L'Organisation internationale de la Francophonie L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) rassemble les gouvernements des pays ayant le français en partage. La première conférence intergouvernementale se réunit à Niamey (Niger) en 1969. La première pierre institutionnelle estl’Agence de coopération culturelle et technique (ACCT) créée en 1970, et devenue en 1995 l’Agence intergouvernementale de la Francophonie (AIF). Enfin, en 1986, se tient en France le premier sommet des chefs d'Etat et de gouvernement francophones. Au milieu des années 1990, un tournant politique donne un nouvelle dimension à la Francophonie, jusque-là essentiellement consacrée à la coopération culturelle et économique. Entamé au sommet de Cotonou en 1995, c’est deux ans plus tard au sommet de Hanoi qu’aboutit cette réforme : une nouvelle Charte de la Francophonie est adoptée et le premier Secrétaire général de la Francophonie, Boutros Boutros-Ghali, est nommé. Une nouvelle réforme intervient en 2005. La Conférence ministérielle, réunie à Tananarive (Madagascar), adopte le 23 novembre une nouvelle Charte de la Francophonie. Dans un souci de simplification du système institutionnel, l’Agence intergouvernementale constitue désormais l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), sous l’autorité du Secrétaire général de la Francophonie.
Les objectifs de la Francophonie «La Francophonie, consciente des liens que crée entre ses membres le partage de la langue française et des valeurs universelles, et souhaitant les utiliser au service de la paix, de la coopération, de la solidarité et du développement durable, a pour objectifs d’aider : à l’instauration et au développement de la démocratie, à la prévention, à la gestion et au règlement des conflits, et au soutien à l’État de droit et aux droits de l’Homme ; à l’intensification du dialogue des cultures et des civilisations ; au rapprochement des peuples par leur connaissance mutuelle ; au renforcement de leur solidarité par des actions de coopération multilatérale en vue de favoriser l’essor de leurs économies ; à la promotion de l’éducation et de la formation. Le Sommet peut assigner d’autres objectifs à la Francophonie. La Francophonie respecte la souveraineté des États, leurs langues et leurs cultures. Elle observe la plus stricte neutralité dans les questions de politique intérieure. Les institutions de la présente Charte concourent, pour ce qui les concerne, à la réalisation de ces objectifs et au respect de ces principes ». (article 1er de la Charte de 2005)
Les institutions et opérateurs de la Francophonie «Les institutions de la Francophonie sont : 1. Les instances de la Francophonie : - La Conférence des chefs d’État et de gouvernement des pays ayant le français en partage, ci-après appelée le "Sommet" ; - La Conférence ministérielle de la Francophonie, ci-après appelée "Conférence ministérielle" ; - Le Conseil permanent de la Francophonie, ci-après appelé "Conseil permanent". 2. Le Secrétaire général de la Francophonie. 3. L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). 4. L’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF), qui est l’Assemblée consultative de la Francophonie. 5. Les opérateurs directs et reconnus du Sommet, qui concourent, dans les domaines de leurs compétences, aux objectifs de la Francophonie tels que définis dans la présente Charte :
- l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF) ; - TV5, la télévision internationale francophone ; - l’Université Senghor d’Alexandrie ; - l’Association internationale des maires et responsables des capitales et des métropoles partiellement ou entièrement francophones (AIMF). 6. Les Conférences ministérielles permanentes : la Conférence des ministres de l’Éducation des pays ayant le français en partage (Confémen) et la Conférence des ministres de la Jeunesse et des Sports des pays ayant le français en partage (Conféjes)». (article 2 de la Charte de 2005) Les Etats et gouvernements de l'Organisation internationale de la Francophonie Avec 56 membres (54 membres de plein droit et 2 membres associés) et 14 observateurs, ce sont au total 70 États et gouvernements qui participent à la Francophonie.
Les grandes étapes de la francophonie 1960 : Constitution d'organismes francophones spécialisés, dont l'AUPELF (Association des Universités partiellement ou entièrement de Langue française). 1967 : Constitution de l'AIPLF (Association internationale des Parlementaires de Langue française). 1970 : Lors de la Conférence de Niamey, création du premier organisme intergouvernemental de la francophonie: l'ACCT (Agence de Coopération culturelle et technique, rebaptisée depuis Agence de la Francophonie). La charte créant l'agence est signée par 21 pays, le 20 mars 1970. 1984 : Création du Haut Conseil de la Francophonie Première diffusion de TV5. 1986 : Premier Sommet francophone à Paris. 41 pays sont représentés et décident de coopérer dans les secteurs de la culture, de la communication et des industries de la langue. 1987 : Sommet de Québec, qui établit la cadence bisannuelle des Sommets. A cette occasion, ouverture de la première université multilatérale à l'échelle de 40 pays, l'Université des Réseaux d'Expression française (UREF). De nouveaux champs de coopération se développent, notamment en matière d'agriculture et d'énergie avec la création de l'Institut de l'Énergie des Pays ayant en commun l'usage du Français (IEPF). 1989 : Sommet de Dakar, à l'occasion duquel la France annonce sa décision de renoncer aux créances qu'elle détient au titre de l'aide publique au développement auprès de la plupart des pays d'Afrique francophone. Création de l'Université Senghor d'Alexandrie, grâce au mécénat et à la contribution financière de pays francophones. A l'occasion de sa XVIIème assemblée générale qui se tient en juillet 1989 à Paris, l'AIPLF se transforme en Assemblée. Préalablement, une loi du 30 juin 1989 lui avait reconnu, en France, le statut d'organisation internationale. 1991 : Sommet de Chaillot à Paris Avec l'admission du Cambodge, de la Bulgarie et de la Roumanie comme observateurs, le nombre des pays participants est porté à 47. Le Sommet décide la "primauté du politique"; le thème des Droits de l'Homme devient un sujet primordial de la Francophonie. Une importante réforme des instances de la Francophonie est par ailleurs adoptée. Une Conférence ministérielle se réunira désormais à mi-chemin entre deux Sommets. D'autre part, un Conseil Permanent de la Francophonie (CPF), composé de représentants spéciaux des chefs d'Etat et de gouvernement, et comprenant 15 pays membres, est créé. Il est notamment chargé de préparer les Sommets et d'en assurer le suivi. L'ACCT, quant à elle, se voit confier un rôle technique de secrétariat de la Francophonie. Afin d'appuyer ses actions de coopération, il est
mis à sa disposition 9 comités de programmes composés d'experts gouvernementaux. Le Sommet décide enfin l'extension à l'Afrique de la diffusion de TV5. 1993 : Sommet de l'Île Maurice Le Sommet affirme son attachement à l'avènement de la démocratie dans l'espace francophone. Il adopte notamment une résolution sur l'exception culturelle au GATT. Les moyens mis à la disposition des opérateurs de la Francophonie sont accrus de manière significative. Une "Commission coopération" est instituée sous l'égide du CPF. Le Sommet reconnaît par ailleurs l'AIPLF comme l'Assemblée consultative de la Francophonie. 1995 : Sommet de Cotonou Le Sommet entérine l'adhésion de la Moldavie, ainsi que celle de Saint-Thomas et Prince, à la Francophonie. Les participants marquent leur volonté de renforcer la dimension politique de la communauté francophone en décidant la création d'un poste de Secrétaire général de la francophonie, qui sera pourvu lors du prochain Sommet. Ils réaffirment solennellement leur attachement à l'État de droit et à la démocratie. Les pays africains réclament un plan coordonné visant à aider au développement de leur continent. Enfin, les membres du Sommet lancent l'"appel de Cotonou" en faveur d'une vaste campagne internationale pour la promotion du pluralisme linguistique. 1997 : Sommet de Hanoï M. Boutros-Ghali est élu au poste de Secrétaire général de la francophonie, pour un mandat de quatre ans renouvelable. Ainsi est complété le dispositif institutionnel mis en place par la communauté francophone depuis la création des Sommets. Les participants consacrent l'essentiel de leurs travaux aux questions économiques, et appellent de leurs voeux la mise en place d'un "espace économique francophone". 1998 : Assemblée générale de l'A.I.P.L.F. (Abidjan) Le 9 juillet 1998 l'A.I.P.L.F. prend le nom d'Assemblée parlementaire de la francophonie (A.P.F.). 1999 : Sommet de Moncton Avec l'admission de cinq nouveaux pays, observateurs ou associés, la Francophonie compte un total de 57 membres. Le thème principal du Sommet porte sur la jeunesse. Les participants consacrent également une partie importante du leurs débats aux droits de l'homme et décident la création d'un observatoire francophone spécialisé dans ce domaine. Un consensus se dégage sur la défense de l'exception culturelle dans la perspective des négociations de Seattle, dans le cadre de l'Organisation mondiale du Commerce. 2002 : A Beyrouth, M. Abdou Diouf, ancien Président de la République du Sénégal, est élu Secrétaire général de la Francophonie. 2004 : Xe sommet francophone à Ouagadougou Les chefs d'État et de gouvernement approuvent les nouvelles missions stratégiques de la Francophonie. Ils prennent la décision de parachever la réforme institutionnelle afin de mieux fonder la personnalité juridique de l'Organisation internationale de la Francophonie et de préciser le cadre d'exercice des attributions du Secrétaire général.
Relief de la France Le relief de la France est caractérisé par le « S français » qui part du sud des Vosges, descend la vallée du Rhône et s'infléchit vers l'ouest pour longer le sud du Massif central et le nord desPyrénées. Au nord-ouest de cette ligne se trouve la zone hercynienne datant de l'ère primaire et secondaire, au sudest se trouve la zone alpine datant de l'ère tertiaire et quaternaire. Cette ligne est également une frontière altimétrique : la zone hercynienne a des pentes arrondies tandis que la zone alpine est plus escarpée ; et une ligne de partage des eaux : à l'ouest, les cours se jettent dans l'Atlantique, à l'est, dans la Méditerranée. L'ouest subit une influence océanique tandis que l'est subit une influence méditerranéenne s'atténuant en arrivant au Jura.
La zone hercynienne La zone hercynienne est composée de massifs anciens et de bassins sédimentaires. Les massifs anciens portent les traces de l'Histoire de la planète depuis le paléozoïque inférieur et sont répartis en socles de roches cristallines à refroidissement lent (granite principalement) et métamorphiques (roches sédimentaires réchauffées) arasées, nivelées par l'érosion avec de rares crêtes provenant principalement d'une érosion différentielle ou de très légers mouvements de failles provoquant des horst et graben. Les Vosges et le Massif central ont subi un remodelage au Néozoïque(ère tertiaire) commençant par une poussée paléogène provenant des Pyrénées causant de nombreuses failles est-ouest puis une poussée néogène provenant des Alpes ayant suscitée des failles nord-sud. Ces failles se sont également répercutées dans les bassins sédimentaires.
Les massifs Il y a trois ensembles de massifs : l'armoricain qui comprend le Massif armoricain, le Massif ardennais et l'ouest du Massif central comprenant aussi le Massif du Morvan qui sont fortement pénéplanés, affectés de failles très anciennes du dévonien, ayant connus une érosion au pliocène et pendant l'ère quaternaire lorsque le niveau de la mer s'est abaissé suite aux glaciations en formant des vallées encaissées dont quelques-unes ont été reprises par la mer. L'ensemble vosgien comprend les Vosges et la montagne Noire du Massif central au niveau du seuil du Lauragais. Il est formé de socles hercyniens cassés par des failles paléogènes et néogènes à l'origine de horst et graben. Le troisième ensemble, qualifié de forézien recouvre la plus grande partie du Massif central et provient de la conjonction de failles paléogènes et alpines formant un puzzle de horst et graben tellement tenu qu'il a engendré la séparation de certaines failles causant un volcanisme s'étendant du début du tertiaire à aujourd'hui de types strombolien, phonolithique ou simplement basaltique.
Les bassins sédimentaires L'histoire des bassins sédimentaires est plus complexe encore. Ils datent de la fin du primaire et du secondaire lors de grandes périodes de transgressions et régressions marines. Le Massif armoricain culmine alors à 6 500 m et le Massif central à 11 000 m. Chaque période de transgression forme des strates de roches présentant des faciès différents. À l'aire secondaire par exemple, pendant le jurassique, 1 000 mètres se sont accumulés, principalement du calcaire corallien poreux et léger et oolithique, plus denses et lourds et résistant mieux à l'érosion. S'ensuit un émersion puis une
immersion au début du crétacé formant d'importantes couches de craies provenant d'une boue très fine composée de squelettes de foraminifères puis une régression à la fin du crétacé et enfin une surrection tertiaire des Pyrénées et des Alpes accompagnée de trois alternances formant des couches altérées d'argiles, de marnes, d'argilites, d'argile varvée très fertiles, d'argiles latéritiques, d'argiles de décalcification, d'argiles à silex, de sables, de sédiments lacustres ou éoliens... Le matériau des bassins sédimentaires provient de l'usure des massifs anciens. Ces ensembles subissent les mêmes aléas que les massifs et sont mis en contact selon trois types de schémas : le contact en glacis où l'on constate une continuité de la topographie, une absence d'érosion différentielle et une érosion océanique modérée ; le contact avec dépression périphérique avec cuesta où l'on voit une superposition d'une couche dure sur une couche tendre ; et enfin le contact avec dépression périphérique avec failles ou lignes de failles comblés par les apports sédimentaires. Tout cet espace a été bousculé au quaternaire, versé par les volcans et érodé notamment par la main de l'homme avec la déforestation, le labour, les travaux... Les principaux bassins sédimentaires sont la plaine des Flandres, le Bassin parisien, le Bassin aquitain et le sillon rhodanien.
La zone alpine La zone alpine est composée principalement des Pyrénées, des Alpes et du Jura. Les Pyrénées constituent un type particulier de montagne jeune car elles sont constituées d'une montagne ancienne caractérisée par du granite primaire et des couches sédimentaires provenant du mésozoïque aux matériaux identiques que le Massif armoricain avec en plus des couches sédimentaires du jurassique, du crétacé et de l'éocène qui proviennent du bassin aquitain. L'orogenèse des Pyrénées commence au début du tertiaire, à l'éocène et se fait sur des matériaux extrêmement durs qui sont cassés en blocs immenses qui soulevés forment des blocs anguleux montants rapidement. Les couches sédimentaires les plus dures du jurassique sont cassées, plissées par les autres avec l'apparition de chevauchements, de plis couchés. On retrouve des failles est-ouest provenant de cette orogenèse jusqu'au sud du massif central, à la montagne Noire, à l'escalier du Languedoc et entre la Corse et la Sardaigne. Les Alpes partent d'un immense géosynclinal tapissé d'un dépôt sédimentaire primaire, secondaire et début-tertiaire qui en brisant le socle qui le soutenait l'a fait exploser. Des blocs entiers se sont rapidement soulevés. L'axe s'est ensuite infléchi. Le Jura est un ensemble sédimentaire fortement plissé lors de la surrection des Alpes.
Palmarès 2006 et 2011 des sites ou monuments les plus visités selon l'ONT (en 2008) 1. 2. 3.
Ville de Paris (Paris), 30 000 000 (2008). Disneyland Paris (Seine-et-Marne), 15 300 000 (2008). Notre-Dame de Paris (Paris), 13 500 000 visiteurs.
4. 5. 6. 7.
Forêt de Fontainebleau (Seine-et-Marne), 13 000 000. Marché aux puces de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), 11 000 000. Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre (Paris), 10 500 000. Armada de Rouen (Seine-Maritime), 11 000 000 en 2008 (a lieu tous les cinq ans en
juillet, prochaine édition en 2013). 8. Musée du Louvre (Paris), 8 500 000 (2008).
9. 10. 11. 12.
Parc du château de Versailles (Yvelines), 7 500 000 (2007). Tour Eiffel (Paris), 7 000 119. Centre Georges-Pompidou (Paris), 6 600 000 Centre historique de la ville de Lyon (Rhône), 6 000 000 (2e ville touristique de
France). 13. Château de Versailles (Yvelines), 5 000 000 (2007).
14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24.
Basilique Notre-Dame-du-Rosaire à Lourdes, 4 700 000. Cathédrale Notre-Dame de Strasbourg (Bas-Rhin), 4 500 000. Ville de Nice (Alpes-Maritimes), 4 300 000 (3e ville touristique de France) La fête des lumières de Lyon (Rhône), 4 200 000 (a lieu tous les ans le 8 décembre ). Domaine National de Saint-Cloud (Hauts de Seine), 4 100 000. Rocher de Monte-Carlo, 4 000 000. Cité des sciences de La Villette (Paris), 3 900 000. Parc de Miribel-Jonage (Ain et Rhône), 3 500 000. Mont Saint-Michel (Manche), 3 250 000. Carcassonne (Aude), 3 200 000. Le centre historique de la ville de Strasbourg (Bas-Rhin), 3 100 000 (5e ville touristique
de France). 25. Port de la vieille ville de La Rochelle, 3 000 000.
26. 27. 28. 29.
Musée d'Orsay (Paris), 3 000 000. Port de Honfleur, 3 000 000. La Braderie de Lille (Nord), 3 000 000 (a lieu tous les ans en septembre). Centre historique de Rouen (Seine-Maritime), 2 900 000 (6e ville touristique de
France). 30. Centre historique de Bordeaux (Gironde), 2 700 000 (2007) (7e ville touristique de France). 31. Les Baux de Provence (Bouches du Rhône), 2 500 000.
32. 33. 34. 35. 36. 37. 38. 39. 40. 41. 42.
Les Jardins Botaniques Borély de Marseille (Bouches du Rhône), 2 400 000. Village de Riquewihr (Haut-Rhin), 2 100 000. Ville de Nancy (Meurthe-et-Moselle), 2 050 000 (8e ville touristique de France) Cité de la Mer Cherbourg (Manche), 2 000 000. Centre de Nantes (Loire-Atlantique), 2 000 000. (9e ville touristique de France) Rempart de Saint-Malo, 2 000 000. Parc du Futuroscope, 1 825 000. Rocamadour (patrimoine mondial de l'Unesco), 1 500 000. Cathédrale Notre-Dame de Reims (Marne/Champagne), 1 500 000. Cathédrale Notre-Dame de Chartres (Eure-et-Loir), 1 500 000. Le Puy du Fou (Vendée), 1 445 000 (2009).
43. 44. 45. 46. 47. 48. 49. 50. 51.
Muséum national d'histoire naturelle (Paris), 1 444 744. Le Parc zoologique de Lille (Nord), 1 400 000. Ville de Giverny et Vernon (Eure), 1 300 000. Les Gorges_de_l'Ardèche (Ardèche) , 1 200 000. Le carnaval de Nice (Alpes-Maritimes), 1 200 000 (a lieu tous les ans en février). Pont du Gard, 1 113 000. Arc de triomphe de l'Étoile (Paris), 1 032 999. Basilique Sainte-Marie-Madeleine de Vézelay (Yonne), 1 000 000. La Fête du fleuve de Bordeaux (Gironde), 1 000 000 (a lieu tous les deux ans en juin
à intervalle entre Vinexpo). 52. Ville de Sarlat (Dordogne), 1 000 000.
53. 54.
Musée de l'armée (Paris), 990 650. La ville de Bonifacio (Corse-du-Sud), située en limite de la réserve naturelle des
Bouches de Bonifacio. 55. Le centre historique de Metz et son Centre Pompidou-Metz (plus de 800 000 visiteurs depuis son ouverture en mai 2010). 56. Cimetière américain de Colleville, 800 000.
57. 58.
Château du Haut-Koenigsbourg (Bas-Rhin), 550 000. La pointe du Raz (Finistère), 540 000.
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