miss orange

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SOMMAIRE

PRINCESSES PELUCHES

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PRINCIPES FONDATEURS

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CRÉATION & IDENTITÉ

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CAROLINE AMOROS & RAPHAËL HELLE

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LA RUE COMME SCÈNE

MISS O’RANGE PAGE 6

LE PROJET O’RANGE

PAGES 7

LES COLLABORATIONS ARTISTIQUES

PAGES 8

LES ACCESSOIRES

PAGES 9

RECHERCHES DOCUMENTAIRES

PAGES 10

RECHERCHES SUR LE TERRAIN

PAGES 11

MAIS QUI EST DONC MISS O’RANGE ?

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PRODUCTION

PAGES 13

CRÉATIONS & DIFFUSIONS

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LIENS & CONTACTS

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Princesses Peluches

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PRINCESSES PELUCHES

PRINCIPES FONDATEURS Chaque nouvelle performance de Princesses Peluches présente une nouvelle princesse en solo. Ces princesses sont le fruit des rêveries de Caroline Amoros. Par leur silhouette et leur couleur, elles sont facilement identifiables. Ce sont des femmes au statut social précaire. Les performances de Princesses Peluches abordent les difficultés auxquelles sont confrontées ces femmes dans leur quotidien ‐ inégalités sociales, sexisme, racisme… ‐ et les traitent par l’humour, la dérision, la tendresse et la folie des personnages. Ces « Princesses de Peluches » prêtent à rire et donnent à méditer. Chez Princesses Peluches, la scène est la Rue, en tant que voie publique, voie de communication. Le personnage l'investit, y déploie un jeu d'improvisation construit sur une trame précise qui intègre les autochtones. Sollicité, le public participe, se prend au jeu, et rapidement, devient lui‐même acteur. La rue n'est pas à sens unique. Princesses Peluches pose une photographie de la société à un instant T. Une même scène prend une autre tournure quand elle est présentée à Paris ou à Ljubljana, dans un festival de rue ou dans un centre d’art contemporain.

Vue par … Daniel Andrieu Directeur de l’Atelier 231 Centre National des Arts de la Rue – Sotteville lès Rouen

« Ce qui m’intéresse chez Caroline Amoros, c’est qu’elle est à mi­parcours entre les arts contemporains et le spectacle vivant. Elle a recours au travail de vidéastes, de photographes, de plasticiens. Le film sur Mme LeJaune, réalisé lors d’une résidence à Sotteville, était diffusé par des moniteurs placés dans les cafés, les banques, créant une ambiance très particulière. Dans ses créations, il s’agit toujours du même personnage : des princesses contemporaines qui ont toutes les difficultés à vivre. Caroline Amoros aborde cela de façon très militante. Tout cela ne va pas sans difficulté ; certaines personnes se sont manifestées violemment contre sa venue, car cela remuait chez eux certaines choses pas simples à gérer. Ecrire sur le sol, piétiner le drapeau français ne leur semblait pas « correct ». D’autres, au contraire, sont très attentifs, même s’ils ne savent pas très bien s’il s’agit d’une artiste du festival ou pas, car elle commence ses interventions avant le lancement officiel. Ceux­là l’acceptent, car ils comprennent qu’elle parle d’inégalité, de sexisme, de racisme, avec tendresse et dérision. Caroline Amoros est l’une des rares artistes qui, invitée en résidence, ne passe que peu de temps à l’Atelier. Son personnage, Mme LeJaune, est partout dans la ville : aux conférences, à la bibliothèque, aux expositions, au marché … Les gens finissent par la connaître. »

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Pour explorer les contradictions des personnages que Caroline Amoros interprète, Princesses Peluches confie le processus de création à des artistes de disciplines différentes, afin qu’ils fusionnent leurs savoir‐faire dans une performance polymorphe. Les personnages sont créés et les performances écrites en direct dans l’espace urbain : la rue à Aix‐Les‐Bains ou à Aix‐En‐ Provence, improvisations dans des galeries marchandes à Marseille ou à Chambéry, galeries d’art en Grande‐Bretagne… Les personnages sont développés à partir des premiers clichés de Raphaël Helle, et travaillés jusqu’à la transformation complète de l’interprète. Au croisement des arts urbains et contemporains, Caroline Amoros propose au final un solo déambulatoire basé sur le théâtre gestuel, la danse, la manipulation de jouets, dans un parcours ponctué d’installations diverses : installations filmiques réalisées par Raphaël Helle, écritures au sol et installations plastiques.

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Rose à New York – Photographie de Raphaël Helle

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PRINCESSES PELUCHES

CRÉATION & IDENTITÉ DE PRINCESSES PELUCHES

Caroline AMOROS, performer solo en milieu urbain, se spécialise dans l’exploration des micro‐territoires et se sert de la rue comme décor, de ses habitants comme partenaires de jeu. C’est en 1998 qu’elle débute ses performances et crée ses personnages, les « Princesses de Peluches ». Elle construit ces princesses à partir de l’observation des stigmates de notre société postmoderne, de ses lectures, et de questionnements sur la différence et l’identité. Après Rose, suivront en 2000 Mme LeJaune, puis Kristin en 2004. Ce sont des femmes aux personnalités singulières correspondant à diverses origines sociales et dont la rue est le royaume. Chaque princesse a ses espaces urbains privilégiés : routes, rues et passages piétons, galeries marchandes, espaces de bureaux, bars. Elle a une préférence pour l’espace au sol qu’elle aime envahir d’objets qui détournent les habitants de leur chemin quotidien. Elle y dépose des écritures au sol, des yaourts, des salades, du papier peint. Toujours minimaliste, ses petits accessoires et costumes sont issus de la grande distribution : Carrefour pour les produits consommables, Babou pour le jaune, Toys’R’Us pour les jouets achetés à noël, Jennyfer, H&M pour les vêtements, ainsi que Darty pour l’électroménager ou encore Champion et Décathlon pour les activités ludiques. Elle débute en 2008 un travail sur la consommation en ligne et devient également une e‐consommatrice. Invité permanent, l’auteur‐photographe Raphaël Helle de l’agence Signatures s’associe à ses travaux de recherche sur la théâtralité et l’espace urbain. Les personnages s’infiltrent également dans des évènements politiques : procès de José Bové, marche mondiale des Femmes, campagne électorale américaine. Princesses Peluches aime à proposer des projets de une à deux semaines sur un même territoire.

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Vue par … Jonathan Holloway Directeur de la programmation du Royal National Theatre de Londres Directeur du Festival de Norwich

« La première fois que j’ai vu Caroline Amoros, en 1997, j’ai été immédiatement enchanté. Son personnage, Rose, plantait des laitues, elle promenait son chien et distribuait de la nourriture pour chien à un public surpris, dans les endroits les plus improbables. Je l’ai immédiatement invitée au festival inaugural Watch This Space, organisé par le Théâtre Royal National. Tandis que Fiona Shaw se produisait en Miss Jean Brodie au Théâtre Olivier, Caroline jouait Rose dehors, enchantant son chemin à travers la foule anglaise et créant une extraordinaire série d’interventions d’art vivant de rue. Deux ans plus tard, je l’ai invitée à revenir avec Madame LeJaune, un personnage coriace, plus engagé, avec une série d’interventions spectaculaires. Caroline peignit la place en jaune, emmena le public dans une danse joyeuse, depuis l’une des institutions culturelles de pointe jusqu’au Waterloo Bridge, à travers le trafic londonien. Quand j’ai été invité par Pierre Layac pour créer Elemental, en 2003 à Chalon dans la Rue, j’ai naturellement décidé d’inviter Caroline comme collaboratrice, guide et performeuse. Elle apporta son extraordinaire sensibilité d’avant­garde française au plus britannique des spectacles. Caroline est une artiste unique et exceptionnelle, qui ne manque jamais de surprendre ou de chatouiller.»

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PRINCESSES PELUCHES

CAROLINE AMOROS & RAPHAËL HELLE CAROLINE AMOROS étudie la danse contemporaine à Montpellier avec Ingeborg Liptay et Morton Potash puis se forme au théâtre gestuel et visuel, aux techniques de Stanislasky et de Grotosky, à l’improvisation au Canada puis à Anvers (Be) avec la compagnie laboratoire Pyramide Op de Punt. Les acteurs physiques de Pyramide sont alors considérés par Jacques Lecoq comme étant les meilleurs en Europe (Anthologie du Théâtre, de J. Lecoq). Pendant 10 ans elle participe en tant qu’interprète puis en tant qu’assistante à la mise en scène des créations internationales de la compagnie flamande Pyramide op de Punt (Anvers). Pour la compagnie Aksident, elle met en scène sa première création, La Piscine, qui est programmée à Aurillac (In) en 1995. Elle découvre le théâtre d’intervention en tant qu’interprète et en 1996, elle reçoit le prix spécial du jury à Holzminden en tant que meilleure interprète d’Arts de la rue. Rose, la première princesse, est programmée à Chalon Dans La Rue (In) dès sa création en 1998. Kristin reçoit le Prix SACD Auteurs d’Espace en 2007 et l’aide à la création de la DMDTS. Depuis 1998, ses performances théâtrales en solo sont présentées dans le monde entier. En duo depuis 1998 avec RAPHAËL HELLE, auteur‐photographe de l’agence Editing / Signatures (Paris), CAROLINE AMOROS travaille sur une série de travaux photographiques autour de ses créations intitulée Princesses Allien. Leurs photographies sont prises dans des événements mondiaux tels que la Marche Mondiale des femmes pour Madame LeJaune, féministe internationale, ou dans un contexte social particulier. Les clichés sont parfois montés sous forme de film de 20 minutes. KristinChina est réalisé à Chinagora à Paris. Kristin et Miss O’Range doivent se rendre avec Raphaël Helle dans la campagne électorale américaine. Pour sa part, RAPHAËL HELLE a publié en 2003 deux livres : sur la Fête des Lumières à Lyon (commande de la ville de Lyon aux éditions Glénat), une série de portraits des Pionniers de l’Or Blanc. En 2004 il participe au livre prévu pour l‘anniversaire des 20 ans du Festival International de Théâtre de Rue d’Aurillac. Il poursuit aussi un travail engagé et suit Catherine et Bruno Mégret à Vitrolles, José Bové à Millau et à Seattle, et photographie la manifestation altermondialiste de Gênes. Il travaille notamment pour la presse nationale (Le Monde, Libération, L’Express…). RAPHAËL HELLE: AGENCE SIGNATURES :

www.raphael‐helle.com & www.raphael‐helle.blog.lemonde.fr www.signatures‐photographies.com

Vue par … Jean-Georges Tartar(e) Poète, conteur et comédien

« Il y a quelques années, je découvris une particule physique infime autant qu'explosive. Nobel découvrant la nitroglycérine ne fut pas plus heureux que moi, mais ce que j'ignorais alors c'est que ce ciron, cet … allait plusieurs fois me sauter à la figure. Je devais perdre la face et cela ne se retrouve pas. Jugez de la chose : une minuscule centenaire, parfait reflet de votre arrière­grand­mère, foutant le feu à tout un quartier de gratte­ciels américains par la plus subversive insolence : planter des salades ! Collectionneur de silhouettes insolites, je cueillis celle­ci, jouissant de raconter un jour cette extraordinaire rencontre à mon public, mais je dus déchanter en apprenant qu'il s'agissait d'une actrice « de rue ». Victime honteuse, je jurai qu'elle ne m'y reprendrait plus jamais quand vlan, cette année (2007), je confesse m'être fait avoir encore, par la même, qui avait mis sans dessus dessous les rues d'un festival réputé, au public aguerri à tous les pièges. Pourtant, pour percer son secret je m'en étais fait une amie (délicieuse), j'avais décodé son ADN : sa science de l'entourloupe résulte d'une poésie singulière dont la sincérité porte le talent et vice­vertu, bref, la formule, quoi… Cette fille, c'est de la bombe ! Voilà pourquoi je ne vous en dirai pas davantage, vous seriez tentés de l'éviter et ce serait dommage pour le progrès de l'art ! »

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LES COLLABORATIONS ARTISTIQUES : Princesses Peluches travaille également avec RIA DE CORTE, chorégraphe, PATRICIA DALIO, compositeur, ARNO JOURDAIN, tatoueur et plasticien, FLORIANE GABER, journaliste, l’agence photographique SIGNATURES ou encore VIRGINIE BRYZLANSKI qui tourne actuellement un documentaire sur le travail des Princesses de CAROLINE AMOROS et RAPHAËL HELLE.

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PRINCESSES PELUCHES

LA RUE COMME SCENE Princesses Peluches poursuit son travail à la limite des genres avec un personnage théâtral qui s’approprie une rue et ses habitants pour en faire son espace scénique et son public. La fusion, dans la rue, de la photographie, de la vidéo ou de l’installation permet à Princesses Peluches d’explorer l’espace public dans ses moindres recoins. En solo, elle se glisse de l’espace public à l’espace privé. Elle s’infiltre partout : dans les supermarchés, dans les rues, les cafés, les hôtels, sur les places, telle une fourmi qui construit une fourmilière. Elle dispose de plusieurs centaines de pots de yaourts (nature) sur une place, danse entre les automobiles en plein carrefour, pilote un modèle réduit d’avion, écrit à la bombe de peinture sur un passage piéton, joue avec une vedette nautique miniature dans une fontaine, et repeint au paint‐ball les vitrines de sa ville. Partout elle détourne et fait trébucher.

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Princesses Peluches pose ses personnages dans le quotidien des habitants : sur leur ligne de tramway, dans leur supermarché, sur leur passage piéton, sur la route, à leur travail, sur le sol. Elle relie des espaces, des territoires entre eux.

Minimaliste, Princesses Peluches travaille à échelle humaine dans un espace urbain vaste, avec un minimum d’accessoires issus de la grande distribution. Dans ses parcours, elle entraîne le public sur les lieux des installations plastiques et filmiques de ses complices, et sur diverses aires de jeu.

Le public de la performance urbaine est un public multiple. Princesses Peluches intègre à son jeu les spectateurs informés, invités, comme le simple passant, l’automobiliste, le consommateur aux terrasses, ou le commerçant chez qui elle s’introduit. Elle entraîne le public à la suivre dans un déambulatoire rapide, au rythme des scènes courtes et des installations. La forme du solo permet d’approcher le spectateur au plus près, de le pousser à devenir acteur en un genre de performance participative. Comme les installations, les traces laissées (textes au sol, affiches produisant du sens) captent à retardement un autre public plus méditatif et laissent une trace dans la mémoire. En aucun cas, Princesses Peluches ne tente d’effacer l’espace urbain existant, mais elle s’en sert comme support, afin d’engendrer des visions et des images multiples, adaptées à la scénographie. Elle explore les limites entre théâtre et réalité, à la limite des genres : arts plastiques, art urbain, théâtre visuel, performance.

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MISS O’RANGE

LE PROJET O’RANGE En 2008, Princesses Peluches crée sa dernière princesse en la confrontant à l’orange : au fruit, mais aussi à ses coutumes, pratiques, circonstances et symboliques. Le point de départ de cette nouvelle création est l’expression populaire « Une orange à Noël », lieu commun qui oppose la société d’hyperconsommation d’aujourd’hui à la sobriété d’antan. La question de la « normalisation » est l’un des thèmes principaux de cette création, qui interroge l’idéologie de la consommation. Princesses Peluches observe deux « Dora ». Celle de Freud, présentée comme hystérique et hypocondriaque, et l’héroïne pour enfants mondialement connue, Dora l’Exploratrice : celle qui explore notre planète et la réduit à quatre pays et une seule culture. Le personnage de Miss O’Range est construit à partir de ces deux Dora. Le thème et le personnage sont intimement mêlés.

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La personnalité fragile et l’identité de Miss O’Range sont sans cesse perturbées par la consommation et l’e‐consommation, une galerie marchande en ligne étant pour elle www.lecentredumonde.com. Comme pour ses précédentes créations, Caroline Amoros mène d’abord une recherche documentaire dans les domaines des traditions, de la consommation, de l’art, de la politique en surfant sur l’imaginaire de son nouveau personnage. Une seconde phase de recherche et d’expérimentation sur le terrain, prévue début 2008, permettra à la comédienne de composer, dans le flux quotidien des grands centres commerciaux et des transports en commun, la base de son personnage, Miss O’Range : déconnectée du réel depuis son plus jeune âge, elle traversera ainsi, dans la ville, de nombreuses rivières aux crocodiles, à l’image de l’exploratrice.

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MISS O’RANGE

LES COLLABORATIONS ARTISTIQUES Comme pour ses précédentes performances, Caroline Amoros partage le processus de recherche avec des artistes de disciplines différentes, afin qu’ils fusionnent leurs savoir‐faire pour cette création. Elle pérennise sa collaboration avec RAPHAËL HELLE, dont les premières photos aident la comédienne à construire son personnage, et qui l’accompagne au cours de son travail exploratoire sur le terrain (dans les carnavals dédiés à l’orange, sur les exploitations marocaines, lors de la campagne électorale américaine). Ce travail photographique sera ensuite intégré à la performance même, sous forme d’installations ou de films d’une vingtaine de minutes. Princesses Peluches pérennise également sa collaboration avec la compositrice contemporaine PATRICIA DALLIO, avec qui elle compte travailler sur les bandes‐son trilingues du DVD Dora l’Exploratrice et des improvisations en salle et en rue, superposant le réel et le virtuel. Son dernier travail, Le Parvis des Ondes, un trio envoûtant avec Yukari Bertocchi‐Hamada et le danseur Hervé Diasnas, a été présenté dans le off d'Avignon par la Région Champagne‐Ardennes et soutenu par la DRAC, Champagne-Ardenne, l'ADAMI, les studios Château de Faverolles, et la SPEDIDAM.

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PATRICIA DALLIO: www.patriciadallio.phpnet.org

ORANGE : « Réunion de quartiers » (Extrait de mots-croisés)

« On ne compare pas des pommes avec des oranges » (Proverbe québécois)

ORANGE :

Amère Sanguine Pressée

L’Anversoise RIA DE CORTE collabore régulièrement avec Princesses Peluches. Elle est spécialisée dans les chorégraphies pour acteur. Elle travaille à partir des vidéos d’improvisation, puis rejoint Caroline Amoros pour créer, à partir de la gestuelle du personnage, de courtes chorégraphies sur lesquelles Caroline Amoros peut à nouveau improviser. Nouvel arrivé pour ce projet, ARNO LE TATOO rejoint l’équipe pour le travail d’écriture au sol et de traces du personnage dans la ville, chères à Princesses Peluches depuis sa création. Authentique tatoueur mais aussi décorateur de théâtre, Arnaud apportera sa sensibilité à fleur de peau et sa vision de la rue au travail des Princesses. Enfin, les caméras et micros de VIRGINIE BRYLINSKY et BÉNÉDICTE JOUAS suivront l’ensemble du processus. Same Same But Different, leur dernier documentaire a été sélectionné et primé dans de nombreux festivals.

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MISS O’RANGE

LES ACCESSOIRES Pour cette création, Princesses Peluches joue la carte de la sobriété. Pour la scène d’ouverture, Miss O’Range arrive en vélo et renverse un cageot d’oranges qui roulent à un carrefour automobile. Elle appelle ce phénomène « l’effet orange » et l’aventure de Miss O’Range dans la ville débute. Poursuivant l’exploration de ses marques et enseignes fétiches, Princesses Peluches joue la simplicité, avec pour principal accessoire des oranges et des dérivés généralement issus de la grande distribution : filets d’oranges, bouteilles d’Orangina, d’Oasis, de Fanta, désodorisant Brise parfum orange, couteau électrique Seb, jeu de quilles, de golf, de criquet… L’utilisation de jouets comme accessoires s’inscrit dans la continuité de la performance précédente, non plus en tant que déterminants sexistes, mais cette fois pour parler de « l’amour plastique », et les châteaux de princesses en plastique rose brûlent sur les routes. Ces accessoires miniatures, universels, sont faciles à transporter et à placer dans l’espace. Le théâtre de Princesses Peluches doit apparaître et disparaître comme par enchantement dans la ville et n’y laisser que quelques traces résiduelles, celles de pochoirs, d’écritures au sol, d’affiches aux murs, devenant une méditation pour un public ultérieur. Miss O’Range manie le couteau électrique à merveille, symbole de sa modernité, de sa féminité et de sa passion pour les Arts Ménagers. Mais avec ce couteau, elle découpe toutes sortes de poupées et de poupons en plastique. Le jouet et les jeux d’adulte, criquet, golf, jeux de boules, bowling et paint‐ball sont aussi à l’honneur pour cette princesse qui joue à être une petite princesse riche. Princesses Peluches installe à même le sol les objets sortis des galeries marchandes, des marques pour lesquelles Miss O’Range se passionne. Babou, Toy’ru’s, Jennyfer, Carrefour, Darty sont son royaume. Pour cette nouvelle création, elle se passionne maintenant pour les sites d’achat en ligne. Ainsi, elle explore l’espace public dans ses moindres recoins : dans le réel, et également, dans le virtuel.

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MISS O’RANGE

RECHERCHES DOCUMENTAIRES Caroline Amoros étudie d’abord les divers phénomènes et manifestations dans le monde contemporain, prenant pour thème l’orange dans les domaines suivants : 1 2 - La Traditions : Carnavals de Binche (Belgique) et d’Ivrea (Italie) … - La Consommation : Orangina, Orange World, le fleuriste, l’Orange Bleue, la culture de l’orange au Maroc - L’Art : La galerie l’Orange à Montréal, les Orange Crush d’Andy Warhol… - La Politique : le site belge l’Orange Bleue, la révolution orange en Ukraine, le site des militants de François Bayrou, la ville d’Orange…

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Les Gilles sont les prêtres du

CARNAVAL DE BINCHE. Ils ne doivent pas être reconnus. Ils portent un masque de toile recouverte de cire, une paire de lunettes, une moustache et une mouche à la Napoléon III. Ils les gardent jusqu’à midi et quand ils sont reçus par le maire, ils les retirent et distribuent des oranges.

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S’inspirant des ouvrages Comment les riches détruisent la planète d’Hervé Kempf et Limite Vulgaire d’Hélène Siurven et Philippe Tretiack, elle trace les contours de l’imaginaire de son nouveau personnage, une « e‐ consommatrice ».

Enfin, Miss O’Range a découvert le centre du [de son] monde, une galerie marchande virtuelle : www.lecentredumonde.com !

et s’arrêtent de place en place pour se

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Pendant le CARNEVALE DELLE

ARANCE, des chars parcourent la ville livrer à des batailles d’oranges. Le sol se trouve rapidement maculé de plusieurs

centaines

de

tonnes

d’oranges et la ville s’emplit de leur parfum. Les arancieri sont censés épargner toute personne portant un bonnet

phrygien.

Les

versions

divergent sur l’origine de cette tradition: elle symboliserait selon les uns la révolte du peuple contre un tyran du XIIe siècle (installé par Barberousse) ou résulterait d’une imitation du carnaval de Nice au XIXe.

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MISS O’RANGE

RECHERCHES SUR LE TERRAIN Après la recherche documentaire, place au terrain. Princesses Peluches qui a étudié les carnavals dont les traditions sont liées à l’orange, entraîne son personnage à Binche en Belgique, et à Ivréa en Italie, afin de se plonger dans un imaginaire collectif nourri de rites et d’histoires anciennes. Elle voyage au Maroc afin de découvrir la culture de l’orange et les traditions liées à ce fruit dans les pays de la Méditerranée. Parallèlement, la création du personnage de Miss O’Range se fait « en direct » : un work in progress, dans les différents grands centres commerciaux où elle s’invite à l’époque des soldes. Miss O’Range s’habille dans les centres commerciaux très fréquentés: Les Halles, Saint‐Sever à Rouen, Grand Littoral à Marseille. Puis prend le tramway à Rouen, le métro à Paris. Elle mange japonais en lisant des mangas. Princesses Peluches expérimente aussi l’orange en tant que jouet et accessoire de jeu : boule de golf, boule de criquet, jeu de 6 boules, boules de jeu de quille… . L’orange en tant qu’objet qui roule dans la ville. Bien entendu, c’est Caroline Amoros qui conçoit, construit et interprète le personnage et sa création se déroule sous l’œil voyeur des caméras et micros de Virginie Brylinsky et Bénédicte Jouas, qui suivent la naissance de cette dernière princesse. Princesses Peluches explore et relie des micro‐territoires, pose ses personnages dans la ville et dans le quotidien des habitants. Cette fois, c’est dans le voyage que se glisse Miss O’Range : dans le métro de Paris, dans la ligne de tramway de Rouen, dans le bateau pour le Maroc, « voyage‐vacances » du magasin Carrefour.

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MISS O’RANGE

MAIS QUI EST DONC MISS O’RANGE ? O’Range a deux passions : l’Amérique et les oranges. Grande spécialiste des achats en ligne, fan de Vente Privée, elle fait son shopping sur le site le « Centre du Monde ». Elle vadrouille dans les carnavals de Binche et d’Italie, et s’offre des week‐ends promotion dans des hôtels de la ville d’Orange. Elle vit en HLM, mais Miss O’Range souhaite paraître riche. Sportive vieillissante, elle s’adonne au golf et au criquet, comme délassement mais aussi pour nourrir son carnet d’adresses de bonnes fréquentations. Elle adore Nemo, le poisson, le film, dévore les aventures de Dora l’Exploratrice, et se nourrit de mangas. Elle s’habille le plus souvent chez H&M. Ses habits changent tout le temps, au gré des saisons. Mais qui est la vraie Miss O’Range ? Elle pète le feu, une vraie flamme cette O'Range ! Elle a le sang chaud, un brin Amérique du Sud. Elle adore délirer et ne semble pas se laisser modeler, formater par la consommation. Elle aime le bruit, la fête, la sangria, la Méditerranée, les puces de Marseille et se prononce pour l'ouverture tardive des bars de nuit et en faveur du tapage nocturne. Miss O’Range n’a plus de nationalité. Fan de manga, elle a fait sauter toutes ses frontières et pratique plusieurs langues à la façon de Dora. Toute ressemblance avec une (deux, voire trois) personne(s) existante(s) ou ayant existé n’est pas totalement fortuite.

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LA PRODUCTION DEMANDES DE RÉSIDENCE ET DE COPRODUCTIONS EN COURS Festival de Gand, Belgique |||| Lieux Publics, Marseille |||| Atelier 231, Sotteville les Rouen |||| 3 bis F, Aix en Provence Festival Fest’Arts, Ville de Libourne |||| Le Hangar, Amiens |||| Centre Culturel Français, Meknès, Maroc ||| Les Subsistances, Lyon PLANNING DE CRÉATION Mars 2008 : finalisation des négociations des coproductions, préachats et diffusion pour 2008/2009. Mars & avril 2008 : Caroline Amoros compose Miss O’Range, le personnage, en salle à Salins‐les Bains puis en improvisation dans les rues d’Aix‐en‐Provence et de Marseille. Février à novembre 2008 : travaux photographiques avec le photographe Raphaël Helle au Maroc, et dans les carnavals de Belgique et d’Italie. Campagne électorale américaine en novembre en complicité avec l’agence de photographes « Signatures ». Réalisation avec Raphaël Helle de deux films de photographies de 20 minutes.

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RÉSIDENCES DE RECHERCHE ET DE CRÉATION Janvier 2008 : Improvisations en salle. Écriture à Saint Thiébaud (39) Février‐Mars 2008 : Résidence de recherche et de création à la Maison des Princesses (Peluches et Allien) à Saint Thiébaud (39) avec Arnaud Jourdan (tatoueur, écriture au sol, tatouages et tags de rues) |||| Résidence à Marseille au centre commercial Grand Littoral et dans les rues. Improvisations en solo en extérieur. Avril 2008 : Résidence à Paris, au centre commercial Darty Tati à Paris Gaîté et au centre commercial des Halles, dans le métro parisien. Mai 2008 : Formation au golf dans le Var (06) avec la complicité d’Orphéon Théâtre à Cuers. Juin 2008 : Résidence d’écriture à Cuers (Var). Juillet 2008 : Premières expérimentations publiques au festival d’Ax‐Les‐Thermes. Octobre 2008 : Résidence de création musicale avec la compositrice Patricia Dallio. Décembre 2008 : Première présentation publique à Gand de « Une orange à Noël ». Janvier 2009 : Résidence avec la chorégraphe Ria de Corte |||| Résidence à Sotteville‐Lès‐Rouen, au centre commercial Saint‐Sever, et dans la ligne de tramway entre Sotteville et Saint‐Sever. Improvisations en solo en extérieur. Février 2009 : Voyage de Miss O’Range à Binche (Be) et à Ivréa (It) avec le photographe Raphaël Helle |||| Voyage de Miss O’Range en bateau au Maroc avec le photographe Raphaël Helle. Juin 2009 : Montage du film documentaire tourné entre le 28 mars 2008 et juin 2009. CALENDRIER PRÉVISIONNEL 2008‐2009 Miss O’Range sera proposée aux réseaux d’Arts de la Rue et d’Arts Visuels, en France comme à l’étranger. Le spectacle, léger matériellement, tient dans deux valises d’avion et peut ainsi voyager facilement à l’international.

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CREATIONS, RESIDENCES & DIFFUSIONS ||| FRANCE ||| Annecy, Bonlieu‐Scène‐Nationale, Les Noctibules, première représentation de Journée Rose ,16 juillet 1998 // Chalon‐dans‐la‐Rue en in : Semaine Rose, en collaboration avec le photographe Raphaël Helle, 8 représentations. installations photonumériques, création de la maison de Rose dans l’île Saint Laurent, juillet 1998 // Annecy, Bonlieu‐Scène‐Nationale, Semaine Rose, en collaboration avec le photographe Raphaël Helle, 8 représentations. installations photonumériques, juillet 1999 ; Résidence aux Abattoirs de Chalon‐sur‐Saône, travail de photographie dans le quartier de la gare avec Raphaël Helle et présentation publique 10 au 30 avril 2002 ; présentation publique de Madame LeJaune, à Chalon sur Saône, 25 avril 2002 ; Chalon‐dans‐la‐Rue en in, création de Madame LeJaune s’affiche acte 1 et 2, du 18 au 21 juillet 2002 (8 représentations de Madame LeJaune s’affiche acte 1 et 2 ; Le Jardin de Madame LeJaune, installation plastique de Jean‐Luc Brisson ; Installation photographique en extérieur de Raphaël Helle // Carros (06), Festival Les Siacreries (Mme LeJaune s’affiche, acte 1 et acte 2 ; Le jardin de Mme LeJaune, installation plastique de Jean Luc Brisson, 29 mai au 30 juin 2003 ; Travail de prise de vue avec le photographe Raphaël Helle, Mme LeJaune au Negresco, Nice, avril 2003.) // Voiron, création de Rose Peluches, dans le cadre de la semaine d’éducation pour la citoyenneté et contre le racisme, 21 mars 1998 ; Rose de Noël , création de Rose de noël aux « Bains Douches » avec la population sans logis de Voiron , en décembre 1997 // Création de Rose plante ses laitues au supermarché Carrefour de Nice en décembre 1997 // Grenoble, Journée Internationale des Luttes Paysannes, Rose plante ses laitues, 17 avril 2000 // Réaumont, Fête des Plantes et Graines Rares, Rose e, se glisse dans la fête , mai 1999 // Marseille, Fête du 3 , Journée Rose, mai 1999 // Strasbourg, Arts‐dans‐la‐Rue, Journées Rose, 12,13 juin 2003 // Laval, festival les Uburlesques, Journées Rose avec Guy Gautré producteur de légumes à Saint Marcel , septembre 1999 // Nantes, travail de création et d’improvisation autour des personnages Rose et Mme LeJaune dans un centre commercial en collaboration avec Acqua Viva Productions (Rennes), avril 2000 // Paris, festival Paris Macadam, Journée Rose, juillet 2000 // La Roche‐sur‐Foron, fête de La‐Rochefolie, Journée Rose ,17 juin 2000 // Saint‐Denis (93), festival Vivre‐Ensemble, Journée Rose et Madame LeJaune s’affiche, 5 représentations, octobre 2000 // Montluçon, Rose plante ses laitues , 22 octobre 2000 // Cognac, Festival Coup‐de‐chauffe, Journée Rose, septembre 2001 // Mairie de Sarreguemines, Journées Rose, 9 décembre 2001 // Saint‐Sébastien‐sur‐Loire, Journée Rose, mai 2001 // Les Bouchoux (39), Madame LeJaune s’affiche acte 1 et 2, 15 août 2002 // Thonon les Bains, Les‐Fondus‐du‐Macadam », Journée Rose , 8, 9 août 2003 // Angers, Les‐Accroches‐Cœurs, Journée Rose : Rose plante ses 300 laitues, 13, 14 septembre 2003 // Moirans‐en‐Montagne, Festival Ideklic, Rose en grêve , 10, 11, 12 juillet 2003 // Villeurbanne, Fête‐du‐Livre Journée Rose , 12, 13 avril 2003 // Nemours, résidence et travail photographique autour de Rose avec Raphaël Helle, mars 2004 // Nemours, Semaine Rose, en collaboration avec le photographe Raphaël Helle, 8 représentations de Rose . installations photonumériques ; avril 2004 // Résidence photographique à Dunkerque‐Rosendael, avec Madame LeJaune en avril 2004 // Madame LeJaune s’affiche acte 1 et 2, en mai 2004 (8 représentations de Madame LeJaune s’affiche acte 1 et 2 » ; Le Jardin de Madame LeJaune installation plastique de Jean‐Luc Brisson ; Installation photographique sur téléviseurs de Raphaël Helle) //Résidence photographique à Tournefeuille, avec Madame LeJaune en mai 2004 // Madame LeJaune s’affiche acte 1 et 2, en mai 2004 (Festival les Pronomades, 2 représentations à Tournefeuille de Madame LeJaune s’affiche acte 1 et 2 » ; Le Jardin de Madame LeJaune installation plastique de Jean‐ Luc Brisson ; Installation photographique en extérieur sur drap de Raphaël Helle) // Libourne, Fest’Arts, Journées Rose , 12,13,14 août 2004 // Création de Kristin et ses yaourts sveltesses au Centre commercial Chamnord, Chambéry en 2005 // Thonon les Bains, Les fondus deu Macadam , écriture en public du personnage de Kristin, juillet 2005 // Libourne , Fest’arts, écriture en public de Kristin, août 2006 //Alfortville , Kristin séjourne deux semaines à Chinagora avec le photographe Raphael Helle, avril 2006 // Paris, 2rc2, Rose, Kristin , Madame LeJaune logent à l’hôtel Le Méridien Montparnasse, performances non annoncées rue de la Gaité ainsi que devant le centre commercial GO Sport, Darty‐Tati. , une semaine en mai 2007 // Sotteville les Rouens, Festival Viva Cité, première de Kristin , juin 2007 // Aubagne, Art Rue Essai, avant ‐première de Kristin en collaboration avec Lieux Publics, avril 2007 // Chalon sur Saône, Kristin, programmation SACD, Auteurs d’Espace, juillet 2007 ||| GRANDE‐BRETAGNE ||| Bexhill‐on‐Sea, De la Warr Pavillon, Centre d’art contemporain résidence et travail photographique avec Raphaël Helle dans le centre‐ville de Bexhill‐on‐Sea autour du personnage Rose, Rose loue une cabine de plage du 13 au 17 août // Bexhill‐on‐Sea, De la Warr Pavillon, Centre d’art contemporain , Semaine Rose, 18, 19 août 2001 // Bexhill‐on‐Sea, De la Warr Pavillon, Saatchi Gallery, exposition d’art contemporain AKA, présentation du travail photographique de Raphaël Helle sur Rose à Bexhill (thèmes d’AKA : l’usurpation d’identité, rôles multiples, l’implication des jeux de rôle ; autres artistes présentés : Cindy Sherman, Man Ray, Maud Sluter, Gavin Turk, Paul M Smith), du 25 novembre au 10 février 2002 // London, Royal National Theatre, festival Watch‐this‐Space, première représentation en extérieur du Théâtre National, Rose est invitée à créer un lien entre l’intérieur et l’extérieur du bâtiment, 6 représentations, 5 au 8 août 1998 // London, Royal National Theatre, festival Watch‐this‐Space: résidence de création et avant‐première de Madame LeJaune s’affiche, juin 2001 // Birmingham, Welcomes the World, Sommet du G8, Rose avec les épouses des présidents, ,16, 17,18 mai 1998 // London, Canary Wharf, Arts & Events, Journées Rose, 19, 20 mai 1998 // Manchester, Hyde, Oldham et Bolton, Streets‐Ahead‐Festival, Journées Rose, 23 au 25 mai 1998 //Salisbury Festival, Rose, plante ses laitues et L’anniversaire de Poster, 26 mai 1998 // Stockton on Tees, International‐Riverside‐Festival, Journées Rose, 31 juillet au 2 août 1998 // Canterbury, Marlowe Theater, Kent‐Art‐Festival, Rose au théâtre , juillet 1999 // Manchester, Altrincham, Stockport et Bury, Streets‐Ahead‐Festival, Rose part accompagnée de Guy Gautré producteur de légumes à Saint‐Marcel , deux semaines mai 2000 // Londres‐Croydon, Journée Rose, juillet 2001 // London, Trafalgar Square Rose plante ses laitues, septembre 2001 ||| USA/CANADA ||| New York, “Women World March”, travail photographique autour du personnage Mme LeJaune avec Raphaël Helle, 10 octobre 2000 // Photos publiées de Mme LeJaune lors de la “Women World March” dans le New York Times du lendemain, dans le magazine québecquois Recto Verso de mars avril 2001 // Salt Lake City, Utah‐Arts‐Festival, Journées Rose, du 24 au 27 juin 2004 // State College, Pennsylvania Festival‐of‐the‐Arts, Journées Rose, du 7 au 11 juillet 2004 // Trois‐Rivières, Journées Rose, du 24 au er 27 juin 2004 // Shawinigan, Festival de Théâtre de rue, Journées Rose, du 28 juillet au 1 août 2004 ||| BELGIQUE ||| Chassepierre, Fête des artistes, Journée Rose, août 1999 // Liège, Macadam‐Festival, Journése Rose, septembre 1999 // Houthalen, Festival‐du‐Rire, Journées Rose, août 1999 // Gent International ‐Straat‐Theater‐Festival,.Journées Rose, les 24, 25, 26, 27 juillet 2001 // Gent International Straat Theater Festival, Mme LeJaune s’affiche, acte 1 et 2, les 25, 26, 27 juillet 2002 // Ath, Festival Les Unes‐fois‐d’un‐Soir, les 28, 29 août 2003 Madame LeJaune s’affiche dans la fête foraine, septembre 2003 // Lowe, Festival de Menen, Journées Rose, 21 juillet 2002 // Gent International Straat Theater Festival , résidence de création avec la chorégraphe Ria de Corte , création en public de Kristin , juillet 2006 ||| PAYS‐BAS ||| Festival Karavaan 7 Journées Rose, août 1999 // S’Hertogenbosh, Festival Boulevard, Madame LeJaune s’affiche acte 1 et 2, août 2002 // Théâtre de Leeuwarden, Journée Rose, avril 2003 ||| SUISSE ||| Nyon, Paléo‐Festival, Rose se glisse dans le festival , 27, 28, 29 juillet 2000 // Neuchâtel, Expo 01, Journées Rose, mai 2001 // Genève, manifestation Marche Mondiale des Femmes, travail photographique autour du personnage Mme LeJaune avec Raphaël Helle, juin 2000 // ESPAGNE ||| Huesca , Feria de Teatro en Aragón, Journées Rose, octobre 1999 // Zaragoza, Fira de Teatro, Journées Rose, 12, 13 octobre 2000 // Tournée de Kristin au printemps 2008 ||| PORTUGAL ||| Torres Vedras‐Lisbonne, « Centre d’Art Contemporain Transforma », Journées Rose, 26,27 septembre 2003 // Palmela, Festival international, septembre 2005 ||| AUSTRALIE ||| Perth, Awesome Arts Festival d’art contemporain, Journées Rose, 22 au 30 novembre 2003 ||| ALLEMAGNE ||| Festival international de Holzminden, écriture en public des 8 scènes de Journées Rose, mai 1998 ||| ITALIE ||| Bolzano, Arrivano i comici, 4 Journées Rose, octobre 1998 // Gênes , Rose plante ses laitues , invitée par la mairie de Gênes et le festival ARTU pour la venue du Ministre de la Culture, janvier 2007 // Tournée de Madame Lejaune prévue en 2008 par le festival ARTU de Gênes // SLOVENIE ||| Festival de Jlublajana, Maribor, Journées Rose , Rose plante ses laitues pour la Galerie d’Art de Novo Mesto, juillet 2005 ||| NOUVELLE‐CALEDONIE ||| Théâtre de l’Ile , Rose est présente dans toute la ville pendant une semaine // Ouverture du festival avec Rose plante ses laitues en décembre 2006 ||| RADIO, TÉLÉVISION, SYMPOSIUM ||| Emission télévisée Divine David : Rose plante ses laitues filmée à Canary Wharf et à Chalon‐dans‐la‐Rue, 11 décembre 1998 // Londres, Rose invitée par la BBC Radio, septembre 2001 // Londres, Theatre Museum, symposium ISAN, Princesses Peluches présente son travail situationniste, le 23 mars 2002 // Rose à Nouméa, Nouvelle‐ Calédonie, invitée de différents programmes de radio et de télévision, décembre 2006 .

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