Date : 01/09/2013 Pays : FRANCE Page(s) : 194 Rubrique : Produits - Nouveautés Diffusion : (6315) Périodicité : Mensuel Surface : 14 %
Troisnouvellesconfitures pourAndrésy Créée l'an dernier par Andresy Confitures, la marqueHistoired'Asignetroisnouvellesrecettes dans sa gamme authentique :coingde Provence,mandarine au jus de citron Lesdeux dernièressont des et tinéesà accompagnernotamment les laitages.Le confiturierfrancilien,qui a bâti sa renomméeen fabriquantsur mesure pour de grands chefs étoiles et des palaces,proposeégalementdes confituresbio,allégéeset pourenfants. mûre
Confitures Andrésy. PVC: entre 2,50 et 4 Cselon les parfums pour 255 à 265 g.
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Date : 12/08/2013 Pays : FRANCE Page(s) : 74 Diffusion : (1078613) Périodicité : Hebdomadaire Surface : 6 %
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LECONFIT QU'ON AIME Il marie l'olive verte et le yuzu, cet agrume japonais au goût in tense, avecde la pomme, du citron, du sucrede canne, des épices,gingembre, curcuma, cumin et du sel. Idéal avecles grillades de poisson. Naturel, plus léger que les sauceshabi tuelles et plus origi nal! AndrésyConfitures, 2,80 i. le pot de 105 g, en GMS.
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Date : 01/09/2013 Pays : FRANCE Page(s) : 66 Diffusion : 201208 Périodicité : Mensuel Surface : 92 %
Goûtés
DANSLESRAYONS
pour vous
en septembre
. -^-^J^^foir**-;*
fiHiflp Le confit
?
MARIAGE ACIDULE Fusion réussie entre le confit d'olives vertes, qui glisse un rayon de soleil, et la note subtile et acidulée du yuzu, cet agrume japonais ultratendance au parfum qui rappelle le citron vert et la mandarine. Original et parfumé, ce duo sucré-salé trouve rapidement ses accros, qui l'utilisent en condiment, aussi bien avec les volailles qu'avec du poisson ou du fromage de chèvre. Le confit oiiveyuzu, Histoires d'A, 2,80 C le pot de 105 g, en grandes surfaces.
Elle comble d'un trait les envies d'exotisme des gourmets voyageurs ! Danscette huile de pépins de raisin, naturellement neutre, ont infusé du basilic thaï et de lacitronnelle, pour offrir une saveur puissante et fraîche qui ne craint ni la chaleur du wok, ni la longue cuisson du curry. Elletrouve aussi sa place à froid, en touche finale sur des légumes sautés ou un filet de poisson. Huile pour wok thaï, La Tourangelle,4 C te bidon de 25 cl, en grandes surfaces.
TOUT EN FINESSE
INFINIMENT
Parfaitement cuits au four et fumés au bois de hêtre, ces pavés de saumon frais sont à servir tels quels, chauds avec du rizou des petits légumes, ou bien froids avec une salade. On apprécie la version nature, très pratique. Mais on aime encore plus la déclinaison au poivre, tout en finesse, qui croque sous la dent sans rûr Bel accord avec lecitron vert )et une purée de pommes de terre. C'est du tout cuit !, Delpierre,5,50 ê l'étui de 185 g, dans les grandes surfaces.
Variante élégante du tarama traditionnel, cette pâte onctueuse et fondante marie le tarama classique aux œufs de cabillaud fumés (27 Vo)à la note typée du corail d'oursin (18 Yo),iodée et florale, légèrement sucrée. À servir bien fraîche sur des blinis ou du pain, avec quelques gouttes de jus de citron ou en sauce sur du poisson délayé dans un peu de crème liquide. Taramaau corail d'oursin, Dom Petroff, 4,90 Cles 80 g, en grandes surfaces.
ENIVRANT
PARFUM
* Produite dans la Drôme provençale avec des melons de Cavaillon récoltés à maturité, cette boisson apéritive se distingue par sa puissance fruitée. ' Alcoolisée (120)et sucrée, elle escorte avec gourmandise le roquefort ou le jambon de pays, se marie facilement à quelques gouttes de citron ou feuilles de menthe et agrémente tout en douceur les salades de fruits. Melonade,Eyguebelle, 9,95 e les 70 cl, magasinsIntermarché et sur leur site. DÉJÀ
CUIT !
Des pièces de rôtisserie prêtes à servir en 4 à 10 min de micro-ondes (selon le produit), sans four à nettoyer après cuisson, c'est ce que permet cette nouvelle gamme pratique. Les cuisses de poulet ou encore le rôti de porc sont servis avec leur jus de cuisson aux herbes et à l'huile d'olive. On a craqué en particulier pour le tendre jarret de porc entier cuisiné à l'os, qui nous a donné envie de renouer avec les lentilles. Autre avantage, ces viandes peuvent se déguster froides et ellesse conservent plus de quinze jours au réfrigérateur. Raisonde plus pour ne pas se priver I La Rôtisserie,FleuryMichon, 6,50 C les 450 g de jarret, grandes surfaces. 66 - Cuisine Actuelle
FILET MAGIQUE
I Adresses
IODÉ
TRIO DOUCEUR Enfin un smoothie pour ceux qui n'aiment ni les bananes ni les kiwis ! Couleur pastel et grande tendresse pour ce cocktail 100 "/ofruits et rien d'autre, où la note acidulée de l'abricot vient réveiller le velouté de la pêche avant de finir sur la rondeur de la poire. À déguster bien frais en profitant pleinement de sa saveur peu sucrée très désaltérante. Abricots, poires 8,pêches, Innocent,3 ê les 75 cl, en grandes surfaces.
LE ROUGE AUX LEVRES Belleà l'œil avec sa robe lisse d'un rouge sombre superbe, cette soupe froide prête à déguster offre un mélange doux entre le côté terreux et rustique de la betterave (21 "/«) et la note fruitée de la fraise (16 Vo).Un mariage étonnant et très frais, à déguster en entrée girly, avec une quenelle de crème fraîche et de la ciboulette ciselée. Une recette en édition limitée à découvrir jusqu'au 15 octobre. Soupe glacée betterave fraise, Créaline, 3, 15 Cte pot de 50 cl, en grandes surfaces. en fin de numéro
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Date : 18/05/2013 Pays : FRANCE Page(s) : 76 Diffusion : (504472) Périodicité : Hebdomadaire Surface : 24 %
Attention chaud devant! Le produit malin Café allongé, expresse, thé, chocolat, la diversité de ses fonctionnalités fait de cette machine le cadeau idéal pour la fêtedes Mères. On note en bonus le design fleuri de lartiste lOODrine. Tassimo, l'artiste Ma machine à délices, 7 79c, en grandes surfaces.
NOTRE SELECTIONDE TROISPRODUITSA NE PASRATERCETTESEMAINE.
Laconfiture bio A d Histoire d'A UP DE CŒUR
Tartinesallégées
DE PASCALDE LA REDAC
« Pour moi, le petit déj, c'est cest sacré I Mais pas question de napper mes tartines avec n'importe importe n quelle confiture saturée en sucre. Cette version bio à la figue est un vrai régal. Lesucre dosé avec justesse permet aux saveurs fruitées de s'exprimer.» sexprimer.» Maison Andrésy, 265 g, 3,99^, en grandes surfaces.
sîiri
Nous avons été subjuguéspar la légèretéet ladouceur de PlantaFinTendre Mousse.Avec 39% de matière grasse, il n'apporte apporte n que 360 calories aux 100 g,^,^...,; "" deux fois moins (f^ (f^' beurre classique, u ET un qu qu'un TESTÉ Pourquoise priver? \-, APPROUVE
320g,2,75i,
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en grandes surfaces.
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Ilsfont leur beurre LesFrançaisont beaudevoirse serrer la ceinture, ils restent toujoursde finesgueules.Du pain bénit pour ces PMEchampionnesdu terroir. Michaud n'en re vient toujours pas. Ex-di recteur d'un hypermar ché Auchan, cet Aquitain a fait de Famille Michaud Apiculteurs, la société familiale fondée par son grand-père en 1920, le numéro deux mondial du miel conditionné avec, l'an dernier, un chiffre d'affaires de 108 millions d'euros, contre 9,3 millions à son arrivée en 1991.Son secret? «Un savoir-faire inégalé dans la sélection des miels et des techniques d'extraction qui
Vincent
subliment les arômes et donnent une consistance crémeuse», assure le boss. Bien que la plus chère du marché, sa marque Lune de Miel a vu ses ventes bondir de 1095en 2012 chez Monoprix et chez Auchan, notamment. Miser sur le haut de gamme en pleine crise? Audacieux, mais bien vu. Depuis cinq ans, les ventes d'épicerie fine - de l'ordre de 5,5 milliards d'euros en France l'an dernier - sont beaucoup plus dyna miques que celles des produits courants. «La demande pour ces achats plaisir
progresse, particulièrement en grande les consommateurs distribution, continuent à privilégier les marques his toriques, au détriment des marques de distributeur», analyse Isabelle Senand, directrice d'études chez Precepta. Vincent Michaud n'est pas le seul à se frotter les mains. En toute discrétion, une kyrielle de PME prospèrent sur ce marché de niche. Des Anis de Flavigny aux sardines de La Belle-Iloise, le «bien manger» à la française ne s'est jamais aussi bien porté. Et exporté. Les consom mateurs ont beau rogner sur leur budget alimentation, ils ont toujours faim de produits du terroir. Les fabricants l'ont compris : pour se rapprocher du grand public, en ville, ils multiplient les bou tiques à leur marque et développent leur référencement dans les hypers. où
ZelihaChaffin*
MOUTARDERIE FALLÛT Ses moutardes
fines figurent au menu de la première classe d'Air France graines de mou tarde broyées à la meule de pierre : depuis 1840,le pro cédé de fabrication est resté le même. «Cette technique, utilisée autrefois par les mou tardiers de Bourgogne, évite de chauffer la pâte et la rend plus onctueuse et plus savou reuse», souligne Marc Désarménien, P-DG de cette moutarderie de Beaune rachetée en 1928par son grand-père, Edmond Depuis, elle fournit tous les grands noms de la gastronomie française et notamment des tables comme Troisgros, Loiseau ou Lameloise.Fleur de noisette ou va nille bourbon, ses moutardes aromatisées, autre originalité de la maison, font aussi les dé lices des épiceries fines et des gastronomes Des
étrangers. L'an dernier,la société a réalisé 6,3millions d'euros de chiffre d'affaires (en hausse de 896),dont plus de la moitié à l'export. Proposés sur Air France, ses petits pots de moutarde voyagent même en première classe.
Fallût.
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dans l'épiceriefine 30"
VINAIGRES MARTIN POURET Trois semaines en fût de chêne pour transformer ses vins grand cru en vinaigre méthode d'Orléans, vous connaissez? Ce procédé de fabrication du vinaigre par fermen tation naturelle ne date pourtant pas d'hier. Chez Martin Pouret, on le pratique depuis sixgé nérations. «Le vin repose dans des de chêne pendant trois semaines, le temps de sa trans formation en vinaigre, sans au cun ajout de ferments comme le font les industriels», souligne le P-DG (55 ans) de cette entre prise familiale fondée en 1797. Côté vins, la maison n'utilise La
fûts
MARTIN .POUBETi
que les meilleurs cépages : cabernet franc, cabernet-sauvignon ou chardonnay. «Un bon vinaigre exigedes ingrédients de première qualité», poursuit le patron, qui a également déve loppé une gamme de vinaigres aromatisés (framboise, coque licot, cidre et miel, estragon...), de sauces et de vinaigrettes pour séduire la clientèle exigeante de la grande distribution comme des épiceries fines. L'an dernier, les ventes de Martin Pouret ont atteint 1,5million d'euros, dont 2096à l'exportation.
CONSERVERIE LABELLE-ILOISE Chaque poissons 1500 tonnes de année, "emboîtées" à la main y sont
e vinai
«belle-floîse-
Chez
-PROVENCAIÉ
V
les Hilliet, on a la sardine dans la peau. L'arrière-grand-père, mareyeur, l'achetait en gros à Douarnenez. Le grand-père l'a mise en boîte en 1932 en créant La Belle-Iloise, l'une des rares conserveries
Produ» d« Front» ^
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!W Caroline Hilliet Le Branchu
Petite-fille du fondateur elleest P-DG depuis201Î
françaises encore en activité. Et sa petite-fille, Caroline Hilliet Le Branchu, à la tête de la société depuis 2011, pour suit son développement. Avec succès : le chiffre d'affaires a atteint 33 millions d'euros l'an dernier. Mise en conserve à la main, la pêche est déclinée dans 150 références :émietté de maquereau à la bière blanche, mousse de thon blanc au basilic... Son bestseller: la boîte Saint-Georges de sardines à l'huile d'olive (2,82 euros). «Un classique de la maison élaboré par mon grand-père», conseille la patronne à la tête de 58 bou tiques, uniquement installées en bord de mer. Seule issue pour les terriens : acheter sur le site Internet de l'enseigne, qui génère déjà un tiers des ventes de la conserverie.
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Ils font leur beurre dans l'épicerie fine (suite) CONFITURES ANDRESY Elles trônent sur les tables de nombreux palaces dans le monde Ses
chaudrons en cuivre valent de l'or: comptez 80000 euros pièce, trois fois le prix d'une cuve en inox. Mais, pour Laure Cassan, pas question de déroger à la tradition. «Ce mode de cuisson préserve la qualité des fruits et donne des confitures bien plus savoureuses», affirme la patronne de cette PME familiale desYvelines, fondée en 1950, dont les ventes annuelles cara colent à 17 millions d'euros.
Pour ses clients gourmets, elle ne choisit que le haut du panier : abricots du Roussillon, clémen tines de Corse, figues de Solliès (Var), sucre de canne de la Réunion... Bien vu. «Nous pro duisons près de 30 millions de petits pots de confiture par an pour les plus grands hôtels du monde, dont Le Bristol à Paris», explique la fringante quadragé naire quiremplit aussi les bocaux de Monoprix Gourmet et de Reflets de France (Carrefour).
Laure Cassan Ellesuccèdeà son pèrequi a fondé l'entrepriseen 1950.
COMPTOIRS DES ABBAYES Leurs spécialités gourmandes et proviennent leurs alcools fins de 75 monastères
Sylvie et Jean-Claude Génin Déjàdeux boutiques pour cesancienslibraires.
"Y"ichée à l'ombre de T^ l'église Notre-Damel^^l I ^M de-Lorette à Paris, la X. ™ boutique de Sylvie et Jean-Claude Génin est l'une des rares épiceries fines de la ca pitale spécialisée dans les pro duits monastiques. Parmi leurs 2000 références, on trouve des rillettes de canard de la trappe de Bricquebec, des vins rouges de l'abbaye de Lérins, ou des liqueurs des pères chartreux. Au total, 75 abbayes fournissent cette enseigne (280000 euros
de chiffre d'affaires) ouverte en 2008 par ce couple d'anciens libraires. Leur nouvelle adresse, derrière le Palais-Royal, propose aussi un espace restauration. «Une cuisine simple à base de produits artisanaux», explique SylvieGénin. Comme le pain d'épeautre, une céréale recom mandée au Moyen Age par la religieuse sainte Hildegarde de Bingen, et qu'un boulanger parisien confectionne chaque jour, tout spécialement pour le Comptoir des abbayes.
CARAMELS D'ISIGNY Ils sont élaborés avec la crème des ingrédients éclats de caramel sont partout :des truffes du chocolatier Mathez aux cookies de La Mère Poulard en passant par les glaces et les desserts Picard. Une innovation qui représente 259?.des ventes du confiseur racheté en 2001 par cet ancien de Poulain. Fidèles à la tradi tion, ces caramels sont toujours fabriqués à Isigny-sur-Mer, dans Ses
le Calvados, dans des cuiseurs en cuivre. Le beurre et la crème viennent de la coopérative lo cale et le sel de Guérande. «Des ingrédients top qualité 3094plus chers que la moyenne, mais qui donnent à nos caramels un goût incomparable», pré cise F.ricPeltier, qui en produit 120 tonnes par an. Kn 2012, ses ventes, en croissance de 109?., ont atteint 3,4 millions d'euros.
Eric Peltier fon Il dirige cettesociété, déeen 1994,depuis2008.
12 Hors-sérieCapitalJuillet-Août 2013
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Leurs boîtes rétro et leurs ANISDEFLAVIGNY billes de saveur n'ont pas pris une ride Dans
l'enceinte de l'abbaye SaintPierre, à Flavignysur-Ozerain, en Bourgogne,considéré comme un des plus beaux villages de France, rien n'a changé dans la confection du célèbre bonbon depuis le rachat de la fabrique par Jean Troubat en 1923.«Importées d'Espagne,
les graines d'anis vert sont déposées pendant quinze jours dans des turbines en cuivre avecdu sirop de sucre, avant d'être conditionnées surplace», dévoile Catherine Troubat, petite-fille de Jean, arrivée à la tête de la société en 1999.Aujourd'hui, la fa meuse boîte en métal ovale à l'effigierétro d'un couple de jeunes bergers fait le tour du monde (un tiers de ses ventes), déclinée en plusieurs arômes : menthe, citron, vio lette, cassis... Plus de 220 mil lions de pastilles ont ainsi été vendues en 2012 - ce qui représente un chiffre d'affaires de 3,9millions d'euros - prin cipalement dans les épiceries fines,les magasins bio, les jardineries et les stations-service. Et, en Bourgogne,l'atelier historique de l'abbaye de Flavigny accueille 60 000visiteurs gourmands chaque année.
BISCUITERIE FOSSIER Ses recettes sont | jîjji
OJijJM I iTH iT* 1iT^* -Tjj^m * l h *1 11kj
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double cuisson, au four puis à l'étuve. Inventé en 1691par un boulanger rémois, le biscuit rose fait toujours honneur à son nom : «bis-cuit»signifie «cuit deux fois».«Contrairement au boudoir, il ne se délite pas quand on le trempe», détaillele P-DG de la biscuiterie Fossier,fondée à Reims en 1756.C'est en 2010 que cet ingénieur en agriculture de 43 ans a repris les rênes de la vé nérable entreprise, au lendemain du décès de son père. Ce dernier avaitracheté l'affaireen 1996, après qu'elle eut connu trois dé pôts de bilan. Aujourd'hui, elle a retrouvé son croquant : son chiffre d'affairesa atteint 12 millions d'euros en 2012,contre 3 millions à sa reprise. Si le fameux «rose» reste le produit phare, une soixan taine de nouveautés - macarons, meringues, sablés - sont venues
compléter la gamme. Avecune centaine de détaillants et six bou tiques en propre (409i des ventes) dans l'Hexagone, Charles-Antoine de Fougeroux espère maintenant séduire les gourmands du monde entier. Certains pâtissiers chinois et japonais seraient déjà conquis.
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Date : 01/07/2013 Pays : FRANCE Edition : Hors Série Page(s) : 50-53 Rubrique : APRES LE FAST-FOOD, LE "…
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Lesenseigneslancent de nouveauxproduits d'épiceriefine.Moins cherset aussibons queceuxdesacteurs historiques? Confirmé.
Ti
H l ace à sa montagne de bo^^^4 eaux, Jean-Pierre Coffe ne ' sait plus où donner de la H H tête. «Ah, mon cassoulet, j'en suis très fier aussi, s'en .^^L. thousiasme le gourmet cathodique, sai sissant une énième conserve. A la place des pilons de canard, je mets des hauts de cuisse, c'est bien meilleur, dans tous les domaines.» Or nous ne sommes pas dans sa cuisine mais au siège du discounter Leader Price, dont le chroniqueur culi naire signe depuis trois ans la ligne premium, «Sélection de nos régions».
Lesmarques "local" le aussi De l'imprononçable «Mmm!» (Auchan) à «U Saveurs» (Système U), en passant par «Carrefour Sélection», les marques de distributeur (MDD) versions haut de gamme ont envahi les rayons. Axées bio, terroir ou épicerie fine, on en compte désormais une quinzaine, représentant plus de 3 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Mieux: alors que les MDD classiques stagnent et que l'offre pre mier prix dégringole, les premium, elles, grappillent des parts de marché. Pour les enseignes, c'est bien sûr une au baine: ces gammes leur permettent de
se distinguer, d'améliorer leur image et d'engranger environ AOX de marge brute. Les consommateurs, eux aussi, sont contents. «Enmoyenne 129& moins chères que les marques nationales, ces MDD de luxe promettent une qualité équivalente», précise Yves Marin, consultant chez KurtSalmon. Aussibon pour moins cher, vraiment ? Capital a voulu vérifier. En avril 2012, à l'atelier Chef Martial, à Paris, nous avions réuni un jury de cinq experts : nutrition niste, chefs et consultants. A l'aveugle, ils Suite page 53 ^
DANS HUIT LE JURY DE CAPITAL A DEUX MDD ET UNE MARQUE NATIONALE CATÉGORIES,
2e MONOPRIX
13,2/20
TESTÉ
2e 3e
SOCIÉTÉ
10,8/20
BONNE MAMAN
8,6/20 Plébiscite pour le financier U(désormais vendu sous la marque U et non plus U Saveurs). Doré,souple, vanillé, les compliments pleuvent.Le faiseur? La pâtisserie LesComtes de la Marche,une PMElimousine. Depuis notre test, Bonne Mamana revuson process industriel pour «plus de moelleux et de régularité de goût».
Trop clair et pasassezpersillé, lefromage Société,affiné dansles cavesde Baragnaudes,a été aussi trouvé trop salé et pasassez consistant. Le rival signé Leclercest moins cher, mais un peu plâtreux et trop crémeux. Malgréun faux air de bleu, Refletsde Frances'en sort mieux avec un produit «franc en bouche»,«agréable» et «équilibré».
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de distributeurjouent bien que les grandes Aprèsavoircréé samarqueterroir, «Nosrégionsont du talent», il y a treize ans, MichelEdouardLeclerc promeut,depuis 2010,«LesAl lianceslocales» entrelesmaga sinsE.Leclercet les producteurs régionaux.
PICARD
10,8/20
3e AOSTE
7,6/20 l'œil, nosjurés ont trouvé à la tapenadeAlbert Menésunaspect A de puréed'olives. Et,aux papilles,ungoût lisse.Cellede Casino, un peusalée,est jugéepluséquilibrée.Unpeusècheet trop forte enanchois,cellede Picardseclassedeuxième.A noter que, depuis notre test, leroi du surgeléa revusesproduitsd'épicerie.
Bien que trop salé,lejambon Leclerca lesfaveursde nosexperts: ils ont appréciéson «rougevif» et son «goûtfranc».Le pâteuxet lasaveur enfin de bouchedu jambonIntermarchélesa gênés,tout commelafadeur et la pâleurdu Aoste.Anoter:depuisnotretest, le jambonIntermarchéest passéde neufà douzemois d'affinage.
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Pour imaginer ses recettes, Carrefour travaille
2e INTERMARCHÉ 10,6/20
3e PUGET
5,6/20 Notre jury n'a pas été tendre avec le camembert Casino,jugé très industriel. Celuid'Intermarché leur semble un peu trop salé. Seul le produit de lafromagerie Gillot apparaîtplus proche de l'artisanal et offre un goût franc. Il est toutefois, au minimum, U.,5% plus cher que sesconcurrents.
Verdict sans appel pour Puget,lespécialiste de l'huile d'olive: son caviara l'aspect et le goût d'un concentré de tomates. Le délice de Uest en revanchesalué pour sa couleur appétissante et son équilibre en bouche.Pourun tel résultat, l'enseigne est alléechercher son fournisseur jusqu'en Italie...
LABELLE CHAURIENNE
9,6/20
AUCHAN
10/20 Malgré un aspect peu appétissant, le cassoulet de Reflets de Francereçoit lameilleure note.«C'estcelui qui se rapproche le plus de l'artisanal», explique le consultant Vincent Vibrac. Effectivement, la recette fleure bon le Sud-Ouest,avec des haricots lingots du Lauragaiset de vraies saucissesde Toulouse.
En
dépassant15/20, Gavottes est lamarque nationale qui se sort le mieuxde cette dégustation. Nosexperts ont reconnu un savoir-faire unique pour unecrêpe aéréeet un petit goût caramélisé.A noter, en outre, que, dansce seul cas, la marque nationale n'est pasforcément plus chèreau kilo.
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avec les chefs Senderenset Robuchon ont dégusté huit catégories de produits «terroir»,de la tapenade au jambon de Bayonne. Après nous être assurés au près des différentesenseignes que, pour laplupart de ces produits, elles ont bien conservé le même fournisseur,nous re publions pour ce hors-série les tests ex clusifsparus dans Capital de juin 2012. Avec,donc, des résultats identiques: si de grands noms restent plébiscités, les recettes des distributeurs sont jugées meilleuresdans trois cas sur quatre. Comment expliquerune telle montée en gamme des MDD? Lemérite en re vient d'abord à leurs fournisseurs,triés sur le volet, et français pour la plupart. Que ce soit Andrésy pour les confitures, une société familiale des Yvelinesqui cuitses marmelades au chaudron, Delidess au rayon dessert, une PME borde
laise dont les tartelettes gardent leur chon, Casino fait de même avec Michel croustillant un mois durant. Ou encore Troisgros, tout en suivant religieuse ment les recettes du «Larousse gastro Cémoi pour le chocolat, un des derniers à traiter lui-même ses fèvesde cacao. nomique», la bible du secteur. Quant à Il faut dire que ces indus Auchan, ses dirigeantsne ca triels se voient imposer des chent pas vouloir suivre cahiers des charges dras LESENSEIGNESl'exemplede l'épicierde luxe tiques.Premier objectif:faire Fauchon... D'autre part, tous SONT plus sain. «Une démarche des ingrédients INTRAITABLES privilégient bien engagée»,juge le nutri nobles: ils peuvent y mettre tionniste Jean-Michel Co AVECLEURS le prix puisque, contraire aux marques natio hen, saluant lerecours limité FABRICANTS ment aux additifs ou l'élimination nales, ils ne dépensent rien de l'huile de palme, notam en publicité. «Dansla salade ment chez Casino ou Système U. Mais composée, on incorpore de la roquette, ces gourmets du linéaire tiennent sur plutôt que de beaucoup plus la laitue iceberg»,raconte ainsi un fabri tout à marquer les papilles. D'une part, ils n'hésitent pas à recourir aux plus cant. Anecdotique? Loin de là: la ro grands toqués. Pour imaginer ses re quette quatre fois plus cher. C'est cettes, Carrefour travaille ainsi avec les ça,jouer les finesbouches... Claire Bader * chefs Alain Senderens ou Joël Robugoûteuse,
coûte
Notre iurv et la méthode de l'enquête
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Date : 24/06/2013 Pays : FRANCE Page(s) : 41 Rubrique : Actu Co Diffusion : 301097 Périodicité : Hebdomadaire Surface : 9 %
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Date : 01/09/2013 Pays : FRANCE Page(s) : 114 Diffusion : 130878 Périodicité : Bimestriel Surface : 15 %
Confitures T
"3 »Tr i
MAI"
CONFITURE Moins sucréequ'une confiture traditionnelle, satexture smoothie-veloutée et sesparfums d'enfance, fraise, abricot et grenadine, vont ravir lesbecssucrés. Andresy, 3 Cles 260 g (11,53 C Lekg).
n^* 3»! et aussi LA CHAMBRE AUX CONFITURES Une centaine de parfums, une qualité au sommet... et des prix idoines. À partir de 6 C tes 200 g (30 1 le kg). FRUITS ÀTARTINER Plusveloutés qu'une confiture, cesfruits mixés (fraise, framboise, pêche et abricot) sanscolorants, conservateurs, ni arômes artificiels, sont très savoureux. 2,30 Cles 410 g (5,60 Cle kg).
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