Harcèlement Collectif

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INVASION DE L'ESPACE (Crowding – affolement) L'invasion de l'espace comprend des actions comme bloquer, couper la route ou entourer complètement la victime de façon à ce qu'elle ne puisse pas se bouger (technique appelée swarming) ou ce que certaines des victimes définissent crowding (affolement). Les victimes peuvent être entourées par des individus qui portent des couleurs ou objets auxquels elles ont été sensibilisées auparavant. Le crowding prolongé peut avoir un effet extrêmement négatif sur la santé mentale/émotive et les personnes qui projètent ce type de harcèlements en sont évidemment bien conscientes. Alors que certaines cultures peuvent être plus immunisées que d'autres au crowding, même les personnes provenantes de parties du monde historiquement affolées réagissent au crowding avec beaucoup de stress. La violation délibérée et non demandée de l'espace personnel d'une personne constitue une véritable agression. Le langage du corps est plus précis et fiable de la communication verbale, étant donné que la majeure partie de ces communications non verbales est inconsciente. L'étude de ce langage a été définie cinesica sociale (c'est-à-dire l'étude de la communication corporelle). Ce type de communication consiste en deux composantes : une comprend les mouvements, les geste, les comportements, l'autre s'occupe des relations spatiales et est appelée prossemica. En Amérique Septentrionale, la majeure partie des personnes considère le propre espace intime la zone de 0 à 50cm autour d'elle, alors que l'espace personnel va de 30cm à 1,20m à peu près. Ce genre de communication est utilisé pour harceler les personnes. Par exemple, dans les magasins, restaurants, et autres lieux publics non affolés, la victime subit l'invasion du propre espace personnel de la part d'autres personnes, cela arrive même si dans le magasin il y a seulement deux client. Si la victime se déplace d'un endroit à l'autre, plusieurs personnes lui sauteront dessus à l'improviste ou la coinceront dans des angles ou contre des rayons. L'invasion délibérée de l'espace utilisé par ces personnes est projetée de façon à apparaitre comme des rencontres normales et heurts qui peuvent arriver occasionellement. Elle peut être effectuée avec des véhicules, à pieds, ou dans une combination des deux. Evidemment, ce type d'invasion de l'espace a comme but d'alarmer les personnes et les rendre tendues. Elle peut être considérée comme une claque virtuelle. Cela arrive dans des aires aveugles, comme des angles, entrées, toilettes ou carrefours où les victimes trouvent leur route coupée par des personnes ou des véhicules, même presque heurtées de façon calculée; cela arrive dans les magasins à l'intérieur des édificeset dans la rue; des personnes et des véhicules peuvent être impliqués. Dans certains heurts organisés artificiellement, l'exécuteur est entrevu à distance. La victime et un ou plus exécuteurs se dirigent vers la même destination et ce est utilisé pour maximiser l'effet de l'affolement. Le point de destination peut être un angle, un passage, un lampadaire ou un arbre. Les exécuteurs se synchronisent de façon à rencontrer la victime dans l'endroit exacte où est disponible l'espace minimum pour permettre à tous de passer, obtenant le résultat maximum dans l'envahissement de l'espace personnel de la victime. En apparence, l'idée est capturer l'attention de la victime et la mettre mal à l'aise. Alors qu'ils attendent en file pour une raison quelconque, il arrive aux victime de trouver derrière elles des membres du groupe à 30cm de distance voire même moins, qui au lieu d'attendre que la victime s'en aille, ils s'affolent autour, en l'approchant ou la dépassant pour rejoindre les premiers rayons et prendre ses propres articles.


Si la victime se trouve dans une zone ouverte fréquentée, il peut lui arriver de voir une vague de personnes bouger dans sa direction pour l'entourer. Si la victime se déplace puis s'arrête et attend quelques instants elle voit comme l'activité inhabituelle retourne au niveau normal après le passage de la vague. Cet essai peut être effectué à l'intérieur comme à l'extérieur. La vague régule ses propres temps de façon évident, ou elle s'attarde un petit peu jusqu'à ce que la victime recommence à bouger, puis elle reprend son activité. Ces tactiques de blocage et d'affolement résultent d'un obstacle sur le parcours qui suit les personnes où qu'elles aillent. (**) Mais cela ne suffit pas, les victimes sont bloquées soit à pied, soit dans les véhicules. Par exemple, quand une victime quitte un parking, un véhicule ou une personne se trouvera sur sa route, généralement pour peu de temps- Ce sont des choses qui arrivent à tous, de temps en temps, mais aux victimes cela arrive continuellement, à n'importe quelle heure du jour et indépendemment de combien l'endroit soit traffiqué. L'invasion de l'espace dont nous parlons a lieu dans des heures/jours où sont normalement présentes peu de personnes. Cela arrive dans les magasins alors que l'on fait des achats, dans les restaurants, dans les bureaux : aux victimes, en continuation, la route est coupée, l'espace envahit, à travers des programmes de sensibilisation ou autres tactiques de harcèlements. S'il y a seulement un client dans le magasin, il fera probablement en sorte d'envahir l'espace personnel de la victime. Par exemple, la victime est à l'intérieur et il n'y a pas foule, toutefois, elle remarque que plusieurs personnes au lieu de parcourir le chemin le plus bref vers leur destination, elles parcourent une distance double ou triple seulement pour pouvoir la toucher ou lui couper la route. Voici un exemple personnel arrivé à l'YMCA (association des jeunes chrétiens) de Boston, peu après que je me rende compte d'être victime de gang stalking (harcèlement de groupe). A ce moment, dans la salle des poids où il y avait 4 personnes, moi incluse. Après quelques instants, j'ai remarqué une activité inhabituelle dans la manière de frapper les poids, plus bruyante et plus répétitive que d'habitude, je m'entrainais et fréquentais des salles de fitness depuis quinze ans environ, donc je me suis immédiatement rendue compte que ces personnes exagéraient de manière répétitive pour produire le plus de bruit possible. Je me suis assise sur une planche et j'ai commencé à faire des flexions avec les poignets. Deux élèves sont arrivés, qui en se positionnant sur les cotés de ma planche, ont commencé à faire des portées de poids latérales, envahissant de façon évidente mon espace personnel.Il n'y avait pas, dans cette aire, un équipement spécial à utiliser. J'ai remarqué que l'un des deux avait un t-shirt avec écrit quelquechose comme “La chose la plus importante dans le rugby c'est le support”. N'importe quelle personne incapable d'attendre quelques minutes que vous ayez fini et retienne nécessaire de vous balancer ses bras en plein visage, probablement le fait exprès. En plus, l'exercice qu'ils pratiquaient aurait pu être effectué dans un autre endroit, parceque la salle de musculation était pratiquement vide. Ils s'étaient découverts. Un autre élève est arrivé qui s'attardait sur ma gauche; il m'a fixée pendant quelques secondes et à commencer à faire des grimace. Après avoir attiré mon attention, il m'a tourné le dos de façon à ce que je puisse voir sont tshirt, sur lequel était écrit “CHASSE”. Dessous en lettres plus petites, le mot “Manhattan”. Ces agressions à travers le symbolisme sont communes dans les relations transmises aux victimes. Le garçon avec le t-shirt “CHASSE” est parti peu de temps après, au final, il sera resté environ


10min. L'épisode décrit est un exemple de bruit, d'affolement et d'agression à travers le symbolisme.

Campagne du bruit. Toutes les victimes du Mal obscur connaissent bien les campagne du bruit. En substance, les victimes réfèrent un flux de bruit continu, composé d'une alternance de divers types de perturbations aux alentours de leurs habitations. Ils comprennent des portes qui claquent, hurlements, alarmes de voiture, klaxson, crissements de pneus, musique à tout volume, moteurs emballés et fréquentes activités de constructions qui comportent une série de bruits engendrés par des machines et instruments lourds. Il n'y a pas à s'étonner si le Dr Alexander, dans ses livres Futur War (Guerre future) et Winning the War (Gagner la guerre), a décrit le bruit comme une arme. Dans Futur War, il a écrit : “Le son entendu, dans les fréquences entre 20 et 20.000 Hertz peut être appliqué pour influencer le comportement, vu que la majorité des personnes est sensible aux bruits très forts.” (***) Par exemple la victime sera contrainte à entendre les portes qui claquent pendant quelques instants, puis après plusieurs minutes de silence une moto de passage qui fait gronder le moteur devant sa maison. Tout de suite après, quelqu'un commence à couper l'herbe dans le pré. Ensuites, quelques alarmes se mettent à sonner, suivies par un groupe bruyant de personnes qui se promènent à coté de la maison. Enfin, des sirènes anti-incendie ou des ambulances. Des bruits de marteau et scies provenants des travaux de construction en cours. Pour finir, les alarmes de voitures sont activées et réactivées plusieurs fois, en séquence, sur plusieurs véhicules autour de la maison. En général, elle ne profiteront pas de cinq minutes consécutives de tranquillité. Moret parle de l'utilisation des “Campagnes du bruit”, comprenants l'utilisation fréquente des décharges des ordures dans les appartements voisins, klaxson en trompette et sirènes d'autopompes. Il parle aussi de portes qui claquaient continuellement déclarant “ils claquaient les portes toute la journée et toute la nuit”. Mc Kinney est d'accord : “Claquer les portes est un passe-temps très diffusé, en particulier dans les résidences d'appartements”. Les victimes peuvent subir une “réaction en chaine” de portes qui claquent dans les appartements ou les maison environnantes. D'autres types de perturbation comprennent le bruit fréquent de coupes-herbe, chasses-neige, véhicules aux déchargements très bruyant, sirènes d'ambulances etc.. Normalement des travaux du batiment très bruyants sont également présents. “Klaxson en trompette, sirènes et déchargements de déchets” qui “arrivent simultanément dans les résidences d'appartements, par périodes temporelles de durée excessive” sont des signalations communes, écrit Mc Kinney. Il remarqueque les victimes sont soumises à de fréquentes “transmissions amplifiées” de “cour général”, “utilisées sur des bases récurrentes et dans des circonstances tendues à convaincre l'individu d'être sous surveillance.” Il ajoute : “ Dans tous les cas, les voisins de l'individu semblaient être en apparence insconscients ou indifférents à ce explosions de bruits imprévues et continues”.Ils sont indifférents parcequ'ils sont complices du programme. En outre, qui habite au-dessus de chez la victime individualisée marche bruyamment en imitant les déplacements du dessus. Par exemple la victime se rend dans la salle de bains, et


entend venant du dessus des pas pesants qui la suivent dans la pièce. Mc Kinney déclare: “ Plusieurs personnes réfèrent que les occupants des appartements d'en bas et d'en haut semblent les suivre de pièce en pièce, tapant sur le sol ou s'occupant avec d'autres activités mirées à mettre en évidence la surveillance continue sur la victime. “Ils marchent dans leur appartement”, ajoute Moret, et la victime de l'étage du bas semble être suivie par de le voisin de l'appartement du dessus”. Il peut arriver aux victimes que des hélicoptères et petits avions de tourisme passent de manière fréquente au-dessus de leur maison. Certains de ces engins volent tellement bas à en faire vibrer la pièce dans laquelle on se trouve. Selon l'article de Cheryl Welsh de mars 2003, intitulé List of Mind Control Symptoms (Liste des symptomes du controle mental), l'utilisation d'hélicoptères est une tactique commune référée par les victimes. Il semble que ces agressions de là haut ont été utilisées pour interrompre le sommeil et miner le moral des victimes. Welsh est une des seuls six experts d'armes non létales du monde reconnus par les Nations Unies. Le bruit peut suivre la victime dans les destinations qu'elle fréquente habituellement. La circulation piétonnière et automobile peut être redirigée vers la route où elle habite faisant en sorte qu'un numéro inhabituel de véhicules passent à coté de la maison (même s'il s'agit d'une route secondaire ou aveugle). Il parait qu'il existe aussi des flottes de véhicules dotés de pots d'échappement bruyants, utilisés par les groupes avec comme but spécifique de générer du bruit dans la zone de la victime. Souvent le bruit est synchronisé avec un type d'activité. Par exemple, la victime entend une ambulance, alarme anti-incendie ou autres indicateurs alors qu'elle sort. Ou bien, toujours alors qu'elle sort, un petit avion la survole, puis, alors qu'elle s'approche de sa propre voiture, elle entend une alarme ou des portes qui claquent. Les bruits produits au moment de la sortie semblent servir aussi comme forme de communication pour avertir les membres du groupe dans la zone, afin qu'ils commencent la filature. A part ce “paquet” standard de bruits, n'importe quel autre bruit habituel pour la zone d'habitation augmente en fréquence. Par exemple, si la victime habite dans une zone rurale, les tracteurs bruyants seront la norme. En hiver, des véhicules pour la neige, bruyants, passeront plus fréquemment dans les environs. C'est ainsi que le bruit est utilisé comme une arme pour infliger la douleur. L'exposition chronique à un niveau de bruit aussi réduit est considérée un risque pour la santé, qui produit des effets négatifs, physiologiques et psychologiques. L'exposition prolongée au bruit peut élever le niveau de la pression du sang, augmenter le taux de cholestérole, causer des dommages aux systèmes circulatoire, cardiovasculaire, gastro-intestinal, et musculo-schélétrique. Si la victime est une femme enceinte, ou qui projète d'avoir un enfant, il faut qu'elle considère sérieusement la situation. Ils sont nombreux les cas où le bruit a causé une perte d'audition et troubles dans la croissance du foetus; cela peut aussi conduire à des défauts chez le nouveau-né. Plus en général, le stress prolongé a été identifié comme causes de fausses-couche, certaines personnes qui ont subit stalking et harcèlement pendant une certaine période ont attribué les fausses-couche aux harcèlements continus. Vraiment comme les heurts programmés sont comparés à des claques, ces bruits sont l'équivalent de chocs répétés. Les idéateurs de ce programme sont certainement conscients que les campagnes de bruit sont des actes de violence.


Synchronisation. Les groupes cherchent à synchroniser leurs propres tactiques avec les actions des victimes, comme par exemple entrer ou sortir de la maison. Les mouvements de la victime sont synchronisés avec des véhicules ou autres personnes qui vont et viennent, ou avec d'autres déplacements. Les tactiques de synchronisation sont souvent répétées plusieurs fois, peut être trois ou plus. Par exemple, quand la victime arrive, deux voitures bougent le long de la route, alors que le voisin de la porte d'à coté sort. Si la victime a l'habitude d'aller aux toilettes à deux heures du matin et regarder par la fenêtre de la salle de bain vers une aire spécifique, il fera en sorte qu'il y ait une quelconque activité comme une lumière qui s'allume, ou quelqu'un qui part ou arrive dans cette aire. C'est un exemple di niveau de détail auquel on a besoin pour personnaliser un protocole de persécutions sur le profil de la victime. La synchronisation est utilisée aussi avec les tactiques de sensibilisation et avec le bruit. Par exemple, la victime entend des sirènes d'ambulances ou d'auto-pompes au moment où elle sort ou entre chez elle. Ou alors des alarmes de voiture, martellements ou n'importe quel autre type de bruit qui se vérifie quand on regarde par la fenêtre.En sortant de la maison, on notera des personnes qui passent, portant une couleur ou un objet auquels ont a été sensibilisé. En entrant dans un parking, il y aura des voitures qui arrivent ou partent. La synchronisation est utilisée aussi avec les tactiques de blocage/affolement. Par exemple, si la victime s'approche de l'entrée d'un magasin, il y aura des gens qui en entrent ou en sortent, en portant toujours une couleur ou un objets auquel la victime a été sensibilisée précédemment. Une variation sur ce thème est représentée par les techniques de l'eco (echoing) e du miroir (mirroring). Comme d'autres formes de communication non verbale, il s'agit de techniques de relation très puissantes (mais généralement insconscientes). Cette forme d'échange communicatif a été retracée dans le livre Secrets of Sexual Body Language : Understanding Non Verbal Communication ( Segreti del Linguaggio del corpo sessuale : capire la communicazione non verbale) de Martin Lloyd- Elliot. La majorité d'entre nous utilise ce langage, même sans savoir de le faire pour attirer les autres. Toutefois, cette forme de communication a été évidemment incorporée dans le programme pour harcelerles victimes. Utilisant la technique de l'éco (echoing), par exemple, si la victime se trouve dans un restaurant ou sur un moyen de transport public, et boit, un agent dans les environs boit aussi. Si elle extrait son portable, l'agent aussi en sort un, ou alors un dispositif analogue. Quand la victime le repose, l'agent aussi l'imite. En substance, il imite tous les mouvements de la victime. La technique du miroir prévoit que les victimes se trouvent avec une ou plus personnes qui marchent parallèlement à eux, dans la même direction de l'autre coté de la rue, ou dans une quelconque aire publique. En outre, il peut y avoir quelqu'un, directement devant la victime qui s'approche du même croisement vers lequel la victime se dirige. Les agents régulent leurs propres temps de façon à s'approcher simultanément, en traversant la route juste quand le fait la victime; à ce moment peut être mis en place l'affolement. Les agents, un ou plus, peuvent porter la couleur rouge, un portable ou autre dispositif semblable à celui auquel la victime a été


sensibilisée. Le Dr Alexander et Janet Morris ont décrit l'utilisation de la technique de mirroring pour influencer les personnes, même dans leur livre The Warrior's Edge (L'orlo del guerriero).

Scènes importunes. (Théàtre de rue) Les routes parcourues habituellement par la victime sont utilisées comme scénarios pour divers types de théàtre de rue qui se passent au passage de la victime. Le théàtre de rue est utilisé dans le stalking de groupe et prévoit des harcèlements verbaux et non, menaces, insultes, intimidations et violences, infligées de façon explicite ou cachée utilisant des thèmes et symbolismes ou autres moyents. Il peuvent être mis en place après que la victime ait été sensibilisée via NLP (qui, comme on a dit, est la programmation neurolinguistique, une technique qui permetterait d'influer sur les schémas comportementaux d'une personne en lui manipulant les processus psychologiques via le langage). Ce type de harcèlements peut être assimilé à des métaphores, observations verbales, symbolisme utilisé dans l'habillement ou autre méthodes. Les victimes peuvent subir stalking de la part d'un réseau de personnes qui frappent fréquemment des pieds, s'éclaircissent la voix ou toussent (même en plein été) pour indiquer de faire partie du programme. Les exécuteurs du stalking peuvent parler au téléphone et souligner à voix haute l'insulte en passant à coté de la victime désignée et la regardant avec insistance. Regards évidents, hostiles, accompagnés d'insultes sont une autre tactique commune. Parfois ils ne parlent pas au téléphone, ils insultent les victimes ouvertement alors qu'elles passent. Par exemple, il m'est arrivé que des personnes me passent à coté en disant des vulgarités, comme va en enfer, maudite, tête de noix, tu es répugnante, ou pire. Je les ai vus cracher vers moi quand je passais à coté d'eux et j'ai vu des adolescents utiliser cette tactique, crachant sur le pré devant ma maison précédente, alors que j'étais sur le pas de la porte. Il y a des mots qui assument un poids particulier pour déclencher un effet potentiel sur l'effet émotif d'une personne. Par exemple, dans un restaurant, un couple assis à une table parle d'évènements qui concernent la vie personnelle de la victime pour en attirer l'attention. Ils suivent des références répétées avec des paroles comme paranoiaque, fou, terrorisé, panique, dingue, hors de soi, triste, déprimé etc.. L'idée est de provoquer l'émotion avec les mots. Non seulement c'est possible, cela fonctionne mieux s'il ne s'agit pas d'une agression directe. La tactique semble une variation de la technique du “donner le pas” (pacing), utilisée par l'hypnose. Il s'agit d'abord de connecter quelquechose à l'expérience en cours du sujet (ou à sa vie personnelle), puis d'utiliser des mots déterminés pour provoquer une réponse spécifique. Morris et Alexander parlent de ces mots comme d' “ancres verbales” et déclarents : “ Les ancres verbales peuvent être aussi des instruments efficaces..Paroles comme immobile ou couché transmettent des messages complets.. Les ancres verbales peuvent susciter des états positifs comme négatifs”.. De telles paroles peuvent être souligner en les prononçant avec un ton ou un volume différent, de façon à ce que certains mots soient légèrement plus sonores et prolongés d'autres; cette technique peut changer complètement le sens d'un message : il s'agit de metacommunication. Les metamessages sont des messages subliminaux cachés dans un énoncé, peut-être un compliment.


Le ton, le volume et le rythme de mots spécifiques à l'intérieur de la phrase sont variés de façon à ce que le message réel soit différent de comment il apparait dans les mots effectivement prononcés. “Il est difficile de se défendre de la colère et de la désapprobation exprimées dans les metamessages négatifs”, déclarent McKay, Davis e Fanning dans leur livre Messages: The Communication Skills Book (Messages : les habilités dans la communication..) “L'attaque est souvent si fin qu'on ne se rend pas compte exactement du pourquoi on se sent blessé..”. La fonction fondamentale des metamessages, ils affirment, “est dire de façon subliminale quelquechose que l'on craint de dire ouvertement. Puisque l'agression du metamessage est oculte, il y a peu d'opportunités de réagir de façon explicite.” Les metamessages sont très semblables aux messages subliminaux indirects utilisés dans l'hypnose. Dans le livre Patterns Of Hypnotic Techniques of Milton H.Erickson, M.D (modèles de techniques hypnotiques du Dr Milton H.Erickson), Richard Bandler et John Grinder proposent des exemples tirés des techniques d'un fameux hypnotiseur du nom Erickson. En décrivant ce type de communication occulte, ils écrivent : “ Les commandes occultes servent comme suggestions indirectes au sujet et donc il est difficile de trouver une façon de résister.. Ils atteignent l'efficacité maximale quand ils sont marqués même analogiquement, amplifiant la commande et regardant intensément l'auditeur, s'il a les yeux ouvert.” Il semble qu'une variante de ce message puisse être transmise quand plusieurs personnes agressent par surprise la victime, en lui coupant la route alors qu'ils parlent au téléphone, fixant directement la victime et augmentant (metacommunication) des mots lourds et/ou informations sur la vie personnelle de la victime obtenues via la surveillance. Des groupes de personnes utilisent ces conversations fausses pour harceler les victimes dans les magasins, restaurants, lieux publics, ascenseurs, etc.. Mc Kinney a écrit des commentaires négatifs récurrents de la part d'étrangers qui de manière évidente chercher à susciter sensations de “paranoia”. Dans son report, il a aussi référé que les exécuteurs du stalking travaillent en grands groupes pendant des longues périodes, et il semble avec le support du gouvernement. Bandler et Grinder décrivent une utilisation positive de cette technique en citant Erickson qui s'adresse à un patient anxieux : “Mes amis me disent de me sentir à l'aise et de me relaxer quand nous nous promenons en ville.” Les mots en italique sont prononcés avec emphase. La tactique peut être utilisée même si l'on ne s'adresse pas directement à la victime désignée; voici le motif du nom “commande subliminal indirecte”. A nouveau, à coté de la victime quelquechose de relatif à sa vie personnelle est mentionné, ou une expérience qu'elle vit en temps réel, de façon à ce qu'elle puisse identifier l'objet du discours; puis sont utilisées comme des insultes des paroles lourdes. Ces tactiques dérisoires occultes, en public, qui utilisent des mots déclencheurs mirés à susciter des émotions négatives, se basent sur l'hypnose et sur les techniques de NLP; il semble qu'elles soient le résultat d'une étude approfondie sur l'hypnose effectuée par la CIA durant la période MKULTRA (la période des expérimentations de controle mental organisées par la CIA entre les années 1950 et 1960) “ Quand nous écoutons quelquechose, même d'une autre conversation, nous ne pouvons pas éviter de nous laisser pénétrer dans ses images et ses sons”, affirment Andreas et Faulkner. “ Le persuadeur professionnel le sait de façon intuitive; avec la programmation neurolinguistique nous le savons explicitement”. Continuant ensuite : “ On ne peut pas NON communiquer”. L'utilisation de l'hypnose et de techniques de NLP de la part de ces exécuteurs dans le stalking, sur ordre de leurs commanditaires, est effectivement miré à provoquer la follie chez les victimes.


Victor Santoro explique comment ces tactiques peuvent être utilisées dans un modèle distructif, une façon pour “ favoriser la paranoia de la victime” et “lui suggérer d'être moquée..” En effet, il continue, “Si on réussit à impliquer en cela plusieurs complices..la victime aura la sensation que la dérision et le ridicule auquels elle est sujette soient un phénomène amplement diffusé”. Le livre de Santoro semble contenir des informations très précises sur ce programme, ce qui me suscite la suspicion qu'il ait été utilisé dans un moment comme agent secret. En tout cas, le Mal obscur a été évidemment projeté par des experts en sciences du comportement. Après qu'une victime ait été sensibilisée, elle peut même être harcelée, insultée et menacée avec le symbolisme,utilisant des articles d'habillage, journaux ou autre. Vraiment comme la communication du corps (cinesica sociale), aussi la communication symbolique a été utilisée pour harceler une victime. Le symbolisme peut être utilisé sous forme d'article d'habillage, en particulier durant une agression de masse, quand la victime est agressée par une foule d'exécuteurs qui sourient et rient en la fixant et lui coupant la route. Certains des messages de répertoire que j'ai remarqué sur les habits comprennent des phrases telles que : Tu es déjà morte, grand frère, regarde derrière toi et symboles sataniques, massoniques ou wicca (une croyance ésotérique néopaienne née dans les années 50). Des techniques peuvent aussi être utilisées pour attirer l'attention de la victime, comme une regard coupant et persistant, un gros bruit ou autres tactiques de sensibilisation. Rappelez vous comme les exécuteurs à l'YMCA ont tous deux utiliser une technique pour attirer l'attention ? Un m'a adressé un coup d'oeil dérisoire alors que les deux autres m'entouraient. En substance, on utilise un évènement qui est en train d'arriver dans la vie personnelle de la victime et on y fait référence avec plusieurs méthodes. C'est intéressant qu'un article sur le journal San Francisco Bay Guardian, du 22 octobre 2004, intitulé The New COINTELPRO (la nouvelle COINTELPRO), cite des tactiques semblables utilisées contre les contestateurs durant les rencontres de confrontation d'entreprise. Le thème peut concerner quelquechose dans la vie personnelle, peut être utilisé pour un seul jour, ou pour plusieurs jours, ou pendant des semaines. Une autre technique consiste en choisir un thème et chercher à le projeter dans la vie de la victime. Personnellement, je doute que la majeure partie des exécuteurs utilisés pour transmettre ces messages soient conscients de leur signification. [note] *Cette idée est reprise du livre de Gary Allen “None Dare Call It Conspiracy” (personne ose l'apeller conspiration). ** Les mots “crowding” et “invasion de l'espace” ne sont pas mentionnés spécifiquement dans le matériel que j'ai trouvé en relation aux cittadins et aux réseaux d'observateurs de l'Allemagne orientale et de la Russie. Il semblerait donc être une nouvelle technique, utilisée désormais au niveau mondial par ce groupe de stalking global, bien qu'en effet le livre Stasiland d'Anna Funder suggère qu'au moins une des victime soit régulièrement sujette à ce type d'agression d'affolement. *** Il écrit aussi que l'utilisation de bombes puantes pour induire la nausée ou le vomis et d'insectes pour infecter les maisons des victimes.


Mises en scène et confrontations. Il semble que des informations aient été utilisées pour impliquer les victimes dans des crimes ou les contraindre à participer à des évènements simulés afin de détruire la réputation. La personne ne peut pas s'en apercevoir de la mise en scène. Certains évènements sont simulés impliquant des personnes qui provoquent les victime à la confrontation. Mc Kinney de “confrontations répétées avec des étrangers inhabituellement ostiles.” “Sans maison bien vêtus et très propres ils entrent en conflit avec les victime..provoquant de grandes scènes publiques”, prévenait Moret. Mc Kinney décrit un épisode qui implique une victime de sexe masculin, alors qu'il parle avec une femme qui souvent marche lourdement dans l'appartement du dessus. Après qu'il lui ait parlé de tels pas, qui arrivaient en son absence, la femme “s'est immédiatement adressée à l'administrateur, affirmant d'être victime de stalking de la part de l'homme”, écrit Mc Kinney. “Très opportunément, elle a oublié d'informer l'administrateur d'avoir assidument “dragué” l'individu pendant plusieurs mois, sans succès, et de lui avoir régulièrement volé les journaux.” Peut-être, mises en scènes et confrontations sont simulées pour insérer les victimes dans le système carcéral ou dans le système pour la santé mentale. Comme minimum, elles sont utiles pour l'enrolement. En outre, des photos et films de la victime en colère après avoir été harcelée (comme une mise en scène) sont utiles pour la campagne de diffamation, vu qu'ils augmentent le niveau de support de la communauté pour faciliter l'élimination de la victime. Le même résultat est obtenable grace à de multiples réclamations soulevées de façon indépendantes en relation à une même question. Selon ce qui a été signalé, la police locale participe au stalking et à l'implication des gens dans les crimes. En référant à une victime qu'il rencontrait de manière répétée, un agent de police, Mc Kinney écrit : “ Une de ses actions récentes avait été la tentative de la piéger” pour possession de drogue. Après l'avoir prélever de la route (un passe-temps fréquent) et l'avoir perquisitionnée illégalement (c'était déjà la seconde fois), il avait réussi très opportunément à trouver un sachet en plastique transparent plein de cocaine à environ deux mètres de distance, devant sa voiture.” De façon analogue, durant le programme passé COINTELPRO, des mises en scène étaient mises en acte systématiquement, préfabriquant des preuves utilisées pour ensuite détruire la réputation d'une personne ou la faire emprisonner. Mais tout cela évidemment ne s'est pas arreté. Selon le numéro du Sunday Heral du 7 décembre 2003, l'FBI est coupable de l'utilisation de plusieurs agents, qui ont commis des trahisons afin de piéger dans les crimes des personnes innocentes. Cela peut être fait légalement, dans l'intérêt de la “Sécurité Nationale”. L'article inclue une relation de 141 pages du Comité national pour la réforme gouvernementale (House Committee on Government Reform), qui affirme la falsification des preuves de la part du FBI et l'utilisation d'informateurs pour fournir “un faux témoignage”, afin de faire incarcérer des personnes innocentes. A ne pas croire, certains de ces informateurs étaient des assassins.


“Bien plus de 20 homicides commis par des informateurs de l'FBI”, révèle la relation; pour les protéger des forces de l'ordre fédérales “ils ont travaillé activement pour empêcher que les cas d'homicide soient résolus”. Le comité a conclu en outre que “des agents du bureau du directeur de l'FBI, J. Edgar Hoover, étaient absolument conscients que les informateur fédéraux commettaient des homicides”. L'article continu en citant le juge Nancy Gertner qui affirme: “Il est difficile de concevoir des accusations qui secouent le système de la légalité aussi près de ses fondements autant que mettre en doute les assomptions de base en mérite à l'honneteté, l'égalité et la confiance dans l'administration de la justice.” Il ajoute : “Tout au nom de la ainsi dite sécurité nationale.” Dans son livre, The Franklin Cover-up (l'ensablement Franklin), l'ex sénateur John DeCamp écrit : “ Célèbre cas après célèbre cas, sans aucune corrélation avec Franklin le personnel du département de justice [DOJ] apparait comme une masse de menteurs, pervers, artistes de la mise en scène et même assassins”. Il semble que le sénateur DeCamp ait assisté à une turbulence importante alors qu'il enquêtait sur un club de pédophiles qui comprenait des personnages importants à Washington DC. Selon DeCamp, l'élite utilisait l'FBI pour orchestrer l'ensablement.

Magasins et restaurants. Le personnel de magasins et restaurants travaille en équipe avec les agents pour harceler les victimes. Les serveurs des restaurants sont désagréables ou alors leur service pour les victimes est de mauvaise qualité. Il peuvent faire semblant d'être amicaux, mais en même temps ils heurtent le visage de la victime avec le coude, ils repoussent de manière répétée sa chaise ou ils s'affolent autour d'elle alors qu'ils reçoivent une commande ou servent la nourriture. Ils font confusion sur sa commande, en fintant d'être incompétents ou gourdes, laissant tomber accidentellement la nourriture et couverts sur les victimes désignées. Si la victime se rend aux toilettes, des personnes de service apparaitront à l'improviste des angles ou par les portes, en lui coupant la route. D'autres exécuteurs en civil aident le personnel dans les harcèlements, en s'affolant autour de la victime alors qu'elle bouge de sa propre table. Ils la suivent aussi à l'intérieur des toilettes, ils s'affolent autour et font semblant de parler au téléphone en répétant des informations sur sa propre vie privée. Dans les restaurants, ces agents s'assoient autour de la victime, portant une couleur à laquelle elle a été sensibilisée précédemment. Souvent ils ont des conversations qui comprennent des informations spécifiques relatives à la vie personnelle de la victime. Pour certains d'entre eux, il s'agit évidemment d'une expérience qui les fait sentir puissants. Les raisons apparaissent être soit le harcèlement contre les victimes, soit la tentative de susciter une sensation d'impuissance, vu que les victimes ne seront pas crues si elle parlent à quelqu'un de tels harcèlements.


De manière analogue au personnel des restaurants, même les vendeurs des magasins oeuvrent avec les agents dans le propre magasin, pour bloquer la victime, lui couper la route ou s'affoler autour d'elle. Ils peuvent débuter des conversation avec les agents durant la file à la caisse ou entre les rayons alors que la victime vous passe à coté, conversations qui mirent évidemment à être entendues et contiennent des informations sur la vie personnelle de la victime. Une variante de ces techniques était utilisée en Allemagne de l'est, où la Stasi enrolait, par exemple, le propriétaire d'un magasin pour qu'il prononce certains mots en présence du client victime, de façon à ce qu'il sache qu'ils l'attendaient. Magasins et restaurants participent en outre aux campagnes de bruit, en tapant la marchandise sur les rayons alors qu'ils les remettent, en jetant des boites sur le sol au passage de la victime, en claquant les portes ou jetant des articles sur les bancs ou autres types de perturbations. Si les plafonds sont bas, la victime entendra des coups directement au-dessus de sa tête, qui la suivront sur tout le magasin. Les campagnes de bruit et le théàtre de rue mirent manifestement à créer une ambiance hostile occulte pour convaincre la victime de s'en aller, la laissant comprendre d'être observée. En outre, les produits spécifiques que la victime achète généralement sont souvent épuisés dans les magasins qu'elle fréquente. Ils sont évidemment enlevés des rayons avant l'arrivée de la victime. Mais cela ne suffit pas : si la victime achète des produits chez des fournisseurs par téléphone ou online, elle trouvera souvent des représentants qui ne la rapellent pas, semblent confus ou incompétents. En général elle recevra un service de mauvaise qualité. Ce sont des choses qui arrivent à tous mais pour les victimes c'est constant.

Amis et famille. Même les amis et la famille de la victime peuvent être enrolés pour la détruire. Ils peuvent participer aux scènes de harcèlement mirées à la faire apparaitre incompétente, incohérente, hyprocrite et à se moquer et la démoraliser. Les méthodes utilisées pour enroler amis et famille sont décris dans la section Informateurs. Pour obtenir ce type de résultats, des nouveaux amis peuvent être utilisés. “ Plusieurs personnes en contact avec nous réfèrent plusieurs expériences avec de nouveaux “amis””, écrit Mc Kinney. Ces ainsi dits amis se donnent des airs de confidents, pour ensuite casser brusquement la fausse amitié en circonstances étudiées humiliantes et dégradantes. Il ajoute ensuite : “Vus dans le contexte de la surveillance continue et des harcèlements, ces faits apparaissent tendus à renforcer le trauma émotif, peut-être pour provoquer une réponse incontrollée et/ou pour accentuer l'isolement.” “ Qui a été enrolé, peut-être un ami ou un membre de la famille qui vit avec la victime, il sera probablement contraint à mettre en acte certaines de ces pratiques de harcèlement. A la maison, il claquera fréquemment les portes, les portes des armoires, les tiroires et provoquera d'autres types


de bruits. Il s'approchera de la victime excessivement ou la bloquera. Les zones qui normalement sont occupées par la victime ou les espaces de son utilisation habituelle seront encombrés d'objets (blocking) auquels les victimes ont été sensibilisées.

Vols et intrusions Dans le cas des intrusions, généralement il n'y a pas de signes d'effractions; elles ont lieu alors que la victime dort ou est absente. Cela arrive même en présence d'une système de sécurité sofistiqué. “ Pratiquement dans tous les cas [soumis à enquêtes], les voleurs laissent des traces du propre passage, déplaçant des objets ou commettant des actes de vandalisme d'entité minime ou même plus graves”, écrit Mc Kinney. Cela peut arriver à la maison ou sur le lieu de travail, si la victime est chanceuse d'en avoir un. Les victimes réfèrents de vêtements déchirés, lait, café ou autres boissons renversées et dommages de légère gravité. Des objets peuvent être volés et restitués successivement, ou alors les objets sont déplacés et mis en lieux légèrement différents. Il s'agit en soi de tactiques de gaslighting (comme il a été dit cette technique prend le nom du célèbre film des années 40 intitulé Angoisse dans la version italienne (angoscia)). Victor Santoro soutient que ces jeux de mémoire peuvent être utilisés pour faire devenir dingue les personnes. Petits objets comme crayons, chaussures et couverts sont volés ou touchés de façon à faire apparaitre visionnaires les personnes dans le cas où elles signalent les faits à la police. “Les intrusions dans la maison sont très communes”, déclare Moret, “très souvent ils laissent des traces évidentes de leur passage avec des petits changements dans la maison de la victime, qui sont toutefois faciles à remarquer”. Le décret exécutif n.12333 établit que de telles violations peuvent être perpétrées légalement. Il est plutot intéressant remarquer comme ces intrusions clandestines, les vols, et le sabotage font parti intégrale du vieux programme COINTELPRO. D'autres tactiques rappellées par Santoro comprennent le ravitaillement du réservoir de la voiture de la victime, ou alors la substitution de ses articles d'habillage avec d'autres, inférieurs d'une taille. Si on ne se rend compte d'être une victime, comme dans le cas de la majeure partie des personnes, ces petits changements peuvent être attribués à trou de mémoire. Quand de telles tactiques sont utilisées en combination avec d'autres, comme illustre Santoro, il est possible que la victime retienne de devenir folle. Même Gunderson parle de tactiques de gaslighting, qu'il décrit avec le terme “guerre psychologique”. Dans son expérience personnelle de ce qui peut-être était un harcèlement supporté par l'état, il notait des éléments de mobiliers ou autres articles déplacés durant des intrusions furtives à son domicile. Il déclare que les agents étaient “tellement arrogants à en laisser toujours des messages subliminaux de la propre...entrée”. La logique est qu'un voleur


n'entre jamais dans une maison pour ne pas toucher à un ordinateur ou une chaine stéréo et emmener seulement une brosse-à-dents ou renverser une partie du lait. Dans son livre Subliminal Mind Control (controle subliminale de l'esprit), John J. Williams écrit: “Si on est objet d'une expérience subliminale secrète et non volontaire, il s'agit d'une agression malveillante, sinistre et souvent dangereuse; vous avez entièrement le droit de vous opposer et la contraster comme si vous étiez des prisonniers de guerre ou si quelqu'un était entré chez vous pour vous soutraire des objets de propriété.” Il avertit : “En réalité ils réussissent à entrer dans l'esprit et ce qu'ils veulent est voler la victime de sa libre volonté. Même dans les cas où le résultat désiré est en effet positif”.

Sabotage, vandalisme et mises en scène. Il peut arriver que les victimes subissent des actes de vandalisme avec régularité. Les dispositifs électroniques se détériorent fréquemment. Les personnes réfèrent d'installations électriques de la voiture, appareils tout neufs, TV, radio, ordinateurs, et autres dispositifs électroniques qui se détériorent à l'improviste ou fonctionnent de manière étrange. Il arrive souvent aux victimes d'avoir des problèmes avec les ordinateurs, comme par exemples des pannes de disque dur. Des problèmes informatiques peuvent aussi se vérifier sans avoir aucun schéma logique; certains peuvent être attribués à des bombes E (bombes électromagnétiques) capables de détruire les appareillages électriques sans dommages aux êtres humains. Très souvent c'est un type de vandalisme d'entité à peine inférieur à ce qui est généralement dénoncé à la police. Par exemple, une petite partie mais facile à remarquer des murs est fissurée, une des fenêtre est fêlée. Il semble s'agir de vandalisme futile, avec comme seul but de mettre en évidence la surveillance en acte. Des dommages de plus grande échelle aux propriétés peuvent toutefois se vérifier, maisons ou véhicules, comme pneus coupés, fenêtres cassées, freins forcés et destruction des appareils électroniques. Certaines victimes ont référé que leurs animaux domestiques meurent à l'improviste de maladies mystérieuses. Par exemple, elles rentrent chez elles et trouvent mort leur animal peu avant en parfaite santé. Le vandalisme et les tortures aux animaux peuvent aussi représenter des rétorsions pour les actions de dénonciation débutées par les victimes. “Les voitures sont les cibles principales.”, dit Moret, ajoutant “Ils coupent les pneus, fêlent les fenêtres, vident les réservoirs d'huile, abiment les composants électroniques et les batteries”; il continue en affirmant: “Beaucoup de personnes ont signalé des pannes improvistes aux freins ou vitesses”. Même Mc Kinney concorde: “Les véhicules subissent des attaques particulièrement féroces dans ces campagnes de harcèlement: pneus coupés, fenêtres fêlées, réservoir d'huile vidé ou contamination de l'huile, destruction de composants électroniques et batteries.. indicateurs du


niveau du carburant mis à zéro” e “freins ou vitesses qui se détériorent à l'improviste”. Des vols répétés de voitures ont aussi été référés. McKinney raconte que certaines des personnes avec lesquelles il est en contact ont subi des accidents prémédités. Dans un cas, il s'agissait de la panne des freins d'un tracteur, résultat la mort du conducteur. Un autre épisode concernait une personne qui a réussi à éviter miraculeusement d'être envoyée en dehors de la route par un bus en panne. “Deux autres”, ajoute McKinney, “ont à peine évité des heurts qui apparaissaient évidemment voulus par les conducteurs qui ensuite disparaissaient rapidement de la scène”. Dans un autre épisode, une victime a évité en quatre jours trois tentatives de la faire sortir de la route. Une autre a survécu après avoir été sortie de la route deux fois en une semaine perdant ainsi ses deux voitures. “Des accidents sont mis en scène où les personnes ne peuvent éviter d'endommager leurs propres voitures”, prévient Moret. Donc, selon de telles informations, beaucoup de véhicules apparemment indépendants peuvent être utilisés pour favoriser un accident qui peut sembler provoquer par la victime ellemême. Ajoutant à cela beaucoup de témoins indépendants (qui en réalité sont des agents ou informateurs) on obtient une recette pour l'homicide ou pour coincer la victime. En effet des cas de “mort accidentelle” ont été référés. Encore une fois, cela semble recalquer les méthodes de la Stasi. “Les cables des freins ont été coupés, accidents et morts ont été programmés de manière délibérée”, fait remarquer Funder.

Voyages Quand les victimes sont au volant, elle peuvent être entourées par des véhicules conduits par des agents qui leur coupent la route fréquemment ou qui se mettent en file sans respecter la distance de sécurité. Ce genre d'expériences arrive aux victimes avec une fréquence plus intense que d'habitude. Des véhicules arrivent souvent outre le stop quand la victime s'approche d'un croisement, avec l'intention évidente de l'alarmer. En voyageant sur l'autoroute, des véhicules qui s'alternent entourent la victime tour à tour; il peuvent être distingués par une caractéristique particulière, ou une couleur à laquelle la victime a été sensibilisée. Cela semble fonctionner soit comme tactique de NLP pour enclencher les émotions négatives associées à la caractéristique, soit comme méthode pour unir le groupe d'agents et en promouvoir l'esprit d'équipe. En d'autres termes, c'est comme porter l'uniforme ou conduire une patrouille. Même les personnes qui se mettent en file derrière le véhicule de la victime s'alternent; après s'être mis en file un bout de temps, ils peuvent essayer de couper la route en la dépassant; l'objectif évident est indiquer que la victime non circulait pas assez vite. Si mis en place de manière récurrente par plusieurs véhicules, ce comportement provocatoire peut aussi servir à


induire la victime à accélérer, avec comme résultat de la faire déraper. La tactique est particulièrement efficace si les victimes ne sont pas conscientes d'en être. Les véhicules municipaux ou d'état qui peuvent harceler les victimes en public comprennent : bus cittadins hors service, bus scolaires, véhicules pour la livraison de restaurants locaux, véhicules urbains ou pelleteuses, auto-pompes et ambulances, voitures de police, véhicules postaux ou de courrier express, taxi et camions. Des hélicoptères et ULM ont aussi été mentionnés, utilisés pour des techniques de stalking. Comme décrit dans la section Informateurs, beaucoup de ces véhicules appartiennent à des organisations sélectionnées pour le recrutement dans les programmes de surveillance. Au stalking participent aussi des convois des véhicules séparés par les mêmes distances et qui bougent à la même vitesse. A l'intérieur de convoi, peuvent être présents différents véhicules distingués par des traits auxquels la victime a été sensibilisée avec les techniques de NLP, traits donc ils assument la valeur symbolique d'un uniforme. Par exemple, la majeure partie ou tous pourraient être d'une tonalité rouge. Ou alors la grande partie pourrait avoir les phares allumés, même de jour. Ou alors encore, les mêmes adhésifs sur les parchocs. Le soir, les victimes peuvent subir de fréquentes agressions sous forme d'aveuglement à l'improviste avec les phares (brighting), alors qu'ils conduisent ou marchent.

Brighting Le brighting effectué par un véhicule est une agression, stratégiquement très utilisée en tournant aux angles. Par exemple, la victime est en train de marcher le long de la route tranquille, tard le soir et elle voit des véhicules qui tournent de manière répétée dans des rues. La synchronisation est organisée de façon à ce qu'ils semblent tourner au coin alors que la victime s'y trouve, en pratique en l'aveuglant; cela arrive fréquemment juste aux coins de la rue. Ou alors, en marchant le long de la route secondaire, la victime voit une ou deux voitures garées le long du bord, tournées dans sa direction et avec les phares allumés. Ils attendent que la victime s'approche, puis ils se mettent en marche à l'improviste, aveuglant la victime alors qu'elle leur passe à coté. De telles tactiques de brighting atteignent des résultats encore plus important quand un véhicules a un des phares avec convergence pas alignée du tout. Le désalignement provoque un effet d'aveuglement supérieur. Comme pour les autres techniques, la fréquence et la durée tiennent un role très important. Des lumières projetées contre les fenêtres des victimes ont aussi été signalées. “ Les fortes sources lumineuses font parti des armes non létales plus communes”, écrit le Dr Alexander dans son livre Winning the war. “Le but est réduire les risques de lésions...en obstacolant en même temps la vision des victimes désignées”. Il parle aussi de l'utilisation de fortes lumières contre les victimes dans son livre Futur War.


Listes noires Des opportunités de travail jetées à la poubelle. La majeure partie des victimes est sans emploi. Beaucoup seraient dans la rue si ce n'était pas grace aux parents, frères ou amis.Les victimes occupées en général subissent le mobbing. “Appauvrissement financier progressif, [qui est] obtenu en excluant l'individu du travail et renforcé par les fraix associés aux harcèlements”, écrit McKinney. Dans le cours de son enquête, il conclu : “La majeure partie de ceux qui sont maintenant en contact avec le projet, professionnels instruits, cols blancs, a perdu le travail. La conclusion du rapport de travail dans beaucoup de cas a été précédée par des harcèlements préliminaires de la part de l'employeur et des collègues [mobbing], en synchronie avec d'autres formes de harcèlements..”. Selon un article de The Christian Science Monitor, intitulé Blacklisted by the Bank (Sur la liste noire de la Banque), les listes noires (blacklisting) normalement étaient utilisées comme instrument de politique étrangère. A un certain moment, les organisations fédérales ont évidemment décidé de commencer à les utiliser aussi contre les individus. La diffamation peut être une composante importante du blacklisting. Il existe des listes noires et packs software utilisés pour les controler, afin de vérifier des doutes “terroristes”, “menace à la sécurité nationale” etc. En apparence, c'est un business fleurissant et à certaines organisations est demandé des les utiliser selon la loi. En Aout 2004, un article intitulé The Surveillance Industrial Complex (Le complexe industriel de la surveillance), par l'ACLU déclarait : “Un secteur entier pour produire des software est né, qui rend plus facile aux entreprises pour se servir des listes noires gouvernementales et autres prescriptions. Un exemple de cela est “Homeland Tracker”, produit par un associé du géant des database, Choicepoint, pour “aider chaque business à se conformer aux normes OFAC (bureau pour le controle des activités étrangères) et USA PATRIOT act”.L'article notait que le software dispose d'une prestation dite “liste d'acceptation et de refus..dites aussi listes noires.” Les forces de l'ordre fédérales ont envoyé aux entreprises ces listes d'observation. Elles contiennent les noms de personnes non soumises à enquêtes officielles ou recherchées, simplement c'était des personnes auxquelles l'agence était intéressée. Nous savons déjà que certaines de ces agences cherchent apparemment et de manière délibérée de détruire les carrières de façon massive. Wired NewsWire parlait de ces listes noires le 9 Aout 2004, dans un article intitulé Big Business Becoming Big Brother (Les grandes entreprises deviennent le grand frère). L'article concluait : “Il n'y a pas de façon de déterminer à combien de personnes qui en avaient fait la demande ait été négatif un travail parceque leurs noms apparaissaient sur la liste.” Une forme de liste noire était utilisée aussi par l'état sur les dissidents russes. Dans son livre The Persecutor (Le persécuteur), Sergei Kourdakov, membre de la Brigade du peuple en civil,


déclarait que, quand une personne devient une victime, elle était traitée “comme une lépreuse et réussissait à obtenir seulement les pires travaux”. (*) Pour écrire les listes noires, l'URSS toutefois utilisait un instrument dit livret de travail, utilisé pour faire avancer ou pour détruire les carrières. Si ont était collaboratif avec l'état, la carrière pouvait être de grand succès. Dans le cas contraire, c'était la misère. Même en Allemagne de l'Est les dissidents comparaissaient sur les listes noires et leurs carrières étaient détruites. Après l'écroulement du mur, les personnes ont obtenu le permis d'examiner les fichiers que les concernaient, découvrant pourquoi ils n'avaient pas obtenu de postes de travail ou charges universitaires. Le Docteur Munzert parle d'analogie entre ce qui arrive en Allemagne; affirme que l'objectif est “l'écroulement financier des victimes” obtenu grace à la “perte du travail”. La “situation financière est faite écrouler”, ajoute Moret. Pour qui a été mis en situation de chomage à cause du mobbing et se trouve sur la liste noire, le mobbing peut continuer durant les entretiens d'embauche. Peut-être, le but est traumatiser ultérieurment la victime. Par exemple, des demandes sont posées à la victime auxquelles elle doit répondre négativement , comme références pour activités non signalées dans le cv. Ils peuvent demander si l'on dispose de capacités qui n'étaient pas présentes dans l'annonce publiée. Ce sont des tactiques de mobbing adoptées avec pour but d'humilier la victime. Ils peuvent arriver à tous.. une fois de temps en temps. Il s'agit en soit d'une “zone sure” que ces personnes peuvent utiliser pour harceler la victime, sans crainte d'être inculpées. Les questions aux entretiens d'embauche peuvent être posées avec un ton accusatoire ou menteur; peuvent contenir des mots clés relatifs à l'environnement que la victime a à peine laissé, connus seulement par elle et par les ex collègues (responsables du mobbing dans ses regards). De telles questions sont évidemment conçues pour déclencher des émotions négatives connectées à un environnement de travail précédent et désagréable, dans lequel ont était victime du mobbing. Les mêmes demandes peuvent être posées plusieurs fois, avec syntaxe légèrement différente. Pendant une interview, la victime se voit poser par l'employeur potentiel des questions qui concernent des références non demandées comme dotes dans l'annonce. Durant les entretiens téléphoniques, l'employeur dit que l'on a répondu à une annonce différente de celle pour laquelle on a été contacté. Ils peuvent soutenir de ne pas avoir publié l'annnce, ou alors d'en avoir publiée une légèrement différente. Ils peuvent affirmet que dans le cv mis à jour de la victime est indiqué qu'elle travaille dans un endroit où elle n'a jamais été, ou alors où elle a été dix ans plus tot. Le harcèlement est agencé de façon à se cacher sous des niveaux de mensonge, pour renforcer l'impression que, si on ne travaille pas, c'est parceque l'on ne désire pas travailler. Par exemple, des adeptes aux assomptions qui avaient harcelé la victime dans le passé leur laissent un message sur le répondeur (ou sur le répondeur de parents/amis), affirmant qu'il y a des opportunités disponibles. L'objectif est démontrer que la responsabilité du chomage retombe entièrement sur la victime. Le public en général peut ne pas se rendre compte de l'existence des listes noires


parceque les institutions qui les utilisent gèrent la majeure partie des bulletins. Même des journalistes et historiens entrent dans les listes noires s'ils révèlent de la corruption ou faits historiques que le complexe d'entreprise-gouvernemental ne désire pas le faire connaitre au public. Publishers Weekly propose un éditorial sur Amazon.com pour un livre intitulé Into The Buzzsaw (Dans la scie circulaire) écrit par Kristina Borjesson, où on lit : “La scie circulaire est quelquechose capable de vous couper en morceaux si vous tentez d'enquêter ou d'exposer n'importe quelle chose que les grandes institutions de ce pays, d'entreprise ou gouvernementales, entendent maintenir sous couverture”. Cette “scie circulaire” est ce que d'autres ont apellé gouvernement invisible. L'éditorial continue : “ Les journalistes qui parlent trop risquent de perdre leur travail ou de finir sur la liste noire...[d'] organisations d'entreprises ou gouvernementales dont l'objectif est taire leurs histoires contreversées et mettre fin à leurs carrières”.

Interférences dans les communications Les victimes sont objet de manumissions ou pertes voulus par leur poste. Le “courrier est intercepté” dit Moret. Durant la précédente version de COINTELPRO, les maisons étaient surveillées ouvertement, voiture suivies et courrier ouvert. L'idée était obtenir plus d'informations possibles comme l'aide pour les harcèlements et les intimidations contre les victimes. Même la Stasi “inspectait tout le courrier dans une pièce secrète au-dessus du bureau postal”, raconte Funder et “interceptait quotidiennement des dizaines de milliers de conversations téléphoniques”. Le docteur Munzer faisait remarquer que un des objectif de qui pilote le programme est “désintégrer les systèmes de communication des victimes”. Mc Kinney et Moret déclarents que les victimes généralement reçoivent plusieurs appels harcelants, connectable peutêtre à un évènement qui s'est vérifié dans la vie privée de la victime. Historiquement, le téléphone a toujours été un excellent instrument de harcèlement.

Online Les victimes peuvent être aussi harcelées en ligne. Les résultats des moteurs de recherche peuvent être filtrés (en les bloquant), échangés avec des informations liées à la vie privée de la victime. Les sites web visités par la victime peuvent être falsifiés incluant des informations qui évidemment mirent à faire comprendre à la victime d'être objet de stalking aussi sur internet. Tout cela semble simplement une versione en ligne du stalking en public. Qui a un site dédié à faire connaitre ce programme reçoit plein d'emails d'insultes, ou alors des personnes qui font semblant d'être victimes et demandent de l'aide faisant en même temps référence à des


évènements de sa vie personnelle. C'est une tactique qui peut être adoptée pour induire un sens de disperation et d'isolement (vraiment, tu es seul, cela arrive seulement à toi).


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