Road-Trip USA 2009 (Un voyage au 35mm)
Road-Trip USA 2009 (Un voyage au 35mm)
Benjamin DIDIER
Road-Trip USA 2009 15 jours, plus de 3500km et 5 Etats traversés, nous avons consommé les routes, les étapes, les climats (du soleil le plus brulant aux tempêtes tropicales) et les émotions comme les américains consomment les hamburgers : - Miami Beach la branchée avec ses plages kilométriques, ses hôtels et son quartier Art Déco. - Memphis la noire (80% de la population) et son idole blanche (Elvis Presley) traversée par le mythique fleuve Mississippi. - La Nouvelle-Orléans l’industrielle, la débauchée et la dévastée et toujours menacée. - Le parc des Everglades avec sa mangrove, sa lumière unique au couchant, ses alligators et ses moustiques se jetant sur la chair humaine pour quelques goutes de sang comme les charognards des documentaires animaliers. - Key-West la galvaudée, autrefois repère des esprits libres grâce à sa géographie unique, il est loin le temps d’Ernest Hemingway...pourtant la route exceptionnelle qui y conduit nous semblait annonciatrice d’un paradis terrestre. Sans compter les chemins qui nous ont mené vers ces «!spots!» où l’on peut croiser en même temps et au même endroit Dieu, MacDonald et l’énergie nécessaire pour faire avancer notre 4x4 Ford, mais aussi des paysages sublimes (les Bayous resteront un moment inoubliables) et parfois des villes où le kitsch reigne en maître. Ces photos sous forme de carnet de voyage réalisées avec un seul 35mm en sont le témoignage.
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Miami Beach
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Road to Memphis
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Memphis
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Road to New-Orleans
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New-Orleans
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Road to the Everglades
Everglades
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Key-West
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Remerciements :
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Je tiens à remercier mes parents et beaux-parents pour le soutien qu’il m’ont toujours et sans restrictions accordé dans mes entreprises, je leur doit d’avoir fait de la photographie mon métier depuis maintenant 3 ans. Marie et Marlène avec lesquelles j’ai effectué ce voyage inoubliable. Elle m’ont accepté, transporté, supporté, réconforté et très certainement stimulé. Et enfin, monsieur Norbert Leblanc, Cajun parmis les Cajuns (il en reste si peu), qui nous a fait découvrir son bayou qu’il aime tant malgré des conditions peu clémentes et sa passion de la culture cajun.