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Archives d’un voyage dans le temps et l’espace
Nous ne voyons plus le monde de manière grossière et projective, et par exemple, comme hier, cinq continents, quatre races, plusieurs grandes civilisations, des périples de découvertes et de conquêtes, des avenants réguliers à la connaissance, un devenir à peu près devinable. Nous entrons maintenant dans un infini détail dont nous concevons d’abord la multiplicité de partout; une multiplicité inétendue qui pour nous est indémêlable, et sans prédiction. Il n’y a pas que cinq continents, il y a les archipels, une floraison de mers, évidentes et cachées, dont les plus secrètes nous émeuvent déjà. Pas que quatre races, mais d’avant aujourd’hui d’étonnantes rencontres qui ouvraient au grand large. Elles étaient là, nous les voyons. Il n’y a pas que de grandes civilisations, ou plutôt : la mesure même de cela qu’on appelle une civilisation cède à l’emmêlement de ces cultures des humanités, avoisinantes et impliquées. Leurs détails engendrent partout, de partout, la totalité. Le détail n’est pas un repère descriptif, c’est une profondeur de poésie, en même temps qu’une étendue non mesurable. Ces inextricables et ces inattendus désignent, avant même de les définir, la réalité ou le sens du Tout-monde. Edouard Glissant
GLISSANT Edouard, Philosophie de la relation: poésie en étendue, Gallimard, 2009
La rencontre avec monsieur Wulf Bodenstein m’a permis d’apprendre les histoires d’anciennes cartes d’Afrique qui se trouvent actuellement au Musée royal de l’Afrique centrale de Tervuren. Il n’existe pas de cartographie ancienne faite par les Africains d’Afrique subsaharienne. Les Portugais ont commencé à retranscrire sur carte leurs explorations dès le XVe siècle sur les côtes ouest et est de l’Afrique. Ils ont donc énormément détaillé ces côtes mais l’intérieur du continent ne fut exploré et cartographié scientifiquement qu’à partir du XIXe siècle. Avant cela, les cartes étaient donc basées sur les récits de voyages des commerçants (de diamants, denrées et esclaves) ainsi que sur les dires des indigènes. Ce sont ces cartes du XVe et XVIe siècle truffées d’hypothèses et d’approximations qui m’ont intéressée. Elles sont basées sur des contes et des légendes, remplies de lacs et de montagnes imaginaires. Mais malgré leurs erreurs, elles restent un des seuls témoignages du passé. Elles restituent une sorte de mémoire cartographique et historique de l’époque. On y retrouve certains noms utilisés par les autochtones transformés ou mal compris par les explorateurs. Ainsi en parallèle à cette plongée dans les cartes anciennes, j’explore les contes, les anecdotes et les incompréhensions qui expliquent et racontent la toponymie de certains pays du continent Africain en me basant sur le livre d’Arol Ketchiemen, Dictionnaire de l’origine des noms et surnoms des pays africains.
BODENSTEIN Wulf, Assistant bénévole au Musée royal de l’Afrique centrale, Service Histoire et Politique, et Président d’honneur du Brussels map Circle, Cercle International des collectionneurs de cartes (www.bimcc.org) KETCHIEMEN Arol, Dictionnaire de l’origine des noms et surnoms des pays africains, Favre, 2014
Le roi Dan était importuné par un prétendant au trône, dénommé Houegbadja, qui lui réclamait des parcelles de terrain à n’en plus finir pour pouvoir construire sa résidence. Un jour, fâché et excédé par ces réclamations, le roi Dan lui dit: « Voulez-vous donc vous établir jusque dans mon ventre? » En réponse, Houegbadja affronta le roi dans un duel à mort et le tua. Il éleva sur le tombeau de Dan son palais royal qu’il appella « dan-ho-mè » ce qui signifie littérallement en fon « dans le ventre de Dan »
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L’édition de 1522 de la « Géographie » de Ptolémée fut réalisée à l’initiative de l’imprimeur Johann Grüninger. Son activité embrassait tous les domaines de la science et de la littérature, mais il s’était surtout fait une spécialité des livres illustrés. Il imprima plusieurs ouvrages géographiques, dont probablement la mappemonde murale de Waldseemuller de 1507. Il devait, pour ses publications savantes, s’attacher des collaborateurs compétents. Il travailla avec Laurent Fries (ou Phrisius), avec lequel il devait éditer le « Ptolémée » de 1522. Fries, qualifié dans ce même « Ptolémée » de « medicus et mathematicus », avait beaucoup voyagé et séjourné dans plusieurs universités (Vienne, Padoue, Montpellier). Son travail pour l’édition du « Ptolémée » consista à établir le texte, d’après la version de Jacopo d’Angelo, et à préparer les cartes. L’Afrique du Nord et du Nord-Ouest est déjà bien dessinées, reflétant les résultats des explorations, notamment portugaises, le long des côtes africaines. Par contre l’intérieur du continent restait un mystère complet.
Dans des temps immémoriaux, les marins arabes ont navigué le long de la côte orientale de l’Afrique; ils avaient notés, comme repère de latitude, au-delà de cette côte, une grande montagne qu’ils appelaient Djebel el-Qomr « mont de la Lune » où le géographe grec Ptolémée situait les sources mystérieuses du Nil. C’est d’après cette montagne que les marins arabes auraient appelé Qomair « petites lunes » les îles montagneuses moins élevées qui se trouvaient en mer à peu près à la même latitude et qui étaient donc des repères complémentaires.
Le Congo a été nommé d’après le royaume Kongo, qui a par ailleurs donné son nom au peuple bakongo. Une des hypothèses rattache le mot “Kongo” à l’expression ko-ngo qui signifie “allié de la panthère”. Chez les Bantous d’Afrique centrale, un rapport associait cet animal à toute chefferie. Un mythe raconte que le roi Kongo s’identifiait au léopard ou à la panthère. Lorsque les populations étaient confrontées aux dangers à l’intérieur du royaume, elles venaient trouver refuge auprès du roi en disant “Nous allons chez le léopard”, en langue koongo “Tuele ko ngo”. C’est la forme brève de cette phrase raccourcie en “Ku Ngo” qui aurait donné Kungo ou Kongo.
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L’humaniste et cartographe anversois Abraham Ortelius est l’auteur du premier atlas moderne, le ‘Theatrum Orbis Terrarum’, qu’il publia le 20 mai 1570. Somme du savoir cartographique de l’époque, il reprit les informations transmises par plusieurs cartographes européens, comme le portugais Luís Teixeira. Depuis sa première édition, en latin, l’atlas a été régulièrement révisé et augmenté par l’auteur dans des éditions ultérieures jusqu’à sa mort en 1598, et puis par ses successeurs j’usqu’en 1641. Il fut traduit en néerlandais, allemand,, français, espagnol et italien. Dans son édition de 1595 du ‘Theatrum’ Ortelius ajouta cette carte de l’actuel Algérie et Maroc, avec un carton de la région du Congo pour laquelle il avait récemment obtenu des mises à jour de son correspondant italien, Filippo Pigafetta. Cette configuration de l’Afrique centrale devait devenir un modèle pour les cartographes des siècles suivants.
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Il tient son appellation du mont “Kenya” ou “Kignea” dont le nom provient du kikuyu kere Ngyaga signifiant “montagne blanche”. Les différentes tribus ont des appelations distinctes pour le mont Kenya. Les Embu l’appelent Kirenia ce qui signifie “montagne de la blancheur”. Les Masaï Ol Donyo Eibor ou Ol Donyo Egere, soit “la montagne blanche” et “la montagne tachetée”. Les Akamba l’appellent Kiinyaa, “montagne de l’autruche”.
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André Thevet commença à travailler à partir de 1566, au projet trés ambitieux d’une encyclopédie géographique universelle distribuée selon les quatre continents. Le volumineux ouvrage, intitulé Cosmographie universelle, publié en 1575 rassemblait des documents originaux d’un intérêt capital pour la connaissance des peuples amérindiens du Brésil et divers compilations comme celles sur l’Afrique et l’Asie, tirées de Navigationi et Viaggi du Vénitien, Jean-Baptiste Ramusio. Les ouvrages de Thevet furent mal accueillis par les doctes de son époque. On l’accusa même de plagiat et d’ignorance ou encore d’outrecuidance. Cette carte assez rare qu’André Thevet inclut dans sa « Cosmographie Universelle » se distingue de celle d’Ortelius de 1570 par sa forme continentale inspirée de la mappemonde de Mercator de 1569. Une gravure sur bois, coloriée à la main.
Les Portugais explorèrent l’île au début des années 1500 et l a nommérent Ilha do Cime ou C i s n e , “île du Cygne”. Ils y trouvèrent en effet “des oiseaux gros comme des cygnes qui portaient une sorte de capuchon de peau sur leur forte tête et n’avaient que trois au quatre plumes noires à la place des ailes et quatre ou cinq plumes grisâtres frisées au lieu de queue. Ces oiseaux furent par eux nommés walyvogels, c’est-à-dire “oiseaux de dégoût”,tant à cause de la dureté de leur chair que la cuisson semblait rendre plus coriace excepté celle de l’estomac, trouvée assez bonne, que parce qu’il y avait dans la même île beaucoup de tourterelles excellentes. Ces oiseaux f u r e n t a u s s i n o m m é s do- t a e r s , dont on a fait plus tard l e nom “dodo”.
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Il tient son nom
du fleuve Niger, qui
le traverse à l’ouest et dériverait lui-même du
touareg n’eghirren,
“eaux qui coulent”, ou
de
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Le premier homme sur terre, père de l’humanité, s’appelait
.Il vivait seul avec sa
Kintu
vache qu’il aimait profondément. Un jour, il rencontra
et
, deux des
Nnambi
Kayiikuuzi
nombreux enfants de (“le Ciel”), qui étaient descendus se promener et s’amuser Ggulu sur terre. fut fascinée par et éprouva de la pitié pour lui parce qu’il
Nnambi
Kintu
vivait seul. Elle finit par tomber amoureuse de lui et décida de l’épouser, de Nnambi rester avec lui sur terre malgré l’opposition de ses frères. Confrontée au refus de ceux-ci, elle emmena avec elle au ciel pour demander à son père la permission Kintu de l’épouser. exprima lui aussi son désaccord mais, devant l’insistance et
Ggulu
les supplications de sa fille, il consentit au mariage. Cependant il leur conseilla de quitter le ciel secrètement pour ne pas être vus par (“la maladie,la Mort”), Walumbe
l’un des frères de
. Arrivée sur terre,
se rendit compte qu’elle avait
Nnambi Nnambi
oublié au ciel du fourrage pour les animaux. Malgré la désapprobation de
, elle
Kintu
elle remonta au ciel chercher le fourrage oublié. C’est alors que
l’aperçut
Walumbe
et suivit le couple sur terre.
et
vivaient heureux et avaient de
Kintu Nnambi
nombreux enfants. Malheureusement,
commença à tuer ces enfants. Alerté,
Walumbe
envoya
Ggulu
sur terre à la recherche de afin de le ramener au ciel, par la Kayiikuuzi
force si nécessaire.
refusa de partir. Il s’ensuivit une violente bagarre entre
Walumbe
les deux frères au cours de laquelle réussit à s’enfuir au fond de la terre. Walumbe ordonna à de rester chez lui avec sa famille pour que Kayiikuuzi Kintu Walumbe
ne se doute pas qu’il était recherché.
(“celui qui creuse des trous”) creusa
Kayiikuuzi
d’énormes trous à la surface de la terre pour essayer d’attraper son frère. Walumbe
qui était sur le point d’être découvert, fut alerté par les cris des enfants de
et
,
Kintu Nnambi
qui n’avaient pas respecté la consigne de rester chez eux; ils n’étaient pas unis. En conséquence, réussit à s’échapper. Esquinté et déçu par la désunion qui Walumbe prévalait entre les enfants de sa soeur, décidé de remonter au ciel, donna à Kayiikuuzi Nnambi
et
un code de conduite qui aiderait leurs enfants à rester toujours ensemble. Kintu
De là découlerait le mot “Baganda”, dont l’une des significations est “du peuple en fagot”. affirma que c’était la seule manière de lutter contre Kayiikuzi Walumbe un fagot étant moins facile à briser qu’une seule tige, l’union fait la force. Ayant suivi les conseils de leur oncle , les enfants de et .
Kayiikuuzi Nnambi Kintu
furent féconds: ils se multiplièrent et remplirent la terre.
Dans son édition de 1595 du ‘Theatrum Orbis Terrarum’ Ortelius ajouta cette carte de l’actuel Algérie et Maroc, avec un carton de la région du Congo pour laquelle il avait récemment obtenu des mises à jour d’Italie. L’atlas a été réalisé par Abraham Ortelius et édité pour la première fois le 20 mai 1570 à Anvers (Belgique). Depuis sa première édition, l’atlas a été régulièrement révisé et augmenté par l’auteur dans des éditions ultérieures jusqu’à sa mort en 1598. Dans son édition de 1595 du « Theatrum Orbis Terrarum » Ortelius ajouta cette carte de l’actuel Algérie et Maroc, avec un cartin de la région du Congo pour laquelle il venait d’obtenir des mises à jour d’Italie. Il a en fait copier une carte d’un de ses concurrents et l’a rajouté à une carte ancienne. Somme du savoir cartographique de l’époque, il reprit les informations transmises par plusieurs cartographes européens, comme le portugais Luís Teixeira.
ient de l’expression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, b Sudan, blad-es-soudân selon les sources) formée de bilad qui signifie “pays ou terre” et as-Su riel du mot aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient de l’expres be Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-so ient l’expression arabe Bilad qui as -Sudan (Beled as-sudan, balad es du Sudan, on lesdesources) formée de bilad signifie “pays ou terre” et as-sudaan, as-Sudan, Bilal pluriel mot b a Sudan, blad-es-soudân selon les sources) formée de bilad qui signifie “pays ouarabe terre” et as-Su ir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient de l’expression Bilad as -S riel du mot aswad (noir). 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SoudanBilal signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient de les l’expres led as-sudan, balad as-sudaan, es pluriel Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-soudân selon sour signifie “pays ou (Beled terre” et as-Sudan, du mot aswad (noir). Soudan signifie donc pro be Bilad as -Sudan as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-so ient de l’expression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, b mée de“les bilad qui signifie “pays ou terre” et as-Sudan, pluriel du(Beled mot aswad (noir). 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Soudan signifie donc dit “les led as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-soudân selon les sour vient de l’expression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sud esignifie Bilad as“pays -Sudan as-sudan, baladpluriel as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-so ou (Beled terre” et as-Sudan, du as-sudan, mot aswad (noir). 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Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient r).esSoudan signifie donc proprement dit “lesselon Noirs” Il sources) vient de formée l’expression arabe Bilad as -S“ al Sudan, bilad(noir). as-Sudan, blad-es-soudân les de bilad qui signifie riel du aswad Soudan signifie donc (Beled proprement dit “les Noirs” IlSudan, vient de l’expres vient demot l’expression Bilad asas-Sudan, -Sudan as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sud ad Bilal esasarabe Sudan, blad-es-soudân selon les sources) formée de b pression arabe Biladas-sudaan, -Sudan (Beled balad as-sudaan, Bilal es bilad as-Sud ed as-sudaan, as-sudan, balad Bilal esas-sudan, Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-soudân selon les sour terre” etas as-Sudan, pluriel du bilad mot aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les No be Bilad -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-so d as-Sudan, blad-es-soudân selon les sources) formée de bilad qui signifie “pays ou terre” signifie “pays ou terre” et as-Sudan, pluriel du mot aswad (noir). Soudan signifie donc pro -es-soudân selon les sources) formée de bilad qui signifie “pays ou terre” et as-Sudan, p ée dede bilad qui signifie “pays ouasterre” et as-Sudan, pluriel du as-sudaan, mot aswad (noir). si ient l’expression arabe Bilad -Sudan (Beled as-sudan, balad Bilal esSoudan Sudan, b vient de l’expression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sud on les sources) formée de Noirs” bilad qui signifie “pays ou terre” et as-Sudan, pluriel du mot a udan, pluriel du motvient aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Ilas-sud vient t dit “les Noirs” Il de l’expression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad du mot aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient de l’express donc proprement dit “les Il vient de l’expression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-su Sudan, blad-es-soudân selon les sources) formée de bilad qui signifie “pays ouarabe terre” et es as-Su vient de l’expression arabe Bilad as -Sudan (Beled balad as-sudaan, Bilal Sud d blad-es-soudân selon les sources) formée de bilad qui signifie “pays ou terre” ir). signifie donc proprement dit “les Noirs” Ilas-sudan, vient de l’expression Bilad as -S pression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal Sudan, bilad as-Sud al esSoudan Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-soudân selon les sources) formée dees bilad qui signifie ed as-Sudan, Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, bladas-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-soudân selon les sources) formée de b“ riel du mot aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient de l’expres d as-Sudan, blad-es-soudân selon les sources) formée de bilad qui signifie “pays ou terre” udan, pluriel du mot aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient led as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-soudân selon les sour -es-soudân selon les sources) formée de bilad qui signifie “pays ou terre” et as-Sudan, p terre” et as-Sudan, pluriel du mot aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les No ân selon les sources) formée de bilad qui signifie “pays ou terre” et as-Sudan, pluriel du signifie “pays ou terre” et as-Sudan, pluriel du mot aswad (noir). Soudan signifie donc pro be Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-so vient de l’expression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sud udan, pluriel du mot aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient pression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sud mée de bilad qui signifie “pays ou terre” et as-Sudan, pluriel du mot aswad (noir). Soudan si du mot aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient de l’express ient de l’expression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, b d (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient de l’expression arabe dit Noirs” Il vient de l’expression arabe Biladou as -Sudan (Beled as-sudan, balad on les“les sources) formée de bilad qui signifie “pays terre” et as-Sudan, pluriel du as-sud mot a vient de l’expression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal Sud d as-Sudan, blad-es-soudân selon les sources) formée de bilad qui signifie “pays ou terre” pression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sud -es-soudân selon les sources) formée deformée bilad qui signifie “pays ou terre” et(Beled as-Sudan, proprement dit “les Noirs” Il vient deselon l’expression arabe Bilad as -Sudan as-su eldonc Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, bladSudan, blad-es-soudân selon les sources) de bilad qui signifie “pays ouarabe terre” et es as-Su ases -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-sou vient de l’expression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sud Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-soudân les sources) formée de bilad qui signifie “p ir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient deterre” l’expression Bilad as -S d as-Sudan, blad-es-soudân selon les sources) formée de bilad qui signifie “pays ou terre” udan, pluriel du mot aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient -es-soudân selon les sources) formée de bilad qui signifie “pays ou terre” et as-Sudan, du mot aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient de l’express ad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-soudân selon les sources) formée de b ân selon les sources) formée de bilad qui “pays ou et as-Sudan, pluriel du riel dude mot aswad (noir). signifie donc (Beled proprement dit “les Noirs” Il vient de ou l’expres nerre” les sources) formée deSoudan bilad qui signifie “pays ou terre” et as-Sudan, pluriel dues mot d as-Sudan, blad-es-soudân selon les sources) formée designifie bilad qui signifie “pays terre” et as-Sudan, pluriel du mot aswad (noir). Soudan donc proprement dit “les Nop vient l’expression arabe Bilad as -Sudan as-sudan, balad as-sudaan, Bilal Sud led as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-soudân selon les sour udan, pluriel du mot aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient pression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sud du mot aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient de l’express e Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, bladsignifie “pays ou terre” et as-Sudan, pluriel du mot aswad (noir). Soudan signifie donc pro d (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient de l’expression arabe vient de l’expression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sud be Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-so (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient de l’expression arabe Bi udan, du mot arabe aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Il vient ient depluriel l’expression Bilad asles -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bp d as-Sudan, blad-es-soudân selon sources) formée de bilad qui signifie “pays ou terre” mée de bilad qui signifie “pays ou terre” as-Sudan, pluriel du(Beled motou aswad (noir). Soudan si pression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sud -es-soudân selon les sources) formée de bilad qui signifie “pays terre” etBilal as-Sudan, e Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, bladân selon les sources) formée de bilad quiet signifie “pays ou terre” et pluriel du t dit “les Noirs” Il vient de l’expression arabe Bilad as -Sudan as-sudan, balad as-sud as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sudan, blad-es-sou d as-Sudan, blad-es-soudân selon les sources) formée de bilad qui signifie “pays ou terre” vient de l’expression arabe Bilad -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Sud on les sources) formée de bilad qui signifie “pays ou terre” et as-Sudan, pluriel du mot a -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal esbilad Sudan, bilad as-Sudan, se pression arabe Bilad as -Sudan (Beled as-sudan, balad as-sudaan, Bilal es Sudan, bilad as-Sud udan, blad-es-soudân selon les sources) de qui signifie “pays oublad-es-soudân terre” et as-Su udan, pluriel du mot aswad (noir). Soudan signifie donc proprement dit “les Noirs” Iles vient donc proprement dit Noirs” Ilas vient de l’expression arabe Bilad as -Sudan as-su -es-soudân selon les “les sources) formée deformée bilad qui signifie “pays ou terre” et(Beled as-Sudan, p
Le nom reflète la fusion politique
Tan
+
de Tanganyika au de Zanzibar
a donnĂŠ
Tanzanie
Zan
Bénin, ancien Dahomey Burkina Faso Cameroun Comores Congo Côte d’Ivoire Érythrée Ghana Guinée Kenya Lesotho Madagascar Malawi Île Maurice Mauritanie Namibie Niger Ouganda Somalie Tanzanie
Archives d’un voyage dans le temps et l’espace par Alicia Eyongo / erg Imprimé à Bruxelles, en 2015
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signifiant
“fleuve” en
le roi Dan lui dit: « Voulez-vous donc vous établir jusque dans mon ventre? » En réponse, Houegbadja affronta le roi dans un duel à mort et le tua. Il éleva sur le tombeau de Dan son palais royal qu’il appella « dan-ho-mè » ce qui signifie littérallement en fon « dans le ventre de Dan »
berbère
ou b gher
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ongo été nommé d’après le royaume go, a par ailleurs donné son u peuple bakongo. es hypothèse rattache le mot o” à ’expression o qui signifie “allié de la ère”. Chez les Bantous ique centrale, un rapport associait cet animal te chefferie. Un mythe te que le roi Kongo ntifiait au léopard ou à la panthère. ue les populations étaient confrontées aux dangers à térieur du royaume, elles venaient trouver refuge auprès du roi en nt “Nous ons chez le léopard”, langue koongo “Tuele ko ngo”. est la forme brève e cette phrase accourcie en “Ku Ngo” qui aurait donné Kungo Kongo. o
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K la is e ’ A us pu c c l a ve n so Fr a e s y le l pa l s’ e a p p C
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r t aV c ti l r e Il e u è t ef X l L e x s e L’ î etient i eup aet eu n s n s x ude r s aes e a p r r I o son r l o é s d su Xe è c s t u e d e t d u r oe i r a é g nom s c s s b o r ao W a i e t l u c l’ ps t sè es p r i e é é a e u du l s y n Ce l o r s q l e r l aep p na p p e é é d o i t frérr sfleuve o s à e t e rei l s l ’ R o d o é s n l am l n e i Niger, e ce a t p l à d s ui s C a m i e qui ou e r Ca m s r f l le a a u g d é m e e n sp traverse e i d a ll r a g u e à n n m i n l a g n e l’ouest o g et a u n N n i l a g k i n a le u a r e s du B u n o F a s touareg e n l i e n’eghirren, f s “eaux qui coulent”, a é i i ou n n i de r s g g g o ghi-n-igheren, u m e m n a des “le fleuve fleuves” i e i f ghir i