audit

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Institut National de Commerce

Module :

Audit Interne

Document préparé Par M.BENHALIMA Samir

Au profit des étudiants 3éme Année Management


Objectifs du module

Expliquer l’importance du contrôle interne dans la maîtrise de l’entreprise; Découvrir la fonction audit interne comme pilote du contrôle interne; Savoir utiliser quelques outils d’évaluation du contrôle interne.


Plan

Introduction Chapitre I : Les activités de l’entreprise et contrôle interne A. Définition du contrôle interne B. Objectifs du contrôle interne C. Les 5 composants du contrôle interne D. Les Dispositifs de contrôle interne Chapitre II : Définition de l’audit interne A. Distinction par rapport à l’audit externe B. Distinction par rapport au contrôle de gestion C. Distinction par rapport à l’Inspection Chapitre III: Buts et aspects de l’audit interne Différentes approches Audit interne en Algérie Chapitre IV : Les étapes d’une mission d’audit A. Les étapes d’une mission d’audit B. Typologie des missions d’audit C. Les outils de l’audit interne 1.Questionnaire de contrôle interne 2.Diagramme de circulation des flux 3.Contrôle des différentes opérations Chapitre V : Organisation de la fonction audit Éléments humains Structure de la cellule audit Organisation de la fonction Chapitre VI : Audit en milieu informatique


“Progress through sharing” Le progrès par le partage


Introduction


Introduction L'Audit Interne reconnu en tant que discipline professionnelle depuis plus de 50 ans, s'est officiellement organisé aux USA en 1941 avec la création de The Institute of Internal Auditors (IIA). L'IIA est une organisation mondiale présente dans plus de 120 pays et regroupant plus de 70 000 membres en 2000. Ayant pour devise le progrès pour le partage. Les objectifs de l ’IIA comportent : • L’établissement de la certification professionnelle • Une assistance au développement global de la profession • Représenter et promouvoir l ’AI à travers le monde • Faciliter le partage de l ’information de façon approprié


Introduction

En France l ’Audit Interne n ’est apparue que vers les années 60, encore marquée par ses origines de contrôle comptable. Ce n ’est qu ’à partir des années 70 que l ’originalité et spécificités de la fonction de l ’AI ont commencé à se dégager et à se préciser.


Chapitre I : Cohérence des activités de l’entreprise et contrôle interne


Chapitre I : Cohérence des activités de l’entreprise et contrôle interne

Actualité La complexité des activités La complexité des réglementations La mondialisation les scandales (Enron, wordcom, Arthur Anderson, Vivendi et les autres …)


A. Définition du contrôle interne

Définition 1: Définition de l ’OECF (1977) :Ordre des Experts Comptables Français) « Le CI est l ’ensemble des sécurités contribuant à la maîtrise de l ’entreprise. Il a pour but d ’un côté d ’assurer la protection, la sauvegarde du patrimoine et la qualité de l ’information, de l ’autre l ’application des instructions de la direction et de favoriser l ’amélioration des performances. Il se manifeste par l ’organisation, les méthodes et les procédures de chacune des activités de l ’entreprise pour maintenir la pérennité de celle-ci. »


Définition 2 Définition du COSO :

Committee of Sponsoring Organisations of the Treadway Commission (Sept. 92)

« Le CI est un processus mis en œuvre par le CA, les dirigeants et le personnel d ’une organisation destinée à fournir une assurance raisonnable quant à la réalisation des objectifs. »


Définition 3 Définition du COCO : Criteria on Control Committee (Nov. 95)

« Éléments de l ’organisation (incluant systèmes, procédures, culture, structures et tâches) qui mis ensemble aident à atteindre les objectifs »


Définition 4 : Définition de l ’IFACI : « L ’ensemble des moyens structurels (politique, organisation et procédures) ayant pour objectifs la maîtrise des activités. »


B.Objectifs du Contrôle Interne Objectif Général

Objectifs Permanents

Continuité de l ’entreprise dans le cadre de la réalisation des buts poursuivis Sécurité des actifs

« Le CI est le processus par lequel la DG et les différents niveaux de management, obtiennent une assurance raisonnable que leurs objectifs soient atteints » Alain MARCILHACY Ancien Président de l ’IFAC

Respect des instructions de la Direction

Qualité des informations

Optimisation des ressources

C ’est le socle sur lequel s’appuie la maîtrise des opérations d ’une entité

La norme 350 : Réalisation des objectifs fixés


C. Les 05 composants du Contrôle Interne

1. Un environnement de contrôle favorable; 2. Une évaluation des risques; 3. Des activités de contrôle; 4. L’information et communication; 5. Le pilotage.


Les 05 composants du Contr么le Interne


1. Un environnement de contrôle favorable:

Une Éthique : l’existence de codes de conduite et des règles d’étique, l’application des normes de comportement moral. « Tone at the top » : le top management doit donner l’exemple non seulement dans les discours mais également dans les comportements avec le personnel, les clients, les fournisseurs, les administrations…… Une politique : des délégations de pouvoirs clairement définies, une permanente adaptation des compétences aux postes attribués, des objectifs réalistes et réalisables, une gestion des ressources humaines transparente et connue par tous . Une organisation : avoir une organisation qui est adaptée aux objectifs fixés.


2. Une évaluation des risques :

Le risque est un événement ou une circonstance qui peut affecter négativement la capacité de l’entreprise à atteindre ses objectifs.

L’évaluation des risques commence par l’identification des risques associés aux objectifs définis à chaque niveau de l’entreprise. Au niveau de l’entreprise : Les objectifs sont définis par la Direction et devraient être en cohérence avec la stratégie, le budget et le « business plan » de l’entreprise. Ils sont la pierre angulaire d’un contrôle effectif. Au niveau des activités : Les objectifs de chaque activité se déclinent selon les objectifs définis pour l’entité dans son ensemble. Ils sont plus opérationnels, plus détaillés.


Les risques spécifiques à chaque fonction : Fonctions dans l’organisation

Nature des risques associés

Gestion/ Finance

Risque boursier Risque comptable Risque d’investissement

Logistique

Risques d’approvisionnement Risques liés à la production

Commercial

Insolvabilité des clients Risque concurrentiel

Informatique

Perte d’information Sécurité et sauvegarde des données

Juridique

Sinistre, fraudes Risques environnementaux

Ressources Humaines

Risques social,


3. Des activités de contrôle :

Les activités de contrôle sont des règles et des procédures qui permettent de s’assurer que les mesures identifiés comme nécessaire pour maîtriser les risques sont appliquées correctement et à temps. Les activités de contrôle doivent étre intégrées aux opérations/ processus habituels et sont destinés à assurer l’exécution des directives émises par le management en vue de maîtriser les risques. Se concentrer sur la prévention, la détection et la correction.


Types d’activités de contrôles :

Approbation, autorisation, et vérification (par exemple : délégation des pouvoirs);

Revue des indicateurs de performances;

Sécurité des biens (par exemple : contrôle d’accès);

Séparation des taches (par autorisation- enregistrement);

exemple

:

Contrôle des systèmes d’informations : § Contrôle généraux informatiques (sécurité, développement des applications,….) § Contrôle des applications.

surveillance-


4. L’information et communication : Information :

Inclut l’identification, l’obtention, et la diffusion d’information pertinente (interne ou externe) selon le bon moyen de communication, au bon moment, aux bonnes personnes, afin que ces dernières puissent réagir et assurer leurs responsabilités. Systèmes d’information : Infrastructures, logiciels, processusmanuels ou automatiques, Données. La qualité de l’information s’évalue selon les critères suivants : Opportunité / Contenu A temps / Délai A jour Exactitude Accessibilité.


Communication :

Une bonne compréhension des rôles et responsabilité de chacun; Les salariés comprennent comment leur travail est lié à celui des autres; Peut être sous forme de : § Manuels des procédures § Manuels de comptabilité et de reporting financier § Électronique, oralement (réunion, compte-rendu) et par des actions des Dirigeants Faciliter la communication top-down et bottom-up Communiquer avec les tiers.

« La transparence doit être la règle : pas de rétention d’information, pas de circuits de communication excessivement complexes, pas d’information superflus ».


5. Le pilotage : Les responsables de l’entreprise font parfois du contrôle interne sans le savoir. Chaque responsable Ou qu’il soit, s’organise pour diriger son activité : il va définir les tâches de chacun, mettre au point des méthodes de travail, se doter d’un système d’information, superviser les activités de son personnel.


Objectifs du pilotage du contrôle interne :

Déterminer si le contrôle interne mis en est adéquat, appliqué et efficace;

Contrôler les performances du contrôle interne en continu et évaluations ponctuelles;

place

Suivre et remédier (mise en place de plans d’actions correctifs) aux faiblesses identifiées qui doivent être reportées au niveau hiérarchique adéquat.


D. Les dispositifs du Contrôle Interne

On peut regrouper sous six (6) rubriques, l’ensemble des dispositifs de contrôle interne que chaque manager doit s’attacher à mettre en place. 1. Les objectifs 2. Les moyens 3. Les systèmes d’information et de pilotage 4. L’organisation 5. Les méthodes et procédures 6. La supervision


1. Les objectifs : « Celui qui n’a pas d’objectifs ne risque pas de les atteindre » (sagesse populaire). « Il n'y a pas de vents favorables pour ceux qui ne savent pas où aller » (Sénèque un Penseur Gréc).


Les critères d’appréciations des objectifs :

Ils doivent concourir à la réalisation de la mission assignée au responsables : l’adéquation entre objectifs et mission constitue donc une condition indispensable; Ils doivent être déclinés à l’intérieur du service : chaque objectif spécifique se réalise par la réalisation cumulée de sous- objectifs assignés aux responsables opérationnels au service; Ils doivent être mesurables :c’est-à-dire exprimés en termes numériques : valeurs objectives à atteindre ou à dépasser; Ils doivent pouvoir être suivis par le système d’information : à disposition du management, lequel doit être construit en fonction de la nature des objectifs assignés à chacun;

Ils doivent se situer dans le temps;

Ils doivent être ambitieux.


2. Les moyens 2.1- Les moyens humains : Sans personnel compétent tout système de contrôle Interne est condamné et nombreux sont les cas dans lesquels les anomalies ont pour cause une formation insuffisante ou, ce qui revient au même, une formation non mise à jour. Cette observation concerne 3 activités : § Le recrutement § La formation professionnelle permanente § L’étique (la connaissance et le respect des critères d’honnêteté et de moralité.


2.2- Les moyens financiers : adéquation entre les objectifs fixés et les budgets alloués. 2.3- Les moyens techniques : aussi bien techniques industrielles, que techniques de gestion et techniques commerciales (modes d’organisation, de méthodes d’approche).


3. Les systèmes d’information et de pilotage : ¾

Ils doivent concerner toutes les fonctions : doit concerné toutes les fonctions;

¾

Ils doivent être fiables et vérifiables : une information n’est fiable que si elle est vérifiable et elle n’est vérifiable que si on peut l’authentifier;

¾

Ils doivent être exhaustifs : il faut inclure tout et n’importe quoi;

¾

¾

Ils doivent être disponibles en temps opportun : les informations doivent être disponibles au moment ou l’on en a besoin, ce qui bien évidemment n’est pas toujours le temps réel; Ils doivent être utiles et pertinents : La pertinence ajoute à l’utilité en ce sens qu’elle permet de sélectionner parmi les indicateurs et informations « utiles », ceux qui répondent le mieux à l’objectif recherché et qui sont donc les mieux adaptés. C’est-à-dire que les systèmes d’information doivent être allégés de tout ce qui n’est pas utile à l’appréciation de la réalisation des objectifs.


4. L’organisation « On ne contrôle que ce qui est organisé » disait FAYOLLE. Une organisation de qualité doit respecter trois principes généraux : ¾ L’adaptation; ¾L’objectivité; ¾La séparation des tâches.


1. L’adaptation: Il n’y pas de modèle unique qui pourrait servir de référentiel pour tous; Les déterminants du choix organisationnel c’est : taille, nature de l’activité, objectifs, environnement, structure juridique, la technologie…….; 2.L’objectivité : une organisation objective est une organisation qui n’est pas construite en fonction des hommes. Ce principe équilibre le premier : adaptabilité certes, mais aussi permanence relative dans la mesure ou une mutation, un départ ne doivent pas à chaque fois remettre en cause l’organisation existante.


3. La séparation des tâches : C’est répartir les tâches de telle façon que certaines d’entre elles, fondamentalement incompatible, ne puissent être exercées par une seule et même personne. Trois fonctions fondamentales sont incompatibles dans l’entreprise : les mettre en une seule main, ou méme deux d’entre elles, c’est prendre des risques importants avec la sécurité des actifs. Ces trois fonctions sont : ¾ La fonction d’autorisation (ou décision). ¾ La fonction d’enregistrement comptables. ¾ La fonction financière.


5. Les méthodes et procédures ¾ ¾

¾

¾

Écrit :pas de connaissance exclusivement orale, Simple et spécifiques : « le meilleur ami de l’homme, après le cheval, c’est la corbeille à papiers ».Il est vrai que la chasse au superflu c’est également la recherche de l’efficacité (chez les Anglo-Saxons « Keep it short ans Simple »); Mis à jour régulièrement : c’est un travail permanent pour mettre à jour les méthodes de travail et les procédures; Portés à la connaissance des exécutants : mettre à la portée de tous le monde (à porté de main), outil de travail le recueil des procédures ne doit pas être conservé sous clé, à disposition de quelques privilégies seuls détenteurs du savoir.


6. La supervision On peut définir la supervision par ce qu’elle n’est pas : ¾Ce

n’est pas refaire le travail de ses subordonnés; ¾Ce n’est pas tendre des piéges pour déceler les erreurs; ¾Ce n’est pas pratiquer en permanence attentif de ce qui se fait, comme le surveillant dans la classe. Superviser : D’abord un acte d’assistance : aider les collaborateurs dans les tâches nouvelles et difficiles, lui montrer le chemin, régler les conflits et ce faisant détecter ses points forts et ses points faibles;

Ensuite un acte gratifiant : montrer aux autres que l’on s’intéresse à leur travail, que leurs efforts ou leurs difficultés ou leurs performances ne sont pas ignorés; C’est ensuite un acte de vérification: montrer que le temps à autres, selon une périodicité tout à fait aléatoire, mais certaine, quelqu’un vient regarder et vérifier comment les choses se passent;


Toute

supervision doit laisser une trace de son passage : visa, note, compte rendu…….la trace est nécessaire pour apprécier la qualité du management et se repérer dans la fréquence des actes de supervision;


Dispositif du contrôle Interne Politique 3 préalables au CI

Mission Facteurs de réussite

Objectifs

Moyens

6 Dispositif de CI

Pilotage

Organisation

Procédures

Supervision

Règles à respecter


Contrôle interne : Spécificités du CI en AI : Organisations jeunes

Situations intermédiaires

Dimension culturelle

Organisations Complexes

Dimension universelle

Applicables à toutes les activités

Rôle du Management

Le CI fait partie intégrante des activités opérationnelles


Le Contrôle Interne :

Idées Forces Pas de contrôle pour le contrôle : le CI est un moyen et non une fin en soi Le CI est un état et non une fonction. Il ne peut donner qu ’une assurance raisonnable que les activités sont maîtrisées La base de l ’efficacité, c ’est l ’environnement propice au développement d ’une culture de contrôle Chacun est responsable de son CI : Les auditeurs internes doivent s ’assurer de la cohérence du SCI, mais c ’est l ’encadrement qui est le premier responsable de son bon fonctionnement. La définition de mission gouverne l ’ensemble Les dispositifs de CI sont en nombre fini, l ’identification des dispositifs se fait à partir d ’une analyse de risque L ’AI apprécie la qualité du CI et permet son amélioration


Chapitre II : DÊfinition de l’audit interne


Chapitre II : Définition de l’audit interne

Vocabulaire

Audit :

Interne

Audio, Audire = Écouter

Par opposition à Externe


Définition 1: Version française (Traduction de l ’IFACI) « L’Audit Interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise des opérations, lui apporte ses conseils pour les améliorer et contribue à créer de la valeur ajoutée (VA). Il aide cette organisation à atteindre ses objectives en évaluant par approche systématique et méthodique, ses processus de management des risques, de contrôle et de gouvernement d ’entreprise et en faisant des propositions pour renforcer son efficacité. »


Définition 2 L’audit interne, c’est tout ce que devrait faire le management pour s’assurer de la bonne maîtrise des ses opérations : s’il en avait le temps, et s’il savait comment s’y prendre.


Définition 2 (suite)

On déduit définition :

3

vérités

fondamentales

de

cette

L’audit interne est une fonction de Direction en ce sens qu’elle concerne d’abord et au premier chef les managers de l’entreprise. C’est un métier, nécessitant un apprentissage et qui ne s’improvise pas. Il faut du temps, d’où la nécessité de disposer de spécialistes pour exercer la fonction.


Définition 3 Pour les pétroliers : « L ’Audit Interne c ’est comme l ’odeur du gaz : c ’est rarement agréable mais cela peut parfois éviter l ’explosion. »


Définition 4 : La nouvelle définition de l ’AI :

Préserver l ’indépendance Devenir une autorité reconnue Donne une assurance sur le degré de maîtrise Remplir une mission de conseil


Caractéristiques : Fonction nouvelle et évolutive Fonction universelle : s ’applique à toutes les entreprises et à toutes les fonctions sans aucune exception Fonction périodique (Ponctuelle et discontinue) Champs d ’applications


A. Distinction par rapport à l’audit externe Les 7 différences

Audit Interne

Statut

Appartient au personnel de l’entreprise

Bénéficiaire

La DG Apprécier la bonne maîtrise des activités (dispositif du CI) Toutes les fonctions de l’entreprise dans toutes leurs dimensions

Objectif Champ d ’application

Prévention de la fraude

Toute fraude ∀ sa forme

Indépendance

Assortie de restrictions : n’est pas de même nature

Périodicité

En permanence dans l’entreprise

Audit Externe PS juridiquement indépendant Les actionnaires Certification des états Financiers Toutes les fonctions et les SI qui participent à la détermination des résultats Toute fraude susceptible d’avoir une incidence sur les résultats Juridique et statutaire : profession libérale Intermittente


B. Distinction par rapport au contrôle de gestion Audit interne

Contrôle de Gestion

¾Universalité ¾Pas

de pouvoir de décision ¾Fonctions nouvelles ¾Rattachement hiérarchique ¾réservant l ’indépendance et l ’autonomie

Objectifs : ¾ Mieux maîtriser les activités par un diagnostic des dispositifs du CI (Procédures et systèmes) Périodicité : ¾ Mission tout au long de l ’année définies en fonction du risque Méthode ¾ Méthodologie spécifique

¾

¾

¾

Veiller au maintien des grands équilibres de l ’entreprise (SI);

Périodicité du reporting résultats de l ’entreprise

et

des

Méthode s ’appuyant sur les informations des opérationnelles prévision et réalisation largement analytiques et détectives


C. Distinction par rapport à l’Inspection Auditeur interne

Inspection

Membre à part entière du personnel de l’entreprise Le même niveau de rattachement (La position dans l’organisation) l’auditeur a pour rôle de regarder L’inspecteur a pour rôle de contrôler comment fonctionnes les systèmes le travail des hommes l’audit interne intervient sur la base L’inspection d’une mission programmer et spontanément inopinée planifier d’avance.

peut intervenir et d’une manière

une mission d’inspection l’audité fait Dans une mission d’audit interne partie de l’objet de la mission l’audité est un partenaire L’auditeur aléatoires

réalise

des

tests L’inspecteur exhaustifs

fait

des

contrôle


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