PORTFOLIO 2021 Antoine ANGOT étudiant paysagiste concepteur
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AVANT PROPOS, À travers ce portfolio je souhaite faire part des différents projets que j’ai pu aborder au cours de mes études de paysage débutées en 2015 à l’université technique de Dresde en Allemagne. J’ai ensuite intégré l’école nationale supérieure de paysage de Versailles en 2020, où je suis aujourd’hui en première année de master. Les projets choisis se veulent le reflet des thématiques liées au paysage, qui m’animent et qui m’inspirent quotidiennement, et plus généralement au rapport que nous entretenons a notre environnement et notre espace de vie.
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Antoine ANGOT 25 ans VERSAILLES
Depuis septembre 2020
Cycle DEP 2 études de paysage à l’école nationale supérieure de paysage de Versailles
DRESDEN
2015-2019
Licence en Architecture du Paysage à l’Université Technique de Dresden en Allemagne
BUDAPEST
2017-2018
Programme ERASMUS à la faculté d’urbanisme et de paysage de l’Université Szent Istvan à Budapest, Hongrie.
STRASBOURG
Mon parcours
2014-2015
Première année de licence en Histoire de l’Art
CONTACT + 33 (0) 6 79 93 18 08 antoine.angot@posteo.net 2 rue Barrault 75013 PARIS
2014
Centres d’intérêts
Compétences
• Le dessin • Arpenter les environs • Randonner • Le vélo • Jardiner
Photoshop
Anglais
Illutsrator
Allemand
Indesign AutoCad Vectorworks QGIS
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Obtention d’un baccalauréat franco-allemand (ABI-BAC) en sciences économiques et sociales, option sciences politiques
Mes expériences Depuis Janvier 2020
Préparation de commandes et ventes de produits d’agriculture en circuit court au marché du «Comptoir du potager» à Versailles
Mars-Mai 2020
Volontariat au sein du programme WOOFING en jardinage et agriculture biologique sur l’île de Flores aux Açores
Septembre 2019Février 2020
Postier à vélo à Dresde * Job étudiant
Mars- Avril 2018
Stagiaire-paysagiste chez Helmbacher Paysage à Rosheim, Alsace. Participation aux travaux de réalisations de jardins privés: plantation, dallage, pavage, entretien et élagage, terrassement, nivellement de terrain...
Septembre 2018
Vendanges dans le domaine Jacques Cattin en Alsace
Septembre 2016
Vendanges dans le domaine Rivière dans le Beaujolais
Avril 2014
Chantier participatif à la maison de la Nature de Muttersholz en Alsace: construction d’un sentier sensoriel sous la direction de Marcel Kalberer (architecte Suisse)
Juillet 2011
Stage découverte chez un paysagiste indépendant à Séléstat, Alsace: découverte et approche du métier de paysagiste
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SOMMAIRE
DURCHBREC
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I. Le parc de l’éxistant
II. Entre pléchies et forêts noires
III. À la recherche de nouvelles perspectives
IV. Perçées !
Projet pour un nouveau parc urbain sur une ancienne friche à Dammarie-Les-Lys en Seine et Marne.
Travail d’atlas de paysage effectué dans le Sud du Morvan.
Mémoire de licence en architecture du paysage à l’Université de Dresden.
Nouveau conc pour le Brücke Berlin.
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Technische Universität Dresden. Professur Landschaftsarchitektur. Prof. Arq. Ana Viader
CHEN
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V. Pagriculture
VI. Un vide à combler
VII. Productions personnelles
cept végétal emuseum à
Une agriculture urbaine sur les anciens tracés des fermiers généraux de Paris.
Comment occuper un nouvel espace entre deux immeubles à Manhattan.
Présentation de différentes réalisations personnelles.
r Soler. Dipl.-Ing. Anne Schäfer. WS 1819. LB523. ANTOINE ANGOT
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I. LE PARC DE L’EXISTANT, DAMMARIE-LES-LYS. Avec Madelleine Accarin, 2020.
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La zone de projet de cet atelier se situe à Dammarie-Les-Lys le long de la Seine. Cet ancien site industriel, pris entre la Seine au nord, la ligne de chemin de fer et le quartier de la Plainedes-Lys au sud est aujourd’hui une réelle enclave dans la ville. Rapidement nous avons repérés les potentiels existants sur site tel que la proximité avec la Seine, la forte présence du végétal, d’un boisement et de ses clairières ainsi que plusieurs espaces en transitions de type friches. Notre intention de projet s’est donc naturellement orientée vers la mise en valeur de ses éléments et la création d’un nouveau parc qui s’appuie sur ce qui existe déjà sur site.
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PLAN
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Pour répondre aux risques d’innondations nous avons pensés un système de bassins de rétention récupérant le surplus d’eau. Ce système de bassin permet une nouvelle interaction et une re-connection à l’élément «eau».
Mise en valeur et création de pontons le long de la Seine
Friche comme observatoire d’un espace de transition et de dépolution des sols par le végétal
Clairière urbaine
La végétation existante est prise comme structure pour la transformation du parc et sa future urbanisation : les clairières existantes sont renforcées par l’aménagement de nouvelles lisières et un nouveau «système de parc» apparaît dans la ville. Les clairières existantes sont réorganisées selon des usages et des programmes absents dans la ville de Dammarie: une clairière récréative, une clairière événementielle et une clairière de jardins partagés.
Création d’une clairière événementielle Mise en valeur et accès aux nouveaux bassins de rétentions
Future zone urbanisée
Les anciennes friches industrielles sont destinées à être urbanisées dans le futur et deviennent en attendant des supports de participation citoyenne pour l’avenir de la ville. La friche sert d’observatoire d’un paysage en transition.
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La route existante le long de la Seine a été transformée en digue et permet d’accéder à la Seine par des pontons. Les bords de Seine ont étés adoucis pour pouvoir accueillir une plus grande variété végétale de type ripisylve et de faciliter l’accès à l’eau. Les zones de friches fonctionnent comme des observatoires d’espaces de transitions où l’ont peut observer le developpement naturel d’une végétation spontannée. Du mobilier urbain et récréatif a été ajouté sur l’une d’entre elle, permettant de créer un espace de rencontre et d’échange entre actuels et futurs résidents du parc urbain. Les chemins parcourant le bois créés un nouveau système itinérant entre les clairières et les différents points d’eau. L’alternance entre densité végétale et ouvertures permet une diversité d’ambiances et d’atmosphères. Le parc de l’existant met en valeur les éléments existants d’un site et propose une armature paysagère pour une future expansion urbaine.
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II. ENTRE PLÉCHIES ET FORÊTS NOIRES SE PERDRE DANS LE RELIEF MORVANDIAU
Avec AJOT Jillian, CARL Ambroise et MALMASET Anaïs. 2020-2021
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Photo argentique prise par Jillian Ajot.
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La réalisation d’un atlas de paysage fait parti des attendus d’un paysagiste concepteur. Ainsi, dans le cadre du master à l’École Nationale Supérieure du Paysage (ENSP) de Versailles, nous réalisons cet exercice, par groupe de quatre étudiants, sur le territoire de notre choix. Pendant une semaine, en un chaud mois de septembre 2020, nous avons arpenté, à pied et en voiture, routes et chemins, bocages et forêt, sources et villages du Morvan. Nous avons également rencontré plusieurs
personnes, habitant ou travaillant sur place. Le but de cette semaine sur le terrain était de voir et ressentir les paysages pour pouvoir les décrire et les caractériser, mais aussi comprendre quelles pratiques les ont façonnés. Il s’agissait ensuite d’appréhender les dynamiques derrière ces paysages : comment étaient-ils par le passé et comment vont-ils évoluer ? À partir de là, nous pouvons soulever des enjeux pour le futur de ces paysages.
MORVAN
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HAUT MORVAN MONTAGNARD
HAUTS LIEUX DU BEUVRAY
VALLONS BOCAGERS SOUS -BEUVRAY
VALLÉE DE LAROCHE
BOCAGE DE L’ARROUX
BOCAGE DE LUZY
Carte des unités paysagères
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Bloc diagramme du bocage de Luzy
Bloc diagramme de la vallée de Laroche
Bloc diagramme des vallons bocagers de Sous-Beuvray
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La découverte de cette région s’est faite sous forme d’une ascension. En partant des bocages vallonés autour de Savigny-Poil-Fol, en découvrant les paysages ouverts de Luzy et du bocage de l’Arroux, nous nous sommes petit à petit enfoncés dans des reliefs plus marqués. C’est alors un paysage de montagne qui se dévoile : les boisements se font de plus en plus épais, les fermes et habitants sont de plus en plus rares et isolés. On perçoit très clairement sur cette carte les couleurs dominantes de notre territoire, à savoir le jaune et le vert. Ce choix n’a pas été lais-
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sé au hasard, il retranscrit la façon dont nous avons perçus la couleur de ces paysages et comment celles-ci nous ont imprégnées inconsciemment. L’image et les couleurs de ces paysages résultent d‘un moment précis de l’année, à savoir la fin de l’été. Au mois de septembre, après un été de fortes chaleurs, les prairies sont sèches et leur couleur jaune paille domine le paysage contrastant avec le vert des massifs forestiers. C’est peut-être comme ça que l’on résumerait ce territoire en deux couleurs: du jaune et du vert.
Carte des paysages coloriée à la main à l’échelle 1:25 000
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III. EXLORER LA VILLE À LA RECHERCHE DE NOUVELLES PERSPECTIVES Mémoire de Licence, Université Technique de Dresde 2019
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Au cours de mon mémoire de licence Je souhaite, à travers ce travail, dépasje me suis interrogé sur la façon de ser les limites physiques et sociales de percevoir et de vivre l’espace urbain. la ville afin de percevoir la ville dans sa globalité, avec ses composantes Depuis ma jeunesse se trouve en classiques, mais surtout atypiques. moi cette curiosité de découvrir et Je me suis donc mis à la recherche de connaître la ville dans laquelle j‘ha- ces espaces de l’incertain, de l’indébite. J’ai rapidement développé un cis et de l’inhabituel, auxquels on ne intérêt et une sensibilité particulière prête que très peu d’attention. Quels pour les espaces et situations ur- sont ces lieux, et quels rôles jouent-ils baines, peu perceptibles au quoti- dans notre quotidien. Pour la plupart dien. Je ressens ces espaces, qui ne des gens ils sont sans importance, découlent pas d’un paysage urbain pour d’autres ce sont des espaces de ordinaire, comme une possibilité de refuge, une possibilité de vivre la ville vivre la ville différemment, d’échap- autrement, de développer une nouper aux structures et fonctionnalités velle narration urbaine. définies.
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À la façon des situationnistes et des flaneurs, j’ai parcouru et erré dans la ville de Dresde à la recherche de nouveaux espaces d’expériences. Le collage représenté ici est une synthèse des promenades effectuées selon un principe d’errances à des périodes différentes à travers la ville. L’objectif est de situer les zones urbaines permettant la découverte de nouvelles notions spatiales ainsi que la localisation d‘espaces inhabituels et ignorés.
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Suite au collage précédent quatre lieux ont été choisi, comportants chacun des éléments de l’infrastructure urbaine. Deux de ces lieux forment la structure «Fleuve » tandis que les deux restants forment la structure « Ferroviaire ». Ce sont des espaces majoritairement soumis à des fonctions d’infrastructure, rarement perçus comme des espaces à vivre ou espace d’expérience.
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À travers des interventions ponctuelles j’ai souhaité créer un nouvel attrait visuel au sein du paysage urbain : celles-ci permettent un regard nouveau sur la ville et une interaction ainsi qu’une appropriation de structures jusqu’alors déconsidérées, inaccessibles, voir invisibles au quotidien. L’accès à ces structures et aux espaces créent de nouvelles expériences et une nouvelle narration urbaine, permettant des perceptions et des observations différentes sur la ville, notamment au travers de nouvelles perspectives et de nouveaux points de vue.
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Il s’agit également de faire l’expérience d’une ville dans son ensemble, et notamment à travers l’inhabituel. L’intervention invite à pénétrer un nouvel espace d’expérience, jusqu’alors inaccessible. La ville ne s’arrête plus au simple es-
pace piéton de la rue mais s’étend au delà, incluant des espaces surélevés et sous-jacents. Certaines interventions se soumettent aux conditions variables d’un lieu, mais ne disparaissent jamais complètement.
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Ce travail m’a permis de confronter mon approche personnelle de vivre la ville en mettant en lumière certains espaces urbains souvent dévalorisés et déconsidérés, qui, selon moi, permettent une nouvelle expérience urbaine. La ville et ses infrastructures ne sont plus seulement des espaces de transits mais deviennent de nouveaux terrains d’appropriation qui invitent à bouleverser notre façon de vivre l’espace urbain. Celui-ci prend la forme d’un espace d’expérimentation, de découvertes, voir de terrain de jeu.
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IV. BRÜCKE MUSEUM - PERÇÉES ! Université Technique de Dresde 2019
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Le Brücke Museum, réalisé par l’achitecte Werner Düttman, est un musée à Berlin consacré au mouvement de peintres dresdois «Die Brücke» (le pont). Ce projet propose un réaménagement des espaces exterieurs du musée. L’idée principale derrière ces aménagements est de créer un espace commun entre le batît, les oeuvres exposées et l’environnement exterieur. Que ceux-ci se mélangent, se répondent, se complètent. Les artistes Brücke étaient très attachés aux dessins rapides qui permettent, selon eux, d’exprimer au mieux l’immédiateté des émotions. Dans cet état d’esprit les croquis de projet ont été réalisés directement sur photo, à main levée. Au coeur de la cour interieure un plan d’eau planté de roseaux fait référence aux escapades que le groupe d’artiste avait l’habitude de faire autour aux différents lacs dans la région de Dresde.
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Les artistes Brücke étant très attachés à la vision d’une nature «libre», certains murs en béton ont été perçés, des dalles retirées, pour permettre à la végétation de déborder, de sortir du cadre. Celle-ci peut à présent coloniser de nouveaux espaces, aller librement.
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V. PAGRICULTURE Université Technique de Dresde 2018 - Avec Marius LEHMANN
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URBAN FARMING SUR LES FERMIERS GÉNÉRAUX !
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Une nouvelle stratégie de mobilité douce doit être pensée sur le tracé des anciens fermiers généraux et permettre une ré-appropriation de l’espace urbain en promouvant l’importance d’une culture piétonne au coeur de la capitale. L’idée d’agriculture urbaine s’inscrit dans une problématique contemporaine et grandissante de dépendance des grandes villes en matière d’alimentation et le désir des citadins de (re-)tisser des liens avec la faune et la flore.
Des points de filtrages installés au niveau des anciennes barrières permettront la réduction du trafic automobile, privilégiant l’usage collectif («car-sharring ») et une mobilité douce, à défaut d’une utilisation individuelle.
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Boulevard de la Villette
Jaurès
Place du Colonel Fabien
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Le scénario prend effet sur le boulevard de la Villette entre la place du Colonel Fabien et l’arrêt de métro Jaurès. La réduction du traffic automobile ayant libéré l’espace urbain, de grandes parcelles agricoles participatives voient le jour, organisées autour d’espaces partagés où se côtoient aujourd’hui mobilités douce, promeneurs et agriculteurs.
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VI. UN VIDE À COMBLER Université Technique de Dresde 2018 - Nele WELK
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Entre deux immeubles à Manhattan, un vide. L‘opportunité de repenser un espace, de créer un nouvel environnement et de jouer avec des formes et atmosphères nouvelles. Projet réalisé sous forme de maquette en blocs de savons translucides.
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VII. PRODUCTIONS PERSONNELLES
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Enfant du Rhin- 2019 RHEINKIND
Projet réalisé pour une publication rendant hommage au quartier du port du rhin à Strasbourg, qui fait actuellement l’objet d’un grand projet d’urbanisation et de rénovation. Ce projet a pour but de faire transparaître mon ressenti par rapport à un site portuaire et industriel atypique. Mon travail rejoindra celui de neuf autres personnes ayant également vécus une histoire avec ce lieu et qui veulent, eux aussi, faire partager leurs impressions à travers l’élaboration d’un « fanzine » hommage au Port du Rhin.
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ENFANT DU RHIN Terre d’exploration urbaine, humaine. Lieu de liberté, d’expérimentation, de curiosité et d’inspiration. Espace refuge. Nourrisson oublié de deux nations. Irréductible résistant d’une union impossible. Pays où règnent la rouille, les cheminées, les wagons, le brochet, l’ouvrier, les prostituées. École qui accueille celles et ceux qui ont fait le pari de sentir la transpiration et l’industrie. Celles et ceux qui portent de la peinture sur les chaussures, des chardons aux chaussettes,de la graisse de fret sur les mains. Ce sont Les Enfants du Rhin.
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KRATAËGUS #6 Extrait de deux planches réalisées pour le magasine Krataëgus, tenu et édité par les étudiants de l’école de paysage de Versailles. Février 2021
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- Bonhomie -
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Carnets et croquis
Arpentage sur le site d’atlas. Savigny-Poil-Fol. Septembre 2020
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Murs en pierre Flores, Açores. Avril 2020
Flores, Açores. Avril 2020
Serre et potager Malmerspach, Alsace. Juillet 2020
Ferme isolée Rangère. Septembre 2020
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ANTOINE ANGOT antoine.angot@posteo.net + 33 (0) 6 79 93 18 08 2 Rue Barrault 75013 Paris
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