
de l'alphabet.
racine devient médiat par suite
c.
des préfixes ou des suffixes
de \-_».
:
à swU>
tu prendras, de J^—à..\, ^^^y;^3.--n
i
lu liras
(f.),
GRAMMAIRE ARABE
48
I.
Au commencement
1»
support
Hamza
du mot,
initial.
hamza
le
a toujours un alif pour
:
jwâ.! il
J-à!
a pris
II.
Il
—
mot
2^ a) D.ans le corps d'un
aisselle.
médial.
hamza
le
correspondant à sa voyelle
la lettre faible
a eu compassion
il
Hamza
Lji
^
ou jezmé.
est vocalisé
^jj
—
a été pris
il
^j^jJJ vous
malheureux,
JL,
y
il
vocalisé prend pour support :
a interrogé
^^j^J
lirez,
lT-^
^
tu liras
^^
^ ^^^
{(.).
— Cependant, bien que sa voyelle soit un fatKa,
3^ Exceptions.
prend pour support unj
si la lettre
précédente porte un
damma
:
a) il
J!j*«
question.
prend pour support un
4^ P) Il
kesra
5^ y) Il s'écrit sans support
.longation
pour support quand y
y
y
i.
t^jjU
lecteurs.,
y
y
on trouve
;
o^
7o b)
^
y
y
Dans
lettre faible ^
i.
i.
^
ils
la
lue,
précédé d'un isi^Lj.^
mots
t
ou d'un j de pro-
bassesse, ï^jj-^ courage.
damma,
hamza prend un
le
mue
^
par un kesra
:
affranchiront.
paragraphe précédent ne sont pas d'une rigueur
cités
corps d'un
le
avec l'orthographe suivante
mot
correspondant à
:
yi y y%y
y
^K,
<jj3
i.
y c y
le
hamza Jezmé ^renâ. pour support
la voyelle
de la lettre précédente
la
:
i ^
tu croiras y
wLà.Lj' tu
III.
A
un
« été
^
x^^j^^
les
soit
^//^
,.-.
..>-^Jî
8<^
est
précédente porte un
la lettre
est précédé d'une lettre
il
— Les règles du
Remarque. absolue
s'il
j-^L, questionner (J^oLs),
:
Bien que sa voyelle
6» â)
si
commandement, vJU-j^
L-Lj»
:
^
fm du mot
correspondant à
le
prendras,
a_j
-
— Hamza final.
hamza prend pour support
la voyelle
5 loup.
de la lettre précédente
:
la lettre faible
—
VEHBESuIKRÉGULlEKS. i/
1 f ^
^j-»
il
a été courageux^
longation,
^j^
hainza
le
chose,
IV.
un fath\i
î/a cn/,pour ^-^1 Si le
Si
^L^l
(Jw^l); on
foi (JL,û-3t);
IS** Il
en est de
longation
jonctions j
pour
—
c)
e^,
Pj»Ji^ lu,
^
c?^. il viendra.
premier ayant pour voyelle
contracte par un
les
dammay
un
j,-à.!!
madda —
second se change en j
le
kesra,
le
le
:
:
second se change en
^J\
^-^^
^
:
jLs-j!.
hamza
est suivi d'une lettre de pro-
trois
oro?oy^/^e;
^
:
la 6®
donc
le
.-^Li
il
j-à.1 il il
forme
le
y
..^
\.
y
*
il
a pris, :
yt
J-fl
3._=k
2/
a
prends,
le
reprend après
les cun-
ordonne donc.
jl—i, peut
s
fait
régulièrement à l'impar-
écrire
a pris, contracte à
Ju^,
la 8^
J--.
forme
le
hamza avec
choisi.
hamza,
l'^'^
en j (surtout dans Tarabe moderne)
commun, de
(J-voaJ).
•''''1
a interrogé., qui
a
a été blâmé
hamza à l'impératif
mais l'impératif^
:
i^âr-M
y'î-
il
j._=kj!
verbes j_â.l
,
Le verbe
^A
(J-^Là);
/'y
Les
et à l'impératif
c^ formalif 17"
on
écrit aussi
a)
Le verbe .Jlw
jL^,
16° le
on
c-'
\^ mange, j^
fait
partSy
//«orc/onne, perdent
j^\
s ^^
Ido ô)
de pro-
lettre
:
Remarques.
mangé,
^,
même quand
3-=k! f/tf 6/«me\
14°
une
écrit aussi ..f-^^^-
premier porte
le
c'est
si
affranchira.
^^
(J^>^!).
premier porte un
ilaétécrii 12'^
1
>
:
se suivent, le
pour support un
et
jezmée ou
49
Rencontre de deux hamzas.
Quand deux hamzas
10^
ll*^
—
s.\j.s^\
c
^j-^
il lira^
sans support
s'écrit
part^
p;_9^
i
^
<^
Li-j
Si la lettre précédente est
O"*
VERBES IIAMZÉS
radicale, se :
j-^^»-^
change quelquefois
pour
^\J
délibérer en
GRAMMAIRE ARABE 66.
—
Conjugaison du verbe hamzé, I
>^i
»,
a invité.
il
VOIX ACTIVE
^ l^e p.
(1°)
m.
VOIX PASSIVE
Imparfait
Parfait.
radicale
l"^*"
Impératif.
Imparfait.
Parfait.
c/
C^-O) _:L^-o
(10)
(3)
w^.)lj
(7°)
*
wO_^i
(>) w>:>>* /
*
/'
.2^ p. c^'-'
^ ^'Z
Vr
cT-HV
"i^
c
m. 3« p. /'/'
-^-O
f.
*
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2«p.
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Uj.-;!
d
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c
m.
(J /
3«p.
c
^
y f.
'^
LJl:;s1 C.'
^e
-
I-
p.
c
^ ex
X
m.
>^^:^
^^_jj^^
2° p.
P./ f.
^-•^o z'
m. 3^
^-?
.
^
p .i
yy%. >
..
c /Z
c
,
(i.
Participes. Actif
^^i
(i3o cjJl);
1.
Pour
2.
Pour »_i>\\, Règle 120; un verbe impai
V
3.
(7°),
invite.
)>\\, Règle 10°.
l'impératif ^J-'Oj^ espère, po ur ^.x)\\,
1
invitant. Passif w^j:»»^
Pour i^_j>U, Règle H».
Règle 11".
0,
comme J-^\
il
a espéré, fera à
.
VKKliblS IKRÉGULll-KS.
67.
—
—
VIlKHI-S IIAMZKS
Formes du verbe hamzé, Impératif.
Participe.
Infinitif.
r>l
radicale
1
Imparfait.
^o
:
^
Parfait.
VOIX ACTIVE c
v^^l
(13°)
V»
*
«j
(12»)^
»Aj!
''
v_;U-J^ -*'
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^^'^.^,
(130)
^,^1 3«
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5°
(130)
^_.:)Lj
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• (70)
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L_j
1
^
^ ,
J
X-AM_/>
I
68.
—
v^^J-J.
v_^ ^
(30)
V^:>_a-J
^
(s.
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£.
^_,3-j| ge
^^^IjL...! 10^'
;io)
9 (30)
99 y
7''
VOIX PASSIVE (70)
a-/*
1
a.
^j.i_j! 8«
(120)
(70)
(>)'^j:)l-^
»
'
(120)
^^J-
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s.
J;^li_:Lj!
•
*
4°
^_oLy
(20)
(120)
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(12°)
(7")
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(130)
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J
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(13o)
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vO-^j_^J* 6*^
^^-"i
7°
(Ito) ,_,J,.V_5Î S'^
-OJ»
''
f •^
t-
-^
(7°)
^^^X-w) 10*
GRAINlMAIRE ARABE
52
—
69.
Formes du verbe hamzé, Participe.
Infinitif.
2® radicale
Impératif.
Imparfait.
A jL(i)
:
Parfait.
VOIX ACTIVE
>£ (3°)
^^z' „ , o , I
^
y
Jt^^
II
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1
^
^ y y
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JL
(130)
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y
y
JL.*^wl 10^
•
J^ S.
70. i
c
—
VOIX PASSIVE
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j-l: 1-
\^ ^—*•—"^
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jfjj
—
2e
.
y
(5o)JaL__.
fi
Il
S
1/»
y
1 -
JLIL' (50)
-^
-
t-
JaU.*^^
y c
y
c
^
Af
J^ 1.
La voyelle de
verbes
comme JL-to
veux;
et à
(jiva
de
2.
;
la 2» radicale
:
il
a
inlerrogé;
ïimparfail JL-*lo I
A moins
%
\J.
Toutes
les
tixaot le support
il
^Is
il
inten'oyera;
::
^
-^
J
du hamza, on trouve, à
a eu pillé
<^^j^i
formes dcrivccs suivent
d'indications contraires, le support du
^
le
il
\
,_y^^
aura
il
pitié;
.*^^i 10^ y la
a
1"
forme, des
été
malheu-
LjiLj>
il
ru-
modèle JL-*!o. est déterminé dans ces verbes par
hanua
—
-1'
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"'^-t'b
a. o
Cl
co
Cl
:l;
X :o\
%
:%:^ X:*»
xi.xk ^^ -^
GRAMMAIRE ARABE 72.
— Formes
du verbe hamzé,
Participe.
Infinitif.
Impératif.
3^ radicale
Imparfait.
:
K-?.
Parfait.
VOIX ACTIVE
r y
A? c (90)
P^
99
9
"^
/
(2o)jJi,Ui^(9o)pL9
I
^J
(80)
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^^ y
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y
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1
y (4° et 90)
p
U
y C ^
S-
(90)
p KJi.*^*v
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.-91
10«
^^_L".
1
73.
VOIX PASSIVE
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U_Û_J
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y
1
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''y ^ -iij^/»
^•
y ^ 1
j
L_a_*^,
1
«
^
-^ j>
—a_^;
6°
I
7e
7" y
8« -"c
7
'^
1.
Le parfait des formes dérivées se conjugue, à
sive, sur ^^,.,1^
r^i..
la voix active, sur
L imparfait des formes dérivées se conjugue sur
parfait de la 5°, de la 6^ et de la 9»
imparfaits passifs.
t^-
forme qui se conjugue sur
\
\
—
^^_yX
10'
», et à la voix
pas-
^^-\, excepté l'im-
.__.&_.>, ainsi '
que tous
les
—
VERHES IRKÉGULIERS.
Verbes à 74
j^j
(p.
il
Jj-3)
la Icllre faible est la 1'® radicale
^_x-j
a dit
X^
\
(p.
.^^-w)
2'^
radicale
^^^
;
il
:
il est allé.
la lettre faible est la 3°
a été satisfait
:
a été orphelin,.
il
la lettre faible est la
Verbes défectueux, quand ^.^j il
:
arrivé;
il est
Verbes concaves, quand
Jli
occupent, elles donnent lieu à
la place qu'elles
Verbes assimilés, quand
3°
lettres faibles.
verbes irréguliers
trois classes de
2*^
55
— Les deux lettres faibles j, ^ peuvent faire partie de la racine
.
des verbes. Suivant
4°
VERBES ASSIMII.ÉS
radicale
:
a été généreux.
Les particularités de tous ces verbes proviennent de
la
suppression
de la letlre faible de la racine, ou des modificalions qu'elle peut subir.
Notons d'abord à propos des verbes assimilés j ne prend pas ni le
^ quand
le
y^^me lorsque la
la lettre >
J-o^ --^1 p-
p.
letlre
et
défectueux que
le
précédente porte un d'amma^
précédente porte un kesra: c
^
Jwoo-j
->
(J-.wa_i-))
c^—^1 (w^jL^)
il
fera parvenir;
di'
]
été satisfait.
c
Certains auteurs écrivent cependant: Jwws^,
c^-J--^:5J,
elc,
Verbes assimilés. 75.
—
Il
y a
trois catégories
de verbes assimilés
1''
Verbes assimilés par
j,
2°
Verbes assimilés par
j, imparfait
3*"
Verbes assimilés par
^.
1^'
1" catégorie.
imparfait
I (voir
:
Rem.
«), p. 20);
A, ou imparfait 0;
— Les verbes assimilés parj, imparfait
Ibj à l'imparfait actif de la {''''forme
:
I,
perdent
GRAMMAIRE ARABE
56
^ ^^
T I
I
il
wi-93
est arrivé,
i/ s'e5/
arrêtera,
arrive.
^^Jus arrête-toi.
la
:
>i-=^j il
Cl
eu mal,
x
/'C
^-^j-'
ou imparfait 0, perdent
^l ctiira
mal;
^ à Yimparfait
le
:
^ y y
A
ç.^j
laisser,
A
j^ij
abandonner.
jJ._j
j^
A
ojj
réprimer,
&;-j
&;
A
/*-*-j
^^^'^
A
/i-'^j
déposer.
ï
Imparf.
Impér.
9^^
spacieux.
/*-*^
Z^***
^ y y ^~^'?,
c
/*
/*
i î ^
•
c,^
i X
A
^-ij
piétiner.
A
>i-9j
tomber.
aJi.»
a-9
A
l-pj
/a^re signe.
L_^;»
O
»
A ces verbes, ..,
ft
•
<',/'
ft^A, \^
^
Le verbe
De même
^
donner.
^-ftj
ç—J^,
^—J3,
^W.i
être timide
/•• Ç-*^-rl» '
^^ter;
y y
(,
^^^-^-!
faut encore ajouter
il
^--^
'-^i!
yy
y
A
1.
iV s
J.^
— Les verbes suivants assimilés par j, bien que faisant
Exceptions.
A
v^iL)
*i
arrivera,
^
A
imparfait
•
•
il
— Les verbes assimilés ^dir^, imparfait A ou lettre verbes assimilés par ^ conservent
et tous les
faible à l'imparfait
X-^^^^
arrêté,
2o 2e et 3" catégories.
imparfait 0,
^
'î
•
•
j-^5
*
:
\>^,
;
f'' '«^^j»
\^>-t*.»
X
"
blâmer;
'-'^rl»
/ape^
:
de, peut faire ç-J>-^. ou
imp. ç-J>-rt o"
Ç—^.'
^^^.'
sio^passer en clarté.
"i
amde
^•^^t
''
'
e/>'«
y
^*
ç-^.
;
couler.
:
_
VERBES IRRÉGULIERS. 3"
Règles communes à tous
^
change en
^ jezmé
le
damma 9-^,\, p.
^;^-^jU
JL^jI,
souffre;
—
JaJj-j, p. JàJi
4« é)
J..^!
76.
A p.
la 8«
forme
le
^
et le
J-o^;^! cire joint;
j,
^
il
p.
Jl^J,
Parfait.
Y-^-i
il
adduction;
réveillera.
se contractent avec le
Jj-âJ» p.
jezmé se
.
change en j après un
se
^^Jjl
arriver
— Conjugaison du verbe assimilé A
57
verbes assimilés. -~ a) Le
les
après un kesra, et
VERRES ASSIMILÉS
c^
formatif
(événement).
J-^j u
(i
est arrivé;
a élr facile^
Imparfait.
Imparfait
Impératif.
Imparfait
actif.
passif.
J y ^
-»^ c^
l^e p.
(2°)
^*^^_
^ y
I
(1)(3o)
I
c
lï). -y
S. .^2« p.
y
/
<^
y
^
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,,
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• "
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D.
m. y
3^ p.
y ^
J l'^e
y y
c
^
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c
y
i,
^
y
<
p. .f
z'
m.
^
y
f y
-*
y
^
y y
f
2« p. t..
/'
C / C
"^
^ y
y
y
^
f.
,
m.
I^JLCsj
"
3= p .^
1.
Traduisez et
de
la 4»
y
y
^f.
!«
'
f
:
(^
c
i,
y
y o y
—A—>^3 a
/e 5erai secondé,
significatiou de la 4^ forme. (Les imparfaits passifs de la
forme sont identiques.)
:
GRAMMAIRE ARABE
58
— Formes du verbe
77.
assimilé par
j
S-^j
i
:
^^
^^t
arrivé.
Participe.
Infinitif.
Impératif.
Imparfait.
Parfait.
VOIX ACTIVE fi
Jw^-J
(10)
/
fis
''
y
fi
^Js-^,\
(3°)
c
'<*^
^**
.
fifi
^y y
-y
tt
y /
^
fi?
y
y
A
2^
0_J
-'^
fi
y
• / ^
^
\u
fifi
^ y
<^ c
^^
c
r.
^ ^
^
fi
(40)
^
--
^
y fifi
y y
/2~9>-J
1
JL-^1 I
y
s.^.j ^--J-
(20)
J-
(30)
J-^j
I
y
/'
fi
i,
j
y
c y
J^JI /'
'i'
c
.^
c
jV—<N^ ^—^—*^
78.
—
8^
i 1
10^
VOIX PASSIVE
J.
^y
^^,
fi
-.y
(
^
y fi
2° 3°
J-^i^_J y
^\
^1
fi
4e
^ ^ ^ ^
1^—*^ ^—rt«/»
J
y
fi
dans
les
—
La septième
verbes assimilés.
c
y c
fi
J-
J-
Remarque.
---
;'.
6°
8<^
3- .>£_;:_;
„/si2.::_-*
i.
1
fi
J-''^-i!
)
y c y
^y y
-'j
et
la
neuvième forme
y y
9 c'^
10
sont inusitées
—
VERBES IRRÉGULIERS.
79.
VERBES ASSIMILES
— Formes du verbe assimilé par
^
59
.-^ u
:
a <ué
facile.
Participe.
Infinitif.
Imparfait.
Impératif.
ACTIVE
VOI.V
^)»
^ f*
I
y
Parfait.
y
^T^
"
Iro
^ y y 2^^
•^
J
"
y
y,
"
'^U
h^. (30
J A'
MU
^
i
y
••
J>J>
,
^ y
O
y y ^
^ ^
"
y
^5; y y ^
\
r
,l:j
I
•^
4e
v.^^ ^,^^j l;^-
5«
'•
y
•^
J>J>
y y y
3
J-
X
I
y
'
6^
L^ii-j y y ^.
k-AM.J
f?,
y
c
.
c y
j»j>
c
^
J>J>
C
z'
C
S'^
I
J»
4
i,
y
y y
y
i^
^
^^
a,
— VOIX y ^
y (3-
1^
c.
y
4
j-h) r Si
^ y
*^
'
^
^ ^
,
.^
^
y^
y
.^1
J:*
^> y
(.
y y f
y
y
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^
3« ^
^ ^ y ^ ^
x.^^\) y
^—jl <M
J.^ -»>>
Mi
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^ y y f
"
PASSIVE
^
^»
>
10
^
80.
y c
i,
4c
^
5^
6«
8«
10-
.
GRAMMAIRE ARABE
60
Verbes concaves.
— Les verbes concaves ont pour
81.
sont réguliers dans la conjugaison de la
Ils
9^
la 6® et de la
forme,
le
j ou
lettre faible.
de la
2"^,
^ radicales
le
une
2^ radicale
3^,
de la
n'y subissant aucun
changement. Les règles suivantes ne s'appliquent donc qu'à la
4% à
la
7% à
la 8^ et
de
5®,
la
j»^»,
à
à la 10« forme.
Trois cas se présentent dans la conjugaison du verbe concave,
suivant que la lettre faible est y
/
+
j
+
>
+
j
+
+
j
+>
+
j
+
_|..
+
j
_|_
y
placée entre deux lettres vocalisées
précédée d une
lettre
jezmée
suivie d une lettre jezmée
—
I.
1<*
La lettre
La
a)
change en
JjJ ^
y
tz/z/
après un fath'a
—
^y
y
JI9
^
c
+
:
faible est placée entre
**w»
vocalisées.
lettres portant voyelle se
:
forme
il
a dit
-. L-^sr-;',
il
aura besoin ;
C
^
deux lettres
deux
JLJ
devient
y
c
:
lettre faible placée entre
S-!
^-^"
:
—
Ajj:-..^^
s'
—
>^LJL;_/»
docile
\
J-^J.
—
J_v«â_:'_fl-j
y
apprêtant à voyager
\
"
—
J-vwau::_fl_>>.
—
J.«.,û_fl-;.-/».
y y c ^
j^
h
-fl.-A-v»
2» ô)
Au
parfait passif la lettre faible se
que son kesra
tion, après
cédente
change en
^ de prolonga-
au d'amma de
s'est substitué
la lettre
pré-
:
^
y
J^* 'Lli\
II.
3°
\
La
devient
J-r-^
—
i-T"^^^ il
— La lettre
lettre faible
il
faible est
a été
forme
\
a été examiné
\
précédée d'une
précédée d'une
cette lettre jezmée, et se
dit
change en
lettre
lettre
—
J-'^ J._^-a-::J!.
lettre jezmée.
jezmée donne sa voyelle à de prolongation.
\
—
VERHES IRKEGIJLIEKS. \y^\ devient
—
JL^i
J_^iL^
—
J-;.-^-^
—
4" a) 5" à)
La De
La
primée est un^ à la 6*^
j
1'*^
(3)
mù
a)
J-^^Jl.
a fait dire;
—
j-..^l.
dire;
—
[(^liiiciitt
mû
la 1'^
forme,
si la lettre
On
lui
donne un kesra quand
^
,
w—3^
— —
^_jj..^^«w
—
sJ:.--^^
—
'-
*:
vous aurez besoin
supprimée
(f.);
forme
c^.5_ik tu as eu
{;)l)^1^^)
f ai été
— Au parfait passif des
—
^_JL.sai.
blâmé;
—
cJL^.
précédente
Aesm de
(f.),
la voix
exemple
CXa—
—
Cas particuliers.
:
~
active, prennent, à >
fai
été
la lettre faible
^
forme
J-.^!.
—
^cr^-^^-
J^ii!, ,J^.Jl,elc;
Certains auteurs enseignent que les verbes qui
sonne de
^
î^
forme
;
j-3 dis (m.), pour J^Jl, J^^i, Jj-?;
—
'-
:
^
J,j>J
C^l..^3.
^
X_iLf fai été trompé
L'impératif fera
^.L..^2jLiJ'.
\
-y
l'ormes dérivées Je
est toujours reporté à Ja lettre
IV.
un
C^JL,^.
peur
^-j\-w vous êtes allés
y
est
— —
dit\
"
^
Remarque. supprimée
fai
^j:^J3 ^
la lettre faible
:
y
:
faible sup-
radicale;
0-J^3
1.
^
c.
d'amma on un faf/iayOn donne un d^amma
par un
^a.^-:L^-J devient ^^çs-^^-^
7*^
J^
J..
d'une lettre jezuiée se retranche.
au parfait de
par un kesra ou un
^
61
lettre faible est suivie d'une lettre jezmée.
lettre faible suivie
plus^
il
CONCAVES forme
Jj-^i j^ dirai
Jl^l
III.
VEKI3ES
ces
vendu, de
mômes
v.11^
s*.
.>
prennent un kesra à
personnes, un j'ai
<Vamma
^endu. Les
C-^.-*»—> signifie, suivant les cas, j'ai vendu, ou j'ai élé vendu.
la l'« et à la 2°
à la voix passive
autres
auteurs
disent
per:
par
que
\
GRAMMAIRE ARABE
62
8« b)
Au
^ hamzé
participe actif de la
:
pour JjL»
J._jL9,
—
y
^>j;,
*_jL*-,
^ 9» c) rait
devient un
la lettre faible
forme,
1^«
Au
forme J-^Ls.
disant-,
-f^
»_jLvo
^
allant.
"y
même
participe passif de cette
forme
le
forme
J^w^a-i.^.
^ formatif dispa-
:
pour
JjJL;»,
?
^9
-
cyf'
(/2^;
Jj^o-fi-p ^ ^
vendu. i-0
J>^
c
/
Néanmoins on trouve quelquefois p_^^un
10« d) L'infinitif de la 4« et de la 10« forme prend
penser un «/z/ disparu dans
le
corps du
mot
»
pour com-
:
J>J>
àJUt, pour L^ljLîi^!, ''
—
J!^-^i action de faire dire
—
droiture;
^t^JLx-*-!
y
Le j précédé immédiatement d'un kesra et suivi d'un dans les substantifs (1) prolongation se change en llo e)
^
s.
«/z/ de
:
pour 'L.A^^ résurrection.
iL-»L.J,
•
12o /).
c
JL^-âjl*-k
(
£,
/"
jlw^i.
forme
\
Quelques verbes concaves de
particularités physiques se conjuguent
la
forme
comme
/*
J-/^
les
désignant des
verbes réguliers
:
>ys. y :)ji
Imp.
Jj-a.
—
jj_D
—
:>jL-)
être
courbé
Jj-=^. loucher
J.^-*-;*
^^^^ borgne
i3o ^) Enfin la lettre faible n'éprouve pas de les substantifs
de la forme
de la forme J_/oJl
de la forme J. 1. 11 y
^
q
-»
:
Jij-vo!
t^L/^ noeV,
:
;
changement
j'^^-^i? î^o/;
g)
Jj-t^ plus long;
appelés ?icms d'instruments
:
dans y)
:
^ \^-jo^
longs.
:
a)
dans
les adjectifs
dans les noms
:>jS^ bride. y
y
a des exceptions à cette règle
C/utvj.^*^
\
— ^« -Q)
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GRAMMAIRE ARABE
68
— Formes du
87.
verbe concave.
Participe.
—
Voix passive
Imparfait.
f /
(30
^-"^
y
c
Parfait.
^
9
/
/" -?
jp^J
y
9
jp) J_^5
(20
JLi^_,
Ire
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y
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i.
(3ojpi)J..Jl
JLii-.
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,Û-X_;» (l°J^^.A^) JLiL;
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y
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fi^
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J>.^]
/.'C/c/ (30
j j .,g.:,4Mj]
J
Laj^.,
30
<?
J_j.ÂJL^J
JLx-a--> y y
(^
(20
J^l)
8e J-._::_3!
fi
Jlj
(30
j^^Xx^l) J-Jîj:.*-! IQe
Verbes défectueux. 88. est
— On appelle verbes défectueux ceux donl la dernière radicale
une des deux
lettres faibles j,
compte des règles suivantes 1*^
La
^. Pour
les conjuguer,
il
faut tenir
:
lettre faible 3® radicale,
quand
d'aucune dési-
elle n'est suivie
nence, ne peut recevoir que la voyelle fatKa\ mais pour cela, le^ doit
encore être précédé d'une lettre portant un d'amma^ lettre portant
un kesra
(i)
et le ^_c,
d'une
:
y ^ y il
a été généreux-^
On ne pourra donc
dire
:
^-^j
1,
sSj-^ ^^^ ^^ honte.
^Lj!,
j-LjI,
_^-^,
_?-^J»
Ces conflits de voyelles amènent divers changements.
1.
Bien comprendre cette règle de laquelle dépendent presque toutes les autres.
s-^j»
.
—
VERBES IRRÉGULIERS.
— Modifications de la
I.
change en
\
dans
mots de plus de
^
S'^ Il
il
trois lettres
pour
sera éprouve^
^j^!
il
a manifesté^
une
suit
il
il
lettre
^^Jb
— —
jJ-j
—
5
J-^a,..q-
—
;
i
J.-vsû_9.
)
J_^i.
portant également un
^ quand
damma
forme
_^JL1j;
j-^.i-,).
précédé d'une
il
est
,
pour
:
lettre portant
un
:
/'
^>^»
il
a été satisfait
JLj :4
z7
t^
^. —
b)
^
Le
final
Il
damma,
il
a lancé,
_/»»_j
il
sera lancé
il
II.
la lettre
la 3«
—
<;-0"~''
Lx_/»j
elles
Jw^.
damma
et
précédé
forme
—
J-^^aJ. j-^a-à-j.
^ de prolongation, quand, ayant pour voyelle
lancera,
—
pour
un kesra
,-^»-^;
Suppression de
deux ont
J.^^:_à_j.
:
et
duel du parfait quand
:
pour lancé,
:
forme
personne du féminin singulier
a éprouvé,
un
la lettre faible.
c y \
elle
—
:
^-^j'^
précédente porte un fatKa
ji^JL)
J-^^ûJ.
;
pour ^
lettre faible se retranche
A
^
est précédé d'une lettre portant
il
^_/»._j
a)
^^JL
forme
portant un falKa ou un
^_^j
change en
se
^->:s.;
—
été éprouvé^
d'une lettre portant un fatKa devient
La
forme
;
J-^--'
éprouvera, pour
change en /"
7'^
en y^ [ya muet) dans
change en j de prolongation, lorsque, ayant pour voyelle un
se
4^ Il se
6»
portant un fatlia se
:
a éproiivé,
71
_^JL1j
o*^
lettre
trois lettres, et
^JL^-J
damyna,
kesra
mots de
les
G9
lettre faible.
— Le j vocalisé venant après une
2° a) «.
les
VERBES DÉFECTUEUX
—
y'
c^^JLj
;
'_:i-w>.;
forme
o^J^^s.
—
L;_L^J.
,
,
GRAMMAIRE ARABE
70
Mais on dira elle
8*"
:
^
Quand,
b)
\J^j^ toutes deux ont
a eu honte et
J_)
!
pour
éprouve^
Sa
9**
c)
Devant
lance,
désinences
le^
la voyelle
(Tamma ou un ils
kesra
ont été satisfaits
j_o_?i.
—
.
1
J-'^*''£. "
îj^ du pluriel,
jj^,
de la lettre
—
-
[ï.)^
^wJL_J*
/z<
éprouveras
w;»j
ils
lancèrent
lettre
précédente
forme
i^JL.sa_3.
*^L_^;9j;
—
|^_L^>^3.
^^^^^jJ;
—
^_^L^_âJ*.
-?
^-j_^1_^V;
—
^^j.^^jJ tu seras satisfaite,
c:&
^^^J-jI;
— —
(f.),
is,;
»j_j_LLj;
.
^4
^t* du
,j-.-/»^V;
— —
éprouveront
J_j| éprouve
^T,
supprimée se sub-
faib-le
quand celte
L
pour
ci
,
:
:
,
x^^jJ vous lancerez, »^J_*-j ils
jezmée
.
stitue à la voyelle de la lettre précédente,
ijwcoj
forme
^J-fl;
c-^v; V^£: "
'~
féminin; de plus, porte un
elle devrait être
ce
—
c
.,,!
^
du mot,
se trouvant à la fin
été généreuses,
On voit, par les deux derniers exemples, que lorsque la 2^ radicale est mue par un fatKa, on donne \i\\.jezïne au ^ ou au des désinences.
^
III.
10°
^
Le
qu'il est
final se
—
Cas particuliers aux noms
supprime quand
précédé d'une lettre
mue
il
(1).
devrait porter
un tanouine
par un kesra\ le tanouine passe au
kesra précédent. J9
^Ij
lançant, archer,
pour
—
y >»!j;
forme
JwoLJ.
y/
yUu^fi acheteur,
\.
Participes, infinitifs, substantifs.
—
et
^jj:lJ:^.j>;
—
j.
VKKBES Les
iiifinilifs
IHKKCÎlJF.IKKS.
VEKBKS OKK
^
\yli
relAchcmpnt^ pour
Il**
Le
^
^,
fathUa devient
y^j^
12*^*
avec
Au
pour
éprouvé,
pour
^i.-y-;^.
Le J ou
1
le
hamza
achat,
Rci,'.
2.
et
^*).
précédé de la voyelle
trois
:
j-^^-
forme
—
;
\^
(i)
J-^J-^.
^ formatif
contracte
^o^
j^^_i-/».
—
id.
venant après un
ennemi,
lettres finissait
!
de prolon-
:
j^f
—
forme
5
^!.j:J;.!;
JU^.
forme
—
I
J
^ portant un chadda ou précédés d'une
_^A_s
UQ mol de
^
pour
n'éprouvent aucun cliang-ement
\. Si
^yj>j^!>',
les infinitifs, la lettre faible
pbLj épreuve,
hàton\
forme,
j^jJL-/»;
—
gation est remplacée par un
14^
^_o--*-^
b""
r'.s/yo//',
:
c-^j-^ Icincé,
Dans
(J-^'--
c-''!;-^
,^<^-2>;
—
participe passif de la
^_^
IS*'
(J-'^-^),
appelé,
la lettre faible
71
!>
tanouine passe au falKa précédent
le
^JLJ^ bonne direction^ ^_>>.v»w»
UX
CTUl-
.
devant porter un tanoiiine
final
!•
de Ja 6^ forme font de même ^jlî y y n if .it m ^ y ^ ' f
la 5® et
de
—
lettre
jezmée
:
^j^
seau,
par ^,
le
^^
^»-^
course.
se changerait en
\
:
U-^o-j;
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^^
92.— Formes du verbe défectueux Imparfait.
Impératiï.
Participe.
Infinitif.
75
.-^jd). Parfait.
VOIX ACTIVK (10» y/
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93. ^9
(120)
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^
f
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1.
^cf
y
>
yy ^,i.
Ce tableau sapplique aux formes dérivées de tous
verbes défectueux, quelle que
les
soit
leur l'o forme. 2.
Nous croyons
compte que l'impératif, 3.
^
le
^
iûulile
d'indiquer quelle est
forme régulière,
d'amma
il
sul'fit
de
à l'imparfait,
se !
La 90 forme, usitée dans quelques verbes défectueux par ^, ne contracte pas
i.
e.\yjt\\
lendrc i(
wnjezzme à
un lànouine aux participes.
en ^, Lé premier * se maintient,
f .^
la
devrait porter un fallia au parfait, un
y
,
f
^
,y^y-^, sabslerur. Rac.
ie ,
second se change en y y
**-«>.
^
:
les
de ux
^y-s.s\ ,^y-e.^^ i?-^' "
'
y
GRAMMAIRE ARABE
76
VERBES A PLUSIEURS IRRÉGULARITÉS
— Dans
94.
même
verbes arabes, une
les
racine peut renfermer
plusieurs causes d'irrégularité. Ainsi le verbe ^-^j
mençant
et finissant
par une lettre faible, est à la
^l
payé, com-
et
fois assimilé et défec-
tueux.
La conjugaison de on connaît bien
les règles étudiées
précédemment;
compte des modifications exigées par '^
de la racine
:
suffit
de tenir
double ou triple irrégularité
la
.
/»
il
^^
^\
,
Cependant
il
quand
:
^-â-j
:
difficulté
-J^ suivra les règles des verbes assimilés et des
I
verbes défectueux
Imparfait
aucune
ces verbes ne présente
'^^
^
\
paiera (d*àprès J->^j,
®^
J-^.
les verbes concaves- défectueux,
^ ^^
^"0' ^"^J^^^
comme ^^-^ H
a
rôti,
ne suivent que les règles des verbes défectueux.
Les verbes à plusieurs irrégularités comprennent
:
1^
Les verbes sourds qui sont encore hamzés ou
assimilés',
2°
Les verbes bamzés qui ont une
:
hamzés-défectueux, assimilés-hamzés 3^
Les verbes à deux
lettres faibles
lettre faible
hamzés- concaves,
;
:
assimilés- défectueux, concaves-
défectueux.
Les verbes hamzés à deux
4^
défectueux, assimilés-hamzés- défectueux
1.
N.B.
La
l"'®
plur.)
—
Dans
les
colonne donne
tableaux suivants
parfait
le
(l''^
faibles
lettres
:
hamzés-concaves-
(1).
:
pers. sing.,3e mas. et fém.
sing., 3°
mas. duel, 3« mas.
;
La 2e colonne donne Vimparfait plur.)
(l'« pers. sing., 2^ pers.
fém. sing., 2o duel, 2o mas. et fém.
;
La 3° colonne donne Vimpératif en entier,
La 4^ colonne donne sing.
du parfait
Avec
les
j ai destine
même
-qX
le
participe actif. La voix passive est indiquée par
de Vimparfait et par
doit être
la 3^ pers.
;
on formera
:
C-v^\
,v_-».^<—
>LS
(j^^jj^—
d'après
et
^LSj^',
mas.
participe passif.
personnes indiquées, on peut facilement former celles qui manquent; d'après
on formera, à l'imparfait, <^j)y.i
^^^_Sl_S,
le
^\
^\
,l_<L--^\ ,^ù—a^-^\ ,|J^^n—
«^j^.
d'après
^y3 y3^
(^
)^
\
ou ^^j.^>^y^\
CX-^\
,^-j_-^\. ue el
^L->_^,
^^^^—^Lj. L'étbde des verbes suivants ne
abordée que lorsqu'on a une connaissance parfaite des verbes irréguliers qui précèdent.
VERBES A PLUSIEURS IRREGULARITES
—
95.
Verbes hamzés-sourds
:0s
Imparfait.
Parfait.
désire)',
1
»
I
ù
77
!
accabler.
Impératif.
Participe.
U'
4^'''
I
Voix passive
CI
c)->-?-5-'
JJ
CTH u
c)
—
!5t
i A
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Parfait.
1
^ ^ V ^ ••
d
96.
«M
-i j1
cr.;^
1
^^^ O^
Imparfait.
-»
A
:
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J—
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u
1
J)
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Si)
,
^i^}-'
c)^^!
Impératif.
,^
''
xc
f
ctHj^
Verbes assimilés-sourds
w
t
d:
?t
* .
/*
4^'
aimer.
Participe.
j
."^
Voix passive.
y o y
—
97.
Verbes hamzés-concaves
Parfait. .
Imparfait
:
^^
'
.
lc3y
Impératif.
endommager. Participe.
ci
Voix passive.
U\ -^à
U!
*
-^
^5 ff
^J-
U'
-w^J.
i ^
GRAMMAIRE ARABE ïLa^^LA-a^j venir.
Imparfait.
Parfait.
Impératif.
Participe.
i
^
(f.
s.5-^ y
.L4
êUa.
<L^_>La.)
s.
^T
Voix passive.
* I
.Çs.
1
—
jj UCîi^
e;
^ i ^
Ainsi se conjuguent Imparfait 3® p. m. sing.
m.
_^_*o,
D.
S. iUu-j,
Participe actif, êLi..
98.
p. S.
Participe passif
S.
Ld,,
f.
:
^Lù,.
.^-_.
^JM uemV.
:
Impératif.
Imparfait.
^^-*»*^.
Imparfait, 3® p. m.
^.
c..^
— Verbes hamzés- défectueux
Parfait. -"
1»''
tj^jLAo. Impératif sing. m.,
P.
ji:£LJuj,
1^^ p.
Participe actif, êL^o. Participe passif,
Parfait,
:
Parfait
:
D. jl^*-^, P. ^jjj-*«-j. Impératif,
^**»-j,
_j^_^.
f.
vouloir
îLi^
S.
:
du mal
^'ww faire
:
Participe.
fc
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^
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(Ir::/^'
Voix passive.
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^
c^y
c^
Le verbe ^]j voir se conjugue au parfait sur ^^j c f y '^z' y^ y cf/ ^^j, Jî^^, ^'. ^J> ^j^j' ^ Vimparfait, il perd ordinairement :
y *
hamza de
la
racine
:
^j
1,
y
cy
.
^^
^-j^*,
:
j
OU
ij,
^j,
Uj,
l^j,
yy
^^^
r)^^*> y
pératif
)j,
.
,
^^.
y
c
y ^
J-?^'
y
t,
y
^^^
c^.>^''*
le
;
VERBES A
—
99 Parfait.
PLLSIEl'llS
1
KKECilJLAIUTES
Verbes assimilés-liamzés Imparfait.
79
j j cffraiicr '
:
I
Impératif.
'V
Participe.
Voix passive.
)^^
rV y^ t'
V
^jj^j
A
*^-i?j
fouler aux pieds. (Voir page 56
Imparfait.
Parfait.
:
Impératif.
Exceptions.)
Participe.
Voix passive. c
"s-
\
u
^
i
''
''
'H
J
A
! ,
h
L-j «
.
Jsj-/»
mettre en ordre.
Imparfait.
Parfait.
i'
*
Impératif.
Participe. ".'
L
)
—J
»
a
X
Si/'
<.
Voix passive
O»-'.i
u
I
a
a-J a»
• 7
J^
/'Cf.
1
a a
«
! )
J—
)
l;
GRAMMAIRE ARABE
80
—
100.
Verbes assimilés- défectueux
Parfait.
^
c
w
^,
^Jj payer.
I
:
Impératif.
Imparfait.
Participe.
/
a
V^
-"-ri?
Voix passive.
^-^J
^i^ 7«
Vm.i
^-9
l^b Autres verbes
:
Jj
I
être proche
• C
(cheval)
/e 5«56o; 1^56
—
101.
J,
Imp.
Part.
-j.!j.
Imparfait.
A W
A—
y /"
/*
_
y
ç
"y
y
d^^j-^"'
.C^
deux
^ç f. ^JJ-^-' ^
/'
^
\
CoJ^ rdiir. Participe 1
t
yy
»
Voix passive
iJ2t;re
•
:£
^ ^
/' \
''
^
ç
^
^J-***^. c
i2
1
/
crij^l de deux manières.
se conjugue
ou bien
lettres faibles séparées,
è.
A
"
A
1
!_,_^!
CT-J"***"''
^-t-=^
verbes sourds
"
«^
'JJ-*-
Le verbe
,
v-5j-^'
r
^-^^j avoir
è.
^
r.
v^J-^
1^^
:
Impératif.
. Vt v3J-^'
-^-|!_?"^
A
/*
^t,
Verbes concaves-défectueux
y y
i,
Jlj;
rJ-;>,
:
/^
/*
^-^v^,
:
Parfait.
^
c^-^
u-^
les contracte à la
il
Il
garde
les
manière des
:
Parfait.
Impératif.
Imparfait.
Participe.
y
-0
^a.) ou 'y
(1)
^-a>|
^" '/y
/>
»is.
ou
y
LM
y
y
c
y
c
*>
y
y
^
y
y
c
Voix passive.
^
..
^
>>
,ws_a.
..
i,
y
V.
y
y t
y
y
y
j, £>
y
y ..
y
&
y c y c
^c
^>
y
i.
y
y
c
.
c
'J-ÏT
1.
L>La.\
propre
est
^^^y-^v-rs-r.
pour j^^J^-a.\. Le Yaliya {Jean).
^
se change en
\
après un autre
^,
excepté dans
le
nom
VEKBLS A PLUSIEURS IRRÉGULARITÉS 102.
— Verbes hamzés-concaves
Parfait.
défectueux
I
:
81
^j!
se vt-fugier.
Impératif.
Imparfait.
Participe.
v-r-^
-j^Lj'
Voix passive.
C^-:^-5
i.
"
'
'V-
'
1-
•
"
f
— Verbes assimilés-hamzés-défectueux
103.
Parfait
Imparfait.
•
i
v^'j piwnettre.
Impératif.
ï^l
ou
Participe.
!
Voix passive.
i
u-
—
104.
On
Verbes
défectifs.
appelle verbes défectifs ceux qui ne sont usités qu'à certains
modes ou
à certaines personnes.
Verbe négatif lière n"a
concave
que
ie
:
,r^*^-]
parfait
;
il
sa,
il
est pas.
— Ce verbe d'une forme particu-
conjugaison se rapproche de celle du verbe
:
Sing.
Duel.
l"p.
Pliir.
i-
'
)
m, 2« p.
(des
deux genres)
^' m. 3« p.
(l
J
GRAMMAIRE ARABE
82
Verbe de
possibilité
verbe est ordinairement invariable qu'ils réussissent.
nel,
Lorsque
prend après
il
possible,
--*«-c il est
:
ij-sr-^.
:
le sujet est
exprimé par un pronom person-
forme
^-*"-ft la
possible
^-***-^ il est
,!
— Ce
peut que...
se
il
affixe
I^-jL^J
:
.1
UoL»*_c
qu
il est
peut-être par tirez-vous tous deux.
Verbes de louange
^^-i
mauvais, sont employés à
qu'il est
masculin »bJi»a.lJ
\
et
féminin;
Verbes d'admiration.
U, J-^^
:
Jwpô._L:J
— La
vlLi
que tu
w-*«_a.l
Leur syntaxe
invariables.
Jw_a. cest
\
j-^_aw
un bon
que
ainsi
est bon,
élève.
v^j, ,,_>
J-^
\
>S\ L^ que Zéid est gêné'
]sX-i\
:
Les verbes d'admiration sont
beau.
es
quil
:
forme au parfait masculin singulier
4^
ou à l'impératif précédé de
U»,
I
1
I
marque Tadmiratio?! OU l étonnement reux,
au duel ou au pluriel
deux excellents hommes.
est toujours invariable
bon,
personne du singulier,
la 3^
est rare de les trouver
il
^-aJ ce sont
précédé de
— Les deux verbes ^.xJ
de blâme.
et
celle
des verbes qui précèdent
sera étudiée plus loin.
Verbes unipersonnels.
phénomènes de sujet le
mot
j:L^*«J)
.j:^,
h
la pluie aplu).,
!>
comme
nature
la
^Lô._v-
— Les verbes unipersonnels qui désignent les
ciel (fém.),
ou
^_Ja_^J
1
ou
il
comme ayant pour
a neige
^Zj^^^s
.^
Traduire de
Le verbe
français
il
:
/?«5
cause du phénomène
,^^-Li^,
il
a plu ou
/^ ciel
:
:
neigera.
On
^eui
verbe se met toujours au
sujet sous-entendu le
:
il
>j^\
grêle,
il
mot
pL^_w
très
faut marcher sur leurs traces; cette porte.
fait des éclairs,
J
faut se traduit:
c^^-sr-^
:
^3*-^.
»'
^-jL^-jl-j,
suivi
^^-^j
fréquemment l'expression
d'échappatoire): ^-^.CLw
absolument ouvrir
neige, prennent pour
« plu (m. à m.
et alors le
du subjonctif. On emploie encore (m. à m.
il
tonné.
f^l cl
même
7.1
ou ^JJu]
encore n'exprimer aucun sujet, féminin
pleut,
le substantif
.Jà_*
^AJJ
ç-\..^>..^j\
il
^L«J
!
J lJ.-a>
viJ-L».Jj*
-s^-^^
c^
»!
.a-j
"^
"^
J-j
^ il
V
?7 te
faut
^
VKHBES DEFKCTIKS Impératifs.
—
^ T ^ ^J_a«
8:{
.
viens,
veîiez,
est ordiiiaireincnt
invariable
el
s'emploie pour tous les genres et pour lous les nombres. c^L* donne se
coujugue
comme
l'impératif des verbes défectueux
La forme ordinaire de la
forme invariable
v^ij:>
attrape,
sJLjL>,
.JLî^,
l'impératif est assez souvent remplacée par
JL^s
^i,^ Y
:
:
j!3._=s.
prends garde,
n'attrape pas.
p'-j^.^ cnip/tckc,
GRAMMAIRE ARABE
84
DU NOM OU SUBSTANTIF
— Le substaatif se divise,
105.
d'après la forme, en primitif et en
dérivé.
Le
multiples
aJLS chien^
^
<jij>j^\jj&
substantif dérivé peut venir d'un verbe
'LcX^.^ réiimon^
ijj
Nous avons
.L-p
repaire de lions,
ou d'un autre substantif
de
A ^-^^
—
j
•]
:
retlnir.
lion.
participes actifs, participes passifs] nous n'y revien-
Les autres noms dérivés, noms de
ici.
araignée.
déjà vu dans la conjugaison les substantifs dérivés
infinitifs,
drons pas
formes en sont
ir'j-^ cheval,
pf'^d,
J-^j
renard^ ^-^jl^ coing
s.^.L3iJ'
appelés
les
:
V
Le
ne vient d'aucun autre;
substantif primitif
lieu,
nom
de temps,
diminutifs, etc., seront donnés en supplément après les pronoms, parce
que leur étude D'après
nom
est
d'une
substantif peut se diviser
le sens, le
160 et suiv.). en nom commun et en
moins immédiate
utilité
(§
propre.
Nom commun. 106.
— Le nom commun se définit comme en français, et s'applique
aux mêmes
Un
d)
êtres. Il
peut désigner
être seul de son espèce
:
.^r-ç-i^ soleil, ^9
h)
pion
Un
individu d'une espèce
:
:
> y
j^ lune fi^
J-=m homme,
;
y t
o-^»! lion,
99 y
;
99 y
c)
Un nom
d)
Une
abstrait
:
^
L^a.
99
^
sagesse, ^*«.=i. beauté', 99 c
Dans
c
collection d'individus
:
f,
^^
i.
y
^j-^^
peuple.
ce dernier cas le substantif s'appelle no7n collectif.
scor^
DU NOM
Nom 107.
—
Les noms
collectif.
^iw--9^
armée,
w-»-^
triôUy
Les autres s'appliquent à des objets
^
/«
servent à désigner une espèce
J-^
J-IJ fowmis^ ^\Jùi
j-ŒT^ arbres,
pommes,
Nom
abeilles.
d unité.
— Dans les noms collectifs de la seconde calégorie, pour dési-
stantifs ainsi
ï
au
formés s'appellent noms d'unité
iSi-t,^
un poisson
ïy-sr^
un
Remarques.
arbre,
iJUJ une fourmi
y
'L^\j^J
^
une espèce dont
les
^_;-s
moutons,
—
i-Lsr-»
^me
abeille.
'Lj-J:
une
paille.
de
nom
d'unité
individus ont déjà un
un chameau, ïUj
^Ju^ mouton,
—
J-r^ chevaux,
Les sub-
:
J-j! chameaux-, n. d^unité J-3-9-
—
collectif.
collectifs n'ont pas
de racine ou de forme différente
Collectif:
nom
:
une pomme,
— a) Quelques noms
lorsqu'ils s'appliquent à
b)
:
(vr-H de la paille'.
gner un individu de r espèce, on ajoute un
—
viultilude.
y
poissonSy
nom
s'ap-
:
j^-^^-jj-a.
et
Les uns
sortes.
une réunion ou un assemblage de parties homogènes
entière,
108.
deux
collectifs sont de
spécialement à une réunion (Vhommes
plicjiKMit
j»»
85
ij'j-^
brebis.
cheval.
Quelques autres substantifs s'emploient indifféremment pour dé99
signer un ou plusieurs êtres de la
même
'^.
i,
espèce, j-J!o
un oiseau
(vù
des oiseaux.
Nom 109. à
— Le nom
propre est celui qui ne convient qu'à une personne,
un animal ou à une chose
comme
J-.;^!
propre.
prise en particulier.
Ahmed, on composé aomma
}^\
ù^^
Il
peut être simple
Abd- Allah.
GRAMMAIRE ARABE
86
Les noms propres simples peuvent n'avoir ni forme ni signification précise ou êlre d'une origine étrangère à la langue arabe :
v_^.La^ Alep,
Otsman,
,L-JLc
jJux^ Jdfar.
y
Jacob,
y^J^x^
v
peuvent encore avoir
Ils
Bagdad
:)tj-i-j
à->
a..
^ Sibaou
forme d'un verbe à un mode personnel,
la
d'un substantif, d'un participe ou d'un adjectif. Dans ces trois derniers
noms propres prennent
cas, certains
l'article A*»
Yézid
accroîtra),
(il s
w X
:
-^
Mohammed
JUs.sr^
[glorifié).
JiJ>yt.
A-j
Zéid [accroissement)
;
b)
le
D'un substantif
d Abbas. ^Lo
[Invoquant c)
De
-y
*
"'.T
^^1 P<?r^
^^ Salah, ûiiLj
secours de Dieu)
le
mal sous son
aisselle)
:
s:
y c
y^. c y
Voyelle Certains
prennent pas \.
:
/r-L^c ^
^^-^
i
' Mostansir billah .
.
\j^t,
jLjU' Taabbat charran
[il
a pris
le
\
^^
finale
y
:
c^^^^>^.a. c
Eadramaut (provmce
y
^^-r^ Bethléem,
des noms propres simples.
noms propres simples prennent,
et d'autres
ne
tanouine.
le
Prennent
c
;
oXJLx_j Balbek,
—
y c ;> ._^.a-:i**4^
ys>
;
d) De deux mots inséparables
110.
jjj^ Baroun ar-Rachid
complément détermmatif
suivi d'un
toute une proposition
d'Arabie),
juste).
juste)\
/
y^/5
[le
:
D'uQ substantif et d'un adjectif: jw^^^Ji
[Haroun
[jugeant).
ar-Rachid
j>-.wi.J!
^
Les noms propres composés sont formés d)
H a kem
^-^L-^
Açadilion)y
j..wî
le tanouine.
—
forme d'un participe, d'un communs ou aux adjectifs
la
a)
Les noms propres d'hommes qui ont
infinitif
ou qui sont empruntés aux noms
:
S9
y
op
J'L:^ r Il
1°
Hakem
{juge),
faut excepter
Les
Ijj^_k_fi
n.
y
s^
/t
J_l Açad
{lion).
:
noms propres Ahrah,
o
J—a-s FacTel {excellence),
dérivés d'un substantif féminin de plus de trois lettres
d'homme {^^Ji^
ncorpio7î)\
:
DE L'ADJECTIF f
2" Les
noms propres de
3" Les
noms propres de femmes de
Odtam (^Lk_ï
^
t
j
f
la l'ormo. J>-<x-3
87
>
j-^} Zofar
-
forme JL-.^-» ou mieux JL-o_3
la
Les noms propres d'hommes de
la
c)
Les noms propres étrangers de
trois lettres,
est lettre de prolongation
—
^jJ
:
noms des
j.^
JL-ij3
—
±«5^9
III.
— Ne
le
Jl_s3
> y -X-JV_)
^Lx_w
ou
Son,
X
O
-v_c^
Dad
(femmes).
y.-i
le
tanouine
les
noms
propres qui ne rentrent
noms étrangère, d'hommos
villes
ou de pays
:
f y
.^oafl^
ly^^^
(femme),
— Tous
^ y
y
^«b
Yézid,
David,
.
.
y
i_^LLà Fatima.
^w
Damafi,
Tunis.
y
noms propres prennent employés comme noms communs les
le
tanouine quand
:
J»^
,
/'
c
.
^
^ ^. ^ .
^
jI^-JLw J-9yJi
Le genre, après
deuxième
classes précédentes; c'est-à-dire la plupart des
les
ou de femmes, de
sont
fai\
tanouine les
propres, qu'ils soient d'origine arabe ou d'origine
ils
,
la
,)(i
— jJ_j /?ear (lieux d Arabie). Koréichites, ^^jj.-*v — ^^ù.^ 5«ao?/.ç (tribus).
HajeVy
prennent pas
Remarque.
quand
—
->
j.^ —
:^fi_*_^
:
Hind^
JuJLJ^
pas dans
^LL_«>
noms de femmes deuxième est jezmée, quelques noms de pays,
tribus arabes
ou
ju-jfc
J-L/^
forme
Noé, hyj Loth^ ^
Prennent ou ne prennent pas
de trois lettres quand la et les
:
ôpcrvier).
b)
II.
Uon)\
(^:
nombre
le
Ij-»
et la
Cet
homme
est
un Salomon.
déclinaison du substantif seront étudiés
l'adjoctif.
DE L'ADJECTIF 111. ^im'ple^'y
— L'adjectif sert l""
à qualifier.
Nous
traiterons
:
1° des adjectifs
des adjectifs d' intensité \'^'' des adjectifs de co\tlpur\
comparatifs
et
dos superlatifs-,
5*^
des adjectifs relatifs.
4*^
des
r
GRAMMAIRE ARABE
88
Adjectifs simples.
—
112.
Les formes de Fadjectif simple sont assez nombreuses;
voici quelques exemples de celles qu'on rencontre le plus fréquem-
ment
:
-OC/" de
s.j^_xw^ difficile y
beau
^-*«-a.
— —
y
^jj--^ triste y
grand,
:5^_jLJ
ingrat^
y
o A
^j^_;
S
i
— repentant, —
^L^aJ
;
A
le
J_^-^-3.
^A-j
J bi-^^. ^
—
b)
§120
féminin de ces adjectifs
—
sc-s.
J
y
Remarques. ment un sens
—
J-j^
s\jS.^ ivre.
(Voir pour
J-^^à.
/*
j>
—
j-j.-^
^
forme /*
pour le pluriel §135.)
_j>^_^ 6/essé, J_^a^j envoyé, apôtre.
:
Ceux des formes
dément, au lieu que
c
Les adjectifs des formes J«.^^_â et J^_>sa_â ont fréquem-
a)
passif
et
.1
»bIi_^J.
indiquent un état transitoire
,jj\L^»a_9 et jjj\Lxo_â
l'adjectif
de
même
racine ^.^_i»-j
marque un
oU^j
:
état habituel,
miséricordieux. c)
^jS
Certains substantifs
comme
sont employés
adjectifs
:
Jj^-u justice
et juste,
générosité et généreux.
Adjectifs d'intensité.
— Les adjectifs qui prennent un chadda sur
113. cale,
un
y préfixe,
ou
la
terminaison
défaut à un degré très élevé
'i
la
deuxième
indiquent une qualité ou un
:
j>^
s^^^ -*''«*
grand menteur , àQ .
;
.
^^_jj._^ très véndique.,
à.;>j5_û
très savant,
Iv
— —
jJs.J';
y y
forme
_ •
JL.ûJ.
y
^^Jws^; >y
A
radi-
*-J-c
;
-
''
I/ADJECTIF
1)1-
pour
(Voir, pluriel,
i^"
—
brlliqueïtx^
_,l^_:sr-^
130
<^_L^_3.
—
^>«l_cv;
féminin de ces adjectifs,
lo
forme
AoXsr-^;
de
'iSs:^^ très j'iew\
89
120
^^
cl
JL^-a-fl-^.
i^l
121), et pour
le
d.)
Adjectifs de couleur. 114.
—
adjectifs indiquant les couleurs et la plupart de
Les
>
ceux ^
*
'-
qui désignent des particularités physiqties sont de la forme J-^Jl,
...
*
caractérisée par
lanouine
un
devant
!
ne prennent jamais
racine. Ils
la
:
>>
c
/'
*
jJu^ jaune,
bleu,
1
_jj^rv
j^-ci borgne,
bossu.
t
pour
(Voir,
le
le
féminin de ces adjectifs,
riel,^135,5o.)^^^^
,^
^-^-^
120, H,
pour
a) et
/W
^|^L^
aveugle.
^
le
plu-
\JL^
Comparatifs et superlatifs.
—
115. Comparatifs.
comme
les adjectifs
'.
Les comparatifs sont de
précédents. Pour former
le
^
"-^
forme J-^oJ!
la
comparatif
il
faut tout
d'abord débarrasser l'adjectif des lettres serviles ajoutées à la racine, à laquelle
on donne ensuite
la
forme
J-^voJ
\
:
-»
JLc savant
r
\^-sl^
y
miséricordieux,
Rac.
A
—
\
Gomp.
*_l-s;
r
c
f
*JLc! plus savant
^-û_i
j
/?/«<s
!
miséri-
cordieux. ,^i
.
à
-^
léger,
I
v.^_j^! poli,
,_A_i
A
riche,
JU;
J-j^jJî long.
Remarque. ^_jM
—
;:_£
On
voit parles
(pour v1jV\V page
iO,
II.
exemples 10"),
J.
fpour
;;/2/5
riche.
-
iJ..\ (pour L-â-i-^\, 1
1
^-i-iV page
pa{3'^
4:-'.,
69, H. 5°)
H. 2«).
que
les
GRAMMAIRE ARABE
90
règles des verbes sourds, des verbes hamzés et des verbes défectueux trouvent
leur application.
On
J^l
au contraire, par
voit,
qu'on n'applique pas
ici
les règles
des verbes concaves. (Page 62, R. 13°.)
Les participes des formes dérivées
et
du verbe quadrilittère ne
sauraient avoir de comparatif parce qu'ils ne peuvent prendre la forme J_^2_3
Il
!.
même
en est de
des adjectifs de couleur qui ont déjà cette
forme.
Pour exprimer ces
emploie un des comparatifs
j-^
^^Ju.\
:
plus intense, yJiS\ plus nombreux,
meilleur, jJio pire^ ou tout autre comparatif analogue que
du nom de qualité mis à
suivre
fait
une idée de comparaison, on
adjectifs avec
l'accusatif. Ainsi,
plus blanc^ on tournera -.plus intense en blancheur
Comp.
\
LiLl_j
— —
^A-;^.) bossu,
^^^jlj» humble,
(1).
à_Jj._:s.
J._io
\jx^^
plus blanc.
JJ:,!
plllS boSSU.
)
.JS\ plus humble.
Pour traduiremoms on emploie la même tournure avec ^ yt
L^J_c J.J
!
latif relatif
homme En
moins savant [mohidre en
:
homme
est le
moindre
:
de superlatifs
plus savant, et
le
:
le
super-
superlatif absolu
:
cet
est très savant.
arabe,
on met
cet
J-?!
science).
— Superlatifs. — H y a deux sortes
116.
pour traduire
.^.••w<^*
-'/'C*,. ^-.-j blanc,
y/ c
Ton
comme en
l'article
devant ^ y
Comp.
i,
français,
le
pour exprimer
comparatif
:
t
^-Ui plus savant', Sup. y/
—
y y
y
-£,
superlatif relatif
le
"t
L_^l_._j j-J^
!
plus blanc
\
^i^bJ
le
plus savant.
le
plus blanc»
^ y'tct
y y
//
—
I
L^L-j j^J-^
!
Pour exprimer le superlatif absolu, on peut employer les adjectifs d'intensité quand ils sont usités, ou bien ajouter à l'adjectif simple mots
l'un des
\ù^^, \y-JJi y
-^ "
beaucoup
:
1.
pour
le pluriel, §
130
Celte tournure n'est pas
,J.wo-ô\
:
iJ-:^.
y
(Voir, pour le féminin du comparatif et et,
ou
L^ji-c
y
e),
rare
132
b) et
du
^Lc \
très savant.
^
superlatif, §
120,
II, b),
135, 15^)
avec des adjectifs qui
pourraient se mettre
L-^^Jl-a y^XJ^\, au lieu de ^J^fil, plus savant.
à
îa
forme
•
.
i/ADJincTir
ni-
Adjectif 117.
—
L'adjectif relatif
91
relatif.
marque un
rapport.
adjectifs français dérivés de substantifs tels
sien qui tirent leur origine des
mots
:
terre,
qno
correspond à nos
Il
terrestre,
marin ^juiri-
mer, Paris.
L'adjectif relatif est caractérisé en arabe par la terminaison
que
l'on ajoute à la lin
,joy
du mot
^-7
:
terre,
^jJ:.^ orient,
^-^J'
^^''^^^^^^'^^
^3 jJ:.^
oriental.
J9
Christ, .^r-T*^ 0//n5^,
^^ac-rr**^ chrétien. ^^-:r**
Jj_;wo de sandal^qid a rapport
Jj-;.wo sandal,
au sandal Remarques. à la
le ï ii
^.
—
b)
des mots
fin
ft-3^
— a) On supprime ,-w^J
:
\
devant
l'article
les
noms propres
,jl«.w^ Chinois; Lq-..
Chine,
(1).
q
^
et
vérité^
véritable.
.
Dans
les
mots de
par un kesra, on
le
trois lettres,
si
la
deuxième radicale
remplace par un fatKa
:
^iXL»
roi,
mue
est
^_x.L> royal;
^-^ foie, cô.^ hépatique c)
Les mots de
la
forme
<LL^^
sourde ou défectueuse perdent
rf)
V a quelques exceptions
On conserve
le
^,
le
hamza
—
i^^
:
final
-Ja
deuxième radicale prend
et leur
,_jJ^ citadin;
\ix\fatKa\ LjljJ^ ville , Il
qui ne proviennent pas d une racine
nature.,
quand
^l^,
^j-i^y-=^
il
^j}-^
insulaire.
^—Jh naturel.
appartient à la racine
:
'A
».i
ascète (K. \jJ), ^-^K-^ ascétique.
On
le
^j]jS^
vierge,
On faible
change en j quand
le
:
1. ("esl ainsi
(p.
«lii'il
est caractéristique
du féminin
:
ï^Kj^
virginal.
maintient ou on
t'U^
il
.U-w)
le
change en j quand
ciel,
^JL^
ou
il
Sr-^^
faut traduire les adjectifs dniil nous ne
remplace une céleste.
donnons pas
la liadiiclinn
lettre
GRAMMAIRE ARABE
92
Quand un mot de
e)
ment
\ oy elle fa th a
la
^jj-s
village, iw-sr-^
/)
change en
celle-ci se
^),
{j,
salut
Dans
y
les
jeune nomme,
^---i prophète
j^c ennemi, ^jA^
;
mots de quatre
7.
^
.
litige^
^^
|<.
^jsiji
(p.
hostile;
juvénile-, (2)
yJ
'Li
prophétique;
serpent^ ^j_,a..
L..-cw
peut encore "
:
5^ y
^^
^^^
c y
^jj_c^ ou ^j-&^ contentieux.
On supprime
g)
^j-^
L_J^ monde, Jcj-^:) ou "^ ^ 1^.,... i-^''i'' .^Ls) juge, ^j.^L3 ou .^\3 judiciaire;
M
y o y
prend ordinaire-
lettre
^j-^j
^
lettre faible
lettres, la lettre faible finale
changer en j ou se supprimer
mon aain;
deuxième
j, et la
^3
:
villageois;
^j-=^
terminé par une
trois lettres (1) est
,
du mot
"^
5S
France,
L*«-j^-9
:
toujours la lettre faible quand
y'-y
y^
*m-3^.9
cinquième
elle est la
y^ Français (vulg. .^jL*»-j»J) y
<^
,
^ ^
"-
y c
.c
Lj, JwlXw!
;
Alexandrie, ^.JljJIw! Alexandrin. y
h)
B.
Les mots de deux
lettres
-.,,,.
la lettre faible disparue ^
frère,
^^fy ^^^ fraternel; h.^
reprennent pour former
-*-*'?
^i
:
J'y
sj>
j,.i\)
(p.
^
y''
jy y y
y
^
J>J>
J>j>
y
^
paternel; ^^ (p.j_à.!),
i
yy
{2
JS y
^
yy
i,
y
^yj>:> sanguin; j-j (p. ^J^^)
(p. ^-j»^) 5â;n^,
^:5
^jj
père,
l'adjectif relatif
*
/'
'
y y
"
^
..
••
main, ^j^-;> manuel, "
i)
y
Les mots qui ont reçu un
faible disparue
I
peuvent former directement
...
yy
prendre d abord la forme primitive
.^^c*
y y
''^
^j-ç-w nominal; c^-à.!
"y
j)
1.
:
jj'yy'^ ij<._à.l)
(p.
yy
^»*oi
^
^
(p.
c^
-S3
5œ«/r,
l'adjectif relatif,
c
_x-â.'
la
quantité
\
La terminaison ^-JL
Y compris
les
v^
lettre
ou
^
y y
re-
c
j-^^) nom^ ^-^-'i ou
-5Sx* ou ^^-à.!. ••
''
•
Certains adjectifs relatifs sont dérivés d'adverbes
-^ relatif a y^)
en compensation de la
initial
T comment,
^J
i£ combien,
^qualificatif.
se rencontreprincipalement
mots qui portent un chadda sur cette 3'
:
dans
lettre; le ï, se
le
langage
supprimant, ne
compte pas. 2. Cet
exemple
et les suivants
montrent que
la lettre faible
troisième du mot, et qu'elle se dédouble quand, portant le
mots de
la
forme
A
^_â,
la lettre
grammaire, ^_^_sr-' grammairien
faible
se
maintient
perd
chadda, :
j^_^—-Ji
le
chadda quand
elle est la
elle est la
deuxième. Dans les
gazelle, ^^-^^-^Jà
—
,
DU GKNHK philosophique ou IhéologKjuo corps,
rv
corporel
:
—
^La>.jj
esprit,
^^j
spirituel:, j,.
(1).
Du nom 118.
<»;{
Mis au féminin,
abstrait.
l'afljectif relatif
peut ôlre employé sub-
slantivement pour exprimer Tidée abstraite de Tobjet; tandis que substantif primitif désigne l'objet concret lui
-w^
—
i
"
à
I
divinitéf
de
S
manière.
—
y "
Ljj-^
servitude,
môme
:
,.,^1 divin,
..i
\^
—
^
"
iJ
^ relatif à la manière
\
Dieu.
comment.
'
CX...J:,
le
d esclave,
esclave.
DU GENRE
—
119.
Il
y a deux genres en arabes
:
le
masculin
et le
féminin. Dans
grammaires on parle aussi du genre commun; il ne faudrait pas croire que c'est un genre particulier comme le neutre grec ou latin
les
:
on appelle noms du genre commun en arabe, tous ceux que l'on peut à volonté considérer comme appartenant au genre masculin ou au genre féminin.
Formation du féminin.
— Substantifs et adjectifs avec tanouine;
I.
— Les substantifs et adjectifs dont la dernière lettre porte
120.
tanouine forment leur féminin en ajoutant
masculin 1.
Voici des
,J^
-tt
i
exemples d'adjectifs
relatifs tirés
{gloire de la religion), on forme
second mot. De
-
-_sr*;
-«.JU«;xJ\ j>-x
^
tiré
-v.
ou
^j.
^
j^^j-Jl-^ô-s
Abd-ech-cJœms [adorateur du
des deux mots abrégés et réunis. De
chacun des deux mots composants.
/•
•
soleil), c 4a_=fc.
O^'O—
-^ ou ^^_j_^-><>; l'adjectif est
de
:
l'adjectif est lire
C
,^_y^y~^j
[un ta marbouta) au
de substantifs composes
- lt ^_>\ Abou H-Fad'tl (père de Fad'ei), on forme
l'adjectif est
L
un
:
Fakhr eddin De
féminin par ï^.
tiré
de
[oui
;
du premier mot.
l'adjectif est lire
du
on forme
Hadramaul, ou forme le
mot composr ou de
,
.
.
GRAMMAIRE ARABE
94
._)
i
fils ,
1
^ y
JU
j>/y
j^^
;
\,
^
J>j>y
\
y
c
'L^AS ch ienne
y
..
j>j>
j^
y c ^
—
^ qu*ils avaient perdu
y^\^
1^^)
(p.
^.Xwùx-xo (p.
^
LiUjJ
,^j_JC_-ti»».^)
\
(Page 70, R. 10°)
k..^\^
pleurant,
achetant,
Les participes passifs des mêmes verbes changent le en
repentante.
:
(f.).
d^y-l^^Su^^.
et les substantifs
^£
terminés par
:
^
^
j^_5JC»i (p.
c
sava?ite.
Les participes actifs des verbes défectueux reprennent, pour
former le féminin, le
^
y
.
f x
j>>
frappe, 'Lijj.^^ frappée; ^Oj^J repentant^
Remarques.
y
'L^L&
^Jl-c savant ^
"6
^
JU chien
j>j>
j^,^ grande
grande
^ cy j^ ^^jj.xcifi
fille
1
"
*}
jeune homme,
jj'..Ji_s
(p.
^
'
^L-wLi)(l) jeune
fille.
>
^^-X-.«;:w« (p.
— Adjectifs sans
II.
Les
j^ w-»_-iï.^>«) acheté,
y
;
^ -^ c ^ »^-..^9.
*''t
de la forme J-^ûJI ou J'
(§
et
par ^-1.
et
:é\-^
ne porte pas
achetée.
tanouine sont
le
Nous avons vu également que
la
(.1
J-^^a-Ji
114) a)
y
<3cj>^j_-»^-«x<-.>o)
taaouiue féminin par
adjectifs dont la dernière lettre y
forme
ï\ w..-^-ù>w« (p.
s'applique aux adjectifs de couleurs
aux comparatifs
Féminin par
J\.
(§
ou de difformités
115).
— Les adjectifs de
^
la
forme
y
i.i.
qui indiquent
J-..wa_M
^ o
y
ou quelque particularité physique font au féminin ibLIaJ. Pour former ce féminin, on retranche Valif initial, on donne un fatKa
la couleur
à la première radicale,
je zme à la deuxième et
un
troisième la terminaison i.\^ -f
o
f-
,y
,
'^
y
iLiwo;
^ y c "^ ^^-ç-a.j rouge.,
il^-^a.;
Remarque.
—
<-
y o
^
y
y
1.
iLL^-c.
i*^
"^
^\
sourd,
i^r-^. iM
(,^-<»-ft\
est
Féminin par ^jL-
quant
f-
,c-v-^' aveugle,
mis pour
^^^-«^-*\
'L^Jli, pour f,J„^\, :éL.i->«_^ (Page 43, Règle b)
à la
:
jJu^^\ jau7ie,
.y
Ton ajoute
le superlatif font
—
(Page 69.
Règle
5°)
Les
adjectifs de la
au féminin
fC
^»wo\,
2°).
> a)
et
^L^. On
D'après la Règle l» des verbes concaves, voir page 60.
forme procède
^
«-
*
J-^!
mar-
comme pour
.
DU GENRE de couleur, avec ccLlo diirérenco qu'on donne un
les adjectifs
à la première radicale
^ _^
son
j
1
^-jL^^
Remarque.
!
—
le
plus (jrand^
le
plus
(^jL-à*\ (p. c-ft—Â-à-\), f
^
plus léger;
^^
change ^1 en ^) »_\_w
il A.
On
voit
de la
l""^
2)/<;s
">
la
plus (jrundc.
!
la
plus petite
-L (p. ^^
forme
.
t
:
f
p/ws légère.
c r
,^^_-^^)
(p.
(1), /9/w.s ?;*7e.
X
/*
»bL.^:^ font
au féminin
.^
AZcJi (on
:
2W^,
c^-x_w
^
altéré,
;';>
h
r.
»Lw/;a_c irrité,
;
^;a_&.
ij-^^ (P- <j'-^) P^^^^y v5-^-
;
diffère
du précédent que par
Certains adjectifs de la forme les
premiers quand
ils
^y^^
la voyelle
les adjectifs
d
et
J_^w^^ sont des
ont la signification d'un participe
actif et les seconds, celle d'un participe passif.
Sont encore des deux
intensité qui ont le préfixe
>
ou
la
terminai-
^(§113).
son'» »f
i. .-L),
radicale.
deux genres, genres
à
o f
L>^>
ui/;
que ce féminin ne
—
121.
h,
à /
^^>\},
(p.
adjectifs de la
»i
\
:
^
Les
w.>w5D
^^JL^J
'petit ^
//Ci'
es
,^^>\
6)
troisième la terminai-
la
Les règles des verbes sourds et des verbes défectueux trouvent
leur application
ici
qu'on ajoute k
el
damma
:
j,^
encore
95
f y
\S-^
\y^-^ patient(e)^
JL^Li-^
J-j-jcJ tué[e),
recon7taissant[é)^
très
généreux
(se) f
^y-^
blessé[e),
'i^^Lc très savant(e).
D'autres adjectifs qui ne peuvent convenir qu'à des êtres féminin»
conservent
la
forme du masculin, ou n'ont que
^^JLI? répudiée^
1.
Le
^
se
change en
\
J-^Lis.
ou
apros un autre
ment pour désigner ce monde,
la
forme du féminin
,JL-s. enceinte (forme
^^
;
L-v_i.> est très
:
-JL-o-s).
souvent employé substantive-
la vie méprisable, par opposition à ;t..à>N\
la vie future.
GRAMMAIRE ARABE
96
122.
— L'arabe peut avoir, comme
ment
différents
pour désigner
J-9.J
homme^
ï\j-A [\)
j,Jj enfant^
les
le français,
deux genres dans
femme;
vJU^-^f fille
des mots complète-
s^! père^
>ji_£.
\
>!
garçon^
J._.jj_=^
jL*-a. «ne, o
j>^
lo'-'-''
^
j>s
J u'"-^-'
bouc, '^^'''''
chamelle:
«^î^^^e;
^
jument.
'Lsr^ orems.
mouton^
^9 y
c y
\.x-c
mère,
c
^^..h {2) cheval, j.js:^^
it-c--^
:
L)jL:x file. JU»
iJU
chameau^
animés
les êtres
chèvre;
J._^! //on,
i$":£^_J
lionne.
Genre des noms. 123.
—
Sont du genre masculin tous
noms
les
désignés dans les deux paragraphes suivants
qui ne
comme
sont pas
appartenant
au genre féminin ou aux deux genres.
Noms du 124.
genre féminin.
— Les noms peuvent appartenir au genre féminin en vertu de
la signification, de ]a fo7'me
ou de r usage.
I.— Sont féminins parla signification et les
noms communs
iLy-tLj Fatima,
b)
A
mère, cu-^-»
2.
ou
si
fille, ^^s:-^
\S^r^
:
^_j
Marie,
>_>»
jument.
d'îles,
de villes, de tribus ^^_A._/»^
Damas.
^t^
lémim.
Koréichites,
(3)
:
substantif précédé de
l'arliclc
Le mot j^yoli est fréquemment employé au féminin pour dire une jument. Cependant ces mêmes noms propres sont du genre masculin s'ils sont précédés de
l'aïlicic,
'à\l_^\ est en
s'écrit 6
3.
noms propres de femmes
irj-^ Chypre,
Egypte,
.ji^j Oran,
i:
a) les
qui désignent des êtres femelles
Les noms propres de provinces, .«.o-^
:
\
réalité
le
féminin de
>v_^\ homnie;
ce
»—«J\.
leur dernière lettre porte un tanouiue. Le
même nom
pourra donc être masculin ou féminin
suivant la voyelle finale qu'on lui donnera ^»X->masc., ^w\-> fém.
Bedr
(voir §
110,
11).
DU GENKF.
97 ^^''i
Les noms des parties doubles du corps
c) 99 y
99
j— main, )
pied,
^
9
99 c
/ j._cL
aj-^ tempe,
:
99
.
Les noms des venls
d)
^ y
v^^j
-*J'.
vent du sud,
-N
;
(1)
yc
y
99
joue, /3-5j-^ coude, ^^.-^--^^ sourcil',
^j-i pied est masculiu ou l'éminin (genre
99
«??/, ^j^^l, oreille^
^j-^
c
J.-9-j
Excepté
:
jj^-^ vent
:
Ni
commun). jj-}^ vent d'ouest,
d'est,
^ X
J L^
vent du nord.
e)
Les noms de Venfer
f)
Les noms
y ^ y y *_x>^_2^,
y ^r-^^,
99
^
^.
9
'^
y
—
,Jkj et de son feu ^-w»
.,
J-
collectifs qui n'ont pas de
signent des êtres privés de raison
^jjï
:
nom
d'unité
(§
moutons, J-j
1
108
a) et qui dé-
cham.eaux,
J-^
chevaux. II. 99 y y
99
—
Sont féminins par la forme
<^
^
y
99
miséricorde , 'iy^ij^
i-,5-=s.j
-M
y
noms terminés par
^
ou
iU^o III.
^
orgueil,
— Sont >•>
^jS
:>
(2)
:
les
féminins par l'usage
il^-sr-^ désert, -i^j-^^ rouge
(t.),
rv
:
:
9^
y
99
terre.
:
terminaisons
souvenir [^. jS :>), ^j-^-i bonne nouvelle (K.^A^j
c£
UPj'
^
jardin.
île, L;-=^
ajoutées à la racine
ii
^
Les substantifs ou adjectifs singuliers qui ont
h)
^1
99/
^
a) les
:
y
%.
^\J
utérus,
verre, co
99
derrière
ventre.
vent.
,
y
vipère.
dent.
sel (3).
C 99
^ 99 C ^
y
<.
puits,
âme.
soleil.
y 99 ^ y
99 c y
99(,
1^
hyènCy
guerre, y
•
semelle.
J y
99
prosodie.
vin.
feu.
99 \ y
seau, 99
LA-fl-c
bâton,
^ 99 A y <
y
^U
maison.
1.
A>-'w**-^ zéphyr est masculia.
2.
Excepté naturellement lorsqu'il •
.
•
hache.
s'agit d'êtres
du sexe masculin, comme <*^-i—.^-L.^- khalife,
•
ou des adjectifs d'intensité, à.-yà^s. très savant. 3.
On trouve
quelquefois les
^pJl-^ sel, employés
comme
mots
i^
>r-^» guerre,
substantifs masculins.
s\>
maison,
yJ>
sean^
<r^.J
vent,
.
GRAMMAIRE ARABE
98
Noms
—
125.
On
Les
b)
Les noms
iL.^Jli'
féminin est préférable).
un
collectifs qui ont
y^^S
étant du genre masculin ou
:
lettres de l'alphabet (le
ou
(genre commun).
nom
d'unité
(§
108)
^
^
:
(*^r^ ^^ nombreux pigeons.
Plusieurs substantifs signifiant chemin: ^y^jJs,
c) //
comme
peut considérer
du genre féminin à)
des deux genres
//
^
^
^
J-^w^-*-^ ^
—
i!j
,;
^
^j--» voie droite^ ySj-^ voyage nocturne.
formes Jj~^^ ou
d) Plusieurs adjectifs des
d'intensité dont
il
a été question
Les noms suivants
e)
J--j_^^3 et les adjectifs
précédemment
(§
121).
:
^ c y
fis
^jJu:.
ia-ji aisselle. 99
<
scorpion.
paix.
C?
^.^XJU barque,
lièvre, fij)"^,
^
échelle. e^
Lii nuque.
Ô-?'**'
marché.
iJ-9
>^
ciel.
doigt.
M \m\«
fif
JLci. état.
^JLxJ' renard.
AJ
•
/
marmite. arc
M> a>-9
/"
OjH' boutique.
tLU Sf
r,j^ cuirasse.
j:^_^-^Jsjlc
<,c,
•
navire.
araignée. y/
^^w_5Lw couteau.
langue.
A
,3-**:^ rasoir.
s.^lJLx aigle.
DU NOMBRE 126.
— La langue arabe a
une seule chose,
le
signe trois et plus.
trois
nombres
:
le singulier
duel ({m en désigne deux, et
qui désigne
le pluriel,
qui en dé-
DU DUEL
Du —
127.
Pour former
duel.
noms on
duel des
le
99
ajoute au singulier la
désinence m^-^^
jjj
enfant,
tin
jw-^-T grande
— Elles
Remarques.
deux enfants.
r)'^-^j
r-rc-^
^
.
grands {tous deux)
sont motivées par
.
terminaisons du sub-
les.
stantif singulier.
Ta marbouta
—
i.
Xjli^x^\
mlle^
Hamza
Le
l\j-fi\
devient au duel un
i
femme
hamza final peut marque du féminin ou tenir lieu d'une a) Le hamza qui fait partie de la
^U\jJ;
-j]jj lecteur, {R. \jj);
chose,
IS— »»»
d'
iip^
en^: C2e/,
-^^
^ib, (p. %lgl g
M.
lettres
a
été
racine se maintient au duel
Iw^a-c (jwo-c)
:
^\^\
père
j^li la
et
A-^ {y^^j^) oncle,
7î^re
^ij_^_aw;
e/.
change euj
,^-
j_0 :^!jj
:
maintient ou se change
^
è''»''
^i''^
i''''
^U-w (p.jLs^)
;
oîi la
>A-i
VEuplirate
»ljwwa-c;
juge, (1);
(j^^-à)
jl3
^L.-^lJ;
^\
(^0
lendemain,
du singulier
est
l'Euphrate).
(
^i)
^î
jeune
Jf)
(
ffère,
/?ère,
jj|^î;
^ij,j-c.
un peu modifiée
oLa ^ oC'^oJl l'Orient et V Occident (0\»-aJ\
trois
au duel avec sa
elle reparaît
bâton,
signification
;
mot de
la lettre faible finale d'un
{^VJ)
lune (j—i-3 lune, m.) ie
\
mère {parents)
Autres exemples de duels
.-.ft_)\
-/
...
— «) Lorsque
jL~^;
le soleil et la
jtt^^^);
(p.
»Ul^j ou ^Iji^»
ma?i^e«w, ^
II) se
lettre faible se \
^b,)
homme, le
ji>^
:
j!^!^.^.
(f.),
modifiée ou supprimée,
forme primitive
^^LJ'\
lettre faible.
r)-^. part,
.^
ou ^Ijl
Lettre faible.
1.
rouge
Le hamza mis pour une
1^/
de la racine, être
4
vzer^e, ^jljljjj; c)
faire partie
Le hamza, marque du féminin (§124,
b)
ordinaire, 'Llj^^
^Lj*L_^i.
^
— Le
±..
d;
:
^jj\
.
-t^
K
\ \
(^^-.*iw« Orient)
;
GRAMMAIRE ARABE
100
Cependant duel
:
^1 j»j
mois
les
,^L^ JUJ^ ,^U:>, y
y
mot a reçu un
\
/•t, c
J>y y Sf
/*
.
tL^j_^i;
chose, ^^ sang, font
,^
y
initial,
ou un
y
W
'
jb-^^
en compensation de
'i
y
y y y
oc
y ^
^^ J>^
Jy
au -^^
-
la letlre
çr^\ (j-^^^)
:
-> j>j>c.-' cj>j>
aJU
^Ll^.^;
année,
(^_JL^)
»
y
forme directement du singulier
^s y ^»
y
ï_;._^
,-»
^b J^
y
faible disparue, le duel se
,
^ bouche,
plutôt que
,
y
Si le
main,
J-j
langue,
(^-*-^)
y y ^
ô)
Dans
mots de quatre
les
^j^'^ souvenir^
lettres le
^
^
change en
final se
(1)
:
••
jU vJ'i.
DU PLURIEL
—
128.
Il
y a deux sortes de pluriels en arabe
:
le pluriel
régulier
(masculin ou féminin) encore appelé pluriel sain qui se forme du sinlier
par l'addition de désinences, et
le pluriel irrégiilier
pluriel brisé ({WQ l'on obtient en intercalant faibles
j,
!,
^
dans
le
encore appelé
ou en supprimant
les lettres
corps du mot.
Pluriel régulier masculin. 129.
— On obtient
gulier la désinence
jjj—
^j>/',
^jJ Remarques. de
la
le pluriel
régulier masculin en ajoutant au sin-
*.
^
y
y
Jij-
y
.
^
y
\
y
joyeux, ^j-a.j-9; ^JL>© vertueux, ^^-sr-'Lyc.
—Le hamza final du singulier, devenant médiat par suite
terminaison ^jJL, prend
le
support qui
lui
convient d'après 'C
hamza placé dans le corps du mot y-i^^f-yyf,^ y y <^f y ^jj'^9; |j_:w^ commencé, .^jj-x.^.
règles du
^
teur,
1.
Le mot
0\ a >>>.w>o les deux côtés
de
(v.
page 48,
II)
:
les
y
^IjJ lec-
i.
la têle, dont le singulier,
s'il
était usité, serait
^jj^,
^j-JL-^_â
retraite,
fait excerplioû!^ ^otl^/ï^rN,.
Certains mois de
pïïis
reculade, (jj\j._Ji._.^â.
cfô'q^re \
lettres perdent au
duel
le
^
final
:
DU PLURIEL REGUr.IER MASCULLX Dans
mots qui viennent d'une racine défectueuse on
les
comme pour
formation du duel, la
la
La terminaison ^^j— amène
primée.
nous avons étudiées dans
Les noms propres d
^)
Les :
^ j^ joyeux,
nombreux.,
'lS
.^
«^
nommes non
forme
adjectifs de la
t
en
le pluriel régulier
«)
jww-sJ j
Ont
»_^_c^^;
,
quelques-uns de
^-^r^ merveilleux,
^
^
^ y
et les adjectifs ff ^ y
jj>
^jJsL-a.
(1)
:
/)
^
''
grand menteur
chrétien^
1.
/e
-,
"
y
"
'
'
clans
y ^ *j;l_-.-à.;
J>^
-Ci
i^'.
^ y
c
»^L^J
meilleur^
^^^_^^2-^
s y
LL-^
''y'
^ y
't-i''t
c
£c £
^-^^1
!4!;
/e
égyptien,
;«
'^
y
o
,^_j^^_yva-^ ; ^ y
^-s:-r^ *>
^
^
l'arabe
*—<ix_«—<
pi.
ou
la
terminaison
i$
(§
113) comme
énergique, ne s'emploient pas au pluriel. le
moderne, en prenant
Ottoman,
le préfixe ^
'' '^.
Les adjectifs relatifs qui indiquent
pluriel,
y
c
y
<^^_-gL43_i très intelligent, 2.
:
Les adjectifs d'intensité caractérisés par =
^
«.«^-r'**^ (2).
v^ "^
'
j^^-^^w^r-^;
»
y
£, .
forme
la
,^j!j._>.
^
y
c't-c's.
J_vi3_3 bîl
adjectifs relatifs y
:
<^^jj-.:^^ frappé,
y
boulanger^
</
Les
j"^/*
de la forme JL.vâJ indiquant la
^ y
s^y^^].
plus grand,
jL^
:
v^lJ.J'
;
^ y
Les superlatifs
e)
'
y
y
profession ou Vintensité
J^
y
,
»^jl_^;
^\^.^ frappant,
:
Les substantifs
y
^-••'
déterminés par i_^
y
tailleur^
,)
:
et
J...o_3
(
^
f y
^
ft— it.ia../*
s^j^^^JlS^.
c) Les participes J J c y y
d)
9.)
/'c/'^ IrlOîSC,
^-.wft—v*j
(
—
ensuite les modifications que
(Page 70. Règle
les verbes.
rétablit,
modifiée ou sup-
lettre faible
^z»^
f
^
130.
101
<^^^w^l_.o-^iLc.
rapport à une secte, à une dynastie forment leur la
finale
6
:
^_s^_-o
Sou fi,
pi.
c>wa_3^-.^;
GRAMMAIRE ARABE
102
Quelques substantifs
g)
jDj\
terre,
^\
^^-^-^
^j-^y'^
fils,
jj-^-
*JL_£
monde,
HjS
sphère,
j^JL»!;
oie,
^^^nee,
jjJ-^-c.
"-H-^ esclave,
r).^/->
J-2)! famille,
j^\
:
c)^jj^;
j^^-^Lc
j^^>(0
Pluriel régulier féminin. 131. lier la
— Le pluriel régulier féminin s'obtient
désinence
vji^ljl
^
^•>
a) Si le
LijLw
Quand
qu'au duel
finit
127)
(§
finit
désert^
Hma^
C^'ajl-».
au singulier par un
le pluriel
par un
on retranche
:
o.j
;
»,
c^bjj.
ro5e,
hamza on observe
mêmes
les
règles
:
isîLj lectrice, c^i^lj-?
^L-sr^
j^j-a^
;
c^LîjL^
voleuse,
mot
le
mot
pour former
cette lettre finale
b)
:
Marie, c^L^-s -^
—
Remarques.
en ajoutant au singu-
hamza
(le
radical est maintenu).
^«ms« marque du féminin
vj:^!jL_i-^ (le
se
change
le
hamza
enj). :^Ly.^
c^UL,
c/e/,
remplace une.lellre
On
c)
sans
'i
(c'est-à-dire
les fi^
faible, les
que
mêmes
la lettre faible
mois de plus de / y
trois lettres)
^» y y y
(^jj-^)
'i
règles qu'au duel lorsqu'un se termine par
une
yi,
^
il^j^
Voir la
liste
j>^
mot
lettre faible
reprend sa forme primitive dans
un
les
^ dans
:
y^ .Sj^'^ souvenir,
^yy ^9 c^ijWi;
.
excursion, ^j>.
p. 249.
mot
ce
deux formes sont permises).
suppression du
la
(comme dans
.
trois lettres, et qu'elle est toujours représentée par
ïVys.
d.
wJijL^
et
applique encore les
ou après
mots de
.
.
y yc ^
J^
^
[L^j-fi) lancée,
complète de ces substantifs dans
la
.
y
yt,
j»j>
x • ^,.
sjijLjj^^',
J
v^L-^^.
Grammaire du
P. Donat-Vernier,
t.
I,
,
DU PLURIEL RÉGULIER FÉMININ d) Certains
noms
103
d'origine étrangère terminés par
gulier la terminaison
vJl^lj
L^Lj pacna^
:
ajoutent au sin-
I
UI agha
C^1jL-J;,Lj;
{gé-
néral), sji^ijLii.
Dans
e?)
les
mots des formes
peut prendre au pluriel fatlia
L-^JL-i»
:
—
132.
Ont
voW-'^,
la
le pluriel régulier féminin
propres de femmes:
Lœt-Up
Le féminin des
6)
adjectifs assimilés, s^ y
Talh'a
en C-^i-l
130)
§
^^
contente^
y
c
y
^fi
y
^ y C^L^j^^-^ca-^;
i^jj-^:a^ frappée, /)/t/s
y
^^
^
^.yJà-xJi /a
j^
nouvelle,
Les
d)
yy
.
o
J^y
i.
^—
grande,
^
.
,JàjJ
c^U »_^; lettres
y
i
;
y
i,
de Talphabet y
Les noms de mois .
y
y
J»^
^ J^
y
j;
y
sjL^
6ow/«/i^ey'e, C^ijU-à..
iLjj-.o_/»
égyptienne, ^jiX^ ^^aj».
y y
j^
y
.
c
^^
^y-t^ bonne
:
y
:éL_s:-^ désert^ C^ljl^-ar-^.
,
J^
..±
C->L^Lû.
,
^ y
lj
:
alif,
\
^j^LiJ I. y
y
e)
en
superlatifs,
y
Les noms féminins terminés par i\^ ou
c)
Hind,
^
y y
le pluriel
'L^L£> savante
c^'-a-;^;
y
^
^^ y
jo-a>
participes,
Jl-^oJ,
noms
les
:
y
à_a.j-5
et tous
'i
masculin a
J-^^^-aJ,
;
c^LsH-^;
(h.),
adjectifs dont le
des formes J-^^,
(adjectifs
la voyelle
c^-L^JLt.
Les noms propres d'hommes terminés par
a)
deuxième radicale
T^ radicale ou
de la
la voyelle
ténèbreSy
ou DL^è,
J-^,
y
yy
.L^ca-P.
:
9S
Ramadan,
y
y y y
o^Li^^a-/»»
^^ ;
^ y ^
s y ^
Aj-^
Mo-
'
harrem, ^^Pj-sr^.
Les
/)
infinitifs
des formes dérivées
:
^jbjjû' définition, ^^LLi yxj\
v^^JULï vicissitudes, C-^LJLiLj.
employés comme substantifs
^) Certains participes
C-;LjwjLS h)
êtres-,
^^^JLd^
Les noms d unité
:
:
^{S étant,
crée, ,ji^L3jJ..àr^ créatures.
s^.j wne rose, sji^Ojj.
Les noms terminés par
dérivés d'une racine assimilée ou défec^^x y y y tueuse dont la lettre faible a disparu l-^^ (R. l^J) face, côté, i)
ï
:
J^
y
vO—v^j
^9 y
y
i-i-^ (R. ^^
y y
^^j)
y^
qualité,
^ ^9 y f
y
c^Lâ.^
;
y y y
LiJ (R.^^jU) langue
GRAMMAIRE ARABE
104
Quelques substantifs masculins
j)
animal^ C^lJij_-w:i.; A-)
^L^-a. bainy voUL^-ci.;
»L.^^
miriéral^ C^i.)L_.„-^.
^51-^-=^
Les noms étrangers
:
.L;:_^.U hôpital,
:
c^L;^"-vojl-;».
Pluriel irrégulier.
—
Le pluriel irrégulier qui compte plus de trente formes est 133. une des grandes difficultés de la langue arabe. Presque tous les subun
stantifs ont
forme
pluriel irrégulier, et d'autre part rien dans leur
du singulier n'indique d'une manière précise quel doit être leur pluriel.
Bon nombre de
tionnaires indiquent pour cbaque les
apprend; mais
est
il
pour un substantif
même
substantifs ont
bon de
formes usitées,
les
même
temps que
Pluriel quadrisyllabique par
134.
— On donne un
térisés par
forme
î.
ramènent tous à
la
J-^'U-^. à
du mot
:
un substantif de quatre
les
sième un kesra,
V
^S .^
Remarques. à-wjj,-;» école,
b) \Jalif\
«-Ji^-L;
c)
le singulier.
Ils se
lettres
comme ^^^^y namre^
forme du pluriel quadrisyllabique, on met un
lettre
Fusage
à des pluriels de quatre syllabes carac-
après leur deuxième lettre.
\
Pour donner la
nom
ce
et
se familiariser, dès le début, à retenir
en
le pluriel
mot
plusieurs pluriels; les dic-
la
deux premières
a)
Le
i^',
lettre
sa forme primitive
du mot,
se
du singulier
elle
:
J-jji_j.
:
jJ^V^^,
change en j
:
^-^y-^ sceau,
'î\j^,
y
quand
quand
la troi-
y en a un au singulier, disparaît
s'il
Là. bague, cachet
^ [ya hamzé)
J_^_L> rossignol,
ïj-L-A-s pont^
Si la troisième lettre
change en
prennent un fath'a,
lettres
^J\y^fi'^
,
^^jU-,^;
seconde
A-j"
après la deuxième
quatrième un (Tamma sans tanouine
navire,
—
1
est
elle n'est fait
une
lettre faible, elle se
pas radicale; elle reprend
partie de la
racme
:
'ij^yss. île,
\
DU PLURIKr. imUXîULIER f y
^J»
^iy_2^;
\^-^^
^»yx/'
f
.,^c) secours,
quatrième
Si c'est la
^ de
change en
elle se
deuxième
dédouble au pluriel
^^^^sure,
J._)LO;
.Lx_^.
du singulier qui
lettre
:u_2.j-c r/rappe,
;
du mot
^«^-^
une
est
prolongation, à cause du
lettre
:
S^)
(l^
y y ,
^wJ»^-w
%lJsJL*- sultan, e) Si la
J—^
v^^^-=^;
y y y
AJL*-;» (R. f/)
vieille,
105
de la 3* lettre
/ces7'a
:
w^J>Ljl_c.
est contractée par
unchadda,
^_^i LSw^;
couteau,
lettre faible,
elle se
*J-w échelle^
\y
Quand
f)
c'est la troisième lettre qui est contractée
elle
garde
(p.
^^u^l^«à.);
contraction au pluriel
la
A_jO
A_^Là.
qualité,
w''^^^ (p-
v^-ju^)-
:
somme,
bête de
''
hamza
ou à
i\
—
kesra
troisième lettre est suivie d'une finale
vierge,
y
sSy^^ décision de
jiJ^-c;
^^^\
droite
'^
^'^
»bJ-x
ogresse,
,
mot
h) Si le
J^
Jljt_^;
Le
i)
même alors
a plus de quatre lettres fortes (Page 10,
de quelques
j>9
sophe
,
j.-^.^; topaze,
_.
tanouine y y
y
Ui-J^
^^
^-^ -^
^^
^
j)
évêqiie,
-i
y
^^-y^ géant,
;
des mots
noms arabes prend un
:
,§
16), on re-
vO;-^-:-c araignée,
:
lUj.
pluriel quadrisyllabique
le
A^.^.
.L:^ servante,
tranche celles qui viennent après la quatrième
wOL_;_c;
par
finale par le tanouine-
remplacent cette
lettres faibles,
i.\Jxj:>
:
la
rf^^"^
y
'
Les mots dont
g)
par un chadda,
y
'^
'Lsl3\ ^
d'origine 'i
finale
reçoit
^j_*»wL^
philo-
cette
:
A;
étrangère et
^
'iyJ^.^^. y
Plusieurs des remarques précédentes peuvent trouver leur appli-
cation dans un
même mot
i_i^-^LL moulin,
:
^.^^LJ»
^^^\3
dictionnaire,
^.^\y^
{à, a);
[a, b, d).
Autres formes du pluriel.
135. les trois
lo
—
Nous allons donner quelques autres formes du premières sont de beaucoup les plus usitées.
JL/^-i
(pluriel Irisyllabique pari).
Forme
pluriel
caractérisée par
:
un
y \
de prolongation après la deuxième radicale
;
elle s'applique
:
;
GRAMMAIRE ARABE
106
A
a)
des mots de trois lettres
^ A
(1)
^iL^
S-^,jr^ long,
j U-^;
commerçant, j Lsr-'
^_c^lj}'
J de prolongation après mois de trois lettres
J|^-
^Lkx.
^L.;\ L o altère, .
;
par
(pluriel trisyllabique
^
(fém.
:
grand,
j^^^
^. .^
J'-^j-
^
des adjectifs des formes J-...^, A->^LJ,
^J^J)
2''
homme
J-^^j
:
Forme
j).
deuxième
la
caractérisée par
un
s'applique à des
lettre;
:
v^Jj
cœur,
vjUw-j maison,
v.^-0 faute,
)^-3;
s
c^^-^;
>_^,5.
v
troupe,
^rj-^
^jj-^
(2).
J»-»
3^
(JL/Ca-i
1
ment
deux
(pluriel par
à des
mots de
jjj enfant,
trois lettres
:
—
jj--- m^<r,
^-^ji; ^ij_=^i(3);
^i'y^ part,
Cette forme s'applique égale-
alifs).
^
.ij
il-^i.
c/iose,
c--^
,!.
Jw^^o-i. S'applique à des substantifs ayant ordinairement une
4^
lettre
de prolongation après la deuxième radicale
^\j^
livre
^
â«w navire,
L;
{^-^„j^ chemin,
.^^jlS;
^-^—
_/^-i- S'applique aux adjectifs de jJl.^\ jaime,
1.
Bien remarquer que
jS-^;
la
/J^-b.
trône,
j-ij-^
jj-^-
forme J-^J
^a-^j
blanc,
!
:
!,
fém.
^j^-^f
:^bL^
:
(P* (J^-trf)'
des adjectifs est des deux genres, à moins d'indi-
le pluriel irrégulier
cations contraires. 2.
Dans
les pluriels
de
la
forme [^y ^.'^
le
^
d'une racine concave, peut,
comme dans
cet
exemple, prendre un hamza. 3. 11 est
inexact d'écrire,
^ de
la
•
forme ML>o_à\,
lorsque
hamza
la
comme on
.
le
hamza
11
n'y a d'exception
.
à,
la racine
que pour
le
:
i\j. «^l, parce que,
«/
,
fait partie intégrante
terminaison i\ est ajoutée
final.
fréquemment
le fait
es
de
qu'on
pluriel
la
dans
les pluriels
''
racine (\jL^). Or, c'est seulement
ne doit pas donner un taiiouine au
iLX_io
\
choses.
DU PLURIEL inUÉfiULIEK ô*"
^LA^î-i
et
\
1^
^
S'appliquent aux participes
.
forme désignant
l""®
la profession^ l'état
j^\j commerçant^ ^»
1"
Mémo
i_.jL>^^_i.
signification
que
ff.yf juge^
jo\ji
2/?2e
j^\^ ministre ^mzir y
c,\
aux
^'jjj5
y
rnr^
y
Même
).
signification
y
i\yl>.
général, émir
^
i\j^\,
^
la
^
\
^
^
3fL»_5s.=s..
.srt^e,
/^-^r^^-^»-
que
J.,.,^,?,
:
y
j>j>
i.\yiU:o\
y^
^
isLc,.
y
formes J-^lJ,
adjectifs des
y y ^
i jLy^Ti-i
J^
.
j berger
fonction^ une qualité
,
j^vjùo poète
^
:
jLà conquérant
2L_^j;
8° -jL./^i2_i. S'applique
désignant
.
iiLiaJ;
>!j archer,
O'^
/»'-^=
précédente; s'emploie avec
la
d'une racine défectueuse
les participes
J^
de la
:
ç^^^-^ j^9^->
j^-i*'»
actifs
^
X
,
107
précédente, employée pour
y
des adjectifs dérivés d'une racine sourde ou défectueuse .w._>wL
.
£.
iOo
médecin^ riche
y
^LIL!; ^L^-j-ci;
ami,
i^L^Î.
^^3
fort,
iL_j_^Ji.
^»,L^^2-i. S'applique aux adjectifs de la forme J-^:-'^ qui ont
ou neutre
la signification passive
J
^i^e,
:J>
jij»''
JU^^i-i par a)
M.~i
j:^^^
• JLLi; y c
malade^
^ja-Ju-^
li**
LA
J
:
!).
A
^
,_^^_>>
:
j>j>
S9 ;
«^
,
,
y
y c
.
^sr-^r^ blessé,
y
^
^,.j-^ gisant^
^
^-2^^=^. i,
J
^-&j-^.
(forme se rapprochant du pluriel quadrisyllabique Elle s'applique
:
des adjectifs des formes J-^-^^,
orphelin^
c,-^^—!;
J^^-^
paresseux,] JL»*»J;
^ i^\-w
%^L-^,
repentant,
zî;re,|
»^
^.^ij-j.
^jLA^.
GRAMMAIRE ARABE
108
A
b)
des substantifs des formes
^jLs-^;
il^-sr'^ déserty
A
c)
i^.^^
^y^^
des substantifs de la forme Li-.s-.^ ou
k-à.
péché
UlJa_dw;
^
.^ jl^
i2«
l«A^s-i
).
^«-âJ «me,
13*^
j>^
y
^JL^^-i
).
^*._âJ j"-*»
,
-^
lettre
M-^^
i;
t *
-*-*•'' 'I
^^^>
\
15»
!
-*-"-'??
:
^^^-^t colonne^
A»;l_**J!;
formes
couronne,
»Ls-r:-';
(r'j'-^ cavalier
aveugle
.L-w^_c;
ç-c-^ enfant^
y
-_l-y^ (de
c
très
grande,
i
ySj-^^ autre,
du
Cette forme > y o
y
if\x-.d-c!.
J-^-aJ,
J-^Ls,
^i^^jJ,
,
»Lw^..^.
^
y
l_/^^.
^j^
:
clT^'*
.
.jl_/^2-3. S'applique à des substantifs des
^-^c
UUl^.
S'applique à des substantifs de quatre lettres dont la
^L-*»J langue^
-J.LJ*
UIj-S).
de prolongation
troisième est lettre de prolongation
^4o
dérivés
S'applique à des substantifs dont la deuxième lettre
jezmée ou suivie d'une
est
DLoJ
crime,
L
:
:
A«)j.j) cadeau,
zjjl^ gourdin^ ^ji^-a;
(fém.)
^jLc^.
procès^
d'une racine hamzée ou défectueuse ^--^
JJki
et
Jw^ > y
particulière
î)
f y (
féminin
:
^^\ première
-i
au
s-
j^\ j.^\
pluriel est
-à^
^ I
autre,
masc).
,
Jj
!
(Jj!
premier).
y
DU
IKIŒGULIEK
IMAJHIliL
Formes plus
136.
imagcy
ïjy^ ^
p.l
99 y
c
^ anneau.
^"r^ poulie
^ j-^.
y
y
jj-^J: r^/
naturel^
i^
r^-
x
*f
dnge,
'"^^y^', -^ y
y
^ yy 99
brave,
^
y
lA^. "y
99,
esclave^
LjL^:2-i
éléphant,
J-— "y^
y
J9
J_w^
210
nation^
-^-^^
^iJLcv;
'.,
^^y3
20»
rares.
jj-^\
^x-no.? écuelle,
J'y
lO'J
99
>
c,\
-^ "
y
s.
y
i.
\JS jumeau,
>
\^
Pluriel de petit nombre. y
99
137. et
99 y
— On donne ce nom aux pluriels des formes J 99 y
99
i, S.
l-^oJ
^
i, s.
Jw-aJ
!,
1,
t^
LL^I, XJL^
(rare),
parce qu''on les emploie pour désigner de trois
y
y
à dix objets quand s'appliquer à un
le
substantif a une autre forme de pluriel pouvant
nombre quelconque.
de pluriel, on en
fait
^ ^
99
99 ^ c"^
y ^
y
.
g
-••-
,^
99
^t
?-r^' j-^-i-
et
y
^
^L^-^i
y
99 e
.
^^^-^r*^ P^^fs de dix sabres;
dix sabres,
à dix mois
c
^^^-^r— sabre,
:
qu'une forme
naturellement usage qu'il s'agisse d'un grand ou 99
d'un petit nombre
Si le substantif n'a
^
mois,
de
99
^
(,
"^
>
^
;';.
i
trois
^
à
de trois
plus de dix mois.
Cette distinction n'est pas d'une rigueur absolue.
Pluriel 138.
Le
— On donne
pluriel
ce
nom
du
pluriel.
à des pluriels formés d'autres pluriels.
du pluriel peut avoir
les caractéristiques
masculin ou féminin ou du pluriel irrégulier
du
pluriel régulier
pi.
jj-^U',
:
y
O-r-i
heureux,
pi.
^^LjI,
pi.
du
f
y
t.
GRAMMAIRE ARABE
110
—
compagne,
^..^-s^lwwo
—
^^-j^^ chemin^
—
v^,-s-a.i5.^(l),
J>J>
~
l3j-^>
"
IJjJ
section,
L'usage
fait
pi.
^J^,
pi.
du
pi.
^1^-it,
y^ >
,
C-jLiwJ?.
du
pi.
/*
^^jli!.
pi.
connaître les substantifs qui ont un pluriel de pluriel.
Pluriel arbitraire. 139.
— Voici quelques
ment du
singulier y
fi^ s-
substantifs dont le pluriel diffère notable-
:
•ai
A
fis
^ y
^i
fifi
mère, ^X-^^S.
y oc
^^
y
^^ fifi
^>>
"^
^^
"oxexLicLrCL y «^
/"*
jL»l
fifi
servante,
x
s^ eau,
»!j-p!,
fifi
^
j<-j1-««>i
c
(2).
y y%
fifi
/
^)*
y
1^!
sœur, s^\^^\.
femme, ï\^\ ^ y
y o
fifi
:^L»«J,
^
y
J^_*^. '^ y
y»y
y cS
fifi
^9 bouche, »t^i.
i*.
i,
fifi
^y^\-
y et
fifi
y
fifi
'ij^6.\^
/'S
lA^^
ft-^.».»*>y
frère,
i
(,
fifi
«*«>
\
Z,^^=^\
S^.^\ homme, tr*^^ 'il»
c
j'j'/
s.
_>! père, -gUl.
y y
fifi .
y
Li-ù, /evre^ ïLû-i., y
y
>fi
»L-^.
y
y
fi
£.
y y
Lo^La. affaire^ ^_)l^»^.
DÉTERMINATION ET DÉCLINAISON
Détermination.
— Le substantif est déterminé en arabe quand
140.
il
est précédé de
Yarticle
ou
Un nom
en devenant déterminé perd toujours son tanouine.
suivi d'un autre substantif avec lequel
t . Les adjectifs des formes À-X_-*oL9 .^
1.
bique par
nourrice,
\
quand
ils
il
est
en annexion.
^
,,^>oLs ,,J--o.X^
prennent
le
pluriel quadrisylla-
s'appliquent à des êtres féminins et désignent un état permanent
:
ç_>oj—*o
çwôi«—«.
2.
y^-à-\
3.
La forme
signifie
:
^__j-9L3
frères de sang, et
o^>-^^
seule s'emploie avec l'article
frères :
par
association, amis, confrh'es.
^^LJ-J\
les gens.
DÉTERMINATION ET DÉCLINAISON Varticle arabe J! est invariable;
jJ^
substantif
—
141. dont
ïvnfant
(1),
immédiatement au
vjJ^JL^l les rois^ ijL«jJ|
/es
femmes.
appelle annexion la construction de deux substantifs
second au génitif ^o.vi de complément déterminatif au premier.
le
Dans
On
i
se joint
il
111
/a ;?or^e
de la maison, J\ôJ\ w'Lj, la porte est en annexion avec
nom
de la maison. Le
suivi d'un
ou pronom, ne prend pas
complément déterminatif, substantif
l'article, ^-^^-ft-31
j-^-s
Vâge du jeune homme,
à-jLjo 50?i «wre [le livre de lui).
Un
substantif
1)-^ J-5 vin dans
1
le
employé dans un sens
mangea du pain,
partitif reste indéterminé
J j^^
J^^
il
tonneau. (Ces notions seront développées dans
la
2/
J_^-^^^_J
1
resta
:
du
syntaxe.)
Déclinaison. 142.
—
Le nom prend une terminaison complément
est
sujet,
ou
indirect.
différente, suivant qu'il
d'un verbe, complément déterminatif
direct
Ces changements de terminaison s'appellent cas
cons-
et
tituent la déclinaison.
nominatif ou cas du sujet; \ accusatif ou cas du complément direct; le génitif qm cas du complément déterminatif. y a
11
trois cas
:
le
Les noms qui ont qui ont l'accusatif et
les trois cas'distincts s'appellent triptotes\ le génitif
Nous compterons cinq
ceux
semblables s'appellent diptotes.
déclinaisons
(2).
Première déelîaaison wJLX 143.
— Les noms de
cette déclinaison sont triptotes^ qu'ils soient
déterminés ou indéterminés
1. Voir
page 10,
§
18.
les
:
remarques sur
Les grammaires s'accordent peu sur
2.
se rapportent à chacune d'elles. diffère assez de u-,*-J-_$
le
les lettres solaires.
nombre des
déclinaisons,
et «^_jU>c-x.^_x),
constituent également deux
distinctes.
/
" 'r
.
'-^^a-ft (P-
déclinaisons bien
^-^^^^
^\
:
-'
o z
^_i>.-o\
de ^j_-ft_^o\ et de *„,^UL^ pour qu'on n'en fasse pas et les
t^-^'*-*)'
sur les substantifs qui
semblerait rationnel d'admettre cinq déclinaisons
une déclinaison unique. Les duels ^\JJ!l-^
(p.
et
/ Il
pluriels réguliers masculins
»e sont que des
D'autre part, les mots particularités
de
la
^£j5_>L«j_^
comme
1"
>Lô
déclinaison
,
GRAMMAIRE ARABE
112
Nom.
,^^S wi
Acc.
\,AS
Gén.
._.JL5
—
Remarques.
ci)
chien,
v^^^^LC)
\
w^JLSJ
\
le
w^.L5CJi
Lorsque
la
(1).
mot
dernière lettre du
chien,
un ta-mar^
est
ou un hamza précédé d'un alif de prolongation ou dont le support est un alif Taccusatif indéterminé ne prend pas V alif orthograbouta
'i,
^
//
y
ç,
y
y
phique'.'L^AS chienne b)
actif
"s. /'
st:»»
amène dans
masculin
du verbe défectueux une déclinaison qui
sing-ulier
notablement de
^Ls
forme primitive
la
^-/CoUUi
"y
Vr
^
y
•
jj^L?
y
"
y
y^
Ainsi se déclinent tous les
^^
—
la déclinaison
^^bîl,
des
aw«Lj\
2.
Nom.
^i^j-^\ un
Acc.
U ,-.^\
Gén.
^^^
^^^!,
^—
ou par
Ijî.
suivants, ie
—
i.t
).>!, " y
c
*
J^i y/
plur. de_^J^.
(participes passifs dés
les trois cas
semblables
changement de voyelle s'étend à l'avant-dernière
il
<»—
^^
fait à l'accusatif
Uaj
devient support
lièrement
(de
»
^^\ l'article
devient
ij_-^\
;
Page
t—o-^
son duel est (j^U_^;
il
n'a pas de pluriel.
Lorsque _5*—»—ft est suivi du mot
,2^*
5 ^—^-c.
^laj) foulage
(l'a/z/
ti^,
LjvX--._-« (de ^lX_^l_^) créateur, iSj^-^ (de
orthographique se
lie
LJwwCÔ
avec la lettre précédente et
chose devrait
être
regu-
7.
faut excepter les substantifs
cusatif indéterminé est
-^^'^ (°' P-)*
jrjJ^
du lanouine-fatKa). L'orthographe de
LJL^.
3j-**
^^-^j
L-o—->-•>»
Mais on écrira (\g^j,JL>o (de :^_jj_a_x))
Il
^'
homme;
est toujours indétermine et n'a ni duel ni pluriel.
^iys^) part\
3.
yy
l
:
Le mot ^5j_-«\ précédé de
fils,
noms
*
J^l,
:
yy.
Les noms terminés par
Dans
c
(3)
^ ^
J^bJl,
^
;
noms en
^"t
^-^LjiJi)
(p.
^
formes dérivées du verbe défectueux, § 93) ont
1.
^
(^"s.
-^IjUi
-AtoLi)
(p.
yy
seaux,
^-^ljj\) lejuge.
(p.
CA
"^
^
l-.w^:clJ
Gén.
le participe
:
_^ULJ!
^^^\J) un juge,
(p.
y
y/
lettre
(2).
la dernière lettre
Nom.
c)
y
(.
manteau, \j.^^ commencement
La suppression de
s'écarte
Acc.
y
du
pluriel quadrisyllabique
^j\vX_fi sans lanouine **
^
(§
134,
,7).
comme ^\ J^-c
vierges dont l'ac«
DETERMINATION ET DECLINAISON
13
parce qu'ils ne peuvent recevoir les voyelles finales; mais le
tanouine en devenant détermines
/î'
Nom.
l--s2^
Ace.
L-->a-£
Gén.
L,^x^
L.vaju)l
^
//
•
X ..
^A-^J!
bonne
/«
;
^^
n'éprouvent aucun changement,
^^ »-^«^ souvenir^
^
^\
^\
Les substantifs
prennent
^j-^ très grande
:
père,
cas lorsqu'ils sont suivis d'un
Uj-j! notre
Ace.
Lj Lj
—
)
\,
^
gendre^
y
^it> chose,
à la voyelle du
complément déterminatif
pèr^e,
^j^^.)\
^
souvenir,
^, analogue
ex
Nom.
/e
I
frère^
-»*
/•
L;^
^-Tj^J
de prolongation j,
la lettre
Gén.
>
relu.
\
c'est-à-dire qu'ils sont indéclinables [i):
plus grande
i.
direction',
^ et
c
k ^,yj
Q.
Les noms terminés par
e)
hàton.
le
-»
^z/?/,
la
pordcul
:
un bdton^
C^a- bonne direction^
d)
ils
(2)
:
e.
j-jj ^à.1
le
frère de Zcid.
)
J.-,5
1
//
'J ^ x
ton gendre
\
v^J^---»,
X
/>
.
x
cJLa_2>, vJ.-.-^-s^ /o^i
affaire.
Le
substantif *J bouche peut faire
viJL-i ^« bouche^
ou garder
Mais précédés de
l'article^
:
jJ,
ou suivis du pronom
s^^l lepère\
^^^î,
-J
la déclinaison ordinaire
personne du singulier, ces substantifs font
s^^l,
Là,
^-j1
mon
v^U,
viJj-3,
^-^.
affixe de la
comme
père,
:
:
^-^-^-x-^
première
tous les autres
^-à.!
mon
f?'€re
:
{aux
trois cas).
1.
Nous 2.
Ces noms apparlienoent en principe à les
Par cette
la déclinaison
suivante,^<j_>k-^ clant
jioui'
^^,_J-_5.
noms précédents. expression de complément déterminatif qui reviendra souvcut dans
donnons
ici
à cause de leur analogie avec les
nous entendons toujours un
pronom
affixe ou un substantif au
(génitif.
la
suite
GRAMMAIRE ARABE
114
^
Quant au substantif jj possesseur, stantif
1
au
génitif, et
article se place
se décline
est toujours suivi d'un sub-
il
ji,
:
devant son régime
^3;
\':>,
JL^
:
JL'
ji,
homme
riche (tin possesseur de fortune)',
JL^'I
ï homme riche.
prend
JL^Î
ou pluriels irréguliers dont
ch un
ji,
Jûr)î
;
^
"
//
déclinaison est de beaucoup la plus étendue
^i
îi,
com-
elle
masculins ou féminins, singuliers
les substantifs et les adjectifs
J^j homme,
JU
!i,
/y
//
La première
est déterminé,
s*il
dernière lettre reçoit le tanouine
la
jL=^j hommes, Joj Zéid, 'i\j^\ femme,
:
j\^ grands,,
grandes. ^ /
Deuxième déclinaison 144. nouine-,
c
*
j-i-^i.
:
—
Les noms de cette déclinaison ne prennent jamais
ils
sont diptotes quand
le ta-
sont indéterminés, et triptotes
ils
s'ils
sont déterminés. Indéterminés. y
Nom.
yJu.^
jaune
\
i,
y
>
y
i,
y y
^jÎJo»
iljJ.-£ vierge',
;
écoles.
y
Ace, Gén. y
Déterminés.
Nom.
»-i_/^^
de la
les écoles
\,
i
y
y o y ci
y
.
y y
ACC. j-iw^bJ|, y y
y
i,
Cs-
Gén. j_Â_^bJî, y y
Suivent cette déclinaison
les substantifs et les adjectifs
nière lettre ne prend pas le tanouine-d' amma, c'est-à-dire ^ y
a)
La
balomon,
1.
noms propres
plupart des
•'^m''
J^..^hl^ Fatima,
Lés noms propres terminés en "7
(§
> ^y
•
110) i,
1
J-o-a^i
Bagdad
<k-^^_^_,»s_jwuj
:
^
Ahmed,
y
^iJ-i-j
comme
:
i,
dont la dery
o
y ^
w"
.U-JL-,
{i).
Sibaouaïhi,
^Lk-s Qatami,
et
y
ceux qui sont formés de deux mots inséparables
/•cl • C • comme ^.sir C-ws_-> Bethléem, ne
nant pas; dans ces derniers on pourrait cependant décliner second au génitif •^
/h-sr-* ^^
:
le
premier substantif et laisser
:
,.
le
c;>ii_*_j. •
••
•
Les noms propres de personnes ou de pays qui sont précédés de trois cas distincts
se décli-
*_-'«<»-^
\
l'article
ont naturellement les
^^ Chine.
i
^ DÉTERMINATION ET DÉCLINAISON Los adjectifs de
b)
ralifs,
.^5^
114
Les
c)
115)
et
forme J._^
la
:)j-w
:
adjectifs de
^
(adjectifs de couleur et
j^\
7ioir,
forme
la
I
115
compa-
plus grand.
.^.^^j
112)
[S
jl -,;;.- Ls aitcréy
:
ibLL-f paresseux.
Les adjectifs
d)
à la racine, à savoir
iùSaJ
{^
120,
qui ont la terminaison ^i^ ajoutée
et les substantifs a)
:
II, a)
Le féminin des
i\^y^
:
iL-JLc
nistres,
et ibJtwwsJ!
135,
(|^'
(R.
f)
très
J^i premières,
grandes,
-»
/•
—
féminins
(§
135, 15)
[^
Cette déclinaison ne
132);
elle est
IVom.
c^Ll^_^
Ace, Gén.
<^\J*j>
/^jiJ.-* écoles\
:
^J> :
comprend que
toujours diptote
croyantes,
les pluriels réguliers
:
t
-r
^
fi-
vJI^Ll^^^-^J
I
^
t-
y
£.
^«
c^V-^^ y-^
les trois déclinaisons qui
^
s.
\
c^Ul^^-p.
croyantes.
/es
^
précèdent les modifications des cas
ont porté sur la voyelle finale, et la déclinaison diiïère suivant que
Dans
substantif est déterminé ou indéterminé.
suivantes les changements ont lieu dans
naison est identique, que
le
deux déclinaisons
les
substantif soit déterminé ou indéterminé.
<»
:
-r.
.«L.JLi'.
y
— Cette déclinaison comprend ^c
Nom.
deux
duels
y^ yc^ »LJL1J
chiens,
\
y
y i.
Acc,
les
^
»l-JLi y"-
^
Gén. ,.ww*J-S
le
corps du mot, et la décli-
le
Quatrième déclinaison 146.
:
^-jwJsjLw sultaiis.
;
J'J'y'A^
Dans
(§134)
!
Troisième décliaaison 145.
^i'
J-^^ autres.
Les pluriels quadrisyllabiqucs par
i^-2w îles
-i^))^
'
^
j^
:
orgueil.
Jj-^)
Les adjectifs féminins pluriels de la forme Jw^^J
é»)
^
8, 9)
riches.
!
Quelques substantifs a£Ljj^_> "J'y
y)
forme
noire.
Les pluriels des formes ^ÎL^oJ
6)
adjectifs de couleur,
^
y^
^""i.
»w—.A-LxJ
1
(§
127)
les
:
deux
chiens.
GRAMMAIRE ARABE
116
— La cinquième
147.
masculins
(^
130)
Nom.
^-^J-^j_^
Remarques.
— Le
croyants,
y
Nom.
,
i,
^^^jl^^^-^J
du duel
final
complément déterminatif y
deux
^
^.
A_a-jj^J
chiejîs,
1
du pluriel régidier masculin
Qi
y
[J[..y\S nos
croyants.
les
I
^-^ww»j_^sJ
substantif esl suivi d'un
le
les pluriels réguliers
:
Ace, Gén.
quand
:
comprend
déclinaison
y^^^fi^^^ des
disparaît
^ i -> .«^.jl^^^,
•
Cinquième déclinaison
>
->
X.
y^j-^
i
:
croyants de
les
la ville (1).
Acc, Gén.
Par conséquent, au génitif
stantif
—
Xj^^^^^JlS
(§
le substantif
143
Plur.
•
y
;>
y
du duel ou du
»
pluriel
:
:
A., G.
au féminin:
fait
y^
le
^^3.
N. ^^3 et j-3j!;
nom
Ce
A., G.
!j5.
5»/i
est toujours suivi d'un sub-
n'aura jamais
é) c
Duel N.
j3 qui
-JL^
^^^i
et
Sing, c^!i,
^^^^l
Duel.
^J'tji,
Lj'Iji,
^
-i
Plur, C->U^, C.^'^ji. y
«^
Les duels
et les pluriels
dérivés d'une racine
tueuse forment régulièrement leur second cas (,
y
A,
^j-a. part^ ^
jo\:3Juge,
Duel.
Nom.
—
—
^y ^i\j3 lecteur^
v^Lj pleurant,
Ck
^
c
Plur.
—
— —
•
c * y
j~^ Ace, Gén.
supprimé
:
A^-L.i^X_o.J
\
\5_-Ooa-*«.
y
^^\y^. y
y
y
^L-r^Li
-
c
y
y
^-r:rf^*^
y
i.^y
r) jj^-^
»^Lj
^^y
^
~
\j-t^ ^x^*
—
^-jwTU.
Le pluriel régulier masculin prend quelquefois un alif orthographique après
est
défec-
:
^
yy
1.
r) y
hamzée ou
le
a
quand
le
I
L
a
d
\
'H,
Â:
I
H.
,
J
•J^
R
•»*
I
^V
Un
-2
^V»
1
^
1-
^0
^J
u^
'ù^
\>A
\
—
o-c
^
^^
^^
l^
i4
1
—
-
^"^ .
\
<f>
%^ ^3 \<*
•N
\
O-O
N.ci
•x
I
^\
\,
^3 •^
\4
"1 •«
0.C
i. •M
\.a\
^
^^
^
o .C
\
0)
—
«S
\*
^
—
\
.1
o
^^^ <r^
-D^
-1
^0
•iH
a
o a
a
a:
C3
:-<5
.g^^
N$.
4'
^::^^
>^
\.<»>
^
J^
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0. G)
I—
o Ci
E-
^ a
o 00
BS
''^
':-
1^ ^j 4^
4'
I
"Dn ^
-0
rs ±:
Q
^^
•O)
l O)
V2
d o
GRAMMAIRE ARABE
118
DU PRONOM Il
y a quatre espèces de pronoms
les
:
pronoms personnels, démon-
stratifs, relatifs^ interrogatifs.
Pronoms personnels.
—
Les pronoms personnels se divisent en pronoms 149. en pronoms affixes. Les premiers qui sont de vrais nominatifs s'emploient les seconds, véritables accusatifs
joignent toujours à la
ou
comme sujets',
génitifs, servent de régime, et se
d'un mot (verbe, substantif, particule).
fin
—
I.
Pronoms
isolés. Duel.
Singulier.
Pluriel. c
-J>
IJ
l'^^p.
(
m.
^
f.
,
3' p.
\
C^J C^J
m.
je, moi.
!
tu, toi,
!
tu, toi,
vous deux,
*-^^
\
vous,
(des 2 genres).
^-^
i
vous.
(
lui,
il,
nous.
U'
[
j-5)
etfo? c?ewaî,
(
a.~s>
ils,
eux.
l-^'
S
s:
(
isolés et
^-a
f.
'
elle,
elles
deux,
^
^j-a»
elles.
Ces pronoms peuvent tenir lieu du présent du verbe être qui n'existe pas en arabe
c^J
^j^lj.^
:
150.
1
—
tu
malade.
(es)
Pronoms
Pluriel.
Duel.
Singulier.
me,
affixes.
77102,
y
(
l"p.
^^-
(
m. 2e
rfe,
LJ
W0W5.
^^
vous.
^-a
/ew?',
w?02,
uows deux,
^e, toi,
p.
(des 2 genres).
tey toi.
f.
y
(
->
m. 3e
p. f.
2
U
/e,
eux deuXy
/w2,
1
la, lui.
(
elles
deux,
/e5.
DU PRONOM
119
Ces pronoms placés immédiatement après
complément eux)^ aJLxJ
direct
^.^
:
tua
// le
w_^
tua
{il
ils
est à peine besoin de faire
Il
il
:
a frappé
traduisent nos adjectifs possessifs
Uj
vos livres,
*JC..-x.^
fils (f.),
a frappés (mot à mot
il les
servent de
lui
lui).
Placés après un substantif
L» jlJj son
verbe
le
i
remarquer que
maison.
^ notre
pronom
le
affixe, étant
dans ces derniers exemples un véritable génitif, s'accorde avec possesseur et non avec l'objet possédé (mot à mot
:
:
l'objet
le fils d'elle,
les
livres de vous, etc.).
Les pronoms
peuvent éprouver certaines modifications, ou
affixes
éprouver au mot qui
les faire
—
I.
les précède
:
Modifications dans les pronoms.
—
a) Le pronom de la {''^personne singulier est 151. ait deux formes distinctes pour l'accusatif et le génitif
verbes transitifs et les particules qui régissent l'accusatif ploie
^J
après les snbslantifs
mon h)
^
lima frappé,
^^.ij-A£>
:
^
livre,
avec moi
^
Ce pronom devient
'w.û_c
c) Il
mon
(v
se contracte avec
{^~
d) Il disparait
)j-^\
(p.
quand
Seigneur-, e)
eux,
Les
sj:^_j
^_a
elles,
\
de
^
Ce sont
:
Forme
mon
Lj 6 la
3*^
^^\ certes que,
père
personne
deviennent
très fréquente
^
:
L::J'
par un
finit
\
:
^~ (un moi
.JLc contre
:
i/a
de prolon-
(^"7
JLc),
Z^,s
L^
noms au
^\
(p.
vocatif
LJ)
â
:
mon
y
^-_a_J peut-être que, C-v-^J 2.
mot précédent
(un ya jezmé) ou
craignez-moi;
diatement précédés d'un
1.
que moi\
^-3).
^jSj\)
affixes
le
quelquefois après les verbes et les
yt
^"7
on em-
^Lj lJ=_à. mes péchés.
bâton,
dans moi
(1)
avec),
>
gation) en prenant la voyelle fath'a
^J
après les
:
-jlj^J plût à Dieu
prépositions on emploie
et les
seul qui
le
»,
(2).
L^,
^ jezmé,
^\
que,
_i,
mais,
que. j^
\
Lj
eux deux, a,
ou d'une
^^^
pbU à Dieu
de vocatif, pour
lui, Lç_»
»
:
quand
lettre
elles
ils
deux, L»
sont
mue par un
ô^) parce
que,
^iJ
immékesra
comme
:
si,
c
.
GRAMMAIRE ARABE
120
^Sji) sur lui, ^-v-^-J
,v_1Lc
(
eux,
Tj-^-ii-^-j
ï
—S
Voir g 189,
—
152.
pronom
modifications occasionnées par
II) les
—
^
Le
«)
affixe
ï a jeté
il
[^
^\~t^-sr^„
--^j),
•
\lalif des désinences ^y
y
(U
honorés
A
^_j
2/5
devant
JJ~
»
les
(1).
le
final
»
^J
pronoms
et
U
:
y^c^
y y
me
^^-^-
blâmerez,
^
^
jJ «
^-.-sr-'
ou
-^y
^
m informeront. —
III.
—
c)^—
y
»_A„s~^
153.
nous ont
ils
vow^ nous avez frappés
Uj-.^-j:-j^-a:5
:
^JLsoJLy vous deux
OU
^
ft
et
de l'imparfait on retranche quelquefois
^ y
,_xJL_^^JLy ^ ^
yy
U^-/-^!
:
de la seconde personne du pluriel masculin
*_y
^"7?
des désinences
^
supprime
yf.y^^cyy
_^-^J
l'indicatif
y
se
craindra
il te
l^-;»^-^!).
du parfait devient ^)
Ij
devant un
I
c *
La terminaison
c)
le ouesla.
des verbes défectueux se change en
^^ h)
^.^j «u^c
fils,
Modifications dans les verbes.
yL-pj
:
^-^ ^y^c /ezirs âfewa?
maison.
«?«5ns /ei^r
II.
^J^
Modifications dans les substantifs.
^—
a) L'affixe
de la première personne
fait
disparaître la
voyelle de la dernière lettre, et rend ainsi les trois cas semblables
^j!^ ma
-^f mes
maison,
"y
.
Le
^ f y i, y à_::-^a.j
y
^9 y
(L:^j;)
;
^
Le
c)
mon
marbouta
ta
livres.
y
>•
h)
:
1*
.
-,
y.
•
devient un cL^ ordmaire
» .
,
.
^^ ^
-,
c
:
y y
(,
y
..ti-^jj ton épouse
y
sa miséricorde (L^-cvj).
(2/« ??22^^/)
se
souvenir [^yS^]-,
change en s'j^-» 5«
l
comme
dans les verbes
:
^L_r^
bonne voie (^A_a.).
Le hamza _i dernière lettre du mot, suivi d'un pronom atfixe, prend un support comme s'il était dans le corps d'un mot (§ 65, II) ^)
:
^ic y ïjUr^, y
^-l
^Ic
2$l)-9.,
^
i,^-
y
Le pronom
a^-».->.Js-^<>-Ja. 2.
Il J>
(jue
5^
c
f^ \
zV /e
/
s
y
£.
i,
t
à-jtj-a.!
y
je vous lai donne (i
/im.
c
a y et ^.jl^y-ç^l
mes
parts',
t
ses parts (^'lj_^t décliné) (2).
devient également _^-*-^ quand
c >
c
sa part (^j-a. décliné);
y a lieu de faire la >,..,.&
y
^^y^
«îL-a.!,
ïj!i_ç^!,
1
Ac
y
^S
mi^me remarque avec
il
est suivi d'un
autre
pronom
—.-t_^k_fi\;.
«
les -verbes;
cependant on
affixe
^
écrit plutôt
:
:
^^
5\j_jLj>
DU PRONOM
Comme
e)
duel et
le
pluriel régulier masculin perdent le
le
devant un complément détcrminatif
^T
Taflixe
de
la
Avec un duel
121
{^
147),
personne, nous aurons
l""*^
«l-JLT
est
:
^LJJ' Ace,
IVom.
:
linal
complément
ce
si
.
Gén.
^^-y^
deux
^nes
chiens. ^
Avec un
pluriel en
Avec un
pluriel en ^^^jl
IV.
—
'
t
c
c)J-^J
<^J
'
^
xL-^-a^
^^^Ja.^:^;
:
^^'^^
^
terres
mes
(aux 3 cas).
élus (aux 3 cas).
Modifications dans les particules.
— a) Les prépositions dont
la
dernière lettre porte un fatKa
remplacent par un kesra devant
le
pronom ^"7
154. le
^jJL
[9^)\
v_5-^-*-f
moi
cipi'es
^^
:
avec moi
(J->-f). /'
La
h)
cède
le
préposition
J pronom ^"7
^J
:
Les prépositions
c)
changent
le
5wr moz,
^^jL-c loin de
no?/s
pronom
moi;
certain
)i
la
vers
l""^
^*'^»
^s-^
à nous. contre,
AwJLc sur
toi,
^iJ
cAc^ mo^.
«e,
^-c
^iJ
chez,
^SojJ
cAe,s
écrit
J
:
î
^^-^ chez, prennent un
loin de,
pronom ^"7
elles contractent aussi leur
Lx^
lui,
personne singulier on
sont suivies du
Ll^ de nous,
:
Un
elles
vers,
viJ.
:
^^
àJ à lui,
toi^
Ji
Les prépositions ^.^
chadda quand
e)
c
à
pronom de
^JLc
vers moi, û?)
c en
le
Avec
V0W5.
U
devient J, excepté toutefois quand elle pré-
à,
,c-^^ ^^ moi,
:
final
.
avec celui de
loin de nous.
nombre de prépositions ne peuvent précéder un
affixe; ce sont
:
^
comme
^^.c^ jusqu'à,
{i),
xj:.^
et
S.^
depuis. f)
Avec
parce que,
ou
1.
-JLJ
I
les particules
XS comme certes û'we
si,
certes que,
»!
le
mot
L_i:_-«
^1
mo^.
vessemhlfince
^z/e,
^^'^ mais,
J-»J peut-être qucy on peut écrire ou
._^!
Ce n'est qu'en poésie qu'on peut trouver L^LJ" ou
emploie
,1
:
,
-_JL_-iL>o
comme
O'i/^
moz,
^^
^J
^jljJ'^
\
ou
^1_>L^ comme moi; en prose on moi, ^.tLJuÀl-yo
comme
toi.
GRAMMAIRE ARABE
122
w-wJ
jo/zi^
U
Avec
jJLxJ
JLsJ ou
mais moi,
-jLi'b)
à Z)2>w que^ on écrit toujours
on
également
dit
LlJ
:
t
ou
que moiy mais avec
'peut-être
LJ
-j-jl-J.
:
que nous
certes
!
(etc.).
Pronoms démonstratifs. 155.
—
Pour
les objets rapprochés. FÉMININ
MASCULIN ^
Sinq.
...
\
/•
l
"
Duel.}
Ace, Gén.
f
\
^JL_a>
êVj-s
P/wr.
Remarque.
"
\
^
^>,
Cj>\'>,
ces deux-ci.
156.
—
Le
)
ceux'ci\ celles-ci, pour les deux genres.
(par abréviation a), particule qui
pronom lui-même. On peut supprimer a
les objets éloignés.
y
I
sjj^^\h ^
^tXjYji,
'"
^.jXiJ
celui-là, cela.
celle-là.
^tXJU
]
^> Acc.jG. oXiJj> ^
Plur.
:
FÉMININ
oXJi Nom.
et dire
pluriel est alors a^)^\.
MASCULIN
Duel.l
celle-ci.
)
(aTT^^
Pour
Sing.
'
.
(^5^)
,? ces deux-ci.
"
i
— Ce pronom est composé de La
etc.
'
I
sert à montrer, et de \> qui est le \S,
I
.
ïj-a
celui-ci, ceci.
tJ^-a»
ces deux-là.
v^J'^ji,
,
v^Y^I
^
.^ ces deux-là.
ceux-là, celles-là, pour les
deux genres. Remarque. pour 6)
^
le
—
a)
dit
encore au singulier ^\> pour
le
masculin, ^LS",
iîL.^
féminin.
La terminaison
,^*^
On
^^-^
s'adresse
:
,^
v*^
peut être remplacée par
>C>-^»
prenant
le
genre
et le
le
pronom
affixe
de
la 2«
personne
nombre des personnes à qui
l'on
DU PRONOM
I2:i
I
eXJ3 C
f
en parlant à une femme.
eelui-làf
I
AJi^\>
en parlant à des hommes.
ces deux-lày
o • 3 / ^^jJLij^)*! Cé?ua?-/à, celles-là^
en parlant à des femmes.
^1
•
.
^t^Oi forme, à tions très usitées
>^OjJ
:
oXJ^
v^Ojl-S' «msz;
de prépositions, un certain nombre de locu-
l'aide
/
jJJ^ J-jo après
^^tO i servent aussi
et alors le substantif qu'ils
ce^
iÂ_2.
!
tLjLJwJ! r)'-^^ ces
Pour traduire ou
en arabe
Nos amis Ton père
déterminent doit toujours être précédé de
les
/es
homme, deux
ïL-ôJ! ^iXJL)
filles,
iL**uJ
!
pronoms démonstratifs
pronoms
le substantif
—
français cete', ce//e, ceux^
que ces pronoms représentent
Joseph
[le
La langue arabe
celui
ce qui\
qui,
femme-là.
vjJJYj! ces femmes-là.
on répète
:
^jJLAjl^^
'^Jo L*-:^. j
et les vôtres [et vos amis),
et celui de
cette
possessifs, le mien, le tien, le sien, etc.,
I
v^jLwj_j yj>
père de Joseph),
Pronoms
lequel,
démonstratifs,
à^ adjectifs
livre et te tien [et ton livre),
157.
cela ^ ensuite.
:
J-^^
Mon
\
o«r ce moyen;
^1 et
I
celles,
alors
J-J^-s
I
Les pronoms J-»
l'article
oXJ Jl_j
« cause de cela;
..jLjLi
;«^
!
^y^,
^
Ijl-jI,
!j
relatifs.
a quatre
pronoms
relatifs
U
^j^ celui qui;
ce
:
^3J
qui;
1
^\
qui,
qui-
conque.
Les deux pronoms ^-^ premier pour
les
et
L» sont indéclinables et
personnes, et
le
second pour
s
emploient,
le
les choses; ils n'ont
jamais d'antécédent.
^jj Sing.
\
se décline
:
yS^
^
celui qui, lequel,
^-xJ
I
celle qui, laquelle.
GRAMMAIRE ARABE
124
i
Nom.
J.-aJ
^\
^/ur.
,
Ce pronom
^
.j-J
I
1
ç^^^
cew.r
^
^-j*
ç'îfi,
est le seul qui puisse avoir
dent doit toujours être déterminé
(CiJ
îl-a.
/ /
t
3-lJ
^
/cfz
vJ:^_j !j
!
(i_j!
celles qui, lesquelles
r
-U
ce//e5 ç'wi, lesquelles.
i
un antécédent,
et cet antécé-
:
V homme qui
i;w
venu.
est
y y y 1
J|^j-i^>
!
^65
^
quiconque s'emploie pour tous
nombres Acc.
J
/"^-^
'^^
l_A_» 3
^\
J._2w
\
^^-^^-^
lesquels
^^^-^
deux frères qui sont
genres
les
comme un
est rare) et se décline
partis.
pour tous
et
substantif
:
les
Nom. ^1,
Gén. ^\.
LjI,
//
Remarque.
— ^^
et
U
peuvent se joindre à
^\
veaux pronoms indéfinis dans lesquels
L^\
A
n'importe quoi.
la répétition
de U.
noter encore
(l.«^-^»^ est
et
seul se décline
pronom U-4-^
former^ ainsi deux nou^j-m»^^\ n'importe qui,
:
5"^* ^"^ ^^
^°*^'
formé de
UU.)
pour
Pronoms c
158.
le
^\
interrogatifs. y
y
— Les trois pronoms ^^,
L*,
M
£
^\
servent aussi à interroger.
l^ quoi? que? est toujours indéclinable.
\S qui?
s'emploie également pour tous les genres et pour tous les
nombres. Cependant, lorsqu'il est employé seul avec de qui est-ce?, quel dit
:
une personne
cliner de la
est
venue,
et
manière suivante
Nom.
j-:.-fi
Acc.
l-A»;»
G en.
FÉai.
îL;.-*
MASC.
r)^'^-^
y y
o-^ ^
y
yy
peut se dé-
Pluriel.
Duel.
i_i_^
'i^~p
il
:
{j
,S.-f>
lorsque quelqu'un
que l'on demande qui?
Singulier. MASC.
comme
est-il?^ quelle est-elle?^
la signification
FÉM.
lO^^^~^
(^
y y y
^rr^^
FÉM.
MASC.
C^La-p h?-?""^"^
y
y
cr."-'
t
y ^
-^^
\)V
^\
PKONOM
125
quand
lequel se décline régulièrement,
comme
d'aucun autre mot,
MASC.
Duel.
FÉM.
*
•ij
J>>
MASG.
•Sa
II*
^Lj!
Nom.
^!
i-ji
Aec.
U
Lj
Cén.
J^l
i
FÉM. x
c
i
est suivi d'un
culin singulier.
Il signifie
Sa
jl-^j / •Sa
U-tr
c;--:".'
Quand ^1
régime,
il
ne prend que
^^wJLci.
quels sont les
Ji ^\
,
^^
'
hommes?
et
homme?
^
deux hommes qui? JL=^j ^^
lequel des deux
quel
cl
J-:^ -^
:
//
^\
forme du mas-
la
quel? devant un substantif indéterminé^
lequel? devant un substantif déterminé ^j-j-L^.
pour ^^.
cela vient d'être expliqué
Singulier.
accompagné
n'est
il
q^iels
laquelle des
c\
^'wv«-aJ1
hommes?
femmes? M Si la phrase n'est pas interrogative,
miné
signifie tout,
celui,
ceux quand
nlmporte lequel, J-2^j il
-^
deux hommes, jl^^Ji
suivi d'un
^\
tout
régime indéter-
homme
régime déterminé
est suivi d'un ^ *
celui des
A
^\
:
Mi.
^\
:
il
signifie
.-j^-L^v^Jl
^\
/
celui ou ceux des
hommes.
Manière de traduire nos pronoms et adjectits indéfinis. 159.
— Tout,
chaque, se traduit en arabe par
suivi d'un substantif indéterminé
(AI)
j-wjJ-jj y y
wOj
i-;»'»-c
nom
j-/»i
J~>
mot J-T
totalité,
;
^ow^e cAose a son temps et sa manière.
y/
/"CA
La^^.Lj
Tout
àJ
au génitif
le
XA AX C/«> w ^ C sJ!^*i iJL-/'! A-S^
chaque femme amena
signifiant tout entier tous, se traduit par les ^
totalité^ universalité^ suivis
affixe
ou d'un pronom
ses enfants.
mots \Sj
«-^w^-a.,
d'un substantif déterminé, d'un pro-
relatif
:
GRAMMAIRE ARABE
126
à_JLJ J»-^ "y /
v^^_^ JJi
(Bah.)
•
y
c
c
^
•
.^ C^-Li
î:
moi
éloigne de
^-^"^ '^.,^^^
g^.-^-r^
7. y i, y ïLjLjt_^-.^
toute la ville.
J-$^
I
toutes les fautes.
^.
U» j_r
^owf ce çwe ^w as dit, nous favons
entendu. y
LULsLc
^
y
S9
f^
LULi
,vJ-x-jw,s-.a».,
^J>
-Sé
nous
tous.
y
-^
Les mots J->, a-^-a., L^Lc peuvent être placés après déterminé, avec lequel
du pronom
y
-t
f^
/>
c
/*
j-^
^
y.<M
"^
y
i
^
-^
^-wLs-*-'
c
J-^
i
les fait alors suivre
:
toute la ville (la ville sa totalité).
\
"y
y
LJ-^
^
•c* J—^J
f y La-j
*_.^JLr vJj-Lô-J
^«^_^w^y_9. 9 y
On
affixe qui représente le substantif (1)
Lu-LS'
(Gaz.)
s'accordent en cas.
ils
le substantif
tous les rois.
*
s-
'principe de
le
!
"
toutes
on peut encore employer
J^
y c y
i^ ^
:>
y
(,
o
%
l'adjectif
^^^-^-^-^-2.
i
plur.
;
i i
f.
même fréquemment
est
c
^ï-tj-^ 9 / >
xc*
y
^^-x-^-^.!,
mot J-T
sans duel). Le ^
^ y
y
m.
plur.
;
bonnes
actions, c'est la générosité. ^ y
Après
les
(fém
^^.,5-=^,
.
y ^
S.
^
^^^,
supprimé devant
"s.
^ y
/
c
t
oji-g-a.
c
«
(id.)
^-wx^û.
y
y
f
-i^
^^
c^^
(Kor.)
I
i
o
c
^ y
y y\.-^
LSobLgJ
^9
c
y y
^^^j-^
1
y
1
-X
y y y
y y
-c»
/*-H-^
isolément J/ s^emploiey aussi y y y
iow5 les anges se prosternèrent,
J-s-**'
;
oui^ l'enfer leur est
r)^
il
promis à tous.
chacun ou tous d'après
signifie alors
<^
le
contexte
JJ^
:
v^^j-a»
chacun a fui ou ^ow5 on^ 99
Tow^ se traduit encore par
exemples qui suivent
1.
On
,»!
2.
trouve souvent
L<t_-i
Après
--
»
"^
,
ç_-»_Sfc.\
g^
s.
y
c
—
*-jLw,
£ L),
fui.
comme
dans les deux
:
.».'i>»
employé adverbialement à l'accusatif indéterminé
-oL-<Lj\ J^.-L_fi (_3sL_3ï_-X_^
on trouve quelquefois
\
il
les adjectifs
est
connu de tous
çJC-^\ ,gJC-o\
g
,;
les
:
hommes
^ m
.
que...
DU PRONOM ^^S^
V
.)
Tous
.^^JUl
y-^Lj
»
.)
deux
les
^_jLw
\
tous les chiens le suivent.
i._x_s_;L)'
vjjj 3
^oMi ce su'c/e 5^*^ déjà écoulé.
,JL3 J^3
l'un et l'autre
:
127
masc. !^;
fcm. UJLS'
(1).
Ces deux mots sont toujours suivis d'un duel déterminé qui peut être
un substantif précédé de Ils
V accusatif- génitif quand
ils
j^-~JL-) J-^
-^
^
Lx_L5
1
affixe
môme
L^,
.\S.
substantif, et font
précèdent un pronom affixe
ii l6s
fj-^^
L^a).
^-jJLf, à
:
/ai
C-^jJ
a bien traités tous deux,
visité l'une et l'autre ville.
<-
L:-!/ peuvent être placés en apposition après
^IX
(U,
x • c *
O X
Lô-^^w-li^
manière que J_^ ex
Lg-^-Jli'
(Ali).
un
sont invariables devant
•
ou un pronom
l'article
/"C^
^jJljJI j^i
aie soin d'honorer tes
^-^'^r^
Chacun, masc. J-a.L J-f,
*>*ja.
de la
:
[et ton
mS.^^
le substantif
tj
J,c^! J-/;
JLc wA_*JLw
J-T
fém.
iJ
père
j-a.
t
et ta
•
deux parents
mère).
AS, ^J^^t J-X
/az sa/wé chacun de vous.
Quelqu'un, quelque chose, nul, aucun, personne, rien.
Les deux substantifs signifient quelqu'un, et nul,
^i
^
chose
quelque chose, dans une proposition affirmative,
aucun, personne, rien, dans une proposition négative. yy
y A
tj-a.|
(M. N.) i,
(id.)
fém. ^^J-a^t une et
j-a.i un,
//M
s-c
^
-^
^
(^
y
*H*'j
y
,^9^
y
y
c
'"'"tr^
y
J-2)
"Âc y
c LL^-^
(,"£.
w*-j1j
as-tu
vu quelqu'une
y A j'-â.l
27
ramassa quelque chose à
la
surface du sol.
1.
^L^
,1—XJl^ sont
deux duels de
la
môme
racine que i}-^*
Comme
d'un régime on ne trouYC jamais la forme ^J"^L^ j^jjLJCJlJ'. (Voir
§
ils
sont toujours suivis
147, page
116.)
GRAMMAIRE ARABE
128
^L^-^i
(M.N.)^-^i
tÂ_2)
^
J
^ ^
^'sL
(id.)
Remarque.
si
droit.
2
.
X
c
J
J.-s-'
L_.w._d>
:
aucun, L-o—*;> C^^^.j
l'on veut insister sur l'idée aucun,
se souvint
de moi.
now5 ne trouvâmes rien à man^
U*
je n'ai gagné {aucun) dirhem. Cepen-
pas même un, on ajoute au substantif ,f y
y
If
indéterminé
aucun d'eux ne
— Tout substantif indéterminé placé sous l'influence d'une négation
contient l'idée de
dant
^
U
àJ-i
n'est arrivé en cet en-
personne
^_j w-0_x-^ ^J
*-^-i-^
J,_cs.!
(id.)
U
J—^j
i
^
"
*
"
l'adjectif v>v_2*.\^ un, unique, fém. » Jv_a»*\^
:
*
y
xi.
\.>_«w\^ L.<^_Av>
fi, /y
r
CUsrî^ L«
pas gagné un seul dirhem.
/e rCai
Certains, quelques, plusieurs, les uds les autres.
C'est à l'aide
ou pronoms
adjectifs
Suivi d
a)
tain (1)
du substantif
un
^ja-x-j
partie, que l'on traduit tous ces
indéfinis.
substantif singulier indéterminé,
cer-
^ja-x-J signifie
:
(*-^.
ij^^^
certain jour.
/y
y
y
j-Lj
(Arb.)
i,
^-*-J
!
/'/'«*/'
y ^y
îU-lslâ.
*-) Lj'
son esprit ressentit une certaine peine,
signifie
une
un objet concret ou
divi-
Suivi d'un substantif singulier déterminé,
b)
partie, lorsque le substantif qui suit désigne sible;
il
signifie
:
tel
genre^ telle manière,
objet abstrait ou indivisible c.
\.Ju^.^
si le
^ja-x-j
substantif désigne
un
:
à-./>i3-juj
j La-c
immeubles dont une partie sont indivis.
(K. D.)
JL
y
^r-<>^
L^J_^
iLLjws-^
\
/ja-xj
tel
genre de ruse cause la
perte de son auteur,
c)
Suivi d'un substantif pluriel indéterminé,
quelques
1.
de
jic-x-j
signifie certains,
:
Certain devant un nom de temps se traduit encore avec
le
substantif
C1j\^ essence (fém.
A>), suivi du génitif:
(K.
B.)
^^JL^
^y-^.
0\^
^-^
^-«-^t^-î
certain jour qu'il était assis.
DU PKONOM
J^^j ^
^
w
^L.i=-
120
ou
certains
(j^-*-f
rjuelqncs
y
^^^ L— «_-w-L_3 jj;^a_^_j
1
,
(Arb.)
>
o
,
y
c
y
.
,
î7
y
^-.;-^j
(j^-*-.^
^jW.-'-T^
conduit un troupeau do moutons pan^/i lesquels se trouvent quelques chevreaux.
''
//
d) Suivi d'un pluriel
ou d'un
^ ^
9y
ïJw^:-3
9
vi
/"
y y
.
j->-»-f
y
/ y y
(j^-H
.*-^^
^
i.^
vJ_^-L^
)
(^
^^^
2-x_;-s fJ^-^~^,
2_,N_::_9w
^/5pn7
un
ennemi
^w'w^z
avançait contre
plusieurs
1
signifie'
:
^'<^^"
s
a\y^y-^\
^^
collectif déterminés,
ou plusieurs, certain ou certains, suivant les cas
(Qaz.)
kommes.
vizirs
lui.
réunirent
se
chez lui.
^LxJ
e)
1
^-«-J répété indique la réciprocité
mier ^-»-j doit
être suivi d'un
second reste indéterminé
le
u^ savant ou plusieurs savants.
j:a_x_)
J..3>)
^_^!j oXJ3 ^L;_3
!
:
iim
les
les autres.
Le pre-
complément délerminatif, tandis que
:
plusieurs
^^j
fj^-*-^
hommes
virent cela et
ils
s'en informèrent les uns les autres. yy y L.<ixjuj i.
1
(Soy.)
—
Remarques.
l—Oa-A-O tes
JaA^
,
mêmes personnes que
^L-;^.-cvJ
\
peut
comme
la locution française
simplement une diversité
c)
a_XJL^\ ^^j^
«j^-^
C'
y
-g.
Il
>
f
O
^^ répété
:
d'état
sujet et
LJ
:
o ^
promenèrent
;
la
:
-rç
même
-^
*»
\
^^
-^
wis..
1S,J^ù
Its
Ilj
^^
(L^-lo
autres furent dévorés par
(Gaz.).
y
c
\^
^^yX^^-sr'
.,^i,
^
chose aurait pu être
^^..^^^ ^^.i-^ L^ ,*XJLi les
les
\
y
y
y
appositif à l'instar de Ji* après un substantif déterminé O
^^f-4a-3
\
une partie de Varmée fut mise en déroute.
s'emploie aussi isolément avec la signification de quelqu'un, certains
Tel:
i*
nous nous dîmes
correspondante
ou d'action
uns moururent de faim,
les
Jaju s'emploie comme
9
d)
pronom
le
les bêtes féroces
le
nous nous réunîmes ensemble
v-Jfc^-^' les uns dormirent, les autres se
exprimée avec
-•
désigne les
il
une action réciproque, lorsque,
(M. N.).
....Jxa.^
autres indiquer 1
être répété indique
LX_X_9a l_X_>ô_a--s_^
uns aux autres
h)
>:2_x_j
Jxso sans
a)
régime d'un verbe,
pV"'
Ja_a_3 ^\Js> quelqu'un a
dit
^ ^L^,
f.
f.
Lil^J;
ou certains ont
L.^; Î^U.
dit.
:
:
GRAMMAIRE ARABE
130
A^
qui est un substantif s'emploie seul, tandis que ^-^-^5, ad-
du mot précédent, accompagne un substantif
jectif dérivé ^ y y y
Lj^9
iLsJ^fiJ
yy
un
.j-Lj .^^_»^
JjJ
\
y
A? X f
y y y y
c
C^_*-ç!^jj
,.M
I
LLLc \XS
/ai
jjLSlyj C-^J-a.j
Plur.
Sing. m.
:
m.
»j^^!,
^ y y.is.
y
m.
:
c
une
maison.
t7^ouvé
dans
ainsi
:
endroit une source.
tel
/ y i^
y y
Duel m. j^^-=^^
f.
s.
i,
c^^'j-^^j
c^b^-ck!. ^^
,
homme.
^^2/ ^^^^^ ^^^^ ^^^ ^*^ aw^re
ij
^ y/^c't ..â.^
y ^ ^ y L^-aj-ss.!
y
"s.
\
.
.
.
;
f.
ç,
y^
-ici
^_g;-â.^
Vun mourut,
L^fi>J-cw! vJL^L^
2-2s.w_i
\
.
.
y
i.
L^ïIj^û.!
.
:
alors Vautre revint.
C %
y
— Ne pas confondre j-^\ autre (forme J_^o_â\) avec 9
Remarque.
(forme J„.oLs) qui
m.
\^S
l'adverbe
yyyyy^^ytyy
j-^bJ!
plur.
revenue.
telle est
i-
^j-^^\
f.
j-â.1,
<5*-*-^
J-9^j
L'un, l'autre ^ y ^o^
f.
> y y
f y
^^ \
y
y^\y
^e//e
moyen de
J>//p^
Autre
tel est partiy et
ua à
yû-^i
Tel peut encore se traduire au
(K. D.)
:
^^j^\,
au fém.
fait
m.
0\^^\,
f.
Autre que, dans
sing. jL •^\,
et
f.
au duel m. ^U_iL\
.
«Ll dernier
oLiy^l,
f.
au
^;-^^3Î-
analogues à celles-ci
les expressions
:
un autre que
moi, un autre chemin que celui de la vérité, se traduit par vwwô différence, suivi du
pronom c y
(M.
y (lll.
4^
^jwwC
N.)
.
^y
c y
21) v^j.-.C'
y
"S-
IwX-a.!
y
c
affîxe
c
y
c
c
"S-
y
c
y
J
J-a.i
c^
^-fi à-'^-^-sr-^^-*-!
ou du substantif au génitif:
^
ye ne trouvai
examine
(Asm.)
ce
que tu approuves en
autrui, (dans d'autres que y y
vli-L«.
<M
ynoi.
ci.
l-^^^J!
y y,
nul autre que
toi).
y
ly^ "
i
l3'">^ •
—
•
^"ït^ •
^-^ ..
^^
^ marché dans un autre chemin
^^g celui de
la vérité.
Même, lui-même. Les deux substantifs j^—c œil, jr-â-> ame, suivis du pronom affixe représentant le substantif ou le pronom avec lequel ils sont en apposition, traduisent nos adjectifs même, lui-même.
DU PRONOM
de deux ou de plusieurs objets, on emploie la forme de
s'agit
S'il
pluriel
^j-^y
(^^r-^^
jjj_^l
à_*»»_û.j
•
vlJ-^-*«-^
•'•c',,
L,>_v^**^fiJl
<l-)3_j!
^ ^ ^
L_^
L-/^*--û_j
J-j:,a_j
C^-»-'Ct^^Ji>'/'C^c-» c
^-^-j:
131
à-5Lj
i
^çJ
ton
le
jalouse.
/^
w_^
u
^/»l
il
"a frappée elle-même, fitmeitre à mort ses parents eux-mêmes.
XC/^
J_x_j\-.>
1
lui-même
ère
7'
f
de
aw^es eux-mêmes seront saisis
/es
frayeur.
préposition s_)
f
—
Remarques.
On peut
a).
O
y
Zé
^
Y^
OL-^-^ L^
(Dam.)
Comme
6)
y
/
O
^^
'^
_
I
C^
9
^*^^ ^ ^^
^^
-J^"^
L
m^me
endroit.
/-l
C-'
>a_-w^_^
\à-A
^^_^L^.^_SL_>
même
/«
chose se trouve chez
les
serpents.
^^^j-^ et ^^j-^càJ doivent toujours être en apposition avec un sub-
stantif
ou un pronom,
mais
J^U^^S^ cxi'l
:
i,
les substantifs ^^^j-^-*, ^,7^-»-^
:
dcJ-l_a_-> o^-i^-^'î i^-^>
(Mal.)
précéder
faire
ne faut pas dire
il
!: -
•^
^
,*X-c.^àJ
:
en exprimant
,
le
cu.1-^ tu as eu peur toi-même,
pronom
sujet qui convient à la
personne du verbe. c)
Lorsque même
\_^^\
sXJs
m.
jjS^\
plupart,
*_r^-:L/i,
C-j^
^
jj
f.
c-M
On.
îjL^
C^J^
ci L_)^^JO y > y
y
tj"^
1
c
y
ijJLxij
^
y^
LJLT
y
105)
*t
'}—^y^ ^
(II.
iU
les
même
^
^
^^ /,
hommes ont
été
moule.
Li^^-T!; de
nous,
se mirent
d'elles
^
c)^-?-^.
<--5
^
'^
"^-5
^^yjS\
vous, :
à nous jeter des pierres
jusqu'à ce que la plupart de nous périrent sous leurs coups.
pluriel actif
J—^ > y
:
— Le pronom on se rend d'ordinaire en arabe par
du singulier passif ou du
•
que tous
^jjS\\
d"e?<a:
Lg-cs.^)
^
^c ^ (M. N.)
plupm^t de
^-i.jLTI;
LxJ
dirait
J^_r>.\_j
j^_5_9
la
:
on
par
coulés dans un
^..^Ld
cX.i»-\_^
le traduit
^
,
La
o^
j_yol-lJ\
,o^_^_l_^
(Isb.)
on
signifie seul, unique,
la 3^
personne
:
on a
dit
(=
il
fut dit).
homme d'action et nonpas seulement homme de parole.
autrefois on était
GRAMMAIRE ARABE
132
SUPPLÉMENT AU SUBSTANTIF A?
Nom 160.
de lieu et de temps
— Ces
noms
X
c X
A*
J-^-a-a-^,
:
c
/'
J-^-»-^.
qui sont caractérisés par le préfixe
;*
ajouté à la
racine du verbe trilittère primitif indiquent le lieu et le temps où une
chose se produit. J>>
Ils
c •
/»
sont de la forme J-a^J-^» lorsque le verbe dont
A
ou imparfait
imparfait
(Voir page 20,
Rem.
dérivent
ils
ou quand
«),
fait
c'est
un verbe défectueux. Ils
sont de la forme
imparfait • )
C
I,
ou quand •
^J»
/»
c'est
le
verbe dont
un verbe assimilé
dérivent
ils
fait
:
x
c
J-=kA_>'
^^a_a,
lorsque
Jw^a-à-;»
Js-sT-''
«LO
temps ou lieu de rentrée, de dépôts
(p. ls_la_Œr-^)
(p.
.
j-O)
/zew
ow Von
:
Oj»sL^ entrer.
—
Ja-ss.
—
Lsr-'
déposer.
est,
refuge, .^S^-" (P-j-^F-^)
se sauver.
y y
^j-^ yys.
—
.
h^-Lsr-''
• A» «.___^;» S9
i.
p ^^^-s"^ ) .
y
^^jU L/^^Jiwa
(
/«^
a im fleuve,
I
c
.
»-=^
couler.
^^ ys. y
(p.
v.^j'^-^)
^^^^
I
salon, séance. ^^
c
y
>i-^^^)
(p.
1
marché,
^j^
56 réfugier.
t*«-^=^
5
asseoir. <
IpU
vendre.
9-^^
placer.
y
fl-yco^
endroit
oii
une chose
cée, endroit
est pla-
en général,
—
A
Les exemples qui précèdent démontrent d'une manière suffisante qu'il
y a
lieu d'appliquer
dans la formation de ces substantifs
les règles
des verbes sourds, hamzés, concaves, défectueux.
Exceptions. bien que
le
— Les
verbe donl
^9
douze noms suivants sont de ils
dérivent fasse imparfait
la :
forme
c y
A-^ûii-^»,
,
^
SUPPLÉML^NT AU SUBSTANTIF jj-^sr-" ^^
de
j
coîcaey accoudoir,
—
mosquée
—
'^
<-
.
abattoir,
^^^J~^ j-£sr-*«-^
JaJL*«_p /2e?<
(i) y
^j
:
égorger,
V-?-
y ^ y
^^^
s'accouder
{k
la. 8""
i.).
Oj^-ar-^ se prosterner,
—
d'une chute
i;{3
JaJL^ tomber.
y
— O^Xw — ^j^
^^\-*.«^ habitation,
^j^y-iw» orient, levant,
0«JLL
couchant,
—
>_^c
de séparation^
—
^_,^^JL^ occident^
i^j-^
It'^u
ex
AP
—
JL^ plantation^
ex
-*•/
x^
lieu
j^-^
de dévotion,
narine
(2),
Quelques noms de temps sont de la forme JL^aJ-^
^L*_^ temps ou ol-a ^jl
temps de
drilittères
—
jjL*^
—
.-s~>
aee^ û?e la promesse,
renifler.
de
:
— —
la naissance
lieu et de
I
I J^-cj
promettre.
c^j
/?^e7' /e
1^^
enfanter.
temps des verbes dérivés
•
temps.
,
de
lieu de repos,
x."^
„
,,
^JLxJL» lieu et temps
J^_sr***^ signifie tout eadroit /
y
i,
y
f
J
trouve ,^_^_Xma*_*« ,^-A.
d une rencontre,
oii y
i.
n
I
<<
l'on se prosterne.
f
y
ij
y
f
verbes qua-
et des
:
i,
On
faire ses dévotions.
:
'^
2.
coucher,
de lieu dérivés de verbes assimilés
ressemble au participe passif
J a y ^JL :•-.»->»
1.
).
y
Le nom de
//
se
—
[
Ovj!^..^ pousser.
y *
"
se lever
/Jj-à séparer,
/emy05 ^a:e,
»
"
et
5e /ever (astre).
y ^
—
;JLJa_^ levant,
habiter.
—
:
^ y y i. ^Ji-::-*-* -" y\. ^_^-^-^
'
se reposer
-^^
rencontrer.
GRAMMAIRE ARABE
13i
Nom
d'abondance
ment dans un
lieu
ou qu'une chose y abonde.
bS-^Ji^ que l'on obtient en ajoutant un
y
^j>.
i,
y
au
'i
de
-jj-^ collège^
^j>s.
y
c "
V
Nom 162.
fréquem-
forme
est de la
de lieu
A ^-^j s^
J-^ L-^ repaire de
fait
(1)
:
ij^\^ étudier.
^J>yy%.y
y
paître.
s.
j.-^! lion.
lions,
y
^LxJ concombre.
champ de concombres^
^^
d'instrument ou de vase
:
/'
A»
c
exprimée par un verbe, ou
met une chose sont de
y
le
préfixe p (2).
La
^
y
plique spécialement aux
noms
sert
pour
des trois formes
l'une
par
y
récipient dans lequel on
c
^J,^-fl-P, caractérisées
i.
lL^-ûj». J-^^^-â-^, J'-^-â-^, y
le
^^ y y
• o
— Les noms qui désignent l'instrument dont on se
faire l'action
y
/'
Il
nom
:
-
'pâturage^
j>^'.
C-
iLL^j-^.
— Le nom d'abondance indique qu'une action se
161.
'i
•
fi9'i :
Jw.a_fl_^, JL..aLi_^, y ^s> ^ y c forme 'il.^,su> s ap^
dérivés des verbes défectueux
:
S9y c
de
lime^
-.
C
^9
L:Li_/» y ^
y
jj!>-^ »
clef,
'
^\\j^) balance,
(p.
Ijj-^ (p.
'L^.^ jJ)
échelle,
'•Te ^J-sr--*
?;âfse
«
(?7wz
a aiguilles
traire.^
y
j«^-A_p
1.
Le
nom d'abondance
j
V
2.
(
-^
î'
est toujours de la forme t/ui->o..ft.
siantif. S'il est dérivé d'un verbe,
iv-^-A-><» cimetière, de
y
il
^
^ quand
il
est dérivé d'un sub-
peut encore prendre la forme iAJL-^s-i--« ou
j—*—ô enlerrer.
Néanmoins beaucoup de noms d'instruments ou de vases ont une forme
cognée,
couteau,
j_^L5' verre.
arbitraire
:
^\~-9
.
SUPPLÉMENT AU SUBSTANTIF noms
Quelques-uns de ces
^j
.v->>
/îo/e
i-l.s:-'^-^
»
Nom de
la
forme
^^\y
;
LjLs.2-3
pour de
i-Lii
zm meurtre,
iJA_cj
une promesse,
obtient le
nom
ii
iJLsy! une annexion,
—
action de faire rouler
'i
y y
L-i'-i
J^^ ^^ y
y
i^
!j unique., y y
li-j'ljLp
yy
ou
»
ou de
/'/'/' I ^_' ._-^
:
J-xJ
:
frapper. ^t^e/*.
ô^^j promettre.
\
:
:
^j <3-=^
^
réprimander,
inf.
annexer,
—
^^LsHÎ.
—
^i^^_=^:).
^rJ-^^ faire rouler,
.
y
on
»,
le fait suivre
--.wj^j*.
de l'ad-
y y
JaJLi
seulement
:
yyyyyyfyyy d
J-=v!j LJLJ'UL/' J-j*L3
Nom 164.
de manière
livra
un seul combat.
à_L^iJ.
:
y
— La manière d'être
ou de
faire est
de la forme
jLU^, dans y
le
verbe trilittère primitif
:
y
99 y c
'L^-:S
eYwià
qu'une
lieu
verbe trilittère primitif
lui-même terminé par
y
99 y
jeclif
j-_»>_;X_^
i-Lli.
:
c.
1^3
Si l'infinitif est
i^
le
à l'infinitif
de
•
balance, ,-,_^;u_^;
— —
Lsr^jJj* w^ze réprimande,
y
collyre.
d'une fois d'un verbe dérivé et d'un verbe qua-
en ajoutant un
drilittere
Lçi.
—^wo
d'une fois
un coup,
'Lij..^
J>9
J-3:-^
— Ce substantif indique que l'action du verbe n'a
fois. Il est
On
^ piler.
^\ L^)
aiguilles, j-i\-^ (p.
163»
(J
:
d'abondcance et d'insirument est quadrisyllabique
lieu,
J^sr-**^^ mosquée, A-^L^u,sx)
:
^
:
—
collyre^
^2
Le pluriel des noms de par
sont de la forme J_^-_i«^ ou iJLo.à_^
jjJj-») maillet, de
(p.
135
manière
d écrire
^
écriture,
de
:
y y
^^^^.jl^ écrire.
GRAMMAIRE ARABE
136 j>j>
.
maniè?'€ de
Dans
le
formes dérivées
les
nom de nom d
L^^;2_iJ
dans
—
1
»
—
J>J>
.Si
j
\y^
Remarques.
le
J Lo-s
de
boulanger,
—
un homme en
^_x_sr-fa
colère.
y
Si
un
métier, une pro-
^^ ^
r\
j
V-^-
égorger.
y^ pain. I
LLà. coudre.
^jj^
^jjL^
:
boulangers.
langage usuel, on désigne souvent celui qui exerce un :
(^.«r-^s:^
|^^
chirurgien^
^^-^-^^ libraire, de ««-^.X-S livres. ..V on ajoute au substantif singulier la terminaison turque
de ^\j.-2»- blessures D'autres fois
Lsr-H jJ* manière 'L^sr^,JS
\
métier par un adjectif relatif dérivé d'un substantif pluriel •'
d'une fois et
JL-aJ.
:
:
—
tailleur,
le
nom
on obtient
:
boucher,
— Dans
:
celui qui exerce
pluriel régulier en
le
ferait
de métier
y
L'w-jwâ.
Ces mots ont
d^ annexer
j>y
Le nom qui désigne
jL.^
^^^_ai._5_4g_â cafetier,
Le
.t^ marcher.
I
à l'infinitif; le
réprimandé comme
il rrCa
être assîs.
les verbes quadrilittères
manière
LsLs:-^!
fession est de la forme
C.
^-^^
1
:
unité sont par conséquent identiques
Nom 165.
et
manière en ajoutant un
de réprimander-, ^
de
s^ asseoir^
manière de marcher^ démarche^
'i^.Ju^
le
y ^ y
'-
'^
X_*Ji_a^
pluriel de ces
;
*
de
2i_^43-^'
mots
^_5—
^
*•
ca/e.
forme par l'addition d'un
se
jr
i
:
àvJLs:^fj\J_^ chirurgiens,
>A-^:^j) ,^ V cafetiers (1).
1.
Autres formes de substantifs
a)
Noms de fragment De couleur
/^)
o\_-«<a_^<-j
c)
et
iA_jL-.*â-s
De
poignée. Excepté
reste *A_jL.<o-â
:
:
:
De
ne;//',
,JLa_«*)
GULyô-s
dignité ou de profession
iA_a»\L_s agriculture.
:
ij-.,^-.^.
rougeur, Sj-sl-^cs
couleur jaune,
^L.-*^^ blancheur, Ay-^jj noirceur.
f.
e)
,«A_sî_k_s morceau.
i*.-.***.^
:
de contenance (aJi--o_s
De maladie JL>»a_ô
d)
:
^
^^Lsr**' phtisie.
^owo:,
excédent, «X_sn.I—cv^S" balayures. ,
^
f.
.
OlJl-^o-à
:
<
^
.
»A_s^rL khallfat,
/.
^
''
^/v_:>^^a
dignité de
gouver-
SUPPLEMENT AU SUBSTANTIF
Du
diminutif.
— Le diminutif est caraclérisé par un damma sur deuxième. par un ^ ^eswîe après
166.
Les mots de
X» c
—
I.
Mots de
trois lettres
prennent au diminutif sont maintenues
S^
^j_ et la
forme J.-.w^
;
les
J'J'
homme^
dim.
c
c
—
rouge, fém.
^jj:^^^ bonne nouvelle^
Lokman^ paresseux,
^^-^«J'
—
Remarques.
un chadda, on
faibles
avec
"Âj-^ part,
LL_£ c)
^
le
^j~^
nom
Si le
1.
(1)
:
C
;
C
est
de
»
^ ,.>»*
t-
o
'peuroxige.
petite
bonne nouvelle.
Lokman.
un peu paresseux.
lettres sont contractées :
^^A
.Ja-s;
99 y
terre,
nom
.
^j^
cmç' (masc).
?.
1^
^jj^ anse, Lj
;
^ s y ^
y 9
i-jjlJu^
C
Mou'awia
(n. d'h.),
il
prend un
'i
au
y i
.)wyC2-J
.J"
d'unité et les
feuilles: ^.
L-? cAa^, k..
par
d'un
féminin sans en avoir la forme,
1 -y.
un
diminutif
petit chien,
^
'
nombres cardinaux
^^^j-c^^-ih.
le
font exception à celte règle
cinq (fém.), f
^
pour éviter l'amphibologie, vA-jl-^j^^ étant
•f
fortin.
ji-jw**.-^
le
serviteur.
:
't
Les collectifs qui ont un
v/\
._jwiu_j
j
humble
tLo-w-iJ petit
9 ^
(3^3 leuiUes^ v3-?.^3 quelques A ,
homme.
P^^^^
hamza ou d'une ou plusieurs par un chadda ce hamza ou ces lettres
jj^
û^o/z,
est 99
diminutif
formatif
^Lkx)
(p.
^
lettre est suivie
on contracte
lettres faibles^
:^L-jw^-A
sépare pour former
les
)
^_c
deux dernières
«) Si les
deuxième
6) Si la
des adjectifs,
-f
Lx-Jj
— — — —
/»
»L>_iL)
^, A^^
terminaisons précédentes
^ y
<^
j
IjxXS forteresse^ /*
/"
S-r^ S'.'»
i^-a-^v
et
'i
:
J«^_c serviteur
i.
^
/
J-.-wv3-9.
noms propres
des
^ y
^^~=s..
:
en dehors des terminaisons
trois lettres,
du féminin,
S.9
première
la
la
lellre, et
^^
137
^_^,v>^;v-^
«v.
« peine cinq.
/ y y
diminutif de *a_*9\^
fi ""
ime
;
feuille, et
y
{^
^
9
GRAMMAIRE ARABE
138
j ou
le
deuxième
Si la
d)
^
le
est
un
dont cet «/z/ tient la place
(1)
_jU (^j-j) X y
j>j> J>J>
;
j>j> y c y ^ y ^J> (f.), i^^_j«:>.
.
^^
i
^\
.fj>
i
^
y y y
y-i
AS'c
^.A
y i
-i2
J^
^-=^W
frère,
"
'
^ y
c
j>?
'
^_9
y y
apc/^
j>9
j,s,
— Mots de quatre
II.
fif
^ y i
V* ^9 y y
y
jj>
bouche,
^_^-3)
(
y
c
j>S'
c
c y
)
à^y^. ^^S^y >
•//•%
-pj»
lettres
y ^
J-L._>o-i.
:
forme
lettres est de 1^
J—wJu
J-^.L) rossignol,
^-
wî/"^
^9
Le diminutif des mots de quatre
y ^
y f
^^-r^
&
\
Aww-^;
y
i,
^^.
y
^f y
c
ijw*- (à-i-w) année,
,
-^
jj y y i (^^-^^) 5œwr,
î
^j»''
fifi
y
'^
{j.lj) fils,
i
apc'^-'
fi^
J>f
maison,
^9
w--â^
A?« /-^
y^y y y
c
j>j>
y
(j-â.!)
y
:
-j!;
ii
"s.
dents
(v.-^-jv-j)
^<-:^-rf
lettres élidées reparaissent
Sfi yt j>f ,_,! (^j!) /)ère,
:
(^ c
^j> ^J>
diminutif reprend
alif^ le
.^U
v_^/_^;
maison
jj^»)
(
Les
e)
'porte^
J>J> y y j^
^
'
du mot
lettre
^
y
<.
J-.L^..û_3
:
petit rossignol.
y ^
jji
c
'^ j>j>
renard,
.J_*_j
V
Remarques.
comme dans
—
les.
-,
c y
^
renardeau.
s^^n_Lwx_j
Les terminaisons du féminin sont maintenues mots de trois lettres^ mais les substantifs qui sont a)
féminins sans en avoir la forme ne prennent pas de y
iL*«_Â_A-dw scarabée,
99
'i\jL.sA.^ tortue,
deuxième
Si la
b) y
j)9
99
^
lettre y
y
du mot v
Si la troisième lettre
un
du mot
est
le
Zi chose
fait
régulièrement
^,^^_^^,
et,
change en j
99
c
^
une
f :
y
'
letti^e
^ en ^
:
y ^
^^jx-i yS. ••
faible, elle se con-
C
^
9
/
C
C^-iy-:> ,l--^,3—>
<
t*
'C5~
{i.),
elle se
\
.3 \S secrétaire, -y
Dans ces mots, on change assez fréquemment
.
est
"
9 .^^y^^^Ju:..
,
y
99
:
c ^
99
s^^yJ^ scorpion
;
y
>A-jj-=L; y "^
au diminutif
oignon sauvage, ibLs^a-lj^.
99 y " y
"^
\
c)
1
;
^
^^V^^ serviteur, \
c
9 c^ .\ ibL.ia_;wc
y ^
c ( ^ IJust-^t-^-^
\^
y y
99
c
iLl-fi.-.j-â. " y
'i
dans l'arabe moderne
^^_io
:
,ia_j>^-CÔ.
le
niot
SUPPLEMENT AU SUBSTANTIF avec
tracle *-^JLc;
flQ
.^
quatrième
jj-i-^suc
:
formatif
v^^Ll^
:
du mot
lettre
moineau,
.
après la
>^:_£
à
—
On
c
on supprime
à.^.
._;:
^"^
c
^
celles qui viennent
^.^^^JL-JLx
^j^L^.
J-=s.^^J_^ coing,
;
dans le diminutif.
peut donner aux pluriels de petit nombre
forme du diminutif;
les pluriels
(§
137)
dim.
cotes,
—
L,JLx! garçons, -f^
^
c
de la forme JL-xil conservent les
rêves,
«JL.^!,
sing.
iL,JL_cl
—
s-
^^-ti.!
fi9
^
y
c
i.
>^»^^i,
Les autres formes de pluriel n'admettent pas
^lA.^.
—
,îlx.
—
Jl^.
le
J>fi
^
c
du genre masculin,
tous les autres cas
terminaison
et la
On prend
diminutif.
diminutif du singulier auquel on donne la terminaison
les êtres raisonnables
^j_L pour vj:^i_l
dans
:
X
^Yji
y
sing.
enfants,
A ^
>
Ce
du mot
^ :
disparaît
^j^»^
s.
prennent
2. C'est
la
la finale
^^
règle générale;
««^
.
caméléon, ^^_>s_>
d'autres fois cependant on t.
letlres serviles les moins nécessaires
fesseur,
^-i^^>wo.
Jp^^i. *
:
P-
^
c
mj-^
—
^i-v-^.^.
^
^il ^
tlir^-
J>J>ct^
—
j_^j»_^; JaLa Juge, :
-^Jj,
s.
participe actif des verbes défectueux
le
^
*l
f
^-j^,
comme dans chèvre,
dim.
-^Jj,
fifi
_
^^'oyants,
c)-?-^^>^
1.
la
alzfs:
cJL^!
le
change en
lettre faible, elle se
J^iJlj> clef,
;
lettres,
Du nombre
deux
garçon,
:
-^X:^ araignée,
167.
une
est
——
y a plus de quatre quatrième (2)
e) S'il
livre^
patient,
j_*-^«-^
Si la
(1)
^
lo
139
s'il
se trouve à la fin
Mais les mots
terminés
par
Is»..
supprime dans
le
corps du mot les
X
^.,-Ji-sr'^-^ haliste,
,
5-.^_-.LJL_s^^
;
1jTv1_xi »ro-
y^ ^
GRAMMAIRE ARABE
140
^y^\
sœurs,
sing.
—
pji^^ dirhems, >>>
-i»
vju^l,
dim.
_
^.l^^^^,
-'^
dim. p.
^-=^U
—
|--^j<5, ^9
c^L-â.1.
ol-r^j^.
y ^^
V4
livres.
Le
diminutif
indique
pluriel
fréquemment
nombre
petit
le
:
ZÀ-^-^-i\^ quelques dirhems.
DES NOMS DE NOMBRE Les noms de nombre servent à compter;
naux ou
(1)
sont cardinaux, ordi-
ils
fractionnaires.
Nombres cardinaux.
—
168.
De
MASC.
cinq à dix. MASC.
FEJU.
AP
FEM.
«
zm.
52a:.
y
y fif
y
y
i,
^LJLlS't {2) deux. — y
J X
y y
j,j>
yj>y.
y
\
yy
yy y
yc e-
jy •c
O
*.
y
yj>
y ^
yy
f.
c
quatre.
a_jji
à-X-J
s>9
y yy
On voit que,
y
i,
par une espèce d'anomalie, c'est
le
y
yy y
y
masculin qui, de
^ro25
A?
«
â?z^,
a la terminaison
Tous
'i
ji.
mots suivent
ces
lion de (O*-^' qui» étant 'c X
Ace. Gén.
:
la
un
143), à Texcep-
vrai duel, suit la quatrième
{%
146).
lorsqu'ils sont
employés
^^^^XIJ'^ (^)-
1.
Morphologie
2.
On
3.
Cependant ces mots peuvent suivre
comme nombres
(§
-
^Jlj't,
et syntaxe
écrit encore
première déclinaison
combinées.
oL.X_^L5.
abstraits
ÛvJLjL-^'
la
deuxième déclinaison
(§
144)
:
lJ«^v3_*>
ùv_«-^
) \
quatre est la moitié de huit.
.
DES NOMS DE NOMBRE est
un substantif qui peut
avec ou sans
hommes;
l'un des
^^
la préposition
j^^^
Jli hin d'eux a
J^a^i
*a>
un complément détermiiiatif
régir
jLçw^!
:
phrase interrogative avec
la signification
quelquun
y» y
qu un
est-il
venu?
Le féminin
y
y
"t
j-=vI
%
:
wX_-w
I
et
dans une
y
c
2l_çv
y
J_a,
quel-
y
y
\^ 'personne n est
j-=^
>?:
de personne
j^c^j
s'emploie dans une ^y y
phrase négative avec
^
JLx Jl
ou
!
dit. Il
signification de
la
1/il
^J^-=wi ne s'emploie
sorti.
que devant un génitif duel ou plu-
s.
riel et
dans
les
nombres composés
y
femmes,
trente et une,
qu'il est employé y ^9 fy .x^^ J-9j ^'^ seul
en ce
!
ordinairement
yy
''
comme
A
^j,_cvi l'une des
y t
^f
j-a.!j se distingue de J-a.
On
*L*^_U)
^a_^!
t^JbiJ'j
^-ôljua.! Ihine d'elles, yy
:
adjectif
dit
unique, un seul
:
également
j-cv^
:
i
:
ou J-a.l_^
homme.
^wUI Le Dieu unique
!
l'adjectif J^-a^l^^ se rattache le substantif A-a.j unité qui_,
mis à
l'accusatif et suivi des pronoms affixes, traduit notre adjectif seul y y1 ^ yf y ^ y ^ c y ':t ^w\,.2^j U! moi seul, >,-2)j-a.j ^_^-^^ ils sont partis seuls, j,-,^^ :
(,
<,
i,
!
^''
i.
y
ifsX^^j
L
aJU y
louange {appartient) à Dieu seul.
la
y
y c
^IJj! deux s'emploie quelquefois après un quand on veut •
c.
insister sur l'idée de dualité fc-™*>
(,
y
y 9 v.iXjljuj
y
(^
ou éviter toute équivoque
:
i.
.
;l-wJ
,.,
au duel
substantif
je te
vends deux maisons.
De (rois à dix les aoms de nombre placés devant comptée régissent le génitif pluriel
la
chose
:
(M.
yd
y y y ^
N.)^^ji
àJbiJ'
"^
Ljj jJ ''
y y
jL^-w
c^UJLj
,.y_p
y
y
— ^
a-^
.
y
)^
'
c'
^
'
'^'^
postérité trois
voyais sept vaches grasses que
mangeaient sept {vaches) maigres{\).
règle ordinairement l'accord sur le genre du singulier
y 1.
comme
imssa
s.
wiW^-^ ^r-' c^^c-^k
(Kor.)
//
enfants. i,
_
On
^^^J-À
^
'^
'*'
!
Dans
la
le qualificatif
.
''
.<
:
z-
dernière partie de cette phrase la chose comptée Cj^^-Jî-^ est sous-enteiidue, et s'accorde avec
le
nombre
cardinal.
GRAMMAIRE ARABE
142 y ^ / /
^ y/
i,"?.
s^ y y ^
^
voU 1^.^-3. ^Hj^
<]^fCLi'^e
cinimaiix
^ y
^
s\j^^ masc);
[
JLyJ'(l)
^..sj-*-
huit ans (Lx.*- fém.).
Lorsque
nom
le
prend jusqu'à dix
au dessus de
dix^
nombre est suivi de plusieurs substantifs, il genre du substantif qui le suit immédiatement;
de le
prend
il
Ji—a.^j 'w\_A_cj
^_j
.
La». ^Ju::
genre des êtres
le
él_*«_j
<>s-*«_,-â.
^yXJ._£
Quand
nombre précède un
par la préposition ^-^ de,
il
y-^
^roes
fl?e5
femmes de
169.
—
ou un pluriel dont
collectif
prend
genre de
le
'peuple^
^ y c
chose désignée
j,_jj
"^
Llj^i
^ y
(^^y^
:
^^ »^^
y ^ j, 2L_iu_£.
y y
y yyc'S-
^ y
J.-A.-C
à-30jl
iJ^iu^ /^-fj^
-^
y (, y y ^ y j_iu-£^ à-**»«ô-ik
c
<'.•
^,,
c
douze.
^ y
y
'àJ>\j
v^bLj*
y
y y
y
y
o
treize.
et
quatorze.
y
quinze.
»j-iu-c ^*._^y_â.
y
y y
^y
'^,,
y c y
^..
^_wJ Ln^^'
y
est séparé
y ^ ^
y
iL_iu_c
Ll.jÎ
'^
jJ:^j:,
k_Aw&
la
il
FÉM.
y c
y y y j._A»«&
y
serviteurs
à dix-neuf.
MASC.
/
femmes.
Zéid.
De onze
y y y
et
ou servantes.
^^fj^ quatre hommes du
>_^JLJ|
:
fai quinze domestiques,
"
le
nobles
hommes
six 'personnes^
vJ:,-n_h^
^
les plus
^
yJu^J^
y
^y
y
c y
,.
^
y
.
2$
k_iu.£
dlX'tlUtt.
,_j v..^^
y
L*-v^'
iJ^-Awc
dix-neuf.
;2.-*»^"
y y y
,
y c
Ces mots sont toujours indéclinables, à l'exception de j_iu^ LlJt, yy c y 'iUu^j:.
1.
.
y y ^
.
VjL2Jî\^
.
qui font à
(JjL4~^ perdant •#
Voir page 112.
le
1
.
,
accusatif-gémtif
ianouine devant
le
régime
génitif,
^
-^
'^
^
^^,
jJx^ ^-^
^
'»
'f.
^ ^ ^
s^^-î^
reprend naturellement
le
^ supprimé. *'
DES NOMS DE NOMBRli] 170.
—
De vingt Vingt
.jjj»iu_c
à quatre vingt-dix-neuf. ij^^**' 'Soixante.
y
aJjLy trente,
.,
,.,
^_x-.ww
Cinquante^
Si le
ils
ont la forme
comme
Acc.-Gén.
:
nombre contient des
et l'on joint les
quatre-vingt-dix.
«^_x_v«_j*
Les noms de dizaines se déclinent culin dont
soixante-dix.
%^l_^" quatre-vingts.
syjL^J\ quarante.,
%^-«.>, ^ ,ck
li3
le pluriel
^-)^^-iu_c,
régulier mas-
^-.JjLj, etc.
unités on les énonce avant les dizaines,
deux mots par
conjonction j et\ les deux mots con-
la
servent leur déclinaison respective.
^jw_iu_cj J
^-^jl^
Â'
M.
^
vingt et un\
=^.!
-;
^j-aw! trente
^_^-^-Jj
^-™o^
quarante-cinq (masc. ace);
a.^>w
une\
et
soixante-
'^
sept (fém. gén.).
De onze à quatre-vingt-dix.-neuf les noms de nombre
placés
devant la chose comptée, régissent l'accusatif singulier
w^
w^«w
Lj!^ ï^-Ju_£
à_o-isr-^
(Gaz.)
u^s dix-sept grosses
j^'e
Îj
:
mon
tures. x'x-/' y y y
<y ^^
.
/'/' y y
Lx_L-^
jljj
^yy'yycyyyy v_^:J— J—^^ y y
y
/y
J^
S'^
y
y
y
c
y y
i
"^
^"
il fit
e
y/
y
AjljJw»
(Mal.)
)
y
S/ ? yy y ^-«-cjJw* L*-jL_9
"^
y
i,
y
ycl ..^wx_j j
y y
et bâtit c«-«
douze
rois
villes.
^-^^-^
iJ^^_A»^
y
c
mourir trente-cinq
1
• c
.
^^-œH
•
/»
y
Jjj
survinrent environ quarante
^
cavaliers
recouverts
de
cuirasses.
Dans ce dernier exemple
le
qualificatif ^^^-.-^^^.x^ est
au
pluriel,
ridée de pluriel contenue dans quarante; l'auteur aurait pu employer U£^«>w-ï
171.
à cause de le
singulier
en taisant l'accord avec Uo^Ls.
— iw-/» y
Centaines, milliers, etc.
ou
à_j
U» ce?î^
(i^jU ô^-^-J
y y '
^ÛljL» deux
-^
cents.
trois cents.
y
yy
iJU>
b-
>i-4j^
quatre cents.
\
!
GRAMMAIRE ARABE
144
LjO
^-jL^J huit
^
,
/
yy et L_âJ
mile.
\
y y y ^?^
>
y
L^j
»^J
!
quatre-vingt-six
àJL*-
m.ille.
es.
\
..â-3
.
LûJI ^j^_A*_& vingt mille,
cents,
deux
!
mille.
y yf^ ^ y y y
-i
trois mille.
^\
^
y
e
cinq mille.
trois cent mille.
^J
^ et
^
!
^
^
million.
i
yy
y
fiy
y/-^
ibJ ,^^^
y
t
e
dix mille.
ijJ:^,c.
I
^
yy
—
^
^ y
y.
^ ^^ !
c
sept millions.
A-x_***_y
\
y/
y/ et y y y liJ ^ JL.& i
yt
y
cï
onze mille.
j.-a.
Le mol
dont
i-jL^,
^
^
J
au singulier après régissent
le pluriel est
On
J
jj^—-^ on
^
milliard.
!
y
O'I---/» y
/rois
centaines^ resle
«
fl?2.r,
peut, dans l'écriture, joindre les
^jL.,_x-^_^ sept cents (nom.);
à-j
L^y
L^jw.;
ou ^_^)
!
bien qu'ils
deux mots
:
huit cents (ace.) (1).
^ï
j>^
^î^
^^ôJ! a pour pluriel
i
(2).
faut remarquer, à propos des exemples qui précèdent, que, dans
Il
les
^
^
nombres cardinaux de
les
le pluriel.
-J^ci
c^t
^-M
!
x
p
y /
et
^
^
^
ô^!^J
^
^
yy
^ y
^
i-jL/s
et
'i^yjJi
jjîi
nombres composés, un terme qui en multiqlie un autre prend
le
qu'un terme multiplié prend
le
genre du terme
qu'il multiplie, et
nombre
demandés par
et le cas
*
-s>^
'^
Les deux mots t
y y
'**
y
t
^s. ^
ô
^
J
i
(Fak.)
est toléré d'écrire
11
2.
On emploie
le pluriel
un pluriel de petit
duels
«A_!>L>ii et
L-ÀJ ^t
\
J
y dissémina mille perles.
(§
\
siècle.
^ les
dépenses faites fiour ce repas
levèrent à cinquante *
s' é-
millions de
dirhems.
suivant les cas.
\
après les nombres cardinaux de trois à dix, parce que c'est
137).
perdent naturellement
Ç)l_ft>J
:
.",
<^^)
nombre
(3)
il
^j-v.*-^
>'
/.
3.
e
La-^-c».
—
ùi
placés devant la
commencement de chaque
,
^\
mille,
le
^ ^ ^ etyes-y^ey
M-s^p wi.)l
1.
^ y
L/>
\
y y y
y y
y
i.
-.j-dw!
-l-fi
y c
e
à-J_c ^Jlj
1
e
iJ^-cA-3
I
^
et
y
'i^^y^
(Fak.)
^
^
le génitif singulier > ^y J\ \ ^^ -^
^^
le multiplie.
et
—àJ
et
cent,
Lx_^ LjU> J-T yy
terme qui J>^
^
chose comptée régissent (Bah.)
le
perdent
le
^^
le
tanouine devant
final (§
147)
:
(3^j
le
génitif,
L.X_->L>o
de
même
que
les
deux cents hommes.
DES NOMS DE NOMBRE Lorsqu'un nombre composé contient des
l'.r,
milliers, des centaines^ des
dizaines et des unités, on peut énoncer tout d'abord les milliers, puis les centaines, ensuite
par les unités
et
continuer par les dizaines, les centaines et
dernier terme exprimé qui fixe
liers. C'est le
ou bien commencer
les unités et les dizaines,
les mil-
cas du régime. Soit
le
5. 7 43 hoinmes.
î^j J^HJ^J U^J^ LjU ^-:—j ^bîl
i-**_^
b.OOO
^'
et
3
40.
et
''
700
et
'
5000.
"
On peut aussi répéter la chose comptée après chaque composant du nom de nombre (^ ^ ^ / 99 y /y y y^ 9 y y ^ y / / ^ y A 9 y y :
es-
i,
Emploi de Tarticle avec
—
Si le substantif qui 171 bis. nombre est déterminé, on donne
nom
au
3 à 10
^ y
^o
est sous la
dire
est
l'article tantôt
les huit
de
au substantif, tantôt :
hommes. 1
-:•
/.
beaucoup moins correct de dire jLr^^Uîj
J^-^j ùL^L.^-iJ\,
nom
dépendance d'un
y /
JL^vJ! L^L^-j
:
/>
noms de nombre.
-
Il
i,
_
de nombre, com.me l'indiquent les exemples suivants y ^
De
les
.
(}v--L!)L.o^.-LJ\, et
incorrect de
bien que cette dernière construction soit devenue fré-
quente dans l'arabe moderne.
-^^X/'/'/'/'/'Cw
De
11 à 19
*
jL=wj^_iu_û Lx_.*_**«Ji
:
Dizaines simples
w^.jiwxj
^Lcs.»
:
Dizaines composées
-La.j
:
»
dix-sept hommes.
les
i
j_*-oj
les vingt
bJ
1
hommes.
j Lw-^ps^
quarante-cinq
les
i
hommes.
Cent
et mille
:
J-9-»J
i
v,-àJ
Multiples de cent et mille
hommes, ou J-a.» -^ /y
'
à-j
Nombres composés /^s i
^ :
,
yy
^ y
bi^j
y
J-^j-J
:
L.^—w.^-dr-'
<^
ou a-jL^
i
1
les
cent
L-jl
^
ou
les mille
-^
..*
cinq
les
,^
hommes. cents
1.
^. w
^
-^''
^yyct-(^y^y
^yi***.) Ij
LsoibJlj
^ s.
L)U
^
c
y
c
\,.moy
^ ^ ^c*»»*
^vm-^s^ !j .^^i^^l
.664 hommes.
Ce dernier exemple montre que, dans un nombre composé, on donne y
l'article à
chacune des parties que précède
la
conjonction
:
j. 10
»
GRAMMAIRE ARABE
146
nombre cardinal peut
L.e tée.
être placé après la chose
un substantif
alors naturellement
Il suit
comp-
pluriel avec lequel
il
s'accorde en cas. Si le substantif est déterminé, le
j^-J
i-J^X-J
(Tart.)
ï^^ji
t^!
Lsu)
nombre
cardinal prend l'article
il fit
fc.^;a.cs.l
venir ses quatre
fils
:
devant
lui. y
X
y
'^
y.L.^
.*
L-jwj"^
S,,^yyyi,y\^
y
a—;i_*«.J
Ij
à_*^.-^-dr-'
^
i,^
^ ^ M
\
,J._^
L-*«J
X^i
!
LjL^'bLiJ
Le
les trois cent
\
soixante-cinq jours
de Vannée.
!j
cardinal est parfois sous-en-
:
y^-^ Lj-Lj'
^
^_j
(Tart.)
J>
(Bat.)
douze apôtres.
les
\
nombre
substantif que régirait le
tendu
J
/•;Sw.^;SÏ l
\
(Mal.)
£
^/"
r^i
^
y
^
^s>
»-il_*«/>
y
£.
*d
y^
i.
àJ-Lui viJ^Vjl
il
y avait
[hommes) qui voyageaient.
trois
y
--i-yJ-j
ces trois [individus) m^adressèrent la parole.
Nombres ordinaux. 172.
—
De premier
MASC,
à dixième.
i^
c'^j\
premier.
I
>»).>L— .««'.
)U"
l "
JU.
^J>
^y lt-;
173.
^y
y
y
^v-^U', y
y
'L^XJî huitième, y
" I
J>Ji
Là.,
y
y
Lj*
—
y ^-icL_c, ^ y ^?
'L*^^l.6^
cinquième.
De onzième
neuvième.
y y
y
y
y y
fi^y
.y
ii^»i.Lc
''y
dixième.
FEM.
y
^^La.
,
à dix-neuvième.
MASC x (1)
c-
y
iL«iu-c
'!.
^
\
y
^î^Lsw
onzième.
jLwJlJ"
douzième.
y
.ju-
w>
1.
,
à_x_jLw septième.
y y
^j>
y
sf y
y
,
'Lx^]j quatrième.
fi._jij,
szxieme
y
jt_jLw,
iUiJU' troisième.
y
^^
deuxième.
y
yy
À>»vo^L.A«>
*-^ y ji^
LJ,
FEM.
MASC,
FEM. y
"J-
La forme >L,^., ài-^.>l_a» ne s'emploie qu'avec
les
nombres composés.
.
..
DES NOMS DE NOMBRE MA se.
y y
FKM.
^ij
^Jlwc y
y
»^_i;^c «yy " />
y
»
^Ju_c jVM_/»Là. y
y
'
y
;«.c
y
'
y
y
^i—
^_ii—c y ^
y
,
X
ïj_à4_û
144).
(§
iij- i\ ^-G
De onzième
«lji-jL*-
^..y^y^^
seizième. ,,
aiX'Septieme.
^
j\-i._c La-^sU"
y
y
.B—wL)*
g >,; ;
dix- huitième.
^
.
^s Lx-^-Lj*
-^
y
Il fait
adverbialement
o
C^^cx^x.y
dix-neuxième
y
forme J-^oJ!
L'adjectif Jji qui est de la
naison
y
.
à«^^i
y
^,
\
^
^
.,
.
quinzième.
'y
y
y
'
y
/
,,
quatorzième.
,
.
•^
y^A.^ ,.y^^
,-*»wi*
^
',^
y
c
'.,y
^y
y
y
^^^-*-f^)
»^iu«c A_*«^L^
^jL_w
,
{,•)
cependant Y^
à Taccusatif,
!
deuxième
suit la
quand
est
il
décli-
employé
premièrement.
:
nombres ordinaux sont toujours
à dix-neuvième les
indéclinables.
— A partir de vingtième les nombres ordinaux sont remplacés
174.
y
par
les
nombres cardinaux
Avec
:
i.^ ^ c y et ^ »jj-A.jJ! J..^.â J \ le vingtième chapitre. i,
nombres ordinaux dérivés des unités on
les
MA se. y >
>
j^
"£
y
,
y
> y (,^
fi»
y y?
y
y
X
^j^-^L-cj .A>^lJ»'
vingt-deuxième
^i^Lj
^j^^-A_cj J^^JuLJ
vingt-troisième, etc.
J>^
y
l'T
,
y
y
^9
^» y
y
j'J'c*
jl_;uL»_j
^_^î
y
t.
^
^ingt et unième.
y ..^,
.
y
-^-^^-^3 -'^^~«— L!)'
y y
^-/9Lâ.j
^''
^f It
^,
j;-)U»j «-*-Lj
^j_x-jj!
^ ^
^U
^^jJu^j:,^
sjj-J.*^^
y
j^r^j ^?y^
y
"^
y
X
^'^
jj^r—;j y
:
FEM. y
c
dira
mille
/
•
•
cent huitième
deux cent quarante-cin-
quième (masc). L*adjectif ordinal se place après le substantif. est déterminé^ l'adjectif ordinal
cardinal
Quand
prend Tarticie à
:
>
.s
^^
^^^\j^\
fi
{^
y^s.
/>j-7-5
'
h
huitième jour.
ce substantif
l'instar
du nombre
GRAMMAIRE ARABE
148 /
C
•
-/sLdr-^
i_»_jlkJl.
.wj.i«_*-) Ij
—«
/*
J._..a-àJ
!
-^ z'
/"
^^-£
\
Jk.^Lg'-gJ
Nombres
le
quinzième verset du chapitre.
la vingt- quatrième séance (1).
t
fractionnaires.
— Les nombres fractionnaires sont de
175.
JLoJl
leur pluriel est de la forme
A? O
^^
j quart.
J»
i^
>
z*-:-^
r}-^ huitième.
J>fi
.
îLjjLj'
neuvième.
«-*«_!)*
septième.
p^j^
quarts.
rf^MOî
;
:
/j^A-w sixième, J>S>
^Lx-jj
forme J-^oJ ou J-^^
iT-tr^ cinquième.
moitié.
vii^JU' ^2er5.
a_j
la
(,
^
dixième,
yJuu:.
^ro^s quarts.
Les nombres fractionnaires ne sont pas usités au-dessus de dixième-,
on y supplée avec le mot ^j-a. ;?«r^, partie^ qui fait au pluriel ^^t Wa^L Ainsi pour traduire quatre quinzièmes on tournera quatre parties de :
quinze parties
:
A-j'-^
On
^-Ju_c
L**-jj^
,.»-^
isy-=-
%Ji»-îi
comme
peut,
Les noms répétition
Is^
'
à-3u^*-
dix-sept centièmes.
dans ce dernier exemple, ne pas répéter
distributifs
un à
un.,
deux à deux,
etc.
le
mot
s'expriment par la
du nombre cardinal mis à Vaccusatif, ou par des mots de
forme JLw^s ou C/f"^
^_^ =U-9^^ ajujjI.
t;/t"*~*
'
J-^<a-û_>>,
—
y y c y >a-jj-^
dérivés des
noms de nombre
i«^=^ij i*X-a.ij ijjtç»- ils y,
OU
y ^
P^j
^ y i_^3^/«fl_ji
vinrent
un à un,
la
:
— deux à deux.
,
i7s se
sowi éloignés quatre à quatre.
Les expressions adverbiales une fois, deux fois^ etc., se traduisent à Taide du nom dune fois (^ 163) mis à Vaccusatif: ^•/•c/'-^c''^
c
y y
i,
y
"^.J-^ ^s-^i (J^T^^J-^ Pour
1.
traduire
Composition
:
y y y ^"^'^ cr'—^.j-^ i^
une première
littéraire
fois,
frappé deux
une deuxième
onlrcmèlée de prose riinée
et
fois^ cinq fois.
fois, la
première
de vers très usitée chez les Arabes.
DES NOMS DE NOMBRE fois^ la
deuxième
nombre ordinal
on emploie
fois, etc.,
le
149
substantif
'ij^ fois suivi
du
:
^ /?'-/' ^^ "Il'" ..
'LSu\J
LiJUJt
I
»»-/»
'i>-^
\
* v_a.
il
vint une troisième fois.
îLa.
27
wni
la troisième fois.
Manière d'exprimer les dates.
/î'
— Pour énoncer en quelle date d*une ère un
176.
produit, on emploie les
après
nombres cardinaux que
J^y y
,
l'on
Le mot ijL-w
se
primé qu'après tions ci-dessus
v^
:
LO
y y
y y
-.LjJI ^I^ j^s-^*
^^^^--'
/l yy'
c
*,
y
-^
y y
^x^
^-^
^ .
LjL,j_x_»-w àJUw
"^
préposi-
''.^
y y
/y
y
.iSj
lieu la frise
de la Mecque.
nous fîmes ce voyage en tan sept ceni quarante-trois.
xxcî/' c^-^j'j
y/y y L;;.^
«"'»''»''''
y» y y .»-w:i.wj
,
^ ^
On
j-^^sr-^
>'
s
'^•i ^^JLwi
(Khald.)
y
Quand dans
iT"»^'^!^
»-isy
1
i
J^»
y y
s^l^-2»-
.»l5
ce^^e destruction eut
le
il
y
s'agit de
^
^j-^
/^
Â
tLjlJI
^Lj
y
y
y
y
:
etc.,
on peut
ordinaux ou des nombres cardinaux
(1)
^j-sr^
^-w**^Jj,
Il
I
^
^^ ^
déterminer une époque dans
règne d'un monarque,
heu soixante-
cinq ans après celle de Titus.
traduit de l'ère chrétienne^ de l'hégire par
aJCJL.
.
cardinal
huitième année [àe Vhégire)eut
la
^
"
U^-û-w
(Bat.)
\
P^"^ encore n'être ex-
:
-^
v^JUj
^^
dépendance de
nombre cardinal, et c'est alors le nombre met à l'accusatif ou sous la dépendance des
^Sty^yc^yy (Mac.)
,J ,^-i j»^-^J
la
le
lui-même qui se
génitif
met à r«ca/s«/?/comme
terme circonstanciel de temps, ou au génitif sous l'une des prépositions
met au
s'est
j^ y y
substantif La-^ année.
le
événement
faire
la
me
d'un
homme,
usage des nombres
:
Le nombre cardinal est employé par les auteurs aussi fréquemment que le nombre ordinal. les grammaires que nous avons consultées disent néanmoins que dans ce cas le nombre
Toutes
ordinal doit être seul employé.
GRAMMAIRE ARABE
150
(Mal.)
àSA.p
(Mac.)
:>jb
yj>
^jXJU
iLSJ
'i
\^
^^..^l^ jJ^s>
^
LjjA-xX*o^L>
"^
jj^J
^^
jji.^
^
»iuji_)
^"i
^
!<»
'
.-!)Li;J| vj:^.^_^«**»j
^^^
y
^^è^^e
y
y
i
Néron.
c/e
2^ année
1
y
y
^^t
'^
y ^i\y
ce/a ew^ lieu le samedi^ vinqt-deux jr ^(
y^
V"
'
:
aw dix-sept du mois de sa far.
.3
.^tX)3a
3a«)
t
^
du
.
s'expiiine avoc ra-ljociit ordinal
cv:..^fc/'
1^..
^ Alexandrie la
y
a_jL*«J ^'y
J.JU-C
^
y
»»''''
'-
,.o
^ A.
j
^y
mis à mort
iï/arc l'évangéliste fut
y
Le quantième du mois :.)
y
y
//
J-^
J^JLLiJ
y
c
naquit la 10^ année du règne
de David.
-^
y
y
zï
"
^ »Pii
vJlL^
Jjj
J^
v«J\_^
^^i
en la deuxième année de son règne.
^_â
\
^
-JLs-''^i
*^..
(Khald.)
l^-LJ
\
/'
'
decemore.
.
,_^_=.A-)
(Jab.)
Les Arabes appellent fréquemment
1" jour du mois
le
nouvelle lune; le 15^ c-i-oJ) moitié, le 30^ jJl.^*}
/în.
<5
"...
>•
^.yJL
jL-t ou
Les mois lunaires sont de
trente jours.
indiquent également
Ils
verbes
^Là.,
I
le
quantième du mois avec
^^_^J:A^ sVcow/er
seconde moitié; littéralement
:
pour la première moitié
^
et
en employant
A ^^^JL^
?'es^er
les
pour
la
tant de nuits s^étant écoulées, tant de nuits restant
:
deux rajeb (deux nuits de rajeb écoulées)
:
ijT^ l-XJ_ii. ^2^j_^wXJ_.^jJ
^-f^-^j
les nuits,
le
y
Ov_-o_>oj ^-jwc
o>-*—=** ^.M» -^
cinq ramadan, o,»--_i_i s^<«i^ ?«—>>">
le
l^ seize,
(quatorze nuits restant) (1).
Appendice. 177. j>J>
i-
^J>
^
siècle,
y
^l^
1.
Divisions du temps.
'^
jjJ >y
—
Il
J>j>
heure,
est
y y
JJ c y
y
'Ls.
—su
d'employer
le
/c
Les deux substantifs
de temps, tandis que ou ténèbres.
c
y
>^
jour
{2).
'
-^
le
fcm.
plur.
:
q^
1
«1
féminin singulier au-dessus de dix y
^^^
J^-^
J>J>
minute, ^LJlJ" seconde.
préférable de dire avec
jusqu'il dix, et 2.
jj y
y
JJ' ci mois, r^^^^^wi semaine, J>
j.^
'Lx^ année,
Jf
et
et
y
c
:
t J> 1 ,^j_s_iLS de
C-jL^
,t"^ J^
1
indiquent
indiquent
le
jour ou
le ;oi/r
ou
la
la
nj«7 considérés
nuit considérés
//"ots
,vJ1*-LJLo. '>
y
«a-L-^
J-.^
^
y
*
comme durée
comme lumière
,
DES NOMS
—
178.
NOMBRE
])E
Mois lunaires des Arabes.
l^»"
Moharrem,
CJ"^'
7«
jJi-^ Safar,
2®
3®
Jj^^ ^^^J
Rabi -premier
9*^
Rabi' -second.
10®
^UJl
5«
Jyj^^ v_5-^W-=^ Joumada-premier, iL-jUJ
C
Rajeb.
Chahan.
r)^-^-0 R^^f^^an.
J^j-^ Chaoual. ïj,.xJL3
L5^^
12*'
^i Dzoïd-Qa'da
i
I
j^ DzouUHijja
Jours de la semaine. /'C^A
*
dimanche
/'/'Cit
X^^\
^
."^1
(*)
«L^jt_i,
11^
Joumada- second.
^^L^j-çi.
I
—
179. 6-
/*-rfJ
w^9^j
8«
4®
6®
ir>l
y
X/'C*CÎ
lundi, iLj!^_xJl mardi, iLx-j
mer-
,>1!
crediy ^.^^^_;^1 jeudis Lx-^s-^l vendredi^ C-._^*Ji samedi.
Les noms des cinq premiers jours mier, deuxième, etc.
;
à-x-^-^w
signifient littéralemement
^^^
i
,^^^_^w;lJ'^
i
>^
,$,lJÎ^J:J!
>j^j,
Concordance de l'année grégorienne
180.
— Pour trouver
année grégorienne (G),
il
et
Tannée hégirienne (H) qui correspond à une faut retrancher 622 du chiffre de Tannée gré-
Tannée 1902 de Tère chrétienne
— 622 H
9
On
2.
Pour comprendre
écrit parfois
mence en lan 622 de
i
^
y
j— â^^o ,ç_-^s la raison
de ce calcul,
l'ère chrétienne,
que 354 jours.
même I9Q2
reste (2). Soit
A22
= 1320.
= H. 32
y
^
9
ce
,v_<<_£*.v. il
époque
de relations) pour se réfugier k Médine, celles-ci n"ayant
1902
:
G — 622 H
9
:
de l'année hégirienne.
— de
1.
yoz^/»
etc.
gorienne, et ajouter au reste amsi obtenu
Formule.
;?re-
signihe reunion, et c^-^w, repos, sabbat.
Ces noms sont fréquemment précédés du substantif ^^-j J-=vbJ
:
et
suffit
oii
de se rappeler que Tère de l'hégire com-
Mahomet
quitta la
Mecque {liyS-^ rupture
que 32 années solaires font 33 années lunaires,
GRAMMAIRE ARABE
152
Pour trouver, au
contraire,
une année hégirienne
à
(H),
Tannée grégorienne (G) qui correspond il faut ajouter à 622 le chiffre de Tannée
+ 1320 - —— = 1902. 1320
1
hégirienne diminué de --
622
:
H
Formule.
622
= G. + H — 733
— Chiffres arabes.
181.
q
-).
/j
-tlo
-~
0123456789/ .
Zéro se traduit par
r
r
i
le
mot
û
1
V
A
^
..i^o qui signifie vide^
comme nous
Les Arabes écrivent
f .0 405, AV^p 8763 numérique des lettres.
C»
f
20,
:
ne contenant rien»
leurs chiffres de gauche à droite
:
voir au tableau de Talphabet la valeur
PARTICULES 182.
— Les particules comprennent
la conjonction^ la préposition,
YadverbCy V interjection.
Les particules qui n'ont qu'une seule vaut
;
ce sont
le futur,
:
est-ce gue, *^^ dans,
\
^ ^ comme, J
lettre se
assurément, à, pour, ^ ^ / y v._^jl^1«u> il écrira. Les deux particules et,
;
la fin
à la première lettre du
183.
j
J
et
"s.
donc pas se trouver à
—
mot
mot
sui-
c^ par, ^^ adverbe qui marque
i,
une maison
joignent au
\
et
:
jt
y
*
J^ dans
^ ne doivent
d'une ligne, car elles sont censées jointes suivant.
Conjonctions. J et s'emploie devant tous les termes d'une énumération. ;
^jLni.
Copulatives. {
et
"^
même, y compris.
^
^ ç\
et^
oîsuite, cest poiirguoi,
c'est-à-dire.
PARTICULES
153
mais, on plutôt^ au contraire.
'
J.-J
^jSJ ,^^nJj mais^ devant un verbe. ^
ï;
-^^
c:
*^^0 ,*^Jl3j mais^ devant un pronom
ou un sub-
affixe
stantif à l'accusatif (1). Disjonctives.
{
ou^ ou bien^ après Tadverbe interrogatif
\
I.
ji ou^ ou bien, dans les autres cas.
Ul
oUj
de j! ^
soit... soit;
—
*
—
j\
:
toujours répétée L»!
...
suivie
£
Ul.
quant à; appelle toujours
[^\
Ul ou
...
£
_-
^! excepté, si ce n'estj si
non.
ny a
que.
conjonction
la
^.
Restrictives.
seulement
\l^i\
De subordina-
J
tion.
1
il
devant un verbe.
que.,
s\
j
^i. i
*
.y
<J'^^i
-c
devant un pronom aifaxe ou un substanlii.
^i ,^ ^1 ^we ne.... pas.
De cause.
/ i! puisque.,
*
»!
v^i^»-^wo.
attendu que^ vu que.
^^
parce que puisque. ^
J s3'
De but.
afin que,
pour que. Ces conjonctions régissent
''
^J3
le subjonctif.
[
A 1.
tif
Les particules qui
J]x-^-J sont toujours suivies d'un
à l'accusatif sont les suivantes
^j^L_5
de
comme
:
comme
0\
si,
«^ ses
C-^^-^
;)^m/
analogues,
:
^\
à Dzcm
certes que., çwe...
L.^\^_îL\^
^\
que.,
pronom
affixe
c_^-^^ mais.,
,3—«-J peut-être que. On
les
ou d'un substan-
j^ > parce
désigne sous le
^^\. Nous les avons marquées d'un astérisque.
que.,
nom
GRAMMAIRE ARABE
154
De but.
^
M
CJ
(
"
{
(suite)
De
^^
donc.,
.ii
De supposition.
oJ
réel,
en sorte que.
/à, alors^
donc,
chose possible.
chose impossible ou peu probable.
irréel;,
même
Ô2>n que, lors
.lj
De
mode mode
52,
que.,
en conséquence,
dans ce cas
.y^\
S2,
.!
^£
'^^••'
de manière que^ jusqiCà ce
.JLa.
conséquence.
V^^^ V^'^^'^ que.., ne... pas, de peur que... ne... pas,
^M ^^'^••-
que, quoique.
"s.
concession.
même
lors
jjj
que.
L^J ,L^j ?^r-^^ lorsque, quand; toujours suivie du parfait indique un temps passé. 5! lorsque, alors fait
que; s'emploie devant un verbe au par-
ou devant un substantif pour marquer
tion,
ou qu'une chose a eu
lieu
en
même
la corréla-
temps qu'une
autre.
!M lorsque, quand; s'emploie devant un verbe au ou à
l'indicatif
parfait
de l'imparfait pour désigner un temps
présent ou futur.
Ui! De temps.
,L/»! 3!
en quelque temps que.
<
,jL-fi
L»
dès que, quand, pour le présent et le futur. _:l»
en quelque circonstance que ce soit.
yi,y.yycy
y y c y
L.6~-J, ^~-f, ^-*-^j tandis que, pendant que. y
-^1
quand., interrogatif
»L)i
temps J->»
,
Zi
pour un
depîfis que,
que., aussi
longtemps que, suivie du parfait, ap-
pelée L^ de la durée. y
relatif; s'emploie
futur.
j^i-;»
L» tant
ou
^
UjLi' toutes
les fois
que.
PARTICULES
155
Prépositions.
—
184.
J
— Prépositions proprement dites.
avec, à cause de^ par, dans, auprès de^
,
s
I.
«,
moyennant.
pour, en faveur de,
oJ comme.
^\
vers, jusqu'à.
à (exclusivement).
jiisqii
ex ^-£ de, d'auprès de, au lieu de, d'après, au sujet de.
^-à dans,
en,
parmi, au sujet de.
c
^j-fi
de, depuis, en fait de,
par
suite de,
en comparaison de.
j-^ ,^.^x^ depuis,
^
avec, en
compagnie
de, malgré.
".y
sur.,
^Jo
contre, à cause de, près de, d'après.
^wXj ,^J^J
,-Là. ,iJ-c excepté^
ti^-Lx
Les
185.
chez, auprès de.
trois prépositions
—
II.
hormis^
si ce
n
est.
de serment sont ^^
,j
,c^ par.
— Prépositions dérivées de substantifs.
Les prépositions qui suivent sont simplement des substantifs mis à l'accusatif J.JLX chez, y
yt
y
-^i
:
à côté de, près de.
y
^L»i j^i^J devant. s^àJLà. ,^^jj derrière. y
<.
y
J.«^J avant. y
i.
y ^
J après.
GRAMMAIRE ARABE
156
^_^ ,
parmi.
entre,
ûjJ
sur, au-dessus de.
,j:^^_sH 502/5,
.»j^ S0W5,
jjsr^ vers, :èLftjLj ^
au-dessous de,
au-dessous de, en deçà de, à V exclusion de.
du côté de,
enviroii,
,:^li-»' vis-à-vis,
,-^1 jl
conformément
à,
à r opposite, en face de,
^
&
Notre préposition sans se traduit par
:
>
^
rarement par :^^_^ ^^^
et plus ,t-n-*-f
,^^w-c
^-3
c
,jj«5 ^->».
Les prépositions dérivées de substantifs sont fréquemment précédées de
^-/»
leur dernière lettre prend alors la voyelle kesra
;
après eux, lysr^
JU
devant ^_c,
^
^jjJ
\
,
j^
:
de dessus V arbre.
^-^^-^ ^-&
^
a
^ ma
:
^J-x-j
peut encore se placer droite.
L'emploi d'une autre préposition est plus rare; néanmoins se construisant de préférence avec <^^
-èS'A
Toutes
les
^-j! j-ac-f
:è!3-sv et
en face de
prépositions gouvernent le génitif et précèdent
diatement leur régime; les exceptions sont
186.
:
—
^^
lui.
immé-
fort rares.
Adverbes.
1\
est-ce
que?
j:; eu-ce que?
J D' iï
tion
<
:
^
pourquoi? (J pour, U» quoi?)
^^*'
Le pronom interrogatif
interrogatives
j^-^W-^
(1).
marque l'assentiment à une proposition mative ou négative précédemment exprimée.
r^
(
1.
,L^
,f^L-ft
L-^o joint
i^-^
affir-
à des prépositions forme un certain nombre de locutions
pourquoi?
çts. ,^0^^
de quoi? ^y\ (L-^ ^\) jusqu'où?
l\.Jl.s^ (LJo i^ ^ '^) jusques à quand? On voit que Valif an L-« disparaît. Les autres adverbes interrogatifs se rapportent au lemp^, au lieu, etc. et seront donnés avec les
adverbes de temps, de lieu,
etc.
PARTICULES
157
ex*
/
ne s'emploie qu'à
J-=vt oui',
la suite
d'une proposition
affirmative.
^X.i OUI, mais tive
^i
si;
s'emploie après une proposition néga-
pour affirmer
la proposition contraire.
oui; précède toujours
D'affirmation
un serment.
(suite)
j.^^ OUI, *
coûtes, j^,:^
V
no7î, certes.
certes que, assurément', *,jLj car,
»!
^A
a.
J assurément, \
De doute.
De souhait.
y%
w*
^i
^\
certes,
certainement.
or SUS, ça donc.
*J-jJ, *J-c peut-être que. *
^-^-^
/?^«^^
^
Z)^e^<
que.
L» ne... p«5; avec
V
ne.,,
l'aoriste indicatif.
pas\ avec Vindicatif pour nier
avec
/^e... pas-,
Ly.) ?ze...
^«5
le
ou avec
encore',
conditionnel pour nier le passé.
avec
conditionnel.
le
^^••- /^^^> ^^^^^ ^^ subjonctif De négation. / ct'
\^ point ki
le futur,
conditionnel pour défendre.
le
p'
ou
le parfait
du
le futur.
tout, nullement,
y(3!m«z5;
,Ja-3
^ouv nier
s'emploie avec une négation et un temps
passé. Ij-jI jamais-,
s'emploie avec une négation
et
un temps
futur; signifie toujours dans une phrase affirmative. " <
?
\
JaJLa
seulement y pas davantage,
^-j| ozi.^interrogatif;
û?'ow.?
Ja '^\ vers où?
•
c
-»
^j ^^
où, simplement relatif; ô^^wcs. De
lieu,
^-^-^-r^
l /*
X c*
L^-Lj
1
^^^'^ />
^
c
^J
1
,Lô.jL^ partout où
c?'ow ?
^
d'où,
^.J
î
^^> ^«^ coté où. ^
partout où. \
,
comment ?
y y ;
ç^
Ls_:lj
f-
Î
o
j^,
y >
c
y
o
t^
«?e
GRAMMAIRE ARABE
158 X ^
De
lieu.
y
^
i)
(suite)
• ^
•
^,
z'
.
9
— ^
,oXJLLa
,*J
^
9
Lljfc
y
v^Ijl-2) t'ers là,
quand? à
^-•L^
• ^
C
'
%.
^ ^
^
Cm
/«, là-baSy v1)Lx-2»
..^-j»
de
.Ji
là,
jusque-là.
quelle époque? s'emploie avec tous les
temps.
^LjI quand? s'emploie avec un
—
t^T^'
'
futur.
Ces deux particules se placent devant Vim-
parfait iiidicatif ^oxxv lui donner le sens du futur. ^
<^
,.
.
,
,
J_3 déjà, antérieurement'^ s'emploie avec le parfait De temps.
indiquer une action passée,
et
signifie
pour
quelquefois,
avec Vimparfait indicatif, 1
iSi
(1) alors y voici
,i>!
sj^ii!
v^J 131
que.
en ce temps-là.
alorSy
^-fi\ hier, ^uw»b51 antérieurement',
quelconque dans
\
^^
^
le
un temps
passé.
comme, même manière que, dans une phrase non inter-
comment? ordinairement
de la
désigne
interrogatif;
rogative.
Lô-iw-r de quelque manière que. De manière
I^JlL» comme, de la
l-li',
et de
y
comparaison.
y
y
\
y
y
j^, ^jS^'ùSj
1
!
même
manière.
y ^
J-Sla ainsi^ de cette manière.
y
1
JOj lôo
y ^ Lô-1-*"
O
^^
^^^^^ ^^ ^^^^^
manière.
^
y
r^ > ^j
si.
combien, interrogatif ou exclamatif. parfois, souvent, devant
L^j 1. >\ se joint
^^^''^-r^
^ surtout (littéralement: sans pareil).
XS comme ^
De quantité.
C-^ww$^
S y
"Si
*
;
un
parfois, souvent, devant
substantif.
un verbe.
à plusieurs substantifs pour former des adverbes de temps
:^-.X_âa à te tnoment, >>_A_^^_^
e/?
ce joi^/',
uX_jS«A_^
:
^^-X.
cef/e nuil-là.
alors.
\
PARTICULES
—
187.
comme
Les noms employés
également d'adverbes.
môme quand ils
Beaucoup d'autres mots mis .^^1(1) maintenant'^
yy
y
et
de nmt\
j»
L-s— ou
\
j-J
\
c^s-^
^l_^j
dehors
et
yy c
^j._jjj douceme?ît;
b:-^^'
demain
dessous.
y
c't
j-ô j^jo
\
^-^^-r^-'
^ droite
et
y
yy
L~wiJ'j ^LJlJ peu et
\
yy
y
(^
Lc^^
La^-S'^i
\
:
y
yy
yy
yy
dedans
beaucoup
/rès,
Ij.-^.
^,
y y y
/y
et soir\
:
^LJj tjL^ de jour
\
y
yy
tanouine-fath' a
rr^> Î^L^J auparavant.
\x.l
bon matin
!^w-^sr^ de
L_ç^jLà.j bLâ.1^
\
vj:^sr-',
aujourd^hui\
1
^
beaucoup
J-^
y y
yy
y y
yy
J-r^»
le
sans tanouine
à l'accusatif font fonction d'adverbes
sL*^^j Lis^Lwo matin
à gauche\
iVamma
le
sont précédés d'une préposition, ou
.^dJLk, ^_ài^ ^-^, Lii.=k derrière
après-demain
prépositions peuvent servir
prennent alors
Ils
J-x_j ^fi, Ij^juj après\
j_3uj,
159
6o?2 ^re,
mal gré
Lç-j!v^ toujours.
Interjections.
— Les interjections
188.
y
*
U
Pour appeler:
a)
les plus usitées sont yi y y y S^t ,Lj! ,L_a> ,L^i masc,
,!
:
Pour marquer
Pour
c)
avertir
douleur:
la
Ul
:
\j ,»!
suivie des
Pour éloigner
repousser
et
fém., o!
hélas!
pronoms
affixes,
gare!
y
"a.
a)
1
cî
y
éj
y ^-^t
L^^
:
c^L^-wa arrière!
loin d'ici!
y ^^ c y
Pour menacer
e)
C Pour
f)
féliciter
»y
y s
^f j
^-^'
:
c
y
y
-tS-^^-,
c y
c y
^\
>-j
^ ^ '
ji^
^-jj "
:
malheur! y
bravo!
s^O
^y c y
J«)j malheur à toi!
>
.^^
J
^
bonheur à:
i
x^—^-»-^
^c-f,?-^
•
bienheureux V homme qui craint son Seigneur,
1.
licle
Les noms de temps ont un sens bien différent suivait qu'on les emploie avec ou sans ar:
v/u*;-*^
année-ci,
^^-^
\
wne année, ^^^^ un jour,
^^_^\
aujourd'hui,
o^
,^^\ jusqu'à aujourd'hui.
^
^^
^^^--s-ik.
moment
wn certain moment, JL^—wvj\ présent,
^^^ ^^\
ce^/e
jusqu'à un jour,
GRAMMAIRE ARABE
l&O
g)
Pour marquer raversion
h)
Pour maudire
i)
Pour imposer
LJj'
J
:
silence
:
^! ,^l
:
^iJU
Ouesla
— Les observations sur
189.
donc!
puisses-tu périr !
,à_^ ^«z^/ cAw^/
à_/^
:
\^
fi! fi
(§
le
14, page
9).
ouesla ont été placées à la
fin
de la
morphologie parce qu'elles ne peuvent être entièrement comprises qu'après une étude préalable des parties du discours.
Lorsqu'un mot devrait régulièrement commencer par une
jezmée on
le fait
précéder d'un
lettre
appelé alif d'union^ qui sert de
alif, i -s.
support à l'une des trois voyelles toutes les fois que le
mot
!
,!
,1
(1).
dans
est placé
élision est indiquée par le signe ouesla
La
le
\.
voyelle de cet «/z/s'élide
corps du discours, et cette
Si la dernière lettre
du mot
qui précède est jezmée elle prend une voyelle.
I.
a) L'article
b)
— Mots
J!
Les noms derrière,
,j:^_!
commençant par un
et ses
y.Ay
*-*-!
alif d'union.
^iJl
composés ^JU! Dieu,
*-iji
fils,
nom,
Lx_>
1
fille,
^'--^'n (J^-^^'
homme,
"i^j-^^
qui.
femme,
'i\j^\
serment. c)
\ll\ d)
sache,
J-^J
parfait actif
mençant par un y.:ir^^-^
1.
j^^-^-j
1
>^i
L'impératif de la 1" forme du verbe trilittère
Le
deux,
(i')
\
il
^
w^-x-f! écris,
:
sépare.
ou passif
alif (la 4«
a été extrait^
et l'impératif des
forme exceptée)
^--r^
^
:
réunis-toi.
formes dérivées com-
J-/^a-àJ
i
il
a été séparé,
*
Cerlains auteurs enseignent que V alif d'union devrait s'écrire avec la voyelle seule et satis
hamza
\
\
\.
Cette manière, qui pourrait avoir l'avantage de distinguer Valif
hamzé radical
d'union.
de Valif
ne concorde pas cependant avec les données des grammairiens arabes qui
ploient indifféremment les dénominations
hamza
d union
J-^>J
\
^_ÀJ
\
alif
d union
ou
J-*d>J
\
em-
Sj--
OUESLA II.
—
Voyelle qu'on donne à la lettre finale du mot précédent
Prennent ^_/> qui,,
la voyelle falh'a
^^
\
qui
(1).
^.^ de
la préposition
:
vju-^-J
^
^
7:J-^
pronom
et le
sont suivis de Y article
ils
l assassin^
est
jezmée
si elle est
mais seulement quand
Jjj'LaJ
161
:
^^ sortit
de la
maison.
L'emploi du fatlia l'*'
personne
Prennent
^jLL-o
\
d'amma
la voyelle
^^
Les pronoms
a) :) 2"
^«JUjJ
:
avec
est facultatif
^
I,
wHa donné
il
!
-jl-j
;
vous,
^-x_jj._^
\
^i>
eux
tiennent à une racine
à.U
Pinnocent;
\
défectueuse
a_Â_l=-/^-/»
-J de la
dinars.
désinence
et la
^^9jL**Ji
:
vous avez frap'pé
Les terminaisons Lji des verbes
b)
les
ou
:
personne du pluriel masculin du parfait
ctes les voleurs
^T
pronom
le
de la
^^\
vous
fils.
des substantifs qui appar-
et
^
:
mon
jj)
v-^J
\
î^-l-f
Us ont éprouvé
de Dieu,
les élus
y
La
c)
préposition j-p
(^^ V
:
^-^
^
»
i
L» (2)
»
il
ne ïa pas vu d'au-
jourd'hui.
Prennent
la voyelle
kesra tous
les
pas les règles précédentes, c'est-à-dire
^ ^
licle
:
j^_Lkj
La
b)
3«
^_;»
i
:
placés devant un alif d'union autre que celui de Var-
et
a)
mots auxquels ne s'appliquent
qui est parti?
à-„_*wi
._/s
de son nom.
personne du parfait féminin singulier:
a frappé ton
iJl-:»jT ^::^i .--^
e//<?
fils.
L'impératif masculin singulier et plusieurs personnes du condi-
c)
tionnel
:
wJ-L!
^-LjJI
cherche la science
\
J-^LJ
t
«-^^^J* ^ J
!
n' as-
tu pas entendu le rossignol?
1.
Oq donne une
suite {§ 2.
voyelle à cette lettre parce qu'il ne peut y avoir en arabe deux
12); ce qui aurait
\j est pour
W^
;
le
lieu après l'élision
^
de
^\^
s'est
de
la voyelle
changé en
\
jezmes de
de l'alif d'union.
devant
le
pronom
affixe (§
152). 11
GRAMMAIRE ARABE
162
Le
j
de V énergique léger disparaît devant un alif d union
^,.JC...gJ
we méprise pas r infortuné, pour
I
^^
La désinence
d)
v^JlJ^
3^\lS
^J>-j
1
du
quand
fl?2^e/,
elle baisa les
i, t.
,^J^
J-j ^
mais,
^ c^ ï
e5^ce
J-a»
ç-?/^.^
/'
^^ A^^'
cH"^^
''^
— Suppreasion de
III.
Valif d'union
supprime
se
la
b)
Dans
Tarlicle après la préposition
formule
^**o «i^ /lom
3J1JI
M y
y c
au pauvre,
a-â-U
y
Dans
terrog-ative
û?)
"^
'1
(1)
î
:
^
jjj
combien^
y si,
chez,
y y y<,.^
un OU deux,
)j-x-y-:i^i
y
J-j»
y
y
ou l'adverbe J assuré-
«,
Jy ^
\
|JL.a
oui,
,1
c^ est
la vérité.
verbes après la particule inf et
y
*»*
Dieu, pour ^*-wLj.
.iJLj-jI
y
ton fils?
est- ce
y y
c
*
v_^v»4»j.*_n
gagné?
Dans
l'article:
les substantifs ^3»-/»! y Cf- -'* y et è-
i;-^!
Dans
le
homme
,iii^^-^i.
mot
^A
fils
est celui
B.
Remarques.
(Voir p. 112, note placé entre deux
yy(,%yo^i,y
du père
^ ^ j
Jl_,--cs.!
:
— On voit par
y
femme, précédés de
et iJL-/»!
fc
&
cond
c
a-s-U
J-^ Ji est-ce l'homme?
c
c)
,
fl?e
l'article, les substantifs et les *
a-t-il
(j
^
:
Dans
c)
c
ou, ^j\ que, ^\,
Talif d'union.
a)
:
Ce-
s.
,jl
^-^''^
:
roi.
yt
J>?
-t
lo'-^^ j^
a été supprimé
final
réunis?
66 sont-ils
ment
<j
A
:
lorsque, ^-c loin de,
:>\
y
^
mains du
L'article elles diverses particules
e)
y.
...31 ^j^^-a-s--'
le
^JL
:
y
c
noms propres dont
Zéid
j-jJ
c-
1).
fils
d'Ahmed. y
y
j.^
mis pour
le se-
^
J^
c
i,
y
j._jj
que
le
nom
propre qui précède ^-j perd son tanouine.
Le mot ^_j1 conserve
mencement d'une
nom
r«/z/" initial:
ligne; 2"
d'un ancêtre ou d'un
yycy^cy H,)'^ {j-V
^-***-r:-^
quand
il
quand
est suivi
nom commun; ^
Jésus
1«
fils
3°
y> y
de Marie-, ^^\^
il
au corn-
est placé
du nom de la mère, du quand il est au duel :
^
o"^
^1
> y y ^^Ju^j.i
Joseph
y ox /c-« y y c y y y c y CS. de David-, ^-^^~^, ^-'^A ^-fl-x-=vj J_.ixiJl Al-Fad'l et Jafar,
fils
.
fils
de
Yahya. 1.
On peut cependant après
\
conserver Valif d'union et sa vovcllc
:
,
V
«^
,
^
\
\
^\
,,iX—
\
SYNTAXl-:
1<i*{
TROISIÈME PARTIE SYNTAXE
—
190. 1^'®
Cette troisième partie a été subdivisée en trois sections
section
:
Syntaxe d'accord
et
de régime des éléments qui servent
à former une proposition (substantif, adjectif, 2® section: 3^ section
:
pronom, verbe)
;
Etude des diverses propositions; Notions supplémentaires sur quelques
:
verbes
et
sur
divers compléments des verbes qui ont été éliminées de la première
section
comme
étant d'une utilité
moins immédiate.
— Etude des par-
ticules.
PREMIERE SECTION SYNTAXE D'ACCORD ET DE RÉGIME
DU SUBSTANTIF Indétermination
191.
— Le substantif indéterminé
:
ÔLL^.
arabe correspond au substantif
français précédé de l'arlicle indéfini un, une, des, ou au substantif
employé dans un sens tion est le tanouine //
f^
y
partitif; la
y
/'c
y
/>
'w-;l_j^-J-j
ordinaire de l'indétermina-
:
J»
U-^^ dJ-L» ^c-^ sL*
marque
//
(^
^
')-?-==^
xc * LxJ-T!
^^î ^'o^ bâtit
un
palais.
''
noua mangeâmes du pain Veau.
et
nous bûmes de
^
GRAMMAIRE ARABE
164
Détermination par
—
192.
qu'il
détermine
\
w'v-i jj !j
,!^iJ ij
,
se joint
il
les rois et les
i
J_wJ
/e
!
àjh\
Dieu est pour
\
le (seul)
sultans,
corbeau
/^on, /e /ow/9, /e le
Le mot <oL3
immédiatement
:
LbL**J \^ vjJ_P-~^
.
il^^-^Ju
:
L'article J! est invariable, et
au substantif
l^^^J ^
l'article
et
chameau.
Bleu. Les
noms propres ne prennent
pas l'article parce qu'ils sont détermines par eux-mêmes; il y a cependant de nombreuses exceptions (§ 109) que l'usage seul peut faire connaître. Au duel et
noms propres simples prennent
au pluriel tous
les
vidus connus
JwL^IjI
:
hommes du nom de
deux Zéid;
les
l'article lorsqu'il s'agit d'indi-
sans article
,^\j^J
deux
signifie
Zéid. y
Détermination par l'annexion
^
^
/-
d!
/-
OljV,^— ^Jl «^J. *
:
y
— On
193.
lorsqu'il est
dit
qu'un substantif
immédiatement
est
en annexionoxx à V état construit
au
suivi d'un autre substantif
génitif.
Ce
second mot au génitif correspond au complément déterminatif français
marqué par
de
la préposition
:
le
souverain des cieux.
Le substantif en aunexion ne prend jamais
comme
substantifs dépendent les uns des autres
du souverain des substantif
^j
1
on ne peut donner
cieux,
dans
l'article
les
:
plusieurs serviteurs
qu'au dernier
:
•/'d
C^-C^/*
^ J
l'article et si
w-w/*
vO^j'^-*-*^
C^ijLd-*44J
Remarques.
!
V
>j
V
^
le
jj
>>L^
Souverain des cieux
les serviteurs
et
de la terre.
du Souverain des
cieux.
—
a) Le premier substantif s'appelle antécédent d'annexion d'annexion. complément second, h)
Le premier substantif ne doit pas être considéré
son complément est indéterminé
cSk> ^jL>
:
de boutique, ou à la porte d'une boutique c'est c)
1.
une parole de prophète
Cependant
Le sens
pote de terminé.
:
illustre
J^\ premier
et
ou
j
0'.
h) (1);
c'est la
y\
.
_J\
,
et le
comme
déterminé lorsque
\>-^l
arriva à une porte
f^ij.J
il
J^-i^j
J>-^
parole d'un prophète illustre
à^\,
(Kor.).
dernier ont une signification déterminée,
la porte d'une boutique est aussi fréquent dans les auteurs que celui de
boutique, et dans les deux sens
le
moi porte
est considéré par les
Arabes
comme
:
une indé-
SYNTAXE DU SUBSTANTIF bien qu'ils soient suivis d'un génitif indéterminé dL.-co\
j^^-i-û
»
^ jLa. 5~^^-9 d)
on
Lorsque
fait
première flèche qui vint
^ût
*^ ^^'^^^ ^^
le
précéder ce dernier de
un
un
d'entre les
p)
amiy
de l'homme
fils
fils
Le substantif
^
encore
à Vun de
amis
la
et le
préposition
la tête
suivi d'un
J
J>.si*^
pronom
à
J
\
<^-^^
^^^j-^
un de
:
ses amis,
^ ,^^vX.^ ,^\
et le
le
second déterminé,
1_>LM ^^^-aJ
ren-
il
tournure
la
déterminé
:
à^JL^^^
:
son
une maison a vous, on emploie
^*XJ3 f^_^-SL^
il
se plaignit de cela
(K. D.).
premier, et l'on
fait
se place
ricorde et la bonté de DieUy on tourne
:
en arabe
pronom
suivre chacun des autres du
représentant ce complément déterminatif; ainsi pour traduire
bonté
J'l\ ^\^
c?--?^-
Le complément déterminatif de plusieurs mots après
\
(M. N.).
L-ïw^Jl_j
:
Jw^\^
(Cher.);
dernier sortant
affixe est toujours
Pour dire
:
ç_âj -i^^ v»—^—*-* J_5
on emploie encore très fréquemment
de C homme,
préposition
ses
D.);
(K.
v\> votre maison.
la
frappa à
:
premier substantif doit être indéterminé
contra fils
premier entrant
le
(1)
165
:
la misé-
Dieu
la miséricorde de
affixe
et sa
:
à_l«4aJj
(Kor.)
à_U
'L.,^ss.j
\
miséricorde et la bonté de
la
Dieu. (111,
L.^."
ol)
y^,j
^
Lv-j J,J
1
^^^_=kj
/*-^j-^
les vanités et les joies les
du monde
ont égarés.
Emploi de l'annexion. 194.
—
On
fait
usage de l'annexion en arabe dans
la plupart
des
cas où la langue française emploie de entre deux substantifs; c'est-àdire 1°
pour désigner
:
Une dépendance
moment)
partie^ lieu,
étroite
^L_x-*«^i
Néanmoins
exemple donné, Pour que
le
ils
le
mol
restent
substantif
origine, cause, possession,
:
oXJ_jp3
1.
(parenté,
!
^_j
^_^_awL^
indéterminés
e-ç—^
fût réellement
\
le /ils
le
du
propriétaire du jardin,
grammaticalement;
n'est pas joint au verbe
déterminé
il
roi.
faudrait dire
:
voilà
î.L^
]5^
pourquoi, dans
par \
le
pronom
—-ç_x^
\.
le
premier
relatif
-jJî-
GRAMMAIRE ARABE
1(56
^_^y_iU
à-;s
t
J-jJ
C^j
\
La matière dont une chose
2"
ou de
mesure
la
à_^-â-)
(Mac.)
(1)
«
\
1^^ \^)
ou qui
est faite
JJ
^5>
V
'i~^
1
repentir.
du poids
fait l'objet
^
y
y"-^3 j-^û-fl_)
trouva une robe de laine.
^Y5•'^
ce
13-3)
I
vases d'or et d'argent.
/es
1
i_^^ iwwS ^-^-j
à^
moment du
/e
soleil.
:
^ w ^
^ 4 ^^
(id,)
du
la chaleur
T-xx
I
na pas
pauvre
une
de farine.
livre
^
//
3*
nom commun
Les noms propres géographiques placés après un
nom
ou un autre
propre
^!A_i_j 'Li-^ô^ la ville de <•
^
:
^' J— y y
Bagdad. "
"
'
^y-^>
du
fleuve
le
Nil.
c
»L;->wU
Un
J-^-9^ le
!
substantif ne peut servir d'antécédent d'annexion à deux substantifs qui ne
sont pas joints par
a et\
,^0*L^jT
Bagdad,
une autre tournure
Il
on ne peut donc dire
l.^_a JLJT f,SJè ;\Js_â_1_.>
:
t$j^\ <_^-A Jw_J
^_j*L5LJlJ
^
^l-^JI ^J:.^^ Damas de Syrie.
mont Liban.
faut encore
^
*Jl-*s
\
plume
la
j^.J
la
\
:
plume
de l'écrivain
d'or
Sj-xo-s
2i^_wa_s son palais de
>\vA_à_.>
son palais qui
remarquer l'annexion du substantif avec
t
f
^S_k_-^
\)
la
L'adjeclif en
,_to\l_sr^T /
à Bagdad,
:
/
y
>
y
a^5L^L;c_^
;_>
^
f.^
maison
honorée
voire
(frJL-^LX^)
\
est
prendre
l'adjectif qui d'après la c
c^ v-aJ
faut
d'or qui est à l'écrivain.
construction ordinaire devrait être simplement adjectif épithète
(y_>>
il
;
lettre,
sainte, Jérusalem.
annexion avec un substantif pluriel équivaut à un superlatif
k'L-iJLJT ^-sr'VJo
yM,^s-À-S la plus précieuse des perlée,
les
:
juges
^
les
plus intègres.
c 1.
On peut encore
Taccusatif
\^.^*-StL>
>
C?~^ '
>
/=
—^^^
second substantif de
'
le
premier substantif est déterminé par
i_^_A jJ
\
_-L.>olJ
:
apposition avec \
l'idole d'or.
u--wAv>^j\ le
11
^
ridole (Xor. Néanmoins on peut déterminer
nom de matière en
préposition ^2_^-^ ou le mettre à
la
°" L-.-.-A^ _>L-*o wne ic/oZe d'or.
complément comme dans l'exemple le
le
^
quand
l'une de ces tournures ^.^.«...A
précéder
faire
le
est obligatoire d'employer ' s / c f
l'article
:
^^^_-c
_-.L_waJ\
premier substantif en donnant Tarticle au
às...^^\
premier substantif
les
:
vases d'or.
v-^-s-A >
On
trouve rarement
_^L_>o une idole d'or
;
SYNTAXE DU SUBSTANTIF Remarques sur quelques
substantifs
ir>7
fréquemment
employés en rapport d'annexion. (Voir pour J_f,
195.
— Les substantifs j
m >!
125, 127, 428, 130.) ^f. J^-^iy S4-^' PP-
'^y-^=^,
x»
/«//e,
-;,
frère
i
J^
^
I
•
/'
nom -^
y
f.^/'
z'
^^^ 5«?;â!?i/5,
^
J.-p-^*J
ï_»-a.j
:
^_j
I
t
fils.
(^JUaJ j ^-;;«*_J
^
y
''
^
w
/
jL_,JJi
(Har.)
miséri-
nom de
temps,
:
c
vJl^JLlJnJ
^zJ^'^
i
i
de lieu (Voir p. 128, note)
ji
voyageur.
/e
fém. de j5, signifie certain devant un
vji^li,
devant un
et côté
.
^-^
^
r^*~^
Le mot
I
famille^ suivis d'un régime
remplacent souvent un substantif ou un adjectif cordieux^
^
c
c-._i_j
?72<^r^,
^] père,
^.^-a.L^^ possessew^
3,
je partis du côté droite et
\
' /
du
iit
/-
ob
/• c ^ »Ls:-^*-
il
par-
côté gauche.
^J»
Les deux substantifs
à l'accusatif en annexion avec
^j
y
^
louange^
nom
le
y o ^
^.JJ f
>
On ou
verbes j^_5JLa_j
grand,
est
il
.
«^ ^
\
:
,^ y ^ y ^Li-y» \
à Dieu ne plaise.
c /
/
«OLsr^
trouve fréquemment l'expression
les
de Dieu i,
X^srr-^ gloire à Dieu^
\
refuge s'emploient
':^\jkj>
que sa louange
u
-i_fi
es^
soit
proclamée
puissant et glorieux, rem-
*
^
plaçant
le
substantif
ê
JL
<OlJ t sous-entendu
:
^^LkJ JLd ,i_SLsr^ jLs
Z)teM
a
dit.
Mots ea apposition.
—
196. auquel
ils
Les mots en apposition prennent
se rapportent;
ils
peuvent désigner
Le môme objet sous un nom
1**
y
yy
(Kor.)
'j-^.J^
y
^
\
[J^J~^
y'î-^yy
^
» 1—2^1
y
à^-x^
différent
le
cas
du substantif
:
:
y y
i.
l-L-i %
->,
nous établîmes avec lui son frère
Aaron pour ministre. *
^^^
1
z'
y y-^
iwfl-^wLsr-^
!
y
J
yy )
^
y
y
y y
Lj j_» vJu^x_j
*
_ (Bat.)
2"
o
il
envoya un présent au khalife Ahou H'Abbas,
u^y^"^ Un
objet différent, pour corriger
une erreur
:
GRAMMAIRE ARABE
168
Lw
Une
3«
àjJU" ^ y y y '
^
^
une
partie,
y
-- <"
^
-i
V-^-sr-^
-^
vX.,w/»ji_:J
^
o-sk
une circonstance quelconque se rappor-
:
il
a mangé
le tiers
^^
^ 6/dme
/a
{le
pain, son tiers).
paresse des élèves.
^^ y ^
!
J
V arrivée de ton frère m'a réjoui.
v-«»
^ (Voir,
du pain
^,
(*^
^
^1
y
à_w._sr^ jj
j
qualité,
J-S^l
^
-'•a
fdi vu un mulet non, un cheval.
C^-j1j
premier substantif
tant au
c
^Li-j
»_3
pour l'apposition de
^
y
y
j»^
J-^,
«.>^w^=v,
^9
c
y
^s
y
c
^9
;j"-^^
l^-f,
J=^-*-^
c
y
c^-r^'
pp. 126, 127, 129, 130.)
Mots transposés.
—
197. relief,
Une construction
complément déterminatit d'un
:
^%
^
y
j^
j>
2j-à.i
(Kor.)
£l_Y-*«J
^
L/"
cr^
est
le
:
serait
régime d'un verbe ou d'une
frère de Joseph est malade, on
^
^
^-^
^-^
langue arabe met en
la
malade. le
^j-i
^
^
dans
substantif,
Joseph son frère
^jcL-ij^
>
mot qui dans un ordre logique
préposition. Ainsi, au lieu de dire
peut tourner
^
très usitée
la phrase, le
au début de
^t
^
y
frère de Joseph est malade.
à Dieu appartient ce qui
^
est
dans
le
ciel. >J>y
c
yj>
c
y
i,
iJj_LJL-;9
y
y y
^i.
A-*j
s-
y
vJ-J ^^
j.-a.
t
i.
la
\
^y
i,
Remarques sur ^
c
récompense de ceux-là sera due à la clémence
^
/>
le
nombre.
y
y
^
— En français nous disons avec le nom au singulier, bien qu'il
soit question
de plusieurs individus
frappaient la poitrine, tient lieu
trine
/-
y
y y
198.
du Seigneur.
de l'adjectif possessif.
au pluriel
pronoms
et l'article
affixes,
et l'on litt.
:
:
on leur coupa
la tète,
ils
se
dans ces manières de s'exprimer
En
arabe, on
met
les
remplace ordinairement notre
on coupa leurs
têtes.
mots
tête, poi-
article
par les
ACCORD DE L'ADJECTIF ET DU SUBSTANTIF •xc
^ >
\^
A-ïjj-^-o
(Bat.)
^
(id.)
»_:J
>l
V
^^^_wjjj
i
^
»j_^jL^ ^
X
^
yc^
f
/
es.
^^-^^l_j
frappent
se
ils
^Iq /c'i<r5
l^-Lx-aw
l3-?~^
wV_5
même quand
au duel
est préférable
il
la poitrine
mains.
s'étaient mis de la terre
//i'
sur la î-e pluriel
169
tête.
ne s'agit que de deux individus.
DE L'ADJECTIF
Accord de
— L'adjectif épithète se
199.
s'accorde avec lui en cas.
même
on ne
substantif,
/'«
j._jA-i.
\
y a plusieurs adjectifs se rapportant au
S'il
les joint
pas par la conjonction j
\
1
substantif.
place toujours après le substantif et
/'y /'«•f-X/'fcp M-^ ^^-^ j~^^,
^
Lj-L^>ûJ
du
l'adjectif et
y
e-
l^-J'
î
et
:
apportèrent une pierre
ils
noire f dure, très résistante.
Les règles suivantes concernent l'accord en genre
—
I.
—
200.
Avec un
singulier ou
>»Ui> ^
yy
kw^-i "
^
/
J
-^
'^
y
^^
'
^
y
De personnes
:
deux murs construits en marbre.
y y
f arrivai à
—
^
Avec un -^
-^
y
pluriel. ?
y c-^
j^^L»aJ| JjJu^\^ y
— L'adjectif qui
201.
et
^
I.
se rapporte à
un
pluriel désignant des peret
en nombre avec
le
sub-
:
y (A. R.)
\
y
y
sonnes s'accorde ordinairement en genre stantif
une grande coupole.
£.
II.
a)
(,
c^J.^^
!
:
^
y
à_*_3
nombre avec
/»
^Lja-jLrw
y ^
y »
(id.)
y
y
(.
»Lc^-x..>û^
y
1
f
y
JU
en nombre.
duel.
L'adjectif s'accorde toujours en genre et en
un substantif au singulier ou au duel (Bât.)
un
et
->
î;
»j-3.5L^
,-^ \
y i,,.^ y et ^ .^^-ûwoi^
x
\
^\
où sont
les
digues?
rapporteurs véri-
GRAMMAIRE ARABE
170
,.»-^œHL^
(Har.)
Ji
viJ^L^-s
\
-j-Là.^
mets-moi au nombre de
\
tes ser-
viteurs fiaetes. vj:^L-LrL_j " y
Cependant
des
vj:^LiJL*»w»
musulmanes pleurant.
y
'
peut se mettre au féminin singulier avec un pluriel mas-
l'adjectif
féminins, réguliers ou irréguliers;
culin irrégulier (1), et avec tous les pluriels
^l'accord n'est donc obligatoire qu'avec un pluriel régulier m.asculin des enfants menteurs
«w_^k_>o
',
des épouses purifiées
r-^^J^
;
à>^>\S
:
»j_-^-i:_5'
:>^^\
C^VJL-^o^-yo
de nombreuses croyantes.
//y
De choses:
^)
Lorsque
f
y
i,
A.)^^A-^
le pluriel
y
y/
y
i.'s.
L->.|^I
Z^-'*'-?"*
met ordinairement au féminin
cependant permis d'employer
féminin pluriel, et
le
élégant lorsqu'il s'agit d'un pluriel de petit /y
^yyyyt,s.y
y
y
désigne des choses, c'est-à-dire des êtres privés
de raison, Tadjectif se
(M. N.)
y
yy y cl y y y L=vi_^Jl ^^"t^
Lj^ji.^ Lsljjij
nombre
c'est (§
137)
(2)
est
il
même
plus
:
des planchettes
réunit
il
singulier;
et
des
feuilles écrites. fs y (A. R.)
^
y
^-^^
c
^^ ^
<.s.
y c ^ y
y ^f y
'^^^.y-^
(^t"""r^^J
-»^
l^urs
(*-H^-^
"
^ c y ïJ)j3.ju/»
^J>
(Kor.)
y
y
^j>
ou
sJ:^
t
c y
De personnes
W
des jours comptés.
(*^^
Jsj J.-*-/»
— Avec UâJ
/>,.-»-)
:
un
collectif.
y c
y
c.
^j-ôJ
\
M
\
\
«... V.
(_JJL^ y
y /
202.
— Lorsque
désigne des personnes, l'adjectif se met
le collectif
d'ordinaire au pluriel et prend collectif
c
Tous
i
les substantifs
^^_^_>L_>
masculin. 2.
donc
Dans
/?/.«,
On peut donc les
comme
proprement
genre des êtres représentés par
le
y y
dire
:
ii
^^
lO^
Dieu ne conduit pas peuple pervers.
non^
dits qui ont le pluriel
en q^.
— comme q^j^—^-^
le
servi-
JE
q^_X_a\
apologues, les s'il
/'
fr^^ ^^\-^ ^
/
teurs^
le
:
(Kor.),.iww^Lkj
1.
leurs
J>J>
.-~c
a)
et
yeux pleureront.
j
III.
cœurs [seront) blessés
famillcs^Qic. ne sont pas censés appartenir au pluriel régulier
d^.-ji-^
h ^
j^^J^_>.>_6 des esclaves obéissatits.
animaux sont assimilés aux personnes; leur
se rapportait h des personnes.
qualificatif s'accorde
.
ACCORD DE i/ADJECTIK ET DU SUBSTANTIF
^jJLji-s:-^
LsL-^-s:-^
!
,^\ y^SSj
d'hpahan sont fameux pour leur avarice.
J-_j
\
»3,_à.l
\
f,^i ..a,,
;
/(7
troupe rusée
le S
nombreuses femmes de Zéid.
Le qualificatif peut encore s'accorder en genre lectif les
lui-même
deux troupes
De choses
y
//
6^^_*—Lj
:
^\_>
\j
\
y
Avec un un nom
f
y
d'unité
y/
((]al.)
y
_
»
.»
>..
s.
met au féminin
y
A-^--
^_ji
au féminin pluriel
^
c s.
d'énormes
._^_Ji
"
!
_^
^
haut du
—
A
•
f^ty
c-^y
énumérés;
sur les choses
la
y
LiJ
1
fi^s-y
Lo
99
c-^/*
»l^.^
-^
^ y
S^)
'i\yj>\^
homme
'^^*
i
^j L_j
ij
i.-,_x_:i.j
LjjLst^
Ij
2
^M^j
^bijLJ
!
^^
le
^
^^^
pieds
et le
côté froids.
garçon, la servante cheval qui manquent
Les règles précédentes sur l'accord de l'adjeclif et du substantif sont
trouvent par conséquent leur application avec les divers pronoms et avec le sujet.
une femme
et
y^yi,yy^yt.
^
1.
avec
vertueux. 99 y
y
iO' >^j l—f OU
.)_j-*_j
comme
l'adjectif s'accorde
y a deux ou plusieurs objets priorité sur le féminin et les personnes
^ y
^ y
^9
:
»'w3r-'
99
ciel.
pluriel, suivant qu'il
masculin a
le
au
y
— Lorsqu'il y a énumération,
un duel ou avec un
Dieu)
(à
Avec une énumération.
y
203.
en
des oiseaux assujettis
"
IV.
sauterelles parurent
Syrie.
s^ •w^^j'j'c/' ijl^L^**^' .-J?
-^ ^ y
• w
(Kor.)£:Ly-*«J
:
Us réunirent de nombreux chameaux
i_^_x_y-2^
>l-^J Lj
•^')~=^
collectif
^ ^ y
y/
y
si le
trouve assez fréquemment avec les col-
le qualilicatif
y
y
^9
On
108).
[%
i<j._.jLi^
(Cher.)
^?
col-
y
colleclif désignant des choses, l'adjectif se
de choses
lectifs
nom
-^Uj^IJljT oLiLi._^l_LJ\
singulier; cependant le masculin singulier est préférable
a
le
infidèles.
^y h)
empara.
s* en
en nombre avec
et
>^ un peuple nombreux,
,_^*--i_^
:
habitants
/e5
^
^
''
(K. D.)
^ CA
c—j
^y3y^y ^I^^^j! J^!
L-j
Q
/'•c
-»c/
f
y
^^^iJ
(Kaz.)
171
le
et le (1).
générales; elles
verbe placé après
GRAMMAIRE ARABE
172
Détermination de x
/"
— L'adjectif
204.
/y
c c s.-^
o.
prend
qualilicatif
lorsque
l'article
régime d'une préposition J, ^_^, on met
le
régime
substantif
le
déterminé par un génitif, ou précisé
est déterminé. Si le substantif est
par
X
l'adjectif.
après ce
l'adjectif
:
bî
y /
y
/'c*fc,-^
/
^.^j
(Ibcli.)
c.
^woj-flJ
\
y-> 'y-xJ
J ^^
\
à_U
\
amène-moi
^^JL^
\
grand
le
le
cheval blanc.
de Dieu.
livre
y
y
î:^c
y
» »-^L-c
(Bat.)
/y^y
yc y
jLiJCU y
-^
^
.J
'Li //
"^
^
y
J "^ 1
y y
<.
w-Jl^j
parvins
ye
//:::
y
^c
y
y
//
y/
(Tart.)
^ y
y "i^
Si
,oL—^îsr-^
-Si
^
y
(,
^
aw--<s-*o
adjectifs des
\
/)2e2<
à empêcher
tel obstiné
bien.
jJ-J
^
i^ y^^^
P^'"'
la faute
C^lui qui connaît
les se-
crets.
1
tu écoutes les supplications.
formes énergiques
pardonne
:
ci.
/*-**•-'
construisent quelquefois avec l'accusatif >^IjlJ
J
f ai trouvé un
^ y
yy
Les
gouvernent leur
yy
//''''
f^-*^.
^
iLcjJ!
(id.)
f
le
^
ii>*x->.j
la préposition
LcLjl^ LibLs C-jJ-aj
»-wdr-^' ^ ^
(Har.)
^
y/
yt
y y
adjectifs dérivés de verbes transitifs
régime au génitif avec ou sans
1
l'adjectif.
LcLjl-^ Lj^Li
— Les
r>
'
prospère des infidèles.
Régimes de
205.
bourgade
une
à 1
^
s.
J^^-^saJ,
^9
JjLdr-^
:
•*>
y
99
J L.^, J I
w-o
y
i.
Lsoi-;»
j^a_£
se
iJiJ
!
du coupable repentant,
\^ adjectifs simples dérivés de verbes y c f .^o se construisent avec v^ (1) : ^-j.\,*-J_>^J
Les
marquant
U
connaît
1.
les
pervers
jf
y y L
^v-Jl^
la ^-^
àJJl
connaissance M
^i
owz,
jD^'e?/
(Kor.).
Cette particularité provient de ce que le verbe
gouverner son régime avec
^
>.
*J_6
savoir, avoir connaissance
peut
IIEGIMES DE L'ADJECTIF
^1 .^^
.I.>)1
Les
dérivés
adjectifs
employés dans nn sens
verbes qui
des
L;--vJ
i
^
^.j-^
-^
Les
même
préposition que
^ ^$~^ S-^
(Kor.)
*-;^-i~w»>-yJ
^
1? ij - * » -
1
^
'
H,"^
^-^
1
le
verbe dont
J-^
*^ ^^^
dérivent
ils
—
Le régime
du droit chemin.
l'adjectif.
spécifique ajoute à Tadjectif quelque circon-
comme si nous disions un homme illustre d'origine.
stance d'état, de manière,
enfant beau de visage,
La langue arabe s'exprimer
comme par
le
tion
:
;
deux constructions pour rendre
a
ou bien
réellement terme spécifique
visage; ou bien elle le
Emploi de
c/
— L'article joue
^—
H^J
^j
l-/^-^j
«".
^ y^
^
».
cette
:
un
manière de
substantif qui suit l'adjectif
un enfant beau quant au
:
de ce substantif
avec
le sujet
visage,
d'une proposi-
J»
^
le rôle
/'
....
^
^'^
\
\
régime spécifique.
le /'
-Xr
c -^
y
/-
^
Ci-
M A^\_JLJI
du pronom
s'emploie devant Tadjectif quand
miné; ainsi à
le
en français
visage est beau.
»^J
\....^
207.
fait
l'article
-^
lui
considère
elle
un enfant dont
:
puissant sur toutes choses.
éloigné
"^.-^-f
est odieuse.
gouvernent leur régime
Syntaxe du régime spécifique de 206.
:
^-^
adjectifs dérivés des verbes neutres
avec la
Jt
nous
ceife affaire
J-^ L5-^
*Lr^
avec
chéri des visiteurs.
^«-^
^
aimer ou haïr^
signifient
passif, se construisent
jlj^ll^Jlw.^
(C»n.)
173
le
relatif
^JJ
!,
et
comme
premier substantif est déter-
^)LxJ\ l'enfant beau de visage correspond
>^-xJi l enfant qui
est
beau de visage.
GRAMMAIRE ARABE
174
Au
on n'emploie pas Tarticle devant Tadjectif lorsque le premier substantif est indéterminé, ou lorsque l'adjectif au lieu d'être contraire,
simple adjectif épithète est attribut
L^j
beau de visage,
X
^-
l-^-^j
:
^bLi-)
\
^^^ un
^j^-^^^
enfant
!Â-î cet enfant {est) beau de
visage.
Première construction. — Le second substantif est considéré comme terme spécifique.
t^^—M^-JLJ
—
208.
Lorsque
spécifique,
se
il
ou
I
V
^*«J
V
^*^J
y-^
\
.^^ \
y
ou ^
*-)
y
//
^-^j-^
s'accorde avec
OU
j-O
c^y
^
A-'j-^
y
.^
xZ
I
comme terme
\
le
premier substantif
:
V homme illustre d'origine.
^ y
J>fi
S^)
^^ homme d'origine
illustre,
y
^
xj.^
JsljL-ôJ \j
y^\^
\
y y jj
L.**«J
y
}
y y
l-^-*«J
Jl->.^_!\
à l'accusatif indéterminé, ou au génitif précédé
l'article (1), L'adjectif
de
<^^j-.xJl
second substantif est considéré
le
met
^
\
y
J>
<^
-^-^
ir'^
J..^-^^.sr^
^
^^ figure
9^^^^
et
d'aspect étranges.
(Mac.)
^
^7 y
ï'v-w^^
i,
.-^ y y ^-^
^ y
y
jr
»^Jw.J!
,
L-L-j
^-jf
«i-is
/
^
elle
"
a
jambes de devant longues
les
et celles
de derrière courtes.
^llL']^l
(c. D.)
Deuxième construction. — Le second substantif est considéré comme sujet d'une proposition. ^
y
%
c
-^
L^J_aI j^LfeJI y
209.
—
Lorsque
d'une proposition,
il
le
y
yc
^^
y
c ^^
y
^^-Ul
j-' y
y
second substantif est considéré
se
met au nominatif
et
prend
le
comme
sujet
pronom
affixe
Ces deux tournures sont de beaucoup les plus usitées; néanmoins on trouve assez fréquem= .^ / \ *>^j_5L3\ ^Jwi»i. J\. v-^.v..*'^*.— ment àraccusalif le complément déterminé par l'article 1.
O
:
a
La tournure qui est traitée
laisse
au nominatif
le
par les grammairiens de
l'adjcclif suivi d'un
complément déterminé par
_-^_^
l'article
honteuse. On voit par
substantif au génitif perd son tanouine ou le
pluriel régulier masculin. Celte couslruction est uppcloc annç.vion
^
les
»
.
.^.^.cwLJ
/* \
'
aO
.-X-J
\
exemples ci-dessus que
final s'il est
au duel ou au
imparfaite y-..»^
^w5U.o\
DU COMPARATIF qui représente
genre
le
premier substantif;
en nombre, mais
et
175
l'adjectif s'accorde
prend par attraction
il
avec
lui
en
cas du premier
le
substantif.
JLU
Lj
1
»
JLM
»J>->
Ll^ k^î
..w»
(Kor.)
s
peuple
/^ ci L^-liî
j.
y
relire-nous
C/'CX
/ ^ ^-^
sUsJ
>J*
^
C^o
^—^wX-^w^
1
/
y
(.
i.
celle
ville
dont
le
est impie.
S.
i>__!j*J.-J:«_j
!
de
elle lui récita
!
^
demmenl
^
deux vers précé-
les
cités.
UsJfcji^
(Har.)
A-^Lxwt
(Dam.)
LijJ,=s.
uL^
je vous vois jeunes et dans l'éclat de
^-5^1»!
vos premiers ans.
—
Remarques.
a] Lorsque au nominatif:
se mettre S^-->\
6)
^^ yS
homme
y« suis passé près d'un
t--o
dont
le
père
L'adjectif indéterminé peut se placer après le second substantif
(Har.) «^^.i
c)
Cj)
,^J,-^^_^
premier substantif est indéterminé l'adjectirpeut
le
On
—
>s
Li-t^-****
Clo
\
x
f aperçus
un
vieillard à la
généreux.
:
marche
légère.
trouve assez fréquemment une construction dans laquelle l'adjectif s'ac-
corde avec (Khan.)
è^S^yS^
à «^
est
le
premier substantif,
«A_i_jLJo—iô \>^»,
«sr^
le
second restant au nominatif:
O^ ^^^
ljs-^—^
^
J^ pleure un frère loué pour ses vertus.
9
,^
.
y
y
à^^^\^
66.)
(111,
9
/ >
f
j) .»
^ •g-"^ C
y
,
„.
y
^^—^_x_*
1^1 ij—'»—'
peut-être que tes peines aicront des
conséquences heureuses. d) Le premier substantif peut être sous-entendu *
«H
c-?^./-*—
^
^
^-^
^^ ^-^
Du
210.
—
terme de comparaison,
^—<i-sr^ ,
.
logique
!•
y^ s^^s passé près de celui dont
comparatif
Le comparatif s'il
:
père est malade.
(^115).
reste toujours est
le
au masculin singulier;
le
exprimé, se met au génitif précédé de
ou grammaticale <*w^_Ji_ftJ, par opposition à ranncxion parfaite ^i..jQ,.^:r^ ou y ^ y <.
à^ y-^^^ju^
(jui
a lieu entre
deux substantifs.
GRAMMAIRE ARABE
176
.jljJ
(Gaz.)
^VLs-^
1
i
j^
la richesse. ._-.*»_=s-!
.*-/»
C^-;', ^j
a^-iw vu quelque chose de plus
^
^
t,.-^
,
beau que
^
^^JL^ ^w-^ i
i
''
Les deux mots
y
^jS,)^
J
dans
v^X-^-Lvo
bague f
vies des rois il n'en
les
"^
\
)
9-*
^
^ y
il est
c
belle.
signification de meilleur et de
de
la
forme J-^o_s
meilleur que
^
"s.
dp pi^g
pf^g
j-^f-
j—îb employés avec la ^^^^ comme les adjectifs
pire se construisent avec
cette
^
^
-^ et
^
.
plus agréable que
la santé est
^
^
^^
(Mal.)
JJ! ïwwsLsJl
.w.^
i
^
\
:
toi.
y
c
y
Quand on compare deux rapports d'une même personne ou d'une
même
chose, on
représente cette personne ou cette chose ^ y
c
's.
i,
Ll^ >^y^
^
o.-^
J-*-âJ
\
f
<.J
\
c
y
affixe qui
:
nous avons plus besoin d'agir que de parler.
y
i'-^
du pronom
c
/j-=^
\
*
? y c t yJ;.S\
^^
suivre la préposition
fait
*
^
._^_^>*«_^ c y
c
A-â).
(Bal.)
6
comme
C'est
-i ^_2>
^bl-j
!
y
y
:))Li
s'il
.J
dans
c
•
les
L^.-;-^
y avait
:
plus
e^/e [cette plante) est
commune
musulmans que dans i
les paijs J i
autres pays.
7ious avons plus besoin...
que nous n'avons
besoin.
Pour traduire des phrases tourner
il
:
est
comme
celle-ci
:
plus grand en force qu'en sagesse
il
est
plus fort que sage, on peut
<j^-»-x -*
,jJs._>L_-o
2$^* js^xô
// ou encore Trop... yX-jtJî
:
pour se traduit par
^\
cnuîHérés
sa force est plus grande que sa sagesse à^JL^^j$Ls^
^^J-^
^j$\
...
le
o\
v_^ ^
>i
&
\
\
/
_^_a.
/w^
<0'
«^-'s,
O
^^J-^
et
du subjonctif
wcs besoins sont trop nombreux pour
,^^yJLr>.La*
:
être
(llaui.).
^
y
c
i
y
>
>t,
"
2±±.
t H
comparatif suivi de
•
es
^^
— Le comparatif peut avoir, en plus du terme de comparaison,
.
DU COMPARATIF les
mêmes régimes que
oXli> -\
«V
Un
..y"
,.li_)
.
^_=v!
V
J
je
!
il
*_3)
te
^^
^ y
0-<*C
/"l
^ ^ t ^ ^
y
*
Ij-^ l-^^-H^
J^
^=^
^
suivrai plus que ton ombre.
je sais mieux que vous cette a/faire.
i
^ >
s./
Jl
:
y
^^^-j
ï*-à.ij
^
Joseph
*
XX
^ycf.
^c-^ Lfj^^
\
spécifique
:
y c £
^-!^J •
Le/égime
dérive
il
w
^
j
le
I
que
c^
-Q-fl-)
riche est plus avide de la richesse le
pauvre,
1
du comparatif se meta
l'accusatif indéterminé.
Ton tourne par une proposition dans laquelle
devient sujet
wUJL)
(§
209)
,
le
^-p LJjLj'
!
Ç'
j-^^ t
^V
le
•
''
-i^
i.y-£y%
jJL«Jj iJ-^L)' J^j
y-i c.-^
J
j_;»
^M
-i,
y
>'t-
ïj-fi
(^
oX-L^
^ y
y
J^-^j-i
O"^
donc pas dire
^
:
^i«-^\
— a)
^\
qu'est-ce qui fortifie
i,
^-A
je suis passé près d'un homme'
"^JJ-^
dont
le
père
\
JvJ^\
jLj^!;
il
est
plus généreux
toi.
Le comparatif n'est jamais précédé de
^^
davantage
y y
''
.yv.^ ^^^J.^^'Sfx
plus inconstant que
cœur.
que
Remarques.
:
V intelligence'^
y y
(."t
terme spécifique
%
"
^
7'ien n'est
" t,
le
comparatif reste toujours au nominatif
^
v/u-^
même
comparatif dérivé d'un verbe neutre se construit avec la
^j» jLd-J
(A. R.)
son frère sont plus
el
c^ers à notre père que nous.
préposition que le verbe dont
(K. D.)
:
comparatif dérivé d'un verbe signitiant aimer ou haïr employé
^
Si
J
X*.
S.
i,
^-^V^ *-C;-^ *-Lfti Li
1
•
Un
la préposition
C aime flus que son frère ne V aime
dans un sens passif se construit avec
(Kor.)
comparatif dé-
comparatif dérivé d'un verbe signifiant savoir se construit avec
AC-^
Un
w-O
i*-^^ »_/>
i
Un
205).
(§
gouverne son régime avec
rivé d'un verbe transitif
(Har.)
simple
l'adjectif
177
l'article;
faut employer le
on ne doit
pronom
l'enfant qui est plus beau que lui. 12
relatif:
'
GRAMMAIRE ARABE
178 Mis à l'accusatif,
b)
comparatif peut être employé adverbialement
le
vJU-j»_i--XJ
j__!>L3j>^-oL_>
ennemis que de mes amis
yJiJ\
L.,^-^
\
superlatif •
Absolu
212.
—
/ai plus
CUjï-Ji--^J
tiré vrofit de
^
dï
AJL) J..^
:
L'adjectif de la forme
(§
mes
z'
115).
£
/>-^'
J-^^î
suivi d'un génitif indéter-
traduit notre superlatif absolu; Tadjectif reste toujours
miné
\
(Fak.).
Du «)
^^_j\v>_ftL_>
:
au mas-
culin singulier, et c'est le substantif qualifié en français par le superlatif
qui se met au génitif indéterminé J^j:n.L***JU
(Qaz.)
a_^
ijL_;
S-^^
:
Laodicée
^«^^^^
^-r
est
une forte belle
ville située (M. N.)
le
rivage.
je menai une vie très agréa-
^.J^JLi'
<-^
"^--^
iTT.-^
sur
ble.
JLa.j J_^Ji ""
ce sont des
>_» ^
'
\J^
ô) Relatif
^^^UaJ J
est très
grande
Quand
l'article et
!
y y cîc,^ \
y
comme un
ï]j,^ y
y M
_»
I
-^
^^^^^jj
ioUlow\ ô\
J-^il
employé avec ou sans régime.
employé sans régime,
s'accorde
^_L.4a-flJ
jjLyJà_£j
est
il
être
il
est toujours
précédé de
adjectif avec l'objet qualifié
c'est la
ou en
(iti.).
ôl^-JI, ou ^.l^J^Jl
I
— Le superlatif relatif peut
213. \o
:
adjectifs d'intensité,
,\y-^^y.^ beaucoup: A-^Ji-* ^/v-Li_fi
son égard
\^>'-^ ^a bienfaisance à
excel'
lents (i).
Le superlatif absolu s'exprime encore au moyen des ajoutant à l'adjectif simple
hommes
:
meilleure femme.
y y
L^
I
ils
sont les
deux plus grands apôtres,
y
^ y
y
c tc.-^
^A^j-^^^ 2<>
Le
1
^
o
y
1.
On
^
f >
^
superlatif suivi d'un
OU en être séparé par
ville, ils
c^
^-^ (
traduit
fréquemment
(^^6st le
le
plus nombreux.
régime peut être en annexion avec
la préposition
cette
peuple
^y^. y
construction par le superlatif relatif
sont les meilleurs des hommes.
lui,
:
c'est
la plus belle
DE L'ADJECTIF ET DU PRONOM DÉMONSTRATIF Lorsque
a)
annexion avec son régime,
superlatif est en
le
ordinairement au masculin singulier; néanmoins avec
substantif qu'il qualifie (1)
le
êI-^m-jJ
bAj
ou ^-^iS
_Lv:a_3
!
A
((jal.)
waJcaJ
l'
\
c
/*
Espagne
plus grandes bibliothèques sont
est
:
M-^]
!
il
s'accorde avec l'objet qualifié; celte
l'article et
>^-lwi2_9b5
trois.
séparé de son régime par ^_^,
construction n'est pas très usitée
[J-^
plus favo-
est la contrée la
de la terre.
au nombre de
le superlatif est
toujours précédé de
{jX'T.-'^j-^^
les
^
Lorsque
peut s'accorder
*.
A-Ja-ci
1
^
b)
^
y y
^ j^
1
reste
meilleure des femmes,
elle est la
risée
iJ-Li'
il
il
:
^-»
^J j^-J
3-Lj Jwx_*v^
\
179
vous êtes
les
meilleurs des croyants.
DES PRONOMS
De
du pronom démonstratifs
Tadjectif et
—
214.
tJ-3> et
^jX^ ù sont adjectifs ou pronoms démonstratifs;
suivent pour Taccord en cas, en genre et en
ils
155).
{$
nombre
les règles
d'accord de l'adjectif et du substantif. >
a) Adjectifs
y
c
y
c^«o
y
'i.
dlJVjl
>»^.l)l
:
y
y y
^^
y
— Employés comme
215.
y
adjectifs,
I
tj^
immédiatement un substantif déterminé par f (111238.)
/»
i,
c^
y
j-=-^
1
y
-i
c/'o-^cXo
(Bar.) iww.«s»-ç-)
\
i,
^ y
y
y
i,
V.1U.V
y
^Ji
Tarticle
doivent précéder :
y y
J-ckJ)
ces gens entrèrent chez lui^
^jL^J
mes cheveux blancs m'ont
y
y
\
y
y
s:,
Le oX.J^j! i— "
et
(,
M
^ wA^«dJ
i
fait re^
noncer à ces égarements. i,
0*^-)
y
y
c^^J'-H-y-^' y
1.
c^^
i,
y
cy
I
(j/t!^ {J^ y '^
'
^ ^<;*^"^J y
Le superlatif peut avoir pour régime
correspond alors à notre expression
\-~^^^ Q^_x_j
v-x)
k_-tv^\
le
la
plus
<**_-< l_jt_b
^
débarrasse-moi de ces deux bavards.
proposition
signifiant
O^-^.
L-o,
litt.
au plus haut point
:
:
ce qui
L-.4_^
est.
\>\
cest à l'heure des repas qu'il était le plus gai
Il
^^^ {M^.)
.
GRAMMAIRE ARABE
180
/
• y
dX.^
Lorsque
.
/•
S
substantif que doit déterminer Tadjectif démonstratif
le
ne peut prendre
parce qu'il est en annexion avec un autre
l'article, soit
que
substantif, soit parce
un nom propre sans
c'est
démonstratif se place après lui
article, l'adjectif
:
Uij]^ \Sy-^ v^3—^
»A-a>
(Itl.)
<^
ç^jJ
\Jj\^
c
comment trouves-lu notre maison que voici?
^^w!-» ^JU-J
(Kor.)
oX.s~^
^^7s.\
!
"
^
je
!
te
donnerai en mariage Vune
^ ûfg Yfies
.< J-2>
^ ^-wa_j
1
Avec v^jL-shI ]
ce
j^jfc
Harets
—
que
voici.
Joseph.
ce
on pourrait dire
dAJS
:
c-^ •
216.
filles
c^jLsr-^l
:
iJ-a
ou vJL'jl^
v^O^
et
lÂ-ft
isolément; 2" quand
V
c^J^^ ••
*-»
•
sont pronoms
1°
:
quand
ils
sont employés
précèdent un substantif indéterminé;
ils
3*^
quand
ils
précèdent un substantif déterminé par un complément d'annexion;
4*^
quand
ils
sont séparés par
ils
précèdent un
précèdent un substantif déterminé par Tarticle, mais dont
ils
oX.)
(M. N.)
pronom
le
nom
^j^\
v.^-..A_w
,)
"
y
^^ y
jj>
'*
^
y
y c
f ignore
5<* ;
quand
:
la
cause de cela,
I
LLjLi
(Lx-^-i-i;^
sujet de la troisième personne
propre sans article
^
(jd.)
!
:
Pronoms
b)
/^«'re^^
^^
deux
^
j>
\
•
y
:ji-» y y
c'est
une m.anière horrible de faire mou-
rir.
c-^^^ ^
y
y y
^
c,-^
^.^Ja-xJ
(Kor.)
Remarques. II
faut alors
I
—
f
i,
y
c^
j^_âJ
a)
examiner
i
si
tribut d'une proposition
On i
h)
\
n'aurait '
j^
'
\
|jw2^
^y
y
^
Ij^a,
c'est le
jour de V anxiété,
c' est le
grand triomphe
\
Le pronom de
la
troisième personne est parfois supprimé.
\X-* ou iiO> sont
sairement pronoms lorsque
(Kor.).
y
y
^^
>Lç_x_c.^!
(Bar.)
i,
le
adjectifs
ou pronoms.
Ils
sont néces-
substantif déterminé qui suit ne peut être que
énoncée
l'at-
j J_ij f \X-fc c'est le grand triomphe pas un sens complet en disant ce grand triomphe. :
^L-s_k_i_l\°
:
i
et viX3>
peuvent servir à traduire
voici^ voilày
ou encore
<e/,
signifiant ainsi,
^H ^1
.
DES PRONOMS PERSONNELS de
manière
cette
Croijants
:
^
'<LS^SJ\
'<LS^yJi^\
(isb.),
j-:^^ l^L-^ \X-a
^^^..^^JL^y-^l
Omayyades
Pronoms personnels ^) xi
:
-i^ J^
j-jJ-9 é
(Kor.)
.-i;.
(§
àJjJoô'
^^
i
^^^y^
"
Pour
^
y
/'
'-^
«^-*
'
pronom
affixe fc
y
^
C
y s.
y ^^^
(Kol.)s^^^^-3^ i.
y c^c
vOj-v-^
^
s-
"
y
c
C^
on emploie encore
iT-^^
i
^ ^à y
-.
c *
^y y ^ »j-io (j-s-' (,
i,
y
^^*>
^ ^
l
J
i
y
L»
vlJLJ
y
ma
suite.
ys-
s.
y y
I
inarche à
—
--
'-i-3
.
wo
le
le
:
moi, je désire voir la guerre.
qu'avons-nous 'pour avoir horreur de la
^LajJ!
pronom pronom sujet
verbe
le
s.
^jl ^1 ^JL^M
t
c
correspondant y
/»
^-iJLà.
(Tart.)
c
es tout-fuissant.
on peut exprimer avant ou après
insister
le
être,
i^ *^^* ^^^ homme intrépide que nyr\'iio nnviYl 00^ VOUS connaissez.
^
/*
sujet qui convient à la personne;
(Kor.)
et suiv.).
/l'a
o
20)
149
nous ne sommes fas inattentifs.
L^
j.t-isr-'
^j^
^
Tu
!
y
(III,
(Mal.).
r^*-^
.J-c CU-J
J-S^
^-.JULi-j
(id.)
y
telle était la
— Les pronoms isolés tiennent lieu du présent du verbe
217.
après
du prince des
«^
/»
(Tar.)
voici le poète
^.jy^jT JLjL C^S^ hX-a
situation des Arabes sous la dynastie des
d) Isolés
181
i,
"t
!
y
oui.
mort?
Tu
^
y
es le
donateur par excellence
y
y
y Il
est obligatoire
d'exprimer après
le
qu'on doit énoncer un autre sujet substantif y c y
L^,.-
£
y cïx y ^ y y * * ^ J! (JwjLst-^Ij yjb jwx_A^
pronom ou pronom
verbe
le
sujet, lors-
:
.
'
2'/
s'avança lui et ses compagnons vers
un fourré marécageux. C^-j
]j L)
i
w^-/.-=w
<oi et
moi, nous sommes venus.
,
GRAMMAIRE ARABE
182
— On exprime
Remarques. moi
_^a1 cU-V\
et toi,
C^\ h)
LL<Liw
0)\S\
Affixes
etc.
toi et lui, toi et
pronoms dans
les
:
cuJlj Lit
aurait pu dire avec le verbe au pluriel
:
moi, nous sommes venus.
<-ij-^V
l.^.jfcl^.*-^
:
On
l'ordre de priorité
v.
—
Nous avons vu dans la morphologie (§ 150) que les pronoms affixes placés immédiatement après le verbe lui servent de complément direct et que, placés après un substantif, ils traduisent nos adjectifs possesifs. Régis par une particule, ils sont compléments 218.
indirects
:
^^-J
Ly-aUJ:-^
(Hap.)
''
cile.
^SJi sL» *L^**J
^^
\
vJ
J
A*"
Il fait
\
descendre du
ciel
ieau qui
VOUS sert de boisson.
,•
s^y
(Kor.)
^-^-1
^..tol.;0
/
Lorsque plusieurs pronoms
On emploie
ticule LJi.
sous
la
/'
même
au
sont
les fait précéder, à partir
on
directs d'un verbe,
est
domi-
/e les suivis pou?' savoir leur
.^^-Xju-^'
^
^
à^^
l
encore
dépendance de Si
U)
lorsque
ou
si ce lï'esl,
le
titre
compléments
du second, de
la
par-
pronom complément
lorsqu'il est placé avant
*,
le
verbe
:
c
^53
z'
t
y
1
'^
£
y y
i-
lj^_*J ^
\
yj"
\
o
donne-nous à boire, à eux
à moi.
et
a ordonné que vous n'adoriez
Il
^
' ^^^-x.". ^»-)
^ ^
c;
^i\ ^
(Kor.)
(id.)
î;
j»
f^^,, ^J ^-^-^i—
(Cher.)
que Lui,
v^U^j
>^-A-x-j
^'-;'.
'
c'65< 1 01
*
*
que nous adorons
et c'est
Toi dont nous implorons
le
se-
cours.
Remarques. O^-A-JL-k-X-^ h)
—
a)
Avec
^Lj\^
les particules
^^^\
toi et
qui régissent l'accusatif on dit également
Le pronom complément direct placé avant
^^-3^_;v>^.Lâ
^14
\
:
moi, nous allons partir.
craignez-moi donc
le
verbe peut être répété après
lui
:
[hî.)
Lorsqu'un verbe qui régit deux accusatifs
(,^
244) a pour complément
I
.
.
DES PRONOMS RELATIFS deux pronoms, on
^ •
/»
^ c t^
c
<Jw5'L-Ja^^
(Cher.)
immédiatement au verbe
les rattache
deux pronoms sont à
L^-wj Ij
-:J
i
''I
xc/'
Uv^
j^
^^J>JJl2J
I
ma,is
\
y
si
L_j|
ces :
•c-^
/"c
L^-y-i-c
c
^J
si
nous avions connu autre chose nous te l'aurions donnée.
^ ^
c^x.l~w
je suivis le
^
chemin qu'il m'avait
indiqué. xz
o
^ ^
y
LsLj! ,^_«-^_^j
(Gaz.)
;
troisième personne, on les sépare par
la
^ !}at.)
183
la leur vend.
il
Manière de traduire nos verbes pronominaux.
219.
— A Tétude des
pronoms
nos verbes pronominaux.
hii-même
est réfléchie sur
suivi
du pronom
affixe qui
^-Sl**»_i_j
(Kor.)
I
On
se rattache la
manière de traduire
indique en arabe que l'action du sujet
du substantif
à Taide
convient à la personne ^
^_;_^_^j_l_j*
\yj>yj_^
âmCj
,j-*-flJ
pi.
me blâmez pas,
ne
;r-^^
:
et
blâmez-
vous vous-mêmes (M.N.)^^-3r-r'
^
I
Cependant lés
par
les
^^-*«.âJ
^-^^ M^
les verbes qui
il
signifie
&
c
^
^
oï
j-.^o-ci
î^-v-^
comme
le
^
pronom Ij
I
Emploi de
^^
^
—
^iJl
est le seul
J-^^^ l'homme
qui;
(§
à la
mer
l'esprit,
appe-
247),
verbe
.^-=>^J
le
trouver
:
vois foulant
du
vin.
relatifs.
^i-5
pronom il
affixe
me
^e
Pronoms
220.
^^ penser
spécialement voir en songe, et
peuvent se construire avec (Kor.)
me jeter
désignent les opérations de
Arabes verbes de cœur,
^]j quand
je voulus
C^^^ji
!
(§
157).
qui puisse avoir un antécédent
:
peut encore être employé d'une ma-
nière absolue avec la signification de celui qui, ce qui, etc.
a)
^ùJ)\ précédé d'un antécédent:
221.
—
^i^J
i
cU.*.;«
(CJlJI
v-^1-xJ(.
ne peut se rapporter qu'à un antécédent déterminé,
GRAMMAIRE ARABE
184
précédemment exprimé, avec lequel il s'accorde en cas, en genre en nombre, d'après les règles d'accord de Tadjeclif et du substantif c • c,^
^ (K. D.) vllji...»
y y
i_"_C
v^*^^
(,"£
c
,.i
._j
y
v.j^JLCJ
^
c
'^o
"Si
jJL)
/'
c •
(Har.)
I
d^JuJi
récite les
-^^
.i^Li
yS
y ^
y
ces
î
y
deux vers qui ont réduit
ciu silence
tout jongleur.
i ^ cî
->
croyants qui ont combattu.
^^^
^
ll)-?~^^J~*~^
^iJ
exemples
\
y
"^-^
y
!a-LjlJ (.y-J^
Dans
quel est ce chien qui est avec toi f
/ /y
(Kor.)
y
I
jwâ) Lp
^
^
:
c.
j-wX-jwJ
\
y t
I
et
est sujet; la construction
I
arabe est sem-
blable à la construction française.
y yy
c£.
l^jJ\ ^yJ\ Lorsque
pronom
le
exprimer après
prodiges que Dieu a révélés
révélés
eux
(Kor.)
L^îjJ
y
est appelé ;?ro;2o//2
tournure
\
direct [que),
les
:
faut
il
de la troisième personne
affixe
pronom
se rapportant à l'antécédent; ce les
complément
relatif est
verbe un pronom
le
oLl
^L)l
de rappel:
prodiges lesquels Dieu a
.
yy
c
^ ç_:J
!
àJU
!
vJL^^
I
les
^
prodiges de Dieu qu'il arévé-
''
"
^-^-X-j
!
j (vHl"^
JW->-^
^
y
le
/
c-^
^^*
^
pronom
hommes que fax
vus.
/'
"y
y
y
Lorsque
lés.
-
y
en français régime d'un substantif ou
relatif est
d'une préposition, dont, duquel^ avec lequel^ etc., on exprime
nom
était l'ami
dans
elles
y ^ y y 'l^* L^-J v.^^-^-sr-' 1 y
y
L^-:i^3r-:rr^
^
I
^"^
-'w
jw jj
proposition en contient un;
tournure
:
les
les
maisons lesquelles
^
* I
les
maisons dans lesquelles
était
Vami.
y
y
w,^ ^
" (Gaz.)
w,^^ xJ ..
^Ay^'^
était l'ami\
y
J y
la
si
:
\S
y
y
verbe
le
maisons dans lesquelles
y y
pro-
de rappel après ce substantif ou cette préposition qui se placent
ordinairement après
(Mot.)
le
/-
c
w
X-L-iJ
^^
fy L^LwiiJ y
\
1 1
la nuit
rore.
dont la résurrection sera Vau-
DES PRONOMS RET.ATIFS y
185
x x
t
_j*xJ
iL*««J
\
femmes de
/e*
1
chez lesquelles tu es
Sa
^3Ji
Si
entendu),
est sujet d'une proposition sans
il
du pronom sujet de
faut le faire suivre
sonne s'accordant avec l'antécédent y
y
^_^
cl
^-***-^
^
-^-^
y
^
^-*
f f
y
:
cœurs qui sont plus durs que
les
\
^ -
les
pierres.
jj-^=^-^
(Gaz.)
la troisième per-
cS.
^j-LaJ
^
verbe (verbe e/re sous-
^
y
y
«-^
y y
y y
^J-J
s..j^A-j«w _j-2)
iLô-3
1
y
c,.^
/•
y
^—wj
i
^
"
l'attribut est
as-tu
vu
la vie, sécha.
!
n'est pas obligatoire d'exprimer le
Il
de
\^
y y
JiL-^
D.)
(K.
/*eaK, qui est la cause
y
pronom de
une préposition suivie de son régime
la
troisième personne lorsque
^^^LJ.J'I ^jJ:
:
^ÔJi\ C^:XX
celui qui est devant la porte?
y y
y
y
c
^ Lorsque l'antécédent la construction reste la y y
y
o
y
c
y
y
y
indéterminé
même
y
y
^^j-^-x-Lj
(Cher.)
est
^
y c
on supprime
(1),
^SJ
mais
i,
:
^ cy y
(,
»Lw-.^_/«^
"*--!;
J~^
passai
/^
près
qui
d'enfants
''
jouaient. j>j>
y y ^
jU
(Tal.)
y
y jy
c.-»
àJj-s:-:'.
jJ
y
jj-"^
t,
y c
J>-^-*-5
s.
i
la justice est
^ y (id.)
(.
y y
L^-^-s
^yc^y^yc J.-^-sr-:'.
il
un rempart que
feu ne saurait consumer. ^
c
y
,^j^
^w-^-xj
c
le
.
y
j.jî>
connaitrais-tu
un bonheur dont on
ne soit jaloux f
Suppression du pronom de rappel.
222.
1.
—
Le pronom de
On supprime
quelquefois
la
^J^\
troisième personne A\i
après un terme générique déterminé par
ce terme ne désigne pas spécialement tel ou tel individu 2ilw<b%
tu n'es pas
Vhomme que
pronom de rappel
je désire contenter
(v,
:
,
__i-X->
187).
\
l'article
quand
*,_4-JL-> CU_J\
iJo
GRAMMAIRE ARABE
186
peut se supprimer lorsqu'il est complément direct d'un verbe
ou du participe d'un verbe transitif
^3J
_A_x.i.J)
c^
v_JLL
On
le
JL^
\
c^]
\
âme
désire
supprime quelquefois avec
même
le
^iJ
C^_^Lw
verbe
!
<jwJLL).
la préposition qui le
gouverne,
.JLc
\
f ai salué t homme
cu^«v».
c
(pour
Remarque. ou
— Les
pronom
le
personne
y
^J-M
—
223.
M
S.
î
celui qui, ce qui. _
wj
pronoms ^^,
L»,
^
> ^
sans antécédent
>j;^J
(^
11
prend
genre
le
connu <.
y ^
^ y
(.s.
dit
^.^.
(^AjI.
nombre de
y
i,
\
LijLî. vj:^_x_r
s'agit d'un
il
que vous avez vu nest point
ce
^
_jJ^U \-i y
-^^^
^-^
du feu. c
-a
y
y
S.
^Ji jl_i^!
^
:l3
I
/^ij
^-^^
ceux qui n*ont pas cru.
dis à
il
indiqua
^ (Y, 186)
U quand
ou de
"^
y
(Arr-f
l'objet désigné,
y
"^
bj-^^ y y
employé sans anté-
I
*
y
^^
^3J
^
(Kor.)
c
pronom sujet pronom de rappel
y
ïj-y-^'-j \\
^ y ^ y
(Itl.)
y
:
y-^ iT^ "^
c m
^j:^_,_Lw).
s-y
et le
employé à l'exclusion de
y (K. D.)
que tu as salué
y
sans antécédent se dit des personnes et des choses,
(^
objet précis et
sens et
^î.
oj.^JL)\j
:
,
et doit être
y y
iS.wJ-î'
trouvent également leur application avec ^3.J
b)
même
règles précédentes concernant le
affixe de la troisième
cèdent, et avec les
(
:
J
J-9>-
^.x-iuJ).
iy
—
lorsque cette préposition a déjà été employée avec le
avec
—
(pour
venu
celui que lu cherches est
^{.c^
\
:
bien que ton
le
\
transitif,
celle qui était
devant
lui. L,s_j
lorsque s'est approchée la lêle
de celle que je redoutais.
Remarque. 2'-'
personne,
j^j.JlJ ^Lio\^
\
le
^^^
C'-*-:'.^
— Lorsque ^jul
sert d'attribut à
verbe peut s'accorder avec j^_5.*^jj_>
K^^
\
C„.^^JLJ ^-^
\
\
^J^J\ ou
je suis celui qui
un pronom de avec
me
le
1" ou de
la
pronom
:
^j^T
suis jeté dans l'erreur
j^ suis celui qui est allé dans
le
Yéinen
et
la Syrie
la
U
(i,
1
36;,
(Bar.).
DES PRONOMS INTERROGATIFS Emploi de
._,o
187
157).
(.^
—
Ce pronom s'emploie pour désigner les personnes; le 224. verbe ou radjectif prennent le genre et le nombre que demanderait le
substantif représenté par ^/>. Toutefois le masculin singulier est
le cas
ordinaire
(Cher.)
>^ J
quand on parle en général
c_^a-j
^
Ji vOt-^
,-/»
:
iu viens d'arriver chez quelqu'un
qui veillera sur
L^jJ
(Ali.)
"^
\jJjSJ}
,j~^
<x-X-cJ.-dw
^
toi.
ne soyez pas de ceux que
le
monde
séduit. y y
c
à-J.-c
(Har.)
J
^9
^
y
y
y
c
jj c y
»^t^-^
(jT-*^
nuits à
le
maudire.
qui
te
laisses
y
U
^5) ^ifi
,»c
malheur à ceux qui passent leurs
u^.J
y>cyyy<^y
y
c
^^^j^
(Mok.)
^
y
c
^^J^^ !^ W
toi
détourner de
ton but.
L^
Emploi de
—o
225.
157).
(§
s'emploie pour les choses,
il
régit toujours le masculin
singulier: y y
y
y
,:3l
L>
y y
y
y
c
^
,jX—Lâ_j
ce qui a détrait les générations
disparues
"
(Mok.) yy (Clier.)
/ c *
0.-.C
y^jjij\
^^j\
sj:^Lb^
y
c y
y ^.-^
Ji
Lj^^X-^ Js^Lsr^
U> ,^-j
Xz.
i
^
ah.)
y
y
y y
C-a_LJ U»
^-^
y
^jl;-^
c
y
y
c
le
mur?
y
C^-^j>J
me
je
suis bien des fois repenti
de ce que 99 I,
^j^2-5'-J
1()3)
^ y yc y y c ^ 1 L^ J-3 ^y-^, j-^^-i
y y
y
y
j-2>
détruira.
ne vois-tu pas ce qui est écrit
\
sur y/
te
y t
y y
f avais
dit,
^
/e S2èc/e
i
élève tout
ce qui est
d'un moindre mérite.
Pronoms
interrogatifs J
226. ?5
J
^-fi
(Har.)
y y
y
c*
employé pour interroger
c
et
Ll
C^
158).
y
signifie
qui? quel? et
I,
ou
môme
-'^
»^j_^j
Ll^
de
<:J,J yy
U>j
—i_^*
à
y
b
!
(^1
w^
cÀJ
:
(^
y
j^-^
1
I
L^»
^wi est- tu
L_^ siy
alors être suivis de Î3, de
s.
^ (M. N.)
y
que? quoi? Ces deux pronoms peuvent
nifie 'S
—
^
^^-^
:
et
que seras-tu?
oae désires-tu de nous?
GRAMMAIRE ARABE
188 c
-»
^
J»
•
c
ç^j-'^o-^^ v>5"^
(Kor.)
—
Remarque.
^
^^
quel est donc celui qui vous secourra?
L^"^
y
Les deux expressions
On
quoi Vintention de? signifient pourquoi?
OU de
ou du pronom
la chose,
eh\ un
pourquoi
cet endroit est-il désert?
— ^t
pronom
y
.
lieu
Lj^H
:
littéralement quoi à?
l-^,
Jl_>
les fait suivre
(isb.);
nom
du
J^Li)
^^
\
la
J*-a
Lj»,
personne v*XJ L-«
\>X-a ^L->
ç_-«ô^--^\
«L
de
^!
{§S
157, 158).
peut être adjectif ou pronom interrogatif, adjectif ou
indéfini^ did]eciiî exe lamatif.
^\
a)
interrogatif.
— Employé pour interroger, ce pronom peut être suivi
228.
L**
(Koi.).
Syntaxe de 227.
'.
iJo,
en tient
affixe qui
pourquoi ne manges-tu pas?
tel,
J
pronom
affixe
ou d'un substantif au
génitif (1).
•
Suivi d'un
pronom
••
<££
affixe ou d'un substantif déterminé
lequel? Le verbe ou l'attribut restent au singulier y y
/^
(2) L)!3-ft
(Kor.)
d'un
^ yt
^\
signifie
:
^*
y
J—i»! ^-^}
lequel de nous est plus terrible en châ-
timents f >
y
c.
^
w
y,^
..^
xjjS-^ iAJ\ c^L>
(id.)
y
^
y y
c
y
*
-G
^\
!
lequel des signes de
w*
y
oX.aJL3 ^L» L,—^_;l-» Lj
(Har.)
Dieu nierez-vous?
^
''
de laquelle des
^
deux ton cœur
est-il
épris f
yyycy^S-^-^'S' ^-iLw ^. ..y^-^jJ ^\
deux hommes
lequel des
\
est
parti?
y
i
.
^\
parle.
a) «
On
s'emploie encore sans régime pour s'informer d'une dit alors
Avec un substantif déterminé
y ai vu Hind. — Quelle b)
[1
—
Lesquelles?
a été dit (§§
régime, et que, 2.
:
îJvX-Sb <iv-_>\
11
sonne,
157
même
et
Hind?
est cette
Avec un substantif indéterminé
femmes.
:
Cjt->
ou i>_>Ljb
<^^_>
\
CJL-Ï
\js--La
d.,.<.->\<
IL»
»
\
COlS
gl.,.4^_'>
CU-^\
>
JLs
«
fai vu des
»
158) que ^c
\
n'a
une déclinaison complète que
s'il
est
devant un régime féminin, on emploie ^^\ de préférence à
n'est pas obligatoire de joindre
comme on
personne ou d'une chose dont on
:
^\
et
son attribut à
doit le faire avec ^>>._T\, ^^^^^ oxiXJo.
l'aide
du pronom
Page 185.
employé sans
à^A.
sujet de la 3c per-
DES PRONOMS INTERROGATIFS y
•
-^
Suivi d'un substantif indéterminé^ l'allribut
prennent
nombre du
le
^J s^^wJaJj
ï.Xji^
)
d!
^\
dî
quel? Le verbe ou
:
*
^î
2*Lw=î^
î
signifie
substantif
^ y (K. D
x
quelle vie
me
^\
lU-Y-'L? ^^\j-fi\
ou
serait agréable 'puis-
plus?
qu'il n'est
l_;i^lJ
189
deux femmes de-
quelles sont les
bout?
^\
b)
— Lorsque
229.
la
ou pronom
adjectif
indéfini.
phrase n'est pas interrogative,
^\
signifie touty
Viimporle lequel^ quiconque lorsqu'il est employé sans régime ou
avec un régime indéterminé; d'un régime déterminé • (1,
116)
^Ij ^
*^^iv.i^l
\y^^ù~s.^
/•
y
.
c\
^
Lf
i
tout roi qui a bu
i/
.
^1
cr^-i.
^^~V~^
^
\yij~^\
/f-jjj
v_f
^
^
^
^
^^^^^-^. ^
''
vin.
permit de professer toute religion
décapitez tous ceux qui se sont révol-
il se
demande auquel
des dieux
il
re-
qui
te
mettra ses destinées.
^y ci
»JJÎ
(Mal.)
^-^^
v^^A-^-ar-*-'
1
>.^-a-
prends
"
Remarque.
nom
—
^!
celle
d'entre
elles
plaira.
quand on n'exprime pas
est indéclinable
le
pro-
sujet de la troisième personne qui devrait régulièrement le sé^ y cl ^ Sit Jwia-sl ^-^,}
y y c vi y -^-^ *-!-«. salue celui d^ entre
i,
parer de son attribut
:
^
qui
du
^,5
l_5jL^
ij-^^a-c
est suivi
qu'on voudrait.
''
(Mal.)
il
s-
-it
^jSjl^
^U-U
»i
quand
:
JH-i»
V
signifie celui^ cez^a;,
il
est meilleur.,
pour
:
c)
230.
—
^\
y
C-*
j^^:^
\
^\
y ^
j_a
c
yéit
^-^_j
\
y y JLc
c
eux
m y
.J
,.
exclamatif.
exclamatif ou admiratif est toujours suivi d'un génitif
GRAMMAIRE ARABE
190
indéterminé;
substantif qui précède peut être déterminé, indéter-
le
miné ou sous-entendu
:
o-jl-i
Lorsque
lo
l'accusatif
^J
ç5*
^W
^
y/
^\
substantif qui précède est déterminé,
le
se
met à
met au
même
:
t
J»^
^\
^^jLs
c
/*
ïL^
J-Jj
y
/y
Zéid
venu, quel cavalier !
est
y
y
y
-ai
Quand
2^
cas; le
si le
nom
nom
le
nom
c
'^'s.
^\
sous-entendu
est
sous-entendu y
s'il
était
f
y y f^
^îj
^^-A_C**w»
(Har.)
qui précède est indéterminé,
t^^o
^^-J
^^1
A>
:
c
r homme est un infortuné,
^wjX**.-;»
î
se
met au cas que devrait avoir
se
exprimé
^\
et
quel
'*'
infortuné ! y /-^ (11,34)
J La
gg
R.)
J L-^
Jîj-i
^
^
y
vSa
Jw-xj*
^i
^
-i.
^y y Ij vJl^XLxJ
X/—
*'
^\
!
'^
(L
*
^
/
z'
c
^w
•
xow,— L»wjjJ
!
cramponné à de longues
^'e*
espérances, quelles espérances ^
>
!jj.-A_xJ)*
on^ seru^
z75
culte y/
Dans ce dernier exemple
le
f
y y
•'m
mot
t
s,
le
monde^ de quel
!
y y
sous-entendu.
J-^-*J» est
DE L'ACCORD DU VERBE AVEC SON SUJET Tantôt
verbe précède^ et tantôt
le
—
L
1.
Il
le
le sujet. :
le sujet reste
toujours au singulier,
verra dans les exemples qui suivent
(1).
est très rare que le verbe placé avant le sujet s'accoi'de avec lui en genre et en
;^_5-^^*—a—i
mon
Accord en nombre
— Le verbe placé avant
comme on
suit le sujet.
Le verbe précède d)
231.
il
^>
visage les
v«^,*-;^_-wXJ fils
\
^\^_iJ
\
ti^}\
blancs de la vieillesse.
les
jeunes femmes ont vu
nombre
:
briller sur
DE T/ACCORD DU VERBE AVEC SON SUJET Accord en genre.
h)
^
1«
Masculin obligatoire
— Le
232.
verbe placé
gulier
^L;-^^-'
y
M^ j
i
c~^
aJi
^ pbG
/
y
•
\
k.
met nécessairement au
sujet se
le
un substantif masculin au sin-
le sujet est
un
c'est
y
pluriel régulier masculin dési-
:
y /
y
(M. N.)
c
ou au duel^ ou quand
gnant des personnes
y
c
j—s>^-
:
masculin singulier quand
c
v-=F^
L^-Lj
52-Ll?
'
quand Vaurore que
^ y ^
y y
^
^
y
'^y-^
iij *-->toLs:-^
(Har.)
fi
^
y
leva
et
et
y y
àJ jLj{_3
!
se
matin parut.
deux hommes jeunes beaux s'avancèrent.
''
y
y
le
(,'t
iUUi, i^-^j j..^\
.j1-^w^-2w
(id.)
191
alors ceux qui étaient présents tui dirent.
• 2""
Féminin obligatoire:
-^
J.*J
A"^
fi
c.
ôl^^l il^JLô.
I
— Trois conditions sont nécessaires pour qu'il soit obligatoire
233.
de mettre
le
verbe au féminin
de sa nature;
il
désigner un être féminin
le sujet doit
:
immédiatement
doit suivre
le
au duel ou au pluriel régulier féminin
gulier,
y
c-,c
y^..j^
(Kop.)
s.
^
^j-^
y y
Genre
234.
:
^
vJI^JL?
la
femme d'Al-Aziz
dit,
^
^
y y y
'C ,~*>
,jL«:^jL3r-'
A-^-j^-Lû
verbe, et être au sin-
y c
fi
^
y
y
3*^
J_i
C
1
sji^iwi-/Sj»^
facultatif
:
— En dehors
i
C-^9^^.^
les
c^:-a.
les
1
^
^^
.«<lj
deux jeunes
croyantes eurent compassion d'eux.
i-^
i
filles sortirent,
^
i
.^
i
^^^-AJ
.
des cas énoncés dans les deux règles qui pré-
cèdent, le verbe peut se mettre au masculin ou au féminin; mais on
emploie de préférence gulier ou
un
collectif
le
masculin lorsque
désignant des
préférable dans lous les autres cas c (Bat.)
^
y
-^
A—^-A-LL
^-3
fi
y
c
U-jL-s-'-»
s \
le sujet est
hommes;
iJ^-^^iaJ
1
^-j>
(V
V
-\jj
pluriel irré-
l'emploi du féminin est
:
y Z y y
^jJslH
nos compagnons se séparèrent
pour (Mal.)
un
à^ * 1
L_x_^
les
poursuivre.
son épouse se plaignit à lui de sa misère.
>
GRAMMAIRE ARABE
192
c^ ^ ^_^>JLc ^
iM
j'
lijJ
(Ibcli.)
r
c/'c
>»
viX^ 3
(Kor.)
J.-«-J
y
c
^ ^
* ^
c
y
y'
maison tomba sur eux.
la
y ^
c
^„^^3jJL'é
..y-^
^
cuJa-iî-w
1
^"
vj:,.w.**i
ensuite leurs cœurs se sont endurcis.
Oq
pu dire
aurait
—
Remarques. est restreint par
a)
l-^\
parce qu'alors
n'est,
si ce
gue^gw'Mw sous-entendu
j^_i»»\
^^-*«J.
.,
Le verbe reste toujours au masculin singulier quand
ou
"5\
LJ—
yji^ijSJ, c-^_xJ-,
(>^,j-^ y\ e^-_A> Iwc
:
du verbe
le vrai sujet
ou ^.j-^
le sujet
est
L.«->wt
^^.^.a^
n'y a que Marie qui soit partie. y c b)
Le verbe reste encore au masculin
^>JLS\1J^T LxJl-^ îLiL
ces
c)
Le verbe négatif ^y^^-^
o
\
^
est bon,
il
^v^^l-^
il
deux;
verbes de louange et de blâme,
n'est pas, et les
même quand
mauvais peuvent se mettre au masculin
fémmm
sont immédiatement suivis d'un sujet
ils
les
deux femmes sont venues.
il
est
a pour sujet 1-XJl_^ toutes
s'il
de sa nature
à^^Ji^
:
\
Cl-w«—a—^ /'
ou a—»J que
.^X-Jl-^kJ^
—
^,y^
^^^j_A3
^__s
—
IL
235.
bonne !
roi est
verbe a plusieurs sujets, l'accord se
d) Si le
,^_^^_^
du
la fille
>
Marie
Le verbe
j
,ij..fiJLj
tU_;_>
j^!^ Ij
V
premier
exactement
le sujet suit (§
189
>-l-xJ
!
^
''
le
:
C-.w^wLJ'
suit le sujet.
d'accord de l'adjectif et du substantif
(Kaz.)
avec
Aaron parlèrent contre Moïse.
et
Le verbe placé après
fait
et suiv.)
les règles
:
la science et la
bonne édu-
deux
cation sont
trésors
inépuisables.
X
/'«
• c
.
-a
v^ji^^i J-^
(11,49)
"^i
^ 25)
c-
^
%j-?^-^^
z'
j5
^ y c c'S. tlj_dkJ!
^
^
^
(II,
^/
/•
yc
/'
^-^
w^aJ-Jj pjLk^
ij
am/5 ne sowi connus que
dans Vadversité.
/ c*c^
y o y
s-c-^y
/(?*
^é-^
lT)^^ *-^^
^^ ^^^^ ^^ terre rester tandis
que y 70)
(II,
^ y c,^ f
J^JLjU
\
c
->
J^***-2_!)*
y c^
La-jjJ! ^^jLdwj ^
Remarques.
les
amis disparaissent.
/es futilités
le
les
précéder tous,
premier. Les verbes s'accordent d'après
occupent par rapport au sujet
grands de son royaume
du monde per~
vertissent les esprits.
— a) Un sujet commun à plusieurs verbes peut
ou mieux se mettre après qu'ils
les
^-^
:
<)c-;^-.I_>^ V^Jl-st^I
à^JL^^>
AaÎ
se soulevèrent contre lui et lui crevèrent les
la position
<^^JULft
yeux
(Bat.).
^Ls
DE L'ACCORD DU VERBE AVEC SON SUJET
193
Quelquefois on n'exprime le sujet qu'après tous les verbes; le dernier suit alors les règles d'accord du verbe placé avant le sujet, et les verbes précédents s'accordent comme s'ils étaient placés après le sujet. Cette construction est appelée 6)
^AjIj
en arabe
contestation d'influence
oL-o-IjT
:
L^j..:L
e^,^-*}»^
les
deux
voleurs sont sortis et ont fui.
Une construction
c)
rare encore appelée JI..àJc.^\ détournement
plus
comme
fluence n'exprime qu'une fois
phrase sujet
^j^J^\
sujet
complément, ^^^v>^jlj\
et
Ju_j
1^^
ou complément un mot qui
C^j-^^
Zéid m'ont frappé
les
et
03^>^jJ
—
l""
Avec "^J
.^:a-i-_*v
^
2*^
s'il
je les ai frappés. La construction
»
le
sujet
^^\j^
\
bi-T
ces
^
est suivi
O-^^-v-^
^^----X.j
•
-^
deux
d'un régime,
i,
ou CU%-Cj
,J.-j
£:L^mJlJ
!
4**
Avec
qu'il s'agit
!_j-v-ûj
OU
^UJ
jis-*-f
le
1
le
toutes les
^
régime
est
un
:
femmes pleurèrent.
»!
tous les
comme hommes
2-j._^-2^
'i-fi\-z,
,
._j
et des
L_w
•
s'en allèrent
verbe se met au singulier ou au pluriel suivant
*-LxJ ^
si le
régime de
le
d'un ou de plusieurs individus *-cj
comme
verbe s'accorde
universalité
a-^v-y-r».
\
:
cAa^we âme goûtera la mort.
J^
autres substantifs qui indiquent
\
•
o
désirs vont être exécutés et
au singulier
Le verbe s'accorde toujours avec
IjJLLjû-j
J»J>
y
0-5"^ U**"^ ^^^
^
X
cfiacun de vous sera content.
pluriel déterminé, le verbe peut rester >
J'J'
,^---y-^ ^ja.^.
verbe reste presque toujours au singulier
^
Lorsque J-T
composé de -^^
avait pour sujet le régime de ^^'^ cependant
3*^
la
ou ^_^y^j-j<i
^^^:)j.Jo
^
Accord du verbe avec uq
V^\£^
dans
est
C99ityyyy yCSw»
régulière serait ^6_^^-^^j-yô_5
236.
d'in-
1
J-2>i "
^jia-»-,i
:
un savant a
dit
ou plusieurs savants
ont dit.
13
GRAMMAIRE ARABE
194
REGIMES DES VERBES
Verbes d'existence 237.
— Le verbe
\S
^^o
:
et ses
analogues.
a été exprime l'idée d'existence ou d'état;
il
verbes précisent ou modifient cette idée d'existence en
les autres
ajoutant quelque circonstance de diirée^ de lieu, de tempSy etc.
Voici les principaux 1<>
2o
Pour
:
Pour indiquer
^
^durera., il
nier l'état
:
v^-^J
.
durée
la
A
J^^ rester^
pas
il n^cL
été. il
>\:>
:
A
L^,
Jtj
a duré^
A^ L»
A
^jis U,
>^jj> L»,
tant quil viJ-fiJ
i
L*
n'a pas cessé» 3"
Pour exprimer
I *-=^j,
4"
^-Jj
es^
^«
1
Pour préciser
il
a été durant
a
e7e c/ans /e
le
le
changement
IjL^^
:
moment
le
jour,
A,
:
^-^^î,
I
vO^
!.J-c
milieu de la matinée,
U.
—
l'accusatif
^Lc,
redevenu.
z7
Le verbe
k
.
eVe «i^
âj
^-***-^
^!j,
et ses
^
matin ^^
^
A
7iuity
,^5-=^^^ *^
^
^'^^'
jJh
^^
^^^^'
y
y
(.
jlT
4JJI j_;a_j
f-
XS
a passé la
il
^
238.
devenu^
il est
analogues régissent leur attribut à
:
y •.fc/f/ ^ ,^ ^ y y y L^-^Jà-o vlI-J-c à-iJ J-^.9 tIS' i^
(Har.)
bonté
la
i
Dieu pour
de
a été
toi
grande. ^y
^ ^ y o"^ -^ 'ij^Lj" Ij^..Jl} \
(IbcL)
y y
o
C^J ^
la nuit était éclairée
par
la lune.
y
/yy'^y^i^^^ (Ali.)
LLL-x-;»
y y
*-.^-;-i
c
y
i,1
Lv»^ C^.sr-^1
matin leurs demeures furent dé-
le
sertes,
Remarques.
—
y
a)
^-^
L'attribut de
se
tif
avec
Jj*^ ô)
et plus
«.->
1
n
est'il
rarement avec
,,.^
met de préférence au génic ^
c :
^..ws-^
pas capable de ressusciter
les
c ,
"Z
«!
y y
morts?
y c ^t
y
1^ oLjL)
,
>^\
(Kor.)
Ces verbes peuvent avoir pour attribut un autre verbe à un mode
personnel
:
me blâmai
de ce que j'avais fait
à-U-».? U» ^-a-c-
--*»wâJ (M. N.).
.^J!
c^^s-^^t
/e
matin, je
RÉGIMES DES VERBES D'EXISTENCE //
—
239.
Avec
C
c^
/*
^^w-x-)
(Har.)
I
'
C.
on met également à
/
l'accusatif le
terme
ou une circonstance qui
sujet,
J.JiJ f
y
^"^~^
^
s'y
"
^
Ce complément
aimé.
rentrai tout joyeux dans
,;e
^ C''
et
a ma
patrie.
/'<'•
J>
^Jw.Ju_/9 Lia-^
a-j^Lj! jSJ:**j^
vécu glorieux
OM?, ^M «5
w^-fi
^
"
C-?
•î
o^-'^û
J,_^w.^2w
j-^y-^
^
(id.)
/'
:
i^j^^
(IV, 42)
tout verbe,
exprime Vétat du
qualificatif qui
rapporte
/*
195
levèrent en proclamant les
se
2/5
^
bienfaits de ses mains.
en arabe complément d'état, JLsr-' jours d'une action verbale, mais le verbe peut être sous-entendu porter au régime du verbe est appelé
\
il
dépend tou-
il
peut se rap-
;
;
:
(Qal.)
J)^_JLj^
»^L-<j
<^Lsr***^
^k^o
^^\
\
^\^
il
à^
L.o~-^L^-
(Har.)
^_^_-^a_sr''
^^^_>ô\j-^
nuage qui passait
avec lui pour juge.
LJL-o—^.«^'\
iiJL<«
le
/a réconciliation des adversaires
**
^j-_:L\ L.;w**<».>^^
(id.)
\
'
'
regardait et disait.
y
es-tu tantôt de la tribu de Té-
min, tantôt de
240.
—
Les verbes J'j Lp
cesser s'emploient toujours
On emploie
devant
l'indicatif
et
devant
(Bar.)
le
"^
,
.-î^-i
avec une négation
temps passé on peut remplacer de *J.
,^^ U
devant
le parfait
le
par
l-^,
dl-iJ
(1).
Pour désigner un
le
jy
J
1
/le /?as
conditionnel précédé
le
présent ou le futur,
conditionnel pour exprimer la défense
^l-iJ!
L*
de Kais.
pour exprimer un souhait,
parfait
de l'imparfait pour indiquer
l^ijJ) ^jJ-à.J.oj
celle
les
:
gens ne cessèrent d'entrer par
troupes, 1
j-jw«-w vJl^Jj ^
^Zj^-^\ jS\:> jylî
sois toujours
heureux!
necesse jamais de songer à la mort.
bJ
r 1.
Le verbe
(soleil), fait
J\j employé
à l'imparfait
quittés puisque tu nous
sans négation, avec
Jj^^
:
a quittés
l-Li v£jj (y,
225).
la
$\
signification
^^^^_I^1
de
LU
disparaître,
J\J
décliner
la Joie nous
a
GRAMMAIRE ARABE
196
— On peut
Remarque.
cependant supprimer
... une proposition mlerrogative
la
négation après un serment ou
.
.dans
\j._^L9
»-
j—î
<OlJ\ ^^^-^-^^
\
me
serai pas de
tenir assis;
f
j ai dit
yen jure par
:
L3[^_i.-ow« J._^-jsrC^
la droite de
:
p
<
DieUy je ne ces-
- j.^^ J.-*
\
<,
C^JLs
,
qui suppose une réponse négative
l
avare
peut-il
haï?
cesser d'être
y
^J>
f
ss
y
y
/>
^u j^, jLr — Les verbes
241. ^-ŒT-^i,
>i^
L-p
:
/'•
•ex
^LS',
^-J,
X/'O*
•
/»
C-^Lj,
JJ?,
peuvent être employés
français être pour indiquer d'attribut
«X
comme
le
simplement Texistence;
xc* ^.**»-pt,
^-;-^!^
verbe substantif
ils
n'ont pas alors
:
(M. N.)
^-^^-^ J-9J r)'^
^^
y «^«^^
(^^
éiai^)
un homme com-
merçant. (Itl.)
^j...A^^
j-T"*'
'
*^^ ^^
vlAJv)
*!^
ce/a arriva à la mort
du chef des
croyants. ^» (Har.)
/
-^
<.
^
^-ir-'
242.
—
I
oX,'^
jL^-L.«ol
(Tart.)
^
'
ij-^-^
^
^-^
ij-sr-t-^i
Le verbe ^[S
o^-:r^
L^-Ls
je ne puis supporter cela.
le
matin,
ils
coururent chez
lui.
sert enoore à traduire le passé et le futur
de notre verbe avoir; l'objet possédé devient sujet et Tobjet possesseur se met au génitif avec l'une des prépositions qui marquent la propriété
:
J, j.-l£,\_,,
iS
:
(*-;r^^ j j-^ (-\-^ r)J-~,
v^'^^'J
auront un triomphe ma-
ils
qnifîque.
j.-^*-^ J-t--^ ^î:J-^JJ
(K. U.)
)
oXLxJ
\S
lionne avait
cette
un
petit
lionceau. y y
^
y y
^
ol_A_j v^-Li' àJ
Au
^
y.
c^Jo
il
avait trois
présent on dit avec les prépositions seules
y
^ ^
J^
^-^
JJ>
<_
^^ «* ^e ^« /br^w^ie,
v^^ll, »jJLj
i/
filles.
:
a un sabre d la main.
1
RÉGIMES DES VERRES TRANSITIFS
Verbes
—
243.
l'accusatif
Les verbes
(Kor.)
J
^y
^
^^-Là.
i
— a) Quelquefois
direct h
a créé
deux
les
l^^èbres
^^^
et la terre et établi
lumière.
et la
on place avant
le
verbe
t_jL-L^"^J .\Jj\ :iJ_A
complément
le
direct
maison a réuni
cette
tes
(Mot.).
Un
complément de plusieurs verbes se place après le premier, et chacun des verbes suivants du pronom affixe qui tient lieu du
substantif
l'on fait suivre
substantif
:
i>jJ»^ ^^^LJIJ '
correct de dire
<"
.
.
-^
^^^U<*.J
;
\
v_J;-^
\
y
il
frappa
chassa
et
demander
ment
y f
y c -^
se construisent
y
y
c
^
y c
o
/
est
1
^
empêcher^ nourrir (le
un second complément
-^
^L-jJ
à_:i.^L_c
^
LTi;-^^
y
t-
^îLwd,!
il
y
complé-
direct)
:
yyyc-^^^c'^c'Z
yy
^*^ lO^^j
(Kor.)
y
t,
avec deux accusatifs
indirect français est en arabe •
néanmoins
directs.
— Les verbes qui signifient donner^ priver
244.
voleur;
(^-);~-ô.
y y
vêtir,
le
-
>j-^^
Verbes à deux compléments
)
complément
oL-^-iJÏ
C-^-a..^-:^ j^'
:
2'/
^
^
y j
-^L
j
Remarques.
b)
transitifs régissent leur
0-^!jLy-^
'j y
amis
transitifs.
:
J-*-^j (j^j^
précédé de
197
^
(,..
y
1^_*«-Œ-^
"^
-^ I
!
y
je lui donnai
le
ne privez pas
les
cheval
et ce
que
gens de ce qui
leur est dû. y (Bat.)
^c,-^
y
^
y
y y y
y
^Is
^J_^~w)-*»-
/''-r-*-^' ^
^
y
^
-^
-^ > y c y
J_^aJ! y
y y
^
(^
f avais
y y y ^^
"^j-t^ /^-^-^
empêcha à
tout autre d'entrer.
y
s-tA-:i^l-a^
v^-)
ravirent tout ce que
sur moi.
'
(Dam.)
me
y
^-aJ_vo
y
c
;z
demande-moi ,^
y
^
ce
dont tuas besoin.
t,-'
y
245.
—
Les verbes qui sont
transilifs à la
l""^
forme régissent deux
GRAMMAIRE ARABE
198
accusatifs à la 2« et à la 4« forme, parce qu'ils ont alors tion
doublement
Har.)
l-^J
transitive
é
^
y (Kor
^
t,
»_^i
-."-xJi
(Har.^^
we
j5
y c
je vous transmets les
^3
^Lia
LaL*«-ji
1
y
"s.
— Régissent encore
instituer, • (Mok.)
diable lui
le
y
c
,
t
y
..^
-^ "
'
y cy
»-^!
\
y
I
Jjua. àJj
won
s.
y y
J>
y y
^ y
y
\
oublier de pen-
billet.
y
verbes qui signifient
les
Dieu a établi j du corps.
^\\
!
"
'
fit
y
y y y
<^'~*>
v-^JLfiJ
beigneur.
:
y
•
y c-^o
deux accusatifs,
prendre pour nommer, penser
J^-.4.-s-3
communi-
y c^
y
5er a
246.
mon
cations de
-^
"^
entrer dans ton cœur
/ûii^^e
^ ^ ^ /i
c
aJCjLLj!
^
^
••
/
y
vjl^^l—^-î
^-M
)
y c?
viande fraîche.
L^sr-^ v^-aJJ j_â.wXJ'
-i-
Us servent à leur hôte de la
»j-^-L-j>
I
.^
''
(Gaz.)
significa-
:
^-^^J
ly-sr-^
»-£>
une
y
le
cœur chef
yf ^
i\j^ à^J\
(Kol)
^ 1»
^
les
A
penser,
..^a-**»-».
Il
:
voir.,
juger,
faut y ajouter
:
suppose, concède .f
I
,
h
j
et ses
analogues.
les opérations de l'esprit, appelés
,^^^JL3t JLx-M, sont les suivants
croire.,
A
JLck
imaginer,
5
y
y yy
"s-y
A ^!j
je rai appelé Fad'l.
i_:i^_,—w
verbes de pensée
par les Arabes verbes de cœur
^Jb
y <
->
— Les verbes qui marquent
247.
a pris pour son
dieu ses passions.
^^CW ^ c a
c f C/,
jA-^Cfl-j
Remarques sur
celui qui
x.sr-^\ ^jw»
^
(^\ prétendre,
y
y y
"s.
^x^j trouver,
A
^.^
y y y
y
savoir,
t, ^
JLc
^ ^
^-c--'
1
:
savoir,
d
y »
jJLx_ct croire,
t-c-^^
c
'^'^^^
informé.^
y
v.^-»
^LxJJ apprends, j^-iLM penses-tu? ^ y
y
^ ^ y
^
•
y
c
y
-
y
248. cusatif,
— Pour que ces verbes régissent il
faut
les
deux compléments à
l'ac-
que ces compléments suivent immédiatement les verbes
;
REGIMES DES VERBES INTUANSITIFS .Uî-jA-a^
188)
(VI,
vji^j-^J
!jwV_£
-JLc L?j_Aw/» J._JLjt-3
1
.v-**»-sr-;î
V
il
"
était près de y
y
^_$^ Lio
j
/'fc ^-j:_.^-jt
(VI, 200)
J
"
que sou ami ennemi. croit
lu as pense que
C-w;_;.-Ji
I
199
y
c
//
c
^
y
(.
£.
malade
le
mourir.
m ^
d^^_^*J
îj.-Y-û
j'ai été
''
''
un
est
informé qu'Amr ne
reconnait
pas mes bien-
faits.
—
Remarques. quand
cusatif
0>-«-i
On peut mettre
a)
verbe est placé entre
le
On met
les
deux: 0^-«-j\ ^^J^^-J^.3 Cj\ ou
L-<Ji\ vous savez que la mort arrive (1).
(Jj3-.<>Jl-s*J>
\
deux compléments au nominatif ou à lac-
les
compléments au nominatif: Lorsqu'ils constituent une phrase interrogative ou négative ou
h)
1®
les
précédés de la particule
homme
cru que cet
J
assurément
:
ne disait pas la vérité,
3>l-o
^y^I^
\v>-a >à
\
^.j-^ ^^.f-^ ^^-?.j^
qu'ils sont
C-^-LxJi
J^ ^^*^ ^^^^
^'^''^'^
j'ai
9^^
Zéid est généreux. 2° Lorsque le verbe est suivi .
J>Lc <OlJ\ 3°
Lorsque
jLa»\
<icJC_.^JLfi 76 le sais,
est intelligent,
Avec ,^^wA
c)
Dieu
verbe est renvoyé à la
le
Zéid
(2)
du pronom
complément
avec par,
»
J
pour,
la
phrase suivante
,-/»
est juste.
fin
de
la
phrase
:
j^
jj—îLfi ^.^.«.-^L^
régissent ainsi que les verbes tran-
i.c su7\ contre,
ve?'s,
.-c
y y
y y
Les verbes neutres qui expriment un mouvement quely
conque
comme
:
A
y y v^^,^-»^
yt ^J|,
y y
w^a^)
un sens
venir, etc. ont
partir.,
I
quand
transitif
ils
y
y
^Lc^ venir,
I
^
y y
^-^) re^
sont suivis de la préposi-
'',
tion
v^
:
y 1.
'^
y
^
il
l'a
emmené
(m. à m.
:
il est
parti avec
lui),
'
Lorsqu'on n'emploie pas l'accusatif, les deux mots forment en réalité une proposition indécomme si nous disions en français la mort, vous le savez, arrive.
pendante 2.
à_j
A
la l'c
:
^J dans,
de, lohi de,
de. y
—
;
intransitifs.
^
y
250.
:
y
^Jl
y
à,
de
indirect par l'intermédiaire d'une préposition
y V
l'idée
et ^isX-rJ> l'accusatif est toujours obligatoire.
— Les verbes intransitifs
leur
sitifs,
résumant
j'imagine.
Verbes 249.
^
:
personne de l'imparfait on écrit plutôt
JL^\
que
JLrLu
GRAMMAIRE ARABE
200
L--J
/kJ:-«-=^
'oou^
»
lavez ramenée^
-jL^Jo
^.L:Li
\
mon
apporte-mot
livre.
— Nous ne
251.
pouvons examiner en
détail les prépositions qui
conviennent à chaque verbe; nous ferons seulement observer
Que
1^
maudire^ v^ J-*-^
J-c 1^,5
revenir à,
Jl Jj»c z'
•
JLc
'i
-à.bî
occuper de^
^s> JjL^ être distrait de
^-a J^^-c s'écarter
de^
^j^
zr^
i
,
l-^ jJ L)
v-o
Que
monde
ce
!<i_Li_ii.
les
a distraits de
^J j-^ —
sortir de,
certains verbes transitifs français sont traduits en arabe par :
^ y .J^-^
pouvoir
y y y
y ^ y
,
\^j
plusieurs verbes arabes ont pour
complément
qui est en français
(,
y
la vie future.
apercevoir ,^> j-^^*
complément
indirect et vice versa
ordonna cela à son ami,
il
y
y y
y
fi
iu_j
àJ j-?\ signifie
litt.
il
:
commanda
mot
direct le fi
ê
U>> bémr,
se révolter contre, etc.
v-à^
des verbes intransitifs 3<^
8
J
:
y ^ y
^
Que
2*^
sens des verbes varie avec les prépositions
le
:
:
y
y
y
à_..-a.Lo
y";.
^1
son ami en cela;
s.
:
il
ordonna de
lui
donner quelque chose.
Verbes passifs. 252.
—
La voix passive
est relativement
peu employée en arabe;
mot qui indique par qui l'action est faite n'est pas exprimé. Aussi pour traduire une phrase française dans laquelle un verbe au passif est suivi des prépositions de ou par on doit les tourner par l'actif le roi juste est aimé de ses sujets, tournure lorsqu'on en
fait
usage,
le
:
:
sujets
aiment
le
roi juste, fi
253.
ment
fi
fi
y
fi
^
i.
— Un verbe passif prend pour sujet
y
direct à la voix active; le sujet peut être
lui-même
mot
le
qui serait complé-
renfermé dans
le
verbe
:
fi fi
fi
y
fi
»«5j«L-a.
(Mac.)
i.
y
fi
-»^^«s-'
^
ses
années sont innombra-
bles. y y (Ibch.)
fc-*
>Ly_i_) "
1
yy
^-U
fi
y
i,
fi
fi
t.
y
c.-^
S^^'^ ^j-Lt-^ ^
!
fiy
t,
y
ij-&:>
la prière
de l'opprimé
portée sur
les
nuages.
est
VERBES PASSIFS f
-»
L_Lx_3
(Fak.)
201
^_îLo.
\^ij^^
,^^jj_*«J Lj ^
^
Us furent frappés à coups de sabre jusqu'à ce qu'ils
^
furent mis à mort.
— Les verbes qui régissent à la voix active deux compléments
254.
conservent à la voix passive leur second régime à l'accusatif
directs,
/ (A. R.)
^
/
C--_x-^-2..
L^
c
^
-z
^
yS
y y ^ a»L**.-;l^
^ ^
:
i.
tu vas être dépouillé de tout ce
que tu as ramassé. ^^^j-X-c^
(Har.)
ir*^
i
on dirait qu'ils ont été abreunés
Lji-*- ^_^_j LS^
^
(id.)
à la coupe des trépas.
^^-jJ—A^J
,_9.^j>-j iwo-s sJ!^ww*«.j
I
on m'a fait oublier V histoire de Joseph le très véridique.
I
''
^^wwi^jJ>.Ji
(Khald.)
\-i\
à-Ldr-H
H
^-«r—
«
y
y
— Un verbe passif peut avoir
255
pour son avarice l'homme aux liards ».
fut appelé
"
"
pour sujet son
infinitif
ou tout
nombre de fois. par un adjectif ou un régime
substantif indiquant le lieu, le temps, la manière, le
Ce sujet doit être déterminé ou précisé quelconque
(1).
Cet emploi de la voix passive peut avoir lieu aussi bien avec les verbes intransitifs qu'avec les verbes transitifs "^
-OJ»
-O^
c
x •
»---*-
J-jj-1?
:
t-t^-*-
on a fait une longue marche
(lilt.
une longue marche
a été marchée). fi
c^
y
i,
^_^wJ te -^
j^
fi
^
-^-r*^ y
fi
^y»3
\
!
y
on a jeûné aujourd'hui.
fi
j»«J-=s.
on
à la manière de Vémir.
s'est assis
fi
y
256. — La troisième personne sive est
1.
A
/*
le
frappés.
/'
'
masculin singulier de
la voix pas-
fréquemment employée d'une manière impersonnelle,
Cette condition n'est pas obligatoire quand
comme
/
ci
nom de
fois^
par exemple
:
^^l
le
sujet
^^j
est suffisamment précis
^
C.-v_>j
«ô
c'est-à-
par lui-même,
deux coups ont
été
GRAMMAIRE ARABE
202
sans sujet exprimé lorsqu'il s'agit
dire
connue, ou lorsque préposition
verbe est suivi d'un complément régi par une
:
(Dam.) /.r-^-==^^-'^
^
f.>-^=^)
"c-^-^
^^ l'amena vers deux hommes
^
*
J-^j
\
*
*-^
I
c"^
^
A--^—J
(Kor.)
le
d'une chose habituelle et
,.»--jÂJ
^
vertueux. j^J L*^_aJ
!
demanderons
nous
"
compte a
ceux vers lesquels on a en-
'^
voyé des apôtres lesquels
^
TJJ~^^
^1
«-^ J-**»-œ:-^
(Qaz.)
J
« été
2*/
3
dit^
^-A-3
9
Zi
terme fixé l'âme sera séparée du corps.
^
cr^^'
^
t
y
J JUL^^
le
j
a dormi
o;î
9
L'expression très fréquente
t
vers
a été envoyé),
quand viendra
^^^
*'-9'
l3j j S-^^^
(J""H
y
il
(litt.
^^ ^^^
/
signifie a-p'peU
:
y
9
raconté. ^
9
L^J JUL^^
!i.
^
•
«^^-X-^A-^
'
9
une
^_yi-^ \j_-o
ville
appelée Marrakech.
DEUXIEME SECTION SYNTAXE DES PROPOSITIONS 257. dante
La
et
—
y a deux sortes de propositions la proposition subordonnée. Il
:
la proposition
proposition indépendante est celle dont le verbe ne dépend d'au-
cune autre proposition;
elle
peut avoir un sens complet
grande ou avoir besoin d'une autre proposition qui
plément
:
je veux qu'il vienne
complément
La
indépen-
;
lui
:
Dieu
est
serve de com-
dans cette phrase je veux a pour
qiCil vienne.
proposition subordonnée est celle qui dépend d'une autre pro-
position; dans l'exemple précédent qu'il vienne est une proposition
subordonnée 1.
(1).
Les propositions indépendantes peuvent être
:
indicatives, interrogatives,
impéra-
tives, prohibitives, optatives.
Les propositions
subordonnées peuvent
ôtre complétives, causales, finales, consécutives,
suppositives, concessives, temporelles, explicatives. Ces diverses propositions seront définies et étudiées successivement.
La division
suivie
dans cette partie de
la
syntaxe est universellement
admise dans l'étude des langues de l'enseignement secondaire classique. pouvait cire introduite avec avantage dans l'étude de la langue arabe.
Il
nous a semblé qu'elle
SYNTAXE DES PROPOSITIONS
20:i
PllOPOSlTIONS INDÉPENDANTES PROPOSITIONS INDICATIVES
258.
— Les
propositions indicatives sont celles par lesquelles on
déclare simplement une vérité ou soit
un
fait, soit
sous forme négative.
En
arabe, elles peuvent se
composer d'un
^
dans lesquelles :
joint à l'attribut à l'aide
le sujet est
j*-Jj-^ vJj-j
mode personnel
:
\
sujet et d'un attribut
ton père
s^OL^
{est) îL_=s.
I
:
aux propositions françaises
propositions sans verbe qui correspondent
être
sous forme affirmative
généreux'^ le roi est
du présent du verbe
ou renfermer un verbe à un venu.
A. Propositions sans verbe. I.
259. et
Affirmatives.
— Ces propositions se
du sujet
du verbe
et
composent essentiellement d'un
On n'exprime ordinairement par aucun terme
d'un attribut.
tion
—
sujet
la rela-
de l'attribut que nous exprimons en français à l'aide
Le
être.
peut être un substantif, un pronom,
sujet
employé substantivement. L'attribut peut un adjectif, une préposition suivie de son régime adjectif
être
un
un
substantif,
:
(Kor.)
^^-jw/^
(Mok.)
wj^-LsJ!
(Kor.)
^— ^ J-i-^ '-'•"'
>
^
awwY_w àjj
»L^
A-A_xJ ^
^
^-9 ••
s.
'
dire
— L'attribut
quand
il
Dieu entend
\
la science est la vie
de V esprit.
ceux-là sont dans un égarement mani-
\
'
prend
et voit tout.
i.
^tX-j'^j
y
260.
y
!
feste.
/ y
(^
? c^^
l'article
^
i
il
quand
s'applique exclusivement à
il
un
est déterminé, c'est-à-
sujet qui est
lui-même
GRAMMAIRE ARABE
204
On
déterminé.
personne
isolé de la 3® • ^ ^ ^jj-â-ao-j
(Kor.)
peut alors relier
sujet à Fattribut avec le
le
pronom
:
^
^Xs,
L/>
^Lx_x.***_yJ
hXj
\
Dieu
\
que
celui
est
f invoque
contre ce que vous alléguez.
j-r^^
(Soy.)
"^j^
'
j-^
^
J-^-^
l'ignorance est la mort la plus
^
complète.
L^-a ^LjwX_flJ
-*-j^-*_cs.
—
y
deux jeunes gens sont
ces
^
X
j>j>
261.
^l3,_J^
\
^
^
amis.
c.
Le
sujet d'une proposition se met à Taccusalif a -c * est sous rinfluence des particules .1 J\ que, certes que., ^
^
.
\S comme
'parce que.,
plût à Dieu que;
si
^SJ
si,
^
fi9
j-^^
(Mot.)
^
y ^ .^
J,-^LsL)
i
^
_^.a>
à-lJ
y
fi
y
^u
Xjzs.yj'
J,_>
^t
y
«Lj
!
'''' c
V
y
fi
A-Lî
—.9
—
de temps ou de lieu
une indication dans 'f
forme
la
affixe;
y
beaucoup,
le
peu que donne
^.txj>b
il
en est ainsi parce que Dieu est la vérité.
^
s^'s.
y
XS
On
eût dit que son tombeau était
creusé dans
et les particules
cœur de chaque
le
fidèle-
analogues ne peuvent être séparées du
que par une préposition suivie de son régime, ou par un terme circonstan-
sujet ciel
a) «S\
prend
un ami.
"j^^JJr^
Remarques.
^,''y
\
à_s-f,^—;î>
(Mot.)
il
c'est
»!
" ^M
il
^ t »Lj
J-sJ peut-être que, vju-J
^ y ^ y i
-et
s:
!
^
ù y \^ ^_3r-^
(Kor.)
^^
quand
;
y
y \.^ y v^;^AJw.^-sM
mais,
un pronom,
le sujet est
l'aUribut reste au nominatif
tes
ce
•
\L-*_J j^-J
n
L^JL.s^ ^-io
que vous venez d'exposer
L.<
.
_s
^_^.J
(Har.);
-^\
assurément,
il
y a
L3a_X_a ^\ ^JL-tl
\
y C ^
6^^> b)
sache qu
On
fait
il
y a aujourd'hui un festin chez nous
suivre ces
tion de la phrase
u^Ol_jLj
\
non,
il
mêmes
particules du
est rien
de plus léger que y
262.
— Lorsque
particule
pronom
ne leur permet pas de régir n
y y
fi
la proposition
J assurément devant
(i,
explétif s lorsque la construc-
le sujet le
cœur
c
fi
commence
l'attribut
37).
:
(K.
,^^^
^
^' \
i^^-^ ^ <0\
D.).
par
ou devant
»!,
le
on peut mettre
pronom
la
sujet de
PUOrOSITIONS INDICATIVES
On
troisième personne.
la
même quand
peut
^^jS^Sj
(Kor.)
^.v_\_^-'
(id.)
>
y
O
^j^y-xJ
1
c
/'
)jJJi_x_j
(id.)
placer encore devant
la
ne suit pas immédiatement
il
•
//
^^-3
/ ^y
/*
oui^Dîeuestle puissant fie sage.
^1
OMz,
^J ••
£
—
a dans cela un signe
\j
pow?' rfes gens sensés.
Négatives. On peut vouloir nier le rapport de cet homme nest pas sage, ou l'exis-
placées en tête de la proposition.
comme dans même du sujet comme dans
l'attribut
le
zV
— La négation s'exprime au moyen des particules U, V, c^Y
263.
tence
:
^1
'-z
II.
sujet lui-
I
s^tx.)^
i-jj3
!
la particule
le
cerles^ ils sont infidèles.
^\-^^^
^_^ àJJ
1
205
au sujet
premier cas
:
le sujet est
a pas d'homme sage. Dans
ilri^j
:
déterminé^ et dans
second
le
il
est indéter-
miné. Propositions avec
//y !5^il-i
— Avec L»,
264. tribut
ou
l-^.
y
y
<il.)j
1-4
y
y
J-il-*->
€.
déterminé se met au nominatif,
le sujet
et l'at-
au génitif précédé de v^ ou à Taccusatif. La première cons-
truction est, à très peu d'exceptions près, la seule employée dans
Koran (Kor.)
(Har.)
le
:
Ls.5 j-sLi-j ^t-Cjj ^ ^
^_^-,>-x-j
oXJ
C^w-jJl
«>
^ ^-v-J
ton Seigneur nest pas inattentif
à ce qu'ils font.
Ui
s-^js.L^_j
L»
je ne suis pas l'auteur de cette su-
^
''
(id.)
L/»
ît"^^*»'
percherie. '-^
J-^
tout ce qui est noir n'est pas une datte.
Remarques. le sujet; 2o
40
quand
quand L^
1.
— a)
est suivi
La particule
^\
ton frère n'est pas ^;^_-<.—.»w«
il
L'attribut reste au nominatif est
de
déterminé
^\
négatif
3»
(1)
quand :
il
à^y^^
1°
(yw'w/i
elle
quand
est restreint
^^T
:
par
est placé avarit "^\
L,.<i_^^_>o
s'emploie ordinairement avec '^\
homme chargé
il
si ce
n'est;
^\ ^u1_jMT L^ eifj-«-aJ
avec un sens négatif suit les règles de L-<
malade; mais
ye ne «wis
;
:
d'avertir ouvertement
:
(Kor.).
>^S'^s^\
oJ^_j "V\
l->\
o'
o^
GRAMMAIRE ARABE
206 •par ta
me! l'homme
que
n*est
quHl
ce
jour
est le
même
^jL^^\
(iiar.);
^-=^\j
L^
le
temps ne revient pas. ordinairement, pour le genre et
b) L'attribut suit
de
adverbes de négation
sujet
iJa, ^^,
L^\,
de restriction
ticule
nombre,
le
substantif. Cependant, lorsqu'il précède
du
l'adjectif et
les
^\,
d'accord
adverbes d'interrogation!, J-a, ou
peut s'accorder
il
les règles
sujet et qu'il suit les
le
comme
la
par-
le
verbe placé avant
ces
femmes ne partent pas.
tes
deux frères sortent-ils?
le
:
^
iUvJLJ
^
.
OLJL_a
^*XLJL!>
\
L^
ou 'À-^<-A \> ou ^.^.v_A \>
\3>
^\yjL.\ ^^LawjLài. ou rj^-^
—
265. position
Avec U,
^
(Kor.)
X^
(^
'^
*^^ n^ auront
L»
il n* est
X-^ 'Lj\^
,.v-*
^
^we
^ ^^
»_^
pas d'auxiliaires.
J-^J
J-=M
I
«V
'•-^
,.»-^
pas
d' animal
iV^e^^
sur la terre
ne prenne a charge
^^ nourrir.
M~^Jj
(id.)
>^tivlwà.i
:
^ ^
C,-«
^i ,>5i^^ "
au nominatif
l'attribut reste
;
(vTi'j-^^ (aT^ CA
àJL)l
indéterminé se construit avec la pré-
le sujet
et le génitif
\
n'esi
p«s d'homme meilleur
que ton frère.
Remarque. satif
moi
ou au
— Ce
sujet peut encore rester
génitif précédé de ,_j
d'asile pour la nuit
,.^_>
(Bar.);
ligent n'est pas étranger n'importe
cU-.^.a_^
:
,-^
où
il
au nominatif,
et l'attribut à l'accu-
i^^^
^
A-s^ ^^
Jîv^wLi ,-.9
se trouve
^-^
^^ ^'^^ ^^^ ^^^^ w/i
/towmt m^e^
(Moq.).
y
Propositions avec !,.«
y
266.
— La particule
la chose, régit
^
(Kor.)
L à-L) Lj ''
-^
f-^
Yt ^
^
y/
y
(^
y
y
s. "
y y "^
Si
niant d'une manière absolue l'existence de
sujet à l'accusatif sans tanouine et l'attribut
le
le sujet doit
nominatif;
y
'w
'^.
^
JuJ>
yy
Vj
suivre immédiatement la négation '^ <-
y
au
:
^
J_^ V
il
n'y a de force et de puissance qu'en
Dieu.
PROPOSITIONS INDICATIVES wv^_^i ^c JJ
«JwJ
(id.)
O
c
/*
^
J-iLx J
(Ibcli.)
^-^
Y
àJ!
^ /c A
/*
!
"^1
i
y
a pas d'autre Dieu que celui en
il
?^'y
27
n'e^t
y
r
JU> V
j.-3jj!
207
pas de richesses plus précieuses
que V intelligence.
y
y
— ^ régit, à
267.
à Taccusalif
quand
énergique^ quand
façon de
la
U,
le sujet
au nominatif
et l'atlribut
n'implique pas l'idée d'une négation absolue ou
il
le sujet
ne suit pas immédiatement, ou quand
est
il
déterminé. Avec un sujet déterminé l'attribut se met ordinairement
au nominatif -^
:
"y
cifc-^
/*
LwsLj ij^)^^ ^J>
-^
v-5
y y
.-'
"^
et
1
attribut
envieux
:
y y
^t
O-Ç-f
!
rien n'est durable sur la terre.
''
r-^ ^ y
^j^~ij-fi
Remarques.
^^"^ \
y
y^
y "^
i.--*
2^_sr^
j^^w^L
y
c
^
il
n'y a pas d'oiseaux sur l'arbre.
y
Y
ton père n'est pas malade.
— a) V n'exerce aucune influence quand
;>^.cw.«a*
V^
^L.«-«> ^^ f^^-yi
3-^
le
\
il
est placé entre le sujet
croyant n'est ni détracteur ni
(Dam.).
C
O
y
'
Les conjonctions J_^, ^^^,-0 mais, détruisent l'influence de
h)
tribut
qu'ils
^»wfîL3 il n'est
précèdent se met donc au nominatif
pas
éveillé,
mais
:
^SA
la
négation
oLk-J-I
;
_^
l'at-
L-o
dort.
il
Négation répétée.
2è8.
—
Quand on veut
répéter la négation on emploie
"^Ij
h partir
du second terme. y
269. suivi
'^
y
"^
^ ^
'
'
y
"s,
y
^
:
y
JJ>
Il n'y
y
placé en tête de la proposition et immédiatement
du sujet on peut dire
i
y y
^
y
— Avec
y
a ni lion ni tigre dans la montagne.
:i^'*
^
GRAMMAIRE ARABE
208
/y
— On met tous
270.
^
(Kor.)
j-T'^^ ^^ ^ ^ ï^-jwx-A^
Yj
L^
-?
/
->
cas lorsque le premier est
l'influence d'une préposition
n'auront ni ami ni dé-
^^^
(*~^
:
fenseur.
LïJj
isj._^_r
c
fc
noms au même
ou régime d'un verbe ou sous
sujet
(id.)
les
•
Mj
y
t_^JLÂ_i-j
ne feront ni grandes ni
27s
petites défenses. (Har.)
^j ^L'vo
^^L/o.;»
"^j
^^^-ji-«-^
O"^"^.
^^ *^^
^^"
^^^^^
t*"^
^^^^^
loyal,
homme sincère, homme juste. ni
Yj
^ L/^_a»j
i^^i-')
^^^^J "^
Quelquefois
>)3^3 JL*o
(^/)
l'adverbe négatif
régit l'accusatif
)
y
c y
y
I.
Le parfait
indicatif
ont protégés
(iv,
IJ
:
3i}.
C^"^.
substantifs de
les
moment de chercher un
ce n*est
pas
le
ce n'est
pas
le
asile.
temps de jouer
.
renfermant un verbe.
— Affirmatives. -
de rimparfait sont
et ïindicatif
dinaires de ces propositions; nous n'avons et la
les
premier terme
y
wA-3j c^y
B. Propositions
modale
le
:
fj-^r^ C^"^
c^-«» s_^^-x-LJ
—
nution.
adverbe ne s'emploie que devant
^IL*
272.
"^
^ placé explétivement avant ^_^sr^. m richesses^ ni fortet^esses ne
— Cet
(VI, 109)
sans augmentation ni dimi-
/^-^
'^ ''
on trouve
De 271. temps et
j-^
ni
manière dont
ils
expriment
ici
les
modes
or-
qu'à étudier leur valeur
les divers
temps de notre
ivdin(^di\s.
Emploi du parfait arabe. t,
Valeur des parfaits français
273.
—
indéfini,
Le
:
y y
A-JLc-
parfait arabe correspond
ou au parfait antérieur ;
il
>
c
•5!
•
«JI^^JL^.
au parfait
défini^
dM parfait
correspond toujours au parfait
PROPOSITIONS INDICATIVES défini
>bX.**^)
N.)
quand
indéfini
quand
rieur
(^I.
ou
il
^J.c :)j.J
\
i^-;;-^-^
lorsque
sJ^^Lw
au parfait anlé-
(1), et
:
je
J-J
.Jy_r.-i^
ci^j-sr--^ J-.2.»J!
^_x«;>
^J
précédé de
est
précédé de J,J
est
il
209
saluai et
/e
il
me
homme m'a
ce^
rendit le salut.
remercié
et s'est
entretenu avec moi. a-Lis
jL^,_aJ|
^'-^
^^jj
(M. [M. N.)
lorsque
I-55-L3
le
jour eut apparu
il
se
leva et vartit.
Remarque.
— On
emploie en arabe
présent quand
employons
le
complit au
moment même où
L.o-'vJLr»- Dieu est sage
d'un
s'agit
il
<^J.JL^
toujours vrai, ou d'un
fait
ou par
l'on parle,
(Kor.);
parfait dans des propositions ou nous
le
qu'on en parle
le fait
,^X_)uk».ii,^ je te conjure
fait :
qui s'ac-
<oLJ
\
o^
au nom de Dieu;
f
^\\>
vi^LX-a-^ je
vends
te
ma
maison. y
Valeur du plus-que-parfait
—
274.
Le
devant
le
phrase
la
/
du verbe
on emploie
y
il
»l5
la particule »1^
^
JD
^-^
second verbe ;rinfluence de
a
été,
jJ, on
équivaut à notre
met de préférence
la
s'étend à tous les parfaits de
:
^'^y/zc^y
yx yÀ.^
(Gaz.)
£:LôJ-xJ
(Har.)
t,
(*Jr^
:
parfait précédé
plus-qiie-parfait. Si
/
/•
i
i\yS
^"^ ^^
\
CJ^ ^
x
s'était
^^
lJ
c^.iLâJ vJl^-O
proposé de voyager.
j'avais recueilli de la bouche des
savants. ^ A / /
/
La)j-L..\->»j
•^•.C/'/' Ls>jjsr^^ J.J
fi
»
c
fi
j-^Lw*»-^J ^
//y
iJLjj-L
(1,108)
c.-^ !
//^ ii
z^
/»
^^S
7nusulmans s^en étaient emparés et y avaient habité
les
fi
longtemps.
Jw»
Remarque. — Lorsque le sujet est exprimé par un substantif il se met ordinairement, comme dans ce dernier exemple, entre les deux verbes qui s'accordent d'après leur place respective par rapport au sujet. On peut très bien mettre le sujet avant
les
deux verbes
^yS J-^^ f avais
;
il
est rare de le trouver après
eu une discussion avec un fi
Le
y
i,
y
fi
parfait arabe doit encore être
1. vX-s
mon
/ A
devant
le parfait
y
:
homme •
Cf-^3 L5-'^-^ l^Lt^ (i,
O^
oi).
/'/•/'
rendu par notre plus-que-parfait,
peut signifier que l'action vient d'avoir lieu
:
^
^
«^ ^
i^^-^^a^
frère vient de partir. 14
Js_9
.
GRAMMAIRE ARABE
210
non de IJ, il énonce un précédemment exprimé
lorsque, précédé ou
autre parfait
trouva que son compagnon l'avait
il
^
L»
9
i
v^-^xJT
(Ibch.)
^Jl)
i
(M.)
ï
L^-a.
\
^-9
y y y
(^
c?e
.
.
c/»
^ ^
v^.>.l
<XJi
j^-^-*
^jXj
il
y
•
sera, le parfait arabe, précédé
de notre futur antérieur
^^
.j^^-^-'
y
:
l'aura rendu à la vie et enrichi.
vous serez partis.
.^oJ *_Cj ^'^ -^
y
\
allégua qu'il avait promis à Dieu
/"cA
wVj, a la signification
/^sJi\^-i\ J-J
il
:
— Après l'imparfait »L;.-û ij
z7
y c
-^
Valeur du futur antérieur
ou non de
leva la tête alors que sa colère sV-
^—:iAt ^ V
J-2)Lû àJ Lj ^
275.
il
9.Ji\
^^
x^-w*
/'/' (Har.)
devancé,
à-*-!j
vX-9j
.»_5l*-
.>i
antérieur à celui d'un
:
^2-^-*- J^-3 isJLijJio A_9-j
D.)
(K.
fait
y
c
^
^
^
y
y
Le
parfait a encore la signification de notre futur antérieur
est
en corrélation avec tout autre imparfait désignant o ^ y y
(Kor.)
c y
y
cJUy_c L»
>**âJ
,
^ ^^y y (M. N.)
21^^
c
^
^
J>
J^
._aj-J
^
„ ^ ^ iL^_j
1
/gj
a^e.s
l'indicatif ^ y
Valeur du présent
276.
—
c
y
>^JLaj
:
^
écrit.
de Timparfait. lé
aJLj
t \.
\
Un
verbe à l'indicatif de Timparfait désigne
lorsqu'il n'est sous l'influence
>
^a|_A4^'
y y ^ L/»
c
y ^ ^
/J^-'î
le
présent
d'aucun verbe, d'aucune particule, ou
lorsque rien n'indique qu'il s'agit d'un
(Kor.)
ce
conserveront ce que ses
mains auront
Emploi do
:
au jour où chaque âme trouvera qu'acné aura fait,
>yi
''
v_;=
futur
xc./
-f.
J-s:-'
yyÇ^^y^c^i^
c^s_._::_S
le
quand
^-U
fait
à venir
:
s-
i
Dieu
sait ce
que vous cachez.
,
PROPOSlTIOxNS INDICATIVES i—Cj -Lo.J
»^.l_x_i_j
\.-fi
*-Lci
^1
i
^ ^c ^
La particule j^* devant traduire par par/'ois,
il
de l'imparfait indique
j^^JLO
:
anges font ce qui leur
les
commandé.
est
l'indicatif
arrive que
sache que
"^
211
rareté; elle peut se
la
Lj «oLJT a^-».-^,
vA_.9
Dieu parfois
une faveur en envoyant Vépreuve.
fait
^ y c y
y
Valeur du futur
ticules
qu'un
j^_«JLa_>
:
— L'indicatif a le sens du
277.
/^ ou ^j-vfait
à venir
^ y
y
y
y
c
y/
y
y
(Ali.)
V
y
c/» ^j-c
"^
il
précédé des par-
est
^ y
\
^
y
i.'s.
y
c
vous saurez bientôt,
^ y
\xs> J,.Y-^l_*v Jj-ii-J
^.J v-^
quand
ne peut manifestement désigner
il
^^j-w
»j-Y_L*-j'
iwV-c
t^j..^,
futur
ou quand
(1),
y
c
:
(Kop.)
(Gaz.)
y
y
(^
y
y
y c-^
J^-v-^
c,-^-^''
i;
^
il
je ferai cela demain,
:
//
^^^ richesses
^^^'
(J^^ '
'^
dit
J>
\jj.àS
seront hientôl dis-
sipées.
^yj JlJ
^-Jî.)
\
y y
Ji.:.U
— Pour exprimer avec force une promesse ou une menace, on
278.
y
fait
usage de l'un des modes énergiques précédé de J assurément
yyyyj'yyy (Kor.)
Lj
1
J,-c
-^
^
^-J-O
\jjJiS
^
xZ
y
y y
.f
nous ferons goûter un châti-
y_a_.5J^_Li
1
ment aux y (id.)
y
c'a-
^,-jw«x_Y_:2^
I
^
c
-^i
y
y
c.^/'
^-^'..jj-c
(id.)
^
^^j-^
i,
y
i,-^
j^j.^
y
-^
ta
grandeur^ je
les
égare-
rai ^0W5.
^ y^
y
^^ ySjLj
^^fi
\
par
^
''
y
infidèles.
«:
s^CJ'^_x-j
-J
:
lu seras certainement
du nom-
bre des lapidés, c
jf
Valeur de l'imparfait
:
y
y
>^-l_li.)
y
^J\^
\
y
279.
—
L'indicatif de l'imparfait précédé de
imparfait français
1.
traduit notre
:
^ y ^ (isb.)
AS
y
^
i,
y
à_x-^cj *-L]à-j
y
y
*LS
^yi indique un temps plus rapproche que (»_5_^*o.
il
opprimait
ses sujets,
.
GRAMMAIRE ARABE
212
.J
(Gaz.)
L^^jl^Ij
(Bat.)
^
vJI^Lj: J'-j
mes
\J suivi
^o
^-**.>lj
Î
esclaves.
des nattes et vivait
il tissait
^
^
de leur prix.
— On exprime encore l'imparfait français avec
Remarque.
assis sous
j j.>sc.^s-^
du participe
un arbre
actif
'i
:
Vun de
je frappais un jour
Lp_^ c^wi-T
L>;»^_c ^^_JJ^^\ ^
y^-^
^^.^-^
L*«JLr^
le
AJ
verbe
il était
(Isb.).
(^-*-^-î
^J-^^l
^^^J-' X
/•.
L'imparfait arabe, sans être précédé de jLi', correspond encore à l'imparfait français lorsque
précédemment exprimé
parfait >
^/
w
*'
ex
>
/»
J_^ j '-rc-^ ViJ~^^^»
(Cher.)
il
^
fait
contemporain d'un
:
-»txx
•*'x^
(*-^-v-^ '^J>^"'*
^
"^
énonce un
-^'^
passai près d'un maître ^w/ frappait un enfant
''
et
/wi disait. (Har.)
J^
W-^
i
i.j_:ijuj
Jr-^-i^
^ IL
280. pas
.
.
.
en^m wn
J^-^^-^^
vieillard que pous-
sai^ w^ie
femme.
— Négatives.
— Les adverbes négatifs sont
XXtXcX ^, ^
U,
:
*^,
«x /le /?â!5,
ne
L^^J
encore, ^
Négation du passé
X
X
C
^-a-^w,*^
:
L.^.
X
281. —
Pour nier une action
X
se rapportant à
« X
emploie L» avec le parfait, ou *J avec
le
encore régit également le conditionnel ^ OtX sj:^o 1
XX .
^j
-^
xi j.
J
A i
<•
^
X
fc
(Alh.)
(1)
^
X
L;_j
(Bat.)
"^
1. {§
X
Se
^-^^
w ^ C-o
j Lfl_xJ
!
X C X A-i-«-J
"
L^
ne pas
,
.
je n^ ai rien entendu de plus agréable^ ^'^^ ^'^^^
^^ ^^ P^^^ magni-
;?çî^e.
C
aJ
les
païens n* eurent pas connaissance
de nous.
Le second parfait de cette phrase est précédé de ^^ parce que
268).
;
:
e^^
X
L.-^
1
conditionnel
X
L^.ii. sju-_x_^-w L» xc:£
un temps passé on
X
C
la
négation
est répétée
PROPOSITIONS INDICATIVES (l)
(Kor.)
jÂ-j
\yii
>îwV_c
V
LyJ
mais
J-J
"
Négation du présent
— Pour nier U
de l'imparfait; tenant
commencée ^
//—•
Lj
bî!
^
le
m^—J^Ij
^^.A
I
présent on emploie
indique
c
moment
le
L.^.
U
ou
devant Tindicalif
"^
du présent
précis
main-
«
:
y
y
^_^^*Ly
L_;9
C.
yfi
!
s:,
^
^ y
(Kor.)
Âj
:
c
qui se prolonge
et
\u
!^_)L_r
mon
au contraire indique un présent indéfini, une action déjà
"^
».
n'ont pas encore goûté
ils
châtiment. / /^
282.
213
f
c
il
^ y c y
ne leur apparaît aucun signe qu'ils
ne s'en détournent aussitôt.
^j,.^j-x^ L^A-ii
(2)
^y
y
-^
-Zi
J.J ^!j ^
\y
y
^^05
Lj
y
y
y
^j.x_^-^
^
^
"
dii'-
hems ou des dinars.
^^ ^^ (3)j-.JLJjJ!^
(Mac)
^ y
Négation du futur
c
gique
V»
A-^.Lla.J
on emploie encore
futur
le
^
c
/'
avec
subjonctif;
le
"^
avec l'indicatif de
y
c
^
ou
l'imparfait
j
:
— Pour nier
283.
^J
est
une négation éner-
:
(Kop.)
(Oj-v-^-^
^-^-r-^ /y
(id.)
ne vendent pas cela pour des
27^
s.
y
yy
y
y
y
// c
fi
y
y
c
"^
y
\^J^ L^-^_3 ^_^_Y_*«_; Y
Ly-*J'L-j* bîj
^^ seront lésés en rien.
^^^
n'y entendront ni paroles
ils
paroles coU'
ni
légèresy
pables. c
fi
y ^ w
^J
(id.)
y
'^o
à.U
c
y
j-â-s^»^
I
c
y
^J
Dieu ne point
1.
Dans
V
pronon
)\\>*-& le
affixe
de
la
leur pardonnera
(4).
première personne n'est représenté que par
le
kesra
(§151d).' c 2.
La préposition ^\;—« est explélive dans cet exemple.
3.
Remarquez
4.
Nous empruntons à
la suppression
qui fera comprendre
le
la
de ^^ devant
Grammaire du Père Donat
\.
Yernier,
sens précis de chaque négation en arabe
jfrw)
xl
n'a pas écrit
Ji_X_^ L4r-J
il
n'a pas encore écrit
c-^-JC-X-^
j-.j^LJjLJ
est
opposé à
—
:
t.
I,
p.
441,
le
tableau suivant
:
t_xs_-X_5 il j^.^.«^-X_^
j»^*
il
a écrit. a déjà
écrit. (Voir au verso).
GRAMMAIRE ARABE
214
Négation dans les temps composés de ^ /
—
284.
^ y
^
c y
Nous avons vu que
y
i,
^L^
emploie
l'on
«u.
pour exprimer
le
plus-que-parfait et l'imparfait, et ^a^~^-i pour exprimer le futur anté rieur.
Dans ces temps composés, premier verbe ou avant
^
ou
suivant que
négation peut être placée avant
la
second,
le
J'/'c^ ^ ^ y «j-^-Lx-j \jJj.^J
(llar.)
yy ^ ^ ijj-A^-j
(Kor.)
y
y
fi
fi
(^
y
c
J
y
[-fi
y y
c
fi
t
y y ^ c.-^
^_LJ=J
y
y
fi
c
,jj—^i'.
!
y
/^-^
ils
7î^espéraient
pas ressusciter.
je ne l'avais jamais connu,
/*-^
y
y
V
fi
que vous ne saviez pas.
y
c
ou M^-^,
fi
ce
y
fi
L-S à_;LSj-c /j-^'
(Bat.)
^
"^j
:
V IjJo
»j_=^w«.)
y
£•
c
fi
U,
négation est
verbe qui suit immédiatement exprime l'idée
le
du passé, da présent ou du futur y
et cette
le
Une
sera pas parti.
PROPOSITIONS INTERROGATIVES
285.
— L'interrogation s'exprime en arabe au moyen des adverbes "s-
OU des pronoms interrogatifs y y
comment?
^^
^»;l^,
o
qui?
y
1
nominale ou
!
n'a pas écrit
Lx)
il
*..^x_J>
Lyo
il
»_,.s._X.^Lj>^ '^
^7
n'écrira
i/
n'écrira pas
e^-».—^_X_^^
^^^
^6
fi
y
y
tX_^
ou
j ^Ls.
^Li
où? y
J! d'où?
y
pourquoi?
\'^\^^^
yt
c
peut s'employer devant toute proposition,
est
opposé à
— — tout —
:
t—'<wX_^ vX_aJ
iCécr il pas maintenant
pas
du
Jv_3; Ze7d esZ debout.
Quand
affirmative ou négative.
En arabe on appelle proposition nominale
—>Ls
wîï
c's-
^\
y
c
(
,
*^X.SL^^
certes il
celle qui
il
écrit
a déjà
écrit.
maintenant.
écrwa plus tard.
** .<f
commence par
le sujet,
comme
La proposition verbale commence par
Cette dénomination viendra assez
elle
-.X_5C>.--*o 27 écinra bientôt.
^.,,.v_JL5Li v_9a.4lvJ iZ *
1.
que?
^^ comment?
verZ>(2/e(l),
v»-x>_.X_5
(
Jj& est-ce
etc.
— La particule
qu'elle soit
y
c y
y
quand?
fi
286.
!,
d\'s.
jU
quoi?
:
fréquemment dans
la suite.
le
c
X
»>j>J
verbe
:
PROPOSITIONS INTERROGATIVES elle marque le ^ ^
précède un verbe à rimparfait indicatif
^ ^
y
précède les conjonctions j
dy^ ^
(Tart.)
jLiJtJ
(Kor.) c
-^•Ca
> y y y y1
A-^JiJ-à. iJJ
(id.)
y y
c
^]
!
^2) y!
\
y
c
:
pas
Fort,
le
le très
Clément
f
yS ne voient-ils pas que Dieu les a créés?
et
y
y't
S.9
^J ensuite
donCy
n'est-il
^Jj]
!j^_j
présent; elle
,
sais- lu ce qu'elle dit?
v»^j-^-^*^
j-ij^J
\
et^
215
^_Jjl
J_>.|
y
c
%.-i
J-A
y
287.
y
c
—
La
particule J-a ne s'emploie pas avec une proposition
négative; on doit la placer immédiatement avant
pour sujet un substantif déterminé;
elle
donne y
fication
du
^ (Ali.)
s-i.
y
C^.J5jt
L»
y c
y%
j>9
J-JL^
y
c-Ls Lsj à-^jJ-J* ^
w (Cher.)
y
mot
y
—
a)
«i^.^jwl) ^^\ c)
^\ ^^^
L'expression
t^^
viXJ
J~A
nL* composé de J_a (A.
288.
R.)
\
et
^
y
v*XJ
>! oz^,
O
est renforcée par
signifie
de
le
le
:
as-tu enviel as-tu hesoinl veux-tu'i
blâmer'!
(Har.)
une particule d'exhortation ou de reproche
^^ est
Ç'^^e
ne
me Vas-tu
commençant par
dit
1
plus
est disjonctive,
second terme quand Tune des deux choses si
elles
peuvent n'exister ni l'une ni c*
y
J-a on emploie toujours j!
mairiens font entre
\
C-
et
•
:
tôt,
:
Les meilleurs auteurs contredisent assez souvent ces distinctions subtiles que S
la vé-
y
J-a
la proposition
devant
c
l'autre (1); après
de supérieur à
J-a.
aS'tu besoin de et
s'api-
sort?
rite ?
proposées doit exister, et^i
1.
e^ e^i-i/ rien
J-5)jî
cSy\ (J—^9 j^-i-X—«—L£\ \La
— Lorsque
on emploie
mon
Dans ce dernier exemple l'interrogation
es
reçu autant que
a-t-il
y y"!-
"
l'emploi des deux adverbes h)
c
i;,
''
Remarques.
y
c
(^t
:
f
toiera sur
J._y^i ^
t^
^
^
^J
wn jeune homme qui
e^^i/
J-a
^
^
y
|-->
f3-3^"^
-Jii
-^
^,
quelqv!un
J--*
siyys^M^^(^^yyyi,y (Har.)
a
y
c
'i.-i
cr^ ^^
J^_cv!
il
à l'imparfait la signiy
futur; elle suit les conjonctions j,
verbe quand
le
Ce
C £
,J-a, entre ^\
et
^\.
les
gram-
GRAMMAIRE ARABE
216 //
/ /
fi
c.*cï
/'/'
A
^J^La.
^-i-^ <^^\-^\
(Tart.)
(.-il
fi fi
j._r:)
1
/>
fi
(A. R.)
c^o
JL^J
te
*_!_» J
>!
1
et
c
fi
"s-
/
fi
J-^-5
!
y
i.^
fi
d2ï
i
L^_j^.j
fi
c
qu
i
vaut
est-ce qui
ou
ce la science
\ y c ^ ^ .^j^_^^aju.^j
/ (Kor.)
C exposer mon besoin^ ou raconter une fable f
dois-je
1
^
et
c
a!
^_5Ujt_/^_A^ J,.»
/
fi
fi
^
le
plus, esl-
la richesse ?
/
V
vous donneront-ils
dessus y ou
le
V auront-ils eux-mêmes?
—
Remarques.
a)
fréquemment sous-entendu lorsque
est
\
f
C£
proposition disjonctive est précédée de ^\
la
es^ce
<ie
^1 que
un nom, un verbe ou une
sur la consli^uction de A—J^-iJ"
^*\ ^T^t
ne s'emploie qu'avec
et les
phrase ou sur
la
à quand
o^
futur
le
Ce
J L^
^\
VœiH
C
y
y
ii.i
^»^
<*X-^-.;v_jï_j
(Khan.).
/e
\
rtiot
est
particule.
d'où viens-tu'î
^^^_^
^^^^.^v.^
second terme de
le
y^
<i
^j.s>^ ^\ J_a_9^\ ^ù_xo\ <^_«~1-x_j
:
Les autres adverbes interrogatifs
i._9>L.Id
j\^^
y
emploie dans une phrase affirmative pour séparer
l'on
chacun des termes d'une division
c)
C
9
ou un brin de paille que tu as dans
la poussière,
C'est la particule
b)
:
Zi
II
pronoms n'exercent aucune influence
la valeur
promesse,
cette
faut seulement
^su^ ^^}
:
des modes: LX_£^i
\
\X-a
^^^~X_^
vous êtes véridiques
si
remarquer que
quand serons-nous
oQ,^
(Kor.);
quand"}
ressuscites^
Interrogation indirecte.
—
La proposition inlerrogative indirecte est celle qui sert de 289. complément à une autre proposition qui êtes-voiis ? est une interroga:
tion directe, et dites-moi qui vous êtes? est
Après
demander^ s'informer, regarder,
les verbes français
commençant par
soucier voir, etc., la proposition ^
gation indirecte;
si est
si est
un gallicisme correspondant à
traduit-on en arabe par
le
une interrogation indirecte.
ou
\
y y
savoir., se
une interro-
est-ce que, aussi
J,*. y
c
y
290. et les
— Dans l'interrogation indirecte on emploie les mêmes temps
mêmes modes que ^
y y
y
dans l'interrogation directe c
y
cr^^ d^j-^ S-^ ^-^
(llar.)
y c t
fi
^w.-Y-;'.
(id.)
fi
fi
c
dis-moi
(ATr-c-^r^
pour quHl rite
(id.)
"^
y
fi
Ll-Jaju*
^9
et
C5j
\
e
y
J..2)
y
c
tu vois
si
un jeune homme.
y
y
y't
f^ Lj^^-^^-t^
O^ ''
jfiy
:
ou
soit établi s'il dit la vé-
s^il
ment.
c'ci
y
.^C._^w3uj ^
vJi.j
î
regarde toi-même inculte.
s'il est
une terre
PROPOSITIONS IMPRRATIVES
—
Remarque.
Dans ces phrases on
tcrrogatifs ---X-« quand'!
^.^\ o«?
lait
etc., et
naturellement usage des adverbes in-
non des conjonctions de temps ou de
l'adverbe Ju.-_r>. où qui est simplement relatif: lX_£^J
demandent quand s'accomplira
^
sr^
d'où
il
f^\
vient
^X_3j_>Là.\ 1^,.^-ij^*
^^y_^
—
y
(^
^
(,
c
'
c^^jSJux^
^.^J
{le feu),
r.
je
te
c
o\
dirai
(Kor.)
£
y
j^
y
\
'^
y
y^
impardon, ou
le
que tu ne l'implores pas.
y y
y y
-^
^_Lc %\j-^
c^-L*-3
!â_î>
:
flores pour eux
y o
c
o
y
leur est indifférent que tu
il
^_3L;:_**wJ* y
va
il
O
y
^^-^J.-^<-^\
y y
c
^.^-JJLc 'i\y^ '
'
V
où
y
^_5-J\
c
''
'
dis
forme interrogative
la
yc^cycs-c
c/'c*c-?/'
À
me
tu
^^l\
Les propositions qui expriment un choix, une double
hypothèse ont en arabe
J
.si
(Kor.);
i43).
(n,
y
291.
promesse
cette
\.>_a ,^^-^-^ ^^^J^JL-^^
\
Ce
•
ils
217
m'est égal que tu fasses cela ou
il
non. y
y c £
j:^JLO
ji
c^s.-^_3>
5
^ y
y
y y
c
y y
c
v^O-jj-^.^
y
/y
c
s-
Lw.JL3jî
^
y
y
y
y y
i,
y
que tu
restes.
es.
o
l-^è ^jXi-^A^ fj^^
vLS'
frappera, que tu partes ou
te
il
"
traite bien ton hôte, qu'il soit riche
ou pauvre.
Remarques.
—
On
a)
voit par les
exemples précédents que
une proposition affirmative, une proposition négative.
tent au parfait dans
6)
La particule
c)
Quand
le
\
peut être supprimée
premier membre de
second, on supprime d) Si les
\
et
la
on sépare
(2«
(4°
^ dans
au conditionnel avec
exemple).
phrase disjonctive appelle nécessairement
les
deux termes par^^t
deux termes sont attributs de
premier attribut
et
verbes se met-
les
^^,
(3«
le
exemple).
ce verbe se place toujours après le
exemple).
PROPOSITIONS IMPÉRATIVES
292.
— Les propositions impératives expriment C/
le
commandement.
y c^o^
Ul y
L'impératif est n'existe qu'à la
le
mode propre
de ces propositions, mais
deuxième personne, on
à la troisième par
le
"
le
remplace à
la
comme
première
il
et
conditionnel précédé de J. Cette particule s'écrit ^ y
avec un jezme quand
elle suit les
conjonctions j
y
et,
^^
J
donc
:
GRAMMAIRE ARABE
218
\-Li>\ ^
<*-=^J ^j
(Kor.)
'
(K. D.) à-j
^
C^
î
^^^
i
"
c-^
J^.-*-)
(Y[, 39)
^
y
x
c
\
ayez
quelqu'un a un avis à donner, qu^il
si
Vexpose.
^
que
w-^v-X-x-^lJ c
le
sage s'instruise avsc
mon
sort.
X
c
/•
réjouissons-nous donc en cette fêle.
^v-fl-xJU
!Â-^-j
1
et
pitié.
^_/4i.s-rr
J-^
JjL_xJl
JLsT-f
(Har.)
^
"
'}/
dis: Seigneur^ 'pardonnez
J-^
cri) •
PROPOSITIONS PROHIBITIVES
— Ces propositions marquent
293.
y
/
f
s.
la défense.
^
c
Pour défendre, on n'emploie jamais conditionnel précédé de Y;
l'on veut
si
on emploie un mode énergique ^
y c
y
y y
-^
di-^V-^^
(Kor.)
^
on
fait
exprimer avec force
y ^ c y y V ^!
c
1
l'impératif;
usage du
la défense,
:
y s.y
«J Lj
y
y
i.
^,^
,
ne raconte pas ton rêve à
tes
frères. y (id.)
c
y «—^
y
s-
»j.JLxJ1
tpLJjl
?
y
£.
? c-^
j^^j;-^^-^
y
y
3-Œ-^.
Y
-^
1
que
y
pas les infidèles pour amis. y c ^ c-^
y ._^
(id.)
croyants ne prennent
les
y
? y
y
yli ^Slî "^
,_/»
!
»-::_Y_Y-^
y
-^
ne
50?/es
ptï5
de ceux qui
^
^
doutent.
PROPOSITIONS OPTATIVES
294.
— Les propositions optatives expriment f
L
.^
y
y
souhait.
le
y
y
Pour énoncer un souhait sous forme déprécative on emploie parfait; la négation s'exprime avec
^J y
y (Har.)
—^ ^ !
(L.<s_a.
—o y
<«
i^U
!
\
^
y
y "^
y
c
^
y
y
c
^
Dieu
:
lui fasse miséricorde.
'm s-
'^-'.
i>-^ ^^w-JLj U> ^_;l-wûJ
'^
(id.)
c
-wv91jlJ
I
Y
le
que Dieu assiste
le
juge.
puissiez vous, dans toute votive existence,
ne pas rencontrer d^in for tune.
PROPOSITIONS COMPLÉTIVES
295.
— Lorsque J
? j._jj_=s:-^
(M. N.)
J-JjJ
^JL^
C-^-A-O
^-3
\
"
Wst /3j j
\
\
J "
296. après
de
— Lorsqu'il
c^
»!,
la
le
)
^ ^
c
et
le
verbe se
au conditionnel
:
plût d Dieu que je fusse resté dans l'île. 'plût
à Dieu que cet enfant ne
m'eût pas été donné.
temps présent ou
^
futur,
on peut metlre
:
y
c^
•cx
/
»j-Y-^-V.
^.ç""*-?"^
vji^-^)
Lj
^
à Dieu que;
verbe à Fimparfait indicatif ou au subjonctif précédé
^ /
y
(K. D.)
s'agit d'un
,_A_::_^J ^
négation s'exprime avec
(Kor.)
'plùt
dans une proposition négative
'
''
(K. D.)
w—^
une proposition affirmative,
parfait dans
précédé de
souhait se rapporte à un temps écoulé (souhait
on emploie Tadverbe
irréalisable),
met au
le
219
c
^^ ^ £y
à-sr-Lv^-jj à-Lr
U
jf
U
oA/
52 ??2on
^ wX.sr-'
Ujl-J
plût à Dieu que nous puissions
"
trouver ce qu'il mangerait
qui
syS^i
^
peuple savait!
^ jJu>.j\ d^-^J
et
le rétablirait,
plût à Dieu que
mal n' existât
le
pas.
Remarque.
— La particule CU--J est
accusatif; elle peut être précédée de \j^i\^ ,*XJ
^^\
L^
une de
et suivi
celles qui régissent toujours
de ^\ que
ah! plût à Dieu que je n'eusse pas
:
^ ^J
été ton pèrel
(v,
\
CU--v_J
un l-i»
227).
PROPOSITIONS SUBORDONNEES PROPOSITIONS COMPLÉTIVES
297.
ment
— Les propositions complétives
direct
servent de sujet, de complé-
ou de complément indirect à
la proposition principale.
En
français, elles sont d'ordinaire précédées de la conjonction que.
En
arabe elles sont précédées de ^t quand elles sont verbales et de
GRAMMAIRE ARABE
220 s
*
^ quand elles sont nominales\ elles ont cela de particulier qu'elles
pourraient être remplacées par un infinitif
^1^-^ "^i ^U
vaut à
-^
^
»!
équi-
:>\j\
voulut partir.
il
•^
^j-^^lJ^^
:
^
«
>^
«•
y
—
298.
employer
faut
Il
avec
,!
verbes qui signifient vouloir^ désirer^
subjonctif
le
:
1^
après les
ordonner, permettre, falloir,
empêcher, craindre.
Lorsque
2^
complément ou
le
futuj
sert de sujet
»!
ou de
indirect à la proposition principale et désigne le présent
^J^f
!
y^c
^
(1) ^^ ^-3
(id.)
commençant par
proposition
:
jL^J
(Kor.)
la
!j-çs.j-s:-;'.
^
y
c
»jJ._j^_5
»!
Us voudront sortir du feu.
y
J^-œ:-***-'
b)
vli-suJL^ L;»
!
qu'est-ce qui
Va empêché de
o
.f
y
çS-^
(id.)
J>^
^ y
c't
!j-;»j-^_!)
^!
y
y
c
j--^
vous
il
est
te
Adam.
frosterner devant
y
p tus avantageux de
jeûner. c ^ y y ^».^>jJj*U
c*
\^ ^
^!
j^
s:-
y yc
^
^-fi
£
AwJ
(id.)
"
\
-»«-£
!jU !j^Jj-j ^!
D.)
(K.
!
et
c
jwVJ
^jS~fiy^ JJ>
y
!
avertis ton 'peuple avant qu'il lui arrive
y
un châtiment don-
loureux.
s_^!j._£
y
yy
y
L-x-Y-i^ !_^_sr-^
ils
soufflèrent désirant allumer
du feu {par désir quils allument).
—
Remarques. considérant
a)
Dans ce dernier exemple on pourrait
comme complément
mençant par
écrire
oî
^-..^Ja
en
d'annexion de ç_.«_L toute la proposition com-
^^\.
CE h)
^^\
devrait être régulièrement précédé de la préposition par l'intermédiaire
de laquelle
le
verbe régit son complément indirect
:
<i^>Uu: A^sr*\
o^-> vJX^-o^a /
je songeai à
quand
1. '
^
^^\ y
Quand
9
la
néanmoins on supprime souvent la préposition pas nécessaire pour donner au verbe sa signification précise
jeter sur lui
elle n'est
<*.-^^^\ Ce
me
^_^\
;
:
v^9\ ^L-w.-i\
^ys
je puis
contenter tout
le
monde
(Mok.)
pour
es
proposition
c ^
"^
(Har.)
devant rindicatif.
est
négative
on
écrit
ordinairement
^)
\
devant
le
subjonclif
et
PROPOSITIONS COMPLETIVES
221
il Jjf signifie quelquefois de crainte que, pour que ... ne ... 23as quand suit un verbe qui marque la crainte, une précaution prise pour parer à quelque
c)
événement
^t-^
:
^\ (^-^^^J
jL-^s-^"
J^j"^^ «^-f ^-^^-J^-»-^
à la terre des bases solides de peur qu'elle ne s'ébranlât avec
donnâmes
'>^ous
hommes
les
{et
ne
les
renversât).
Après
d)
un
fait
(^\ le verbe
de
la proposition
antérieur à celui qu'indique
complétive se met au parfait
corrélation entre la proposition complétive et la
de
au parfait
celle-ci étant
J_>oLA-M
:
jS^-^
^-f->o
pas préjudiciable d'avoir eu une origine obscure C
y
Ce
CUJ_^^
25),
i^
^^\
^6 lui
est
,^\^ O^-*^
(iti.),
faisant sortir
la
{de
sa
(M. N.).
Après
Ce
c
y
y
C .^
y
(iiar.)
on
;
>
y
^^^_>o
de,
on peut remplacer
y
^-^ '^\ au
,Sw-si_3
\
c
^
J--^* avant,
C
•
vX-Jï~i
encore
dit
yyÇ^yyCyCy
\wi-X_>** j^_A
C
y
Ug
c
x
y
les prépositions js_si_^ après,
par Lxi; ^^^xJLA\
chemin
que j'arrivai à Damas
ce
L.^_iLJL^ son Créateur l'éprouva en /
^\
(Vi,
"^
^j-^--^,
f^\
Ce ^^i-:>
\
demeure)
marchai jusqu'à
j^J\ je
>
e)
désigne
s'il
y
y
•
s'il
y a une simple le verbe principale, proposition
proposition principale, ou
la
il
s'est
de
lieu
égaré après avoir été dans
o1 S^aS
le
droit
l£J_^-Ls '^jJ
:
^
y
ne fais pas dévier nos cœurs après que tu nous as dirigés
>\ vX_a_.> ' *
—
ô\
.
'^
1
jl
I
(Kor.).
^ -l .p 1
299.
A
&_„-.«,
—
Après
entendre,
ordinairement
(VI, 27)
les verbes de pensée
Oj-w-^
1
I
^-^.j trouver^
(§
247)
A J._^
j-^
^-5l
ïLa-s:-^
»1
!
^Lc
^^ /
y
on emploie
que
la vie
conduit à
mort.
y
îLCJ
LaLfl-^v
(VI, 219)
vofr,
:
il sait
la
^î.
après
^emozo'^ze?^
avec la proposition nominale
»!
et
.1
!
^j]
je vois que les pleurs sont folie.
(Dam.)
i^^-O
c^3._a^j
A_s
s-t-^-J
i
J._^-iu_j
témoigne que lu as trouvé
il
un
Remarques.
—
a)
On peut encore
faire
usage de
la
trésor.
proposition verbale; aiors
c E
on emploie
^
avec
1
indicatif si
le
verbe de
la
proposition principale signifie
savoir avec certitude; le verbe de la proposition complétive doit être précédé des
particules
^,
Ji^-^J
ou des négations LI ou
ne savez-vous pas que vous serez ressuscites'^
...
^^':
c>^^~-^->^~^ ^_^_„JLiâ_j
(Kop.);
jj^l
^^àJi-i U\
^ c^\
c:^wL_a_1_j
je suis certain que vous ne serez pas lésés. Après les autres verbes de
emploie ordinairement le
verbe, et
le
l'indicatif
pensée on
CE quand une particule
subjonctif dans le cas contraire
:
est interposée entre
<_^_^_;;J
^
Ci\
^
1^
"
î
o\
et
crois-tu
GRAMMAIRE ARABE
222
^^x—co
ne se convertira pas?
qu'il
en liberté?
croit-il qu'il sera laissé
On
h)
<M saches
qu'il m'ait fait venir
pour autre
^^_5JLjï_i_^^ ^*X-3j^ Lj:£L^\
Après
JLi
_3Lyo i^L^l
vante
du second verbe
le sujet
,
^.jj^^.sr'^-^
me demander
chose que pour
L^j^-ri.^ nows
à^J^\
\
L^o je ne pense pas
des renseignements
avons trouvé que nos pères
(Har.)
;
faisaient
.?^
à^^^LsriJ
o^ ou J^t ^we (discours ^\ peut môme se supprimer :
^** 'i^^ ion père est vertueux
jO Jw^'
^.^.^j
\
(litt.
:
je dis
:
ton père
on a dit {que) la faute fut à la
ser-
(M. N.).
Après
d)
les
verbes qui signifient jurer ou faire jurer^ on remplace encore le
discours indirect avec
^\
par
choses secrètes,
fait
mon
jurer de partir
La conjonction
indiquer guillemets
^^\
«OU
:
:
;
^we
Je
\
ou
o^
certes,
assurément
]9ar celui qui
connaît
^^^j_^Av>--^J (^^_i>Ji_sr'''~-^\
certes
il
:
i/ lui
partira).
peut être placée devant un impératif ou une citation pour
\^J^-s.
\
(Bar.)
a fait jurer
discours direct, elle
le
^'^iLAo a.-u^*
\
sort est surprenant
(litt. il lui
J
discours direct avec
le
)Lsr'*^ --jL-iô jS* OL-^.-A_s^'^
e)
^\
^i5ULrL\ LJ* je ne m'imagine pas que
que (discours direct),
certes
o] J^^'^
es^ vertueux);
tes
Vhomme
^_jLi^1 répondre^ on remplace
(^?ire,
^\
par
indirect)
t
\
(Kor.).
c)
a
^j-^
:
^^.jf^^.^^w.sr-^'^':^ "v^
(Har.);
c-^-<l^-sr^.
(Kor.)
peut avec tous ces verbes supprimer c>\ ou
devient alors régime du premier
ainsi
^\ (^L^J> ^\
tir^-X_j»
^
\
avertir ouvertement {et je vous dis
fait \
:)
alors fonction de nos (o~-^-3
^J^..^^...y^
j-t'.^>-^
adorez
vrai Dieu
le
deux points ou des j^-3
\
je
viens
vous
(Kor.).
PROPOSITIONS CAUSALES
300.
—
est la cause de la proposition
^^,
^Li
la
chose énoncée
elles sont
précédées de
Les propositions causales expriment que
parce
principale;
»li ca9%
gîte,
s\
v^-^_=<.
^^
attendu que, vu que,
puisque, particules toujours suivies du sujet mis à l'accusatif.
La con-
jonction 5! peut être employée avec une signification analogue et
précéder une proposition nominale ou verbale / ^ y (Kor.)
^Ji-s:-
^
j-^ ^-U
I
^U
v^Oi
il
:
en est ainsi parceque Dieu
est la
^
vérité. (Arb.)
^-tr^j
y^
>^'
^)-=^
^
v^'j
il
vit
qu'il
ne pouvait rien puisqu'il
était seul.
j
PROPOSITIONS CONSÉCUTIVES ^_x-3
_v>
vjl^-^'n
\
(Qal.)
^jJlJ.>\ y
J'
••
*>
JLsH
!
J-cLi
^
Lj
J-)
oLa-j
»
!
z/
1
223
a été nécessaire de
le
mettre {ce
nom) au nominatif puisqu'il
wo o jJ
I
est
sujet.
*-i>-r=^
i
pouvait
vie
cette
si
vendre,
se
fen
pour le racheter car c'est par lui que
ferais le sacrifice
xZ
j-,j_J_A J
(vj^—^
!
1— ^—
^^
^-i
{mon frère) les âmes étaient heureuses.
• y
v^^-^-LJ*
(Gan.)
PROPOSITIOiNS FINALES
— Les
301.
propositions finales marquent
verbe se met toujours au subjonctif sous conjonctions J, !1-U
pour que i,
(Ham.)
f y
^_^-à
^^,
...
ne
...
-5
^«5,
«/?yz
«j afin
que
dépendance de Tune des
la
que
but de Faction; leur
pour que\ ^LwJ, ^-;r^'
^
... ^ze ...
/jas.
/'«J—o^Cwy
C* .-c
^Sj,
le
/^LJ
vji^_j ._=.
I
y'a^
éprouvé
les
hommes pour
les
connaître. -Lj_\-J
^-x^-c
IJwC5j-_3 L/9
u«^-:'
j.3
noM5 savons
ce
que nous vous avons
prescrit afin qu'il
ny
pas
ait
PROPOSITIONS CONSÉCUTIVES
302le
—
Les propositions consécutives indiquent
la
conséquence,
résultat de la proposition principale; elles sont précédées des con-
jonctions
^_:l^
en sorte que, au point que, jusqu^à ce
donc, par conséquent
y
Lorsque signent un
au parfait s'agit
et,
en ce cas, donc.
»i!
*
^
que.^
M
-
*
*
l
/»
la proposition principale et la proposition consécutive défait positif, le s'il
s'agit
verbe qui dépend de
d'un temps passé,
d'un temps présent ou futur
:
.v.^
et à l'indicatif
ou de
,
?
met
se
de l'imparfait
s'il
GRAMMAIRE ARABE
224 /
i,
^
(Isb.)
y c-^
^
«J
A-^-.*»>
\
/
s.
^-^^-=^
(A^-^
^^
^ ^^^^ ^^^" ^^'*^ ^^^ dégoûté de la vie.
^
à-i ^_=v v-j
_î;_a.
,
>^ »-^
^-Ld Lj «..^-wlj ^.LwLs
(Dam.)
malade au point qu'on déses-
e^^
«"/
"
père de
vj^^^--^^
^^
./^
lui.
tairai
craindre,
et
vl
aurai rien à
f écouterai
et
je m'in-
struirai. ^
— ^-^-^ '*'
Remarque.
.
.
.
régit le subjonctif, lorsque le verbe qui suit
indique quelque chose se produisant conformément à un désir, à une attente indiqués dans la proposition principale, afin que,
pour que
301)
(§
^<Jl*J
:
!
jv«_^j.'_9
ou quand
.-^^
\
i/'j^^
il
signifie
f étudierai
jusqu'à ce que /aurai acquis, ou de manière que f acquière la science L»^-^c verser
àJ-ûw
— Lorsque
J
!
vju—9- y^ ?;ms f ^rs
1
la proposition principale
^ ou
y
i;^-9
Tigre
exprime
àJl._L_c LJ viJj>
.-=!-
r-^^ se met au subjonctif ^Jv_A_à.i
J'^-^f
1
" ^
^ yy c
le
pour
le ira-
le
commande-
souhait, la demande, le verbe de la proposition subordonnée
le
commençant par (M. N.)
jJ
(Soy.).
303. ment,
-v,a
\
;
y
;>
s.
y
Ls
j_ft-s
^
^ y y
c
M--^-^-^
c
^
y
<^
^
dis-moile montant de ton sataire et je te le donnerai.
y
y
c^--!^^ ^-"-"-rr
.
L_,w-J2_o
(Kor.)
:
P^^^ à Dieu que j'eusse été avec eux et j'aurais rem-
porté un triomphe éclatant.
J-aaj
_"_cs. j._vo
marcrie jusqu'à ce que
tu
arrives.
Remarque. tionnel
Dieu
s'il
et tu
— On
n'était
mettrait
le
y
vj
— Après une
^
même
fication de
pour que
^j-^ cr-^^
<ijL)\
^
«^ crains
'
(Mi.).
i^
^ -^••mm^.^^^^J
^ ȕ
y
proposition prohibitive ou négative ^-^-=s^
souvent à moins
...pas; de
:
proposition consécutive au condi-
^
.5t_J
gnifie
la
précédé d'aucune particule
ne craindras rien de personne y
304.
veibe de
que.,
avant que, tant que ...ne ...pas,
placé après une défense a ... ?ie ...
fréquemment
pas, de crainte que
:
si .,.
si-
ne
la signi-
IMIOPOSITIONS SUPPOSITIVES 18) à-j -sr-' "
([.
^.^.sH
J^_3iJ
J^^51j '^
O
—3:-:'.
V
,^L;j)
oJtJJw-3 a-^JaJ
(Ilar.)
.
^^^^ V^^
^'^*
homme avant
—
.
.
pas
.
.
.
pour qu'il
tous
hommes
les
aime pour
ce
lui.
y
a-L-j
n obéis
"^
^
pas
à
tes
désirs
de
crainte qu'ils ne f avilissent.
précédé d'une négation correspond encore à nos locu-
^^^JL^».
que, ne
foide l'Iiommen^eslpas parfan^ ow'e/ n\nme pas
/a«7e
.-^
I
la
L*»J
^^
y
Remarque.
^
»L-^_j|
1
^/'^/'S,^*
lions àpcinc
^^^
de l'avoir éprouvé,
^.v-jv
(Gaz.) i>-4»-i-J
^
.A_Y-=^
ls^-/»l
_;:-aw
225
.
.
que
.
:
LL_a_^^
,
-JC
•!>»
^^-^j
»
l-.L5Li_x) l_«-3
sommeil s'était-il emparé de nous, que nous entendîmes une voix, ou nous ne dormions pas que nous entendîmes une voix {Wm.). L3'_5_-o à pct/î<? /e
%
c
—
305.
marque le
le
Lorsque
la
proposition
c
y
commençant par
s^]
ou
]:>]
futur et qu'elle sert de réponse à la proposition précédente,
verbe se met au subjonctif
s'il
suit
immédiatement
^j^l,
ou
s'il
n'en est séparé que par une négation. Si quelqu'une de ces conditions
manque, ou
si
»«bt
n'est pas placé
en tête de la proposition, cette particule n'exerce aucune influence y y
c
i.
i.
'^
/".
c^sjj
^
^
s.
y
^jjj ^-^
^\ v,tiJ ^ ^ \
^^ visiterai,
j^
^
^
1
c-J»
-?
^^yS\ ^ii
— en
:
ce cas je l'hono^
rerai,
*_3)îU_ï
\
ji^^%.,.J
\
\
^
^
\
tu suis leurs désirs, tu seras alors
si
-
du nombre des impies.
^-.-^JL1jT^,^J
(Kor.)
^^\ c^wJÂ-X-à Ij-s c^v-^-£^l
tu as prétendu cela, tuas donc menti,
PROPOSITIONS SUPPOSITIVES
306.
— Les
propositions suppositives marquent la supposition,
la condition', elles se le
composent essentiellement de deux membres
premier appelé condition ou protase
proprement
dite, le
sition indépendante, s^il
:
est la proposition suppositive
second appelé réponse ou apodase est la propo-
conséquence de
vient, je V honorerai,
s il
la proposition suppositive;
dans
vient est la condition, et/e l honorerai la
réponse. lu
GRAMMAIRE ARABE
226
Une
^i\
j^-, r)^
ce
commence par
proposition siippositive /^-^5
^ï</, ^^<o^ ^w<?
que
les fois
v^ ^ \j-^} celui qui, quiconque ce soil\
^jLj
.-^-^,
^-fi, L^a-jI, sji^_^,
\
U
Î,
r^^
L^-i^^
mots suivants
l'un des
oii,
:
U», L»-^-;», L^-j!
\
quand, toutes
^\
^-^
partout où.
Syntaxe de ^J. "^
—
307.
£,
La
jJ
particule
sert à désigner le
dire que la supposition est contraire à la
disions en français,
que je
s il
était
c'est-à-
irréel^
comme
réalité,
venu^ je l'aurais bien reçu;
nous
si
s'il s
avait ce
sais, il s'affligerait.
uJ et le passé
Lorsque après
mode
jJ
suivi
si,
:
du plus- que -parfait.
supposition se rapporte à un temps écoulé, on emploie
la
quand
le parfait
la proposition est affirmative, et le condi-
quand
tionnel précédé de ^J
elle est nég-alive.
Si la proposition principale qui sert de réponse est affirmative,
verbe se met au parfait précédé de J le parfait
U^
avec
L^J, ou
le
/ / y
/A
z'
'i-i
\S
L-3
i,
LjwJLx-^J
^-.3
;
si
conditionnel avec *J
L^-^-iv
C.J
si
^
"
^ ij-J'Lv»
(id.)
y
<.
bourgade,
y /^ c y
L;»
Ua-;:-c !j_;L$' aJ
y
yy^ycyc's-L.y L^J à_x-A_/._a. ^J
à_:Ljv_.s2_c
(Tart.)
:
nous avions voulu, nous aurions
s'ils
avaient été avec nous
fieraient
^ y
on emploie
envoyé un prophète dans chaque
^
î._jj,j
(Kor.)
elle est négative,
son
I
si
y
ils
ne
pas morts.
tu V avais aimé, tu ne lui aurais
pas désobéi. c
y
,
y ^
c
y
ç,
c
y
c yc
y
^_sl_x-j ^J ^^»^_j *JjJ
s'il
^
Remarques. '>-:sr-*—
'
\
crucifie le o)
^J
t_,'^
—
a) Parfois
\_^_^_i^
Seigneur de
pas
on intercale
\yji\j>
n'avait pas volé,
L^
oLJ
l^J-*
n'aurait
été châtié.
entre ^'^'^^
il
yS
et le parfait
avaient su,
ils
:
\^{J yS
n'auraient pas
la gloire.
s'emploie assez fréquemment pour exprimer
le
souhait, surtout avec les
.
PROPOSITIONS SIJPPOSITIVES verbes qui signifient aimer rencontré c)
tjL>>^ je voudrais bien ne pas L'avoir
c^^
(ilar.).
iJo^
Les particules "^Jj et
précèdent
et
parfait,
le
^S^Z^ Li v^s_>^' délai et
à<J4 "^î
:
f aurais
-11
J
une
indiquent
quand
exhortation
^.JiJSj^\
J,\
fait la charité
refroche ou
le
3J
^î
— Dans
^
entre
»!
elles
l'imparfait
:
que ne m'as- tu accordé un court
(Kor.)
^
jl
on intercale
y
et le sujet.
^_^ quand
nominale
est négative le sujet se
met au nominatif
verbe
^LT est sous-entendu;
si la
le
jl YjJ
contient un verbe, le sujet se place après c > /' c ^ ^.^-yi-c tj J R.)
(A.
quand
repentir
une proposition nominale affirmative
Si la proposition
après
le
précèdent
elles
\jJL^ JlJI J^l 308.
227
y
c^
c
Lo
*J-xJ
et
y
I
m
o
s.
J^j»!
:
^
_^J
%!
proposition
savants avaient tenu
/g^
S2
se-
crête leur science. y (Ath
)
X
y CÏfc.^
v^^L*JbJ
J»
j^jLjJ
sJl^J-^-sr-^ ^
!
• fc^/'/'
/'/'
C
/'/'.
Li-SLL^J L::.-Y-^j
i
^
"i
VjJ
i
5ans V histoire,
w-^o
àJLJ
les
RP.rn.ipnt rpsf.pp.s
''
-Sa
/'C^
\l
"^jJ
i
si
généalogies
inconnues.
Dieu ne nous eût
fait miséri-
corde, nous aurions péri.
Remarque. y y o ^ c^ ^
\
—
On
^
joint assez souvent les of y
y
^-j ^
J
V-3
y
y^
pronoms
affixes à
Yj
vJ ^"^j-) 5an5 ^oz la religion de l'Élu de
{Mahomet) eût été ébranlée
:
y
(^
Bien
(V, 164)
y
it
jj avec
le présent
ou y
le futur
:
si,
suivi de
/
imparfait,
c
1^
— Pour indiquer
309.
l'indicatif
présent ou
le
le
futur on emploie après jJ
de l'imparfait, seul ou précédé de
..jl-J';
réponse se met également à l'imparfait précédé de ^
yc y y y (III,
125)
y ^ y
<-/'
j-àr^l
*J
^ (11,
^ y c y
y
U
y
i,
9
(^
^y y c »jlj-fi_^
J
si
c..^
' c y
y y
J.-^
,JLs
\
J y
c
y
o
JLx«j
^15 ou au
la
parfait
:
tu comprenais ce que je dis
.L**ob5
^ »
y c
verbe de
y
c^^_jJ
JLxJ* '
'
13)
^"s.
J_^l
.JwJjJ^jJ " ^
le
^
tu m'excuserais.
^
oJ
si
V homme
connaissait ce
qu'il est, le maître serait
'
yc
y
c,-^
J a«^
!
sans dédain pour son clave.
es-
GRAMMAIRE ARABE
228
^^J >IVjJ
(Tart.)
<Jl-fi
je ne
vJ:.^-;.-^ iw»
rrC affligerais
pas,
si
je
n'avais une mère. Lw._jj_3
V
(^^^.sr-.''.
1
^L_S'
»L,v««jhM
J
si
f homme n' aimait f as cette vie.
Syntaxe de
et des autres ternies
^jl
conditionnels.
— Avec
310.
J ^^ J
•
*
sJ
^i
et les autres particules, le
^1
négation s'exprime par ^J la
verbe de
supposition
la
de la réponse se mettent au parfait ou au conditionnel;
et celui
dans
dLajLi jl
et
la
conditionnel dans la supposition;
le
réponse on peut employer avec des modes différents
Y
L/»,
^' r' i,
fi
y
y y
y
i,
J
^J f^ySii
156)^^-^
(ill,
y y
c
c
A
o.^LL;:-9
si
je
te tue, c'est
sans gloire pour
moi. y ^y (lil,
y y ^
y
y
c
r.
130) c
(ta.)
x
t.^
fi
^-^ ?
L
-^
y
x*
et
c
C
z'
ne réponds pas. ^
/
c
z'
savants ac-
toutes les fois que je t'appelle tu
y
c
les
quiert de la dignité.
y"
y
9^2 fréquente
ce/i/z
à
^ y
c
1
1
û_JL3
(Kor,
rri
;î—sf- V«*_J
Remarques.
—
Le verbe de
«^jj-.-***j te
roles.
a) ,^\ et les autres particules sont
L^
la
précédée d'une particule de serment
j^vAxo-s.—*-^
par Dieu,
même
supposition est au parfait
Dieu réussit,
On
doit
»>w^o_sr?.
employer
^J
tu sèmes
si
a mort)
elle se
iJi\
;
permis pour
le
I_.^-^î C-^^j
:
bien, tu récolteras
^\
à^fu
une moisson
:
^_5_-^-^^_jt.J
le
^J-^^,
^^
celui qui
a confiar^e en
^^^^ celui qui sème récolte,
^
^j^\>
souvient de vous
L_^_^
même
temps; néanmoins le prele second est au conditionnel et verbe de la réponse quand celui de
IJ-s'^ «^3JL->
:
conjonction
la
une proposition nominale
à^l.A\
du
réjouira,
vice versa; l'indicatif est
d)
suivies
supposition se met toujours au parfait lorsque la proposition
c) On met ordinairement les deux verbes au mier peut très bien se mettre au parfait quand
la
immédiatement
*
est affirmative et
qui
parlent, tu écoutes leurs pa-
c
verbe. b)
s'ils
-'i
(llam.)
;
tête
>-4~3
2-^
Là viU-^
en
quand C)\
si
de la réponse
«^-.t-i-^^-u*-^ elle
^\
:
1° si
quand
c'est
vous V oubliez,
interroge, ordonne ou défend
je 7neurs, pleure-moi
comme
je
:
le
-
PROPOSITIONS CONCESSIVES mérite
(lar,);
,Jw^*
^^j-^
avant
lui
3*^
(O
(Kor.);
l'imparfait
quand
^\ J)r—**J s>^A_s ^j-^u^^ après lJ l'indicatif
^_,cvwi-^^
:
précédée
est
elle
^\
,^,s._a^
de
jJs,
part,
il
un de
y
^J
iJo,
ses
verbe do
est. obligatoire, si le s'il
^_^-li,
J^,
a volé
à'<7
(jj\
229
(1)
:
a volé
frères
réponse est à
la
s'égarera.
Lorsque le verbe de la réponse précède celui de la supposition, le verbe de la réponse se met à l'imparfait indicatif et celui de la supposition se met au parfait e)
:
0< eSj^JW^
^_^-Ji^sj
,«s-A_5»^o-.X-i-JLj" tuez-les
f)
visiterai si
l^
partout où vous
Pour donner au verbe de
de cS^
:
me
les
rencontrerez.
visites;
la supposition la valeur
cU;t-k-rL CUX_^
_-L_^s-i>L-»_9
,
tu
,-v\
dupasse, on
que,
si...
ne, pas, jusqu'à ce que, ou bien; le verbe qui suit se
me
j^^JLi»* ^^_>L-^k_jt_J>
donnes,
si
tu ne
me donnes
le fait
précéder
faut ajouter la conjonction ^1 signifiant à moins
^i^^;-^
j)\
\
sifai mal agi, punis-moi.
particules suppositives
:
^_X_;c_s
(Kor.)
Aux
jonctif
ib
j,
^^
g)
il
«^
._"^
^^
je
te
met toujours au sub-
frapperai à moins que tu ne
qui m'est dû.
ce
PROPOSITIONS CONCESSIVES
— Les propositions concessives sont une variété des proposi-
311.
un
tions conditionnelles; elles expriment
pêche pas
la
chose énoncée par
la
ou
fait qui, réel
fictif,
n'em-
proposition principale.
"y s.
y
Les propositions concessives sont précédées des conjonctions
\\.,
jjj quoique^ bien que, malgré que, même quand, qui se construisent de la même manière que ^i et ^J dans les propositions conditiony
c
nelies;
.!j yy
i,
y
(Mok.) LsT^T'^
£.
marque y
y
y
<A^3 (^
yy
un
^
y
y ^f
ij
^^^
fait réel
y
Vignorant
quil m y
y
c
y
y
et^J^, un
fait fictif
:
\s-
j-T^-^ J.-a>Lsy|
^^
"^
o
d'ordinaire
soit
est
un
un enfant guoivieillard.
y
ne fais pas peu de cas d* un en-
nemi, fut'il peu redoutable. ^yi-Ja-^ y
il-^
y
^J—c yy
I
y £ y
(r»^' ^y ^
^
^
^^^
t'afflige
passé., serait- ce
Lorsque
lement
la
la
négation est exprimée par les adverbes "^ ou
conjonction
^3: ^%V-s.> X^-jl-.^.-^
n'écoutent pas ton appel
(hb,).
un
est
fleuve d'or.
^ y
/
1.
pas de ce qui
V
ou n'emploie pas habilucl-
j«kJ
(,>_^-;t^O*
^\
si
lu les appelles, ils
GRAMMAIRE ARABE
230
— On peut assimiler aux propositions
Remarque.
^,
mencent par ^\
iJ
\^i..û
il
ç-^ malgré que, quoique;
^^\
t'aidera malgré que tu sois
pour
concessives celles qui com^J^_^JLJ
o^ Ç-* ^i^^--^-^.
un ennemi.
lui
PROPOSITIONS TEMPORELLES
—
Les propositions temporelles indiquent quelque circonstance de temps; elles sont précédées des conjonctions de temps (page 154) ou d'un substantif qui en tient lieu.
312.
y
— Le
313.
y / y /
c y y
bSjxSJ
à_Jl-c
fi
D.)
y /
y
fi
1-^/
c:
défini
ou au passé indéfini
quand
V aperçut^
il
pita sur lui et
JLs c^-^-^
(Ham.)
y^
(Ali.jLstj
r)J\
^.^j^^J^à.
"
quand
L^-i-^
J
\jjS..i
—
^_i_^J
2$
\
1j>
L^J
peut être suivi de
y
fi
c
y
/•
314.
tua.
parvenu d
ce vers
terre.
explétif
:
^^\
J~-^_5 C>\
l-^
(Bat.).
y
y
c
fi
y
^
s. "
c
—
o\
c y
c
c
fui
se préci-
pas défendu leur chef quand ils l'ont vu renversé
jLjL lorsqu'il arriva à Vile du roi
/'
il
le
il
n'ont-ils
\
par
Remarque.
:
il dit.
1^1
\^
\
^-^
\\j!s>
!
et corres-
^
W-^
^ ^j
J-v-=^
au parfait
est toujours
au passé
à notre passé antérieur,
pond (L
\^
verbe qui suit
ne s'emploie également que pour un temps passé
3t qui
peut précéder une proposition nominale ou verbale, un verbe au parfait
ou à
même
temps qu'une autre
y (Kor.)
l'indicatif de l'imparfait;
y
fi
(.
y
>_û~,-^-*'^=s-:'.
i.
_
^1
c
<,
il
signifie
qu'une chose a eu lieu en
:
y y
y
c
y
fi
>.^-js^J vJI^^lT
U
tu n'étais pas avec
eux quand
ils
se disputaient. y (Ram.)
fi
c^
^wV_.^.J
1
fi
y yc
y
fi
j Lx»^
-.Y:»!
c.~^
c
c
fi
y
c^_LaJ
je dis,
lorsque l'enseigne
de
la
vraie religion m' apparut. fi
(V, IGG)
o
y
(.
y
-fi-J
yy
Lu:".M
-CL
,^.
y c y
il i\j.^.zs.
*
fi
fi
y
ï>A_)
sa
main
était
rouge [de sang) quand
la pointe des lances frappait.
rUOPOSITIONS TlilMPORFJJ.ES y
y
jS^i
—
315. futur;
^
J-dL*Jl
lil
CL,-^-^
s'emploie pour désigner uq événement présent
13!
précède toujours une proposition verbale dont
il
rarement à
parfait et plus
prime avec ^J
(II,
j-O c^JL^
\
i
(1)
LxJ>"Lj
*_^J_c
1
^^^-Xj L»
^
il
ne
Ajxii
lorsqu^on leur
t3î
lit
nos pro-
*
dlges,
ô^i yl'i L^
v5j 1-9
quand
parle pas.
^
(Bail.)
sage réfléchit
le
\
^
l^^Ls
verbe est au
le
:
J J LxJ
I
ou
de l'imparfait; la négation s'ex-
l'indicatif
conditionnel
et le
70)
(Kor.)
231
^_Cj^J
disent.
lorsqu'il n'arrive
lit
^
''
ils
veux^
tu
pas
veuille
ce
ce
que qui
arrive.
Remarques.
— a)
comme une
sidérée
Lorsque
la
proposition
commençant par
\>\
peut être con-
parenthèse introduite dans une autre proposition qui désigne
un temps passé, on
doit la traduire à Taide de notre imparfait ou de nos parfaits
^JJAJLXJ
<^^_^v>wo
il
vxxJl-stt'.
donnait audience au peuple h) Il
suppositives;
Uo
L.^
3\,
l_,,_-^.v>_>
vent en corrélation avec
pendant que je
\>\
y
—
Cf
mon
sur
sort,
si
dès que^
^ -^ que
qu'il est très y
JU^
>\
f aperçus
^
sou-
P***y^yyC^y S^k\ l^^>o
quelqu'un
(Bat.);
(Har.).
J
manières de traduire avant que, après que.
la
me moque de
''1.
signification lui, il
du présent ou du futur;
elle conditionnel
.„.
..
me
de
:
Voir enfin dans
L» signifiant tant que, aussi longtemps que est toujours
a quelquefois
je
^
depuis que j ai fait mes premiers pas
gation s'exprime avec
\
y
voici
suivi d'un parfait qui a la signification
jj,_i
\i
OU \M voici gwe, ^^asr^
les propositions complétives les diverses
l'I \>\
(^JL^, quand,
que peuvent précéder une proposition nominale ou verbale
j^^y-x)wX^ C.v_s*_-tAj v>._^
316.
ville,
(Gaz.),
pendant que, tandis que n'a de particulier
M
dans une
en gMei!gMe^e???psgi«e ce 5o/i) dans l'étude des propositions
réfléchissais
S.Ji-ya depuis
{.
s'arrêtait
il
a été question de quelques conjonctions de temps
Lx> ^-_;c_^,
v>_.c,
^\^ lorsqu
J._.X_ak.\ \>\
:
o*
*^
,
*
y
^-^
la né-
:
f
C^
<^-*-.-o
yyO.ffCy.y,, <^_X_r^;L-o a_-fr_-co\
dira des paroles désagréables
;M.
N.).
i.>\
GRAMMAIRE ARABE
232
(111,
•
^cf-
Jl-^
vJl^J^
/j»^
y ^
vI^-C^
Ho)
L;»
iu mH auras rien à craindre tant que
tu garderas y
o^-^—
(llar.)
y
y
es.
L/»
>
c
.
silence.
le
i
c
^J^-CiL.!
sois-ynoi reconnaissant tant
que tu
vivras. y (lY,
y y
(.
L;Jj-)
\Âi)
y
y/
^ y
<^
ij-vvcLrs.
y
^^
y
^
(*-^
(•r-'^-'
**'^*
^^
^^"^
^''^^^
y^^^
présent
a\
milieu de nous.
^
^
y
\M
^w
^
.~^
y
y
y
c
/
y
c
c
s.
y
317.
—
La conjonction j indique fréquemment
même
c'est-à-dire qu'une chose a lieu en
temps qu'une autre; que
signifie alors tandis que., 'pendant que^ alors ^ (111,
GO)
ui
y ^
^
yxi
M^
/3 j-â-'
^ y
^-^y
V-^
^
^•'^^'^'-
j
-^j-f'
y
y
i^s-y
y
y <'-^
i,
y
y
c
^
.tLw!
y y ^ 1-^ \-^c »_dr-^
!
.
^ ^ -^
s^^X^
^
^^
^
^
J
y
y
y
c
y
mort
te
sur-
tu fuis loin
du
Seigneur. y^ y
XS
mon
père
un des
était
rois
du
Khoracan tandis que Jj'étais en^
^ y
c
la
prenne alors que
^
'
"
cor e jeune.
C^-i-T,
LjLi;.
)
y
s.
^-A
j.fi
^
^
O":*
c
-^
frends garde que
vlJLi
^ ij-^
le
y
s-
s\
^
"^^-îj
Bah.)
y
c
v^-j Jj-x_j
\
:
V homme ramasse pendant que temps dissipe.
'
''
JI^JL sji)ç^
elle
^''^?
y
c
la simultanéité^
Xy'-S
-^
^j^3 <^^^\
J-TL;
V
y
318. jonctif
— x\près si la
le
première proposition exprime l'ordre,
rogation, le souhait yy
y y
Li-/.J
j de simultanéité on doit mettre
s.-^ yy y. y j.t*Jj v^.Y-***J \
^
_
^
j^
y
y
L-!>*
^
s.
à-Y-L>
Ij
la défense, l'inter-
ne mange pas du poisson en buvant
du y y ^ y-iy
verbe au sub-
:
y y c V
le
f y
y
i,
x,x.^_**._j
f y
i,
lait.
y
à_;L^
y)/i(/
à Dieu qu'il
in
écoutât tandis
que je lui parle.
c
y
-^
y
yy
319.
moyen
—
On
SL
y
i^
y
"y
désigne fréquemment
des substantifs jL^j temps,
X
le
temps où une chose a Heu au
^J~^, C^-9j moment,
>^ jour,
PROPOSITTOXS KXl'I.lCATTYKS Lsl
heure mis à l'accusatif sans tano}dne[\.)\
»
xion
comme
considérée
suit est
proposilion qui
la
complément d'anne-
leur tenant lieu d'un
:
(Kor.)
a-Lkj*
-VLV
J-^
iT*-^^
(Ali.)
^^
^"
^...^! c^J--^
..y^-y^
au jour ou chaque âme com'paraU
>a-j
"
ira.
cache les défauts de ton frère lors-
v-^^-wi
^w
—
Remarque.
sujets d'une proposition
jour où
*_^Jj._.^ c^est le
la justice servira
raient se mettre au génitif .^_i_«..^
>^^
i/s
56
produisent.
Ces mots se mettraient au nominatif
comme
considérés
.
J
s'ils
:
^^i:>L^
aux
justes
aJu^
I
étaient
s'ils
(Kor.);
^y.i ils
Ij-a»
pour-
élaient précédés d'une préposition
:
accorde-moi du répit jusqu'au jour où
Ji.2èLj\
!
seront ressuscites
ils
238
(Kor.).
PROPOSITIONS EXPLICATIVES
—
320.
une chose
Les propositions explicatives indiquent
ou
s'est faite
les circonstances qui l'ont
la
manière dont
accompagnée;
elles
correspondent d'ordinaire à notre participe actif précédé ou non précédé de en
venu en pleurant, ou à
l'enfant est
:
des prépositions sans^ après
tardé
:
l'infinitif
précédé
il est
revenu sans tarder, après avoir
o y
y
(2).
^ ^
y
y
u —
321.
Lorsque
la proposilion
explicative est verbale et qu'elle
désigne une circonstance présente par rapport à la proposition principale, son verbe se
met
d'aucune conjonction, ^ (Har.)
à-
J
y
^
c
J^^^s-;'.
I
y
U
à l'indicatif de l'imparfait sans être précédé
la
négation s'exprime avec L* ou V
^
^
:
y
c
^^^J y^
v*.-La^
il s'assit,
observant ce qu'on allait
lut apporter. //
(K.
(.
^ ^
y
D.)!.A-^
^
^
-.Uaj'
^
-^
1.
On ne peut employer /
précise, 2.
comme
Lorsque
't
i,
y
>y>^
y
<^
y y y
C-^j-iâ.
elle sortit
un jour à
la recherche
d'une proie.
'
de cette manière les substantifs de temps qui désignent une durée
<
j._^g_-Cù mois,
•f.
^
--
<^^_^Lco
année. n'ont pas le même sujet, il y des conjonctions pendant que,
la proposition principale et la proposition explicative
a entre elles une relation que nous
tandis que.
y
c^!i
exprimons en
fran(;ais à l'aide
GRAMMAIRE ARABE
234
Llà-s:-^
(flar.)
Y
»-jJ._j
baissa la tête sans jeter
il
l3^-^^
un coup
d'œil autour de lui.
/'c/'-'
yy
c
y c y y c
— Lorsque la proposition explicative marque un temps passée
322.
verbe se met au parfait précédé de j-9j
le
on emploie
tive
y ^
y
yy
le parfait y
y y
(^
c
avec Uj, ou
yy
y cy y LjL3j.j:J!
''
(Har.)
c
y% y
/y
c .-^
w^Jil_;L*o!
y
Uj
proposition est nega-
conditionnel avec J^^
le
woi<5
:
y
c ^^y
(^
nows séparâmes après avoir
pleuré amèrement.
^ y
si la
<^
j^Sj
tjoj-i;. sL5C) LxwwSIj
;
y
comment
w-_Œr'j ^^^^^-T
est -tu entré
sans deman-
der la permission ? % y
LiLwLj
(id.)
y
y y
^^
LJsi
c y
y y y
/f^-^ij
/»L«..j
— Quand
323.
il
s'approcha sans tarder.
i^-i-x^
proposition explicative est nominale, on la fait
la
toujours précéder de la conjonction j, qu'il s'agisse d'un temps présent
ou d'un temps passé ^
^
.
^^-J /^Lx-)
(Asm.)
:
Jw^U
ij
Lj
\jA^^
y
^
^J>£.
y
y y
y J'y
s.
y y
c^
_L^_j a-jLs j-Sj à_5^_jbL^
i
que ^
c
y
v^tj-s:-^-^!
Remarque. explicative <^>_<w9
—
<0*,>U
les
s
"^
li-^
\
hommes dormaient.
anges l'appelèrent tandis qu'il
pjnait debout
dans le sanctuaire.
^^
Cependant on n'emploirait pas ^
ne servait qu'à renforcer
ul^-wj
les
y
o
(Kor.)
prièrent durant la nuit tandis
ils
^
l'idée
c'esf la vérité,
si la
proposition nominale
de la proposition principale
^_a
:
\vX-a
sans nul doute.
Ordre des parties d'une proposition.
—
324. vant
:
verbCf sujet,
y^
^ .
w^LJl)
^^z'
L'ordre logique des parties d'une proposition est
y
à_j l_> " y y
\
^ l
à-U
complément
^ \
cette disposition doit
direct,
Dieu manifeste
complément
ses signes
souvent être modifiée.
indirect
aux hommes
:
sui-
le
(^t-r^ " "y'
^
(Kor ),
mais
PROPOSITIONS EXPLICATIVES
— On
325.
»Ly-=s-^)
^j-fi\
\
^^
c^!
L)
à-"-çvj.-Œ-^^-**'
(Mac.)
ê
1
^t
^«i.
^ M y
J'
mot qui
joue
le
:
Miséri-
cor dieux?
^A
^-fi
le rôle qu'il
eU-ce cela que Ca ordonné
13.-^1 ''
(id.)
la proposition le
d'une interrogation, quel que soit
fait l'objet
(Cher.)
commencement de
place au
285
jeune
homme
^
de qui es-tu
fils f
de quoi l'as-tu exh^ait?
^_^
c.
y
—
326.
On met en
seulement,
il
^
\u
y f
ou
L^\
B.
c
^o
\u
J,_p-.^U
I
restreint par Yl,
se place en tête de la proposition
\
y
^
\
-^
L^ M
c-^o
J-ju^J
mot
le
n^y a que; ^\ précède immédiatement l'objet restreint, y
tandis que
dernier lieu
!
y y y
y
'^^j"'^
^-^
il
:
n'y a que le maître qui ait frappé Vétève,
^
^JljJ
<)wv«â.
y ^ c^^
^\ ^-Lat-yJ
\
,J
\
>u
y
y
y
<^^y-y:a
!
ci^jcji-j
la-c
à
!
y
le
L_>»
L^
\
maître n'a frappé que V élève.
je n'ai envoyé de cadeau qu'à
son
frère.
y
327. stantif
— ou
Un mot
le
y ^
suivi d'un
pronom que y
L.^-^_=^.L^
Lj
à
y
"
y
'
> y j._=i.
1
Jiwj
^
:
^
le
maître de la maison s'y trouve {dans la
maison
est
son maître).
yy ;
"^
Néanmoins lorsque sujet,
affixe se place après le sub-
cet affixe représente
^--3
!
"
c
s-
pronom
-^
jjjJ ^
y
" ^
y
on peut placer
av»
îl-a».
avec Zéid est venu l'un de ses
fils.
\^
le le
pronom
affixe est joint
complément avant
JLcJ d^JL-^^jf *JL£
le roi
au complément
le sujet
:
a opprimé ses sujets.
^^X-i-^o-J
\
et se
rapporte au
à^-:L^.s.j
^s-U? ou
GRAMMAIRE ARABE
236
—
328. terminé
Une proposition ne peut commencer par un
on doit alors énoncer en premier
;
d'une préposition et de son régime
J-^w^aJ
quand
il
J
\
il
est précisé par
verbe
le
homme
roi sortit
adjectif
pour
est
s'est
enfui; 3»
2'»
quand
quand il
un diminutif:
c'est
exprime l'espèce
:
jl
chasser.
plus rapide qu'un âne; 4° dans les
5° après
JwA
les
diverses particules
est-ce que,
parfois
i.
(
A-iU
:£Li».
:
j^.LaJ
— En
\L=^>
ou
I
0\
^
/
y
I
est
^^c
(a.
\
j y y ij^-^_s
R.)
Je
c*
c
!
J J
^-^-.w^-j
pas,
\,
;
la disposition c'est la clarté, :
y
a-sLi
la science est utile.
y i,t -iS^jsb
y ^ -^ y c -^
.
y
y
c,^ j^
ou ^J-xJ
.
.
A-i^*
dehors des cas précédemment énoncés,
A-L*J
ne
toi;
venu.
l'importance des mots, l'harmonie que l'on doit consulter
0.-3 L'j
cheval
^
LJo, ^J,
un homme
oui,
^1-jtJ
y-
des parties d'une proposition n'a rien de bien absolu
JJ
gêné-
«^XJ^J-c f'^L-^ salut à
:
ses analogues,
et
y
y
329.
o\
:
souhaits
la proposition
Lr-^^ ^y-^ ^^ c
est
:
^j^] ^.Oi-i un jeune esclave «^ ^^_^
;,
formé
ô-^) ^^ homme
L3j^_^fi <Hlj~^
:
est
chez nous.
£/•./' chez nous;
veux
s'il
indéterminé peut commencer
le sujet
un
y a un
un
vlA-l-^ 7- ¥-^
— Cependant
Remarque. 1°
,
!
259) ou
(,§
LJ J.-;i-a
J,_9.j
lieu l'attribut
sujet indé-
\
ils
ont servi les passions de leur âme.
\
y e y^-^ j.-s-o-' 1
y
y
JU*
jv->À-A-)lj
y
"^
-^
JL^JL_j
c''est
avec la richesse et
''
j>
|Y, 163)
j
^
iwJUb
^
9^^
celui
Voblient.
qui cherche
le
courage
la
gloire
—
VERBI'S INCHOATIFS
VEKBES DE PROXIMITE
237
TROISIEME SECTION
SUPPLÉMENT ET PARTICULES 330.
—
Il
reste à étudier dans ce
verbes, des participes, de {i
Verbes
— Ces
cipaux sont
A
^3-^5,
l'imparfait
/'/'
•/'î
jL^,
j-ckl,
LiuJI;
J-c-^K
^^c/'x
^
"s-
o
A
/'/'
/'/<'
A
J-»-^^,
p
A
v-^,
y
y
A ^-^,
i^i-i,
sont toujours suivis de l'indicatif de
ils
X
y y
f
^c c,^-^
y y t
-^i
L-» ^-^-c- ^-V-xJ
1
^e commençai à ce
I?j..**»JLj
(TarL)
y y
i,
à_j^_/s^_,j
^
(Har.)
mettre à; les prin-
se
à,
y'y'/'
^ ^
y
w>,-à.
i/
1
>_^wJuJ
L;:_j
f avais
repentir de
fait.
5e mit à lui
donner des coups
de fouet,
^
/^LaJ! J-*-^. ^^s.yy^i.-i
^y y / y »^Ja-«» l-^ J-/9
que
me
s.
<Jw-Lc ^j_Y_L**»_j
(Isb.)
;
:
^-:;_l_x_9
(M. N.)
de divers compléments des verbes
verbes signifient commencer I
;
syntaxe de quelques
inchoatifs.
f M ^ y
331.
la
termine par l'étude des particules.
cette section se
190);
l'infinitif,
supplément
1
les
^3"^"-^
^^
^
gens se mirent à
le
vieillard se mit à
saluer.
examiner
ce ^w'i/ avait écrit.
Verbes de proximité. y
332.
—
i,
y
i,
s-
Ces verbes indiquent qu'une chose est possible ou qu'on y
est
(12^
sur le point de la faire. Ce sont
forme)
il
peut arriver que,
?7
peut que\
se
y y
y
,«v»wc,
:
^t-sw,
A
y y
o
y c
^^^^-L^
^LS,
!
v^_j^,
y y f,%
oX-i-jl il
a
il
a été près de, sur
manqué de
...
le
point de
Le verbe qui
suit se
.
.
.
peu
s
en
est fallu
que
.
.
.
met au subjonctif avec ^! ou
GRAMMAIRE ARABE
238
/*
à l'indicatif;
d'employer
est préférable
^ y
c y
y
c
^^X^j
52)
y
yç
c
y>
y cy
y y
^,-2-i-^*
c*"-^
"£ ,
C^-oii
\h\
C
X c
:
possible que tu trouves,
^^ ^-^^
-
C
/"
après ^j-=^ et ^^JjJLà.!
^\
de ne pas l'employer après ^LT et ,^^jJ
et
(I,
il
pèches, quelqu'un qui
67 tu
te
pardonne.
^j
(Kor.)
(Ham.)
—
Remarques.
c y
y
iny
o
cr^"^^, In
a)
Lorsque
ô
-J?'
c^^Ly
^
la terre
manqua de s* entrouvrir.
verbe >^ est précédé d'une négation, on doit faire
le
y
tomber en français
,OLX_^
négation sur
la
manqua de ne pouvoir
il
^)^' pew s'en
verbe qui suit
le
arriver chez lui
(K.
D.);
Verbes d'admiration ^
y
^
c
-^
c
JV^.^.XJ
met à
\
»a...»
I
y
y
(,
l'accusatif le
J-^-9^ on emploie naturellement
Si tion,
on
le
être répété y
(§104). t
y
^. y
y
t^ s.
le génitif.
premier verbe
le
pronom qui
y
c
^ c-^
y
y
\
,c^
y
^3
c,^
àJ^I
(H, DK)
y y o't
(V, 23) viJ Lv*.J îj
c
s-
chacun des
L» peut ne pas
Lw»
c%
y
l9^^
ce
jardin
beau!
est
s-
i.
^_A«_aw
y c
^ y y
j._j^
y
,
c
\
jw._.sûJ I
y
\
y
y
et l'on fait suivre
lient lieu de ce substantif;
^-^«-a.!
\j^^
i
y .
!
.
verbes d'admn-a-
:
»Ljl**4_J
(Cher.)
"^
dit.
est sous Tiniluence de plusieurs
place après
autres verbes du
y
^
o^^L5L^^
à-j>
.
un substantif
L_^ aJ
H.
c:>j^-Ai
^
y
O
y
y
verbes d'admiration de la forme J-^^^l L», on mot qui est sujet en français; après la forme
les
ce*
v_,
y
o
y
P
j—^-^. ^-^.
^^J\
y
— Après
333.
:
ne comprennent rien de ce qu on leur
/"aw^ qu'ils
me dirigera,
peut-être que Dieu
^-**«-5
(j^
j^j ^
j
y y
"a
L*
o
!
que la patience
monde
s.y
est
belle
en ce
agréable à J
et qu'elle est »
Dieu!
àJ-.^-=s.i_j
A
y y
c
y
v^J^j»
y yy
y
c*^ ^ ^ ^
(^"t
y
vlA-i-^l L»
comme
tu ignores les bienfaits de
ton maître et
comme
tu les ou-
blies!
Remarques. du
futur,
—
a)
on intercale
Pour donner aux verbes d'admiration
o^
ou ^_^Jl^, entre L>g
et le
la
verbe
:
valeur du passé ou J^
^
«^
\
^^
Uj
VERBES D'ADMIRATION, DE LOUANGE ET DE BLAME A>o que ton compagnon fut insensé! ^^^^su^\JlJ\ que
ch'Uiment des pervers
le
Un
6)
lion
le
des vivants
J—
as\
'^
y
y
—
qii il est
(^_^_kJ T
:
^Jl^I,
nominatif:
le
même
Uo comme
il
préposi-
recherche
^-^ î^e la mort est à proximité
^^^.l^ra^l être
L^
^_I_^^\
\jv-jfc
Ces verbes sont
:
!
beau admettent une forme
quel joli petit faon!
et de blâme.
^ M y
^ o
Jw^-a».,
^xJ
qit^l est bon;
jv«
i,
^eL.
y
Lk J
,
U
\
précède toujours son sujet;
est invariable et
le sujet doit
déterminé ou précisé par un adjectif ou toute une proposition
I
c^—»-A_j jJ
c^-J
\
(Fak.) 'T^-^^
c"^
je recherche la science
^ y c ^ j>^ y o ^ J-v-^"" (jLji**o
que tu serais bon
3^-;.-=^
!
i
y
y ^
,
335. le sujet
suivais!
peut porter dans une sacoche
y
^
correspond à
— Les
me
si tu
quel beau jardin que celui qu^on
s'agit
iJ-^-a.^
quelle
^ y
tJ-A.cs.
'
-^
et
belle recherche!
^
**
''
d'un
! (il
livre).
c
,r^y , ^^jco, i'
verbes
:
et
i,
._>^LL ^-LxJl
liw..c^j "
(id.)
^
y
• wx'/'
aJlLJ
V
!
mauvais. ^
lJ.-*-aw
U
C
y
Verbes de louange 334.
i3^_-^JLl»\
^^-^l
211.)
/ (§
de diminutir
a.Jl.aJlJ
:
C^^-^\ ^j-^^
^^j^
Les verbes ,^^_Lï»-1 être bon,
(Har.)
j^-i^î
on pourrait dire avec
sera long!
comparatif correspondant O^ CSc . C
la science! i$Ll_3=-^T
être
>\vX-fi
verbe d'admiration régit son complément indirect avec la
que
c)
,
239
y A l>*w-j,
seul ou avec le sujet et
y
.
sL^ peuvent
un terme
se construire avec
spécifique.
\
Lorsque ces verbes n'ont que lui; le sujet doit être
d'annexion précédé de
le sujets ils se
déterminé par l'article;
il
l'article
peut être
le
placent toujours avant
ou par un complément
pronom L»
:
GRAMMAIRE ARABE
240
L
^...c L&
-Vj^-s^
»!
*
y
j>ww**»J
vous us avez été en toute circonstance
A-»-J
1
y
y
'
deux chefs
excellents.
J^ cK
(vi,i8g;
y/
•s
^ c-c f y /
..,.Ji_x'.YJ
(Kor.)
i.
j!^ A-*J
i
beau
çw'^7 sera
hommes
séjour des
le
pieux! ^ y y
L-Lx-â
(\li.)
^^-^ ^'^^'
;r-^f ^^
L/>
^^^
^M'^7s on^ /<2î7.
^'^
y
—
Remarques.
S^\
Zéid
U
^'T
V
^^_^.
est bon,
\X_A comme
^
D'après la règle énoncée, cLl_fi
homme
cet
mauvais!
les fruits sont
£
i,
ç>~-^
\
-^
y
quand
à l'accusatif
^
c
l^^
rameaux
le sujet
:
sont beaux, mais
c*
y
y
-
est indéterminé, et au
il
ïA-cN-^
' y
y c y c-^'-c-*-''
^---/-J^!
<--9
1
le
le
c
Jj-L»v^
^
;
se
il
il
terme spécifique :
y c
>l-::_C3l
A-«-j
s
«-^^
y c
le
livre est
un excellent com-
'^
pagnon dans c
^
y
c
^
y y
w-i^^jJ pU-^Ji c'^i.-^/'c
y c,-^
verbe
terme spécifique
y
/*-«-J
t,
f.
C^-J
î
tu serais
cieux ^
le
nominatif quand
verbe quand
doit se placer après le
il
s-c--^
(Har.)
verbe et
le
immédiatement après
peut précéder
le sujet
;
est déterminé, sinon
(Tart.)
entre
— Lorsque ces verbes ont en plus du sujet un régime spécifique^
déterminé
(Fak.)
Q^^^
L^
y
ce régime spécifique se place
est
^-a-3
:
boni
est
y
met
mauvais
est
(m, 3i).
^
336.
c
n'est pas correct de dire ^_jï^
de Joseph ^J^-^ resdave
L-C-^JT L4-vL.1_^ cj-^3 ^j_j3-^_ij que
il
intercale quelquefois la particule explélive
On
b)
•
a)
^^**.3
c
^y^
Jjic
I
y ^
c
un
la solitude.
objet bien pré-
si tu
durais.
y c^^ y c
^yÂj\ ^xJ
guel excellent peuple
que
mon peuple quand on sort y
^
y
y
//
y y
Vépée du fourreau!
xi
v^_;»^_r L^^LS' jr-~wj
que ton langage
Ka'ab
et
est
mauvais!
Zaïneb sont deux
bien méchantes femmes.
—
On voit que, lorsqu'il y a un terme spécifique, la détermipas soumise à des règles aussi précises que lorsque le verbe nation du sujet n'est Remarques.
est
a)
accompagné seulement du
6)
^^
Le sujet placé avant il
le
sujet.
verbe peut dépendre de
^\
certes que,
a pensé, et des particules ou des verbes analogues 1
|J>_aJ)
»_j3-^
»
o^
"^^^ ^^^*'
^^
excellent serviteur.
(§§
^^^
il
a
été,
237, 247, 261)
:
PARTICIPES
«OJ
remarquer l'expression sô
faut
c) 11
so?i /«i<),
J^^^
cj-^
homme remarquable
(tuel
homme
«*JLJ 7Me/
<^j>
241
(litt.
à Dieu
tu en!
Participes.
—
337.
Les participes suivent
du substantif
''
^JLc j^iJ
ê^_i, JJ"
:
/
->
et suiv.).
Quand
tu
même
la
peux
tout
préposition que le [h\.),
L^
*JiJ
»l
i
"
X
-»
c^Ji
d'accord de Tadjectif et
sont dérivés d'un verbe in-
ils
gouvernent leur régime avec
transitif ils
verbe
189
(§
les règles
c.
jJL^îu-» Dieu emhraase (de sa science) toutes leurs actions.
Ja~w2s-^
Quand
sont dérivés de verbes transitifs
ils
ils
peuvent gouverner
leur régime à l'accusatif à la manière des verbes, ou se mettre en an-
nexion avec
lui à la
manière des substantifs.
y
4^
— Le participe qui régit
338.
quand
Tarticle
présent ou futur /•
X
</
C,^
s^jLy^&U-iJ
déterminé;
est
il
il
/*
>
X
/»
>
o
j\^ ^»/»LxJ c^s-/_3r-^
i
peut indiquer un temps passé,
:
^
je m'étonne de quelqu'un qui bâtit
'^ .
.
&LjL^J
([[,71)
^ (Ali,)
son complément à Taccusatif prend
/'
c
y'
y
/ ?
/'
"^
;iw>i2-x-^:aJ^)
!
demeure
wne
"T
A:>
s'
périssable
sans
occuper de la demeure éternel le.
/% y
ïL-j
\
y C' si-^Ja.^3 [
»!
celui qui est soumis à son père ne
sera pas confondu.
Remarque.
—
Le participe considéré
iréquemment avec abandonne
la préposition
ses frères sera
abandonné
J
jirend (§
l'article s'il
comme un l'article
>
w ^
JuiS
^
207) dans
la
il
est
celui
qui
avec son complément ne
exprime un temps passé, car
vrai substantif;
quand
e^»L-XJ\
(Bah.).
— Le participe qui est en annexion
prend jamais sidéré
agent verbal se construit encore
eJ'* ,-JLyo r^xt^ «4.^-3
:
ô^jLS 339.
comme
s'il
exprime
déterminé,
le
il
est alors con-
présent ou
comme
le
futur
il
cela a été indiqué
syntaxe de l'adjectif suivi d'un régime spécifique 16
:
GRAMMAIRE ARABE
242
-^ ^ > ^ ^ ^^-Ljv«9 J-X-5
^
Si
.
(P*)
ceux qui l'avaient mis à mort furent en-
^j
suite tués. (Ror.j v«^-j^-iJ
aJ
1
^-J
^-û
iâ-jv»x_j
c^-5'^^""'
naît ce qui est secret.
JbLCU
!
—
Remarques.
heureux celui qui étouffe sa colère.
c-^,^^
Pour que
a)
de son régime au génitif,
participe précédé de l'article puisse être suivi que ce régime soit déterminé par l'article ou par
le
faut
il
un complément d'annexion ayant le participe est
ramenés à quelqu'un qui con-
"Gous serez
'
"
^
l'article; cette
condition n'est pas nécessaire
au duel ou au pluriel; on peut donc dire
celui qui frappe la tête de
V esclave',
mais on ne doit pas dire J.-^s
J^_.-^_fi
^vL.-^\
j^_>c_sïJ
\
^L
si
<^^L-4aJ\
ceux qui frappent un esclave;
iXJaJ^\ celui qui frappe un homme.
^
h) Si le participe provient d'un verbe doublement transitif (§244 et suiv.), le premier complément se met à l'accusatif ou au génitif d'après les règles précé-
dentés
le
;
second se met toujours à l'accusatif
^JT
v^^-<-,.iLjT ou lJ^-^»—
\J1 yj» l-o.jT'^
C--V
ti
:
«)
»
U ^
"g
(l)
^^^—aJ
\
^^J-^
" ^ - nous autres Arabes, nous
servons aux hôtes de la viande fraîche; on dirait avec le participe déterminé
:
Q^H>Jïii-»J\
hôtes de la viande.
^
y c-^
c
:^\
^
c
y
^jjj^^
j>j>
J>
/
J->.j
y
340.
— Le
participe passif suivi d'un régime suit les règles déjà
étudiées pour Tadjectif suiv.)
(^
y y
spécifique
(§
206
et
:
c,-«o
J.-J
!
^
c y c--*
^ .-j
accompagné d'un régime
jj
/
^
^
i
y
i,
c^-«
p jJaJL^J
^
y
c
1
y yy
^ y
JJ>
jj.-**»-^
J"-T^j
^^ homme dont
la
maison a
été volée.
<-',-.o
sX_5_^
îL-a.
t
il
''
est
venu V enfant qui a
les
mains
coupées. > ^ y
»A-j
y
^
i,
y
i-c^loJL/»
^
yy
J.J_^j
^
Remarque. sitif est
— Lorsque
le
1.
f fc^çt >yJ^.^\ correspond
i^ ^^^^ passé près d'un enfant qui a la main coupée.
participe passif masculin singulier d'un verbe intran-
l'article et suivi
de toute une proposition dont àJ^
y y
**-^JJ~*
''
précédé de
(^
le
d'un complément indirect,
il
tient souvent lieu
verbe à la voix passive aurait pour sujet
à <^3 oX.J^ (^v>-)\
celui à qui
Le substantif en apposition avec un pronom se met à
il
l'accusatif.
est
né un
fils;
^j3\
;
\^sX.jt\
,
INFINITIF ^_^_-s_X_c
)^--ia-i_^J
^
nont pas encouru
2'i3
j-^-£- ...l>\j—v3 dirige-nous
\
ta colère
le sentier
de ceux qui
k^^:) IJ ^^j^ri\'l_^.
pour ^_^^_i_c'
(Knr.)
dans
Infinitif.
— L'infinitif est un véritable substantif.
341.
ment
de Tintinitif
direct
donc entendre
faut
il
Par sujet ou compléles
substantifs
rempliraient les fonctions de sujet ou de complément direct uitif était
arabe doit souvent être traduit par
L'infinitif
français
:
(Ham.)
»^LJ
y
I
y
c/'
c^^o
^
y
,
(, (^
y
ç^
y
nous
^
y ys.y t-y
^y /y
y ci^ y y
U^^!^ Â-a^L^^ C-o
y
343.
—
Le
^ y s.
^3
sujet,
^J
f y c y A, M >-g j ..
y o
c,-^
»L»*wjj5
!
^
lûmes
et
vou-
la faire cuire.
y't
me permets-tu de
»3L3*t
quand
après rinfinitif et au génitif
(jbch.)
hâtâmes d^ouvrir la
nous achetâmes une poule
L-j»^j:.i;,i
y-^
^)^_va-jbJl
nous
^, c
' (Mâç.)
infinitif
porte.
y '^
y
1
y y
Uj^U-V
Jî
^-::_3
S
/'Ck y c L^-ŒT-H' ^
(Bat.)
si l'infi-
remplacé par un verbe à un mode personnel.
—
342.
qui
y
o
il
est
y
c^^o
c
partir f
y
exprimé, se met immédiatement
:
y
c
^ J—*
la louange
me
je
que
l^
homme
suis attristé de ce
se
donne.
que mes amis se
sont éloignés.
y
^^
Il
^
^
y
Mk Vk I
A
,*"
c
y 1
».
^
344.
— Le complément direct
médiatement cédente),
il
se
se
met au
l'infinitif (le sujet n'est
met à Taccusatif quand
génitif
quand
pas alors exprimé il
il
suit
— règle
est séparé de Tinfinitif
:
impré-
.
GRAMMAIRE ARABE
244
*_9.j-;:-w!
à-^K-:^:''
jLjl.**.-^
(Bat.)
il
'^
y^
''
y
c
J>j>
.
c
"
r
-^
complément h) Si
M
«>ljJ
/
—
c)
ticipe
a)
On
voit
la royauté
dérive
il
complément
monter dessus
345. le
l'infinilif
'«
préposition
la
J. pronoms
direct sont deux
ou
les
amour pour
séparer par \^\
on peut
^_yJ
tu Vaimais)
dit
\j_^ft jv_J^_s.-^ ^l_A_L\ C action de
son complément indirect avec
^LJlL.o—o-J\
:
^iX--^_r»-
:
{en disant que
lai
affixes
comme
les
CU->J^ (Tart.)
avec
le
ou
par-
Mohammed donnant
empoisonné.
dv-^^JL-û
{}i^.);
•
<
par ce dernier exemple que Tinfinilif peut régir son
moyen de
\;_;L_rL.
d) L'infinitif régit
verbe dont
malii.de
toi-meme.
Amr un pain
à manger à
'^
d'un verbe qui régit deux accusatifs on
l'infinitif
le
glorifier autrui, c'est te glorifier
Jà_xJ'
"
direct par le
L-«^_«-u^
:
—
,,lL^
1
^M as wenfi dans ton
Avec
comme
,
<^
.^
^^
joindre immédiatement à sL.i\
cherche-les
cJierche sa guérison.
sujet et le
le
^.^-^-LLI
-1.1?
V
y'
/>
^
Remarques.
]
''
vlI-*^.ÂjJ ^-Js-xJ* ^
pour gai' der un
jardhi
»:£li-ù. ^jcj
(Ali.)
fut pris à gages
.-^^
mêmes
^T
l'L^<JL}\
o^swl
^^-JUi
>jf.st.-.^J\
les
il
prépositions que
préféra
x>xJL^^
se
le
démettre de
personne ne put
^^.J
(H. N.).
— LMnfmitif mis à l'accusatif peut exprimer l'ordre, la défense,
souhait
:
!j-Â-c
(Har.)
Seigneur, pardon
Lj
»j
s
!
y //
(lY, 64)
/ y
Liw
^ ^ L -^->
j^
àJU
1
y y / ^y
/^c
îîL^Oj àJ
y
L^JL«,
^we Dieu lui accorde le
^ ^
y
yy
\ùj^*3
^
L»
y/
y
)LJjJ
1
V
revête de la lumière de gloire.
y
L^ c
L
inlinitifs
arrose,
remplacent
Uj^juJLj'
^
lo-;»J
non point
debout
et
coupez
les têtes.
assis.
y
jj~^
J
Ces
la pluie et qu'il
les verbes
levez-vous
:
et
ci
^_^\
>
pardonne,
ne soyez pas
y y
«LiLw quil
assis,
Ij_j^-^I y
coupez.
B.
COMPLÉMENT DE MANIÈRE
245
Supplément aux compléments du verbe. Complément de manière.
s.
—
On met à raccusatif le mot qui indique la manière dont 346. une chose est faite; ce complément peut être Vinfinitif à\i verbe ou d'un verbe synonyme pour confirmer Tidée exprimée, le
nom
de manière^ un terme spécifique
ù^)^
Lci^j
(Kor.)
yy
c
c y
yy
c
^
y
c
i^^j-^^ y f
y
c
secousse
yyCi
^
y
(^
y c~^
ij^ ^^w._xJ
(id.)
o y
y
-L^^
L/s
"iy
!
y
c
L^w^-a.
(A. R.)
^yf
c
y
c
^»2)_5;.i-j
y
violemment),
fois,
^y
^
ses larmes coulent
deux à deux.
o's.y
C^lj
fai vu quelque chose qui remplit l'œil
^/
(c. à. d.
frappé deux
il l'a
ywJ^ki ^.^^Li Jj-^' L.^^^^
(Har.)
de fois
:
^ ^j-jwij^^^-^
nom
lorsque la terre sera secouée d'une
-^^
^-^-^J
le
<,i
y yt
«1
^ijl
27
de joie.
voulut
les
attaquer avec
des
troupes. yy
(Bat.)
^
f
ci
y c ^
y
y
Lcj^^/9 ô^)^
lJ-Ja_9
^y
',
je descendis vers une terre plantée
'
y
yy
y
monstratif, par
terme qui
le
wxs.
servir de régime à
un
:
y
yy
f
peut être suivi d'un adjectif ou
peut être déterminé par un adjectif dé-
il
y/
(.
<).-"
y y
y
La.^
iA«)A_.d.
(K. D.)
y
complément d'annexion, ou
modifie
(M. N.)
y
y^
— Le complément de manière
d'une proposition relative;
coton.
c?e
yy
347.
y
c y
^*^-H-^
•
-yy-
-,
^
y
r^~^
yy
h g-j!
LâA_J i-ijU
c
se réjouit
il
lui
d'une grande joie.
^ y y y
^ y (^t
y
il
y
une piqûre qui
le
ré'
nous en sommes venus à
cet
fit
veilla, (l!)ch.)
y y c y
c-^o
lA.
)
^ y
> (Ham.) l^_çs:=^ fc
c
^^
.,
^
\
y
\X^
^ ^
c
y y
l^xJ^i
i^)
^'y
'
..
y
\
' '
'
j
excès a son égard. f^'^
l.^.sr-^
]
y
^ f
f
(.
y y
T j/^ C^^^-à.
je suis sorti
comme un
sort (de la sortie
de son repaire.
serpent
du serpent)
GRAMMAIRE ARABE
246 • c-* (Tart.)
jj
•
c-f.xx^c/'c^
y
-^w«-aw
^H^
L*4/j J>-^J
!
jl.j
1
(M. N
ôa^2V ce^/e école avec la
i/ /î^
'^
grande magnificence.
jo/ws v^,^-Œr^-^ y
)
—
Remarque.
je fus étonné au plus haut foint.
C^-A-sr-*-'
^,r^
!
Le quatrième des exemples ci-dessus donne une manière
très
élégante et très usitée de traduire nos expressions commey à la manière de.
Complément de w y
y
y
quand \u
(Gaz.)
f
y y
\jSJ:^ à—^
i_3
y
y/
^-f v-'
i,
y y
^j:>
cause ou
il
descendit de cheval pour remercier le
c
y/
^c y LJ^ck
y
c
/'
^-La.!
A-Lx-L3
(Fak.)
^-f>
c
Ij^j»
^ ^
y c-c
iL-y-'^
^ y
\
c-
c
^ ^
^ ^
-s
Ljfc J._**._Â-J
(I)al.)
349.
— Lorsque
on couvrit
les
fontaines de crainte
»!
complémenL de cause ou de but
le
par un génitif, on peut le mettre à Taccusatif ou
d'une préposition marquant la causalité, J,
^^^ ^
y
préposition est obligatoire ticle
1
i,
y
y
^j5a-»-j
,
I
y .<
^
.
«^^-^-^
y
1
précéder
l'emploi de la
'y
est déterminé par l'ar-
^.
\
il
> ^
/
'
/l
y .
p^œ:-^
,-^
L_j
voulut aller dans une contrée par
moyens d'exis-
tence.
!
i.
y
.»j ^_:l-^_j
,-j2_Y-j ^
y
yt
y
6\s
^
c^^SLlJ V
(llar.)
^
I
îLjL^j
y ^
^'^
(Gjz.)
.;
v
déterminé
faire
désir ( d'acquéi'ir) des
^jj^) y
\..~^
-j.jj-sr^
^
(K.D.) y
^ ^
y
J
''
-3
complément
le
si
le
est
:
J > i"-.o 5^_aw_p
^
la science.
qu'il ne les infestât.
^
^
pour honorer
tu fais cela
-p
C^J--w
(aT^^
Seigneur.
c y
J._x«iJ*
A
but se met à Tac-
le
:
y y y j'j-i
y
c
la
''
c
y
y
indéterminé
est
il
^
c
— Le subslanlif qui indique
348. cusatif
yy
cause, de but.
^
6..\J] y
il
me
couvre d^une robe, par recherche
du visage de Dieu, non pour avoir
ma
reconnaissance.
y ^ y c y y^ycyi,^c ^ c
^t-CJ_a)
._^
c
%-.^-^-^
parmi eux, jann.
les
uns moururent de
.
COMPLÉMENT DE TEMPS, DE LIEU
247
Complément de temps. A
— Le nom
350. le
qui indique
moment où une chose
le
temps qu'elle a duré se met à l'accusalif
^LS'
(Gaz.)
1
v-^-i»
yy c
/
,^
vî
J-^jJ
^j-;!
(Fak.)
J^
<^txJ 5
^
^
/•
un mois
entier,
yt
c
VL^ vj:^J_n
I
ou
:
resta en cet état
^^
^'^~i
a eu lieu,
je mangeai
un jour avec Ar-Ra-
chid.
jL^_;-3
)
ïx^ ^^-A_&
^c*-^£
(Gaz.)
>l_3
_^
î
jeûnait durant
il
^^-^^^ lO
!
>,
(
— a)
Le
nom
^x-^-iï, ,5-d,
J
qui désigne nvX-aJ
:
Il
pour
faut
c)
se
une chose
faire
et la terre
employer
la
en trois jours
génitif avec
^j
Jf>J^^^^
^L^ L> ,iXJ3
:
^x-;^_a_^^
(isb.);
après Aristote
le
temps que
cuJL-o
Jwa_^
'</
l'on a
a cr^e
mis
/e ciel
^^
^^
elle
mourut quelques
t'éci^i
pas longtemps
(Aih.).
y
lieu.
^
y
//
^^
lieu par
l'avons
avant ou après une autre,
lieu
yCyO^/'Cy, o-^, ç-^
Ce
_^_k_-cc^\
//y
se fait,
souvent précédé des pré-
est
îL-^-JlJÎ ,3-L:L
.xst^ji
Complément de
351.
durée
(Kor.).
P
jours après
la
_ô sl_>LJ^\ Lj\ nous
Le mot qui exprime de combien une chose a eu
met au
moi
(Kor.)
^^
^"SLS'
,
jour.
vie.
^^^ pour indiquer
préposition
^Gl
temps
le
<^<J-.-^.J
\
réué/e (/e Koran) dans la nuit des décrets 6)
ma
de
Remarques. positions
était resté chez
5'27
''
le
c
^^
— Lorsqu'on veut exprimer
le lieu
on met généralement à Taccusatif
où
y
/y
^
y
'^-r-^j
^
y
/y
^-^~c~*-;!
i.
l'on est,
où une chose
mots qui indiquent
les
eux-mêmes, ou d'une manière vague
(M. N.)
y y
le
:
^ y
w'j-ià-J
je regardai à droite et d gau^ che,
^ ^ (Isb.)
y
yyyyyy'^-^
A-w aj.=v i')^-^
L^J«^-'
\
y
c
y
y y
v^J.y ;i-^«
il
plaça
ou
il
cette
poutre à l'endroit
était assis.
GRAMMAIRE ARABE
248
352.
— Si
absolument précis ou délimité, il faut emJ; on emploie encore une préposition avec
lieu est
le
ployer la préposition
mots
les
dehors
J-ow!^,
^JLa^, L^-^ côte.
y
\
y c,^
y
à-**»«s-iJO
c^
y (M. N.)
(1,232)
^J-v-^
^
y
j ^h \Li. le
y
fai prié à
y y /
c
"
elle s'assit
^
*
du
H^ ^-^ L-^-A.:^^
i/
^_^L-Uo i_Li^\S
:
le
on pourrait
^i_J_5j^.^'\ r^.^ ^-^r-^ c)
I
On met encore
îLs*. venir,
ville
pendant C
•
JE
Vinféneur {de
à
nom le
de dislance est précédé de
L.r-^>-*
arriver
:
^^
le
^^^
^
"'^
se
Ramadan
le
mois de
il
entra dans la ville
(Bat.)
'
le
parasange de
mettre à
la ville
1
accusatU':
(Jab.).
J.-rL> entrer,
<x—i_jiLX_^J
<k-LS.J. jj,_^_sw
;
^^
1
régime des verbes
o>—^-«s (^
préposition
la
y
construire avec ^^-i-* ou
à l'accusatif
J-'Oj
palais)
ce
\
cULo^^
^^^)~fi
I
,^^\,
j arrivai
<^c-^j^-«J
\
a la
A-:^>
C
L.^jLJb\ ^2^ d)
I
roi.
(Jab.).
dernier exemple c)
V épouse
côté de
trouve dans les auteurs d'une époque assez récente
à l'accusatif
350, Rem.
cl
en est éloigné d'un mille à
^
(cf. §
Véglise,
'
On
a)
trouvent des habitations
Dans
y *^
—
rû
i,
woLsT-f c^.*JLa.
s-^UJI
^J^-v-^
9
vJ:^».JL/^
--3
\
y
i,
*-=^jj ^
Remarques.
h)
^jl_^, ^_^Uj exteneiir,
intérieur, dedans',
^-^^,
quand
les
habitants n'y songeaint pas
(Kor.).
L'endroit où l'on passe se construit avec <_j; celui d'où l'on sort, avec ij:-^; c
celui d'où l'on s'éloigne, avec
^LJLïwLJLJ
\
viJLJLi*
,^\
y
/
^^^\
celui vers lequel
^K-Z,^JS^ 6j\>
^-j_x>
rj-^
il
on
se dirige, avec
sortit de sa
maison
,^\;
et se di-
rigea vers cette région.
Complément de concomitance. y y - -
c •
£ ,^ »i
y ^
Je ^
y
353.
—
Le complément de concomitance indique quelqu'un qui
fait l'action
i 'accusatif
avec
le sujet
précédé de ^
ou qui l'endure avec
et signifiaut -_^
avec
:
le
régime;
il
se
met à
—
PARTICULES LiiJjJ
(llar.)
(iij.)
>^i_xJ
\
C^^—
ij
—
xh dirent tous deux ainsi que l'enfant.
Jlj
d^j
l_â.!j à-)
ï
je partis avec mes amis.
•
L^5>bi_>
«
ro
CONJONCTIONS
je
v-^
pa55^ prè5 de lui
5i«'s
de son frère.
et
complément de concomitance puisse «Hre mis à l'accusalir, il doit èire précédé d'une proposition renfermant un verbe, et l'action de ce complément ne doit pas cire nécessaire à ce verbe; ainsi on ne doit pas dire
Remarque.
XJ
L1Jl_cI
a)
Pour que
^lJLiô\ Zéid
X
le
et
Ali se sont associés, car
pour s'associer; on dira correctement b)
faut être au
moins deux
^y-^^'
o^-l\
Le complément de concomitance peut être un terme circonstanciel
_--^ioJ V,»c)
^_5_)_fi^
il
\
dès
a il sortit
Le verbe de
la
:
rj-^
matin.
le
proposition peut être sous-entendu
\^j^
:
^iO L^ qu
as-tu
à faire avec Zéid"! d)
Dans
et dire
les
phrases précédentes on aurait pu employer
<k-'À.hjJ\^ l_>\ Cj>j—*o;
:
_,-_-^aJ
la
construction ordinaire
j^^c C/-^' '^-iH^^^ ^^
\
^-^Ar^*
PARTICULES
— Dans cette
354.
étude des particules, nous ne reviendrons pas
sur ce qui en a été dit antérieurement^
notamment dans
l'étude des
propositions.
Conjonctions. 355. jouent
— Les
le
quence\
conjonctions suivantes servent h unir deux mots qui
même
rôle dans la proposition
^-^^-=^ et
J_j mais,
mais-,
même, y
an
contraire',
/y c
356.
—
Les mots
8j-dw
!
l-X-jJ
^J
y
/>
j»^
-^tc
»J>
même
wo^j
So-j!
pL^.
cas
et;
^
et,
ensuite',
donc, en conse-
^ non\
^j-^
ji ou plutôt bien plus, ou bien. ^
/*
^
c
et les adjectifs joints
précèdent se mettent au
l^-Y-£ j
compris',
j
:
*•
/*
par
les
conjonctions qui
:
fai VU Zéid
et
Amr.
son père est venu, ensuite son frère.
GRAMMAIRE ARABE
250
—
Exception.
L'attribut placé après
venant après un autre terme à
J_3
met au nominatif bien que
^^^JiJ se
deux conjonctions
l'accusatif, lorsque ces
traient à l'influence d'un verbe (^^\J et ses analogues
(L^
'^)
264) dont
§
J\11JÎ ^.t—*^ ment:
rien ne dure, «J--^^~-t^*^ :^(^ioLJ«
<^^_-^à_Io
,-v-5Lla
,-.ii.lJ)
un commerçant
contraire
met à l'accusatif ou au
l'attribut se
stiipide
—
affixe
avec
es
au
n'est pas obligatoire de répéter la prépo-
il
ou lorsque
^-x-a.
vJIjIj L_.^**»J
..
JvJ
Ljl>JLc
^
U
^_3
!
^
"
le
premier régime est un
iJU
à Dieu appartient ce qui est
^
^
danslescieuxet (sur) la terre.
U-.»
î
''
lw»j -jJiJLj
nows croyons en Dieu
"^
''
Jt
^j-:.».
J-JO
Jl
!
et en ce
qui nous a été révélé.
'^
>^G!a-c!
pas célèbre, tu
:
i¥')^^3
(IL)
tout passe rapide-
Lorsque plusieurs noms joints par ces conjonctions sont
sition, si ce n'est
(Kor.)
n'es
:
" ^
x
régimes d'une préposition,
pronom
au contraire
une préposition
(Arb.).
•
357.
238) ou d'une particule
génitif avec
CU-u<J tu
<^.<_-._i__>
§
sous-
le
fais
,-**».:^!
,
du
bien d tous,
même
à
tes
ennemis. c
"t
y
*
iwwâ.Lj >l
c
yt
y
O; v-^
^,j
es-tu passé près de lui
i
Remarque. — Il arrive souvent qu'en poésie la préposition même quand le premier régime est un pronom affixe.
ou près
n'est pas répétée
Emploi des principales conjonctions. /»
—
358.
La conjonction j
indique simplement la réunion ou
et
l'agrégation sans aucune idée d'ordre ou de temps.
devant tous éycyy (Bat.)
|^-û-_^.j
y
yy
^ y
'"T^^-^^fÎJ
^^
f
c c-y
à— r.._:sr-^
ij
(.
c
yy ^
^-^,.3
C"^^^"
yy
jj
^'i
yiy
y
—
y
i§
-^
199, 317
^y
:
y y ^^
dort,
il
mange,
I
il
écrit.
descendit au milieu de sa famille,
de ses amis, de ses soldats^ de ses
yy
généraux.
'^
et suiv.,
il lit et il
^
sr-'
à-j!v_>»L »^fL***_cj y y
(Voir
%.
t
à._L.5>! y
(Fak.)
doit l'employer
termes d'une énumération à partir du deuxième
les y
On
.^
322
et
.^
353).
,
CONJONCTIONS
—^
359.
donc, car^ en conséquence indique l'ordre,
et,
cession sans intervalle, la cause ou d'interlocuteur dans le discouis • w
y
.-^
y
f-sr^ >
S
^ y
•
^^)
(Kol.)
y
t y
/y
^
C^_jL^L9
!
^/ /
sL^>x_j
2-X_j
'
"
^
-i-o
y
...y-**».)!
^
,
,
la
conséquence,
c_3
c
^
c
/'
y
c-,«
^-*«_^V u»*«_*J
le
c
bâton touchant la jarre, la
brisa, et la graisse lui
c
y /
y
yy
c
^
—
Remarque. L./V—^^-ùx-ô *
^
L:^-^^
^
patiente un peu, car après la
i
gêne tu seras dans V aisance.
-
j
s'emploie encore dans les expressions distributives
^-*^.
t
par
^^ ^^^^ ^ ^^^"^^
*^
tomba
tête.
c
J-x-^_3 -i-^wL? ^«^_/o
I
main avec son bâton:
leva la
il
»
-^
\^
sur ta (Ali.)
changement
y y y
L^J ..v*wO
is.a-»«J
le
la suc-
:
•
.
251
petites quantités; ^Lk.;
:
A.jï._^
U
i
«L^^
t y
homme par homme,
Nli^^s entrez
(Voir
§
302
310, note
et suiv., et §
w
d).
^
^ — La conjonction
360.
wî
même nom,
préposition de
y
ne faut pas confondre avec la
^-x-=s., qu'il
s'emploie à la
vant la dernière partie d'un tout, avec
compris y
i
^
*^1
c,-^^-^
y
y
y-^s-c^
les
anciens sont
-zi
^—
'^J
y
y y y
vj,"^^"^
(Voir
§
302
-^
y compris
^
les
^cx*
,~^
CU.li'i
Ï-X-Y.*»J|
361.
i'ai
mangé
y
c
-a
oXo^ ^^ ^ y y y b^jli
-^
même
la succession, Tintervalle;
quer rinsistancc dans une exhortation t,
poisson et
la tête.
r
— *J ensuite^ indique y
le
et suiv.).
s f
(Itl.)
morts
prophètes.
y y Ay
49)
même^ y
signification de
y
/
w''-^
r)^-\3-^^
^
(I,
la
d'une gradation ou de-
:
itS-c^^
»-;:-:->
fin
>
^_j'
^
/c^c
peut mar-
:
c^
Jî vl3jj-c ^j> v-^y
repends-toi de tes excuses, ensuite
^
y
il
de ta faute. y
<~
jLlj^ ^^ J
s.
^
!
2L]2_si
y ct il
lui
donna mille dinars, ensuite
il le
nuit ta.
—
GRAMMAIRE ARABE
252
(*'"*
viJ^j^i
C^'.
e^":'.
^
^-j .xJ ^
le
^
.
(Kop.)
qu^est-ce qui t'enseignera ce qu^ est
^->»
la
rétribution? oui,
encore une fois, qu^est-ce qui
^y^ L^ vjlj^i
!
jour de
V enseignera
^
ce qu'est le
jour de
la rétribution f
—
362.
Y
y "^
conjonction s'emploie pour nier du second terme ce que
du premier
l'on affirme
:
à'^o/'^./^c^ i^v-^
û
^y cl j
—
363.
y
y
yl
-i.
^^
V
j_c \
y
y
c
sJI^^a:»
''^-:!j
tu as fra-pfé
^s.
'^,
'
sourd
il est
y
y
c
(^
^
x
y
t.
vjj-awi
{J-^~^
non Amr.
et
non
'pas
borgne.
deux propositions ou deux termes
^jSa^ mâf25 se place entre
y
et
y ^
yja
\
opposés (substantifs, adjectifs, pronoms)
^-?"f
Zéid
y
y
3IJ
L/9
:
ton frère ne s'est pas levé, mais
ton père s'est levé. ''* '
^]
f'
^
e^^
y y
\
J
'"'^*
-^
c
xci
y
^^-'
(0-''
y
y
i,
ce
C!^.**.J
^
n'est
mais
pas c'est
toi
qui as dit cela^
moi.
r—
—
Remarque. ou
stantifs
Cette conjonction devient
pronoms; mais ^jJ^ exige après
les
on ne dira donc pas
Amr,
faut dire
il
^Jl_o
^eïc?
fréquemment
:
:
V,_^-*
\,_-^û
cr^
X-O;
^"^^J
mais on dira
Amr
vertueux, mais
n'p.'îï /)a.9
^j-i
est
:
lui
^-'«
^;^^J^ devant les sub-
une proposition complète; ^^
\1^"
^'« P^* frappa Zéid, mais
,"v.^
L^L^
J^i^;
L^
vertueux.
}-; 364.
— Cette conjonction
affirmative, mais^ y
yy c
i^-v-^ y
(Ali.)
^y
i,
^y^—
1 ,1
c
y
J-J i,
y
signifie
ou plutôt dans une proposition
mais au contraire dans une proposition négative y y
/y c
y
'-^J v^j-^ y
f y
y
jjj s^t^-^'-**'
*^
^ frappé Zéid, ou plutôt Amr.
y
^
2^5
we t'ont pas aidé, au contraire
Cont trahi.
365.
— (Voir pour
es.
et-
^,
J
:
.^.§
286-291).
ils
CONJONCTIONS
....
...
V_^ 14
— L»
366. choix,
ôzen, soit
o^<, oi<
1
253
• •
.
.
\_«<d
•
]
comme
sozV, sert
.
j
1
doute, la permission, une double hypothèse;
le
toujours avec la conjoncliou y, placé par ji ou par
"iîli
w
,-^jL;w5^
j
second V^
se répète
il
fréquemment rem-
est
\
le
:
/^
/»
ou
le
marquer
à
.
/*
^
L^i
ijLjw).)
CÎ
/*
2w_ir_£!
e7 /m2
a donné un dinar ou
deux.
^^-^
S-f.
C*
wî/'
A-sT-^
»j
U>!^
^
\u
^ ^
(,
^1
)j_*_j"
„
S-
^ (Kor.)
^
/'•C-^^wx'^C* (Gaz.)
L»)
'
"
^t-^Y-^l j_^_i_j' ji
/'/'C
/'*/'-<'
oXi-xJ
»-.-*J
^
367.
—
c
I
'
.?
^^'^^^^^
C*
w
^j^
'-''^
"
membre
châtier ou les
^"^c générosité.
^^ change de conduite y ou change de nom.
"
^ f ^ y ^
J-x-j
U!
•C/'/'/'X-X
O/'
J-.±>
^^
•
c/"
,^j-.**.-3
j! ou
est toujours
/'
^
^JU^-:^'V
(,
^^
membre
^!,) le
précédé de
^
de
:
w* l-/»
quant à ceux qui agissent mal nous
i
^
punirons.
les C
l'at-
de phrase qui suit immédiatement (sujet, com-
phrase qui sert de réponse à
(Har.)
les
»' :>
plément, proposition commençant par
à-j
peux
Cette conjonction qui signifie quant à, sert à attirer
tention sur le
(Kor.)
lu
C.*.
j-JLi ^-J'.j,_x-À L^!
mon
quant à
excuse, elle est
ém-
dente. (Bah.)
JLà
t
j-T
g.
.,,:.,
^-3 j_.^_3r-'
!
L»
quant à Vignorance,
!
elle
est
la
source de tout mal.
Particules d'exception.
368.
—
Les particules d'exception sont
U-La.. ,^-J, ^j^^-xjL-^ jonctions, parce que
;
"^1
:
"^i,
v-^,
nous en donnons l'étude à
^j-^y
la suite
'^-->
des con-
la principale particule d'exception est
une
conjonction.
Syntaxe de
369.
—
Lorsqu'on exprime
la
"^1.
chose dont Texceplion est tirée
GRAMMAIRE ARABE
254 '^\
régit l'accusatif
OU
le
quand
nominatif quand
proposition est affirmative et l'accusatif
la
la proposition est
^U-J
Ij^j y!
i
îL:a.
négative
:
hommes
les
sont
venus,
excepté
Zéid.
^j^\
OU
Yi ^jJiJ
v-l3Lâ.l
U
A3
1
peuple ne
le
^
VI
,.Uj|
mée,
si la
met au cas
proposition est négative
sans Vt
qu'il aurait
> y
j^_J-j! y
(Kor.)
M -j'Jj-^w y '-o ûJ (id.)
I
y ^ yy
^ y y
il
U
!é.y £.
(, f^
y
/v-a-*-j
:
ils se
prosternèrent^ à V exception d^Iblis,
y
^
^ cl, «r y <^ y
M
Y
il
n\j a que Dieu qui en connaisse Vin"
<•
C-'j j-^ l—^
1
,y^
^e 5W^5 passé qu*à côté de son père,
a
y
y
Remarques.
— a) ^\
répété pour donner plus de force à l'expression, ce qui a
devant un appositif, n'exerce aucune influence
<Jc-A»iL\
de la chose exceptée
ierprétation.
àwj-j "
nom
proposition est
''
*
^
le
la
y
ij J.-s-*»'
\
y! ^J-JjU* *
lieu
tirée n'est pas expri-
i
y
iJL)
IjJi.
régime de Yt se met à l'accusatif quand
affirmative; se
y
y^
— Lorsque la chose dont l'exception est
le
pas levé excepté
ton frère.
J>
370.
s' e%t
Je n'ai amené que
régit l'accusatif:
Amr son frère;
\jJL:L
si SF\
^ ^\ J^
'^\
\,—
N\ a,-H»_A->
:
S)\
CU^\ Co
répété indique de nouvelles exceptions
;
'^\
aLô
L^
il
ne
s'est levé
que Zéid,
gwe Amr, que Khaled, peut régir un
b) *^\
membre de phrase quelconque, (compléments, termes de
comparaison, termes circonstantiels) /es funestes suites
:
<ic_.^^L^
.
jLi
ne
.
,
.
—
Y!
avec la signification de
pas, à moins que
toute une proposition; y
lion ^
:
-JuSji^ JLSI SLc
.
de Vinjustice ne retombent que sur leur auteur
J>^
371.
'^\
.
il
.
.
ne
.
.
.
est alors
5«?îs
y
y
L-i
(K. D.).
o /
^we ... ne
...
;?âf5, ç'?/^
pas peut avoir sous sa dépendance
fréquemment
suivi de la conjonc-
CONJONCTIONS A»
^
-^
^9 y
^
.!^
iT
L^«^5j ^1
^ .^
.
y
^
c <
(Qaz.)
"
^
LuJLx I^JLS" Vi
i-)
c
^
^^ maison qui n'ait
^'^^^ ^'^*
^^
.
tme Citerne.
^^wJj'Lj* U»
y-/»
!
'^
*
255
^
^
1
ne
//
apparaît aucun signe
/ei/r
qxi* ils
ne s' en détournent aussitôt,
^^-^^^_x-/>
(Kop.)
^^
cA
y y y
y
-^
c
y
.-£,
s.
372.
— "^ij
signifie sinon^
dans
membre
cas contraire^ le second
le
d'une proposition suppositive précédant ^Ij est fréquemment sous-
entendu quand c*
w/"
à-jj„^!
Ylj
^ ^
(y.)
est facile à suppléer
il
y
y y
i,.
J,.i:-;L>>
^Ij
1
*
'^
s* il
'
-^
pronom
—
^^ c y
de ^5-*-.
et
y
,^j-w sont toujours suivis d'un génitif ou d*un
et
^---c
j^j-w est indéclinable; quant à
affixe;
que l'on donnerait dans ji s.
obéit [tout ira bien) y sinon Je le frap-
perai.
Emploi de ^.«^
373.
:
w —^ r y^ r xc^/'fc/' ^
j^LaJ
\
la
même
m
y ^
-Z
j^^
y i
,c-^^
-^ '"O ^
^
yy
vlJ J-Jj
(Yl, 214)
'-^^
,
^-r***-^
c
j-^
J-^j
^
^-J*
v-S?**'
374.
y
— j~^ ^?{i
d V exception
chef.
l-^
i/
n'e5^
"^^
(*-^
i^
^''^^
/*
i,
y
'^:^ ^^
^
:
x
i
//y
b^!
^riÔM es^ partie
^^
venu que ton trouvé que
pleurât. /*
met au cas
se
y y
y ^
xî
y
il
phrase au régime de
du •
j^^
y
le
sabre qui
'
y
%.
^-^ y'/
fils.
c^l "
y
placé devant un substantif ou un
pronom
affixe
peut
encore désigner des objets différents ou opposés, autre qucy autres que\ placé devant un adjectif
il
correspond à une négation. (Voir
page 130.) y (Kor.)
^t//*
^j-.x-A«j
>*.-^
àAj\
y c y yf-
^o j-jwiL?! ^
désirent-Us une autre religion
que
celle
de Dieu?
GRAMMAIRE ARABE
256
vl)J>b
(Mac.)
c
j
d'autres opinions ont été don*
J-r-^
nées. v-^-J
J...C
—
LLy-s-^ ^
(Mac.)
—
Remarque. e-Jj
Jl
iJb^L '^^^^''
(Bat.)
ù?-'^
o-^'
^X^^\
—
chameaux)
(ces
î
conduisit à
un
sont-ils chargés
ou non chargés?
''
•'
me
puits qui n'était pas profond.
-a ïwLy-s:-''
>!
chemin)
[ce
I
^
'•
Nous avons vu
(§
j-^
185) que
traduit notre proposition sans
précédé des prépositions
^j^_à-^
:
tuent injustement {sans droit) les prophètes
ils
375.
ê
C^w^i
^-i
s^
^^^j-.-s_^_^
\
^^_i_XJLj.
(Kor.).
Ces mots sont toujours précédés de la chose dont on
excepte, et régissent l'accusatif; néanmoins Li-La. se construit de
préférence avec génitif,
le
mais quand
obligatoire
peuvent également régir
génitif; ^-=k et l^_c
sont précédés de
ils
L>»
le
explétif, l'accusatif est
:
^
c^
^ y
-?
g^^s ^ont venus excepté Zéid.
^^^
y
i ,
''
^
y ^
.^
Expression à retenir
'
:
^^
y
y y
yn
y f
a^Lo ia-UL»
bonté de désespérer un coupable!
(lll,
<^
peuple se leva excepté ton père.
-'i.''.^
<
s-
vjJ:u-3H Lù,La. loin de ta
%!
14).
(Voir pour \S^\ §326).
Prépositions. Prépositions de serment.
376.
— Le
nom y
par lequel on jure est précédé de l'une des trois y
prépositions v^, j, c^, par
:
y
v_,
usage
s'emploie avec un substantif ou un à Texclusion des autres particules
exprimé
:
pronom
quand
le
affixe;
on en
fait
verbe du serment est
,
PREPOSITIONS par Dieu
Lj
J.JL3
U
«jJU
y
257
^^..^S je jure
j ne s'emploie pas avec un pronom serment est sous-entendu
par Dieu.
avec
affixe, et
verbe du
elle le
:
(Kor.)
^j-r^— jjr^j ij-?"^-/
^-?
'
^
"
^
^
^
^_
vj:^w--y-jtj
(llap.)
«s:-;^
^
la
v^^
Ce/wi qui donne la vie et
;^«^'
'j
^
Oj
par Volive^ par montagne du Sinaï.
V^^' ^^ fi^^-G et
^J
{J^:.
qui fait mourir.
employé que dans l'expression àJJU* par Dieu.
n'est guère
Significatioa des principales prépositions.
377.
— v^ signifie avec^ par (nom de l'inslrumenl) moyennant^ pour
(nom de
prix), à cause de, auprès de,
^^^
^^j-jw-*»JLj
(rak.)
"^
'
(V, 292)
(Har.)
j-L^ U
^.s_aJ ij
La préposition
y
y
réiomr
A
y y
-^
^_9,
1
-^
y
y
y
*_*M_3
"
t-f
y
(Ali.)
^:la
''^
—Là.,
vends pour
i,
^^—
;:.&!,
y c y
^J\Jl^-j
attacher
s y
^l— f
;
y ^ y
être bienveillant
y
i
trois
je parus au marché avec de
y y y o
s-
pour
^-LJ,
se
cony
t
i;«-^U
:
x o
c
Ly-f ^---3l ^ '
contente-toi de ce que
^t
M
3J<^ji
^-j
i
le
souverain
/?0î ^'a assigné.
,
*
le
te
dirhems.
(,
y y y c ^-^-v..>
.,
,
y c^o
^t-C-wL^
(V!,1()J)
C^J
avouer ^-J
;
J-^ii"!; M ^
y
y
je
^
31
furent frappés à coups
de sabre.
i._\_3u-w;!
y
^j-w-2-J
a.j:_3,
ils
se construit avec les verbes adhérer,
y
A
:
^
"
^^j-**Ji
A
^^—s:—^,
tenter de se
v^_>
''•
y'
A
Lj'^-ïlj
^"^b"^
dans
i'
avoue
ma
chute et
ma
faute
238, 242, 250, 264)
(Voir
5§
378.
— Cctle préposition signifie à, vers, jusqu'à, auprès
:
n
GRAMMAIRE ARABE
258
^
^
C/
(in, 9)
^ •
J!
à_^_:-9.
J.-a^
^
/'
J
JLJ
à
z7 û?^7
un homme qui
était à
ses cotes,
LjJ
(Cher.)
^J!
«^^^-a^
nous sortîmes une fois [four prendre part) à l'une de nos
LA_a.j_=k
iy~fi
-
'^
guerres. M y
y
y
(,
J
(M. N.) LffiJ^A-w
Jt
V-A-^
>Pdî-^
y
<
J!
c.^-a.
elle revint vers la
VJ1.A..JLL
demeure de
son maître.
^ j«j-U c
yy y
y
Y
y
>Lo
J!
î
y
jeûna jusqu'à
il
la nuit,
y
On emploie ^-Jl y
y
sirer
y y
c
^i^
^^\
avec les verbes neutres qui signifient
y c % ^^^*>-:n \
y s y y
''
JaJ; supplier
regarder
i;
y
du bien
;
y
o
^r^''^-^^^;
du mal
faire
^L^; avoir de Vinclination pour
y y
y
J L-/»
avoir besoin
y
y
faire
y
c,j.^:£lj;
dé-
:
se
;
plaindre à c^
(VI, 111)
y
(^
î^
^^1
Sj^o
:
y
y
y
y
c
t
^*«-a.!
^
^-^
a fait du bien à celui qui
z/
du mal.
fait ^ y
c y
(Ali.)»)j-Lj
y
y
y ^y,^
J-H-is-^
J>
c
y
^^ ^Ji jS.J^
1
lui avait
malheur au SoU'
se plaint de son
il
verain de gloire. y y y
;
(Voir
§§205
379.
—J
^J
et
^ !
y
<Â >.
J-jj-v-^
J-^
221.)
marque
^
c
y
î
:
^y y
^.-«
^X-.,-isH
^
c
^
c,-«
à^ J v^Cl_Y-^
\
^y
à
à-j
lui
appartiennent
et la
^
y
(Tar.) i^als..
y
Jf
y
vJl^xj
U
i,
^
but et correspond
la propriété^ Pattribution^ le
ainsi à notre proposition à
(Kor.)
tout être est attiré vers son semblable.
«;îc..-«
^L>i^î
y y
t,
^^J
fi
le
pouvoir
louange.
y
^J-^jl^
les
jours
te
montreront combien
tu as été insensé.
Opposé à ^-Lc, J indique la créance, à, pour^ en faveur que ^-Lc marque une obligation., à charge de, contre
de, tandis
:
cvi
(Tart.)
y
.
^^«.^J
1
^^
c, y
yj^
(*-t-™
"^^
c
,
c:
W^
y
fi
(,
y
i,
y
iO.?*r^"*^'
^^^ ^^'^^
te
JLc:> bénir {invoquer en faveur de), contre).
^11
confus de ce qu*ils
doivent.
LiS maudire [invoquer
PREPOSITIONS Cette préposition se place devant le
c^*-x-*«_^U
demande gens,
prend un fatha
elle
L_j
de secours
v^^ÂJ
-j
w»
marque Vétonncmenty
la
de l'auteur
— a)
Le
et
v^_3r-*-U Lj o merveille
:
au secours contre
Remarques.
nom
:
\
Prairies d'or de Maçoudi.
/tf5
Précédée de
259
!
ya-LU
,
^LJJ
,
L)
le voleur.
nom
de
personne ou de
la
comme dans
appelle au secours, est précédé
chose contre laquelle on
la
ce dernier exemple de
J
avec un
fcesra.
Pour marquer l'admiration, on emploie encore
b)
bien on remplace 3_5Lj> faire
le
aJ^ mal
.
LS
complément
leur
pLL;
obéir
présenter a
y^
w-i_*JLJ
1
^j-^
§§
154
ô),
par
l'intermédiaire
ÎJj,
^
OJ'
-
eut compassion de leur sort.
malgré à charge
wn voleur
voyage,
se présenta à lui.
205, 211, 243
a),
338.)
/•
signifie swr, auprès,
par r intermédiaire
:
y
iJj-a?-^
jjwj-i?
^_j L^J
la
s'humilier devant
^7
— Celte préposition
de
préparer à v^^— al-J',
se
^j
III 6),
ne cessent de
quelle perte!
/•
(Bat.)
et
me préparai au
189
ou
cj-^^ ^-^-^~*
je
jvaJ àJ jj^¥-&
(K. D.)
de,
peur du châtiment
indirect
compatir
3^^
^J«ji_:i-wl
^^-^;Ls:-^
380.
v^LjLaJT
•
J, les verbes qui signifient
se
(Voir
^
iJ par ^^^
J
^\^JLsr^\ ^_^ <0 U»
L);
(A.
préposition
«.wwslj-j;
.
.
chose étonnante que des gens qui ont
Régissent
S-jux-ll;
.
l'accusatif indéterminé,
i
^5"^
^-JLû I_^LJ>I
!
i/
î/
a
c?e5
oiseaux sur Varbre.
Us restèrent près du puits.
y ^ y c,^ (Fak.)
J-j v-J y x y
1
y y
J^
y
y
c-^*>
O
v^^Ij:— '
^
!
y y (^t
J-*-j
^
d envoya
sa lettre par la poste,
GRAMMAIRE ARABE
260
»-d^^s^-^
«
1
Ja
.
Q,
à_i-J
i
^-Ls
àJs-^
(Tâl.)
Oq emploie
malgré son peu de consistance, brise la pierre malgré sa
l'eau,
1
dureté.
J_£
avec
^_JL-£
L,^)
t^
verbes
les
qui indiquent un
mouve-
ment du corps ou de Tesprit contre quelqu'un on quelque chose se
je 1er sur
^^^,
I
s attrister
1
^)-^
^-s-^,
^-'^-c;
K
sur
J-^J
•
y
fi9
^
(^
J.^_s.;
se révolter
A >aJ;
e/re «yzWe
v^v-^l;
c/e
:
y
LLy-9-
1^-;»
I
se repentir de
w^-x-^;
difficile
être sur le point de
sy.':^',
/ c ^ <^-<:> jjl.»^^_flj i
(Bat.)
^^Vre
préférer à
j
charger (ï ennemi)
w^-^j;
I
:
c
•/'/•
//
Lljv.1-c
j^»-^
une troupe de cavaliers s' élança sur nous.
*-L3
(Bar.)
y
y y
y c y
^-^
„
c,-«>
J^-iJ
(i<l.)
1
^^^^ Cfj"^^^ ^
i
r*^
*^^
*^^^
P^^ avide de ramasser.
w •
c.~^
Jw^a-s
^
préfère ce jour à celui de de-
main. Celte préposition entre dans y c^^y
c
£.M
y y
c
y
-^
•^
iS^s^j à-dJ y
(Mac.)
lo'-^
c *
y y
A
.-5l£
381.
^
y
JT^.-^
c
(,
'volontiers [sur la tête et sur
^
cs
y c y
^j-L.v-j
I
y
-s
«26
c?e
craindre Dieu seul.
^m'ow m! amène un vieillard âgé, dé'
^-^
à condition que,
5om
y y
^-^""
-<:-"-^-f
^^-H conformément
— La préposition ^o indique Véloignement, /'>"/'->'
l^j^-j\
^
\di
à.
provenance,
la
beaucoup d'idiolismes
:
^ct^yy
w
•
/
vO^-^v-îs:-^^ ^jû
V œil).
y y
vlIw-Lc
substitution, le point de départ; elle entre dans
(Bah.)
:
y y
^~^
^wj-xJ ^j ^^j-^^
(Âlh.)
beaucoup d'idiolismes
J-2>i ^
^
pjj
V aversion qu'ont pour
les
choses
défendues ceux qui observent la loi.
//
(Tari.)
j
i,
y -^
\
;;
vj
^
y
il
^"^
o-"^^
^
^^^^J-9^
9*^^ /^iew te
récompense à
ma
place. c
(Khajd.)
*-2>^-2w
!
y
^
c
.y
y
y y
^.^A^:l3
il tes
tua jusqu'au dernier.
1
— PREPOSITIONS /'C-'-'utC/'
C-' (Yl,
X
-P
^-c 1j_LVLJ
*_>^'^j!
^_51:l»j3^
i7)
261
comhaltpz pour vos enfants
et
votre religion.
—
i_L-w
^,
—
»«_Y_ai.
«XJj
._c
c^U>
._c
mourut
i/
a y
c
JwJLî L^c,
bientôt
y-c
v^j^s-j^J
—
fils,
y
,_c ^«.c^-j
;
un
âge de cinquante ans.
l
c
y/
laissant
/om
^«^/i
(/e, ^û'/i^
sV^i
ffnit que.
—
Remarque.
c
On emploie y
A
cesser de
—
y ^
après
^
y
J~»j,
-^
y ;
y
y
c":.
A
y
A
y c y c
'S.
5?/r
y
y
k
découvrir
JLw*,
y ^
^
y ? ?
f.-^
Jlj-^Jl ^_c ilAl^î
(Mot.)
A
détourner, empêcher
c
^
;
J-»-?, y
t ;
y y
n'avoir pas besoin de
:
y
/e^
^
Vempêclieront
pleurs
de
rien demander. y
y y
^ ^
vsjXJ
^A_j
'>-v-îi
y (Har.)
éloigner de
répondre pour v^Lc^î
^-iu-f;
àJjLô^-j
i
y f y s
;
^
y y ._v^^
.
^_:^-::-w';
y y
J^&,
y
,-5Caw
I
ot
s'abstenir.,
y
v-sr-^ y
s'informer de
signifient
y
._^J!,
raconter d'après ou
;
des pronoms ^^^^
négliger, être distrait de
;
y y
J-a.»_j
qui
le ^
d
y
vjJl-*«-x!
incapable de
^/r^
avec
verbes
les
y
y
^-^,
^
y
y
J-jLJi, y
^i
^
contractent leur
el ^^^_^
^^^
l
J
y
informe-toi de ce qui bon
>
te
semblera. y (Ath.)
y
e.c~o
c,
^La»^^
^
y
c
y
oU-c ^-c
\
(r»^-^
^^
^
,_5"'V-^
^
empêcha
les
gens d'adorer
les idoles.
y
382.
—
Cette préposition signifie en, dans^ avec, parmi^
de, sur, touchant
(1,23)
JJi-^
(Bat.)
(.
t.
àjLs-^1
UJ^I
r-^ * i-^J
1
jjj».w
de
la joie
^j~f>
L»44«^_dw
(Har.)
^^-^^
's
,^^jJl^\
en ce
tromperie.
^
c
y
/^-^ vJ!^jt.-,-*~
,
je m'éloignai avec cinq de
£
••
c
est
Vhomme
t.
^
y
sujet
:
monde y
au
^Qg
compagnons.
y
U>
oX^^ ^
-iïL-*^ •'
ce
que j'ai entendu de ta bouche
pour
me fait de
toi.
la peine
.
GRAMMAIRE ARABE
262
marque encore
Elle
xcf
y
^fi
.
^-9
^r-*^j-s
(Cher.)
proportion
la
(,
^,
.
c y
/>
2L*a^
Jr-*-^-^
:
son port a un parasange de côté.
AT
J J_^Lj*,
s'emploie avec les verbes qui signifient considérer, examiner
^_xiJ;
être avide de^ désirer
»-v»^
^Lx^
(Har.)
— Cette
383. de, en
^^^JL^
I
préposition signifie
comparaison de;
indique l'origine y y ^-o «.-;»i.u.s-^ -^^^
àjL-jJu-J
y
^
V^
»
i^^-ar-*-^
c^
y y
v^^._i-*J
(Tart.)
c
:
tu désires cette pièce luisante.
si
(fe,
depuis^ en fait de,
par
suite
< t
^^J
viJ-Lj* ^
!
y
^^
«;
^
y a dans cette
il
^
^
'^j^'*
1
en fait de
ville
,
.
.
,
mosquées ^quelque chose qui ex^^^^ i admiration.
o
I
^
-^
13.-2)
1
^vu-Y-^-^
(Har.)
j-a>j
réfléchis à cette affaire,
»i
o
28)
A
encore très souvent un sens partitif ou
elle a
y c^^
y
^
renoncer à
;
:
y ,.»_^
I
C^ y (1
.j C^^_a-ôj
î
^^-^j
J-^Ly
_9
tj,_a>
i
A
no!
>
^ y y c-^
^^
M-^
j-~r-^^
c*
y
^
donne-moi de ces raisins
(j)-.''J
qu^est la lune en
comparaison du
''
-j.
(i(j.)
5j_^ J-jb!
interroofative y y
(Har.)
^-j^-iuJ
j^-/»
I
s »!
)
.J^:^o^
y -.
cy
c
(,
U.*^^
»;»
J.a>
e^re proche, s ^
^ y
de
s.
;
se
moquer
y
\\
les y
^.
U^, c
y
i,
^
v
>.)
;
une lumière qui
préserve des faux pas
s
verbes qui signifient échapper
y y
y
»._^3;
y
y (^t
^jaJ_ck, vji^Jji;
Lsr-',
approcher
y^
^..^-ws-*-'
^
la préposition
délivré
être
est-il (avez-vous)
me
y
à,
gens de Sarouj.
une proposition négative
explétif dans
'^
Prennent
ce vieillard est des
:
^i-p
o -^
»LiL«-)
soleil.
^
a
y c
fréquemment un sens
Elle a
ou
cSc
^ y
y
se
désespérer
venger ^JL-^J
,^ll v_JLL;
demandera
! ;
A
t
^r-.-'J^
s'étonner >'/'/
sortir
de
r^j^-
PRÉPOSITIONS >-*-^
i3
pi. N.)
^
JLjuj* àJU
(id.)
(K.
'^
«uom échappé au nau-
*^^^^
frarje.
I
4-Lâ.
«
.-^ sjl^w.-sr-*-'
iwJL_j J.-yJ
D.)
'—^j-?^
r)-^^
"
2G3
^^
i
\yli^ \^\
je m'émerveillais des créatures
quand
ils
furent
près de la
(Voir la note de la page 166 et
— La préposition
384.
jiy
va/* c-^^-=^
y y y S -rf, L,C^-***J !
>
/
c
ville.
si^ni^e jusqu'à (exclusivement), elle
^v,în
d'un verbe précédemment exprimé y
deux
210, 265.)
§§
se place devant la dernière partie d'un tout,
L^-*-ij
tous
non comprise dans
l'action
:
s-
fai mangé
vJ:^^JL5'!
le
poisson jusqu'à [sans)
la tête.
^M_y_iuJ
p^_LI?
1
^
U^-.^—w
^-îLa.
—
385.
^^
signifie «vec,
eii
^
y
ïjJiS a_^ j
t
compagnie^ malgré^
>-âJ
c
"S
.
--«
<'
i
-
^ M
^-9 &_^_^î ^ c
•
fl_^
«î
..^«
prosterne-toi avec ceux qui
^
51
y c..^ j-*»4_xJ
(Bah.)
!
A
C(? <7?<2
— Cette
malgré toutes ses précautombe souvent dans le pièqe,
C y C
y y
y c y
c
fi«^
j_*»wJ
fi
^ac^e ^K^
patience
"^
.~^y
/e
secours vient après la ei
,
V aisance
c
^
réunit OU sépare deux objets^ aussi :
la
y
préposition est l'accuf^alif du
tantôt la séparation
après r
^ene.
!j
y
386.
font.
^^-jwti'
j*-Lct
t
le
ce^ oiseau
y c
implique
\
lj-»
^t
w-,^.^îjJ
elle
:
tions (Dam.)
jusqu'au lever du
y y
.^o
[jT*^ '^ /''-^ ^"*"^J c-.^ycyyy^c'^ y
à-tL^-Ji-a.
veillé
soleiL
quelquefois une idée de succession
(Kor.)
nows avons
^
^
^-^
c
y
mot ^^-^
intervalle,
indique tantôt
i
union,
GRAMMAIRE ARABE
264
jL-i^î^ ij
(Har.)
JJsLJ
(il)
.
(Gaz.)
._
^^
ij
f3-^-^
^ r^
^j-^
\
'
(j-rf
.__j
t
ô"''^^.
^^
distingue la venté de
il
7'endait la justice entre les plai-
Lv)*-^
CX
i/ ^5/
C
/*
/*
/
z'
^-^
^
^-^-^^
l
y
c
sa présence-, ^j^^
entre deux, ni bon ni mauvais-, ^.^^^j
erreur.
/
l,
^
^-^i
^ 9
^
^^^-^^ ^^-^
soixante mille [hommes) tant fantassins que cavaliers
c^?2/
J_ç^tjj '>>
méchants.
rew^î27 /e^
à.;^ ^-^i en
:
ei les
ï'^
c;-'^=-^
Expressions à retenir
6on5
^-v-?^"^.
{i\û.).
//
JJ:>
—
387.
•
-?
exprime une idée
.\j^
avant d'arriver
à,
sans aller jusqu'à -P
/ ^ C /
^^
v^OjLc
•
^JlSs^^
(Bail.)
,-)
d'infériorité, plus bas, :
/
.f
i,
en deçà,
,-^-J
owe ton intelligence
soit
soumise
a ta religion. f jjt»-Â_3î jjjvî v»^^^ " /
.)
J-JLî ^
^ /
(Tal.)
t-c^^o
^
^
y
y
^
^
est
a_âj
I
peu de chose.
y y
y
ys.i,<^o
\^^ j,-cLj ^
tout ce qui n' est pas la séparation
m'
^
''
j.lj^!
s
y
fc--c
il
''
a secouru
les
sion de ses proches. ^
y
j-^iJ
y
y
mort en deçà de
1
»j^ C-jL-p
la
deuxième personne ^^^
il
est
pronom de
la rivière.
y
y
Suivi du attrape,
étrangers à V exclu-
signifie prends^
amène, allons! y ^>
>bLiJ!
(M. N.) c
(Gaz.)
y
c-^y
c
y
-?
—
s^Jj^
c^
v-^-i-Ls ^)-:r^ J.-J
388.
y
\'xj9>
^
-J»
xx
,_j*
L_;»j
y ^y
à,
va à la fontaine
allons! fais ce que tu veux.
marque
la
comparaison;
on ne remploie pas avec
(Voir la note de la page 121)
:
et bois.
^
v-t^j>^
Celle préposition
comme, semblable
^
^^Sjj^ y y
attrape cet enfant.
les
elle
pronoms
signifie
affixes
PROPOSITIONS
»^^J
(Ali).
-L::
^J
.1-5^
V
sois ipùur lui
,.,-^
'''^
ô^_-s-iJ
(Mot.) l-*-''
L>
ia^j-^
(Kor.)
^
-^-^ y
/
y
,_j
JJ VS
lion et
comme
commc ceux qui
ont été
comme
à la fois
?7 (?5/
j.î)
le
nuage.
le
y y
comme un père à f égard
de ses enfants.
vJ:^>v-^JJ
o
1
205
y y y
\yl'ySlyH
ue so^Bz ptts infidèles.
—
Remarques.
On
à)
indique fri'îquenîmcnt
C^C
fie slanlif
homme
j^\ J-^^
ressemblance,
J._À:_^
C
P
y
comme complément de manière: rendait la justice
^
assez souvent
enlise les
joint à
i
^L5C_sH
plaideurs
J_;^:_^
r
suis passé près d'un »J-^r-î Cjjj.^ je
C
y
.ao
}
J^i*->o
\
du sub-
l'aide
y
qui ressemblait à Zéid; ce substantif se met à l'accusatif Zi
il
comparaison à
la ^
9
comme
9
\
^
^^—wa-sH\
C
y
ce qui constitue
employé
est
y
y
l,
(j}-^\ L5-^-*~-rl
font les magistrats
le
s'il
(Gaz.),
On
une espèce de pléonasme
y
y
O^
trouve
c^j\
:
<Ol_-X*_o^ tu lui ressembles. y
y
y
/
On emploie encore
b)
y
y
mot J>J:_^, de même
le
que J^'_>«, devant chacun des termes que y
y
y
v*X—5t.>o
y
t'
qui court avec
^yo
^
,3^J
^^_^-*iv_<^_j»
toi
{\\,
ii5)
^
^
(J—ii-3
\
:
\
9
fient s'il
^<2
,^^LJ^J
<^..;_>û
un
9
9
le
y
iy
A^-^L.\=iSS
môme
signification
second J—ii^ peut c
Z^yo
c y
\
y^
9
.$JsJ\ J^'sr^^\
y
y
A_À'.w)
y
^J—^*-^
science qui ne sert pas ressemble à
389.
y
:
compare;
l'on 9
s^ ou en être précédé
être remplacé par
racine et de
gf/oi?^e (/?/e
"4 j.JLSi.i
tu poursuis est
£-»—^e,
"^^
trésor dont on ne dépense rien
comme ombre l
(<»^^ J^-i--^ la (il,
i32).
— Ces deux particules employées comme prépositions, signi-
depuis
si le
temps
est écoulé, depuis le
commenceme?2l, pendant
n'est pas écoulé; le substantif qui suit reste ordinairement au no-
minatif quand le temps est écoulé £.
(Rar.)
y
y y
y
y c y
A»x-^
J-i^l-^
fj^-^j^^
c
^
^
y
y
:
y
^!^L»
il
n'a pas depuis
deux jours goûté
quelque nourriture. y 1
y
\
A_a
y
^j^^
(Voir sur «L^,
Remarque.
c
—
3.-1.^
J'c-p^^cÎ^ Â-A_.*
à_:Lj Ij
^
U»
conjonctions,
je ne
§
l'ai
pas vu de
315, note
tout ce mois- ci.
à.)
Voir sur les prépositions dérivées de substantifs §§
185
et
187.
f
GRAMMAIRE ARABE
266
Adverbes.
^^
— ^!
••
••
w^-a. sont deux adverbes de lieu, mais le premier s'emploie surtout pour V interrogation directe ou indirecte^ oit? (§§ 285, 289) tandis que le second est simplement relatif; ils peuvent être pré-
390.
et
cédés des prépositions ^_p
J
,
d^oii? vers oii?
t
ou suivis de
qui leur donne une idée d'universalité partout où •
c /
(flar.)
J-sr***-'
(id.)
vj::^-._çy.
»i
X
es-
sJU^JL^5
(M. N.)
c*
-^
A_=s.^ ^.^^^.vv-a.
V
L»
:
c
^i\
!
l'affixe
d' oii viens-tu
/à
où tu devrais
te
prosterner,
/'£-?C^OCC ce. c
v^i^^.^^
._»
^-9^)^
retourne à Vendrait d'où tu es venu.
^ y c ^c '6\y.^\ ^*Xl.j à^-^-j:»
3. y J-cvi
(Bat.)
y
^
y
^c y
y
l.—a»>_c5w
'Xjs^.c.
celui qui ressemble a ce portrait 6?5^
p?'2S,
partout ou on
ren-
te
contre.
vJ:.A-jwsr-f
^
o
signifie e;î sorte que, •^
y
»J>-A_sr-f ^
%
''
^^L?
c
fi
y
^^***_j
y
^
il se
mit à dérober par petites
^wan^i^e^
/'
à_-wa.Lo
74)
:
y 1
wV_à.i
^ j>
(I,
c y
L..-^i;.
de manière que
._3t-iu_j
^
c?e
manière que son
compagnon ne
s'en aperce-
vait pas. c
fi
(Voir pour
y
c
^t O-^^^ ^-^
yy
§
yt
yy
Ia»jI,
— ÎJ^iy1 ne
300.)
L^I^, L_5
yy
391.
gnifie toujours
s'emploie qu'avec
^-A.-A_J\ ^Jl-AAi \j«^^\ (IV,
d'être rétif
41);
(Bah.).
l
~>.j)
^
le futur (1);
et
il
si-
jamais dans une
:
Les auteurs ont cependant employé
me \e7it sûr
présent et
dans une proportion affirmative,
proportion négative
1.
le
z7 e^^
.>..
\js._>\
mo?'/ ceZ^^z
\,>._^
\
J^j"
avec un temps passé
:
s\l3 \J^
^^^Jo cIjLJo
que nous voyions toujours doué (ïun juge-
^
,^X_-ci-._JL_3
<o?i
es/)ri7
n'a
jamais
cessé
ADVERBES
oX^^
(lliip.)
jSbJj
\x.i\
L-p
267
souviens-toi toujours de ce qui
Ces arrivé.
^ LAw^c
\xJ\ ^^\-^
(Ali.)
^-^_LLj3
une
oui, je chercherai
vie qui
ne finira jamais.
L^i^
toujours^ ne s'emploie que dans
quel que soil y (Y, 22)
temps indiqué
le
c-o
X
c/'c./'
d)---^-c
^^
V
//
s:.
/
:
c /
/
c^
^ ^
,
C^-^îi
^r^^*^
une proportion affirmative,
J-«-=^l
place toujours la mort devant tes
ki ou
iaJ
jamais ne s'emploie qu'avec
tion négative,
c
:
ïLw
ia-3
y
-^^
LJ
,JLx«,*
(id.)
passé, dans une proposi-
ou dans une proposition interrogative qui suppose une
réponse négative
(Ilar.)
le
yeux.
y
L/s
^iw3
y
y
c
c
Î3
!
y ^
qui donc
»-^
a jamais mal agi f
y
c
i/t
n''
vJLi-^-c C-^-^-fi J--*
tes
yeux
ont-ils jamais
vu quel'
qu'un comme moi?
il,
—
392. (§§
lii
Ces particules ont déjà été étudiées
314. 315). Employées
comme
Tétonnement, un événement
comme
conjonctions
adverbes elles marquent la surprise.
subit, voici que, soudain;
b\
y
devant un verbe; il
est très
se place
£
131 se place
devant un substantif ou un pronom
souvent suivi de ^^ (Voir
315, R.
§
à)
et
:
y ^
J>f
(Kor.)
^_jv_A_;»
j>j>
^
y (Tart.)
y y ^ y y t^Li ïL/^c -
y
y
" y
fif^ y
^-wsA^^ J,2^j
y ÎJ>)
^ J'J>
«3)
/ c y
tL^J
y y y
.~^
r:i
jl_^^!
^.ju>
y
Ct
^à'Jî
il jeta
fut -Zi
son bâton
un serpent
l^J-s
quand voici
y
(Bat.)^.^sr-^
y
y
J -.Y
^
y
'
J
i\=^
il "
y-i
<M
véritable.
le
jour fut avancé
quun homme
criait.
y y t,y
X_3l '-^^-f
"
quHl
y y
* c
et voici
pendant que je
réfléchissais
mon sort^ soudain un homme m'apparut. sur
*
393. nombre,
—
Cet adverbe est employé tantôt pour indiquer un petit et tantôt pour indiquer un grand nombre; on doit donc le
»
GRAMMAIRE ARABE
268
traduire suivant les cas par parfois^ quelquefois, souvent, beaucoup',
indéterminé
est toujours suivi d'un génitif
il
>ÏS
70)
(II,
o^_^_^ ^^
à._Lj!
.-p
le
y,
w—
/
silence est fjar fois plus éloquent
que
yy
y
c
c
^
^— 2i^ J
3
y
i,
y
/>
^
o
^
-s
.—^j-j:— fi—
V»
les
paroles.
x
bien souvent la
Lj
jj
V
:
ont réuni (II,
160)
w<5»3:-^^
Remarques. ment après
— a)
comme
î^
\
kZj^ est :
(^^Jl-a
L.,-^-^-^L9
<^:Lj
\
j-^sr-H
et plus
^y-^ 0-^3
\
vagues de la mer ont baissé sur moi leurs
les
papier
cœurs de deux
les
fréquemment sous-enlendu après 3,
^J^ j-xo
et le
hommes séparéa
9
rare-
souvent des
voiles.
9
b) <wJn est ,, 1
j ^^J
^ ou J._^
nuits sombres Zi
1
plume
accusatif
9
deux cas
9
Zt 9
à^\ pour
— ^est
394.
pronom
quelquefois suivi du
* 9 y \L_2*.j
y
J-s*-;
explétif
a,
substantif se
le
met
alors à
9
ZU
un homme...
parfois
>^
<
interrof/atîf de la quantité
ou exclamalif; dans
les
peut être employé sans régime avec la signification de C07n-
il
hien? que de fois!
(Itl.)
\jP--^-^
i-.;y-^~9
\'-^'s>
^
savez-vous combien vaut ce
^jjJLJi'i
A-j
chaton? ^ (Ilar.)
^^
xSi
ya
<.-.*«;
b
^
^
y
^J.^.j
^
L»
^ y
c
y
^
c
yy
c
C-i-L
JLL.^-f
y
fai obtenu par mon astuce ce qu on n 00-
«-^
crwe c?e /b?5
'
tient
pas avec
les
sablées
(par la force). P
^
y
c
jA-c
^
jt—J
y
//
f^
,L.,-Aj^ *wo—i» J^
^-j
^
,
/y
395 régime
—
Lorsque
reste
^S
est
immédiatement
au singulier indéterminé;
il
se
suivi de son régime, ce
met àTaccusalif dans une
proposition interrogative, et au génitif dans une proposition exclamalive
:
y ^
yy
yi,
sJS^ L^_a>ji y y (^I.
iN
)
y
^-X-j^-a.'.^
y c.^
Jw-^
^
c.
^
w P y
c y
^_i c
y
j3-aJ jj.>c j,S ^ "^
combien as- tu de dirhemsf que d'ennemis ont d'être
fait
semblant
mes amis pour
l'ar-
gent que je leur donnais.
ADVERBES
—
remarques.
a)
^
Si
inl(;rro^nlif est précédt^
peut se inelLre à l'accusatif ou au
CU-^"
\
/
•
•
îLL. ^l-L.
uiais Taccusatil' est préférable
combien de
livres as lu
combien d'hommes
f^
M
— Lorsque
396.
tement Tadverbe, lorsqu'il est
se
le
met à
L;l..._£
;*,«/»
-"
^ Lj
^
^^^Sv
^S
apportés?
génitif
restent
au singulier
:
\
^_)
w4/
ou pluriel; mais
ce qui est très fréquent,
:
que d'yeux joyeux auparavant
j,S
c^^_;l_d^--'
ont pleuré hier! nue d'yeux
Ljj
c^' ^-3
c
joyeux hier pleurent mainte-
«
nant! / M
(Kor.)
^
ç^^J
y f^
z'
i_Aw>-j
'Li
'^
^
y
''
c^
c
/'c//~-c^
^-jtLjw-j'
..fi
\
^S
que de prodiges
—
^«e
^_r
i
porter à toute une proposition; f et/ y
yA
/»
1a-^ ^Là.! C-ol.j
il
/'/'/*>
//
lli^^lJ
rfe
n'avons-
générations
nous vas détruites après Noé!
^
Cet adverbe composé de
1°
ne
leur avons -nous pas accordés!
y/
397.
évidents
/'C/'CtC/'
L;:._-0_2> .JJ/-3 (^-^^
^._3i_j
\
''
>J'C
/
O
^y
X
^
l'accusatif singulier
"
(id.)
:
exclamatif ne suit pas immédia-
^
L^-x_.0
.^\
.
—
*
.«
la préposition ^_^,
précédé de
régime
venus?
^.„*_-*—:?e
C-
V.-.
régime de
se
il
—
•
l
met naturellement au
'iy^j3
sont-ils
**
le
*
»
ùj^j-^
X
(rnno préposition,
Le verbe ou Tatlribut qui se rapportent au régime de
6)
il
^^^éiiitlf,
LoIJ^X aXo
)LJC_^ ou
*
••
269
comme,
Ivî
cela peut se rap-
signifie alors ainn^ aussi, de
même
:
C*/'
/ai uw çwe
d3Lj! c^jIj
et j'ai
io/i /9ère est
excellent,
vu que ton frère
est
de
même, 2°
Placé devant un substantif singulier indéterminé à l'accusatif,
signifie ta7it,
on peut alors yi^
y/
3"
y
y
^ y
y
répéter
i,
y
y
y y y y
\^^-^ iJ^j
Il
i
:
y ^y c
LjjLs. \xSj \SS
(Har.)
(id.)
y
le
hj^j.^
il
a tant et tant de servantes,
le
chef a acheté tant d'esclaves.
^
y ?
tc^^
J-T .«^^
!
y y c
^jjU^\
peut servir de complément à un substantif qui
médiatement;
il
il
signifie alors tel^ telle
:
le
précède im-
GRAMMAIRE ARABE*
270
y^^ y^ J^j Lf
(R. D.)
"^'y
y
.L^
3.J
L^^j
i
on a rapporté qu'il y avait dans telle contrée un commer-
'^
çant. L-;-^c
(id.)
y^S ^Lè.^
wJ^-^^j
^
\J^ indique même que; il
com?ne, de
^jXJ^-'^ ainsi, de cette
"
est
manière
»tjjj*
c
/ / y
^,
"^
_^J L^J'
ij-^,^
•/'c^c*
^^
LLs'
t
J^J'
*-::-J ^
^
Remarque.
— L^
a pour
—;L.^J-a) L^LL»
1
399.
— ^à_J»i
gative, et
^ y y |j)
t-û-^
y/C
la
bon comme Dieu
pour
L^
été
l'a
tdi,
comme tu jugeras,
tu seras jugé.
y y
L-^
\
jf
y y
comme vous êtes, nous étions, comme nous sommes, vous *^^^^-
synonyme L^JJL^
ne m'a usé
comme
:
^^-^ ^Jw»^-^
>J
les chagrins.
comment, dans une proposition interroga-
manière que, dans une proposition qui n'est
:
/«-Pw.-o
^^
rie72
signifie
comme, de
pas interrogative
(Kor.)
sois
ijj-^j-^
(Tart.)
13-^,
:
''
•
^_iJ
fréquemment en corrélation avec
&
(id.)
^
comparaison entre deux propositions^:
la
jLJi l.Ur^-1-iî L^i^^-^-lî
(flar.)
tel
y
y
398. __
ie mens de trouver dans endroit une source.
-^-3
^
^>-U
^
</•
«'^<.
v^'-^-V;!
''-'^r^
comment Dieu
dirigerait-il
ceux
qui n'ont pas cru, (V. 75)
L^? -*-
v,^à-jj_i
Jà-j
i
•O^. C^^wg^J» ^'-^H! ^^-J~T^ (^ JJ"^^.
regarde comment
il
Va
volée.
y y
(Kor.)
y
400.
— Cette
^^
^^^* façonne
comme
il
veut.
vî
expression qui signifie surtout, principalementy est
ADVERBES
^_w
négatif, de
composée de ^
nom
êlre suivie d'un
semblable et de U» ce qui. Elle peut
indéterminé à l'un des trois cas, ou d'un
déterminé au nominatif ou au génitif ^ t
^
vlA-^i ou
^^i
^
^
271
y^ >
<^
/>
nom
:
i,^
^-^T^ ^j (y^^
^
^""C^^^
peuple m'a plu,
^^
surtout
et
ton frère. '^^ ^
jjj»
->••-:
b^j OU J^j
-//'
y%
L^yw-w'bj
J^i -
I
iJU
y
'
.
.
^
y
^-T^J'
V
c
,Ji
c
.
—
Les
trois particules J.J,
affixe signifiant il suffît', à la
^S.i, ^^]=J, ^3^-^
vjl^
\
J—^j
suffisance.
ki,
deux dirhems me
>^Cj-*»»cs.
/*
>
y
/-
(Har.)^CH^^ L»
y/c,-^
y s.
X
Ut
La
précédés de
me
voici
d'huile.
L».
signifie voici se place
les substantifs
^JwC ^j^t
dit
suffisent.
^7 ie 5w/y^^ c^'wne /iu?'e
— Cet adverbe qui ou devant
sujets,
pronom
première personne ^du singulier on
Adverbe démonstratif 402.
suivies d'un
v^*»»:>.
:
^^A-3
Lç-îBj^
im homme oui ne
(?n
craint pas Dieu.
_aj:_j^ J-=^) OU
i
en personne, sur^
^e con/?(?
^owi
Adverbes de 401.
ne
»!
devant les pronoms
:
maintenant dans Vétat que vous
voyez. AP
•
•
.
/»A
«-^ij v^Lj!
Œ »!
La
voici ton père qui revient.
Adverbe 403. et
affirmatif J.
— Nous avons déjà vu cet adverbe employé
devant
le
second
membre d'une
proposition suppositive
peut encore précéder toute la proposition
(Har.)
avec ^! (§262),
y c ^ y •fc/'XC/'/' ^ c^xJa-j Lg-^-^ c^sj,^ jJL3
(§
307),
il
:
oui, tu as dit la vérité
enpar^
tant ainsi. (111,23)
v^^nœt^!
^jJIj "
^
ïL-j^
^jJ',;^. '^
^,U
0U2, ce/wi ç-wi achète ce
au prix de surprenant.
la
monde
religion
est
GRAMMAIRE ARABE
272
Locutions adverbiales composées de
—
404.
\
y.^S
(Ali.)
J>
y
o
J>
//
,
-^
^-^Ls
.''<<'
/
I^jLL
/Kor.)
longtemps à bâtir des
maisons pour y trouver un y
y
t-^-^-J'
t—^
j>
/•
l
oni mis
i/5
''
''
au com-
;?ew, se placent
:
Lj.-^J;.
Kj.^
*-o-:l.^s:-^ '
f
-f
U
beaucoup,
cornent de la proposition (,
L^JU
Les loculions L^Li? longtemps, Lpj-i-^ souvent^ L^
rarement,
i—>».
.\
«
Jf
c
bi-Jj
asile.
U0W5 e/e5 bien peu reconnaissant?,.
Autres locutions. y
/^ y
//
y
^
//
t,
^
/*
c
i /^^
yy
^S>
(^
y
..dr'"^
>'
,
l
J
2 ^x 'i
i
y
l'aide des substantifs
^c
/»
ijj Ij*
<*
,tj^
z*
je suis tantôt Sakhr et tantôt la
XSi
"^
sœur de Sakhr,
y c y y
i.
i__xJ:>-
I
yy
c
^z'
405. — Tantôt.., tantôt se traduit à
(Har.)j.3r^ vji^dwî SjLjj
y
^ y
^^c*
/y y
''
Sj-^J
v,^^-"-S'l
2.
Lj
y 1.1 .-9
i
^
/y
<.
^
^ et
y ^
y i.i.y
J>-^
y
tantôt /écris, tantôt je ;> w?e
^ yt
•'
tantôt
liSy
promène, d'autres '
fois Jje
'
'
J'-* 406-
— L'expression ^jLiU» marque
la différence, elle se construit y
do l'une des trois manières suivantes y
^^5-f^j
^t
y
ft-y
OJÇ^i
/
^
y
-Ci
y
y
lO^^-^^-^
"s-
y
^^ "^^H^j
:
ft y
s-t^-f^j
y
^
"s.
^jSy=^\
y
-^
y
mL^^-^ ou
'sy^,yy^^y
y
«^tCwà.!
^-^L»
jjl-^i-^
que ton
frère et ton père sont différents.
407.
— La locution
w
^
^
J-j ^^ littéralement
:
pas d'échappatoire, pas
de dispense est suivie de ^-p quand elle précède un substantif, et de et et c ,.,_^ (|uand elle précède un verbe .,! .,^^ V-
w
^
:
-
INTERJECTIONS X (Miik.)
^iX-L>
IJl-5'
—
408.
y-A
V
il
nous faut absolument un
w\-j
Y
«7
^c
»!
>
•
C
-»
vlA-j
!^^L**.
/«Mi faire cela.
ou
»!
cer^e^
ç'î^c
:
/'/'•/•
^w seras certainement crucifié.
y y y y
<>>-J !
j^'j-i^
^?^e
/»^-=^'^
!
^ y y y ^ ^
y
yy
»!
wlA
'l
wA«L^A-j
(Tart.)
roi.
s\^m^\Q certainement^ sans nul doute \\di^vo^o?>\i\oïi
"^
commence par
qui suit
(Gaz.)
LJ J^
J^juâJ)'
^^|-rw
f y
-^
/"
273
(
j-^
certainement
qxjCil
ne cesse de veiller.
Interjections.
Du
vocatif.
f ^ y
—
409. y
y
y
Avec
autres particules du
L) et les
vocatif
!,
y y
s^
LÎ,
L-jb
^t
(L^!
excepté), le substantif ne prend pas l'article;
nominatif sans tanouine quand
d'aucune proposition explicative
y
y
'--;'.
y
y ? y
y
L/»
j--^^
l-J
yy
homme
oy
L)
^
que dis-tuf
y
vj:^wy_i2_£
tes
attribuas sont grands^ ô
Etre
suprême.
y9cyyyi,yy
L_^j_r
(Y, 243)
y y
c
n«^Xj'Lâ_^
se
:
f y
fyyy^y /*-jr^=^
n'est suivi
JjJiJ*
>
(Asm.)
il
met au d'aucun complément ou il
c^ j-i
d mo?'^, ^w a*
frappé un homme
généreux. i,
y
^
y
y
^>-» 410.
— Le substantif au
vocatif se
suivi d'un adjectif qualiflcatif, d'un lative
ou explicative ^^^_-^J_3
l'accusatif lorsqu'il est
complément, d'une proposition
i^^w.-^=s.j
^_i_^
y
y
.^J
y
U
lumière de mes yeux
mon y y (IV, 95)
J!j_;5^
1
re-
;
c y
(Cher.)
met à
et
ami de
cœur.
yy
^-^^ ^^^.J"^
..
^ ^^^ Q^^ ^^ avide des richesses. 18
GRAMMAIRE ARABE
274
dJJL/» ^*-Ls:-^ w^-y./Cc
(IV, 49)
2Jj.-i.a.
Lj
tombeau qui renfermes
ô
belles qualités
>
^
411.
— Lorsque
/»
nom
le
c^
au vocatif
met au nominatif ou à
positif se
est suivi d'un appositif, cet ap-
à.U
^ /» p^-**wj
C,^ ^
/'
I
complément
"y
" ^'^
\
faut employer
:
U
6 Jésus ^ le Messie.
l_j
6
a
'
il
/>
.
A-J-à. *_^a)L_j!
1
•
mais
l'accusatif,
l'accusatif si l'appositif est suivi d'un
^^jw*«-^
les
de Mâlik.
Abrakam, ami de Dieu.
"
cr;
L5-;' ^/'
— Quand l'appositif est
nom au vocatif se met au nominatif ou à l'accusatif si ^\ est suivi d'un nom propre; le nommatif est obligatoire si est suivi d'un nom commum 412.
le
^
*/'c>/'c*
^Lô-
OJp-j» ^_j
i^_^_^^
—
Remarques. le
^^
.-^1
même
cas que
^Sr^^
Lj
Joseph,
(^_5-i
\
c)
,^^a-C_^ l_3
,,_j\
fils
j
fils
d'Abou Khaled,
des rois de Juda,
être supprimée,
mais on emploie
:
(3^>J
\
.
<
.
^ ^
notre Père qui êtes
1-3 L^\
Le mot perd quelquefois sa dernière
amt;
Ahmed
^
"•.^
b)
:
^-^
si elle était
Cj\_5^>—».-<^i^
le
!
La particule du vocatif peut employée
a)
j^t,
y
v^.,w^.)
1
substantif
lettre
pour *^-^aX_yo lo o iHansowr;
:
aux deux.
_l>^ Li pour ,^^^lJo LS d
lo pour o"^-»
J^
L:»,
o
wn
mon
tel!
père et ^\ mère ont au vocatif les formes particulières C-o\ ,CUv«\.
/'ce (3>—•*»—*
413.
^
-p
(Uar.)
y c c^^
\L*4»_jY Si
c-^o
L^-iJ
I
i
la particule L^-->
y
I
y
-it s-
L.^-J
îtj->a>
'
w*^—
>
»
y ^-^t.
— Avec
prend toujours Tarticle (Ibch.)
rf
y
!
.
> y
^
i,
,^o !
i.-^
L^ L^JjU
fém. L^-^1,
met au nominatif
et se
y m .L*^_1j
i,
I
le
terme du vocatif
:
xc iii_a.t
sunoeille ta langue^ ô
homme.
y ^ -s* L-^-Ji-^l
enfants^ pourquoi cette tristesse?
INTEFiJECTlONS
—
Remarque.
f
de
l'article, ni
Harets; ,OlJ
\
L^^
On ne peut employer
noms propres précédés
avec les
\
^
c
yé
avec (Ol-J\ Dâ'u; on L^, ô
275
fait
alors usage de l_3
y :
^
^
\.^
ô;Lsr\
L^
d al-
Dtew; on dit encore fréquemment ^o-ç-JÛl ô Dieu.
Autres interjections.
tk-'' 414. dit lit
—
J-jj marque la douleur, la menace,
avec un pronom
^_jj la pitié; on
^
J^jJl, ^^O J-jj
v^txJ
ÎI^Ljj,
avec un substantif J..J
et
:
Xi J-j^i, ^tXJ et
c:::-^
toi.
:
^Jj, A-jjJl, J-Jj
;J
malheur à
malheur à Zéid.
*•
415.
— Lj
douleur;
le
marque Pétonnement,
'j
marque
la
substantif que ces interjections précèdent prend l'une des
terminaisons suivantes
yycyyoyyy ^ns:*-U
la surprise, la joie;
l) ,2*1-;-^^
y y y
y
)^^^
Lj
y ^->
:
y y y
y
j^^^F^
^
^ merveille!
y s^y
(de
c y 2.-**»cs.)
O
I
'^,y c
J^J
416.
—
La
y
^y
2Uw_*v_^
>jl_ô
i_5
d regrets!
ij
pauvre serviteur de Zéid!
particule LjI suivie de
pronoms
affixes peut signifier
^«re/ gardez-vous de^ méfiez-vous de, fuijez. Placée devant un substantif elle le régit à l'accusatif avec j et plus
^\ placée devant un verbe y
y
y c-*^
elle
demande
et le subjonctif:
y
J-**»_^Mj vJLj!
(Har.)
^
rarement au génitif avec
fmjez la paresse.
A,
1
a,yJi..
Ifi
V
.j!
A-^'
—
5
1
(jardez-vous d'être injustes.
APPENDICE Notions succinctes de métrique 417.
Il
— La métrique étudie
(1).
de la composition des vers Le vers arabe se compose de pieds formés de syllabes brèves et de syllabes longues. comprend deux hémistiches d'égale mesure et se termine par la rime. les règles
De 418.
;
la syllabe.
—
La syllabe se compose d'une ou de deux lettres (2); elle est brève quand formée exclusivement d'une consonne et de sa voyelle; la syllabe brève sera
elle es^
« o
indiquée par
quand
le
signe Ji
:
o
i^«);—
a frappé
il
La
3 brèves.
:
syllabe est longue
pas exclusivement formée d'une consonne et de sa voyelle; la syl-
elle n'est
—
u
• c •
labe longue sera indiquée par le signe
.^^XX_^^
dity
^
il
alifs et le tanouine o o9 9 r^
longues
cXsL.\
^_^ {—
:
Le madda
n'a pas écrit.
jj^
passée \_^Ld
_
9
fi
^e prendrai,
C
^
9
« lui,
^
9
f
o
,
LS dans
!<*
f
comme
CE
9
de lui; 3° ^ mis pour ^ dans ^o—X-M f
9
C
y
o
/
9
C
Des
9
9
,*>_^ ,^o~fe et
à la 2« per-
^ ^
II
mots formés avec
9
1.
écrit.
pieds.
pieds sont formés par la combinaison des syllabes brèves et des
syllabes longues.
9
comme
pronom Lj\ moi;
le
9
9
brèves ou
sonne masculin pluriel du parfait ^-X_^wJC»$' (pour ^X_;^_X_$) vous avez
~ Les
ont
(= ^^^X-^x) homme.
J^^
9
419.
ils
qui correspond à une voyelle suivie d'un Ci forment des syllabes
longues s'appellent syllabes communes; ce sont:
pronom
est
qui indique la contraction de deux
\
Quelques syllabes pouvant être à volonté considérées
2° le
il
le
y a en arabe huit pieds réguliers que nous représenterons par des
verbe J.-*a_3
^
9
^
9
:
''•
''
''
^«O
C
9
^
9
Ces courtes notions n'ont d'autre but que d'apprendre à reconnaître et à scander un vers.
Voir pour de plus amples détails les auteurs qui ont traité cette matière. La grammaire arabe du P. Donat Vernier se termine par un remarquable traité de prosodie 2.
On ne
^>^yJ
CT"^
trois lettres
dant
tient
{>
aucun compte de
\
ou de
\
ajouté
re?i/an/ est sorti, \_^„^a.> =:_^-^-A^
quand
— >Lw;)
elle est
au ils
^
\
j^-<>Ls
le
Juge de
501-595).
II,
du pluriel
:
«>-J^
\
r r-^
=
sont partis. Une syllabe peut avoir
formée d'une voyelle longue suivie d'un
«*w^.5»>-©-J
(t.
j«_
ou d'un
la ville (^<—^-_>^X_.^
—
_ç^
:
3L>o éien-
,J ljt^
— ^)'
NOTIONS SUCCINÏES DE MÉTRIQUE
277
Les pieds irréguliers sont formés des pieds réguliers par i'altéralion ou la suppression des syllabes, par exemple ^^JL>o_à_;u*^-o peut devenir 6
C
^\
/-
C
i.
X-^,
)>
—ouÀ_^x.t<-^
etc.
De
— Les
420.
r^J.^
la rime.
même rime (1), c'est-à-dire que leurs consonnance et la môme mesure; dans le premier vers d'une poésie, le premier hémistiche rime avec le second; de celte manière on reconnaît facilement si un vers est le premier d'une poésie. La rime commence après la dernière lettre de prolongation ou la dernière lettre jezmée du vers; elle peut être une lettre jezmée précédée d'une lettre de prolonga1° une lettre jezmée précédée d'une lettre tion. On compte cinq sortes de rimes vers d'une poésie ont tous la
même
dernières syllabes ont la
:
de prolongation 2°
Une
jj.-^ dans J_^^JlJ» peu nombreux.
:
syllabe brève toujours considérée
comme
longue
j—^-^
j dans
:
\
le
tombeau. 3°
Une longue précédée d'une brève
bout, L-;_> dans 4°
LX_0L-^
Une longue précédée de deux brèves
Une longue précédée de
421.
—
Il
Le \
fath'a
celui qui se tient de-
jJlJ dans
:
brèves
trois
y y /
^L^,^»»
:
Jv_i_lj 9
y y /
\^ et le
pays.
o
\y^
dans 'kSyjs:r
\
le
mouvement.
y a quelques remarques à faire sur la dernière voyelle d'un vers ou
d'un hémistiche 1°
\
notre chien.
9
5»
l-Â-s\^
lJl_s dans
:
:
JL
—^J
>^SL-s.
est toujours suivi d'un
\
^*xJL^sw C^^\s
\
à la fin d'un vers
l_.o-J
lorsque
f ai
vu
:
ta beauté disparue.
2° Le d'amma ±_ et le kesra~7 à la fin d'un vers ou d'un hémistiche font toujours une voyelle longue, car ils sont censés suivis de la lettre de prolongation corres-
pondante. 3° Les trois voyelles se
Je n'ai
pour
suppriment souvent à
toute fortune que ce
4° Le tanouine peut se
la fin
dirhem ou
d'un hémistiche
cette haridelle noire.
supprimer ou se remplacer par
ce qui a toujours lieu à la fin d'un vers
Puissiez-vous être préservés de tout
mal
:
la voyelle
correspondante;
:
et
ne pas rencontrer d'infortune tant que vous
vivrez.
Des mètres. Il
1.
y a seize mètres en arabe.
Les poèmes arabes sont d'une longueur assez restreinte; les grands genres de poésie l'épopée, la tragédie sont inconnus. Dans une pièce on emploie toujours le même mètre.
comme
•
GRAMMAIRE ARABE
278
422.
I. y
•
Deux
—
fois
o
LE LONG
(1).
'
p
^^^-L-^-oUJ!.-^ ^^^^J^-^â-s
:
— —
—
—
— J-j'j-tJ!
o
o
o o
o
o
—
o
—
o
—
o
—
o
o
c
f
l-_
o
I- -
o
o I
Tu as vécu libéral entre
o
o
II
—
o
o
y
—
o
1
o
^^
o
o
,
c
c
..
.
o
à ta mort tu n'as pas eu à subir la pression du tom-
tous, et
beau.
423.
II.
Deux
fois (2)
y ^_ o y
_
:
—
O
J».J-V-^3
LE PROLONGE.
)
^^^cXS ^^L^U — — O O O
O
«
C O
-
C
—
O
C
C
O
O
o
-I
^^^'NLoU
O
<-'
O
~|-o
o
—
O
«
Il
_|_„_|_ _
o
-
Cette vie n'est que misère^ peine et tristesse suivie de tristesse.
424.
III.
Deux
fois
:
,^^X_-oUs
—
k,
L ETENDU.
^-j-A-^ol-S
,^_A.,/s^a-Ji.-.^-c^-o
(-j>-».-*â_Jï_-'>,*^^
—
o o
o
o
o|
Il n'est
pas
comme
O; d'affliction
celui que
La clémence le
plus doux
'
f
OjwLi
ô^jJLil ^L>^4-^ o
—
o
—
o
o.
—
O
o|
c
''
,
^^^^-^ O
I
égalant celle que
Ja^ m ^^\ O
o|—
O
II
^ o^^ ^b^ ^1 o>^ ^ |—
O
'^ I
"
eut-on jamais à regretter quelqu'un
f éprouve;
mes yeux pleuren t.
est le plus bel
ornement de l'homme de cœur;
le
pardon
qu'il
accorde est
fruit qu'il puisse cueillir.
1. Il faut lire
de droite à gauehe,
comme une
ligne de
texte arabe, les pieds qui servent
à
former le vers. La première ligne représente le vers régulier; les lignes suivantes indiquent les principales modifications que peuvent subir les pieds du vers. La suppression possible d'un pied
h la 2.
fin
de chaque hémistiche est indiquée par un
tiret
Le vers primitif qui ajoute h chaque hémistiche
le
.
pied ^^^-.*o\-h est rarement employé.
NOTIONS SUCCINTES DE MÉTRIQUE 425.
— j^]jJ]
IV.
Deux
fois
,^^-o_3
:
ou — o y o — o — u
o|
y
O
—
^^^_XJLoL
— o o —
o
o o
—
o u
O
PadH
—
o
o
o
u|
ie suis affligé de ta mort ô
l'exubérant.
^^^j_XJL^l_fi_-o o
279
o
o «
«|—
o|
(I
o
O
—
o
o
o
o o
—
o
o
—
o
de Yahya; on ne peut blâmer celui qui s'afflige
fils
de ta mort.
y
o| J'ai
pleuré sur leurs demeures
426.
V.
—
"^11 et
—
J-^LO
:
—
^
"
—
"^
je ne crains point la honte.
LE PARFAIT.
t
•
Six fois
'^1
.<
'
^^^_>â
— o — o o — o — y o — y — y o ^— o o — o — o — y — o — o o — o y — y y
— o — y y — o — « y — y — y y —— y y — y — y — y — y — y y — y y — — y y —
.
1
y
Meurs
^
si
tu le
peux avec ton ami; ne
y
y
pas après
vis
lui
en proie à V ennui
et
à la
tesse.
—
o
— 0«|—
o
—
Il
y
— oy| —
Tu occupes un rang plus élevé que Vétoile Soha
VI. y
9
— TyÙ —— y —
Plût à Dieu que la fortune, quand
1.
Dans ce vers
il
y a
'^^
^
y
f
enjambement,
elle
le
— «o
généreux.
y yc-
-?
427
et tu es
y
f
«
I
y
I
VIBRANT. y
*
f
y o
—
y
devint injuste, m'eût ravi
mot
JL^
mes enfants.
étant coupé par rhémistiche.
tris-
.
GRAMMAIRE ARABE
28.0
428.
^rs^jUi LE TREMBLANT.
VII.
J^
Six fois
:
.
— —
— — —
—
o y
o
—
y y
y
y
J-^-a^ ^5^-^-* of^-^-^
—
y
—
y
— —— y
«^
—
o y
y
— —
©
^-^0^3
o
1
^
—
y y
o
'.
y
— ——
-
*if
O
Jj:^_-^J
I
y
o
•
y
—
y
y
y
—
\ J-a\ L*
'
\jw-*
l
— ——
—
y y
^•'*-t
II
Salut, habitants de celte demeure; puissiez-vous toujours jouir d'une vie agréable et aisée!
—
—
y
y
Louange à Dieu gui a chassé
429.
— '
*
^
y
^^
fois
—— y —
y
y y
S-^J-^
y y
y
——
y
rois puissants n'avons-nous
430.
IX.
Deux
fois
—
^^_j_X_^U9
:
y
y
— — —
y y y
— y y
y
Vaffliction.
-f.
LE COURANT.
^
—
y
—
y
——
y
y
y y
—
pas vus devenir
—
^ »^
-"
a_J^^J
o
— —
o
y
—
y y
y
—
y y y
— y y
—
—
y
—
y
o
y
— — —
y y y
— y y
y -
y
—
y
Sois conservé à Vlslam aussi longtemps qu'une
431.
X.
fois
—
>
y
c
—
—
—
y y y
—
y
y -^ y y
'
Il
I
sort retourné contre
^_X_-*^
y ,
du
LE RAPIDE.
j^^j-JL-^o-ji.--*.—«.**.-«
y —— o —
1
]
victimes
les
— — I
o
^
^^*«-;l_^
\
y
—
tourterelle roucoulera
grands arbres.
Deux
y
—
o
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—
y
^-jJs^LoLs ,j^'\LoLi
——
y
—
^
y
—
o
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y
Çwe de eux !
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—
,-j_A.yoLs
:
nous
loin de
VIII.
Deux
—
y
1
LE COULANT.
y
au haut de^
NOTIONS SUCCINTES DE MÉTRIQUE
—
o o
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—
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I
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II
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— ou
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—
o
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o
281
— |o —
o
—
Le chdtimenl de Vinjustice ne dort pas, quoiqu'il se fasse quelque temps attendre.
432.
—
XI.
v^Q....Q,.r^-^ "
Deux
fois
,j^j\]L.adV-S
:
o
«
«
a^.»M^
Écoule
mon
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o
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o
II-
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o
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I
—
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—
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Il
Hier, J'ai loué le souverain avec de la prose
;
— —
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«
«
I
tes bienfaits les soucis qui
o|
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o— I—
par
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—
o o
—
récit et dissipe
LE LÉGER.
(^^,-J_>va_JL_-/«^-cc».x)
CIjL^vI-Ij j^^ j^_.>Uo (^^3 o
\
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m*accablent.
o_-o|
I
o
aujourd'hui, je viens
louer avec de la
le
poésie.
433.
XII.
—
y
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y
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s.
pjL^a-^!
— >-
-o
c
LE RESSEMBLANT (au xiv^ mètre).
—
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o
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XI II. 9
—
o
9 y
I
o
|«
u
II
Elles ressemblent à des branches de saule et réjouissent
434.
—
^
«
par leurs chansons.
£-««'* ^ y \ ^
JL^
v.^^^«:2-;.'
t
LE MUTILÉ.
et
^^u^
0. ,«^.4<I<V„..<0
o
^
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^
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cA^ HO
Je ne t'appelle pas de loin, mais je t'appelle de près.
—
L
^
»
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o
E
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GRAMMAIRE ARABE
282
435.
—
XIV. *
.j\)L_^ol-i
o
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o
Huit
®
— —
/
X
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,
— —
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tu seras lorsque tu
awas
été enseveli.
^ ^ ^ et
«^jLiLjL^
fois
o
1
LE RAPPROCHÉ.
t
,j^^>o_s
:
o
o
.,,.v-*».Ly^\_^
t>
r ^Xô CU_^3 U> iL5j^^
Lo \^\
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—
XV.
—
^2»-A»^o
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o
C>^d>
Que Je voudrais savoir comment
«
—
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o
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436.
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—
y
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o
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«
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o
w
—
o
—
>\^^-4-
o
Faisant large part de ce qu'il possède à Vhôte^ au voisin et à Vami,
w| Alexandrie serait
ma
o]
patrie
si
XVI.
—
437.
Huit
y
o
—
O
u|
avais une demeure fixe.
fy
vi/Jl^JLiçJi LE CONTINU.
fois
O
O
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Il
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:
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w
—
o
• c.
S t.^
u
i^\^^\ u<x^^)\
«— iWon
cœwr
n'est
pour
lui
qu'une demeure
De quelques 438.
—
1°
On conserve
le
I—
h
1 I
oii
je
«
le fais
habiter dans la joie.
licences poétiques.
hamza qui devrait
être remplacé par f
donne un ouesla à fils
'y
(Co\
J.-^^
Vâlif qui devrait conserver le
{à^\
^J-^,^)
o
o
malheur à sa mère.
hamza
:
f
c
y
f
un 9
ouesla; Cy»
on
y'
<^>L-^ \^ (^<_>L^ \^) et son
NOTIONS SUCCINTES DE MÉTRIQUE 2° Les finales :i\
\JuJ
:
et
'j\
peuvent perdre leur hamza',
il 7i*a
pas
f
f
C y
J>^
5° Les
N
peut se changer en
final
lettre qui devrait porter
un chadda
:
j-à.4,
(>-^
(r-^-?.
f-^)
fuit.
On supprime ou on
4»
^
(i'L-l^) habit,
On donne un jezme à la
3°
lui,
jf\
283
9
/
((J~=?v)
noms de
ainsi de la
ajoute des voyelles dans fi
9
9
fi
homme, ^\.^ la
{f--^^}
:
corps du
mot ^jyi :
(3-^3-^) ^^
^'^^c-
deuxième déclinaison
première déclinaison
le
O f
(§
144) prennent un tanouine
l_fl.^_^^
(^^-^
et
l>L-l-co^)î v:U-iL->
deviennent
j^s
les fils
de Jacob ont avant moi vendu Joseph. 6* Les lettres de prolongation fi
y
C y
{^j-As)
scorpion,
CZ
\, _^,
^ s'ajoutent
et .^k-j\ (^là_j\) je regarde.
>
f
9
f
FIN
où
se
suppriment
:
<^j\ ._a_û
TABLE des mots arabes qui ont donné lieu à quelques observations
interrogation, 182, 186, 264
\
285-291,
b),
328 R. 1 interjection, 188,
JjI
^
^\
183, 189 II), 297-298, 313 R.
^\
154
^\
183, 189 II, 264 a), 306, 310.
/•),
!83, 261, 296 R., 299.
409-412.
117 h), 127, 139, 143
e),
166
e),
o^^
183,
195.
311.
\S^1 186, 391. ,fJ^\ 189
I b),
o\£
189
195.
III e),
154
Cm
/"),
186, 261, 262, 299 c, d), 328 R.
183, 326.
c
Cj^\
189
^^\
159, p. 126.
jL:L\
168.
I 6),
^-A^\
f.
^Ji^ 186, 285, 288 189 J\ 183,
>\
adverbe, 186, 315
>\
conjonction, 183, 314.
b),
adverbe, 186, 315
\>\
288, 291
c).
159, p. 127, 168.
127, 139, 143 e), 195.
^'\
II),
c).
l^J 188, 409-412. 392.
b),
t|\
188, 218, 344 6), 416.
186, 285, 288 c), 290 R., 390.
^.1
\^A
392.
186, 306, 310.
/
conjonction, 183^ 315.
\>\
e^M
^1
l4|t 157 R., 306, 310.
,il>M 183, 305.
UsM ,Co\M
183, 306, 310, 315 b).
jl
140,
20,
18,
189 III
141,
6), 192, 193,
171
S
174,
^^\ 189
1
a),
207, 211 a), 213.
183, 218, 234 a), 264 a), 326, 369-372.
^A
^\ {^ ^\)
^Jjf
I
a),
^G\
c),
186, 288 c), 306, 310.
188, 413.
l4f3 ,Ur-Ç.^
(_) 176, 182, 184, 205, 211, 238
a), 242, 250,
184, 205, 211, 352
104, 234 c), 335, 336.
J^^
220-223.
(^^j
/1\ 154
157 R., 306, 310.
'264, 277, 349, 350 c), 352 5,) d).
298 note.
157, 189
157, 158, 227-230, 306, 310.
cl),
Xi
104, 407.
378.
cXso ,\vXïO jvXs^ 185, 187. ^\ 183, 189
Û\
Û\ 1.
II),
288-291.
jL^i
lo9,
page
128, 236.
183, 367.
34 183, 366.
Les chiffres indiquent
183, 189
^^ le
paragraphe.
II,
185, 386.
167
6), 355, 356, 364.
TABLE DES MOTS ARABES Cj
^Ui
i82, 184, 37G.
'i^
405.
d^
406.
210.
J"
,^^
J^owUo
,CUs:* 185, 187.
285
195.
/ y
P p 355,361.
^
i-^^
<^U
186.
159, 236.
408.
^j^
{^))
l^U^
219, 247, 248. 299, 336 0). 159.
,\jiU
js.fi
\
404.
l^li.
184, 375.
(^5^
\j^L
104, 334.
^
^^^IrL conjouction, 183, 302-304, 355, 360.
104, 332.
154
Js^
184, 375.
184, 189 II, 352 d), 381.
rf),
185, 242, 350 a).
y
i^j^^ préposition, 154
e),
Jl
184, 384.
^^
s\S^s^ 185.
^
127, 143 e).
S-^ 0\
154
j^
,U.ii^
186,
C-wOi. ,^^
290
R.,
306,
310;
300.
page
159,
page
159,
^
176, 184, 249, 352 6), 380.
c),
130. 130, 185, 373, 374.
182, 183, 302-304, 355. 359.
2;U
186, 300.
c
CX^319. J.X«î.-aa.
kil
page
^
158, note.
163, 186.'
113
C5^ 101. ii 184, ?75. oJiÀ. f
(.
1 e). f
Cy
,
/
fC y
Jlâ
,UJLrL ,^ÀIà. 185, 187.
247, 256, 299
y c y
y
é C y
}
J-^* ,\U5
210.
j.^^
y
C>3^ ,15^ J_^* 185, 187. <^s 176, 184, 350 a b), 352, 382. y
éO y
y O y
166
e),
^O
y c y
C
c).
y
,J.>à*
185, 187.
(U) ^\S 237, 241.
J^9 186, 273-276, 310
C^\S
kâ ,Lô
^^>
187, 391. 185, 387.
Uîs
156, 214-216.
é^
rf),
322, 401.
186, 391, 401.
404.
I
^> y
154
182, 184, 388.
e),
y
\'>
6^ O^
155.
y
j3
143, 147, 195.
Cj\>
Zjj _io
JJ^A^o 182, 186, 277, 299 a), 310
^\j^>^
195.
(<3*u> 373.
C^)
U4*^
186, 400.
y
\j.^
98, 219, 247, 299.
186, 328 R., 393.
,
et ses
cl^
147, 195.
y,
^\j
237-242, 274, 275, 279, 284, 291 d).
y
rf).
154 y
analogues, 237, 241. 186, 211.
f\ *
y
,^JSS
186, 397, 398.
3
1^9, 236.
V^
,liclj' 159,
^
186, 189
CJ
186, 398.
page
II,
/,<: ,(J:i ,\li$^
127, 234 6), 236.
394-396.
,\U^J
183, 301.
TABLE DES MOTS ARABES
286
L» d'admiration, 104, 333.
^Jl^
186, 285, 399.
J
189
III 6),
J J
pour
183, 186, 285, 290 R., 306, 310.
^J:U
J
262, 307, 403.
154
U ,^^
6), 379.
J.;:.^,
préposition, 154
6),
176, 189 III 6), 205,
J conjonction, 29 ^ 29 186, 240, c),
6), 182, 183, 292, 301.
263,
266-270, 283, 284,
293, 294, 296, 299 a), 321, 362. t^S)
,Ui3 183, 301.
O"^
154/"), 183, 261, 300.
184, 242, 385.
^^
157, 158, 189
^
154 d), 184, 189
U4^
II,
224, 226, 306, 310.
II,
193 d), 194, 2^ note.
157 R., 306, 310.
J6.aS 104,
234
e),
335-337.
J^vOS
159, p. 130.
183, 267 6), 354, 355, 363.
U
l^ p 186,
154/"), 183, 261, 363 R.
240, 281, 284, 295,
,0
402.
CjU 307,
310,
186, 189
J.A
,\>UJ
104.
315,
316, 322. 186, 285.
conjonction, 183, 273, 313. adv. de négation, 186, 281.
II,
285-290, 328 R.
Su
287
^k
143 e).
Uij
188, 409-412.
^
183, 189 II, 306-309.
y\
183, 315 6}, 389.
271.
^
Ô O
a), 6).
210, 265, 383.
y
^^
IJ
^
J^ 388
^
ÔJU,
'211, 243 a), 338 R., 344 a), 349, 379.
183, 306, 310.
c).
182, 183, 199, 317, 318, 322, 323, 353, 355, 358, 416.
^^
,U^i 307
CS4^
JJ^
U
154
/•),
\i 188, 415.
c).
^V^
186, 261, 295, 296.
S.a.\_^ 159,
104, 237-241, 368, 375.
pronom,
,^J^ 183, 311.
négatif, 186, 263-265, 299 a), 307,
322.
U
de durée, 183,216.
127, 168.
168.
157, 158, 225, 226, 285, 306, 310,
335, 400, 404.
U
page
188, 414. 321, IS
So
188 , 296 R, 409-412. 117/1),
1241
c), 127.
VOCABULAIRE DES PRINCIPAUX TERMES DE GRAMMAIRE
en premier lieu les
(Lire
mois entre parenthèse
numéro de
concave (verbe).
t^<)**.\,
r"
nom
\,
la règle
;
à côté d'un terme
substantif.
{g^\) 2$jlXôV
adjectif
\,
y
ç-^.2».,
pluriel.
^ -
^ >'
<•
<*^.«-xo\ e\X&.a»,
annexion, 193, 208.
<^^^«^ uÂ3\,
\
de séparation,
alif
un hamza
tant
'ijy<xsJi lJJ\,
et
(alif
^^ muet,
<:U.<^:s».,
proposition nominale. proposition verbale.
por-
une voyelle).
alif bref,
prépositions.
\,
ou pronom dé-
monstratif.
çkJLJ
le
^^'^li*, trilittère.
((w5^^^) j.sr'
<iksl.^\,
obscur çst indiqué
qui l'explique.)
^^^^.vfc-Asr \,
(^i>-co\)
16.
nom commun
désignant
les êtres d'une même espèce. ^ \^ (w->»_^, réponse, apodase, 306. ''
\
^J.^0^
lJu\,
alif
d'union, 14.
complément
Jls.-'l,
d'état, 239.
yo\, impératif. i^-Sj.^*.,
Jjo,
permutatif, 196,
J^U, J^^,
lettre, particule.
2°, 3°.
corroboratif,
y^,
attribut.
(,j.5, ^.^.^îsic,
^Arsi., génitif.
^.^,
en opposition,
^^_^.c<Â_J,
196).
o*^ (--co\) j..^^à./oXj
^,, ((Jljïi\)
)j
quadrilittère.
diminutif.
1,
»..^s;*^\, verbes d'admiration,
nominatif.
JouJ\,
lettres serviles, 17.
104. (--u)\)
,J..y^>ai.Xj
\,
comparatif,
superlatif.
^Uo,
'
/
fi
cf.
ii*-*-o->,
P
terme spécifique.
cf.
j^_^>o, tanoume. X' ' <M3^-^j ^U,
1.
ta
marbouta.
'
sain, régulier, (verbe, pluriel).
9
O^X-uj, soukoun. f c'. i>^-CÛ,
condition, protase, 306,
(Jbisi)
^^yx^\^
verbes inchoatifs, 331,
Les termes techniques de grammaire ont été éliminés dans le cours de cet ouvrage, comme le texte ; nous donnons ici la traduction des principaux pour ceux qui
surchargeant inutilement
voudraient étudier les grammairiens arabes.
PRINCIPAUX TERMES DE GRAMMAIRE
288 _ .3
11
fi
''
-i
^o^-t**H>.iô,
(J_aJ)
^^.^L^
solaires (lettres), 18.
1_-.ws:*^,
verbe solide (hamzé ou
le passé.
\,
une propoou placé avant le verbe).
^\v>-X.-^, inchoatif (sujet dans
sition sans verbe
sourd).
dk^yib,
l>.aX/o, transitif (verbe).
d'amma.
j>.ji.X^
y^f^^i pronom. (^l.Â3Î
'nom
pronom de
j-^^-o-ô,
Tétat,
(pro-
représentant la proposition qui
:$
JlX^, _
pronom de
l>oXw) j-^.^^,
pronom
duel.
>^s;r°, primitif.
afflxe. fi
J,.AoJu.wc j-jmj-'O)
assimilé (verbe).
/
j^-iAIx),
rappel, 221.
pronom
»
^ '." vLls."^, 3c
complément 193
<J>i>,
complément de
^JuLi, conjonction.
Uukî,
même
désignant
appositif
objet que le
nom
le
dent par une conjonction.
ou, fi
3«
Jij-^J \,
nom
de
fois.
au nominatif (nom)
^^j^i
qui précède. «^.-.3
,
madda.
(^6-co\)
,3^^X31 ô^s., substantif joint au précé'
génitif.
j-^jv/o, masculin.
>0^\, nom de nombre.
C>d^\
6).
^Ja^sr^, au /_
lieu.
2$j.^,
(a-co\)
d'un
indéterminé,
d'annexion
complément de temps.
(wSj^,
\
suivi
(substantif
précisé
^^^^a^os."*,
^^JSi^
personne.
isole.
kM^JLi\, signes orthographiques.
^Loll\
mtransitif.
j-.^,
/Jl-XJLo, l'e personne.
suit, 248 h) 20).
v>6lû ^><-«^,
indéclinable.
j^^^Lvvo,
^JU^o, adjectif qualificatif.
personne.
/ ••/
jvi :^, dérivé (verbe).
V' /
commun
^iLvwwo,
^ xL^,
(des
deux genres).
imparfait.
'.
^ftls, sujet, participe actif.
^y>y<i
^s^sT^, fatha.
j—'^-va^Lo
(^ >^-<*^>
indicatif.
p xLo^, subjonctif. /
jjjii, verbe.
^^j
(Jla.à\) «^_jy.Ju
<^»-^, .<-
o
\,
verbes de pensée.
lunaires (lettres), 18.
^sLô/o, conditionnel.
-sT'
^jUb^, énergique
jji^x) u-sufcsr*'
^
grave.
vLô^, énergique
léger.
.
J-Xax), verbe à lettres faibles.
Sj^c^^, kesra. (a.^\)
<^s-.<J,.JLj \,
à^-^J^,
surnom.
nom
abstrait, 118.
(._jj-5i./o,
(wSjj»--3,
^jV, neutre
f^.*Aj\)
déchnable.
détermine.
^_y.oî^
\,
nom commun
abstrait.
(verbe). >jj>^, singulier.
oÂi
vJtJo
\
^V,
article. *^i
^ ^« '
.
.
„
,
,
,
^^jii-o, participe passif, complément, c.**JO, sobriquet.
Kimc.
,
rc-
PRINCIPAUX TERMES DE GRAMMAIRE y
à>j
J^jii.^, compiémeut direct.
c ys s
c
f
f
^
c^
^^-o^.^
(*-mj^)\)
289
\,
pronom
relatif.
/
«A.-vd
M<vJ«j».x>,
complément de
lieu
ou de
IcliJ
v„.^^>^, sujet d'uu
\
verbe
passif.
temps. ^}asb, défectueux (verbe). ^^pti..x5,
«*.J
complément de cause, de
complément de concomi-
à<juQ ij^jï-ft.^,
tance,
35.].
rintiuitif
^..<saj,
accusatif.
J^^jiî, adjectif qualiticatit.
j^Ux-ï Jl^jii.^,
de
but.
complément absolu (formé du
verbe,
à
ï JCJ, indétermination.
l'accusatif,
346).
X>liyT <^»L}Lo.H, verbes de proximité,
(,JIas\)
noîm de précaution (^ du
<j^y,
pronom ^^)
332. ij-^rA, haraza. '^Sty^aJi^,
triptote, 142. y l»o y
y
Jlir'T 3\^, (^_2>^,->a>«-^
j^,
•
indéterminé.
«..^^^o,
..
/
/
^ de
simultanéité, 317.
diptote, 142.
=
X
^
1
,
xc>-
f
/
t
y"
V
^ _5
de concomitance.
c.
C^, à Paccusatif.
l'J
TABLE DES MATIÈRES^
v
Avant-propos
Auteurs
vu
cités
PREMIÈRE PARTIE Alphabet arabe,
i.
—
Remarques sur
—
Liaison des lettres, 4 VoyelleF,
7.
— Tanouine,
7.
Signes orthographiques, 8. Division des lettres
:
les
~
LECTURE
—
Position des lettres,
4.
hamza, ta-marboula, 6. Voyelles longues, lettres de prolongation, 8. Ouesla, 9. Chadda, 9. Madda, Jezme, 8.
Lettres supplémentaires
—
—
lettres, 3.
—
:
—
—
—
9.
lettres fortes et lettres faibles, lettres radicales et lettres ser-
viles, lettres solaires et lettres lunaires, 10.
Exercercices de lecture,
n.
DEUXIÈME PARTIE .
Des parties du discours, 14. la racine et de la forme,
De
DU VERBE,
—
MORPHOLOGIE
i4-
i5.
Classes de verbes
—Régu-
trilittères et quadrilittères, primitifs et dérivés, i5.
:
liers et irréguliers, 16.
Conjugaison
:
voix,
temps, modes, genres, nombres, 16; personnes,
infinitif,
par-
ticipe, 17.
VERBE TRILITTÈRE PRIMITIF RÉGULIER, 17."— catif, 19; subjonctif,
actif,
24;
21
;
Parfait, 17.
—Imparfait
énergiques (grave et léger) 22; impératif, 23
;
:
indi-
participe
infinitif, 26.
Tableau synoptique de
FORMES DÉRIVÉES.
—
la
voix active
Leur
sur les formes dérivées, 3i.
du verbe régulier
—
signification, 27.
— Conjugaison
primitif, 26.
Remarques orthographiques
des formes dérivées
imparfait, 33; impératif, 35; part'cipe actif, 35; infinitif, 36.
:
—
parfait, 32;
Tableau des
dix premières formes (voix active), 37.
VOIX PASSIVE.
—
Parfait,
imparfait, participe passif, 39.
—
Formes du verbe
triiittère passif, 40.
VERBES QUADRILITTÈRES,
4').
—
Supplément aux formes dérivées,
VERBES IRRÉGULIERS. Verbes
som/y;?s, 43.
voix active,
1.
Les
cliifl'ies
4<^»
Formes du verbe 4'-^.
— Notions préliminaires,
— Conjugaison du
voix passive, 4?.
indiquent
la paçjc.
quadrilittère, 41.
43.
verbe sourd, 45.
—
Formes du verbe sourd
:
TABTJ-: Vorbcis hamz(is,
—
^\j.
MATlKlUilS
DlilS
291
—
Gonju^^aison du verbe hamzo,
—
radicale, 51.
du verbe liam/.é, l'<" Conjugaison du verbe iiamzé,
—
l'c radicale, 5o. Formes 2" verbe hamzé, du Formes radicale, Formes du verbe bamzt'', radicale, r>3. r>'>,.
—
3*
3" radicale, 54.
Verbes à lettres faibles, 55. Conjugaison du verbe assimilé, 57. Verbes assimiléfi, 55. Formes du verbe Formes du verbe assimilé par ^. assimilé par^, 58. Conjugaison du verbe concave par ^ 0, r)3; du verbe Verbes concaves, Go. Voix passive du verbe concave par ^ A, fi5; du verbe concave par ^, 65. Formes du verbe concave voix active, 67; voix passive, 08. concave, 6(>.
—
— —
—
—
—
:
Verbes défectueux, 68. verbe défectueux par
— ^
du verbe défectueux,
75.
I,
Conjugaison du verbe défectueux par 3 0, 69; du A, 74. 73; du verbe défectueux par ^ ou Formes
\cvhGS k plusieurs irrégulariléSy llamzés concaves, 77. 77.
—
—
79.
Assimilés-défectueux,
Verbes
—
défeclifs, 8f.
76.—
Hamzés-sourds,
77.
78,
Verbe négatif
8r.
^_^^,
—
81.
Verbe de
verbes de louange et de blâme, verbes unipersonnels, 82.
DU NOM OU SUBSTANTIF. Non commun, 8/|. — Nom
Nom
propre, 85.
DE L'ADJECTIF, tifs
— Assimilés-sourds,
— Hamzés-défectueux, — Assimilés-hamzés, — 80. Concaves-défectueux, 80. — Hamzés-con-
— Assimilés-hamzés-défectueux,
caves-défectueux, 81.
—
^
nom
collectif 85,
possibilité ^^y^a,
—
Impératifs, 83.
d'unité, 85.
— Voyelle finale des noms propres, 86. —
—
—Adjectifs simples, 88. Adjectifs d'intensité, 88. AdjecComparatifs et superlatifs, 89. de couleur, 89. Adjectif relatif, 91.
Du nom
87.
—
—
abstrait, 93,
DU GENRE, 93. — Formation du féminin, Noms du genre féminin, 96. — Noms
—
93.
Noms du genre
masculin, 96.
—
des deux genres (genre commun), 98.
98. — Du Duel, 99. — Du pluriel, 100. — Pluriel régulier masculin, — Pluriel régulier féminin, 102. — Pluriel irrégulier quadrisyllabique par 100. io4. — Autres formes du pluriel irrégulier, io5. — Pluriel de petit nombre, 109. — Pluriel du pluriel, 109. — Pluriel arbitraire, no. DÉTERMINATION ET DÉCLINAISON. — Détermination, no. — Déclinaison:
DU NOMBRE,
\,
i^«
m. —
déclinaison ^^Ow_^,
Ov-^3./o, ii5.
—
déclinaison
2«
déchnaison ^^LJlJ', ii5.
4*^
Tableau synoptique du genre, du nombre
et
de
—
yk^\,
i\l\.
—
5° déclinaison
3« déclinaison
^^JLo^,
ti6.
la déclinaison, 117.
DU PRONOM
—
Pronoms personnels affixes, isolés 118. Modifications que peuvent subir les pronoms affixes, 119. — Modifications qu'ils peuvent faire subir aux verbes, :
,
120; aux substantifs, 120,
Pronoms démonstratifs
Pronoms
relatifs
Pronoms
interrogatifs
:
:
\
^vxJÎ, :
aux particules,
jofc,
^;^,
^,
.^XJ^, 122.
U, ^\,
C, ^\,
Manière de traduire nos pronoms*
Tous
les
deux, l'un et l'autre,
les
autres,
Même, lui-même,
128. i3o.
i23.
124. indéfinis
et adjectifs
—
1^,7.
chose, nul, aucun, personne, rien,
uns
121.
l'i-].
—
Tel,
—
La plupart,
129.
—
Chacun, 127.
—
:
tout,
—
chaque, i25.
Quelqu'un, quelque
Certains, quelques, plusieurs, les
Autre, l'un l'autre, autre que, i3o.
i3i.
—
—
On, i3i.
—
TABLE DES MATIERES
292
—
SUPPLÉMENT AU SUBSTANTIF. d'abondance. i34. i35.
— Nom de
—
Nom
Nom
de lieu
— Nom
de métier, i36.
noms de trois lettres, 137; diminutif Du nombre dans le diminutif, 139.
DES NOMS DE NOMBRE Nombres cardinaux
:
(morphologie
de cinq à dix,
—
à quatre-vingt-dix-neuf, i43.
des
Manière d'exprimer
Du
Nom
_
Nom
d'une
diminutif
noms de quatre
—
:
fois,
dimi-
lettres, i38.
—
De onze à dix-neuf, 142. De vingt milliers, 143. Emploi de l'ar-
—
Centaines,
—
fois,
—
—
et syntaxe). i/|o.
ticle avec les nombres cardinaux, i45. Nombres fractionnaires, Nombres ordinaux, 146.
expressions adverbiales une
de temps, iSa.
d'instrument ou de vase, i34.
manière, i35.
nutif des
—
et
deux
i48.
—
Noms
distributifs
:
fois, etc., 148.
les dates, 149.
—
Mois lunaires des Appendice aux noms de nombre divisions du temps, i5o. Concordance de l'année grégorienne et de arabes, jours de la semaine, i5i. :
l'anné.e hégirienne, i5i.
— — Chiffres arabes,
PARTICULES, i52. copulatives, CONJONCTIONS
i5!>,.
162; disjonctives, restrictives, de
:
subordination,
de cause, de but, t53; de conséquence, de supposition, de concession, de
temps, i54.
— Prépositions
PRÉPOSITIONS.
proprement
dites,
i55; prépositions dérivées de
substantifs, i55.
ADVERBES de
:
d'interrogation, d'affirmation, i56; de doute, de souhait, de négation,
de temps, de manière
lieu, 157;
et
de comparaison, de quantité, i58.
—
Adverbes dérivés de substantifs, iSg.
INTERJECTIONS, iSg. Voyelle que l'on donne Mots commençant par un alif d'union, t6o. OUESLA. à la lettre finale du mot précédent si elle est jezmée, 161. — Suppression de
—
—
l'alif
d'union, 162.
—
TROISIÈME PARTIE Première Section.
- SYNTAXE
— Indétermination,
DU SUBSTANTIF.
i63.
Détermination par l'annexion, 164.
SYNTAXE
D'ACCORD ET DE RÉGIME.
—
Détermination par
l'article,
164.
—
~ Emploi de l'annexion, i65. — Remarques
sur quelques substantifs fréquemment employés en rapport d'annexion, 167. Mots transposés, 168. -^ Remarques sur le Mots en apposition, 167.
—
—
nombre, 168.
— Accord de l'adjectif et du substantif, 169. — Détermination de 172. — Syntaxe du régime spécifique 172. — Régimes de spécifique, 173. — Construcrégime avec Tarticle de l'adjectif emploi de
DE L'ADJECTIF.
l'adjectif,
l'adjectif,
a)
le
:
tion dans laquelle le substantif qui suit l'adjectif est considéré
ment terme
spécifique, 174.
suit l'adjectif est considéré ratif, 175.
—
-
DES PRONOMS. personnels
Du
:
—
h)
comme
Construction dans laquelle
le
sujet d'une proposition, 174.
comme
réelle-
substantif qui
— Du
compa-
superlatif, 178.
De
l'adjectif et
isolés,
181;
du pronom démonstratif,
affixes,
182.
—
179.
—
Des pronoms
Manière de traduire nos
verbes
— TA13LE DES MATIERES pronominaux,
— ^^\
i83.
^
— Des
iS'î.
pronoms
sans antécédent,
DU VEUUE. sujet
relatifs, 187.
•
pronoms
interrogalifs,
—
composé de
^,
\]l^,
—
RÉGIMES DES VERRES. Verbes
^v>.M précédé d'un antécédent,
— Emploi de ^^ et de u ^ 187. — Syntaxe de ^\, 188.
De l'accord du verbe avec son 190; quand le verbe suit le sujet,
sujet,
:
iS(;.
*•
et L«
relatifs
29:i
marques sur
—
:
—
quand le verbe précède le Accord du verbe avec un
Çt^-«^> l>=^» ^9^' :
oli
et
ses analogues,
194.
—
Verbes à deux compléments directs, 197.
verbes de pensée
les
transitifs, 199.
iiy.>..
Verbes d'existence
—
transitifs, 197.
sujet
:
^
et ses analogues, 198.
—
Verbes
— Rein-
Verbes passifs, 200.
Deuxième
—
Section.
PROPOSITIONS INDÉPENDANTES,
SYNTAXE DES PROPOSITIONS.
2o3.
— A, Propositions sans verbes. — a) Affirmatives 2o3. — Négatives propositions avec La, 2o5. — Propositions avec 206. — Négation y répétée, 207. — De l'adverbe négatif C^"^. — R. Propositions renfer-
Propositions indicatives. b)
y,
:
mant UN VERBE
:
a) Affirmatives, 208.
parfaits français, 208.
antérieur, 210.
— Valeur tion
y
du
—
—
Emploi du parfait arabe
Valeur du plus-que-parfait, 209.
:
Valeur des
Valeur du futur
— Emploi de de l'imparfait valeur du présent, 210. — Valeur de l'imparfait, 211. — Négatives néga212. — Négation du présent, 2i3. — Négation du futur, 21 l'indicatif
:
futur, 211.
du passé,
—
6)
:
3.
— Négation dans les temps composés de ^\j^, 214. Propositions interrogatives, 2i4. — Interrogation indirecte,
216.
Propositions impératives, 217. Propositions proAi6ï<wes, 218. Propositions optatives, 219.
PROPOSITIONS SURORDONNÉES,
219.
Propositions complétives {^\ el ^^\}, 219.
Propositions cowsa^es (0^5, rX^, ols,
o\
.-v^),
222.
Propositions f.na\es (J,
/, /5J, o'J, ul^, ^U5LJ, ^^),
223.
Propositions consécutives
i^J^,
d:--^^
/
Propositions suppositives
termes conditionnels
:
^,
Propositions concessives
<J,
^j3>\).
syntaxe de
^f, U,
(oU> ^'i^
^
^^X
/^
6
C/
^^,
etc.),
—
Syntaxe de
^l^^ lt^»
o^
^t
^-^X C-î^^,
des autres etc., 228.
229.
Propositions temporelles {\.^J, >\, \>\, ^ C ^ vII^Vj,
226.
4
L^
23o.
Propositions explicatives, 232. Ordre des parties d'une proposition, 234.
de durée
;_9
de simultanéité; ^-^^,
TABLE DES MATIÈRES
294
—
Troisième Section.
SUPPLÉMENT ET PARTICULES
SUPPLÉMENT A LA SYNTAXE D'ACCORD ET DE RÉGIME,
287.
—
Verbes de proximité, 237.— Verbes d'admiration, 288. et de blâme, 239. Participes, 241. Infinitif, 243.
Verbes inchoatifs, 237. Verbes de louange
—
—
—
De quelques compléments du verbe
:
complément de manière, Complément de temps,
—
plément de cause et de but, 246. plément de lieu, 247. Complément de concomitance, 248.
—
PARTICULES,
25i;
-
^XJ,
\),
j^^ ^y<M^ Prépositions
25o
;
Adverbes i''
l.,:ôliw,
C
263,
^j^cc^,
\v>ji,
^_i 257,
:
ç^
y
y
y
{^ 270, ,
^\
Particules d'exception
Q^_^^l^,
,^_j,
257,
^, Cj^ 256.
J
258,
n)\,
y
It
y
m
;
—
^ic
Signification des prin-
^
259,
260,
272,
Interjections jections
js..iS)
:
:
^^
261,
^
268,
t^ ^^4, ^^y O^^ 265.
C
y
y
uk_s,
C
y
kJà,
y
adverbe démonstratif Ia 271, adverbe affirmatif J,
U
253;
256.
y
271
Appëndick
f ^^
L-À^-^ 270, U..<^N 270, adverbes de suffisance
adverbiales composées de
^Uio
—
263, ^^^.j 263, ^^<^> 264)
y
(^^.***.2w
^,
;
^V\, «iJ^j^. 266, iJ^I, C^\>, ts 266, M, \M 267, ZJ) 267,
\vX-S 269, f
252; [^\, U\, 253.
prépositions de serment
:
^_^.Xiw
:
Emploi des principales conjonctions 3, 25o
J.^,
cipales prépositions
^wi 262,
ComCom-
249.
Conjonctions, 249. _>',
—
247. --
245.
CJIJL, I^^^JLÏ
etc. 272,
locutions
ï^lJ, \^^L, ^jts> 272,
272, ^j^"^) 273.
des particules du vocatif i^, \.^\ etc. 273,
l^, J«-?.> ^i>
L^
\
274; autres inter-
^^ ^\ 275.
Notions succintes
—
Ue la syllabe 276, des pieds 276, de la rime 277, des mètres 277, de quelques licences poétiques, 282. :
de métrique
276.
Table des mots arabes qui ont donné lieu à quelques observations, 284 Vocabulaire des principaux termes de grammaire, 287. Table des matières, 290.
CORRECTIONS
La leçoQ fautive du texte
donnée entre parenthèses, à
est
de la correction,
la suite
toutes les fois que quelque confusion est à craindre.
Page 29, ligne H, 37,
5
:
41,
9
:
—
—
16
1
0>>_5.
-
78,
^^\\ ..
14
9
:
:
39^ 22
—
^y-^-
:
—
36,
^JL^_i-^.
—
40,
—
52,
:
:
50,
7
^s L^A
:
(^r^);
—
82,
13
6
î^_^
:
:
11
:
"y
p.
sj>y y
.i_^X_â; 12
28
—
foie.
18,
rapprochée {méprisable),
la plus
:
99, 14
o\
p.
:
^^yyyy^^^y^
103,
21
:
OUl-^-'O^,
.'c^ 17
—
:
116, 20
— —
:
ff-^^-si.-^-^-^ ou y
^J>
142, 12
146,
10
^.
Ô\l_j".
:
:
11
:
191,
4
f
194,
9
:
— 201,
fort.
—
(«^^.^-i-i"
143,
17
y
—
"^l^; 2j
4^t.
:
;
18
:
j
P-
J
^^
!
—
y
c's.
80,
:
4
—
:
93,
— 95,
^^_^..^^\.
-
—
y
3
13
:
—
^^^^_^, ^^_fi^.^.
118,
25
:
—
de moi.
genre des noms. 10
121,
180,
\2
:
:
"y - 202,
^J^^^.
—
147, 22
Al Harets.
—
le sujet.
-
^^..^Js^...
— 144,
7
:
—
5
107,
18
11
186,
—
196, 27
6
que tu désires.
:
''w f ^
C
192,
5
ij.
-
:
172,
un
:
(cinq). y
145,
21
^
3
:
J L-^y
v.
:
*
198, 22
:
y c*.-
....
,:a_-^Y\. ^
—
189,
<
/'
.s
^_^_L£jT;
:
24
—
,
15
CU_9^_i._j, L-A-ao; 21
:
-
*
y
—
cent neuvième.
:
y
î\^ j^_fi.
:
^lI-Li
:
140,
-
neuf millions.
—
y c
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212,
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218, 27
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CORRECTIONS
296
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239,
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— 234,
21
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à proximité.
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22
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31
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27
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252, 22
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—
278,
7
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:
—
257,
—
259,
261,
tu traiteras, tu seras traité.
succinctes.
:
^
X
248, 30
maçonné {profond).
258,
7
yc y ^^^'V^-^. /
c.~^
l_;;_-^_^ w / <(!, ^--^-sr^ \.
:
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{la mort).
35 /
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Fadl.
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260,
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26
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32
se rapportent à et ^-.J, y ^ ..
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—
199.
§
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27
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14
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228,
dorment.
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— 249, 24 plutôt bien plus ^ ^ ^ LsHL^ (Lsr-'L^). — 256, 4 \^
—
t'honorerai.
:
4
:
—
CU-i._fi; y
5
:
fui.
— 291, 22
:
nom.
Préférer les transcriptions (Moq.) (Qaz.) (Qol.) à (Mok.) (Kaz.) (Kol.), pour désigner les w ^ c y et d3 ^ c ^ et auteurs ^^^^.SL.^ \, ^^_X_^_5^_aJ \, j^^^_^^vJl.jLJ \.
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