O U D C T I O N
Présentation personelle
Apolline
Langues
Langues
Apolline CATTÉ
CATTÉ
06.03.58.00.11
Etudiante en architecture et ingénierie à Nantes
apolline.amara.catte@gmail.com
Formation
11 place de la République, 44200 Nantes, FRANCE
2021 2021
Français
Achèvements
Participation au concours d’écriture Henry Jacques Le Même à deux reprises
Accomplissements
Participation au concours d’écriture Henry Jacques Le Même à trois reprises
Participation au concours de design Bottegattiva à Venise
Participation au concours de design Bottegattiva ArchiCad
Mémoire de master en architecture sur le lien entre narration et architecture via les images mentales
Logiciels
Début des études à Centrale, Nantes (44) Erasmus à l’IUAV de Venise en Italie
Formation
2021
2018
Diplôme de licence à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Nantes en double cursus architecte-ingénieur avec l’école Centrale, Nantes (44)
Erasmus à l’IUAV de Venise en Italie
2018
Diplôme du baccalauréat série S mention TB au lycée Louis Barthou, Pau (64)
Diplôme national du brevet des collèges mention TB au collège 2015
Début des études à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Nantes en double cursus architecteingénieur (avec l’école Centrale de Nantes)
2018
Diplôme du baccalauréat série S mention TB
Expériences
Diplôme national du brevet des collèges mention TB 2015
Architecture et Construction
Expériences
Stage de formation pratique chez Charles-Henri TACHON, cabinet d’architecture, Nantes (44)
Stage de suivi de chantier sur la rénovation d’un appartement avec l’agence A! Atelier; Venise (Italie)
Stage de suivi de chantier sur la rénovation d’un appartement avec l’agence A! Atelier à Venise (Italie)
2019 2015
Anglais Espagnol Italien 2019
Anglais (TOEIC 935) Italien B2 Espagnol B1 Allemand A1 2022
2020
2019 2022 2021
2019
Stage ouvrier chez TCE Auguste Pereira, Morlaàs (64) Stage ouvrier chez MAS BTP, Pau (64) Stage de 3e chez Courrèges, maison de haute couture, Pau (64)
Restauration
Bar, service et run au Player’s (bar/brasserie) pendant la saison estivale à Hossegor (40)
Stage chez TCE Auguste Pereira, à Morlaàs (64) Stage chez MAS BTP, à Pau (64)
2022 2020 2017 2016 2010
2021 2017-2018 2016-2018 2015 2010-2013
Service au Papa Doble, bar cubain, Nantes (44) Service pour le traiteur Val-d’Evre, Nantes (44) Trois saisons de bar et service au Player’s, Hossegor (40)
Volontariat
Cours de soutien scolaire à des élèves de 2nde Babysitting occasionnel
Stage de 3ème chez Courrèges, maison de haute couture, à Pau (64)
Scoutisme à Nay (64)
Bénévolat au festival Les Z’Eclectiques, Chemillé-en-Anjou (49) Cours de soutien scolaire à des élèves de 2nde (2 ans)
Hobbies
Babysitting occasionnel (3 ans) Scoutisme pendant 4 ans, Nay (64)
Hobbies
Guitare et chant
Danse contemporaine et classique Boxe anglaise, Volley
Guitare et chant Danse contemporaine et classique Boxe anglaise Travaux manuels : dessin, couture, peinture Musique, photographie, lecture et écriture
Travaux manuels (dessin, couture, peinture, bricolage) Musique, photographie, écriture
Table iconographique
Dans un soucis de catégorisation des projets et travaux dans cet exercice de répertoire, j’ai mis en place une iconographie permettant pour chaque projet de comprendre le contexte dans lequel il a été réalisé. On peut ainsi avoir une idée de la temporalité de réalisation du projet et donc ainsi d’évolution de ceux-ci. Une idée également du type d’exercice proposé, du type de projet à produire et de ses conditions (projet en solo ou en groupe). Voici donc ici un schéma type de la présentation des travaux.
Mobilier Logements collectifs
Habitation individuelle Bâtiment public Espace conceptuel
N-House
Nombre d’étudiant travaillant ensemble sur l’exercice
Année et semestre de réalisation du projet
Année Semestre
Analyse de bâtiment Projets cours et Intensifs Projets longs
Individuel Duo Trio
Cette section regroupe les projets que j’ai réalisé dans le cadre de mes études d’architecture à l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture (ENSA) de Nantes ainsi qu’à l’Instituto Universitario di Architettura di Venezia (IUAV) de Venise durant mes années de licence.
Ces projets rentrent dans des exercices propres à diverses options de projets architecturaux choisis semestre après semestre. C’est ainsi que j’aurai croisé les professeurs responsables des options successives - Benjamin Boré et Camille Michel, Julien Perraud et Marine Leroy, Ignacio Requena, François Defrain, Sabine Guth, Martino Doimo - et appris l’acte de projet à leur côté.
I E T U R E
T C
École de Krump à LA
Cadre de l’exercice
Partir d’un médium quelconque (vidéo, musique, son, peinture) choisi dans un ensemble de 5 options et en créer une architecture, un espace, qui le retranscrive d’une façon ou d’une autre.
Réponse proposée
Sensible à la musique et à la danse après 12 ans en conservatoire, mon choix s’est orienté sur la vidéo de Clément Cogitore mettant en scène de la danse Krump sur la musique des Indes Galantes de Rameau. Le contraste de style des deux arts affirmé pour en faire ressortir toute la puissance de l’un et de l’autre m’a notamment beaucoup marqué. J’ai donc choisi de réaliser un projet en m’imaginant un programme lancé après la sortie de la vidéo de Clément Cogitore pour réaliser la première école de danse Krump dans le quartier Watts de Los Angeles où est né ce style de danse. L’architecture est alors une retranscription spaciale des ambiances et intentions de cette vidéo, faisant appel en partie au style déconstructiviste et au traitement des contrastes.
On y retrouve deux espaces dédiés à la danse, destructurés et lumineux ainsi qu’un espace d’internat à la façade s’inspirant de celle de l’opéra Bastille où avait été tourné la vidéo, répartis autour d’une cour centrale aux limites physiques floutées par les limites visuelles.
Principaux questionnements amenés
Manifester par l’architecture des évènements humains, laisser une trace pérenne d’un évenement ponctuel pour insister sur l’importance de la mémoire qui survit aux générations humaines à travers le bâti.
Cela a aussi été, avec du recul, le projet qui a déclenché mon attrait pour les «clins d’oeil» en architecture, les références faites entre divers domaines, diverses époques, toutes relatées dans un ensemble cohérent et où leur compréhension crée l’euphorie, le plaisir, la satisfaction d’avoir capté les intentions de l’architecte.
Cadre de l’exercice
Choisir un environnement naturel dans l’estuaire de la Loire pour y implanter un refuge investissable par quiconque le voudrait le temps d’une journée, d’une nuit.
Réponse proposée
Sur le banc de Bilho, non loin de l’embouchure de la Loire et peuplé par ces rares ibis sacrés, un refuge prend place au bord de l’eau, accessible au gré des marées. La structure en bois flotté respecte un souci de récupération des matériaux et l’opacité croissante du maillage de celle-ci permet de créer une gradation de l’intimité avec pour finalité, un espace de nuit intouchable par l’eau. On se réfère ici à la question du cheminement et des entrées en chicane, l’utilisateur est guidé lentement jusqu’au refuge via une ballade architecturale poussant à l’observation du paysage sauvage environnant.
Principaux questionnements amenés
En s’implantant en pleine nature, avec un souci de respect de l’environnement autant sur le choix des matériaux que sur l’accessibilité rythmée par les marées, les projecteurs ne peuvent être ailleurs que sur la puissance naturelle et pose alors l’usager en observateur de cette nature sauvage le temps d’une nuit. On retrouve ainsi une architecture qui se veut éphémère dans son utilisation pour préserver la pérénnité de la nature. Architecturalement parlant, c’est via ce projet que j’ai commencé à jouer avec les cheminement et à réfléchir vraiment les espaces en fonctions de leur accès. En m’inspirant des sculptures de Richard Serra, j’ai commencé à expérimenter les sensations procurées par la dilatation et la rétractation de l’espace. On créé la frustration en bloquant l’accès physique mais en ouvrant les vues puis l’émerveillement d’autant plus intense en révélant que par le second chemin choisi se trouvent d’autres paysages, architectures, formes, couleurs à observer, à toucher. La proximité avec le matériau est également un point que ce projet m’a permi d’aborder.
Case Study House #22
Cadre de l’exercice
Retranscrire un bâtiment choisi en binôme en maquette, dessins géométraux, schémas et ambiances afin d’ouvrir la réflexion sur les maisons individuelles à travers les espaces servis et les espaces servants notamment.
Réponse proposée
Nous avons choisi la Case Study House #22 dite Stahl House réalisée par Pierre KOENIG à Los Angeles en 1960, bâtiment qui s’ancre dans le cadre du Case Study House Program initié par John Entenza, rédacteur en chef de la revue Arts & Architecture. Il s’agit d’une expérience architecturale, se déroulant sur la côte ouest des ÉtatsUnis entre 1945 et 1966, visant à construire des maisons individuelles modernes et économiques en prévision du boom provoqué par le retour de millions de soldats de la guerre.
Notre point d’honneur s’est porté sur le traitement de la structure, fondamentale dans ce projet.
Principaux questionnements amenés
Nous avons remarqué l’importance des avancées technologiques et humaines pour l’architecture mais aussi cette confrontation à la temporalité qui ne touche que nous. Cet empressement avec lequel il a fallu reconstruire après-guerre est une question humaine pour laquelle le bâti devient alors un outil, un moyen d’étayer les nécessités de l’homme.
La capacité à ré-employer des connaissances dans divers domaines permet d’amener à des architectures, voir des courants qui témoignent alors de cette question de génération. On remarque par un mouvement de l’ordre du Case Study House Program une réelle identité qui se creuse au cours du temps.
Cadre de l’exercice
Sur l’ancien site de l’ENSA Nantes divisé en 10 quartiers composés de parcelles carrées de 10 mètres par 10, chaque étudiant doit développer un projet mixte sur une parcelle attitrée et gérer avec les autres étudiants de son quartier les parcelles prévus pour les espaces communs ; le programme mixte devant réunir un logement unifamilial, deux appartements étudiants ainsi qu’un espace commun.
Réponse proposée
Pour traiter l’implantation dans le quartier, les façades lisses ont laissé place à des pans inclinés orientant les vues, l’accès se fait alors en s’immisçant entre deux de ces pans pour monter un escalier qui dessert l’étage des étudiants au R+2 et l’entrée du logement familial au R+1 où l’on descend ensuite par un escalier intérieur dans les espaces plus intimes au RDC. De la même façon au niveau étudiant, l’intimité se fait au fil de marches à descendre et non pas de cloisons.
La forme du toit en pente récupère les eaux de pluie et les stocke dans une cuve alimentant l’espace commun qu’est la laverie.
Un jeu sur les vues, la lumière mais également les doubles niveaux et les marches. En effet, à l’instar de l’architecture japonaise, j’ai voulu jouer sur le traitement de l’intimité et la séparation des espaces par les différences de niveau.
Principaux questionnements amenés
Savoir ancrer l’un dans l’autre deux programmes aux temporalités diverses et organiser les espaces de telle sorte à ce que cette colocation globale fonctionne au mieux était le vrai challenge de ce projet. On parle donc de réaliser un bâtiment qui s’adapte à diverses attentes et se pose alors la question du choix du modulable ou alors de l’adaptable, qui est une question qui m’aura beaucoup intéressée durant ces 3 premières années d’étude.
De plus, c’est avec ce projet que le questionnement sur les façades a commencé à m’intéresser. En effet, est-il mieux de prévoir une façade lisible à tel point que l’intérieur peut se comprendre de l’extérieur? Ou vaut-il mieux choisir l’uniformité au détriment de la praticité et l’adaptabilité? Ou alors faut-il même brouiller toute piste de façade comme nous les connaissons? Et avec tous ces questionnements, que signifie finalement «mieux», qu’est-ce que la bonne solution? Y en a-t-il une?
COUPE AA COUPE BB COUPE DD COUPE CC
COUPE BB COUPE CC COUPE DD
COUPE AA
COUPE AA
COUPE BB COUPE CC COUPE DD
Ici, l’utilisation de parement de façade permet un apport de lumière tout en empechant parcelles environnantes: les vues sont communs présents dans la diagonale Salon (1)
Ici, l’utilisation de parement de façade avec des permet un apport de lumière tout en empechant les parcelles environnantes: les vues sont cadrées communs présents dans la diagonale nord-ouest/sud-est. Salon (1)
Ici, l’utilisation de parement de façade avec permet un apport de lumière tout en empechant parcelles environnantes: les vues sont cadrées communs présents dans la diagonale
de panneaux Circulation
panneaux Circulation
Etudiants
TOIT
(1)
(1)
(1)
(3)
Espace commun
(2) Famille
Etudiants commun
(2)
(3)
Toit incliné Distribution des panneaux en biais les vis à vis avec les cadrées sur les espaces nord-ouest/sud-est.
(2) Famille
Etudiants commun
Toit incliné Distribution
(3)
Famille
COUPE AA COUPE CC
COUPE AA
COUPE CC
façade avec des panneaux en biais empechant les vis à vis avec les sont cadrées sur les espaces diagonale nord-ouest/sud-est.
Toit incliné Distribution avec des panneaux en biais empechant les vis à vis avec les cadrées sur les espaces diagonale nord-ouest/sud-est.
Ma Mycohouse À Tokyo
Cadre de l’exercice
Réaliser une architecture mêlant un espace de vie et un espace intime sur une parcelle de la ville de Tokyo, donc dans un contexte d’architecture dense, et en travaillant un matériau respectueux de l’environnement ou innovant.
Réponse proposée
À l’instar d’une exposition vue au musée Pompidou de Paris en 2019, le matériau que j’ai choisi est à base de mycélium de champignon. Celui-ci, placé dans un moule avec des déchets agricoles, se développe et solidifie. On obtient alors un objet solide et compact aux propriétés acoustiques, thermiques et structurelles performantes qui n’a pas d’impact écologique car c’est un matériau biosourcé et réalisé à partir d’éléments recyclés. En l’expérimentant, j’ai pu constater qu’il pouvait, selon le moule, prendre n’importe quelle forme. J’ai donc cherché à affiner ma matière pour lui donner un effet allégé et prolongé, et ainsi rompre avec l’idée de brique lourde, me permettant architecturalement ensuite de mêler l’intérieur à l’extérieur.
Mon projet se développe en lien non seulement avec mon matériau mais également avec la culture japonaise que j’ai voulu reprendre et étudier pour traiter mes espaces. Les dimensions de ceux-ci sont alors basées sur celles d’un tatami. Mon premier espace traite l’intimité à la rue via un jeu de marches et de murs successifs en chicane qui mettent le visiteur face à la matérialité brute des briques de mycélium. On découvre ensuite un espace ouvert sur l’onsen central (bain thermal japonais) tout en restant couvert par un toit courbe qui invite à la contemplation du ciel. On descend quelques marches pour déambuler autour du onsen et atteindre les espaces du fond de parcelle. En passant par la gauche, on rentre dans l’espace de vie ancré dans le sol, néanmoins, en passant par la droite, on accède à un espace en hauteur plus intime qui vient s’élever vers le ciel et offre un shakei tsukimi, un cadrage sur la Lune. Les murs mitoyens viennent s’encocher avec ceux de l’espace de vie pour créer des vues latérales ainsi qu’un espace mitoyen en commun avec la parcelle voisine.
Principaux questionnements amenés
D’un côté, la reflexion poussée sur le matériau utilisé et la connaissance qu’il faut en avoir pour le traiter le plus justement dans son projet. D’un autre, l’intégration d’un projet dans une culture au-delà des clichés et du copiécollé mais dans la véritable compréhension des concepts sous-jacents. Enfin, toujours la réflexion sur les marches intimisantes et les accès en chicane.
35°44’57.6 N 139°46’50.9 E
choisi est à base de champignon. Celui-ci, placé des déchets agricoles, solidifie. On obtient alors compact aux propriétés thermiques et structurelles n’a pas d’impact un matériau biosourcé d’éléments recyclés. j’ai pu constater qu’il moule, prendre n’importe j’ai cherché à affiner donner un effet allégé l’intérieur à l’extérieur.
Apolline CATTÉ Parcelle 2-A m² 91 m² 32 m² 40 m² 5 m² 18,2 m² 6,83
Mon projet se développe alors en lien non seulement avec mon matériau mais également avec la culture japonaise que j’ai voulu reprendre et étudier pour traiter mes espaces.
Les dimensions de ceux-ci sont alors basées sur celles d’un tatami.
Mon premier espace traite l’intimité à la rue via un jeu de marches et de murs successifs qui mettent le visiteur face à la matérialité brut des briques de mycélium. On découvre ensuite un espace ouvert sur l’onsen central (bain thermal japonais) tout en restant couvert par un toit courbe qui invite à la contemplation du ciel. On descend quelques marches pour déambuler autour du onsen et atteindre les espaces du fond de parcelle. En passant par la gauche, on rentre dans l’espace de vie invitant l’extérieur à l’intérieur de part des murs qui s’affinent. Néanmoins, en passant par la droite, on accède à un espace en hauteur
Le matériau mycélium dans un moule se développe un objet acoustiques, performantes écologique et réalisé En l’expérimentant, pouvait, selon quelle forme. ma matière et prolongé,
Détail du plan masse 500
matériau que j’ai choisi est à base de de champignon. Celui-ci, placé moule avec des déchets agricoles, développe et solidifie. On obtient alors solide et compact aux propriétés acoustiques, thermiques et structurelles performantes qui n’a pas d’impact écologique car c’est un matériau biosourcé réalisé à partir d’éléments recyclés. l’expérimentant, j’ai pu constater qu’il selon le moule, prendre n’importe forme. Ainsi, j’ai cherché à affiner matière pour lui donner un effet allégé prolongé, mêlant l’intérieur à l’extérieur.
cadrage de la lune rapport au sol
Parois qui s’affinent et mitoyenneté
cadrage de la lune
Mon projet se développe alors en lien non seulement avec mon matériau mais également avec la culture japonaise que j’ai voulu reprendre et étudier pour traiter mes espaces.
Les dimensions de ceux-ci sont alors basées sur celles d’un tatami.
transition de la rue au privé
transition de la rue au privé
transition de la rue au privé
Mon premier espace traite l’intimité à la rue via un jeu de marches et de murs successifs qui mettent le visiteur face à la matérialité brut des briques de mycélium. On découvre ensuite un espace ouvert sur l’onsen central (bain thermal japonais) tout en restant couvert par un toit courbe qui invite à la contemplation du ciel. On descend quelques marches pour déambuler autour du onsen et atteindre les espaces du fond de parcelle. En passant par la gauche, on rentre dans l’espace de vie invitant l’extérieur à l’intérieur de part des murs qui s’affinent. Néanmoins, en passant par la droite, on accède à un espace en hauteur plus intime qui vient s’élever vers le ciel et offre un shakei tsukimi, un cadrage sur la Lune.
cadrage de la lune rapport au sol
écologique car c’est un matériau biosourcé et réalisé à partir d’éléments recyclés. En l’expérimentant, j’ai pu constater qu’il pouvait, selon le moule, prendre n’importe quelle forme. Ainsi, j’ai cherché à affiner ma matière pour lui donner un effet allégé et prolongé, mêlant l’intérieur à l’extérieur. Mon projet se développe alors en lien non seulement avec mon matériau mais également avec la culture japonaise que j’ai voulu reprendre et
Les murs mitoyens viennent s’encocher avec ceux de l’espace de vie pour créer des vues latéral ainsi qu’un espace mitoyen en commun avec la parcelle 3-A.
Murs successifs
cadrage de la lune Murs successifs
Murs successifs
Le matériau que j’ai choisi est à base de mycélium de champignon. Celui-ci, placé dans un moule avec des déchets agricoles, se développe et solidifie. On obtient alors un objet solide et compact aux propriétés acoustiques, thermiques et structurelles performantes qui n’a pas d’impact écologique car c’est un matériau biosourcé et réalisé à partir d’éléments recyclés. En l’expérimentant, j’ai pu constater qu’il pouvait, selon le moule, prendre n’importe quelle forme. Ainsi, j’ai cherché à affiner ma matière pour lui donner un effet allégé et prolongé, mêlant l’intérieur à l’extérieur. Mon projet mais également étudier pour Les dimensions Mon premier de murs successifs des briques l’onsen central toit courbe marches pour fond de parcelle. de vie invitant Néanmoins, plus intime cadrage sur Les murs pour créer la parcelle
Les dimensions de ceux-ci sont alors basées sur celles d’un tatami. Mon premier espace traite l’intimité à la rue via un jeu de marches et de murs successifs qui mettent le visiteur face à la matérialité brut des briques de mycélium. On découvre ensuite un espace ouvert sur l’onsen central (bain thermal japonais) tout en restant couvert par un toit courbe qui invite à la contemplation du ciel. On descend quelques marches pour déambuler autour du onsen et atteindre les espaces du fond de parcelle. En passant par la gauche, on rentre dans l’espace de vie invitant l’extérieur à l’intérieur de part des murs qui s’affinent. Néanmoins, en passant par la droite, on accède à un espace en hauteur plus intime qui vient s’élever vers le ciel et offre un shakei tsukimi, un cadrage sur la Lune.
Les murs mitoyens viennent s’encocher avec ceux de l’espace de vie pour créer des vues latéral ainsi qu’un espace mitoyen en commun avec la parcelle 3-A.
Parois qui s’affinent et mitoyenneté
Le matériau que j’ai choisi est à base de mycélium de champignon. Celui-ci, placé dans un moule avec des déchets agricoles, se développe et solidifie. On obtient alors un objet solide et compact aux propriétés acoustiques, thermiques et structurelles performantes qui n’a pas d’impact écologique car c’est un matériau biosourcé et réalisé à partir d’éléments recyclés. En l’expérimentant, j’ai pu constater qu’il pouvait, selon le moule, prendre n’importe quelle forme. Ainsi, j’ai cherché à affiner ma matière pour lui donner un effet allégé et prolongé, mêlant l’intérieur à l’extérieur. Mon projet mais également étudier pour Les dimensions Mon premier de murs successifs des briques l’onsen central toit courbe marches pour fond de parcelle. de vie invitant Néanmoins, plus intime cadrage sur Les murs mitoyens pour créer la parcelle masse
Le matériau que j’ai choisi est à base de mycélium de champignon. Celui-ci, placé dans un moule avec des déchets agricoles, se développe et solidifie. On obtient alors un objet solide et compact aux propriétés acoustiques, thermiques et structurelles performantes qui n’a pas d’impact écologique car c’est un matériau biosourcé et réalisé à partir d’éléments recyclés. En l’expérimentant, j’ai pu constater qu’il pouvait, selon le moule, prendre n’importe quelle forme. Ainsi, j’ai cherché à affiner ma matière pour lui donner un effet allégé Mon projet mais également étudier pour Les dimensions Mon premier de murs successifs des briques l’onsen central toit courbe marches pour fond de parcelle. de vie invitant Néanmoins, plus intime cadrage sur Les murs pour créer la parcelle masse ème
Parois qui s’affinent et mitoyenneté
Parois qui s’affinent et mitoyenneté
Cadre de l’exercice
Dans le cadre des enseignements de dessin, réaliser un dessin en noir et blanc au fusain sur un grand format papier (2,5 x 1 m) et ensuite en ressortir un objet, une structure, un volume.
Réponse proposée
L’idée d’origine était de reprendre la structure des halles des machines de l’île de Nantes en la réinterprétant déjà. En effet, il s’agit d’une structure dans laquelle on se perd, où on ne sait plus ni où elle commence, ni où elle s’arrête, ni dans quel sens la regarder. Ainsi, c’est avec un jeu de plans et de volumes qui s’encochent suivant une perspective faussée que j’ai choisi de mettre en scène cette sensation. Ce jeu passait également par la pigmentation qui se devait intense puis relâchée, et enfin imperceptible. Le passage au volume était alors déjà engagé par l’espace que le grand format finissait par créer. J’ai voulu mettre en avant la matérialité en utilisant des pans de matières aux qualités différentes, que je n’avais plus qu’à encocher les uns dans les autres pour symboliser la simplicité efficace de la structure, mais également l’aspect modulaire : de 6 rectangles à encoches, nous pouvons créer une quantité infinie de modules. Au-delà même d’un assemblage différent, il est possible de former des volumes aux effets distincts en changeant simplement l’orientation de l’œuvre ou l’endroit d’où on la regarde.
Principaux questionnements amenés
La création de ce volume sans fonction mais simplement par l’assemblage de divers matériaux mène à une autre façon de concevoir les espaces.
Le fait de pouvoir changer l’orientation de l’objet final mais aussi l’agencement des diverses pièces apporte de la richesse à ce module dit n°7 tiré d’une lignée d’un grand nombre de potentiels modules.
1. Grand format, fusain sur papier blanc
2. Photo de la maquette en vertical 3. Photo de la maquette en vertical 4. Photo de la maquette en horizontal
Logements Zoidberg
Cadre de l’exercice
Projet de quartier d’habitation sur la place Zola. Il s’agit de requalifier cette place au nord-est de Nantes, sur une parcelle partagée à 5 étudiants en développant un projet individuel après avoir fait une analyse de site collective.
Réponse proposée
Mon projet s’implante au Nord de la place Zola. Il vient compléter l’îlot existant et est l’un des premiers bâtiments que l’on voit en arrivant depuis le boulevard. La forme de mon bâti découle alors de la volonté de guider les habitants et d’inviter les visiteurs sur la place sans pour autant dénaturer le site : il s’agit d’un bâtiment en R+1 uniquement et dont le sol vient se raccorder aux limites du jardin du voisin. L’entrée du bâtiment s’effectue via une ruelle depuis la place. Des seuils d’intimité sont alors successivement franchis : les grandes dalles de béton de la place deviennent des pavés plus petits, on passe sous les circulations du R+1 pour arriver sur un patio central arboré, puis on monte les escaliers communs jusqu’aux coursives qui desservent les logements par le Nord. Cette disposition permet d’avoir des logements en duplex avec des espaces extérieurs orientés Sud au R+1. On y retrouve également la cuisine et la salle à manger ouverte sur le RDC où l’on descend pour trouver les espaces plus intimes, rejoignant le niveau du patio central par un jardin d’hiver. Une surélévation de 60 cm ainsi que la topographie descendante permettent de prendre du recul entre les chambres du RDC au Nord et l’espace public extérieur. Les seuls logements qui ne sont pas des duplex sont les logements étudiants qui sont à l’écart des autres pour des raisons de rythme de vie différent. L’espace vacant ainsi libéré au RDC permet d’aménager l’entrée du parking au Nord ; le local vélo et la laverie partagée au Sud. Le toit en pente en ardoise favorise à la fois la cohérence du projet et la récupération des eaux pluviales jusqu’à une cuve au R-1 qui permet d’alimenter les machines à laver. Enfin, alors que le bardage en bois brûlé, choisi pour des raisons d’esthétique et d’entretien, visible depuis l’espace public permet d’attirer l’attention et de lier les courbes du bâti, le béton blanc intérieur intègre lui une neutralité en lien avec les couleurs des maisons existantes.
Principaux questionnements amenés
Le questionnement du seuil est au centre des réflexions. En effet, travailler sur les diverses façons de traverser des espaces aux fonctions différentes aura été central durant ce semestre et m’aura permi de m’en créer un répertoire.
niveau du patio central par un jardin d’hiver. Une surrélévation de 60 cm ainsi que la topographie descendante me permettent de prendre du recul entre les chambres du RDC au Nord et l’espace public extérieur. Les seuls logements qui ne sont pas des duplex sont les logements étudiants qui sont à l’écart des autres pour des raisons de rythme de vie différent. L’espace vacant ainsi libéré au RDC permet d’aménager l’entrée du parking au Nord; le local vélo et la laverie partagée au Sud. Le toit en pente en ardoise favorise à la fois la cohérence du projet et la récupération des eaux pluviales jusqu’à une cuve au R-1 qui permet d’alimenter les machines à laver.
Enfin, alors que le bardage en bois brûlé, choisi pour des raisons d’esthétique et d’entretien, visible depuis l’espace public permet d’attirer l’attention et de lier les courbes du bâti, le béton blanc intérieur intègre lui une neutralité en lien avec les couleurs des maisons existantes. 1/100
En été, les feuillages des arbres du patio créent de l’ombre à la fois sur le patio et dans le jardin d’hiver. On profite alors d’un espace ensoleillé extérieur au R+1 et d’un espace ombragé au RDC.
En été, les feuillages des arbres du patio créent de l’ombre à la fois sur le patio mais également dans le jardin d’hiver. On peut alors à la fois profiter d’un espace ensoleillé extérieur au R+1 et d’un espace plus ombragé au RDC et d’un espace ombragé commun dans le patio.
Coupe AA - ÉTÉ
1/100
Coupe AA - HIVER
1. Coupe ambiance estivale 2. Coupe ambiance hivernale 3. Plan RDC zoom d’un logement 4. Plan R+1 zoom d’un logement 5. Plan du R+1 6. Plan du RDC
Coupe AA - ÉTÉ
Maquette coupe, vue interne
Maquette coupe
Maquette coupe
Vue sur la cour depuis les terrasses du R+1
Vue sur la cour depuis le RDC d’un logement
Vue des espaces de vie au R+1
LAL Logements
Cadre de l’exercice
Sur une parcelle de l’île de Nantes au niveau de l’arrêt de tramway Wattignies, un ensemble de groupes de 3 étudiants doivent créer un quartier d’habitation en pensant également au traitement des espaces communs. Il s’agit de réaliser un minimum de 35 logements en identifiant le bâtiment à la topologie remarquée durant l’étude de bâtiment.
Réponse proposée
Implanté dans le nord-est du quartier, notre parcelle se trouve à la charnière de l’espace public et du cœur de notre quartier, par conséquent, le RDC se veut libre à la fois d’accès et de bâti, et le traitement du sol est le même que celui du reste du quartier afin d’accentuer cette idée de fluidité et d’hybridation.
Le RDC regroupe une salle étudiante (car le R+1 est spécifié aux étudiants), des locaux vélos et deux galeries.
En adaptation à l’orientation de la parcelle, nous avons choisi de créer des différences de niveaux afin de maximiser les apports solaires. De plus, chaque logement bénéficie d’une double orientation. Le bâtiment est percé de failles, dans lesquelles nous avons inséré les circulations verticales permettant de desservir 2 à 3 logements par palier. Ce processus de faille se retrouve également dans la mise à distance des diverses loggias. De par notre typologie en bâtiment fin à cours pouvant s’assimiler à une barre se repliant sur elle-même, nous développons un linéaire de façade généreux permettant de créer des loggias qui se différencient de l’ensemble bâti en béton par leur structure légère en métal. En suspension et toutes raccrochées entre elles, ces loggias forment une structure secondaire indissociable de l’ensemble pour leur maintien. Cette enveloppe métallique, a fonction de tirant permet également de palier au problèmes liés à la surchauffe et au vis-à-vis selon l’orientation et le voisinage. Nous avons ainsi plusieurs filtres entre le logement et la rue : l’enveloppe et la mise à distance par la loggia de 2m de large. La capacité de pouvoir ouvrir les loggias comme des volets, crée un certain dynamisme de façade et permet l’adaptabilité de l’enveloppe aux envies et conditions extérieures.
L’angle tronqué, et sa triple exposition nous a permis d’insérer deux duplex en symétrie. Les façades permettent de lire les usages intérieurs: le mur plein signifie la présence de salle d’eau tandis que le reste est totalement vitré, l’enveloppe se retrouve donc en extérieur mais également en intérieur du bâtiment, permettant des espaces agréables et lumineux grâce à la double orientation.
Principaux questionnements amenés
Notre travail s’est beaucoup centré autour d’une réflexion sur la lumière, les ambiances et la qualité des espaces malgré les contraintes. Il me semble que c’est un critère pertinent en architecture que de savoir contourner et user des contraintes pour en faire ressortir un projet d’autant plus complet et juste.
De plus, ça a aussi été l’occasion d’échanger nos savoirs-faire dans divers domaines étant donné que nous venions toutes les trois d’une option de projet de S3 différente. Nous avons donc pu échanger en termes de qualité graphique, de rendus réalistes, de cohérence du plan et des espaces.
1. Vue globale
2. Vue de la percée en diagonale au RDC 3. Vue d’une loggia 4. Vue de l’espace galerie du RDC
Acqua Gnis
Cadre de l’exercice
Travailler sur la matière et la lumière sans penser à une réelle fonction d’espace mais purement en terme d’ambiance. L’idée était de faire un rendu uniquement sous forme de maquette.
Réponse proposée
À l’instar de Pierre Soulages ou encore Ansih Kapoor avec le vantablack, ma volonté était de ramener l’attention sur la matérialité des couleurs les plus sombres et d’essayer d’en faire ressortir les plus profondes ambiances. L’idée était ainsi de troubler les perceptions humaines, les premiers jugements que l’on porte sur ce que nos yeux nous transmettent. «Je vois des silhouettes oscillantes rouges orangées, je vois du feu.» Ici pourtant, il s’agit de reflets d’eau. Et c’est ce genre de sentiment de surprise, de découverte a posteriori que j’ai voulu retranscrire dans cet espace.
Principaux questionnements amenés
Devoir travailler avec le peu de matériel à portée de main du au premier confinement pour le Covid en mai 2020 m’a poussé à développer mon imagination et à considérer d’une autre manière la réalisation matérielle d’un espace.
De plus, ma volonté de travailler dans les pas d’artistes d’autres domaines que l’architecture m’aura un peu ramené à l’exercice de maison des récits au S1 et donc à cet aspect du clin d’oeil qui m’intéresse.
1. Peinture de Pierre Soulages
2. Photo de la maquette, à t=T0 3. Photo de la maquette, à t=T0+1 4. Photo du montage
Trilogie
Cadre de l’exercice
Dans la ville de Paimboeuf dans l’estuaire de la Loire, après une analyse de site poussée et centrée pour chaque groupe sur une thématique précise (pour nous : la gouvernance), il s’agissait de développer un projet de bâtiment public qui vienne étayer la ville, apporter ce qu’il lui manque, ce dont elle a besoin, ce dont les habitants ont envie. A trois sur ce projet, nous devions développer finalement chacun de notre côté une partie du projet.
Réponse proposée
Dans l’optique de proposer une alternative au projet de l’hôpital sur le site de l’ancienne ecole, nous finissons par imaginer le cycle de vie de notre projet en lien étroit avec l’hopital et en plusieurs phases de développement. Il s’agit de jouer le rôle de coulisse en utilisant un site disponible immédiatement : on y place les assos, un café associatif, une MAM et un espace de coworking dans un premier temps. Puis au fur et à mesure que le projet de l’hôpital avance, certains usages de notre projet se déplacent et finalement, dans la dernière phase, on ne retrouverait plus que 13 Arts, Retz Activités et des salles de réunion. Ma partie à développer correspond à l’ancien batiment du collège, dans la troisième phase. Le patrimoine, nécessaire à la fois par son rôle dans l’histoire architecturale de Paimboeuf et dans sa charge émotive pour les Paimblotins, est un élément qui pose des questions d’interprétation. En effet, il faut se laisser libre dans l’acte de projet tout en restant cohérent et respectueux du patrimoine, ceci amenant à des questionnements et des prises de position. Il n’est ici pas question de réhabilitation (mettre aux normes) ni de restauration (rétablir à l’état d’origine) mais de « réinvention étayée », à l’instar de Viollet-le-Duc, et via le mono-matériau : le béton noir teinté dans la masse.
L’architecture nouvelle vient s’ancrer, s’accrocher, s’insérer, traverser le bâtiment existant pour le révéler. Le parti prix de distinguer nettement le neuf de l’ancien contribue à révéler les qualités premières de cet édifice et à améliorer ses points faibles. Ici il s’agit d’apporter de la lumiere naturelle et de mettre en avant des espaces délaissés.
Mi sculpture, mi architecture, cette masse envahissante devient œuvre dans le paysage de l’ancien bâti et se développe tout en continuité : le comptoir du hall se prolonge en marches d’escalier et se transforme plus on avance dans le bâtiment en mur d’affichagen en assise, en encadrure de fenêtre, en pan vertical en biais, en gardecorps, tout en passant à la fois à l’intérieur et à l’extérieur...
Principaux questionnements amenés
La réalisation d’un projet d’ordre public et non de logement, dont nous sommes qui plus est à l’origine du programme, a été une expérience vraiment enrichissante car elle nous aura amené à concevoir la réalisation d’un projet de façon plus concrète dès le commencement.
De plus, il s’agit d’un projet qui m’a apporté des pistes sur la question de réhabilitation de patrimoine.
1. Vue du parvi de l’église de nuit 2. Vue de l’espace Retz Activité au R+1 3. Vue du jardin 4. Vue de la cour
Collage manifeste du projet
Casa sul lago di Garda
Cadre de l’exercice
Il s’agit de réaliser un bâtiment au programme mixte en mêlant une habitation et un studio d’architecte, implanté dans un site en pente et s’inspirant des maisons à cour de Mies van der Rohe.
Réponse proposée
Ho scelto come sito un luogho in Brenzone del Garda, in la regione del Veneto, vicino al lago di garda. Volevo fare un progetto che reinterpreta la visione di Mies van der Rohe con le sue casa a corte. Per questo, mi sono ispirato da Mondrian per la sua organizzazione gerarchica e spaziale, tra densita e respirazione, dando un aspetto astratto al concreto dell’architettura allo stesso modo della villa Mattoni con Theo van Doesberg. Abbiamo in totale sei cortile con diverse atmosfere che giocano sia con il paesaggio che con l’acqua. Quindi, il progetto se svilupa in sei blochi che seguono la pendenza, per rivelare questo paesaggio eccezionale. L’idea qui non è di lavorare con grandi finestre che sono interamente aperte alla vista, ma piuttosto di preservarla introducendo viste incorniciate. Così, ci sono aperture tra i diversi blocchi del livello meno due, aprendo le viste come un stroboscopo. I cortili sono limitati da muri di cemento con grandi aperture sul paesaggio, come quadri. Troviamo anche in vari luoghi sezioni di muri orientati, bloccando la vista in una direzione e aprendola nell’altra. Si sviluppa davvero un gioco tra realtà e percezione, tra limiti fisici e visivi.
Al piano terra, c’è il studio di architettura con l’ingresso, la galeria con questo camino con muri orientati la sala d’attesa, il segretaria e doppo la sala disegnatori che scende fino alla cucina al piano meno uno aperta sulla corte del studio di architettura. Al livello meno uno, abbiamo la sala riunioni e l’ufficio architetto e finalmente al piano meno due c’è la biblioteca con archivio.
Poi, torniamo al piano terra per andare all’abitazione. Un gioco di livelli si sviluppa per intimidire gli spazi. Siamo nel ingresso al stesso livello che il garage, la cucina e la sala da pranzo, doppo devi scendere per essere al livello della sala musica e ancora scendere un po di piu per andare al soggiorno. Quando scendi fino al livello meno due, ci sono la sala TV e la sala giochi che non hanno bisogno di molta luce e doppo al piano meno due l’accesso alle parte piu intimi in diversi blochi.
C’è primo la stanza matrimoniale con una corte con una vasqua, doppo le due camere da letto con una corte solarium. L’accesso a questi due blochi à tra un camino coperto con viste sul paesaggio intorno alla vasqua cetrale, come la spina dorsale del progetto, isolato con finestre entere. Doppo per andare al sauna, devi andare fuori, con una corte con solarium e vasqua. Finalmente, c’è la casa degli ospiti, che ha anche un accesso privato per il norte o con l’ascensore del studio di architettura.
Possiamo anche vedere che il prospetto sulla via sembra opaco, monolitico, chiuso.
Principaux questionnements amenés
Réaliser ce projet m’aura permis de m’améliorer notamment en terme de détails constructifs, ayant été suivi par des professeurs de dessin architectural et par des professeurs de systèmes constructifs.
De plus, je me suis beaucoup rensigné et cultivé sur les matériaux, le traitement des matières pour le service des ambiances.
Je me serai également grandement plongée dans les intentions architecturales qui m’ont intéressées depuis le début de mes études d’architectures, tels que les différences de niveau, les pans inclinés, les espaces tampons...
1. Plan de localisation
Plan masse
Plan du RDC 4. Plan du R-1
Plan du R-2
1. Axonométrie du projet
2. Photo de la maquette
3. Photo de la maquette
1. Vue sur la cour du R-2 et les percées sur le lac
Vue sur la cour de la ‘casa degli ospiti’
Axonométrie d’un détail du projet
ELevation d’un détail du projet
Détail des fondations
Détail de l’isolation en toiture
Coupe transversale
Coupe longitudinale
I D U S
Cette section regroupe les projets de design que j’ai réalisé dans le cadre de mon Erasmus au S6 à l’Instituto Universitario di Architettura di Venezia (IUAV) de Venise.
J’ai eu l’occasion de choisir un cours de ‘laboratorio di design del prodotto industriale’ et cela m’a permis d’enfin essayer, investir ce champ qui m’a toujours intéressé. La création de cette section résulte et témoigne alors de mon envie de continuer à approfondir le design en parallèle de l’architecture. (Professeure Rafaela Fagnoni).
BorSedia
Cadre de l’exercice
Il s’agit de mon premier projet de design d’objet industriel durant mon Erasmus à Venise. Réaliser une chaise qui puisse être montée et démontée aisément avec pour objectif d’inventer une nouvelle tradition à l’image de la tradition de faire et boire du café en italie.
Réponse proposée
Dans cette démarche d’inventer une nouvelle tradition, j’ai donc développé celle-ci : ‘Questa sedia non è una sedia, perché è prima di tutto una borsa. Lo portiamo ovunque con noi, lo usiamo per trasportare i nostri piccoli oggetti essenziali. Tuttavia, questa sedia non è una borsa riservata alle donne, è unisex. Questa sedia è la salvezza di tutti coloro che non amano lo shopping. Lo portiamo con noi per accompagnare il nostro compagno in questo compito pesante che è lo shopping e poi nel momento stesso in cui varca la soglia di un negozio, lo dispieghiamo e lo montiamo per fare la sedia che ci riposerà in tutta discrezione. Poi, c’è solo da smontare e piegare per mettere i numerosi acquisti del suo compagno, passeggiare al negozio successivo dove il processo sarà ripetuto. Con una maniglia che si adatta perfettamente alla mano, trasportare una sedia non è mai stato così comodo. E con un sedile così solido, sedersi su una borsa non è mai stato così efficiente.
Invent are una tradizione:
Sedersi durante lo shopping
Principaux questionnements amenés
Pour une première experience en design de produit, j’ai pu observer une certaine proximité avec la manière de développer un projet architectural. De plus, j’ai trouvé intéressant ici de penser à un objet évolutif, un objet qui existe et ne prend forme qu’en présence de l’Homme.
1. Schéma explicatifs de l’idée
2. Photo du ‘prodotto’ comme ‘borsa’ 3. Photo du ‘prodotto’ comme ‘sedia’ 4. Notice de montage 5. Photo des différentes dispositions
Cadre de l’exercice
“Bottegattiva, Vivere il quartiere Piave” è un progetto di rigenerazione urbana che intende valorizzare le attività artigianali e commerciali di servizio per i cittadini, che fungono da veri e propri presidi sociali in grado di garantire qualità all’area e lo sviluppo di relazioni e capitale sociale, contribuendo attivamente alla vivibilità del Quartiere.
Réponse proposée
Il tutto è composto da tessuto di cotone juta e un cordoncino rosso che percorre il perimetro del foglio entrando e uscendo da degli occhielli metallici. L’idea è quella di proporre qualcosa di estremamente semplice ed economico, leggibile da un punto di vista formale e che rispetti la dimensione conviviale della bottega. La suggestione di convivialità trasmessa dalle botteghe, che ancora oggi mantengono viva la tradizione, è racchiusa in questo packaging, che da un lato ricorda le modalità spontanea con cui le nostre nonne incartano le pietanze per portarcele via per il giorno dopo, dall’altro la sua identità si rivela nei dettagli. Non sempre la convivialità è sinonimo di abbozzato.
Un packaging semplice, leggero e capiente. Tò non impone la sua forma al contenuto, ma lo rispetta e lo lascia intuire.
Principaux questionnements amenés
Réaliser un travail en étant ancré dans un contexte concret de concours aura été intéressant, d’autant plus que la restitution était à Mestre, dans le quartier Piave pour lequel nous réalisions ce projet et avec la présence des acteurs à l’origine du lancement de ce concours.
Ce troisième et dernier travail de design de mon Erasmus aura bien conclut mon expérience, avec la réflexion sur la forme dans le laisser-aller mais également dans la simplicité. Avec un minimum de matériau, et un minimum de blocages imposés, le projet se révèle souvent le plus pertinent.
1. Photo de l’exposition au cloître de Mestre 2. Photo du produit fini ouvert 3. Photo du produit fini fermé
O R P H I E G A
Cette section regroupe de la matière extra-scolaire, amassée au cours des dernières années. Munie d’un appareil photo argentique (Minolta) et d’un numérique (Olympus E-M10 III), on retrouve des photos de voyage, de moments quotidiens, de balades, d’amis, pour une section qui n’aura de cesse de se voir alimentée par cette nouvelle passion déclenchée ou plutôt appuyée par mes études d’architecture, me poussant à observer les espaces qui m’entourent.
1. Nantes, ENSAN, argentique
2. Nantes, République, argentique 3. Nantes, Loire, argentique
1. Biarritz, argentique
2. Murano, Italie, argentique 3. Capbreton, argentique
1. Nantes, numérique 2. Arles, fondation LUMA, numérique 3. Nantes, numérique
1. Paris, métro, argentique
2. Paris, argentique 3. Paris, BNF, argentique
1. Nantes, Gâchen numérique 2.Agrigente, Sicile, numérique 3. Arles, Roquette, numérique
O R P H I G A E
Cette section regroupe finalement les écrits que j’ai lu et qui m’ont transportée, inspirée, guidée durant mes études d’architecture, autant bien dans la réalisation de projets architecturaux que d’écrits de mémoire vive ou de récits pour le prix Henry Jacques-Le-Même.
Ils représentent la petite bibliothèque qui soutient mes idées et pensées sur l’architecture, le bâti, le paysage, le monde urbain.
1. J.Souteyrat / M.Tardits / V.Hours / F.Mauduit, L’Archipel de la Maison, LE LÉZARD NOIR,
2. O.Darmon, Habiter les ruines, ALTERNATIVES, 2016 2014
3. J.Baudrillard, Vérité ou radicalité de l’architecture?, SENS&TONKA, 2013
4. M.Enard, Parle-leur de batailles, de rois et d’éléphants, ACTES SUD, 2010
5. R.Piano, La désobéissance de l’architecte: conversation avec Renzo Cassigoli, ARLEA, 2009
6. B.Munari, Design as Art, PYRAMID, 2012
7. W.H.Whyte, The Social Life of Small Urban Places, PROJECT FOR PUBLIC SPACES, 1980
8. B.Zevi, Le langage moderne de l’architecture, PARENTHESES, 1978
9. P.Zumthor, Penser l’architecture, BIRKAUSER, 2007