portfolio architecte MOAQ
AUDRÉE-MAUDE GOSEMICK
PROJETS L’ASCENSION Projet professionnel_Hiver 2015 MAISON | CHALET Projet professionnel_Automne 2014 LA MARGE FRICHE M1 _ Automne 2012 PLAGE URBAINE B3 _ Hiver 2012 CANOPÉE M1 _ Automne 2012 L’ESPACE PUBLIC PARTAGÉ M1 _ Printemps 2013 MARCHEZ, PUBLIC! M1 _ Printemps 2013 LAND + COMMUNITY Concours_ Automne 2013 ARTICULER L’OPACITÉ B3 _ Automne 2011 FAILLE B2 _ Hiver 2011 M[ARGE]ONTRÉAL Concours _ Été 2012 DÉLAISSÉ HIVERNAL Concours _ Hiver 2013 PHOTOGRAPHIE 18 °/55 °N - 72 °/6 °O
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Projet en autoconstruction | Étape préliminaire Résidence unifamiliale à Prévost Hiver 2015 En collaboration avec Guillaume Turgeon Solis
PERCÉES VISUELLES
Plan d’implantation
Le terrain, de part son orientation vers le sud et sa nature, a dicté l’architecture du projet soit un volume vertical et étroit. Les espaces servis sont baignés de lumière tandis que ceux servants jouent le rôle d’espace tampon à la façade située au tué à l’étage, soit au niveau de l’aire de vie, les plongeant dans la canopée des arbres. Avec ses toits plats végétalisés et le revêtement en pruche patiné, la maison s’intègre avec justesse à son contexte.
Rez-de-chaussée
Élévation Nord
Élévation Ouest
Niveau 2
Niveau 3
Élévation Sud
Élévation Est
MAISON|CHALET Projet professionnel | Étape conceptuelle Résidence unifamiliale à l’Île-d’Orléans Automne 2014 En collaboration avec Guillaume Turgeon Solis
Plan d’implantation
st-laurent
Le projet de la maison-chalet est une réinterprétation contemporaine de la typologie résidentielle traditionnelle à l’Île d’Orléans soit la maison à deux versants. L’architecture se compose de deux volumes distincts ; un premier volume d’architecture d’inspiration traditionnelle qui dialogue avec la rue
Élévation Nord
forêt
La maison ainsi que le programme sont intimement liés au contexte. Les espaces de vie sont au tandis que les espaces de nuit s’ouvrent vers la forêt.
Schémas conceptuels
Perspectives volumétriques
Rez-de-chaussée
Élévation Ouest
Élévation Sud
Niveau 2
Niveau 3
Élévation Est
projet individuel _ hiver 2014 tuteur _ sergio morales How can architecture act in the terrain vague without becoming an aggressive instrument of power and abstract reason? Undoubtledly, through attention to continuity : not the continuity of the planned, time and the loss of limits‌ we should treat the residual city with a contradictoy complicity that will not shatter the elements that maintain its continuity in time and space. Manuel de Sola Morales
Espaces rĂŠsiduels de MontrĂŠal
Marge n.f. (lat. Margo, marginis, bord). 1. Espace blanc laissé autour d’une page écrite imprimée. 2. Intervalle de temps ou liberté d’action dont on dispose.
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Morales terrain vague et par Foucault l’hétérotopie, est l’espace négatif
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PARASITER L’INFRASTRUCTURE Espace transit
reconstruction d’un fragment de ville
contexte actuel espace résiduel
Le quartier Ste-Marie, à Montréal, fait face à la problématique d’espaces résiduels notamment dans le secteur situé à proximité du pontJacques Cartier. En effet, cette infrastructure crée une rupture au cœur même de l’arrondissement abandonnant ainsi ces espaces qui ne sont utilisés que pour du stationnement. L’enjeu du projet est de repenser ces espaces en marge en les reconnectant au tissu urbain de la métropole en créant, ainsi, de nouvelles opportunités d’appropriation.
Intervention urbaine | Maquette d’implantation
L’espace en marge | Les abords du pont Jacques Cartier
INTERVENTION URBAINE
Pôle Ste-Catherine
St-Catherine
Commercial, Centre de la petite enfance Marché public, Galerie d’art
Pôle culturel
De Lorimier
Promenade des arts, Résidences pour artistes
Viger
me
e Da Notr
15
Pôle récréotouristique Continuité promenade vers Vieux-Montréal Quai + belvédère
La reconstruction du fragment de ville s’est faite selon deux approches soit celle de la mixité programmatique et d’interventions paysagères. Le projet implante plusieurs programmes qui permettent de créer un catalyseur dans le quartier en relation avec des interventions minimales en terme de paysage et de design urbain qui consistent en des zones en attente. Dans ce contexte où la ville se transforme continuellement, l’aménagement d’espaces publics, même si fait de façon minimale, est nécessaire à l’appropriation de l’espace urbain ce qui permet de mettre en relation les vides de la ville entre eux.
Pôle récréotouristique - Promenade vers le Vieux-Montréal
PROMENADE DES ARTS
Pôle culturel - Promenade des arts
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Belvédère
Entrée du parc de sculptures
Parc de sculptures
De Lorimier
Plan de la passerelle
Ville-Marie
Ateliers d’artistes
Parc de sculptures
Espace projection
Tansley
Sainte-Catherine
Entrée de la passerelle
Falardeau
René-Lévesque
René-Lévesque
Érié
Viger
Notre dame
Espace de projection
Galerie d’art
B
LA FABRIQUE | Atelier d’artistes
GALERIE
C
A
B
A
C
B
Plan de l’étage
C
A
C
PRODUCTION
BLAGE A
B
ASSEM
Plan du rez-de-chaussée
Galerie d’art et parc de sculptures
La Fabrique constitue un espace de création pour les artistes qui s’orientent vers l’art à grande échelle : l’installation, la sculpture, le video mapping, l’art public, etc. L’implantation de ce programme en milieu urbain permet un échange entre le processus créatif des artistes et la visibilité de leurs oeuvres auprès du public. Il y a donc une relation importante entre le parcours muséal de la passerelle comme lieu de diffusion et cet espace de production artistique.
Coupe transversale AA
LA FABRIQUE
Coupe transversale BB
Coupe CC
FRICHE Logement collectif secteur Bellechasse Tuteur _ Irena Latek Atelier d’architecture avancée M1_A2012 Avec Mathieu Turgeon _ 4 mois
La friche est un grand lieu de passage qui se caractérise par une nature dominante laissée à elle-même. Le site devient un espace perméable permettant une liberté vise à conserver les qualités inhérentes de cette friche en soulevant le sol pour y insérer des espaces publics. Les différentes incisions sculptées dans ce volume créent des belvédères collectifs qui donnent des vues cadrées et permettent aux habitants de s’approprier l’espace librement.
Incisions
Espaces collectifs
Collages contextuels
Belvédères collectifs
Circulations
Distribution logements
Implantation_schĂŠma chemin de fer 1914
Rez-de-chaussĂŠe
Niveau 1
Niveau 4
Coupe longitudinale
PLAGE
URBAINE
Architecture, ville et arts médiatiques Tuteur _ Irena Latek | Fannie Duguay-Lefebvre Atelier forme et contexte B3_ H2012 Avec Joannie Quirion _ 4 mois
Le projet consiste en un espace public et un bâtiment topographique unissant les différents niveaux du bassin Peel soit le canal Lachine, l’autoroute Bonaventure, le viaduc ferroviaire, le passage piéton ainsi que la piste cyclable. Cet espace public devenu grande plage urbaine permet la cohabitation du corps humain au sein d’un contexte industriel emblématique de Montréal. Cet espace permet aussi de s’approprier les berges et de retisser les quartiers environnants dont Pointe St-Charles. Les explorations ont été faites à partir d’un medium non conventionnel qu’est la vidéo. La notion de mouvement et de temps a donc été importante dans l’élaboration du concept en créant à la fois un événement architecture et un événement paysage. En soi, le projet permet l’appropriation d’une matière éphémère, évolutive : l’eau.
Timeline | jour
Niveau 1
Rez-de-chaussĂŠe Coupe longitudinale
Timeline | nuit
CANOPÉE Explorations structurales Tuteur _ Sébastien St-Laurent Détail et intégration M1_ A2012 Projet individuel_1 mois Les différentes explorations structurales portent sur l’intention première de ture et envelope coexistent. Les enjeux les plus importants étaient de répondre aux contraintes du projet soit
Élévations
d’occupation sur le toit puisque le bâtiment devient le sol de l’espace public ainsi qu’au contexte climatique mon-
Ossature secondaire
structure tridimensionnelle en acier de forme hyperbolic paraboloid et léossature principale préusinée, avec mécanique qui se fait directement au chantier.
Axonométrie assemblage
Ossature principale
DÉMARCHE _ évolution tectonique
L’espace public partagé Reconstruction
à
Port-Au-Prince
Séjour d’étude à Haïti Tuteur _ Gonzalo Lizarralde Atelier M1_ H2013
Lors de l’atelier ayant pour thème la reconstruction postdésastre, nous avons séjourné une semaine à Port-au-Prince pour l’étude du contexte et des besoins en partenariat avec connaissance et liberté). Dans le cadre de cette thématique de reconstruction, l’atelier se concentrait davantage sur l’espace public partagé à Port-au-Prince. construction urbaine, susceptible de structurer les projets d’architecture et d’infrastructure autour des vrais comportements et des vrais besoins des habitants. L’atelier a inclu une de la rue et de l’espace public. La rue et l’espace public ont siet symboliques). Les équipes de l’atelier se sont penchées sur le thème de l’éducation, la gestion des déchets et la gestion des eaux pluviales. Notre équipe s’est plutôt penchée sur problématique d’appropriation de la rue et d’une économie bien présente à Port-au-Prince soit le marché formel et informel. L’objectif du projet était donc de créer un marché qui permettrait de répondre aux besoins des gens ainsi que de revitaliser les ravines.
Marché formel et informel
Route nationale 2 _ artère majeure à Haïti
Ravine Une ravine est une incision linéaire. Cette forme élémentaire d’érosion est créée par le ruissellement concentré des eaux sur un versant. Les ravines peuvent constituer des réseaux et rejoindre le réseau hydrographique.
Parc linéaire agroalimentaire Contexte de reconstruction à Port-auPrince Tuteur _ Gonzalo Lizarralde Atelier M1_ H2013 Avec Raphaël Thibodeau et Émilie Godin_2 mois
1er prix Arcop Architecture i_Rec international competition 2013 Architecture for disaster reduction and reconstruction
Ravine des zanj Traditionnellement, le marché haïtien agit comme véritable pôle culturel dynamisant l’espace public. Audelà des échanges économiques qu’il génère, il met en relation au sein d’un même environnement des individus d’origines variées. Le marché traditionnel haïtien met en scène un système socialement structurant qui devient le théâtre d’interactions sociales riches et essentielles au développement du pays. Dans le contexte actuel de reconstruction, la précarité alimentaire devient la principale vulnérabilité à laquelle doit faire face les habitants du quartier de Martissant, au sud-ouest de Port-au-Prince En réponse à cette fragilité, notre projet « Marchez Public! » vise à dynamiser et structurer les différents secteurs de l’industrie alimentaire dans une approche intégrale.
Secteur 2 : Jardin communautaire des Zanj
Structure de la tonnelle
Espace couvert polyvalent Structure de bambou modulaire et adaptable
Possibilité de fermeture entreposage et services
Espace protégé Circulation
Quai de pêche
Implantation le long de la ravine
Espace de vente pour les marchands
Jardin communautaire
Entreposage Services
Espace double protégé Place publique partagée
Marché
Jardin communautaire
Secteur 1 : Quai de pêche
Secteur 3 : Marché
Coupe écologique
Agriculture
Secteur 4 : Agriculture
LAND + PLUG-IN
COMMUNITY UNIVERSITY
Inuit communities have developed, through time, an understanding of their ter-
Nunavut Education Concours Adaptations à l’arctique Automne 2013 - Avec Joannie Quirion
Research
Education + Community
Pond Inlet
Rankin Inlet Pond Inlet - Connection to research camps
Solar panels Exterior wood siding Structural insulated panels Timber frame
Insulating R-60 Walls
Deck
Exterior wood siding Structural insulated panels Timber frame
Programs 3
4
1
1 Community freezer 2 Country food market 3 University 4 Day care
Wooden deck Pilotis
Pond Inlet COMMUNITY SCHOOL | Contribution to neighbourhood NOMAD SCHOOL | Connection to the land Qarlikturvik Valley
2
ARTICULER L’OPACITÉ Atelier forme et fonction B3_ A2011 Avec Joannie Quirion_4 mois
Le concept du projet consiste à intérioriser les espaces vers un espace extérieur qui permet les entrées de lumière. Ayant comme prémisse d’avoir une façade complètement opaque sur St-Laurent, l’enjeu du projet était à la fois d’explorer la forme pour une orientation optimale, l’articulation de la façade principale ainsi que la transparLa façade principale a été travaillée en strates par le travail d’une matérialité à l’échelle urbaine ainsi qu’à l’échelle humaine : le métal, le béton et le verre sérigraphié.
Métal et béton
Verre sérigraphié
Béton préfabriqué
Métal perforé
FAILLE Bibliothèque Marc Favreau Tuteur _ Manon Asselin Atelier B2_ H2011 Avec Jason Treherne_4 mois
Plan d’implantation
Le concept du projet se base sur une lecture du site au niveau des différents contrastes de son, de vitesse et de densité. Le site devenue plate-forme a été creusé pour créer des vides non programmés où l’usager peut s’approprier l’espace comme il le souhaite. La masse résultante crée ainsi une rupture sonore d’avec le contexte tout en gardant les continuités urbaines importantes de ce site par la faille traversant le projet. Cette dernière divise le bâtiment en deux volumes distincts selon l’intensité sonore des programmes intérieurs et extérieurs.
Croquis_faille TT1 végétation substrat, 100 mm sopodrain 10-6, 13 mm membrane sous couche support de membrane, 13 mm isolant de polystyrène extrudé, 64 mm pare vapeur dalle de béton, 250 mm espace de circulation d’air contreplaqué, 13 mm M1 isolant de polystyrène extrudé, 64 mm imperméabilisation, 2 couches de bitume béton, 270 mm PL1
Coupe de mur
béton, 150 mm membrane pare-air/pare-vapeur isolant de polystyrène extrudé, 64 mm remblai
Croquis conceptuel
ÉlÊvation sud
Coupe longitudinale
M[ARGE]ONTRÉAL Soumission de projet Exposition ABC : MTL Centre Canadien d’Architecture Projet individuel_E2012
Marge n.f. (lat. margo, marginis, bord). 1. Espace blanc laissé autour d’une page écrite imprimée. 2. Intervalle de temps ou liberté d’action dont on dispose
La marge correspond aux différentes échelles d’un espace : urbaine, architecturale, sociale, culturelle, artistique. La marge est un espace que l’on peut s’approprier puisqu’il est vide et qu’il n’a aucune fonction préétablie. C’est l’endroit où l’on est libre de tout geste à la fois à l’échelle spatiale que temporelle. La ville fait donc face à un nouvel enjeu urbain : le vide. tant approprié par un grand nombre. Passage furtif, errance, nomades, expression artistique. On peut parler d’une esthétique de l’espace en marge de par la présence qui y règne au passé -
Timeline
cette notion de vie et de mouvement qui donne à l’interstice sa raison d’être. Elle permet la respiration de la ville, de garder Montréal vivante. Ce qui distingue Montréal aujourd’hui est l’interdépendance de ces différentes échelles dans l’espace public: elles ne sont plus dissociables. Elles cohabitent simultanément et en transparence au sein du paysage montréalais dans ces espaces en marge. Toujours en mutation, Montréal est caractérisée par son désordre, son instabilité et son éclectisme au sein de ces diverses échelles. Elle est transparente un idéal urbain/architectural. Son modèle de perfection est sa propre imperfection. Le vide de l’espace en marge est donc devenu la nouvelle urbanité de Montréal : celui d’un espace du possible qui permet liberté et spontanéité.
Traces
DÉLAISSÉ HIVERNAL Concours Nordicité - ADUQ_H2013 Avec Matthieu-Nicolas Devito_Architecture Camille Lepage-Mandeville_Design d’événement Marie-Renée Vial_Architecture de paysage
Identitié quartier
En raison de ses extrêmes, la période hivernale change notre façon d’occuper l’espace public par rapport au reste de l’année. En ville, l’activité se concentre ainsi autour des parcs. Les rues et les squares sont désertés, ce qui rend le parcours quotidien plutôt aride. Notre intervention cherche à redonner couleur et chaleur à ces
Villeray
Côte des neiges
Hochelaga
milieu urbain pendant l’hiver. Pour ce faire, nous proposons une installation évoquant le rayonnement de l’effervescence des parcs de quartiers vers les rues environnantes. l’intégration de tissages dans le paysage urbain. C’est l’arbre, vivant lui aussi les caprices de l’hiver, qui nous sert de support. Alors que la ville est abandonnée par ses citoyens, l’arbre lui, est vidé de ses feuilles. En l’habillant d’un textile, nous retrouvons l’encadrement visuel et l’échelle humaine qu’offre le feuillage durant les autres saisons. Nous redonnons à la rue une atmosphère enveloppante et apaisante par le biais d’une Formé de mailles lousses, le tissage se laisse bercer par le vent, puis traverser et envelopper par la neige et la glace : la matière évolue ainsi à travers le temps. D’abord pensée pour le quartier Villeray, l’installation a le potentiel de devenir une intervention générique pouvant s’implanter dans tous les arrondissements de Montréal.
Encadrement
Ouverture
Intervention
PHOTOGRAPHIE
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au plaisir!