PORTFOLIO BAPTISTE CHAUVIN FR

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PORTFOLIO

Baptiste Chauvin 2023

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Curriculum Vitae

Baptiste Chauvin

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Transitions, Transformations

Projet de Fin d’Études

Porcheville C

Projet de Master 1

Scène Industrielle

Mémoire de Master

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Paysage En[tre] Mouvement Et Pauses

Projet de Master 1

Minimum Cost

Projet de Master 2

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12 22 30 34

Convivialité Industrielle

Projet de Licence 3

Palais de l’Apprentissage

Projet de Licence 3

Concours Archi’Bois 2018

SOMMAIRE
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Cité Montsouris

Contacts

E-mail Tél Instagram

Formations

BAPTISTE CHAUVIN

24 Français

bapt.chauvin@hotmail.fr +33 6 52 57 15 28

@archi_bapt

Février 2023 Diplôme d’État en Architecture

Mention Très Bien / ENSA de Versailles

2016-2017

Expériences professionnelles

2023 - 2 semaines

2022 - 6 mois

Baccalauréat Scientifique

Mention Bien / Lycée Victor Hugo, Caen

Piovenefabi

Contrat court en free-lance, Bruxelles

51n4e

Stage «de formation pratique», Bruxelles

2021 - 2 mois

Guillaume Dumay architecture

Stage complémentaire à mi-temps, Versailles

2019 - 2 mois

Gelin Lafon architectes

Stage de première pratique, Paris 20

2018 - 2 semaines

Compétences

Maquettes Adobe

Langues

Anglais Espagnol

Concours

Session 2018

Bati Bois Normandie

Stage chantier, Colombelles

Autocad Rhinocéros Qgis

B2 A2

Concours Archi’Bois 2018 3ème prix

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TRANSITIONS, TRANSFORMATIONS

Projet de société à partir de l’héritage bâti en crise au regard du dérèglement climatique dans un contexte de moyenne-montagne, en Haute-Savoie.

Le dérèglement climatique n’a jamais été aussi visible qu’en montagne. Les massifs pré-alpins sont aux avant-postes et leurs ressources sont bouleversées - enneigement incertain, sécheresse des alpages et épidémie de bostryche sur l’épicéa commun - et génèrent des problématiques en cascade laissant prochainement un héritage bâti vacant.

C’est justement cette transformation et le devenir de chalets d’alpage, de stations de ski ou encore d’infrastructures techniques qui se pose dans la vallée d’Aulps et la vallée de l’Arve. L’usage de la montagne que l’on hérite depuis 60 ans est obsolète. Les modèles économiques sont en crise et ce contexte semble propice pour imaginer de nouveaux possibles.

Pour tenter de répondre à un territoire aussi vaste et marqué, le projet s’articule autour de quatre interventions d’échelle décroissante définies par leur emprise au sol. D’autres essences territoriales sont injectées comme l’artisanat et la culture pour initier un changement mais l’intérêt constant pour la valorisation du bois d’épicéa scolyté tisse le lien entre la matière et son territoire.

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PFEConstruire
Susanne
Diplôme en binôme avec Valentin Boinet.
les mondes des co-existences
Stacher enseignante
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4825m², Flaine Forum, Flaine.

Transformation de la station de ski intégrée de Flaine en Université Alpine.

6 Plan et coupe longitudinale 1:200 N Plan d’ensemble 1:500 N Hall de réception Laveries Amphithéâtre secondaire Parkings étudiants Salle informatique Salle d’expositions Grand atelier Atelier d’artistes Bibliothèque Vestiaires sportifs Restauration Classe en forêt 12 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 11 01 06 09 03 02 07 08 05 04 10
PFEConstruire les mondes des co-existences
Stacher enseignante
Susanne
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534m², l’Hermine, Avoriaz.

Surélévation accueillant une coopérative habitante et chercheurs sur les paquebots d’Avoriaz.

8 Coupe détail 1:20 N Plan étage courant 1:100 N Plan rez-de-chaussée 1:100 Plan de situation 1:15 000 0 1 km N
PFEConstruire les mondes des co-existences Susanne Stacher enseignante

108m², Hameau de Zore, Montriond.

Extension d’un chalet d’alpage en atelier de menuiserie et chèvrerie.

9 Plan 1:100 N
Coupe transversale 1:20

64m², les Prodains, Morzine.

Revitalisation d’anciennes fondations d’une remontée mécanique en belvédère et halte pour randonneurs.

10 PFEConstruire les mondes des co-existences Susanne Stacher enseignante Coupe transversale 1:50 Coupe longitudinale 1:10 000
VarianteduGR5 Plan masse 1:1 000 0 1 km N
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PORCHEVILLE C

Un scénario post-industriel d’une ruine des Trente Glorieuses, Yvelines.

Le site industriel de Porcheville produit de l’électricité depuis 1954 à partir de plusieurs centrales successives, au charbon puis au fioul lourd. Cette dernière d’une puissance totale de 2400 MW fonctionne d’appoint pour les pics de consommation en Île-de-France et en Normandie. Dans les 10 prochaines années, ce site industriel devenu marqueur dans le paysage de la Vallée de la Seine va disparaitre. Ne serait-il pas intéressant de réinvestir ce site pour redonner du sens au territoire en offrant aux communautés agricoles et à la population du Mantois un lieu productif, d’apprentissage et de culture. Dans ce sens, il semble pertinent de conserver la structure métallique, les accès mais surtout les qualités spatiales qu’offre ce bâtiment machine.

Le site de 135 hectares s’ouvre au sud, vers la Seine, axe majeur pour la mobilité mais il est encerclé par la ville à l’est et par le port de Limay à l’ouest. Ce site devient alors un point stratégique où les mobilités convergent, c’est un nouveau HUB agricole

créant de l’emploi, qui vient désengorger le marché international de Rungis, en offrant des produits et marchandises de la Vallée de la Seine.

• Au rez-de-chaussée, l’ancien socle de béton armé de 11m offre un espace sombre et frais pour le stockage, d’approvisionnement des marchandises par la voie fluviale, routière et ferroviaire. C’est ici que les mobilités se rencontrent.

• La grande halle au-dessus du socle est l’espace propice aux rencontres et aux usages mixtes. Lumineuse et continue, cette nappe peut très bien accueillir le prochain salon d’agriculture ou encore de grands évènements régionaux. Les atriums et les anciens ponts de levage permettent d’acheminer très facilement les équipements et rendent le bâtiment très flexible à l’instar du Fun Palace de Price. Cet espace est doté d’un mur rideau continu qui offre une vue sur la Seine, les falaises de calcaire et l’A13. Cette façade translucide permet donc la transparence des usages et de l’activité de ce nouveau pôle.

• Enfin, dans les étages des quatre unités se trouvent des espaces plus intimes comme les salles du campus agricole ou encore des serres pour les expérimentations des start-ups. Des logements temporaires sont aussi disponibles pour des intervenants ou des bateliers qui décident d’amarrer quelques temps dans cette centralité agricole.

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P45Yvelines territoire du commun Susanne Stacher / Luciano Aletta enseignants
Publication dans LES YVELINES - Territoires du Commun, Éditions 2020-2021.
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14 P45Yvelines territoire du commun Susanne Stacher / Luciano Aletta enseignants
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SCÈNE INDUSTRIELLE

Vers une transformation productive des sites industriels des berges de Seine.

Ce mémoire s’intéresse à la reconversion du patrimoine industriel de la vallée de la Seine dans les Yvelines. Ce territoire, par sa morphologie marquée, a attiré de nombreuses industries le long des berges confisquant d’importantes emprises au sol. Pourtant aujourd’hui, le processus de désindustrialisation projette une forte perte de dynamisme sur le fond de vallée.

Mais alors, comment les usines d’hier des berges de Seine, désuètes de leur usage, peuvent-elles être productives différemment demain ?

Ces sites sont parfois désaffectés, dans un état de friche, en voie de désaffectation ou encore en activité pour autant, elles nous sont toutes familières par leur posture monumentale dans le paysage. Pour les observer et les comprendre, certains outils empruntés à d’autres disciplines se révèlent indispensables.

En addition à cela, la recherche s’appuie sur le projet en tant qu’outil d’interrogation du territoire, à partir du travail de reconversion de la centrale thermique de Porcheville, mené dans le cadre d’un atelier de projet en cycle Master (Atelier P45 « Yvelines : Territoire du commun » , coordonné par Susanne Stacher et Luciano Aletta, ENSA Versailles).

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MémoireHabiter la ville, ici et ailleurs Roberta Borghi / Anne-Sylvie Bruel enseignantes
Mémoire réalisé en collaboration avec le CAUE 78, le Service Patrimoines & Inventaire de la Région IDF et de la Communauté Urbaine GPS&O.
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PAYSAGE EN[TRE] MOUVEMENT ET PAUSES

À la recherche d’un langage architectural sensible qui révèle l’identité de la structure du paysage du Larzac, en France.

Le paysage tel que nous le voyons n’est pas immuable dans le temps. Il est en constante évolution sur différentes temporalités. Sur le temps long, l’érosion des roches accentue les coupes dans le paysage – gorges, failles, fissures. Sur le temps court – une année –, le paysage attrape les saisons avec parfois des précipitations cévenoles violentes et des étés très secs, se modèlent et remodèlent, en accrochant des instants de vie de cet environnement – faunes, ores – et en croisant les activités humaines.

Deux lignes prédominantes font émergence dans ces gorges abruptes. Le cours d’eau, principal responsable de ses reliefs de calcaire qui peut se montrer très violent lors d’épisodes cévenoles. La seconde ligne est intimement liée à la notion de « lignes du désir ». C’est le tracé des sentiers qui portera le nom de Grandes Randonnées. L’homme est à la base de sa création, ce chemin sera parcouru de repères et points de vues

pendant son parcours. Ces deux tracés ne sont pas semblables mais ils opèrent à une temporalité forte. Ils sont en perpétuel mouvement dans les gorges. Ces deux tracés aux vitesses différentes sont ponctués d’objets construits par l’homme – ouvrages hydrauliques, repères – qui les ancrent sur un temps « figé ».

La notion d’infrastructure ne rime pas forcément avec dureté et monumentalité. Elle se pense et se construit parfois de façon subtile, elle peut être évolutive, construite avec certains matériaux issus du paysage lui-même, elle peut même être durable. Elle est parfois invisible, impalpable, mais ici, elle cadre, donne une échelle, et interrompt le paysage sinueux et continue des canyons karstiques. L’échelle de l’homme se révèle à partir de ces portes en pointant les éléments fondamentaux des gorges – le débit des courts d’eau, les rivières souterraines, les parois calcaires.

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P45Paysage(s) Prototype(s) Nicolas Simon / Ophélie Dozat enseignants
Travail en trinôme avec Léo Diehl-Carboni et Lawan-Kila Toé.
Publication dans la revue de la Maison de l’Architecture
Occitanie-Pyrénées Plan Libre 184 - Animal malgré tout
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Révéler les rivières souterraines

Les gorges sont l’archétype du paysage karstique. Les rivières, au fil du temps, creusent leur lit dans des strates de calcaires et de marnes. Le cours d’eau principal n’est pas le seul acteur de ce décaissement ; il est accompagné par de nombreux ruisseaux souterrains. Ces derniers sont explorés par les spéléologues et amateurs de grottes mais sont invisibles dans le paysage comme celui de Moulhoc. Les gorges du Tarn comptent plus de 141 rivières souterraines affluentes.

Sa révélation est induite par une dérivation de son chemin par l’insertion d’une structure pliée en acier galvanisé. Ce bec métallique se suffit à lui-même ; il se place parfaitement dans l’entaille de la falaise pour s’y fixer. Le pliage métallique se perche en haut de la corniche pour supporter le ruisseau et l’abandonner dans le vide. Cette chute d’une cinquantaine de mètres suffit pour altérer son dessous en révélant sa nature et son débit.

20 1 Tôle d’acier
ép. 3cm 2 Encastrement des deux ailes métalliques 3 Pliage de retenue 4 Ruisseau souterrain 5 Eau de source 5 4 1 2 1 3 2 P45Paysage(s) Prototype(s) Nicolas
/
enseignants
galvanisé pliée
Simon
Ophélie Dozat
4 Ruisseau souterrain 5 Eau de source
Détail
technique 1 Tôle d’acier galvanisé pliée ép. 3cm 2 Encastrement des deux ailes métalliques 3 Pliage de retenue
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MINIMUM COST

Transformation minimale de la tour Super Chapelle, Paris.

Aujourd’hui, faire projet d’architecture avec un minimum de coût c’est l’essence même de la conscience architecturale contemporaine. Le coût d’une chose c’est la somme que coûte son obtention ou sa réalisation. Le prix désigne quant à lui la valeur de la transaction dont cette chose fait l’objet, c’est une estimation. Le coût est donc opaque face à la valeur de l’objet, la valeur d’une chose dépend donc de l’affect que l’on lui porte. Une maison construite par les mains de son propriétaire a une valeur subjective beaucoup plus importante. Une autre façon de comprendre la valeur est la perception que l’on peut avoir d’un objet. La perception de cet objet peut varier en fonction de son contexte ou du lieu ou il se trouve. Comment faire projet avec un minimum de coûts pour un maximum d’effet dans un immeuble de grande-hauteur avec une densité importante dans le quartier le moins cher de Paris, à Porte de la Chapelle ?

S’intéresser à la transformation de la Tour Super Chapelle dans un minimum de coût ne permet pas de traiter l’ensemble des logements empilés mais de s’intéresser au rez-de-chaussée, quotidiennement fréquenté par des flux continus privés des habitants de leur logement au quartier. Pourtant, continuellement parcouru, le niveau zéro qu’il soit couvert ou sous forme de jardin privé n’a aucune valeur pour ses habitants. La première étape du projet s’opère par une mise a nu de la structure de béton armé du rezde-chaussée pour laisser apparaître les espaces, les vues et l’ensoleillement potentiels. Par la suite, le projet lui offre de nouveaux espaces “seuils” entre le dedans et le dehors pour des espaces collectifs où l’affect entre en jeu. La notion de générosité s’ajoute aux qualités du rez-de-chaussée avec l’insertion d’objets supports aux nouveaux usages comme un atelier de couture, une ressourcerie ou un espace pour le télé-travail. Le rez-de-chaussée augmenté devient le support généreux de partage, d’apprentissage et de détente pour les habitants de la tour.

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P45minimum, minimums ou minima Dries Rodet / Tanguy Dyer enseignants
Travail en binôme avec Marie Ducroc.
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24 P45minimum, minimums ou minima Dries Rodet / Tanguy Dyer enseignants
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CONVIVIALITÉ INDUSTRIELLE

Densifier le pavillonnaire dans le centre-ville de Stains.

Sur la parcelle mutualisée, seuls la maison et les arbres majeurs renvoyant directement aux jardins caractéristiques du pavillonnaire sont conservés. Il s’agit de densifier pour répondre à la forte augmentation de la population dans la périphérie parisienne avec le projet du Grand Paris. De fait, les emplacements de la végétation guident les formes des bâtiments.

Si le logement est collectif, il l’est jusque dans ses cuisines. La cuisine pour deux logements est l’élément central de ce projet. Cela permet d’alléger les logements individuels et de créer des opportunités conviviales au sein des habitants.

De plus, l’habitat de demain se doit d’être flexible, mixte et évolutif. C’est pourquoi la structure 100% bois de panneaux CLT et de poteaux en bois massif permet de concevoir des plateaux libres évoluant avec les typologies de ménages. Concevoir un bâtiment flexible c’est assurer sa pérennité au cours du temps. Le métal prend le dessus dans la façade avec la tôle ondulée qui protège le bois et par les coursives légères qui assurent la circulation horizontale et les extensions habitables individuelles. L’utilisation de matériaux «sincères» permet le chantier sec et ainsi un gain économique important.

26 20m
P32Habiter après la prospérité Erwan Bonduelle enseignant
Parcelle mutualisée avec Adrien Breuil. 20m
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DESSIN
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PALAIS DE L’APPRENTISSAGE

Conception d’un équipement public, Ivry-sur-Seine.

Par son architecture, le palais populaire peut changer la conscience des gens et se définir comme une plateforme sociale. C’est pourquoi il a été rebaptisé Palais de l’apprentissage. Il y a trois façons d’apprendre :

• En se concentrant sur un livre ou en méditant. Pour ce faire, il est nécessaire de se trouver dans un espace calme, de se replier sur soi-même.

• En partageant, l’échange est fondamental pour accéder à la connaissance. Il nécessite un espace poreux et un lien avec la ville d’Ivry-sur-Seine.

• Enfin, en expérimentant et en produisant, dans un espace aéré, lumineux et libre.

Ces trois modes d’apprentissage se déclineront en trois niveaux formellement et programmatiquement indépendants. Le sous-sol est occupé par la bibliothèque et l’auditorium. Le rez-de-chaussée est composé d’espaces ouverts au partage ; le marché couvert, la librairie solidaire, un espace modulable pour les expositions, un restaurant. Ensuite, le terrain de sport, les salles de répétition et les ateliers occuperont le premier étage. Chaque atmosphère provoque sa propre structure interdépendante.

Afin d’augmenter l’apport de lumière à chaque étage, la création d’ouvertures verticales et de patios est nécessaire. Les circulations verticales sont placées dans ce vide pour irriguer chaque niveau. C’est donc la vue, la lumière, l’air et la circulation qui relient ces trois environnements interdépendants.

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Travail en binôme avec Marie Ducroc.
P31Palais populaire Susanne Stacher / Jeanne Moullet enseignantes
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32 P31Palais populaire Susanne Stacher / Jeanne Moullet enseignantes Espace de concent ation -9.00 m NIVEAU +01 +6 10 m REZ DE CHAUSSEE Espace de par age + 0.00 m NIVEAU -01 0.03 m 0.60 0.04 m 4 1 5 NIVEAU +01 NIVEAU -01 1.00 m REZ DE CHAUSSEE Espace de par tage 34.6 NGF / + 0.00 m 40.6 NGF / + 6.10 m Plancher chau ant 0.08 m Espace de concent ation 29.95 NGF / - 4.50 m 0.35 x 0.35 m Mur rideau en aluminium pose en tunnel 0.20 m 1 1 0 5.00 0.35 1 6.20 5.00
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CITÉ MONTSOURIS

Concevoir un bâtiment de grande hauteur dans un environnement urbain avec l’utilisation du bois.

Ce bâtiment est situé dans le 14ème arrondissement de Paris, sur un terrain occupé par le réseau ferroviaire de la Petite Ceinture. Aujourd’hui abandonné, le bâtiment se dresse au-dessus de ce passage pour le mettre en valeur lors d’une future réouverture.

Le projet prend la forme d’un bâtiment à usage mixte comprenant 64 appartements. 90% du bois est utilisé pour la structure, visible en façade grâce à l’utilisation de polycarbonate biosourcé. Le bâtiment possède également un jardin participatif et des espaces publics au rez-de-chaussée.

Ce projet se caractérise comme un bâtiment modulaire avec des unités répétées progressivement en retrait de la rue formant deux émergences irrégulières. Cette optimisation formelle est induite par l’ensoleillement et les vues sur le parc Montsouris.

Publication dans la revue Forestopic, 31 mai 2019 - Le prix Archi’bois pour «un électrochoc dans les écoles d’architectures»

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Concours Archi’Bois 2018 3 ème prix
Travail de groupe avec Valentin Boinet & Aymeric Brouez.
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36

Merci pour votre attention

PORTFOLIO

Baptiste Chauvin

Tous droits réservés.

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